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OPTIMISATION DE LA DÉMARCHE DE LOTO

1. Destination Sherbrooke 2014 Carte interactive In Destination Sherbrooke Visiteurs Carte interactive http www destinationsherbrooke com fr visiteurs carte interactive aspx Page consult e le 26 juillet 2014 Drolet P 2004 L art ph m re pourquoi comment et combien Montr al Les Arts et la Ville Actes du 17 Colloque annuel 4 p Evans G 2005 Measure to measure evaluating the evidence of culture s contribution to regeneration Urban Studies vol 5 6 p 959 983 Fourcade M B 2014 Lexique la m diation culturelle et ses mots cl s n Culture pour tous M diation culturelle Ressources http mediationculturelle culturepourtous ca materiel lexique la mediation culturelle pdf Page consult e le 15 juillet 2014 F d ration internationale des conseils des arts et des agences culturelles 2014 Information provision n F d ration internationale des conseils des arts et des agences culturelles What we do Good practice guides htip www ifacca org goodpractice Page consult e le 14 septembre 2014 Flueckiger U P 2010 Land arts of the American West Journal of Architectural Education vol 64 n 1 p 135 139 Gagn Colombo R 2013 Plaidoyer pour des nouveaux mod les de caract risation des parties prenantes n Chaire de responsabilit sociale et de d veloppement durable Bulletin Oeconomia Humana http www crsdd uqam ca Pages plaidoyer aspx Page consult e le 21 mars 2014 7
2. num re les th matiques suivantes les retomb es d un projet d art public en mati re de marketing d un site de la 28 revitalisation du tourisme de l investissement conomique du projet et de ses b n fices de l utilisation des ressources et de son recyclage de l ducation de l emploi du partage de connaissances dans la gestion du projet de la valeur mon taire du projet etc Dans une perspective de maximisation des retomb es conomiques du projet d art public le crit re traite de la cr ation de la valeur partag e dans la communaut dans le pr sent et dans le futur En pratique le comit local pourrait proposer des partenariats avec d autres organisations locales et int grer le projet d autres initiatives locales Chrysalis Art Ltd s d propose d valuer la pertinence du site et du contexte d intervention pour la manifestation d un projet d art public Il encourage r aliser un projet adaptable plusieurs contextes collaborer avec d autres initiatives pertinentes et laisser la porte ouverte d autres opportunit s artistiques C est dans ces conditions que le crit re sera plus que satisfait Valorisation du patrimoine du milieu La partie 4 de l Agenda 21C traite du lien entre l art et le territoire Le crit re aborde les objectifs 20 et 21 sur la qualit du cadre de vie des citoyens par la mise en valeur de l art public une architecture un design et des paysages distinctifs Ainsi il val
3. ressources locales Effet rassembleur La partie 2 de l Agenda 21C revendique le r le de la culture comme vecteur de coh sion sociale Dans cette perspective ce crit re d aide la d cision value les th matiques sur le dialogue interculturel sur la tol rance et sur l inclusion sociale autour du projet d art public notamment le vivre en soci t Il y a de forts liens d interd pendance entre le crit re Identit et diversit culturelles et le crit re Implication communautaire Toutefois le crit re se penche sur les comportements d sir s du public cibl en fonction de la pr sence du projet d art public Il vise donc valuer l appropriation citoyenne du site d implantation du projet les moments de rassemblements citoyens autour du projet et l inclusion des groupes vuln rables xia Ltd 2014 propose des valeurs sociales pouvant rassembler la communaut autour d un projet artistique le d veloppement communautaire court terme et long terme la pauvret et l inclusion sociale la sant et le bien tre le crime et la s curit le d veloppement personnel et interpersonnel l accessibilit et le voyagement l acquisition de comp tences etc Valeur partag e pour la collectivit La partie 3 de l Agenda 21C aborde la collaboration du milieu artistique et le monde des affaires ainsi que les retomb es conomiques de la culture dans lesautres secteurs d activit s ce propos xia Ltd 2014
4. Ville h te Partenaire culturel Service de la culture Sherbrooke 19 au 21 mars Dominic Ferland Coordonnateur au service de la culture Centre culturel de l Universit de Sherbrooke 819 821 8000 poste 62907 Dominique Ferland usherbrooke ca Ann Janick L pine Agente professionnelle de d veloppement culturel Division de la culture de la Ville de Sherbrooke 819 823 8000 p 5439 Ann janick lepine ville sherbrooke qc ca Saint J r me 26 au 28 mars Andr e Matte Conservatrice Mus e d art contemporain des Laurentides Saint J r me 450 432 7171 poste 5 matte museelaurentides ca N A 819 762 6600 direction cern rouyn noranda ca Saguenay Manon Gu rin Lise Laroche 9 au 11 avril Directrice g n rale Conseill re Arts et culturel Centre national d exposition Division Arts Culture et Biblioth ques Saguenay de la Ville de Saguenay T l 418 546 2177 418 698 0000 p 4165 mguerin centrenationalexposition c Lise laroche ville saguenay qc ca om Rouyn Jean Jacques Lachapelle Lise Paquet Noranda Directeur g n ral Coordonnatrice administrative 30 avril au Centre d exposition de Rouyn Services communautaires et de 2 mai Noranda proximit de la Ville de Rouyn Noranda 819 797 7110 p 7390 lise paquet rouyn noranda ca 93 COURRIEL A2 1 Dominic Ferland Coordonnateur au service de la culture Centre culturel de l Universit de Sherbrooke 2500 boul
5. d tat devrait r viser la faisabilit d une commission d uvre d art public avec une enveloppe budg taire de 10 000 r diger une entente pour d crire les responsabilit s de son diffuseur et planifier un plan de communication pour le succ s de son engagement Enfin elle devrait attitrer un charg de projet afin d laborer un bon suivi sur la r alisation de chaque legs aupr s des diffuseurs Les recommandations sont formul es de mani re ce que Loto Qu bec puisse r fl chir sur le processus de son engagement et qu elle prenne ses d cisions l interne Dans cette perspective l objectif du pr sent essai a t atteint par une revue des meilleures pratiques manag riales dans une commission d une uvre d art public au Canada et l international Ce cadre de recherche prend en compte les suggestions des diffuseurs de faire un appel d artistes et la vision de Loto Qu bec d appliquer une d marche de d veloppement durable sur son engagement La soci t d tat dispose donc de tous les outils n cessaires pour optimiser le processus de coproduction d un legs pour la communaut la question de ce qu est un projet conjuguant le d veloppement durable et la culture la litt rature sur l art public montre plusieurs pratiques artistiques qui tentent de r pondre aux enjeux environnementaux et qui impliquent la communaut r soudre des probl mes qui leur pr occupent L engagement de Loto Qu bec est un mod le de cof
6. http www mcc gouv qc ca fileadmin documents publications rapport philantropie culturelle 06 2013 fr pdf Page consult e le 9 septembre 2014 Bureau M F Press S et Proulx D 2012 Pr sentation de l art contemporain la Facult de droit n Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Galerie d art http www centrecultureludes ca billet spectacle galerie dart de luniversite de sherbrooke collections doeuvres aspx Page consult e le 18 f vrier 2014 Cananovas M 2005 Public art and its integration in the urban environment In Remesar A red Urban regeneration a challenge for public art p 19 23 Barcelone Monographies Psycho socio environnementales Universit de Barcelone Carmona M 1985 Le mobilier urbain Paris Presses Universitaires de France 128 p Carruthers B 2006 Aper u de la pratique et de la collaboration contemporaine en art co L art et l cologie laboratoire d id es sur l art et la viabilit n Commission canadienne de l UNESCO Champ d application Culture communication et information http unesco ca media pdf unesco rapportderecherchesurartetecologie pdf Page consult e le 8 ao t 2014 Cartiere C 2003 Re placing public art the role of place specificity in new genre public art Th se de doctorat University of the Arts London London United Kingdom 227 p Cartiere C 2008 Coming in from the cold A public art history In Cartier C et Willis S
7. sont diversifi es D une part elle propose sa client le de faire du b n volat pour appuyer ses activit s d exposition Ensuite elle d veloppe une banque d uvres d art de sa collection et d autres artistes en location pour diff rents m c nes Le C gep de Saint J r me la Cath drale de Saint J r me le campus de Saint J r me de l Universit du Qu bec en Outaouais et le parc Bois de Belle Rivi re diffusent des uvres d arts publics la population de Saint J r me Le MACL produit galement des expositions itin rantes en partenariat avec des centres d exposition et des mus es du Qu bec 4 2 1 Composition du comit local Le comit local est repr sent par quatre intervenants du milieu municipal et deux intervenants du MACL Ceux ci se sont int ress s l engagement de Loto Qu bec puisqu il s inscrit dans les comp tences en d veloppement culturel de la Ville de Saint J r me de leur appartenance citoyenne la Ville ainsi que de leur expertise en art public et en m diation culturelle Par ailleurs un conseiller municipal a si g au comit pour son r le d ancien directeur du MACL pendant une dizaine d ann es Son appui a t orient sur l approbation de la Ville pour la mise en valeur et l entretien du legs La composition du comit local donne une excellente repr sentativit de la collectivit En effet les membres ont une connaissance approfondie des enjeux du territoire et des caract
8. tre pay par des fonds publics Ces uvres ne disposent pas d un style d art de formes de mat riaux ou d une chelle en particulier Casanovas 2005 La figure 1 1 pr sente un mod le relatant les formes d uvres d art public qui se sont d velopp es dans le temps Entre 1930 et 2010 les formes d uvres d art ont beaucoup volu reprenant les sculptures l ext rieur pour devenir des uvres multidisciplinaires et multim dias Alle 2010 Les d finitions de l art public demeurent donc tr s vari es d une r gion l autre en Am rique du Nord Becker 2004 Lizotte et autres 2006 La discipline doit donc tre vue comme un processus de r alisation d un projet artistique dans l espace public Place specific Public Art Site Construction Site specific Public Art r l l l l l l S landscape is architecture l l l Marked sites le o Axiomatic structures 5 PA l l l l l S va Not landscape 7 Not architecthre X 4 l l l L J Component installation sculpture sculpture Figure 1 1 Typologie des uvres d art public bas e sur l architecture et sur le paysage tir e de Cartiere 2008 p 13 L art public aborde de nouvelles approches artistiques sur le d veloppement durable Smith 2012 Le volet communautaire est entrepris par l art public nouveau genre dans les ann es 80 Ramade 2007 Plus engag ce style d art visuel utilise
9. uvre d art coresponsable l gu e au diffuseur par le biais du programme Rep rage o un concours pour valoriser les artistes r gionaux sur leur implication dans les enjeux de d veloppement durable sur leur communaut Selon son choix la soci t d tat devrait r diger un document pour standardiser le cycle de gestion de l engagement et pour informer ses diffuseurs de la port e de celle ci Ainsi elle pourrait efficacement soutenir des pratiques artistiques novatrices et renforcer la valeur intrins que de ses diffuseurs REMERCIEMENTS Le pr sent travail correspond une critique constructive de la r alisation de mon mandat aupr s de Loto Qu bec Avant d accepter ce travail je n avais pas beaucoup de connaissances sur le milieu artistique et de l importance de la culture dans nos vies quotidiennes Je souhaite ainsi par cette critique apporter de nouveaux l ments de r flexion et encourager Loto Qu bec de continuer oser ses id es novatrices Dans le cadre de mon mandat je tiens reconna tre la grande contribution de Caroline Valli res conseill re au Service du d veloppement durable de Loto Qu bec dans mes r flexions sur la r alisation des portfolios Alors que je fouillais les moindres recoins du milieu culturel pour trouver des projets durables Caroline a toujours t pr sente pour orienter mes r flexions sur les besoins de Loto Qu bec et pour proposer des solutions tr s pertinentes aux probl mes r
10. 2013 Artist selection process resources guide 2013 n American for the arts Public art network Tools amp Resources Public art administrators Project management http www americansforthearts org sites default files pdf 2014 by_program networks_and co uncils public_art_network Artist 20Selection20Process 20Resource 20Guide 202013 dra t pdf Page consult e le 1 septembre 2014 Public Art South West 2008 Guidelines for commissioning and selecting artists and craftspeople In Public Art Online Resources Practical advices Commissioning http www publicartonline org uk resources practicaladvice commissioning guidelines php Page consult e le 25 ao t 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2009 Guide d application Politique d int gration des arts l architecture et l environnement des b timents et des sites gouvernementaux et publics n minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Secteurs d intervention Arts visuels architecte et m tiers d art Politique http www mec gouv qc ca fileadmin documents publications GuideApplicationlAA _ d pdf Page consult e le 17 juillet 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2010 Evaluation Politique d int gration des arts l architecture et l environnement des b timents et des sites gouvernementaux et publics Novembre 201
11. Depuis ses 40 ann es d existence dans la collectivit et tant membre de l Association des centres d exposition de l Abitibi T miscaminque le Centre d exposition a pr sent plus de 600 expositions notamment l v nement d envergure PassArt 2000 L institution mus ale propose plusieurs activit s culturelles Elle offre sa client le un programme ducatif combinant la visite anim e d une exposition et un atelier d exp rimentation artistique Ce programme se concentre sur la cr ation d une uvre d art et sur le jugement des produits culturels Le CERN collabore galement la r alisation de projets culturels dans les coles primaires et 49 secondaires dans le cadre du programme La culture pour tous propose enfin des v nements sp ciaux une visite masqu e l heure du conte dans le mus e une animation culturelle des expositions th matiques p ex le hockey des concours dans le cadre d v nements des conf rences des ateliers artistiques th matiques et des 5 7 Le CERN dispose de sa fondation pour assurer l acquisition des uvres d art de la collection permanente et pour offrir des bourses d tudes dans le domaine des arts Il vend des privil ges de membres sa client le pour financer ces activit s Ces privil ges sont l entr e libre toutes les activit s du CERN le rabais de 10 sur les produits culturels et le droit de vote l assembl e g n rale annuelle Une campagne de sollicitat
12. Publications CCNC Toolkits http www creativecity ca database files library Public_Art_Toolkit F pdf Page consult e le 11 mars 2014 Collins T M 2007 Art ecology and planning strategic concepts and creativity within the post industrial public realms Th se de doctorat University of Plymouth Plymouth Royaume Uni 324 p Colquhoun H 2005 Consultation in Public Art Practice In Public Art Online Resources Collaboration http www publicartonline org uk resources rescollaboration consultation php Page consult e le 6 septembre 2014 Commission de culture R seau mondial des Villes des Gouvernements locaux et r gionaux 2014 Crit res pour une bonne pratique n Commission de culture Bonnes pratiques Crit res http www agenda21culture net index php fr goodpractices fra criteria fra Page consult e le 14 ao t 2014 Conseil des arts de Saguenay 2013 Mandats n Conseil des arts de Saguenay http www conseildesartssaguenay com mandat php Page consult e le 28 juillet 2014 Corbo C Lacroix L et Lavigne M 2013 Rapport du groupe de travail sur l avenir mus al qu b cois entre m moire et devenir n minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Programmes et services Publications Octobre 2013 http www mcec gouv qc ca fileadmin documents consultation publique museologie Rapport reseau_museal pdf Page consult e le 20 juillet 2014 74 Cullihall K et Perr
13. Vous pouvez la contacter par courriel caroline vallieres loto quebec Qu bec ca De plus si vous avez des questions ou des commentaires au sujet de la d marche de consultation vous pouvez m appeler au 819 578 9854 ou me contacter par courriel jean francois ouellet2 usherbrooke ca Veuillez M Dominic Ferland recevoir mes sentiments les plus distingu s 94 Jean Fran ois Ouellet Candidat la ma trise en environnement Universit de Sherbrooke 1970 rue du Montagnais C 206 Sherbrooke Qu bec J1K 2X9 T l 819 578 9854 Courriel jean francois ouellet2 usherbrooke ca COURRIEL A2 2 Ann Janick L pine Agente professionnelle du d veloppement culturel Division de la culture de la Ville de Sherbrooke 191 rue du Palais C P 610 Sherbrooke QC J1H 5H9 T l 819 821 5438 Courriel ann janick lepine ville sherbrooke qc ca Mardi 28 f vrier 2014 Objet Demande d entretien pour le projet de legs pour la communaut de Collection Loto Qu bec Bonjour Mme Ann Janick L pine Pour son 35 anniversaire la Collection Loto Qu bec lance une nouvelle formule de diffusion appel e La Collection Loto Qu bec l art de partager afin de soutenir la cr ation qu b coise en arts visuels et de contribuer la diffusion de l art contemporain Dans le cadre de son nouveau programme de diffusion Loto Qu bec s est engag e laborer un projet de legs durable pour la communaut qui accueillera l expos
14. atives Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture 2011 La base de donn es de la Commission de la culture du R seau mondial des Villes des Gouvernements locaux et r gionaux 2014 expose les bonnes pratiques en mati re de culture et de d veloppement local durable Leurs crit res de s lection ont t l innovation la participation citoyenne la durabilit des impacts l efficacit de la pratique la transversalit de l approche ainsi que la reproductibilit de l exp rience L institution mus ale fran aise Cit des Sciences et Technologies a r alis un guide d coconception des expositions en partenariat avec un bureau d tudes sp cialis dans la prise en compte du d veloppement durable dans les d marches li es au patrimoine Institut de formation et de recherche en ducation l environnement 2010 Leur guide cible l int gration de l coconception dans la m thode de travail la limitation au recours la mati re pour un rendu de qualit quivalente la r utilisation et l adaptabilit des supports d exposition l int gration du choix cologique de mat riaux et de proc d s de fabrication le confort de la visite la gestion de l nergie la gestion des nuisances et des d chets dans le chantier de montage d montage de l exposition ainsi que la sensibilisation des publics aux probl matiques du d veloppement durable Monel et autres 2010 Au Qu bec l organisme
15. cier la durabilit d un projet Dans le cadre de l engagement de Loto Qu bec quelques crit res de durabilit de l outil sont inapplicables ou inutiles pour comparerles projets culturels durables d un portfolio 3 1 2 Trousse d valuation d xia Ltd La trousse d valuation d xia Ltd 2014 comporte une matrice des b n fices d un projet d art public et une valuation personnelle Cette trousse sert faciliter la discussion de groupe sur l laboration d un projet d art public La matrice fait un inventaire des th matiques d un projet d art public regroup es dans les valeurs artistiques sociales conomiques et environnementales Les parties prenantes d un projet d art public notent le niveau de priorit de chaque th matique Dans cette perspective l valuateur du projet peut s lectionner des indicateurs pertinents aux enjeux relev s par les parties prenantes L valuation individuelle pr sente une liste de questions ferm es et ouvertes sur l appr ciation des parties prenantes quant au processus de r alisation du projet d art public Cet outil d valuation permet de relever les perceptions et les pr occupations des participants dans le processus La trousse est r vis e chaque ann e par xia Ltd pour int grer les changements des programmes politiques du Royaume Uni D apr s la litt rature sur l art public elle a une importante notori t aux tats Unis et au Royaume Uni en mati re d valuation Gressel 2
16. de l Universit Sherbrooke QC J1K 2R1 T l 819 821 8000 p 62907 Courriel dominique ferland usherbrooke ca Vendredi 21 f vrier 2014 Objet Demande d entretien pour le projet de legs pour la communaut de Collection Loto Qu bec Bonjour M Dominic Ferland Pour son 35 anniversaire la Collection Loto Qu bec lance une nouvelle formule de diffusion appel e La Collection Loto Qu bec l art de partager afin de soutenir la cr ation qu b coise en arts visuels et de contribuer la diffusion de l art contemporain Dans le cadre de son nouveau programme de diffusion Loto Qu bec s est engag e laborer un projet de legs durable pour la communaut sherbrookoise qui accueillera l exposition th matique Territoires imagin s de la Collection Ce projet vise laisser une trace durable la suite du d part de l exposition qui r pond un besoin de la collectivit h te Il doit int grer l art l environnement et la collectivit avec une enveloppe budg taire s levant 10 000 tant responsable du projet de legs pour la communaut je suis en train de planifier une d marche de consultation avec le Centre culturel de l Universit de Sherbrooke et la Division de la culture de la municipalit de Sherbrooke afin de d terminer la nature du legs La pr sente requ te consiste valider avec vous les moments opportuns pour se rencontrer Voici trois dates en matin e que je vous sugg re 19 20 ou
17. et autres 2006 Ces lignes directrices permettraient de clarifier la port e de l engagement de Loto Qu bec et d informer les diffuseurs participants sur leur r le et leurs responsabilit s dans le processus Cet exercice r pondrait aux pr occupations des comit s locaux sur la clart de l engagement de Loto Qu bec section 2 6 La prochaine section comporte des pistes d am lioration afin de configurer le mod le de gestion 6 3 l ments de r vision du processus Les l ments de r vision du processus sont crits sous la forme de lignes directrices afin de standardiser le processus de l engagement de Loto Qu bec Selon la pr f rence de Loto Qu bec elles peuvent tre pr sent es sous la forme d un guide l intention des diffuseurs ou d un protocole pour le responsable du volet d un legs pour la communaut 6 3 1 Pr sentation de l engagement de Loto Qu bec Le legs pour la communaut est un volet du programme Collection Loto Qu bec l art de partager Un rappel de la mission de ce programme et de ses exigences permettrait de comprendre le contexte de l engagement et d encadrer les propositions d un legs pour la communaut des diffuseurs participants En ce sens les exigences minimales devraient comprendre les projets admissibles tableau 1 1 section 5 3 3 la s lection des artistes professionnels du Qu bec section 5 3 8 et la formation du comit local section 2 2 1 Le projet culturel durable devrait co
18. l aide de l information recueillie sur son site web Centre national d exposition de Saguenay 2007 Le CNE de Saguenay a le mandat de faire la promotion et de mettre en valeur des expositions des v nements et des activit s portant sur l art traditionnel moderne contemporain et actuel l histoire et la science Il remplit des fonctions de diffusion d ducation d action culturelle et de recherche Celui ci dispose de trois grandes salles d une capacit de 100 personnes r serv es aux expositions temporaires dans un difice d architecture moderne sur le Mont Jacob offrant une vue sur l arrondissement de Jonqui re Soci t des mus es qu b cois s d Centre culturel du Mont Jacob 2008 En 1979 le CNE a ouvert ses portes pour offrir une programmation compos e principalement d expositions en art contemporain en histoire et en sciences Il expose galement des expositions concours et des activit s populaires du Saguenay Les uvres expos es proviennent de projets r alis s par des artistes professionnels de collections de divers mus es et de projets en collaboration avec les organismes du milieu r gional Le CNE est un membre actif du R seau mus al et patrimonial du Saguenay Lac Saint Jean de la Soci t des mus es qu b cois et de l Association des mus es canadiens Il est g r par l Institut des arts au Saguenay un organisme but non lucratif si geant au conseil d administration L quipe professionnelle se
19. ou d un groupe form de sp cialistes du domaine de l art contemporain et de repr sentants des services d urbanisme et d am nagement urbain et du public Le comit examine les politiques et fait des recommandations il value les priorit s des programmes et il surveille le processus de travail afin de veiller au respect des normes des programmes Cole et autres 2010 gt Groupe de planification de secteur Ces groupes sont compos s de repr sentants d un secteur local ainsi que du personnel de conception et du personnel municipal qui participent un projet particulier Il peut s agir d une association officielle ou non officielle Ce groupe peut participer l laboration du plan artistique ou du cadre de r f rence l intention des artistes il peut avoir voix au processus de s lection et d acceptation et l appuyer Cole et autres 2010 Commission de la culture gt Une commission de la culture rassemble tous les groupes culturels issus des diff rentes disciplines artistiques relevant directement du conseil de niveau 3 ville Son mandat est de faire le suivi de la politique culturelle de la ville Daigle et Gauthier 2004 M diateurs gt Conservateur Un professionnel des arts visuels qui a une connaissance culturels de l art une formation sp cialis e dans le domaine et de l exp rience niveau 3 coordonner des expositions et tenir une collection Cole et autres 2010 gt Criti
20. placer dans un autre lieu Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 109
21. r d The practice of public art p 7 17 New York Routledge Cartiere C Shirley R et Willis S 2008 A timeline for the history of public art The United Kingdom and the United States of America 1900 2005 n Cartier C et Willis S r d The practice of public art p 231 246 New York Routledge Centre culturel de l Universit de Sherbrooke CCUS s d Accueil In Centre culturel de l Universit de Sherbrooke http www centrecultureludes ca billet spectacle index aspx Page consult e le 18 f vrier 2014 Centre culturel du Mont Jacob 2008 Le mont Jacob la perle de Jonqui re n Centre culturel du Mont Jacob Le mont Jacob http www montjacob com Le Mont Jacob le mont jacob html Page consult e le 15 avril 2014 Centre d cologie urbaine de Montr al 2013 Am nager des flots de fraicheur et am nager les espaces de vie n Centre d cologie urbaine de Montr al Documentation Guides techniques http www ecologieurbaine net documentation guide techniques documents Page consult e le 20 mai 2014 Centre de conservation du Qu bec 2013 Guide pour la conservation des uvres d art public n Centre de conservation du Qu bec Centre de ressources Conservation pr ventive http www ccq gouv ac ca fileadmin images guide_artpublic guide_VF pdf Page consult le 7 avril 2014 73 Centre d exposition de Rouyn Noranda CERN s d Accueil In Centre d exposition de Rouyn Noranda htt
22. s d et d velopp davantage en plusieurs objectifs dans la dimension culturelle de la grille d analyse de la Chaire d co conseil en l Universit du Qu bec Chicoutimi Villeneuve et autres 2014 R flexion sur un enjeu Les objectifs de l Agenda 21C du Qu bec abordent la culture comme un bassin de pratiques de savoir faire et de traditions qui contribuent au d veloppement durable Ce crit re traite du message port par le projet d art public en concordance avec les enjeux touchant la communaut Il est mentionn dans plusieurs autres outils d valuation Chrysalis Arts Ltd s d Monel et autres 2010 Il peut tre trait l aide de la grille d analyse de 22 th mes de d veloppement durable avec les pratiques des artistes internationaux Coalition pour l art et le d veloppement durable 2011 Plus le projet traite d un ou plusieurs enjeux de d veloppement durable de la communaut dans le produit final ou dans le processus plus ce crit re est respect Projet novateur et cr atif Ce crit re a t tabli dans la grille cause du principe de la cr ativit et de l innovation de l Agenda 21C En pratique il permet de relever les th matiques importantes pour le comit local sur la r alisation du legs Ceci correspond au processus d valuation d xia Ltd 2014 Le comit local peut donc affecter sur une pond ration de 9 l appr ciation de la perspective de d veloppement durable de leurs proposition
23. un cadre de gestion existant pour r aliser un projet d art public 1 Le premier mod le reprend la m me d marche de consultation des comit s locaux mais sans la r alisation d un portfolio de projets culturels durables La trousse d valuation d un projet d art public d xia Ltd 2014 et le canevas de projets tableau 2 2 sont utilis s pour d terminer la vision du projet et les objectifs qui en d coulent aupr s du comit local Un animateur dirige la consultation du comit local afin de traiter les points importants sur les projets admissibles et sur la gestion du projet Par la suite le diffuseur culturel propose un cadre de r f rence au jury ind pendant de Loto Qu bec compos d experts en arts visuels conservateur architecte artiste et en d veloppement durable ing nieur conseiller en d veloppement durable repr sentant du milieu communautaire Ce jury propose des suggestions pour am liorer l nonc de projet et ventuellement approuver l enveloppe budg taire au propri taire de projet Enfin Loto Qu bec d l gue la r alisation du legs pour la communaut et le processus de s lection son diffuseur dans le cadre d une entente sign e Elle s assure d un suivi aupr s du propri taire du projet sur les tapes de r alisation du projet et sur les objectifs d termin s par le comit local 2 Ce mod le s inspire des modalit s de la Politique d int gration des arts du Qu bec MCCCF 2009 Loto Qu bec
24. 000 pour organiser un concours de trois uvres d art ph m res d envergure et d environ 50 000 pour le r p ter l ann e suivante tableau 5 2 61 Tableau 5 2 Budget de la r alisation de l v nement Paysages ph m res regroupant trois uvres d art ph m res de grande envergure compil d apr s Drolet 2004 p 3 4 l ments du budget Montant Services d un conseiller professionnel animation des r unions du comit 10 000 15 000 d orientation r daction de la r glementation programmation du concours tenue du jury services de communication relatif la phase de concours Frais relatifs la gestion des communications et de la promotion de 5 000 10 000 l v nement Frais relatifs aux droits d auteurs lorsque sont expos es les propositions de 5 000 finalistes 10 500 chacun Frais relatifs la gestion de la r alisation et la recherche de financement 15 000 coordination plans et devis et obtention des permis Frais couvrant les mat riaux les services et les honoraires relatifs la 25 000 r alisation de trois uvres d importante envergure 8 000 chacun Total 50 000 70 000 La soci t d tat devrait faire un suivi du co t total engendr par le diffuseur pour la r alisation du legs pour la communaut et r viser l enveloppe budg taire au besoin De plus elle pourrait consulter ses experts de son programme d acquisitio
25. 000 n gatifs de 700 productions th trales pr sent es au Qu bec de 1954 1995 CCUS s d Pr s de 1 000 uvres d art sont expos es dans les trois campus de l Universit de Sherbrooke Bureau et autres 2012 Tr panier et Press 2012 Depuis 1964 la Galerie d art 35 pr sente des expositions en art contemporain et en art actuel Son auditoire de provenance r gionale Cantons de l Est et parar gionale s l ve annuellement 8 500 visiteurs pour environ 20 expositions Sa plus grande r ussite est l exposition de bandes dessin es et de tags peints sur les murs de la Galerie d art par dix artistes pendant dix jours devant plusieurs visiteurs lors des Jeux du Canada de l t 2013 Sherbrooke Cette exposition a attir pr s de 2 500 visiteurs dont plusieurs tudiants universitaires d ao t en octobre 2013 Tr panier et autres 2014 4 1 1 Composition du comit local Le comit local de Sherbrooke est exclusivement repr sent par l quipe de coordination du CCUS La Ville de Sherbrooke a d clin l invitation de participer au comit local pr f rant intervenir sur la mise en uvre du legs s il y avait lieu tableau 2 3 Toutefois l quipe de coordination estimait que l Universit de Sherbrooke dispose de ressources suffisantes et de l espace n cessaire pour mettre en uvre le projet Tr panier et autres 2014 La provenance du comit permet d avoir une vision approfondie sur les enjeux du milie
26. 2 1 Figure 2 3 Figure 3 1 Tableau 1 1 Tableau 2 1 Tableau 2 2 Tableau 2 3 Tableau 2 4 Tableau 3 1 Tableau 3 2 Tableau 3 3 Tableau 4 1 Tableau 4 2 Tableau 4 3 Tableau 4 4 Tableau 4 5 Tableau 4 6 Tableau 4 7 Tableau 5 1 Tableau 5 2 Typologie des uvres d art public bas e sur l architecture et sur le paysage 6 Principes des meilleures pratiques dans un engagement pour la communaut 8 Cartographie des parties prenantes dans une ville qu b coise 12 Sch ma de l application de la grille d analyse multicrit res dans le processus d cisionnel de l engagement de Loto Qu bec sssseessisserssriesrresriesriesrresresrre 26 Crit res d exclusion des projets durables 5 Description des attributs du mod le de priorisation des parties prenantes 10 Canevas de projets du portfolio de Loto Qu bec 15 Entretiens de la consultation du projet de legs pour la communaut 17 Bilan des pr occupations des participants l engagement de Loto Qu bec 18 Grille d analyse multicrit res inspir e de l Agenda 21 de la culture du Qu bec 26 chelle d valuation et de pointage de la grille d analyse multicrit res 30 Avantages et contraintes de la grille d analyse multicrit res 31 Caract ristiques d mographiques en 2011 des quatre r gions accueillant l exposition itin rante Territoires imagin s par les artistes de la Collection 33 Produits culturels of
27. 2013 by_program networks_and co uncils public_art_network PublicArtMonograph_JBecker pdf Page consult e le 17 juillet 2014 Bonneau M E Viand A Langlois P Miller F Bernard Montpetit C et Auclair G 2014 Vers des quartiers culturels durables Fasicule 1 Trousse d accompagnement pour le r seau Acc s culture destin e aux diffuseurs municipaux n Ville de Montr al Montr al m tropole culturelle D veloppement durable http ville montreal qc ca pls portal docs page culture_fr media documents Guide_quatierscul turel pdf Page consult e le 10 septembre 2014 Bowen F Newenham Kahindi A et Herremans 2008 Engaging the community a systematic review n Research Network for Business Sustainability Knowledge Stakeholder Engagement http nbs net wp content uploads NBS Systematic Review Community Engagement pdf Page consult e le 15 juillet 2014 72 Brault C 2010 Analyse des conditions de production d uvres en art public tude de cas de trois municipalit s du Qu bec M moire de ma trise Universit du Qu bec Montr al Montr al Qu bec 136 p Brochu S Kane J A Desjardins B Labont M Parisien J Simons P D et T trault J 2013 Vivement pour une culture philanthropique au Qu bec Rapport du Groupe de travail sur la philanthropie culturelle n Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Programmes et services Publications 2013 06 11
28. 21C est produite Elle permet de donner des lignes directrices sur les caract ristiques du legs pour la communaut tout en permettant de n gocier ses impacts souhait s avec le comit local Elle s applique n importe quelle tape du processus d engagement de Loto Qu bec et sur n importe quel projet d art public Les prochaines sous sections pr sentent la justification des composantes de la grille d analyse multicrit res bas e sur les tapes de la r alisation d une analyse multicrit res Department for Communities and Local Government 2009 Ces tapes consistent gt tablir le contexte d cisionnel et identifier les options de l analyse multicrit res gt Identifier les objectifs et les crit res qui refl tent la valeur associ e aux cons quences de chaque option gt Assigner une pond ration pour chacun des crit res qui refl te leur importance relative la d cision et agr ger les pointages de chaque option afin d appr cier les r sultats gt Conduire une analyse de sensibilit des r sultats de chaque option en modifiant le pointage ou la pond ration de leurs crit res d aide la d cision La derni re tape sera plut t trait e par une analyse de l ensemble des crit res d aide la d cision sur leur exhaustivit leur nombre leur redondance leur applicabilit leur ind pendance mutuelle et leur impact la d cision des options au long terme Department for Communities and Local
29. A1 1 Parties prenantes identifi es et leur d finition suite Parties prenantes D finition Collectivit gt Groupe peu structur de personnes qui ont quelque chose en commun niveau 2 que ce soit un int r t particulier ou le simple fait de vivre au m me endroit Cole et autres 2010 II peut repr senter les citoyens groupes ou individus les voisins les riverains les collectivit s locales les familles et les g n rations futures Turcotte et autres 2011 Les multiples collectivit s ou groupes de gens refl tent la diversit des perspectives et des ant c dents culturels qui forment notre contexte social Cole et autres 2010 Certains b n voles peuvent s engager gratuitement pour le projet d art public une cause qui devient la leur Alm ras et W ra 1998 Service de la gt Fonctionnaires municipaux qui g rent le service de la culture afin de culture de la Ville faciliter l acc s et la diffusion de produits culturels aux citoyens Ceux ci niveau 2 ont une expertise et une connaissance pouss e du milieu artistique Les petites municipalit s d l guent la comp tence de la culture au service de loisirs Les grandes Villes ont un service des arts et de la culture Ces derniers g rent les outils de soutien la culture gt Politique de reconnaissance des organismes culturels qui leur permettent d avoir acc s des locaux des quipements et du soutien technique de la Ville Construction et
30. Ces volets manquants proviennent probablement d un manque de connaissances du comit local sur les projets admissibles l engagement de Loto Qu bec et sur les d marches coresponsables En g n ral le temps de r flexion du comit local a t un facteur d terminant sur la qualit et le d tail de leurs propositions Les propositions ont t formul es sur de courts d lais afin d en s lectionner une seule dans le portfolio par un jury ind pendant Les propositions des comit s locaux taient pr sent es sous deux formes un appel aux artistes avec des lignes directrices sur le projet artistique ou la description d un projet artistique avec un artiste attitr La diff rence de ces formes est la quantit d information fournie par le comit sur la forme du legs et sur son emplacement L appel aux artistes donne un spectre d interpr tation plus large de la th matique du legs alors que la s lection d un artiste dans le canevas pr cise davantage la forme et la th matique du projet II demeure que le canevas de projets ne donne pas suffisamment d information sur le legs culturel durable pour en constituer un cadre de r f rence pour sa mise en oeuvre 53 5 CYCLE DE GESTION DE L ENGAGEMENT DE LOTO QU BEC Ce chapitre porte sur le cycle de gestion du legs pour la communaut de Loto Qu bec Tout d abord les trois derniers chapitres sont revus pour expliquer les r les et responsabilit s des parties prenantes du legs pour la
31. Cette uvre sera localis e sur un mur de la nouvelle Biblioth que municipale situ e sur une art re principale du centre ville de Jonqui re L artiste Jean Jules Soucy sera impliqu cause de ces uvres participatives partir de mat riaux r cup r s Les gens de la communaut d appartenance ou de fr quentation la Maison de Quartier pourront tre impliqu s dans le processus de cr ation et soutenir l artiste dans sa d marche artistique La Ville de Saguenay pourra galement former certains citoyens pour r aliser des visites guid es de la Murale coresponsable Le CNE pr voit lancer le projet au printemps 2015 avec un budget total de 13 000 Le comit propose aussi la cr ation d une Murale M moire une installation artistique dans une r sidence de troisi me ge Villa Jonqui re pour mat rialiser la m moire de ses r sidents L artiste mergente M lissa Lavoie sera impliqu e dans ce projet cause de ses uvres et de sa d marche artistique traitant de la th matique du souvenir et du passage du temps Celle ci accompagnera les r sidents de Villa Jonqui re pour la collecte de leurs artefacts photographies souvenirs crits objets documents divers etc Des captations vid o t moigneront des diff rentes tapes de la r alisation de la murale elles seront int gr es proximit de l uvre participative Une photographe prendra des clich s des r sidents et de l artiste l uvre afin d offrir une
32. Loto Qu bec pourrait faire un suivi informel de la mise en uvre du projet de legs aupr s de son partenaire d affaires L approbation finale conclurait l entente entre Loto Qu bec et le propri taire par une valuation de la d marche du legs pour la communaut Le retour du processus permet de relater les facteurs de r ussite et les d fis du legs pour la communaut dans une perspective d am lioration continue 5 3 Facteurs d terminantsd un projet d art public tant sa premi re exp rience du suivi du legs pour la communaut Loto Qu bec doit comprendre les facteurs d terminants de la r ussite d un projet d art public La Politique 56 d int gration des arts l architecture et l environnement des b timents et des sites gouvernementaux et publics rassemble pr s de 50 ann es d expertise sur la r alisation de plus de 3 000 uvres d art public et elle participe la m me finalit de d mocratisation de l art contemporain que le programme Collection Loto Qu bec l art de partager MCCCF 2013a partir d un budget de la construction d un immeuble le promoteur assujetti la Politique d int gration des arts doit r aliser une acquisition d une uvre d art d j r alis e par un artiste ou pr parer une commission pour int grer une nouvelle uvre d art dans l immeuble MCCCF 2009 Le rapport valuation de la politique est pris comme point de r f rence pour identifier les facteurs d terminants dans
33. Noranda 2010 Ce patrimoine est maintenant valoris l aide de plusieurs comit s et des outils d information sur les b timents patrimoniaux et sur les circuits touristiques Ville de Rouyn Noranda 2012a 48 La Ville de Rouyn Noranda poss de les comp tences d une ville et d une municipalit r gionale de comt sur ses 22 quartiers Dans le domaine r cr otouristique la Ville de Rouyn Noranda se surpasse dans les cinq axes suivants l aventure et le plein air la motoneige et le quad les s jours estivaux les v nements et les festivals ainsi que les r unions et les congr s Elle se donne galement une vocation culturelle et de Cit tudiante pour bonifier son offre de tourisme culturel Ville de Rouyn Noranda 2010 Par exemple quelques v nements culturels sont annuellement organis s pour la population tels que le Festival du cin ma international en Abitibi T miscamingue la F te d Hiver Osisko en lumi re le Festival de musique mergente les Journ es de la culture etc Ville de Rouyn Noranda 2010 Ville de Rouyn Noranda 2012a Gr ce au concours Capitale culturelle du Canada la Ville de Rouyn Noranda a eu un financement d un million de dollars pour r aliser 25 projets locaux impliquant environ 200 artistes professionnels ou amateurs 65 travailleurs culturels ou communautaires 30 organismes et plus de 150 b n voles entre 2012 et 2014 Elle renouvelle ce souffle en participant la d marche r gio
34. Saguenay 2011 46 Les propositions du comit local tentent de bonifier la valeur intrins que du CNE sur le public qu il rejoint Chacune d elles r pond diff rents enjeux de la communaut L option pr f r e du comit local et de Loto Qu bec demeure le projet qui r pond l enjeu du clivage interg n rationnel C est un enjeu rejoignant tous les membres du comit 4 3 3 valuation des propositions formul es Gu rin et autres 2014 ont formul les propositions suivantes 1 Le comit local propose la cr ation d un espace terrasse constitu e de cinq tables rondes et 20 chaises avec une touche artistique marquant le territoire Un artiste et un architecte seront impliqu s dans le processus de cr ation appuy par des tudiants des centres de formation professionnelle Ce mobilier urbain sera fait de mat riaux locaux et durables aluminium bois et ciment pr fabriqu Des panneaux d interpr tation seront galement r alis s pour tracer les uvres d art qui se retrouvent sur le mont Jacob et les sentiers p destres Ce projet permettra de doter le CNE et les locataires du Centre culturel du Mont Jacob d un mobilier pour les activit s socioculturelles ext rieures Le CNE pr voit lancer ce projet en f vrier 2015 avec un budget total de 15 000 Il sugg re galement la cr ation d une Murale coresponsable compos e d l ments r cup r s devant recouvrir un mur ext rieur de la Maison de Quartier
35. a t r alis e pour chaque r gion participante de Collection Loto Qu bec l art de partager Les villes s lectionn es pour l engagement partagent des caract ristiques d mographiques relativement semblables au tableau 4 1 En effet la distribution d ges des habitants de ces r gions montre des signes de vieillissement de la collectivit Les femmes g es de 65 ans et plus deviennent un groupe vuln rable relativement important Les r gions sont pratiquement toutes des communaut s francophones mais la Ville de Sherbrooke comporte d autres communaut s culturelles visibles Par cons quent une attention particuli re devrait tre port e sur le respect de la diversit culturelle de Sherbrooke Les villes de Saguenay et de Rouyn Noranda ont un faible accroissement de la population et une tendue de territoire plus important pour la population qu elles desservent En d autres mots il y a moins de places strat giques pour implanter un projet culturel durable la vue du plus grand nombre d habitants Tableau 4 1 Caract ristiques d mographiques en 2011 des quatre r gions accueillant l exposition itin raire Territoires imagin s par les artistes de la Collection compil d apr s Statistique Canada 2012a Statistique Canada 2012b Statistique Canada 2012c Statistique Canada 2012d Caract ristiques d mographiques Sherbrooke St J r me Saguenay Rouyn Norand
36. b n ficiaires du projet durable sont la communaut locale et le partenaire culturel accueillant une exposition th matique itin rante Ce mod le se base principalement sur la perception du gestionnaire l gard de la relation de son organisation par rapport ses parties prenantes sur une typologie Mitchell et autre 1997 Mainardes et autres 2011 Ses limites sont l absence de pond ration une d finition g n rale deses trois attributs son analyse centr e sur l organisation et le caract re suggestif de la 10 priorisation des parties prenantes Gagn Colombo 2013 Or ces limites peuvent tre compens es par une identification rigoureuse des parties prenantes et par une analyse des risques reli e la strat gie de consultation 2 2 1 Identification des parties prenantes L identification des parties prenantes s est r alis e en deux tapes D une part les crit res d exclusion des formulaires des commandites de Loto Qu bec section 1 3 ont t consult s pour d finir les parties prenantes exclure de la consultation Celles ci sont list esci dessous Les individus quipes associations et organisations dans le domaine du sport Les individus g s de moins de 18 ans Les groupes religieux et les associations de nature politique Les organisations dans le domaine des m dias VNVYN NV VY Les parties prenantes l ext rieur des limites de la ville h te D autre part les intervenan
37. cadre de r f rence du diffuseur D autre part elle devrait choisir l un des deux m canismes d valuation sur la durabilit du legs pour la communaut identifi s dans le chapitre 3 Le m canisme s lectionn devrait tre utilis tout au long du processus de cr ation du livrable examiner et faire l objet d une validation aupr s des d partements concern sde Loto Qu bec section 3 2 4 68 gt Le premier m canisme consiste valuer la proposition d un legs pour la communaut partir de lignes directrices de bonnes pratiques en art public Ce m canisme est utilis l aide de la grille multicrit res tableau 3 1 pour appr cier la durabilit des propositions de legs Ses avantages et inconv nients sont constat s dans le tableau 3 3 Dans le cas de l valuation d une proposition conceptuelle le m canisme devrait tre formul par des crit res de d veloppement durable dans le cadre de r f rence du projet Ceux ci pourraient tre inspir s des lignes directrices de la grille d analyse multicrit res tableau 3 1 et de l outil de Chrysalis Arts Ltd s d gt Le second m canisme correspond une n gociation des objectifs poursuivis aupr s du diffuseur de Loto Qu bec afin d envisager des crit res de performance dans la commission cet effet la trousse d xia Ltd 2014 constituerait le meilleur outil pour faciliter la conversation sur les objectifs du legs aupr s du comit de pilotage Elle peut exclu
38. comit local de l g rement influencer le pointage de la grille en mettant leurs propositions en ordre de pr f rence selon leurs crit res de s lection du m rite artistique que l outil d valuation de Chrysalis Arts Ltd prend en compte R p ter les effets de l am lioration de la qualit de vie des habitants dans plusieurs crit res d aide la d cision cause de leur interd pendance mutuelle Attribuer une plus grande pond ration au volet social du projet qu son volet environnemental Centraliser l valuation sur les propositions du comit local auxquels leurs effets anticip s peuvent tre oubli s n glig s ou omis Justifier le pointage donn par des commentaires cause de la formulation vague des d finitions de chaque crit re d aide la d cision Faire valider la grille d analyse multicrit res par responsables du programme Collection Loto Qu bec l art de partager Divulguer les crit res de performance que le jury utilise pour valuer les propositions de legs pour la communaut En l absence d information sur l application de la grille d analyse multicrit res par le jury il est difficile de tirer des conclusions sur le processus d valuation Une certaine attention devrait tre 31 port e sur la divulgation transparente et d mocratique des crit res d valuation des propositions du comit local Il vaudrait mieux cr er un outil communicationnel pour travailler sur la q
39. communaut Par la suite le suivi d approbation entre Loto Qu bec et son diffuseur culturel est expliqu Enfin les facteurs d terminants d une commission d un projet d art public sont compil s partir de la Politique d int gration des arts du Qu bec 5 1 R le et responsabilit s des parties prenantes Loto Qu bec devrait ajuster ses activit s et sa planification de son engagement par rapport la mission de son programme d acquisition et de diffusion d uvres d art Cole et autres 2010 Son engagement correspond ainsi la r alisation d un legs culturel durable pour renforcer la valeur intrins que du diffuseur participant l exposition th matique de Collection Loto Qu bec l art de partager et pour laisser une trace de la collection la communaut qu b coise Loto Qu bec et ses filiales 2014b Le tableau 5 1 pr sente les responsabilit s de chaque partie prenante pour la mise en uvre du projet culturel durable telles qu observ es en 2014 Loto Qu bec a un r le d agence commanditaire aupr s du diffuseur de sa collection Elle consulte son partenaire d affaires pour pr ciser la forme que prendra le legs pour la communaut Cette forme de n gociation permet d accorder une libert d expression au diffuseur et de conserver la vision de Loto Qu bec sur son engagement Tableau 5 1 Responsabilit s de chaque partie prenante dans la r alisation d un legs pour la communaut Partie prenante Responsab
40. des m diums traditionnels et non traditionnels pour communiquer et interagir avec le public sur les enjeux qui le touchent directement L artiste est vu comme tant un exp rimentateur un reporteur un analyste et un activiste pour r aliser des projets en collaboration avec la communaut Ceux ci visent am liorer la qualit de vie des citoyens dans l espace public Cartiere 2003 Dezaho et Smith 2014 Le volet environnemental merge par le mouvement de l art cologique en 1965 et ses manifestations se multiplient avec le mouvement de l art public nouveau genre Ramade 2007 Vaste domaine de pratiques interdisciplinaires centr es sur la m thodologie et sur les id ologies l art cologique vise restaurer prot ger et pr server la nature et cette fin agir en m diateur dans les relations entre les tres humains et la nature tir e de Carruther 2006 p 3 Les artistes cologiques manipulent les m taphores les symboles et les narrations de la nature dans une interface culturelle afin de changer les perceptions de l humain sur la valeur intrins que de la nature traduction libre de Collins 2007 p 112 Ces derniers utilisent l art public pour conscientiser le public et pour encourager des comportements responsables sur les enjeux environnementaux Potter 2009 Au Qu bec le MCCCF s est dot de la Politique d int gration des arts l architecture et l environnement des b timen
41. e le 4 d cembre 2013 Loto Qu bec 2012 Offrir le meilleur de nous m mes Bilan de responsabilit soci tale de Loto Qu bec 2012 In Loto Qu bec La soci t Centre de documentation http lotoquebec com cms dms Corporatif fr la societe documentation centre de documentation bilan responsabilite societale_2012 pdf Page consult e le 27 avril 2014 Loto Qu bec 2013a Formulaire d une commandite soci tale 1n SPONSORIUM https lotoqc es sponsor com lang fr Page consult e le 17 mars 2014 Loto Qu bec 2013b Crit res d admissibilit des artistes n Loto Qu bec et ses filiales Collectivit et commandites Les entr es en sc ne Loto Qu bec http lotoquebec com cms dms Corporatif fr responsabilite entreprise collectivite commandites entrees en scene criteres criteres_ admissibilite_artistes pdf Page consult e le 17 mars 2014 Loto Qu bec 2014 Loto Qu bec Rapport annuel 2014 In Loto Qu bec La soci t Centre de documentation http lotoquebec com cms dms Corporatif fr la societe rapport annuel Rapport_Annuel_2014 FR Rapport_annuel_2014_FR pdf Page consult e le 16 juillet 2014 Loto Qu bec et ses filiales 2013a Plan d action de d veloppement durable 2013 2015 n Loto Qu bec et ses filiales Responsabilit d entreprise D veloppement durable http lotoquebec com cms dms Corporatif fr responsabilite entreprise developpement durable politique plan action plan action developpement d
42. et touristique de la Ville de Saint J r me gt Chantal Paquin responsable de la Division de la culture et des biblioth ques de la Ville de Saint J r me Centre 28 avril gt Manon Gu rin directrice du Centre national d exposition de d exposition 2014 Saguenay personne ressource national de gt Lise Gauthier pr sidente de l Institut des Arts et membre du Saguenay Conseil d administration du Centre national d exposition de Saguenay Ville de gt Nancy Savard conseill re Arts et culture et charg e de la Saguenay collection d art public de la Ville de Saguenay personne ressource gt Josiane Bonneau Dumouchel candidate la ma trise en intervention r gionale de l Universit du Qu bec Chicoutimi Centre 30 avril gt Jean Jacques Lachapelle directeur du centre d exposition de d exposition de 2014 Rouyn Noranda personne ressource Rouyn gt Lise Paquet coordonnatrice administrative services Noranda communautaires et de proximit de la Ville de Rouyn Noranda personne ressource Ville de gt Violaine Lafortune directrice division de l am nagement du Rouyn territoire de la Ville de Rouyn Noranda Noranda gt Marie Eve Germain Poir conseill re en urbanisme division de l am nagement du territoire de la Ville de Rouyn Noranda gt Annie B langer coordonnatrice en tourisme de la Ville de Rouyn Noranda gt Denise Lavall e coordonnatrice Ville et village en sant de la Ville de Rouyn Noranda gt Guy Parent
43. et d hygi ne de signalisation routi re d amusement etc Il doit tre solide durable sur l ordre d une d cennie r sistant aux accidents et aux actes de vandalisme facile r parer et entretenir Carmona 1985 Son caract re participatif peut tre dans sa forme pour favoriser les activit s de loisirs les activit s physiques ou l adoption de comportements b n fiques sur le milieu Il peut galement tre l implication citoyenne dans la cr ation du mobilier Les propositions de l installation artistique et du mobilier urbain participatif ont re u le m me pointage sur leur perspective de d veloppement durable tableau 4 5 Comme les projets changent seulement sur leur forme les r sultats de l valuation sont assez semblables pour chacune des propositions Celles ci abordent un volet social tr s important l implication communautaire les effets rassembleurs la valorisation du site le renforcement de l identit culturelle des habitants la r flexion sur un enjeu social etc Tableau 4 5 valuation des propositions du comit local de Saint J r me Crit res de durabilit Projet 1 Projet 2 Projet 3 Identit et diversit culturelle 4 4 4 R flexion sur un enjeu 3 3 3 Projet novateur et cr atif 4 3 3 Implication communautaire 4 4 4 D marche coresponsable 1 2 1 Effets rassembleurs 4 4 4 Valeur partag e pour la collectivit 3 2 4 V
44. financiers pour leur mise en uvre et leur publicit Ce mod le est utilis lorsqu un gros budget en partie financ par le public est disponible pour le projet artistique Il pr s lectionne trois six artistes pour des interviews sur l occasion artistique ou deux trois artistes pour des propositions conceptuelles Cole et autres 2010 Le concours sur invitation est issu de la recherche effectu e par un professionnel dans le domaine de l art ou d une liste existante d artistes dans les municipalit s les municipalit s r gionales de comt ou les conseils r gionaux de culture Lizotte et autres 2006 Il consiste dresser une liste restreinte d artistes partir de plusieurs crit res de qualification habilet s sp cifiques exp rience d limitation g ographique etc Le comit de s lection fait le choix des artistes qui ont achemin une d claration d int r t crite ainsi qu une documentation faisant tat des uvres d art pertinentes Ce mod le est utilis sur des projets petit budget ou sur une commission o des crit res de qualifications des artistes sont n cessaires Il permet comme le concours public de pr s lectionner les artistes pour r aliser des propositions conceptuelles Les artistes sont plus enclins r pondre de fa ons plus labor es aux objectifs du projet car leurs r alisations pr c dentes et leur expertise ont t reconnues par le jury Cole et autres 2010 La s lection d te
45. gestion d infrastructure culturelles Programme de soutien aux activit s des organismes culturels salles de spectacles mus es galeries centres multifonctionnels etc Programme de d veloppement d ateliers d artistes Prix d excellence et bourses de m rite Mesures incitatives pour soutenir le d veloppement de la participation citoyenne m diation culturelle et tarification cibl e Daigle et Gauthier 2004 VVYNNVY NY Organismes gt Producteurs d uvres originales diffuseurs d uvres ou de spectacles culturels installation de production et lieu de pr sentation Les organisations niveau 2 peuvent r aliser leurs activit s dans les arts professionnels et communautaires le patrimoine les loisirs et le tourisme Stewart et autres 2010 Les organismes culturels peuvent tre priv s mus es priv s th tres orchestres galeries d art etc Ils peuvent tre galement publics les Conservatoires les Mus es les Biblioth ques et les Centres culturels Alm ras et W ra 1998 89 Tableau A1 1 Parties prenantes identifi es et leur d finition suite Parties prenantes D finition Experts en art gt Une quipe compos e d architectes d ing nieurs et ou de sp cialistes public techniques qui proc de un examen technique d une proposition niveau 2 conceptuelle afin d valuer la faisabilit technique d une uvre d art Cole et autres 2010 gt Architecte et archi
46. guide pour la conservation des uvres d art public Centre de conservation du Qu bec 2013 et d autres pertinentes sources d information 16 Tableau 2 3 Entretiens de la consultation du projet de legs la communaut Entretien Date Participants Centre culturel 31 mars gt Dominic Ferland service de la culture du Centre culturel de de l Universit 2014 l Universit de Sherbrooke personne ressource de Sherbrooke gt Mario Tr panier directeur du Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Ville de gt Suzanne Press coordonnatrice des expositions et de Sherbrooke l animation du Centre culturel de l Universit de Sherbrooke gt Alain Webster vice recteur du d veloppement durable et des relations gouvernementales de l Universit de Sherbrooke Mus e d art 27 mars gt Andr e Matte conservatrice du Mus e d art contemporain des contemporain 2014 Laurentides personne ressource des gt Christelle Renoux m diatrice culturelle du Mus e d art Laurentides contemporain des Laurentides gt Andr Marion conseiller municipal et pr sident de la Ville de Saint commission des affaires culturelles de la Ville de Saint J r me J r me ancien directeur du Mus e d art contemporain des Laurentides gt M lanie Gosselin directrice du Conseil de la culture des Laurentides et charg e du bureau touristique de la Ville de Saint J r me gt Julie Tourangeau coordonnatrice du d veloppement culturel
47. l art et le d veloppement durable voir bibliographie Un jury compos de sp cialistes en arts visuels d experts en d veloppement durable et d un repr sentant du diffuseur s lectionne une r alisation artistique dans la r gion administrative de l exposition itin raire th matique et il remet un prix au candidat gagnant Le prix du concours devrait tre valid par Loto Qu bec par l entremise d une entente Cette id e r pond un besoin de documenter les pratiques artistiques en d veloppement durable et de valoriser les artistes contemporains impliqu s sur les questions environnementales au Qu bec Bien qu il y ait des concours sur l implication culturelle des membres de Les Arts et la Ville Les Arts et la Ville 2014 aucun ne s applique sur les pratiques artistiques conjuguant l environnement et la communaut Le legs pour la communaut pourrait alors devenir une opportunit aux diffuseurs de Loto Qu bec d encourager l implication des artistes r gionaux sur les enjeux du d veloppement durableet de diffuser leurs r alisations au public Chaque mod le de gestion n cessite une planification de la part du Service de l engagement social de Loto Qu bec afin de valider un processus efficace et les ressources internes qui seront attribu es l engagement Le processus pourrait tre d crit sous la forme de lignes directrices 65 comme chez les agences commanditaires locales aux tats Unis et au Canada Miller s d Lizotte
48. la Politique d int gration des arts ce qu il a t envisag pour le legs pour la communaut en 2014 5 10 repr sentants Dans le processus Loto Qu bec a t le responsable de l animation de la r union du comit local mais la gestion du projet relevait de son diffuseur Tout d pendant du mod le de gestion envisag il est propos de limiter le comit de pilotage de trois cinq repr sentants dont le pr sident est le repr sentant du diffuseur culturel Le comit doit au moins se composer d un repr sentant du diffuseur d un sp cialiste r gional dans le milieu artistique conservateur architecte consultant en art public artiste ou fonctionnaire municipal du service de la culture et d un usager du projet organisme culturel associ repr sentant de la communaut touch e ou expert dans le milieu communautaire D autres parties int ress es consultant en d veloppement durable peuvent s ajouter au choix du diffuseur mais la gestion du projet peut devenir plus ardue du c t de la logistique des rencontres 6 3 3 Logistique des rencontres L annexe 5 pr sente un d lai de quelques mois pour construire un cadre de r f rence ce titre le temps investi dans la formulation de la proposition de legs a t un facteur important sa qualit section 4 5 Il est fortement recommand de construire un ch ancier sur les t ches r aliser entre le diffuseur participant et Loto Qu bec dans le cadre de l engag
49. labor de concert avec l Universit de Sherbrooke et des collaborateurs locaux dans chaque r gion qui accueillera une exposition itin rante de la Collection Ce projet vise laisser une trace la suite du d part de l exposition Il s agit d un projet int gr qui marie l art l environnement et la collectivit Loto Qu bec et ses filiales 2014a En accord avec la mission de Collection Loto Qu bec l art de partager le legs pour la communaut doit principalement d mocratiser l art pour la communaut o ses principaux b n ficiaires sont les diffuseurs culturels accueillant une exposition itin rante de la collection La d mocratisation de l art a pour objectif de favoriser l acc s aux oeuvres d art pour le plus grand nombre et de soutenir la cr ation artistique contemporaine Fourcade 2014 Par cons quent le legs pour la communaut r f re un projet artistique qui int gre les volets environnemental et communautaire Pour l ann e 2014 le Centre culturel de l Universit de Sherbrooke CCUS le Mus e d art contemporain des Laurentides Saint J r me MACL le Centre national d exposition de Saguenay CNE et le Centre d exposition de Rouyn Noranda CERN sont les premiers partenaires participer l engagement Loto Qu bec et ses filiales 2014a D apr s la citation un mod le de collaboration doit tre organis pour r aliser le legs avec les diffuseurs Les composantes d un portfolio doivent tre qu
50. les Arts et la Ville pr sente des initiatives culturelles exemplaires des citoyens et des municipalit s Par son concours d am nagement elle s lectionne les am nagements dans l espace public selon leur qualit esth tique leur r ussite de leur int gration au contexte environnant leur originalit leur travail multidisciplinaire et leur ad quation aux besoins du milieu Les Arts et la Ville 2014 23 3 2 Construction de la grille d analyse multicrit res La s rie de grilles d analyse montre que les crit res d aide la d cision retenus pour l valuation d un projet d pendent largement du contexte d cisionnel On peut faire une analogie de ce portrait avec la diversit des programmes d art public aux tats Unis et au Canada Les projets d art public sont valu s l aide d un ensemble de crit res refl tant les objectifs du programme Toutefois les programmes d art public ont diff rentes d finitions de projets artistiques admissibles et diff rents objectifs r pondant aux besoins de la collectivit Les crit res de s lection diff rent alors consid rablement entre ces programmes Becker 2004 Dezaho et Smith 2014 Lizotte et autres 2006 Cole et autres 2010 Pour l engagement de Loto Qu bec la grille d analyse multicrit res doit engager les comit s locaux proposer un projet d art public dans une perspective de d veloppement durable Pour cela une grille d analyse multicrit res inspir e de l Agenda
51. les parties prenantes importantes pour le projet d art public sur la sc ne municipale Pour une meilleure compr hension du d veloppement culturel d une ville il est propos de lire le bilan de la politique culturelle de la Ville de Sherbrooke Ville de Sherbrooke 2013 Ce bilan brosse un portrait exhaustif des parties prenantes impliqu es dans diff rentes initiatives culturelles du territoire Tableau A1 1 Parties prenantes identifi es et leur d finition compil d apr s Turcotte et autres 2011 p 126 127 Union des municipalit s du Qu bec 2014 p 12 15 31 35 Centre de conservation du Qu bec 2013 p 24 31 Cole et autres 2010 p 54 55 Daigle et Gauthier 2004 p 15 Alm ras et W ra 1998 p 12 13 Stewart et autres 2010 p 77 Parties prenantes D finition Partenaire culturel gt Centre culture de l Universit de Sherbrooke de Loto Qu bec gt Mus e d art contemporain des Laurentides Saint J r me niveau 1 gt Centre d exposition de Rouyn Noranda gt Centre national d exposition Saguenay gt Groupes Les parties prenantes qui repr sentent les enfants les femmes les vuln rables autochtones les minorit s ethniques les minorit s religieuses les niveau 2 personnes handicap es les patients et malades les personnes g es les personnes d plac es les personnes illettr es les immigrants et les prisonniers Turcotte et autres 2011 88 Tableau
52. leur contexte d origine comme moyens d optimiser le processus de l engagement de Loto Qu bec dans une perspective d am lioration continue L essai donnera des pistes de r flexion plut t qu un outil cl en main pour r aliser l engagement 2 PROCESSUS DE CONSULTATION Le processus de coproductiondes portfolios constitue le c ur de la d marche d engagement de Loto Qu bec Pour ce faire les principes directeurs de Bowen et autres 2010 vont tre suivis Ces auteurs ont r alis une synth se de principes recueillis de cinq guides sur les meilleures pratiques d un engagement pour la communaut la figure 2 1 Les principes ont t retenus la suite d un filtrage de soixante cinq principes de cinq ouvrages s lectionn s Les principes retenus devaient tre vus dans au moins trois ouvrages sur les cinq consult s Les chiffres en parenth se noncent les r f rences des ouvrages consult s Le processus de coproduction tente de respecter ces principes de planification et de processus d engagement Ne faisant pas partie du mandat de Loto Qu bec la phase des apprentissages sur le postengagement n est pas trait e dans l essai ENGAGEMENT PROCESS PRE ENGAGEMENT PLANNING POST ENGAGEMENT Use fit for purpose LEARNING engagement techniques 1 2 4 5 Understand purpose of engagement amp desired outcomes 1 2 3 Identify amp prioritize who to engage with 1 2 4 5 Understand community concerns amp identify
53. participants d un legs pour la communaut ont manifest un enthousiasme de participer un projet pour leur communaut et ils ont sembl satisfaits de leur exp rience sur la consultation L examen de la grille d analyse multicrit res a approfondi les avantages et les contraintes de son application sur les propositions des diffuseurs L outil fait un examen des propositions par rapport aux pr occupations de la population qu b coise sur le r le de la culture dans le d veloppement durable Il est applicable dans une commission d un projet d art public mais ses crit res d aide la d cision sont des th matiques g n rales L valuation des projets culturels durables devient donc suggestive au regard du jury Ces crit res devraient tre reformul s pour refl ter davantage les valeurs de Loto Qu bec sur son engagement L analyse des portfolios de Loto Qu bec et du cycle de gestion a permis de d terminer des l ments clarifier aupr s des comit s locaux D une part le volet environnemental d un projet artistique n est pas bien ma tris par certains comit s locaux D autre part les exigences minimales de Loto Qu bec ne sont pas connues des comit s locaux notamment les candidatures admissibles dans l appel d artistes les caract ristiques du projet dur e de vie envergure forme d marche de d veloppement durable etc et le r alisme du budget Enfin le cadre de suivi du legs pour la communaut n a pas t exp
54. pour l uvre d art valuation du projet VVYNVYNINNIN Y L agence commanditaire demande aux artistes de faire parvenir leur qualification qui sera valu e par un jury de s lection Cette derni re pr s lectionne les artistes sur leurs uvres pr c dentes leur d marche artistique leur exp rience et leurs qualifications Lizotte et autres 2010 p 12 Le choix d un processus de s lection pertinent l expertise des membres d un comit de s lection et la qualit du cadre de r f rence ont une incidence directe sur l uvre d art qui en d coule ainsi que sur la r ussite du projet Cole et autres 2010 p 41 104 Dans les propositions de legs pour la communaut les diffuseurs culturels de Loto Qu bec ont mentionn leur intention de r aliser un appel d artistes mais ceux ci ont retenu cinq diff rents processus de s lection L num ration suivante explique chaque mod le d appel de candidatures avec leurs forces et leurs contraintes gt Le concours public favorise une gamme largie d artistes partir de crit res d admissibilit bien pr cis expertise exp rience etc II est de nature d mocratique et il peut inciter des artistes plus jeunes ou ceux qui d butent dans le domaine de l art public s y inscrire dans la mesure o les param tres du projet sont bien d finis Toutefois les concours publics n cessitent beaucoup de ressources humaines de temps et de ressources
55. pressing issues 1 4 5 Allocate sufficient time resources skills amp staff capacity 1 2 4 5 Work with others to avoid duplication 1 2 4 Aim to be inclusive 1 2 3 5 Aim for mutual benefit 3 4 5 Communicate purpose 1 3 4 5 and boundaries 1 3 4 of engagement early Communicate candidly effectively openly honestly 1 2 3 4 5 Share evidence based knowledge amp information 1 2 3 Record amp document the process 1 3 4 5 Provide and encourage feedback 1 2 5 Monitor amp evaluate process 1 2 4 m f for learning amp outcomes Report to stakeholders on outcomes of engagement 1 2 3 4 5 Report to own organization on process for staff engagement 1 2 3 4 5 Share successes and failures with other businesses 1 2 4 Figure 2 1 Principes des meilleures pratiques dans un engagement pour la communaut tir e de Bowen et autres 2008 p 24 Premi rement la pr paration de l engagement n cessite une bonne compr hension du mandat figure 2 1 Comme mentionn dans le chapitre 1 le processus vise ressortir au moins trois propositions de legs pour la communaut conjuguant l art l environnement et la collectivit dans la r gion participante Alors une consultation d un comit local est entreprise pour jeter les bases du legs pour la communaut Celle ci permet de comprendre les points de vue et les pr occupations des intervenant
56. public de la Ville de Saguenay et une tudiante en intervention r gionale de l Universit de Qu bec Chicoutimi La derni re membre a fait un travail au niveau communautaire et social dans le quartier de Jonqui re Par cons quent la composition du comit permet d avoir une vision largie sur les enjeux sociaux de l arrondissement de Jonqui re et de prendre en compte les enjeux organisationnels du CNE Le comit s est rencontr plusieurs fois pour pr senter trois projets de legs pour la communaut la consultation Le CNE et la Ville de Saguenay s occuperont respectivement de la gestion du projet et de la m diation culturelle des trois propositions 4 3 2 Orientations du legs pour la communaut Gu rin et autres 2014 souhaitent d mocratiser l art et en faire b n ficier un large public Le comit s entend pour que le projet profite la communaut et qu il aide cr er un dialogue entre les r sidents Il a identifi plusieurs enjeux propres la communaut selon la perception du CNE gt La client le du CNE est compos e de groupes scolaires des centres de la petite enfance l universit Toutefois la principale client le est les personnes g es de 40 80 ans pour la plupart des femmes retrait es Celles ci forment un groupe vuln rable qui ne conna t pas n cessairement les services du CNE Le d fi du CNE consiste donc faire conna tre l offre culturelle du CNE aux vieilles personnes et fid
57. sente un programme d acquisition et de diffusion de la soci t d tat qui rassemble plus de 4 600 uvres d arts visuels r alis es par quelque 1 200 artistes qu b cois Elle vise encourager la cr ation en art visuel contemporain et participer au rayonnement des artistes qu b cois Seulement en 2013 Loto Qu bec fait l acquisition d environ 200 nouvelles oeuvres la hauteur de 0 01 de ses revenus bruts soit une somme de 367 000 Loto Qu bec et ses filiales 2014a Loto Qu bec 2014 Dans le cadre de son plan d action de d veloppement durable Loto Qu bec a lanc son nouveau programme intitul Collection Loto Qu bec l art de partager afin d am liorer et de poursuivre ses activit s culturelles dans les prochaines ann es Loto Qu bec et ses filiales 2018a Ce programme vise augmenter l acc s de l art contemporain la population qu b coise et offrir un soutien renforc ses diffuseurs Pour ce faire il propose six volets une exposition th matique itin rante une expo vente des oeuvres d artistes des r gions d accueil une oeuvre participative r alis e par les visiteurs en collaboration avec l artiste Giorgia Volpe une projection gratuite de films sur l art en partenariat avec le Festival international du Film sur l Art un pr t d oeuvres long terme dans un tablissement de sant de la r gion et un projet de legs pour la communaut Loto Qu bec et ses filiales 2014a 1 2 Legs la co
58. sentiment d appartenance au territoire etc La composition du comit a t un facteur influent dans la d finition des orientations du legs pour la communaut et dans la d signation du propri taire du projet Ayant plus de repr sentants du partenaire culturel les comit s locaux de Sherbrooke et de Saguenay se sont pench s sur les enjeux de l institution mus ale afin de cr er de la valeur publique Les comit s de Saint J r me et de Rouyn Noranda avaient une repr sentation plus grande de l administration municipale Ceux ci ont abord le legs dans l int r t de la collectivit en fonction de leurs connaissances du milieu Le propri taire du projet tait choisi en fonction de l importance de la repr sentation de la partie prenante dans le comit local Or ces observations n ont aucunement affect la qualit des propositions de legs des comit s locaux Le processus de coproduction des portfolios de Loto Qu bec a permis de d gager des legs culturels durables de toutes formes une bo te lumineuse monumentale des mobiliers urbains une installation artistique une murale des infrastructures horticoles etc Toutes les propositions des comit s locaux r pondaient aux enjeux locaux de la communaut et elles s inscrivaient dans une perspective de d veloppement durable Il y a seulement certaines propositions qui manquent un volet coresponsable leur d marche et d autres qui ne forment pas un projet de nature culturelle
59. son contexte et l attribution des r les et responsabilit s du comit Par la suite le comit local abross un portrait des enjeux de la r gion pour proposer quelques orientations sur le legs gt Le CERN a une client le tr s h t roclite dont le quart provient des groupes scolaires La pr sence de la biblioth que municipale dans le m me difice permet d largir la client le du CERN De plus les uvres d art accroch dans le corridor am nent les gens visiter le centre d exposition gt Rouyn Noranda peut se caract riser par les qualitatifs suivants sa vaste tendue le froid et la neige le vieillissement de la population des citoyens duqu s etc La population n a pas tout 50 acc s l offre culturelle du CERN mais l ducation de la population explique la grande pr sence de la culture sur le territoire La Ville pourrait se doter d une ic ne culturelle Le centre ville se d vitalise et sa population change Un projet interg n rationnel permettrait de favoriser l inclusion et la coh sion sociale entre les r sidents du quartier Le tout pourrait prendre la forme d une murale Le legs pour la communaut doit tre disponible tout au long de l ann e aux citoyens dans un espace public afin d inciter les gens de se d placer En lien avec Collection Loto Qu bec l art de partager il doit galement tre contemporain novateur et porteur Le legs pourrait s int grer dans un parcours public t
60. sssssssiessissiiesrieeseiessresrrsriesrreesnressresnrres 42 43 Saguenay nnie aiea aaa nt Parent lea de te de he aa ENa aN 44 4 3 1 Composition du comit local ssssseesssessesseesessetrenrttntrtnuttn nenn nstnnntnnstnnnsnnsstnnsnnnnte 46 4 3 2 Orientations du legs pour la communaut sssssesssessseeesressr terner nsrrnnsrnssrnssrnssrnssnns 46 4 3 3 valuation des propositions formul es sesssssiessissiisrieeseiessresrrsnresrreesnressresnrres 47 AA Rouyn Noranda sens an nain nine e Eear Na ia at dde 48 4 4 1 Composition du comit local ssssssesssesseessesssestesrtnn trenuten nstnnstnnssnnnsnnstnssnnssnnnnte 50 4 4 2 Orientations du legs pour la communaut sssseesseesseeeseessr nesr nernssrnssrnssrnssrnssrnnsene 50 4 4 3 valuation des propositions formul es e sssssssiessisesiiesrieeseiessrisrrssriesrreesnressressrres 51 4 5 Constats g n raux sure ne rt a nn adepte lanta sl 52 5 CYCLE DE GESTION DE L ENGAGEMENT DE LOTO QU BEC s ssiiseiiserireeerseresrresrrs 54 5 1 R le et responsabilit s des parties prenantes sseesseesseesseesresrnetnssrnssrnssrnssrnssrnssrnssnns 54 5 2 Suivi et approbations du projet 55 5 8 Facteurs d terminants d un projet d art public ssseesssesseessressrnsrnssrnssrnssrnssrnssrnssrnssrnssnns 56 5 8 1 Collaboration des parties prenantes sesseessieesiresirssirssirssinssinestnesinsstnnsnnnsnnnntnn ne 57 5 3 2 valuation ADO IIEE
61. type d uvre d art se r f re trois typologies la participation et l exp rimentation du visiteur uvre interactive avec le visiteur l immersion par la couleur et la th tralit production de mise en sc ne Almanart s d Ramade 2014 2 Il propose ensuite une sculpture urbaine horticole participative La sculpture horticole peut renvoyer la mosa culture Elle est un art horticole qui forme la structure et le volume de l uvre par la sculpture sa palette de couleurs par la peinture et l horticulture par l utilisation de v g taux dans un environnement vivant Th riault 2013 La mosa culture peut tre une mosa que au sol et une mosa que sculpture tridimensionnelle Genest 2002 La sculpture urbaine horticole participative peut galement tre une infrastructure horticole pour favoriser la croissance de diverses esp ces v g tales Les infrastructures peuvent int grer des murs v g taux des bacs de jardins des plates bandes des parterres de fleurs etc Godin 2012 Centre d cologie urbaine de Montr al 2013 Ces projets peuvent aborder un volet artistique par l am nagement paysager 42 3 Il propose finalement un projet de mobilier urbain participatif Il repr sente un ensemble d objets ou de dispositifs install s dans l espace public et li s une fonction ou un service offert par la collectivit Le mobilier peut avoir une fonction de d coration d information de s curit de repos
62. venir Pour r aliser le tout l essai fait une introspection sur la d marche de r alisation des portfolios pour en tirer des constats g n raux Le chapitre 1 comprend de l information sur les entretiens aupr s de Loto Qu bec et sur son site web pour d terminer le concept d un legs pour la communaut Ce terme d signe une commission d un projet d art public dans une perspective de d veloppement durable Les sources d information portent donc sur les pratiques manag riales en art public au Canada en France aux tats Unis au Royaume Uni et en Australie Plusieurs enqu tes internationales rapportent l implication du secteur culturel de ces pays dans le d veloppement durable Carruther 2006 Hartley 2008 Coalition pour l art et le d veloppement durable 2011 De plus les tats Unis et le Royaume Uni ont une longue exp rience sur la gestion de l art public Cartiere et autres 2008 Ces sources d information permettent donc d alimenter davantage l analyse de chaque composante du processus de l engagement de Loto Qu bec Le chapitre 2 pr sente la d marche de consultation des participants de l engagement de Loto Qu bec tel que r alis d avril juin 2014 Il est question de la mani re d engager les parties prenantes formuler des propositions et du retour sur leurs pr occupations l engagement Pour en tirer des constats g n raux la consultation est valu e partir des principes directeurs d un engagement soci ta
63. 0 n Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Publications 2010 11 08 http www mcec gouv ac ca fileadmin documents publications IntegrationArchitecture_Rap port_novembre2010 pdf Page consult e le 6 septembre 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2011a Agenda 21C Culture aujourd hui demain Agenda 21 de la culture du Qu bec In Agenda 21 de la culture du Qu bec http www agenda21c gouv qc ca wp content themes agenda21c pdf A21C Brochure FR WEB pdf Page consult e le 22 janvier 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications de la Condition f minine MCCCF 2012 R le du minist re n minist re de la Culture des Communication et de la Condition f minine Secteurs d intervention Au plan r gional et local http www mcc gouv qc ca index php id 108 Page consult e le 18 juillet 2014 80 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2013a Politique d int gration des arts l architecture n minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Secteurs d intervention Arts visuels architecte et m tiers d art Politique http www mcec gouv qc ca index php id 59 Page consult e le 17 juillet 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications de la Condition f minine MCCCF 2013b Partenariat municipal et r gional n minis
64. 012 Americans for the Arts s d Un groupe de recherche australien a galement cr une base de donn es de projets durables d art public avec la m me approche que la trousse d xia Ltd Curating Cities 2012 Les inconv nients de cette trousse sont la port e g n rale des th matiques et la n gociation entre les parties prenantes sur la finalit du projet En effet le guide sert faciliter la communication de la 21 finalit du projet d art public afin de relever les indicateurs mesurer Il n y a pas d indication sur la durabilit du projet 3 1 3 Guide d aide la d cision en mati re de mobilier urbain durable L Universit de Laval a demand au Groupe B langer Beauchemin Morency Architectes amp Urbaniste 2010 de construire un guide d aide la d cision pour le choix de son mobilier urbain Cet outil a t r alis l aide de cinq pr occupations identifi es par les auteurs sur le mobilier urbain son cycle de vie la production et le remplacement de ses mat riaux son entretien son ergonomie et sa forme Ces pr occupations permettent d valuer l empreinte cologique du mobilier urbain tout au long de sa dur e de vie et le confort de ses usagers Chaque volet pr occupation dispose des crit res de performance afin de donner un pointage aux options envisag es Cette grille d analyse constitue une proc dure d analyse pour s lectionner les mobiliers urbains Elle est relativement facile ut
65. 1 Produits analytiques S rie Perspective g ographique http www12 statcan gc ca census recensement 2011 as sa fogs spg Facts csd fra cfm LANG Fra amp GK CSD amp GC 2494068 Page consult e le 24 juillet 2014 Statistique Canada 2012d Recensement de 2011 Subdivision de recensement Rouyn Noranda V Qu bec n Statistique Canada Recensement 2011 Produits analytiques S rie Perspective g ographique http www12 statcan gc ca census recensement 2011 as sa fogs spg Facts csd fra cfm LANG Fra amp GK CSD amp GC 2486042 Page consult e le 24 juillet 2014 Stewart S 2010 Legacies Now et le R seau des villes cr atives du Canada 2010 Trousse de cartographie culturelle n R seau des villes cr atives du Canada Publications CCNC Toolkits http www creativecity ca database files library Trousse_de_cartographie_culturelle pdf Page consult e le 9 avril 2014 Suisse Office nationale de d veloppement territorial 2004 Guide des outils d valuation selon le d veloppement durable n Cantons de Vaud Environnement D veloppement durable Outils http www vd ch fileadmin user_upload themes environnement developpement_durable fichi ers_pdf ARE_outils_evaluation pdf Page consult e le 11 ao t 2014 Th riault L 2013 L art de la sculpture v g tale qu est ce que c est n Journal de M tro http journalmetro com actualites montreal 341887 lart de la sculpture vegetale quest ce que cest Pa
66. 2 1 19 3 GRILLE D ANALYSE MULTICRIT RE La deuxi me partie du mandat de l engagement de Loto Qu bec tait la r alisation d un processus d valuation des propositions de projets culturels durables Le pr sent chapitre porte sur l valuation dans l art public et sur les grilles d analyse multicrit res de d veloppement durable La premi re section explique l tat d avancement des outils d valuation des projets d art public La seconde section justifie la construction d une grille d analyse multicrit res pour les portfolios Enfin des constats g n raux sont port s sur l application de cette grille afin d am liorer le processus d valuation des legs pour la communaut 3 1 Grilles existantes La litt rature sur l valuation des projets d art public a commenc se d velopper dans les ann es 2000 au Royaume Uni la suite de plusieurs revendications sur les bienfaits de cette discipline Morland 2010 Les recherches se sont focalis es sur les impacts conomiques des programmes d art public et sur les faits anecdotiques des projets d art public Toutefois elles ne couvrent pas toutes les b n fices intrins ques d un projet d art public Gressel 2012 Dans sa revue de litt rature des m thodes d valuation Anabel Jackson Associates 2007 recommande pour la gestion d un projet d art public de diagnostiquer le processus de cr ation artistique les b n fices d sir s du projet et la mani re dont les b n fic
67. 2014 Consultation des parties prenantes de Rouyn Noranda projet de legs culturel durable Collection Loto Qu bec Compte rendu Entrevue anim e par Dominique Villemaire avec Jean Jacques Lachapelle directeur du Centre d exposition de Rouyn Noranda Lise Paquet coordonnatrice administrative des services communautaires et de proximit de la Ville de Rouyn Noranda Violaine Lafortune directrice de la division de l am nagement du territoire de la Ville de Rouyn Noranda Marie Eve Germain Poir conseill re en urbanisme de la division de l am nagement du territoire de la Ville de Rouyn Noranda Annie B langer coordonnatrice Ville et village en sant de la Ville de Rouyn Noranda et Guy Parent directeur des services communautaires et de proximit de la Ville de Rouyn Noranda 30 avril Rouyn Noranda Langlois P 2012 Concertation sherbrookoise pour la lutte la pauvret et exclusion sociale Portrait D favorisation mat rielle et sociale Sherbrooke et r sum des r sultats de la concertation Document de travail version r vis e In Table r gionale de concertation des a n s de l Estrie Documentation http ainesestrie qc ca pdf portrait rev fev2012 pdf Page consult e le 27 f vrier 2014 Larkinson E 2006 Artists in the public realm health and safety n Public Art Online Resources Practical advice Commissioning http www publicartonline org uk resources practicaladvice commissioning health_safe
68. 21 mars 2014 La consultation de deux heures portera sur l identification des legs durables possibles r pondant aux besoins de la communaut Je vous invite r fl chir sur la forme que le legs pourra prendre et je vous transmets la grille multicrit re en pi ce jointe Cette grille multicrit re va servir s lectionner les projets durables les plus pertinents aux objectifs de Loto Qu bec Elle s inspire des objectifs de l Agenda 21 de la Culture du Qu bec et des principes de la Loi sur le d veloppement durable du Qu bec Je vous remercie de r pondre la pr sente demande d entretien et de confirmer le lieu de l entretien avant le jeudi 27 f vrier 2014 Je vais vous communiquer avec vous pour confirmer la date de l entretien au plus tard le mercredi 12 mars 2014 Afin d alimenter notre r flexion sur le besoin de la communaut je vous sugg re d inviter une cinq personnes ressources d organismes qui appuient vos initiatives culturelles au sein de la municipalit Je vous remercie de confirmer le nom de la personne son titre ainsi que l organisme qu il ou elle repr sente Par ailleurs veuillez prendre note que je ne ferai pas le suivi de l entretien avec vos invit s Caroline Valli res conseill re du Service du d veloppement durable de Loto Qu bec assistera notre entretien pour m appuyer dans ma d marche de consultation Elle pourra vous informer de l implication de Loto Qu bec sur le projet de legs pour la communaut
69. 4 Par ailleurs n h sitez pas inviter une cinq autres personnes ressources qui peuvent s int resser au projet de legs pour la communaut Je vous remercie de confirmer le nom de la personne son titre ainsi que la division du service municipal qu il ou elle repr sente Par ailleurs veuillez prendre note que je ne ferai pas le suivi de l entretien avec vos invit s et que je ne pourrai pas accepter la participation des lus municipaux l entretien afin de garder une neutralit politique dans la d marche de consultation pour Loto Qu bec 95 Pour se renseigner sur le projet de legs pour la communaut ou sur le nouveau programme de Collection Loto Qu bec l art de partager vous pouvez visiter le site web de la Collection Loto Qu bec sur le lien suivant http Iotoquebec com cms corporatif fr responsabilite entreprise collectivite commandites collection Caroline Valli res conseill re du Service du d veloppement durable de Loto Qu bec assistera notre entretien pour m appuyer dans ma d marche de consultation Elle pourra vous informer de l implication de Loto Qu bec sur le projet de legs pour la communaut Vous pouvez la contacter par courriel caroline vallieres loto quebec Qu bec ca De plus si vous avez des questions ou des commentaires au sujet de la d marche de consultation vous pouvez m appeler au 819 578 9854 ou me contacter par courriel jean francois ouellet2 usherbrooke ca Veuillez Mme Ann Janick
70. 5 Gascon M 2009 Saint J r me une ville s curitaire et un service de police efficace In L cho du Nord Opinion 18 f vrier 2009 http www hebdosregionaux ca laurentides 2009 02 18 saint jerome une ville securitaire et un service de police efficace Page consult e le 12 ao t 2014 Gauthier E Maurice R et Daigle A 2003 Des outils de soutien la vitalit culturelle locale La Loi sur le statut professionnel des artistes en arts visuels des m tiers d art et de la litt rature et sur leurs contrats avec les diffuseurs et la Loi sur le droit d auteur Qu bec Les Arts et la Ville 13 p Genest R 2002 La mosa culture In Les Beaux Jardins Les techniques de culture des annuelles Mosa culture http lesbeauxjardins com jardinons annuelles mosaicultures htm Page consult le 11 mai 2014 Girard P 2011 Forum interg n rationnel sur le loisir Bilan de l activit n Ville de Saguenay Services aux citoyens Services aux a n s Saguenay Villes Amie des a n s http ville saguenay ca fr media viewst services_aux_citoyens services_aux_aines bilan_fli p df Page consult e le 31 juillet 2014 Gressel K 2012 Public art and the challenge of evaluation n Createquity Janvier 2012 http createquity com 2012 01 public art and the challenge of evaluation html Page consult e le 12 ao t 2014 Gu rin M Gauthier L Savard N et Bonneau J 2014 Consultation des parties prenantes de
71. 5 et la section 5 2 de l essai pourraient donner une id e des tapes pr vues pour la r alisation d une commission d un legs pour la communaut gt Une entente devrait tre r alis e l tape contractuelle du diffuseur afin de diviser les responsabilit s des parties prenantes sur la r alisation du legs pour la communaut voir annexe 5 Cette entente pr voirait les exigences sur la proposition conceptuelle du projet le suivi de la r alisation du legs et les responsabilit s du propri taire du projet par rapport l entretien du produit final gt En tout temps un charg de projet devrait faire le pont entre le programme Collection Loto Qu bec l art de partager et le comit de pilotage du legs pour la communaut Ce dernier devrait disposer d une connaissance des diffuseurs participants ma triser les outils d animation des r unions sur l engagement et s occuper du volet communicationnel du legs pour la communaut Il s assurerait du bon d roulement de la commission du legs pour la communaut et de la collaboration entre chaque collaborateur du projet 6 34 Processus d valuation du projet culturel durable Le choix du processus d valuation du legs d pend largement du mod le de gestion de l engagement D une part Loto Qu bec devrait valider ce qu elle d sire valuer dans le processus soit les propositions de legs du diffuseur tableau 2 2 soit la proposition conceptuelle de l artiste par le biais du
72. Cartographie des parties prenantes Une cartographie des parties prenantes a t r alis e pour d terminer la composition du comit local Le mod le de classification de Mitchell et autres 1997 constitue l outil id al pour r aliser cet exercice Il a l avantage de reconna tre l unicit d une situation et de d velopper une argumentation bas e sur trois attributs de priorisation d crits dans le tableau 2 1 Mainardes et autres 2011 Tableau 2 1 Description des attributs du mod le de priorisation des parties prenantes modifi de Mitchell et autres 1997 Attributs D finition Pouvoir La relation dans laquelle la partie prenante peut imposer son choix de projets durables aux autres parties prenantes du comit de consultation bas e sur une pression coercitive rapports de force entre les parties prenantes utilitariste faisabilit du projet durable ou normative expertise mobilis e L gitimit L hypoth se que la participation de la partie prenante dans le comit de consultation soit souhaitable opportune ou appropri e pour le legs la communaut La l gitimit de la partie prenante d pend de ses connaissances l gard des enjeux de l panouissement culturel de la collectivit l tude Urgence Le degr par lequel les pr occupations de la partie prenante n cessitent une attention imm diate bas e sur l importance de sa relation avec Loto Qu bec D apr s Loto Qu bec les
73. DevelopmentFINAL pdf Page consult e le 25 ao t 2014 Mitchell R K Agle B R and Wood D J 1997 Toward a theory of stakeholder identification and salience defining the principle of who and what really counts Academy of Management Review vol 22 n 4 p 853 886 Monel Y Chivet S Robin A et Attal J P 2010 Guide d coconception des expositions con u en collaboration avec Artemia n Universcience D veloppement durable Nos projets http www universcience fr fileadmin fileadmin_Universcience fichiers developpement durable _ documents guide eco _conceptFR pdf Page consult e le 17 ao t 2014 Monville L et Cameron S 2001 La cr ation des nouvelles villes de Saguenay Trois Rivi res Sherbrooke et les modifications d coulant de la r organisation municipale en cours Qu bec Les Arts et la Ville 12 p Morland J 2010 Currentresearch public art practice audiences and impact n Public art online Resources Currentresearch http www publicartonline org uk resources research current_research_jan2010 php Page consult e le 13 ao t 2014 MRC La Rivi re du Nord 2014 Supralocaux In MRC La Rivi re du Nord Sch ma http www mrerivieredunord qc ca spip php rubrique31 Page consult e le 23 mars 2014 Mus e d art contemporain des Laurentides MACL s d Accueil In Mus e d art contemporain des Laurentides http www museelaurentides ca Page consult e le 29 juillet 2014 Organisa
74. Fred Pellerin compos pour l exposition Territoires imagin s par les artistes contenir la signature culturelle de la Ville et int grer de la verdure Le site sera localis sur une aire de stationnement r pondant aux crit res suivants la facilit d entretien la s curit routi re la circulation pi tonne l ensoleillement et l environnement imm diat Il sera entretenu par la Ville par le biais du Service de l animation en loisir et espaces verts La seconde proposition est la r alisation d une murale sur le mur Est de l Ar na Jacques Laperri re Le projet sera localis dans le quartier des loisirs regroupant le CERN et plusieurs autres organismes communautaires et sportifs Les projets pourront impliquer les membres du Club de l ge d or dans le processus de cr ation marquer visuellement la vocation du quartier 51 et embellir le mur de l Ar na Jacques Laperri re Une entente pourra tre conclue avec l artiste s lectionn pour la conservation et l entretien de l uvre dans le temps 3 La troisi me proposition consiste une d coration artistique d un des deux viaducs de Rouyn Noranda Le choix du viaduc d pendra des autorisations des propri taires Le projet s inscrit dans une volont d embellir un carrefour ayant des d bits de circulation lev e et de favoriser le transport actif en rendant le passage plus attrayant pour les pi tons et les cyclistes Une entente pourra tre conclue avec l artiste s lect
75. Government 2009 3 2 1 Contexte d cisionnel La grille d analyse multicrit res sert de filtre pour s lectionner un projet culturel selon sa perspective de d veloppement durable et selon sa coh rence avec le programme Collection Loto Qu bec l art 24 de partager La figure 3 1 sch matise le contexte d cisionnel d un legs pour la communaut Le comit local form par des repr sentants du partenaire culturel de Loto Qu bec de la ville et de leurs invit s formule trois propositions de legs ou plus dans le canevas de projets La grille encadre la r flexion du comit local sur les caract ristiques des projets culturels durables Par la suite chaque proposition est appr ci e par l valuateur l aide de la grille d analyse et les r sultats sont pr sent s un jury ind pendant Le jury s lectionne le meilleur projet selon leur avis d experts Enfin Loto Qu bec d veloppe une entente avec le comit local pour l attribution de l enveloppe budg taire et pour la r alisation du legs pour la communaut Loto Qu bec Grille d analyse multicrit res inspir e de l Agenda 21 de la Culture Appr cier la perspective de d veloppement durable des propositions du comit local Encadrer la r flexion du comit local Canevas de projets Description du projet Contexte d intervention Proposition 1 gt objectifs du projet Caract re durable du projet Parties prenantes impliqu es Mat riel requi
76. L pine recevoir mes sentiments les plus distingu s Jean Fran ois Ouellet Candidat la ma trise en environnement Universit de Sherbrooke 1970 rue du Montagnais C 206 Sherbrooke Qu bec J1K 2X9 T l 819 578 9854 Courriel jean francois ouellet2 usherbrooke ca 96 ANNEXE 3 ORDRE DU JOUR ET QUESTIONS POUR LE COMIT LOCAL Date de l envoi Lieu Date Pr sence gt M Jean Fran ois Ouellet candidat la ma trise en environnement de l Universit de Sherbrooke gt Mme Caroline Valli res conseill re du Service de d veloppement durable de Loto Qu bec ORDRE DU JOUR 1 Tour de table des participants Les participants pr sentent leur fonction leurs attentes et leurs int r ts participer la consultation du projet de legs pour la communaut 2 Pr sentation du projet de legs pour la communaut Jean Fran ois Ouellet pr sente le volet du legs la communaut du programme Collection Loto Qu bec l art de partager Il explique galement son mandat de produire un portfolio de projets durables pour les Villes h tes de l exposition itin rante Territoires imagin s selon les objectifs de l Agenda 21 de la Culture du Qu bec Diagnostic des besoins culturels de la collectivit Pouvez vous nous faire une br ve description de votre milieu en 5 minutes sur son histoire sur ses particularit s et sur ce qui lui donne aux habitants un sentiment d appartenance Pouvez vous n
77. OPTIMISATION DE LA D MARCHE DE LOTO QU BEC POUR CONJUGUER LE D VELOPPEMENT DURABLE ET SES LEGS POUR LA COMMUNAUT Par Jean Fran ois Ouellet Essai pr sent au Centre universitaire de formation en environnement et en d veloppement durable en vue de l obtention du grade de ma tre en environnement M Env Sous la direction de Madame Carole Villeneuve MA TRISE EN ENVIRONNEMENT UNIVERSIT DE SHERBROOKE Octobre 2014 SOMMAIRE Mots cl s Agenda 21 de la culture art public engagement soci tal grille d analyse multicrit res Loto Qu bec politique d int gration des arts portfolio Dans le cadre de son nouveau programme d acquisition et de diffusion d oeuvres d art Loto Qu bec s est engag e r aliser un legs culturel durable ralliant l art l environnement et la communaut en partenariat avec ses collaborateurs locaux et l Universit de Sherbrooke Cela a donn lieu une troite collaboration entre l tudiant mandat et les diffuseurs participants en 2014 afin de r aliser quatre portfolios comptabilisant treize projets culturels durables L tudiant s est occup de la construction du processus d valuation des projets dans une perspective de d veloppement durable des outils d animation pour la consultation des collaborateurs et de la finition des portfolios Les diffuseurs de Loto Qu bec ont formul des propositions selon leurs expertises et leurs connaissances du milieu Cependant ce processus s
78. Re na Mar APR Ne San Rita de 58 5 3 8 Exigences sur les candidatures sssesssesesssrnesssrnesrennesrenaestnnnestnnaennnnnennnanennnnneannnnnna 59 5 8 4 Durabilit d un projet d art public ss 60 5 3 5 Diffusion d un projet d art public 61 5 3 6 Budget d un projet d art public us 61 5 4 Constats g n raux sioni tiennie en ne D end ane tent dede nette neue 62 6 RECOMMANDATIONS SUR L ENGAGEMENT DE LOTO QU BEC ss issiiseeiiererseireerreerr 63 6 1 Continuit de l engagement sise 63 6 2 Mod les de gestion envisag s is 64 6 3 l ments de r vision du prose a RC M en Mes 66 6 3 1 Pr sentation de l engagement de Loto Qu bec 66 6 3 2 Invitation des diffuseurs l engagement 67 6 3 3 Logistique des rencontres ss 67 6 3 4 Processus d valuation du projet culturel durable 68 6 3 5 Retour sur le processus ssssssssesessrresrrrnsstennestnnnnstennetennenttnnentnnannuanennannntennnannn nant 69 R F RENCES 72 BIBLIOGRAPAIES SES A E RS nan dt tn 87 ANNEXE 1 NOTE SUR L IDENTIFICATION DES PARTIES PRENANTES n 88 ANNEXE 2 INVITATIONS POUR LA CONSULTATION sereerereernnnes 93 ANNEXE 3 ORDRE DU JOUR ET QUESTIONS POUR LE COMIT LOCAL ss ssisssiiseiieeeieeen 97 ANNEXE 4 OBJECTIFS DE L AGENDA 21 DE LA CULTURE ET PRINCIPES DE LA LOI SUR LE D VELOPPEMENT DURABLE DU QU BEC eerririrereeeense 99 ANNEXE 5 CYCLE DE GESTION D UN PROJET D ART PUBLIC 103 LISTE DES FIGURES ET DES TABLEAUX Figure 1 1 Figure
79. Saguenay projet de legs culturel durable Collection Loto Qu bec Compte rendu Entrevue anim e par Caroline Valli res et par Dominique Villemaire avec Manon Gu rin directrice du Centre national d exposition de Saguenay Lise Gauthier pr sidente de l Institut des Arts et membre du Conseil d administration du Centre national d exposition de Saguenay Nancy Savard conseill re Arts et culture de la Ville de Saguenay Josiane Bonneau Dumouchel candidate la ma trise en intervention r gionale de l Universit de Qu bec Chicoutimi 28 avril Centre national d exposition de Saguenay Haavaldsen T Loere O Holst Vaiden G et Lohne J 2014 On the concept of sustainability assessing of large public infrastructure investment projects nternational Journal of Sustainable Engineering vol 7 n 1 p 2 12 Hall T and Robertson I 2001 Public art and urban regeneration advocacy claims and critical debates Landscape Research vol 26 n 1 p 5 26 Hartley J 2008 IFACCA d art report no 34 Arts and ecological sustainability n Creative city network of Canada Research hub Sustainability http www creativecity ca database files library d_art_34 pdf Page consult e le 17 juillet 2014 Hatton D et Public Art South West 2008 Advice on project management n Public Art Online Resources Practical Advices Commissionning http www publicartonline org uk resources practicaladvice commissioning project mana
80. Ville de Saguenay 2014a Ces industries ont donn une forte identit sur le territoire Ceci se refl te par la mise valeur de ses b timents patrimoniaux et par la comm moration des anciennes villes industrielles de K nogami et d Arvida Ville de Saguenay 2014b La Ville de Saguenay s est dot e d une politique culturelle pour tablir une vision commune du d veloppement dans le respect des particularit s existantes Ville de Saguenay 2003 Ayant un r le central dans le d veloppement culturel le service Arts culture communautaire et biblioth que de la Ville participent l offre culturelle du territoire Ville de Saguenay 2014c Pour ce faire il expose les organismes culturels et les activit s de loisir culturel de son territoire sur le site web de la Ville Il travaille galement sur le suivi des programmes culturels de la Ville et du Conseil de la culture de Saguenay gt Le Conseil de la culture de Saguenay a le r le d une commission de la culture de la ville Il s assure d une collaboration entre le milieu artistique et la Ville de Saguenay De plus il recommande la Ville l allocation des subventions aux organisations et aux manifestations culturelles du territoire Conseil des arts de Saguenay 2013 gt Le Croissant culturel de Chicoutimi est une cartographie des ressources culturelle de l arrondissement de la Ville inspir e de l uvre d Arthur Villeneuve Il vise mettre en valeur les lieux culturels
81. Ville de Sherbrooke et Planiainc 2014 Le R pertoire culturel de Sherbrooke estime que pr s de 75 organismes culturels et 564 artistes contribuent la vitalit culturelle du territoire La Ville de Sherbrooke et ses six arrondissements g rent le d veloppement culturel par l interm diaire de sa politique culturelle adopt e en 2008 Pendant pr s de dix ans plusieurs interventions ont t effectu es pour soutenir les v nements culturels la m diation culturelle et les partenaires locaux Ville de Sherbrooke 2013 Le bilan de sa politique constate plusieurs enjeux sur la gestion des ressources culturelles l augmentation des lieux de diffusion des arts de la sc ne l exclusion sociale et culturelle des citoyens d favoris s le manque de sentiment d appartenance des Sherbrookois les contraintes d affichage des organismes culturels etc Ville de Sherbrooke 2013 Langlois 2012 Ville de Sherbrooke 2007 Dans l administration municipale la Division de la culture de la Ville de Sherbrooke s occupe de la gestion du service du r seau des biblioth ques du territoire ainsi que de la gestion des ententes culturelles Les comit s Arts et culture des arrondissements de Sherbrooke se chargent de l offre de loisir culturel ses citoyens Des organismes parapublics dont Animation Centre ville de 34 Sherbrooke Destination Sherbrooke et Innopole Sherbrooke financent des v nements culturels significatifs et des am nagements p
82. a Nombre d habitants 154 601 68 456 144 746 41 012 Nombre de familles 41 265 19 170 42 230 11 660 Superficie du territoire km 353 49 90 52 1126 48 6 010 50 Densit hab km 437 4 756 3 128 5 6 8 Personnes g es de moins 15 ans 15 7 14 3 14 1 16 2 Personnes g es entre 15 et 64 ans 68 67 4 68 2 69 Personnes g es de 65 ans et plus 16 3 18 3 17 8 14 8 Taux d accroissement de la population entre 2006 et 2011 ai 07 2a Variation des personnes g es de 65 ans et plus entre 2006 et 2011 co Ver 1608 He Luis ges m dians de la population ann e 40 2 43 9 45 6 41 6 Taux de francophones 89 1 95 2 98 2 96 1 Taux d anglophones 4 1 1 5 0 8 2 1 Taux d allophones 5 6 2 5 0 7 1 1 Le pourcentage de femmes g es de 65 ans et plus est repr sent plus de 3 5 que celui des hommes 33 Toutefois les villes poss dent des diff rences subtiles dans leur administration publique dans leurs enjeux r gionaux et dans leur mani re d aborder la vitalit culturelle du territoire Par cons quent chaque section introduit un portrait de la vie culturelle de la r gion Il d bute par les caract ristiques distinctes de la ville pour pr ciser la place du partenaire culturel sur le territoire Les sous sections font un retour sur la repr sentativit du comit local sur les orientations du legs pour la communaut et sur la coh rence des propositions formul es Elles sont appuy es par les sou
83. alorisation du patrimoine du milieu 4 3 3 Besoins de la collectivit 4 4 4 Soutien et durabilit du legs 2 2 3 Acc s et participation la vie culturelle 4 2 4 Total 37 33 37 L installation artistique a l avantage d aborder un volet cr atif et une relation profonde entre l uvre d art et son site d implantation Sa contrainte demeure sa durabilit dans un environnement ext rieur Au contraire le mobilier urbain participatif prend sa force sur sa forme durable et sur sa capacit pratique offrir un service aux citoyens Malgr le m me pointage l installation artistique peut tre favoris e si sa forme est aussi durable qu un mobilier urbain L absence d une d marche coresponsable est la principale faiblesse des trois propositions Il y a seulement la sculpture urbaine horticole participative qui fait la promotion de la biodiversit Toutefois son caract re ph m re l absence d un volet artistique sa forme et la charge de travail son entretien sont les causes qui ont amen ne pas retenir ce projet 43 4 3 Saguenay Cr e en 2002 la suite de la fusion de sept villes et municipalit s la Ville de Saguenay se compose dor navant de trois arrondissements Jonqui re Chicoutimi et La Baie Pr s de 150 ans d histoire caract risent la r gion de Saguenay Ces habitants ont colonis la r gion du Saguenay pour d velopper peu peu leurs industries de p tes et papiers et de l aluminium
84. ansmettre son diffuseur culturel Le processus d acquisition peut s inspirer de la Politique d int gration des arts MCCCF 2009 et du programme Rep ragede Loto Qu bec Loto Qu bec et ses filiales 2014c Pour d buter un comit local compos de trois intervenants locaux dont un repr sentant du diffuseur culturel qui agit titre de pr sident du comit est form Ce dernier d finit la nature et l emplacement de l uvre d art au conservateur de Collection Loto Qu bec l art de partager Par la suite le conservateur s lectionne des artistes professionnels du Qu bec dont leurs uvres conjuguent l environnement et la communaut Il peut s inspirer des crit res de la Coalition pour l art et le d veloppement durable 2011 pour appuyer sa s lection section 3 1 4 Enfin le comit local s lectionne une uvre d art parmi les artistes pr s lectionn s ce titre la grille multicrit res tableau 3 1 peut tre r vis e pour devenir l outil de s lection des uvres d art du comit local Loto Qu bec devra r aliser une entente aupr s de son diffuseur pour s assurer de l entretien et de la conservation de l uvre d art 4 Le quatri me mod le correspond un concours r gional sur les projets artistiques conjuguant l environnement et la communaut dans le cadre du programme Collection Loto Qu bec l art de partager Il s inspire du concours sur les projets artistiques en d veloppement durable de la Coalition pour
85. ant des plans d ing nierie Cole et autres 2010 gt L accord l gal relatif l tape de la conception d taill e demande l artiste de r unir tous les documents et tout le mat riel n cessaire pour permettre de fabriquer et d installer l uvre d art avec succ s La conception d taill e est g n ralement valu e selon les normes d entretien et de s curit L entente comprend les responsabilit s des diverses tapes relativement au projet le calendrier pr vu et le processus de modification du calendrier l examen et l acceptation de la conception d taill s le budget total de l uvre d art la responsabilit de l assurance les droits d auteurs et la propri t de la conception d taill e Elle peut galement comprendre des livrables attendus dans la conception d taill e Cole et autres 2010 gt Le dernier contrat d finit les d tails de r alisation et de construction particuliers du projet Selon la nature des travaux il peut tre n cessaire de r aliser une entente aupr s d un assureur pour la r alisation de l uvre et contre les accidents du travail La plupart des artistes ont besoin d obtenir l avance une part consid rable des fonds pour pouvoir r aliser l uvre Par cons quent les fonds doivent tre vers s aux artistes temps de mani re ne pas retarder les travaux Le contrat devrait d finir le processus d approbation des fonds et de suivi de la 106 fabrication le partage des resp
86. antifiables afin de mesurer d valuer et de prioriser les projets Project Management Institute 2006 Une grille d analyse multicrit res est donc labor e afin de quantifier le niveau de qualit de la d marche de d veloppement durable du legs pour la communaut Cette grille permet de guider les partenaires culturels de Loto Qu bec dans la formulation de leurs trois propositions de legs et de s lectionner l une d elles pour ses volets artistique environnemental et communautaire La proposition retenue aura une enveloppe budg taire de 10 000 pour sa r alisation 1 3 Identification des projets admissibles Le legs pour la communaut est une forme de commandite plus engag e envers la collectivit que la philanthropie En effet cet engagement dit transformationnel aborde un processus de collaboration pour r aliser le projet de legs Bowen et autres 2008 Les programmes de commandites de Loto Qu bec ont t consult s pour d terminer les crit res d admissibilit des projets de legs Son site web expose cinq types de formulaires de commandites la commandite soci tale g n rale Loto Qu bec 2013a les Entr es en sc ne Loto Qu bec pour les artistes mergents des arts de la sc ne Loto Qu bec 2013b les tournois b n fices de poker pour les collectes de fonds d une organisation but non lucratif Loto Qu bec et ses filiales 2013b les Rendez vous Loto Qu bec pour les festivals et les v nements significa
87. assiste son diffuseur culturel sur le choix de la forme du legs Elle informe son diffuseur du volet d un legs pour la communaut afin de former un comit de pilotage compos d un repr sentant du diffuseur culturel d un sp cialiste des arts qui agit titre de pr sident du comit d un expert en arts visuels ou en d veloppement durable architecte ing nieur conservateur consultant externe ainsi qu un repr sentant de la Collection Loto Qu bec l art de partager Le comit de pilotage devra pr voir trois rencontres La premi re a pour but d adopter le cadre de r f rence que le diffuseur culturel aura r dig Par la suite le diffuseur fait un appel d artistes pour que le comit de pilotage s lectionne le meilleur candidat Loto Qu bec peut d l guer son droit de vote un expert externe pour assurer son impartialit dans le concours La charge des frais de la proposition conceptuelle devrait tre n goci e entre 64 Loto Qu bec et son diffuseur Enfin le comit de pilotage se rencontre une derni re fois pour valider la proposition conceptuelle de l artiste Loto Qu bec peut alors signer une entente aupr s de son diffuseur afin de r aliser le legs pour la communaut 3 Le troisi me mod le constitue une appropriation du processus de r alisation du legs pour la communaut par Collection Loto Qu bec l art de partager vise acqu rir une uvre d art coresponsable d un artiste r gional afin de le tr
88. ation du patrimoine du milieu 3 3 4 3 Besoins de la collectivit 4 3 3 3 Soutien et durabilit du legs 4 3 2 1 Acc s et participation la vie culturelle 3 3 3 1 Total 37 29 34 31 Le mobilier urbain inspir du and art aborde d une mani re innovante la d marche coresponsable et la valorisation du site La probl matique rel ve de l organisation de l appel aux artistes pour r aliser le projet et de la dur e de vie de l uvre Les deux autres propositions manquent une coh rence par rapport l engagement de Loto Qu bec En effet la plantation d arbres et l uvre sc nique d un artiste am ricain ne soutiennent pas la cr ation artistique qu b coise 4 2 Saint J r me Depuis 2002 les villes de l agglom ration j r mienne Bellefeuille Saint Antoine Lafontaine et Saint J r me se sont regroup es pour former une nouvelle ville qui compte environ 70 000 habitants et cette nouvelle instance locale constitue la 15 ville en importance au Qu bec L histoire de la Ville de Saint J r me se caract rise par le passage de Monseigneur Signay en 1834 et du cur Labelle en 1868 qui a facilit la colonisation du territoire La Ville est devenue la capitale r gionale des Laurentides et un carrefour r gional de services d industries et de commerces Pour souligner son 195 anniversaire en 2009 elle a organis un programme culturel pour ses citoyens Ville de Saint J r me 2013a La Vill
89. ation locale Justifiez votre r ponse quelle occasion serait il opportun de r aliser le legs pour la collectivit quel lieu serait il propice pour implanter le projet durable Prochaine tape du projet de legs Qu est ce qui vous permettra de dire que le projet de legs durable r pondra aux besoins de la collectivit Avez vous des attentes particuli res ou des pr occupations l gard du projet de legs pour la communaut ex la logistique de la r alisation du projet Outre l information sur votre site web avez vous de la documentation qui d crit votre organisation vos services vos initiatives et s il y a lieu votre d marche de d veloppement durable Avez vous un bilan de vos activit s dans le cadre de votre politique culturelle Est ce que vous avez des r sultats de sondage sur la satisfaction des citoyens sur l offre culturelle de votre organisation Avez vous de la documentation l gard des besoins des citoyens sur des projets communautaires ou culturels sur votre territoire Page 3 Grille multicrit res 98 ANNEXE 4 OBJECTIFS DE L AGENDA 21 DE LA CULTURE ET PRINCIPES DE LA LOI SUR LE D VELOPPEMENT DURABLE DU QUEBEC Tir de MCCCF 2011 p 9 15 Loi sur le d veloppement durable c 2 s 1 art 6 Selon le minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine les objectifs de l Agenda 21C du Qu bec se pr sentent comme suit Partie 1 L action cultur
90. au 5 1 La soci t d tat a autoris la mise en uvre d une proposition du comit local Elle pourra compter sur trois quatre tapes d approbation du cycle de gestion inspir de l annexe 5 55 La premi re approbation pourrait se faire l mission du cadre de r f rence l intention de l appel aux artistes afin d encadrer l entente entre Loto Qu bec et le propri taire du legs Ce document approfondit les l ments du canevas de projets de Loto Qu bec tableau 2 2 et les modalit s de la commission du propri taire de projet L laboration d un appel d artistes peut prendre quelques mois de r flexions pour rassembler la documentation n cessaire et pour organiser le processus de commande Cole et autres 2010 La soci t d tat pourrait notamment clarifier les l ments suivants les droits de propri t du legs pour la communaut les caract ristiques du projet son emplacement et sa dur e de vie les crit res de s lection de l artiste l ch ancier envisag et le budget allou au projet et les responsabilit s sur l encadrement du projet de chaque partie prenante Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 La seconde approbation devrait se faire l tape contractuelle la suite de l appel d artistes le diffuseur culturel r alise une entente aupr s de l artiste retenu Comme le legs pour la communaut dispose d un petit budget il serait plus facile de produire une seule entente da
91. aut Le partenaire culturel de Loto Qu bec et un fonctionnaire du service de la culture de la ville devait rassembler d une cinq personnes int ress es pour cr er le comit et fixer la date de rencontre avec Loto Qu bec annexe 2 Pour maintenir un travail collaboratif une seule rencontre s est r alis e avec les deux parties prenantes Celles ci se sont r f r es la grille multicrit res qui leur a t transmise pour faciliter leur r flexion sur des projets de legs tableau 3 1 D autre part un ordre du jour a t envoy aux comit s locaux pour donner des lignes directrices de la rencontre annexe 3 L id e tait de construire une confiance mutuelle entre Loto Qu bec et les membres du comit Un questionnaire a t con u pour aborder en premier lieu les enjeux organisationnels du partenaire culturel afin de poursuivre sur les id es de legs partir du questionnaire pour une organisation culturelle voir Stewart et autres 2010 p 83 la fin de la r union les participants du comit local ont t invit s formuler trois propositions du legs dans un canevas de projets au tableau 2 2 Ce tableau a t r alis partir de plusieurs guides sur les bonnes pratiques manag riales en art public au Canada en Australie et aux tats Unis Tableau 2 2 Canevas de projets du portfolio de Loto Qu bec compil d apr s Cole et autres 2010 p 38 39 Americans for the arts 2013 Arts South Australia Govern
92. c 2012 Toutefois la Loi sur le droit d auteur ne s applique pas sur la reproduction de l uvre par le public g n ral pour des fins non commerciales Cullihall et Perry s d Parce que l uvre sera expos e publiquement en permanence et qu elle peut tre reproduite par le commanditaire pour sa diffusion il pourrait tre n cessaire de compenser financi rement l artiste dans l entente pour avoir des droits d usage sur l uvre Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 L ali nation de l uvre d art peut tre un pr judice l honneur ou la r putation de l auteur passible d un recours au tribunal Cullihall et Perry s d L agence commanditaire est g n ralement responsable de la conservation et l entretien de l uvre d art Pour cela elle dispose d un manuel d entretien fourni par l artiste contenant une liste du mat riel des sp cifications et des ressources ainsi que les exigences d entretien particuli res et les calendriers d entretien Cole et autres 2010 Arts South Australia Government 2004 tapes de r alisation du projet Lorsque l agence commanditaire a r gl les consid rations juridiques avec les artistes retenus dans l appel de candidatures elle demande une proposition conceptuelle ces derniers La plupart des artistes consid rent l tape de l laboration de concept comme tant la plus essentielle dans leur travail Ceux ci vont analyser l emplacement du projet afin de proposer d
93. ccupations des participants engagement de Loto Qu bec Points d incompr hension Points d am lioration gt L objectif de la consultation gt R aliser une rencontre pr liminaire pour pr senter notamment la formulation d au les modalit s de l engagement de Loto Qu bec moins trois projets culturels gt Donner un d lai d au moins un mois au comit local durables dans le canevas afin de recevoir des propositions de legs de qualit gt Les projets admissibles gt Assurer une certaine repr sentativit de la l engagement de Loto Qu bec communaut dans le processus d cisionnel gt l attribution du r le de propri taire notamment par l inclusion d un citoyen dans la du legs et le partage des formation du jury ou par l organisation d un vote b n fices entre les membres du populaire des projets soumis comit local gt Exiger une seule proposition dans le canevas de gt La participation de l administration projet pour concentrer les efforts sur la d finition de municipale dans le comit local de l id e la plus repr sentative et la plus significative la r gion participante du comit local gt Le r le et les responsabilit s du gt valuer la faisabilit d un projet de legs l aide comit local dans la r alisation du d une enveloppe budg taire de 10 000 legs pour la communaut 2 6 Constats g n raux En g n ral l engagement de Loto Qu bec a partiellement sui
94. ce crit re a pour but d valuer la collaboration du comit local et de Loto Qu bec sur le soutien de la cr ation la production et la diffusion du legs pour la communaut Toutefois le comit de pilotage d un projet d art public doit penser la conservation de l uvre d art public avant sa conception Centre de conservation du Qu bec 2013 Par cons quent ce crit re a partiellement t modifi pour valuer les formes optimales du projet d art public Les composantes valu es sont la dur e de 29 vie du projet son design s curitaire et sa facilit d entretien Chrysalis Arts Ltd s d Le crit re obtient une excellente note lorsque les propositions du comit local traitent d un ou plusieurs moyens pour conserver le legs 11 Acc s et participation la vie culturelle L Agenda 21C revendique l importance de l acc s et de la participation des citoyens la vie culturelle Ce crit re value la pertinence du projet d art public dans le cadre du programme Collection Loto Qu bec l art de partager Son premier objectif est de rendre accessible l art contemporain aux citoyens Le crit re permet donc d offrir une extension de la programmation du diffuseur de Loto Qu bec sa communaut et de lui attirer une nouvelle client le Il est plus que satisfait lorsque le projet labore une strat gie de m diation culturelle entre le public et l tablissement mus al participant l engagement de Loto Qu bec Il es
95. ci s Les freins leur candidature sont le d couragement de l artiste et la complexit de l inscription au fichier notamment sur les conditions d admission et les modalit s d inscription trop restrictives Les artistes doivent pr senter huit ann es cons cutives de travail et de diffusion dans un contexte professionnel MCCCF 2010 Par cons quent Loto Qu bec est encourag e faciliter les modalit s de s lection de l artiste pour son diffuseur Elle devrait fournir les exigences minimales au programme Collection Loto Qu bec l art de partager ses diffuseurs participants Les modalit s du processus d acquisition d une uvre d art de la collection de Loto Qu bec comprennent les nonc s suivants Toutes les propositions d art contemporain que ce soit en photographie en peinture en sculpture en gravure en dessin ou en collage sont admissibles La pertinence de l uvre doit s inscrire l int rieur de la mission de la Collection qui consiste encourager l art contemporain d artistes professionnels qu b cois L artiste doit tre originaire du Qu bec ou r sident du Qu bec depuis plus de deux ans L uvre doit tre originale et refl ter la ma trise de la technique employ e tir de Loto Qu bec et ses filiales 2014c 59 Selon ces nonc s le legs pour la communaut doit tre r alis par un artiste professionnel au sens de la Loi sur le statut professionnel des artistes en arts v
96. complexe entreprendre dans un contexte o l information est limit e en d but de mandat Pour mieux appr hender la nature du legs la communaut il faut comprendre la vision et le besoin de l organisation Dans cette perspective ce chapitre met en contexte le volet du legs pour la communaut du nouveau programme Collection Loto Qu bec l art de partager afin de d terminer ses objectifs strat giques Puis le legs pour la communaut et l identification des projets admissibles abordent les livrables attendus par Loto Qu bec Enfin le champ d application relate la discipline utilis e pour r pondre aux exigences des portfolios dans les prochains chapitres 1 1 Collection Loto Qu bec l art de partager Les engagements de Loto Qu bec dans le milieu des arts se traduisent par la r alisation de partenariats avec la communaut de commandites pour des organismes but non lucratif et pour des v nements significatifs Par exemple la soci t d tat a soutenu quelque 120 v nements culturelsen 2012 la diffusion des arts de la sc ne depuis 2008 et la promotion des arts visuels au Qu bec depuis 35 ans par l entremise de Collection Loto Qu bec Loto Qu bec 2012 Avec sa d marche de d veloppement durable en 2005 Loto Qu bec met toujours de l avant ces actions et programmes en adoptant un objectif sur la promotion et la pr servation du patrimoine culturel qu b cois Loto Qu bec 2006 Collection Loto Qu bec repr
97. compose d intervenants du CNE et d autres travailleurs sur les volets d animation de la technique de la surveillance d exposition et des projets sp ciaux Le MCCCF et la Ville de Saguenay offrent des subventions annuelles au CNE Ses actions culturelles et ducatives sont galement soutenues par diff rents minist res provinciaux et f d raux par des commanditaires r gionaux Les Caisses Desjardins jonqui roises l Autobus Laterri re la Banque Nationale du Canada le C gep de Jonqui re etc et par les membres donateurs Le CNE fait un appel de projets d exposition deux fois par an pour cr er sa programmation annuelle Les projets d expositions sont tr s diversifi s et certains traitent d une cause sociale telle que la maladie mentale Le CNE propose plusieurs activit s socioculturelles pour sa client le Il offre des visites guid es gratuites pour diff rents groupes les 3 5 ans le primaire le secondaire et la famille ou d un tarif de 70 pour les visites de groupe hors des heures d ouverture Le CNE propose galement des activit s de vernissage et de conf rences dans ses salles d exposition Enfin il offre une visite comment e du parcours d art public de l arrondissement de Jonqui re La population saguen enne peut devenir ami du CNE afin d avoir acc s gratuitement ces activit s 45 4 3 1 Composition du comit local Le comit local est repr sent par deux intervenants du CNE une intervenante en art
98. conomique pour eux Union des municipalit s du Qu bec 2014 Ils repr sentent les chambres de commerce les repr sentants de l industrie et les entreprises locales Turcotte et autres 2011 gt Organisations impliqu es indirectement dans la culture chambres de commerce regroupement de gens d affaires associations professionnelles et clubs sociaux Alm ras et W ra 1998 gt Organismes communautaires organisations qui offrent galement des services en loisirs pour le d veloppement social et donnent l acc s aux citoyens culturels Stewart et autres 2010 gt Milieu scolaire les universit s les grandes coles et les coll ges Alm ras et W ra 1998 Pouvoirs publics gt Les parties prenantes qui ont un r le politique aux instances locales exclu r gionales provinciales nationales et supranationales Celles ci peuvent repr senter galement les partis politiques Turcotte et autres 2011 gt Conseil de quartier Comit de citoyens et d lus municipaux qui s occupent de quelques services de proximit ces citoyens Union des municipalit s du Qu bec 2014 gt Conseil municipal rassemble les maires et les conseillers municipaux lus par la population du territoire afin de diriger les politiques du territoire gt MRC repr sente le palier supralocal constitu de maires et du pr fet ayant pour fonction de proposer des orientations de d veloppement et un sch ma d am nagement du territoi
99. de communication aupr s des comit s locaux et comme outil d appr ciation des propositions de legs Il est recommand de garder la m me grille d valuation durant la consultation des comit s locaux et lors de l valuation des projets par le jury ind pendant Plusieurs autres outils d valuation ont t r pertori s dans la litt rature sur l art public L outil d valuation de Chrysalis Arts Ltd s d permet de faire une valuation exhaustive sur la durabilit d un projet d art public alors que la trousse d xia Ltd 2014 tente de faciliter la n gociation des impacts du legs sur la communaut aupr s de ses parties prenantes Ces grilles d analyse peuvent donner des pistes d am lioration pour Loto Qu bec afin d optimiser son processus d valuation 32 4 PR SENTATION DES PORTFOLIOS DE PROJETS D ART PUBLIC Le processus de coproduction dans le cadre d un legs pour la communaut a donn quatre portfolios de Loto Qu bec comme produit final Ces portfolios pr sentent au moins trois propositions de projet d art public dans une perspective de d veloppement durable D apr s la grille multicrit res ces projets doivent r pondre un besoin culturel de la collectivit tableau 3 1 Par cons quent ce chapitre analyse la coh rence des propositions formul es par les comit s locaux par rapport aux enjeux locaux identifi s dans la d marche de consultation Pour ce faire une introspection de la d marche d engagement
100. des citoyens Respect de la capacit de support des cosyst mes les activit s humaines doivent tre respectueuses de la capacit de support des cosyst mes et en assurer la p rennit Production et Consommation responsables des changements doivent tre apport s dans les modes de production et de consommation en vue de rendre ces derni res plus viables et plus responsables sur les plans social et environnemental entre autres par l adoption d une approche d coefficience qui vite le gaspillage et qui optimise l utilisation des ressources Pollueur payeur les personnes qui g n rent de la pollution ou dont les actions d gradent autrement l environnement doivent assumer leur part des co ts des mesures de pr vention de r duction et de contr le des atteintes la qualit de l environnement et de la lutte contre celles ci Internalisation des co ts la valeur des biens et des services doit refl ter l ensemble des co ts qu ils occasionnent la soci t durant tout leur cycle de vie de leur conception jusqu leur consommation et leur disposition finale Pr servation de la diversit culturelle la diversit culturelle est une grande richesse pour les individus et les soci t s La protection la promotion et le maintien de la diversit culturelle sont une condition essentielle pour un d veloppement durable au b n fice des g n rations pr sentes et futures tir du
101. directeur des services communautaires et de proximit de la Ville de Rouyn Noranda La version d finitive des quatre portfolios de Loto Qu bec a t remise au Service de l engagement social et au Service du d veloppement durable de Loto Qu bec pour une approbation finale Un jury ind pendant de Loto Qu bec a t form afin de s lectionner une proposition parmi celles 17 pr sent es dans les portfolios pour chaque ville Loto Qu bec donnera un montant de 10 000 au propri taire du legs pour la r alisation de la proposition retenue par l entremise d une entente Le propri taire sera responsable du suivi avec Loto Qu bec pour la mise en uvre et pour la conservation du legs La gestion du projet tel que le budget total allou et la date de lancement a t laiss e la discr tion du comit local 2 5 Retour sur le processus Lors du processus de consultation plusieurs pr occupations ont t soulev es par les parties prenantes Le tableau 2 4 fait tat de celles ci et des observations de l auteur de l essai dans les entretiens Bien que l ensemble des participants des comit s locaux a t favorable l engagement de Loto Qu bec il demeure que des am liorations pourraient tre apport es Par exemple une tape consacr e la r troaction permettrait d appr cier la satisfaction des participants au legs pour la communaut de chaque r gion participante Tableau 2 4 Bilan des pr o
102. e de Saint J r me 2013a Histoire de Saint J r me n Ville de Saint J r me Ville propos de la ville Histoire de Saint J r me http www vsj ca fr histoire de saint jerome aspx Page consult e le 27 juillet 2014 Ville de Saint J r me 2013b Portrait de Saint J r me n Ville de Saint J r me Ville propos de la ville Portrait de Saint J r me http www vsj ca fr portrait de saint jerome aspx Page consult e le 27 juillet 2014 Ville de Saint J r me 2013c Culture Tous les onglets n Ville de Saint J r me R sidents Culture http www vsj ca fr attraits culturels aspx Page consult e le 27 juillet 2014 Ville de Saint J r me 2013d Service des loisirs de la culture de la vie communautaire et des communications n Ville de Saguenay Ville Administration municipale Services municipaux http www vsj ca fr service des loisirs de la culture de la vie communautaire et des communications aspx Page consult e le 28 juillet 2014 Ville de Saint J r me 2013e R pertoire des organismes culturels n Ville de Saint J r me R sidents Culture R pertoire des organismes culturels http www vsj ca fr repertoire des organismes culturels aspx Page consult e le 27 juillet 2014 Ville de Sherbrooke 2007 tat de situation diagnostic et enjeux et cadre de r f rence et d intervention Politique de d veloppement social et communautaire n Ville de Sherbrooke Consultations http w
103. e de Saint J r me se d marque par son p le urbain et par sa destination r cr otouristique importante au Qu bec Ville de Saint J r me 2013b Ses deux parcs r gionaux ses activit s d animation culturelle ses v nements culturels Les Estivales sa programmation En Sc ne le Salon des Arts de Saint J r me son r seau de trois biblioth ques publiques son chemin 38 ferroviaire ses b timents patrimoniaux et son circuit d art public sont des atouts pour le tourisme culturel de la Ville Ville de Saint J r me 2013c La recherche action de Tourangeau 2013 a relat plusieurs tendances sur les possibilit s de d veloppement culturel sur la mise en valeur des attraits culturels de la Ville et sur les menaces de la concurrence r gionale tableau 4 4 Tableau 4 4 Portrait du tourisme culturel Saint J r me tir de Tourangeau 2013 p 16 Forces Faiblesses gt Parc lin aire du P tit train du Nord gt Perception n gative de la ville comme destination km z ro gt Manque de concertation et de coh sion du milieu gt Concentration d attraits au centre d affaires ville gt Appropriation et utilisation des nouvelles gt Patrimoine technologies gt Parc r gional de la Rivi re du Nord gt M connaissance des attraits culturels et gt P le institutionnel gouvernement et touristiques par les travailleurs de Saint J r me et judiciaire les visiteurs gt Signalisation et diffusion de
104. e de v g tation un coffret d crivant la collection d uvres d art de la Galerie d art et un logiciel pour cartographier les circuits d art de Sherbrooke Il a fallu une deuxi me consultation pour clarifier le processus de la cr ation du portfolio de Sherbrooke et pour ressortir quatre propositions de legs 36 4 1 3 valuation des propositions formul es Le coffret d crivant la collection d uvres d art de la Galerie d art et l appareil audiovisuel qui commente le circuit d art public de l Universit de Sherbrooke ont t exclus du portfolio pour leur caract re publicitaire En fin de compte le comit local a formul quatre propositions de legs pour la communaut pour le printemps 2015 pouvant tre r alis es chacune avec une enveloppe budg taire de 10 000 Celles ci sont synth tis es dans l num ration suivante 1 La mise en place d une bo te lumineuse monumentale de 14 x 23 m tres carr s servant de support la photographie est le premier choix du comit local Ce projet g r par la Galerie d art de l Universit de Sherbrooke permettra d offrir une vitrine de premier ordre aux divers groupes culturels ou communautaires auxquels s associera l Universit La bo te lumineuse monumentale sera install e sur une structure autoportante en plein air l o la circulation pi tonne et automobile est la plus dense Elle arborera des images imprim es sur des toiles en vinyle qui seront chacune r tro c
105. e la Gare la statue du cur Labelle le parc Schulz le parc des Roselines etc La population j r mienne est tr s sensibilis e l environnement Elle est conscientis e sur l application des bandes riveraines et sur les enjeux du gaspillage de l eau La Ville poss de le centre national de transport avanc sur les v hicules lectriques et une politique ambitieuse sur le co t de stationnement afin d inciter l utilisation de v hicules hybrides ou lectriques Le comit aborde d abord le legs pour la communaut comme une opportunit pour dynamiser un lieu public Le volet de l implication communautaire du legs est tr s important pour les membres puisqu il permet de renforcer le sentiment d appartenance et de fiert des citoyens sur le site et d tablir une coh sion sociale dans la ville Les crit res d excellence du comit sont l aspect ludique la convivialit et la simplicit du projet Puis plusieurs id es de legs ont merg la fin de 41 la consultation un mobilier urbain interactif un tableau public pour dessiner un banc artistique voir la Ville d Aylmer une uvre d art d compos e en petites pi ces plac es dans les quartiers afin de r aliser une chasse au tr sor des sculptures de rond point un arbre livres un jeu de lumi re sur un b timent patrimonial un abreuvoir fait par un artiste la mise en lumi re d un parc public un ajout d une uvre d art dans la cath drale etc Le com
106. e pas 0 Le crit re de durabilit n est pas satisfait 1 Le crit re de durabilit est peu satisfaisant 2 Le crit re de durabilit est satisfaisant 3 Le crit re de durabilit est plus que satisfait 4 3 2 4 Avantages et contraintes de la grille Le principal objectif de la grille est de prioriser les propositions de legs pour la communaut par rapport des crit res d aide la d cision Elle force alors les comit s locaux prendre en compte les pr occupations de la soci t qu b coise sur le d veloppement durable et sur la culture 30 refl t es dans l Agenda 21C Le cadre d analyse permet de relever les effets souha itables du projet d art public et de formuler des pistes d am lioration Le processus d cisionnel est transf r un jury ind pendant compos d experts en d veloppement durable et en arts visuels Cela permet la soci t d tat de garantir une d marche impartiale pour son engagement envers sa communaut et ses parties prenantes L valuation par les pairs permet en effet de prot ger l agence commanditaire de toute pression externe et elle accorde plus de l gitimit au processus de s lection Cole et autres 2010 Cependant le mode d valuation du jury n est pas encore clairement tabli par Loto Qu bec Comme tout outil d valuation la grille d analyse multicrit res dispose d avantages et de contraintes d application tableau 3 8 Le contexte d cisionnel de l en
107. e une opportunit d accro tre le soutien aux artistes professionnels du Qu bec des initiatives qui rassemblent l art l environnement et la communaut Ce mod le de financement permet de r pondre une pr occupation sur le financement des projets formul e par les praticiens en art cologique Carruther 2006 D apr s le bilan des pr occupations des comit s locaux tableau 2 4 la pertinence de l engagement de Loto Qu bec n a pas t remise en question Cependant la r alisation des portfolios de Loto Qu bec et le processus de s lection de la proposition de legs ont t critiqu s Le chapitre 5 anticipe par ailleurs une importante charge de travail pour les diffuseurs sur la 63 r alisation du projet culturel durable Il est donc int ressant de continuer l engagement de Loto Qu bec dans le cadre de la Collection Loto Qu bec l art de partager mais son processus doit tre r examin afin d all ger la charge de travail des diffuseurs participants dans les prochaines ann es 6 2 Mod les de gestion envisag s Des mod les de gestion sont formul s pour partager les responsabilit s du processus entre Loto Qu bec et ses diffuseurs Elles sont formul es pour r pondre la mission du programme d acquisition et de diffusion d uvres d art de Loto Qu bec Les mod les de gestion sont class s selon le niveau des responsabilit s de Loto Qu bec sur la gestion de son engagement Chaque mod le se r f re
108. eeeseeeseeeeneeenessnnernerresrnssrnssrnssrnssrrssens 20 8 1 2 Trousse d valuation d Ixia Ltd 21 3 1 3 Guide d aide la d cision en mati re de mobilier urbain durable seeeereeenn 22 8 1 4 Autres grilles existantes dans le domaine de la culture 22 8 2 Construction de la grille d analyse multicrit res seesseesseeseeesseeeneeene ennnen nnnnsennsennsen nes 24 3 2 1 Contexte d cisionnel issues 24 3 2 2 Justification des crit res d aide la d cision 26 3 2 3 Justification de la pond ration et du pointage 30 3 2 4 Avantages et contraintes de la grille eesesseeesseeseesenessrnsssrnnstirnnnternnsrennnsrnnnnntnn 30 3 3 Constats G n raux irea nn M a an A nn Aea su d 32 4 PR SENTATION DES PORTFOLIOS DE PROJETS D ART PUBLIC s ssisessissiiesiieerieereeeen 33 e EEI 1 118 Koe KE E E E A E AET 34 4 1 1 Composition du comit local ss 36 4 1 2 Orientations du legs pour la communaut sesseesseesseeese esse nesr ner nssrnssrnnsrnssrnssrnssnne 36 4 1 3 valuation des propositions formul es s sesssssiessissiiesrieeseiessrisrrssriesrreesrressresnrres 37 4 2 Saint J r ME ss ni aan ni inde aliens 38 4 2 1 Composition du comit local ssesseesssesseessessetsttnrtstntetnntn ntn nntnnntnnntnnnnnnnnssnnnnne 40 4 2 2 Orientations du legs pour la communaut s ssseesseesseeeeeesse nssr nesrnssrnssrnssrnssrnssrnssnne 40 4 2 3 valuation des propositions formul es s
109. el Page consult e le 18 f vrier 2014 Universit de Sherbrooke s d b Activit s artistiques et culturelles n Universit de Sherbrooke Sur nos campus Milieux de vie http www usherbrooke ca developpement durable campus vie culture Page consult e le 18 f vrier 2014 Universit de Sherbrooke s d c Le Centre culturel n Universit de Sherbrooke D veloppement durable Sur nos campus Milieux de vie http www usherbrooke ca developpement durable campus vie culture centre culturel Page consult e le 18 f vrier 2014 83 Valli res C 2014a Discussion au sujet des crit res d exclusion des projets durables du portfolio et des parties prenantes de la consultation Communication orale Entretien t l phonique avec Caroline Valli res conseill re au Service du d veloppement durable de Loto Qu bec 30 janvier 2014 Sherbrooke Valli res C 2014b R union de travail sur le tableau multicrit res et sur la strat gie de consultation Communication orale Entretien avec Caroline Valli res conseill re au Service du d veloppement durable de Loto Qu bec 6 f vrier 2014 Sherbrooke V zina L et Blackburn J 2012 Pr sentation de d marches d int gration de la culture au d veloppement durable et d actions exemplaires n minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine du Qu bec et minist re de la Culture et de la Communication de la France Colloque culture et d veloppem
110. el durable par l interm diaire des approbations et des fonds Scott 2013 Par cons quent une consultation exhaustive des sites web du partenaire culturel et de la ville impliqu e a t entreprise pour caract riser ces l ments et pour pr parer la consultation La recherche documentaire des actifs et de l environnement l gitime des institutions mus ales a donn peu de r sultats pour d signer la forme du projet culturel durable son site d implantation et les ressources locales investir En effet chaque ville dispose des indicateurs locaux d aide la d cision pour r aliser des politiques l chelle de leur territoire Les sources d information consult es permettent exclusivement de d terminer les enjeux locaux de d crire la collectivit concern e et de brosser un portrait des actions municipales dans le domaine de la culture Il a alors t n cessaire de d l guer la formulation des propositions de projet de tierces personnes qui 14 connaissent bien leur milieu De cette mani re le legs pourrait mieux r pondre un besoin culturel de la collectivit et cr er des synergies avec d autres initiatives locales Ainsi la strat gie de consultation comporte deux tapes la formation du comit local et la consultation D une part les deux parties prenantes prioris es dans la cartographie ont t invit es par courriel former un comit local afin de r fl chir sur des projets de legs pour la commun
111. el que des projections de lumi re sur l h tel de ville des mosa ques terre un projet sur le trottoir ou un mobilier urbain pour des performances artistiques Ce projet pourra faire b n ficier un maximum de gens qui visitent Rouyn Noranda Le comit local cite Toulouse en France et le Mus e des beaux arts de Montr al comme mod le suivre en mati re d art public Ceux ci ont cr un parcours d uvres d art public dans leur quartier et un programme de m diation culturelle Par cons quent les membres du comit pensent ajouter un volet de m diation culturelle dans les propositions 4 4 3 valuation des propositions formul es Le comit local de Rouyn Noranda a formul trois propositions de legs pour la communaut avec un budget de 20 000 pour l t 2015 afin de s inscrire dans la d marche r gionale de Culturat Les artistes de la ville seront appel s soumettre un projet et les meilleurs projets pr s lectionn s seraient soumis un vote aupr s de la population Le projet retenu sera inaugur dans un petit v nement faisant appel des artistes Les propositions sont caract ris es dans l num ration suivante 1 Le comit propose une aire de repos dans le quartier du Vieux Noranda Cette proposition r pond un besoin de la collectivit sur le manque d espaces verts et sur les manifestations culturelles au cours de l ann e dans le quartier Cette derni re devra s inspirer du texte de
112. elle dans une perspective de durabilit La culture est porteuse de sens d identit de valeurs et d enracinement 1 Reconna tre et promouvoir l identit culturelle qu b coise travers la protection et la mise en valeur de son patrimoine mat riel et immat riel dans toute sa diversit et sur l ensemble du territoire 2 Valoriser le r le des artistes des cr ateurs de toutes disciplines et des professionnels de la culture en tant que porteurs du renouvellement de l identit culturelle qu b coise et vecteurs de la diversit de ses expressions culturelles Soutenir la cr ation la production et la diffusion sur tout le territoire en prot geant la libert d expression et en responsabilisant l ensemble des acteurs de la soci t envers l importance d assurer le d veloppement viable du secteur culturel qu b cois 3 Veiller ce que le fran ais en tant que langue officielle du Qu bec demeure la langue commune de la vie publique de toutes les Qu b coises et de tous les Qu b cois quelle que soit leur origine dans le respect de la communaut de langue anglaise et des communaut s culturelles ainsi que des nations am rindiennes et de la nation inuite 4 Reconna tre la sp cificit culturelle des nations am rindiennes et de la nation inuite ainsi que l apport de leurs cultures leurs savoirs et leurs traditions la construction de l identit culturelle qu b coise Favoriser la connaissance la sauvegarde la t
113. elle ne soit pr sent e pour l approbation finale Cole et autres 2010 p 47 Lors de l valuation finale les artistes pr sentent leur projet pendant 30 40 minutes en plus d une p riode de questions devant le comit de s lection Ce dernier r it re les objectifs de la commission le processus de s lection et la mani re dont l artiste sera valu e la suite des entretiens les membres du comit d battent de chaque pr sentation pour s lectionner la meilleure Un suivi est effectu aupr s des artistes sur les r sultats de l valuation et ensuite par rapport la conception d taill e Toutes les approbations officielles du projet devraient se faire avant la conception d taill e Arts South Australia Government 2004 l tape de la conception d taill e les membres de l quipe de pilotage tudient nouveau la proposition conceptuelle accept e afin de dresser une liste de contr le pour l entente finale Selon le degr d exp rience de l artiste ce dernier pourrait avoir besoin d tre second pour finaliser le budget et pour tudier les aspects techniques de son uvre L acceptation crite de la proposition de conception d taill e m ne l tape de la r alisation et de l installation de l uvre Le d lai d acception de la conception d taill e est un facteur d terminant l ch ancier du projet Cole et autres 2010 L tape de la fabrication et de l installation d uvre d art po
114. ement Les l ments suivants devraient tre consid r s dans l ch ancier gt Les diffuseurs devraient tre inform s de l engagement de Loto Qu bec le plus t t possible afin de commencer les pr paratifs de la commission cet effet il importe de diffuser une br ve pr sentation de l engagement de Loto Qu bec dans son programme d acquisition et de 67 diffusion Une rencontre pourrait tre pr vue d s la confirmation du diffuseur son implication l exposition th matique de Collection Loto Qu bec l art de partager afin de jeter les bases du legs culturel durable Le canevas de projets tableau 2 2 et les modalit s de la cr ation du legs pour la communaut sont donn s au diffuseur durant cette rencontre L laboration des outils d animation pourrait s inspirer de l annexe 3 en mettant l accent sur la cr ation de la valeur publique section 2 3 Toutefois les points sur la gestion du projet et les responsabilit s des collaborateurs devraient tre ajout s pour clarifier la port e de l engagement gt Un second change entre Loto Qu bec et son partenaire culturel pourrait relater des propositions de legs et des points clarifier Les objectifs de la rencontre d pendraient grandement du mod le de gestion s lectionn par Loto Qu bec Il serait sugg r de d finir les r unions n cessaires et les livrables exig s afin de sch matiser le processus de l engagement de Loto Qu bec En ce sens l annexe
115. ences du travail de l artiste Les membres du comit de s lection ont r vis le projet d art public Ces derniers continuaient d imposer leurs jugements esth tiques sur les id es de base de l artiste alors que celles ci ont t accept es par le client et la communaut traduction libre de Heder 2013 Ceux ci montrent l importance de la clart des r les et des responsabilit s de chaque partie prenante sur la mise en uvre du legs pour la communaut Pour cela l annexe 5 sugg re d tablir des objectifs clairs sur la commission et les contraintes reli es au processus de cr ation artistique dans le cadre de r f rence Selon les lignes directrices d une agence commanditaire r gionale du Royaume Uni un responsable de projet pourrait faire le pont avec le comit local Loto Qu bec et l artiste retenu afin de s assurer du bon suivi de la commission du legs pour la communaut Public Art South West 2008 galement les fronti res sur le r le de l artiste et sur le travail auquel il va 57 tre r mun r devraient tre clairement d finies par le comit local dans une entente crite Perkins 2002 Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 Malgr la division des t ches de chaque partie prenante la collaboration entre l artiste et le comit de pilotage demeure essentielle dans la r alisation du legs Elle permet d appuyer l artiste dans son processus de cr ation d assurer la conservatio
116. encontr s Nous avons pu cheminer vers la cr ation d un processus de coproduction d un legs pour la communaut Je tiens remercier M Alain Webster et Mme Dominique Villemaire de me donner l opportunit de vivre une exp rience professionnelle enrichissante dans le domaine du d veloppement durable Cette exp rience m a initi e plusieurs disciplines peu touch es dans le cadre de ma formation professionnelle et elle m a permis de reconna tre mes forces et faiblesses dans la d marche Le Service de d veloppement durable de Loto Qu bec a galement contribu une excellente r mun ration de mon mandat Du c t de l encadrement de mon essai Carole Villeneuve a fait preuve d une grande patience et d une ouverture exceptionnelle par rapport au suivi de mon essai cause du caract re novateur du travail et des livrables exig s de Loto Qu bec j ai d refaire plusieurs fois la r daction des premiers chapitres pour suivre une ligne directrice Je tiens donc remercier Carole de sa compr hension sur ma mani re de travailler de ses r visions des chapitres de mon essai et de ses conseils sur les d fis que j ai rencontr s Elle m a beaucoup orient e sur la cartographie des parties prenantes sur la relation professionnelle envers Loto Qu bec et ses partenaires ainsi que sur la r daction de mon essai Je tiens galement remercier toutes les personnes qui m ontaid la r daction de mon essai En fait c est su
117. ent durable 2012 Paris 22 23 novembre Paris culture dd12 0org Ville de Rouyn Noranda 2010 Sch ma d am nagement et de d veloppement r vis en 2010 n Ville de Rouyn Noranda Organisation municipale Sch ma d am nagement et plan d urbanisme http www ville rouyn noranda qc ca fr page schema amenagement et de developpement Page consult e le 28 juillet 2014 Ville de Rouyn Noranda 2012a Culture sports et loisirs tous les onglets n Ville de Rouyn Noranda Culture sports et loisirs http www ville rouyn noranda qac ca fr page culture sports et loisirs Page consult e le 28 juillet 2014 Ville de Rouyn Noranda 2012b Qu est ce que le Fonds municipal d art contemporain n Ville de Rouyn Noranda Organisation municipale Politiques et programmes municipaux Fonds municipal d art contemporain http www ville rouyn noranda qc ca fr page fonds municipal art contemporain Page consult e le 1 ao t 2014 Ville de Rouyn Noranda 2012c Communautaires et proximit n Ville de Rouyn Noranda Organisation municipale Services municipaux http www ville rouyn noranda qc ca fr page communautaires et proximite Page consult e le 31 juillet 2014 Ville de Saguenay 2003 Politique des arts de la culture et du patrimoine de la Ville de Saguenay In Ville de Saguenay Reztez inform Politiques http ville saguenay ca fr media view publications 4509_ politique culturelle 2004 pdf Page consult e le 28 juill
118. er afin de rendre durable le d veloppement sur les plans environnemental social et conomique Les actions entreprises sur un territoire doivent prendre en consid ration leurs impacts l ext rieur de celui ci I Pr vention en pr sence d un risque connu des actions de pr vention d att nuation et de correction doivent tre mises en place en priorit la source J Pr caution lorsqu il y a un risque de dommage grave ou irr versible l absence de certitude scientifique compl te ne doit pas servir de pr texte pour 101 remettre plus tard l adoption de mesures effectives visant pr venir une d gradation de l environnement Protection du patrimoine culturel le patrimoine culturel constitu de biens de lieux de paysages de traditions et de savoirs refl te l identit d une soci t II transmet les valeurs de celle ci de g n ration en g n ration et sa conservation favorise le caract re durable du d veloppement Il importe d assurer son identification sa protection et sa mise en valeur en tenant compte des composantes de raret et de fragilit qui le caract risent Pr servation de la biodiversit la diversit biologique rend des services inestimables et doit tre conserv e au b n fice des g n rations actuelles et futures Le maintien des esp ces des cosyst mes et des processus naturels qui entretiennent la vie est essentiel pour assurer la qualit de vie
119. eront plant s sur le campus principal et l autre moiti sera offerte aux citoyens des quartiers moins bien pourvus en v g tation Cela permettra d am liorer le paysage des quartiers de compenser les missions de gaz effet de serre et de faire une r alisation environnementale pour la communaut 37 Parmi ces quatre propositions la mise en place d une bo te lumineuse monumentale est le meilleur projet culturel durable selon la grille multicrit res tableau 4 3 Il permet de mettre en valeur l offre culturelle de l Universit de Sherbrooke tout en collaborant avec les organismes culturels de la r gion Sa configuration durable permet une exposition dynamique d un contenu culturel un maximum de passants et une diminution des risques de vandalisme Quelques consid rations doivent tre prises en compte sur l impact environnemental du projet la pollution lumineuse les impacts de la construction de la bo te et la rationalisation des toiles de vinyle et de l nergie Tableau 4 3 valuation des propositions du comit local de Sherbrooke Crit res de durabilit Projet 1 Projet 2 Projet 3 Projet 4 Identit et diversit culturelle 4 3 3 3 R flexion sur un enjeu 3 3 4 3 Projet novateur et cr atif 4 3 2 2 Implication communautaire 3 1 3 3 D marche coresponsable 2 2 4 4 Effets rassembleurs 3 3 3 2 Valeur partag e pour la collectivit 4 2 3 4 Valoris
120. es constituent une d limitation spatiale optimale pour la consultation La municipalit locale correspond la plus petite unit de gestion publique autonome du Qu bec ayant un r le sur la culture Toutefois les r gions participant l engagement de Loto Qu bec sont des villes Celles ci ont un territoire plus important que les municipalit s locales et elles disposent de comp tences reli es la municipalit r gionale de comt un palier supralocal Par ailleurs une ville peut se subdiviser en agglom rations ou en arrondissements Ces derniers repr sentent des instances de repr sentation de d cision et de consultation pour g rer certaines comp tences municipales g n ralement les services de proximit Minist re des Affaires municipales des R gions et de l Occupation du territoire 2013 Peu d information est disponible sur les arrondissements des villes l tude Les villes disposent d un site web pr sentant les caract ristiques touristiques de leur territoire les services offerts aux citoyens et entrepreneurs ainsi que le mode de gestion administrative Alors le territoire de la ville a t choisi comme d limitation spatiale des r gions de Sherbrooke de Saint J r me de Saguenay et de Rouyn Noranda Cette d limitation permet aussi d agrandir le cadre d analyse des parties prenantes au palier de la municipalit r gionale de comt afin d inclure un maximum d intervenants dans la cartographie 2 2
121. es id es cr atives Dans le cas des artistes venus de l ext rieur il faudra compter des frais de d placement dans le budget du projet pour visiter le site Cole et autres 2010 p 47 Le r le du comit de s lection et le processus de s lection sont clarifi s dans le cadre de r f rence tableau 5A 1 La s lection du projet peut tre d l gu e au comit de s lection ou le charg de projet peut le consulter pour appuyer son choix de proposition Ces membres vont g n ralement s lectionner les propositions re ues l aide d une grille multicrit res sur une approche consensuelle sur un vote majorit ou sur une valuation num rique La grille comprend des crit res sur le m rite artistique sur le concept sur les enjeux manag riaux du projet et sur les autres consid rations de l occasion artistique Chaque crit re est pond r selon leur importance au concours Le comit de s lection se r f re habituellement au cadre de r f rence pour valuer 107 chaque proposition conceptuelle Les membres du comit doivent par ailleurs avoir l expertise n cessaire pour cela Arts South Australia Government 2004 Un examen pr liminaire du concept pr liminaire par le personnel cl et les membres de l quipe technique permet de r pertorier les enjeux techniques s curitaires ou de gestion li s au projet Cette r vision permet l artiste de modifier sa proposition ou de changer son concept de d part avant qu
122. es politiques familiales municipales et favoriser l acc s des familles aux lieux culturels Favoriser de m me l int gration de la culture dans les politiques sociales et am liorer l acc s des groupes d favoris s aux lieux culturels Promouvoir le r le de la culture comme d terminant de la sant Valoriser la place de l art au sein des tablissements de la sant et des services sociaux Multiplier les partenariats entre les artistes les organismes culturels et ce milieu Partie 3 Culture et conomie La culture est un catalyseur de cr ativit de d veloppement conomique et de cr ation de richesse 11 12 13 14 Reconna tre et promouvoir la culture comme levier d un d veloppement conomique durable l chelle locale r gionale et nationale Mettre en valeur les retomb es conomiques de la culture qu b coise Elaborer de nouveaux mod les de soutien conomique de la culture et de valorisation du m c nat Valoriser l entrepreneuriat culturel sous toutes ses formes Soutenir la pr sence culturelle qu b coise sur la sc ne internationale et l inclure dans les planifications conomiques locales et r gionales Miser sur le pouvoir des arts et de la culture pour accro tre l excellence d autres secteurs de l activit conomique tels que am nagement du territoire le tourisme la publicit et l utilisation des technologies de l information Favoriser l adh sion des gens d affaires au
123. es se manifestent Les objectifs de Loto Qu bec exigent de trouver des outils qui valuent le projet avant sa r alisation Pour cela une grille d analyse multicrit res permet d valuer les impacts d un projet dans le but de l am liorer et de le comparer d autres options par rapport aux objectifs poursuivis des donn es quantifiables et des valeurs subjectives Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 Haavaldsen et autres 2014 Les prochaines sous sections pr sentent trois diff rentes grilles d analyse multicrit res r pertori es dans la litt rature sur l art public Une derni re sous section expose d autres grilles d analyse et leurs crit res d aide la d cision utilis s dans le domaine de la culture Leurs crit res serviront construire la grille d analyse multicrit res pour l engagement de Loto Qu bec 3 1 1 Grille d analyse de Chrysalis Arts Ltd Chrysalis Arts Ltd s d a r alis un outil d valuation de la durabilit d un projet d art public Son outil s inspire de plusieurs documents de r f rence sur le d veloppement durable au Royaume Uni et de ses vingtaines d ann es d exp rience sur la gestion de l art public Il contient un ensemble de cinquante lignes directrices de bonnes pratiques sur la r alisation d un projet d art public divis es dans cinq th matiques l approche artistique la gestion du projet l implication communautaire l environnement et les ressources ain
124. est annonc demandant pour ces derniers et quelques incompr hensions se sont manifest es sur la port e de l engagement Le pr sent essai tente donc de r pondre cette probl matique en se focalisant sur l optimisation du processus de coproduction de l engagement de Loto Qu bec pour les prochaines ann es L analyse de la d marche de consultation a permis de d terminer les points d incompr hension des diffuseurs et les points d am lioration dans le processus La grille d analyse multicrit res inspir e de l Agenda 21 de la culture du Qu bec a t un outil de communication efficace pour engager les diffuseurs formuler leurs propositions dans une perspective de d veloppement durable La majorit de leurs propositions vont faire l objet d un appel d artistes Par cons quent les meilleures pratiques manag riales d une commission d une oeuvre d art public au Canada et l international ont t tudi es afin de proposer un cadre de suivi et afin de relever les facteurs importants dans la gestion d une telle d marche Pour optimiser le processus de l engagement Loto Qu bec est invit e choisir un cadre de gestion parmi les quatre mod les suivant une d marche de consultation pour engager les diffuseurs r diger un cadre de r f rence une d marche de coproduction pour retenir une proposition conceptuelle inspir e des modalit s de la Politique d int gration des arts du gouvernement du Qu bec une acquisition d une
125. et 2014 Ville de Saguenay 2011 Faites vous plaisir Rapport d v nement 2011 Consultation publique sur l implication b n vole In Ville de Saguenay Services aux citoyens Services aux a n s Saguenay Villes Amie des a n s http ville saguenay ca fr media viewst services aux citoyens services aux_aines rapport_fa ites_vous_ plaisir 2011 pdf Page consult e le 31 juillet 2014 Ville de Saguenay 2014a Histoire de la Ville et archives tous les onglets n Ville de Saguenay D couvrir Saguenay Histoire de la Ville et archives http ille saguenay ca fr decouvrir saguenay histoire de la ville et archives saguenay metropole regionale Page consult e le 28 juillet 2014 Ville de Saguenay 2014b Patrimoine K nogami Arvida et Historique In Ville de Saguenay D couvrir Saguenay Patrimoine http Wille saguenay ca fr decouvrir saguenay patrimoine Page consult e le 28 juillet 2014 84 Ville de Saguenay 2014c Arts culture communautaire et biblioth que n Ville de Saguenay Administration Services municipaux http ville saguenay ca fr administration municipale services municipaux arts culture communautaire et bibliotheque Page consult e le 28 juillet 2014 Ville de Saguenay 2014d veille ma culture n Ville de Saguenay Activit s et loisirs Arts et culture Programmes culturels http ville saguenay ca fr activites et loisirs eveille ma culture Page consult e le 28 juillet 2014 Vill
126. et les repr sentants de la collectivit peuvent participer la consultation Pour cette raison une cat gorie partenaires d affaires regroupe tous les intervenants li s indirectement un projet d art public dans le domaine du priv La partie prenante les institutions publiques aborde tous les intervenants du domaine public Les autres parties prenantes sont d crites dans la prochaine sous section 11 2 22 Priorisation des parties prenantes Le mod le de Mitchell et autres 1997 permet d aborder la fonctionnalit de la partie prenante et de la prioriser dans un diagramme de Vienne La figure 2 2 pr sente les r sultats de cette priorisation Plus une partie prenante dispose des attributs repr sent s par les cercles plus elle devient importante pour la consultation sur le legs la communaut Le cercle en pointill repr sente les parties prenantes qui sont li es l administration municipale Exclus Domaine du sport Jeunesse Groupes religieux t Groupes politiques Pouvoirs publics M dias Figure 2 2 Cartographie des parties prenantes dans une ville qu b coise inspir de Mitchell et autres 1997 Les partenaires d affaires et les institutions publiques sont des parties prenantes dormantes N ayant pas une l gitimit tr s forte avec l engagement de Loto Qu bec elles peuvent influencer le comit local pour incorporer un aspect communautaire ou environnemental au legs pou
127. ets durables Communication orale Entretien avec Alain Webster vice recteur au d veloppement durable et aux relations gouvernementales et vice recteur au Campus de Longueuil de l Universit de Sherbrooke et avec Dominique Villemaire coordonnatrice du Service de l engagement social de Loto Qu bec 31 octobre Sherbrooke Villeneuve C Riffon O et Tremblay D 2014 Comment r aliser une analyse de d veloppement durable Guide d utilisation de la grille d analyse de d veloppement durable adopt e par la Francophonie In Sypnase la une 30 juin 2014 http synapse uqac ca wp content uploads 2014 06 Guide dutilisation GADDF_2014 pdf Page consult e le 14 ao t 2014 Wilkinson S 2004 How artists can work with design teams on capital projects an arts consultant s perspective Public Art Online Resources Collaboration http www publicartonline org uk resources rescollaboration collaboration_consultant php Page consult e le 7 septembre 2014 86 BIBLIOGRAPHIE Australie National Institute for Experimental Arts UNSW City of Sydney et Carbon Arts s d A database of eco public art In Curating cities http eco publicart org Page consult e le 14 septembre 2014 tats Unis Americans for the arts 2014 Public art network year in review database In Americans for the Arts By program Networks and Councils Public Art Network PAN year in review database research http www americansforthearts org by progra
128. exposition photographique au CNE La Ville de Saguenay pourra soutenir l artiste dans la transmission des savoirs artistiques et dans la coordination des s ances de formation lors de la r alisation du projet Elle pourra aussi former quelques 47 r sidents de Villa Jonqui re pour effectuer des visites guid es de la Murale M moire Le CNE planifie d amorcer le projet le 1 octobre 2015 l occasion de la Journ e internationale des personnes g es avec un budget de 16 000 Les trois propositions r pondent tous les crit res de durabilit de la grille d analyse tableau 4 6 Toutes les propositions ont l avantage d aborder une d marche participative et coresponsable dans une perspective d optimiser les b n fices toute la communaut La Murale M moire a le pointage le plus lev Elle r pond d une mani re originale aux pr occupations du comit sur le clivage interg n rationnel Sa forme durable permet de valoriser un patrimoine immat riel sur un site original de d mocratiser l art un groupe vuln rable et de soutenir une artiste mergente Tableau 4 6 valuation des propositions du comit local de Saguenay Crit res de durabilit Projet 1 Projet 2 Projet 3 Identit et diversit culturelle 3 3 4 R flexion sur un enjeu 3 4 3 Projet novateur et cr atif 3 3 4 Implication communautaire 4 4 4 D marche coresponsable 4 4 4 Effets rassemble
129. ferts par le Centre culturel de l Universit de Sherbrooke et ses partenaires d affaires ena raina a aS 35 valuation des propositions du comit local de Sherbrooke 38 Portrait du tourisme culturel Saint J r me sseseeeeseeeeeseesresrissrissriesrresrrnsrne 39 valuation des propositions du comit local de Saint J r Me ss11s011011100111en 43 valuation des propositions du comit local de Saguenay sss ssisss1isee1eee1een 48 valuation des propositions du comit local de Rouyn Noranda 52 Responsabilit s de chaque partie prenante dans la r alisation d un legs pour la COMMUNAUT 5 724848 Mn rend ne eee M cd dr dites ins renal are ad 54 Budget de la r alisation de l v nement Paysages ph m res regroupant trois uvres d art ph m res de grande envergure 62 vi LISTE DES ACRONYMES DES SYMBOLES ET DES SIGLES Agenda 21C Agenda 21 de la culture du Qu bec CCUS Centre culturel de l Universit de Sherbrooke CERN Centre d exposition de Rouyn Noranda CNE Centre national d exposition de Saguenay MACL Mus e d art contemporain des Laurentides MCCCF Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine vii INTRODUCTION Loto Qu bec est une soci t d tat qui g re l offre de jeux de hasard et d argent favorisant l ordre la mesure et l int r t de la collectivit qu b coise Loto Qu bec 2014 Dans le cadre de sa responsabilit soci tale elle dispo
130. filiales 2014e Loto Qu bec 2013a Valli res 2014a Valli res 2014b Villemaire 2014 Nature des projets exclure du portfolio Les activit s de nature festivals ou v nements Les projets qui font exclusivement la promotion du sport La publicit culturelle p ex une publicit d une activit culturelle ou d un organisme une capsule vid o un reportage culturel etc Les collectes de fonds les projets personnels les voyages culturels et les missions coop ratives Les projets en lien avec le divertissement des enfants Les tournois de golf les cadeaux les encans et les f tes vY V VVV 1 4 Champ d application Le champ d application de l art public encadre un ensemble de pratiques manag riales pour r aliser un projet culturel durable tel que d fini par Loto Qu bec et pour concr tiser un mod le de collaboration entre les parties prenantes impliqu es Cette discipline poursuit les orientations strat giques du programme de Loto Qu bec notamment la d mocratisation de l art l aide d un programme de soutien artistique En effet Cartiere 2008 d finit l art public comme des uvres d art pr sent es dans l espace public l ext rieur des lieux traditionnels l art L auteur pr cise que les uvres doivent respecter l un des crit res suivants tre accessible et visible aux citoyens viser l int r t de la communaut tre maintenu utilis dans un espace public ou
131. gagement de Loto Qu bec encadre l usage de cet outil comme tant un aide m moire sur la perspective de d veloppement durable d un projet de legs Cette grille comporte un aspect suggestif dans la formulation des crit res d aide la d cision dans l attribution du pointage de chaque option et dans le choix de l valuateur Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 Haavaldsen et autres 2014 Elle doit tre vue comme un syst me de valeurs afin d appr cier une proposition de legs pour la communaut Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 Tableau 3 3 Avantages et contraintes de la grille d analyse multicrit res Avantages Contraintes gt Classifier les impacts d un projet d art gt N gliger les volets de la gestion du projet et public pour mieux appr cier les b n fices de sa r alisation pour la communaut gt Divulguer le concept de d veloppement durable du legs aux diffuseurs culturels de Loto Qu bec gt Faciliter l valuation d une proposition par le meneur du projet et par un employ du Service au d veloppement durable de Loto Qu bec sur une courte p riode d une heure gt Appliquer des crit res d aide la d cision op rationnels l information demand e dans le canevas de projets gt Permettre de prioriser les options par une valuation semi qualitative et d agr ger les points de vue de plusieurs valuateurs gt Permettre au
132. ge consult e le 10 mai 2014 82 Tiberghien G A 2014 Land art n Encyclopaedia Universalis http www universalis edu com ezproxy usherbrooke ca encyclopedie land art Page consult e le 21 mai 2014 Tourangeau J 2013 Recherche action sur le d veloppement du tourisme culturel la Ville de Saint J r me rapport interne de la Ville de Saint J r me Saint J r me Ville de Saint J r me 39 p Tr panier M et Press S 2012 Galerie d art du Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Une collection un parcours In Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Galerie d art http www centrecultureludes ca billet spectacle galerie dart de luniversite de sherbrooke collections doeuvres aspx Page consult e le 18 f vrier 2014 Tr panier M Press S Ferland M D et Webster A 2014 Consultation des parties prenantes de Sherbrooke projet de legs culturel durable Collection Loto Qu bec Communication orale Entrevue anim e par Jean Fran ois Ouellet et Caroline Valli res avec Mario Tr panier directeur du Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Suzanne Press coordonnatrice des expositions et de l animation de la Galerie d art Dominic Ferland coordonnateur du service de la culture de l Universit de Sherbrooke et Alain Webster vice recteur du d veloppement durable et des relations gouvernementales et vice recteur du Campus de Longueuil de l Universit de Sherbroo
133. gem ent php Page consult e le 6 septembre 2014 Heder L 2013 Worst practices in public art project management n Arts Blogs Public Art Best practices http blog artsusa org 2013 02 14 worst practices in public art project management more 18712 Page consult e le 5 septembre 2014 Howe A 2013 http www howeart net index html Page consult e le 19 mai 2014 76 Institut de formation et de recherche en ducation l environnement 2010 co conception des outils p dagogiques expositions stands malles p dagogiques et autres outils de m diation In Institut de formation et de recherche en ducation l environnement Publications Coll Les livrets http ifree asso fr UserFiles Livret_lfree_n1_Eco conception Coul 2 pdf Page consult e le 17 ao t 2014 Ixia Ltd 2014 Public art a guide to evaluation 4 edition April 2014 In Ixia Ltd Research Evaluation http ixia info com files 2009 01 ixia Public Art A Guide to Evaluationdth Edition 20141 pdf Page consult e le 13 ao t 2014 Joli Coeur S 2007 Groupe de recherche sur la m diation culturelle D finition des termes et des concepts Lexique et bibliographie n Culture pour tous Ressources Rep res th oriques et conceptuelles http www culturepourtous ca mediation lexique biblio 2007 pdf Page consult e le 28 avril 2014 Lachapelle J J Paquet L Lafortune V Germain Poir M E B langer A Lavall e A et Parent G
134. iliser puisque les crit res de performance donnent des choix de r ponse bien pr cise Son atout est la prise en compte du co t d achat d un mobilier urbain de son ergonomie et de sa dur e de vie Toutefois son application se limite aux quipements de repos aux poubelles aux quipements de support v lo et aux fontaines De plus cette grille cl en main ne prend pas en compte des mat riaux qu b cois pour l valuation environnementale des mobiliers urbains 3 1 4 Autres grilles existantes dans le domaine de la culture Cette sous section brosse un portrait des grilles d analyse existantes dans le domaine de la culture Elle donne un aper u des crit res utilis s pour d terminer les meilleurs projets culturels et le degr de reconnaissance de la culture dans un projet gt La grille d analyse de la Coalition pour l art et le d veloppement durable permet de classifier l implication des artistes internationaux dans le d veloppement durable Cinquante artistes ont t s lectionn s selon leur implication dans le d veloppement durable et selon leur notori t sur la sc ne nationale ou internationale sur le sujet lls ont t valu s selon leur approche esth tique et symbolique leur d marche sociale et participative leur notori t leur d marche d efficience leur d marche coconception ainsi que leur collaboration scientifique Un diagramme expose les enjeux de d veloppement durable trait s dans leurs trava
135. ilit s Loto Qu bec tablir une vision claire du legs pour la communaut aupr s de ses collaborateurs Monter un jury ind pendant compos de sp cialistes en arts visuels et en d veloppement durable pour s lectionner les options du portfolio Approuver une enveloppe budg taire de 10 000 au propri taire du projet par l entremise d une entente D velopper le volet communicationnel de son engagement Faire un suivi sur la r alisation du legs pour la communaut Diffuseur D signer les membres du comit local pour la formulation de propositions de legs et le propri taire du projet pour le suivi avec Loto Qu bec Compl ter ses propositions dans un canevas de projets et pr ciser les d tails techniques sur le projet retenu par le jury de Loto Qu bec R aliser un appel d artistes pour la mise en uvre du projet budget ch ancier description du projet etc G rer la mise en uvre l entretien et la valorisation du legs laborer une proposition conceptuelle du legs pour la communaut dans le cadre de la commission du diffuseur R aliser le legs pour la communaut en collaboration avec le propri taire du projet le diffuseur culturel et le cas ch ant la communaut Documenter le produit final du projet afin d offrir une interpr tation artistique et un manuel sur l entretien de l uvre d art etc Artiste VON YY Y ON NNN V ON V 54 L influence d cisionnelle de la soci t d
136. inancement novateur pour soutenir les artistes professionnels du Qu bec ces pratiques et pour renforcer la valeur intrins que des diffuseurs participants dans leur communaut Il ajoute alors une valeur ajout e dans le programme d acquisition et de diffusion d uvres d art de Loto Qu bec Sa continuit permettrait de documenter les pratiques artistiques qu b coises engag es dans une d marche de d veloppement durable et ventuellement Loto Qu bec de devenir un diffuseur de premier ordre dans l art cologique et communautaire 71 R F RENCES Alle E 2010 Development of public art in the urban space expressions and potential n Gaile Z r d Research for rural development 2010 p 185 191 Annual 16th Symposium Jelgava 19 21 mai 2010 Lituanie Latvia University of Agriculture Alm ras J et W ra M T 1998 Le d fi des nouveaux partenariats Guide pratique Collection Formation n 1 Qu bec Les Arts et la Ville 32 p Almanart s d Les installations artistiques n Almanart Artistique Les installations se r pandent http www almanart org les installations artistiques d art html Page consult e le 5 mai 2014 Americans for the arts 2013 Public art network Best practice goals and guidelines n Americans for the arts By program Networks and Councils Tools amp Resources http www americansforthearts org sites default files pdf 2013 by_program networks_and co uncils public_art_networ
137. ion se r alise galement chaque ann e aupr s des donateurs priv s 4 4 1 Composition du comit local Le comit local est repr sent par un intervenant du CERN et cinq intervenants de la Ville de Rouyn Noranda Les intervenants ont une expertise sur le patrimoine culturel du cadre b ti sur le tourisme culturel et sur le milieu communautaire du territoire D une part chacun si ge un quelconque comit culturel Lachapelle et autres 2014 D autre part Ville et village en sant et les services communautaires et de proximit ont pour fonction de r aliser des projets communautaires pour am liorer le cadre de vie de la population Ville de Rouyn Noranda 2012c Rouyn Noranda ville et village en sant inc 2006 La composition du comit a amen la Ville de Rouyn Noranda s approprier du legs pour la communaut Experte en art public la Ville implique et favorise les artistes et les ressources locaux par le biais de concours Lachapelle et autres 2014 Sur cette formule le comit local fera un appel aux artistes pour le concept d finitif de leur proposition et il les soumettra un vote populaire Cela permet de rassembler les int r ts de la collectivit au projet de legs 4 4 2 Orientations du legs pour la communaut Lachapelle et autres 2014 n ont pas tout fait compris l engagement de Loto Qu bec avant la consultation Le d but de la consultation a servi clarifier l objectif du projet sa port e
138. ionn pour la conservation et l entretien de l uvre dans le temps Les trois propositions traitent de l embellissement des espaces urbains dans une perspective de renforcer la vocation fonctionnelle du milieu au b n fice de tous Elles manquent une d marche coresponsable puisque le concept d finitif du legs n est pas caract ris L appel aux artistes devra disposer de crit res de durabilit la s lection de mat riaux locaux l impact environnement du projet l utilisation de la verdure la dur e de vie de l uvre etc Par cons quent les projets culturels durables ont un pointage semblable tableau 4 7 Tableau 4 7 valuation des propositions du comit local de Rouyn Noranda Crit res de durabilit Projet 1 Projet 2 Projet 3 Identit et diversit culturelle 3 4 3 R flexion sur un enjeu 3 2 3 Projet novateur et cr atif 4 3 4 Implication communautaire 4 4 4 D marche coresponsable 2 2 2 Effets rassembleurs 4 3 3 Valeur partag e pour la collectivit 4 4 4 Valorisation du patrimoine du milieu 3 4 4 Besoins de la collectivit 4 4 4 Soutien et durabilit du legs 4 4 3 Acc s et participation la vie culturelle 4 4 3 Total 39 38 37 La cr ation d une aire de repos a le plus haut pointage parmi les trois propositions tableau 4 7 En effet elle r pond un besoin nonc par de nombreux citoyens La plasticit de s
139. ipline D autres sites web sur l art public ont t consult s pour cette revue de litt rature mais leur contenu devenait redondant avec les sources retenues Public Art Online 2008 Americans for the Arts s d Pour une lecture approfondie des meilleures pratiques manag riales dans les arts visuels il est sugg r de consulter le code de pratique de l association nationale pour les arts visuels en Australie National association for visual arts 2014 Appel d artistes Au d part un projet d art public n cessite une bonne concertation de ses parties prenantes pour tablir des objectifs clairs de sa mise en uvre La concertation doit permettre de d finir le cadre de r f rence et tudier les impacts du projet sur divers enjeux notamment les exigences l gales le contexte d intervention et les risques manag riaux Arts South Australia Government 2004 Il est important qu un comit de pilotage puisse faire un suivi sur la commission Ce groupe peut comprendre des repr sentants de la communaut l agence commanditaire des bailleurs de fond s un consultant ind pendant en art public les sp cialistes en arts ou toutes autres parties prenantes int ress es au projet Un membre de ce groupe habituellement le conservateur de l agence commanditaire pourra tre responsable des communications entre le comit de pilotage de la commission et l artiste ainsi que du suivi du budget et de l ch ancier Public Art South West 2008 Lo
140. is Nommer l auditoire vis p ex public g n ral citoyens d un quartier groupes ethniques familles a n s etc M diation culturelle S il y a lieu expliquer en points de forme les activit s culturelles qui se d rouleront autour du legs durable 15 Tableau 2 2 Canevas de projets du portfolio de Loto Qu bec suite Aspects techniques Description Commentaires S il y a lieu mettre des commentaires sur l option de legs Propri taire du projet Identifier le propri taire du projet qui prendra en charge de la gestion de l installation de l entretien et de la conservation de l uvre d art public Coordonnateur du Identifier le coordonnateur responsable de l appel de dossier aux artistes projet et de la r alisation du projet Budget total Inscrire le montant total allou la r alisation du legs durable incluant l enveloppe budg taire de 10 000 de Loto Qu bec Date du lancement du Indiquer la date de d marrage de la mise en uvre du legs la projet communaut 2 4 R alisation des portfolios Toutes les parties prenantes ont confirm leur participation la consultation l exception de la Ville de Sherbrooke Le tableau 2 3 nonce les dates et les participants de l entretien pour chaque r gion Les personnes ressources entre parenth ses repr sentent le partenaire culturel ou le fonctionnaire municipal qui a t contact Toutes les consul
141. isuels des m tiers d art et de la litt rature et sur leurs contrats avec les diffuseurs Loi S 32 01 Cette derni re stipule que sur le plan l gal pour avoir le statut d artiste professionnel le cr ateur doit r pondre l ensemble des exigences suivantes gt se d clarer artiste ou crivain professionnel gt cr er des uvres pour son propre compte gt exposer publier produire repr senter en public ou mettre en march ses uvres par l entremise d un diffuseur gt tre reconnu par ses pairs par une mention d honneur une r compense un prix une bourse ou une nomination par un jury gt ou tre un membre d une association reconnue au sens de la Loi S 32 01 tir de Gauthier et autres 2008 p 5 Ces exigences minimales offrent une libert de gestion pour les partenaires d affaires de Loto Qu bec afin de sp cifier les autres modalit s de la commission Loto Qu bec pourrait galement d velopper d autres exigences sur les meilleures pratiques manag riales d une commission d uvre d art mais elle devrait le faire dans le respect de son r le de commanditaire au projet 5 3 4 Durabilit d un projet d art public La dur e de vie et la conservation du legs pour la communaut sont des consid rations importantes dans la Politique d int gration des arts du Qu bec Le Centre de conservation du Qu bec 2013 recommande de pr venir les facteurs de d gradation de l uvre d art sur son s
142. it a galement parl des lieux propices pour implanter le legs pour la communaut Pour laisser une certaine libert de cr ation le comit local d cide de faire un appel aux artistes pour r aliser un legs pour la communaut Toutefois cette id e a amen un seul projet dans le portfolio Le comit a alors d se rencontrer nouveau pour formuler deux autres propositions 4 2 3 valuation des propositions formul es Le comit local a formul trois propositions de legs pour la communaut pour l t 2014 avec une enveloppe budg taire de 10 000 chacun Les propositions reprennent l id e d une uvre d art participative pour dynamiser un des parcs publics sur le bord de la rivi re du Nord entre la rue de Martigny et l le Id ale Les citoyens sont impliqu s dans le processus de cr ation de l uvre d art pour devenir des ambassadeurs du projet Ces propositions sont synth tis es ci dessous 1 Le comit local propose de r aliser une installation artistique urbaine participative L installation artistique est un art identit trouble qui offre un domaine d extension la sculpture travers des ensembles mis en sc ne et des situations cr es de toutes pi ces Constitu e de plusieurs l ments assembl s pour former une uvre l installation artistique occupe un espace tridimensionnel qui lui est propre Elle est souvent de grande taille et parfois ph m re lorsqu elle est rig e l ext rieur Ce
143. ite d implantation et de consid rer une proposition conceptuelle pour laquelle la r alisation artistique serait facile entretenir Ce dernier a r alis une distribution des r les de chaque partie prenante sur la conservation d un projet d art public Les tapes cl s suivre sont l analyse des contraintes techniques de l emplacement du projet pr sent dans le cadre de r f rence la r vision de la durabilit de la proposition conceptuelle et le manuel d entretien de l uvre d art r dig par l artiste en fin de projet Cole et autres 2010 Centre de conservation du Qu bec 2013 La durabilit de l uvre d art public peut galement se d finir dans sa d marche coresponsable Par exemple l uvre d art peut tre biod gradable en fin de vie dans la nature Chrysalis Arts Ltd s d ou elle peut s inspirer du land art pour l utilisation de mat riaux naturels du site Tiberghien 2014 Pour respecter son message environnemental le projet artistique peut alors tre ph m re et se d grader lentement dans la nature sans avoir un impact significativement n gatif sur l environnement La vision de la conservation de l uvre et la vision du respect de l environnement peuvent tre conflictuelles En effet les mesures d entretien et de conservation de l uvre d art ont parfois des 60 impacts environnementaux cause l utilisation de produits chimiques pour pr venir sa d gradation et cause de l utilisation des ma
144. itiatives constituent la premi re tape d une d marche de projet d art public et Loto Qu bec a re u une suggestion d entente suivant le cycle de gestion d un projet d art public Cette section insiste donc sur le cadre de gestion d un projet d art public pour r aliser le suivi entre Loto Qu bec et son diffuseur L annexe 5 pr sente une synth se du cycle de gestion r alis l aide de deux guides sur l art public et de la documentation disponible au Qu bec Toutefois un projet d art public et un legs pour la communaut diff rent par la taille du budget et par la documentation disponible En effet un projet d art public se trouve g n ralement cr sp cifiquement pour les lieux ou les difices o elles seront int gr es Lizotte et autres 2006 Contrairement au legs pour la communaut il dispose d une documentation d taill e sur l emplacement du projet et d une expertise interne dans le cadre d un projet de d veloppement immobilier ou dans le cadre d un plan artistique de la ville Son processus de r alisation peut durer en moyenne deux ann es Cole et autres 2010 Les paragraphes qui suivent montrent un cadre de gestion plus all g et repr sentatif du legs pour la communaut La consultation de Loto Qu bec aupr s du diffuseur culturel a permis de d finir les responsabilit s des membres du comit local dans l laboration du legs pour la communaut et d identifier trois projets de legs dans un portfolio table
145. ition th matique Territoires imagin s de la Collection Ce projet vise laisser une trace durable la suite du d part de l exposition qui r pond un besoin de la collectivit h te Il doit int grer l art l environnement et la collectivit avec une enveloppe budg taire s levant 10 000 tant responsable du projet de legs pour la communaut je suis en train de planifier une d marche de consultation avec le Centre culturel de l Universit de Sherbrooke accueillant l exposition culturelle Territoires imagin s et la division de la culture de la Ville de Sherbrooke afin de d terminer la nature du legs La pr sente requ te consiste valider une rencontre dans l apr s midi du 19 mars 2014 dans la municipalit de Sherbrooke La consultation de deux heures portera sur l identification des legs durables possibles r pondant aux besoins de la communaut Je vous invite r fl chir sur les besoins culturels de la communaut et les organismes communautaires qui pourraient nous aider la r alisation du legs pour la collectivit La nature du legs durable sera s lectionn e partir de la grille multicrit res en pi ce jointe du courriel Cette grille s inspire des objectifs de l Agenda 21 de la Culture du Qu bec et des principes de la Loi sur le d veloppement durable du Qu bec Je vous remercie de r pondre la pr sente demande d entretien et de confirmer le lieu de l entretien au plus tard le mardi 11 mars 201
146. k PAN 20Best 20Practices 204 202011 pdf Page consult e le 7 avril 2014 Americans for the Arts s d Tools amp Resources n Americans for the Arts By program Networks and Councils Public Art Network http www americansforthearts org by program networks and councils public art network tools resources Page consult e le 14 ao t 2014 Anabel Jackson Associates 2007 Evaluation of public art a literature review and proposed methodology Final evaluation report to Yorkshire culture n Arts Council England Search for public art evaluation gt http www artscouncil org uk media uploads yorkshirei mages 2007AJAEvaluationofPublicArt LiteratureReviewPublicVersion pdf Page consult e le 11 ao t 2014 Australia National association for visual arts 2014 The code of practice n National association for visual arts htips visualarts net au code of practice Page consult e le 14 septembre 2014 Australia Arts South Australia Government 2004 Public art Making it happen Commissioning guidelines for local councils In Local government association of South Australia https www Iga sa gov au webdata resources files PublicArt MakingltHappen pdf Page consult e le 7 avril 2014 Becker J 2004 Public art an essential component of creating communities n Americans for the arts By program Public art network Tools amp Resources Community amp Advocacy http www americansforthearts org sites default files pdf
147. ke 31 mars Centre culturel de l Universit de Sherbrooke Sherbrooke Turcotte M F Langelier L Hanquez M Allard M C Desrochers T et Tirilly M 2011 Comprendre la responsabilit soci tale de l entreprise et agir sur les bases de la norme ISO 26 000 n Institut de la francophonie pour le d veloppement durable Publication Collection Points de rep re http www ifdd francophonie org media docs publications 428 1SO 26000 _Internet pdf Page consult e le 9 avril 2014 Union des municipalit s du Qu bec 2014 Les municipalit s au c ur de l occupation et de la vitalit des territoires R pertoire des outils de planification des territoires Une initiative du Caucus des municipalit s locales n Union des municipalit s du Qu bec Publications Autres publications http www umqa qc ca uploads files pub_ autres repertoire occupation_ territoire _jan2014 pdf Page consult e le 10 avril 2014 Universit de Sherbrooke 2013 Voir mon avenir se dessiner n Universit de Sherbrooke Accueil L Universit de Sherbrooke Brochure institutionnelle http www usherbrooke ca accueil fileadmin sites accueil documents usherbrooke_brochure_ voiraufutur_juin_2013 pdf Page consult e le 27 juillet 2014 Universit de Sherbrooke s d a Centre culturel de l Universit de Sherbrooke In Universit de Sherbrooke Etudiants Services universitaires http www usherbrooke ca etudiants services universitaires centre cultur
148. l information quant l emplacement des aires de stationnement Opportunit s Menaces gt D veloppement pr vu de la Route gt Proximit et offre touristique et culturelle de du Nord 2 route touristique des Montr al Laurentides gt Concurrence externe r gionale gt Tendance agroalimentaire acheter gt Conjoncture conomique local vert gt Pr sence de tourisme d affaires gt Pr sence d un grand bassin de travailleurs sur semaine Ayant adopt sa politique culturelle en 2005 la Ville de Saint J r me favorise l acc s des citoyens aux lieux et activit s culturels Ville de Saint J r me 2013d Pr s de 23 organismes culturels uvrent sur le territoire Ville de Saint J r me 2013e Parmi ceux ci le MACL dispose d un r le central dans le d veloppement culturel de la Ville Il a t d sign comme un quipement supralocal par la MRC de la Rivi re du Nord et il travaille en collaboration troite avec la Division de la culture et des biblioth ques de la Ville dans le m me difice MRC La Rivi re du Nord 2014 Matte et autres 2014 La suite du portrait synth tise l information recueillie sur le site web du MACL s d Le MACL prend place dans un b timent historique nomm e la Maison de la culture Claude Henry Grignon Plusieurs faits marquants ont donn la renomm e au Mus e la mobilisation citoyenne de 1977 pour la sauvegarde du b timent historique des expositions d en
149. l pour la communaut Le chapitre 3 aborde le m canisme d valuation de la d marche de d veloppement durable des projets de legs D une part une revue de litt rature est effectu e sur l valuation d un projet d art public et sur les grilles d analyse de d veloppement durable existantes dans le domaine de la culture D autre part le m canisme d valuation des portfolios est approfondi et compar d autres grilles d analyse pour en tirer des conclusions sur son application Le chapitre 4 pr sente les r sultats de la d marche de cr ation des portfolios La composition du comit local les orientations du legs pour la communaut ainsi que les r sultats de l valuation des propositions sont expos spour appr cier l efficacit de la strat gie de consultation Le chapitre 5 r capitule le processus de l engagementde Loto Qu bec de l ann e 2014 La revue de litt rature sur le cycle de gestion d un projet d art public permet d anticiper un cadre de suivi du legs culturel durable La Politique d int gration des arts du Qu bec est tudi e pour d terminer les facteurs importants dans la r alisation du legs pour la communaut Le chapitre 6 conclut sur des recommandations pour am liorer l engagement de Loto Qu bec dans les prochaines ann es l aide des constats g n raux des chapitres pr c dents 1 ANALYSE DU BESOIN DE LOTO QU BEC La formulation de l engagement de Loto Qu bec est un exercice de r flexion
150. la r alisation d un legs 5 3 1 Collaboration des parties prenantes Dans le contexte qu b cois les commissions diff rent selon les mod les de collaborations entre l agence commanditaire l artiste et les experts impliqu s dans la r alisation d une uvre d art public Brault 2010 Le rapport d valuation critique la collaboration entre l artiste et l architecte dans le cadre de la Politique d int gration des arts MCCCF 2010 Pour illustrer cela l artiste environnemental Lajos Heder t moigne des pires pratiques qui ont men des cas de conflits avec des collaborateurs de ses 40 projets monumentaux y avait de la confusion propos de ce que le client voulait vraiment et de ce que l artiste proposait de faire ce fait s est r v l tardivement dans le processus L quipe conceptuelle ne s entendait pas entre eux Il y avait des conflits de personnalit s entre les membres du groupe avant que l artiste arrive Ces derniers ne comprenaient pas ou n taient pas d accord sur le r le de l artiste Le site de l uvre d art n tait pas confirm et le client continuait de changer l emplacement du projet sans consulter l artiste Le cadre du travail pour les t ches de l artiste et pour l uvre d art souhait tait faiblement document Les ambitions du client n taient pas claires et le projet n tait pas suffisamment financ Dans cette situation le gestionnaire du projet tait malhonn te propos des exig
151. lair e par des tubes fluorocompactes Le contenu visuel sera illumin en tout temps et annuellement chang pour l int r t de la communaut La Galerie d art de l Universit de Sherbrooke d sire acqu rir une uvre sc nique actionn e par le vent de l artiste am ricain Antony Howe La quantit de vent sur la colline du campus principal permet un bon fonctionnement de ce type d uvre d art Cela voque l utilisation du vent et l nergie renouvelable Il faudra livrer les pi ces de l uvre par transport a rien ou routier Howe 2013 La Galerie d art sugg re de r aliser un mobilier urbain inspir du land art pour mettre en valeur la qualit du paysage de l Universit de Sherbrooke et l architecture de ses b timents Le land art est caract ris par une esth tique minimaliste li e une certaine compr hension du site et par l utilisation de mat riaux naturels de la terre et de ses d riv s afin d offrir une exp rience singuli re avec le paysage S accompagnant de divers documents t moignant de leur existence et de leur volution dans le temps ces uvres sont gigantesques et ph m res Tiberghien 2014 L uvre sensibilisera les visiteurs sur le milieu naturel que nous construisons et o nous vivons Flueckiger 2010 La quatri me proposition est une plantation de 1 810 arbres correspondant au nombre de visiteurs de l exposition Territoires imagin s par les artistes de la Collection La moiti des arbres s
152. le sentiment d appartenance de leur territoire Ce ph nom ne s observe galement chez les habitants des nouveaux arrondissements pour le centre ville Ceux ci ont un plus grand sentiment d appartenance pour leur ancienne municipalit que pour la Ville de Saint J r me Le centre ville milieu o se concentre l offre culturelle de la Ville et des organismes culturels est notamment fr quent par les tudiants et par les travailleurs de la Ville ou de la r gion pendant la semaine ainsi que par les habitants de Saint J r me la fin de semaine Le comit a des pr occupations sur le vandalisme sur l itin rance et sur la pauvret au centre ville En effet la Ville de Saint J r me enregistre un haut taux de petits d lits Gascon 2009 Deraspe 2011 Les membres du comit soulignent une plus grande visibilit de l itin rance des personnes g es dans les parcs et des actes de vandalisme perp tr s par les jeunes Bien qu achaland s les lieux publics du centre ville ne seraient pas appropri s par les familles Le MACL a de bonnes relations aupr s des organismes culturels du territoire Ceux ci planifient des initiatives culturelles telles que les Journ es de la culture pour renforcer la coh sion sociale des habitants de Saint J r me et pour avoir une belle visibilit Ces initiatives se passent dans les parcs publics reconnus aussi comme des lieux de rassemblement pour des manifestations culturelles spontan es la Place d
153. liqu par Loto Qu bec aupr s de ses participants Pour r pondre ces constats g n raux les recommandations de l essai donnent des pistes de r flexion pour construire un cycle de gestion de l engagement en se basant sur la litt rature en art public La r alisation d un portfolio de projets est rejet e cause de l importante charge de travail des diffuseurs participants la place quatre mod les alternatifs sont envisag s afin de partager les responsabilit s entre Loto Qu bec et ses diffuseurs Selon son choix la soci t d tat pourrait 70 r diger un document pour standardiser ce processus sous la forme d un protocole l intention du charg de l engagement ou d un guide l intention des diffuseurs pour les prochaines ann es En comparant l engagement de Loto Qu bec la Politique d int gration des arts du gouvernement du Qu bec plusieurs facteurs d terminants dans la gestion du projet ont t mis de l avant Premi rement Loto Qu bec devrait clarifier ses responsabilit s dans la r alisation du legs pour la communaut notamment le m canisme d valuation des propositions la r troaction des participants sur le processus de l engagement le volet promotionnel du projet et son r le d agence commanditaire Deuxi mement elle devrait donner un d lai raisonnable et appuyer son diffuseur la formulation des projets culturels durables afin d assurer la qualit de ces derniers Troisi mement la soci t
154. liser la jeune client le g e de 18 35 ans gt Situ au mont Jacob le CNE est isol de l arrondissement de Jonqui re En effet il n y a pas de transport en commun des voies pi tonnes ou des pistes cyclables qui m nent au centre d exposition Pour rejoindre diff rents groupes sociaux le CNE propose des activit s socioculturelles Le Symposium a rel ve s impose est un concours annuel pour rassembler plusieurs artistes mergents sur la r alisation d uvres d art sur le mont Jacob L heure du th correspond une activit hebdomadaire gratuite pour les a n s et retrait s et les midis culturels pour les travailleurs gt La Ville de Saguenay a un int r t sur les enjeux du clivage entre les g n rations Chicoutimi Gu rin et autres 2014 En effet le Forum interg n rationnel sur le loisir r unissant deux groupes de 40 personnes g es de 18 35 ans et de 50 ans et plus s est pench sur les enjeux du loisir culturel Plusieurs id es de projet culturel ont merg de leurs changes une trousse des expertises traditionnelles pour la transmission des loisirs une uvre artistique interg n rationnelle sur des histoires de familles et une pi ce de th tre classique remise au go t du jour et dimension interg n rationnelle Girard 2011 La consultation publique sur le b n volat des a n s soutient galement le besoin de valoriser et de soutenir l implication citoyenne des vieilles personnes Ville de
155. lit dans sa culturelles diversit et le respect des communaut s culturelles R flexion sur un enjeu Porter une r flexion envers la communaut sur un ou plusieurs enjeux du d veloppement territorial environnement social culturel conomique afin d am liorer la qualit de vie des citoyens Projet novateur et Etre un projet novateur et cr atif pour le partenaire culturel et les cr atif citoyens de la localit crit res d excellence du comit de consultation Implication Valoriser l implication des artistes des cr ateurs des professionnels de communautaire la culture et des citoyens D marche Suivre une d marche coresponsable selon l approche cycle de vie coresponsable afin d optimiser ses effets sur le milieu environnement et social Effet rassembleur Favoriser l inclusion et la coh sion sociale dans le milieu en multipliant les occasions d interactions et de convivialit entre les citoyens social Valeur partag e pour Cr er de la valeur partag e pour la collectivit dans la localit Produire la collectivit des synergies avec d autres initiatives locales et d autres organisations du milieu Favoriser la cr ation de nouvelles opportunit s partir du projet conomique Valorisation du Mettre en valeur le patrimoine du milieu une pr sence significative de patrimoine du milieu l art public une architecture un design et des paysages distinctifs afin d am liorer la qua
156. lit de vie de la population de renforcer son sentiment d appartenance et de favoriser l attractivit du lieu du legs territorial Besoins de la R pondre aux besoins de la collectivit indice sur la pertinence des collectivit b n ficiaires vis s Soutien et durabilit du Soutenir la cr ation la production et la diffusion du legs durable la legs communaut S assurer de la long vit du projet de son design s curitaire pour le public et de sa facilit d entretien indice sur la pertinence de la forme du legs Acc s et participation Favoriser l panouissement culturel des citoyens ainsi que l acc s et la vie culturelle leur participation la vie culturelle indice sur la pertinence des objectifs du projet La justification des crit res d aide la d cision est expliqu e dans l num ration suivante l aide d autres grilles existantes 26 Identit et diversit culturelles La partie 1 de l Agenda 21C et sa th matique sur la diversit culturelle traitent du respect des sp cificit s culturelles de plusieurs communaut s et de leur reconnaissance sur le milieu Le crit re consiste donc en une appr ciation du projet d art public sur sa coh rence avec l h ritage culturel et l identit de la collectivit Son appr ciation est plus grande lorsque le projet traite d un enjeu de l identit culturelle de la communaut Ce crit re est cit dans l outil de Chrysalis Arts Ltd
157. lleures pratiques en art public selon le point de vue de l agence commanditaire Le cycle de gestion d un projet d art public s effectue entre l agence commanditaire et l artiste commandit Cole et autres 2010 ont labor une trousse d outils sur l art public publi sur le site web de la F d ration internationale des conseils des arts et des agences culturelles s d IIs exposent cinq tapes pr sent es la figure A5 1 pour r aliser une uvre d art public Il est essentiel de d velopper un plan de communication pour informer la communaut du projet d art public notamment l appel d artistes lors d une consultation aupr s de la communaut au lancement du projet et lors du suivi apr s le projet Arts South Australia Government 2004 ED de la ED de la tape de la Ds Le Dan X Dan X artistes proposition ED fabrication et Ds she se E ED d taill e de l installation D Dur e De Dur sm Voie ra D Contratentre ED et Faisabilit D D artiste et orientations du technique du uvre art D i A agence ED projet public Figure A5 1 Le cycle de gestion d un projet d art public modifi de Cole et autres 2010 p 13 17 Ces tapes sont expliqu es dans les prochaines sous sections l aide de cette trousse Cole et autres 2010 d un guide d art public destin pour les agences commanditaires locales en Australie Arts South Australia Government 2004 et de la documentation pertinente au Qu bec sur la disc
158. m networks and councils public art network public art year in review database yir search Page consult e le 14 septembre 2014 France Coalition pour l art et le d veloppement durable 2014 Le prix COAL art et environnement In Coalition pour l art et le d veloppement durable http www projetcoal org coal le prix coal art et environnement Page consult e le 14 septembre 2014 Qu bec Les Arts et la Ville s d Activit s Prix Les Arts et la Ville n Les Arts et la Ville Activit s Prix Les Arts et la Ville http www arts ville org activites prix les arts et la ville Page consult e 14 septembre 2014 Royaume Uni Public Art Online 2008 Case studies n Public Art Online http www publicartonline org uk casestudies Page consult e le 14 septembre 2014 87 ANNEXE 1 NOTE SUR L IDENTIFICATION DES PARTIES PRENANTES tant donn que les villes de Sherbrooke de Rouyn Noranda et de Saguenay ont des comp tences d une municipalit r gionale de comt l identification des parties prenantes s est lev e jusqu au palier supralocale Monville et Cameron 2001 Ces parties prenantes ont t identifi es partir des documents suivants gt Daigle et Gauthier 2004 ont identifi diff rentes parties prenantes dans leur description des modes de gestion de la culture dans les municipalit s qu b coises gt L Union des municipalit s du Qu bec 2014 a d crit les instances locales et r gionales qui
159. ment 2004 p 20 23 Centre de conservation du Qu bec 2013 Lizotte et autres 2006 p 17 18 Aspects techniques Description Description du projet D crire sa forme son utilit sa th matique etc Contexte d intervention crire une mise en contexte dans laquelle le projet de legs s inscrit besoin opportunit ou probl matique S il y a lieu nommer la strat gie ou le projet dans lequel le legs durable s ins re Objectifs du projet noncer en point de forme les objectifs du legs durable centr s sur les besoins de la communaut Caract re durable du noncer en points de forme le caract re durable du projet R f rez vous projet aux crit res d aide la d cisionde la grille d analyse multicrit res Parties prenantes Enum rer les parties prenantes impliqu es dans la r alisation du projet impliqu es de legs p ex les bailleurs de fonds s il y a lieu les autres organismes impliqu s les collectivit s touch es etc Mat riel requis Si vous le savez noncer bri vement le mat riel requis pour la r alisation du projet durable Description du site D crire l emplacement du projet durable ses particularit s ses l ments environnants et son histoire Justification du site Justifier les raisons de l emplacement en points de forme Conservation du projet Si vous le savez expliquer les moyens de conservation du legs durable Auditoire v
160. mmunaut la suite d une promesse faite Fred Pellerin pour un texte th matique de l exposition itin rante Territoires imagin s par les artistes de la Collection Loto Qu bec s est engag e r aliser un projet durable dans les r gions accueillant l exposition Les rencontres d Alain Webster vice recteur du d veloppement durable et des relations gouvernementales de l Universit de Sherbrooke et de Dominique Villemaire coordonnatrice du Service de l engagement social de Loto Qu bec ont donn lieu plusieurs id es de projets durables Puis l uvre d art participative de Georgia Volpe a conscientis ces deux intervenants sur l implication communautaire et sur la d marche coresponsable d un projet artistique En fin de compte ces intervenants ont identifi un besoin de d terminer des projets conjuguant l art l environnement et la communaut Villemaire et Webster 2013 Ce besoin a donn lieu un partenariat entre Loto Qu bec et l Universit de Sherbrooke pour mandater un tudiant afin de r aliser des portfolios de projets culturels durables dans le cadre de cet essai Un portfolio offre une collection de projets group s dans un document pour faciliter la gestion d un travail afin de r pondre aux objectifs strat giques de l organisation Project Management Institute 2006 Sur le site web de Loto Qu bec une citation formule le mandat des portfolios comme suit Un projet de legs pour la communaut sera
161. more 18614 Page consult e le 5 septembre 2014 Scott C A 2013 Museums and public value creating sustainable futures Surrey Ashgate Publishing Limited 189 p Smith C 2012 Headwinds sustainability as a theme in contemporary public art Environmentalist vol 32 p 332 338 Soci t des mus es qu b cois s d Centre national d exposition de Saguenay n Observatoire des mus es Mus es par r gions Saguenay Lac Saint Jean Arts multiples http www smq ac ca madf circuits circuits listeinstitut fiche php 1D 50 55 1059 Page consult e le 15 avril 2014 Statistique Canada 2012a Recensement de 2011 Subdivision de recensement Sherbrooke V Qu bec n Statistique Canada Recensement 2011 Produits analytiques S rie Perspective g ographique http www12 statcan gc ca census recensement 2011 as sa fogs spg Facts csd fra cfm LANG Fra amp GK CSD amp GC 2443027 Page consult e le 24 juillet 2014 Statistique Canada 2012b Recensement de 2011 Subdivision de recensement Saint J r me V Qu bec In Statistique Canada Recensement 2011 Produits analytiques S rie Perspective g ographique http www12 statcan gc ca census recensement 2011 as sa fogs spg Facts csd fra cfm LANG Fra amp GK CSD amp GC 2475017 Page consult e le 24 juillet 2014 Statistique Canada 2012c Recensement de 2011 Subdivision de recensement Saguenay V Qu bec n Statistique Canada Recensement 201
162. mprendre sa forme son envergure et sa dur e de vie Tout au long du processus de son engagement Loto Qu bec a utilis une d finition vague des caract ristiques du projet projet culturel durable legs pour la communaut projet rassemblant l art l environnement et la communaut La grille d analyse multicrit res tableau 3 1 a t utilis e comme moyen de d finir les effets voulus du legs pour la communaut section 3 2 2 Elle a donn lieu diverses propositions de la part des comit s locaux chapitre 4 Toutefois plusieurs de ces propositions n ont pas t claires et elles n cessitent des clarifications de la part du comit local sections 4 5 et 3 2 4 Il est donc recommand de donner une d finition plus claire d un legs pour la communaut pour la prochaine ann e en consid rant l enveloppe budg taire allou e et la dur e de vie exig e du projet sections 5 3 4 et 5 3 6 Pour cela une bibliographie a t produite sur diff rentes bases de donn es de projets d art public Ces bases de donn es illustrent des projets exemplaires conjuguant souvent les enjeux environnementaux et l implication communautaire Loto Qu bec pourrait s lectionner quelques exemples qui lui semblent pertinents pr senter ses diffuseurs La section 4 5 informe Loto Qu bec d un certain manque d expertise des diffuseurs sur la d marche coresponsable d un projet artistique En effet certains comit s locaux n ont pas mentionn de
163. munaut pour d terminer son r le puis ses responsabilit s et pour clarifier ses exigences relatives la dur e de vie du projet la s lection de l artiste l envergure du projet ainsi qu au suivi du projet aupr s de ses collaborateurs Un examen sur quelques projets d art public permettrait de valider la pertinence d allouer une enveloppe budg taire de 10 000 son diffuseur 62 6 RECOMMANDATIONS SUR L ENGAGEMENT DE LOTO QU BEC L valuation du processus a permis de relever plusieurs points clarifier dans l engagement de Loto Qu bec et plusieurs consid rations r pondre sur le processus dans les chapitres 2 5 Par cons quent il est fortement recommand de r viser le processus d engagement afin de le documenter dans un guide l intention des diffuseurs ou l intention du charg de projet En ce sens le chapitre 6 est r dig pour faciliter la r daction de ce document et pour standardiser le processus de la r alisation d un legs pour la communaut La premi re section expose une r flexion sur la pertinence de continuer ce volet de Collection Loto Qu bec l art de partager Ensuite des mod les de gestion sont envisag s pour optimiser le processus Enfin des pistes de r flexion sont donn es Loto Qu bec pour r diger les lignes directrices de l engagement 6 1 Continuit de l engagement Le volet du legs pour la communaut a pour finalit de supporter les diffuseurs participants au pr
164. n gt In Encyclopaedia Universalis http www universalis edu com encyclopedie installation Page consult e le 5 mai 2014 Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 Normes qu b coise des meilleures pratiques de diffusion en arts visuels du Qu bec n Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec http www raav org pls htmldb f p 105 99 0 NO P99 1M 532 Page consult e le 7 avril 2014 R seau entreprise et d veloppement durable 2012 Engager les parties prenantes communautaires un guide l intention des entreprises In R seau entreprise et d veloppement durable Connaissances Engagements http nbs net fr files 2012 09 REDD Guide_Engagement pdf Page consult e le 21 mars 2014 Rouyn Noranda ville et village en sant inc 2006 Qu est ce qu une ville en sant n Rouyn Noranda ville et village en sant inc Index http www ville rouyn noranda qc ca vs index php Page consult e le 31 juillet 2014 Royaume Uni Department for Communities and Local Government 2009 Multicriteria analysis manual for government policy In Gouvernement du Royaume Uni Publications Guidance https www gov uk government uploads system uploads attachment_data file 7612 1132618 pdf Page consult e le 15 ao t 2014 81 Schiff A 2013 Public art assessment amp Conservation In Arts Blogs Public Art Best practices http blog artsusa org 2013 02 12 public art assessment conservation
165. n des arts le manque de suivi du comit de pilotage aupr s de l artiste dans les tapes de r alisation demeure un fait pr occupant Le comit de pilotage du gouvernement appuie exclusivement le processus de s lection de l artiste et de la proposition conceptuelle L artiste est alors souvent laiss lui m me sur sa cr ation artistique Des groupes de discussion ont propos que le comit de pilotage r alise une valuation du processus de production de l uvre d art afin d agr ger les bons coups et les d fis rencontr s dans la d marche artistique MCCCF 2010 Dans leur revue de litt rature Anabel Jackson Associates 2007 rapporte des manquements aux valuations en art public notamment l valuation ax e sur les objectifs poursuivis l valuation par des experts ind pendants le co t d opportunit par rapport d autres programmes artistiques et la diffusion transparente des r sultats positifs et n gatifs xia Ltd 2014 aborde les facteurs de ces manquements par les contraintes de temps et d argent par les barri res bureaucratiques par la d signation du responsable de l valuation et par les barri res artistiques 58 Comme mentionn dans le chapitre 3 il existe plusieurs outils d valuation d un projet d art public Certains valuent la conformit aux meilleures pratiques manag riales alors que d autres valuent les objectifs fix s par le comit de pilotage Leurs avantages sont de susciter des d bat
166. n du legs pour la communaut Centre de conservation du Qu bec 2013 et de pr venir les risques en mati re de sant et de s curit dans la r alisation du projet Larkinson 2006 Dans la perspective d un architecte Childs 2000 d un artiste Patten 2004 et d un consultant en art public Wilkinson 2004 la collaboration est une question d ouverture aux id es des parties prenantes et d un partage de leurs expertises respectives pour r aliser le projet Les l ments cl s d une bonne collaboration sont la reconnaissance des comp tences de l artiste et de son autorit dans la gestion du projet la volont des parties prenantes de collaborer et de communiquer de mani re transparente et proactive ainsi que l laboration de m canismes de coordination pour encourager la collaboration Childs 2000 Patten 2004 Certains artistes ne pourront pas r aliser des projets collaboratifs ou participatifs Wilkinson 2004 Patten 2004 Une bonne pratique consiste alors effectuer une rencontre aupr s des artistes pr s lectionn es pour examiner leur r ceptivit au projet et aux collaborateurs impliqu s annexe 5 Dans le cas de conflits entre l artiste et le propri taire du projet il est avantageux de pr voir des moyens de m diation dans l entente pour viter les proc dures l gales co teuses Larkinson 2006 Cole et autres 2010 5 3 2 valuation du projet Parmi les points soulev s dans la Politique d int gratio
167. n et de diffusion d uvres d art pour valider le r alisme de l nonc du projet du comit local et du budget allou au propri taire de projet Des bases de donn es reconnues dans la discipline de l art public pr sent es dans la bibliographie de l essai peuvent aider trouver des exemples applicables l engagement de Loto Qu bec 5 4 Constats g n raux Le volet du legs pour la communaut se veut un processus de coproduction entre Loto Qu bec et ses diffuseurs culturels mais dans les faits la soci t d tat agit titre d un commanditaire du projet Elle engage ses diffuseurs formuler au moins trois propositions de legs pour en choisir la meilleure l aide d un jury ind pendant Ceux ci ont d cid de r aliser leurs propositions dans le cadre d une commission aupr s d un ou plusieurs artistes professionnels Le cycle de gestion d un projet d art public montre une charge consid rable de travail venir pour les diffuseurs annexe 5 ce titre Loto Qu bec devrait faciliter le plus possible les proc dures administratives aupr s de ses partenaires culturels Le cadre de gestion d une commission d une uvre d art public a permis d identifier les tapes d approbation dans le suivi du projetet de d terminer les facteurs importants dans la r alisation de ce type de projet Loto Qu bec devrait r viser les modalit s de son engagement pour en d gager des lignes directrices sur la r alisation d un legs pour la com
168. nale Culturat qui vise faire de la culture et du patrimoine un p le central du d veloppement de l Abitibi T miscamingue Ville de Rouyn Noranda 2012a Selon l outil de recherche de Culturat 2014 il y a pr s de 107 artistes ou artisans et environ 108 organisations culturelles dans la Ville de Rouyn Noranda Ces sites culturels et historiques se concentrent dans les trois quartiers du Vieux Noranda du centre ville et de l Universit Ville de Rouyn Noranda 2010 Parmi ceux ci le CERN collabore avec la Ville de Rouyn Noranda sur diverses initiatives et un onglet sur la page de la Ville lui est consacr Par exemple un fond municipal d art contemporain cog r par la Ville et par le CERN consiste en une collection municipale de 39 uvres d art par 27 artistes locaux datant d apr s 1948 Ville de Rouyn Noranda 2012b Ce dernier a particip au programme Collection Loto Qu bec l art de partager Lachapelle et autres 2014 Son site web a alors t exhaustivement consult pour en brosser le portrait de l tablissement mus al CERN s d Situ pr s du centre ville de Rouyn Noranda depuis 2012 le CERN est un lieu de diffusion de cr ation d animation d ducation et de conservation Il accueille des expositions temporaires sur les arts visuels et sa collection permanente Il dispose aussi d un atelier artistique d un hall d entr es et de deux salles ferm es d expositions temporaires et d un couloir a Rue des Arts
169. ns laquelle Loto Qu bec pourrait tre cosignataire avec son diffuseur pour la r alisation du projet Afin de se conformer aux normes des meilleures pratiques de commandes priv es du Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 une allocation de d part devrait tre attribu e au diffuseur culturel afin de r mun rer l artiste d sign r aliser une proposition conceptuelle Il est d conseill que le propri taire planifie un appel de projets aux artistes puisque ces derniers ne pourront pas tre r mun r s pour leurs id es Cole et autres 2010 Public Art Network 2013 La troisi me approbation pourrait se faire la remise de la proposition conceptuelle de l artiste au propri taire du projet Cette tape arrive deux trois mois apr s l appel d artistes La proposition conceptuelle correspond une repr sentation visuelle de l uvre d art avant sa fabrication et son installation Cole et autres 2010 Loto Qu bec aurait un droit de regard sur la conformit de la proposition conceptuelle par rapport au cadre de r f rence Le propri taire du projet aurait besoin d au moins la moiti du montant pour que l artiste commence la conception du legs Cole et autres 2010 Ce dernier ferait un suivi serr avec l artiste sur la conception d taill e de l uvre d art et sur sa fabrication voir annexe 5 Ses tapes peuvent durer quelques mois en fonction de la nature du projet commandit Cole et autres 2010
170. nts constituant un cadre de r f rence tir de Arts South Australia Government 2004 p 20 23 l ments constitutifs l ments consid rer Mise en contexte gt Description de l organisation commissionnaire gt Information pertinente sur la communaut impliqu e gt Information sur la mise en contexte de la commission Emplacement du projet gt Description et caract ristiques du site gt Contraintes du site exigences l gales contraintes techniques conditions climatiques consid rations th matiques gt S il y a lieu site alternatif uvre d art public gt Description du concept souhait gt Description du public cible gt Description des effets d sir s par l uvre d art sur son site d implantation gt Caract ristiques requises des mat riaux gt Consid rations de la pratique artistique sant et s curit maintenance du site assurance code de construction etc Consultation des parties gt Exigences sur la consultation des parties prenantes pour r aliser prenantes l uvre d art public Budget Co t total allou pour chaque tape du projet Types d assistance sur la r alisation du projet Gestion et comit de pilotage Gestion du projet R les et responsabilit s des collaborateurs du projet Processus de la commission et l ch ancier Aper u du processus de la commission Processus de s lection de la proposition conceptuelle Commission
171. ogramme de Loto Qu bec et d augmenter la pr sence des uvres d art de sa collection aupr s de la population qu b coise Loto Qu bec et ses filiales 2014a Cet objectif r pond aux pr occupations financi res ressenties par ses ventuels partenaires d affaires Le Groupe de travail sur le r seau mus al mentionne que l ensemble des 437 tablissements mus aux re oit pr s de 50 de leur financement partir d aides publiques pour effectuer leur mission de diffusion du patrimoine collectif Toutefois les aides publiques n ont pas fait l objet d une indexation depuis les ann es 2000 rendant ces tablissements mus aux vuln rables Le Groupe recommande des mesures fiscales pour accro tre les sources de revenus des tablissements mus aux et pour diversifier leurs bailleurs de fonds Corbo et autres 2013 Aussi d apr s l enqu te du Groupe de travail sur la philanthropie culturelle pr s de 76 des 121 organismes clients du Conseil des arts et des lettres du Qu bec ne sont pas satisfaits du niveau de financement qu ils re oivent Ces organismes culturels ont une grande difficult se faire conna tre de donateurs ventuels et tablir des liens durables avec eux Brochu 2013 L engagement de Loto Qu bec appara t aussi dans un contexte o les acteurs de la soci t qu b coise se positionnent sur le r le de la culture dans le d veloppement durable MCCCF 2011 Par cons quent le legs pour la communaut constitu
172. on usage et sa bonification l offre culturelle du quartier permettent de produire des effets rassembleurs remarquables Les deux autres propositions ont un fort potentiel de r pondre des enjeux du milieu qu elles s inscrivent mais les caract ristiques de leur forme et de leur message ne permettent pas d appr cier suffisamment la valeur de leur r alisation 4 5 Constats g n raux Les quatre tudes de cas donnent un aper u de la diversit des enjeux locaux et des participants de l engagement de Loto Qu bec D une r gion l autre les Villes et les institutions mus ales ont les m mes strat gies respectives pour donner acc s la culture leur collectivit Les Villes 52 planifient leurs actions sur une politique culturelle afin de soutenir les initiatives de m diation culturelle le patrimoine culturel et les organismes culturels sur leur territoire Les institutions mus ales ont leur mission leurs strat gies de financement leurs programmes ducatifs et leurs expositions th matiques afin de rejoindre leur client le Les enjeux locaux des r gions participantes diff rent selon le contexte d intervention de la Ville dans le milieu culturel sa politique culturelle ses fonds allou s la culture ses atouts culturels ses facteurs d exclusion culturelle etc et selon les caract ristiques de sa collectivit son histoire ses caract ristiques d mographiques et socio conomiques son identit culturelle son
173. onsabilit s entre les parties relativement au projet les droits d auteurs de l uvre achev e et les droits moraux la communication et les proc dures de r glements des conflits en plus des autres l ments mentionn s dans la conception d taill e Cole et autres 2010 Le Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 insiste sur l importance pour l agence commanditaire de r aliser une entente en bonne et due forme avec l artiste pour une commande d uvre d art Il pr cise les consid rations importantes dans les ententes le comit de s lection dans les concours publics ou sur invitation la dur e de vie de l uvre les attentes des parties sur la s lection du site et son usage les risques et les assurances la Loi sur le droit d auteur la conservation et l entretien de l uvre d art ainsi que les droits de propri t Les artistes devraient tre encourag s obtenir des conseils juridiques et les frais juridiques sont consid r s comme un l ment raisonnable du budget d un projet d art public La Loi sur le droit d auteur stipule que l artiste d tient les droits d auteur sur son uvre jusqu 50 ans apr s sa mort L agence commanditaire doit associer le nom de l artiste toute pr sentation de l uvre pr server l int grit physique et virtuelle de l uvre ainsi que de ne pas l utiliser comme outil de promotion sans le consentement de l artiste Regroupement des artistes en arts visuels du Qu be
174. onsultations Ces parties prenantes sont d pendantes parce qu elles sont les principales b n ficiaires du legs sans pouvoir si ger au comit local En effet il y a trop d instances citoyennes de groupes vuln rables et d associations citoyennes pour r aliser une consultation repr sentative de la collectivit faible co t pour un projet durable de 10 000 La commission d art public rassemble des experts dans ce domaine lesquels coordonnent le programme de la collection d art public de la ville Les organismes parapublics culturels sont des organisations qui offrent des services culturels leurs citoyens et qui sont reconnues par la ville Le service de la culture de la ville regroupant des fonctionnaires municipaux ex cute la coordination et le soutien des parties prenantes culturelles du milieu par le biais de la politique culturelle Daigle et Gauthier 2004 Les organismes culturels rassemblent les institutions mus ales les diffuseurs culturels les installations d ateliers artistiques et les lieux de pr sentation culturelle Stewart et autres 2010 Les experts en art public sont les collaborateurs professionnels d un projet d art public Cole et autres 2010 Centre de conservation du Qu bec 2013 Toutes ces parties prenantes sont dominantes parce qu elles disposent de l expertise requise des connaissances du milieu et des ressources n cessaires ressources humaines financi res et physiques pour r aliser le projet cult
175. ont des comp tences dans le domaine de la culture et du loisir gt Cole et autres 2010 ont r alis une trousse d information sur l art public pour tablir les meilleures pratiques sur la r alisation d un projet d uvre d art public d une commande aupr s des artistes d un programme d art public des partenariats potentiels et de la gestion d une collection d uvres d art au Canada Les auteurs ont num r et d fini les parties prenantes de l art public gt Le Centre de conservation du Qu bec 2013 a fait un guide sur l entretien et la conservation d une uvre d art public Le guide a l avantage d num rer les responsabilit s des parties prenantes impliqu es dans toutes les phases de r alisation du projet d uvre d art public pour s assurer de sa durabilit dans le temps gt Turcotte et autres 2011 ont fait un aide m moire des parties prenantes pouvant tre impliqu es dans la responsabilit soci tale d une organisation selon la norme ISO 26 000 gt Alm ras et W ra 1998 ont num r les partenaires possibles dans leur guide pratique de partenariats pour les initiatives culturelles sur la sc ne municipale gt Stewart et autres 2010 ont propos une banque de mots pour caract riser une partie prenante culturelle afin de r aliser une cartographie des ressources culturelles d un territoire Les groupes identifi s dans les ouvrages sont num r s et d finis dans le tableau A1 1 Ils repr sentent
176. our des activit s r cr otouristiques Ville de Sherbrooke 2013 Dans ce portrait le CCUS joue un r le de diffuseur culturel r gional au sein de l arrondissement du Mont Bellevue Ce dernier a pour mission de rendre la communaut universitaire et aux gens de la r gion un acc s des productions artistiques aussi audacieuses que vari es Universit de Sherbrooke s d a II se compose de la Galerie d art sp cialis e dans les arts visuels et de la Salle Maurice O Bready ax e sur les arts de la sc ne Ce diffuseur culturel est soutenu par l Universit de Sherbrooke le MCCCF et la Ville de Sherbrooke CCUS s d Le Centre culturel dispose d une salle de spectacle de 1 726 places de quatre foyers et d un b timent patrimonial de diffusion culturelle nomm le Vieux Clocher Il offre une programmation vari e de plus d une centaine prestations des arts de la sc ne pr s de 150 000 habitants r gionaux Il d veloppe pour ses membres des promotions pour ses concerts ses pi ces de th tre et ses spectacles toutefois le co t des spectacles d pend principalement des artistes invit s Tr panier et autres 2014 Par exemple la s rie arri re cours est une programmation de spectacles itin rants par les tudiants et lanc s la rentr e 2012 Universit de Sherbrooke s d b Le tableau 4 2 pr sente les services qu offre le CCUS en partenariat avec d autres organismes locaux Tableau 4 2 Produits culturel
177. ous faire une br ve description en 5 minutes sur l auditoire que vous rejoignez avec vos services culturels et sur ce qui vous semble important dans votre travail pour la collectivit Quels sont les principaux enjeux sur vos services culturels offerts votre client le actuellement Quelles sont les tendances qui favorisent et qui nuisent vos activit s culturelles pour la collectivit Qui ou quoi consid rez vous comme les forces motrices de changement dans votre communaut Quels semblent tre les besoins culturels des habitants de la collectivit qui ne semblent pas satisfaits Si vous pouvez changer une chose propos de cette situation que serait elle Pouvez vous nous donner une liste d initiatives que vous avez effectu es en lien avec la situation d crite pr c demment Quelles initiatives qui ont bien r ussies et celles qui ont moins bien r ussies Quels sont les facteurs de succ s pour am liorer la situation Outre l aspect culturel quelles sont vos plus grandes pr occupations li es aux aspects social conomique et environnemental de votre territoire 97 Legs pour la collectivit En regardant la grille multicrit res page 3 du pr sent document est ce que vous avez des id es de projet durables r aliser pour les habitants de la ville accueillant l exposition itin rante Territoires imagin s Parmi les options de legs que vous avez sugg r es lesquelles pourraient avoir un fort appui de la popul
178. ouverts au public les uvres d art public et les circuits patrimoniaux Le Croissant culturel de Chicoutimi s d gt Culture ducation permet une plus grande accessibilit pour les jeunes la vie artistique et culturelle de Saguenay Le programme propose quatre moyens afin de faciliter l int gration des arts et de la culture dans le milieu scolaire les outils de facilitation les rencontres entre professionnels le soutien des initiatives culturelles et la dimension culturelle dans les projets ducatifs Programme Culture ducation 2014 gt veille ma culture est un programme de m diation culturelle de la Ville de Saguenay issue d une entente de d veloppement culturel du MCCCF Le programme s assure d une animation culturelle sur le territoire en soutenant les initiatives des milieux culturel et communautaire et en favorisant l acc s aux arts et la culture tous les citoyens Ville de Saguenay 2014d La Ville de Saguenay g re galement les centres culturels de ses arrondissements dont le Centre culturel du Mont Jacob Ville de Saguenay 2014c Ce dernier dispose d un circuit montagnard 44 culturel et il partage ses espaces avec d autres partenaires r sidents tels que la Salle Pierrette Gaudreault le Th tre La Rubrique le Th tre CRI et le CNE Centre culturel du Mont Jacob 2008 Le dernier partenaire r sident repr sente le partenaire culturel de Loto Qu bec Sa description a t r alis e
179. p www cern ca index asp Page consult e le 29 juillet 2014 Centre national d exposition de Saguenay CNE 2007 Bienvenue sur le site du Centre national d exposition In Centre national d exposition de Saguenay http www centrenationalexposition com index php id 34 amp lang fr Page consult e le 15 avril 2014 Childs N 2000 An architect s perspective A losing battle n Public Art Online Resources Collaboration http www publicartonline org uk resources rescollaboration collaboration_architect php Page consult e le 7 septembre 2014 Chrysalis Arts Ltd s d Public Art Sustainable Assessment In Media Vision Downloads http www pasaguidelines org Downloads aspx Page consult e le 17 mars 2014 Coalition pour l art et le d veloppement durable 2011 Arts cologie et d veloppement durable tats des lieux international des initiatives Etude r alis e par COAL Janvier mars 2011 n Coalition pour l art et le d veloppement durable Centre de ressources http www projetcoal org coal wp content uploads 2011 07 ETUDE COAL_2011_PARTIE12 pdf Page consult e le 17 juillet 2014 Cohen M 2013 When is it time to de accession In ArtsBlogs Public Art Best practices http blog artsusa org 2013 02 13 when is it time to de accession more 18680 Page consult e le 5 septembre 2014 Cole B Brown L et Henry K 2010 Trousse outils sur l art public n Le r seau des cit s cr atives du Canada
180. principe de d veloppement durable de la Convention sur la protection et la promotion de la diversit des expressions culturelles de l UNESCO La protection la promotion et le maintien de la diversit culturelle impliquent notamment la protection et la promotion de la diversit des expressions culturelles propres notre soci t car ces derni res favorisent l volution et l essor de la culture qu b coise Utilisation durable des ressources culturelles les ressources culturelles notamment le patrimoine les arts et les expressions culturelles doivent tre utilis es de mani re responsable dans le respect de leur essence et de leur quilibre en vitant toute forme de surexploitation de d naturation et d appauvrissement pouvant compromettre leur usage long terme pour les g n rations futures Cr ativit et Innovation La culture est un puissant catalyseur de cr ativit et d innovations sociales et technologiques Le soutien la cr ativit et l innovation est une condition essentielle pour assurer la viabilit du d veloppement global de la soci t 102 ANNEXE 5 CYCLE DE GESTION D UN PROJET D ART PUBLIC compil d apr s Cole et autres 2010 p 38 52 Arts South Australia Government 2004 p 4 48 Lizotte et autres 2006 p 3 4 15 19 Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 p 1 13 Cullihall et Perry s d p 1 5 L annexe tente de donner un aper u des mei
181. que ou crivain du domaine des arts Un crivain professionnel du domaine des arts qui r dige pour des publications imprim es ou en ligne r gionales nationales ou internationales Des crivains peuvent aussi tre engag s pour r diger des textes destin s une brochure ou d autres documents publicitaires ou ducatifs Cole et autres 2010 gt Institutions ou groupes ducatifs Stewart et autres 2010 Institutions gt Ensemble de parties prenantes offrant une certaine expertise et un publiques soutien financier un projet dans la sph re publique les minist res les niveau 3 agences les bureaux r gionaux et les centres locaux de d veloppement Alm ras et W ra 1998 IIs peuvent galement tre des organismes de soutien et de recherche les agences gouvernementales les universit s les instituts les chaires d tudes et les observatoires Turcotte et autres 2011 91 Tableau A1 1 Parties prenantes identifi es et leur d finition suite Parties prenantes D finition Partenaires gt Petites et grandes entreprises Alm ras et W ra 1998 d affaires gt M c ne Une personne ou une fondation qui utilisent sa fortune pour niveau 3 favoriser les arts et la culture Alm ras et W ra 1998 gt Agents conomiques Organismes publics et parapublics qui offrent des services sur le d veloppement conomique du territoire La culture se pr sente comme un secteur d activit
182. r le de la culture dans le d veloppement en favorisant la collaboration entre milieux culturels et milieux d affaires la mise en commun de leurs ressources respectives les uns pour enrichir les projets d affaires les autres pour appuyer le d veloppement de l conomie culturelle D velopper et promouvoir la cr ativit en int grant la culture dans les politiques d innovation et en facilitant l adaptation du secteur des arts et des lettres et des industries culturelles Internet et la nouvelle r alit num rique Partie 4 Culture territoire et environnement La culture est un l ment structurant de l am nagement et du d veloppement des territoires 15 16 17 18 19 Valoriser la culture en tant que r servoir de pratiques de savoir faire et de traditions qui contribuent prot ger et stimuler la diversit biologique et culturelle Int grer la r flexion sur le territoire et l environnement toute d marche culturelle Reconna tre et valoriser l expression artistique et les sp cificit s culturelles r gionales de mani re lutter contre l uniformisation et la standardisation de la culture par une production diversifi e ancr e dans le territoire Reconna tre et respecter la relation troite existant entre culture et territoire chez les nations am rindiennes et la nation inuite Participer la pr servation ainsi qu la mise en valeur de leurs savoirs et usages traditionnels P
183. r s du public et des uvres qui y sont associ es Loto Qu bec pourrait monter un plan de communication pour l appliquer chacun des legs r alis s Cole et autres 2010 Arts South Australia Government 2004 69 CONCLUSION Le processus de l engagement de Loto Qu bec a donn treize projets culturels durables dans les quatre r gions participantes mais seulement quatre d entre eux seront commandit s par la soci t d tat L analyse du cycle de gestion d un projet d art public envisage une charge consid rable de travail pour le diffuseur dans la planification de sa commission et du suivi aupr s de Loto Qu bec En ce sens les comit s locaux ont mentionn des pr occupations sur la port e de l engagement sur l efficience du processus et sur la composition du comit local L objectif de l essai fait donc une r vision du processus de coproduction d un legs pour la communaut afin de l optimiser dans les activit s strat giques de Loto Qu bec L introspection de la consultation des comit s locaux montre que le service de la culture et le partenaire culturel de Loto Qu bec ont t trait s sur le m me pied d galit La priorisation des parties prenantes de l engagement n a pas t respect e De plus la port e de l engagement n a pas clairement t nonc e au d but de la consultation notamment sur la formulation des propositions et les responsabilit s du diffuseur apr s cette tape Malgr ces constats les
184. r la communaut Ces parties prenantes peuvent allouer aux collaborateurs du projet leur expertise ou une contribution financi re pour mener bien le projet durable apr s la consultation Les m diateurs culturels sont des acteurs du milieu artistique qui entreprennent des initiatives culturelles afin de rendre accessible la culture aux citoyens La commission de la culture rassemble des acteurs du milieu artistique des lus municipaux et fonctionnaires municipaux du service de la culture pour coordonner une politique culturelle de la municipalit afin de faciliter l acc s de la 12 culture la collectivit Daigle et Gauthier 2004 Ceux ci sont des parties prenantes discr tionnaires parce qu elles connaissent bien les enjeux culturels de la localit l tude et parce qu elles auront une faible implication sur la r alisation du legs la communaut Toutefois leur contribution ne doit pas tre sous estim e Par exemple une activit de m diation culturelle pourrait faciliter la r alisation du legs et cr er des synergies entre les legs et les initiatives culturelles locales Les collectivit s repr sentent le public cible qui va tre le b n ficiaire du projet durable Cole et autres 2010 R seau entreprise et d veloppement durable 2012 et Turcotte et autres 2011 rappellent de prendre en compte les groupes vuln rables qui ont tendance avoir un acc s limit la vie culturelle et tre cart s des c
185. ransmission et la mise en valeur de ces cultures au sein de leurs communaut s et aupr s de l ensemble de la population qu b coise 5 Favoriser l panouissement culturel des citoyennes et des citoyens ainsi que l acc s et leur participation la vie culturelle Valoriser la pratique amateur et la m diation culturelle Inclure les citoyennes et citoyens dans les processus d laboration des politiques culturelles tous les niveaux Miser sur le loisir culturel comme lieu d apprentissage et d appropriation citoyenne Partie 2 Culture et soci t La culture est un vecteur de d mocratie de dialogue interculturel et de coh sion sociale 6 Valoriser la place des arts et de la culture au sein de l ensemble des tablissements d enseignement tant au c ur des programmes de formation que lors des activit s parascolaires 7 Reconna tre le r le de la culture comme vecteur de coh sion sociale Valoriser l engagement des artistes et des citoyennes et des citoyens dont l action culturelle contribue au d veloppement social et conomique de leur milieu de vie 8 Favoriser gr ce aux arts et la culture le dialogue interculturel entre les Qu b coises et Qu b cois Multiplier les occasions d interactions entre les artistes de toutes origines et la soci t qu b coise afin de favoriser l int gration et l inclusion Combattre l intol rance la discrimination et le racisme 99 9 10 Int grer la culture dans l
186. rces d information sur les sites web du partenaire culturel de Loto Qu bec et de sa ville ainsi que sur les comptes rendus de la rencontre du comit local Cette introspection permettra de tirer des constats g n raux sur les r sultats du processus de coproduction des portfolios 4 1 Sherbrooke La r gion sherbrookoise dispose de plusieurs lieux supportant la vie culturelle une vingtaine d institutions mus ales un centre de production en arts de la sc ne une maison des arts et de la culture deux centres culturels d arrondissement quatre salles de spectacle deux complexes de cin ma cinq biblioth ques publiques un lieu de production de spectacles de plein air et un r seau de 13 murales et d environ 230 uvres d art public localis au centre ville Destination Sherbrooke 2014 Ville de Sherbrooke et Planiainc 2014 Le rayonnement touristique de Sherbrooke est galement associ la tenue de quelque 75 v nements au cours de l ann e permettant d attirer un nombre important de visiteurs de l ext rieur La plupart de ces v nements sont caract re sportif mais ils sont galement de nature culturelle Par exemple il y a des expositions du Mus e des beaux arts de Sherbrooke et de la Galerie d art de l Universit de Sherbrooke des festivals culturels et des foires commerciales Par ailleurs des circuits touristiques mettent en valeur les attraits historiques et humains du Vieux Nord du centre ville et de Lennoxville
187. re Union des municipalit s du Qu bec 2014 92 ANNEXE 2 INVITATIONS POUR LA CONSULTATION Les coordonn es des personnes ressources contact es sont d crites dans le tableau A2 1 Les partenaires culturels de Loto Qu bec ont t contact s en mi f vrier par t l phone et la discussion a suivi le mod le du courriel A2 1 Le courriel demandait les p riodes de disponibilit s parmi trois jours expos s dans la premi re colonne du tableau A2 1 pour faire une consultation chez le partenaire culturel S il n y avait pas de personne pour r pondre un message vocal leur a t laiss afin de se r f rer au courriel Une semaine tait allou e pour avoir une r ponse de la part du partenaire culturel Par la suite un fonctionnaire du service de la culture de la ville a t contact afin de r server un apr s midi pour s entretenir sur les besoins culturels de la collectivit h te Le fonctionnaire du service de la culture avait jusqu au 12 mars 2014 pour r pondre l invitation du courriel A2 2 Dans le cas d un d sistement aucun suivi n a t fait une seconde fois aupr s de l administration publique de la ville L ordre du jour et les questions ont t transmis aux participants du comit de consultation la semaine avant la r union Tableau A2 1 Coordonn es des partenaires culturels et du service de la culture de la ville accueillant l exposition Territoires imagin s par les artistes de la Collection
188. rendre en consid ration le fait que le patrimoine naturel doit tre prot g pour sa valeur culturelle autant que pour sa valeur cologique et conomique Prendre en compte la culture dans l laboration et la mise en uvre des politiques de protection de l environnement notamment dans les tudes d impact des grands projets 100 20 Int grer la dimension culturelle dans les processus d am nagement et de d veloppement du territoire de mani re am liorer la qualit de vie des populations renforcer le sentiment d appartenance et favoriser l attractivit des milieux 21 Am liorer la qualit culturelle des cadres de vie par une mise en valeur judicieuse du patrimoine une pr sence significative de l art public une architecture un design et des paysages distinctifs Int grer la notion de cycle de vie la conception des am nagements et des quipements Les principes directeurs de la Loi sur le d veloppement durable et de l Agenda 21C du Qu bec s noncent comme suit Principes directeurs de d veloppement durable du Qu bec A Sant et Qualit de vie les personnes la protection de leur sant et l am lioration de leur qualit de vie sont au centre des pr occupations relatives au d veloppement durable Les personnes ont droit une vie saine et productive en harmonie avec la nature B quit et solidarit sociales les actions de d veloppement doivent tre entreprises dans un so
189. res 2010 Chrysalis Arts Ltd s d Villeneuve et autres 2014 Groupe B langer Beauchemin Morency Architectes amp Urbaniste 2010 xia Ltd 2014 expose galement les th matiques consid rer comme les animaux et la v g tation l am lioration de l environnement physique la conservation la gestion de la pollution et des mati res r siduelles l nergie et les changements climatiques etc Le crit re est respect lorsque les impacts majeurs sur l environnement sont att nu s dans le projet Par exemple le comit local peut discuter de l optimisation du recours la mati re pour un rendu de qualit quivalente la gestion des intrants nergie ressources et des extrants mati res r siduelles nuisances pollution substances dangereuses dans les ateliers artistiques le choix cologique des mat riaux et des proc d s de fabrication et de montage la sant et s curit des participants ainsi que la dur e de vie et l adaptabilit du projet sur le site concern La d marche coresponsable est plus que satisfaite lorsque le projet a des impacts positifs sur l environnement Pour cela le comit local peut penser aux pratiques suivantes la promotion de la biodiversit dans le projet le d tournement des d chets ultimes la compensation des gaz effet de serre la sensibilisation sur les bonnes habitudes de vie des citoyens la r solution d un probl me cologique et la r alisation du projet ax e sur les
190. ristiques de la collectivit Ils ont galement r alis une r flexion orient e sur les besoins de la collectivit en mati re de projets culturels durables La n gociation sur les r les et responsabilit s des parties prenantes s est harmonieusement effectu e entre les membres du comit 4 2 2 Orientations du legs pour la communaut Au d but de la consultation l engagement de Loto Qu bec a t clarifi pour le comit de Saint J r me Par la suite Matte et autres 2014 ont relat les caract ristiques de la Ville de Saint J r me et les atouts culturels du territoire Ils soulignent plusieurs enjeux sur le territoire 40 La Ville de Saint J r me dispose de plusieurs attraits naturels pour favoriser le tourisme culturel Par exemple le parc r gional de la Rivi re du Nord est utilis par 100 000 habitants dont la moiti est d origine de Saint J r me pour r aliser des activit s de plein air La rivi re du Nord repr sente aussi les veines de la Ville de Saint J r me d limitant les anciennes municipalit s Toutefois elle manque une certaine valorisation pour la population Par exemple le parc de la promenade proximit de la rivi re n est pas bien entretenu en hiver La population j r mienne cro t rapidement d environ 1 200 habitants par ann e On constate l arriv e de nouvelles familles et l implantation de nouveaux tablissements primaires Par cons quent les nouveaux arrivants ont un faib
191. rmin e consiste choisir un artiste parmi un bassin d artistes pr s lectionn s Elle est issue d une requ te aupr s d un conservateur d une demande formul e un comit de s lection ou d une d marche du responsable du projet sur des r sultats de concours pr c dents afin de choisir un artiste pour laborer une proposition conceptuelle Il peut comporter la r alisation de croquis par un bassin d artistes pr s lectionn s Ce mod le est souhaitable lorsque l ch ancier est tr s court que l occasion est hautement sp cialis e ou que l agence commissionnaire a une id e ferme du type d uvre d art acqu rir Toutefois ce mod le limite la transparence du processus et l acc s d autres artistes la commission Cole et autres 2010 L appel de projets est un processus de s lection pour retenir les artistes selon leurs propositions conceptuelles Lizotte et autres 2006 Toutefois cette pratique est questionnable parce que les artistes disposent de peu d information et parfois d aucune contribution financi re pour produire des id es sur le projet Public Art Network 2013 Le Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 recommande de ne jamais solliciter les artistes sur des id es sur le projet avant une pr s lection des artistes Selon leurs propos le d veloppement d id es sur une commande exige une somme importante de travail de la part de l artiste et tout travail de conceptualisation doit tre r m
192. rtise technique Centre de conservation du Qu bec 2013 gt Restaurateur de l uvre d art public Un professionnel qui a une expertise en histoire de l art et qui se sp cialise dans la conservation technique et la restauration d uvres d art Cole et autres 2010 Il peut donner son avis sur le choix des mat riaux et sur les techniques de fabrication et d installation du projet d art public Sa formation lui permet d valuer les dommages qu une uvre d art a subis et de sugg rer les interventions appropri es Centre de conservation du Qu bec 2013 gt Consultant en art public Un sp cialiste du domaine des arts qui a une expertise en art public Cette personne conna t le domaine de l art contemporain ou travaille en collaboration avec d autres sp cialistes du domaine des arts qui ont des connaissances sp cialis es Cole et autres 2010 gt Ing nieur Le professionnel agr charg des aspects techniques d un projet d am nagement Cole et autres 2010 Il collabore avec l artiste et les autres participants d un projet d art public en tant qu expert en mati re du choix des mat riaux du fonctionnement des l ments m caniques et lectriques ainsi que des risques naturels du milieu ex drainage du sol Centre de conservation du Qu bec 2013 gt Fabricant Une personne ou une entreprise que l artiste ou l agence engage par contrat pour b tir ou construire une uvre d art ou des l ments d une u
193. rtonline org uk resources practicaladvice commissioning modusoperandi_g uidelines php Page consult e le 6 septembre 2014 Mainardes E W Alves H and Raposo M 2011 Stakeholder theory issue to resolve Management Decision vol 49 n 2 p 226 252 Matte A Renoux C Gosselin M Paquin C Tourangeau J et Marion A 2014 Consultation des parties prenantes de Saint J r me projet de legs culturel durable Collection Loto Qu bec Communication orale Entrevue anim e par Jean Fran ois Ouellet et Caroline Valli res avec Andr e Matte conservatrice du MACL Christelle Renoux m diatrice culturelle du MACL M lanie Gosselin directrice du Conseil de la culture des Laurentides Chantal Paquin responsable de la Division culture et biblioth ques de la Ville de Saint J r me Julie Tourangeau coordonnatrice du d veloppement culturel et touristique de la Ville de Saint J r me et Andr Marion pr sident de la commission aux affaires culturelles de la Ville de Saint J r me et ancien directeur du MACL 27 mars Mus e d art contemporain des Laurentides Saint J r me Miller S M Hulstrand J Kagan J et Kirkland L s d Public art and private development resource guide for developers In Americans for the Arts Public art network Tools amp Resources Program management http www americansforthearts org sites default files pdf 2013 by_program networks_and co uncils public_art_network PublicArtPrivate
194. rtout par leurs encouragements que j ai continu pers v rer et croire en ce mandat Je fais une mention sp ciale Pascale Fecteau Bourque Paul Vaillant Gabriel Arguin Andr anne Ferland Michel Lacasse et autres J ai galement une grande reconnaissance ma famille et mes proches Ceux ci m ont beaucoup soutenu dans mon cheminement scolaire de ce diagnostic de la dysphasie s v re jusqu cette ma trise TABLE DES MATI RES INTRODUCTION santa aaaea dr ad das arte re dr en ame nd prete ed nn eee Trader eds ata inda 1 1 ANALYSE DU BESOIN DE LOTO QU BEC esse 3 1 1 Collection Loto Qu bec l art de partager 3 1 2 Legs la communaut haine ha ne te nt te ut 4 1 3 Identification des projets admissibles 5 154 Gha mp d application sn te ee a aaraa Ent A nt A ln aE as 6 2 PROCESSUS DE CONSULTATION suisses 8 2 1 D limitation territoriale uses 9 2 2 Cartographie des parties prenantes 10 2 2 1 Identification des parties prenantes ssssseessrresssrneesrnnesrnnnesrrnnesnnnnestnnnnnnnnnennnnnennnane 11 2 2 2 Priorisation des parties prenantes 12 2 3 Strat gie de consultation iii 14 2 4 R alisation des portfolios iii 16 2 5 Retour sur le processus iii 18 2 6 Constats g n raux tar te ER n ee oeil e cel N men docs ile etre ea 18 3 GRILLE D ANALYSE MULTICRIT RES eee 20 31 Gnlles existante S 1288 mirent in nn rte et lee 20 3 1 1 Grille d analyse de Chrysalis Arts Ltd esssees
195. s Implication communautaire Les parties 1 et 2 de l Agenda 21C encouragent le r le des artistes comme tant des acteurs de changement dans la soci t les bienfaits de la participation citoyenne la culture et la m diation culturelle entre la communaut et le milieu artistique Ce crit re value donc l importance de l implication entre les artistes qu b cois et la communaut dans le projet de legs Chrysalis Arts Ltd s d donne quelques pistes sur cela la diffusion de l information sur l engagement la communaut vis e la facilit d interaction entre l artiste et la communaut dans toutes les tapes du projet l galit des opportunit s de participation la consultation communautaire les programmes ducatifs autour du legs et la collaboration avec les entreprises locales Le crit re donne un indice surle degr d engagement de l artiste et des citoyens sur la r alisation du legs Si l artiste et les citoyens s engagent dans une d marche de coproduction le crit re serait plus que satisfait D marche coresponsable La partie 4 de l Agenda 21C aborde l inclusion de la culture dans les politiques environnementales et la r flexion sur l environnement dans toute d marche 27 culturelle Le crit re value donc l approche cologique de la d marche artistique La majorit des outils d valuation traite de l coconception comme moyen d att nuer l impact environnemental d un projet artistique Monel et aut
196. s Comit local Partenaire al culturel S lection d un projet par un jury ind pendant Proposition 2 Description du site Justification du site Conservation du projet Proposition3 gt audtoirevis M diation culturelle 01074104 ill Commentaires Propri taire du projet Coordonnateur du projet Loto Qu bec r alise Suivie et g r e par le E Entente sur la r alisation du comit local legs pour la communaut 10000 de Loto Qu bec Figure 3 1 Sch ma de l application de la grille d analyse multicrit res dans le processus d cisionnel de l engagement de Loto Qu bec D apr s les indications du guide de l Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 la grille d analyse doit r pondre plusieurs contraintes du contexte d cisionnel D une part le cadre d analyse doit s appliquer sur un projet d art public implant sur un site dans la municipalit et r alis avec une enveloppe budg taire se situant entre 10 000 et 50 000 Les destinataires de cette valuation doivent obtenir des pistes d am lioration du projet et en conna tre les points forts et les points faibles afin de choisir la meilleure option Plus pr cis ment le jury ind pendant doit tre en mesure de comprendre l interpr tation des r sultats de l outil Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 D autre part le processus d cisionnel de Loto Q
197. s de la communaut vis e d augmenter la confiance mutuelle entre l organisation et la communaut ainsi que de diminuer les risques de la soci t d tat R seau entreprise et d veloppement durable 2012 La d limitation spatiale de la r gion participante est une consid ration importante pour pr parer la consultation Le legs n cessite des orientations attendues de la communaut pour qu il s ancre bien sur son territoire Toutefois l enveloppe budg taire accord e au legs limite la pertinence d une consultation exhaustive et co teuse Dans un souci d optimiser les ressources allou es la consultation la section 2 1 traite de la d limitation spatiale de la r gion impliqu e Deuxi mement il faut identifier et prioriser les parties prenantes qui vont participer la d marche de consultation figure 2 1 Pour ce faire une cartographie des parties prenantes est entreprise la section 2 2 Puisque les modes de gestion du milieu culturel changent d une r gion l autre du Canada une attention particuli re a t donn e aux sources d information du Qu bec pour identifier les parties prenantes Daigle et Gauthier 2004 Troisi mement une strat gie de consultation a t labor e pour les comit s locaux afin de planifier l investissement des ressources la consultation et afin de favoriser le travail collaboratif figure 2 1 D crite dans la section 2 8 elle vise cr er des outils d animation efficace po
198. s offerts par le Centre culturel de l Universit de Sherbrooke et ses partenaires strat giques locaux compil d apr s CCUS s d Universit de Sherbrooke s d b Bureau et autres 2012 Activit s culturelles Partenaires strat giques locaux Concerts de musique cole de musique de l Universit de Sherbrooke Orchestre symphonique de Sherbrooke Grands Explorateurs et artistes invit s Financement de la Desjardins Rogers C MCCCF Patrimoine Canada La Tribune TVA salle de spectacle NRJ Estrie 106 1 et 107 7fm chtl Exposition d art visuel tudiants du certificat des arts visuels et artistes invit s Collection de la Campus du Longueuil Facult de Droit et 190 donateurs Galerie d art Manifestation des arts Les Milles Feux Universit de Sherbrooke en spectacle Th tre de la sc ne Centennial de Lennoxville Ligue d improvisation de l Universit de Sherbrooke Th tre Granada Boqu bi re La Petite Bo te Noire et artistes invit s Fond culturel pour les Universit de Sherbrooke Regroupement des tudiants en ma trise et en activit s culturelles doctorat de l Universit de Sherbrooke et F d ration tudiante de des tudiants l Universit de Sherbrooke En compl ment la Galerie d art contemporain rassemble une collection de 1 600 uvres d artistes qu b cois et le Fond d Andr Le Coz qui regroupe pr s de 100 photographies du photographe et 120
199. s sp cifications sur leurs propositions afin d optimiser les effets du legs sur 66 l environnement Il serait int ressant de donner quelques suggestions de mesures environnementales inspir es de la grille d analyse multicrit res sections 3 2 2 ou des lignes directrices pr cises sections 3 1 1 et 3 1 3 applicables dans le cadre d un legs culturel durable 6 3 2 Invitation des diffuseurs l engagement L invitation de la formation du comit de pilotage correspond au premier contact aupr s des collaborateurs du projet de legs L annexe 2 a donn des exigences relativement claires sur l engagement de Loto Qu bec notamment la formation d un comit local la r flexion sur des propositions de legs et la date de rencontre Toutefois certains diffuseurs ont contest la l gitimit de la ville participer sur le comit local section 2 5 et les villes se sont appropri s du projet cause de leurs ressources disponibles pour l entretien du legs section 4 5 La cartographie des parties prenantes a prioris le partenaire culturel de Loto Qu bec comme partie prenante d finitive Le Service de la culture de la Ville correspond une partie prenante facultative consulter section 2 2 2 Par cons quent il est recommand d inviter seulement le diffuseur culturel former un comit de pilotage pour la prochaine ann e Les mod les de gestion envisag s exposent des comit s de pilotage plus restreint 4 repr sentants pour
200. s sur la forme du projet culturel durable et de maintenir la vision du projet tout au long du processus de cr ation des portfolios Le cadre de gestion partag du legs pour la communaut n cessiterait une certaine n gociation entre Loto Qu bec et son diffuseur pour envisager la forme du projet culturel durable et ses objectifs poursuivis Dans ce sens il est recommand d indiquer les exigences minimales de Loto Qu bec relative la production de legs pour la communaut et d utiliser la trousse d xia Ltd 2014 pour encadrer l valuation du processus La trousse d xia Ltd 2014 permet de prioriser les th matiques consid r es par chaque membre du comit local pour d terminer les indicateurs pertinents l valuation du projet et de faire un retour sur le processus de la commission aupr s de chaque collaborateur Cette valuation permettrait d engager le comit local faire un suivi aupr s de l artiste de documenter la gestion de l engagement de Loto Qu bec de faciliter la diffusion des bonnes pratiques sur la r alisation d un legs pour la communaut et d augmenter la transparence du processus 5 3 3 Exigences sur les candidatures La Politique d int gration des arts comporte des exigences sp cifiques complexes sur la candidature des artistes Ceux ci s inscrivent sur le fichier du MCCCF pour postuler des commissions cause de l envergure du projet de la visibilit de l uvre et des revenus qui y sont asso
201. se d un programme d acquisition et de diffusion d oeuvres d art pour soutenir la cr ation artistique et pour en faire profiter au plus grand nombre sur le territoire qu b cois Loto Qu bec et ses filiales 2014a Pour souligner le 35 anniversaire de sa collection d oeuvres d art contemporain la soci t d tat lance un nouveau programme Collection Loto Qu bec l art de partager pour faciliter davantage l acc s de sa collection la population qu b coise Desroches 2013 Dans cette m me p riode le milieu culturel est en pleine effervescence Le minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF a adopt l Agenda 21 de la culture du Qu bec Agenda 21C afin d engager les acteurs de la soci t qu b coise int grer la culture dans leurs politiques de d veloppement en vue de cr er des conditions propices au d veloppement durable MCCCF 2011 V zina et Blackburn 2012 II a suscit un engouement particulier de la part desorganisations qu b coises pour mettre en valeur leurs r alisations culturelles et durables MCCCF 2014a Bonneau et autres 2014 Dans ce contexte d bullition d id es et en s inspirant de la cr ation de la valeur partag e en entreprise Loto Qu bec propose d ins rer un volet de cr ation d un legs pour la communaut dans son programme Collection Loto Qu bec l art de partager Pour ce faire elle r alise un partenariat avec l Universit de Sherbrooke en manda
202. si que le site et le contexte Ces lignes sont valu es l aide d une chelle de durabilit du projet faible moyen et grand caract risant le respect de la pratique manag riale Elles sont galement pr sent es sous la forme de questions ferm es pour une 20 analyse moins approfondie du projet L objectif de cet outil d valuation est de changer les pratiques manag riales de la cr ation de la maintenance et de la fin de vie d une uvre d art public pour la rendre plus durable L avantage de cet outil est son application sur n importe quel projet n importe quelle chelle et n importe quelle tape de r alisation Les lignes directrices sont un aide m moire exhaustif sur les bonnes pratiques manag riales durables d un projet d art public Son valuation semi qualitative permet de comparer plusieurs projets entre eux selon leur conformit l ensemble de ces crit res de durabilit L un de ses inconv nients est la difficult d interpr ter les crit res de durabilit En effet ils n cessitent une r flexion approfondie pour situer le degr de durabilit de la pratique manag riale utilis e dans le projet et pour trouver des pratiques alternatives plus durables De plus cet outil manque de notori t au Royaume Uni et il ne fait pas l objet d une am lioration continue La grille est principalement utilis e pour l auto valuation des projets de Chrysalis Arts Ltd Une deux heures sont n cessaires pour appr
203. sivement tre utilis e pour valuer la proposition conceptuelle de l artiste La trousse d terminerait un trois crit res de d veloppement durable incorporer dans le cadre de r f rence du projet Consid rant que la grille d analyse multicrit res utilise ces deux m canismes d valuation et qu elle a fait ses preuves dans l engagement de 2014 il est recommand de poursuivre son utilisation dans les prochaines ann es Toutefois ses crit res de durabilit pourraient faire l objet d une reformulation afin de pr ciser l effet souhait du legs culturel durable que Loto Qu bec d sire mettre de l avant 6 3 5 Retour sur le processus Pour l ann e 2014 et les ann es subs quentes il serait important de faire un retour sur le processus d engagement aupr s des comit s de pilotage Cela permettrait de documenter les bons coups et les d fis rencontr s dans une perspective d am lioration continue cet effet le questionnaire de la trousse d xia Ltd 2014 pourrait tre utilis pour faire cet exercice Les r sultats peuvent tre diffus s pour les prochains diffuseurs dans un guide leur intention Il est fortement recommand de s occuper des volets communicationnel et promotionnel de l engagement de Loto Qu bec L exp rience de la Politique d int gration des arts du Qu bec montre que la diffusion des uvres d art a t quelque peu n glig e Cela a caus des probl mes sur la connaissance de la Politique aup
204. t re de la Culture des Communication et de la Condition f minine Secteurs d intervention Au plan r gional et local Panorama du secteur http www mcc gouv qc ca index php id 3689 Page consult e le 18 juillet 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2014a Blogue n Agenda 21 de la Culture du Qu bec Blogue http www agenda21c gouv ac ca blogue Page consult e le 16 juillet 2014 Qu bec Minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine MCCCF 2014b Lieux de diffusion organismes et v nements en art actuel n minist re de la Culture des Communications et de la Condition f minine Programmes et services Publications Avril 2014 http www mcec gouv ac ca fileadmin documents publications Lieux_ diffusion_avril_2014 pdf Page consult e le 20 juillet 2014 Qu bec Minist re des Affaires municipaux des R gions et de l Occupation du territoire 2013 L organisation municipale et r gionale au Qu bec en 2013 n minist re des Affaires municipaux des R gions et de l Occupation du territoire Organisation municipale Structure municipale http www mamrot gouv ac ca pub organisation municipale organisation_territoriale organisa tion_municipale pdf Page consult e le 21 mars 2014 Ramade B 2007 Mutation de l art cologique Cosmopolites Esth tiques et espace public vol 15 p 31 42 Ramade B 2014 Installatio
205. t riaux durables forte empreinte cologique pour sa fabrication Centre de conservation du Qu bec 2013 Loto Qu bec devrait alors se positionner sur la dur e de vie du legs et le sp cifier dans l entente avec le propri taire du projet 5 3 5 Diffusion d un projet d art public La plus importante lacune de la Politique d int gration des arts est la diffusion des uvres r alis es dans le cadre de celle ci Le manque de m diation autour des uvres d art et le manque de leur visibilit entra nent une m connaissance de la population qu b coise sur l existence de cettepolitique et des artistes professionnels du Qu bec qui y ont particip La Loi sur le droit d auteur limite la diffusion des photos sur les r alisations artistiques dans le cadre de la Politique d int gration des arts Le rapport d valuation sugg re de r aliser des clauses sur la reproduction des images de l uvre d art pour en faire b n ficier le diffuseur sur le volet promotionnel et pour sensibiliser la population qu b coise sur l art contemporain MCCCF 2010 Loto Qu bec aurait tout int r t d appuyer son diffuseur sur le volet communicationnel du legs pour la communaut et de diffuser l information dans ses r seaux sociaux Cela permettrait de faire reconna tre le programme Collection Loto Qu bec l art de partager la communaut et d augmenter la visibilit de son diffuseur 5 3 6 Budget d un projet d art public Le rapport d valua
206. t de transmission de la culture entre autres dans les domaines de l histoire du patrimoine de l art et des sciences tir e de Corbo et autres 2013 p 10 Par cons quent la strat gie de consultation s est construite sur le concept de la cr ation de la valeur publique en management des institutions mus ales En tant qu institutions sociales les partenaires culturels de Loto Qu bec se doivent de r pondre aux besoins de leur communaut locale Lord et Martin 2012 Le volet de legs la communaut donne alors une opportunit ces tablissements mus aux de produire des b n fices dans leur entourage nomm s la valeur publique La cr ation de la valeur publique est une strat gie gagnante permettant de renforcer la valeur intrins que de l tablissement mus al dans sa communaut et de r aliser l engagement de Loto Qu bec Scott 2013 La strat gie se base sur la capacit organisationnelle du diffuseur culturel de Loto Qu bec et sur son environnement l gitime La capacit organisationnelle repr sente les actifs de l tablissement mus al produire de la valeur publique Ces actifs d signent les lois en vertu desquelles l organisation est tablie sa mission ses objectifs sa direction ses ressources humaines ses fonds disponibles ses collections et ses partenariats strat giques L environnement l gitime du diffuseur se rapporte la l gitimit et l appui n cessaire pour r aliser un projet cultur
207. t satisfaisant si le projet est de nature culturelle et artistique 3 2 3 Justification de la pond ration et du pointage Chaque crit re d aide la d cision a t formul dans la grille d analyse multicrit res afin de cr er un outil d appr ciation qualitative de projet par th matique Cette forme permet de comparer plusieurs options de legs et elle donne une bonne vue d ensemble de leurs points forts et de leurs points faibles Sa contrainte est la capacit d valuer de mani re juste les projets par rapport aux crit res d aide la d cision Ces crit res forment des th matiques g n rales pouvant s entrecouper entre elles Les impacts du projet peuvent alors se r p ter dans plusieurs th matiques Office national du d veloppement territorial de la Suisse 2004 Chacun des crit res est valu partir d une chelle d valuation semi qualitative du tableau 3 2 La grille filtre les projets selon leurs effets sur la communaut et selon leur coh rence envers le programme de Loto Qu bec L agr gation des points permet de prioriser une proposition parmi celles du portfolio Elle ne doit pas tre interpr t e comme tant le niveau de durabilit d un projet d art public Office nationale du d veloppement territorial de la Suisse 2004 Tableau 3 2 chelle d valuation et de pointage de la grille d analyse multicrit res chelle d valuation Pointage Le crit re de durabilit ne s appliqu
208. tant un candidat la ma trise en environnement sur ce volet afin de r aliser un portfolio de trois projets culturels durables pour chacune des collectivit s de Sherbrooke de Saint J r me de Saguenay et de Rouyn Noranda Le mandat a donn lieu une troite collaboration entre l tudiant de l Universit de Sherbrooke et les participants du programme Collection Loto Qu bec l art de partager En effet un processus de coproduction d un legs pour la communaut a t r alis dans le but de cr er quatre portfolios de legs culturels durables L tudiant s est occup de la construction du processus d valuation des projets des outils d animation pour la consultation et de la finition des portfolios Les diffuseurs de Loto Qu bec ont formul des propositions de projets de legs pour la communaut selon leurs expertises et leurs connaissances du milieu Cependant ces derniers ont t moign des pr occupations sur cette d marche Un rapport de gestion de Loto Qu bec en 2014 a galement indiqu un besoin de d terminer les param tres d analyse d un tel projet Loto Qu bec 2014 Le pr sent essai tente donc de r pondre ces consid rations en focalisant l analyse sur le processus de l engagement de Loto Qu bec L objectif de l essai est de recommander des mani res d optimiser le processus de l engagement de Loto Qu bec et de le transformer en une activit strat gique de la soci t d tat pour les ann es 1
209. tat se situe en amont du processus d engagement En effet elle s lectionne une proposition parmi les trois pr sent e dans le portfolio l aide d un jury ind pendant Par la suite Loto Qu bec d l gue la gestion de la mise en uvre du projet culturel durable son diffuseur en lui allouant une enveloppe budg taire par le biais d une entente Le diffuseur joue alors le r le de coordonnateur entre Loto Qu bec et ses collaborateurs du projet Il s occupe de la d signation des r les et responsabilit s de ses collaborateurs pour la mise en uvre du legs sa conservation et sa mise en valeur Loto Qu bec appuie son diffuseur sur le volet communicationnel du projet son lancement Ainsi le mod le de gestion de l engagement donne une charge non n gligeable de travail au diffuseur participant au legs pour la communaut du programme Collection Loto Qu bec l art de partager 5 2 Suivi et approbations du projet Le suivi entre le diffuseur culturel et Loto Qu bec sera r alis apr s la publication du pr sent essai Par cons quent il n y a pas d information sur l entente entre Loto Qu bec et son diffuseur culturel Comme expliqu e dans le chapitre 2 Loto Qu bec a entrepris une d marche de consultation afin d engager ses diffuseurs r aliser des propositions de legs pour la communaut Le chapitre 4 montre que les participants de la consultation proposent des appels d artistes ou une commande d uvre d art un artiste Ces in
210. tations se sont pench es sur la clarification de l engagement de Loto Qu bec sur les enjeux de la r gion et sur les id es de legs pour la communaut Les participants ont t invit s formuler au moins trois propositions de legs culturel durable L annexe 3 pr sente l ordre du jour des rencontres qui ont eu lieu Apr s chaque rencontre de consultation les participants avaient de deux trois semaines pour soumettre leurs propositions Certaines propositions disposaient de photos pour illustrer le concept du projet ou une d finition vague permettant m me une certaine libert d interpr tation Dans un souci de clart et d uniformit chacune d elle a t reformul e et comment e pour bonifier le canevas de projets S il y avait lieu les comit s locaux taient questionn s sur le concept g n ral de leur proposition Aussi quatre exemples illustr s ont galement t s lectionn s la suite d une recherche sur Google sur le titre de la proposition Les illustrations ont t s lectionn es selon leur originalit et leur conformit la proposition formul e par le comit local Chaque proposition de legs a re u une note sur leur perspective de d veloppement durable partir de la grille multicrit res tableau 3 1 Les recommandations qui d coulent du diagnostic de la proposition sont formul es l aide de l outil d valuation de la durabilit d un projet d art public de Chrysalis Arts Ltd s d d un
211. tecte paysagiste Cet expert effectue le suivi du projet de construction d un b timent ou d un am nagement d un site au fil de chacune des tapes tout en s assurant que les conditions les plus propices la bonne conservation de l uvre d art public sont mises en place et maintenues Centre de conservation du Qu bec 2013 C est un professionnel agr charg de la conception et de la coordination d un projet d am nagement Cole et autres 2010 gt L artiste est appel r aliser l uvre d art et la documentation sur le devis du projet d art sur son concept dans son milieu et sur son plan de conservation La port e de la responsabilit de l artiste est d termin e par contrat Centre de conservation du Qu bec 2013 Selon le Conseil des Arts du Canada et d autres agences subventionnaires de ce genre un artiste est une personne qui a produit des uvres d art de fa on ind pendante qui exerce la profession d artiste ind pendant depuis au moins trois ans apr s avoir obtenu une formation sp cialis e et qui a expos en public au moins trois fois dans un contexte d art visuel professionnel au cours de trois derni res ann es Cole et autres 2010 Les professionnels artistiques se regroupent en associations Alm ras et W ra 1998 D autres participants tels que les artisans collaborent avec l artiste pour la r alisation de l uvre verrier c ramiste ing nieur en hydraulique ou fondeur y contribuent par leur expe
212. tifs Loto Qu bec et ses filiales 2014b de m me que le programme Rep rage afin d acqu rir une uvre d art en r gion pour la collection de la soci t d tat Loto Qu bec et ses filiales 2014c Chacun des programmes de commandites contient des crit res d exclusion afin de d partager les projets admissibles de la commandite en question Ceux ci ont t synth tis s dans le tableau 1 1 la suite des changes avec Loto Qu bec quelques crit res se sont ajout s afin de donner un caract re mat riel durable au legs Les activit s de nature festivals ou v nements sont exclues du legs la communaut compte tenu de leur impact temporaire sur la collectivit La publicit culturelle est galement retir e du portfolio parce qu elle donne un avantage concurrentiel au b n ficiaire sur ses comp titeurs Par contre les projets portant sur les installations immobili res peuvent tre inclus dans le portfolio compte tenu de leur aspect durable Valli res 2014a Valli res 2014b Ceux ci doivent pr alablement appartenir un partenaire culturel ou une organisation reconnue par Loto Qu bec Villemaire 2014 Les autres crit res d exclusion du tableau 1 1 limitent la commandite de Loto Qu bec la r alisation d un projet artistique caract re mat riel pour un public g n ral g de 18 ans et plus Tableau 1 1 Crit res d exclusion des projets durables compil d apr s Loto Qu bec et ses
213. tion des Nations Unies pour l ducation la science et la culture 2011 The cultural diversity lens a practical tool to integrate culture in development pedagogical guide n Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture Culture Themes Culture and development http www unesco org new en culture themes culture and development the cultural diversity lens Page consult e le 14 ao t 2014 79 Patten D 2004 An artist s perspective remember what Jack said In Public Art Online Resources Collaboration http www publicartonline org uk resources rescollaboration collaboration_ artist php Page consult e le 7 septembre 2014 Perkins N 2002 Undertaking a commission guidance notes for artists n Public Art Online Resources Practical advice Commissioning http www publicartonline org uk resources practicaladvice commissioning guidanced4artists p hp Page consult e le 6 septembre 2014 Potter E 2009 Environmental art and the production of publics responding to environmental change The international journal of the arts in society vol 3 p 1 6 Programme Culture ducation 2014 Mission et objectifs In Programme Culture ducation PC c est http www cultureeducation ca pce c est mission et objectifs html Page consult e le 28 juillet 2014 Project Management Institute 2006 The Standard for Portfolio Management Newton Square PMI Publications 92 p Public Art Network
214. tion montre que la Politique d int gration des artsa permis de faire principalement de grosses acquisitions ou de petites int grations d une valeur de 6 000 29 999 Toutefois l indice des comptes conomiques provinciaux pour les ouvrages r sidentiels au Qu bec a diminu pr s de 50 de 1981 2008 Par cons quent le calcul permettant de d terminer le pourcentage d un budget d un projet de construction r server la cr ation d une uvre d art est devenu d suet En effet l acquisition d une uvre d art d j r alis e s levait 7 000 en 2000 mais elle devrait tre augment e de 12 000 pour refl ter l augmentation des prix sur le march en arts visuels entre 2000 et 2008 MCCCF 2010 Ces consid rations devraient tre prises en compte par Loto Qu bec dans ses exigences du legs pour la communaut et dans l envergure du projet envisag e par le comit local Pour une commande priv e Loto Qu bec devrait consid rer l valuation du salaire d un artiste en arts visuels des montants des redevances de droits d auteur remettre l artiste de la couverture d assurances d un projet artistique et de l envergure d un projet artistique adapt un petit budget Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 ce propos les portfolios de Loto Qu bec peuvent donner une estimation du co t des projets des diffuseurs pour la premi re ann e De plus il faut consid rer des frais de pr s de 70
215. ts de l engagement de legs ont t identifi s partir de plusieurs guides sur l art public ou sur l engagement des soci t s pour la communaut La majorit de la documentation provient de deux r seaux du pays reconnus pour leur implication dans les initiatives culturelles sur la sc ne municipale les Arts et la Ville pour les villes francophones et le R seau des cit s cr atives du Canada pour les villes anglophones L information des instances locales qu b coises Union des municipalit s du Qu bec 2014 la norme ISO 26 000 sur la responsabilit soci tale des entreprises dans la Francophonie Turcotte et autres 2011 et le Guide pour la conservation des uvres d art public au Qu bec Centre de conservation du Qu bec 2013 ont galement aliment cette identification Les intervenants ont t regroup s en parties prenantes pour ensuite que ces derni res soient prioris es par l outil de classification L annexe 1 pr sente les r sultats de ce regroupement et il d finit ces parties prenantes L identification des parties prenantes s tend jusqu la municipalit r gionale de comt La d marche offre une typologie fonctionnelle des intervenants impliqu s dans l engagement de Loto Qu bec Toutefois son cadre d analyse se concentre exclusivement sur le milieu culturel de la ville Puisque le legs pour la communaut touche galement des enjeux transversaux du d veloppement durable les sp cialistes en environnement
216. ts essentiels sur l aspect technique des propositions Arts South Australia Government 2004 Cole et autres 2010 tape contractuelle Le contrat constitue le fondement juridique de la relation entre l agence et l artiste Cole et autres 2010 p 43 L agence commande un artiste titre de producteur ind pendant la cr ation d une uvre d art dans le cadre d une entente sp cifique Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 p 2 Les r alisations attendues et les proc dures d acceptation de chaque tape d un projet peuvent tre d finies dans un seul contrat mais il est pr f rable de dresser deux ou trois contrats s par s pour les diff rentes tapes d laboration d une uvre d art Cole et autres 2010 gt L entente de la proposition conceptuelle demande l artiste une repr sentation visuelle de l uvre d art propos e une description du projet le mat riel et les technologies propos s des chantillons du mat riel un budget pr liminaire et un calendrier du projet L entente comprend galement les d tails pour l envoi des dossiers et le montant pr vu pour la production des r alisations attendues Les cachets pour les artistes s l vent habituellement 1 000 minimalement Dans le cas des projets plus importants faisant appel des artistes exp riment s le montant varie de 10 000 30 000 ou m me plus pour des propositions conceptuelles d taill es et comport
217. ts et des sites gouvernementaux et publics en 1981 MCCCF 2013a Cette politique encourage la cr ation artistique ou l achat d uvres d art public dans le cadre de projets d immobilisation la diffusion des uvres d art des artistes qu b cois la sensibilisation de la population qu b coise l art contemporain MCCCF 2009 Par la suite quelques municipalit s qu b coises embo tent le pas en int grant des uvres d art public leur territoire notamment les villes de Qu bec Lachine LaSalle Gatineau Saguenay Sherbrooke et Montr al Toutefois peu d entre eux se dotent d une politique municipale pour standardiser les commandes publiques d uvres d art Lizotte et autres 2006 p 6 La litt rature sur l art public au Canada aux tats Unis et en Angleterre a revendiqu plusieurs b n fices sur les programmes d art public Lizotte et autres 2006 Becker 2004 Hall et Robertson 2001 Or ces revendications sont anecdotiques difficiles valuer et document es en tudes de cas Hall et Robertson 2001 Evans 2005 Gressel 2012 Par cons quent la recherche documentaire s est concentr e sur les outils de gestion en art public destin s pour les agences commanditaires Le cadre d analyse de l art public le public vis municipalit s artistes etc et l chelle des projets site place quartier etc sont des variables consid rer dans ces outils Les pratiques manag riales seront donc cit es dans
218. ty php Page consult e le 7 septembre 2014 Le Croissant culturel de Chicoutimi s d Qu est ce que le Croissant culturel n Le Croissant culturel de Chicoutimi Carte interactive http croissanteulturel com carte carte php Page consult e le 28 juillet 2014 Les Arts et la Ville 2014 Prix 2014 Les Arts et la Ville Guide de participation n Les Arts et la Ville Activit s Prix Les Arts et la Ville http www arts ville org media upload 2013 depliant_prix_2014 pdf Page consult e le 14 ao t 2014 Lizotte N Daigle A Par A et Drolet P 2006 Art public Guide pratique Qu bec Les Arts et la Ville 27 p Loi sur le d veloppement durable L R Q c D 8 1 1 Loi sur le droit d auteur L R C 1985 c C 42 Loi sur le statut professionnel des artistes en arts visuels des m tiers d art et de la litt rature et sur leurs contrats avec les diffuseurs L R Q c S 32 01 77 Lord G D et Martin L 2012 Museum as social institutions n Lord B Lord D G Martin L Manual of museum planning sustainable places facilities and operations chapitre 3 p 41 65 3 ditions Plymouth AltaMira Loto Qu bec 2006 Politique de d veloppement durable n Loto Qu bec et ses filiales Responsabilit d entreprise D veloppement durable http lotoquebec com cms dms Corporatif fr responsabilite entreprise developpement durable politique plan action politique dd politique_dd pdf Page consult
219. u bec doit tre transparent et clair pour le public tant un engagement du programme Collection Loto Qu bec l art de partager la grille d analyse multicrit res doit refl ter les enjeux du d veloppement durable dans le domaine de la culture du 25 Qu bec Pour ce faire l Agenda 21C du Qu bec est retenu comme cadre de r f rence L outil d engagement se compose de 21 objectifs afin d int grer la culture dans les politiques de d veloppement tous les niveaux en vue de cr er des conditions propices au d veloppement durable MCCCF 2011 Il repr sente les grandes pr occupations soulev es par pr s de 5 000 citoyens de l ensemble du territoire et par environ 220 repr sentants d organisations civiles du Qu bec V zina et Blackburn 2012 3 2 2 Justification des crit res d aide la d cision Les crit res d aide la d cision ont t tablis l aide des objectifs de l Agenda 21C du Qu bec et des principes de la Loi sur le d veloppement durable du Qu bec annexe 4 Chacun des crit res pr sent s au tableau 3 1 explique une th matique d appr ciation de mise en uvre d un projet d art public Tableau 3 1 Grille d analyse multicrit res inspir e de l Agenda 21 de la culture du Qu bec inspir de MCCCF 2011 p 9 15 Loi sur le d veloppement durable c 2 s 1 art 6 Crit res de durabilit D finition Identit et diversit Reconna tre et promouvoir l identit culturelle de la loca
220. u culturel de l Universit de Sherbrooke Le caract re r gional et la nature h t roclite de la client le du diffuseur culturel permettent d aborder le legs un maximum de personnes Tr panier et autres 2014 En plus l Universit de Sherbrooke rassemble un bassin estim plus de 10 de la population sherbrookoise en comptabilisant les tudiants les employ s et les visiteurs Ville de Sherbrooke 2014b Universit de Sherbrooke 2013 4 1 2 Orientations du legs pour la communaut Tr panier et autres 2014 ont identifi un besoin de d mocratiser leurs services culturels la communaut universitaire et aux visiteurs du campus principal un public se chiffrant 30 000 personnes Le comit local ne sait pas les facteurs de r tention et de mobilisation de la communaut universitaire sur leur offre culturelle Leurs principales contraintes sont le budget et les ressources humaines pour r aliser la mise en valeur de leurs services Leurs atouts sont la d marche de planification culturelle de l Universit de Sherbrooke et leurs programmations culturelles centr es sur les besoins des tudiants Le comit local avait d j l id e de r aliser une bo te lumineuse monumentale comme legs pour la communaut La consultation s est termin e sur une liste de propositions de legs un appareil audiovisuel qui commente le circuit d art public de l Universit de Sherbrooke l acquisition d une uvre d art public une sculptur
221. ualit de la proposition selon les crit res d valuation du jury qu un outil d appr ciation sur l approche de d veloppement durable de cette derni re En plus de la d l gation de la d cision un jury ind pendant l utilisation d une grille d valuation semblable avant et apr s la consultation permettrait de donner une coh rence dans le processus d valuation figure 3 1 Les comit s locaux comprendraient mieux les points travailler dans leurs propositions et le cas ch ant ils laboreraient des projets de qualit pour l engagement de Loto Qu bec 3 3 Constats g n raux La grille d analyse multicrit res a t r alis e au d but du mandat de la production des quatre portfolios de Loto Qu bec L outil a t le principal fil conducteur pour engager les comit s locaux formuler des legs culturels durables Il se base sur les revendications de la soci t qu b coise quant l importance de la culture et de son int gration dans les politiques de d veloppement Malgr son aspect novateur la grille d analyse demeure imparfaite bien des gards D une part son syst me de valeurs n a pas fait l objet d une validation approfondie par les d partements concern s de Loto Qu bec D autre part ses crit res de durabilit priorisent davantage le volet social du legs pour la communaut que le volet environnemental Elle a tout de m me l avantage de bien s appliquer dans l engagement de Loto Qu bec comme outil
222. uci d quit intra et interg n rationnelle ainsi que d thique et de solidarit sociales C Protection de l environnement pour parvenir un d veloppement durable la protection de l environnement doit faire partie int grante du processus de d veloppement D Efficacit conomique l conomie du Qu bec et de ses r gions doit tre performante porteuse d innovation et d une prosp rit conomique favorable au progr s social et respectueuse de l environnement E Participation et Engagement la participation et l engagement des citoyens et des groupes qui les repr sentent sont n cessaires pour d finir une vision concert e du d veloppement et assurer sa durabilit sur les plans environnemental social et conomique F Acc s au savoir les mesures favorisant l ducation l acc s l information et la recherche doivent tre encourag es de mani re stimuler l innovation ainsi qu am liorer la sensibilisation et la participation effective du public la mise en uvre du d veloppement durable G Subsidiarit les pouvoirs et les responsabilit s doivent tre d l gu s au niveau appropri d autorit Une r partition ad quate des lieux de d cision doit tre recherch e en ayant le souci de les rapprocher le plus possible des citoyens et des communaut s concern s H Partenariat et Coop ration intergouvernementale les gouvernements doivent collabor
223. ue le caract re esth tique du projet d art public pour la collectivit dans son lieu d implantation Chrysalis Arts Ltd s d concentre cette valuation sur la cr ativit du design ou du concept la qualit de l uvre d art sa pertinence au site d implantation son appr ciation par les publics etc Ixia Ltd 2014 aborde les l ments suivants l engouement et l esth tisme visuel de l uvre d art son activation sociale sa relance dans un d bat de soci t son innovation et ses risques dans sa d marche technique son appr ciation par les publics etc Le crit re est donc plus que satisfait lorsque le projet aborde un bon concept artistique une relation intime avec le site qui se circonscrit une valorisation des attraits du lieu d implantation et une am lioration de la qualit de vie des citoyens marqu e par l embellissement du site Besoins de la collectivit Ce crit re value la mani re dont la proposition r pond un besoin de la communaut mentionn dans la consultation aupr s du comit local Il sert de moyen d encadrer les propositions du comit pouvant tre ax es sur leurs besoins institutionnels vers la cr ation d une valeur publique Ainsi les indicateurs retenus sont la pr sence d un besoin de la communaut dans la proposition de legs l accessibilit du projet d art public la collectivit et la nature h t roclite du public cibl 10 Soutien et durabilit du legs Selon l Agenda 21C
224. un r comme il se doit L achat d une uvre d art public existant permet d conomiser beaucoup de ressources et de temps dans la commission Toutefois ce processus peut ne pas prendre en compte la sp cificit du site les enjeux du contexte d intervention et les opportunit s de d velopper un 105 nouveau concept artistique Cette pratique est int ressante pour mettre en valeur le travail d un artiste reconnu Arts South Australia Government 2004 Pour les commandes priv es le processus de s lection peut tre appuy par une valuation des pairs afin d une meilleure appropriation de l uvre par le milieu qui le re oit Regroupement des artistes en arts visuels du Qu bec 2012 Le comit de s lection est compos de trois sept membres dont la majorit provient du milieu des arts Un membre cl de l quipe conceptuelle et un membre de la communaut peuvent galement si ger au comit Ces membres du comit de s lection sont pay s pour tudier les demandes de projets et pour prendre part aux r unions de s lection Le gestionnaire du projet et les employ s du programme d art public ne devraient pas avoir de droit de vote sur le choix de l artiste et sur la s lection de la proposition conceptuelle afin d viter des conflits d int r ts apparents Cole et autres 2010 Un ing nieur ou un architecte et un curateur ou un sp cialiste des arts devraient si gerdans le comit de s lection pour donner des renseignemen
225. ur r aliser une consultation inclusive aupr s des parties prenantes impliqu es dans le but de cr er des b n fices mutuels Une communication proactive et un retour sur le processus de consultation sont galement des consid rations primordiales l engagement de Loto Qu bec figure 2 1 Ceux ci ont t revus dans les derni res sections du chapitre 2 1 D limitation territoriale Au Qu bec le d veloppement culturel rel ve du MCCCF et de ses partenaires locaux et r gionaux les villes les municipalit s les municipalit s r gionales de comt les Conf rences r gionales des lus les nations autochtones et les organismes mandat s par une instance locale MCCCF 2012 Le MCCCF conclut des ententes de partenariats pour d l guer ses responsabilit s ces instances Pour le cas des instances locales les municipalit s et les villes doivent se doter d une politique culturelle pour prioriser ses services en mati re de culture pour ses citoyens MCCCF 2013b La politique culturelle se r alise la suite d une planification culturelle du territoire et d une consultation publique aupr s de ces habitants Daigle et Gauthier 2004 Ville de Sherbrooke 2013a Ainsi les instances locales sont dispos es r pondre aux besoins des citoyens assurer un d veloppement du tissu social solide et favoriser l am lioration d un cadre de vie par les arts tir e de Daigle et Gauthier 2004 p 13 Par cons quent ell
226. urable 2013 2015 pdf Page consult e le 24 janvier 2014 Loto Qu bec et ses filiales 2013b Tournois b n fice de poker n Loto Qu bec et ses filiales Responsabilit d entreprise Collectivit et commandites Proposition de commandite http Iotoquebec com cms corporatif fr responsabilite entreprise collectivite commandites proposition commandite tournois benefice poker html Page consult e 17 mars 2014 Loto Qu bec et ses filiales 2014a Collection Loto Qu bec tous les onglets n Loto Qu bec et ses filiales Responsabilit d entreprise Collectivit et commandites http Iotoquebec com cms corporatif fr responsabilite entreprise collectivite commandites collection Page consult e le 24 janvier 2014 Loto Qu bec et ses filiales 2014b Proposition de commandites In Loto Qu bec et ses filiales Les Rendez vous Loto Qu bec http lotoquebec com rendezvous nav fr proposition commandite Page consult e le 17 mars 2014 Loto Qu bec et ses filiales 2014c Processus d acquisition n Loto Qu bec et ses filiales Responsabilit d entreprise Collectivit et commandites Collection Loto Qu bec http Iotoquebec com cms corporatif fr responsabilite entreprise collectivite commandites collection processus acquisition Page consult e le 27 f vrier 2014 78 Lovell V et Arts Council England 2008 Commissioning guideline n Public Art Online Resources Practical Advice Commissioning http www publica
227. urel durable Parmi celles ci le service de la culture se d marque du lot En effet sa fonction lui permet d tre en contact avec les organismes culturels du milieu d avoir un aper u des enjeux culturels de la localit d apporter un soutien technique aux initiatives culturelles locales et d tre apolitique Le partenaire culturel de Loto Qu bec est une partie prenante d finitive Comme une partie prenante dominante il dispose des capacit s organisationnelles pour r aliser le projet culturel durable En plus Loto Qu bec accorde une importance particuli re la relation avec son partenaire qui accueille son exposition itin rante Territoires imagin s par les artistes de la Collection 13 Le diffuseur de Loto Qu bec devient donc une partie prenante prioritaire consulter pour d terminer les orientations du projet culturel durable Le service de la culture de la ville peut tre consult pour avoir un appui technique et informatif sur le legs pour la communaut 2 3 Strat gie de consultation La Galerie d art du CCUS le MACL le CNE et le CERN sont des lieux principalement vou s la diffusion des arts visuels et des m tiers d arts dans le cadre de la Politique d int gration des arts l architecture et l environnement MCCCF 2014b Le MCCCF les r f re comme des tablissements mus aux pour leurs fonctions de conservation de recherche de production et de diffusion du savoir des lieux d ducation e
228. urra tre assur e par une personne responsable r f r e dans l entente Des v rifications informelles de la r alisation pourront tre men es par l agence commissionnaire lors de visites du studio de l artiste ou des installations Des v rifications formelles de la r alisation men es par le personnel technique pertinent auront cependant lieu avant l installation D s que l agence donne son feu vert la r alisation l installation peut d buter En outre les ing nieurs concern s proc dent la v rification de l uvre avant que celle ci ne soit install e et ils doivent donner leur accord avant que l agence puisse en prendre possession L artiste est habituellement responsable d assurer l uvre pendant toute la dur e de la r alisation et de l installation Cole et autres 2010 p 48 Suivi apr s le projet Lors de l installation de l uvre d art le lancement du projet constitue un v nement significatif pour ceux qui ont particip au d veloppement et l implantation de l uvre d art Il est galement une occasion de reconna tre publiquement les bailleurs de fonds du projet Arts South Australia Government 2004 Par la suite le projet peut faire l objet d une valuation afin de v rifier l atteinte des objectifs fix s au d but du projet Pour cela l agence commanditaire devrait d terminer les l ments de l uvre d art ou du processus qu elles d sirent valuer et la mani re d y parvenir Celle ci pe
229. urs 4 3 3 Valeur partag e pour la collectivit 4 4 4 Valorisation du patrimoine du milieu 3 3 4 Besoins de la collectivit 3 4 3 Soutien et durabilit du legs 4 3 4 Acc s et participation la vie culturelle 4 4 4 Total 39 39 41 Les deux autres propositions r pondent l exclusion culturelle de la population La cr ation d un espace terrasse permet de renforcer l offre culturelle du mont Jacob et de partager les b n fices du projetaupr s des r sidents du Centre culturel La Murale coresponsable permet de d mocratiser l art un maximum de personnes afin de les sensibiliser sur la r utilisation des mat riaux usag s Ces deux propositions ont un pointage quivalent aux meilleures propositions des autres comit s locaux 4 4 Rouyn Noranda La Ville de Rouyn Noranda a t cr e en 2002 la suite de fusions entre plusieurs municipalit s et territoires non organis s Son histoire commence par les quelques preuves de l occupation am rindienne depuis 8 000 ans pour retracer le passage des commer ants euroqu b cois sur la traite des fourrures dans le d but du 18 si cle Ce n est qu au d but du 20 si cle avec l arriv e du chemin de fer que l Abitibi commence se coloniser En 1920 la mise en exploitation du gisement Horne l arriv e de nombreux immigrants et la mise en uvre des plans de colonisation Gordon et Vautrin ont configur le paysage b ti de la Ville Ville de Rouyn
230. ut se pencher les objectifs de son programme d art public sur le travail de l artiste ou sur les b n fices du projet pour la communaut Arts South Australia Government 2004 Du c t de la conservation de l uvre d art l agence commanditaire doit d velopper des m canismes recouvrant l assurance et la maintenance de l uvre d art tout au long de sa dur e de vie Public Art South West 2008 Elle d veloppe un dossier compilant toute l information sur la 108 commission de l uvre et des exigences de sa conservation L entretien de l uvre et les v rifications p riodiques des conditions environnantes autour de celle ci sont planifi s par cette derni re Le propri taire de l uvre pr voit un fonds pour son entretien notamment un montant de 10 du budget de la commission au d part et un autre montant en cons quence du co t anticip dans la r vision technique de la conception d taill e Cole et autres 2010 Des lignes directrices pourraient tre implant es pour la d sinstallation de l uvre d art lorsqu elle est trop endommag e ou qu elle correspond une surcharge de travail pour son entretien Schiff 2013 Cole et autres 2010 ce titre Cohen 2013 et Arts South Australia Government 2004 proposent des indicateurs pour la d sinstallation d une uvre d art et un protocole de suivi L agence devrait communiquer aupr s de l artiste si elle veut restaurer l uvre en cas de d t rioration la vendre ou la d
231. ux artistiques Coalition pour l art et le d veloppement durable 2011 gt La grille d analyse de la Chaire en co conseil de l Universit du Qu bec Chicoutimi 2014 permet d orienter une politique une strat gie un programme et un projet partir des six dimensions du d veloppement durable thique cologique sociale conomique culturelle et gouvernance Elle a fait l objet d une revue par les pairs dans divers pays francophones Les 22 dimensions se composent de th mes et d objectifs inspir s de l analyse des textes des grandes conf rences et de conventions internationales Les objectifs de chaque dimension noncent des directives que le projet doit respecter La dimension culturelle traite de la reconnaissance de la culture dans le projet selon les th mes de la transmission du patrimoine culturel des pratiques culturelles et de la contribution de la culture dans l conomie Villeneuve et autres 2014 Les lentilles de la diversit culturelle sont un outil pour analyser l inclusion des principes de la Convention sur la diversit des expressions culturelles 2005 dans les programmes et dans les projets de d veloppement Cette grille a t test e sur plus de 80 projets de d veloppement des Nations Unies Les th matiques traitent du contexte d implantation du programme de la diversit des perspectives de l accessibilit et la participation citoyenne de l h ritage culturel ainsi que des industries cr
232. vell et Arts Council England 2008 103 Le cadre de r f rence est labor l intention des artistes avec l apport de conservateurs et d experts conseils exp riment s en art public pour encadrer l appel de candidatures Cole et autres 2010 Il fournit tous les renseignements n cessaires aux artistes sur le concours tout en leur permettant de faire une interpr tation cr ative de l emplacement de l uvre d art tableau A5 1 Cole et autres 2010 Dans le cas d un manque d expertise du comit de pilotage Hatton et Public Art South West 2008 conseillent de d l guer la gestion de la commission un consultant ind pendant en art public pour la charge de 8 10 du budget initial Ces derniers pr sentent un ch ancier d un projet d art public selon la vision d un consultant ind pendant Certaines commissions peuvent n cessiter une forme de consultation aupr s de la communaut afin de d velopper une meilleure compr hension du projet et afin d impliquer les citoyens dans le processus de cr ation Public Art South West 2008 Le comit de pilotage devrait inclure ces exigences dans le cadre de r f rence tableau 5A 1 Il existe plusieurs guides pour impliquer la communaut dans tous genres de projets artistiques mais Colquhoun 2005 semble le plus pertinent et le plus concis pour comprendre les aboutissants d une consultation de la communaut dans le cadre d une commission d une uvre d art public Tableau 5A 1 l me
233. vergure entre 1978 et 2003 l inclusion de la Galerie d art dans le r seau d institutions mus ales et les volets d change international avec le Mexique entre 1992 et 1996 La mission du MACL est de faire conna tre de promouvoir et de diffuser la production des artistes en arts visuels en mettant l accent sur l art contemporain et actuel cet effet l institution mus ale propose une large gamme d expositions et d activit s culturelles accessibles sa client le Les 39 expositions sont de trois types les expositions d artistes en arts visuels et en m tiers d arts les expositions collectives d une th matique sp cifique et les expositions caract re sociologique Fr quent par les amateurs d art et la client le scolaire et touristique le MACL enregistre pr s de 20 000 visiteurs chaque ann e dont plus de 6 000 jeunes qui participent au programme ducatif Le MACL dispose de sa Fondation afin de collecter du financement pour ses projets de d veloppement Par exemple la Fondation organise l encan annuel d uvres d art le spectacle b n fice et la collecte de fonds De plus le MACL propose une cotisation de membre afin d offrir des avantages tels que des tarifs pr f rentiels sur ses activit s le droit de vote dans ses assembl es g n rales des entr es gratuites ou rabais aupr s d organismes culturels et des rabais sur des produits culturels Ses activit s aupr s de sa collectivit
234. vi les principes directeurs de Bowen et autres 2008 En effet la d marche de la consultation s est tardivement clarifi e emp chant de pr venir les pr occupations des participants D une part le concept d un legs pour la communaut a t d termin un mois avant la consultation des parties prenantes Par cons quent il tait difficile d envisager les difficult s de r aliser un projet d art public et de mettre jour les outils d animation de la consultation D autre part le changement du mandat de la consultation a amen quelques incompr hensions sur l engagement des comit s locaux Toutefois la communication transparente ouverte et proactive de Loto Qu bec a permis d att nuer cette confusion Le processus de 18 coproduction d un legs pour la communaut peut s am liorer en clarifiant l objet de l engagement et la port e de celui ci Des pr occupations sur la charge de travail et sur le processus d cisionnel de l engagement de Loto Qu bec sont galement mentionn es tableau 2 4 La pr sence de celles ci indique que le processus de coproduction d un legs pour la communaut n est pas assez efficace Par cons quent les prochains chapitres documentent le processus de cet engagement font un suivi de la cr ation des portfolios de Loto Qu bec et valuent les mani res d optimiser ce processus Cette analyse permettra d appliquer les trois derniers principes directeurs d un processus d engagement soci tal figure
235. vre d art Cole et autres 2010 gt quipe d entretien Une quipe form e de membres du personnel des services concern s de l agence y compris la voirie l clairage les installations lectriques et l art public qui examinent l tat des uvres d art et qui en assurent l entretien p riodique Ces travaux sont g r s par le personnel du service d art public celui ci fait appel l artiste et des experts en conservation selon le besoin Cole et autres 2010 90 Tableau A1 1 Parties prenantes identifi es et leur d finition suite Parties prenantes D finition OBSL parapublic culturel niveau 2 gt Organisme but non lucratif parapublic qui offre des services culturels aux citoyens subventions coordination de l offre culturelle et touristique financement de projets d am nagement porteur d v nements municipaux etc Elle rend des comptes l administration municipale Daigle et Gauthier 2004 Commission sur l art public niveau 2 gt Comit de l art public Un groupe de planification de haut niveau form de repr sentants des services de planification de g nie d am nagement et d art public qui examinent l ensemble des possibilit s en mati re d art public et qui tablissent la liste des priorit s Cole et autres 2010 gt Groupe du plan directeur d art public Il peut s agir dun comit de professionnels comme un comit d examen de la conception
236. ww ville sherbrooke qc ca fileadmin fichiers Communications consultations developpe mentsocial Rapport_Etat_Situation pdf Page consult e le 18 f vrier 2014 Ville de Sherbrooke 2013 La culture un service public Un tat des lieux apr s 10 ans de politique culturelle 2008 2013 n Ville de Sherbrooke Citoyens Arts et culture http www ville sherbrooke qc ca fileadmin fichiers SSCVC culture etat_des_lieux_apres_10 ans de politique_culturelle 2003 2013_ pdf Page consult e le 18 f vrier 2014 Ville de Sherbrooke 2014 Vie tudiante n Ville de Sherbrooke Citoyens Vie tudiante https www ville sherbrooke qc ca citoyen vie etudiante Page consult e le 26 juillet 2014 Ville de Sherbrooke et Plania Inc 2014 Sch ma d am nagement et de d veloppement r vis 2012 2017 R glement n 875 In Ville de Sherbrooke Planification et am nagement du territoire R vision des documents d urbanisme http www ville sherbrooke qc ca fileadmin fichiers Planification 2_Schema_Version_finale 2 014 plans_low pdf Page consult e le 26 juillet 2014 Villemaire D 5 f vrier 2014 Crit res d exclusion confirmer avec le Service de l engagement social de Loto Qu bec Courriel lectronique Dominique Villemaire coordonnatrice du Service l engagement social adresse courriel Dominique Villemaire loto quebec qc ca 85 Villemaire D et Webster A 2013 Entretien d introduction sur le projet de portfolio de proj
237. y B s d Demystifying copyrights Abridged for visual artists from a guide to Canadian copyright basics for writers performers musicians and artists n Carfac Ontario Whatwe do Resources http www carfacontario ca page demystifying copyright_58 Page consult e le 6 septembre 2014 Culturat 2014 Faire appel aux artistes et aux organismes culturels n Culturat MRC Rouyn Noranda http culturat org recherche service amp mrce Rouyn Noranda amp tri Organismes seulement amp motcles Page consult e le 28 juillet 2014 Curating Cities 2012 Sustainable evaluation framework In Curating Cities database of eco public artworks Submissions http eco publicart org submissions Page consult e le 14 ao t 2014 Daigle et Gauthier E 2004 Conseil local des arts Collection Formation n 1 Qu bec Les Arts et la Ville 24 p Deraspe N 2011 Saint J r me underground Une poudri re pr te exploser In Acc s Laurentides Actualit 15 mars 2011 http www journalacces ca Actualite 2011 03 15 article 2333454 Saint Jerome underground 1 Page consult e le 12 ao t 2014 DeShazo J L et Smith Z A 2014 Administering public art programs in Arizona s cities and towns development operation and promotion The Journal of Arts Management Law and Society vol 44 n 1 p 21 32 Desroches M 2013 Collection Loto Qu bec 35 ans et plus que jamais en mouvement Communiqu de presse 12 novembre

OPTIMISATION DE LA DÉMARCHE DE LOTO

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