62_alerte_reglementaire_mai 2008
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1. Le syndicat intercommunal d alimentation en eau potable exploitant la station de pompage a t condamn par le juge administratif indemniser la victime en tenant compte toutefois de l abaissement des niveaux de bruit dus aux travaux La soci t ayant assur la ma trise d oeuvre de la station a par ailleurs t condamn e garantir le syndicat intercommunal de la condamnation et des frais d expertise Source CAA Bordeaux 10 janv 2008 n 05BX00852 SA Ly onnaise des eaux gt Insuffisance d tude d impact absence d analyse des effets des effluents confi s auntiers Pour contester l autorisation d livr e pour l exploitation d un levage avicole de 240 000 animaux quivalents en pr sence simultan e des associations soutenaient que l tude d impact aurait d comporter des pr cisions sur le traitement par compostage des effluents lequel tait assur par contrat par un prestataire L tude d impact ne portait ni sur ce compostage ni sur l abattement en azote NH hu des fientes ni sur le devenir des produits compost s De m me les nuisances li es au compostage n taient pas voqu es Constatant que l exploitant de l levage et la soci t assurant le traitement fonctionnaient en symbiose dans le cadre d un contrat le tribunal administratif a consid r qu eu gard aux liens fonctionnels qui unissaient troitement les deux activit s l activit de compostage devait tre analys e dans l2. avec un d but de disparition de plantes aquatiques et d esp ces prot g es Cet arr t fait suite des observations constatant la pollution effectu es le 6 mai par un agent de la police de l eau En plus de l arr t imm diat la prescription demande de rechercher les sources de pollution d valuer l incidence de ces pollutions sur les milieux aquatiques proposer des solutions visant liminer les sources de pollutions sur les sites industriels et r parer les zones aquatiques pollu es gt Les deux soci t s broient des v hicules et des pneumatiques usag es afin de les recycler Un site sensible Dans la zone de Marignane existe de nombreuses p tures et les marais de l tang de Bolmon servent la chasse avec 25 huttes de chasse r glement es La pr sence de canaux facilite le transport des polluants jusqu aux tangs Le site polluant est proche du site Natura 2000 Marais et zones humides li es l tang de Berre qui abrite des plantes et des animaux prot g s notamment une libellule l Agrion de Mercure et un papillon en danger de disparition class prioritaire l caille chin e L arr t ordonne donc de restaurer les milieux aquatiques pollu s avant le 15 juillet 2008 Des amendements concernent galement l attribution des quotas d mission de CO2 pour les nouveaux entrants au plan national dit Pnaq et les produits biocides Au cabinet de Jean Louis Borloo on compte 46 amendemen
3. particules homologu e le 20 avril 2003 indice de classement S76 007 7 NF EN 443 mai 1998 Casques de sapeurs pompiers homologu e le 20 avril 1998 indice de classement S72 503 NF EN 659 janvier 2004 Gants de protection pour sapeurs pompiers homologu e le 20 d cembre 2003 indice de classement S75 507 NF X43 257 ao t 1988 Qualit de l air Air des lieux de travail Pr l vement individuel de la fraction inspirable de la pollution particulaire homologu e le 5 juillet 1988 indice de classement X43 257 NF EN 818 3 ao t 1999 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 3 cha nes de tol rance moyenne pour lingues en cha nes Classe 4 homologu e le 5 juillet 1999 indice de classement E26 001 3 NF EN 818 4 novembre 1996 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 4 lingues en cha ne Classe 8 homologu e le 20 octobre 1996 indice de classement E26 001 4 NF EN 818 5 ao t 1999 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 5 lingues en cha nes Classe 4 homologu e le 5 juillet 1999 indice de classement E26 001 5 NF EN 818 6 mars 2000 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 6 lingues en cha nes Sp cification pour l information sur l utilisation et la maintenance qui doit tre fournie pour le fabricant homologu e
4. CE n 466 2008 du 28 mai 2008 Date de publication t Activit Fabrication et importation de substances prioritaires concern e Adresse http http www legifrance gouv fr affichTexte do jsessionid BBD4A33841882DA4C661 E872C0E0B671 tpdjoi5v 2 cidTexte JORFTEXTO00018820954 amp dateTexte amp ol dAction rechJO RESUME Les tats membres conform ment l article 10 paragraphe 1 du r glement CEE n 793 93 ont valu les informations pr sent es par les fabricants et les importateurs concernant certaines substances prioritaires Apr s consultation des fabricants et importateurs concern s les rapporteurs ont jug n cessaire aux fins de l valuation des risques de demander ces fabricants et importateurs de communiquer des informations suppl mentaires et de proc der des essais compl mentaires Ce r glement fixe la liste des substances concern es ainsi que les essais r aliser VR Mai 2008 Page 8 m x rme2Mmomnmt VOI M XMm S curit Agr ments d organismes et habilitations Poussi res de bois Dosages plomb mie Silice cristalline Silice cristalline Marquage CE Texte Arr t du 3 avril 2008 portant agr ment d un organisme habilit proc der aux contr les du respect de la valeur limite d exposition professionnelle fix e pour les poussi res de bois Arr t du 3 avril 2008 portant agr ment d organismes habilit s proc der de
5. Mai 2008 Page 13 m x li NMNOZMOCNTUANCL 6 Jurisprudences Environnement gt Esp ces prot g es annulation d un arr t de remise en tat Les obligations impos es dans le cadre de la remise en tat du site ne doivent pas porter atteinte aux int r ts prot g s par la l gislation des installations class es Elles doivent tre adapt es ces int r ts et modifi es dans le temps en fonction de ces int r ts C est en application de ce principe qu est annul en l absence d atteinte la s curit publique que pr senterait le site d exploitation d une ancienne carri re l arr t de remise en tat qui imposant le parti de r am nagement figurant dans l arr t initial d autorisation datant de 1975 aurait abouti la destruction d un cosyst me qui s tait constitu sur le site avec la pr sence de plusieurs esp ces prot g es d animaux peuplant l ancienne carri re Source i Limoges 20 d c 2007 n 0500780 SARL Carri res du Bas Berry c Pr fet de l Indre gt Prescriptions de remise en tat ill gale indemnisation du pr judice Le Conseil d tat avait annul un arr t imposant l exploitant d une soci t d archivage au seul motif qu elle tait install e dans les m mes locaux de proc der l limination de d chets issus de l exploitation ant rieure sur le site d une autre installation class e CE 17 nov 2004 no 252514 St G n rale d archives Cette ill galit constit
6. du CHSCT est nomm parmi les repr sentants du personnel lus par le coll ge d signatif Un accord collectif ne peut d roger cette r gle Le repr sentant suppl mentaire n ayant pas t lu par le coll ge d signatif il ne peut tre nomm secr taire du CHSCT Cass soc 16 janv 2008 no 06 15 679 Syndicat CGT Lyondell chimie France c CHSCT St Lyondell chimie France e VR Mai 2008 Page 17 m x NMOZMUCNTUANCL gt Entreprise ext rieure et sous traitance obligation des chefs d entreprises L accident en cause s tait produit l occasion de travaux de confortement d une tranch e rocheuse sur un chantier ferroviaire ouvert par la SNCF Un ouvrier a t bless par lectrocution en rentrant en contact en tenant un objet m tallique avec la cat naire L affaire mettait en cause trois protagonistes la SNCF entreprise principale une soci t ext rieure en charge du chantier et une entreprise sous traitante la victime appartenait au personnel de cette derni re Les dirigeants des deux entreprises ext rieures poursuivis pour blessures involontaires avaient t relax s par le tribunal correctionnel mais condamn s en appel et la d cision est confirm e par la chambre criminelle Les fautes caract ris es reproch es aux pr venus taient li es au plan de s curit qui selon les articles R 287 2 et suivants du code du travail doit tre tabli en cas de travaux r alis s par
7. le 20 f vrier 2000 indice de classement E26 001 6 VR Mai 2008 Page 11 m x li Oran O TU 5 Projets gt Installations class es projets divers Le 25 mars 2008 le Conseil Sup rieur des Installations class s examiner les projets de textes suivants projet d arr t modifiant l arr t du 20 avril 2007 fixant les r gles relatives l valuation des risques et la pr vention des accidents dans les tablissements pyrotechniques projet d arr t modifiant l arr t du 9 novembre 1972 fixant les r gles d am nagement et d exploitation des d p ts d hydrocarbures liquides et l arr t du 9 novembre 1972 relatif l am nagement et l exploitation de d p ts d hydrocarbures liqu fi s projet de d cret modifiant la nomenclature des installations class es modification des rubriques nos 1000 1150 1177 1310 1311 1312 1313 1832 1410 1450 1455 1580 1610 1611 2160 et 2610 suppression des rubriques nos 1139 1155 et 2685 projet de d cret modifiant la colonne B de l annexe l article R 511 9 du code de l environnement TGAP rubriques nos 1150 1310 1311 et 2610 avant projet de loi portant diverses dispositions d adaptation au droit communautaire dans le domaine de l environnement air et atmosph re projet de d cret modifiant la nomenclature des installations class es cr ation d une rubrique n 2718 Installations de gestion de d chets r sulta nt de la prospectio
8. mars 2008 publication Publication au BO quipement du 25 avril 2008 Activit Transports de marchandises dangereuses concern e Adresse http http www2 equipement gouv fr bulletinofficiel fiches B020087 A0070033 html RESUME Ce texte commente les changements apport s par trois arr t s du 28 janvier 2008 qui ont modifi les arr t s relatifs au transport de marchandises dangereuses par route arr t du 1er juin 2001 modifi dit ADR par chemin de fer arr t du 5 juin 2001 modifi dit RID et par voies de navigation int rieure arr t du 5 d cembre 2002 modifi dit ADNR cf Alerte du mois de f vrier 2008 De plus l annexe de cette circulaire contient un guide pour l laboration du rapport annuel du conseiller la s curit pour les transports de marchandises dangereuses r alis par l association des conseillers la s curit pour le transport de marchandises dangereuses ACSTMD Rappel des modifications apport es la r glementation par les arr t s du 28 janvier 2008 Les m arr t s pr cisent la distinction entre la d claration d accident que le chef d entreprise doit adresser aux autorit s et le rapport d accident que les conseillers la s curit adressent leur entreprise D sormais chacun des deux documents fait l objet d un article diff rent dans les arr t s Deux simplifications administratives ont galement t introduites l entr
9. pour la mise en oeuvre de la redevance pour pr l vement d eau annexe IV Les utilisations assimilables aux utilisations des fins domestiques sont d finies par l article R 213 8 1 du code de l environnement compl t par l arr t du 21 d cembre 2007 et notamment son annexe qui tablit la liste des activit s concern es Extrait de l annexe de l arr t du 21 d cembre 2007 Les personnes abonn es au service d eau potable ou disposant d un forage pour leur alimentation en eau dont les activit s impliquent des utilisations de l eau assimilables VR Mai 2008 aux utilisations de l eau des fins domestiques sont celles dont les locaux o a lieu la livraison d eau permettent notamment l exercice des activit s suivantes L n des activit s de services et d administration pour lesquelles les pollutions de l eau r sultent principalement des besoins d alimentation humaine de lavage et de soins d hygi ne des personnes physiques utilisant les locaux desservis ainsi que de nettoyage et de confort de ces locaux activit s de restauration qu il s agisse de restaurants traditionnels de self services ou d tablissements proposant des plats emporter activit s de si ges sociaux Page 6 m x PE ur rMaZMAMmnmt TOI M XM S curit Substances persistantes bioaccumulables et toxiques PBT R glement CE n 465 2008 du 28 mai 2008 R G
10. une soci t ext rieure Sur ce terrain il convient toutefois de distinguer la situation des deux chefs d entreprises Le chef de l entreprise sous traitante Il n avaitpas t convoqu par la SNCF pour participer la r union devant aboutir l laboration du plan de s curit Il disait en avoir conclu que cela signifiait que la partie des travaux relevant de sa comp tence ne pr sentait aucun danger pour la s curit de ses salari s Il en d duisait qu aucune faute ne pouvait lui tre imput e Cet argument est rejet par les juges En application de l article R 237 2 du code du travail chacune des entreprises ext rieures doit avec l entreprise principale participer une r union commune destin e l adoption du plan de pr vention De ce fait il devait exiger d tre pr sent la r union m me en l absence de convocation et n aurait pas d commencer les travaux alors que cette formalit n avait pas t respect e Par ailleurs il savait que les travaux qui lui taient confi s se d roulaient au dessus d une cat naire et donc qu il y avait un danger certain Le chef de l entreprise en charge du chantier Il avait particip la r union mais connaissant l absence de son sous traitant il aurait d lui communiquer le plan de s curit Sa d fense consistait principalement contester l existence d un lien de causalit certain entre cette faute et le dommage Le plan ne contenait en effet que des mesures re
11. 1 Alerte R glementaire Mai 2008 fl P riode Mail 2008 S19 S22 Date de transmission 15 Juin 2008 R f rence ALR CI 08 340 Destinataires D BARBIE Emetteur Service Technico Juridique AXE m VR Mai 2008 Page 1 m xA 1 PRECISIONS SUR L ARRETE FOUDRE DU 15 JANVIER 2008 Risques naturels ICPE A foudre 2 TEXTES DE VOTRE REFERENTIEL ENVIRONNEMENT ET SECURITE ADR Conseiller la s curit Circulaire du 13 mars 2008 3 AUTRES TEXTES EAU redevance Circulaire N6 DE du 15 f vrier 2008 Substances persistantes bioaccumulables et toxiques PBT R glement CE n 2465 2008 du 28 mai 2008 m O Substagces prioritaires R glement CE n466 2008 du 28 mai 2008 4 NORMES 5 PROJETS 6 JURISPRUDENCES 7 DIVERS e VE ur Le VR Mai 2008 10 12 14 23 Page 2 mx E XX EL E A P P L I C A Ty I F Date de concern e Adresse http xM m 1 Pr cisions sur l arr t foudre du 15 janvier 2008 Environnement Risques naturels ICPE A foudre pubileation 24 avril 2008 Installations class es soumises autorisation Activit e sous l une des rubriques cit es en annexe e pour lesquelles une agression foudre pourrait avoir des incidences graves texte impos alors par le pr fet arr t pr fectoral http www legifrance gouv fr affichTexte do cidTexte JORFTEXTO00017883576 amp dat
12. LEMENT CE n 465 2008 DE LA COMMISSION du 28 mai 2008 imposant conform ment au r glement CEE du Conseil n 793 9 3 des obligations en mati re d essais et d information aux importateurs et aux fabricants de certaines substances qui pourraient tre persistantes bioaccumulables et toxiques et qui figurent dans l inventaire europ en des produits chimiques commercialis s Date de 29 mai 2008 publication i Activit concern e persistantes Adresse http Fabrication et importation de substances potentiellement persistantes bioaccumulables et http www legifrance gouv fr affichTexte do jsessionid BBD4A33841882DA4C661 E872C0E0B671 tpdjoi5v 2 cidTexte JORFTEXTO000188209548 amp dateTexte amp ol dAction rechJO RESUME Ce texte impose une s rie d essais r aliser par les fabricants et importateurs sur diff rentes substances soup onn es d tre persistantes bioaccumulables et toxiques PBT Les essais r aliser et les substances concern es annexe de ce figurent en r glement Cette obligation d essais compl mentaires s inscrit dans le cadre de la r glementation sur l valuation des substances existantes inscrites l inventaire europ en des produits chimiques commerciali s Einecs Il concerne les susbtances mise sur le march avant 1981 VR Mai 2008 Page 7 m x rmeJ2Mmomnmd VOI MXMm DE ur S curit Substances prioritaires R glement
13. ace par l employeur en f vrier 2005 r duisait le nombre des salari s assurant le service de jour et entra nait l isolement du technicien charg d assurer seul la surveillance et la maintenance de jour en d but de service et en fin de journ e ainsi que pendant la p riode estivale et l occasion des interventions cet isolement augmentant les risques li s au travail dans la centrale et que le dispositif d assistance mis en place tait insuffisant pour garantir la s curit des salari s Elle a pu en d duire sans modifier l objet du litige que cette organisation tait de nature compromettre la sant et la s curit des travailleurs concern s et que sa mise en uvre devait en cons quence tre suspendue Cass soc 5 mars 2008 n 06 45 888 St Snecma c Sy ndocat CGT Snecma Gennevilliers gt Un cumul de responsabilit s entre un d l gataire un subd l gataire et la spci t est reconnu Alors qu il avait termin sa journ e de travail un salari se voit demander par son chef d quipe d aider au b tonnage dans le radier Pour se rendre sur les lieux du travail le salari a emprunt une voie sur laquelle se trouvait une grue et il a t cras par le b ton d vers par celle ci VR Mai 2008 Page 20 A x E AMOZMUCATNANCU Habituellement pour viter de tels accidents les salari s faisaient signe au grutier pour qu il stoppe la machine et leur laisse le passage Mais en l esp ce le grutie
14. cice des missions lui subd l gu es Il lui est reproch de ne pas avoir pris les dispositions n cessaires pour pr voir des voies d acc s permettant aux salari s d atteindre sans risque les zones de travail Les juges ont donc pris soin de souligner que les violations reproch es aux deux pr venus et qui ont t d clar es d lib r es des dispositions du code du travail taient distinctes car le m canisme de la d l gation interdit qu un m me manquement aux r gles de s curit soit imput deux personnes Cass crim 15 janv 2008 n 06 87 805 gt Accident mortel comportements fautifs Un salari a t mortellement bless apr s que son bras eut t happ par la tari re en rotation sur laquelle il travaillait Le directeur g n ral de la soci t et la soci t elle m me sont poursuivis pour homicideinvolontaire Le tribunal correctionnel retient la culpabilit de celle ci mais relaxe le premier En appel la soci t est relax e mais l arr t est cass Les d cisions des juges du fond se fondaient sur l absence de faute des pr venus Certes la machine n tait pas quip e d un dispositif de protection mais aucun texte ne pr voyant des normes de s curit pour ce type d appareil un d faut de conformit ne pouvait donc leur tre reproch Par ailleurs le risque pr sent par la machine tant malgr tout connu les dirigeants avaient remis aux salari s un manuel pr cisant les r g
15. eText e ADDENDUM Organismes comp tents Dans l alerte r glementaire du mois d avril nous vous informions de la parution au journal officiel du nouvel arr t foudre Les organismes qui interviennent notamment dans les analyses de risque foudre les tudes techniques la mise en place des installations de protection contre la foudre et leur v rification doivent tre selon les termes de l arr t comp tents L arr t foudre pr cise quant cette comp tence qu elle doit tre fond e sur la base d un r f rentiel reconnu par le minist re Nous vous citions en guise d illustration dans la pr c dente alerte la qualification Qualifoudre pour s assurer de la comp tence de ces organismes sp cialis s Cependant ce syst me de qualification mis en pl ce par l INERIS n a pas encore t valid par le minist re A ce titre la qualification Qualifoudre ne r pond pas compl tement aux exigences de comp tence de l arr t foudre bien que ce soit l heure actuelle le seul d velopp INERIS Institut National de l Environnement Industriel et des Risques VR Mai 2008 Page 3 Tn4 00724 mxm i Date de mx 2 Textes de votre r f rentiel Environnement et S curit Les textes dont il est question ci apr s sont disponibles sur AXONE dans l onglet vert R f rentiel r glementaire S curit ADR Conseiller la s curit Circulaire du 13
16. ent condamn Ce comportement n est pas constitutif d une faute lourde caract ris e par l intention de nuire Si l l ment p nal tablit n cessairement l l ment intentionnel de l infraction poursuivie il n implique pas par lui m me l intention du salari de nuire l employeur en provoquant un accident mortel de la circulation alors qu il se trouvait sous l empire d un tat d bri t alcoolique Ce comportement n est pas non plus constitutif d une faute grave au vu des circonstances particuli res de l esp ce le chef d agence a organis la mise disposition de nombreuses boissons qu il a quitt le restaurant le premier sans se pr occuper de la suite des v nements et sans pouvoir se m prendre sur l tat d bri t La part de responsabilit de l employeur dans les faits qui ont suivi te au grief son caract re de gravit m me en l absence de poursuites p nales son gard Le comportement du salari qui a notamment ject du v hicule le conducteur d sign pour raccompagner les diff rents salari s reste toutefois constitutif d une cause r elle et s rieuse de licenciement Source CA chamb ry ch soc 24 avr 2007 n 06 002 83 Billercah c SA Yvroud Europ enne des fluides VR Mai 2008 Page 19 A x E a AMOZMUCATNANCU gt Suspension du projet de r organisation jug de nature compromettre la sant et la s curit des travailleurs Dans un tablissement class Seve
17. eprise qui d clare un conseiller la s curit ne doit plus joindre cette d claration la copie du certificat du conseiller et l attestation indiquant qu il accepte la mission Il devra simplement rester en possession de ces documents les conseillers peuvent tre d clar s par le biais du syst me internet de t l proc dures Demosten pour les entreprises ayant obtenu leur accr ditation du pr fet de r gion VR Mai 2008 Page 4 TH4 200724 MXMm Guide pour l laboration du rapport annuel du conseiller la s curit Ce guide doit permettre une harmonisation dans la r daction du rapport annuel et un meilleur contr le du travail effectif d un conseiller Il propose une r daction du rapport en sept parties concernant respectivement l organisation de l entreprise pour les activit s li es au transport de marchandises dangereuses le guide indique qu il s agit de d crire la gestion administrative et op rationnelle du transport de marchandises et la place du conseiller la s curit dans l organisation le relev des activit s de l ann e coul e le rapport devra notamment indiquer les chiffres de l ann e concern e afin de quantifier les activit s de l entreprises li es aux marchandises dangereuses par exemple l indication du tonnage annuel par mode de transport et le kilom trage parcouru le bilan des accidents tous les accidents r pondant aux crit res de d clara
18. evant du public Date de publication 14 03 2008 29 03 2008 02 04 2008 16 04 2008 18 04 2008 18 04 2008 15 05 2008 VR Mai 2008 m x 15 Lien Internet http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid 8EDE8930220CE54D0BC160E30F D85FDA tpdjo05v 3 cidTexte JORFTEXTO0 00186470798 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid 96BFCA6E24F26DDBD35834A9C2 B506C1 tpdjo08v 3 cidTexte JORFTEXTO00 018647099 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid DF37C4B3E2A75AA1AEBA2D9EEF 1B0B99 tpdjo09v 1 cidTexte JORFTEXT000 018501095 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid 87923BA27F6529C37DE9424C02A 9C7E6 tpdjo13v 3 cidTexte JORFTEXTO000 18555121 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid AED9976F2407416092CE71FBB04 OAD2F tpdjoi4v 3 cidTexte JORFTEXT0O00 018650286 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid AED9976F2407416092CE71FBB04 OAD2F tpdjoi4v _3 cidTexte JORFTEXT000 018660596 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affichTexte do js essionid AED9976F2407416092CE71FBB04 OAD2F tpdjoi4v 3 cidTexte JORFTEXTO00 018660608 amp dateTexte amp oldAction rechJO http www legifrance gouv fr affic
19. hTexte do js essionid 6B10A99B7ADE7FAC7BB5C1BBB3 DDCO06B tpdjo04v_3 cidTexte JORFTEXTO0 0018787478 amp dateTexte amp oldAction rechJO Page 9 a NOMmMm lt DOZ 4 Normes Homologation NF X50 067 Elaboration d un r f rentiel de certification de produit ou de service ou d une combinaison de produit et de service indice de classement X50 067 NF ISO 6395 Engins de terrassement D termination du niveau de puissance acoustique Conditions d essai dynamique indice de classement E58 022 NF ISO 6396 Engins de terrassement D termination du niveau de pression acoustique d mission au poste de conduite Conditions d essai dynamique indice de classement E58 023 NF EN 15308 Caract risation des d chets D termination de polychlorobiph nyles PCB s lectionn s dans les d chets solides par chromatographie en phase gazeuse capillaire avec d tection par capture d lectrons ou spectrom trie de masse indice de classement X30 453 NF EN 1756 1 A1 Hayons l vateurs Plates formes l vatrices monter sur v hicules roulants Exigences de s curit Partie 1 hayons l vateurs pour marchandises indice de classement R18 905 1 NF EN 13274 7 Appareils de protection respiratoire M thodes d essai Partie 7 d termination de la p n tration des filtres particules indice de classement S76 007 7 NF ISO 12789 2 Champs de
20. la liste des substances qui seront soumises autorisation et les sanctions pour non respect du r glement europ en sur les substances chimiques Ce sont les Etats membres qui proposent les mol cules qu ils pensent n cessaires d interdire La Commission peut galement demander l Echa de monter un dossier pour les substances qui l inqui tent Le 7 juin chaque Etat membre devra rendre sa propre liste l Echa Selon Emmanuel Moreau chef du bureau des substances et des pr parations chimiques au minist re charg de l environnement la France l Autriche la Su de les Pays Bas et l Allemagne devraient proposer des substances mais ce ne sera pas le cas de tous les pays En tout une trentaine de substances dont 4 ou 5 pour la France devraient tre concern es mais l on ne conna t pas encore les intentions de la Commission Cette premi re liste sera rapidement soumise consultation publique par l Echa Ce sera alors aux Etats membres et la Commission de prendre la d cision finale pour chaque substance et ce au 1 juin 2009 Ce chiffre de 30 semble d risoire au regard des 2 000 substances que l on consid re habituellement comme pr occupantes et qui pourraient donc tre soumises terme autorisation Nous avons eu des contraintes de temps qui nous obligent pr senter un nombre limit de substances mais il pourrait y avoir une deuxi me vague de propositions d ici quelques mois Par la suite la r visio
21. latives aux travaux incombant sa soci t ceux relevant du sous traitant n ayant pas t voqu s en son absence D s lors la communication du plan n aurait pas permis d viter l accident De mani re encore plus pr cise rien n avait t pr vu propos du fait l origine de l accident c est dire l absence d obturation de l interstice situ au dessus de la cat naire Le sous traitant n aurait donc pas t alert du danger m me en possession du plan On peut tout de m me noter qu il y avait dans ce document une prescription qui aurait pu lui tre utile savoir que les salari s ne devaient pas s approcher moins de trois m tres de la cat naire avant r ception de sa mise hors tension Quoi qu il en soit les arguments de la d fense n ont pas non plus t retenus Cass crim 18 d c 2007 no 07 80 395 VR Mai 2008 Page 18 A x E NMNZMUCNTUANCL gt Contr le de l alcool mie respect des dispositions du r glement int rieur Le r glement int rieur pr voit la possibilit d un contr le par alcootest du salari en pr sence d une personne appartenant l entreprise choisie par le salari concern et un repr sentant de la direction Le salari a t soumis un alcootest la demande du chef de chantier mais n a pas b n fici de l assistance d un de ses coll gues choisi par ses soins Cette garantie constitue pourtant un l ment essentiel aux droits du salari qui
22. les respecter pour son utilisation interdiction de tout v tement flottant et de toute intervention sur la machine avant son arr t complet Or il semblerait que la victime ne se soit pas conform e ces prescriptions et notamment qu elle ne portait pas le v tement mis sa disposition VR Mai 2008 Page 21 m x li NMmNAZMUCATNANCL Mais ces arguments n ont pas convaincu la chambre criminelle Elle reproche aux juges de n avoir pas recherch si le fait de ne pas avoir install un dispositif de s curit disponible au moment de l accident ne constituait tout de m me pas une faute notons que celui ci a t install apr s l accident De m me le fait que la victime ait enfreint le manuel d utilisation pouvait tre analys comme un d faut de surveillance du respect des normes de s curit imputable aux dirigeants Enfin la faute de la victime ne pouvait exon rer le pr venu que s il tait d montr qu elle avait t la cause exclusive du dommage ce qui n avait pas t fait VR Mai 2008 Page 22 m x li DE ec ON DM lt HU 7 Divers Environnement gt Deux recycleurs contraints d arr ter de polluer A Marignane dans les Bouches du Rh ne deux soci t s ont t mises en demeure par un arr t pr fectoral d urgence d arr ter imm diatement de rejeter des eaux polluantes dans les milieux aquatiques Selon l arr t vingt hectares sont impact s fortement par la pollution rejet e
23. ltation concernant la d claration annuelle pour les utilisations de sulfonates de perfluorooctane Le SFPO substance persistante bioaccumalable et toxique sur des longues distances a fait l objet d une interdiction d utilisation sauf pour certaines applications limitativement num r e par le d cret n 2007 1946 Ce d cret pr voit une d claration annuelle la charge des fabricants importateurs et utilisateurs de ces produits pour les utilisations d rogatoires Le projet d arr t fixe les conditions de cette d claration Il distingue les fabricants importateurs et utilisateurs de SFPO soumis ou non l obligation d claration annuelle des polluants requises par l arr t du 31 01 2008 Toutes les entreprises mettant en oeuvre du SFPO devront r aliser une d claration annuelle en vue d tablir gg nature des proc d s leurs conformit s le cas ch ant avec les meilleures techniques disponibles ainsi que les quantit s mises et stocks existants Les entreprises non concern s par la d claration iREP doivent r aliser cette d claration conform ment au document fixer en annexe Cette d claration doit avoir lieu avant le 1 novembre de chaque suivante Les entreprises vis es par l article L 512 1 CE r aliseront leur d claration dans le cadre de la d claration au registre des missions polluantes Une nouvelle ligne est cr e pour le SFPO dans le tableau de l annexe Il de l arr t du 30 01 2008 VR
24. n de l extraction du traitement et du stockage de ressources min rales ainsi que de l exploitation de carri res et modification de la rubrique n 167 et projet de d cret TGAP nouvelle rubrique projet e n 2718 projets d arr t s relatifs aux modalit s du contr le p riodique de certaines installations de classe D nos 2351 Teinture et pigmentation de peaux 2415 Mise en uvre de produits de pr servation du bois et mat riaux d riv s 2562 Chauffage et traitements industriels par l interm diaire de bains de sels fondus et 2940 Traitement et d veloppement de surfaces photosensibles base argentique gt Prof t de loi responsabilit environnementale Le projet de loi sur la responsabilit environnementale d sormais relatif la responsabilit environnementale et diverses dispositions d adaptation au droit communautaire dans le domaine de l environnement a t adopt au S nat mercredi 28 mai Il transpose plusieurs directives europ ennes et permet la France de se mettre en conformit avec certains r glements Les d bats parlementaires ont notamment port s sur la notion d exploitant Un amendement pr voyait d largir la notion d exploitant aux soci t s m res Cet largissement a t rejet VR Mai 2008 Page 12 m x li DE ur Nr OT gt Projet d arr t utilisation et mise sur le march de sulfonates de perfluorooctane SFPO Un projet d arr t est en cours de consu
25. n sera r guli re explique Philippe Juvin chef du d partement des r glementations europ ennes biocides Reach de l Agence fran aise de s curit sanitaire de l environnement et du travail Afsset en charge du travail de priorisation des substances soumettre Pour beaucoup de substances tr s dangereuses il existe d j des mesures de restriction On a pr f r se concentrer sur celles qui sont moins r glement es indique de son c t Emmanuel Moreau Autre chantier en construction les sanctions applicables au non respect de Reach En France le minist re charg de l environnement a fait adopter au S nat mercredi 28 mai un amendement au projet de loi sur la responsabilit environnementale qui permet au gouvernement d tablir un syst me de sanctions sous forme d ordonnance Celle ci sera publi e apr s l adoption d finitive du projet de loi par le Parlement et le passage en Conseil d Etat Nous nous sommes inspir s de l Allemagne et du Luxembourg Nous utiliserons principalement des sanctions administratives Des sanctions p nales deux ans d emprisonnement et 75 000 euros d amende sont toutefois pr vues pour les cas les plus graves l non respect des obligations li es aux autorisations aux restrictions et la production de substances non enregistr es pr cise Emmanuel Moreau VR Mai 2008 Page 25 mx
26. nt le rapport annuel du conseiller la s curit des corps de contr les du transport de marchandises dangereuses pourront tre mobilis s dans le cadre des plans r gionaux de contr les Conform ment aux dispositions de la loi n 75 1335 du 31 d cembre 1975 relative la constatation et la r pression des infractions en mati re de transports publics et priv s des contr les pourront tre effectu s l int rieur des entreprises VR Mai 2008 Page 5 m x li l amp rm 4zm mnimA WOI MXM Rs BO du 15 mars 2008 Activit concern e Adresse http 3 Autres textes Les textes dont il est question ci apr s sont disponibles sur AXONE dans l onglet bleu Base g n rale AXE Environnement EAU redevance Circulaire N 6 DE du 15 f vrier 2008 si ges sociaux Utilisation d eau usage domestique et assimil notamment activit s administratives et http www environnement gouv fr Bulletin officiel No 5 du 15 mars 9777 html RESUME Cette circulaire modalit s d application des redevances pour pollution pr cise les d origine domestique et pour modernisation des r seaux de collecte annexes et Il Sont galement pr cis s l application des r sultats de mesures disponibles pour la d finition des coefficients sp cifiques de pollution des tablissements industriels conform ment l article R 213 48 7 annexe IlI ainsi que divers l ments
27. peut de la sorte b n ficier de la pr sence d une personne susceptible de faire valoir d ventuels dysfonctionnements Le non respect de ces dispositions essentielles au bon d roulement de la proc dure de d pistage dict es par l employeur lui m me dans le cadre du r glement int rieur rend irr gulier le contr le d alcool mie Le licenciement qui repose exclusivement sur les constatations effectu es quant au degr d alcool mie du salari dans l entreprise est d pourvu de cause r elle et s rieuse Source CA Douai ch soc 30 mars 2007 n 06 01254 Lakomy c St Multiserv gt L tat d bri t motif de licenciement Le fait pour un salari amen en cours d ex cution de son contrat de travail conduire un v hicule automobile de l entreprise d tre impliqu dans un accident de la circulation caus par son tat d bri t f t ce en dehors de son temps de travail se rattache sa vie professionnelle Le salari et ses coll gues de travail avaient particip un ap ritif servi dans les locaux de l entreprise et un repas de fin d ann e organis par l employeur Auteur de plusieurs incidents au cours du repas en raison de son tat d bri t avanc il avait de force pris le volant d un v hicule de l entreprise alors que des salari s qui ne consommaient jamais d alcool avaient t choisis pour conduire il avait caus un accident mortel de la circulation pour lequel il avait t p nalem
28. r n a pas vu arriver la victime la fois parce que le chef d quipe normalement charg de guider le grutier dans ses man uvres tait occup surveiller les op rations de b tonnage au fond du radier et car le r troviseur droit de la grue tait manquant Sur la base de ces faits sont condamn s pour homicide involontaire le directeur des travaux le conducteur des travaux et la soci t En l esp ce le premier avait re u une d l gation de pouvoirs et il avait ensuite proc d une subd l gation en faveur du second Le directeur de travaux n avait subd l gu qu une partie de ses attributions en mati re de s curit savoir les mesures sp cifiques d valuation et de pr vention des risques ainsi que l emploi des moyens n cessaires la r alisation des travaux En revanche il tait toujours en charge de la mise en place et du contr le des mesures de s curit ainsi que du maintien en bon tat d utilisation du mat riel mis la disposition des salari s Or les juges ont estim que certains manquements la r glementation l origine de l accident taient li s aux obligations demeur es sa charge et pour lesquelles il ne pouvait donc pas invoquer la subd l gation Il s agissait notamment du fait qu il n avait pris aucune mesure permettant une constante visibilit des salari s empruntant la zone dangereuse Le conducteur des travaux est aussi condamn pour avoir failli dans l exer
29. rayonnement de r f rence Champs de neutrons simulant ceux de postes de travail Partie 2 concepts d talonnage en relation avec les grandeurs fondamentales indice de classement M60 540 2 NF EN 443 Casques pour la lutte contre les incendies dans les b timents et autres structures indice de classement S72 503 NF EN 659 A1 Gants de protection pour sapeurs pompiers indice de classement S75 507 NF X43 257 Qualit de l air Air des lieux de travail Pr l vement d a rosol l aide d une cassette orifice 4 mm indice de classement X43 257 NF EN 818 3 A1 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 3 cha nes de tol rance moyenne pour lingues en cha nes Classe 4 indice de classement E26 001 3 NF EN 818 4 A1 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 4 lingues en cha nes Classe 8 indice de classement E26 001 4 NF EN 88 5 A1 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 5 lingues en cha nes Classe 4 indice de classement E26 001 5 NF EN 818 6 A1 Cha nes de levage maillons courts S curit Partie 6 lingues en cha nes Sp cification pour l information sur l utilisation et la maintenance qui doit tre fournie par le fabricant indice de classement E26 001 6 NF ISO 16001 Engins de terrassement Dispositifs de d tection des risque
30. s dosages de plomb mie Arr t du 26 f vrier 2008 fixant la liste des titres et dipl mes de niveau V admis en quivalence au titre de la qualification initiale de certains v hicules de des conducteurs affect s aux transports routiers marchandises ou de voyageurs Arr t du 21 mars 2008 modifiant l arr t du 2007 portant habilit s mesures de la concentration en poussi res 28 d cembre agr ment d organismes proc der aux d amiante des immeubles b tis Arr t du 3 avril 2008 portant agr ment d un organisme habilit proc der aux contr les du respect de la valeur limite d exposition professionnelle fix e pour les poussi res de silice cristalline Arr t du 3 avril 2008 modifiant l arr t du 31 2006 habilit s d cembre portant agr ment d organismes proc der aux contr les du respect de la valeur limite d exposition professionnelle fix e pour les poussi res de silice cristalline Arr t du 8 avril 2008 modifiant l arr t du 24 1996 d organismes charg s de proc der d cembre portant habilitation aux examens CE de type l valuation des syst mes de garantie de qualit CE et l valuation et la surveillance des syst mes d assurance qualit CE concernant certains quipements de protection individuelle Arr t du 23 avril 2008 portant agr ment d un organisme pour effectuer les v rifications dans les techniques r glementaires tablissements rec
31. s et d aide visuelle Exigences de performances et essais indice de classement E58 157 NF EN 13035 1 Machines et installations pour la production le fa onnage et la transformation du verre plat Prescriptions de s curit Partie 1 stockage manutention et transport l int rieur de l usine indice de classement E58 910 1 VR Mai 2008 Page 10 m x li OUME lt WO0O2Z NF EN 14677 S curit des machines M tallurgie secondaire Machines et quipements pour traitement d acier liquide indice de classement E88 004 Annulation NF ISO 6395 d cembre 1997 Acoustique Mesurage du bruit mis l ext rieur par les engins de terrassement Conditions d essai dynamiques homologu e le 5 novembre 1997 indice de classement E58 022 NF ISO 6396 d cembre 1997 Acoustique Mesurage du bruit mis par les engins de terrassement au poste de conduite Conditions d essai dynamiques homologu e le 5 novembre 1997 indice de classement E58 023 NF EN 1756 1 mars 2002 Hayons l vateurs Plates formes l vatrices monter sur v hicules roulants Exigences de s curit Partie 1 hayons l vateurs pour marchandises homologu e le 20 f vrier 2002 indice de classement R18 905 1 NF EN 13274 7 mai 2003 Appareils de protection respiratoire M thodes d essai Partie 7 d termination de la p n tration des filtres
32. so un projet de r organisation comportait une nouvelle organisation du travail de maintenance et de surveillance effectu e par quipes et sans interruption La soci t a alors consult le CHSCT qui a recouru un expert puis a mis un avis n gatif ainsi que le comit d tablissement qui a galement exprim un avis n gatif Par note de service l employeur a inform le personnel de l application de la nouvelle organisation du travail Le syndicat CGT a saisi le tribunal de grande instance en vue de l annulation de la note de service et afin qu il soit fait d fense l employeur de mettre en application les dispositions pr vues La cour d appel de Versailles a fait droit cette demande Le pourvoi en cassation de l employeur est rejet quand il invoquait le pouvoir de direction de l employeur notamment quant l organisation du travail L employeur est tenu l gard de son personnel d une obligation de s curit de r sultat qui lui impose de prendre les mesures n cessaires pour assurer la s curit et prot ger la sant des travailleurs Il lui est interdit dans l exercice de son pouvoir de direction de prendre des mesures qui auraient pour objet ou pour effet de compromettre la sant et la s curit des salari s Dans l exercice de son pouvoir souverain d appr ciation des l ments de preuve qui lui taient soumis et sans d naturation la cour d appel a constat que la nouvelle organisation mise en pl
33. sultation portant sur un projet soumis tude d impact doivent tre pris en consid ration dans le cadre de la proc dure d autorisation ll en r sulte que les travaux de construction d une installation class e relevant du r gime de l autorisation ne peuvent tre autoris s avant que l autorit comp tente pour d livrer le permis VR Mai 2008 Page 14 m x li NMNZMOCNTUANCL X de construire n ait pris connaissance du r sultat de l enqu te men e au titre des ICPE c est E dire apr s remise du rapport du commissaire enqu teur Ainsi suivre le tribunal les dispositions actuelles de l article L 512 2 du code de l environnement selon lesquels le permis peut tre accord mais ne peut tre ex cut avant la cl ture de l enqu te publique ne seraient pas compatibles avec l article 8 de la directive Source TA Amiens 6 nov 2007 n 0502077 Wautier et a gt Nuisances sonores responsabilit de l administration Ont t jug es constitutives d un pr judice anormal et sp cial les nuisances sonores subies par la riveraine d une station de pompage d eau en milieu rural Avant travaux les mesures acoustiques effectu es au niveau de la cl ture s parative mitoyenne avaient fait ressortir un niveau sonore de 54 d cibels une mergence de 13 d cibels par rapport au niveau de bruit r siduel et de fortes variations d intensit sonore sur de longues p riodes de fonctionnement tant le jour que la nuit
34. tion d v nement impliquant des mati res dangereuses selon le chapitre 1 8 5 3 de l accord l Accord europ en relatif au transport international des marchandises dangereuses par route ADR seront repris dans un tableau r capitulatif Il s agit des accidents au cours desquels des marchandises dangereuses se sont r pandues ainsi que ceux pour lesquels il y a eu un risque imminent de perte de produit dommage corporel mat riel ou l environnement ou ceux pour lesquels les autorit s sont intervenues le bilan des audits et interventions r alis s au titre du transport de marchandises dangereuses il peut s agir d audits internes d audits externes par exemple de type ISO ou d inspections th mes le r sum des actions du conseiller la s curit cela pourra aussi bien concerner les actions de contribution la mise en place de proc dures ou encore de contr le du respect par l entreprise des proc dures existantes le r sum des propositions faites pour l am lioration de la s curit le guide propose de ne retenir que les points les plus importants am liorer par l entreprise conclusion du rapport elle permettra de donner une image globale de la situation et la conformit r glementaire de l entreprise dans ses activit s li es au transport de marchandises dangereuses y compris le chargement et le d chargement MR de veiller la mise en place progressive de ces nouvelles dispositions concerna
35. travail a propos une reprise dans le cadre d un mi temps th rapeutique Le salari refusant son affectation momentan e mi temps dans deux postes de travail entrant dans ses qualifications et aptitudes physiques r duites a t licenci pour insubordination La cour d appel de Lyon a consid r que le licenciement du salari tait justifi l employeur n tant pas oblig de consulter nouveau le m decin du travail sur la nouvelle affectation l employeur ayant am nag deux postes compatibles Sur le pourvoi du salari cet arr t d appel est cass par la chambre sociale de la Cour de cassation Dans l hypoth se o le salari conteste la compatibilit du poste auquel il est affect avec les recommandations du m decin du travail il appartient l employeur de solliciter nouveau l avis de ce dernier Cass soc 6 f vr 2008 n 06 44 413 Bounouar c St Feursm tal gt D signation d un membre du CHSCT La d l gation du personnel au CHSCT est compos e de quatre membres dont un cadre d sign s par le coll ge d signatif L article 24 de la convention collective de la chimie pr voit qu un ing nieur ou cadre d sign par les ing nieurs et cadres de l tablissement si ge au CHSCT en suppl ment de l effectif r glementaire Ce membre suppl mentaire peut il tre d sign comme secr taire du CHSCT La cour d appel d Aix en Provence l avait admis cet arr t d appel est cass Le secr taire
36. ts On r fute pourtant les arguments des ONG sur leur absence d implication en expliquant que le projet de loi pr sent est quasi intact par rapport la version d pos e par Nelly Olin pr sent e le 4 avril 2007 VR Mai 2008 Page 23 m x UN DM lt HU gt Rapport OCDE acc l ration de la d t rioration de la plan te Un rapport de l OCDE souligne que la d t rioration de la plan te va s acc l rer d ici 2030 si des r formes ambitieuses ne sont pas men es rapidement Il ressort des projections conomiques et environnementales que les missions mondiales de gaz effet de serre progresseront de 37 d ici 2030 et de 52 d ici 2050 si les pouvoirs publics n adoptent pas de mesures nouvelles Pour r pondre la demande croissante d aliments et de biocarburants les superficies agricoles mondiales devront augmenter d apr s les estimations de 10 d ici 2030 Un milliard de personnes de plus qu aujourd hui vivront dans des zones touch es par un stress hydrique prononc en 2030 Les d c s pr matur s dus l ozone troposph rique pourraient avoir quadrupl dans le monde la m me date D apr s les projections pr sent es dans cette publication le PIB mondial devrait presque doubler d ici 2030 Or la simulation de certaines actions correctrices propos es par l OCDE montre que leur mise en oeuvre n amputerait cette croissance que d un peu plus de 1 et qu elle perme
37. ttrait de r duire les missions des principaux polluants atmosph riques d un tiers environ par rapport au sc nario de politiques inchang es et de ramener la progression des missions de gaz effet de serre quelque 12 au lieu de 37 L OCDE recommande d utiliser des panoplies de mesures et pour maintenir leur co t un faible niveau de s appuyer en grande partie sur des instruments conomiques ou qui font appel aux r gles du march La fiscalit environnementale la tarification de l eau les changes de permis d mission les syst mes pollueur payeur les redevances sur les d chets et l limination des subventions pr judiciables l environnement en faveur des nergies fossiles et de l agriculture entre autres en sont des exemples Sont galement n cessaires des r glementations et des normes plus strictes dans les secteurs des transports et du b timent par exemple ainsi que des investissements dans la recherche d veloppement des volutions technologiques des approches sectorielles et volontaires l co tiquetage et l information On parle de stress hydrique lorsque la demande en eau d passe les ressources disponibles VR Mai 2008 Page 24 m x li F NDm lt g S curit gt REACH avanc es sur l autorisation et les sanctions A l heure o commence l tape essentielle du pr enregistrement les Etats membres pr parent en parall le deux avanc es tr s sensibles
38. tude d impact Pour en juger ainsi le tribunal a cru devoir faire application de l article R 512 6 Il du code de l environnement D 21 sept 1977 art 8 selon lequel les tudes produire avec la demande d autorisation doivent porter sur l ensemble des installations ou quipements exploit s ou projet s par le demandeur qui par leur proximit ou leur connexit avec l installation soumise autorisation sont VR Mai 2008 Page 15 AMNZMUCATUNCU de nature en modifier les dangers ou inconv nients Un tel d tour ne para t pas n cessaire d autant que l article R 512 6 ne concerne pas la situation d esp ce la solution para t plut t devoir tre fond e plus simplement sur les dispositions de l article R 512 8 Il 2 lesquelles pr voient que l tude doit comporter une analyse des effets directs et indirects de l installation sur l environnement non analys s en l esp ce TA Rennes 8 juin 2007 n 0500053 Assoc Eau et rivi res de Bretagne et Assoc de la source la mer VR Mai 2008 Page 16 mx a every NMNAZMOCATNANCL S curit gt Contestation de la compatibilit du poste de travail Lorsque le salari conteste la compatibilit du poste auquel il est affect avec les recommandations du m decin du travail l employeur doit solliciter nouveau l avis de ce dernier Un salari ouvrier professionnel a t victime d un accident du travail A la suite d une rechute le m decin du
39. uant une faute de nature engager la responsabilit de l tat le Conseil d tat avait nomm un expert charg d valuer le montant de la r paration Apr s remise du rapport d expertise la soci t a t indemnis e de ses frais d analyse d enl vement et de stockage des d chets pr sents sur le site des frais de retraitement et de stockage suppl mentaires li s ces retraitements et de ses frais de gestion engag s la suite de la mise en demeure pour un montant de pr s de 100 000 euros plus les int r ts et leur capitalisation compter du 4 mars 1996 date de la demande d indemnisation Par contre a t cart le chef d indemnisation concernant l obligation de louer provisoirement de nouveaux locaux et une diminution du chiffre d affaires un tel pr judice r sultant non pas de la mise en demeure de d polluer mais de la pollution m me du site Source CE 22 f vr 2008 n 25514 St G n rale d ar chives gt Permis de construire et proc dure d autorisation Les travaux de construction d une installation de classe A sont soumis la proc dure de l tude d impact CE 15 janv 1999 no 181652 St OMY En application de l article 8 de la directive du 27 uin 1985 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement modifi e par la directive du 3 mars 1997 les r sultats de la consultation du public et les informations recueillies durant la con
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