Le Téléchargement de logiciels pour l`éducation - unesdoc
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1. le stockage des didacticiels sous la forme repr sentation interne d finie dans le cadre du projet DIANE par 1 Agen ce de l Informatique 37 un poste auteur donnant acc s aux diff rents diteurs DIANE un poste l ve permettant de d rouler les didacticiels sur le mat riel disponible la consultation de la banque de logiciels le t l chargement de didacticiels en downloading et uploa ding Le Ce Centre d pendant du Minist re des Postes et T l communi cations a cr une norme de t l chargement qui a toutes les chances de s imposer sur le march fran ais puisqu elle sem ble tre favorablement accueillie par la Direction G n rale des T l communications le Minist re de l Education Nationale et m me le secteur bancaire Ce protocole est destin coder une application de transfert de fichiers informatiques entre deux ordinateurs l un jouant le r le de ma tre responsable de l mission des commandes l autre d esclave charg de recevoir et d ex cuter ces m mes commandes les r les pouvant tre chang s en cours d op ration Les particularit s principales de ce protocole sont l existence de deux modes de codage par chappement oer tains codes ASCII sont remplac s par deux octets et en mode 3 en 4 chaque groupe de 3 octets est remplac par 4 octets 28 un d coupage en tron ons de taille maximale variable avec un rep rage type2. Acad mie de Lille l Universit de Lille 1 le C R D P de Lille et la D R T T l communication de Villeneuve d Ascq dans le cadre du Programme R gional d Initiation 1 Infor matique Ce plan est d autant plus original qu il vise la fois 16 monde scolaire et celui du travail le monde des jeunes et celui des adultes il faisait partie du Plan Informatique pour Tous avant m me que celui ci existe dans lequel il a d s ins rer depuis Ce Plan R gional se subdivise en un plan d quipement un plan de formation un plan de t l matique et un plan de lo giciels Dans chacun de ces aspects le t l chargement est pr sent d s le d part comme une fonction essentielle du pro jet global Ceci est la fois original et important car il va nous donner l occasion dans les prochains mois d obser ver sur le terrain des activit s de diffusion de logiciels ducatifs une chelle suffisamment grande pour tre repr sentative des probl mes r els et suffisamment limit e pour tre un exemple motivant pour des structures r gionales ou provinciales n ayant ni les moyens ni les lourdeurs des Etats Notons enfin que ceci est r alis parall lement une exp rience d enseignement distance pour adultes eL Pour conclure nous pouvons constater que les ressources techniques sont disponibles et que les probl mes de 1 heure sont politiques l Education Nationale va t elle s engager vers une diffusion c
3. mission si documentation volumineuse et frais de communication lev s tr s sure lev en raison des frais de transport manutention stockage fiabilit co t de plus en plus sure d pend de la fiabilit du r seau de transmission les protocoles de trans mission assurent la fia bilit et contr lent la conformit de la copie et de l original les exp riences actuelles sont tr s satisfaisantes faible en raison de l absence d interm diaires la centralisation des informations pr voir n anmoins co t fixe logiciel de communica tion modem ou quivalent co t variable frais de communication abonnement ou droit de location de reproduc tion ASPECTS TECHNIQUES DU TELECHARGEMENT Etant donn s deux ordinateurs une op ration de t l chargement ne sera possible que si les l ments suivants sont r unis un support de communication ligne t l phonique r seau hertzien un quipement informatique disponible sur les deux ordinateurs permettant l mission et ou la r ception de donn es informati ques vers le du support de communication exemple un modem t l phonique plus un logiciel de communication une norme de communication commune aux deux ordinateurs LES SUPPORTS DE COMMUNICATION Le t l phone au sens large r seau commut vid otex interactif Transpac C est de loin le plus utilis des media de t l chargement
4. tablissements scolaires 35000 professeurs ont d j t form s dans ce cadre The Open University Cette universit d enseignement distance tait tout naturel lement appropri e pour promouvoir ce type de technologie Le Cyclops Group de la Facult de technologie a d velopp son propre syst me de t l chargement Depuis l automne 1983 les tudiants qui devaient se rendre auparavant dans un centre in formatique re oivent un micro ordinateur HECTOR un modem et un manuel d utilisation ce qui leur permet d avoir acc s des logiciels qu ils peuvent t l charger 18 Des organismes de support The B B C Apr s l abandon d Oracle par 8 la B B C reste la seule dans la t l diffusion de logiciels en attendant peut tre l arriv e dans ce domaine du Canal 4 Ceefax est le nom sous lequel est d sign le service vid otex de la B B C L origine de te projet se trouvant dans le Computer Literacy Project on comprend pourquoi son orientation principale est encore aujourd hui l ducation Pour ce qui est de la radio la B B C Schools Broadcasting Service offre aux enseignants un service de documentation sur les logiciels ducatifs Des exemples de pages cran sont dif fus s par radio mais les logiciels en revanche ne sont pas diffus s Cette activit est men e en collaboration avec une publication de la B B C The Listener traitant des program mes de radio et des logic
5. SUNIST Les responsables du C N U S C La Direction de la soct t TRIEL Madame Madeleine SAVARD ma secr taire Monsteur Bernard LEPINE graphiste la T l universit Monsteur Jean Victor de SURY ing nieur en t l matique l ESSLE E Parts qui a assur la relecture critique de ce document Apr s l euphorie du d but de notre d cennie vis vis de la micro informatique et l introduction massive de mat riels dans les tablissements scolaires les responsables de l ducation semblent d sormais conscients de la n cessit A la fois d une formation des enseignants dans le domaine des applications p dagogiques de l ordinateur et de la disponibilit d une quanti t importante de logiciels La diffusion rapide de tels produits conduit in vitablement A envisager le mariage des t l communications et de l informati que C est sous cet aspect que le t l chargement sera abord ici DEFINITION On appelle t l chargement la diffusion distance par t l com munication de donn es informatiques sous forme de fichiers donn es alpha num riques programmes vid otex d un ordi nateur vers un autre ETUDE COMPARATIVE DE LA DIFFUSION CLASSIQUE ET DE LA DIFFUSION PAR TELECHARGEMENT La diffusion classique traite les donn es informatiques de la m me mani re que les autres produits non informatis s livres bandes vid o par exemple et s appuie sur les r seaux commer ciaux habituels boutiqu
6. ducatifs qui sera accessible de tout point du r seau L interactivit est assur e par voie t l phonique le serveur central est rejoignable la banque consultable et les program mes demandables Ainsi tout point du r seau peut formuler une demande au serveur central qui en retour diffuse par voie hertzienne l information demand e L ordinateur receveur est muni d une bo te noire cod e qui filtre tout ce qui est diffus mais qui ne laisse entrer dans la m moire du receveur que ce qui lui est destin 36 Une telle possibilit semble int resser des soci t s priv es de diffusion de logiciels qui commencent voir 14 un moyen de vendre rapidement et avec une protection suffisamment s rieuse Le logiciel de communication R B C S permet aussi l change de documents ou de messages entre les utilisateurs De tout point du r seau on peut rejoindre le serveur central pour lui demander d envoyer par voie hertzienne ses propres informa tions ou programmes A un ou plusieurs destinataires dont on pr cise les caract ristiques Il est aussi possible de rejoin dre d autres serveurs tels que CompuServe Parall lement et avec un mat riel analogue une autre exp rience est men e dans l Ontario Sudbury en utilisant des fr quences radio pour la diffusion Quarante cinq coles sont concern es et une version bilingue du logiciel de communication devrait tre implant e prochai nement Outre les u
7. 400 ateliers de 5 8 micro ordinateurs de type PC avec moniteurs 2 imprimantes 2 consoles de liaison avec serveur L encore cette formation s adresse tous des instituteurs aux professeurs d universit et si d j plus de 100000 ensei gnants ont suivi un stage d une semaine plus de 300000 sont en attente Il s agit cette fois contrairement aux op rations ant rieures qui visaient l apprentissage de langages de program mation de familiariser les professeurs avec diff rents types de logiciels et avec les applications p dagogiques de l ordina teur 24 gt Les logiciels Avec un budget de 200 millions de francs pour l achat de logi ciels le Minist re de 1 Education a voulu frapper un grand coup et mettre en mouvement le march du logiciel ducatif Le prem er moyen retenu a t l envoi dans les tablissements scolaires de valises remplies d une soixantaine de logiciels divers pas seulement des didacticiels mais aussi des logi ciels outils tant ducatifs langages auteurs que profession nels traitement de texte tableur Le second moyen est de doter les tablissements scolaires d un cr dit d achat l int rieur d un catalogue de logiciels dis ponibles et s lectionn s On imagine ais ment les probl mes pos s par une telle diffusion l chelle de la France de tant de logiciels ce qui explique l int r t d une r flexion non encore achev e sur le t l char gement et
8. 868 propres programmes et de communiquer avec d au tres tudiants l heure actuelle INFOPUQ qui est une banque d informations d pendant de l Universit du Qu bec permet d j petite chelle ce genre d op rations h las cette pratique est en core peu r pandue et le nombre de logiciels disponibles tr s faible Une tude est en cours pour ventuellement utiliser INFOPUQ comme support la banque de logiciels de la T l Univercit gt 43 QU LQUES REMARQUES EN GUISE DE CONCLUSION Apr s avoir favoris l entr e de la micro informatique dans les coles les Minist res de l Education ne peuvent aujourd hui laisser la t l matique la porte En alliant la simplicit d utilisation du t l phone et de la t l vision la puissance des ordinateurs la t l matique met 18 port e des l ves et des enseignants une masse inimagi nable d informations qu il appartient aux ducateurs d int grer leur enseignement La faiblesse des logiciels utilisables pour l ducation tant en quantit qu en qualit est une maladie qui risque court terme de d motiver les enseignants et moyen terme de d cou xager les responsables politiques qu ont lanc ces op rations pro informatiques l cole La circulation ais e de tels logiciels les changes entre cr ateurs dt utilisateurs allant de pair avec une formation cri tique des ma tres sur l utilisation de l informat
9. l Indiana l Iowa le Kentucky le Maine le Maryland le Missouri le New Jersey l Etat de New York l Ohio Porto Rico le Texas le Vermont la Vir ginie la Virginie de l Ouest et l Etat de Washington Les diff rents repr sentants se r partissaient comme suit Juridictions repr sent es Canada U S A Total D p et Minist res de l Education 2 10 12 seulement D p et Minist res de l Education 2 8 10 repr sentants TV Repr sentants TV seulement 2 4 5 34 Les points suivants ont t voqu s lors de cette rencontre n cessit de mettre en place localement des r seaux de contr le des lieux de stockage de donn es informatiques avec une diffusion distance et une gestion des informa tions n cessit d une r flexion sur les efforts fournir pour aider au d veloppement de logiciels la fois dans le do maine public et priv sur le r le de la technologie et des t l communications sur la d finition de normes de t l chargement n cessit de groupements d achat pour faire pression sur les fabricants de mat riels p dagogiques de haute qualit n cessit de la d finition du march des logiciels du catifs domaines communs d int r t politiques communes de d veloppement Le groupe de travail constitu lors de ce Congr s s est don n six mois pour fournir une recommandation de structure et de plan d action relativement toutes ces questions Durant cette
10. longueur valeur la possibilit de ne pas faire de v rification au fur et mesure mais apr s v rification anticipation autoris e la possibilit d une demande d information en cours d op ration Le C C E T T a aussi mis au point un syst me de t l charge ment par voie hertzienne en utilisant les fr quences des cha nes de t l vision lorsque celles ci n mettent pas Le micro ordinateur receveur doit tre quip d un d codeur sp cial appel DIDEM une disquette de 380 k o est copi e piste par piste en 7 8 minutes Quant l utilisation du r seau t l phonique les exp riences en cours sont tr s prometteuses La soci t TRIEL commercialise depuis tr s r cemment du mat riel et des logiciels pour le grand public et les profession 618 fonctionnant suivant le protocole du C C E T T Pour un co t modique entre 150 et 2000 francs hors taxe pour les micro ordinateurs et entre 10000 at 250000 francs hors ta xe pour les serveurs les utilisateurs de micro ordinateurs peuvent ainsi participer aux premi res exp riences de t l chargement en utilisant par exemple le nouveau service TVInfo du serveur TVO01 sur lequel est d ores et d j accessi ble une biblioth que d environ 150 logiciels du domaine pu blic 468 pages d information des messageries L Education Nationale participe avec ce m me produit une exp rience Rennes en utilisant les t tes des nano r seau
11. session TV Ontario a pr sent l tat de ses recherches et annonc son projet pilote de t l diffusion d un cours via le satellite ANIK C Par la m me occasion la Maryland Public TV a indiqu que d buterait sous peu une exp rimentation de t l diffusion de logiciels ducatifs vers cing sites De fait cette phase a bien d but sous la responsabilit conjointe du Maryland Department of Education et de la Maryland Instructional Television Crganization M I T V LS Les exp riences en cours L exp rience mentionn e pr c demment repose sur un produit labor par deux firmes canadiennes CEMCORP et MINDFLIGHT TECHNOLOGY Inc appel R B C S Remote Broadcast Communi cation System Son but est la cr ation d un r seau de t l diffusion ni veaux et usages multiples servant aussi de messagerie lec tronique devant plus ou moins long terme r unir tous les tablissements scolaires en r seau int gr Ce sont les micro ordinateurs ICON Burroughs qui sont dans un premier temps utilis s L exp rience a d but au Maryland avec quelques coles qui re urent l quipement informatique n cessaire Le Canal du catif 22 M I T V assure la diffusion des donn es qui pour ront tre num riques audiovisuelles ou graphiques La banque de donn es est d velopp e et g r e par le Department of Edu cation Elle doit contenir entre autres une biblioth que lectronique de logiciels
12. t l chargement bidirectionnel 40 CompuServe CompuServe est pr sentement le plus important distributeur lectronique d informations et de services aux Etats Unis avec plus de 240000 souscripteurs Lanc en 1969 CompuServe est aujourd hui accessible par t l phone local dans plus de 500 villes sur le continent et dans 42 pays par satellite et abocde plus de 800 domaines diff rents La compagnie d ailleurs rattach e maintenant H amp R Block s int resse principalement au monde des affaires n anmoins elle pr sente un int r t dans le cadre qui nous occupe ici en raison de l importance de son infrastructure et de son d veloppement du c t de l ducation Dans ce domaine CompuServe met la disposition de ses sous cripteurs des logiciels ducatifs en gestion des affaires mais aussi des logiciels d aide la gestion et m me des jeux Une messagerie est aussi disponible Toujours dans cet esprit CompuServe permet le t l chargement downloading de certains logiciels Cette pratique serble peu d velopp e et n appara t pas comme une constituante com merciale importante pour la compagnie Il y a l de mani re vidente une sous utilisation voire une m connaissance des possibilit s offertes par un tel r seau 41 EDUCOM Le r seau EDUCOM regroupe plus de 500 coll ges autour d ac tivit s t l matiques L objectif de ce r seau est de promouvoir le d veloppement de logiciel
13. une pr vision budg taire de 50 millions de francs pour l quipement t l matique des tablissements scolaires Les acquis Transpac Le r seau Transpac accessible par le r seau t l phonique commut dans toute la France repr sente aujourd hui un sup port efficace au t l chargement en raison der co ts faibles de communication Minitel Tous les tablissements solaires ont re u ou vont recevoir prochainement un terminal Minitel distribu gratuitement per le Minist re des Postes et T l communications Cet quipement de base outre ses possibilit s t l matiques appara t dans les exp riences pr sentes et les projets ve nir comme un maillon privil gi pour le t l chargement pui qu il peut jouer le r le d un modem gratuit connectable ais ment aux ordinateurs familiaux ou professionnels Danu sa version de base il pr sente cependant un inconv nient majeur au niveau de l interactivit puisqu il fonctionne A 1200 bauds en r ception et 75 bauds seulement en mission Dans sa version dite retournable il fonctionne dans les deux sens A 1200 bauds Les minitels utilisent le r seau SAT Service d Acc s T l tel qui revient dix fois moins cher que le r seau commut et qui s av re beaucoup plus fiable L encore pour que l interacti vit soit g ographiquement totale il faudra attendre que les noeuds du r seau soient en mesure d tablir des communications la m me vit
14. videmment des pistes encore vierges pour un enseignement A distance Du c t des probl mes pos s par ce type de m dium il faut tout d abord mentionner que le diffuseur ne peut tre qu une entre prise de grande taille en raison du co t des infrastructures mi nimales de diffusion minist res de l ducation soci t s d di tion ou de distribution On peut n anmoins penser des services de location de temps d antenne de petites soci t s ou associations qui pourraient ainsi profiter du support logistique sans avoir envisager des co ts la limite de l inaccessible Du c t de l utilisateur celui ci perd par rapport la solu tion pr c dente au niveau de l interactivit et de la libert d acc s missions et logiciels diffus s heure et date fixes 11 lui faut aussi se procurer un d codeur avec ventuellement une bo te noire cod e charg e de filtrer l acc s aux logiciels et ou de permettre un comptage pour une redevance royalties La solution exp riment e pr sentement dans l tat du Maryland aux Etats Unis r ussit cependant A combiner ce m dium et le pr c dent pour r tablir une certaine interactivit voir plus loin 1 3 Lu c ble L encore l infrastructure de base limite cette distribution la fois g cgraphiquement et financi rement L occupation du c ble ne peut tre rentabilis e que par des soci t s de diffu sion d j importantes Pour le recev
15. ED 86 4S 11 Paris novembre 1986 Original fran ais LE TEZECHARGEMENT DE LOGICIELS POUR L EDUCATION 03 par Mts op Bernard DUMONT Directeur du Module Sciences et Technologie Directeur des Programmes en Jnformatique T l universit Universit du Qu bec 21 avenue 3aint Sacrement Qu bec Qc GIN LH6 Juin 1986 Etude pr par e sous contrat avec l Unesco LE TELECHARGEMENT DE LOGICIELS POUR L EDUCATION DOSSIER REALISE POUR L U N E S C 0 RERNARD DUMONT Directeur du Module Sciences et technologie Directeur des Programmes en Informatique T l universit Juin 1986 Universit du Qu bec 214 avenue Saint Sacrement Qu bec Qc GIN 4M6 Je tiens remercier tr s vivement au Canada aux Etats Unis Monsieur Yves BEGIN I N R S Education Monsieur Jack BRAHAN C N R C Monsieur Pierre Paul DION Burroughs Canada Madame Louise DUBUC Minist re de l Education du Qu bec Messieurs SHORE et FOSTER Mindflight Technology Inc Monsieur Lome H SMITH Minist re de l Education de l Ontario Monsieur Michel UMBRIACO T l universit Monsieur Sieven W GILBERT EDUCOM Monsieur Renato GRAZZIANO CompuServe en Grande Bretagne en France sans oublier et mes coll gues de l Open University et en particulier Monsieur Tony KAYE Monsieur Alain AUVRAY Minist re de l Education Nationale Monsteur Alain DERYCKE Universit de Lille Messieurs JOLIVET et SAVARY C C E T T Monsieur CHAZEL
16. S MEDIA UTILISABLES POUR LE TELECHARGEMENT PROPRIETES T l pnono Television Cable Redio Interactivit Protection contre piratage Fiabilit Transmission Mat riel compl men taire Abonnement Communication T l phone T l vision C ble Radio L gende Propri t Nule A Excellente Co t CL 555353 Nul gt Tr s 31 6 wg EE T L CHARGEMENT PAR R SEAU T L PHONIQUE SERVEUR CENTRAL OU LOCAL o S S D BANQUE 1 BANQUE D INFORMATIONS DE SUR LOGICIELS LES LOGICIELS d MODEM 2 S T L CHARGEMENT PAR R SEAU HERTZIEN LOGICIELS METTEUR J4 L EQUIPEMENT INFORMATIQUE L information pour tre re ue ou diffus e par voie t l phoni que ou par celles des ondes doit tre modul e ou d modul e on doit donc adjoindre l ordinateur qu il soit serveur ou re ceveur une befte noire appel e modem dans le cas des liaisons t l phoniques Cette bo te peut aussi jouer le r le de filtre ne laissant en trer dans l ordinateur receveur que les fichiers dont le code r pond certains crit res ou celui de compteur gardant en m moire certaines caract ristiques es informations re ues pour un paiement ult rieur ou une diminution d une avance sur con sommation Il faut cependant fournir l or inateur un logiciel capable de traite
17. Son avantage principal r side dans la possible interactivit entre le serveur et le receveur En particulier on peut ainsi permettre l utilisateur une consultation pr liminaire de la banque d informations avant le t l chargement propremcnt dit puis un dialogue au moment des choix op rer Les probl mes principaux restent bien entendu les co ts ven tuels de communication probl me d acc s au niveau du serveur et au niveau du r seau de communication et la n cessit de disposer d un modem L existence de r seaux d di s la circulation d informations num ris es plus fiables et moins co teux que les r seaux commut s la distance n entrant plus en ligne de compte assure ce support une premi re place logique Un autre avantage m rite d tre signal le r le serveur peut tre tenu par n importe quel ordinateur m me de type ordina teur personnel ce support est donc parfaitement adapt des changes d informations et de logiciels entre utilisateurs et la cr ation de petits serveurs A vocation locale ou tr s ci bl e 10 La t l vision Plusieurs avantages sont ici retenir en premier lieu la possibilit de couvrir instantan ment une quantit illimit e de receveurs en second lieu de coupler un m dium d information un m dium de diffusion le t l chargement peut donc tre pr c d de 138 diffusion d missions audiovisuelles compl mentaires On peut voir l
18. de logiciels ducatifs de leurs centres in formatiques vers les tablissements scolaires Il est envisag de relier ce r seau des r seaux fran ais et australiens 20 gt Micronet 800 A part le C E T cette division de East Midlands Allied Press est l un des plus grands utilisateurs de Prestel avec pr s du tiers des souscripteurs Bien que la majorit des programmes existants soit plut t des jeux le secteur de l ducation progresse Des aspects financiers Ceefax Pr sentement la vente de l adaptateur pour l Acorn B B C suffit pour couvrir les frais de l op ration avec l aide de fonds de recherche provenant de la B B C et de sources exter nes Le probl me du cadage de protection est l tude et devrait assurer une nouvelle source de revenus Prestel Le syst me assure lui m me le probl me pour Micronet en par ticulier gr ce des frais d acc s frais de base frais ho raires et d achat de mat riel modems Ceci permet sans difficult de payer les droits d auteur des logiciels t l charg s 2 LA FRANCE Troispoints forts pour comprendre la situation du t l charge ment de logiciels ducatifs dans l Hexagone la centralisation dans le domaine de l ducation et dans ce lui des t l communications le d veloppement de l informatique l cole avec en parti culier le plan informatique pour tous la diffusion massive et gratu te des Mini
19. entralis e au soin du Centre National de Documentation P da gogique avec t l chargement par voie hertzienne version co nomique ou bien vers une pr s ance des acad mies avec distri bution locale par t l chargement via l r seau t l phonique version favorable au Minist re des T l communications On peut n anmoins penser qu une solution mixte pourrait tre adopt e prochainement desservir les serveurs r gionaux par voie hertzienne puis laisser ceux ci g rer leurs ressources en logiciels de fa on locale La structure et les besoins sont pr sents La d cision ne sau rait tarder 42 L AMERIQUE du NORD Les d veloppements dans le domaine du t l chargement commen cent peine se concr tiser en particulier depuis la d ci sion prise par un certain nombre de provinces canadiennes et d tats am ricains de collaborer pour aboutir des solutions communes 33 Vers l tablissement de normes de t l chargement en Am rique du Nord l automne 1985 se sont r unis des repr sentants de vingt deux tats am ricains et de six provinces canadiennes Chi cago l occasion d un Software Communications Network Conference Etaient repr sent s pour le Canada l Alberta la Colombie Britannique la Nouvelle Ecosse l Ontario le Qu bec et le Saskatchewan et pour les Etats Unis la Caroline du Sud le Colorado le Connecticut le Dakota du Sud le District de Colombia l Illinois
20. es sp cialis es grandes surfaces vente par correspondance La marchandise reste un objet physique disquette guide d ac compagnement listings sur papier comptabilisable entre posable contr lable L diteur est responsable de la protec tion des logiciels contre le piratage et assure aux ventuels auteurs une r mun ration au m me titre qu un crivain ou un com dien Il est clair que la nature de ces produits n est pas prise en compte dans une telle optique contrairement au t l cl irgement qui utilise une propri t fondamentale de toute donn e informa tique la possibilit du transfert quasi instantan d une in formation lectro magn tique d un support un autre par les voies actuelles de t l communication ligne t l phonique c ble ondes AVANTAGES et INCONVENIENTS Diffusion classique Diffusion par t l chargement nombre de logiciels disponibles limit par la place dispo limit uniquement par la nible en stock le co t du place m moire disponible stockage le nombre de ver sur le ou les serveurs sions par type d appareils possibilit d utiliser un place importante pour la r seau de serveurs sans documentation r p tition de copies chaque centre de diffusion pas de duplication a son propre stock multiplication g ographique pas de d lai de diffusion des diffuseurs et des cen tres de stockage acc s imm diat ou presque tous les produits exis
21. esse dans les deux sens ce qui n est pas encore le cas 26 Les r alisations et les projets Le SUNIST Le Serveur universitaire national pour l information scienti fique et technique qui rel ve du Minist re de l Education Na tionale a mis au point un syst me de t l chargement de type downloading et projette l instalation de l uploading Dans ce syst me le Minitel est utilis dans un premier temps comme instrument de connexion avec le serveur puis de recher che dans la banque de logiciels Ce choix tant fait le ser veur commande au micro ordinateur reli au Minitel par un boitier sp cial d assurer la suite des op rations Le Minitel ne sert plus alors que de modem et c est le serveur qui g re gr ce un logiciel implant sur le micro ordinateur le trans fert des donn es Le C N U S C Le Centre National Universitaire Sud de Calcul a pr par un projet de t l chargement de logiciels fond sur son exp rien ce en mati re de micro informatique connect e de par son r le de Serveur Informatique National Le Protocole PEGASE Protocole d change en gestion asynchro ne s curis r alis au C N U S C est une premi re tape de cr projet dont la finalisation n est pas encore d cid e Le C N U S C en revanche a t charg la demande du Mi nist re de l Education Nationale d tudier la possibilit de r aliser un serveur de didacticiels dont les principales fonc tions seraient
22. eur la situation appara t mi chemin des deux pr c dents media obligation d avoir un quipement sp cial d codeur d rodulateur co t d abonnement au c ble plus ven tuellement co t de t l chargement par logiciel charg avec ei le syst me le permet une interactivit plus ou moins grande et ou couplage avec des missions audiovisuelles Or peut aussi imaginer comme pr c demment des services de lo cation de temps pour de petits serveurs Les am liorations possibles porteraient principalement sur 1 interactivit si l on veut viter le recours comme pour la t l vision une solution mixte c ble t l phone La radio C est de loin le moyen le plus conomique bien que le moins utilis la fois pour le distributeur et le receveur Celui ci doit poss der uniquement un lecteur enregistreur de type ordinaire mais compatible avec son ordinateur En revan che l interactivit et la libert d acc s sont nulles La qualit de la transmission et celle des enregistrements posent des probl mes en g n ral r solus par des rediffusions successives sauf dans le cas de fichiers de textes Puisque a priori rien ne vient prot ger la copie de tels lo giciels il ne peut s agir que de produits du domaine public moins que les programmes diffus s pour tre utilisables ne requi rent un logiciel particulier de gestion que l utili sateur doit acheter TABLEAU COMPARATIF DES DIVER
23. formatique Universit de Clermont Vers une politique nationale pour une industrie de l enseigne ment assist par ordinateur C N R C Comit associ de technologie p dagogique Ottawa mai 1984
24. iels ducatifs Enfin le Chip Shop diffuse des logiciels gratuitement sur B B C Radio 1 en Basicode qui est adapt pour plusieurs micro ordinateurs 2 LB A La vente par la B B C d un micro ordinateur adap t au t l chargement via Cerfax a provoqu le d clin d Oracle service de 1 B A qui ne voyait plus un quelconque profit retirer du t l chargement devenu service public En revanche Radiowest radio locale Brighton filiale de 1 B A assure avec DATARAMA un service de radiodiffusion de logiciels conjointement avec des radios commerciales Ce sont 19 les auditeurs qui proposent eux m mes des logiciels sans frais ni copyright La station s assure simplement de l originalit des programmes Compunet l heure actuelle les utilisateurs anglais de Commodore 64 peuvent se joindre au r seau tabli par Commodore Business Machines par l interm diaire d une dizaine de num ros de t l phone British Telecom Sous licence am ricaine de Diacom Inc British Telecom offre un courrier lectronique appel Telecom Gold l int rieur de ce service le T T N S Times Network for Schools est desti n au monde de l ducation principalement pour permettre un transfert d informations entre les tablissements scolaires et pour permettre aux enfants de se familiariser avec les nouvelles technologies Ce r seau est aussi utilis par les Local Education Authorities pour la diffusion
25. ique en classe une circulation non pyramidale des informations gr ce aux tech nologies t l matiques et en particulier gr ce au t l charge ment multi directionnel viteront sans doute que l chec de l audiovisuel oe reproduise et que l informatique des ann es 90 soit toute enti re hors de l cole 44 Quelques documents Academic software Vision and perspective Steven W GILBERT EDUCOM PO Box 364 Princeton NJ 08540 march 1985 Computer mediated communication systems for distance education Tony KAYE Institute for Educational Technology Open University Milton Keynes MK7 6AA november 1985 Individualized learning using microcomputer CAI John R HINTON Dean Instructional Services march amp 1980 Cabrillo College 6500 Soquel Dr Aptos CA 95003 L exp rience de la B B C en micro informatique Bernard DUMONT U E R de Didactique des Disciplines Universit Paris 7 1983 Le programme r gional d initiation l informatique P R I I bilan et perspectives Conseil R gional de la R gion Nord Pas de Calais 1985 Software licensing issues et questions for discussion Steven W GILBERT EDUCOM PO Box 364 Princeton NJ 08540 nov 1985 T l chargement de logiciels au CNUSC par M BALTO A BLANCHARD Y BORDANNIER G GOBBO G URBACH CNUSC Montpellier 1985 Centre National Universitaire 950 rue de St Priest BP 7229 F34083 Montpellier Cedex et J J MERCIER M C VIOLATTE laboratoire d in
26. r l information re ue de la contr ler de la stocker le cas ch ant mais aussi capable de g rer les op rations de t l chargement en particulier l interrogation d une banque de donn es le choix d un ou de plusieurs fichiers l interactivit avec l autre ordinateur lui donner des ordres et en recevoir le contr le de la qualit du produit re u le rep rage des caract ristiques du receveur la gestion de la m moire de l ordinateur receveur avec processus de sauvegarde par exemple 15 Ce logiciel ne peut fonctionner qu partir d une norme commu ne au serveur et au receveur d finissant un protocole de trans fert et de contr le de fichier LES NORMES DE TELECHARGEMENT La d finition d une telle norme comprend n cessairement les r gles d change des fichiers le proc d de d coupage en tron ons des informations les moyens de contr ie de l identit message mis message re u les possibilit s de codage des fichiers Cependant d autres l ments peuvent y tre apport s offrant l usager plus de souplesse dans le processus de t l chargement rep rage des caract ristiques des fichiers structuration de la base des donn es t l chargeables possibilit de modifier des param tres dans cette base En dehors de celles d finies en vue d applications pr cises sur des mat riels organis s au pr alable en r seaux trois normes retiennent actuellement l at
27. s ducatifs au niveau coll gial et au niveau uni versitaire ainsi que leur diffusion leur tude et toute recherche visant am liorer l utilisation des outils infor matiques dans l ducation sup rieure Le travail r alis par EDUCOM pourrait permettre de trouver plus rapidement des solutions aux probl mes pos s par la cr ation la diffusion et 1 exp rimentation de diff rents logi ciels ducatifs entre divers tablissements d enseignement sup rieur Par la m me occasion des op rations de t l char gement pourraient plus ais ment voir le jour gt 42 La T l universit Par vocation m me la T l Universit constituante de 1 Universit du Qu bec est une institution d enseignement distance Dans le cadre de son Certificat en Informatique appliqu e l ducation elle offre aux enseignants la grandeur de la Province une formation sur les diverses utilisations de l ordinateur dans l enseignement Elle envisage partir de l hiver 1987 de donner ses tudiants un acc s une banque de logiciels du domaine pu blic ou cr s par la T l Universit avec la possibilit d une messagerie lectronique communautaire Il sera alors possible tout tudiant muni d un micro ord nateur de type I B M PC d un modem et d un logiciel de com munication de t l charger des logiciels du serveur vers son ordinateur ou dans l autre sens d offrir l analyse de ses coll gues
28. tants accessibilit limit e risque de d lais de livrai son multiplication des copies d un m me produit remise A jour lente et couteuse presque instantan perte des produits peut tre faite ventuellement p rim s par les auteurs eux m mes acc s imm diat aux nouvelles versions ou aux versions corrig es aide A la s lection classique vendeurs une banque d informations revues sp cialis es peut tre disponible paral l lement la banque de d placement obligatoire logiciels proprement dite dans les lieux de vente pour exp rimenter les possibilit d exp rimenter produits sans conservation domicile protection physique ou informatique contre une reproduction ill gale n est pas sure 8 100 documentation diffus e n cessairement enti rement et chaque fois avec les logiciels adaptation correction mise jour comme pour toute documentation crite piratage possibilit de filtrer les demandes possibilit d introduire dans les programmes des proc dures emp chant la copie sur disque ou entra nant la destruction des logiciels apr s un nombre donn d utilisations n est pas sure 100 trait e comme un ou des fichiers du logiciel accessible totalement ou partiellement pour lecture ou t l chargement facilement remise jour corrig e adapt e inconv nient au niveau du co t et du temps de trans
29. tels a 92e Etat de la situation dans le monde de l ducation Le Plan informatique pour tous s tant fix pour cbjectif principal l initiation de tous les l ves soit plus de 12 millions d l ves et d tudiants l outil informatique sei attaque au probl me de l acc s aux technologies nouvelles sur diff rents plans l quipement des tablissements scolaires en mat riel informatique la formation des ma tres la cr a tion et la diffusion de logiciels Le mat riel informatique Le Plan informatique pour tous vise tous les types d tablis sements du primaire au sup rieur l heure actuelle la situation des quipements fournis par l Etat est la suivante Ecoles primaires 33000 quipements de base un micro ordinateur de type familial un t l viseur couleur une imprimante un lecteur de cassettes 9040 ateliers 6 micro ordinateurs de type familial reli s un micro ordinateur de type PC un t l viseur et 5 moniteurs une imprimante un modem ensemble appel nano r seau Coll ges 2733 ateliers du type ci dessus 4 premi res ann es du secondaire Lyc es 3 ann es suivantes Universit s La formation des ma tres 500 ateliers renforc s 8 micro ordinateurs de type familial reliables en r seau un ordinateur de type PC un t l viseur et 7 moniteurs une imprimante un modem 4 micro ordinateurs de type PC avec 4 moniteurs et une imprimante
30. tention par ordre chrono logique X MODEM KERMIT et pour la France le protocole qui devrait tr s prochainement remplacer les normes X25 et X32 et qui a t mis au point par le C C E T T On en trouvera plus loin une pr sentation 16 QUELQUES EXEMPLES DE REALISATION ET DE PROJETS LA GRANDE BRETAGNE L importance du d veloppement du t l chargement de logiciels ducatifs en Grande Bretagne repose essentiellement d une part sur le succ s du Microelectronics Education Programme dans le quel le Computer Literacy Project de la B B C est un l ment fondamental et d autre part sur la vivacit de l Open Univer sity A l heure actuelle les 5500 coles secondaires et les 400 cen tres de formation d enseignants sont quip s de micro ordina teurs Cette situation justifie les efforts faits en vue de la diffusion de logiciels ducatifs ss 17 Des organismes de cr ation The Council for Educational Tecinology C E T Cette organisation subventionn e par le gouvernement a pour mission de promouvoir le d veloppement de la technologie et de ses applications dans tout ce qui touche l ducation et 18 formation Le C E T est l origine des normes tablies pour le t l char gement via Prestel Il a t charg depuis 1981 du Microelectronics Education Programme Ce projet qui s tend sur 5 ans vise la fois la formation des enseignants et la production de mat riels desti n s aux
31. tilisations directement p dagogiques le r seau servira aussi au transfert de documents administratifs entre les coles et les services centraux du Minist re de l Educa tion i JAN EERfF Eme E A DT NS N B CAM AVAV AVAY AY AY Q COMMUNICATION PATHS Document de Mindflight Technology Inc ICONET lt sa a 6 0 5 6 A H Al DI ENN 4 trans mittar loue CENTRAL SITE network SCHOOL SITE parallel snd or 9600 baud As222 mdm broadcast fileservar Ffilasarver ICONET HARDWARE CONFIGURATION Document de Mindflight Technology Inc 39 Le syst me Cosy Le Syst me Cosy Conferencing System a t d velopp par 1 Universit de Guelph en Ontario au d but de 1983 en vue de faciliter la communication entre les diff rents secteurs de ce campus Depuis il a t tendu au del m me du Canada avec plus de 400 utilisateurs hors campus r pandus dans 28 pays Le D partement de T l matique de TV Ontario a mis sur pied un projet visent faire utiliser Cosy par les responsables de 1 informatique des coles ontariennes Il s agit de tester la possibilit de cr er un r seau permettant un change d infor mations portant sur l utilisation de l ordinateur en classe et un change de programmes par
32. x des lyc es comme receveurs pour partir du Rectorat t l charger les nouvelles versions des logiciels de la valise 29 Dans l autre sens lyc e vers Rectorat le t l chargement est utilis pour le transfert des fichiers comptables et ceux des l ves L exp rience devrait tre tendue aux acad mies d Amiens Gre noble Strasbourg et Poitiers La Soci t DIDAO qui s est entre autres sp cialis e dans la cr ation de logiciels ducatifs sur le r seau TELETEL envisa ge d utiliser des fins commerciales le t l chargement avec le protocole du C C E T T C est le m me qui sous l appeliation ETBAC 4 semble avoir le plus de chance d tre retenu par les r seaux bancaires Leur poids ajout ceux de la D G T et l Education Nationale as surerait au protocole du C C E T T en particulier et au t l chargement en g n ral la possibilit de passer du stade de 1 exp rience celui de l utilisation courante De plus son ac c s simple et grand public permettra de g n raliser son usage et de permettre entre autres les transferts de logiciels du catifs entre tablissements scolaires entre enseignants et pourquoi pas entre l ves 40 Une exp rience r gionale On peut mentionner ici l exp rience originale men e par la R gion Nord Pas de Calais exp rience collective multi par tite et d centralis e Depuis la fin de 1984 en effet oeuvrent conjointement 1
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