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Rapport d`activité 2006 - Ministère de l`Agriculture, de la Viticulture

1. 1993 1994 3 033 554 kg 1994 1995 1 854 775 kg 1995 1996 2 308 589 kg 1996 1997 1 538 450 kg 1997 1998 2 000 140 kg 1998 1999 931 951 kg 1999 2000 2 862 403 kg 2000 2001 0 84 cas 8 515 854 kg 2001 2002 346 848 kg 53 cas 5 785 830 kg 2002 2003 349 765 kg 39 cas 3 958 078 kg 2003 2004 0 45 cas 4 870 553 kg 2004 2005 0 39 cas 4 358 529 kg 2005 2006 0 45 cas 5 666 959 kg 2006 2007 0 40 cas 5 028 887 kg Total 17 301 296 kg 346 cas 38 535 638 kg 55 836 934 kg a dont 13 cas 1 080 969 kg qui ont fait appel aux dispositions transitoires de l article 26 paragraphe 2 deuxi me alin a du r glement grand ducal modifi du 14 mars 1996 7 Le r gime d aide au lait scolaire La r glementation communautaire pr voit une aide la cession de lait et de certains produits laitiers aux l ves des tablissements scolaires A partir du 1er janvier 2001 le financement communautaire pour le lait scolaire a t ramen de 95 du prix indicatif du lait valable l poque 75 de ce prix avec la facult pour les Etats membres d accorder en compl ment de l aide communautaire une aide nationale pour cofinancer la distribution de lait et de produits laitiers aux l ves fr quentant un tablissement scolaire IV 15 Au Luxembourg il est fait application de cette disposition L aide nationale accord e s l ve 9 56 100 litres de lait entier Au cours de l ann e scolaire 2005 2006 60 tabliss
2. 6 299 En r sum 396 demandes d analyses 1062 chantillons analys es 5822 analyses r alis es 4 Les examens bact riologiques des carcasses suspectes dites d abattage d urgence Ces examens concernent des carcasses de bovins Nombre de demandes Nombre d organes Abattages d urgence u Carcasses anormales apr s inspection post mortem capm Saisies totales Saisies partielles 50 14 carcasses n ont pas fait l objet de saisies et partant d clar es aptes la consommation Param tres analys s pour chaque chantillon Salmonella Substances inhibitrices Coliformes Cocciformes Clostridia sulfito r ducteurs Positif 266 dont 60 muscles 352 dont 149 muscles 126 dont 53 muscles culture N gatif pas de culture Non analys 98 12 240 lecture du r sultat semi quantitative il n existe pas de crit res officiels pour les seuils d acceptabilit L examen bact riologique ne constitue qu un l ment la prise de d cision par le v t rinaire inspecteur des viandes En r sum 1615 analyses sur 372 organes analys s 5 La recherche de r sidus a Le recherche de substances inhibitrices groupe B1 par la m thode des 4 plaques 16 demandes ont t analys es 12 demandes de routine et 4 pour suspicion 34 muscles et 26 reins ont t analys s d o
3. p 1 2 Classes de grandeur A Nombre Tr Superficie 1 ha 1 3ha 3 ha S d exploit cultiv e ha 1 2 1 2 1 2 Schengen 20 454 99 59 5 2 68 2 3 20 13 93 71 Remerschen 41 728 131 95 17 5 31 8 15 69 16 110 96 Wintringen 13 224 40 83 7 1 67 1 1 94 5 37 22 Schwebsingen 26 350 66 87 11 4 26 6 8 56 9 54 05 Bech Kleinmacher 33 478 110 10 13 4 73 4 8 82 16 96 55 Wellenstein 27 246 60 77 14 7 16 5 9 65 8 43 96 Remich 34 301 84 23 20 8 54 5 8 70 9 66 99 Stadtbredimus 24 409 76 86 9 2 99 7 13 60 8 60 27 Greiweldingen 21 171 37 93 15 5 84 6 32 10 Ehnen 22 254 54 20 10 3 22 6 11 44 6 39 54 Ober Wormeldingen 14 107 26 24 8 3 98 3 5 45 3 16 81 Wormeldingen 36 284 59 05 23 6 81 5 9 76 8 42 48 Ahn 16 253 92 12 2 0 51 1 2 39 13 89 22 Machtum 25 227 78 88 12 3 06 3 5 81 10 70 01 Grevenmacher 22 341 106 45 9 2 07 4 5 98 9 98 41 Mertert 4 80 41 48 4 41 48 Wasserbillig 4 5 0 69 4 0 69 Rosport 2 8 1 92 1 0 41 1 1 50 Niederdonven 15 144 51 58 10 4 14 5 47 44 Oberdonven 3 21 7 94 2 1 32 1 6 61 Gostingen 7 34 6 95 4 1 80 3 5 16 Lenningen 10 17 5 02 9 3 47 1 1 55 Bous 11 86 14 83 9 4 97 2 9 85 Erpeldingen 4 51 9 58 2 0 64 1 2 52 1 6 42 Rolling 2 43 7 69 1 2 22 1 5 47 Elvingen 1 3 0 22 1 0 22 Ellingen 5 80 19 06 1 0 23 2 3 85 2 14 98 Mondorf 3 33 6 18 2 0 26 1 5 92 7 Total 445 5 432 1 299 21 220 80 98 69 127 79 156 1 090 45 XII 9 L Le labora
4. Tableau 18 Situation au 1 avril 2006 Producteurs Producteurs Producteurs Producteurs Producteurs Producteurs Cat gorie g s de moins g s de plus g s de plus g s de plus g s de plus g s de plus d ge de 25 ans de 25 anset de 35 anset de 45 ans et de 55 ans et de 65 ans de moins de de moins de de moins de de moins de 35 ans 45 ans 55 ans 65 ans Quota global d tenu par 20 852 845 60 987 243 96 944 852 74 785 784 15 197 717 369 271 cat gorie d ge kg Part du quota national 7 748 22 660 36 021 27 787 5 647 0 137 Nombre de producteurs 59 179 309 291 80 5 par cat gorie d ge Pourcentage 6 392 19 393 33 478 31 528 8 667 0 542 Quota moyen par cat gorie 353 438 340 711 313 737 256 996 189 971 73 854 d ge kg 4 L allocation de quantit s de r f rence suppl mentaires Le tableau 19 reprend les allocations de quantit s de r f rences effectu es depuis l instauration du r gime des quotas laitiers Tableau 19 Cat gorie Nombre Quantit de r f rence de cas suppl mentaire allou e kg Cas de rigueur 121 1 369 109 Anciens cas de rigueur 42 164 788 Plans de d veloppement 248 14 612 272 Plans d am lioration mat rielle 388 16 744 187 Jeunes producteurs 963 22 878 941 Petits producteurs 198 1 234 322 Pool national 390 11 848 136 Cas 1983 341 2 327 175 Majoration 0 5 917 1 339 062 Total 72 517 99
5. celle de la pr paration de l valuation d finition des missions des clients et du but par rapport aux missions nomination d un chef de projet et d un groupe d valuateurs repr sentant la plupart des t ches formation relative au mod le CAF et au processus d valuation celle de l valuation individuelle de l ensemble des crit res tenue des r unions de consensus au cours desquelles l ensemble des aspects faisant tourner une administration est analys celle de l tablissement d un bilan d finition des points forts et des domaines d am lioration L valuation permettra de d finir un plan d action d taill qui fixe les d tails sur les diff rentes actions responsable d but fin objectifs d roulement Par ailleurs au cours de l ann e 2006 les discussions sur les conditions de collaboration entre le service e Luxembourg et le SER ont pu tre entam es en mati re d assistance technologique en vue de la mise en place du Fl chenantrag lectronique Enfin suite l adoption des mesures nationales n cessaires la mise en uvre de la r forme de la PAC la communication aux agriculteurs de leurs montants de r f rence au traitement des demandes d adaptation des montants de r f rence en 2005 l ann e 2006 a t marqu e en mati re de mise en uvre de ladite r forme par l allocation des droits au paiement voir d tails au chapitre IV Les points A C du
6. valuation des r sultats R sultats ELISA PCR En ELISA PCR 6 0 461538462 ELISA PCR 0 538461538 Sous total EE Ar ELISA PCR vides 5 Total ELISA osjo ooo La peste porcine classique ou PPC Apr s l pid mie de ppc qui durait de 2001 jusqu 2003 et qui tait accompagn e d une vaccination des sangliers par une souche virale vivante att nu e souche chinoise le march des porcs s est entretemps normalis mais la mani re de distinguer les sangliers vaccin s de ceux qui seraient infect s reste d actualit et un sujet assez d licat Le LMVE en a discut avec le C E R V A et il y a eu l accord suivant Le LMVE ex cute des ELISAs Ac sur les porcs domestiques et sur les sangliers en screening Tous les porcs et les sangliers non s ron gatifs sont confirm s au C E R V A par s roneutralisation SN X 26 Les sangliers positifs en SN sont analys s en PCR et en culture Les sangs des sangliers abattus dans des lots de chasse suspect s d avoir encore des foyers de ppc sont envoy s directement au C E R V A pour analyse PCR et SN Cette convention sera valable en 2007 R sultats du LMVE _Pathog ne Test chantilon Esp ce Tota PPc ELiSA Ac Sang porans 216 of 3f 21 PPc ELiSA Ac Sang sangliers 1440 9 128 1577 ELISA Ag porcins PPc eusaag sangiiers o of of ol PPC LIF Organes porns 2 of of 2 eee Je
7. Au titre de l ann e 2006 demandes introduites jusqu au 31 janvier 2006 11 producteurs ont introduit une telle demande Parmi ces producteurs 3 producteurs ont b n fici d une allocation totale de 9 090 euros Le paiement de la prime pour l ann e 2006 Par d rogation la r gle g n rale pr vue par les dispositions communautaires voir point 3 la Commission a d cid d accorder aux Etats membres la possibilit de proc der pour l ann e 2006 au versement d une avance partir du 16 octobre 2006 Cette avance est toutefois limit e 50 du montant de prime Ainsi au courant du mois d octobre 2006 1 896 producteurs ont b n fici d une avance d un montant total de 17 284 579 02 euros Le solde sera vers au courant du premier semestre 2007 IV 7 B Les r gimes d aides coupl es du 1 pilier de la PAC applicables au Grand Duch de Luxembourg 1 La prime aux prot agineux Le r gime de prime aux prot agineux a t introduit dans le cadre de la r forme de la PAC d cid e en juin 2003 Il est applicable depuis l ann e 2004 et constitue une aide la surface vers e pour les superficies emblav es en prot agineux et situ es sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg Le taux de l aide s l ve 55 57 euros par hectare Au titre de l ann e 2006 125 producteurs ont d clar pour la dite prime une surface totale de 357 76 hectares Au titre de l ann e 2005 110 producteurs
8. Cet apr s midi a connu un grand succ s environ 250 personnes taient pr sentes et un tr s bon accueil aupr s de la presse agricole A l occasion de cette manifestation la division comptabilit a dit en collaboration avec le Service du D veloppement Rural une brochure en quadrichromie exposant les diff rentes mesures de soutien pr vues dans le cadre des axes 3 et 4 du nouveau Plan de D veloppement Rural luxembourgeois de 2007 2013 La formation des chefs d exploitations agricoles reste un souci permanent du SER qui entretient des contacts r guliers avec les organisations des jeunes agriculteurs d une part et les institutions de recherche et de formation d autre part La coop ration avec le Lyc e Technique Agricole dans le cadre des cours de formation continue pr vus par la loi agraire du 24 juillet 2001 s inscrit dans cette d marche Le conseil de gestion constitue un domaine essentiel de la division comptabilit tant par son importance et son utilit pour les chefs d exploitation b n ficiaires que par le volume de travail qui en d coule En effet c t des nombreuses demandes de renseignements ponctuelles la division fournit des conseils de gestion portant notamment sur l analyse conomique de projets individuels d investissement pr vue dans le cadre de la loi agraire Il 4 l association d exploitations fusion la reprise de l exploitation familiale par un jeune
9. Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre de bovins d exploit de bovins d exploit de bovins d exploit de bovins d exploit de bovins d exploit de bovins d exploit de bovins par d tent 4114 19103 2447 18 516 17 2071 147 973 16 3 2270 11254 2 644 44 780 66 8 557 172 965 24 4 1127 5 521 1 961 83 685 187 23 433 191 675 35 6 842 4118 1 443 92 583 399 50 617 205 601 43 7 498 2431 883 82 596 675 93 030 213 330 59 2 342 1747 677 70 552 867 123 138 223 108 70 3 229 1 199 480 59 175 919 137 867 217 451 82 6 160 775 44 568 951 156 171 213 887 99 8 118 588 255 37 988 920 159 242 207 862 110 3 109 501 255 36 443 900 158 254 205072 112 1 100 457 237 32 839 909 162 738 205 193 116 6 103 466 32 487 867 155 842 197 257 116 7 87 435 209 31 325 841 149 782 189 674 117 2 87 425 30 642 746 119 817 186 725 117 8 79 391 213 30 041 801 146 344 185 235 118 4 76 387 202 27 586 802 147 783 183 640 120 8 Tableau 8 Les exploitations suivant le nombre de vaches lait qu elles d tiennent Source STATEC 1 4 vaches 5 9 vaches 10 19 vaches 20 49 vaches 50 vaches et plus Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre d exploit Ide vaches d exploit de vaches d exploit de vaches d exploit de vaches d exploit de vaches d exploit de vaches
10. compter de 2007 pour la Gr ce et le Portugal et les ann es suivantes pour Chypre au moyen d un transfert budg taire similaire L enveloppe financi re pr vue par la proposition se base sur la p riode de r f rence 2000 2002 Le montant total de l enveloppe atteint 280 millions d euros pour les principaux Etats membres producteurs Espagne France Portugal et Gr ce Un budget additionnel de 3 4 millions d euros est allou Chypre o les producteurs de bananes sont actuellement soutenus au titre du r gime de paiement unique la surface Ce r glement est plus coh rent avec la r forme de la PAC ainsi qu avec les r gles de l OMC et plus souple par exemple dans la promotion de m thodes de culture respectueuses de l environnement Il offre en outre la possibilit pour les Etats membres d un financement suppl mentaire et rend les d penses publiques plus pr visibles et stables 11 L tiquetage des produits biologiques et les r gles transitoires pour l importation Lors de la session du Conseil Agriculture et P che du 20 d cembre 2006 la Pr sidence a constat que le Conseil tait en mesure de soutenir l orientation g n rale relative au projet de r glement Ce dossier sera d finitivement adopt lorsque le Parlement europ en aura rendu son avis ce qui est pr vu pour fin mars 2007 En outre le Conseil a adopt un r glement introduisant des r gles transitoires pour l importation dans l attente de la
11. l quivalence et la r ciprocit concernant les produits en provenance de pays tiers sont supprim es afin de permettre toutes les d nominations correspondant des aires g ographiques situ es dans des pays tiers de b n ficier du r gime communautaire de protection des indications g ographiques Dans le m me esprit la proposition autorise les pays tiers ainsi que les Etats membres et les op rateurs s opposer directement un enregistrement envisag par des groupements de producteurs 11 12 4 Les mesures exceptionnelles de soutien du march dans le secteur avicole Le Conseil a adopt le 25 avril 2006 l unanimit un r glement modifiant les r glements CEE n 2771 75 organisation commune de march dans le secteur des oeufs et n 2777 75 organisation commune de march dans le secteur de la viande de volaille en ce qui concerne l application de mesures exceptionnelles de soutien du march Le r glement tend le champ d application de l article 14 des r glements CEE n 2771 75 et n 2777 75 Cet article permet que le budget de l UE cofinance raison de 50 des mesures v t rinaires telles que l abattage de poulets ainsi que les frais li s aux restrictions la libre circulation des animaux r sultant de l apparition d une maladie animale dans une exploitation situ e sur le territoire de l UE Le nouveau texte permettra de prendre des mesures exceptionnelles de soutien du march la
12. qu l r pond aux crit res de qualit et aux conditions fix es par la r glementation viticole luxembourgeoise et par la r glementation aff rente de l Union europ enne Les missions et le fonctionnement de la marque nationale sont fix s dans les r glements grand ducaux suivants r glement grand ducal du 6 f vrier 2007 modifiant le r glement grand ducal du 30 janvier 2001 portant r glementation de la marque nationale du vin et fixant les conditions d attribution de celle ci r glement grand ducal du 18 mars 1988 portant cr ation d une marque nationale des vins mousseux r glement grand ducal du 4 janvier 1991 relatif l appellation Cr mant de Luxembourg La marque nationale exerce ses fonctions sous l autorit du Ministre ayant dans ses attributions la viticulture et est repr sent e par deux commissions dont une commission de g rance et une commission de d gustation Chacune de ces commissions regroupe des d l gu s des organisations suivantes les caves coop ratives group es dans la soci t coop rative Les Domaines de Vinsmoselle l Organisation professionnelle des vignerons ind pendants O P V I la F d ration des n gociants en vin l Union luxembourgeoise des consommateurs ULC XI1 15 la F d ration des h teliers restaurateurs et cafetiers Horesca l Etat luxembourgeois 1 L Office national de l appellation d origine contr l e Moselle lu
13. 1 vente nationale Vente Catalogues pr vente feuillus r sineux Cantonnements date 10 02 06 Vente de feuillus Grevenmacher et Luxembourg Est 24 03 06 Vente de feuillus et r sineux Grevenmacher et Luxembourg Est 26 04 06 Vente et vente sur pied de r sineux vente de Grevenmacher et Luxembourg Est feuillus et de feuillus de valeur 02 06 06 Vente et vente sur pied de r sineux Grevenmacher et Luxembourg Est 13 10 06 Vente vente sur pied et pr vente de r sineux Grevenmacher et Luxembourg Est 19 12 06 Vente nationale h tres Diekirch Grevenmacher Luxembourg Est Luxembourg Ouest Mersch En 2006 un total de 23 197 06 m a t mis en vente tous propri taires confondus Domaines Communes S A R C P E P Le bois d industrie Le tableau suivant donne un aper u sur la quantit de bois d industrie par essence XI 17 Essence Volume m Ch ne 1 010 00 H tre 3 235 00 Charme 105 00 Autres feuillus 100 00 R sineux 185 00 Total 4 635 00 Le bois en tant que source d nergie En 2006 3020 m de bois ont t utilis s directement ou mis disposition des fins nerg tiques Volume m copeaux 450 bois de chauffage 2 330 chauffage bois pour usage interne 240 total 3 020 La livraison de bois de chauffage La demande de bois de chauffage a augment consid rablement par rapport aux ann es pr c de
14. 2 365 722 975 645 1 004 119 364 314 979 10 158 21 16 000 Lots 76 X 21 id Autriche 30 id Belgique 52 id Danemark 92 id Espagne 190 id Finlande 31 id France 35 id Hongrie 3 id Italie 71 id Luxembourg 1 id Norv ge 54 id Pays Bas 15 id Pologne 12 id R publique Tch que 11 id Royaume Uni 140 id Slovaquie 1 id Su de 11 Australie Luxembourg 1 Botswana Finlande 4 Canada Espagne 1 id Norv ge 1 Etats Unis d Am rique Allemagne 3 id Autriche 1 id Belgique 1 id Finlande 1 id Royaume Uni 1 id Su de 1 id Suisse 3 Zimbabwe Allemagne 79 id Autriche 30 id Belgique 2 id Danemark 10 id Espagne 34 id Finlande 14 id France 19 id Hongrie 17 id Italie 26 id Norv ge 4 id Pologne 2 id R publique Tch que 10 id Royaume Uni 4 id Slovaquie 10 id Su de 5 Saisies de produits d origine animale destin s la consommation humaine l A rogare de Findel Luxembourg En 2006 l Administration des Douanes et Accises a proc d 190 saisies de colis ill gaux de produits d origine animale notamment de 1 059 0 kg de viande et de produits base de viande 51 5 kg de lait et de produits laitiers 239 5 kg de produits de la p che Tous ces produits ont t limin s et d truits sous la surveillance de l Administration des Services V t rinaires 2 Le pacage Pendant la bonne saison du b tail passe dans des p tures transfrontali res soit du Grand Duch de Luxembourg vers les tats m
15. 80 couvillons 88 ganglions 1 couvillon 12 ganglions 6 typhimurium dont 1 monophasique 2 Derby 1 couv 1 gangl 2 London 1 Senftenberg 1 enteritidis 26 E Coli 0 25 cfu cm couvillons Flore totale couvillons 0 25 cfu em 12 3 La microbiologie des denr es alimentaires base de viande ou produits de la p che Germes pathog nes tests qualitatifs 876 chantillons d aliments Germe recherch positif confirm par culture n gatif non r alis Listeria monocytogenes 146 574 156 EHEC 0 305 571 Campylobacter 3 236 637 Salmonella Aliments positif en culture 8 1 paratyphi B poulet 2 typhimurium Mettwurscht caille 1 enteritidis poulet 1 anatum cheval 1 infantis poulet 2 Derby filet am ricain hachis 818 37 X 38 Germes en d nombrement aliments couvillons ganglions Germe recherch Limite de d tection germes g d chantillons au del Nombre de la limite de d tection Nombre d chantillons en dessous de la limite de d tection n gatifs Nombre d chantillons non analys s Listeria monocytogenes 100 0 709 167 E Coli 10 42 234 600 Coliformes 30 C 10 291 470 Clostridum perfringens 10 24 719 133 Staphylococcus aureus 10 616 123 Germes m sophiles
16. Schlaed Nouveau Haute S re Nord lewescht Schlaedchen Elargissement Empierrement Haute S re Nord Scheed Elargissement Empierrement Haute S re Sud Um Rank Nouveau Hosingen Domaine Parc Hosigen Nouveau Wiltz A R pst Elargissement Empierrement Total m Co t total 114 741 13 58 km For t priv e Projets termin s Propri taire Priv lieu dit Longueur Travaux m Happerwiesen Hosingen 300 Nouveau Bondorferbierg Wolwelange 580 Nouveau Schackend Eschweiler 680 Nouveau Paterb sch Hoscheid 650 Nouveau Total m 2 210 Co t total 17 310 7 83 km Telle l ann e pr c dente le grand nombre de projets est voir en relation avec la disponibilit d un volume important de mat riel de recyclage voire d excavation En effet la fourniture de mat riel rocheux calibr en provenance directe de carri re devient de plus en plus on reuse Partant il faut absolument profiter de la disponibilit de bon mat riel d excavation i Les travaux forestiers subventionn s Durant l ann e 2005 le nombre de dossiers trait s s l ve 953 soit une moyenne de 95 demandes trait es par triage ce qui pr sente une augmentation de 3 par rapport l ann e 2005 Au tableau ci apr s sont regroup s les diff rents types de traitement XI 28 k Travaux Nombre Nouvelles demandes 297
17. Turquie Caviar Emirats Arabes Unis Iran Destination Autriche Allemagne Espagne Allemagne Autriche Espagne Allemagne Autriche Danemark Espagne Italie Allemagne Luxembourg id ON 3 800 20 138 310 2 045 4 325 1 951 63 967 6 901 6 763 1 163 816 _ 23 16 Nombre pi ces 90 2 650 11 950 3 870 575 20 428 220 760 7 800 1 800 30 410 3 070 1 800 1 243 103 X 20 Kazakhstan Crustac s vivants Afrique du Sud id Arm nie Etats Unis d Am rique Filets de poissons Ouganda id id Tanzanie Poissons entiers Afrique du Sud Ouganda id Poissons congel s Chili Etats Unis d Am rique Poudre de poisson Taiwan Viandes bovines Canada id id Etats Unis d Am rique Viandes bovines congel es Br sil Viandes chevalines Canada id Viandes de gros gibier sauvage Canada id Poils trait s Chine Plaquettes de corne Inde Madagascar Peaux trait es Afrique du Sud Embryons Canada Sperme Canada id Produits biologiques Br sil Troph es de chasse Afrique du Sud Belgique Luxembourg id id Belgique Espagne Pays Bas id Luxembourg Espagne Pays Bas Pays Bas Allemagne Pays Bas France Luxembourg Suisse Belgique Pays Bas France Suisse France Suisse France Luxembourg id Espagne Danemark Danemark Suisse Suisse Allemagne 200 369 947 1 620 18 347 30 428 10 544
18. l entretien de l espace naturel et du paysage les aides favorisant les m thodes de production agricole compatibles avec les exigences de la protection de l environnement et de l espace naturel et les aides au titre de la diversit biologique Une priorit sera donn e la prime l entretien de l espace naturel et du paysage qui constitue une plate forme d entr e importante aux agriculteurs pour les engagements agri environnementaux sp cifiques Cette sous mesure de base en mati re d agroenvironnement exige que la totalit 100 de l exploitation agricole soit couverte par l engagement agroenvironnemental Une large participation en nombre et en surface gt 90 permettra d atteindre certains objectifs cit s dans la strat gie communautaire savoir la promotion des services environnementaux la pr servation des paysages cultiv s ainsi que l encouragement de l quilibre territorial I11 8 Les aides favorisant les m thodes de production agricole compatibles avec les exigences de la protection de l environnement et de l espace naturel constituent le deuxi me l ment des mesures agri environnementales Ces aides auront pour objectif d introduire des programmes zonaux et horizontaux visant encourager des m thodes de production plus conomes une meilleure occupation et valorisation de l espace rural une r duction des sources de pollution ainsi que la protection de la diversit des esp ces et de la
19. la diversification voire la r orientation vers d autres productions d une exploitation les questions conomiques et juridiques li es la location d une exploitation enti re ou de b timents l tude approfondie des documents comptables et de la gestion g n rale de l entreprise en vue d am liorer le revenu notamment dans le cas d exploitations en situation conomique difficile l am lioration du revenu en lien plus sp cifique avec une approche agro environnementale bilans N P K mesures environnementales en rapport avec le r glement UE 1257 99 FILL _ laide la mise en place d une comptabilit simplifi e A noter que dans le cadre de sa mission de promotion des diff rentes formes de coop ration entre entreprises agricoles dans le but de diminuer les co ts fixes des exploitations d une part et de promotion d une agriculture durable d autre part la division comptabilit soutient activement le travail du LMR Verband der Luxemburger Maschinen und Betriebshilfsringe et celui de la FILL F rdergemeinschaft Integrierte Landbewirtschaftung Luxemburg Finalement le SER a assur la repr sentation de la FILL aupr s de EISA European Initiative for Sustainable Agriculture La division des statistiques agricoles des march s agricoles et des relations ext rieures La division des statistiques agricoles des march s agricoles et des relations ext rieures regroupe les activit s
20. labor les ES Re des 110 21 738 849 88 17 923 549 87 19 002 498 16 343 806 71 structurelles Services 1 2 645 1 64 400 7 527 941 3 426 900 g nie rural 21 741 494 89 17 987 949 94 19 530 439 83 16 770 706 71 ann e 2006 19 534 295 19 534 295 Le nombre et le volume des projets est en baisse par rapport aux ann es pr c dentes Cette volution s explique par la diminution du nombre des exploitations agricoles et l augmentation de leur dimension qui se r percute sur le nombre de projets de construction dont l envergure et la complexit sont plus grandes l laboration des projets plus volumineux qui n cessite plus de travail ce qui oblige le service de refuser l laboration de certains projets standards ou plus petits halls silos fourrages verts transformations de b timents pour lesquels les exploitants ont recours d autres services de planification ou des entrepreneurs ou constructeurs b L ex cution de la loi agraire Le service s occupe de la gestion des dossiers et de l organisation des r unions de la commission charg e d instruire les demandes concernant le soutien au d veloppement rural appel e commission conomique et technique CET Les membres de la CET ont t nomm s par arr t du Gouvernement en Conseil du 7 d cembre 2001 Au cours de l ann e 2006 la CET s est r unie 16 fois pour aviser les demandes d aides reprises dans le
21. 26 320 7 millions d euros Le secteur primaire ne repr sente donc que 0 4 de l ensemble de l conomie en termes de valeur ajout e brute La part d croissante de l agriculture comme de l industrie dans l conomie au cours des derni res ann es est due au d veloppement du secteur des services et plus particuli rement du secteur des services financiers La part de la main d oeuvre agricole dans l emploi total se situe en 2005 autour de 1 3 Ce pourcentage a galement volu la baisse au cours des derni res ann es L emploi int rieur total c est dire y compris les travailleurs frontaliers continue augmenter bien qu un rythme moindre qu au d but de cette d cennie L emploi en agriculture par contre a diminu suite la rationalisation et la restructuration du secteur agricole Les chiffres relatifs l emploi en agriculture et l emploi int rieur total ne sont pas enti rement comparables puisque la population agricole active est exprim e en unit s de travail annuel UTA correspondant des unit s de travail temps plein alors que cette conversion n est pas effectu e pour l emploi total La part de l agriculture dans la formation brute de capital fixe de l conomie donne une indication sur l ampleur de l investissement en agriculture par rapport l investissement dans l ensemble de l conomie Cette part est avec 1 5 relativement lev e par rapport l importance du secteur ag
22. Selon l indice des prix la consommation national l inflation atteint 2 7 contre 2 5 en 2005 et 2 2 en 2004 Les prix de l nergie sont encore largement responsables de l inflation cependant le domaine des services les loyers d habitation et les produits accisables tabac alcool p sent galement sur le niveau g n ral des prix Les salaires ne montrent pas de signes de tension particuliers L essentiel de leur progression est d l inflation indexation automatique des salaires Alors que l emploi int rieur poursuit sa croissance 3 8 par rapport 2005 le taux de ch mage continue galement progresser Il atteint 4 5 contre 4 2 en 2005 Il existe un probl me d inad quation entre les qualifications requises par les nouveaux emplois cr s dans les services et celles de la majorit des personnes inscrites au ch mage L analyse des chiffres par branche d activit de la comptabilit nationale provenant du STATEC permet de fournir des indications sur l importance relative de l agriculture dans l conomie Dans l analyse par branches d activit l agriculture est regroup e avec la chasse la sylviculture la p che et l aquaculture sections A et B de la nomenclature statistique des activit s conomiques dans la Communaut europ enne NACE En 2005 la valeur ajout e brute aux prix de base du secteur primaire s levait 109 8 millions d euros alors que celle de l ensemble de l conomie s levait
23. Streptocoque B StreptocoqueB__ a du Quoique l chantillonnage ne soit pas n cessairement significatif on peut conclure que les staphylococcus coagulase et les streptococcus uberis pr valent ce qui laisse supposer une origine traumatique des mamelons que ce soit par la traite ou par une structure non adapt e de l habitat X 33 Antibiogrammes des principaux germes de mammites Les germes gram positif Antibiotique Sensible 3 1 Staphylococcus aureus Amoxyciline Clavuianate o o Staphylococcus aureus Ampicmne o 1 Staphylococcus aureus Cephazoine o o Staphylococcus aureus Trimethoprime Suamide 1 o Staphylococcus aureus Tetracycines 2 o Staphylococcus aureus Marbofoxacne o o t amomyoinercneme o o n gative Amoxycilline Clavulanate 3 E Staphylococcus aureus Staphylocoque coagulase n gative Ampicilline Staphylocoque coagulase n gative Cephazoline Staphylocoque coagulase n gative Trimethoprime Sulfamide r gie Teacyeines n gative Tetracyclines a e a PE n gative Marbofloxacine EE Spenienine n gative Penicilline 3 1 2 1 j El ele one Me e e e oc Streptococcus uberis Tetracyaimes _ o 2 Streptococcus uberis Marbofoxaine o 2 Streptococcus uberis Penigiine o o StreptocoquesBs Ampisiine T o o Streptocoquesg Amoxycilline Ciavulanate o o Penicilline Mer Streptocoques B
24. autres administrations ou services STATEC ASTA Institut Viti Vinicole Administration des Services V t rinaires des fins statistiques Toutes ces informations sont int gr es dans un syst me coh rent de statistiques agricoles Le SER collabore troitement sur le plan statistique avec l institut national de statistique STATEC L change d informations statistiques est bi directionnel Le SER int gre les donn es relatives aux structures des exploitations agricoles labor es par la division des statistiques agricoles du STATEC dans le syst me des statistiques Il 5 agricoles et le STATEC utilise les comptes conomiques de l agriculture dans la comptabilit nationale en tant que comptes sectoriels de la branche d activit agricole Le travail m thodologique ainsi que les am liorations apporter au syst me de communication des donn es EUROSTAT font l objet de groupes de travail sp cialis s statistiques des produits v g taux statistiques des produits animaux comptes conomiques et prix agricoles instaur s aupr s d EUROSTAT le Comit Permanent de la Statistique Agricole CPSA assurant un r le de coordination et de conception g n rale en mati re de statistiques agricoles Le SER participe activement aux travaux de ces groupes Au cours de l ann e 2006 des travaux en vue de rendre op rationnel l utilisation de donn es administratives SANITEL MACAA dans le cadre de la statistique
25. grippe aviaire L pid mie de la grippe aviaire caus e par la souche hautement pathog ne H5 N1 et d tect e fin 2003 dans le Sud Est de l Asie a t notifi e entretemps dans plus de 50 pays et a entra n respectivement la mort et l abattage sanitaire de quelque 150 millions de volailles de par le monde alors que quelque 160 d c s humains ont t signal s jusqu en 2006 Au mois de f vrier 2006 la grippe aviaire a fait son apparition dans l UE avec la notification de foyers en Gr ce en Italie et plus proche de nous en Allemagne en France en Autriche et au Danemark Des mesures pr ventives ont t mises en place afin d viter pour autant que possible que notre cheptel avicole ne soit atteint par ce virus hautement X 11 pathog ne susceptible de se transmettre l tre humain par contact prolong et intensif avec les animaux malades Durant les p riodes de migration printani re ou automnale des oiseaux des recommandations de confinement et des mesures de bios curit ont t mises en place Ces mesures nous ont permis de rester indemne de cette pid mie jusqu ce jour De nombreux communiqu s officiels ont sensibilis la population et des mesures de pr caution furent dict es par ce biais Un programme de surveillance active et passive de la grippe aviaire repose entre autres sur l chantillonnage des volailles domestiques et des oiseaux sauvages C est ainsi qu en 2006 il a t
26. kg Les prix pay s ont vari dans une fourchette comprise entre 0 66 kg et 1 85 kg dans quelques cas les quotas ont t transf r s gratuitement Cons cutivement aux transferts pr cit s le quota laitier moyen par exploitation est pass en sept ans de 216 518 kg 291 590 kg soit une progression de 75 072 kg ou de 34 67 Ces chiffres prouvent que la restructuration des exploitations laiti res plut t stagnante avant le 1 avril 2000 a connu le d veloppement escompt Toutefois il faut remarquer que les prix pay s par les producteurs actifs pour les quotas leur transf r s au cours des sept p riodes de douze mois coul es ont t fort lev s et dans certains cas m me exorbitants IV 10 Compte tenu des perspectives peu favorables pour le prix du lait pay aux producteurs la suite des d cisions prises au niveau CE en mati re de fixation des prix d intervention pour le beurre et la poudre de lait cr m compte tenu galement de la certitude quasiment acquise que le r gime des quotas laitiers expirera au 31 mars 2015 il faut s attendre ce que le prix des quotas laitiers sera nettement orient la baisse au cours des prochaines ann es Au cours de la p riode 2006 07 les disponibilit s de la r serve nationale portant sur un total de 1 416 513 kg ont t allou es en premier lieu 20 jeunes producteurs nouvellement install s qui ont b n fici de l allocation d un quota suppl
27. limination directe de la tare terre et fanes la rentr e du produit alors que ces d chets taient pr alablement incorpor s dans le stockage et r duisaient la qualit des lots ainsi que la capacit de stockage et de ventilation des halls l limination de sur calibre ou du sous calibre valorisable en d but de saison la r duction de blessures occasionn es par le passage des pommes de terre dans la trappe de la benne la r gulation du flux de la marchandise qui facilitera la mise en tas ou en caisse une meilleure r partition des produits de conservation d augmenter la s curit du personnel et des agriculteurs au niveau de l exp dition deux quais de chargements mobiles et de moyens de transport et de manutention Cet investissement permettra une ex cution rapide du chargement une s curit pour le personnel la r duction des risques de destruction de produits finis li e la chute de palettes la r duction des frais d entretien du mat riel de manutention Le projet pr voit aussi la cr ation d une ligne d emballage pour sachets de 2 5 et 5 kg Cette ligne d emballage comprend un tapis l vateur peseuse et distributeur de certificats un banc couseur BSM 3A Cet investissement permettra d am liorer leurs offres envers les clients demandeurs de ces conditionnements de r duire les frais de personnel de r aliser des conomies en produits finis d augme
28. un rythme trimestriel et annuel Pour l ann e 2006 les r sultats ne sont que provisoires ce stade L indice des prix des produits agricoles augmente de 3 36 par rapport l ann e pr c dente Une volution positive des prix au producteur est enregistr e pour les c r ales 12 42 les plantes industrielles essentiellement colza 8 78 les pommes de terre 11 25 et les animaux 3 65 Pour le lait par contre une nouvelle baisse des prix au producteur 1 16 est enregistr e Toutefois l volution des indices trimestriels indique un redressement au cours du dernier trimestre par rapport l ann e pr c dente L indice des prix des biens et services habituellement consomm es en agriculture indice input 1 augmente de 0 89 par rapport l ann e pr c dente Les principaux postes avec une volution des prix la hausse sont l nergie 7 45 les engrais et amendements 8 52 les aliments pour animaux 2 42 et les autres biens et services 2 72 Quelques postes comme les semences et plants 2 83 les produits de protection des cultures 0 46 et les d penses v t rinaires 1 16 ont connu une volution des prix la baisse L indice des prix des biens et services contribuant aux investissements agricoles indice input2 augmente de 1 62 et globalement l indice input total input 1 input2 augmente de 1 27 Les termes de l change de l agriculture rapport entre l indice output e
29. 1 1 280 2 0 0 4 Ojo 0 0 4 3 496 1 1 409 0 0 0 1 906 4 64 7 72 51 18 16 228 Gew rztraminer 1 6 3 3 S n S 0 0 15 2 0 0 0 0 0 0 0 3 1 0 1 Oojo 0 0 2 4 7 3 11 5 9 1 36 Pinot 1 2 658 1 0 0 1 0 2 660 Pinot Noir 1 43 4 65 38 5 6 161 Autres 8 4 7 10 5 4 38 TOTAL 33 076 164 7 047 995 198 53 41 533 1 Marque Nationale 2 Vin class 3 Premier cru 4 Grand premier cru Tableau 10 R exportations de vins et autres produits viticoles suivant les pays destinataires hl y compris les vins trangers utilis s comme vins de base et export s sous forme de vins mousseux et de vins p tillants 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Belgique Pays Bas Allemagne France Autres Source IVV et Statec calcul IVV Chiffres provisoires Tableau 11 R exportations de vins et autres produits viticoles suivant la nature des produits hl y compris les vins trangers utilis s comme vins de base et export s sous forme de vins 2004 2005 2005 2006 mousseux et de vins p tillants Source IVV et Statec calcul IVV Chiffres provisoires Tableau 12 Stocks de vins et autres produits viticoles au 31 juillet hl Nature des vins Vin indig ne Vin blanc tranger Vin rouge et ros trangers 2002 2003 14 210 4 382 24 523 2 090 29 4 926 50 160 2002 181 346 65 907 14 535 261 788 2003 2004 4 060 3 018 23 552 1 601 42 2 930 34 503 2003 201 548 67
30. 2004 et ont renouvel ou renforc leurs engagements pour une nouvelle p riode de 5 ans Pour la p riode culturale 2006 la date limite de d p t de demande tant le 1er ao t 2005 128 exploitations ont introduit 159 demandes distinctes au total Environ 19 de ces demandes ont t introduites par des exploitations ayant d j particip aux mesures agro environnementales pendant un cycle quinquennal complet 2001 2005 et ont renouvel ou renforc leurs engagements pour une nouvelle p riode de 5 ans R gime transitoire 2007 Le plan de d veloppement rural PDR de la p riode 2000 2006 a expir le 31 d cembre 2006 et sera remplac par un nouveau PDR pour la p riode 2007 2013 apr s accord de la Commission Europ enne attendu pour le premier semestre 2007 Le r gime transitoire pr voit le prolongement d une ann e les demandes expir es fin 2006 ainsi que la conclusion de nouveaux contrats pour l agriculture biologique pour la p riode 2007 2011 moyennant une clause de r vision d s l entr e en vigueur du nouveau PDR Pour la p riode culturale 2007 la date limite de d p t de demande tant le 1er ao t 2006 4 exploitations ont introduit une demande de conversion l agriculture biologique 395 demandes expir es ont t prolong es pour un an IX 6 Nombre de demandes introduites au titre du r glement grand ducal du 9 novembre 2001 instituant un r gime d aides favorisant les m thodes de prod
31. 208 o 52 260 Samoneles culture Mm F oins 4 o o 4l Salmonelles culture MF capis af f o al Samoneles culture M F voae 2 o 2 Saimonelles culture M F ibier chewreuin of o ol culture M F lapms 1 1 Salmonelles culture foie volaile f o 1o Salmonelles culture foie faute 2 o 2 Salmonelles culture Organes bovins 2f o 2 Salmonelles culture Organes lapins 1f f o 1 Samoneles culture Organes owns 7 o 7 Salmonelles culture Organes porinis 2f o 2 Salmonelles culture Organes volaille 3f o 3l Samoneles culture autre bovins l o f Salmonelles culture aute testinterlabo 9 23 37l Salmonelles culture poussi re volaille 8af o sl Saimonelles culture autopsie auwre s o Identification des salmonelles Samonela enterica porn 5 1 ii IN IN IN IQ Salmonella Eboko Salmonella non identifi e Un m me s rotype de salmonelles a t retrouv plusieurs fois dans l exploitation porcine du m me propri taire 5 1 5 propri taires de porcins et 2 propri taires de bovins sont en cause Le LMVE effectue galement les analyses s rologiques des porcs domestiques Des anticorps anti Salmonella sont recherch s chez les porcs abattus pour estimer la s ropr valence dans le cheptel porcin
32. 60 chantillons X 39 CLASSE RESIDUS BOVINS LAPINS GIBIER animaux examin s 1 bovin 25 porcins 3 gibier 12 volailles Aucun cas positif n a pu tre d cel En r sum 60 chantillons de 41 animaux Au total denr es alimentaires abattages d urgence et r sidus 7 497 analyses sur 1 494 chantillons b Les analyses effectu es dans le cadre de la directive 96 23 organisant la surveillance des r sidus et autres substances Durant l ann e 2006 926 chantillons ont t pr lev s dans diff rentes denr es alimentaires d origine animale suivant le tableau ci dessous ESPECE PRODUIT NOMBRE LAIT 302 BOVINS 183 PORCS 154 UFS 71 GIBIER 100 LAPINS 40 MIEL 60 OVINS 16 TOTAL 926 Sur ces 926 chantillons 1401 analyses ont t effectu s pour rechercher les substances des diff rents groupes suivant le tableau ci dessous A1 20 _ _ EN O1 N o1 n oO ojlojojojojojlojojojojojojo oOlojJojJoINIOINJIN I OJoJjojojo N O ojoj 0101 IN IN IO joj 8 0 IN IN IN Oo 1o oO OO O Aa O O1 O1 O1 O1 O1 O1 IN O O1 O1 GO IG O O O O OO A l exception du groupe B3d Mycotoxines dans le lait toutes les analyses ont t r alis es dans des laboratoires en Belgique Tous les r
33. E S B le 9 novembre 2005 sur un taureau charolais n en 2001 La maladie de l E S B qui a connu un impact m diatique important montre une forte diminution de sa pr valence dans tous les Etats membres de l UE En conformit la r glementation communautaire en mati re des enc phalopathies spongiformes transmissibles E S T l Administration des Services V t rinaires proc de d une mani re cons quente une surveillance active et passive sur notre territoire l aide d analyses qui sont r sum es dans le tableau ci dessous NOMBRE DE TESTS d E S T EFFECTU S EN 2006 BOVINS Animaux morts 3 097 Animaux pr sent s l abattage d urgence 8 Animaux pr sentant des signes cliniques 0 Animaux sains abattus pour la consommation humaine 11 455 Animaux suspects 2 OVINS Animaux morts e Animaux sains abattus pour la consommation humaine 364 CAPRINS Animaux morts 110 Animaux sains abattus pour la consommation humaine 340 TOTAL 15 542 Le G notypage des ovins en 2006 Programme d levage relatif la r sistance aux enc phalopathies spongiformes transmissibles chez les ovins Depuis la mise en place en 2003 au Luxembourg d un programme d levage permettant la s lection de souches de race d ovins r sistants aux enc phalopathies spongiformes transmissibles quelque 3 421 moutons ont t test s Les r sultats de ces analyses d montrent pour le che
34. La Commission des Zones rurales charg e d instruire les demandes concernant les aides pr vues au titre III de la loi s est r unie cinq fois en 2006 Le r gime d aides porte sur 6 mesures pr sent es ci apr s Mesure k R am nagement des fonds de vall es et des anciennes terrasses de vignobles en vue du maintien en culture Il s agit de soutenir le r am nagement des fonds de vall es et des anciennes terrasses de vignobles en favorisant leur maintien en culture et de la sorte la sauvegarde de paysages culturaux Les aides sont accord es pour les acc s la voirie publique ainsi que pour les frais de mesurage d valuation et de transaction entre propri taires Aucun projet n a t introduit tout au long de la p riode de programmation 2000 2006 sous cette mesure Mesure m Aides la commercialisation de micro productions r gionales Cette mesure vise soutenir et renforcer la notori t des micro productions r gionales de qualit et ou caract re sp cifique en aidant la mise en place de structures de commercialisation centres de valorisation ou march s locaux ainsi que l interaction entre l agriculture et la gastronomie En 2006 aucun projet n a t engag sous cette mesure Mesure n Services essentiels pour l conomie et la population rurale Les services concern s par cette mesure essentiellement dans les domaines socioculturel et socio conomique doivent contribuer augmente
35. Le service de contr le du lait cru IX 26 6 La Marque nationale des eaux de vie luxembourgeoises IX 27 LES ACTIVITES DE L ADMINISTRATION DES SERVICES VETERINAIRES X 1 As Introductions sen a a e A s ne ins a X 1 B L Administration des Services V t rinaires X 2 GC La situation sanita eteen aae Re a nn en O ee ee ren ne X 2 1 La peste porcine classique sessseosseoseeesseeeeerterrttrrttertttrteeererererereeerreeneeereeet X 2 2 L enc phalopathie spongiforme bovine E S B X 4 3 La fi vre aphteuse nnneesneeeoeeeeeeeeeeeeeeeeetteetteenttettterrtentrenteenteenteenteenreerteen nnen n nn X 7 LA Page RSR RS A E AA X 7 5 Latuberculgse sssaaa a RTE er A Te eee ne tn des X 8 6 Laibrucellose sisssisteaten a a Menthe TM RRQ on cn X 8 7 La leucose bovine enzootique X 8 8 EM EC i A E E E E A a X 8 9 La para tuberculose nnne nn nennen eneee X 9 10 La maladie d Aujeszky 5 sse tienne ele lsasnetrinmetenennsiearehette X 10 11 La maladie v siculeuse du porc X 11 12 La maladie h morragique des lapins ssnoseeeseeeeeeeeeeeeeeesreerreesreesrresrrenrresn rennen X 11 13 La maladie de Visna Maedi chez le mouton sssssssssesesssseessee
36. Pathog ne chantillon N gatifs Douteux Positifs Rotavirus ELISA mF bovins e Oo ol 0 65 0 27 0 11 0 0 0 0 0 0 Autres tests effectu s au LMVE Total Pathog ne Test chantillon Esp ce N gatifs Douteux Positifs examin Brucellose 87 Sang bovins 1066 5 2 1073 DO e a e a 7 Sang l caprins o 126 0 0 a Es o S S S is of o o o OA g p 1 a 0e 1 eusa Lait bovins 91 o 1 22 Leucose ELISA Sang bovins 1318 4 6e 1328 D Sang bovins 2 o o 231 eusa Lait bovins 898 o 1 oo 7 CAE ELISA Sang caprins 88 o 43 12 in Sang caprins 0 o 2 2 Bevo iD Organes bovins e o o al BvD EUSA Ag Sang bovins 2514 o 100 2671 BR D Organes bovins o 2 a BR ELISA GB Sang bovins 1240 23 426 1689 BR ELISAGE Sang bovins 1497 9 183 168 PRRS_ ELISA Ac Sang porcins 2 o ss 3 Coronavirus 1FD Intestin bovins o o 15 Bevo iD Organes bovins e o o BR D Organes bovins o 2 a P3 fD Organes bovins 4 o o 4 Res fio Organes bovins l o lo T al Chlamydia 1FD Organes bovins 36 3 o 3 prce fio Organes porcins 2 o o 2 Aujeszky iFD_ Organes porcins 3 o o 3 Aujeszky D Organes chiens 1 o o 1 Aujeszky IFD Organes gibier chev
37. Tableau 9 Les exploitations suivant le nombre de porcs qu elles d tiennent Source STATEC 1 9 porcs 10 19 porcs 20 49 porcs 50 99 porcs 100 porcs et plus TOTAL r Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Ann e A i i i h de porcs d exploit de porcs d exploit de porcs d exploit de porcs d exploit de porcs d exploit de porcs d exploit de porcs par d tent 1960 7287 27936 2160 32152 1564 45913 138 8477 25 4566 11174 119 044 10 7 1966 4950 19408 1437 21650 1474 46076 317 21 133 103 18457 8281 126 724 15 3 1972 3103 10 939 841 11675 863 26 112 249 16 990 157 36978 5213 102694 19 7 1975 2 393 8 167 547 7 609 568 17 638 213 14 819 159 37 565 3880 85 798 22 1 1981 1 288 4 462 245 3 434 323 10 390 184 12 638 167 42519 2207 73 443 33 3 1985 377 1 486 168 2 368 232 7 763 149 10 489 177 47 848 1103 69 954 63 4 1990 200 830 85 1125 137 4 567 101 7 022 181 61 919 704 75 463 107 2 1995 90 339 35 500 78 2 594 56 3 991 102 65 216 417 72 640 174 2 1999 84 323 19 267 52 1 642 50 3 631 156 79 967 361 85 830 237 8 2000 66 271 20 290 45 1 494 43 3 107 142 74 979 316 80 141 253 6 2001 50 206 19 268 35 1115 36 2 468 140 74 483 280 78 540 280 5 2002 47 196 11 144 30 1057 28 1 909 142 76 359 258 79 665 308 8 2003 33 132 11 155 32 996 27 1 950 131 80 907 234 84 140 359 6 2004 39 151 11 147 25
38. cf publications d EUROSTAT sur le revenu agricole dans la s rie statistiques en bref L indicateur A r v le une augmentation de 0 8 du revenu agricole en termes r els par rapport 2005 Le revenu net d entreprise obtenu partir du revenu des facteurs en d duisant la r mun ration des salari s les fermages et les int r ts pay s s l ve 62 3 millions d euros et ne varie pas par rapport 2005 Si on rapporte le revenu net d entreprise la main d uvre agricole familiale et si on le d flate l aide de l indice implicite des prix du PIB on obtient une indication sur le revenu par unit de main d uvre agricole familiale indicateur B Cet indicateur se pr te pour la mesure de l volution du revenu des exploitations agricoles organis es sous forme d entreprises individuelles ou d entreprises sans personnalit juridique propre comme c est le cas pour la quasi totalit des exploitations agricoles au Luxembourg L indicateur B montre une stagnation 0 1 par rapport 2005 L volution des indicateurs de revenu agricole au cours des derni res ann es est retrac e dans le tableau 7 Les diff rents indices se rapportent l ann e de base 2000 100 On constate que les indicateurs de revenu agricole A et B qui sont exprim s en termes r els c est dire corrig s des effets de l inflation montrent des diminutions du revenu par actif en 2003 et 2004 qui ont t redress es en grande partie au
39. contrecarrer A partir de cette synth se les premi res propositions relatives la finalisation des concepts de d veloppement sont d finies Les propositions nonc es par les am nageurs sont discut es et concr tis es dans des r unions et ateliers de travail avec les citoyens engag s dans le but d aboutir une strat gie d finitive de d veloppement durable adopter Soutenue par une majorit des acteurs locaux celle ci sera d lib r e au conseil communal Il y a lieu de relever qu apr s une quinzaine d ann es de pratique et d exp rience PDC quelque 70 communes engag es ont abouti la derni re phase du processus int gr de cette planification communale Les concepts de d veloppement retenus et concr tis s ont d j t pr sent s au conseil communal aux groupes d int r ts locaux et au grand public int ress Pour cl turer leur plan directeur un catalogue de mesures pluriannuelles et interdisciplinaires soutenu par la soci t civile locale est d lib r au conseil communal A ce stade bon nombre de communes se sont d j engag es dans des actions concr tes de r alisation et de partenariat entre responsables communaux services publics comp tents ainsi que groupes d int r ts locaux VII 1 Tous ces acteurs engag s mettent en oeuvre sur le terrain m me des projets sectoriels et ou int gr s issus et finalis s sur base des phases de planification PDC ant rieures Voil pour
40. des colzas susmentionn s L autorisation vaudrait pour toutes les utilisations du produit l exception de leur culture et de leur utilisation dans les denr es alimentaires et aurait une dur e de validit de dix ans Le 5 d cembre 2005 la Commission avait consult le comit de r glementation concernant la diss mination volontaire d organismes g n tiquement modifi s dans l environnement Le comit n a pas t en mesure de rendre un avis et ce malgr l avis favorable rendu par l Autorit europ enne de s curit des aliments 8 Le pr l vement dans le secteur du lait et des produits laitiers Le 18 septembre 2006 le Conseil a adopt un r glement modifiant le r glement CE n 1788 2003 tablissant un pr l vement dans le secteur du lait et des produits laitiers Afin d am liorer les pr visions budg taires et d assouplir la gestion le versement du pr l vement instaur par le r glement CE n 1788 2003 doit pr sent avoir lieu au cours de la p riode allant du 16 octobre au 30 novembre de chaque ann e Cette disposition s applique partir du 1er septembre 2006 Par ailleurs le r glement a t modifi pour permettre sur demande d un nouvel Etat membre l utilisation des quantit s pour les ventes directes qui peuvent rester non utilis es dans la r serve nationale en autorisant pour la p riode 2005 2006 un transfert unique des quantit s de r f rence pour les ventes directes vers les livra
41. dioxyde de soufre total et libre le titre alcoom trique volumique la densit relative l extrait sec total le dioxyde de carbone la pression D autre part en vue d un bon conseil pour la vinification des analyses plus sp cifiques tels la teneur en fer et cuivre les ph nols totaux l ac taldehyde l acide XII 10 sorbique la d termination de la stabilit prot ique de la stabilit chaud et de la dose r ellement n cessaire en bentonite du collage bleu ainsi que le suivi des fermentations malolactiques l acide lactique par des contr les hebdomadaires sont propos es aux viticulteurs Les travaux pour la mise en place de l accr ditation selon la norme ISO 17025 sur les prescriptions g n rales concernant la comp tence des laboratoires d talonnage et d essais ont bien t poursuivis Cependant cause d importants changements de personnel en deuxi me moiti de l ann e le laboratoire n a pas r ussi tre accr dit en 2006 L objectif primordial sera maintenant de passer l audit final d accr ditation du laboratoire de l IVV vers la mi 2007 Le d partement de l oenologie Parmi les multiples missions de l Institut viti vinicole le conseil pour les organismes professionnels dans les domaines techniques comme la viticulture et la vinification joue un r le tr s important Ainsi chaque ann e diff rents essais qui sont issus de la viticulture et des pratiques de vinification ay
42. e Comme les ann es pr c dentes des cultures de ma s sous mulch ont t install es grande chelle et avec grand succ s dans les quatre localit s pr cit es mais aussi ailleurs dans le pays afin de r duire soit les pertes de sol par rosion soit les pertes de nitrates par lessivage En outre les semis sous mulch d escourgeon de bl d hiver et de triticale se multiplient un peu partout dans le pays Ces travaux servent de base aux programmes agri environnementaux concernant les mesures de lutte contre l rosion et la diminution des apports d azote dans les cultures de ma s Ces programmes sont mis dans un contexte plus large notamment avec diff rentes organisations de vulgarisation au sein de la FILL Dans le cadre de ces programmes les nitrates Nmin ont t d termin s sur 3 500 chantillons de terre De plus dans le cadre d un projet dans la zone de protection des eaux souterraines de la r gion de Waldbillig et auquel participent ASTA la Chambre d agriculture et le bureau d ing nieur H Drechsler de G ttingen D la granulom trie de 372 chantillons de sol a t tablie 2 Le service d analyse des fourrages Le nombre total des chantillons de fourrages analys s en 2006 s l ve 3 830 unit s Ces chantillons ont trois origines diff rentes 55 des chantillons examin s proviennent des champs d essais du service de la production v g tale de l ASTA en vue de la s lectio
43. environnement conform ment l article 33 5 b du r glement grand ducal du 11 ao t 2001 portant ex cution de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural D autre part la majeure partie des quipements retenus sont utilis dans la production de produits commercialis s respectivement sous les labels produits du terroir et marque nationale VI 3 L allocation d une aide au taux de 35 retenu pour des investissements se montant 3 361 068 59 se justifie du fait que ces investissements ne constituent que des travaux de remise en tat et de modernisation courants ne comportant d incidence ni sur la s curit alimentaire ni sur la qualit du produit transform ni encore sur la tra abilit des produits Ainsi le plan de financement se pr sente comme suit Montant du devis pr sent hors TVA 4 402 940 52 Montant du devis retenu comme ligible hors T V A 3 681 323 50 Part du demandeur 60 de 320 256 90 192 154 14 Part de l Etat 40 de 320 256 90 128 102 76 Part du demandeur 65 de 3 361 066 59 2 184 693 29 Part de l Etat 35 de 3 361 068 59 1 176 373 31 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres Projet d investissement pr sent par l association agricole Luxlait concernant l acquisition de plusieurs quipements destin s
44. es en terme d essences pr sentes dans le but d obtenir des for ts stables et de grande diversit naturelle Un premier projet avait t r alis avec l ONF en 2008 portant sur une synth se bibliographique des exp riences de gestion irr guli re en cours en France Ce premier projet plus th orique a d but en 2006 sur un projet tr s concret s articulant autour de deux axes principaux qui se sont succ d s dans le temps implantation d un r seau de placettes permanentes permettant de suivre et d illustrer la conversion des for ts existantes en futaies irr guli res les travaux de martelage en vue d entamer concr tement sur le terrain la conversion en futaie irr guli re pour lesquelles un agent formateur de l ONF a donn un appui technique Les op rations ont t conduites simultan ment sur deux sites savoir en for t communale de Betzdorf et cheval entre la for t communale de Koerich et la for t domaniale de Septfontaines La participation la f te foresti re Clervaux En 2006 la traditionnelle f te foresti re B schfest Clervaux s est d roul e du 27 au 30 juillet et a t organis e par l association Les B cherons du Nord en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts A l origine cette f te traditionnelle avait comme objectif principal d attirer l attention du public sur la for t et sur les personnes qui y exer aient leur travail mais
45. et de 6 dossiers au Service d Economie Rurale dans le cadre de l co conditionnalit Ces visites de contr le concernaient notamment animaux de compagnie 38 fois quid s 25 fois volailles 26 fois bovins 107 fois porcins 23 fois ovins 19 fois H Le clos d quarrissage Le centre de collecte interm diaire du Clos d Equarrissage au Schwanenthal est g r par la firme RENDAC C E S conform ment un accord interminist riel avec la Belgique datant de 1984 et r vis le 1 juillet 2004 Cette soci t g re la fois la collecte des cadavres des animaux de production et de compagnie ainsi que les sous produits provenant du secteur agro alimentaire X 23 Il est vident que dans le cadre des mesures pr ventives l gard des enc phalopathies spongiformes transmissibles les cadavres d animaux et les sous produits ne sont plus r utilis s dans la fabrication de farines animales et que depuis le 1 janvier 2001 les cadavres bovins ovins et caprins sont syst matiquement soumis un test de d tection rapide en mati re enc phalopathies spongiformes transmissibles bovins g s gt 24 mois ovins et caprins g s gt 18 mois Le tableau ci apr s donne un aper u sur le nombre de cadavres ramass s Avortons de bovid s 778 Veaux 9 172 Gros bovins 4 743 total bovid s 14 693 D chets truies porcelets 1 712 Porcelets 3 473 Porcs 5 442 Truies verrats 572 total porcins 11 199 Divers
46. le sol tait couvert d une couche de neige de quelque 10 cm durant le mois de f vrier jusqu au d but de mars accompagn d un grand froid le bostryche n a pas pu se d velopper massivement au printemps qui d ailleurs tait sec et trop froid pour la saison En automne par contre les attaques de bostryche taient invasives par endroits en for t soumise Ceci s explique par la s cheresse accentu e durant la p riode de v g tation ce qui a surtout affaibli les peuplements situ s sur les sols tr s superficiels Quant la maladie du h tre de nouveaux foyers ont t d tect s dans le triage de Perl le long de la fronti re belge Ainsi outre les attaques d j r guli res par les champignons de nouvelles attaques par les scolytes Trypodendron ssp ont t observ es en automne accompagn es par un noircissement des mousses sur l corce Les r g n rations les plantations les travaux de culture Les plantations sur coupes rases sont tr s limit es En fait cette m thode est uniquement appliqu e dans le cadre du reboisement de parcelles o l ancien peuplement a d c der soit pour des raisons sanitaires soit pour des raisons cologiques fonds de vall es Pour le reste les plantations ont t r alis es sous couvert Cette m thode pratiqu e depuis plusieurs ann es au cantonnement a fait ces preuves La composition de ce couvert est tr s vari e savoir vieux peuplements feuillus r sineux ou ta
47. lev Les pr cipitations importantes 160 l m2 au mois d ao t ont acc l r la maturation des raisins Le d but de la maturation fut d j constat le 15 ao t pour le c page Rivaner 4 jours plus t t que la moyenne des 30 derni res ann es N anmoins les pr cipitations importantes du mois d ao t ainsi que les temp ratures lev es du mois de septembre ont favoris une tr s bonne progression de la maturation Le mildiou s est manifest tr s t t cette ann e et a d truit une partie des inflorescences dans certains secteurs du vignoble mosellan Le vol du vers de la grappe tait pratiquement inexistant et les infestations taient faibles A noter encore que la majorit des vignerons ont utilis la m thode biologique de la confusion sexuelle contre les papillons du ver de la grappe Cette m thode est appliqu e au Luxembourg sur 1 147 ha des 1 237 ha de vignes en production et permet d viter le recours aux insecticides Vers le d but du mois d ao t l o dium a fait un retour tardif mais ne posait pas de probl mes graves dans les parcelles concern es Relevons galement que les sympt mes d Esca champignon parasite du bois taient particuli rement visibles cette ann e A la date de la r colte les raisins ont t m rs L avancement extr mement rapide de la maturit ainsi que les pr cipitations importantes en septembre et octobre ont conduit un d veloppement rapide de la pourriture grise et on
48. lieu des droits dont la valeur aurait d pass 5 000 euros Les dits producteurs peuvent utiliser les droits sp ciaux sans surface ligible correspondante sous condition qu ils maintiennent un niveau minimal d activit agricole exprim e en unit s gros b tail Le paiement unique est li au respect des r gles de la conditionnalit Cross Compliance Le r glement CE n 1782 2003 dispose en son article 3 que tout agriculteur percevant des paiements directs est tenu de respecter les exigences r glementaires en mati re de gestion vis es l annexe III conform ment au calendrier fix dans cette annexe ainsi que les bonnes conditions agricoles et environnementales tablies conform ment l article 5 L annexe III du dit r glement reprend les domaines suivants environnement applicable partir de 2005 identification et enregistrement des animaux applicable partir de 2005 sant publique sant des animaux et des v g taux applicable partir de 2006 notification des maladies applicable partir de 2006 bien tre des animaux applicable partir de 2007 Les mesures prendre en mati re de bonnes conditions agricoles et environnementales applicables partir de 2005 sont fix es l annexe IV du dit r glement sp cifi es par le r glement grand ducal du 8 avril 2005 et concernent l rosion des sols les mati res organiques du sol la struct
49. outre ses essais culturaux et vari taux d esp ces fourrag res en plusieurs endroits du pays des essais pour cultures nerg tiques Il s agit d essais qui portent sur des plantes destin es la production de biom thane par fermentation Ces essais visent d terminer les meilleures vari t s pour la production de biomasse et ainsi optimiser les cultures nerg tiques tout en respectant les exigences de la protection de la nature IX 10 3 La protection des v g taux a Le contr le des plants de pommes de terre au laboratoire du service de la protection des v g taux Evolution depuis 1990 de la superficie de pommes de terre plants pr sent es pour la certification et superficie ayant effectivement t certifi e Ann e de r colte Superficie d clar e ha Superficie certifi e ha Taux de certification 1990 359 17 353 08 98 3 1991 384 39 356 34 92 7 1992 411 41 399 61 97 1 1993 369 68 365 56 98 9 1994 391 34 345 70 88 3 1995 427 94 424 14 99 1 1996 441 78 437 88 99 1 1997 533 52 529 07 99 2 1998 540 98 502 53 92 9 1999 562 39 544 71 96 9 2000 582 67 579 21 99 4 2001 521 99 496 05 95 03 2002 456 47 438 81 96 13 2003 429 75 423 15 98 5 2004 410 17 408 80 99 67 2005 430 87 430 87 100 2006 417 00 408 13 98 67 Les plants utilis s par les producteurs de pommes de terre de consommation sont des plants certifi s classes A et B La production de ceux ci exige un plant de meilleure qualit pl
50. pratiquement compl tement en 2002 et 2003 suite l pid mie de peste porcine Le cheptel porcin se maintient relativement constant mais le mouvement de diminution du cheptel porcin reproducteur se poursuit La production de volaille qui avait connu un v ritable essor en 2005 n a pas tout fait pu confirmer ce r sultat et a diminu de 1 par rapport 2005 Les prix de la viande de volaille ont continu augmenter 3 La production laiti re qui depuis 1984 est sous un r gime de contingentement de la production quotas laitiers a poursuivi le mouvement de recul en valeur observ ces derni res ann es En effet alors que la production de lait de vache est relativement stable du fait des quotas laitiers en 2006 on observe toutefois un l ger recul par rapport l ann e 2005 le prix du lait au producteur n a cess de diminuer depuis 2001 Un changement de tendance observ au niveau des statistiques mensuelles du prix du lait depuis le dernier trimestre pourra ventuellement s il se confirme en 2007 renverser la tendance n gative observ e Un montant de 886 000 euros a t pr lev aupr s des producteurs laitiers du fait du d passement de la quantit de r f rence au cours de la campagne 2005 06 et est pris en compte au niveau de la valeur de la production laiti re au prix de base Celle ci a diminu de 3 par rapport 2005 et ne s l ve plus qu 77 millions d euros Pour 2007 le cadre est
51. rale du projet La for t du bois de Herborn est repr sentative pour les h traies ainsi que les ch naies charmaies sur les sols limoneux du Keuper D s pr sent on peut y observer une forte proportion en bois mort voire s nescent ce qui rend cette for t particuli rement int ressante pour le projet de r serve foresti re int grale Cette for t est galement structur e dans son ensemble et assez diversifi e dans la composition de ses essences ligneuses Comme essences principales on retrouve le ch ne rouvre le ch ne p doncul le h tre le fr ne et le charme La for t du bois de Herborn est galement caract ristique pour ses mardelles lesquelles se situent surtout dans la partie est du massif forestier Le projet de r serve foresti re int grale Hierberb sch est enti rement situ dans la Zone Sp ciale de Conservation LU0001016 Herborn Bois de Herborn Echternach Haard qui a t d sign e dans le cadre de la mise en uvre de la Directive Habitats 92 43 C E du Conseil Cette for t a d ailleurs int gralement t propos e comme zone humide dans la d claration d intention g n rale DIG de 1981 La surface d limit e pour le projet contient une superficie de 73 ha laquelle appartient int gralement la commune de Mompach Etat d avancement Le 4 janvier 2006 une pr sentation du projet de r serve foresti re int grale RFI Hieberb sch a eu lieu devant le conseil communal de
52. re p riode du programme de la prime l entretien de l espace naturel et du paysage mesure cofinanc e par l Union europ enne dans le cadre du r glement CE n 2078 92 a t introduite fin 1996 engagements partir de l ann e de r colte 1997 et s adressait uniquement aux agriculteurs Depuis l ann e de r colte 1998 peuvent galement b n ficier de ce r gime d aides les p pini ristes et les viticulteurs pour leurs surfaces exploit es respectivement comme p pini res ou vignobles vignobles en pente moyenne gt 15 et vignobles en pente raide gt 30 Les horticulteurs s y ajoutent partir de l ann e de r colte 1999 arboriculteurs et mara chers de plein air La prime verser au b n fice des horticulteurs est enti rement charge du budget national Le Service d Economie Rurale est charg de la gestion et du contr le administratif des demandes introduites par les agriculteurs horticulteurs et p pini ristes Il pr pare galement les dossiers de paiements correspondants L Administration des Services Techniques de l Agriculture respectivement l Unit de Contr le sont charg s des contr les sur place et en laboratoire Les demandes de prime l entretien du paysage et de l espace naturel introduites par les viticulteurs pour leurs vignobles ligibles sont g r es et contr l es par l Institut Viti Vinicole Cette administration est galement charg e de la pr paration des dossiers
53. s end ans les 3 semaines L tat subventionne cet assainissement par une indemnisation de l ordre de grandeur de 250 par bovin limin La situation de la para tuberculose au Grand Duch se pr sente de la fa on suivante la fin de la premi re campagne de surveillance et de lutte Une classification en fonction du pourcentage d animaux porteurs d anticorps donne la figure suivante Statut A d anticorps positifs 64 00 954 exploitations Statut B lt 5 d anticorps positifs 24 60 368 exploitations Statut C lt 10 d anticorps positifs 7 90 118 exploitations Statut D gt 10 d anticorps positifs 3 50 53 exploitations Les chiffres individuels sont les suivants S rologie 41 564 n gatifs 94 non conclusifs 1 120 positifs soit 42 778 analyses au total Nombre d chantillons de lait analys s 28 599 n gatifs 530 positifs soit 29 129 analyses au total Les analyses par P C R des mati res f cales pr lev es sur des bovins porteurs d anticorps ont donn les r sultats suivants 2 321 n gatifs 225 non conclusifs trait s comme positifs 825 positifs soit 3 371 analyses au total Au vu de cette situation sanitaire et en vue de l limination cons quente des excr teurs du germe pathog ne un assainissement de notre cheptel en mati re de la para tuberculose devrait tre un objectif atteindre moyen terme de fa on r aliste A noter que la 2 campag
54. s dans la construction De plus le site WEB des Routes du Bois www lesroutesdubois lu a t mis jour r visions des r alisations cr ation des suggestions et diff rents publics cibles ont t contact s feuillet sp cial pour les coles a Les visites de r alisations Penser For t Agir Bois L action a t organis e sous forme de deux excursions d une journ e en date du 29 avril 2006 et du 13 d cembre 2006 Elles ont t plac es sous le th me Le bois dans la construction et bois nergie visite de constructions r alis es par des communes luxembourgeoises La s lection des sites visiter a t arr t e sur base d une recherche d objets de r f rence prise de contacts avec des architectes et ing nieurs des entreprises de constructions bois et des communes Les invitations ont t adress es l ensemble des lus communaux aux techniciens communaux et aux d put s membres de la Commission parlementaire de l agriculture de la viticulture et du d veloppement rural et de la Commission parlementaire de l environnement envoi de 1200 cartons d invitations 85 personnes ont particip aux deux visites Les visites ont t relay es dans des articles de la presse crite et dans un reportage de quelques minutes sur la cha ne de t l vision RTL L tzebuerg pour la premi re visite b Le colloque Le bois et ses alli s dans la construction Le 20 octobre
55. 0 PC 001 a Les objectifs du programme national LEADER Les objectifs du programme LEADER au Luxembourg ont t d finis comme suit nitier un d veloppement int gr et durable bas sur un large partenariat en mettant l accent sur la participation des femmes et de jeunes et cela par la valorisation des ressources humaines naturelles et conomiques notamment par l utilisation des nouvelles technologies et de nouveaux know how et par la cr ation de nouvelles cellules d mocratiques de d veloppement r gional permettant de continuer les actions au del de la p riode de programmation b Les grandes lignes du programme national LEADER Conform ment la communication aux Etats Membres de la Commission le programme national propose les th mes f d rateurs suivants Utilisation de nouveaux savoir faire et de nouvelles technologies pour rendre plus comp titifs les produits et les services des territoires Am lioration de la qualit de vie dans les zones rurales Valorisation des produits locaux notamment en facilitant par des d marches collectives l acc s aux march s pour les petites structures de production Valorisation des ressources naturelles et culturelles y inclus la valorisation des sites d int r t communautaire NATURA 2000 Le programme se compose de 4 volets Volet 1 soutien aux strat gies territoriales de d veloppement rural int gr es et pilotes s appuyant sur l approche asc
56. 1 24 LES ACTIVITES DU SERVICE D ECONOMIE RURALE nrrnnnnnerrrrresssnns Il 1 A La division des paiements directs ss Il 2 B La division de la comptabilit agricole du conseil de gestion et de l entraide agricoles nine nn Ron kaSi TAAA ainda ierk esenee Il 3 C La division des statistiques agricoles des march s agricoles et des relations PEE OIK AA E E A AATE Il 5 L EVOLUTION DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE ssssssssnnnsnnnnnnnnnnnnnnnnnnna lil 1 A La politique agricole commune en 2006 Il 1 1 La reconduction de la r forme de la PAC Il 1 2 La simplification de la PAC un chantier permanent Il 2 3 Les n gociations commerciales internationales 1 3 4 Les r unions informelles assssesnneeenetnnettnetnn rttr nenn nnnn nnna ttnn ttnan nann nn annan Ennan nennen Il 4 B Le plan strat gique national du Grand Duch de Luxembourg et le programme de d veloppement rural de la p riode de programmation 2007 2013 Il 4 1 G nerall S e ee neeaae marre estate AEAEE AEE EEEE EEES NER lIl 4 2 Le r sum de la strat gie nationale du Grand Duch de Luxembourg IIl 5 a Axe 1 L am lioration de la comp titivit des secours agricole et OKEI EEA E EEEE SAES 1 5 1 La formation et informations nie sans ete ete dira Des IIl 5 2 Les investissements dans les exploitations individuelles 1 6 3 Les jeunes agriculfeurs sesssse martine ie late tee 1 6 4 Le secteur agroalime
57. 191 9 191 2 172 4 158 8 143 3 112 2 112 5 100 0 102 7 95 8 100 0 88 8 92 1 88 8 98 8 98 8 105 8 108 0 109 2 107 4 105 4 103 4 0 1 100 0 99 8 99 6 99 3 99 7 103 0 103 3 44 1 44 8 51 9 57 9 59 4 69 0 72 9 90 3 102 4 100 0 101 1 97 4 100 0 103 3 87 7 84 6 Tableau 5 Evolution des principaux secteurs de production animale de l agriculture luxembourgeoise Source STATEC jan Bovins dont vaches laiti res dont truies d levage nn e 150 074 161 899 192 772 216 516 224 778 223 108 217 451 213 887 207 862 205 072 205 193 197 257 189 674 186 725 185 235 183 640 Tableau 6 Evolution du cheptel vif nombre de t tes Source STATEC Veaux 0 6 mois Ann e Chevaux 1 Porcelets jeunes porcs et porcs l engrais Bovins de 6 12 mois 102 421 105 670 103 428 83 876 79 315 69 954 75 463 72 640 85 830 80 141 78 540 79 665 84 140 84 611 90 147 84 151 Le cheptel bovin Bovins de Bovins de 2anset plus bar vaches Vaches 1 2 ans laiti res Le cheptel porcin Total des bovins 224 778 223 108 217 451 213 887 207 862 205 072 205 193 197 257 189 674 186 725 185 235 183 640 Total des Truies Verrats Porcins Tableau 7 Les exploitations suivant le nombre de bovins qu elles d tiennent Source STATEC 1 9 bovins 10 19 bovins 20 49 bovins 50 99 bovins 100 bovins et plus TOTAL
58. 2 228 Volailles 745 Ovins amp caprins 1 360 Chevaux amp poulains 234 Agneaux 1 008 Animaux de compagnie 70 La transposition en droit national des directives CE en 2006 Durant l ann e 2006 les directives suivantes ont t transpos es en droit national par le biais de r glements grand ducaux Directive 2005 94 CE du Conseil du 20 d cembre 2005 concernant des mesures communautaires de lutte contre l influenza aviaire et abrogeant la directive 92 40 CEE Transposition par le r glement grand ducal du 11 mai 2006 des mesures de lutte contre l influenza aviaire Directive 2004 68 CE du Conseil du 26 avril 2004 tablissant les r gles de police sanitaire relatives l importation et au transit dans la Communaut de certains ongul s vivants modifiant les directives 90 426 CEE et 92 65 CEE et abrogeant la directive 72 462 CEE Transposition par le r glement grand ducal du 27 avril 2006 tablissant les r gles de police sanitaire relatives l importation et au transit sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg de certains ongul s vivants le r glement grand ducal du 21 septembre 2006 modifiant le r glement grand ducal du 4 mars 1994 d finissant les conditions de police sanitaire r gissant les changes intracommunautaires et les importations en provenance des pays tiers X 24 d animaux de spermes d ovules et d embryons non soumis en ce qui concerne les conditions de police sanitaire d
59. 2006 l Administration des Eaux et For ts a organis le colloque REGARDS CROISES Le bois et ses alli s dans la construction au Centre d Information europ en de Schengen 7 repr sentants des 4 r gions du projet Lorraine Luxembourg Rh nanie Palatinat et Wallonie et de l Autriche et de la France en g n ral ont pr sent leurs exp riences dans ce domaine Cette manifestation a connu un grand succ s aupr s des architectes de la Grande R gion 130 personnes ont particip l v nement La journ e tait structur e en 3 parties Pr sentation du contexte le bois dans l architecture de la pr histoire nos jours La rencontre des mat riaux le bois et les autres symbolique et esth tique compatibilit technique Architecture Exemples choisis de constructions alliant bois d autres mat riaux de construction provenant des 4 territoires de la grande r gion et un repr sentant autrichien Basics and Strangeness for Timberspace Pour garantir un r el change transfrontalier une traduction simultan e fr de a t organis e l occasion de ce colloque L essentiel des interventions a t repris dans un feuillet distribu aux personnes inscrites c L exposition Made in Wood Cette exposition a t r alis e par Bois amp Habitat www bois habitat com en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts et la Fondation de l Architecture et de l Ing nierie
60. 24 600 796 56 euros en d cembre 2005 f vrier 2006 Ce paiement partiel correspondait 80 du montant provisoire de leur prime voire 77 du montant d finitif Le solde d un montant de 17 284 579 02 euros a t allou en juin 2006 Ainsi 1 955 producteurs ont b n fici d un montant total de 31 986 136 05 euros IV 5 La diff rence entre la valeur totale 2005 des droits allou s aux producteurs et le montant pay s explique par les faits suivants Le r gime de paiement unique est soumis la modulation voir section C Le montant total modul s l ve 993 022 19 euros Lors de la cr ation des droits la valeur de la composante r gionale des droits a t fix e de sorte garantir un montant r siduel suffisant dans la r serve nationale pour faire face aux besoins futurs La valeur de la r serve nationale tait de 193 840 95 euros en date du 31 d cembre 2005 La diff rence restante s explique notamment par les faits suivants dossiers en suspens allocations revoir sanctions appliqu es en cas de surd clarations de surfaces de d p t tardif de la demande et d infractions aux r gles de la conditionnalit adaptations provisoires en cas de demande d adaptation de la surface ligibles au paiement unique au nouveau parcellaire de r f rence appliqu partir de l ann e 2006 4 Les transferts de droits ayant pris effet avec la demande de surfaces 2006 Le transfert des droits au paie
61. 265 10 502 279 315 2004 175 204 63 051 16 422 254 677 3 800 1 139 2005 194 432 64 606 18 561 277 599 2 964 1 107 2006 192 124 70 211 15 141 277 476 Y compris les vins mousseux et p tillants base de vins luxembourgeois Y compris les vins mousseux et p tillants base de vins trangers Tableau 13 Stocks de vins et autres produits viticoles indig nes selon les c pages au 31 7 hl Elbling Rivaner Auxerrois Pinot blanc Pinot gris Riesling Gew rztraminer Pinot Pinot noir Divers Mo ts et jus Vin mousseux et cr mant Vin p tillant TOTAL 194 432 192 124 base de vins indig nes Tableau 14 Vente de vins au Grand Duch de Luxembourg hl 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Cr mant mousseux et vin indig ne 83 094 87 295 80 968 76 283 Vin blanc et mousseux trangers 38 155 59 882 55 520 54 296 Vin rouge et ros trangers 127 923 140 725 117 765 126 529 249 172 287 902 254 253 257 108 Source IVV et Statec calcul I V V Chiffres provisoires Tableau 15 Vente de vins au Grand Duch de Luxembourg par habitant litres 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Cr mant mousseux et vin indig ne 18 7 19 3 17 9 16 7 Vin blanc et mousseux trangers 8 6 13 3 12 3 11 9 Vin rouge et ros trangers 28 8 31 2 26 1 27 7 Population 2005 2006 457 250 Source IVV et Statec calcul IVV Chif
62. 6 ainsi que d une sensibilisation du public et en particulier des gestionnaires forestiers qu ils soient publics communaux ou priv s aux sites historiques et culturels pr serv s en for t leur fragilit et sensibilit s et aux imp ratifs d une protection contre d ventuelles destructions b La publication Der Einsatz von Zugpferden in Land und Forstwirtschaft in der Landschaftspflege sowie im kommunalen und touristischen Bereich La conception r dactionnelle de cette publication a d j t achev e en 2005 mais la mise en page d finitive ainsi que l impression de la publication ont t r alis es en 2006 Ce livre se pr sente sous format 205 x 275 mm et comporte exactement 80 pages de texte compl t par des photos des tableaux et des illustrations Un des buts principaux de cette publication est de donner une vue d ensemble sur les diff rentes possibilit s et opportunit s d utilisation du cheval de trait Ces opportunit s se pr sentent au milieu forestier domaine classique de l utilisation des chevaux de trait mais aussi dans des domaines nouveaux comme par exemple les travaux d entretien sur des sites naturels XI 50 sensibles ou des travaux d espaces verts au niveau communal et en milieu urbain ainsi que des activit s touristiques Elle contient en outre des informations pratiques financi res et techniques pour ceux qui d sirent fonder une entreprise de d bardage des informati
63. B pour des informations chiffr es de l ann e 2006 et la production de mati res premi res non alimentaires laboration de formulaires et communications gestion et contr le des contrats de livraison ou d clarations de culture contr le des engagements des collecteurs ou premiers transformateurs travaux en relation avec la gestion de l indemnit compensatoire et de la prime l entretien du paysage et de l espace naturel voir chapitre IV points E et F pour des informations concernant des travaux sp cifiques en la mati re pour l ann e 2006 ainsi que des informations chiffr es laboration de formulaires et communications gestion et contr le des engagements travaux en relation avec les contr les et les proc dures entra nant des r ductions et des exclusions des r gimes de paiement ou bien celles exigeant des remboursements de sommes ind ment per ues travaux en relation avec l laboration de la PAC au niveau de l Union participation aux comit s de gestion de la Commission europ enne et de la mise en uvre de ladite politique au Grand Duch de Luxembourg voir chapitre IV point A travaux en relation avec la gestion du courrier entrant et sortant et avec la banque de donn es des exploitations agricoles La division de la comptabilit agricole du conseil de gestion et de l entraide agricoles Un volet essentiel du travail r alis chaque ann e par la division comptabilit du S
64. Elle tait ouverte au grand public et aux professionnels du 9 novembre au 14 d cembre 2006 la Fondation de l Architecture et de l Ing nierie Un vernissage a t organis pour louverture de l exposition Plusieurs visites guid es ont t organis es pour des classes du Lyc e technique de Mamer Le nombre de visiteurs est estim plus de 1000 personnes XI 4 L v nement s est adress au grand public et aux professionnels concern s par la construction l architecture ou le design et propose des niveaux de lecture diff renci s et adapt s aux int r ts de chacun de ces publics Un parcours au terme duquel l vidence de l utilisation du bois dans l architecture et le design s impose naturellement Le fil rouge de cet v nement tait d offrir une vision diff rentielle de l architecture et de la construction en bois li e aux sp cificit s des quatre r gions L exposition a abord six th matiques et a d but sur un panorama de l architecture bois travers des exemples choisis dans les quatre r gions et des projets prestigieux pingl s aux quatre coins du monde Le commentaire a voqu les questions urbanistiques et celle de l int gration de la construction en bois dans l environnement Apr s ce tour d horizon architectural le visiteur tait invit comprendre comment le bois gr ce des propri t s techniques et cologiques bien particuli res est un mat riau liant tradition et haute techno
65. En ce qui concerne le suivi scientifiques des esp ces un inventaire des chauves souris a t r alis dans le courant de cette ann e La m thode utilis e est identique celle qui avait t appliqu e pour les autres r serves foresti res int grales Il s agit d un comptage qualitatif au moyen de filets ainsi qu l aide de d tecteurs ultra sons Dans le cadre du relev des habitats forestiers la r serve foresti re int grale du P ttenerb sch est la quatri me r serve tre inventori e D s lors un bureau d tudes a eu pour mission d implanter le quadrillage des placettes permanentes afin de pouvoir proc der au relev des points de sondage l ann e prochaine Le projet de r serve foresti re int grale Grouf Remerschen Description g n rale du projet La sp cificit du site Grouf r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le terrain est vallonn avec diff rents types d expositions Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe un vingti me de la zone R sineux feuillus en m lange broussailles et arbustes recouvrent le restant de la future RFI XI 44 La zone d limit e pour
66. Mompach Le but principal de cette pr sentation tait de discuter avec la commune des deux XI 48 propositions de d limitation pour la future RFI lesquelles leur avaient t soumises auparavant Le 20 janvier 2006 le conseil communal de Mompach a d cid de participer avec une partie de sa for t communale au projet de r serve foresti re int grale A la suite de cette d cision un bureau d tudes a re u comme mission d tablir un dossier de classement Une r union de d marrage du projet a eu lieu la commune de Mompach k Les autres projets de r serves foresti res int grales RFI en cours Le 15 f vrier 2006 le projet de la r serve foresti re int grale Houbierg a t pr sent devant le conseil communal de Beckerich Ce projet de zone prot g e se trouve sur le territoire des communes de Hobscheid et de Beckerich et est essentiellement constitu de h traies cath drales La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus Les peuplements forestiers feuillus dominance de h tre sont actuellement tr s r guliers et globalement g s avec une absence quasi compl te de hauts perchis et de jeunes futaies Or la politique foresti re s oriente de plus en plus vers une sylviculture proche de la nature pour laquelle une des caract ristiques principales est la pr sence de futaies structur es c est dire irr guli res en terme d ge et m lang
67. Notre r gion viticole repr sente 0 04 du vignoble de l Union europ enne 2 Le march du vin Selon le bilan provisoire concernant les r sultats de la campagne 2005 2006 au 23 janvier 2007 la production totale dans l Union europ enne 25 s l ve 174 473 Mio hl et est l g rement inf rieure la moyenne des 5 derni res campagnes et inf rieure de 10 la campagne pr c dente La disponibilit totale des vins pour la campagne 2005 2006 stocks production importations s levant 357 917 Mio hl se r partit comme suit 133 719 Mio hl pour la consommation humaine 37 37 060 Mio hl pour la transformation 10 dont 25 872 Mio hl pour les aides pr vues au r gl CE n 1493 99 aide au stockage distillation mo t concentr mo t concentr rectifi distillation de crise 14 886 Mio hl pour l exportation hors de l Union europ enne 1 145 Mio hl perte En fin de campagne 171 107 Mio hl sont rest s en stock Les stocks ont diminu de 9 256 Mio hl par rapport aux stocks de la campagne pr c dente 5 14 886 Mio hl ont t export s vers des pays tiers tandis que 11 861 Mio hl ont t import s de pays tiers par les pays de l Union europ enne En comparaison avec les campagnes viticoles pr c dentes le tableau suivant montre que la consommation de vins stagne par rapport la campagne pr c dente mais qu elle est nettement sup rieure aux campagnes ant rieures Le
68. Recommandations 235 Proc s verbaux provisoires 53 Proc s verbaux d finitifs 276 Proc s verbaux communes et 51 tablissements publics Refus 41 Total 953 Sur 382 proc s verbaux r alis s durant l ann e 2006 220 dossiers traitaient de plantation r g n ration lagage conversion et d claircie repr sentant au total une superficie de 276 ha le restant des dossiers traitant de d bardage au cheval chemins forestiers protection individuelle et mise en place de cl tures Quant aux chemins forestiers 4 projets ont pu tre achev s en for t priv e soit une longueur totale de 2 200 m En outre 7 projets ont t r alis s en collaboration avec les communes soit 10 600 m Les aides pour claircies restaurations comprises et pour les travaux de d bardage au cheval ont domin les autres subventions Leur nombre n a que peu augment par rapport 2005 soit une augmentation de 5 Le volume d bard a diminu de 18 500 m 16 000 m soit une r duction de 16 Au total quelque 754 000 de subventions ont t liquid s par le bureau du cantonnement de Wiltz La for t priv e Le cantonnement forestier travaille en troite collaboration avec le Groupement forestier de Wiltz Ainsi une partie des excursions foresti res organis es par ce groupement a t assur e par le personnel du cantonnement En outre chaque fois qu une occasion s y pr te le personnel du cantonnement sou
69. Sylviculteurs fait galement un contr le en deux phases La premi re phase est l audit externe du SME en tant que tel au sein des diff rentes instances concern es par son fonctionnement La deuxi me phase de l audit externe est un contr le de terrain sur base d un chantillon des propri taires qui ont sign l engagement de qualit Le plan de d veloppement rural En 2007 l Administration des Eaux et For ts a poursuivi son travail pour la mise en uvre du R glement CE 1698 2005 du Conseil du 20 septembre 2005 concernant le soutien du d veloppement rural par le Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural FEADER en droit luxembourgeois Ce r glement CE contient les dispositions applicables concernant les aides pour les secteurs agricole et forestier Apr s la finalisation en 2005 de la strat gie nationale les prochaines tapes consistaient en 2006 d finir les mesures nationales du Plan de D veloppement Rural 2007 2013 pouvant profiter d un cofinancement de la part de la CE et r diger les diff rentes fiches contenant les d tails de ces mesures ainsi que les fiches avec les justifications conomiques correspondant aux diff rentes mesures Comme ces nouvelles mesures doivent tre d int gr es dans le r glement grand ducal concernant les aides aux mesures foresti res l Administration des Eaux et For ts r digera en 2007 un avant projet de r glement grand ducal y relatif Le pro
70. Total Vin de table 7 789 3 1 656 48 9 496 Vin de qualit 32 372 160 1 620 946 219 35 317 P tillant 3 063 2 385 5 448 Jus de Raisin 9 1 9 1 6 26 Total 48 131 190 3 533 3 529 249 55 632 Tableau 8b Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature et les pays destinataires pendant la campagne 2005 2006 hl Belgique Pays Bas Allemagne France Autres Total Vin de table 8 503 2 391 45 0 8 941 Vin de qualit 33 076 164 7 047 995 251 41 533 P tillant 2 825 0 0 2 349 0 5 174 ee s 5 244 25 248 177 41 5 735 Jus de Raisin 5 0 1 1 1 8 Total 49 653 191 7 687 3 567 293 61 391 Tableau 9 Exportations de vins de qualit luxembourgeois suivant leur classification qualitative hl TOTAL CAMPAGNE VITICOLE 2005 2006 CEPAGES BELGIQUE PAYS BAS ALLEMAGNE FRANCE AUTRES AUTRES TOTAL PAYS UE PAYS HORS UE Elbling 1 1 290 4 511 13 0 0 1 818 Rivaner 1 21 060 35 92 311 11 6 21 515 2 113 15 24 18 7 0 177 Auxerrois 1 620 22 246 66 2 3 959 2 0 0 5 0 foo 0 0 5 3 314 1 1 398 2j 0 0 1 715 4 130 5 80 37 73 1 326 1Pinot Blanc 1 656 11 72 S 48 0 881 2 0 0 0 0 0 0 0 3 734 5 1 402 0 0 0 2 141 4 93 13 40 17 3 3 169 Pinot Gris 1 1 715 10 50 31 1 9 1 816 2 0 0 15 0 0 0 15 3 1 771 1 1 403 5 0 0 3 180 4 351 13 67 45 7 3 486 Riesling 1 946 6 70 249 8
71. UE esp ce d animaux 2003 2004 2005 2006 bovins d levage et de rente 3277 4207 4255 5897 bovins de boucherie 2313 2426 1963 1642 porcs d levage et de rente 39263 46876 52790 57139 porcs de boucherie 38661 42386 39829 32485 chevaux 45 57 114 96 ovins 884 855 660 337 caprins 521 300 892 1063 volailles 184001 104579 179490 134453 chiens 41 185 305 71 embryons bovins 415 1248 n d n d sperme doses 48720 50733 n d n d autres n d n d 581 5316 esp ce d animaux 2003 2004 2005 2006 bovins d levage et de rente 6581 4602 6119 4917 bovins de boucherie 14884 16459 16912 17828 veaux 15519 15322 14399 12691 porcs d levage et de rente 173 335 223 334 porcs de boucherie 14327 30835 40807 48967 porcelets 1310 2659 7095 10906 chevaux 39 19 63 26 ovins 583 357 745 785 caprins 654 1073 651 350 lapins 4869 4362 5259 6166 autruches 47 0 0 0 volailles 30869 32497 44016 45555 singes 0 1 0 3 embryons bovins 24 28 4 12 sperme bovin doses 6325 627 954 679 sperme quin doses 0 327 0 0 sperme porcin doses 0 0 527 1714 abeilles colonies 0 0 82 8 X 18 P LF Findel I Animaux vivants Provenance Autres cam lid s alpacas Autres l pidopt res chenilles Chile id Equid s enregistr s Australie Destination Allemagne Allemagne Finlande France Norv ge Pays Bas Pologne Royaume Uni Suisse Allemagne Belgique Pays Bas Belgique France Italie Pays B
72. VII 5 3 Les relations publiques VII 5 4 Les mesures ligibles au PDR et leur mise en uvre financi re VII 6 5 La programmation du nouveau PDR 2007 2013 VII 9 C L initiative communautaire LEADER au Luxembourg VII 10 Le contexte G n rales ete tend Art ne An RER Se one VII 10 a Les objectifs du programme national LEADER VII 10 b Les grandes lignes du programme national LEADER VII 10 c La zone ligible LEADER mienei en denedetnnirannetes VII 10 2 La mise en uvre financi re et technique VII 11 3 L valuation ex post ss VII 11 4 Les relations publiques VII 11 5 Les projets pilotes lanc s en 2006 e nnnssnnnseseeersersserrsrrrrerrtrrrtrrrreeerreerrerreet VII 12 6 Les activit s du r seau national LEADER aeeseseeeseeerrreessrrrrrrrssssrerrrrrere VII 12 VIII LE REMEMBREMENT DES BIENS RURAUX aaassssssnnnnnnrnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn nne VIII 1 A Les op rations pr paratoires au remembrement nsseesseneeeneetreeeneerne rrn ne nnne ennenen VIII 1 B Les travaux de relotissement parcellaire VIII 2 1 L ouverture des op rations sssssseeseeeeeeeseeeereestersttestretttetrrerrreserer rren reeen neee ee n VII 2 2 La classification des terres VIII 2 3 1L tud d IMpPACLE RAS RSA RE AT fe ete ane E peut enr
73. X 28 R sultat de 2006 Total Evaluation de la s rologie par rapport l tat infectieux des troupeaux porcins Pr ambule Le risque d une infection de la porcherie est lev quand la s ropr valence d passe les 20 dans un chantillonnage statistiquement repr sentatif Il est moyen quand la s ropr valence est entre 10 et 20 Il est faible quand la s ropr valence est inf rieure 10 Les analyses ont r v l que 23 exploitations ont une s ropr valence gt 20 16 exploitations s ropr valence gt 20 ont fait abattre plus de 20 porcs pour les exploitations ayant fait abattre plus de 20 porcs la s ropr valence la plus lev e est de 65 Conclusion Il est imp rieux de diminuer la pr valence au maximum en commen ant par analyser bact riologiquement les exploitations tr s hauts risques et appliquer ces exploitations des plans d assainissement Antibiogrammes des salmonelles R sistant_ Interm diaire 7 0 0 4 0 0 0 0 imuri 0 imuri 6 imuri 9 i 7 2 monopn o Jamoeme monoph Ampicilline 2 0 Salmonella enterica monoph Cephazoline 0 0 monogr oea omoramprenico monoph Chloramphenicol 0 0 Re js monoph Colistine 0 0 Salmonella typhimurium X 29 R sistant Interm diaire Sensible Salmonella enterica o i Salmonella enterica o i Salmonella enterica moropn A neomyeme monoph Neomycine o 0 R sistant Interm diaire S
74. abattus d un poids lt 35 kg qui sont remis aux centres de collecte g r s par les agents de l Administration des Eaux et For ts Les r sultats de ce monitoring sont repr sent s dans le tableau la page suivante X 2 mois abattus sero sero SERO viro sero lt 1an sero lt 1an SERO lt 1an abattus lt 1 an abattus lt 1an janv 03 273 74 177 29 48 2 19 16 67 128 46 89 f wr 03 234 ez 148 3116 1l 24 100 1935 137 58 55 mars 03 76 22 50 sose 0 7 30 1892 4o 52 63 avr 03 142 61 61 50 00 of 14 sa 2917 61 42 96 mai 03 EEE E E EEE O EEE EEE 49 61 juin 03 235 122 93 seta of ss 48 54 89 zo t03 120 54 55 49 54 22 29 43 14 59 49 17 sept 03 is e a oa 21 Z so S 46 90 oct 03 7o3 342 259 5691 o l 128 168 4324 366 52 06 nov 03 1247 516 507 50 44 o 20 315 3895 646 51 80 d c 03 762 319 331 4908 ofj 102 181 3604 349 45 80 janv 04 500 197 263 4283 o sa 159 2673 265 53 00 f vr 04 249 93 137 4043 ol 3a f 30 33 137 55 02 mars 04 135 43 86 3333 o 20 45 30 77 59 43 70 avr 04 112 59 50 5413 of 22 25 4681 46l 41 07 mai 04 te O ETCS S7 5 ZE 36 92 juin 04 50 50 56 83 zo t04 123 56 64 46 67 z e 31 75 65 52 85 sept 04 110 54 48 5294 0 15 31 46 36 octo4 388 197 154 56 13 ol 3 72 3394 124 31 96 nov 04 1156 551 512 5183 o 199 309 39
75. agriculteurs Ainsi pour la p riode culturale 2002 environ 403 exploitations ont introduit environ 689 demandes distinctes au total principalement de nouvelles demandes ainsi que quelques demandes de modlification renforcement d engagements existants Pour la p riode culturale 2003 la date limite de d p t de demande tant le 1 ao t 2002 276 exploitations ont introduit 372 demandes distinctes au total 60 70 de ces demandes ont t introduites par des exploitations ayant d j particip aux mesures agro environnementales pendant un cycle quinquennal complet 1998 IX 5 2002 et ont renouvel ou renforc leurs engagements pour une nouvelle p riode de 5 ans Pour la p riode culturale 2004 la date limite de d p t de demande tant le 1 ao t 2003 193 exploitations ont introduit 228 demandes distinctes au total Environ 40 50 de ces demandes ont t introduites par des exploitations ayant d j particip aux mesures agro environnementales pendant un cycle quinquennal complet 1999 2003 et ont renouvel ou renforc leurs engagements pour une nouvelle p riode de 5 ans Pour la p riode culturale 2005 la date limite de d p t de demande tant le 1er ao t 2004 137 exploitations ont introduit 172 demandes distinctes au total Environ 28 de ces demandes ont t introduites par des exploitations ayant d j particip aux mesures agro environnementales pendant un cycle quinquennal complet 2000
76. agroalimentaire au sens large tant en amont qu en aval de l agriculture est loin d tre n gligeable dans l conomie luxembourgeoise Il convient galement de relever le r le social cologique et d occupation du territoire de l agriculture multifonctionnelle et durable telle que pratiqu e au Luxembourg et dans les pays membres de l Union Europ enne Par ailleurs l agriculture contribue d j actuellement et de fa on grandissante au d veloppement des ressources d nergie renouvelable du Luxembourg Les indicateurs conomiques analys s ci dessus ne permettent pas de rendre compte de la production de valeur par l agriculture sur le plan de l environnement de la qualit du paysage du maintien et de la diversification des activit s en milieu rural La quantification de ces fonctions au moyen de processus de certification des modes de production agricoles visent ce que les services rendus soient honor s par les consommateurs au moment de l achat des produits alimentaires r pondant un certain cahier de charges Par ailleurs ces fonctions sont prises en compte au niveau de la politique agricole par l am nagement d un syst me de paiements allou s en contrepartie des services rendus sur le plan de l environnement de la qualit du paysage et de maintien des activit s en milieu rural Tableau 1 Importance de l agriculture dans l conomie luxembourgeoise source STATEC 1995 2000 2001 2002 2003 2004 2005
77. cours des ann es 2005 et 2006 Une premi re estimation de l volution de l indicateur de revenu agricole A avait t faite en novembre 2006 et avait fait l objet d un communiqu de presse en d cembre 2006 Ce communiqu faisait tat d une augmentation du revenu agricole r el par actif de 4 Depuis lors une deuxi me pr vision des CEA pour 2006 a t r alis e dont il est tenu compte dans le pr sent rapport d activit Certains postes comme les bovins les porcins et le lait ont t revus la baisse d autres comme les c r ales ont t revus la hausse et l augmentation du revenu agricole r el par actif est maintenant de 0 8 Les r sultats d finitifs des CEA pour 2006 ne seront disponibles qu en septembre 2007 1 15 Tableau 4 Les prix nets au producteur d part ferme hors TVA source SER prov froment panifiable dt 12 64 froment fourrager dt 10 91 peautre dt gt seigle panifiable dt 10 66 seigle fourrager dt orge fourrag re dt 10 78 orge de brasserie dt 14 30 avoine dt 9 92 ma s grain dt triticale dt 10 66 colza alimentaire dt 17 25 colza industriel non alimentaire dt 12 64 dt 11 90 dt 11 90 pommes de terre de consommation dt 21 57 plants de pommes de terre dt 7 raisins destin s la vinification dt 75 53 viande bovine kg poids ab 2 86 viande de veau kg poids ab 5 83 veaux de 1
78. d finies pour l admission la Marque Nationale ainsi que l analyse de v rification de l identit de ces produits embouteill s apr s l obtention de la Marque Nationale prescrits par le r glement grand ducal du 6 f vrier 2007 Le tableau ci dessous r sume le nombre des diff rentes analyses effectu es au cours de l ann e 2006 au laboratoire de l IVV Analyses de contr le des mo ts 2 068 Analyses individuelles sur demande 26 971 Analyses pour admission la Marque Nationale et 11 375 analyses de v rification de l identit i Lors du suivi de la maturit des raisins depuis fin ao t jusqu au d but de la vendange des analyses syst matiques ont t effectu es cette ann e non seulement sur des raisins issus du vignoble de l IVV mais galement de parcelles de toute la Moselle en collaboration avec les vignerons ind pendants Durant ce mois les analyses des mo ts portaient sur le taux de sucre naturel le pH l acidit totale et nouvellement sur les acides organiques tels l acide L malique et l acide tartrique Ces analyses non payantes servent d informations pr cieuses aux viticulteurs en vue d une bonne pr paration des vendanges Pendant toute l ann e le laboratoire de l Institut viti vinicole effectue les analyses qui sont principalement des analyses de base tels la valeur pH l acidit totale l acide ac tique l acidit volatile l acide tartrique l acide malique les sucres r siduels le
79. de paiement en question La prime l entretien du paysage et de l espace naturel vise notamment encourager l entretien des surfaces en honorant l activit des producteurs en tant que prestataires d un service d entretien de l espace naturel et du paysage En outre elle cherche maintenir sous exploitation l ensemble des surfaces vocation agricole viticole ou horticole dans le respect des formes d exploitation adapt es au milieu naturel et au paysage et respectueuses de l environnement Dans le cadre de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural une nouvelle r glementation instituant une prime l entretien du paysage et de l espace naturel et l encouragement d une agriculture respectueuse de l environnement fixant les modalit s de paiement et de contr le de la prime l entretien du paysage et de l espace naturel a t introduite Des adaptations ponctuelles du programme ont t n cessaires afin de se conformer au r glement communautaire CE No 1257 99 tant donn que cette mesure est cofinanc e raison de 50 Les exploitants ont ainsi pu s inscrire ce programme nouvellement d fini Certains ont par Depuis l ann e culturale 2004 2005 tous les anciens programmes sont venus terme Peuvent b n ficier selon le r glement grand ducal modifi du 1 octobre 2002 de ladite prime tous les producteurs dont l exploitation est situ e sur le territoire du Grand
80. de r sineux propos s aux ventes r gionales 13 480 m ont t vendus en pr vente voire en vente sur pied Tel qu indiqu plus haut la vente de bois feuillus a t limit e du bois de trituration et du bois de chauffage Vu l explosion des prix p troliers en 2005 la forte demande sur le march du bois de chauffage se confirme Une stabilisation XI 25 de cette demande un niveau lev n est toujours pas en vue ceci malgr les cabrioles du prix du p trole durant l exercice coul 50 81 baril Actuellement le prix du bois de chauffage se situe 40 m pour du bois long bord de route soit une hausse de 33 par rapport 2005 Suite la hausse des prix des bois r sineux not e en octobre 2005 cette tendance s est confirm e en 2006 Ainsi les prix moyens retenus lors de la vente en octobre se situaient 122 6 du prix de base Les meilleurs prix d passaient les 140 Lors d une deuxi me vente en novembre cette hausse a t r affirm e avec un prix moyen arr t 135 2 soit 78 4 m pour les dimensions 2b 3a et une hausse de 43 par rapport l automne 2005 54 7 m Ces prix s entendent hors TVA d bard s bord de route c Le bois de chablis En for t soumise les d g ts de chablis taient minimes en 2006 seule la for t priv e notait quelques d g ts durant les temp tes de d cembre d L tat sanitaire des for ts e Gr ce l hiver tardif
81. de viande ceci en raison de la situation conomique incertaine de ces derniers Par la suite il s est av r que la fabrique de viande peut continuer ses activit s de production sur le site de l Agrocenter et le d partement a revu sa d cision initiale et a int gr la partie de l investissement relative la production de chaleur et de vapeur pour les besoins de la fabrique de viande hors abattoir Le montant ligible pour l investissement est port 425 318 22 hors T V A A ce montant correspond un montant total d aide de 148 861 38 le taux d aide tant de 35 Le plan de financement global pour le projet initial et le projet compl mentaire se pr sente comme suit Projet initial Projet net Total projet compl mentaire Montant du devis pr sent 476 986 33 476 986 33 Montant du devis retenu 5 impr vus inclus 160 590 79 264 727 43 425 318 22 Part du demandeur 65 104 384 01 172 072 83 276 456 84 Part de l Etat 35 56 206 78 92 654 60 148 861 38 Le financement de la partie de l investissement du projet restant apr s allocation des aides publiques est assur par les moyens propres de l entreprise Projet d investissement pr sent par la s r I Luxviande relative la modernisation et la restructuration de la fabrique de viande tablie l Agrocenter de Mersch L abattoir et la production de viande fonctionnant depuis 40 ans les disp
82. des parcelles un objectif de gestion est pr cis dont d coulent les interventions propos es Les op rations sylvicoles pr vues ont t ventil es sur la d cade d application de l am nagement Pour certaines parcelles une tude du sol et de la v g tation a t effectu e pour argumenter les orientations sylvicoles propos es Pour d autres parcelles un inventaire dendrom trique bas sur un chantillonnage syst matique a t r alis afin d obtenir des renseignements sur la distribution des classes de grosseur Le maillage utilis pour cet chantillonnage syst matique a t de 70mx70m soit 2 points par ha Les mesurages dendrom triques ont t r alis s sur des placettes circulaires temporaires c est dire o les centres des placettes n ont pas t mat rialis s Un chiffrage du volume de bois sur pied exploiter par cat gorie de produits a t calcul afin de pr ciser l quilibre financier de la gestion d Le Plan Simple de Gestion de la for t communale de Schifflange 58 ha Les travaux en relation avec l tablissement d un plan simple de gestion pour la propri t foresti re de la commune de Schifflange ont t entam s en 2006 mais aboutiront seulement courant 2007 2 Les inventaires forestiers d am nagement a Les instructions pour la r alisation des travaux d inventaire d am nagement Les instructions du Service de l Am nagement des Bois pour la r alisation par des burea
83. des tests Test n gatifs douteux positifs ELISA 0 971620927 0 002197391 0 026181682 PCR 0 680844823 0 06600176 0 242006454 A c t des screenings le LMVE ex cute galement les tests s rologiques et bact riologiques des bovins import s et des cas de suspicion de para tuberculose clinique La fi vre catarrhale ovine FCO La FCO est une maladie virale affectant les biongul s domestiques et sauvages Elle est transmise par la piq re de moucherons tant donn qu elle figure sur la liste A de l OIE et est entravante pour le commerce du b tail le LMVE ex cute la s rologie l aide d un test ELISA Les s rologies non n gatives sont sous trait es au C E R V A qui fait un test PCR pour d tecter le virus Pathog ne Test chantillon Esp ce N gatifs Douteux Positifs Total FCM ELISA Sang bovins 3349 2 16 3367 FCM ELISA Sang ovins 554 3 1 558 FCM ELISA Sang caprins 25 0 0 25 Total 3950 X 25 valuation des r sultats Esp ce n gatifs douteux positifs Bovins 0 994653995 0 000594001 0 004752005 Ovins 0 992831541 0 005376344 0 001792115 Caprins 1 0 0 R sultats des chantillons sous trait s Identification ELISA PCR en confirmation LU98325931 dE LU98472625 LU98316161 LU98387696 LU370646 positif LU98 192892 LU98666210 LU98666212 Positif o LU98666211 Positif
84. des textes l gislatifs nationaux et de la r alisation du programme pluriannuel de contr le X 1 B L Administration des Services V t rinaires Nombre de v t rinaires Inspection V t rinaire Laboratoire de M decine V t rinaire V t rinaires praticiens Prestataires de service Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement rural Sant animale Protection animale Minist re de la Sant Poste d Inspection Frontalier Sant Publique NX Administration des Services V t rinaires Laboratoire de M decine V t rinaire t V t rinaires praticiens C La situation sanitaire 1 La peste porcine classique L historique de la r cente pid mie de la peste porcine classique nous fait remonter la d tection du 1 cas de cette maladie sur un sanglier fin octobre 2001 et le 1 foyer dans les porcs domestiques en f vrier 2002 pour noter jusqu en ao t 2003 un total de 13 foyers entra nant l abattage sanitaire de quelques 18 410 porcs La mise en place des campagnes de vaccination orale des sangliers contre la peste porcine classique en 2003 et 2004 a finalement contribu l radication officielle sur notre territoire au mois d ao t 2004 c est dire 12 mois apr s le dernier cas de cette pid mie au lourd tribut conomique pour les propri taires et notre cheptel porcin La surveillance de cette maladie est assur e actuellement par l examen s rologique des sangliers
85. destin s am liorer 31 07 2006 929 262 73 351 072 59 35 40 l assurance qualit en production Domaines de Vinsmoselle investissements divers au cours des ann es 2006 et 2007 03 07 2006 472 147 20 165 251 52 35 Caves Bernard Massard Re pour vins luxembourgeois cr mants et vins 03 07 2006 800 873 00 286 790 96 35 40 Installation d un nouveau moulin pour bl tendre 10 11 2006 Moulins de Kleinbettingen Kleinbettingen p 22 12 2006 9 498 784 05 3 575 571 90 35 40 g 25 01 2007 Cep d Or Divers quipements de vinification 22 11 2006 124 872 59 43 705 41 35 Luxlait Nouvelle unit de production laiti re sur le site du Roost 05 12 2006 112 424 859 98 41 731 649 43 35 40 Synplants Acquisition de divers quipements pour les halls de stockage 05 12 2006 251 916 52 88 170 78 35 Clervaux et Eselborn VI 12 VII LE DEVELOPPEMENT RURAL A L tat actuel des Plans de D veloppement Communaux PDC Depuis 1990 le Service du D veloppement rural du Minist re accompagne activement les communes dans l laboration des programmes et plans de d veloppement rural P D C Outre une assistance logistique et technique il participe aux frais d laboration des programmes de planification communale raison d un taux maximal de 50 du co t total charge des communes commettantes Dans l optique d une planification concert e le Service du D veloppement rural et la dispo
86. domaine forestier communal de Wormeldange ce qui correspond une densit moyenne d 1 point de sondage pour 1 1 hectare En outre ces points de sondage r pertori s ont t compl t s par de nombreux coups de sonde interm diaires simplifi s afin de v rifier la continuit d une unit p dologique et de pr ciser ainsi les limites de celle ci S lectivement un test l acide HCI 20 est pratiqu sur la charge la terre fine ou le substrat afin de d tecter la pr sence de calcaire Pour un sondage sur deux un chantillon de sol est pr lev une profondeur moyenne de 15 et 20 cm dans l horizon min ral Ah afin de d terminer le niveau trophique des stations par l interm diaire de l analyse du pH Ces chantillons sont collect s individuellement et le m me jour mis s cher l air libre L analyse du pH eau est r alis e 48 72 heures plus tard Afin de mieux appr hender les diverses natures du sol et en particulier la structuration des sols lourds 9 profils fosses p dologiques ont t r alis s Des chantillons de terre 500g y ont t pr lev s entre 10 et 20 cm et vers 50 60 cm de profondeur et ont fait l objet d une analyse chimique Les l ments suivants ont t mesur s pour chaque chantillon pH H20 pH KCI teneur en K P Mg Ca Na Mn ainsi qu une analyse granulom trique pour les chantillons pr lev s en surface R sultats de l aptitude stationnelle Dans la for
87. droits au paiement unique Depuis l tablissement et l allocation des droits il s est av r que pour certains producteurs il importe de revoir le calcul des droits notamment pour les raisons suivantes changements au niveau des montants de r f rence dus des volutions r troactives connues au niveau des quantit s retenues pour le calcul changements au niveau de la surface ligible en 2008 demandes de r duction de la surface ligible en 2005 la surface exploit e selon le nouveau parcellaire de r f rence utilis partir de l ann e 2006 parcellaire bas sur l entit parcelle agricole et tabli l aide de techniques GIS En effet dans certains cas les producteurs ont constat que suite la phase de validation du nouveau parcellaire de r f rence men e de juin 2005 jusqu en mars avril 2006 leurs surfaces exploit es selon le nouveau r f rentiel sont plus petites que selon le r f rentiel utilis pour les d clarations de surfaces jusqu en 2005 inclus savoir le parcellaire cadastral Ainsi afin d viter que ces producteurs disposent partir de l ann e 2006 d un nombre de droits sup rieur au nombre d hectares ligibles ce qui conduirait une non utilisation syst matique d un certain nombre de droits qui moyen terme risqueraient de tomber dans la r serve nationale les producteurs en question ont pu demander une diminution du nombre de leurs droits au nombr
88. du SDR ont galement inform tous les membres des GAL sur la future mise en uvre de l approche LEADER dans leurs r unions de comit respectives Ensemble avec le Service d Economie Rurale une brochure sur le d veloppement rural dans la nouvelle p riode de programmation 2007 2013 Axe 3 Qualit de la vie en milieu rural et diversification de l conomie rurale et Axe 4 Approche LEADER a t publi e VII 11 Dans le LEADER Magazine de la Commission europ enne un projet du GAL L tzebuerger Musel a t pr sent dans l article Apprendre en s amusant la cour d cole un lieu d apprentissage de la vie 5 Les projets lanc s en 2006 En 2006 les comit s des 5 GAL ont introduit 54 demandes pr alables au Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement rural pour la r alisation de projets Nombre de dont volet 1 dont volet 2 demandes aai 2 GAL pr alables projets r gionaux projets de coop ration Redange Wiltz 8 7 1 Clervaux Vianden 4 4 l Mullerthal 14 11 3 L tzebuerger Musel 17 14 3 A schdall Plus 11 11 l TOTAL 54 47 7 6 Les activit s du r seau national LEADER Suite au cong de maternit suivi d un cong parental de la coordinatrice du R seau national LEADER l animation du r seau est assur e par les responsables de l approche LEADER au sein du minist re partir de mars 2006 En 2006 les activit s d
89. du SER dans le domaine de la statistique agricole de l organisation des march s agricoles et des relations ext rieures Les informations statistiques labor es par la division concernent principalement la production agricole les prix des produits agricoles d part ferme et des entrants agricoles et les comptes conomiques de l agriculture Ces informations statistiques sont labor es selon des m thodologies d finies sur le plan communautaire et sont communiqu es EUROSTAT instance responsable au sein de la Commission de l UE pour l harmonisation et la publication des statistiques sur le plan communautaire Elles sont galement publi es dans le rapport d activit du Minist re de l Agriculture et dans les publications du STATEC Les informations statistiques sont mises disposition des utilisateurs minist res ou administrations instances professionnelles du secteur agricole op rateurs du secteur agroalimentaire luxembourgeois agriculteurs particuliers sur le site Internet du Service d Economie Rurale et sur demande adresser au Service d Economie Rurale Le SER collecte les informations de base directement aupr s des acteurs conomiques agriculteurs associations agricoles entreprises op rant dans le secteur agroalimentaire ou utilise les informations labor es au sein du Service d Economie Rurale informations provenant du syst me int gr de gestion et de contr le ou du r seau de comptabilit s ou d
90. du paysage et de l espace naturel au b n fice des agriculteurs des horticulteurs et des p pini ristes IV 19 V LE FINANCEMENT DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE PAR LE FONDS EUROPEEN D ORIENTATION ET DE GARANTIE AGRICOLE F OBAN SR SU nn entend ess a amer A V 1 La section garanties eletssenetnanses sn n retiennent tente V 1 B La section orientation iii V 1 VI L APPLICATION DE LA LOI CONCERNANT LE SOUTIEN AU DEVELOPPEMENT RURAL nn a nn aiina innana VI 1 A Les aides aux exploitations individuelles nenene rnern nenn n ennnen nrnna VI 1 B Les aides a x collectivit s e panee a a de fans a AE aiai VI 1 C La description succincte des projets VI 1 D Le r sum des d penses charge du Fonds d orientation conomique et sociale au cours de l exercice 2006 VI 11 E La situation du Fonds d orientation conomique et sociale VI 11 VII LE DEVELOPPEMENT R RAL Sn n e VII 1 A L tat actuel des Plans de D veloppement Communaux PDC VII 1 B L encouragement l adaptation et au d veloppement des zones rurales dans le cadre de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural ss VII 5 1 Le contexte g n ral sinusite tt eebintette tete VII 5 2 La zone ligible au volet 5 du PDR
91. ene ennnen natnn nn annaran ennn nnn nenn n ennn nnn nenna IX 16 a L engagement au niveau international IX 16 b Le Service atrnveal natanalsss sssns nt eee re QU er IX 16 c L apiculture et la marque nationale du miel IX 17 5 Le service de la mutualit agricole neeeeeeeeeeeeeeeeseereerrrrssssrrerrnsssssrrereennen IX 17 C L nit d contr le ss s same menant ren tra tige ann ere er ER Ai ee IX 18 D La division des laboratoires de contr le et d essais IX 18 1 Le service de p dologie ssseses sense nement IX 18 a La cartographie des SOS serie lens dr ce nn IX 19 bles analys s d S0l8 2 ane eamh o SR Re tee CT Re E hipiai IX 19 2 Le service d analyse des fourrages eeeeesseesererertttteeesritirrrnnsssstttinnrnnsnnseene IX 20 3 Le service de chimie et de recherche de r sidus aneenennneeeeeeeeeeereeeen IX 21 4 Le service de microbiologie et de biochimie IX 23 a Le contr le des S mences sans nn dentese IX 23 b Le contr le des aliments pour animaux ssseseseeeeeeeeressesrrrerrrressssrrrrrrrressene IX 24 c L analyse du lait et des produits laitiers nnnnnnnnnnsnnenereerrrrrrerrrrrrrerrrererne IX 25 d L analyse des c r ales et des farines IX 25 e L analyse microbiologique des eaux d abreuvage et des boues d p ratiom caino ER a e EE ea est IX 26 f L laboration et la coordination du Plan National pour la Promotion de l Qualit a r ee EEOAE IX 26 5
92. et artisanales Recouvrements Apurement des exercices ant rieurs TOTAL 37 803 193 51 45 072 490 21 46 948 099 71 84 723 91 9 190 406 96 331 15 608 092 86 163 756 99 756 163 78 194 495 20 10 090 92 133 350 96 145 403 66 12 711 40 140 271 75 73 452 00 32 117 69 662 123 31 4 047 270 77 3 006 938 37 5 189 871 14 5 065 74 112 130 71 14 606 52 130 87 4 962 444 26 207 330 00 24 294 51 3 980 393 19 5 882 171 90 945 968 60 106 803 10 831 57 44 163 74 3 620 41 78 810 16 1 523 705 30 10 672 991 92 30 453 38 958 83 722 40 210 428 02 17 786 40 592 176 90 8 882 08 83 489 20 210 897 54 14 708 86 104 892 31 95 664 90 49 750 46 760 763 28 3 165 353 98 4 156 833 20 4 172 399 50 5 326 728 66 5 027 05 32 991 24 111 746 60 39 282 93 13 959 63 5 335 894 82 220 064 29 39 695 98 3 974 170 94 6 133 755 47 38 985 34 20 227 97 94 816 13 11 649 71 27 384 86 133 657 26 97 639 8 9 342 53 86 705 48 766 103 16 en euros 32 297 334 35 135 358 40 34 694 26 298 04 2 744 71 5 161 95 158 574 02 52 560 73 299 843 68 6 203 90 57 377 15 4 912 80 55 187 91 73 143 90 21 513 02 6 003 31 15 661 20 12 074 20 15 382 74 25 813 82 14 516 49 3 893 200 53 163 931 00 7 966 07 3 536 266 02 5 978 931 19 34 205 41 141 736 00 65 177 72 5 832 89 27 851 09 203 066 28 104 465 73 24 843 10 18 785 10 V 2 TABLEAU II Achats et
93. et de la nappe phr atique en sont galement la cause Aux fins de la cartographie de cette esp ce une feuille de description morphologique a t divulgu e au milieu forestier N anmoins la diff rentiation entre les nombreuses formes notamment la variation morphologique de Populus nigra x P delto des a compliqu la reconnaissance et la cartographie sur le terrain Apr s de nombreuses visites de sites le long de l Alzette dont le r sultat fut n gatif nos efforts se sont concentr s sur la r gion mosellane de la S re et de l Our Plusieurs habitats ont pu tre r pertori s Cependant une analyse iso enzymique des boutures pr lev es a r v l que presque tous les individus taient des croisements entre Populus nigra Populus delto des ou Euroamericana Finalement un seul groupe de plusieurs peupliers noirs purs situ au site An der Laar pr s de Burmerange et regroupant huit individus purs g s a pu tre retenu Tous ces individus taient d origine femelle le peuplier noir tant unisexu La mise en place de la r introduction du peuplier noir est indiqu e cette esp ce appartenant notre patrimoine forestier national et tant de grande diversit biologique il est notamment colonis par le pic noir la martre la chauve souris pour ne citer que quelques esp ces Comme le peuplier noir est capable de se multiplier par simple voie v g tative au moyen de boutures l installation d une plantation
94. faiblesses de l actuelle OCM Vin et d tablir une organisation commune de march durablement efficace la Commission europ enne a d velopp quatre options Option 1 le statu quo avec des adaptations limit es Option 2 une r forme en profondeur de OCM Vin Option 3 une int gration de OCM Vin dans le mod le de la PAC r form e Option 4 la d r glementation du march du vin Une tude d impact portant sur chacune de ces options sur l quilibre du march le co t budg taire le revenu des producteurs le d veloppement des r gions viticoles et l environnement naturel a t r alis e et publi e par la Commission en appui de ses propositions XII 13 Selon les conclusions tir es de l tude d impact trois de ces options savoir le statu quo la r forme de OCM du vin selon les principes de la r forme de la PAC et la d r glementation totale du march n apportent pas de r ponse satisfaisante aux particularit s du secteur En effet la Commission estime que l option 1 est tout fait incapable d liminer les exc dents et de restaurer la comp titivit du secteur L option 3 l int gration compl te de OCM Vin dans la PAC r form e pr senterait une s rie d avantages toutefois contrebalanc s par de s rieuses difficult s financi res et techniques Compte tenu du budget disponible le montant potentiel de l aide d coupl e dans le cadre du r gime de paiement unique RPU serait tr s f
95. fait que ces investissements repr sentent une modernisation de la cha ne de production sans cependant avoir d influence directe sur l hygi ne la s curit alimentaire ou l environnement En outre ces investissements visent le remplacement d quipements existants et il va de soi que les nouveaux quipements respectent les normes de qualit de s curit alimentaire et de protection de l environnement en vigueur au moment de leur installation Le taux de 40 est justifi pour les investissements ayant une incidence sur les conditions en mati re d hygi ne et de s curit alimentaire et de respect de l environnement conform ment l article 33 5 b du r glement grand ducal du 11 ao t 2001 portant VI 5 ex cution de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Le plan de financement se pr sente comme suit Montant du devis pr sent et retenu hors TVA 929 262 73 Part du demandeur 65 de 412 650 00 268 222 50 Part de l Etat 35 de 412 650 00 144 427 50 Part du demandeur 60 de 516 612 73 309 967 64 Part de l Etat 40 de 516 612 73 206 645 09 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres Projet d investissement pr sent par Les Domaines de Vinsmoselle concernant des investissements divers r aliser au cours des ann es 2006 et 2007 Le
96. fonctionnement En 2006 l Administration des Eaux et For ts a contribu la poursuite des travaux de l asbl PEFC Luxembourg en vue de d finir les modalit s pratiques de la certification des for ts au Luxembourg suivant le sch ma Les travaux de l asbl PEFC Luxembourg ont t pris en charge par la cellule INTERREG Proholz Probois du Groupement des Sylviculteurs et ont t appuy s par l Administration des Eaux et For ts en collaboration avec le bureau d tudes EFOR La proc dure de certification PEFC en for t soumise est la suivante Le propri taire forestier d cide d adh rer la certification r gionale PEFC en signant un engagement de qualit La demande est adress e par le propri taire de for ts publiques la direction de l Administration des Eaux et For ts La direction enregistre la demande informe le chef de cantonnement et le pr pos forestier et d livre l attestation de participation la certification r gionale sur base de la certification r gionale Le propri taire paye une cotisation quinquennale l asbl PEFC Luxembourg pour l utilisation de l attestation XI 1 Un auditeur externe et ou interne v rifie les pratiques de gestion et leur ad quation l engagement de qualit En 2006 une vingtaine de propri taires ont re u une attestation de participation la certification r gionale suite leur d cision d adh rer la certification r gionale en signant un enga
97. foranes fees 4f oj ol 4 porcins e ler Oo sangliers Eola ET valuation des r sultats sous trait s Supposons que Se 100 N g En 1440 0 0880304 139 n g 71 1440 1511 0 04698875 Conclusion Il y a donc 4 69 de faux positifs en ELISA Ac donc une sp cificit de 95 3 Il est probable que le mauvais r sultat soit du un mauvais tat g n ral des chantillons Si c est du s rum de porcs domestiques la sp cificit est de 98 6 Porcins ELISA SN n g Pos 3 N g 216 219 0 01369863 Les salmonelles La lutte contre les salmonelles est bas e sur la directive 2003 99 CE et a pour but de diminuer le plus possible la pr valence aussi bien dans les troupeaux des animaux que dans les denr es alimentaires selon le principe de la fourche la fourchette En 2006 une base line study for laying hens a t ex cut e par le LMVE tandis qu une autre base line study for broilers a t faite par l EPIFOOD un groupe de recherche essayant de trouver la relation animal homme pour l pid miologie des salmonelles par des tests g n tiques PFGE X 27 R sultats Base line study for laying hens absence de salmonelles Base line study for broilers Pr sence de salmonella typhimurium dans une exploitation R sultats des analyses bact riologiques de routine Total MF bovins 195 0 3 1 Salmonelles culture MF porinis
98. format 205 x 275 mm et contient environ 96 pages Elle se base notamment sur la Circulaire minist rielle du 3 juin 1999 concernant les lignes directrices d une sylviculture proche de la nature ainsi que sur le rapport du projet intitul La gestion des peuplements irr guliers en France de l ONF L objectif de ce document est de proposer des l ments pouvant tre int gr s dans l actuelle strat gie d une sylviculture proche de la nature adopter par l Administration des Eaux et For ts et de cr er un support de communication de cette strat gie pour les membres de l administration et les propri taires forestiers d La brochure bilingue concernant le sentier Strombierg L Administration des Eaux et For ts en collaboration avec l Administration communale de Schengen le Service G ologique et le Service des Sites et Monuments Nationaux a mis en place un sentier de d couverte dans la r serve naturelle foresti re Strombierg Schengen qui a t inaugur en juin 2005 Un d pliant bilingue 5 volets concernant ce nouveau sentier a t publi parall lement l inauguration Le sentier traverse la r serve naturelle foresti re Strombierg d une superficie de 29 ha ainsi que la localit de Schengen et les vignobles dans les hauteurs Ce sentier pr sente sur 23 panneaux d information de diff rents aspects en relation avec la protection de la nature l exploitation des anciennes mini re
99. glement grand ducal du 1er octobre 2002 et du 25 avril 2003 Nombre d exploitations ayant souscrit un engagement 236 Surface totale prim e ha 843 39 ha Montant total de la prime 631 760 95 Totaux par activit viticole Superficie Prime Part prim e montant nationale m Activit principale Vignobles en pente 2 15 5 021 347 284 208 24 284 208 24 Vignobles en pente 2 30 et terrasses 60 N Vignobles en pente 2 30 et terrasses 70N mA activit principale 7 371 508 558 715 18 421 461 71 Activit secondaire Vignobles en pente 2 15 564 850 25 587 70 25 587 70 Vignobles en pente 2 30 et terrasses 60 N Vignobles en pente 2 30 et terrasses 70N ss ARM E sesonnaire 1 062 350 68 540 30 21 476 30 47 064 00 Suppl ment Treuil C 363 345 4 505 47 0 00 4 505 47 TOTAL GENERAL A B ie 631 760 95 158729 77 473 031 18 Le montant maximal de la prime par exploitant individuel est fix 5 000 EUR pour les exploitants titre accessoire Y compris Suppl ment Treuil C D La prime l abandon d finitif de superficies viticoles La prime l abandon vise favoriser l arrachage d finitif de surfaces viticoles qui se situent g n ralement la limite du p rim tre viticole et qui sont peu aptes la production viticole de qualit Le r glement CE N 1493 1999 du Conseil ainsi que le r gle
100. grand ducal sont effectu es par le service Celles ci sont de nature chimique mati re grasse prot ines indice d iode r sidu sec d graiss pH antibiotiques phosphatase et microbiologique germes totaux levures et moisissures germes coliformes et Escherichia coli Le service est galement impliqu deux trois fois par mois dans l analyse des chantillons talons de lait pour le laboratoire de contr le du lait cru De plus il lui incombe d analyser deux trois fois par mois les chantillons de beurre de cr me et de cr me glac e respectivement pour le Service d conomie rurale et pour la Marque Nationale du Beurre d L analyse des c r ales et des farines Une attribution du service est la d termination de la qualit des c r ales panifiables et des farines Ainsi les chantillons de froment provenant des champs d essais officiels ont t analys s quant la qualit boulang re Ces analyses interviennent dans le choix des vari t s figurant sur la liste nationale des vari t s des esp ces de plantes agricoles IX 25 e L analyse microbiologique des eaux d abreuvage et des boues d puration Le service recherche les salmonelles et les ent robact ries dans les boues d puration ainsi que les germes totaux et les germes coliformes dans les eaux d abreuvage dans le but d valuer la qualit microbiologique de celles ci f L laboration et la coordination du Plan National pour
101. int ressant la zone La surface de la future zone prot g e est de72 91 ha La commune en est le principal propri taire avec 66 70 ha Le restant appartient principalement des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit d un c t la propri t de la commune qui a donn son accord pour participer au projet est int gr e dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficiera des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e de l autre c t les propri t s priv es sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement Avancement du projet Le dossier de classement a t finalis et a t remis par le bureau d tudes Les services centraux et r gionaux ont t demand s pour avis Le projet a t pr sent devant le conseil des bourgmestre et chevins de la commune de Beaufort ainsi que devant le conseil communal de la m me commune Le dossier sera envoy sur le chemin de la proc dure publique d s que le conseil communal de Beaufort aura avis le projet favorablement XI 46 h Le projet de r serve foresti re int grale R if Wellenstein Description g n rale
102. la Promotion de la Qualit Les activit s principales en 2006 taient le suivi de l tat d avancement du premier Plan 2005 2006 adopt par le Conseil de gouvernement en avril 2005 ainsi que l laboration du deuxi me Plan 2007 2009 Le Plan 2007 2009 a t adopt par le Conseil de gouvernement en janvier 2007 En tant que membre du Conseil national d accr ditation de certification de normalisation et de promotion de la qualit et d l gu e du secteur agricole le chef du service de microbiologie et de biochimie coordonne ces activit s 5 Le service de contr le du lait cru Le service a pour mission d effectuer le contr le officiel du lait cru des producteurs luxembourgeois dans le cadre de l tablissement des d comptes entre acheteurs et producteurs de lait conform ment au r glement grand ducal du 23 mars 1988 Les chantillons de lait cru collect s la ferme par les laiteries sont achemin s journali rement au laboratoire pour la d termination de la composition et de la qualit du lait Au cours de l ann e 2006 110 830 chantillons de lait cru ont t analys s Les param tres analys s sont d une part la teneur en mati re grasse et en prot ines ainsi que le d nombrement des cellules somatiques l ur e et le point cryoscopique avec une fr quence mensuelle maximale de 10 analyses par mois et par producteur L ur e ensemble avec la teneur en prot ines du lait renseignent sur l aliment
103. la demande et les prix vont rester ce niveau la suite des chablis des temp tes de janvier 2007 dans les pays voisins Le graphique ci apr s montre les volumes de bois feuillus et r sineux exploit s dans les six cantonnements au cours de l ann e 2006 On peut constater que dans les cantonnements de Diekirch Grevenmacher Luxembourg Est et Luxembourg Ouest le volume de bois feuillu r alis est beaucoup plus lev que le volume de bois r sineux Au cantonnement de Mersch les feuillus et les r sineux se contrebalancent A Wiltz par contre le volume de bois r sineux exploit d passe de loin celui du bois feuillu Cette situation peut tre expliqu e par le fait que suite la conversion des taillis de ch ne apr s la 2 guerre mondiale la part en surface des for ts r sineuses est beaucoup plus importante dans l Osling que dans les autres r gions du pays Volume de bois exploit s en 2006 25 000 00 20 000 00 15 000 00 BFeuillus D R sineux Volume m 10 000 00 5 000 00 0 00 7 7 7 p Diekirch Grevenmacher Mersch Lux Est Lux Ouest Wiltz En ce qui concerne les cat gories de bois feuillu exploit en 2006 le volume des grumes de qualit s levait 25 341 m celui du bois d industrie 50 091 m et XI 9 Volume m celui du bois de chauffage 9 538 m La haute proportion de bois d industrie est due au fait
104. le graphique 1 1 22 1000 50 45 Graphique 1 Evolution des composantes du b n fice z CL ENEE ZZA 7 7 EE 2000 2001 2002 2003 2004 2005 NS x N W Marge nette hors primes O Primes la production OPrime unique aides d v rur e a Autres recettes On constate que la marge nette hors primes qui correspond au surplus conomique de l activit agricole est en net recul depuis le d but de la p riode d observation L accroissement des aides publiques est le facteur essentiel de l augmentation du b n fice Avec le d couplage des aides en 2005 la marge brute sans les primes la production qui n existent plus des exploitations agricoles a diminu et ne repr sente plus que 61 900 En m me temps les co ts fixes ont continu d augmenter pour atteindre en 2005 un niveau de 59 200 II s en suit que la marge nette hors aides publiques tend actuellement vers z ro Ainsi la d pendance conomique de l agriculture envers les aides publiques devient de plus en plus vidente En d pit d une volution faiblement positive des b n fices le niveau des investissements a connu une croissance de l ordre de 40 entre 2000 et 2003 pour se stabiliser ces derni res ann es La composition des investissements est illustr e dans le graphique 2 ci
105. le projet recouvre une superficie de 154 ha et appartient presque int gralement la commune Seulement 5 appartiennent des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Par ailleurs la partie dite r serve foresti re int grale comprend deux zones de qui tude Ce zonage s explique comme suit La partie dite r serve foresti re int grale est int gralement constitu e de propri t s appartenant la commune Dans cette zone aucune exploitation foresti re ne pourra plus avoir lieu l exception de l entretien des chemins balis s Dans la partie dite zone de d veloppement figurent des propri t s qui appartiennent aussi bien la commune qu des propri taires priv s Cette partie a pour fonction de constituer une zone tampon autour de la r serve proprement dite Les bois abattus en for t communale devront toutefois rester sur place Avancement du projet Le dossier de classement se trouve sur le chemin de la proc dure de classement En date du 21 juillet 2006 le Conseil de Gouvernement a mis un avis favorable quant au classement du projet en tant que zone prot g e En fin d ann e les conseils communaux de Schengen et de Burmerange ont eux aussi avis favorablement le projet Le projet de r serve foresti re in
106. mentaire de 23 800 kg leur revenant au titre de leur premier tablissement Le solde de 940 513 kg a t attribu 306 producteurs appartenant la troisi me cat gorie prioritaire producteurs disposant d une quantit de r f rence propre inf rieure respectivement aux livraisons de lait effectu es pendant l ann e de r f rence 1983 ou le cas ch ant l objectif de production du plan de d veloppement en voie de r alisation au moment de l instauration du r gime des quotas laitiers ces derniers ont b n fici d une troisi me tranche du quota suppl mentaire leur revenant au titre de l ordre de priorit pr cit 2 L application du r gime des quotas laitiers en 2006 La vingt deuxi me p riode d application du r gime des quotas laitiers 2005 2006 s tendait du 1er avril 2005 au 31 mars 2006 Livraisons de lait aux acheteurs Les tableaux 12 et 13 r sument la situation enregistr e pour la p riode 2005 06 en mati re de r partition du quota national entre les divers acheteurs de lait livraisons corrig es de lait d passement du quota national pr l vement payer par les producteurs individuels Quotas allou s au titre des livraisons de lait aux acheteurs P riode 2005 2006 Quota global Transferts article 6 Quota d finitif kg paragraphe 2 du r gl kg CE 1788 03 kg LUXLAIT 124 393 895 124 449 205 EKABE 34 596 470 34 587 249 PROCOLA 102 939 027 102 939 0
107. moment de la cl ture de la r daction du pr sent rapport de sorte que ces postes ont d tre estim s Il convient d s lors de souligner le caract re provisoire des chiffres relatifs au revenu agricole pour l ann e 2006 1 La production v g tale La valeur de la production v g tale au prix de base augmente l g rement par rapport 2005 0 8 sous l effet conjugu d une baisse du volume de production et d une hausse des prix des produits v g taux Le poste global production v g tale ne rend videmment pas compte des volutions parfois contrast es au niveau des principales sp culations v g tales que sont les c r ales les plantes industrielles les plantes fourrag res les produits mara chers et horticoles les pommes de terre les fruits et le vin L ann e 2006 marque un tournant sur le plan des prix des c r ales et des cultures arables en g n ral Apr s des ann es de recul du prix au producteur suite aux diminutions des prix institutionnels dans le cadre des r formes successives de la PAC les prix affichent un net redressement La valeur de la production de c r ales augmente ainsi de 17 par rapport celle de 2005 sous l effet principalement d une augmentation des prix au producteur 14 7 et d une augmentation de l indice de volume 2 3 La r colte totale de c r ales se situe avec 161 000 tonnes dans la moyenne des derni res ann es Les surfaces emblav es en c r ales sont rema
108. n tiquement modifi es et les cultures conventionnelles afin de d velopper des lignes directrices sp cifiques par esp ces cultiv es Ces mesures devront en outre prendre en compte les sp cificit s r gionales et locales De m me la Commission est demand e d explorer comment les probl mes transfrontaliers potentiels pourraient tre minimis s 6 Le d veloppement rural Le 19 juin 2006 le Conseil a adopt la majorit qualifi e une d cision d terminant le montant du soutien communautaire 69 75 milliards d euros en faveur du d veloppement rural pour la p riode allant de 2007 2013 sa ventilation annuelle ainsi que le montant minimal affecter aux r gions pouvant b n ficier de l objectif convergence 27 699 milliards d euros Le Conseil a galement convenu de faire inscrire son proc s verbal l accord qu il a d gag sur la cl de r partition propos e par la Commission pour les fonds restants pour le d veloppement rural 11 13 7 Les colzas g n tiquement modifi s En l absence de majorit qualifi e le Conseil n a pas t en mesure en date du 18 septembre 2006 de statuer sur la proposition de d cision concernant la mise sur le march conform ment a la directive 2001 18 CE de colzas Brassica napus L lignes Ms8 Rf3 et Ms8xRf3 g n tiquement modifi s tol rants l herbicide glufosinate ammonium pr sent e par la Commission La proposition vise autoriser la mise sur le march
109. niveau des exploitations agricoles Des mesures particuli res visant la production de bio nergie l utilisation rationnelle de l nergie la protection de l environnement l innovation et l utilisation de techniques innovantes ainsi que l am lioration des conditions sanitaires d hygi ne de bien tre animal et de s curit alimentaire b n ficieront d un soutien particulier Les jeunes agriculteurs Le contexte conomique et d mographique g n ral au Grand Duch de Luxembourg transforme de plus en plus notre agriculture en agriculture p ri urbaine prix tr s lev s du foncier relations avec les citoyens etc ceci pose des probl mes particuliers au niveau de la reprise des exploitations auxquels le PDR s efforce de r pondre Une attention particuli re est port e aux mesures susceptibles d encourager les jeunes reprendre cr er et d velopper les exploitations agricoles viticoles et horticoles Ces mesures comprendront notamment l octroi d une prime la premi re installation La reprise ou la cr ation d une exploitation par un jeune s installant titre principal sera accompagn e de conditions visant renforcer les connaissances et le savoir faire du jeune notamment dans le domaine de la gestion et de la conduite d une entreprise agricole viticole ou horticole Le secteur agroalimentaire Le plan strat gique pr voit la continuation des efforts de modernisation en mettant l accent n
110. ont b n fici de la dite prime pour au total 453 09 hectares et pour un montant total de 24 141 92 euros Depuis l ann e 2005 le r gime de prime aux prot agineux est galement soumis aux dispositions de la conditionnalit et de la modulation voir sous sections A et C 2 L aide aux cultures nerg tiques Le r gime d aide aux cultures nerg tiques a t introduit dans le cadre de la r forme de la PAC d cid e en juin 2003 Il est applicable depuis l ann e 2004 et constitue une aide la surface vers e pour les superficies emblav es en cultures nerg tiques et situ es sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg Le taux de l aide s l ve 45 euros par hectare Les cultures vis es par ce r gime sont celles qui sont principalement destin es la production de produits nerg tiques tels quels des biocarburants et l nergie lectrique et thermique produite partir de biomasse Les principales mati res premi res produites au Grand Duch de Luxembourg au titre de l ann e 2006 sont le colza graines le ma s ensil les c r ales ensil es et des m langes de gramin es et l gumineuses fourrag res La finalit principale des mati res premi res transform es au Grand Duch de Luxembourg est la production de biogaz dans des installations fermentation biogaz Au titre de l ann e 2006 61 producteurs ont d clar pour la dite prime une surface totale de 759 56 hectares Au titre d
111. par la Commission devront tre mises en uvre de mani re quilibr e et progressive de sorte que le secteur puisse s adapter Le Conseil s est globalement d clar favorable la suppression des instruments de march actuels et a souscrit l id e de cr er des enveloppes nationales permettant de choisir parmi un ensemble de mesures mettre en uvre Par contre un grand nombre de d l gations ont fait part de leurs pr occupations quant au programme propos d arrachage des vignes qui pourrait notamment avoir des incidences environnementales n gatives Certaines d entre elles ont fait valoir que le programme d arrachage des vignes devrait tre s lectif tant d un point de vue r gional que qualitatif Toutefois la plupart des Etats membres ont plaid pour une r duction des exc dents de production de mani re am liorer l quilibre du march Un grand nombre de d l gations s est exprim contre le m lange de vins europ ens avec des mo ts et vins provenant de pays tiers ainsi que contre l interdiction de l enrichissement des vins par la saccharose Les Ministres europ ens de l agriculture ont par ailleurs soulign qu un renforcement de la strat gie commerciale est n cessaire ensemble avec des r gles d tiquetage plus claires et plus simples afin de renforcer la r putation et la qualit des vins de l UE La Commission dispose pr sent d une image compl te des positions des diff rents Etat Mem
112. paration du r le contributif DELLEN pr paration du r le contributif alors que l enqu te du r le contributif de FLAXWEILER a t men e du 28 novembre au 27 d cembre 2006 Remembrement conventionnel Remembrement de CRENDAL commune de Op rations pr paratoires p rim tre mensurations WINCRANGE 5 ha 74a remembrement agricole achev es Relotissement ex cut en avril 2006 mise en possession provisoire Etude d une extension du p rim tre sur demande de propri taires int ress s Remembrement de SCHENGEN commune de Markusberg Travaux de mensuration et de Schengen remembrement viticole 63 ares lotissement achev s Dossier de remembrement tableaux d apport et d attribution plan l acte transf r en d cembre au notaire pour la r ception de l acte VIII 5 IX LES ACTIVITES DE L ADMINISTRATION DES SERVICES TECHNIQUES DE L AGRICULTURE A La division du g nie rural 1 Les constructions rurales Les activit s du service des am liorations structurelles portent essentiellement sur deux domaines diff rents savoir a L laboration des plans et devis de b timents d exploitations agricoles Le tableau ci apr s renseigne sur le nombre et le devis global des projets r alis s par les services de l ASTA au cours des 5 ann es r volues Ces chiffres repr sentent au moins 60 de l ensemble des projets r alis s dans le pays Service ayant ann e 2002 ann e 2003 ann e 2004 ann e 2005
113. points de vente des fins de contr le La gestion des labels de qualit repose sur une comptabilit d taill e impliquant l tablissement annuel du bilan du compte pertes et profits et de pr visions financi res pour les exercices venir 3 La commission de d gustation de la marque nationale du vin Les examens organoleptiques des vins vins mousseux et cr mants sont effectu s par la commission de d gustation qui dans des s ances de d gustation juge la qualit des produits pr sent s Elle peut attribuer les mentions qualitatives Marque nationale Appellation contr l e Vin class Premier cru et Grand premier cru suivant des crit res de qualit s v res Des vins qui ne r pondent pas ces crit res restent des vins de table et n ont pas droit porter le label de qualit de la marque nationale du vin Ce label garantit au consommateur que le vin est un vin de qualit de la Moselle luxembourgeoise et qu il est plac sous le contr le de l Etat XII 16 4 Les r sultats des examens de la marque nationale du vin Durant l exercice 2006 la commission de d gustation s est r unie 47 fois Au total elle a examin 1 618 chantillons dont 1 489 vins tranquilles 115 cr mants de Luxembourg et 14 vins mousseux de qualit En ce qui concerne les vins tranquilles 1 385 chantillons proviennent de la r colte 2005 et repr sentent un volume de 89 386 hl class selon les menti
114. porc parmi lesquels 49 187 porcs ont t admis ce qui repr sente un taux d acceptation de 84 Pour l ann e en question le nombre de producteurs de porcs s levait 45 et celui des points de vente qui ont commercialis la viande de porc Marque nationale 64 En 2006 24 362 jambons ont t scell s et 24 492 ont t soumis l estampillage sur quatre sites de production permettant une mise en vente en tant que jambon Marque Nationale Ceci porte le nombre total de jambons contr l s 48 854 Pendant l ann e sous revue le service a install une base de donn es pour la gestion lectronique des donn es relatives la marque nationale viande de porc permettant de faire un diagnostic et de fournir un appui statistique pour la marque nationale Il a entam un examen critique de l historique et de la mise en uvre des op rations du programme Son activit a aussi concern une analyse des mesures de promotion et du potentiel de financement Une r vision du cahier de charge de la marque nationale viande de porc qui est fix au niveau d un r glement grand ducal est en cours de traitement Le service est galement en charge de la gestion des certificats d identification pour quid s L adoption future du r glement europ en sur l identification lectronique des quid s va constituer prochainement au niveau national et communautaire une nouvelle tape marquante pour l identification de
115. qualit du paysage Il s agit de programmes zonaux zone de protection de la nature et autres r gions sensibles du point de vue de l environnement zone de protection des eaux des mesures horizontales agriculture biologique mesures contre l rosion mesures visant l am lioration des techniques d pandage etc Finalement les aides au titre de la diversit biologique constitueront le troisi me l ment des mesures agri environnementales et ont pour objectif primaire la protection des esp ces animales et v g tales indig nes menac es en milieu rural et forestier Ces aides ne seront allou es que sur des surfaces abritant des esp ces rares menac es ou prot g es ainsi que dans les zones de gestion Natura 2000 Un recours de plus en plus prononc des pratiques agricoles consid r es comme exploitation extensive est pr conis Ces pratiques devraient tre promues en premier lieu sur des stations marginales Ce r gime d aide sera mis en uvre en troite collaboration avec le Minist re de l Environnement Les MAE pr vues au PDR visent donc la promotion d une multitude de services et de pratiques agricoles respectueuses de l environnement tout en incluant des mesures de pr servation d l ments caract ristiques pour certaines r gions telles que les vergers hautes tiges l est du pays ou l entretien des haies 3 La promotion du r le des for ts dans l am lioration de l environnement et d
116. que l Administration des Eaux et For ts a limit les coupes de bois de qualit Celles ci ne sont r alis es que si la sylviculture l impose Le tableau suivant montre les volumes des diff rentes cat gories de bois exploit s en 2006 dans les six cantonnements Cat gories des bois feuillus exploit s en 2006 14 000 00 12 000 00 10 000 00 8 000 00 E Grumes D Bois industrie E Bois nergie 6 000 00 EE a 4 000 00 2 000 00 0 00 Diekirch Grevenmacher Mersch Lux Est Lux Ouest Wiltz 2 La vente de bois 34 ventes r gionales par soumission ont t organis es en 2006 par les cantonnements forestiers pour vendre le bois d uvre feuillu et r sineux 1 vente nationale par soumission regroupant tous les cantonnements a t organis e pour vendre les h tres de qualit sup rieure En ce qui concerne le bois d industrie la majeure partie du bois d industrie a t vendue par deux march s de gr gr par la Direction des Eaux et For ts le restant du bois d industrie a t vendu par des ventes de gr gr par les cantonnements Les bois de chauffage ainsi les copeaux de bois ont t vendus par des ventes de gr gr locales 3 Les aides Les aides aux mesures foresti res et aux mesures de la conservation de la nature accord es aux propri taires forestiers priv s communaux et des tablissements publics constituent un outil impor
117. r daction de notes d orientations XI 52 XII LA VITICULTURE LUXEMBOURGEOISE A L ann e viticole 2006 Le vignoble luxembourgeois occupe aujourd hui une superficie totale de 1 299 ha dont 1 237 ha sont en production En 2006 les conditions climatiques taient tr s propices au d veloppement de la vigne Comme pour le mill sime 2005 nous retrouvons en 2006 galement une ann e plus pr coce avec des degr s de maturit prometteurs Concernant le climat cette ann e viticole a connu une pluviom trie moyenne avec des temp ratures sup rieures la moyenne L hiver 2005 2006 s est manifest par une m t o s che et des p riodes de gel es tout au long de l hiver Les temp ratures printani res taient plut t douces En mai des pr cipitations abondantes ont r quilibr les r serves d eau dans les sols Les mois de juin et juillet secs et chauds ont vu les stades ph nologiques s encha ner rapidement La vigne a atteint rapidement le stade de la floraison le 17 juin avec 4 jours d avance par rapport la moyenne des 30 derni res ann es Les conditions un peu humides fin juin ont favoris une l g re coulure des inflorescences Suite la s cheresse au cours du mois de juillet quelques jeunes vignes ont l g rement souffert d un manque en eau ce qui s est manifest par un jaunissement des feuilles La coulure et la s cheresse ont favoris la formation de petites baies ayant un potentiel qualitatif
118. r seau de points d chantillonnage a t r alis par le biais du syst me d information g ographique ARCInfo Sur le terrain les diff rents points ont pu tre localis s par navigation GPS ou la boussole et au ruban m tre distances et angles calcul s sur SIG en cas de mauvaise r ception satellitaire Dans les deux cas les points sond s ont t repris par GPS Un test d acidit HCI permettant la d tection du calcaire actif a t r alis de fa on syst matique diff rentes profondeurs sur la terre fine et sur la charge Pour un sondage sur trois des chantillons ont t pr lev s pour la mesure du pH Ces mesures pH eau ont t r alis es en laboratoire par le service de p dologie de l ASTA Pour l attribution de l indice hydrique c est principalement la clef des substrats marneux qui a t utilis e l exception des sols situ s sur Gr s de Luxembourg ou les fonds alluviaux sans d veloppement de profil Les r sultats bruts ont donn 24 combinaisons ou cases dans la grille hydrique et trophique t moignant de la diversit des situations rencontr es Toutefois la majorit des sondages s est r partie sur 12 cases les autres cases ne comportant que quelques chantillons Suite l exploitation des r sultats par chantillon six emplacements ont t d finis pour la r alisation de fosses p dologiques Ces fosses ont t r alis es sur une profondeur d environ un m tre l ai
119. sert valuer la dimension conomique DE et l orientation technico conomique OTE de l exploitation Marge brute totale somme des marges brutes des diff rentes sp culations d une entreprise elle repr sente le surplus d gag par la production courante de l entreprise Exc dent brut est gal la marge brute totale de l exploitation augment e des aides non li es la production et des autres recettes activit s connexes travaux pour tiers indemnit s et diminu e des frais g n raux entretien b timents assurances frais divers hors amortissements et hors r mun ration des facteurs de production externes personnel salari fermages int r ts en enlevant les amortissements et la r mun ration des facteurs de production externes fermages loyers int r ts on obtient le r sultat courant Revenu des facteurs est gal l exc dent brut augment des aides l investissement et diminu des amortissements Il doit r mun rer les facteurs de production externes ainsi que le travail et le capital du chef d exploitation Taux du co t de l investissement est gal au rapport des amortissements nets amortissement subventions l investissement sur la marge brute totale Il mesure le poids relatif des co ts des investissements par rapport au potentiel conomique de l exploitation Taux de co ts fixes est gal au rapport des amortissements nets et des autres co ts fixes en
120. ses fonctions productives protectrices et sociales c Axe 3 L am lioration de la qualit de vie dans les zones rurales et l encouragement de la diversification L axe strat gique 3 vise l am lioration du cadre de vie dans les zones rurales et l encouragement de la diversification Il convient d arriver une diversification socio conomique et une revitalisation socio culturelle des zones rurales et de leurs soci t s villageoises tout en accomplissant l objectif d galit des chances et de maintien des jeunes dans ces r gions Dans l optique des programmes et des initiatives ant rieurs de d veloppement rural le plan strat gique incite d velopper les services essentiels d approvisionnement les activit s artisanales ainsi que les activit s touristiques pour l conomie et la population rurale maintenir et valoriser les conditions d entr e et la r insertion des femmes sur le march du travail former informer et encadrer les personnes vivant dans les zones rurales aider cr er et d velopper des microentreprises _ favoriser l adoption et la diffusion des TIC technologies de l information et de la communication poursuivre le d veloppement int gr ainsi que la revitalisation des contr es et villages d velopper la valorisation des ressources la fourniture et l utilisation des sources d nergie renouvelables former les personnes travaillant en for t informer et sensibiliser
121. siduel Actuellement la r alisation d une nouvelle salle de d gustation est en cours Du point de vue am nagement et fonctionnalit ce gustarium r pondra le mieux aux multiples prescriptions et exigences hygi niques de l examen organoleptique Les activit s auxiliaires Dans le cadre d une action publicitaire commune organis e et financ e par le Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural les marques nationales du vin du beurre du miel des eaux de vie du jambon et de la viande de porc participent annuellement la foire internationale de printemps et tous les 3 ans au salon international de la gastronomie l Expogast XII 18 P Les activit s du Fonds de solidarit viticole 1 Le Fonds de solidarit viticole Au cours de l ann e coul e le Comit directeur du Fonds de solidarit viticole s est r uni six fois Le Comit Directeur a mis son avis sur les dispositions nationales applicables aux vins provenant de la r colte 2006 De m me il a fix la date de mise sur le march pour le Fiederw issen luxembourgeois ainsi que pour l Auxerrois vin nouveau et pour le Pinot Noir vin primeur 2006 Une date de mise sur le march d cid e d un commun accord constitue un l ment essentiel de la politique de commercialisation et de promotion des vins luxembourgeois Un avis a t fourni sur le projet de r glement suivant R forme de la marq
122. sp cifique Ainsi des prises de vue nadirales en 9 X 9 inch en mulsion infrarouge fausses couleurs diapositives l chelle 1 5 000 ont t effectu es dans diff rentes r gions du Gutland sur une distance totale vol photo de 59 km r partis sur 19 bandes XI 32 3 La cartographie d aptitude stationnelle a En synth tisant les caract ristiques stationnelles d un massif bois la carte d aptitude permet au gestionnaire de tirer le meilleur parti de la station de respecter son potentiel de production et de d finir une strat gie sylvicole adapt e chacune des multiples facettes de sa for t Avec son choix des essences adapt es aux diff rentes conditions stationnelles telles qu elles se pr sentent de mani re sp cifique dans les diff rentes propri t s foresti res elle permet de satisfaire aux crit res de la certification e a FSC PEFC d une gestion foresti re durable Les cartographies aptitude stationnelle pour les for ts communales de Mamer 401 ha et de Diekirch 404 ha r alis es d j en 2005 ont t pr sent es la presse en juillet respectivement en octobre 2006 En 2006 les cartographies d aptitude stationnelle pour les for ts communales de Wormeldange 474 ha et de Bertrange 315 ha ont t r alis es Elles ont t tablies conform ment la m thodologie d crite dans le document de r f rence Manuel d utilisation du guide de boisement des stations foresti re
123. surfaces de r g n rations naturelles h tre ch ne en for t communale Le montant des aides allou es aux propri taires forestiers priv s galement connu une baisse de 200 000 Le cantonnement de Diekirch a L exploitation des coupes L ann e 2006 a connu une l g re hausse de la demande de bois Parall lement on a pu constater une hausse du prix des bois et ceci surtout en r sineux En ce qui concerne les coupes de bois au cantonnement de Diekirch le volume de bois abattu en 2006 a t sup rieur l ann e pr c dente La prudence est cependant rest e de mise et les coupes ont t r alis es principalement en liminant les bois de moindre qualit qui emp chent les beaux bois de se d velopper de fa on optimale En 2006 le cantonnement de Diekirch a abattu 22 556 m3 de bois dont 13 402 m3 de feuillus et 9 154 m3 de r sineux 77 de ce volume de bois tait en provenance des for ts communales 19 des for ts domaniales et 4 des for ts des tablissements publics En ce qui concerne le bois feuillu seulement 24 ont pu tre vendus sous forme de grume le reste a t vendu comme bois de trituration ou bois nergie b La vente de bois En 2005 le cantonnement de Diekirch a r alis sept ventes r gionales de bois par soumission c L tat sanitaire de la for t En 2006 le d p rissement du h tre apparu isol ment dans la for t communale de Beaufort ne s est heureusement pas propa
124. t communale de Wormeldange les diverses combinaisons hydriques trophiques coupl es la situation de la station dans le paysage ont t regroup es pour retenir 6 types d aptitude effectifs Un septi me type est propos pour les 3 anciens d potoirs d ponies pr sents dans la propri t XI 34 A Plateaux et versants de pente lt 40 sans apport lat ral en eau cons quent A 1 Peu ou pas de calcaire actif lt 60 80 cm de profondeur A 1 1 Sols couverture limoneuse paisse gt 40 cm ou argile de surface bien structur e bonne capacit de r tention en eau bonne p n tration des racines peu ou pas de calcaire actif moins de 80 cm de profondeur A 1 2 Sols couverture limoneuse peu paisse lt 40 cm ou argile de surface mal structur e capacit de r tention en eau assez moyenne faible faible p n tration des racines peu ou pas de calcaire moins de 60 cm de profondeur A2 Pr sence de calcaire actif moins de 60 cm de profondeur A 2 1 Sols couverture limoneuse peu paisse lt 40 cm ou argile de surface mal structur e capacit de r tention en eau assez moyenne faible faible p n tration des racines B Versants de pente gt 40 sans apport lat ral en eau cons quent B 1 Sols tr s caillouteux secs et tr s calcaire dolomie ou gypse proche de la surface C Vallons d pressions et bas de versant avec apport lat ral d eau C 1 Sols capacit de stockage en eau variab
125. t de production revenu des facteurs revenu net d entreprise en 1000 hors TVA source SER 3e partie consommations interm diaires valeur ajout e brute valeur ajout e nette revenu des facteurs revenu net d entreprise variation 2006 par variation 2006 par rapport 2005 2005 1985 1990 1995 2000 2003 2004 2005 2006lindice de indice de indice de prov valeur volume prix 19000 consommations interm diaires 19010 19900 127 105 127 432 125 541 135 055 145 163 153227 148 793 19010 semences et plants 4616 4 834 6 683 6 336 6 414 19020 nergie lubrifiants 9 271 10 928 19030 engrais et amendements 13 659 11 521 19040 produits de protection des cultures et antiparasitaires 1 785 6 182 19050 d penses v t rinaires 19060 aliments pour animaux 19062 aliments pour animaux achet s hors branche agricole 19063 aliments pour animaux produits et consomm s sur l expl 19070 entretien du mat riel 19080 entretien des b timents 19090 services agricoles 19095 services d interm diation financi re indir mesur s 19900 autres biens et services 20000 valeur ajout e brute aux prix de base 18 19 21000 consommation de capital fixe 22000 valeur ajout e nette aux prix de base 20 21 23000 r mun ration des salari s 24000 autres imp ts sur la production 25000 autres subventions sur la production 26000 revenu des facteurs 22 24 25 27000 exc dent net d exploitation revenu mixte 22 23 24 25 28000 fermages 2
126. t one dt sue VII 2 4 L laboration du projet de relotissement VIII 3 5 Les op rations de nouvelles mensurations parcellaires VIII 3 6 La r daction de l acte notari de remembrement sseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeenee VIII 4 C Les travaux connexes au remembrement VIII 4 D La participation financi re des propri taires aux travaux connexes VIII 5 LES ACTIVITES DE L ADMINISTRATION DES SERVICES TECHNIQUES DE L AGRICULTURE nn sssnrssssnerensseenennennnneeennnnnee IX 1 A La division d g nie rural moriani a e eaa taa ad Greta ten ET IX 1 1 Les Constructions rurales ienee are ii ace na a a aE nns a els Ets IX 1 a L laboration des plans et devis de b timents d exploitations agricoles IX 1 b L ex cution de la loi agraire ere nn Med da te asian IX 1 2 Les conduites d eau epr er nen AE RRE EEE E EE IX 2 3 Le drainage de terres agricoles humides IX 3 4 La voirie rurale et viticole nsseneeeneeenete nee rne tentera nenn nn nanan n nnna nn nnn En EnEn annann ennnen IX 3 5 Les assainissements r alis s pour le compte des communes IX 3 6 Les pist s cyclable Sirianni nr ne Re Re ee on eee IX 3 7 Le d veloppement rural IX 3 8 4 m t orologie iape ea en a E A e IX 3 9 Le service agri environnement is IX 4 a L ex cution des contr les officie
127. tableau ci apr s Le service s occupe galement de la r ception des dossiers d aides l investissement c d du contr le des investissements r alis s de l tablissement du co t sur base des factures ainsi que du calcul des aides et de l tablissement du dossier de paiement des aides Pendant l exercice 2006 le service a trait et liquid les aides de 1 722 dossiers d aides l investissement art 6 et 7 se rapportant 762 exploitations b n ficiaires IX 1 Un montant total de 21 495 742 46 EUR a t liquid pour toutes les aides confondues Ce montant se rapporte 2 283 dossiers d aides et 968 exploitations b n ficiaires Tableau renseignant sur le nombre de dossiers d aides examin s et avis s positivement par la commission conomique et technique ainsi que le nombre d exploitations concern es le volume d investissement envisag et l aide publique estim e Type d aide Nombre de Nombre d exploitations Co ts ligibles Aides demandes concern es pr visionnelles Aide art 6 meuble 1 798 159 24 045 036 73 8 265 639 72 Aide art 6 immeuble 1 158 610 48 989 152 14 24 091 208 13 Aide art 6 suppl pour 80 30 306 121 09 inst biogas Aide suppl jeunes 95 56 311 126 03 Aide infrastr porcherie 0 0 0 0 Aide suppl envir 60 54 827 452 93 124 117 96 art 6 meubles Aide suppl envir 52 48 684 508 50 136 901 72 art 6 im
128. trac au niveau politique avec une diminution du prix d intervention du beurre de 4 au 1 7 2007 et une augmentation de la quantit de r f rence de 0 5 au 1 4 2007 1 13 La production d ufs marque une stagnation apr s plusieurs ann es de croissance soutenue Avec 2 5 millions d euros elle ne repr sente toutefois qu une petite production parmi les productions animales Les activit s secondaires non agricoles non s parables de l activit agricole Les activit s secondaires non agricoles non s parables de l activit agricole se composent de la transformation et de la vente directe de produits agricoles sur la ferme par exemple jus et eau de vie fromage fermier ou autres produits laitiers fermiers et de la prestation de services p ex tourisme la ferme prise en pension de chevaux prestation de services pour non agriculteurs avec des machines agricoles production de biogaz Ces activit s se sont d velopp es au cours des derni res ann es sp cialement au niveau de la production de biogaz et de la prise en pension de chevaux Elles repr sentent 14 5 millions d euros soit 5 8 de la valeur de la production de la branche agricole Les consommations interm diaires Les consommations interm diaires comprennent l ensemble des biens et services achet s ou intra consomm s qui sont directement utilis s lors du processus de production agricole Les donn es relatives aux consommations interm diaires pour 20
129. troit ainsi qu un suivi r gulier est sollicit par tous les acteurs locaux engag s Voil pourquoi le Service du D veloppement Rural s engage assumer ces fonctions de coordination d animation et de catalyseur Apr s 13 ans d exp rience et de pratique dans le milieu communal le Minist re en concertation avec la Direction de l Am nagement du Territoire et de l Urbanisme DATUR aupr s du Minist re de l Int rieur a r alis une tude d valuation sur les buts la d marche les exp riences acquises ainsi que les r sultats vis s de bon nombre de plans de d veloppement communaux r alis s ou en cours Cette valuation a concern aussi bien la grande majorit des communes en zone rurale engag es dans l laboration d un PDC que quelques communes urbaines disposant actuellement d un concept de d veloppement urbain PDU L tude interdisciplinaire a t accompagn e par les 2 d partements minist riels susvis s et a galement sollicit une consultation troite et r guli re avec les communes commettantes engag es A la fin de l exercice 2006 environ 70 communes luxembourgeoises ont achev leur premier processus de planification PDC Concr tement ceci signifie que le les concept s strat gique s ainsi que le catalogue des mesures de mise en oeuvre y relatif ont t retenus par les responsables communaux en g n ral par un vote au conseil communal ceci apr s finalisation et concertation avec les groupe
130. tude d impact sp ciale pour le remembrement forestier Tarchamps a t finalis e pour d bloquer le dossier d autorisation introduit depuis ao t 2004 aupr s du Ministre de l Environnement Cette tude a d montr la non n cessit de compensation en for t vu le choix judicieux des trac s de voirie propos s Une expertise de l Universit de Fribourg en Br Institut f r Landespflege fut finalis e pour les secteurs Hanner F ls SCHWEBSANGE Uet GREIVELDANGE et F ls et D iffert STADTBREDIMUS et GREIVELDANGE pour d montrer l int gration parfaite des mesures d am nagement propos es par ONR L laboration du projet de relotissement Cette phase comprend une consultation des propri taires pour conna tre leurs v ux sur la concentration parcellaire souhait e l tablissement d un avant projet de remembrement sa mise en enqu te publique la confection du projet d finitif son implantation sur le terrain et la prise de possession des nouvelles parcelles par les propri taires La pr paration du nouveau lotissement pour le remembrement forestier du LAC DE LA HAUTE SURE sur base de la r ception des v ux a t poursuivie en 2006 par des actions l amiable moyennant des changes ventes ou achats de parcelles Les travaux pr paratoires des nouveaux lotissements ont t lanc s dans les diff rents secteurs de STADTBREDIMUS et de GREIVELDANGE de m me qu SCHWEBSANGE Ha
131. un quipement pour m lange de farines un syst me de s chage de bl une machine d emballage pour sachets de 1 kg un palettiseur pour sacs de 25 kg avec d tecteur de m tal l am nagement d un stockage sur rayonnage au rez de chauss e un ascenseur pour descendre les palettes un quai de chargement La reprise de la client le de la soci t Nonnemillen et de Moulins de Bissen ainsi que l acquisition de nouveaux clients en semoule a eu pour r sultat que la capacit de production du moulin de Kleinbettingen est nettement insuffisante Pour y pallier le demandeur d aide est amen acheter des quantit s importantes de farine environ 300 to mois et de semoule environ 300to mois ses confr res VI 7 Le nouvel outil tant compl tement automatique la surveillance de la production sera assur e par l quipe en place La demande d aide pr sent e par la S A Moulins de Kleinbettingen en date du 8 d cembre 2003 et concernant l installation d un nouveau moulin de bl tendre l int rieur de son moulin Kleinbettingen projet comment dans le rapport d activit de l ann e 2004 est devenue caduque par la pr sentation de la demande d aide L article 33 paragraphe 5 du r glement grand ducal du 11 ao t 2001 pr cit stipule que le taux d aide de 40 est applicable aux investissements qui visent par l introduction de nouvelles techniques de production am liorer sensiblement les conditions en mati
132. valeur ajout e brute aux prix de base de en mio de l agriculture chasse et sylviculture p che et aquaculture 140 60 totale 13 675 1 part de l agriculture dans la v a b au prix de base en 1 0 population active agricole milliers UTA emploi total concept int rieur milliers de personnes part de population active agricole dans l emploi total formation brute de capital fixe en agriculture mio formation brute de capital fixe dans l conomie mio part de l agriculture dans la f b c f de l conomie en la population active agricole est exprim e en UTA alors que l emploi total est exprim en personnes une comparaison exacte des deux populations n est donc pas possible Tableau 2 Commerce ext rieur de produits alimentaires et animaux vivants unit 1000 source STATEC exportations Animaux vivants Viandes et pr parations de viande Produits laitiers et oeufs d oiseaux Poissons crustac s mollusques C r ales et pr parations de c r ales L gumes et fruits Sucres pr parations de sucre et miel Caf th cacao pices Nourriture pour animaux Produits et pr parations alimentaires divers Produits alimentaires et animaux vivants tous les groupes de produits 7 722274 274 8497 648 497 646 2165010 165 010 2005254 005 254 8833670 833 670 9728951 738 951 10319395 319 395 11 RETZ 875 part relative en des produits alimentaires et animaux vivants dans les exportati
133. 0 00 0 00 2 850 00 pi ce Reboisement autres feuillus ares 96 00 0 00 317 41 413 41 Reboisement autres r sineux ares 33 00 0 00 412 30 445 30 Reboisement douglas ares 134 00 0 00 2 938 12 3 072 12 Reboisement douglas 2 3 pic a 1 3 0 00 0 00 88 00 88 00 ares Reboisement pic a ares 0 00 0 00 2 757 59 2757 59 Reboisement pic a 1 2 douglas 1 2 0 00 0 00 148 50 148 50 ares Reboisement pic a 2 3 douglas 1 3 0 00 0 00 233 90 233 90 ares Reboisement h tre ch ne ares 1 374 80 250 00 3 080 84 4 705 64 R g n ration naturelle autres r sineux 0 00 12 00 0 00 12 00 ares R g n ration naturelle h tre ch ne 12 057 00 0 00 1 583 74 13 640 74 ares R g n ration naturelle pic a ares 800 00 0 00 144 00 944 00 R g n ration naturelle rable fr ne ares 0 00 0 00 100 00 100 00 Restauration for ts r sineuses ares 0 00 320 00 1 081 95 1 401 95 Le montant total des aides s l ve en 2006 1 746 152 91 Il se r partit de la fa on suivante parmi les trois types de propri taires XI 11 687 427 44 pour les communes 380 888 22 pour les tablissements publics 677 837 25 pour les priv s Compar l ann e 2005 le montant total des aides allou es a diminu de plus de un million d euro ce qui peut tre expliqu par le fait qu en 2005 l Administration des Eaux et For ts avait proc d la subvention d exceptionnellement beaucoup de
134. 005 95 15 339 2006 100 80 279 lI La for t lieu de loisir En 2002 le service du cantonnement a finalis une aire de repos au lieu dit Kaul faisant partie de la for t domaniale de Wiltz Merkholtz Comme ce massif touche directement la ville de Wiltz sa fonction sociale prime sur toutes les autres Sur cette aire de repos le service forestier a am nag un chalet avec une place de feu l int rieur ainsi que deux places de feu l ext rieur En 2003 cette aire a t compl t e par une petite aire de jeux pour enfants En 2004 le cantonnement a respectivement r alis et restaur en collaboration avec le service CN Nord et le CIGR Wiltz 4 tangs naturels sur ces m mes lieu Ce projet a t poursuivi en 2005 avec la plantation des alentours des tangs Outre la remise en tat du r seau routier et des sentiers plusieurs aires de stationnement ont t am nag es pour les visiteurs En 2006 un pont pi tonnier en bois a t install sur le m me site Par ailleurs les services du cantonnement forestier assurent r guli rement l entretien d un grand nombre de sentiers touristiques et des installations de loisirs Il est noter que ces services d entretien pr sentent annuellement une fraction de budget non n gligeable C Le Service de l Am nagement des bois et de l conomie foresti re 1 L am nagement forestier a Les instructions pour la r alisation des travaux d am nagement Af
135. 05 Le revenu des facteurs est obtenu en d duisant de la valeur ajout e nette aux prix de base les autres imp ts sur la production et en ajoutant les autres subventions sur la production Les subventions et imp ts sont enregistr s au moment o intervient l op ration ou le fait qui les justifie principe des droits constat s Les autres subventions sur la production se rapportant l ann e 2006 sont les suivantes l 14 Indemnit compensatoire annuelle 15 798 000 Prime l entretien du paysage et de l espace 10 402 000 naturel Paiement unique 35 438 000 Agri environnement 2 429 000 biodiversit 1 148 000 TOTAL 65 215 000 Si on ajoute les subventions sur les produits qui s l vent 35 000 euros on obtient un total des subventions directes de 65 250 000 euros En 2005 les subventions directes s levaient 61 984 000 euros Les autres imp ts li s la production comprennent notamment l imp t foncier pay par les agriculteurs sur les biens immeubles usage agricole d tenus en propri t Le revenu des facteurs s l ve 94 5 millions d euros et ne varie pas par rapport 2005 Le revenu des facteurs divis par le volume de la main d uvre agricole exprim en UTA et d flat au moyen de l indice implicite des prix du produit int rieur brut est l indicateur de revenu A utilis par EUROSTAT pour analyser l volution du revenu agricole dans l UE
136. 06 il a t proc d en dehors du contr le continu des tablissements agr s 206 visites de contr le dans 230 tablissements avec les r sultats suivants Nombre Entretien des quipements 22 Hygi ne g n rale 15 Organisation du travail 35 Mise en application du guide de bonnes pratiques 78 Visites 206 Entreprises 230 2 Le contr le de l tiquetage La viande bovine est commercialis e presque exclusivement dans le cadre d un des 4 labels agr s au Luxembourg savoir Biolabel et Demeter Cactus Fleesch vum Letzebuerger Bauer Produits du Terroir Letzebuerger R ndfleesch V ih vum S i Regioun Naturpark Uewersauer X 15 Suite leur expiration en date du 31 d cembre 2005 les agr ments des cahiers de charge des 4 labels ainsi que de leur contr le ind pendant ont t prolong s au 31 d cembre 2008 par arr t minist riel du 24 f vrier 2006 Conform ment l article 7 du r glement grand ducal du 5 f vrier 2002 portant modalit s d application du R glement CE no 1760 2000 les contr les de l tiquetage et de la tra abilit de la viande bovine sont r alis s par les fonctionnaires de l Administration des Services V t rinaires et de l Administration des Services Techniques de l Agriculture Tandis que les fonctionnaires de l Administration des Services V t rinaires effectuent les contr les de l tiquetage da
137. 06 n ont qu un caract re tr s provisoire ce stade puisque les r sultats de la comptabilit agricole pour 2006 ne sont pas encore disponibles L volution des prix des diff rentes cat gories de biens de consommation interm diaire a t estim e en fonction des prix de ces biens relev s dans le cadre du calcul de l indice des prix des inputs Ainsi les principaux postes en augmentation sont l nergie et les lubrifiants 9 8 les engrais et amendements 8 5 les aliments pour animaux 2 4 l entretien des b timents 2 7 et les autres biens et services 2 7 Les semences et plants sont en l g re baisse 2 8 Globalement le niveau de prix des consommations interm diaires augmente de 2 7 par rapport 2005 La valeur ajout e le revenu des facteurs le revenu net d entreprise La valeur ajout e brute aux prix de base obtenue en d duisant les consommations interm diaires de la production de la branche agricole est en retrait de 2 2 par rapport 2005 et s l ve 99 5 millions d euros Le d couplage des aides directes de la production avait fait chuter brusquement la valeur ajout e brute en 2005 La consommation de capital fixe amortissements est suppos e augmenter de 1 6 par rapport 2005 La valeur ajout e nette aux prix de base obtenue en d duisant de la valeur ajout e brute la consommation de capital fixe s l ve pour 2006 30 millions d euros et est nettement en retrait par rapport 20
138. 1 32 Conversion taillis en futaie ares 0 00 0 00 731 54 731 54 Conversion taillis par vieillissement 267 00 0 00 5 274 50 5 541 50 ares Coupe rase de taillis ares 0 00 0 00 37 30 37 30 Cr ation ou restauration de lisi res foresti res 292 26 0 00 0 00 292 26 ares Cr ation protection restauration ou entretien 35 100 20 356 490 98 15 303 56 406 894 74 d habitats naturels EUR D bardage au cheval m3 5 134 50 839 99 25 279 33 31 253 82 lagage douglas ares 416 00 269 00 1 369 10 2 054 10 lagage feuillus ares 200 00 0 00 0 00 200 00 Entretien ou restauration d arbres remarquables EUR Installation de cl tures de protection m 360 00 0 00 188 00 548 00 Installation de protections individuelles 11 00 17 00 183 00 211 00 pi ces Plan simple de gestion EUR 0 00 0 00 16 563 33 16 563 33 Plantation d arbres fruitiers haute tige 0 00 17 00 444 00 461 00 plants Plantation d arbres solitaires plants 14 00 0 00 49 00 63 00 Plantation de haies d alignement m 444 00 0 00 573 35 1 017 35 Plantation de haies de bosquets de brise 0 00 0 00 205 76 205 76 vents et de galeries alluviales m Plantation de rang e s suppl mentaire s m 75 00 0 00 50 00 125 00 Premi re claircie feuillus ares 7 687 00 0 00 406 90 8 093 90 Premi re claircie r sineux ares 3 782 00 1 278 30 10 720 84 15 781 14 Protection individuelle pr fabriqu e EUR 0 00 0 00 1 967 28 1 967 28 Protection individuelle treillis de fer 1 5 m 2 850 00
139. 1 90 i 1 651 80 j 97 348 8 663 70 100 0 119 956 10 619 80 1 617 20 j 135 040 12 237 00 100 0 104 092 9 231 80 2 408 80 126 572 11 640 60 100 0 100 604 8 955 50 1 668 10 i 115 957 10 623 60 100 0 98 470 9 169 10 1 280 00 109 446 10 449 00 100 0 111 144 10 297 86 1 671 90 125 540 11 969 76 100 0 96 702 9 014 77 3 067 41 3 127 872 12 082 18 100 0 95 481 8 920 20 4 833 41 i 136 511 13 753 61 100 0 90 409 8 570 78 4 619 92 s 139 710 13 190 70 100 0 Tableau 15 La production laiti re Source STATEC SER vaches laiti res vache kg mio kg en laiteries mio kg 1977 1980 1985 1990 1995 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 prov Tableau 16 Exportations de produits agricoles en tonnes Source S E R STATEC ASV Bovins vivants Porcs vivants Porcelets viande porcine vivants Froment 3 Veaux vivants viande bovine 1 concerne la campagne nombre de t tes 3 en tonnes quivalent carcasse sans veaux porcelets vivants avec viande de veaux porcelets provisoire Tableau 17 Importations de produits agricoles en tonnes Source S E R STATEC 1 concerne la campagne provisoire 10 Tableau 18 Les prix nets au producteur d part ferme hors TVA Source SER Sp cification 2001 2002 2003 2004 2005P006 prov froment panifiable d 13 60 12 62 13 38 10 10 12 39 13 02 froment fourrager dt 9 92 8 50 10 59 8
140. 10 De fa on g n rale laxe 3 du PDR soutient l offre quitable de services la population et d emplois de proximit ainsi que l am lioration de la qualit de vie dans les zones rurales d Axe 4 LEADER La constitution de capacit s locales pour l emploi et la diversification La strat gie pour l axe Leader d crite ci dessous introduit des possibilit s de gouvernance innovante au moyen d approches locales ascendantes du d veloppement rural Le Gouvernement soutient la cr ation de groupes d action locales GAL fond e sur le partenariat et qui mettent en uvre des strat gies locales de d veloppement Sur base des exp riences faites au cours des trois premi res p riodes de programmation LEADER il est propos de viser selon la volont r gionale toutes les r gions rurales Les r gions doivent tre assez grandes pour assumer les fonctions sp ciales revendiqu es par l approche LEADER et s orienter vers la politique g n rale d am nagement du territoire et des coop rations existantes Il importera cet gard que la population s identifie avec les r gions ainsi d finies Le Gouvernement soutiendra la constitution de groupes repr sentatifs de partenaires des diff rents milieux socio conomiques des r gions d sirant b n ficier de laxe LEADER en vue de la cr ation d une capacit locale de partenariat Celle ci aura pour mission d animer et de promouvoir l acquisition de comp tences afin de contri
141. 100 st res ont t br l s dans l installation de chauffage bois servant chauffer les XI 18 locaux du Centre forestier et du cantonnement ce qui correspond 20 000 litres de mazout c L tat sanitaire de la for t Au niveau de l tat sanitaire des for ts soumises il est noter que la s cheresse au d but de l ann e a favoris l attaque de scolytes dans certains triages du cantonnement de Luxembourg Est M me de jeunes peuplements g s de moins de 30 ans ont t touch s comme par exemple ceux de la parcelle 23 du triage Kiem causant des d g ts de 20 m de bois scolyt s Le triage de Dudelange a not une attaque importante de chenilles sur les h tres en printemps 2006 et un tat de sant m diocre des h tres du triage Dans le triage de Sandweiler les h tres sont d p rissants sur les sols limoneux tandis que les d g ts caus s par le bostryche taient insignifiants En g n ral le manque de pr cipitations la s cheresse et les temp ratures exceptionnellement chaudes ont eu un effet n gatif sur la for t cet effet n gatif a cependant partiellement t amorti par les pluies abondantes et les temp ratures basses du mois d ao t Les co ts pour la lutte contre le bostryche se sont port s 32 700 en 2006 A part quelques arbres isol s il n y a pas eu de d g ts de chablis au cours de l ann e 2006 au cantonnement de Luxembourg Est d Les r g n rations les plant
142. 17 554 47 92 d c 04 443 179 219 4497 oj 65 129 3351 219 49 44 janv 05 311 106 167 3883 0 37 8 3058 143 45 98 f vr 05 117 441 57 436e ol as 31 32 61 54 46 15 mars 05 95 27 58 317e 0 12 25 3243 44 46 32 avr 05 90 23 55 2949 ofj 5 20 2000 32 35 56 mai 05 245 68 156 303e ol 22 82 21 15 119 48 57 juin 05 195 40 134 2299 oj n n 15 48 9 49 23 juil 05 1214 30 77 2804 0 142 _ 46e 2069 70 57 85 ao t 05 150 19 111 1462 ol al z _ 5 26 91 60 67 sept 05 77 16 59 2133 of n 3 2292 49 63 64 oct 05 RS A E E x nov 05 x 29 572 483 ol 17 298 5 48 x x d c05 x al 318 124 O0 2 143 a x x jan juin 2006 x 29 518 53o of 2 267 7 29 x x juil sept 2006 D PE 2 7 3 1 x oct dec 2006 x 776 0 89 0 0 400 0 00 x x total 3942 7017 35 97 4 1409 3925 26 42 En d pit d une faible pr valence s rologique l Administration des Services V t rinaires doit rester vigilante l gard de la peste porcine classique continue toujours faire ses ravages en Rh nanie Westphalie du Nord au Nord Est de la Rh nanie Palatinat et dans les Vosges fran ais L enc phalopathie spongiforme bovine E S B Le Luxembourg a connu jusqu ce jour 3 cas d E S B Le 1 cas d E S B le 26 novembre 1997 sur une vache pie noire n e en 1993 Le 2 cas d E S B le 29 juillet 2002 sur une vache pi rouge n e en 1996 Le 3 cas d
143. 19 2 38 6 A 1000 B n fice 39 1 44 4 38 9 43 4 42 4 46 6 dont aides publiques totales 28 4 33 7 36 3 443 44 0 48 2 Aides totales chiffre d affaires 22 24 25 30 27 34 Aides totales b n fice 73 76 93 102 104 104 Les tendances qui se d gagent de l analyse de ces indicateurs pendant la p riode 2000 2005 sont les suivantes introduction du r gime du paiement unique en 2005 avec d couplage total des aides concern es Il en r sulte une baisse du chiffre d affaires de la marge brute et de la marge nette par rapport aux ann es pr c dentes tant donn que les primes d coupl es ne s ajoutent plus ces positions rapport entre les aides totales et le b n fice inchang par rapport l ann e pr c dente en se stabilisant un niveau tr s lev gt 100 A noter qu avec le d couplage total les primes la production tendent vers z ro tandis que les aides non li es la production augmentent du m me ordre de grandeur que la diminution des primes la production stabilisation de la marge brute totale par exploitation autour de 62 000 exploitation en corrigeant l influence du d couplage des primes augmentation des co ts fixes et notamment des amortissements de 8 par ann e forte augmentation des aides publiques totales Agenda 2000 mont e en r gime des dispositions du PDR 2000 2006 prime unique L importance de l influence des aides publiques est illustr e dans
144. 1999 11 5 en 2000 5 0 en 2001 10 0 en 2002 5 0 en 2003 5 6 en 2004 5 9 en 2005 8 2 Toujours dans le domaine de la Marque Nationale du Miel Luxembourgeois il y a lieu de citer la campagne cuisine au miel organis e annuellement par le Lyc e Technique Alexis Heck Dans un but de promotion la Marque Nationale a t pr sente la Foire de Printemps LUXEXPO et la Foire Agricole d Ettelbruck Enfin dans le cadre de la campagne de distribution de plantes mellif res en vue d enrichir la flore en place 12 700 plantes ligneuses et 420 kilogrammes de semences de plantes mellif res ont t mis la disposition des apiculteurs 5 Le service de la mutualit agricole En vertu de l arr t grand ducal modifi du 17 09 1945 sur l organisation des associations agricoles le Ministre de l Agriculture exerce par l organe de l ASTA le contr le des associations agricoles et des f d rations Le service de la mutualit agricole pr s de ASTA est charg de cette mission Le contr le du service de la mutualit agricole s exerce en sorte qu il porte sur l organisation juridique et administrative sur l organisation et la tenue de la comptabilit sur l exactitude des r sultats comptables ce par sondages ayant le caract re d un super contr le qui ne s tend cependant pas au contr le commercial et mat riel qui est de la comp tence des comit s et des conseils de surveillance Chaque ann e font l objet d un t
145. 2 soit 26 82 du quota national dont 363 992 kg allou s en application de l article 16 paragraphe 2 du r gl grand ducal du 14 mars 1996 allocation lin aire de 1 384 kg 263 exploitations 731 996 kg allou s en application des articles 25 et 26 dudit r glement dispositions transitoires et 10 752 148 kg allou s en application des articles 13 et 14 du r glement grand ducal du 1er mars 2000 respectivement en application des articles 13 et 14 du r glement grand ducal du 11 mars 2004 dissolutions transferts et fusions le chiffre de 72 517 992 kg comprend la quantit de r f rence de 25 millions de kg allou s au Luxembourg depuis le d but du r gime des quotas laitiers en provenance de la r serve communautaire 0 5 Le pool national Depuis le ler avril 2000 le pool national ne sert plus comme instrument de restructuration de la production laiti re mais est exclusivement destin garantir l allocation d finitive de quotas des producteurs ayant soit b n fici d un transfert temporaire de quotas par voie de location soit profit de la jouissance d une quantit de r f rence plus substantielle dans le cadre d un contrat d association En effet ces derniers b n ficient d un droit d allocation prioritaire des quotas transf r s ou des quotas d tenus par le co associ au cas o les contractants d cident d un commun IV 14 accord de mettre un terme soit en raison de l arriv e du term
146. 263 486 231 653 239 033 Source Statec Chiffres provisoires Marsala Samos Porto Mad re Xer s Vermouths et autres vins de raisins frais pr par s de plantes ou de substances aromatiques Tableau 6 Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant les pays destinataires hl 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Belgique 44 532 49 949 48 131 49 653 Pays Bas 399 402 190 191 Allemagne 2 028 8 368 3 533 7 687 France 3 460 3 170 3 529 3 567 Autres 157 245 249 293 50 576 62 134 55 632 61 391 Les vins trangers utilis s comme vin de base et export s sous forme de vins mousseux et de vins p tillants sont compt s parmi les r exportations Autres pays de l U E et Etats Unis Tableau 7 Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature des produits hl Nature des produits 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Vin de table 8 423 Vin de qualit 33 121 P tillant 5 605 Cr mants et Mousseux 3 417 Jus de raisin 10 TOTAL 50 576 62 134 55 632 61 391 Les vins trangers utilis s comme vin de base et export s sous forme de vins mousseux et de vins p tillants sont compt s parmi les r exportations Tableau 8a Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature et suivant les pays destinataires pendant la campagne 2004 2008 hl Belgique Pays Bas Allemagne France Autres
147. 27 CORELUX 3 980 111 3 980 111 FROMAGERIE DE LUX 2 618 057 2 618 057 CORNELYSHAFF 26 440 26 440 TOTAL 268 554 000 46 089 268 600 089 transferts op r s par les producteurs disposant d un quota livraisons et d un quota vente directe Tableau 13 Livraisons et pr l vement P riode 2005 2006 Acheteur Livraisons D passement du Sous utilisation Pr l vement d Pr l vement Pr l vement corrig es quota du quota restitu final d kg C kg kg EUR EUR EUR LUXLAIT 126 076 779 503 083 12 497 596 89 EKABE 34 885 337 92 139 00 91 319 27 PROCOLA 103 879 310 290 641 48 289 926 22 CORELUX 4 001 794 6 702 22 6 702 22 FROMAGERIE 2 595 342 DE LUX CORNELYSHAFF 26 440 TOTAL 271 465 002 2 887 628 892 565 82 7 021 22 885 544 60 compte tenu de la correction appliqu e aux livraisons suite au d passement du taux de mati re grasse de r f rence pr l vement restitu en application de l article 18 du r glement grand ducal modifi du 11 mars 2004 la suite du fait que le montant du pr l vement per u aupr s des acheteurs concern s d passe le montant du pr l vement d au niveau national 1V 11 Le tableau 14 reprend les chiffres en mati re de r partition des quotas entre les diff rents acheteurs au cours de la vingt troisi me p riode d application du r gime des quotas laitiers Tableau 14 R partition des quo
148. 30 mai 1er et 2 juin 2007 dans la Loire XII 23 Tablea 1 10 11 12 13 14 15 16 17 18 Statistiques agricoles Evolution du nombre de la surface agricole utile et de l tendue moyenne des exploitations agricoles de 2 ha et plus Evolution du nombre des exploitations agricoles par classe de grandeur Population active agricole a Assur s la Caisse de Maladie Agricole b R partition des assur s la Caisse de Maladie Agricole par cat gorie Evolution des principaux secteurs de production v g tale de l agriculture Evolution des principaux secteurs de production animale de l agriculture Evolution du cheptel vif Les exploitations agricoles suivant le nombre de bovins qu elles d tiennent Les exploitations agricoles suivant le nombre de vaches lait qu elles Les exploitations agricoles suivant le nombre de porcs qu elles d tiennent Evolution du nombre de machines agricoles et installations agricoles Evolution des principales productions agricoles commercialis es a production v g tale b production animale Froment travaill en meunerie R partition des ventes de gros bovins indig nes entre abattages au Luxembourg et exportations d animaux vivants sans veaux sans abattages R partition des ventes de porcs indig nes entre abattages au Luxembourg et exportations d animaux vivants sans porcelets sans abattages La production laiti re Exportation de
149. 42 783 82 156 124 614 177 446 224 279 270 895 341 422 437 884 706 386 291 590 classe kg Depuis l introduction du r gime des quotas laitiers la situation structurelle du secteur laitier au Grand Duch conna t un changement continu vers la diminution du nombre de producteurs et l augmentation du quota individuel des exploitations restantes voir tableau 17 Tableau 17 Campagnes Nombre de producteurs Quota moyen kg Variation annuelle 1984 85 2 226 131 626 1985 86 2 222 130 513 0 846 1986 87 2 042 142 018 8 815 1987 88 1 970 139 137 2 029 1988 89 1 869 143 111 2 856 1989 90 1 800 150 444 5 124 1990 91 1 776 152 477 1 351 1991 92 1 640 162 394 6 504 1992 93 1 590 167 604 3 208 1993 94 1 524 175 917 4 960 1994 95 1 463 183 252 4 170 1995 96 1 373 195 264 6 555 1996 97 1 309 204 811 4 889 1997 98 1 276 210 108 2 586 1998 99 1 259 212 944 1 350 1999 2000 1 237 216 732 1 779 2000 2001 1 149 233 467 7 722 2001 2002 1 093 245 704 5 241 2002 2003 1 058 253 832 3 308 2003 2004 1 022 262 773 3 522 2004 2005 991 270 993 3 128 2005 2006 955 281 208 3 769 2006 2007 923 291 590 3 692 Remarque Campagnes 1984 85 2005 2006 Donn es de fin de campagne Campagne 2006 2007 Donn es du 22 ao t 2006 Le tableau 18 montre la r partition du quota national entre les diff rentes cat gories d ge de producteurs et le nombre de producteurs dans chaque cat gorie IV 13
150. 492 1119 372 363 735 217 99 316 2006 1404 3410 2002 28 3 31 242 72 314 486 343 829 614 481 1095 395 385 780 207 84 291 1972 1368 3340 2003 18 4 22 234 69 303 454 329 783 602 476 1078 429 384 813 169 82 251 1906 1344 3250 2004 33 2 35 232 64 296 425 306 731 587 457 1044 437 393 830 169 71 240 1883 1293 3176 2005 39 1 40 226 52 278 390 286 676 576 433 1009 467 418 885 163 64 227 1861 1254 3115 2006 37 3 40 223 52 275 359 260 619 561 415 976 474 424 898 157 71 228 1811 1225 3036 Tableau 4 Evolution des principaux secteurs de production v g tale de l agriculture luxembourgeoise Source STATEC Superficie de froment Ann e et peautre indices Superficie de seigle Superficie de pommes de terre indices indices Superficie de indices Superficie de Superficies de prairies et p turages plantes fourrag res indices indices 186 0 166 1 104 4 78 5 81 3 57 9 78 6 85 1 71 1 100 0 89 6 109 5 102 0 106 8 108 7 115 4 603 1 736 9 177 1 71 0 178 1 131 1 82 9 54 3 92 3 100 0 111 2 159 7 108 6 159 7 137 5 163 2 745 8 448 4 296 6 168 6 136 2 101 8 99 6 96 9 101 3 100 0 88 5 81 1 75 2 76 6 73 3 71 8 151 6 155 1
151. 5 96 1998 99 1999 00 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 R partition des ventes de gros bovins indig nes entre abattages au Luxembourg et exportations d animaux vivants sans veaux sans abattages domicile Source S E R Ann e 9 868 40 8 221 10 9 479 20 8 330 60 9 308 40 6 961 80 7 105 80 7 269 00 8 174 90 7 733 90 10 728 80 10 020 70 9 926 48 9 791 11 9 010 18 8 558 87 1 908 90 f 3 352 50 5 626 20 5 667 80 4 811 60 6 987 30 8 204 20 9 558 20 8 509 10 9 145 60 5 638 60 7 537 40 6 576 48 6 553 48 7 618 71 6 828 57 Poids abattu total tonnes 11 777 30 11 573 60 15 105 40 13 998 40 14 120 00 13 949 10 15 310 00 16 827 20 16 684 00 16 879 50 16 367 40 17 558 10 16 502 95 16 344 59 16 628 89 15 387 43 Tableau 14 R partition des ventes de porcs indig nes entre abattages au Luxembourg et exportations d animaux vivants avec truies et verrats sans porcelets sans abattages domicile Source S E R Abattages Exportations Total Ann e Poids abattu Poids abattu Poids abattu Nombre total tonnes total tonnes total tonnes 114 571 9 005 10 1721 50 136 036 10 726 60 100 0 88 587 7 138 20 764 8 97 643 7 903 00 100 0 70 074 5 485 60 322 72 231 5 807 60 100 0 66 140 5 186 40 251 2 68 547 5 437 60 100 0 71 554 5 636 40 917 9 81 102 6 554 30 100 0 71 502 5 911 10 k 2 258 30 96 238 8 169 40 100 0 81 604 7 01
152. 5 jours export s vivants t te 193 36 viande porcine kg poids ab 1 48 porcelets t te abatt 40 16 viande ovine kg poids ab viande caprine kg poids ab volaille kg poids ab lait 3 7 MG et 3 3 MP avec versement suppl mentaire kg 0 3042 lait au taux effectif de MG et MP kg 0 3183 taux MG du lait 4 20 taux MP du lait 3 35 ufs uf 0 09 MG mati re grasse du lait MP mati re prot ique du lait l 16 Tableau 5 Les quantit s produites des principales productions agricoles source SER CCECCEEEEEEr prov c r ales t 156 507 167 217 153 795 164 139 178 982 froment et peautre t 60 073 46 379 68 648 79978 seigle t 4 051 3 535 4606 7 921 orge t 1 67 775 55 330 52761 avoine t 12 246 114141 9458 ma s grain t 3 112 1 902 3611 triticale t 17 313 19 992 23 086 m lange de c r ales et autres c r ales t 3 435 2 247 2 168 colza t 2 13 568 12535 16 526 pois et f veroles t 2 307 2107 1 702 pommes de terre t 25 704 18 329 22 244 vin hl 107 000 184 277 123 085 155 828 viande bovine t poids carcasse abattage amp export 14 195 16 637 viande de veau t poids carcasse abattage 34 410 exportation veaux vivants t tes 23 742 15 519 viande porcine t poids carcasse abattage amp export 6 870 12 005 abattage porcelets t tes 3 59 000 32 636 exportation porcelets vivants t tes 448 viande ovine et caprine t poids carcas
153. 50 titre accessoire Montant par hectare d arboriculture 318 ha Montant par hectare de culture 635 ha mara ch res de plein air Montant maximal par demande 5 000 Selon la modification du 25 avril 2003 concernant le r glement grand ducal du 1 octobre 2002 le montant maximum par demande a t supprim pour les exploitants titre principal partir de l ann e culturale 2003 2004 La situation en mati re de participation au r gime de la prime est r sum e au tableau 27 Tableau 27 Nombre d exploitants participant au r gime Ann e culturale au cours des ann es culturales en question 1996 1997 1 874 1997 1998 1 878 1998 1999 1 910 1999 2000 1 898 2000 2001 1 787 2001 2002 1 795 2002 2003 1 751 2003 2004 1 777 2004 2005 1 764 2005 2006 1 781 2006 2007 1 725 du 1 novembre jusqu au 31 octobre de l ann e suivante les variations peuvent s expliquer la fois par des r siliations et nouveaux engagements ainsi que par la disparition d exploitations individuelles au moment de la fusion d exploitations Le versement p ex pour l ann e de r colte n de ladite prime est r alis en deux tapes une avance calcul e sur base des d clarations de surfaces introduites pour l ann e n 1 versement en octobre de l ann e n 1 un solde calcul sur base des d clarations de surfaces intro
154. 50 9 14 11 32 peautre d 10 29 7 98 10 30 8 50 8 00 20 00 seigle panifiable d 10 29 8 08 9 68 6 94 8 22 10 28 seigle fourrager d i i 9 05 7 48 9 05 6 50 6 75 8 44 orge fourrag re d 9 05 7 73 9 18 8 00 8 25 9 38 orge de brasserie d 11 16 9 93 10 61 9 11 8 84 11 50 avoine d 9 05 7 48 7 55 7 50 7 50 8 75 ma s grain d 10 91 9 88 12 00 8 50 8 50 9 40 triticale d 9 54 7 48 9 05 8 00 8 00 10 00 colza alimentaire d 22 31 20 73 21 80 18 00 18 90 22 00 colza industriel non alimentaire d k k 18 00 18 05 186 30 19 40 19 00 20 80 dt 3 12 89 10 48 11 05 10 50 10 30 11 00 d 12 89 10 48 11 05 10 50 10 30 9 50 pommes de terre de consommation d 23 13 23 80 28 30 28 00 29 09 39 00 plants de pommes de terre d a A 17 12 14 18 15 83 15 83 raisins destin s la vinification d k 92 74 93 99 99 44 92 36 97 66 99 47 viande bovine kg abattu 1 84 1 88 2 05 2 27 2 48 2 58 viande de veau kg poids ab 5 32 5 21 5 27 5 53 5 74 5 45 veaux de 15 jours export s vivants t te 89 54 105 55 142 16 145 85 144 19 133 70 viande porcine kg abattu 1 68 1 30 1 16 1 24 1 20 1 23 porcelets t te abatt 49 45 33 56 32 47 33 79 32 80 34 39 viande ovine kg abattu i A 5 74 5 30 5 37 5 61 viande caprine kg abattu x X gt 8 18 8 02 6 15 8 06 volaille kg abattu 7 3 50 5 55 5 74 lait 3 7 MG et 3 3 MP kg 0 3261 0 3159 0 3081 0 3041 0 2
155. 6 et 2005 compar e la moyenne 1997 2006 2006 2005 1997 2006 2006 2005 1997 2006 Elbling 75 70 65 8 8 9 6 9 9 Rivaner 70 74 68 7 2 7 0 7 0 Auxerrois 81 83 79 6 5 6 8 7 0 Pinot blanc 80 78 83 8 0 8 9 9 0 Chardonnay 88 86 79 8 2 8 9 9 1 Pinot gris 87 85 84 7 0 7 9 7 4 Riesling 82 82 79 9 5 9 9 9 9 G Traminer 91 95 86 5 3 6 1 6 3 Pinot Noir 85 86 82 8 1 8 8 8 5 Tableau 4 Importations de vins et autres produits viticoles au Luxembourg suivant les pays de provenance hl Pays de provenance France Italie Allemagne Belgique Portugal Espagne Pays Bas Autres pays TOTAL 2002 2003 95 023 28 923 13 896 54 294 25 449 14 039 4 855 1 490 237 969 2003 2004 103 914 32 872 17 753 57 787 26 725 13 695 8 722 2 018 263 486 2004 2005 75 614 25 562 20 852 57 484 28 604 19 811 2 084 1 642 231 653 2005 2006 80 617 34 622 19 037 56 214 28 589 16 654 1 996 1 304 239 033 Source Statec Chiffres provisoires Tableau 5 Importations de vins et autres produits viticoles au Luxembourg suivant la nature des produits hi Nature des produits 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Vin rouge et ros Vin blanc Mousseux Jus de raisin et mo t Autres 135 055 48 182 23 305 3 824 27 603 149 662 53 210 30 508 3 435 26 671 121 043 49 230 24 685 8 720 27 975 124 216 53 021 26 145 5 499 30 152 TOTAL 237 969
156. 75 ha 57 377 15 Le site Internet de l Institut viti vinicole Le plan d action eLuxembourg constitue la r ponse du Gouvernement au d fi de la soci t de l information Les services publics en ligne deviennent de plus en plus un l ment central dans la relation que l Etat entretient avec les citoyens et les entreprises Le site de l Institut viti vinicole est conforme la charte de normalisation de la pr sence sur Internet de l Etat Cette charte d finit les normes respecter en mati re de graphisme et de pr sentation du contenu Elle concerne galement la mise en place d une infrastructure informatique commune pour la cr ation et la gestion des sites web qui comprend un syst me r dactionnel ou CMS Content Management System Selon cette charte la disposition des menus du site doit tre ind pendante de l organisation interne de l administration Par cons quent les citoyens n ont pas besoin de conna tre priori l organisation de l IVV pour retrouver les informations qu ils recherchent Le site est r dig en allemand et le public cible vis est constitu principalement par les vignerons Evidemment les consommateurs de vin y retrouvent galement des renseignements g n raux sur la viticulture luxembourgeoise En 2006 le site de l IVV a t visit 51 572 fois Le site Internet de l IVV met disposition des informations sur les aides financi res sur la r glementation viticole a
157. 833 25 1727 126 81 753 226 84 611 374 4 2005 34 133 10 128 26 759 17 1 263 125 87 864 212 90 147 425 2 2006 30 103 11 155 14 445 17 1 123 111 82 325 183 84 151 459 8 Tableau 10 Evolution du nombre de machines agricoles et installations agricoles Source STATEC Ann e Tracteurs Moissonneuses Epandeur de Presses Trayeuses R frig rateurs 2 et 4 roues batteuses fumier ramasseuses m caniques de lait Tableau 11a Evolution des principales productions agricoles commercialis es Production v g tale Source S ER Froment et peautre Seigle Pommes de terre Ann e gt tonnes indices Tonnes indices tonnes Indices Tableau 11b Evolution des principales productions agricoles commercialis es Production animale Source S E R P P 1 i 2 3 r P 3 Ann e Viande bovine Viande de veau Lait collect Viande porcine tonnes indices tonnes indices tonnes indices tonnes Indices 172 600 176 600 210 943 243 200 266 100 297 462 274 200 258 100 253 400 260 900 254 089 262 100 258 900 257 166 257 800 258 372 256 356 260 843 261 206 256 676 257 896 258 224 254 643 1 abattages et exportations g abattages 3 abattages et exportations sans porcelets Tableau 13 Tableau 12 Froment travaill en meunerie Source S ER Vo TOTAL Froment indig ne ampagne tonnes tonnes tonnes E 1967 68 1970 71 1975 76 1980 81 1985 86 1990 91 199
158. 9000 int r ts payer 31000 revenu net d entreprise 27 28 29 1 20 Tableau 7 Evolution des indicateurs de revenu agricole au Luxembourg source SER 1985 REVENU DES FACTEURS millions REVENU NET D ENTREPRISE millions 81 416 indice implicite des prix du p i b 2000 100 67 5 main d uvre agricole totale UT A 7 275 main d uvre agricole non salari e UTA 6 700 main d uvre agricole salari e UTA 575 indicateur A 2000 100 89 3 indicateur B 2000 100 91 0 indicateur A var p rapport ann e pr c dente indicateur B var p rapport ann e pr c dente 1990 85 821 74 0 5 955 5 338 617 110 0 109 8 94 1 90 1 1995 98 805 109 321 104 263 81 181 87 8 4 931 4 292 639 106 9 108 9 108 6 117 2 2000 96 725 73 881 100 0 4 292 3 736 556 100 0 100 0 93 1 92 5 2001 96 140 69 921 102 4 4217 3 625 592 98 8 95 3 98 8 95 3 2002 98 795 71 125 102 4 4 100 3 513 587 104 4 100 0 105 7 104 9 2003 92 864 66 415 104 6 3 960 3 359 601 99 5 95 6 95 3 95 6 2004 89 458 60 241 107 4 3 945 3 328 617 93 7 85 2 94 2 89 1 2005 94 592 62 587 109 1 3 987 3 333 654 96 5 87 0 103 0 102 1 2006 prov 94 555 62 316 111 7 3 864 3 242 622 97 2 87 0 100 8 100 1 indicateur A indice du revenu r el des facteurs r el d flat au moyen de l indice implicite des prix du p i b par unit
159. 909 0 2875 lait au taux effectif de MG et MP kg 0 3423 0 3328 0 3261 0 3222 0 3079 0 3043 taux MG du lait 4 17 4 18 4 20 4 20 4 19 4 21 taux MP du lait z 3 36 3 37 3 38 3 39 3 40 3 40 ufs 0 11 0 11 0 11 0 11 0 13 0 13 MG mati re grasse du lait MP mati re prot ique du lait 11 8a 8b 10 11 12 13 14 15 16 17 STATISTIQUES VITICOLES R colte 2006 Evolution de la production au cours des 10 derni res ann es Qualit des r coltes 2005 et 2006 compar e la moyenne 1997 2006 Importations de vins et autres produits viticoles au Luxembourg suivant les pays de provenance Importations de vins et autres produits viticoles au Luxembourg suivant la nature des produits Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant les pays destinataires Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature des produits Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature et suivant les pays destinataires pendant la campagne 2004 2005 Exportations de vins et autres produits viticoles indig nes suivant la nature et suivant les pays destinataires pendant la campagne 2005 2006 Exportations de vins de qualit luxembourgeois suivant leur classification qualitative R exportations de vins et autres produits viticoles suivant les pays destinataires R exportations de vins et autres produits vitico
160. Cephazoine T o o StreptocoquesB Trimethoprime Sufamide o o StreptocoquesBg Tetracycines o o Streptocoques B mMarbofoxaine o o Streptocoques f caux Amoxycilline Clavulanate o o Streptocoques f caux Ampi mine o o Streptocoques f caux Peni mine o o Streptocoques f caux Cephazoine o o Streptocoques f caux Marbofoxaine o 1 Streptocoques f cauxs Tetracyaines o o Streptocoques f caux Trimethoprime Sutfamiae o o 1 1 X 34 Les germes gram n gatif Eco Ampioiline o o 5 Eco chioramphenioo 4 o o Eco o coisi S o 2 a Enrofloxacine 0 10 Eco Gentamycine a o 18 Eco Marbo oxacine 4a o o 4 Streptomycine 5 Sulphonamides Sulphonamides Ampicilline Cephazoline E coli h molytique Neomycine E coli h molytique Gentamycine E coli h molytique Tetracyclines Coiistine Cephazoline Neomycine Gentamycine Coiistine 1 Les diarrh es des veaux Les diarrh es des veaux repr sentent toujours un probl me tr s grave en sant animale et pourraient tre vit es au maximum en pr tant une attention particuli re la propret et aux bonnes conditions hygi niques dans les tables selon le guide de bonnes pratiques en agriculture ce malgr la pr sence de germes potentiellement responsables des troubles X 35 R sultats d analyses des mati res f cales MF
161. Duch de Luxembourg qui exploitent une surface minimale et qui respectent un certain nombre de conditions ayant trait notamment l exploitation des surfaces l entretien des l ments du paysage l pandage de la fumure organique et min rale la charge de b tail et l utilisation de mat riel d pandage techniquement au point ainsi que le code de bonne pratique agricole d fini dans le r glement grand ducal modifi du 11 f vrier 2002 fixant les modalit s d application de l indemnit compensatoire annuelle allouer aux exploitants agricoles dans les r gions d favoris es IV 19 Les demandeurs de la prime s engagent r pondre ces conditions pendant cinq ans partir du premier versement Les montants de primes applicables sont repris au tableau 26 Tableau 26 B n ficiaires Montants Agriculteurs titre principal pour les 50 premiers hectares 93 ha pour les hectares suivants 75 ha Montant maximum par demande 7 650 titre accessoire Montant par hectare 75 ha Montant maximum par demande 5 000 P pini ristes titre principal Montant par hectare 397 ha Montant maximum par demande 7 650 titre accessoire Montant par hectare 318 ha Montant maximum par demande 5 000 Horticulteurs titre principal Montant par hectare d arboriculture 397 ha Montant par hectare de culture 794 ha mara ch res de plein air Montant maximal par demande 7 6
162. EEE FEA EE SE te g Le projet de r serve foresti re int grale Saueruecht Beaufort h Le projet de r serve foresti re int grale R if Wellenstein i Le projet de r serve foresti re int grale Schnellert Berdorf Consdorf j Le projet de r serve foresti re int grale Hieberb sch Mompach k Les autres projets de r serves foresti res int grales RFI en cours 6 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus La participation la f te foresti re Clervaux nnnnesonenennnnnnoensnnnnnnennseennee Le colloque B chsymposium ss Les nouvelles publications ss a La publication sur le patrimoine historique et culturel en for t b La publication Der Einsatz von Zugpferden in Land und Forstwirtschaft in der Landschaftspflege sowie im kommunalen und touristischen SASIKO GRR E c La publication Naturnaher Waldbau d La brochure bilingue concernant le sentier Strombierg e La publication Der Luxemburger Wald in Zahlen n 10 L tude sur l tablissement d une m thode de relev du bois mort N LA VITICULTURE LUXEMBOURGEOISE ner srrrrsnnmennnemensnnmennnnennneenne A B ASTI OnNMUOUO La r colte 2006
163. ERANVEN Ernster et Senningerberg S agissant de la renaturation de l Alzette dans les communes de LORENTZWEILER et de LINTGEN un projet alternatif a t labor par PONR L id e de ce projet est de maintenir le lit existant tout en faisant d buter l origine du projet plus en amont Pour compenser les 64 hectares soustraits l agriculture traditionnelle PONR a fait des propositions de r affectation des emprises en agriculture extensive juste la sortie du tunnel Gousselter Pour ce dossier alternatif l ONR attend toujours la prise de position du Minist re de l Environnement Il en est de m me des propositions de reboisement compensatoires Pour les remembrements de renaturation de l Alzette sup rieure faisant partie du projet Life Nature les actions d offres d achat et de compromis de bail loyer ont t poursuivies ROESER L ONR a pu acqu rir pour le compte de l Etat 6 4 ha ROESER 9 compromis Depuis 2003 des contacts suppl mentaires l amiable pour les baux ferme ont t entrepris avec des propri taires ensemble avec la Commune de Roeser pour disposer d une r serve d change de terrains 20 4 ha ceci en vue de satisfaire aux baux ferme de certains exploitants Ce dernier projet a t relanc en 2005 par le d p t du p rim tre du remembrement Vu certaines oppositions de propri taires et d exploitants au projet PONR attend des instructions du Gouvernement pour la pou
164. L allocation initiale des droits au paiement Le point de d part pour la d termination des droits au paiement allouer aux producteurs tait le calcul du montant de r f rence de chaque producteur Celui ci incluait pour les r gimes de primes remplacer par le paiement unique la valeur moyenne de chaque prime calcul e sur base des quantit s moyennes hectares nombre d animaux d termin es pour la p riode de r f rence 2000 2002 Ce calcul tenait compte des plafonds r glementaires des diff rents r gimes de prime mais faisait abstraction de l effet de sanctions appliqu es au cours de la p riode de r f rence Les quantit s reprises dans le calcul des montants de r f rence ont t le cas ch ant adapt es par l application des dispositions communautaires et nationales en mati re de gains exceptionnels Un gain exceptionnel s est pr sent si selon des crit res fix s au niveau national un producteur avait diminu en termes de volume de primes sa production entre la p riode de r f rence 2000 2002 et l ann e 2004 Les modifications appliqu es dans ces cas visaient adapter partiellement le montant de r f rence des producteurs concern s la situation de primes constat e en 2004 Les montants de r f rence ont t communiqu s en avril 2005 aux producteurs concern s La dite communication contenait en outre un formulaire de demande de modification du dit montant de r f rence pour couvrir les ca
165. LA SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L AGRICULTURE nnnsssnnnnsnnnnennnn l 1 A L agriculture dans l conomie nationale en 2006 eeessseseeseeerrssssrsererrrressseeeee l 1 B L ann e 2006 sur le plan agricole ss l 4 1 Le plan m t orologique sssseeseeeseeeseeeseesseeeseeesteerrtesttertrertrerrresrrennrenntenrren nennen ne l 4 2 La situation des prix des produits agricoles ssseseeeseeeneee nenene errre nnne ennenen l 4 3 La politique agricole commune PAC l 5 C Les structures de production de l agriculture luxembourgeoise l 5 D Les observations m thodologiques sur les statistiques conomiques l 7 E Les comptes conomiques de l agriculture CEA le revenu agricole en 2006 r sultats provisoires et au cours des ann es pr c dentes r sultats d finitifs 1 8 1 La production v g tale sn remet ee etre One enr l 9 2 La production animale ss l 13 3 Les activit s secondaires non agricoles non s parables de l activit agricole l 14 4 Les consommations interm diaires l 14 5 La valeur ajout e le revenu des facteurs le revenu net d entreprise l 14 F La situation conomique des exploitations agricoles sssssesssseseeeerererrrrererseene l 22 1 L volution moyen terme des indicateurs conomiques 1 22 2 L volution moyen terme du revenu agricole
166. S total kg t kg t mati re kg t mati re kg t mati re telle mati re telle telle quelle telle quelle quelle quelle Lisier de bovins Total 100 2546 86 36e 16e 51 11 k 0 4 MS 46 ms 69 176 52 245 10 J 39 07 gt 10 MS 23 95 609 1105 42 20 555 14 Lisier de porcs oo 10 e 18 20 o2 53 03 Fumier de bovins MS mati re s che Tableau 4 Valeurs moyennes des principaux l ments nutritifs de diff rents supports organiques analys s entre 09 2004 et 09 2005 nombre moyenne moyenne N moyenne P205 moyenne K2O moyenne MgO MS total kg t kg t mati re kg t mati re kg t mati re telle mati re telle telle quelle telle quelle quelle quelle Lisier de bovins Tota 100 286 89 3e 17 5o 1 15 0 4 MS 175 5 30 13 0 6 26 0 5 4 6 MS 0 85 1 1 145 Lisier de porcs 1 7 EL Fumier de bovins 17 0 14 MS_ 25 6 13 6 33 2 0 5235 1 05 1 5 17 MS mati re s che 4 Le service de microbiologie et de biochimie Les principales activit s du service sont a Le contr le des semences La station de contr le des semences rattach e au service de microbiologie et de biochimie effectue l chantillonnage et l analyse des semences de plantes fourrag res en vue de la d termination de la puret des autres semences en nombre de la facult germinative et de la teneur en eau dans le cadr
167. TVA incluse Le nombre de ventes par soumission organis es ensemble avec le cantonnement voisin de Diekirch s l ve 7 La derni re vente de fin d cembre 2006 tait une vente nationale de h tre et concernait cinq cantonnements forestiers b L tat sanitaire de la for t Une recrudescence de l attaque des pic as par les scolytes a t constat e en automne 2006 ce qui est la cons quence des extr mes climatiques grande chaleur s cheresse c Les r g n rations les plantations les travaux de culture Le nombre de plants mis en terre s l ve 37 755 soit 31 630 feuillus et 6 125 r sineux Les reboisements sont en recul et la r g n ration naturelle est la r gle sous couvert Ainsi sont cr s des peuplements de semences autochtones correspondant notre philosophie d une sylviculture proche de la nature Les for ts sont r g n r es naturellement de pr f rence le reboisement n est qu une mesure auxiliaire Tous ces travaux ont t subventionn s en for t communale et dans les for ts des tablissements publics d Les p pini res Les p pini res du cantonnement forestier de Mersch et particuli rement celle du Marienthal ont produit 31 000 plants 2 200 plants ont t repiqu s e Les travaux d am lioration En ce qui concerne les travaux d am lioration les d gagements ont t effectu s sur 191 44 ha et les nettoiements sur 152 23 ha f La voirie foresti re La voirie forest
168. UTAn s explique notamment par l effet conjugu d une politique active d aides publiques et d une augmentation constante de la taille conomique des exploitations ainsi que de l accroissement de la productivit du travail tableau 3 Tableau 3 Evolution de la productivit du travail et du revenu agricole Productivit et revenu 2000 2001 2002 2003 2004 2005 Productivit du travail SAU par UTA ha 40 40 41 43 44 44 UB par UTA UB 55 55 55 54 57 54 Marge brute par UTA ee 43 0 46 1 44 9 46 3 47 9 37 9 Revenu agricole B n fice par UTAn 27 4 30 7 27 2 30 2 29 6 33 3 1 en tenant compte du d couplage des primes Le d calage persistant par rapport au revenu de r f rence est illustr par le graphique 3 l 24 UTA 45 000 40 000 35 000 30 000 25 000 20 000 15 000 10 000 5 000 Graphique 3 Evolution du revenu agricole par rapport au revenu de r f rence 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 Revenu agricole Revenu de r f rence Tendance Revenu agricole D finitions R seau comptable agricole ensemble d environ 850 exploitations agricoles regroup es dans les deux offices comptables d Agrigestion et du Service d Economie Rurale Un sous chantillon de 450 500 exploitations s lectionn es en fonction de leur orie
169. Une autre activit du service d analyse des fourrages consiste en la d termination dans le cadre du contr le officiel des aliments des animaux de la teneur des macroconstituants prot ine brute sucre amidon mati re grasse brute cellulose brute et cendres brutes dans les aliments simples ou compos s du commerce 367 chantillons ont ainsi t analys s en 2006 ce qui repr sente par rapport aux 306 chantillons de 2005 une augmentation de 20 3 Le service de chimie et de recherche de r sidus Une des missions du service de chimie est d analyser la composition des aliments des animaux A cet effet un grand nombre de m thodes d analyse ainsi que des techniques analytiques tr s diff rentes sont appliqu es au dosage des substances ind sirables des macroconstituants des l ments min raux et des additifs tels que oligo l ments vitamines coccidiostatiques et enzymes Dans le cadre de l enregistrement des tablissements ayant des activit s dans le secteur de l alimentation animale une campagne d information envers les conseillers techniques les leveurs et les agriculteurs a t lanc e Les agents du service ont r alis en collaboration avec le service de microbiologie et de biochimie ainsi que le service de production animale l laboration et la mise en place du syst me int gr LAMS Labo ASTA Management System de gestion des chantillons pour le laboratoire Ce syst me facilitera la gestion des c
170. XII 14 D autres programmes comme la pr retraite et les aides agro environnementales pourraient figurer dans les plans de d veloppement rural adopt s par les Etats membres En outre la Commission propose des normes plus simples et plus efficaces dans les domaines de la qualit et de l tiquetage Quant aux pratiques nologiques les producteurs communautaires devraient admettre celles admises au niveau international par l Organisation internationale de la vigne et du vin OIV afin de garantir une mise jour plus rapide des pratiques et une mise en uvre imm diate des volutions techniques dans ce domaine Toutes les quatre options ont t soumises aux observations des milieux professionnels et ont fait l objet de discussions approfondies avec le Conseil et le Parlement europ en avant que la Commission n adopte sa proposition l gislative vers la mi 2007 O La marque nationale du vin luxembourgeois La marque nationale du vin luxembourgeois est un organisme de contr le de l Etat Cr e en 1935 les notions qualit authenticit et contr le restent jusqu aujourd hui partie int grante de la marque nationale du vin des vins mousseux et des cr mants de Luxembourg L article 1 du r glement grand ducal de la marque nationale stipule que le vin est d origine luxembourgeoise qu il est plac sous le contr le de l Etat qu il n a subi aucun coupage avec un vin tranger
171. a biomasse et la strat gie de l UE en faveur des biocarburants lls soulignent que le d veloppement de la biomasse des fins nerg tiques est susceptible de cr er de nouvelles sources de revenus et d emplois dans les zones 11 11 rurales en particulier pour l agriculture la sylviculture et d autres secteurs de l conomie rurale Le M morandum sur la mise en uvre de la politique agricole r form e La d l gation fran aise rejointe par une majorit d Etats membres dont le Luxembourg a pr sent au Conseil du 20 mars 2006 un m morandum sur la mise en oeuvre et l avenir de la PAC face aux nouveaux d fis aux niveaux communautaire et mondial Le m morandum vise pr senter des propositions destin es compl ter la restructuration de la PAC comme la simplification des exigences administratives actuelles des r gles de conditionnalit des aides et du cadre existant en mati re d aides d Etat l tablissement d une base de donn es communautaire plus compl te pour am liorer la gestion au niveau de la Communaut des dispositifs de sauvegarde pr vus dans les organisations communes de marche la mise en place d un syst me d assurances facultatif permettant une meilleure gestion de crise ou l introduction d une plus grande souplesse et d une meilleure efficacit dans l organisation des contr les La qualit des denr es alimentaires Dans sa session de mars 2006 le Conseil des ministres de l agriculture a ad
172. a classification des terres a t men e du 16 ao t au 14 septembre 2006 alors que la 2 enqu te eut lieu du 21 novembre au 20 d cembre 2006 Aucune r clamation ne fut l objet d un jugement A Remerschen les travaux de pr paration pour la classification des terres ont t poursuivis 3 L tude d impact D apr s l art 24bis de la loi une tude d impact comportant une analyse cologique d taill e de l tat initial des l ments constitutifs du milieu naturel et du paysage et une analyse des incidences du projet sur le milieu naturel est tablie pour chaque remembrement l gal L tude comporte le cas ch ant des propositions de mesures compensatoires jug es n cessaires pour la protection des sites touch s par le remembrement L tude est soumise pour avis ONR et la d cision au sujet des mesures compensatoires est prise conjointement par les Ministres de l Agriculture et VIII 2 du Ministre ayant dans ses attributions la protection de la nature et des ressources naturelles En 2006 l tude d impact du remembrement de SCHWEBSANGE a t poursuivie pour le secteur Hanner Fels Elle a t cl tur e par un bilan compensatoire largement positif L tude d impact a t labor e pour les secteurs W ngertsbierg GREIVELDANGE et pour les secteurs F ls et D iffert STADTBREDIMUS et GREIVELDANGE Ici aussi les m mes compensations furent largement exc dentaires Une
173. a thermique froid la thermique vapeur la thermique chauffage la thermique traitement d air le volet sanitaire et le r gulation centralis e ainsi que toutes les d penses ayant trait aux frais de d montage transport et remontage d quipements actuellement en place dans l usine Merl Ce taux d aide est justifi par le fait que ces investissements repr sentent une modernisation de la cha ne de production sans cependant avoir d influence directe sur l hygi ne la s curit alimentaire ou l environnement En outre ces investissements visent le remplacement d quipements existants et il va de soi que les nouveaux quipements respectent les normes de qualit de s curit alimentaire et de protection de l environnement en vigueur au moment de leur installation Pour les autres investissements concernant des quipements nouveaux pr vus aux positions investissements ayant trait au processus amont et le conditionnement ainsi qu au investissements concernant la thermique froid la thermique vapeur la thermique chauffage la thermique traitement d air le volet sanitaire et la r gulation centralis e le taux d aide est fix 40 Le taux de 40 est justifi pour ces investissements du fait qu ils ont une incidence sur les conditions en mati re d hygi ne et de s curit alimentaire et de respect de l environnement conform ment l article 33 5 b du r glement grand ducal du 11 ao t 2001 portant e
174. ach RN RF 05 lequel a t labor pour le compte de Minist re de l Environnement va m me plus loin en recommandant que le site soit int gralement g r en tant que r serve foresti re int grale Etat d avancement Le dossier de classement a t finalis et remis par le bureau d tudes La surface de la future zone prot g e est de154 ha La commune de Berdorf en est le principal propri taire avec 123 ha suivi de la commune de Consdorf avec 31 ha Le restant appartient principalement des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit d un c t les propri t s des deux communes qui ont donn leur accord de principe pour participer au projet sont int gr es dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficieront des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e de l autre c t les propri t s priv es sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement tout en donnant la possibilit aux propri taires priv s de participer ce projet par l interm diaire des primes biodiversit Le projet de r serve foresti re int grale Hieberb sch Mompach Description g n
175. agricole recensement agricole annuel du STATEC enqu tes sur le cheptel statistiques de la production agricole ont t r alis s Dans le domaine des relations ext rieures le SER participe l laboration de la PAC dans le cadre des instances communautaires du Conseil de la Commission et du Parlement Europ en Le chapitre III retrace l volution de la PAC en 2006 La mise en uvre des mesures d organisation de march s agricoles sur le plan national incombe au SER pour les c r ales ol agineux et prot agineux COP le lait et les produits laitiers le cheptel bovins porcins ovins et la viande issue de ces animaux Les mesures de gestion des march s dans le secteur du lait et des produits laitiers sont d taill s au chapitre IV D Pour le cheptel et la viande les principales mesures d organisation du march ont trait l organisation et la surveillance de la commercialisation du b tail de boucherie et la mise en uvre des grilles de classification communautaires des gros bovins et des porcs au Luxembourg Il 6 lll L EVOLUTION DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE A La politique agricole commune en 2006 1 La reconduction de la r forme de la PAC L ann e 2006 peut tre consid r e comme une ann e de consolidation de la r forme de la PAC En effet le Conseil a adopt le 20 f vrier 2006 les trois r glements sur la r forme du secteur du sucre Une orientation g n rale concernant la r for
176. aible pour les cultures permanentes et placerait les producteurs devant la difficult de s adapter la nouvelle donne du march Faute d une ma trise rapide de l offre les pressions sur les prix pourraient avoir des cons quences drastiques sur le march L option 4 de la d r glementation totale impliquerait que l on abandonne l ensemble des instruments de gestion du potentiel de production et du march Le budget serait supprim soit transf r au deuxi me pilier en faveur de la politique de d veloppement rural L adaptation requise par l application imm diate de cette politique et l absence de mesures structurelles d accompagnement engendreraient court terme des effets n gatifs sur les plans conomique et social dans les r gions viticoles concern es la lumi re de son analyse d taill e ressortissant de l tude d impact la Commission plaide pour le maintien d une OCM sp cifique pour le vin et marque sa pr f rence pour une r forme en profondeur L option 2 la r forme en profondeur de l OCM Vin est con ue autour de deux variantes A et B qui diff rent sur le plan du rythme de mise en uvre La particularit de la premi re par rapport la deuxi me variante porte sur une abolition rapide des droits de plantation et du programme d arrachage La variante A pr voit une seule tape savoir l expiration des restrictions en mati re de droits de plantation le 31 juillet 2010 ou leur suppression imm
177. aire complet a t r alis c Les contr les phytosanitaires l exportation De m me qu l importation les produits destin s l exportation doivent tre contr l s et un certificat phytosanitaire est d livr par le Service de la protection des v g taux Ces contr les visent essentiellement les plants de pommes de terre et le mat riel de transport en bois d L agr ment des produits phytopharmaceutiques Les produits phytopharmaceutiques utilis s en agriculture et en viticulture par les services publics communes voirie chemins de fer ou par les jardiniers amateurs doivent en vue de l utilisation ou de la mise sur le march tre agr s par les Ministres de l Agriculture et de la Sant Les produits sont autoris s s il est tabli qu ils sont suffisamment efficaces et qu ils ne pr sentent pas de risques inacceptables pour la sant humaine et pour l environnement sol eaux animaux dont la conservation est souhaitable A cette fin le demandeur doit effectuer des essais et tudes et pr senter un dossier permettant d valuer le produit Les agr ments accord s sont modifi s r guli rement pour les adapter aux conditions d utilisation ou de protection qui varient dans le temps Les proc dures d autorisation des produits phytopharmaceutiques sont harmonis es au niveau communautaire par la directive 91 414 CE Cette directive tablit une liste positive des substances actives pouvant entrer dans la
178. aliseront la phase de terrain de l IFL2 Les modalit s techniques le protocole de r colte des donn es la distribution des t ches au cours d une ann e du cycle ainsi que tout au long de celui ci sont d taill s dans le document Plusieurs modifications ont t apport es au guide m thodologique par rapport sa premi re version r dig e en 1998 La structure du document a t amend e Les chapitres correspondent aux fiches d encodage et non des th mes Ainsi la consultation sporadique du document se fait de mani re plus ais e Le guide m thodologique sera finalis dans le courant de la convention 2007 en parall le avec la phase de terrain pr vue dans le cadre des travaux de mise en uvre du second cycle Cette phase permettra la fois d identifier les probl mes ventuels pouvant survenir lors des remesurages sur les placettes permanentes et d alimenter le protocole de mesure pr vu dans le guide m thodologique d La caract risation de la biodiversit e Ce point consiste analyser toutes les donn es r colt es en mati re de biodiversit afin de fournir des indicateurs de diversit v g tale et de qualit des habitats La finalit des travaux relatifs ces objectifs consiste en des propositions de traitements sous forme de modules permanents existant dans la base de donn es de l IFL2 On dispose d une liste d indicateurs de biodiversit et de qualit des habitats tablie part
179. alyser la synth se de l valuation de discuter de vive voix des probl mes ax s sur la m thodologie de fournir des renseignements n cessaires la cr ation du module d encodage de l IFL2 et d alimenter la r daction du nouveau guide m thodologique de lIFL2 b Les travaux relatifs la mise en uvre de l IFL2 Les caract ristiques pratiques de l inventaire La mani re de concevoir la permanence de l inventaire a fait l objet de nombreuses discussions avec la FUSAGx dans le courant de 2006 Les objectifs fix s se sont orient s vers un inventaire de type continu signifiant que l inventaire serait conduit de mani re tal e et se traduirait par une permanence dans le temps via des activit s annuelles La d cision de la dur e du cycle de l inventaire 5 ans a t prise l issue de discussions concernant la probl matique de l actualisation des donn es en relation avec la longueur du cycle Pour un inventaire dont le cycle de mesures est de 5 ans la question du d calage dans le temps existant entre les donn es utilis es reste pos e mais avec beaucoup moins d acuit que pour un cycle de 10 ans o le rafra chissement des donn es est forc ment moins fr quent Comme il ne s agit que de 5 ann es il peut tre d cid de ne pas proc der l actualisation des donn es c est dire de les ramener une seule ann e de r f rence alors qu elles ont t r colt es sur 5 tranches an
180. amit s provoqu es d une part par le bostryche dans les r sineux et d autre part par la maladie du h tre dans les feuillus Le volume de bois scolyt s s l ve 2 000 m s y ajoute un volume de bois non n gligeable situ directement autour des foyers bostrych s Partant le volume total r alis d au scolyte s l ve quelque 5 000 m En feuillus seul du bois de trituration et du bois de chauffage ont t r alis s La raison en est que la maladie du h tre fait toujours ravage 1 200 m en provenance de coupes sanitaires et le fait que le prix du bois de h tre volue toujours un tr s faible niveau Le tableau ci apr s repr sente le volume de bois r alis en 2006 dans le cantonnement de Wiltz Essence Volume exploit m H tre 2 216 Ch ne 813 Autres feuillus 38 Total feuillus 3 067 Epic a 20 085 Douglas 3 886 Pin 768 Autres r sineux 478 Total r sineux 25 217 Grand total 28 284 b Les ventes de bois Au total le cantonnement de Wiltz a organis 2 ventes r gionales 4 ventes locales bois de chauffage ainsi que 183 ventes de gr gr de bois d industrie r sineux et feuillus et 4 appels d offres Quant aux ventes r gionales le cantonnement recourt principalement au mode de la pr vente L exp rience montre que ce mode est en g n ral financi rement plus int ressant pour le propri taire que la vente de bois abattu Ainsi sur 15 210 m
181. ans le cadre d un engagement unique 1 3 Cependant la r union minist rielle de l OMC qui s est tenue Gen ve le 1er juillet 2006 n a pas abouti un r sultat satisfaisant principalement en raison du fait que la situation des Etats Unis n avait pas volu en ce qui concerne la r duction de leurs aides nationales faussant les changes et de leurs aides li es la production Ainsi la n gociation du Cycle de Doha a t suspendue sine die par le directeur g n ral de l OMC fin juillet 2006 Ce n est qu en f vrier 2007 que sont apparues de nouvelles perspectives de relance des n gociations 4 Les r unions informelles Les r unions informelles des Ministres de l agriculture europ ens en 2006 ont t consacr es aux th mes de la recherche et du d veloppement de la formation et du conseil comme l ments cl pour la comp titivit de l agriculture europ enne Land Leben Zukunft Krems Autriche et du mod le agricole europ en les d fis relever Oulu Finlande B Le plan strat gique national du Grand Duch de Luxembourg et le programme de d veloppement rural de la p riode de programmation 2007 2013 1 G n ralit s Sous Pr sidence luxembourgeoise le Conseil Agriculture a n goci le 20 juin 2005 un accord politique l unanimit sur le r glement concernant le soutien au d veloppement rural Le Conseil Agriculture a adopt le 20 septembre 2005 le r gle
182. ant un int r t pour la viticulture luxembourgeoise sont r alis s dans la cave de l Institut Les viticulteurs sont ensuite invit s des d gustations pour se faire eux m mes une impression sur les r sultats de ces essais En 2006 l accent a t mis sur des nouvelles plantations de c pages ne figurant pas sur la liste des c pages autoris s pour la production de vins de qualit Ces c pages bien connus dans d autres r gions viticoles des c pages intersp cifiques n cessitant moins de traitements phytosanitaires ou encore de nouveaux hybrides vont tre jug s quant leur adaptation au vignoble luxembourgeois En commen ant par un suivi de pr s des maturit s durant tout un mois avant les vendanges les c pages suivants ont t vinifi s dans notre cave Regent Acolon Cabernet Dorio Cabernet Dorsa Cabernet Cubin Garanoir Gamaret Zweigelt et Dornfelder Pour r aliser cette vinification un quipement sp cial pour la mac ration des raisins petits volumes jusqu 250 kg a t install dans la salle de pressurage de l IVV Cet quipement dispose d un syst me de r gulation de temp rature des cuves permettant d obtenir une fermentation alcoolique sur baies temp rature contr l e un pigeage ind pendant des diff rents essais et une augmentation de la temp rature en fin de fermentation pour extraire le maximum du potentiel de l ensemble des compos s ph noliques En effet la ma trise du pro
183. ants de base classes S SE ou E produits par des multiplicateurs Ces plants de base proviennent eux de plants de pr base F1 F5 produits en partie par le Syndicat des producteurs de plants de pommes de terre Synplants et en partie par des multiplicateurs La certification des plants a pour but de garantir une bonne qualit sanitaire de ceux ci principalement en ce qui concerne leur infection par des virus En effet la pr sence de virus dans un plant m re conduit une forte multiplication de ce virus dans les plants filles et souvent la d g n rescence de ces derniers D autre part les pieds malades contribuent largement la diss mination de la maladie dans le champ concern ainsi que dans les champs voisins ce qui conduit une application plus fr quente de pesticides La certification est bas e sur des inspections visuelles r p t es en champ pendant la p riode de v g tation ainsi que sur des tests effectu s en laboratoire sur les tubercules afin de d tecter une pr sence ventuelle de virus et de certaines bact ries Les plants de pr base sont soumis aux contr les les plus s v res avec la recherche de 6 virus diff rents Leafroll Y X S A et M 4 virus sont recherch s sur les plants de base des classes S et SE Leafroll Y X et S et 2 virus sont recherch s sur les plants appartenant aux classes E A et B Leafroll et Y IX 11 Les plants certifi s et de base sont test s sur deux mala
184. as Portugal Royaume Uni Su de Allemagne Autriche Belgique Danemark Espagne Finlande France Gr ce Irlande Italie Luxembourg Norv ge Pays Bas Pologne R publique tch que Royaume Uni Slovaquie Su de Suisse Allemagne Autriche Belgique Danemark Espagne France Italie Luxembourg Pays Bas R publique tch que Royaume Uni Suisse Allemagne Autriche Belgique Royaume Uni Nombre pi ces 61 315 000 1 924 000 N N Q N N URA J O1 HN OO BB J HN O1 O gt PR NOUA O ND A OO OO X 19 id Liban Nouvelle Z lande id Poissons d ornement Chine Emirats Arabes Unis Inde Kenai Malaisie id P rou Singapour Sri Lanka Thailande Oeufs couver Etats Unis d Am rique Chats Philippines Lions Etats Unis d Am rique Primates Etats Unis d Am rique Emirats Arabes Unis Reptiles Emirats Arabes Unis l phants Tha lande Rhinoc ros Afrique du Sud id Pingouins Etats Unis d Am rique Suisse France Allemagne Royaume Uni Luxembourg Belgique Luxembourg Allemagne France Luxembourg id id France Luxembourg Hongrie Belgique France Allemagne Belgique Belgique Allemagne Hongrie R publique Tch que Espagne P I F Findel Il Produits d origine animale Provenance Boyaux sal s de moutons Chine Liban id Pakistan id
185. assur par le LMVE l exception des porcs et sangliers abattus dans les abattoirs sur lesquels il est assur par les abattoirs eux m mes Une partie est sous trait e au LSGV R sultats Au LMVE Total test ae aae aaea lp 240 un 2514 dde eue 270 digestion diaphragme quid s 36 o o 36 Au LSGV Total _Trichines renard C EEE 2 L chinococcose des renards Le diagnostic d chinococcus multilocularis est assur par le LSGV Total Renard En conclusion il put tre constat qu environ 30 des renards sont infest s par le parasite L enc phalopathie spongiforme bovine E S B Le diagnostic de l E S B et des enc phalopathies spongiformes transmissibles E S T est assur en partie par le LMVE et en partie par les Laboratoire r unis de Junglinster R sultats LMVE Total Bio Bio ESB rad Obex ovins 245 245 Bio less owes capis ms o o 1 Bio ESB rad Obex cervid s 28 28 RE PS A EE PS PS PE o X 32 Laboratoires r unis de Junglinster Total Bio Bio ovins ae Tota 9786 Les mammites 59 laits de quartiers malades ont t examin s dont 13 taient n gatifs Explication possible Traitement pr alable aux antibiotiques Total lait bovins _ D Pasteurella muttocida J o o Soo a 1 Staphylococcus aureus f T T f 2 f 2 Staphylococcus coagulase gt J 3
186. atifs Sont ainsi vis es les installations de production et de distribution d nergie petite chelle biomasse co g n ration mini centrales hydro lectriques la cr ation de fermes d accueil ainsi que l offre de services sociaux et de r cr ation En 2006 11 projets ont t engag s sous cette mesure VII 8 Porteur de projet Projet M Duhr Schmit Jean Ahn Transformation d une salle de d gustation Ahn Le Domaine Alice Hartmann Wormeldange Am nagement d une salle de d gustation Wormeldange M Kox Forman Laurent Remich Am nagement d une salle de d gustation Remich Les Domaines de Vinsmoselle R alisation d une salle de d gustation dans les caves de Wellenstein M Leider Gilbert Erpeldange Ettelbruck R am nagement d une grange en salle de classe pour les besoins du Lyc e Technique Agricole M Linden Heinisch Jean Ehnen Am nagement d une salle de d gustation Ehnen M Rudbach Kars Michael Biwerbach Production d nergie hydro lectrique au site de la Marxmillen M Rudbach Kars Michael Biwerbach R novation d une grange aux fins de la cr ation d un local de rencontre pour f tes M Schmit Armand Ahn Am nagement d une salle de d gustation Ahn M Schmit Nico Hoscheid Dickt Mise en place d infrastructures et acquisition d quipement pour confection et fourniture de copeaux de bois M Thein Claude Goeblange Acquisition d quipem
187. ation du troupeau la d termination du point cryoscopique permet de d tecter un mouillage ventuel du lait autre part la teneur en germes du lait avec une fr quence de 2 analyses par mois Ainsi 21 897 chantillons ont t contr l s quant leur qualit bact riologique La recherche des substances inhibitrices a t effectu e de fa on uniforme deux fois par mois pour tous les producteurs En 2006 le taux des chantillons d cel s positifs est le m me qu en 2005 0 18 des 20 792 chantillons test s furent positifs Afin d offrir aux producteurs un acc s rapide leurs analyses tous les r sultats sont disponibles sur notre site Internet A l aide d un mot de passe les producteurs peuvent consulter individuellement leurs analyses ce qui leur permet de suivre de pr s la qualit de leur lait Actuellement pr s de 55 des producteurs profitent de ce service Les producteurs sont avis s mensuellement par courrier d s qu un crit re de qualit hygi nique d passe les limites fix es pour la classe de qualit gt 250 000 cellules somatiques ml et ou gt 50 000 bact ries ml et ou d tection de la pr sence de substances inhibitrices A la fin du mois un bilan mensuel complet des analyses est communiqu aux producteurs Un fichier avec les analyses du mois est mis la disposition des laiteries IX 26 Le service collabore avec le d partement qualit du Centre de Recherches Agronomiques de G
188. ationale du vin XI1 17 7 Les activit s auxiliaires 0nnn00ennaeoa eere ee ereere eteren teerreen rreraren rrene nern nen rneer nn XII 18 P Les activit s du Fonds de solidarit viticole 0nnnneneeeeeee eneee en enneren neern nenne XII 19 1 Le Fonds de solidarit viticole nnesseeeseeeseeeeeseeeereereeesreerrresrrenrrerrrenereennnen eene XII 19 2 La Commission de Promotion XII 20 a La go vemace Star a O aaa a A TA Ma A nd OEE A XII 20 B Les tude Sacra iia a rae ea A a a A Aaa aT XII 20 c Les campagnes publicitaires XII 21 d Les relations publiques nesnsersrrrrrrrttrrttrrttrrttrtttrtttttttttttrtttrttrrtttrtrerttent XII 21 e Le marketing v nementiel XI1 22 DER EAO A nn ne nie tie dStn td nent E XI1 23 ANNEXES STATISTIQUES Statistiques agricoles Statistiques viticoles l LA SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L AGRICULTURE A L agriculture dans l conomie nationale en 2006 Avec une croissance conomique plus forte qu en 2005 l ann e 2006 fut pour l conomie luxembourgeoise une bonne ann e Le PIB prix courants passe de 26 396 millions d euros en 2005 32 341 millions d euros et conna t une variation en volume sans l effet d la variation des prix de 5 5 Le secteur financier et les services aux entreprises restent les piliers de la croissance Cependant l analyse des comptes trimestriels montre que le pic d expansion a t atteint fin 2005
189. ations les travaux de culture En ce qui concerne les travaux de culture 90 97 ha ont t d gag s en 2006 Les plantations se sont limit es au regarnissage des cultures restantes et la cr ation de lisi res plantation 16 950 arbres feuillus et de 845 arbres r sineux e Les p pini res A cause des travaux de restructuration de la p pini re domaniale de Waldhof en vue de produire des arbustes et haies autochtones les activit s au niveau de l levage de semis ont t mises au ralenti Ainsi la majorit des planches et des plates bandes n ont plus t mises en culture Seulement 24 000 plants feuillus et 3 000 plants r sineux se trouvent pour l instant en culture la p pini re Waldhof Le triage de Niederanven a inventori 3 000 plants feuillus et de 500 plants r sineux dans sa p pini re volante Les travaux en p pini re se sont concentr s aux t ches suivantes levage de plantes hautes tiges pour les besoins de l administration et des communes levage de plantes foresti res indig nes pour les boisements de compensation f Les travaux d am lioration Plus que 23 ha ont t trait s en 2006 XI 19 g La voirie foresti re Dans le triage de Kiem un chemin situ dans une des nouvelles acquisitions du Fuusselach au Gr iweweiher a t entretenu ponctuellement sur une longueur de 1 200 m en automne 2006 La couche de rev tement tant dans un tat bien plus mauvais qu at
190. au fil du temps des concours nationaux et internationaux ainsi que des d monstrations se sont d velopp s et font jusqu ce jour partie du programme de la f te foresti re La f te a galement subi une nouvelle orientation au cours des derni res trois ann es pour autant que les chevaux de trait jouissent aujourd hui avec l aide de l Administration des Eaux et For ts et de l IDAC International Draught Animal Consultance d une place tr s importante dans le d roulement de la f te foresti re Des conf rences concernant le th me de l utilisation du cheval de trait XI 49 dans de diff rents domaines des expositions et des d monstrations ont d s lors fait partie du programme Le colloque B schsymposium Le vendredi 6 octobre a t organis un colloque scientifique sur la for t intitul Naturschutz und Biodiversit t im Wald B schsymposium ensemble avec l asbl Haus vun der Natur le Mus e National d Histoire Naturelle la Fondation H llef fir d Natur gt et la L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga La matin e a t consacr e une s rie d expos s en salle au Centre de loisirs Am Sand Oberanven sur le th me de la protection de la nature et de la biodiversit en for t L apr s midi a eu lieu une excursion en for t dans la r serve naturelle Laangmuer en for t domaniale du Gruenewald Les nouvelles publications a La publication sur l
191. aux en relation avec l inventaire Forestier National a L valuation de la m thodologie de l IFL1 L objectif de ce point fondamental de des travaux porte sur l valuation globale de l IFL1 premier cycle de l inventaire 1998 2000 L analyse consiste isoler d une part les probl mes techniques rencontr s au niveau des fiches de terrain et des donn es encod es et d autre part les probl mes li s certains aspects de la m thodologie de l inventaire De ces travaux d coulent des propositions de modification de la m thodologie susceptibles en priorit d am liorer la phase de collecte des donn es l organisation et le traitement de celles ci et donc la qualit des r sultats issus du deuxi me cycle de l inventaire La d marche suivie pour cette analyse complexe a t de consid rer chacune des fiches d encodage de la base de donn es de l IFL1 L valuation de XI 38 chaque fiche a donn lieu si n cessaire des remarques sur les variables de la fiche et ou sur des th mes rassemblant plusieurs variables Cette d marche fiche par fiche pr sentait l avantage de permettre une analyse syst matique de tous les l ments de la m thodologie Le nouveau document labor a servi de base aux travaux en cours concernant la mise en uvre de l IFL2 Une phase de concertation r unions et changes de mails entre les acteurs du suivi scientifique et de l Administration a eu lieu dans le but d an
192. bourgeoise a La gouvernance En 2006 la Commission de Promotion s est r unie 12 fois pour appliquer et continuer sa nouvelle strat gie de marketing long terme bas e sur la revalorisation et la r actualisation Lors d une journ e de r flexion facilit e par un consultant les membres de la Commission de Promotion se sont rencontr s le 20 janvier 2006 au Ch teau de Munsbach L objectif de cette retraite tait de faire une analyse de la situation actuelle d velopper une vision strat gique pour les vins et cr mants de Luxembourg pour une dur e de 3 5 et 7 ans et d finir un plan d action b Les tudes En vue de conna tre les habitudes d achat et de consommation la notori t et l acceptation des efforts de communication de la part des consommateurs la Commission de Promotion a charg la soci t Quest de r aliser une tude comprenant un volet quantitatif et qualitatif sur les vins et cr mants luxembourgeois Dans le volet qualitatif l tude s est concentr e sur les jeunes r sidents g s de 25 34 ans afin d explorer les barri res et freins des jeunes l gard du vin en g n ral et l gard du vin luxembourgeois en particulier XII 20 c Les campagnes publicitaires Au Luxembourg Apr s G rard Depardieu vedette de la derni re campagne publicitaire des Vins amp Cr mants luxembourgeois qui souhaitait r veiller le c t luxembourgeois des consommateurs la Commission de Promot
193. bre par la modulation 2 Le montant suppl mentaire de l aide L article 12 du r glement CE n 1782 2003 pr voit une ristourne partielle appel e montant suppl mentaire de l aide des montants modul s aux producteurs Cette ristourne est gale au montant r sultant de l application des pourcentages de r duction vis s au point 1 aux 5 000 premiers euros de paiements directs savoir pour le Grand Duch de Luxembourg le paiement unique et les 3 aides coupl es mentionn es la section B ou moins Toutefois le total des ristournes pouvant tre accord es pour une ann e civile ne peut d passer les plafonds suivants pour le Grand Duch de Luxembourg 200 000 euros pour 2005 300 000 euros pour 2006 et 400 000 partir de 2007 Au titre de l ann e 2005 1 947 producteurs ont b n fici d une ristourne partielle de la modulation pour un montant total de 199 866 14 euros D Le lait et les produits laitiers 1 Le r gime des quotas laitiers Dans le cadre du mid term review de l agenda 2000 le Conseil CE a pris la d cision de proroger le r gime des quotas laitiers jusqu au 31 mars 2015 Cette d cision se trouve ancr e dans le r glement CE no 1788 2003 du Conseil du 29 septembre 2003 La question de l avenir du r gime des quotas laitiers prorogation au del de son terme actuel ou de sa suppression partir de 2015 fait actuellement l objet d un IV 9 large d bat au niveau europ
194. bres Les discussions pr cit es ainsi que l avis du Parlement europ en constituent la base sur laquelle la Commission r fl chira aux propositions concr tes de r forme du secteur Ces propositions l gislatives sont attendues pour la fin du premier semestre 2007 La simplification de la PAC un chantier permanent La PAC repr sente la part la plus importante de la l gislation de l UE Il est donc tout naturel qu elle joue un r le primordial dans le programme de simplification En octobre 2005 la direction g n rale de l agriculture et du d veloppement rural de la Commission a ainsi pr sent un plan d action contenant 20 propositions de modifications concr tes en vue de la simplification de la PAC conform ment la communication de la Commission intitul e Simplifier et mieux l gif rer dans le cadre de la politique agricole commune du 19 octobre 2005 Cette communication s inscrit d ailleurs dans la strat gie globale de la Commission en vue d une simplification et d une am lioration de la l gislation Mieux l gif rer dont l objectif g n ral est de r duire la charge r glementaire et administrative 1 2 Le plan d action est ax sur la simplification technique Ce concept vise compl ter les r formes du secteur agricole en se concentrant sur la r vision du cadre l gislatif des proc dures administratives et des m canismes de gestion dans un souci de rationalisation et d un meilleur rapport c
195. bsolument n cessaire IX 21 Etant donn la diversification de la production agricole pr conis e par quelques organisations ou programmes un certain nombre de d terminations sp cifiques sont effectu es sur les produits provenant de cultures alternatives Le service a galement analys l azote total d chantillons de sol en vue de la d termination du rapport C N pour des tudes environnementales de l administration de l environnement et de divers services de vulgarisation Comme l ann e pr c dente le nombre croissant d installations biogaz a encore entra n une forte augmentation des chantillons analys s soit pour surveiller le fonctionnement des installations soit pour valuer les mati res premi res destin es la fermentation Les analyses portent notamment sur la d termination du pH de l ammoniac et des acides gras volatils tels qu acide ac tique acide propionique acide butyrique acide val rianique et acide caprylique Une autre activit du service est le contr le et l analyse des engrais et amendements du sol qui se font dans le cadre de la l gislation nationale et communautaire Dans le cadre de l application du dispositif instituant une prime l entretien de l espace naturel et du paysage et stipulant que le fertilisant organique repr sentatif de l exploitation agricole doit tre analys au moins tous les trois ans quant sa teneur en l ments nutritifs majeurs 500 600 chan
196. buer mobiliser le potentiel local Les administrations et minist res comp tents seront appel s encourager cette approche innovante du d veloppement rural Les GAL seront appel s proposer une strat gie locale de d veloppement int gr par zone con ue consistant d finir une approche ascendante avec un pouvoir d cisionnel pour les GAL quant l laboration et la mise en uvre de strat gies locales de d veloppement d finir une conception et une mise en oeuvre multisectorielles de la strat gie fond es sur l interaction entre les acteurs et pr voir une mise en r seau des partenaires locaux C Les autres d cisions du Conseil en 2006 1 La biomasse et les bio carburants Le 20 f vrier 2006 le Conseil des Ministres de l agriculture europ en a tenu un d bat d orientation sur les communications de la Commission concernant respectivement le plan d action dans le domaine de la biomasse et la strat gie europ enne en faveur des biocarburants A l issue de la session la Pr sidence a conclu notamment que les d l gations sont conscientes de la n cessit de diversifier les sources d approvisionnement nerg tique de l Union et qu il importe d atteindre les objectifs de durabilit en particulier celui de la r duction des missions de gaz effet de serre qui a t approuv dans le cadre du protocole de Kyoto Les Etats membres accueillent donc avec satisfaction le plan d action dans le domaine de l
197. bventionn s D bardage cheval 3 468 25 m 8 601 26 R g n ration naturelle 9 874 00 ares 367 115 32 Plantation 1 584 00 ares 39 339 05 Conversion de taillis 529 00 ares 3 277 16 1 claircie r sineux 150 00 ares 930 00 1 claircie feuillus 1 440 00 ares 8 928 00 Protections individuelles 4 050 pi ces 6 034 50 Cl ture 2 969 m 4 423 81 Les d g ts de gibier D un c t nous nous trouvons en face d une surpopulation g n rale de chevreuils et de sangliers de l autre nous proc dons une importante r g n ration de la for t et un m lange des essences Cette situation engendre des d g ts d abroutissement vidents Nous essayons de les r duire au mieux en ayant recours diff rentes techniques de protection tels les cl tures les cages de protection et depuis peu le ruban adh sif Cette m thode peut tre appliqu e rapidement elle est efficace et ne repr sente qu un co t tr s r duit Il y a lieu de mentionner que localement des d g ts de cerf se sont fait remarquer aux alentours de Grevenmacher Mompach et Rodenbourg Deux propri taires ont introduit des dossiers de d dommagement suite l cor age par le cerf Des cl tures ont t install es dans les triages de Biwer Flaxweiler Roodt Syre et Wormeldange sur une longueur de presque 2 000 m Elles servent de protection et galement de contr le de l impact des d g ts
198. cepts de d veloppement communal datant des ann es 1990 Dans ce contexte la loi du 19 juillet 2004 concernant l am nagement communal et le d veloppement urbain nonce que chaque commune est tenue d laborer une tude pr paratoire PAG documentant les options et futures orientations de d veloppement communal lors de l actualisation de son PAG communal Le r glement grand ducal du 25 octobre 2004 concernant le contenu de l tude pr paratoire PAG et PAP d finit le programme des prestations documenter au pr alable Celui ci correspond en majeure partie aux prestations requises par le groupement d tudes charg de la r vision ou de l actualisation des concepts de d veloppement au niveau de la planification PDC Afin de mieux concerter ces missions actuelles de planification communale entre la Direction de l am nagement communal aupr s du Minist re de l Int rieur et le Service D veloppement Rural du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural ensemble avec la plupart des communes du milieu rural le Service du D veloppement rural a propos une approche commune entre l laboration resp la mise jour facultative de concepts de d veloppement int gr PDC d une part ainsi que l laboration et la pr sentation obligatoire de l tude pr paratoire PAG par les communes respectives d autre part ceci dans le cadre de la l gislation de 2004 sur l am nagement communal et le d veloppement urba
199. ces pique nique chalets didactiques cabanes et bancs de repos am nagement et entretien de biotopes D tails des diff rents triages Triage de Waldhof Participation la planification installation et inauguration de deux sentiers th mes Natur Geschichte und Kultur in der Gemeinde Niederanven en commun avec le SI de la commune de Niederanven Triage de Kiem Vu que les chemins didactiques mis en place en collaboration avec la commune de Niederanven sont entretenus partir de l ann e 2006 par OPE CIG R Syrdall les capacit s lib r es du triage ont pu tre employ es pour l entretien d autres chemins r guli rement emprunt s par le publique Par ailleurs une tude a t faite sur les chemins existants leur utilisation leurs vocations et la cr ation d un r seau adapt en g n ral Triage Dudelange Am nagement d un parcours fitness dans la for t communale de Frisange Entretien de 3 places de pique nique Am nagement d une baraque en bois rond au Wald dans for t communale de Dudelange Entretien du parc Leh Triage Sandweiler Cr ation et inauguration d un nouveau sentier Moutfort ca 6km Entretien des parcours fitness Medingen et Sandweiler 2 x 3 5 km XI 21 Triage Hesperange D gagement des sentiers touristiques auto p destre dans le triage Installation d une passerelle en bois qui traverse un pr humide Fentange lieu dit Op der Ster
200. cialisation des mat riels forestiers de reproduction et sensibilisation du public Cette publication s adresse tous les forestiers concern s les marchands grainiers les p pini ristes les reboiseurs les n gociants et les sylviculteurs Cette brochure comprend les chapitres suivants une pr sentation PowerPoint multicolore les principes de la mise en application de la loi les explications relatives la loi le texte coordonn de la loi compl t par les r glements d ex cution Un chapitre entier fut r serv l application de la r g n ration naturelle des peuplements autochtones la sauvegarde de la diversit g n tique et de la biodiversit tant primordiale Dans cette intention des plans de situation ont t annex s la liste nationale d apr s la situation des domaines et secteurs cologiques d apr s la situation g ologique Le sylviculteur tant libre dans le choix des provenances un tableau des provenances trang res recommandables pour les diff rents secteurs a t dress XI 6 La plantation de mat riel forestier fixant le d veloppement des peuplements long terme et l introduction de mat riels forestiers de reproduction inadapt s ayant des cons quences d sastreuses pour le d veloppement future du peuplement un chapitre entier renseigne sur le choix des essences Des cartes concernant les diff rentes r gions de provenance de la France de la Belgiqu
201. ciplinaires ou bien des coach experts externes associ s aux groupements d tudes mandataires assurent ils l animation et la concertation des ateliers th matiques sur le d veloppement rural Au cours d une quinzaine d ann es de planification PDC plusieurs experts en la mati re ont su acqu rir des comp tences confirm es de concertation d assistance et d animation coaching soit dans le cadre des processus de planification PDC r alis s soit dans le contexte de s minaires de formation initi s aussi par le Service du D veloppement rural Il est remarquable que plus de 30 communes engag es dans l laboration PDC ont r alis des projets de lancement ou projets pilotes sur leur territoire Mis en oeuvre dans le cadre d actions de partenariat groupes d int r ts et commissions consultatives commune administrations et services publics concern s t moignent de cette approche coop rative bottom up de tous les acteurs ruraux int ress s Au cours de l exercice 2006 environ 10 communes commettantes plus r centes des r gions Est Ouest et Centre ont pr sent les phases II III inventaire analyse de leur PDC en collaboration avec le groupement d tudes interdisciplinaires de leur choix Par l approbation des contrats respectifs le Minist re a engag une participation financi re de 50 aux frais de planification ainsi qu une assistance de coordination et d animation de la part du Service du D ve
202. comme culture principale a diminu en volume par rapport 2008 et atteint une valeur de 3 3 millions d euros La production viticole a t avec 124 000 hl de vin inf rieure la moyenne pluriannuelle Le prix de vente des raisins des viticulteurs aux n gociants en vin a l g rement augment par rapport 2005 2 La valeur de la production viticole diminue de 8 par rapport 2005 Les indemnisations vers es par les compagnies d assurance aux agriculteurs et viticulteurs pour compenser des pertes de r colte faisant l objet de contrats d assurance gr le ou multi risques qui s l vent pour l ann e 2006 667 000 euro au titre de l assurance gr le et 492 000 euro au titre de l assurance multi risques soit 1 159 000 euro au total ne sont pas d apr s la m thodologie des CEA prendre en compte au niveau des CEA mais seulement au niveau de la comptabilit nationale Ainsi le revenu agricole tel qu il se d gage des CEA ne tient pas compte de ces ressources au niveau de la production agricole tout en prenant en compte les frais d assurance correspondants charge des agriculteurs au niveau des consommations interm diaires 1 12 2 La production animale La production animale se compose de la production d animaux essentiellement animaux destin s l abattage mais aussi exportation d animaux d levage et de rente variation de stock production pour compte propre de biens de capital fixe et de la production de p
203. compos e comme la carte g ologique du Grand Duch de Luxembourg de 13 feuilles 7 feuilles ont t r alis es jusqu ce jour savoir les feuilles 1 Troisvierges 4 Esch S re 6 Beaufort 9 Echternach 10 Luxembourg Ouest 12 Esch Alzette et 13 Mondorf En 2006 les travaux de prospection sur le terrain pour la carte 5 Diekirch s tendant sur 27 500 ha ont t termin s De plus des travaux de sondage sur le terrain dans la r gion de la carte 3 Hosingen ont t men s sur 2 000 ha IX 18 b Les analyses de sols Les chantillons de terre analys s en 2006 et concr tis s par un avis de fumure en vue de la fertilisation s l vent comme en 2005 17 600 A c t de l analyse classique comportant la d termination du pH et des l ments min raux assimilables P205 K 0 Mg et Na le C organique et l azote total en vue de la d termination du rapport C N ont t analys s sur 4 300 chantillons La pollution des eaux souterraines par les nitrates est un probl me dont le service de p dologie s occupe depuis de nombreuses ann es maintenant A cet effet un certain nombre d analyses Nmin destin es surtout un amendement ad quat en azote des cultures de ma s est effectu durant les mois de mai et de juin et apr s les r coltes en automne Parall lement la campagne de vulgarisation initi e par le service dans les localit s de Bigelbach Beaufort Eppeldorf et Ermsdorf a t poursuivie dans sa 16 me ann
204. composition des produits phytopharmaceutiques La Commission en collaboration avec les Etats membres a mis en place un programme de r vision de toutes ces substances actives afin de v rifier si elles correspondent aux crit res tr s stricts de cette directive Depuis la mise en uvre de ce programme de r vision 148 substances sont incluses dans la liste positive des substances actives Pr s de 500 substances IX 13 e actives ont t retir es du march communautaire Les autres substances 400 sont en cours d valuation Actuellement le nombre de produits phytopharmaceutiques agr s au Luxembourg est de 450 Le nombre de substances actives composant ces produits est de 227 Le site Internet du Service de la protection des v g taux http www asta etat lu donne des informations sur l agr ment des produits phytopharmaceutiques les valeurs limites des r sidus de pesticides dans les denr es alimentaires le comportement des produits phytopharmaceutiques dans l environnement et des actualit s dans le domaine de la protection des v g taux Fin 2006 la Commission Europ enne a pr sent 3 propositions de visant modifier la l gislation sur les produits phytopharmaceutiques savoir Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil concernant la mise sur le march des produits phytopharmaceutiques Projet de directive concernant l utilisation durable des pesticides Propositio
205. compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine La r serve foresti re int grale Laangmuer au Gr ngewald Description g n rale du projet Ce site qui fait partie du massif du Gr ngewald est repr sentatif pour les h traies acidiclines du Gr s de Luxembourg D ailleurs c est l association foresti re du Melico Fagetum avec ses sous associations les plus pauvres qui sont les mieux repr sent es 83 L habitat du Luzulo Fagetum occupe une superficie de 7 Cette for t d tient pour la plus grande partie un aspect caract re de for t cath drale avec une strate arbustive quasi manquante La zone foresti re Laangmuer a t d clar e zone prot g e d int r t national en date du 7 novembre 2005 La zone prot g e englobe une superficie de 102 94 ha et se partage en deux parties distinctes savoir une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone tampon Le but recherch par la cr ation d une zone tampon est celui de pouvoir am nager une lisi re de for t suivant des crit res cologiques Avancement du projet L inauguration de cette r serve a eu lieu le 7 juin 2006 Afin de mieux informer le public sur les diff rents aspects cologiques de cette nouvelle zone prot g e une construction d accueil a t am nag e l entr e principale de la r serve Cette installation est constitu e principalement de deux murets en ma on
206. consacre particuli rement l am lioration de ce type de production A cette fin le service a fait laborer une carte herbag re couvrant les principales zones herbag res du pays et permettant d orienter la production fourrag re selon les conditions p do climatiques r gionales Par ailleurs le service de la production v g tale a tabli plusieurs champs d essais fourragers ma s gramin es tr fles etc et organise dans le cadre de la formation continue des agriculteurs des d monstrations de vulgarisation au sujet de cette production d La production de biomasse et de plantes nerg tiques La production de plantes nerg tiques repr sente un grand potentiel non seulement pour l agriculture mais aussi pour notre approvisionnement en nergie et surtout pour la r duction de l mission de gaz effet de serre Bien videmment les cultures nerg tiques doivent respecter les m mes crit res pour prot ger l environnement que les cultures agricoles alimentaires traditionnelles Actuellement les cultures nerg tiques couvrent d j 1800 ha ce qui repr sente environ 3 5 de terres arables Plusieurs tudes se basant sur les intentions des autorit s nationales et de la Commission europ enne en mati re de politique d nergie pr voient que les cultures nerg tiques vont se d velopper constamment au cours des ann es venir Pour mieux encadrer ces cultures nerg tiques le service de la production tabli
207. cteurs commerciaux ainsi qu leur reconversion mais qui sont galement li es aux autres activit s rurales L article 33 avec les mesures k m n o p et s a t transpos en l gislation nationale au titre III de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Le r glement grand ducal relatif aux r gimes d aides pr vus au titre III de cette loi est en vigueur depuis le 17 mars 2003 La Commission des zones rurales charg e d examiner les demandes concernant les aides pr vues au titre III de la loi du 24 juillet 2001 fut nomm e par r glement grand ducal en date du 7 juillet 2003 2 La zone ligible au volet 5 du PDR La zone ligible du PDR s tend sur toutes les r gions rurales du pays Ainsi toutes les mesures s adressent un territoire qui couvre plus de 95 de la surface nationale du pays Ne peuvent tre soutenus les projets r alis s sur le territoire des villes de Luxembourg d Esch Alzette de Schifflange de Dudelange de Differdange et de Rumelange 3 Les relations publiques Les communes En 2004 la Commission des zones rurales s tait dot e d un r glement interne concernant la s lection des projets manant des communes afin d viter que quelques importants projets ne consomment la majeure partie des fonds destin s aux porteurs de projets manant du secteur communal En janvier 2004 un premier appel projets a t envoy aux 112 communes ligible
208. culture du ma s destin la production d ensilage n est normalement pas destin e la vente mais l alimentation des animaux des exploitations sur lesquelles les fourrages sont produits intraconsommation N anmoins la production de fourrages fait l objet d une valuation conomique dans le cadre des CEA L valuation des quantit s produites est bas e sur les r sultats des essais comparatifs de cultures fourrag res prairie temporaire et permanente et 1 11 ma s ensilage de ASTA et du LTAE On constate une l g re diminution des rendements par rapport 2005 pour les prairies et p turages 1 5 et une diminution plus importante pour le ma s 9 Sur le plan de la qualit les r sultats d analyse de l herbe r colt e en vue de la production d ensilage montrent des r sultats m diocres pour la premi re coupe d herbe qui contribue normalement de fa on pr pond rante la production d ensilage d herbe et des r sultats moyens pour l ensilage de ma s Le poste plantes fourrag res se retrouve int gralement au niveau des consommations interm diaires poste aliments pour animaux produits et consomm s au sein de l exploitation de sorte que la valeur du poste plantes fourrag res n a pas d influence ni sur la valeur ajout e brute au prix de base ni sur le revenu agricole La production de ma s destin la production d nergies renouvelables dans les installations de biogaz est galem
209. d un grand int r t tant aupr s des producteurs qui souhaitent abandonner la production laiti re qu aupr s de ceux qui envisagent d accro tre leur production en vue de se doter de structures de production n cessaires pour faire face aux d fis qui les attendent au moment o l actuel r gime des quotas laitiers viendra son terme Au cours de la p riode 2006 07 108 producteurs ont pr sent une demande de transfert de quotas la quantit de r f rence totale transf r e a port sur 5 millions de kg soit pr s de 2 du quota national Depuis l instauration du r gime de transfert d finitif des quotas 1 avril 2000 quelque 345 producteurs ont abandonn la production laiti re et ont proc d la vente de leur quota laitier destination de 365 exploitations Ainsi plus d un tiers des producteurs actifs a investi dans l achat de quotas laitiers au cours des sept derni res p riodes de douze mois ce qui prouve que le r gime de transfert se r jouit d un grand succ s aupr s des producteurs souhaitant continuer la production laiti re La quantit de r f rence transf r e au cours des sept derni res p riodes de douze mois a port sur 38 2 millions de kg soit 14 15 du quota national disponible Selon les informations communiqu es par les producteurs ayant proc d l achat de quotas au cours de la p riode 2006 07 le prix des quotas s est stabilis haut niveau avec un prix moyen enregistr de 1 20
210. d all e ainsi que l organisation des travaux de fauchage et d entretien des plantations existantes ont t effectu s par des agents du service de l horticulture Le service a travaill avec les organisations professionnelles horticoles et apicoles et a port conseil aux producteurs des diff rents secteurs Des informations pratiques concernant les travaux dans les jardins et vergers priv s ont t publi s mensuellement sur le site Internet de l ASTA www asta etat lu sous la rubrique HORTI News Le groupe de travail charg de la r alisation d une zone horticole a continu ses efforts dans le but de mener bien ce projet Le projet Familljegaaart auquel le service a particip a t inaugur en 2006 Ce beau jardin sera un excellent outil pour promouvoir le jardinage aupr s des particuliers L apiculture et la marque nationale du miel En 2005 155 apiculteurs g rant 4 214 ruches ont pr sent 203 138 livres 295 666 livres en 2004 de miel en vue d obtenir la Marque Nationale Dans les 18 r unions organis es par la Commission de la Marque Nationale 22 r unions en 2004 367 chantillons de miel ont t analys s 440 en 2004 la suite de ces analyses 157 802 tiquettes en 2004 258 322 de la Marque Nationale IX 16 ont t distribu es 30 chantillons n ont pas r pondu aux s v res crit res de s lection et ont t refus s Taux d checs en 1997 15 0 en 1998 4 0 en
211. d orientation conomique et sociale report de l exercice pr c dent 17 917 940 57 alimentation exercice 2006 27 000 000 00 alimentation suppl mentaire exercice 2006 0 00 remboursement part FEOGA au cours de 2006 3 149 222 44 Total disponible pour l exercice 2006 48 067 163 01 total des subventions allou es en 2006 33 118 912 03 Solde disponible la fin de l exercice 2006 14 948 250 98 alimentation exercice 2007 27 000 000 00 remboursement part FEOGA au cours de 2007 estimation 4 994 497 00 Total disponible pour 2007 46 942 747 98 VI 11 Demandeur Objet D cision Devis retenu Monan de Taux d aide minist rielle l aide retenu acquisition et installation d une chaudi re bi fuel gaz fuel 07 03 2005 CEPAL S A l ger en remplacement de deux anciennes chaudi res 425 318 22 138 864 38 35 20 11 2006 fonctionnant au fuel lourd Havane el MOEMA ELTE SUCTION dE ka nue de vande 31 07 2006 3 681 323 50 1 304 476 07 35 40 tablie l Agrocenter de Mersch Luxiai acquisition de plusieurs quipements destin s un atelier de 24 01 2006 830 865 00 290 802 75 35 production d un yaourt traditionnel ethnique Altin Kaymak Luxlait acquisition de divers quipements li s la production la 24 01 2006 183 434 87 64 202 03 35 s curit et la recherche et le d veloppement Luxia acquisition de plusieurs quipements
212. de Grevenmacher ii iiiiiiieeeeereeeeeeeesee a L exploitation des coupes bi vent d DoiS i a nn ren dde der ird enr a aaa T Ea CLS DOS d CHADIIS SR nan te UT a nn aE AEEA EERS d L tat sanitaire de TOR lssessennnes donnes Res Lane en dE se ns e Les r g n rations les plantations les travaux de culture t Les p pini res Anirano amenant Anar Rennes ent Adeline g La voirie foresti res nnenenbenn maniement deiteliinhien h Les travaux forestiers subventionn s i Les d gats de gibien srac pog ne nt TN die eds fn Need sas ME EAEE Ao T EE E an ne ee cest Ur Eee AS entree test Le cantonnement de Luxembourg Est ss a L exploitation des coupes b Les ventes de Dois en ne ASE nes Et nn M te tte nes nu teR c L tat sanitaire d lafTor t sue sheet latente nn d Les r g n rations les plantations les travaux de culture e Les p pini res f Les travaux d am liorations ss nt te etant ans eee XI 19 g La Voirie foreti re murre Me ten nant ee Ra A ts A nent rage fn XI 20 h Les travaux forestiers subventionn s XI 20 i Lafor t PVE Se eren RE Aer RS en en ed XI 20 j Les d g ts de gibiers annee tieeiteteende XI 20 k La for t lieu de loisir annan nnen n nna XI 21 7 Le cantonnement de Luxembourg Ouest sessseeeeeseseseeeriresesrr
213. de d une pelle m canique tant donn la surface faible du Tossebierg et des difficult s d accessibilit li es la pente aucune fosse n a t r alis e dans le substrat sableux De plus aucune fosse n a t r alis e dans la surface class e en R serve Foresti re Int grale Pour chaque profil une description d taill e des horizons a t effectu e Dans chaque horizon un chantillon a t pr lev pour l analyse granulom trique et l analyse chimique au laboratoire Ces mesures et observations ont permis d appr cier de fa on plus pr cise la nature des sols rencontr s leur niveau de structuration la profondeur utile ainsi que le d veloppement racinaire XI 37 R sultats de l aptitude stationnelle Le nombre d finitif de stations a t ramen aux 5 types repr sent s sur la page suivante En plus des cinq types d aptitude la carte des stations foresti res informe sur les risques de compactage et d rosion du sol Le risque de compactage se manifeste surtout sur les stations du type 1 et 4 En effet les sols lourds gleyifi s des bas fonds de la station 1 sont les plus fragiles Les sols de la station 4 situ s sur les parties les plus hautes du relief pr sentent un risque de d gradation hydromorphe par tassement des horizons superficiels qui originellement pr sentent une bonne structuration Ces deux stations couvrent pr s un tiers de la surface du domaine La mise en uvre d engins lourds
214. de l Oesling la planification et la construction de nouveaux chemins forestiers voire la r fection et l empierrement de chemins existants pr sentent une t che de premier ordre au cantonnement Ceci vaut aussi bien pour la for t soumise que pour la for t priv e En outre une bonne voirie est indispensable en cas d incendie Ceci vaut entre autres pour acc der aux versants bois s autour du Lac de la Haute S re En 2006 20 projets r alis s en collaboration troite avec le cantonnement ont pu tre achev s totalisant une longueur de quelque 17 km S ajoute cela 6 projets en voie de r alisation dont respectivement l arpentage et le devis ont t tablis XI 27 For t soumise Projets termin s Propri taire Commune lieu dit Longueur m Travaux Boulaide Milscht Aschent Elargissement Empierrement Mertzig Schwaarzebour Elargissement Empierrement Pr izerdaul ledert Elargissement Empierrement Rambrouch Horkigt Elargissement Empierrement Rambrouch Neie Weier Elargissement Empierrement Wahl Masseb sch 250 Elargissement Empierrement Wiltz Hermeschterbaach Elargissement Empierrement Totaim 6 650 Co t total 128 523 19 33 km Propri taire Domaine lieu dit Longueur Travaux m Clervaux Golf Nouveau Clervaux In der Ewigen Nouveau Clervaux Parc de Clervaux Elargissement Empierrement Clervaux
215. de revenu agricole A par rapport l ann e 2005 1 Le plan m t orologique Les conditions m t orologiques au cours de l automne 2005 ont permis un semis des cultures d hiver dans de bonnes conditions Apr s un hiver relativement sec les semailles de printemps ont galement pu se d rouler dans de bonnes conditions m t orologiques La p riode de v g tation a d but avec des conditions relativement s ches en avril Par la suite et jusqu la fin de la p riode de v g tation les conditions m t orologiques ont connu une volution tr s contrast e Ainsi en mai et jusqu la premi re semaine de juin le temps tait relativement pluvieux et assez froid Ceci a entrav la croissance juv nile du ma s Les mois de juin et juillet taient caract ris s par des faibles pr cipitations et une chaleur lev e La production d herbe a t entrav e par les conditions m t orologiques adverses Les conditions pluvieuses au moment du stade optimal pour la r colte de la premi re coupe d herbe ont retard celle ci de sorte que la qualit du fourrage r colt a t influenc e n gativement La deuxi me coupe d herbe a t en maints endroits fortement entrav e par la s cheresse La r colte des c r ales a d but extr mement t t 7 juillet dans les r gions les plus pr coces du sud est et une tr s grande partie de la r colte de c r ales et de colza a t effectu e dans des conditions tr s s ches en j
216. de s orienter davantage vers le march et d exercer leurs talents d entrepreneur Le r gime de paiement unique fonctionne sur base de droits au paiement DPU faire valoir par les producteurs d tenteurs l aide d un nombre correspondant d hectares de surfaces agricoles ligibles au paiement Sont ligibles les surfaces utilis es comme terres arables et comme prairies et p turages permanents situ es au Grand Duch de Luxembourg Sont exclues du b n fice de la prime les surfaces emblav es en cultures permanentes ou utilis es des fins non agricoles Les caract ristiques de la mise en uvre du r gime de paiement unique au Grand Duch de Luxembourg sont les suivantes Le r gime de paiement unique a t introduit partir de l ann e 2005 Le r gime de paiement unique est mis en uvre selon un mod le r gional mixte mod le hybride statique 35 15 15 Les droits au paiement initialement allou s aux producteurs ont t tablis sur base de la surface ligible d termin e en 2005 La valeur des droits a t constitu e d une part r gionale montant de base r gional identique pour chaque droit et d une part individuelle qui d pendait en principe des quantit s historiques d termin es hectares ou animaux des ann es 2000 2002 dans le cadre des r gimes de primes remplac s par le r gime de paiement unique Le d couplage des primes a t total c d le paiement unique a remp
217. de sauvegarde a t r alis e Afin de reconstituer notre provenance des boutures d origine m le ont t fournies par le Centre de Recherche d Ecologie foresti re de la Rh nanie Palatinat Ces individus ont t choisis d apr s les donn es de provenance cologique Afin de s apparenter nos esp ces et de reconstituer notre provenance des analyses izoenz miques ont t effectu es compl mentairement XI 7 Des sites appropri s et correspondant laire de r partition naturelle du peuplier noir ont t d termin s dans la r gion mosellane Ces sites se situent une distance suffisante d autres esp ces hybrid es afin d viter un croisement avec ces individus 7 La gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau Apr s avoir dit en 2004 un document Umwandlung von Nadelholzbest nden in naturnahe Strukturen entlang der Fliessgew sser in Luxemburg analysant les probl mes cologiques conomiques et paysagers li s la pr sence inadapt e de r sineux le long des cours d eaux de notre pays l Administration des Eaux et For ts a proc d au cours de l ann e 2006 un inventaire des surfaces converties la suite de ce projet La conversion de ces surfaces soit par une gestion agricole extensive soit par la plantation de feuillus soit par succession naturelle a pour but de r tablir dans les vall es le paysage culturel qui existait l origine et d activer ces surfaces pou
218. de travail annuel indicateur B indice de revenu net r el d entreprise r el d flat moyen indice impl prix du p i b par unit de travail non salari annuel d finitions voir chapitre IV Les indicateurs de revenu de la branche d activit agricole du Manuel des comptes conomiques de l agriculture et de la Sylviculture CEA CES 97 1 21 F La situation conomique des exploitations agricoles 1 L volution moyen terme des indicateurs conomiques L volution des diff rentes donn es conomiques des entreprises agricoles est reprise dans le tableau 1 Les valeurs pr sent es sont d termin es partir de l chantillon du r seau comptable Ce dernier comprenait 439 exploitations en 2005 Tableau 1 Evolution des principaux indicateurs technico conomiques Indicateurs conomiques 2000 2001 2002 2003 2004 2005 Dimension conomique UDE 51 55 56 59 62 63 SAU ha 64 8 65 4 69 2 71 8 72 4 71 5 Cheptel UB 90 91 91 90 94 88 Chiffre d affaires ee 131 3 138 7 143 1 147 6 162 6 139 6 dont primes la production di 10 9 12 6 14 2 15 8 17 6 0 1 Marge brute 1000 Il c20 76 2 749 77 5 82 0 61 9 Co ts fixes aides invest d duites 1090 470 51 9 55 1 56 2 59 0 59 2 dont amortissement 10 27 1 29 0 30 3 33 6 35 8 37 7 dont aides l investissement mS 3 2 3 4 4 5 6 8 8 3 9 7 Marge nette E 24 3 19 8 21 3 23 0 27 Aides directes non li es la prod pa 14 4 17 7 17 7 21 9
219. demande des Etats membres afin de tenir compte de graves perturbations du march directement li es une perte de confiance des consommateurs r sultant de l existence de risques pour la sant publique ou pour la sant animale Une fois que les Etats membres auront pr sent les mesures qu ils proposent la Commission devrait les approuver par le biais de la proc dure du comit de gestion Lors de sa session du 20 mars 2006 Mme Fischer Boel membre de la Commission a annonc au Conseil que la Commission pr senterait une proposition modifiant les r glements pr cit s en r ponse aux difficult s apparues sur le march de la viande de volaille caus es par l apparition de la fi vre aviaire dans diff rentes r gions de l Europe 5 Les conclusions du Conseil sur la coexistence de cultures conventionnelles biologiques et g n tiquement modifi es Suite une conf rence organis e d but avril 2006 Vienne par la Commission europ enne l initiative du Ministre autrichien de l agriculture le Conseil agriculture et p che est parvenu des conclusions sur la coexistence dans sa r union du 22 mai 2006 Dans ses conclusions le Conseil invite la Commission soumettre dans les meilleures d lais une proposition concernant l tiquetage des seuils de contamination accidentelle pour les semences et identifier en coop ration avec les Etats Membres les meilleures pratiques de s gr gation entre les cultures g
220. dessous remarquer qu en 2003 le pic d augmentation des investissements dans des installations est d aux installations photovolta ques qui cette poque ont connu un r gime de subvention Minist re de l Environnement tr s favorable Il est galement int ressant de noter que le niveau d investissement dans les terrains agricoles ainsi que le prix de ceux ci a augment constamment au cours de ces derni res ann es 1 23 Graphique 2 70 000 Evolution des d penses d investissement 60 000 50 000 40 000 30 000 20 000 10 000 0 1996 1997 1998 investissements croissants dans des terrains agricoles 1999 2000 2001 installations photovoltaiques 2002 2003 2004 2005 A noter cependant que les agriculteurs ne sont pas seulement acheteurs de terrains agricoles mais comme le montre le tableau 2 ci dessous ils deviennent au fil des ann es des vendeurs d actifs immobilis s importants et notamment de terrains constructibles Tableau 2 B n fice g n r par la vente 2000 2001 2002 2003 2004 2005 d actifs immobilis s Vente d actifs immobilis s 2300 3 600 3 700 6 550 5850 11050 dont terrains 750 1 800 2 000 3 500 3 000 8 000 dont machines 1 300 1 300 1 400 2 150 2 000 2 070 2 L volution moyen terme du revenu agricole L volution positive moyen terme du revenu agricole ou b n fice par
221. diate Le r gime d arrachage serait aussi supprim en m me temps La variante B comporte deux tapes Le r gime d arrachage serait r activ et le syst me de restrictions en mati re de droits de plantation serait prorog jusqu en 2013 qui serait l ann e de son expiration L objectif est d arracher 400 000 ha sur 5 ans moyennant une enveloppe budg taire de 2 4 milliards d euros A part des deux variantes l option 2 comprend en commun la suppression imm diate des instruments de gestion du march comme le soutien aux mesures de distillation l aide au stockage priv et l aide relative aux mo ts concentr s rectifi s visant l enrichissement et en parall le interdiction de la chaptalisation En contrepartie une bonne partie du budget conomis par la suppression des mesures de march serait affect e une enveloppe nationale bas e sur des crit res objectifs Chaque Etat membre utiliserait cette enveloppe pour financer des mesures qu il choisirait en fonction de ses pr f rences dans une liste donn e dont par exemple des mesures de gestion de crise telles que les assurances contre les catastrophes naturelles permettant de couvrir des pertes de revenu le r gime de restructuration reconversion des vignobles ax sur l adaptation de la qualit en fonction de la demande des consommateurs les vendanges en vert des campagnes d information du consommateur et des actions de promotion des vins originaires de l UE
222. dies bact riennes le fl trissement bact rien provoqu par Ralstonia solanacearum Smith Smith et la pourriture annulaire provoqu e par Clavibacter michiganensis Smith Davis et al ssp sepedonicus Spieckerman et Kotthoff Davis et al Ces deux maladies bact riennes sont galement recherch es sur les pommes de terre nouvellement import es afin d viter l importation de ces maladies par la m me occasion Jusqu pr sent aucun cas d infection par l une ou l autre de ces bact ries n a t d tect au Luxembourg La d termination des classes auxquelles vont appartenir les diff rents lots de tubercules est bas e sur leur degr d infection par les virus Leafroll LR et Y En 2006 les pourcentages d infection maximum autoris s taient les suivants Infection maximale permise virus LR Y X pour certaines cat gories Evolution de la superficie de pommes de terre plants certifi es r partie selon les diff rentes classes de certification Ann e de Classes F S Classe SE Classe E Classe A Classe B r colte ha ha ha ha ha b Les contr les phytosanitaires l importation La l gislation sur la quarantaine v g tale fixe les conditions sous lesquelles les v g taux ou produits v g taux peuvent tre import s dans l Union Europ enne et circuler sur le territoire de l Union Ces dispositions concernent les plantes et certains produits v g taux tel que les fleurs coup es le
223. doit aller de pair avec le bail d un nombre d hectares correspondant au nombre de droits La dur e du bail des droits est identique celle du bail des terres par h ritage ou h ritage anticip En outre la r partition des droits en cas de scission d exploitation et le regroupement de droits en cas de fusion d exploitations sont assimil s des transferts Ces op rations sont consid rer soit comme un achat ou un bail de droits La situation des transferts ayant pris effet avec la demande de surfaces 2006 est reprise au tableau 4 1 IV 6 Tableau 4 1 Type de Nbre de Nbre de Nbre de Nbre de DPU Valeur des DPU Surfaces transfert notifications c dants cessionnaires transf r s transf r s transf r es ha Achat 85 61 76 683 06 209 669 38 203 32 Bail 129 67 113 957 53 241 299 61 997 84 H ritage 3 3 3 160 17 50 615 22 0 00 TOTAL 217 118 178 1 800 76 501 584 21 1 201 16 Le total du nombre de c dants et cessionnaires ne correspond pas la somme des colonnes respectives comme respectivement un seul c dant peut avoir c d des DPU plusieurs cessionnaires et un seul cessionnaire peut avoir repris des DPU de plusieurs c dants Le nombre des DPU transf r s correspond au total des valeurs surfaciques des DPU Parmi les c dants il importe de pr ciser que 19 c dants ont transf r l int gralit de leurs droits 303 31 DPU d une valeur
224. du projet L int r t de la zone d limit e se caract rise par des conditions stationnelles et micro stationnelles tr s vari es ainsi que par le fait que le site propos comble un d ficit de la repr sentation des for ts correspondant cette caract risation stationnelle dans le secteur cologique de la Moselle Par ailleurs l association phytosociologique que l on trouve sur 95 de la surface d limit e est celle du Melico Fagetum caricetosum laquelle est assez rare au niveau national tant donn qu elle est uniquement stationn e sur les sols riches en calcaire La zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 54 54 ha et appartient int gralement une commune En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle une seule partie dite r serve foresti re int grale a t propos e Etat d avancement Le dossier de classement a t finalis et envoy sur le chemin de la proc dure publique Il a t pr sent aux habitants de la commune de Wellenstein en date du 6 mars 2006 Ce dossier a comme particularit de comporter en outre une tude chiropt rologique ainsi qu une tude bryologique Le projet a t pr sent devant le conseil sup rieur pour la protection de la nature en date du 14 juin 2006 Le 21 juillet 2006 le Conseil de Gouvernement a avis favorablement le projet Le projet de r serve foresti re int grale Schnellert Berdorf Consdorf Description g n
225. duites pour l ann e n versement en d but de l ann e n 1 Pour l ann e budg taire 2006 les paiements suivants ont t vers s IV 20 Solde pour l ann e de r colte 2005 b n ficiaires agriculteurs Tableau 28 Nombre d agriculteurs b n ficiaires dont titre principal dont titre accessoire Surface agricole utilis e prim e 114 406 ha producteurs titre principal 109 285 ha producteurs titre accessoire 5 121 ha Solde vers agriculteurs titre principal 4 704 734 agriculteurs titre accessoire 185 088 Total 4 889 822 Avance pour l ann e de r colte 2007 b n ficiaires agriculteurs Nombre d agriculteurs b n ficiaires dont titre principal dont titre accessoire Surface agricole utilis e prim e 116 332 ha producteurs titre principal 110 666 ha producteurs titre accessoire 5 666 ha Avance vers e agriculteurs titre principal 4 710 034 agriculteurs titre accessoire 212 482 Total 4922 516 Solde pour l ann e de r colte 2005 b n ficiaires arboriculteurs mara chers et p pini ristes Tableau 30 Nombre de p pini ristes b n ficiaires 9 dont titre principal 6 dont titre accessoire 3 Nombre de mara chers b n ficiaires 20 dont titre principal 15 dont titre accessoire 5 Nombre d arboriculteurs b n ficiaires 54 dont titre principal 36 dont titre accessoire 18 Surface de p pini res pri
226. durable des for ts et l utilisation du bois dans la construction sont des moyens efficaces de lutte en regard de cette probl matique plan taire La sc nographie de l exposition tait diversifi e et particuli rement riche m lant un parcours de panneaux graphiquement d pouill s de nombreux documents iconographiques du mobilier design en bois des vid os une borne interactive et quantit de maquettes Des tables d architectes r alis es par des bureaux d architecture ont aussi donn une id e de l laboration de constructions en bois de la conception la r alisation Un espace carte blanche a t r serv de jeunes designers dont le public a pu appr cier le talent et l inventivit Cet espace o la cr ativit avait libre cours a illustr toutes les potentialit s du bois dans le secteur de la cr ation et du mobilier contemporain XI 5 4 Le suivi du Programme Forestier National Le programme forestier national PEN est un programme intersectoriel d orientation strat gique pour le d veloppement du secteur forestier en harmonie avec les autres secteurs de l conomie nationale qui est plac sous le patronage conjoint du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural et du Minist re de l Environnement Le PFN a pour objet d tablir un cadre social et politique pour la conservation la gestion et le d veloppement durable de tous les types de for ts de fa on re
227. durable des for ts par le Ministre de l Environnement Le choix de l un ou l autre syst me incombe aux propri taires En 2006 l Administration des Eaux et For ts a particip aux travaux du groupe de travail FSC g r par le bureau de l Alliance pour le Climat en vue de finaliser le standard national pour le sch ma de certification FSC au Luxembourg La proc dure de certification FSC en for t soumise est la suivante le propri taire forestier ou groupe de propri taires forestiers qui d cide de se faire certifier attribue le travail d audit un organisme certificateur agr par FSC International le propri taire prend en charge les frais de la certification et demande un subside au Minist re de l environnement le certificateur r alise l audit sur base du standard labor par FSC Luxembourg pour d terminer si le certificat peut tre tabli et fixe de commun accord avec le propri taire et le gestionnaire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t le certificateur contr le intervalles r guliers l application de celles ci L Administration des Eaux et For ts a entam la proc dure de certification individuelle pour la for t domaniale du Grand Duch de Luxembourg L Administration des Eaux et For ts a galement entam la proc dure de certification de groupe pour les for ts soumises Il s agit pour le moment de constituer ce groupe et de d finir son
228. e pendant 6 ans au Luxembourg En 2005 5 foyers ont t notifi s X 12 En 2006 il y a eu notification d un seul foyer dans le Sud du pays Rappelons que la psittacose de par son caract re zoonotique est une maladie d claration obligatoire 20 La varroase La varroase continue tre pr sente l tat end mique au Luxembourg et il faut s appr ter vivre avec cette maladie qui provoque des pertes surtout indirectes par l affaiblissement des colonies d abeilles en les rendant ainsi plus r ceptives d autres maladies Pour cette raison il est fortement recommand de soumettre les colonies un traitement pr ventif en automne et d appliquer surtout des mesures hygi niques En 2006 les substances suivantes ont t mises la disposition des apiculteurs par les soins de l Administration des Services V t rinaires 250 litres d acide formique 14 000 barquettes Apilife 18 kg d acide oxalique 1 000 pots 18 g 21 La loque am ricaine En 2004 il y a eu notification de 6 cas de cette maladie hautement contagieuse entra nant l limination sanitaire de 8 ruchers alors qu en 2005 aucun cas ne fut d tect L volution de la loque am ricaine tait beaucoup moins favorable en 2006 avec le diagnostic au mois d ao t d un rucher positif Reichlange et finalement 17 autres ruchers positifs appartenant au m me apiculteur et localis s sur divers sites du Sud Est du pays Les mesures sanitai
229. e poursuit En l espace de dix ans le nombre des exploitations viticoles est pass de 658 unit s en 1997 445 unit s en 2006 soit une r gression de 32 La surface moyenne des exploitations viticoles est actuellement de l ordre de 2 92 ha Suite aux effets positifs du remembrement la restructuration du vignoble luxembourgeois est accompagn e d une am lioration sensible des conditions de travail dans la vigne En dix ans le nombre des parcelles a diminu de 804 unit s et s l ve aujourd hui 5 432 unit s Gr ce la rationalisation des travaux et la r duction des parcours dans les vignobles remembr s gr ce aussi une m canisation plus pouss e les conditions d exploitation des vignobles ont t sensiblement am lior es Une diminution importante de la surface se fait remarquer pour le c page du Rivaner Avec 377 ha ce c page occupe aujourd hui 29 de la superficie viticole totale En ce qui concerne l Elbling on note une tr s forte r gression de sa superficie au profit d autres c pages La surface de l Elbling atteint actuellement 123 ha La surface plant e en Riesling reste stable au cours de la derni re d cennie Elle repr sente actuellement 166 ha soit 13 du vignoble Les c pages Auxerrois Pinot blanc et Pinot gris occupent 505 ha et repr sentent 39 de l ensemble de la superficie totale Depuis 1966 leur surface a quadrupl Depuis quelques ann es le c page Pinot noir se r
230. e 5 935 5 935 Coing 2 810 2 180 Eau de vie de Vin 1 300 1 240 Framboise 7 114 6 094 Grain 26 555 21 491 Kirsch 26 890 18 467 Lie de vin 5 370 4 730 Marc 18 295 14 450 Mirabelle 118 326 90 183 M re sauvage 245 245 Neelchesbiren 27 093 22 798 Poire 21 274 17 352 Poire Williams 38 841 29 557 Pomme 49 400 43 292 Prunelle 7 124 4 662 Quetsch 44 157 36 765 Spieren 2 190 2 070 Sureau 2 015 1 465 Total 404 934 322 976 En 1991 le r glement du Gouvernement en Conseil de 1985 a subi une s rie de modifications parmi lesquelles il y a lieu de souligner l introduction de cinq nouvelles esp ces d eaux de vie pouvant tre admises la marque nationale savoir Cidre Coing Framboise M re sauvage et Sureau Une version codifi e des r glements du Gouvernement en Conseil du 21 juin 1985 et du 11 janvier 1991 a t adopt e par r glement du Gouvernement en Conseil du 11 octobre 1996 Parmi les modifications on peut surtout retenir l introduction d une tiquette rectangulaire c t de la collerette comme signe distinctif de la marque nationale et l ajout de l eau de vie de Vin comme nouvelle esp ce Notons encore que les eaux de vie de la marque nationale ont t enti rement l gitim es par la r glementation europ enne en tant que d nomination g ographique et sont reprises l annexe Il du r glement CEE no 1576 89 du Conseil du 29 mai 1989 tablissant les r gles g n rales la d finition la d si
231. e GAL 5 4 GAL profitant des aides communautaires et 1 GAL national Nombre de communes 63 communes Nombre d habitants 99 093 habitants Surface totale 1 488 64 km 2 La mise en uvre financi re et technique De 2001 2006 les d penses ligibles s levaient 5 289 309 29 soit 57 03 du budget global Le volet 1 avec 7 domaines et 32 mesures constitue la part majoritaire du programme du point de vue financier et du contenu Pour 2006 les d penses des GAL se sont chiffr es 1 733 550 72 les d penses totales ligibles s levant 1 752 772 25 Comme les plafonds des diff rentes mesures du volet 1 ont t sous resp surestim s une adaptation du tableau financier du compl ment de programmation s est av r e n cessaire La demande de modification a t approuv e unanimement par les membres du Comit de suivi lors de sa r union en date du 15 d cembre 2006 3 L valuation ex post Ensemble avec les GAL les premi res d marches en vue de l valuation ex post qui sera effectu e au cours de 2007 ont t entam es L objectif principal de cette valuation sera de mesurer la valeur ajout e de LEADER et de faciliter la mise en uvre de la prochaine p riode de programmation LEADER 4 Les relations publiques En vue de la nouvelle p riode de programmation 2007 2013 plusieurs r unions d information et de concertation avec les responsable gestionnaires des 5 GAL ont eu lieu Les responsables
232. e Horesca en vue de la pr sentation des restaurants poss dant le plus grand nombre de producteurs et de r f rences de vins luxembourgeois sur leur carte des vins A l tranger En ce qui concerne le volet de la promotion des vins l tranger la Commission de Promotion a lanc pour la quatri me ann e cons cutive une campagne de marketing sur la Belgique le premier march d exportation Ceci en vue de conf rer aux vins de la Moselle Luxembourgeoise une nouvelle image de marque plus moderne plus en phase avec les attentes des consommateurs belges La campagne articul e sur le th me de L autre richesse du Luxembourg fut visible en d cembre 2006 en affichage d Les relations publiques La Commission de Promotion a fourni des informations la presse internationale et a organis les visites de quelques journalistes de renomm e internationale avec d gustations dans les caves des producteurs savoir M David Furer r dacteur dans le Wine Enthousiast Magazine Wine Report M Greg Love journaliste et consultant en vin M Tom Stevenson diteur du Wine Report XII 21 e Mme Hanne Bahra journaliste du magazine Geo Saison en coop ration avec l ONT Dans le cadre de la visite de M Tom Stevenson une d gustation verticale fut organis e le 9 f vrier 2006 l I V V laquelle avait pour objet de comparer les r cents Riesling avec des Riesling plus g s provenant du
233. e a rienne H La formation continue et la vulgarisation 16 formations continues ont t organis es pour les vignerons en 2006 Massnahmen zur Qualit tssteigerung im Weinbau Syst me de gestion de la qualit dans le vignoble pour AOC Valais Bodenpflege im kologischen Weinbau avec LEADER Das Riesling S Konzept Concept de vin de terroir Haut de Gamme pour le Riesling Gesetzgebung im Bereich des kologischen Weinbaus avec LEADER Botrytisoek mpfung im Weinbau Vorstellung des Produktes Cantus _ Rebschutzempfehlung 2006 Biologische Landwirtschaft in Luxemburg avec LEADER Bew sserung im Weinbau Workshop Anwendung des Konfusionsverfahrens Beihilfe zur Umstrukturierungs und Rebsortenumstellung Betriebswirtschaft und Marktchancen im koweinbau avec LEADER Rebschutz im kologischen Weinbau avec LEADER Klassifizierung der Weinbaulagen im Weinanbaugebiet Luxemburg Die fachgerechte Bodenvorbereitung von einer Rebenneuanlage Vorbeugende Ma nahmen gegen die Traubenf ulnis I Les essais viticoles Dans le vignoble d exp rimentation des essais pratiques ont t men s dans le domaine de la viticulture biologique qui comprennent notamment l utilisation d alternatives pour le cuivre dans la lutte contre le mildiou Les mesures prophylactiques contre les champignons Botrytis et Penicillium agents responsables des go ts moisis terreux GMT const
234. e d hectares exploit s selon le nouveau r f rentiel En date du 15 janvier 2007 au total 264 producteurs sont susceptibles de voir leurs droits recalcul s pour les raisons mentionn es Le paiement de la prime pour l ann e 2005 Le paiement unique ainsi que pour l ann e 2005 l tablissement des droits a t demand dans le cadre de la d claration de surfaces annuelle Fl chenantrag La r glementation communautaire pr voit que le versement de la prime unique se fasse en un seul paiement qui peut avoir lieu entre le 1 d cembre de l ann e de demande jusqu au 30 juin de l ann e suivante Etant donn que pour les Etats membres qui ont appliqu le r gime de paiement unique en 2005 cette mise en uvre constituait un volume notable de travaux r aliser dans un laps de temps assez court calcul des montants de r f rence traitement des demandes de modification des montants de r f rence tablissement des droits prime impl mentation du syst me informatique de gestion des droits et des demandes et que de par ce fait ces Etats membres n taient gu re en mesure de proc der un paiement int gral en d cembre 2005 une d rogation a t prise au niveau communautaire permettant ces Etats membres de proc der pour cette premi re ann e au versement d un paiement partiel partir du 1 d cembre 2005 Ainsi les producteurs ligibles ont pu b n ficier d un paiement partiel de
235. e de d clarations de d g ts de gibier sur les pr s et champs s est lev 907 celui de 2006 a t la baisse avec 323 d clarations pour une superficie de 108 34 ha Par ailleurs trois dossiers de d g ts de gibier en for t priv e ont t trait s pour une surface de 2 ha XI 13 j La peste porcine les centres de collecte pour gibier Aucun nouveau cas de peste porcine n a t constat en 2006 au cantonnement de Diekirch L pizootie de la peste porcine a donc compl tement disparu sur ce territoire ce qui a engendr une nette diminution des activit s dans les centres de collecte pour gibier abattu ou mort k La for t lieu de loisir Le r le r cr atif des for ts du cantonnement de Diekirch est tr s important pour le tourisme luxembourgeois avec le M llerthal et ses paysages du gr s de Luxembourg Ainsi en 2006 le cantonnement de Diekirch a proc d l entretien la remise en tat et l installation de quelque 143 200 m de sentiers touristiques 6 170 heures ont t d pens es pour l entretien des installations de loisir en for t Le projet pilote du parc d aventures dans la for t communale de Vianden conna t un r el succ s et il est envisag de continuer dans cette voie en compl tant voire en agrandissant les installations en place par des am nagements pour les tr s jeunes et m me pour les seniors Le cantonnement a t activement impliqu dans les travaux pr paratoir
236. e de la IX 23 certification officielle L chantillonnage et les analyses sont accr dit s par l ISTA International Seed Testing Association ce qui permet la station d tablir les bulletins internationaux Oranges et Verts de lot de semences et les bulletins internationaux Bleus d chantillon de semences requis notamment pour l exportation En 2006 la station a chantillonn et analys 145 lots de semences pour la certification La station est charg e en outre du contr le du laboratoire d analyse de semences de Mersch qui est autoris effectuer les analyses requises pour la certification des semences de c r ales de pois et de f veroles 64 lots ont aussi t v rifi s en 2006 Des contr les par sondage dans le commerce de 57 lots ou de parties de lots de semences de c r ales de plantes fourrag res de plantes ol agineuses et de l gumes ont t effectu s quant la facult germinative la puret technique et l absence d organismes g n tiquement modifi s La station de contr le des semences a organis en 2006 en collaboration avec le laboratoire d analyses de semences de Gembloux un workshop Puret dans les locaux des laboratoires Ettelbruck Trois laboratoires belges et deux laboratoires luxembourgeois y ont particip b Le contr le des aliments pour animaux L analyse des param tres microbiologiques des aliments pour animaux notamment l absence de salmonelles la d termination
237. e de la mesure s s levant 50 une d pense publique au montant total de 121 976 40 a t engag e 5 La programmation du nouveau PDR 2007 2013 Dans le souci d assurer une continuit par rapport du PDR 2000 2006 venu terme le 31 d cembre 2006 le Minist re de l Agriculture a labor le nouveau PDR pour la p riode de programmation 2007 2013 L axe 3 intitul qualit de la vie en milieu rural et diversification de l conomie rurale administr par le Service du D veloppement rural reprend en grande partie les mesures ayant fait preuve au PDR pr c dent tout en y ajoutant et revalorisant des nouveaux aspects dans les domaines de la socio conomie de l environnement et de la soci t du savoir VII 9 La strat gie nationale du Grand Duch de Luxembourg pour la p riode de programmation du d veloppement rural 2007 2013 a t approuv e en d but d ann e 2007 par la Commission Europ enne et les nouvelles mesures d application de l axe 3 sont actuellement en voie d approbation au niveau europ en En perspective du PDR national approuv une premi re bauche de la l gislation nationale bas e sur les documents pr cit s est actuellement pr par e C L initiative communautaire LEADER au Luxembourg 1 Le contexte g n ral Le programme d initiative communautaire national LEADER a t approuv par d cision de la Commission Europ enne du 13 12 2001 sous le N ARINCO CCI 2001 LU 06
238. e en levures ou moisissures ou germes totaux qualit 4 teneur trop lev e en levures ou moisissures ou germes totaux IX 24 Tableau 6 Comparaison pluriannuelle de la pr sence absence de salmonelles dans les aliments pour animaux 2006 2005 2004 2003 nombre d chantillons 137 77 105 87 pr sence de salmonelles 6 6 7 8 4 5 s rotypes Salmonella Agona 2 1 Salmonella Rissen 1 1 Salmonella Stanley 1 Salmonella Senftenberg 1 1 Salmonella Kentucky 2 Salmonella Lexington 5 3 2 Salmonella Nagoya 1 Salmonella Mbandaka 1 1 Salmonella enterica monophasique 1 depuis janvier 2006 pr sence dans 25 g avant pr sence dans 2 x 25 g Tableau 7 Comparaison pluriannuelle de la pr sence absence d antibiotiques non autoris s 2006 2005 2004 2003 2002 nombre d chantillons 63 53 82 88 66 screening antibiotiques n gatif 95 98 95 93 79 pr sence d un antibiotique traces lt 10 ppm 3 2 2 5 6 20 pr sence d un antibiotique traces gt 10 ppm 2 0 0 1 1 pr sence d un antibiotique gt gt 10 ppm 0 2 erreur 2 5 0 0 d tiquetage analyses effectu es par la Station de recherche Agroscope Liebefeld Posieux CH d apr s des m thodes microbiologiques c L analyse du lait et des produits laitiers Les analyses dans le cadre du contr le du lait et des produits laitiers provenant directement des laiteries pr vu par r glement
239. e et de l Allemagne font galement partie de ce chapitre Afin d adapter et d uniformiser les annexes prescrites par la loi et les r glements grand ducaux ceux ci furent ajust s aux exigences particuli res de notre pays De m me des formulaires furent d velopp s afin de faciliter l utilisateur la fourniture des donn es demand es La participation au groupe EUFORGEN Le peuplier noir arbre de l ann e 2006 Depuis 1989 le curatium Arbre de l ann e choisit chaque ann e une essence qui est particuli rement mise en valeur dans les milieux forestiers n 2006 le choix est tomb sur le peuplier noir En effet cette esp ce pr sente un r le cologique de premier plan elle est inscrite aupr s de l organisation EUFORGEN r seau scattered broadleaves dont l objectif primordial est de coordonner la conservation d esp ces tr s rares Afin d analyser le peuplier noir dans notre pays nous avons choisi le Centre de Recherche d Ecologie foresti re de la Rh nanie Palatinat comme partenaire En effet le peuplier noir est directement menac d extinction dans notre pays II ne saurait subsister qu au moyen de mesures de conservation et de r introduction Suite aux nombreux hybrides utilis s dans la plantation du peuplier une pollinisation entra nant une pollution g n tique a provoqu sa quasi disparition L endiguement des zones alluviales mais aussi enfoncement des cours d eau
240. e gestion de recette d une unit de pasteurisation et de processus par op rations unitaires d une diff renciation la plus tardive possible des productions par exemple la maturation du lait pour fromage blanc pour lait battu et pour yaourt brass se fera dans les m mes tanks processus alors qu l heure actuelle elle se fait dans trois entit s de production diff rentes d un secteur fromagerie part d un conditionnement qui tient plus compte des emballages que des produits dans le respect des produits d une logistique commune de transfert vers le stockage d un lieu de stockage des produits finis produits sur site La nouvelle usine aura une surface de l ensemble des b timents l g rement sup rieure 4 5 Les surfaces de production augmentent de 5 5 capacit s sup rieures et r organisation du processus Les surfaces de maintenance diminuent de 39 plus de garage pour camion restructuration des services techniques Les surfaces des b timents nergies restent gales capacit s sup rieures et restructuration des services techniques Les surfaces administratives et sociales augmentent de 32 besoins non couverts dans les anciens locaux Le taux d aide retenu de 35 est applicable aux positions du devis renseignant les frais g n raux les quipements g n raux les am nagements ext rieurs l installation de chantier les travaux de construction l exception des positions relatives l
241. e l ann e 2005 27 producteurs ont b n fici de la dite prime pour au total 172 58 hectares et pour un montant total de 7 494 42 euros Depuis l ann e 2005 le r gime d aide aux cultures nerg tiques est galement soumis aux dispositions de la conditionnalit et de la modulation voir sous sections A et C 3 Le paiement la surface pour les fruits coque Le r gime de paiement la surface pour les fruits coque a t introduit dans le cadre de la r forme de la PAC d cid e en juin 2003 Il est applicable depuis l ann e 2004 et constitue une aide la surface vers e pour les vergers d arbres fruits coque Les esp ces d arbre fruits coque admises au Grand Duch de Luxembourg sont les noyers et les noisetiers L aide n est pay e que pour les vergers qui pr sentent une surface homog ne et d un seul tenant Les arbres isol s et les rang es d arbres fruits coque plant es le long des routes ou d autres cultures ne sont pas ligibles la dite aide En outre les vergers doivent pr senter une densit minimale d arbres fruits coque 50 arbres ha pour les noyers 125 arbres ha pour les noisetiers Le taux de l aide pour les vergers situ s sur le territoire du Grand IV 8 Duch de Luxembourg s l ve 240 euros par hectare pour les vergers noyers et 150 euros par hectare pour les vergers noisetiers Au titre de l ann e 2005 un montant total de 2 744 71 euro
242. e l UE repr senter notre pays au niveau europ en ou international et mettre disposition des donn es statistiques dans le cadre de diff rents groupes sp cifiques de l OCDE EUROSTAT ou FAO participer au r seau IFCN International Farm Comparison Network qui compare les co ts en production laiti re entre les pays au niveau mondial calculer les marges brutes standard MBS utilis es notamment pour la classification des exploitations agricoles selon leur dimension et leur orientation technico conomique OTE pour les besoins des statistiques RICA et STATEC Il 3 pour la d termination du revenu professionnel agricole cotisable RPAC permettant de d finir les montants des cotisations sociales assurance maladie pension et assurance d pendance depuis 2003 les calculs d terminant les RPAC sont effectu s au SER et non plus comme pr c demment par le Centre Commun de la S curit Sociale et depuis le vote de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural pour la d termination de l ligibilit des exploitations diff rentes aides pr vues dans ladite loi fournir des informations conomiques et statistiques sur la situation de l agriculture et de la viticulture dans leur ensemble par r gion ou par cat gorie d exploitation pour les besoins du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural mais aussi et de plus en plus r guli
243. e mixte PC 22 entre le Parc Hosingen et l ancien C R vers Lellingen Montant subventionnable des deux projets 841 333 Le d veloppement rural Dans le cadre de l assistance technique dans le domaine du d veloppement des zones rurales 26 projets relatifs aux diff rentes mesures ont t r ceptionn s en 2006 dont 11 par la circonscription de ASTA Diekirch pour un montant de 3 701 646 5 par la circonscription de l ASTA Grevenmacher pour un montant de 948 619 et 10 par la circonscription de ASTA Mersch pour un montant de 3 770 371 La m t orologie A l heure actuelle le service de la m t orologie entretient 8 stations m t orologiques automatiques principales avec transmission des donn es mesur es par t l phone l ordinateur central Echternach Grevenmacher Luxembourg Merl Oberkorn Remich Reuler Schimpach et Useldange et 9 stations m t orologiques automatiques secondaires avec transmission des donn es mesur es par t l phone l ordinateur central Ettelbruck Godbrange Holler Koerich Lorentzweiler Mamer Reckange Roeser Wincrange Deux stations m t orologiques automatiques suppl mentaires seront install es dans le nord ouest du pays dont une station m t orologique automatique principale Eschdorf et une station m t orologique automatique secondaire Esch sur S re Restent 6 stations m t orologiques observateur Asselborn Bourscheid Clemency Dahl Roodt Waldbredim
244. e obligatoire de la Commission europ enne Le plan strat gique national du Grand Duch de Luxembourg a t labor dans le cadre d une concertation troite du secteur agricole autorit s et organismes nationaux partenariat et en collaboration avec la Commission europ enne comme le pr voient les orientations strat giques communautaires ainsi que sur base des documents de r f rence tablis par la Commission IIl 4 Sur base d une valuation de la situation conomique sociale et environnementale r alis e au niveau national le PSN tablit les priorit s th matiques et territoriales en mati re de d veloppement rural pour chacun des axes doit galement respecter certaines orientations communautaires d finies au niveau des orientations strat giques de la Communaut europ enne Le plan strat gique national reprend une s rie d objectifs que l Etat membre s est fix e Une valuation en continu permet de suivre les efforts entrepris par l Etat membre ainsi que la r alisation des objectifs au cours de la p riode de programmation Pour la p riode de programmation 2007 2013 le programme de d veloppement rural PDR du Grand Duch de Luxembourg constitue l instrument mettant en uvre la strat gie nationale par le biais d une s rie de mesures Il contient notamment des informations sur les axes et sur les mesures propos es pour chaque axe ainsi que leur description Des tableaux financiers pr cisent pour
245. e patrimoine historique et culturel en for t A c t de l inventaire et de la cartographie du patrimoine historique en for t d autres travaux taient r alis s plus concr tement en vue de rassembler les l ments pour la constitution d une publication sur ce th me D un c t sur base de l inventaire du patrimoine historique en utilisant les informations contenues dans la base de donn es et la nomenclature y d finie la campagne photo qui avait t lanc e en 2005 a t poursuivie en 2006 travers tout le pays D un autre c t alors que l ann e 2005 avait permis de r aliser des travaux bibliographiques et de recherche sur le patrimoine historique les travaux r dactionnels proprement dits taient au programme de l ann e 2006 L objectif de cette publication tant de r aliser une pr sentation synoptique sur la pr servation du patrimoine historique et culturel dans les for ts du Grand Duch de Luxembourg Le texte a t r dig de mani re permettre d illustrer d une mani re synth tique et ais ment compr hensible au grand public les diff rents vestiges de notre patrimoine national pr serv dans nos for ts travers les diff rentes poques et d expliquer l importance de leur protection et sauvegarde d une ventuelle destruction Le projet de publication s inscrit dans la continuit de la mise en uvre d une gestion foresti re durable et des r solutions de Helsinki Lisbonne crit re
246. e pr voit dans le cadre de plans annuels la mise disposition gratuite de denr es alimentaires provenant des stocks d intervention au b n fice des personnes les plus d munies de la Communaut En cas d indisponibilit de stocks d intervention la r alisation du plan annuel peut tre op r e partir de produits mobilis s sur le march Au Luxembourg il est fait application dudit r gime d aide moyennant la mobilisation de produits achet s sur le march IV 16 Le programme mis en uvre au cours de l exercice 2006 pr voyait exclusivement la distribution gratuite de produits laitiers par l interm diaire des trois organisations caritatives Caritas Luxembourg Croix Rouge Luxembourgeoise et Banque Alimentaire Luxembourg Les quantit s de produits laitiers distribu es au cours de l exercice 2006 ont port sur lait UHT 15 719 0 litres beurre 844 5 kg fromage blanc 879 5 kg fromage cuit 28 8 kg cr me UHT 1 238 0 litres yaourts fruit s 2 096 5 kg Le montant global engag dans la r alisation du programme 2006 a port sur 26 826 67 EUR 10 Les autres r gimes d aides Outre les r gimes d crits ci avant il importe de mentionner bri vement les r gimes suivants aide au beurre de march utilis dans la fabrication de produits de p tisserie aide la cr me de lait utilis e dans la fabrication de glaces alimentaires Ces deux r gimes ont trouv leur application a
247. e soit en raison de sa r siliation anticip e au bail ou la convention qui les a engag s dans le pass A partir du 1 avril 2000 104 contrats de bail n ont plus t reconduits ou ont t r sili s anticipativement et les quotas laitiers correspondants ces contrats repr sentant une quantit de 6 827 152 kg ont t allou s d finitivement aux producteurs en activit moyennant le passage par le pool national En outre 20 associations de producteurs ont t dissoutes anticipativement et 2 producteurs laitiers ont quitt une association de producteurs Les producteurs continuant la production laiti re se sont vus allouer d finitivement les 3 924 996 kg de quotas de leur ancien associ gr ce au recours au pool national 6 Les transferts de quotas Le tableau 20 reprend les quantit s de r f rence ayant fait l objet d un transfert cons cutivement un contrat de location ou un contrat de vente Tableau 20 P riode Nombre Quota transf r Nombre Quota transf r Total g n ral cons cutivement un cons cutivement un contrat de location contrat de vente 1984 1985 0 1985 1986 121 000 kg 1986 1987 0 1987 1988 0 1988 1989 128 713 kg 1989 1990 417 162 kg 1990 1991 440 899 kg 1991 1992 463 612 kg 1992 1993 503 435 kg 350 948 k JUIN O1O0001010 010 0 0 0 01Q1 0 0 0
248. el contr le quelque 50 associations et f d rations r gies par l arr t grand ducal modifi du 17 09 1945 la Chambre de l Agriculture le programme LEADER le Fonds de Solidarit Viticole la Marque Nationale du Vin et du Miel I OPVI organisation des viticulteurs ind pendants la Caisse d assurance des Animaux de Boucherie la F d ration des Soci t s de Secours contre la perte du B tail les Anciens de l Ecole de Viticulture Amicale des Anciennes de Mersch Le service de la mutualit agricole a en outre port son aide aux petites associations g r es en b n volat pour cl turer leurs exercices c d dresser le bilan le compte des pertes et profits le tableau d amortissement et les tableaux synoptiques et remplir les d clarations de TVA et d imp ts IR ICC Le service de la mutualit agricole a aid laborer une modification des statuts de ASBL Jongg rtnerverband Letzebuerg et de l ASBL F d ration Horticole Luxembourgeoise FHL en vue d int grer le Jongg rtnerverband dans la F d ration FHL en lui garantissant son ind pendance financi re Le service a aid et donn conseils en vue de la dissolution de diverses associations et tait pr sent aux assembl es g n rales extraordinaires appel es cette fin IX 17 La comptabilit de la Marque Nationale de la Viande de Porc et des Jambons Marque Nationale des porcs est assur e par le service de la mutualit agricole 764 op rations comp
249. emble v ritablement interdite au h tre son adaptation reste g n ralement partielle en raison de la pr sence quasi constante et faible profondeur de couches compactes de nature caillouteuse marneuse ou argileuse faiblement structur es Sa pr sence doit donc s envisager en m lange de pr f rence avec le ch ne sessile connu pour son influence positive sur la stabilit des peuplements S ils restent des alli s de production int ressants dans la for t communale de Wormeldange le fr ne et l rable sycomore doivent tre utilis s avec prudence en raison de leur sensibilit la compacit des sols en pr sence A c t des essences de production les essences d accompagnement et les essences secondaires pr sentent des niveaux d adaptation divers selon l cologie de chacune d elle et les caract ristiques de la station Quel que soit leur degr XI 35 d adaptation la pr sence de ces essences en m lange dans les peuplements est tr s utile car certaines ont la capacit de mobiliser et mettre en circulation de grandes quantit s de min raux qui peuvent faire d faut d autres Globalement les sols de la for t communale de Wormeldange sont tr s peu favorables la sylviculture des r sineux Aucune essence r sineuse n est propos e sans aucune r serve en raison de leur sensibilit la compacit ou de la pr sence possible de calcaire actif faible profondeur b La cartographie d aptitude stationnelle p
250. embloux dans le cadre d une guidance qui est un accompagnement scientifique des laboratoires belges Celle ci comprend deux volets d une part la constitution par le service d chantillons talon luxembourgeois chaque quinzaine destin s maintenir l talonnage des Milko Scan Les valeurs de r f rence de ces chantillons sont d termin es par analyse circulaire dans 5 laboratoires officiels belges et luxembourgeois dont notre laboratoire Ettelbruck Ces chantillons talon sont distribu s galement aux laboratoires des 2 laiteries luxembourgeoises ainsi qu au laboratoire Convis qui assure le contr le des vaches individuelles des exploitations membres Pour ce dernier le service de contr le du lait cru assure d ailleurs la calibration de l appareil infrarouge Deux fois par an un talonnage complet est r alis l aide d chantillons recombin s teneurs croissantes en mati re grasse et en prot ines d autre part la participation du service aux analyses comparatives mensuelles concernant notamment la mati re grasse et les prot ines Ces analyses permettent une comparaison entre laboratoires luxembourgeois en ce qui concerne la r p tabilit et la reproductibilit Des analyses comparatives concernant les cellules somatiques et le point cryoscopique permettent une comparaison des r sultats aussi bien entre les laboratoires luxembourgeois et belges En outre l utilisation de standards internati
251. embourgeois de b tail tranger X 23 G Le bien tre des animaux X 23 H Lecl s d q arrissa ge de en r nn Te Cd An AN GE Fi nt X 23 I La transposition en droit national des directives CE en 2006 ssssessseeeseesseesseen X 24 J Le Laboratoire de m decine v t rinaire X 25 K Le contr le des denr es alimentaires base de viande 00nnnnnnnnneneneeeeenee eene X 38 1 La recherche de Salmonella chez le cheptel ou l exploitation par culture X 38 2 Le contr le de l hygi ne des carcasses X 38 4 5 La microbiologie des denr es alimentaires base de viande ou prod its de la P che eien eae E de Line Arte tan E ATA Les examens bact riologiques des carcasses suspectes dites d abattage d urgence ste raa a a e RS AT e a a a E aSr La recherche de r sidus sissano ea er AEEA E E XI LA SYEVICULTURE nent et Na eue ST ART ds adieu AG n ralit s stunt mien rer DA ir nn ee cie 4 2 3 CLCENRORS ES La certification des Tor ts sistema isa Le plan de d veloppement rural nn ennenen Le projet Interreg Ib Proholz Probois a Les visites de r alisations Penser For t Agir Bois b Le colloqie Le bois et ses alli s dans la construction c L exposition Made in W
252. embres avoisinants soit le cas ch ant l inverse partir d autres Etats membres X 22 vers le Luxembourg Ces changes temporaires sont soumis un contr le v t rinaire a Le pacage en zones trang res de b tail luxembourgeois pays de autorisations bovins ovins ch vres chevaux destination accord es Belgique O o z 3e H Allemagne RS e ame E E o e b Le pacage en territoire luxembourgeois de b tail tranger pays d origine autorisations bovins OU n es Belgique 0 0 France 0 0 0 0 0 Pae 1 a 2 262 7 5 0 5 Allemagne 0 Ce G Le bien tre des animaux L Administration des Services V t rinaires est institu e par la l gislation aff rente comme l autorit comp tente en mati re de bien tre animal La surveillance du bien tre animal concerne les conditions de d tention de transport et d abattage des diverses esp ces animales La surveillance du bien tre des animaux de production se fait partiellement en synergie avec les experts de l Unit de Contr le UNICO fonctionnant aupr s du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement rural alors que les v t rinaires praticiens y collaborent par deux visites annuelles des levages dans le cadre de l pid mio surveillance En 2006 l Administration des Services V t rinaires a proc d 238 visites sp cifiques r sultant dans la transmission de 2 dossiers au Parquet
253. ement mais aussi la production d nergie b Axe 2 L am lioration de l environnement et du paysage Le plan strat gique pr voit de mettre davantage l accent sur la protection de l eau la formation en mati re environnementale ainsi que sur la conservation des prairies permanentes L introduction de l co conditionnalit Cross Compliance et surtout son application constitue une innovation suppl mentaire de premi re envergure Conform ment une revendication du Minist re de l Environnement des aides au titre de la biodiversit seront dor navant cofinanc es par le FEADER IIl 7 Cette approche permettra de garantir la continuit de cet outil indispensable pour la gestion des zones du r seau de Natura 2000 et contribuera une acceptation plus large de ce programme par les agriculteurs 1 Le soutien de l activit agricole dans les zones d favoris es Le soutien de l activit agricole dans les zones d favoris es respectivement dans les zones handicap naturel constituera une mesure prioritaire et absolument indispensable pour le maintien de l activit agricole au Grand Duch de Luxembourg Le Gouvernement maintiendra la zone d favoris e d finie par la directive 75 274 CEE Le PDR 2007 2013 pr voit le r gime de l indemnit compensatoire afin de garantir l utilisation des terres agricoles la pr servation de l espace naturel et la sauvegarde de modes d exploitations durables L aide en que
254. ement indemne de brucellose II faut souligner que par la D cision 99 466 CE de la Commission du 15 juillet 1999 le Grand Duch de Luxembourg a t d clar Etat membre officiellement indemne de la brucellose bovine Pour garantir et maintenir ce statut les mesures de pr vention et de contr le continuent tre appliqu es En 2006 les exploitations laiti res ont t test es avec un total de 922 analyses sur le lait de collecte Tous les r sultats taient n gatifs Le nombre de bovins d levage et de rente g s de plus de 12 mois test s avec r sultat n gatif tait pour 2006 de 1 073 La leucose bovine enzootique En 2006 aucun foyer de leucose bovine n a t d tect Le dernier foyer de leucose bovine enzootique d tect au Grand Duch de Luxembourg remonte 1999 Par la d cision 99 465 CE du 13 juillet 1999 le Grand Duch de Luxembourg a t d clar Etat membre officiellement indemne de la leucose bovine enzootique Pour maintenir ce statut 907 cheptels laitiers ont t test s avec en fin de compte un r sultat n gatif pour la leucose bovine enzootique S y ajoutent 1 328 examens n gatifs provenant de bovins respectivement export s et import s L LB R Le programme de surveillance et de lutte mis en place titre volontaire dans notre pays conna t pour l ann e 2006 les chiffres suivants Nombre d exploitations participant au programme 139 Nombre total d cha
255. ement indemne de rage le Luxembourg est tenu prouver par des screenings qu il n y a pas eu r infection Le Laboratoire de m decine v t rinaires LMVE ex cute une partie des analyses une autres partie est sous trait e au Landesamt f r Soziales Gesundheit und Verbraucherschutz LSGV de Sarrebruck Les cas non n gatifs ou les cas o il y a un risque de contamination pour l homme sont envoy s l Institut Pasteur de Bruxelles pour confirmation d finitive R sultats du LMVE Total Rage iFD Frottis ovins 1 o o 1 Rage iD Frotis chats 2 o o 2 Rage iFD Frottis chiens 2 o o 2 gibier Rage IFD Frottis chevreuil 1 1 RE ER ES TE D Frottis fouine 2 o o 2 R sultats du LSGV Total Pathog ne chantillon N gatifs examin Odoo a E La maladie d Aujeszk Quoiqu ayant un statut officiellement indemne de la maladie d Aujeszky des screenings sont r alis s au LMVE R sultat Pathog ne chantillon N gatifs Aujeszky ELISA g1 B a E l 2500 Oooo Sag sangliers 4 1 o 5 Pathog ne chantilon N gatifs Aujeszky IFD Organes porcins 3 o o 3 Aujeszky IFD Organes chiens 1 f o o 1 Aujeszky IFD _ Organes gibier cheveu 1 o o 1 X 31 Le sang du sanglier s ro douteux a t positif en s ro neutralisation SN La trichinellose Le diagnostic des trichines est
256. ement progress Suivant la nature des produits viticoles luxembourgeois les exportations se subdivisent de la fa on suivante vin de table 15 vin de qualit 68 vin p tillant 8 vin mousseux et cr mant 9 XII 2 Les c pages repr sent s dans l ensemble des exportations se r partissent comme suit Elbling 4 Rivaner 53 Auxerrois 7 Pinot blanc 8 Pinot gris 13 Riesling 8 Pinot 6 Autres 1 Suivant leur classification qualificative la vente des vins de qualit vers l tranger pour la campagne 2005 2006 est la suivante Marque Nationale 31 143 hl 75 0 Vin class 201hl 0 5 Premier cru 8 944 hl 21 5 Grand premier cru 1 245 hl 3 0 Par rapport la r colte 2005 qui est de 135 366 hectolitres 45 des produits viticoles ont t export s pendant la campagne 2005 2006 La Belgique reste le premier pays acheteur de nos vins 81 suivie par l Allemagne 13 et la France 6 Au cours de la campagne 2005 2006 les caves coop ratives ont r alis 94 des exportations le n goce 2 9 et les viticulteurs ind pendants 3 1 Les r exportations Les r exportations ont baiss par rapport 2004 2008 et se chiffrent pour la campagne 2005 2006 26 422 hectolitres Les r exportations sont r alis es 84 vers la Belgique et sont constitu es 76 par la vente de vins mousseux labor s au Luxembourg partir de vins trange
257. ement visant la mise jour du dossier existant pour la r serve naturelle Manternacher Fiels est en cours d laboration par le Service Am nagement des Bois Des r unions ont eu lieu avec les diff rentes personnes concern es par le projet g Le projet de r serve foresti re int grale Saueruecht Beaufort Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum ainsi que des for ts de ravins du Tilio Acerion qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure La zone d limit e se subdivise en trois parties distinctes avec chaque fois un autre type de v g tation caract ristique Sur le plateau on est en pr sence d un sol sableux plus ou moins sec o le h tre constitue l essence principale Sur les sols limono sableux de la partie centrale on retrouve galement des h traies mais cette zone comporte aussi de nombreux boulis de pierres sur lesquels des essences pionni res ont pu s installer En bas de versant sur les sols sablo limoneux faiblement gleyifi s de nombreuses zones de suintement rendent le terrain particuli rement humide Cette partie est favorable l installation d essences des milieux frais m sohygrophiles voire m me hygrophiles Cette succession de diff rents types de v g tation conf re un aspect particuli rement
258. ements fr quent s par 22 058 l ves ont b n fici dudit r gime d aide L aide globale accord e pour le lait entier s levait 30 3248 100 litres dont 20 7648 100 litres charge du FEOGA et 9 56 100 litres charge du budget national L aide pay e au titre de l ann e scolaire 2005 2006 est r sum e au tableau 21 Tableau 21 Produits Quantit s Montant total de l aide 1 EUR Lait entier 104 707 75 31 752 41 Lait entier chocolat 42 153 25 12 782 89 TOTAL 44 535 30 8 Le r gime d aide au beurre destin aux institutions et collectivit s sans but lucratif La r glementation communautaire pr voit l octroi d une aide au beurre destin aux institutions et collectivit s sans but lucratif Pour l ann e 2006 le montant de l aide s levait 60 100 kg En ce qui concerne le Grand Duch de Luxembourg la port e de la mesure est illustr e au tableau 22 Tableau 22 Quantit s Montant total de l aide kg EUR 1992 147 352 265 585 69 1993 143 183 250 258 28 1994 141 801 234 558 17 1995 136 648 193 654 10 1996 136 055 185 490 02 1997 129 868 181 554 64 1998 124 640 155 012 33 1999 118 629 124 560 40 2000 113 606 119 286 29 2001 109 155 112 821 90 2002 98 027 98 027 00 2003 93 831 93 831 00 2004 95 988 95 988 00 2005 95 427 74 774 10 2006 9 premiers mois 70 432 42 258 90 9 Le r gime d aide aux personnes les plus d munies La r glementation communautair
259. en et national et ceci tant dans le monde agricole que dans le secteur de l industrie laiti re Les services de la Commission CE vont pr senter la fin de l ann e 2007 un rapport d valuation du secteur laitier dans l Union europ enne D apr s les d clarations r centes faites par la Commissaire Madame FISCHER BOEL il faut s attendre ce que la Commission propose en conclusion du rapport d valuation pr cit de ne plus reconduire le r gime des quotas laitiers au del du 31 mars 2015 Sur le plan national la gestion du r gime des quotas laitiers continue tre r gie par le r glement grand ducal du 11 mars 2004 concernant l application au Grand Duch de Luxembourg du r gime de pr l vement sur le lait Il est rappel que ledit r glement reprend dans les grandes lignes les dispositions nationales en vigueur auparavant notamment en mati re de transfert de quotas et d allocation de quantit s de r f rence suppl mentaires en provenance de la r serve nationale Au cours de la p riode 2006 07 les producteurs luxembourgeois se sont vu maijorer leur quota individuel de 0 5 Cette majoration constitue la 1 tranche de l augmentation de 1 5 d cid e par le Conseil CE dans le cadre du mid term review de l agenda 2000 Les 2 et 3 tranches seront allou es aux producteurs au cours des p riodes 2007 08 et 2008 09 Le r gime de transfert d finitif de quotas mis en place au Luxembourg continue jouir
260. endante et le partenariat horizontal Volet 2 soutien des coop rations interterritoriales et transnationales Volet 3 mise en r seau de l ensemble des territoires ruraux de la Communaut qu ils soient b n ficiaires ou non de LEADER ainsi que de tous les acteurs du d veloppement rural Volet 4 Assistance technique dans la gestion le suivi et l valuation du programme c La zone ligible LEADER Pour la p riode 2000 2006 la zone ligible LEADER a t d finie en application des crit res concernant la densit maximale de la population de 120 habitants km Les Groupes d Action Locale GAL suivants ont t s lectionn s VII 10 Le GAL LEADER Redange Wiltz avec 13 communes 391 km et 19 114 habitants Le GAL LEADER Clervaux Vianden avec 14 communes 440 4 km et 16 939 habitants Le GAL LEADER Mullerthal avec 15 communes 310 9 km et 20 814 habitants Le GAL LEADER L tzebuerger Musel avec 16 communes 260 65 km et 32 569 habitants La r gion du Sud Ouest n ayant pas pu remplir les crit res de s lection dict s par la Commission Europ enne quant la masse critique minimum 10 000 habitants il a t d cid de lui octroyer au lieu des aides communautaires des aides tatiques de l ordre de 50 Le Groupe s est donn le nom de A schdall Plus et comprend 5 communes sur 85 69 km avec 9 657 habitants Zone LEADER r capitulation Nombre d
261. enne Pour l ann e 2006 le montant total des d penses peut tre estim environ 49 821 7 mio euros La part du Luxembourg s l ve moins de 0 1 de ces d penses En analysant les d penses par cat gorie on constate que e les d penses de restitution l exportation continuent de baisser et ne repr sentent plus que 6 2 du total des d penses du FEOGA Garantie e les d penses pour aides directes ont d pass l g rement le niveau des ann es pr c dentes 68 9 des d penses totales e les d penses de stockage ont l g rement augment pour atteindre 1 7 des d penses totales e le pourcentage pour les autres d penses actions v t rinaires et phytosanitaires actions d information d veloppement rural etc s est lev 23 2 B La section orientation Au Luxembourg les mesures financ es par le FEOGA section orientation se limitent depuis la p riode de programmation 2000 2006 l initiative communautaire LEADER Le tableau III renseigne les montants que le FEOGA section orientation a vers au Luxembourg dans le cadre de l action LEADER TABLEAU I D penses de la section garantie au Luxembourg D penses se rapportant aux ann es budg taires des C E 16 10 15 10 R gime du paiement unique Cultures arables Stockage public de c r ales Aide aux producteurs de c r ales Aide la production de graines de lin non textile et du chanvre Aide la production de grai
262. ensible o 0 o A JO N jo jo jo jo Salmonella enterica monoph Ampicilline 2 0 N o jo jo jo jo j gt N jo jo jo N afa ai LS Salmonella enterica monoph Cephazoline 0 0 Salmonella enterica monoph Chloramphenicol 0 0 Salmonella enterica monoph Colistine 0 0 Salmonella enterica monoph Enrofloxacine 0 0 Salmonella enterica monoph Gentamycine 0 0 Salmonella enterica monoph Marbofloxacine 0 0 Salmonella enterica monoph Neomycine Salmonella Eboko Salmonella Eboko Salmonella Eboko Marbofloxacine Salmonella Eboko Salmonella Eboko Streptomycine Salmonella Eboko Sulphonamides Salmonella Eboko Tetracyclines Salmonella Eboko Trimethoprime Sulfamide Salmonella Tumodi Ampicilline Salmonella Tumodi Cephazoline Salmonella Tumodi Chloramphenicol Salmonella Tumod Salmonella Tumodi Salmonella Tumodi Salmonella Tumodi Marbofloxacine Salmonella Tumodi Salmonella Tumodi Streptomycine o jo jo jo jo jo jo jo jo o lo J eo l _ Salmonella Tumodi Sulphonamides Salmonella Tumodi Tetracyclines Salmonella Tumodi Trimethoprime Sulfamide 1 _ jo jo jo j gt o jo jo jo jo jo jo jo jo jo jo jo jo jo jo X 30 Salmonella non identifi e Ampicilline Salmonella non identifi e Cephazoline Salmonella non identifi e Chloramphenicol 0 0 0 o Salmonella non identifi e Enrofloxacine 0 o 1 1 2 o 0 Trimethoprime Sulfamide 0 La rage Quoiqu officiell
263. ent l introduction d une cha ne de production pour la r alisation d un nouveau produit II va de soi qu une telle cha ne respecte les normes de qualit de s curit alimentaire et de protection de l environnement en vigueur au moment de son installation VI 4 Le plan de financement se pr sente comme suit Montant du devis pr sent hors TVA 830 865 00 Part du demandeur 65 540 062 25 Part de l Etat 35 290 802 75 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres Projet d investissement pr sent par l association agricole Luxlait concernant l acquisition de plusieurs quipements destin s am liorer l assurance qualit en production L investissement consiste en l impl mentation en production de 2 tanks de maturation de 8 000 litres de 2 tanks en maturation de 30 000 litres ainsi qu en la cr ation d une salle de stockage r frig r e d une surface de 145 m tres Les 2 tanks de maturation de 8 000 litres sont destin s combler la mise hors service pour d fectuosit s de 3 tanks de maturation dans l atelier Luxeptic L implantation de ces tanks correspond donc une am lioration de la qualit d hygi ne de produits Les 2 tanks de maturation de 30 000 litres sont pr vus pour stocker de la cr me destination de la beurrerie de Laduno Les capacit s en refroidissement en sortie de paste
264. ent pour confection de copeaux de bois Au cours de l ann e budg taire 2006 le montant total de l investissement pr vu au niveau des projets susmentionn s s l ve 1 440 734 59 En cons quence le taux d aide de la mesure p s levant 40 une d pense publique au montant total de 576 293 84 a t engag e Mesures Encouragement des activit s touristiques en milieu rural Il s agit de soutenir tout particuli rement les actions entreprises en mati re de gestion et de marketing pour les produits du tourisme rural Les actions visent la fois am liorer la qualit des produits et des services offerts la coordination entre acteurs le d veloppement de services valorisant les ressources rurales et l int gration des op rateurs dans l optique de d velopper de nouveaux cr neaux vers d autres client les En 2006 4 projets ont t engag s sous cette mesure Porteur de projet Projet Association pour le tourisme rural D veloppement des activit s touristiques Syndicat d initiative Wiltz Am nagement du mus e brassicole Wiltz Commune de Vianden Am nagement du Parc d aventures Vianden 1 phase Syndicat d initiative Vianden Am nagement du Parc d aventures Vianden 2 phase Au cours de l ann e budg taire 2006 le montant total de l investissement pr vu au niveau des projets susmentionn s s l ve 359 432 79 En cons quence le taux d aid
265. ent prise en compte dans le poste productions fourrag res La production de plantes et fleurs diminue nettement en volume de sorte que la production mara ch re et horticole qui comprend les l gumes frais et les plantes et fleurs s en ressent diminution de 16 en valeur par rapport 2005 La r duction de la production de pommes de terre constat e au cours des derni res ann es se poursuit Cette r duction concerne davantage les plants de pommes de terre que les pommes de terre de consommation Les rendements et la qualit des pommes de terre ont t nettement inf rieurs la moyenne pluriannuelle suite aux al as climatiques de l t 2006 s cheresse suivie d une longue p riode de pluies La production brute totale se situe avec 16 000 tonnes un niveau tr s bas et une partie de cette production risque de devoir tre limin e au cours de la p riode de conservation suite des probl mes de qualit tubercules vitreux Les prix des pommes de terre de consommation pratiqu s au niveau du commerce sp cialis de pommes de terre ont sensiblement augment par rapport la p riode de commercialisation pr c dente entra nant galement une hausse des prix au niveau de la vente directe Globalement la valeur de la production de pommes de terre augmente de 5 5 par rapport 2005 sous l effet conjugu de la hausse des prix et de la diminution du volume de production La production de fruits avec les pommes
266. eption _ __ 1 0 Subsides pay s fe 2 j Le montant des proc s verbaux ordonnanc s en 2006 pour les reboisements et r g n rations naturelles s est lev 14 458 La surface totale trait e a t de 1 897 60 ares La for t priv e Au niveau de la for t priv e aucun v nement exceptionnel n est signaler Les d g ts de gibier 216 d clarations de d g ts de gibier sur les champs et pr s ont t introduites par les propri taires respectifs 74 42 ha XI 20 D g ts gibier 2006 Triage n ha Hesperange 79 21 41 Bettembourg 57 39 36 Niederanven 21 9 Sandweiler 35 4 1 Kiem 16 3 62 Dudelange 6 2 33 Waldhof 2 3 6 Total 216 74 42 k La for t lieu de loisir R cr ation En for t p riurbaine la r cr ation est lune des fonctions essentielles Pour que la for t reste accueillante les installations de loisir les chemins et sentiers doivent tre constamment entretenus Ces travaux indispensables qui pr sentent une fraction de budget non n gligeable ont port en 2006 au cantonnement de Luxembourg Est sur l entretien de 143 880 m de sentiers touristiques et de 4 510 heures pour l am nagement d installations de loisirs Les travaux ont t les suivants entretien de promenades sentiers didactiques sentiers V T T et hippiques ainsi que des panneaux explicatifs sur les chemins d acc s am nagement et entretien de pla
267. ervice d Economie Rurale r side dans la mise en uvre des programmes informatiques de comptabilit conomique agricole fournis par la NLB Neue Landbuch Gesellschaft qui sont aussi mis la disposition d Agrigestion et de plusieurs exploitations agricoles ou viticoles individuelles sous la responsabilit du SER En 2006 la division comptabilit a tabli les bilans les comptes de profits et pertes les marges brutes des principales productions ainsi que les bilans d l ments nutritifs N P K de 390 exploitations agricoles ou viticoles Ces donn es sont gratuitement mises la disposition des chefs d exploitation concern s ce qui permet ces derniers d avoir un meilleur aper u de l tat conomique et financier de leur entreprise et de prendre les d cisions ad quates afin d am liorer leur revenu et leur situation sociale Ces r sultats comptables servent galement tablir des statistiques et analyser l agriculture luxembourgeoise dans son ensemble et g rer le R seau National Comptable Agricole RNCA un chantillon repr sentatif de l agriculture luxembourgeoise une partie des indicateurs conomiques de 2005 fournis par l analyse des donn es de ce r seau sont pr sent s au chapitre La situation conomique des exploitations analyse micro conomique du pr sent rapport coop rer avec les instances communautaires dans le cadre du RICA R seau d Information Comptable Agricole d
268. es pour un r seau de pistes V T T V lo tout terrain dans la r gion de la Petite Suisse luxembourgeoise Il s agit d une initiative de l entente des syndicats de la r gion et du bureau LEADER M llerdall L Administration des Eaux et For ts qui est en contact permanent avec les responsables de ces deux institutions a t sollicit e pour r diger un pr avis sur le r seau propos Cet avis sera finalis en collaboration troite avec le groupe d tudes M llerthal qui a t charg par le Ministre de l environnement de lui fournir un avis scientifique sur ces am nagements 5 Le cantonnement de Grevenmacher a L exploitation des coupes Au cantonnement de Grevenmacher le volume exploit pour l exercice 2006 s est lev 20 959 71 m dont 17 072 18 m de feuillus et 3 887 53 m de r sineux Il s est av r que la vente sur pied et la pr vente de r sineux repr sentent des modes d exploitation tr s rationnels et rentables b La vente de bois Le cantonnement de Grevenmacher a organis 9 ventes de bois par soumission qui ont rapport 777 256 37 EUR TVA incluse Les prix pour le h tre et pour le bois de trituration en g n ral ont presque doubl par rapport l ann e 2005 c Le bois de chablis Il n y a pas eu de chablis dans les for ts du cantonnement de Grevenmacher XI 14 d L tat sanitaire de la for t e Les for ts occupant les sols lourds ne se sont t
269. es ruminants de la faune sauvage Elle est due un virus de la famille des Reoviridae genre Orbivirus comprenant 24 s rotypes et est transmise par un arthropode h matophage du genre culico des Cette maladie exotique a merg pour la premi re fois au del de la latitude Nord 50 en ao t 2006 et plus pr cis ment Kerkrade aux Pays Bas Tr s vite cette maladie caus e par le s rotype 8 a progress aux Pays Bas en Belgique en Allemagne et un moindre degr en France Le Luxembourg tait d s le d but de l pid mie englob dans les zones de protection rayon de 100 km et de surveillance rayon de 150 km avec la cons quence d avoir t soumis des restrictions de mouvements des esp ces animales sensibles vers les zones et pays indemnes de cette maladie Finalement un premier cas de la fi vre catarrhale ovine fut d tect au Luxembourg le 29 novembre 2006 Hupperdange sur un bovin rentrant du pacage pass en zone transfrontali re infect e en Belgique Au cours du mois de d cembre 4 autres cas furent diagnostiqu s dans des exploitations sises Hachiville Hoffelt et Knaphoscheid Des zones d infection d un rayon de 20 km furent d finies autour des foyers qui comportaient des mesures restrictives des mouvements des esp ces animales sensibles bovins ovins caprins y h berg es Sur base de l enregistrement des temp ratures rest es au dessous de 10 durant une p riode continue de 15
270. es Services V t rinaires la gestion et le d veloppement du programme national de lutte contre la paratuberculose Le service est en charge des travaux de maintenance et d adaptation du programme informatique mis en place pour la surveillance pid miologique les fonctionnalit s du programme logistique comportent la cr ation des listes d chantillonnage la gestion des r sultats d analyse la surveillance des mouvements d animaux partir de troupeaux de statut inf rieur la d termination des statuts de troupeau l mission de certificats et le suivi de l volution du statut sanitaire IX 8 Le service assure aussi le secr tariat la tr sorerie et la conduite du livre g n alogique du L tzebuerger Schoofzuchtverband Flock Book et met tous les pedigrees pour les ovins destin s l exportation En 2006 291 ovins ont t inscrits et 250 ovins ont t pr sent s pour le g notypage Au niveau communautaire le service assume la repr sentation du Luxembourg dans le comit permanent zootechnique dans les comit s des indications g ographiques et appellations d origine dans celui des attestations de sp cificit ainsi que dans le groupe promotion des produits agricoles Le service de la production animale est en charge du traitement des dossiers relatifs l enregistrement des appellations d origine et des indications g ographiques prot g es et assure au niveau national l appui techni
271. es aires de repos am nag es aux lieux dits Haard Rangels et Widdebierg Betzdorf et Flaxweiler et Am Brill Betzdorf an XI 16 der Fels et Grosseb sch Grevenmacher aux alentours des localit s de Manternach et Mertert au Riederb sch et au Kiem Betzdorf au Haff R imech Schengen ainsi que le long des sentiers touristiques de Flaxweiler et de Wormeldange Les accotements de la piste cyclable Charlys Bunn de Bech Beidweiler ont t entretenus en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es Il en est de m me dela nouvelle piste cyclable Janglis Bunn d Ellange Wellenstein La piste questre Dalheim Heedscheier Medingen Syren a t entretenue sur une longueur de 8 000 m 6 Le cantonnement de Luxembourg Est a L exploitation des coupes Le volume global exploit au cantonnement Luxembourg Est lors de l exercice 2006 se chiffre 16 503 m dont 12 459 m de feuillus et 4 044 m de r sineux ce qui correspond un volume exploit de 3 4 m ha an Le volume total des r alisations a augment de 7 8 1 191 m par rapport l exercice 2005 Exercice 2006 en m par rapport 2005 Exercice 2005 en m 10 45 28 19 19 02 49 14 0 52 62 07 364 70 82 16 2 92 45 11 7 78 15311 66 b Les ventes de bois Au total le cantonnement de Luxembourg Est a organis 5 ventes publiques r gionales conjointement avec le cantonnement de Grevenmacher et particip
272. es exploitations agricoles Comptes conomiques de l agriculture CEA champ couvert agriculture viticulture l exception des exploitations non professionnelles avec une MBS lt 9600 agriculture viticulture horticulture activit s secondaires non agricoles comprises comprises transformation de produits agricoles chevaux en pension agrotourisme subventions toutes les subventions et aides certaines subventions ne sont pas publiques sont incluses prises en compte comme p ex les aides l investissement plus values et moins values de biens incluses non incluses immobiliers production immobilis e incluse incluse d finition UTA travailleurs de plus de 65 ans sont pris en compte au maximum pour 0 3 UTA pas de limite pour le calcul des UTA On voit que plusieurs caract ristiques des CEA impliquent une inadaptation pour le calcul d un revenu moyen par UTA puisque plusieurs l ments du revenu particuli rement importants au Luxembourg aides l investissement plus values ne sont pas inclus Par ailleurs la d finition des UTA utilis e dans le recensement agricole conduit une surestimation tr s importante de la force de travail dans la cat gorie d ge des plus de 65 ans et donc une sous estimation du revenu moyen par UTA E Les comptes conomiques de l agriculture CEA le revenu agricole en 2006 r sultats provisoires et au cou
273. es pendant l ann e de r f rence 1983 ou le cas ch ant l objectif de production du plan de d veloppement en voie de r alisation au moment de l instauration du r gime des quotas laitiers Quantit de r f rence suppl mentaire allou e 1 227 472 kg 3 La situation structurelle du secteur laitier 632 472 kg La situation structurelle du secteur laitier au Grand Duch de Luxembourg ressort du tableau 16 qui montre la r partition des quotas laitiers entre les diff rentes cat gories d exploitations laiti res et le nombre d exploitations dans chaque cat gorie IV 12 Tableau Structure des exploitations laiti res luxembourgeoises 16 R partition par classe de grandeur r partition tablie sur base du quota laitier d tenu Situation au 22 ao t 2006 Classe de 0 60 001 100 001 150 001 200 001 250 001 300 001 400 001 gt 500 000 TOTAL randeur kg 60 000 100 000 150 000 200 000 250 000 300 000 400 000 500 000 uota a 598 963 2 711 15 12 087 53 26 434 91 39 473 10 35 487 27 48 823 39 38 533 82 64 987 55 269 137 712 kg 1 5 6 4 5 0 1 7 0 22 1 01 4 49 9 82 14 67 13 19 18 14 14 32 24 15 100 00 Nombre de 14 33 97 149 176 131 143 88 92 923 producteur S 1 52 3 58 10 51 16 14 19 07 14 19 15 49 9 53 9 97 100 00 Moyenne par
274. es r gimes d aides introduction du r gime de paiement unique paiement li aux r gles de la conditionnalit auraient pu hypoth quer son fonctionnement En effet afin de continuer garantir un service rapide et efficace pour les agriculteurs un certain nombre de r flexions au sujet de la r organisation et plus particuli rement au sujet de la r partition des champs de comp tence des diff rentes divisions ont d j t men es au cours de l ann e 2005 Ces r flexions ont abouti une red finition des divisions et des t ches incombant ces divisions La r partition des t ches en 4 grandes cat gories peut tre r sum e comme suit 1 t ches incombant la direction coordination g n rale questions juridiques questions relatives au personnel et au budget quipements techniques t ches incombant la nouvelle division des paiements directs gestion des aides directes paiement unique indemnit compensatoire prime l entretien du paysage et de l espace naturel autres r gimes d aide relations avec les autres administrations dans le cadre du paiement unique gestion du fichier des exploitations proc dure administrative non contentieuse t ches incombant la division de la gestion de la comptabilit et de l entraide agricoles tablissement des comptes d un certain nombre d exploitations agricoles et viticoles conseil conomique de gestion t ches incombant la nou
275. es r glements sp cifiques le r glement grand ducal du 17 octobre 2006 modifiant le r glement grand ducal du 13 ao t 1992 relatif aux conditions de police sanitaire r gissant les mouvements d quid s entre le Grand Duch de Luxembourg et les autres tats membres et les importations d quid s en provenance des pays tiers J Le Laboratoire de m decine v t rinaire En 2006 les activit s du Laboratoire de M decine V t rinaire LMVE se sont concentr es d une part sur les analyses de routine en mati re de la Sant Animale et de la Sant Publique et d autre part sur son accr ditation Les techniques analytiques accr dit es en 2005 sont celles de la peste porcine classique la List riose la recherche des Salmonelles alors qu en 2006 ce champ d analyses a t largi par le P C R de la para tuberculose et les trichines En mati re de sant animale le personnel tait en 2006 surtout en charge du diagnostic de l Influenza Aviaire de la para tuberculose et de la fi vre catarrhale ovine alors que dans le contexte de la sant publique l analyse des salmonelles a jou un r le pr dominant Les principales analyses sont pr sent es dans les tableaux ci apr s La para tuberculose Pathog ne Test chantillon Esp ce N gatifs Douteux Positifs Total examin Para tuberculose ELISA Sang bovins 41564 94 1120 42778 PCR MF bovins 2321 225 825 3409 valuation
276. es r unions du groupe de travail sur l agriculture biologique du Conseil d abord sous pr sidence autrichienne et ensuite sous pr sidence finlandaise Cette derni re a d ailleurs encore acc l r le rythme de travail en vue de parvenir un accord sur le texte lors du dernier conseil des ministres de l agriculture en d cembre 2006 Lors de ce Conseil un texte pr sentant une approche g n rale c d les grandes lignes et choix politiques en la mati re a t adopt L avis du Parlement Europ en concernant le texte est attendu pour la fin mars 2007 et d ici l certains aspects plus techniques du texte seront encore adapt s sous pr sidence allemande En ce qui concerne le r glement actuellement en vigueur les r unions du groupe de travail au niveau de la Commission europ enne ont t tr s rares et tr s courtes vu la surcharge de travail des services de la Commission par la discussion du nouveau texte au Conseil Les dispositions concernant les importations de produits biologiques en provenance de pays tiers ont cependant t modifi es et un nouveau texte transitoire a t adopt lors du dernier conseil des ministres en d cembre afin de mieux adapter les modalit s d importation aux exigences de l OMC IX 15 4 Le service de l horticulture a L engagement au niveau international Le service de l horticulture a repr sent le Luxembourg dans diff rents comit s de gestion et groupes d exper
277. et la classification des germes totaux des levures et des moisissures est une mission du service Jusqu en septembre 2006 une autre attribution du service tait la participation au contr le officiel des aliments pour animaux Cette t che a t transf r e dans le cadre de la restructuration de ASTA au service de la production animale Pour des raisons de continuit le service de microbiologie et de biochimie a t charg jusque fin 2006 de la gestion et de l valuation du contr le de la qualit microbiologique de l absence de salmonelles et de la pr sence fortuite d antibiotiques dans les aliments pour animaux ceci en collaboration respectivement avec le service de chimie et le service de la production animale Le service de microbiologie et de biochimie s est surtout occup de l tablissement et de la gestion du plan de contr le annuel ainsi que de l valuation des r sultats d analyse La comparaison pluriannuelle pour les param tres en question est reprise dans les tableaux ci dessous Tableau 5 Monitoring de la qualit microbiologique dans les aliments pour animaux 2006 2005 2004 2003 83 24 49 48 qualit 1 75 9 83 3 88 81 qualit 2 9 6 12 5 8 13 qualit 3 1 2 42 2 6 qualit 4 13 3 0 2 0 qualit 1 qualit microbiologique normale qualit 2 teneur l g rement lev e en levures ou moisissures ou germes totaux qualit 3 teneur tr s lev
278. etum occupe quant elle uniquement 30 de la superficie Le restant de la future RFI est recouvert de feuillus en m lange de r sineux ainsi que de broussailles et arbustes En ce qui concerne les peuplements on remarque un taux lev d anciennes ch naies En effet pratiquement la moiti de la superficie se compose de ch naies qui comportent des ch nes de plus de 140 ans En date du 20 septembre 2005 la zone foresti re Enneschte B sch a t d clar e zone prot g e par r glement grand ducal La superficie de la r serve naturelle est de 87 ha et prot g e est constitu e de deux parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale ainsi qu une partie dite zone de qui tude Avancement du projet L inauguration de cette r serve naturelle ainsi que de son sentier didactique ont eu lieu le 3 mai 2006 Une construction d accueil a t am nag e l entr e principale de la r serve naturelle Cette construction en ma onnerie s che en forme de trois quarts de cercle contient un panneau d information qui fournit un premier aper u sur les caract ristiques principales de la nouvelle r serve naturelle Une deuxi me partie informe le visiteur sur les autres projets de r serves foresti res int grales au Luxembourg Cet am nagement a pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolise ainsi l entr e principale de la r serve Le sentier didactique comporte en tout six panneaux d infor
279. fa on importante en fonction de la r gion des conditions culturales et de la technicit de l exploitation agricole La qualit d un fourrage est avant tout fonction de sa teneur en prot ines de sa teneur en sucre pour les herbes de sa teneur en amidon pour le ma s de sa valeur nerg tique VEM et de sa composition en min raux Les tableaux 1 et 2 ci apr s donnent un aper u des valeurs qualitatives moyennes des principaux fourrages de la campagne d analyse de 2006 par rapport 2005 et par rapport la moyenne pluriannuelle tablie sur les dix derni res ann es Due une p riode de s cheresse et de chaleur qui s tait install e de la deuxi me semaine de juin fin juillet 2006 la mati re s che des ensilages d herbe est plus lev e Ceci explique aussi de fa on g n rale une teneur en prot ines plus basse Pour le ma s les conditions climatiques taient d favorables pour sa croissance tout au long de la p riode de v g tation jusqu la mi ao t avec comme cons quence des rendements sensiblement en baisse la r colte Mais contrairement ce qu on aurait pu craindre la qualit r colt e est tr s bonne En effet la pluie de la fin ao t a eu un effet favorable sur la formation des pis avec comme r sultat un rapport pis plante enti re plus lev que les ann es pr c dentes Quant aux valeurs moyennes des l ments min raux dans les fourrages reprises au tableau 2 elles diff
280. fication des dispositions d admissibilit pour les oliveraies et l introduction de r gles formelles de paiement direct pour le secteur du sucre Il tient compte de l adh sion de la Bulgarie et de la Roumanie en 2007 13 Le Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural Le Conseil a adopt dans sa r union du 20 d cembre 2006 un r glement ins rant dans le r glement CE no 1698 2005 deux l ments de l accord sur les perspectives financi res 2007 2013 intervenu au sein du Conseil europ en en d cembre 2005 savoir le plafond des cr dits annuels affect s aux d penses relevant des fonds structurels de la Communaut qui s appliquent aux Etats membres et la d rogation l obligation de cofinancement en ce qui concerne les 320 millions d euros allou s au Portugal au titre du d veloppement rural 11 16 IV L APPLICATION DE DIVERSES MESURES DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE AU GRAND DUCHE DE LUXEMBOURG A Le r gime de paiement unique 1 Les caract ristiques g n rales de son application au Grand Duch de Luxembourg Un des l ments majeurs introduits par la r forme de la PAC de 2003 est le r gime de paiement unique introduit par le r glement CE n 1782 2003 Contrairement aux anciens r gimes de prime du 1 pilier de la PAC le paiement unique n est plus li la production en d autres termes il est d coupl L un des grands objectifs de ce r gime est de permettre ainsi aux agriculteurs
281. fil thermique joue un r le primordial et a une incidence sensible sur la composition analytique et les qualit s organoleptiques des vins Les c pages St Laurent et Gamay autoris s au Luxembourg pour la production de vins de qualit sont en production pour la premi re ann e dans les vignobles de lIVV et ont fait l objet d une vinification dans les caves de l IVV De plus diff rents assemblages des c pages Pinot Noir et Pinot Noir Pr coce avec Dakapo c page ayant une capacit colorante importante sont r alis s jusqu une teneur maximale de 10 pour tre valu s par la suite A part les essais de vinification des raisins en provenance des vignobles de l Etat les viticulteurs peuvent demander que leurs propres vins fassent l objet d essais de XII 11 collage en vue de les arrondir de les rafra chir ou d en am liorer les qualit s gustatives Ces conseils leur sont propos s durant toute l ann e et les vins sont d gust s et appr ci s par la suite en compagnie du producteur lui m me N La viticulture dans l Union Europ enne 1 Les superficies viticoles Au 31 juillet 2005 l inventaire des superficies viticoles tait de 3 350 000 ha de vignes 63 de la surface du vignoble des 25 Etats membres de l U E sont destin s produire des v q p r d L Espagne repr sente 33 du vignoble de l U E suivie par la France 27 l Italie 22 le Portugal 7 l Allemagne 3 la Hongrie 2 5 l Autriche 1 5
282. fres provisoires Tableau 16 Utilisation de vins indig nes par c page pendant la campagne 2005 2006 hl ours Seas Elbling 19 445 18 030 37 475 19 903 17 572 Rivaner 54 395 44 733 99 128 49 611 49 517 Auxerrois 17 752 15 811 33 563 15 033 18 530 Pinot blanc 15 663 16 399 32 062 18 424 13 638 Pinot gris 20 885 16 740 37 625 22 430 15 195 Pinot noir 7 172 7 547 14 719 7 908 6 811 Riesling 17 278 13 872 31 150 15 673 15 477 Gew rztraminer 912 871 1 783 1 108 675 Stocks au 31 07 2005 plus r colte 2005 Vente ou utilisation comme vin de base Tableau 17 Utilisation de vins indig nes par c page par campagne hl 2001 2002 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 Elbling Rivaner Auxerrois Pinot blanc Pinot gris Pinot noir Riesling Gew rztraminer
283. g et a pu tre tenu sous contr le Sauf quelques foyers de bostryche sans gravit l tat sanitaire des for ts du cantonnement de Diekirch peut tre qualifi de satisfaisant normal pour l exercice 2006 d Les r g n rations les plantations les travaux de culture les travaux de nettoiement Comme la r g n ration naturelle et la libre volution sont toujours de mise les travaux de plantation se sont limit s au cantonnement de Diekirch quelque 6 675 plants dont seulement 250 plants de r sineux Les travaux culturaux se sont limit s comme dans le pass au d gagement fauchage extensif de 110 ha de parterres plant s dans la d cennie pr c dente Les travaux de nettoiement se sont chiffr s en 2006 74 ha XI 12 e Les p pini res La surface utile de la p pini re du cantonnement de Diekirch est de 70 ares Dans cette p pini re sont cultiv s uniquement des plants feuillus Fin 2006 l inventaire du nombre de plants rest s en p pini re a donn 71 200 plants 76 680 plants ont t plant s dans les for ts soumises du cantonnement de Diekirch La voirie foresti re L exercice 2006 a vu 5 projets de voirie foresti re r alis s en for t communale En for t domaniale aucun projet n a t ex cut Les travaux ont consist dans l empierrement de 1 100 m de chemins de terre existants et dans le terrassement de 1 170 m de chemins nouveaux En dehors de la construction de nouveaux chem
284. gement de qualit Le nombre total de propri taires avoir re u une attestation de participation la certification r gionale s l ve donc plus de 60 propri taires repr sentant plus de 24 de la surface bois e Les travaux de l Administration des Eaux et For ts concernent surtout la promotion du syst me aupr s des propri taires et des gestionnaires forestiers ainsi qu une s rie de modifications et d adaptations du Syst me de Management Environnemental SME L Administration des Eaux et For ts a organis des audits internes en deux phases savoir un audit interne du SME et des audits internes de terrain L audlit interne du SME a pour but de v rifier que le SME r pond aux exigences de la norme et que son impl mentation correspond sa description Il est r alis ensemble avec le Groupement des Sylviculteurs Les audits internes de terrain ont pour but de d terminer l tat de la gestion foresti re en relation avec l engagement de qualit pour fixer de commun accord avec le propri taire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t Ils se font par chantillonnage dans les propri t s publiques adh rentes L Administration des Eaux et For ts a confi la mission des audits internes du terrain au bureau d tudes EFOR Les audits externes ont d but pour la premi re fois en 2006 Un certificateur externe charg par l Administration des Eaux et For ts et le Groupement des
285. gnation et la pr sentation des boissons spiritueuses Au vu des succ s r p t s lors des concours internationaux les eaux de vie de la marque nationale luxembourgeoise peuvent sans aucun doute se mesurer aux meilleurs produits trangers Aussi ces eaux de vie prim es permettront ils ainsi d affermir et de reconqu rir la confiance du consommateur luxembourgeois En conclusion on peut pr tendre que la marque nationale a contribu la consolidation de nos distilleries agricoles ainsi qu au rehaussement de la qualit du produit sur le march luxembourgeois et tranger A l avenir il s agira de fournir des efforts d adaptation de la r glementation pour faire face une concurrence toujours croissante Du point de vue promotionnel il s agira d assurer voire d augmenter la part de march du label de qualit qu est la Marque Nationale des eaux de vie luxembourgeoises IX 28 X LES ACTIVITES DE L ADMINISTRATION DES SERVICES VETERINAIRES A Introduction Pour l Administration des Services V t rinaires 2006 tait une ann e marqu e surtout par la lutte contre certaines maladies infectieuses et contagieuses D s le mois de f vrier l Administration des Services V t rinaires a t confront e avec l apparition de foyers de la grippe aviaire dans des tats membres de l U E l obligeant la mise en place de mesures pr ventives strictes l gard des volailles domestiques et des autres volatiles Une vigi
286. gnette de contr le a t mise pour 12 machines neuves pour lesquelles un contr le n est requis qu apr s 3 ann es d utilisation B Pulv risateurs viticoles nombre de pulv risateurs convoqu s 233 taux de pulv risateurs sans observations majeures 58 1 taux de pulv risateurs avec manom tre d fectueux 30 2 IX 4 taux de pulv risateurs avec buses d fectueuses 214 nombre de pulv risateurs agr s apr s r paration 216 nombre de pulv risateurs rejet s 1 nombre de pulv risateurs d clar s hors service 12 nombre de pulv risateurs non pr sent s 3 Par ailleurs une vignette de contr le a t mise pour 4 machines neuves pour lesquelles un contr le n est requis qu apr s 3 ann es d utilisation b Le programme agri environnemental dans le cadre du r glement CEE 2078 92 et du r glement CEE 1259 99 A c t de la prime l entretien de l espace naturel et du paysage un deuxi me volet du programme agri environnemental national a t mis en place par le r glement grand ducal du 27 10 1997 instituant un r gime d aides favorisant les m thodes de production agricole compatibles avec les exigences de la protection de l environnement et de l entretien de l espace naturel Ce r gime d aides qui a connu un assez grand int r t aupr s des agriculteurs a t remplac par un nouveau r gime par le biais du r glement grand ducal du 9 novembre 2001 instituant un r gime d aides favorisant les m t
287. hiens 1 2 Chats 8 5 2 total 44 346 31 A remarquer que la nouvelle forme de rage des chauves souris n a pas encore t d tect e dans nos r gions X 7 La vigilance accrue l gard de la situation rabique en Rh nanie Palatinat sera maintenue de m me que le monitoring continu des renards abattus La tuberculose En 2006 aucun cas de tuberculose n a t d tect Le Grand Duch de Luxembourg a t d clar pays officiellement indemne de tuberculose par la D cision 97 76 CE de la Commission du 17 d cembre 1996 Ce statut a t confirm par la D cision 1999 467 CE du 15 juillet 1999 Ce statut sanitaire a pu tre maintenu en 2006 en respectant les dispositions de l annexe du r glement grand ducal du 20 ao t 1999 relatif des probl mes de police sanitaire en mati re d changes intra communautaires d animaux des esp ces bovine et porcine savoir l pourcentage des troupeaux bovins infect s par la tuberculose n a pas t sup rieur 0 1 par an pendant 6 ann es cons cutives l existe un syst me d identification conforme au r glement CE no 1760 2000 tous les bovins abattus sont soumis une inspection post mortem officielle et aucun cas de tuberculose n a t d tect La brucellose En 2006 aucun cas de brucellose n a t d tect C est la 11 ann e cons cutive sans foyer de brucellose bovine Tous nos cheptels ont le statut officiell
288. hodes de production agricole compatibles avec les exigences de la protection de l environnement et de l entretien de l espace naturel Il est bas sur le r glement CE 1259 1999 du Conseil du 17 mai 1999 concernant le soutien au d veloppement rural par le Fonds europ en d orientation et de garantie agricole FEOGA et modifiant et abrogeant certains r glements qui d termine le cadre communautaire pour le soutien de mesures agro environnementales Ce r gime d aides comprend 14 mesures diff rentes en faveur de pratiques agricoles extensives ou respectueuses de l environnement savoir Agriculture biologique R duction maintien charge b tail Fumure azot e r duite terres arables R duction de l utilisation de produits phytopharmaceutiques Mesures contre l rosion Epandage du lisier avec r duction des missions Gestion extensive des prairies Gestion extensive des bordure des champs Entretien et protection des bords des cours d eau et des tangs 10 Entretien et plantation de haies 11 Entretien des vergers traditionnels 12 Lutte biologique contre le ver de la grappe 13 Retrait de terres agricoles gestion terres abandonn es 14 Elevage de races locales menac es les chevaux de race ardennaise ON 00 0 O1 SIN ES Fin 2001 le nouveau r gime d aides a t pr sent aux agriculteurs au cours de plusieurs s ances d information dans diff rentes r gions du pays Il a connu un tr s grand succ s aupr s des
289. i re a t am lior e par empierrement sur une longueur de 5410 m en for t communale et des tablissements publics et sur 1850 m en for t domaniale ce qui fait un total de 7260 m g Les d g ts de gibier En for t priv e deux cas de d g ts de gibier ont t signalis s et indemnis s Les d g ts caus s par le cerf et le chevreuil en for t soumise sont latents et permanents dans certains secteur ce qui va l encontre de la qualit des bois et parfois au d triment de la biodiversit Dans les champs et pr s 322 dossiers ont t trait s et visit s par les pr pos s forestiers totalisant une surface indemnisable de 106 39 ha XI 24 9 Le cantonnement de Wiltz a L exploitation des coupes Conform ment l application d une sylviculture proche la nature les travaux d claircies ont domin Des coupes rases ont uniquement t r alis es dans le cadre de la lutte contre les attaques des scolytes et lors du d boisement de fonds de vall es enr sin s ceci dans un int r t cologique g n ral Le volume global exploit lors de l exercice 2005 2006 se chiffre 28 300 m dont 3 000 m de feuillus ce qui correspond un volume exploit de 4 7 m ha an et repr sente une hausse de 54 par rapport l ann e pr c dente Les raisons en sont multiples savoir une m canisation de plus en plus intense gt 4 000 m en 2006 une hausse cons quente du prix des bois et des coupes de cal
290. ides ou demandes d aides compl mentaires pr sent es par des collectivit s et concernant des investissements ligibles dans le cadre des dispositions du chapitre 7 Am lioration de la transformation et de la commercialisation des produits agricoles de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Une demande d aide a t refus e en raison du fait que le plafond minimum d investissement pr vu par la loi et les r glements d ex cution y relatifs n tait pas atteint Deux demandes d aide n ont pas pu tre examin es tant donn que d un c t les dossiers de demande d aide ne renseignaient pas les l ments n cessaires pour une analyse fond e et que de l autre part la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural est venue terme avant que les projets d investissements n aient pu tre finalis s par les demandeurs d aide C La description succincte des projets L article 61 de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural stipule que les projets d investissement d passant le montant de 250 000 00 sont pr senter dans le cadre d un rapport sur la situation de l agriculture et de la viticulture Cette pr sentation comprend une description succincte des projets l indication de leurs co ts et de leur mode de financement Au sujet du financement il y a lieu de relever que tous les projets d investissemen
291. ie M lique et sont constitu s des ch naies h traies situ es au lieu dit Heed La variante humide de la h traie m lique et gouet est situ e principalement dans les bas de versant au Lieu dit Ho n En terme d essences pr sentes le h tre est l essence la mieux repr sent e dans l tage principal suivi de pr s par le ch ne Les autres feuillus ne couvrent que 10 de la superficie Les r sineux couvrent une superficie marginale au Tossebierg et au lieu dit Langer Helfent En ce qui concerne les typologies foresti res d crites dans l inventaire on observe que les h traies et les ch naies pures occupent une faible superficie La typologie dominante est la h traie ch naie qui occupe plus de la moiti de la surface du domaine Les ch naies h traies et les ch naies charme couvrent ensemble un quart de la surface M thode de travail Les travaux de terrain comprennent le relev des param tres stationnels la tari re p dologique pour l attribution des codes hydriques et trophiques aux diff rents points de sondage la description des humus et la v rification des unit s phytosociologiques du domaine forestier La densit de sondage a t fix e 1 sondage 1 5 hectares Cette valeur a t adapt e l homog n it du terrain et la forme des surfaces sond es Sur tout le domaine de la for t communale de Bertrange 246 sondages la tari re p dologique ont t r alis s Le
292. ienne cole primaire de Niederdonven en lieu de rencontre Commune de Heiderscheid R alisation d un centre commercial et artisanal r gional Heiderscheid engagement suppl mentaire Commune de Hosingen Commune de Junglinster Construction d une salle polyvalente Wahlhausen engagement suppl mentaire Transformation de l ancienne cole Eschweiler en vue de cr ation de locaux de rencontre et de r union Commune de Junglinster Restauration de l ancienne salle des f tes Bourglinster Commune de Junglinster R novation de la salle des f tes l cole primaire Bourglinster Commune de Manternach Commune de Mompach Restauration du Centre Culturel Manternach avec construction d une annexe Transformation d une grange sise Herborn en centre polyvalent dit Hierber Scheier Commune de Rosport Commune de Steinsel R alisation d une salle de rencontre au Centre Culturel Steinheim engagement suppl mentaire Construction d un chalet pour scouts Steinsel Commune de Steinsel Transformation et r am nagement de la Cr che Kannerhaus St sel Commune de Wellenstein R affection de l immeuble de l ancienne maison communale Bech Kleinmacher en locaux de l a s b I Centre d initiative et de gestion r gional de Remich Commune de Wincrange Am nagement de l ancienne salle des f tes Doennange A
293. ier Apr s une baisse en 2004 82 expertises sur 28 69 ha et une augmentation en 2005 104 dossiers sur 40 89 ha le nombre de dossiers trait s en 2006 a de nouveau augment 143 dossiers sur 49 ha Une r gion extr mement touch e par des d g ts caus s surtout par le sanglier reste comme les ann es pr c dentes le triage de Kopstal suivie par les triages de Mamer et de Steinsel I La for t lieu de loisir La vocation des for ts entourant les centres urbains la capitale et les villes du bassin minier volue de plus en plus vers la r cr ation et la d tente de la population r gionale A cet effet les chemins et sentiers sont continuellement entretenus En vue de parer aux probl mes ventuels entre les promeneurs et les cavaliers un balisage part de chemins pour les chevaux peut s imposer localement 8 Le cantonnement de Mersch a L exploitation des coupes et la vente de bois Le volume exploit pour l exercice 2006 s l ve 31 161 35 m 15 547 72 m feuillus et 15 613 63 m r sineux XI 23 Vu la demande de plus en plus importante en bois de chauffage 1 633 44 m et 3 074 st res de bois de chauffage ont t vendus des particuliers habitant prioritairement dans les diverses r gions du cantonnement Ce volume important est compos de bois en st res de bois longs et de menus bois La recette totale du bois s l ve 1 215 436 03 EUR TVA incluse La moyenne par m est de 39 00 EUR
294. illes au niveau de la cuverie acquisition et installation des quipements suivants 2 cuves de fermentation thermor gul es 1 syst me de r gulation de la temp rature cuverie 1 filtre cartouche nouveau local pour liqueurs de tirage et dosage conduites CO2 la cuverie tuyaux vin au niveau du soutirage et du d gorgement acquisition et installation des quipements suivants automatisation des remueurs 1 rinceuse bouteilles 1 poseuse de surcapsules VI 6 pour bout 20 cl vin mousseux 1 tiqueteuse i unit de contr le et d identification de produits diverses pi ces de format pour l encartonneuse au niveau de la manutention et du stockage acquisition et installation des quipements suivants 1 transpalette lectrique 1 l vateur lectrique des palettes TSR de remuage des vins mousseux stock s des tables et 1 lavabo en inox au niveau de la nouvelle ligne d embouteillage des vins luxembourgeois acquisition et installation des quipements suivants 1 rinceuse soutireuse boucheuse 1 table d accumulation bouteilles 1 filtre cartouche la construction d un nouveau local pour abriter ces quipements Pour certains quipements visant la modernisation des installations le taux d aide applicable s l ve 35 Un taux d aide de 40 a t retenue pour les quipements et installations intervenants dans la production des produits commercialis s sous le b n fice d un label ag
295. illis de ch ne fortement claircis au pr alable m l zes plant s large cartement v g tation pionni re sur des vieilles coupes rases interrompue par des laies Comme les jeunes plantes sont mieux prot g es contre le gel la s cheresse et l ensoleillement elles se d veloppent plus rapidement ce qui r duit les frais de d gagements Il faut toutefois relever d importants d g ts provoqu s par les rongeurs souris De m me durant la p riode de grande chaleur en juin bon nombre de plants ont d p ri m me sous couvert Les p pini res La seule p pini re du cantonnement est situ e au Burgfried et s tend sur une superficie de 60 ares L inventaire de 2006 arr te 32 500 plants feuillus et 600 plants r sineux Les semences utilis es sont principalement d origine de la for t XI 26 soumise Outre la production de plants d essences primaires tels le h tre le ch ne ou le fr ne le service s adonne la production d essences arbustives dont les semences sont d origine autochtone en vue de cr er de nouvelles haies En 2006 la p pini re a seulement produit quelque 1 130 plants dont toutefois 400 plants haute tige En outre la p pini re coop re troitement avec les responsables de la Maison de la Nature dans le cadre de la production d anciennes vari t s d arbres fruitiers Un premier essai de 400 plants a t lanc au printemps 2004 II s agit de greffes de diverses vari
296. in Une circulaire aux administrations communales labor e conjointement par les 2 d partements respectifs la Direction de l Am nagement Communal et du D veloppement Urbain aupr s du Minist re de l Int rieur et le Service du D veloppement rural du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural fixe les relations PDC PAG ainsi que les modalit s d application et de coop ration des 2 d partements avec les communes concern es La circulaire y relative N 2532 du 18 janvier 2006 est exp di e aux communes concern es par l interm diaire des commissariats de districts respectifs Ainsi la grande majorit des communes des milieux ruraux 105 sur 116 communes au total sont soutenues dans l laboration de leur tude pr paratoire PAG d apr s la d marche int gr e de planification PDC laboration ou actualisation des concepts de d veloppement communal Comme pour la premi re g n ration de processus de planification le taux d aide publique y relatif peut arriver 50 du co t total des prestations ligibles dans le contexte de la planification PDC VII 3 D autre part une mise jour des concepts PDC jouent galement dans l appr ciation et dans la mise en uvre cofinanc e des mesures et actions de d veloppement rural d finies au titre III de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Tout au long de la planification PDC un accompagnement
297. in e l emballage en sachet sous atmosph re protectrice gaz neutre pour l emballage de salaisons s ches tels salamis et saucisses s ches un chariot l vateur l emballage un slicer machine pour trancher des salaisons s ches telles que jambons secs et salamis ou des salaisons cuites telles que jambons cuits un four et un format DIXIE machine de conditionnement permettant le thermoformage de barquettes en mati re plastique destin es l emballage de produits conditionn s en portions produits issus du tranchage autres produits de salaison lardons cubes de jambon ou d paule de porc Mettwurscht Schinkenwurst etc la pr paration des commandes enl vement de faux plafonds remise en tat des sols mise en place de syst mes de protection Rammschutz installation de conduites d eau lectricit ventilation sous vide etc les salaisons chaudes une machine de production de paillettes de glace Scheibeneismaschine machine destin e incorporer de la glace dans certains produits de salaison Mettwurscht Schinkenwurst etc afin de garantir une temp rature basse pendant le processus de fabrication et une machine de remplissage pour saucissons Wiener les ateliers de d coupe fine enl vement de faux plafonds remise en tat des sols mise en place de syst mes de protections Rammschutz installation de conduites d eau lectricit ventilation sous vide etc S y ajoutent des tra
298. in de rendre les travaux d am nagement coh rents et dans la perspective que des bureaux d tudes seront appel s pr ter une assistance technique l administration les instructions suivantes ont t r dig es Instructions du Service de l Am nagement des Bois concernant les am nagements forestiers du 15 d cembre 2006 Instructions du Service de l Am nagement des Bois concernant la cartographie r alis e dans le cadre d un am nagement forestier du 15 d cembre 2006 b L am nagement de la for t communale de Berdorf 644 ha Les travaux en relation avec l tablissement d un plan d am nagement forestier pour la propri t foresti re de la commune de Berdorf ont t entam s en 2006 mais aboutiront seulement courant 2007 c Le Plan Simple de Gestion de la for t communale de Reckange 58 ha Le service de l am nagement des bois a confi l Institut pour le D veloppement Forestier France un projet pilote consistant proposer sur le mod le actuellement utilis en France pour l laboration de plans simples de XI 30 gestion en for t priv e un plan d am nagement abr g pour la propri t foresti re de la commune de Reckange 58 ha Ce plan d am nagement abr g contient un programme d interventions ainsi que des indicateurs de suivi de ce programme Des r gles g n rales de gestion ont t tablies pour les diff rents types de peuplements qui ont pu tre d finis Pour chacune
299. ins h patiques s aimentaton me caps 2 o h patiques s dimentation M F caprins 2 hepatus s dmentaton me vae d h patiques s dimentation M F volaille h patiques s amentaion mr ceme 1 o h patiques s dimentation M F chevreuil 1 0 E a E h patiques s dimentation lapins es simenision me oes o o o o h patiques s dimentation M F porcins sses pooo E tos ne o fs m mF ons 4 0 C E O E E E E Coccidies MF volile gibier Coccidies M F chevreuil Coccidies mr SRE CE K Le contr le des denr es alimentaires base de viande 1 La recherche de Salmonella chez le cheptel ou l exploitation par culture S rovares des cas positifs n gatifs positifs Echantillons analys s 42 9 typhimurium 7 typhimurium monophasique 21 Derby 1 Eboko 1 Livingstone 2 Tumodi 1 451 409 Le laboratoire de contr le des denr es alimentaires base de viande du LMVE a t sollicit par Inspections sanitaire v t rinaire Inspection sanitaire 33 56 Inspection V t rinaire 326 952 275 51 Priv s 396 1062 332 64 31 45 Demandes Echantillons Routine anomalie 2 Le contr le de l hygi ne des carcasses 85 couvillons et 101 ganglions lymphatiques ont t analys s Limite de positifs en culture n gatif non analys d tection Salmonella 4 couvillons 1 ganglion
300. ins forestiers des travaux d entretien et de r fection courants ont t entrepris sur le r seau de voirie foresti re existant g Les travaux forestiers subventionn s 85 demandes de subvention pour travaux forestiers ont t trait es pour la for t priv e et 25 demandes pour la for t soumise en 2006 au cantonnement de Diekirch Les demandes de subventions se sont r parties comme suit en for t priv e 85 demandes pour des travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc 3 demandes pour des travaux de voirie foresti re en for t communale soumise 25 demandes pour des travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc 5 demandes pour des travaux de voirie foresti re h La for t priv e Comme par le pass des contacts r guliers avec des propri taires forestiers priv s ont t entretenus soit sur demande individuelle soit indirectement par l entremise du conseiller du Groupement des Sylviculteurs a s b l Des visites des lieux ont eu lieu chaque fois que cela s imposait notamment pour les demandes concernant la construction de chemins forestiers et en particulier pour la d finition des trac s sur le terrain pour les claircies le choix des essences et l appr ciation de travaux forestiers ex cut s par des entreprises foresti res i Les d g ts de gibier Compar l ann e 2005 o le nombr
301. insi que sur des probl mes viticoles Par l interm diaire d un syst me de newsletter les vignerons re oivent r guli rement une synth se des actualit s en ligne Si le sujet trait les int resse un raccourci leur permet d acc der sur la page Internet du site de l IVV o des renseignements aff rents plus d taill s sont disponibles Consultation du site Internet de l Institut viti vinicole en 2006 Mois Nombre de visites Janvier 5 289 F vrier 4 991 Mars 5 814 Avril 3 437 Mai 3 803 Juin 3 773 Juillet 4 333 Ao t 3 944 Septembre 3 951 Octobre 3 615 Novembre 3 387 D cembre 5 235 TOTAL 2006 51 572 XII 6 G Le site Internet pour l am lioration de la transparence des traitements phytosanitaires par h licopt re Dans ce site Internet chaque coop rative de traitement par h licopt re a un acc s personnalis pour r diger et mettre jour son propre contenu weblog La mise en ligne du contenu r alis e par l interm diaire d un diteur facile d utilisation concerne notamment les informations portant sur les produits phytosanitaires utilis s la date des vols des h licopt res ainsi que le d veloppement des maladies et ravageurs de la vigne La plupart des vignerons concern s ont particip ce projet Toutes les informations sont disponibles sur Internet assurant ainsi une transparence totale de l pandage des produits phytopharmaceutiques par voi
302. ion a ax sa communication en 2006 sur des voyages culinaires aux saveurs internationales aux c t s de la cuisine traditionnelle luxembourgeoise Bassin m diterran en hauteurs alpines sagesse asiatique fra cheurs nordiques et raffinement fran ais ont inspir de subtils accords mets vins Une nouvelle campagne publicitaire presse crite et radio illustrant ces mariages mets vins d apr s les suggestions des sommeliers luxembourgeois met en sc ne les Vins amp Cr mants luxembourgeois afin de prouver qu ils tiennent leur place parmi les grands vins internationaux Un clin d oeil visuel symbolisant chaque pays traduit cette ouverture des fronti res gastronomiques Certains visuels furent retenus et d clin s en chevalets de table et mis disposition des restaurateurs par le biais de leur fournisseur en vins La campagne d buta au mois de mai avant et pendant la foire de printemps Une deuxi me vague fut programm e au mois de novembre et d cembre l occasion du salon Expogast et de la F te des vins et cr mants au Knuedler et des f tes de fin d ann e Afin d accentuer davantage la visibilit des vins et cr mants luxembourgeois sur RTL T l Luxembourg la Commission de Promotion avait propos aux viticulteurs de promouvoir leurs vins dans l mission du vendredi soir RTL Kichen Un contrat de publicit portant sur le th me restaurants avec carte de vins luxembourgeois a t conclu avec la revu
303. ion augmente en valeur de 25 La production de prot agineux pois et f veroles r colt s secs continue reculer malgr l instauration d une prime sp ciale la production de prot agineux depuis 2005 La r colte totale ne s l ve qu 1 200 tonnes suite un rendement inf rieur la moyenne pluriannuelle et des surfaces en retrait En valeur la production r gresse de 8 par rapport 2005 Le tableau 3 retrace l volution des surfaces cultiv es des rendements et de la r colte des principales productions de grande culture 1 10 Tableau 3 Les productions de grande culture c r ales ol agineux prot agineux 1 surfaces emblav es ha 1995 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 froment et peautre seigle orge avoine ma s grain triticale autres c r ales total c r ales colza pois et f veroles 2 rendement dt ha froment et peautre seigle orge avoine ma s grain triticale autres c r ales total c r ales colza pois et f veroles 3 production totale t froment et peautre seigle orge avoine ma s grain triticale autres c r ales total c r ales colza pois et f veroles froment et peautre seigle orge avoine ma s grain triticale autres c r ales total c r ales colza pois et f veroles source STATEC et SER La production fourrag re provenant essentiellement des prairies et p turages permanents et temporaires et de la
304. ion de s lectionner et de recommander les vari t s les plus performantes sous nos conditions climatiques Les vari t s recommand es sont inscrites la liste nationale des vari t s de plantes agricoles et publi es annuellement au M morial A cette fin le service de la production v g tale de ASTA et le Lyc e Technique Agricole organisent tous les ans plusieurs reprises et en diff rents endroits du pays des essais vari taux Il est int ressant de noter que les performances des vari t s recommand es rendements r sistances au climat r sistances aux maladies etc ont augment en moyenne de plus de 100 depuis les ann es cinquante jusqu nos jours Aucune vari t g n tiquement modifi e ne figure sur la liste nationale des vari t s de plantes agricoles L am lioration de la production fourrag re Vu les conditions p do climatiques la vocation de l agriculture luxembourgeoise est essentiellement herbag re Ainsi 55 de notre surface agricole utile sont constitu s de prairies et de p turages permanents et 70 de nos terres sont destin s la production fourrag re Quelque 90 de la production agricole finale proviennent de productions animales tel que le lait et la viande bovine produits qui r sultent essentiellement de la transformation de fourrages La production fourrag re joue de ce fait un r le tr s important dans l agriculture luxembourgeoise et le service de la production v g tale se
305. ions technico conomiques OTE fait ressortir les orientations dominantes des exploitations agricoles L orientation technico conomique herbivores qui regroupe les exploitations sp cialis es dans les productions bovines lait et viande bovine repr sente 59 7 des exploitations Ces productions permettent de valoriser au mieux les prairies et p turages naturellement dominants suite aux conditions climatiques et p dologiques du territoire luxembourgeois La grande majorit de ces exploitations s est sp cialis e dans la production laiti re ou pratique la fois les productions laiti re et de viande Relativement peu d exploitations sont sp cialis es uniquement en production de viande bovine cette cat gorie ayant toutefois connu un d veloppement au cours des derni res ann es Les autres orientations technico conomiques sont viticulture 16 exploitations agricoles mixtes 13 8 exploitations sp cialis es en grandes cultures 7 5 exploitations sp cialis es avec porcins et granivores 1 9 et horticulture 1 La taille conomique des exploitations mesur e l aide de la marge brute standard totale des exploitations et exprim e en unit s de dimension conomique UDE varie largement entre les diff rentes orientations technico conomiques et l int rieur des orientations technico conomiques entre exploitations individuelles Ce sont les exploitations des orientations productions animales hor
306. iques aupr s d une trentaine de caves et domaines prendre part une Wine Academy et des d gustations sp cifiques comment es en direct par des sommeliers r put s et par une dipl m e en analyse sensorielle le tout agr ment d arrangements de verrerie de cristallerie et d orf vrerie Un atelier de d gustation fut galement organis pour les enfants autour du jus de raisin La 8 dition du Concours du meilleur sommelier en vins et cr mants de la Moselle en collaboration avec l Association luxembourgeoise des sommeliers eut lieu le 2 d cembre au Knuedler M Alexandre Proudhon Vinissimo remporta le titre de Meilleur sommelier de Luxembourg 2006 A l tranger En Belgique Parall lement la campagne d affichage en Belgique une d gustation de vins et cr mants en provenance de 13 domaines a eu lieu le 27 novembre 2006 Bruxelles L objectif tait de sensibiliser la presse sp cialis e importateurs restaurateurs sommeliers et le corps enseignant des coles h teli res Toujours dans un souci d optimisation de la promotion des vins et des vins mousseux de qualit de la Moselle luxembourgeoise au niveau de la restauration et du n goce la profession viticole a particip au salon professionnel Horeca Gand XII 22 En Grande Bretagne Dans le cadre d un projet transfrontalier Leader Trail une d marche commerciale importante a t r alis e en Grande Bretagne et en Irla
307. ir de 2004 le r glement CE 1452 2003 de la Commission avait oblig les Etats membres mettre en uvre une base de donn es sur les semences et mat riels de reproduction v g tative issus du mode de production biologique Pour le Luxembourg cette banque de donn es a t r alis e et mise online par le Forschungsinstitut f r biologischen Landbau FiBL de Frick CH et Francfort DE Cette banque de donn es doit servir de r f rence aux agriculteurs lors de leurs commandes de mat riel de reproduction afin de pouvoir v rifier l offre de semences biologiques disponibles aupr s des diff rents producteurs et revendeurs Cette banque de donn es est accessible sur le site Internet wWww organicxseeds com et ou www organicxseeds lu Divers autres pays europ ens comme la Belgique l Allemagne et le Royaume Uni ont galement choisi de recourir cette banque de donn es du FiBL pour se conformer au r glement pr cit Durant l ann e 2005 suite au Plan d Action Europ en en mati re d alimentation et d agriculture biologiques voir ci apr s les services de la Commission ont travaill sur l laboration d une nouvelle proposition de texte pour remplacer l actuel r glement du Conseil CEE N 2092 91 et ses annexes Ces travaux se sont achev s fin 2008 et la nouvelle proposition a t pr sent e en janvier 2006 sous pr sidence autrichienne Toute l ann e 2006 a ainsi t marqu e par le timing tr s serr d
308. ir des donn es brutes ou labor es contenues dans la base de donn es de l IFL1 Cette liste d indicateurs doit encore tre actualis e Etant donn que les travaux de la convention en cours concernent essentiellement la pr paration et la mise en uvre de l IFL2 une modification du nombre et de la nature des variables prises en compte dans l inventaire est en cours Il est important dans la phase actuelle de poser les bonnes questions pour tre assur de la pertinence des donn es r colter En effet les objectifs assign s l inventaire et tout particuli rement l valuation de la biodiversit sont appel s voluer avec l actualisation de l inventaire et l volution des exigences de rapportage au niveau international Par exemple la mise jour des indicateurs de gestion durable issus de la D claration et r solutions de Vienne adopt es lors de la quatri me Conf rence Minist rielle sur la Protection des For ts en Europe est prise en compte dans la phase actuelle de la mise en uvre de l IFL2 L accompagnement scientifique et technique Ce point concerne les activit s r currentes du suivi scientifique de l IFL Une aide scientifique et technique de la part de la FUSAGX visant r soudre des probl mes n cessitant une tr s bonne connaissance de la m thodologie utilis e et de la base de donn es informatis e est fournie la demande de l Administration Une assistance informatique ponctuelle es
309. isons 9 Les boissons spiritueuses Lors du Conseil du 24 octobre 2006 la Pr sidence a not qu une large majorit des Etats membres tait en mesure de soutenir l orientation g n rale relative la proposition de r glement concernant la d finition la d signation la pr sentation et l tiquetage des boissons spiritueuses Ce texte servira de base aux discussions avec le Parlement europ en sachant qu il s agit d un dossier en cod cision Il a t d cid de revenir ult rieurement sur les aspects juridiques de ce dossier et sur ceux li s l OMC La proposition que la Commission a pr sent e le 15 d cembre 2008 vise consolider la l gislation actuelle du march int rieur sur les boissons spiritueuses et la mettre jour en vue de la rendre plus lisible et plus facile appliquer La Pr sidence a fix comme objectif de d gager un accord politique avec le Parlement europ en en premi re lecture 11 14 10 La r forme du secteur de la banane Le 20 d cembre 2006 le Conseil a adopt un r glement r formant le secteur de la banane Le nouveau r gime qui remplace le r gime d aide dans l OCM de la banane gr ce un transfert vers le r gime POSEI de l enveloppe financi re destin e soutenir la production locale de bananes dans les r gions ultrap riph riques concern es Il incorpore galement dans le r gime de paiement unique des zones de culture de bananes non couvertes par le programme POSEI
310. isse Concours Mondial de Bruxelles D gustation de cr mants de Luxembourg dans le cadre du quinzi me anniversaire de l appellation Cr mant de Luxembourg dans la revue belge de Vino Magazine Mondial du Ros Cannes Confrontation Internationale des meilleurs Chardonnay du monde Chaintr Concours International Ljubljana Mundus vini Internationale Weinakademie Neustadt Weinstrasse et S lection du Guide Hachette des Vins dition 2007 qui fut organis e dans les locaux de l Institut viti vinicole avec la participation des vignerons et sous la surveillance du contr leur des vins de l Institut viti vinicole Les distinctions remport es aux diff rents concours de 2006 furent nombreuses et t moignent de la qualit du travail des vignerons luxembourgeois A la 13 dition du Concours Mondial de Bruxelles un cr mant de Luxembourg a remport la m daille grande or et le titre de Meilleur Vin Mousseux du Concours Mondial 2006 parmi 449 mousseux dont 182 champagnes La remise officielle des m dailles luxembourgeoises a eu lieu le 19 juillet 2006 au Mus e du Vin Ehnen En 2006 28 producteurs ont pr sent un total de 94 chantillons Montigny Les Arsures Jura au 16 concours des cr mants de France et de Luxembourg 22 m dailles d or et 9 m dailles d argent sont inscrites au palmar s de ce Concours La prochaine dition du Concours des cr mants se tiendra les
311. ituaient l autre grand axe d exp rimentation Ces essais ont fait l objet en 2006 d une tude scientifique r alis e par un stagiaire de l Universit de Geisenheim En 2006 les premiers raisins des nouveaux c pages rouges ont t r colt s Il s agit des c pages Acolon Cabernet Cubin Cabernet Doria Cabernet Dorsa Garanoir Gamaret Diolinoir Saint Laurent et Zweigelt Leurs qualit s organoleptiques seront valu es en 2007 par rapport aux c pages traditionnels Pinot Noir et Gamay J Le conseil viticole Les vignerons re oivent dans des intervalles r guliers pendant la p riode de v g tation des fiches de conseils techniques concernant surtout l utilisation de produits phytosanitaires Des informations techniques pr cises sont galement disponibles pour les vignerons sur le site Internet de l Institut viti vinicole Un voyage d tude sur la Moselle allemande a t organis en septembre 2006 XII 7 K La structure du vignoble luxembourgeois 1 La superficie du vignoble et le nombre des exploitations Le vignoble luxembourgeois occupe aujourd hui une superficie totale de 1 299 ha dont 1 237 ha sont en production alors qu en 1997 on comptait encore au total 1 346 ha La diminution de la superficie est principalement due aux abandons d finitifs des parcelles viticoles qui ont t pratiqu s au cours de la derni re d cennie Le processus de restructuration vers des unit s de production plus grandes s
312. iv e par classes de grandeuren 20060 s TS ete ee Se ne er nl A nd XII 8 3 L ge des chefs d exploitation en 2006 XII 9 4 La r partition de la superficie XII 9 5 Les diff rents modes de m canisation de conduite et de travail XII 9 6 Les exploitations et parcelles par localit viticole XII 9 L Le laboratoire de l Institut viti vinicole XII 10 M Le d partement de l oenologie XI1 11 N La viticulture dans l Union Europ enne XII 12 1 Les superficies ViticolES 45148888 rsroetitetirsnihenne ae aa aaan aA XII 12 2 Le march du ViN aen aee e aa E E S E E a RA XII 12 3 Une nouvelle pratique oenologique XI1 13 4 Vers une nouvelle OCM Vin iii XI1 13 O La marque nationale du vin luxembourgeois XI1 15 1 L Office national de l appellation d origine contr l e Moselle luxembourgeoise de la marque nationale du vin luxembourgeois XII 16 2 Le service technique de la marque nationale du vin XII 16 3 La commission de d gustation de la marque nationale du vin XII 16 4 Les r sultats des examens de la marque nationale du vin XII 17 5 La situation financi re de la marque nationale du vin XI1 17 6 Les projets de r forme de la marque n
313. jet Interreg III B Probois Proholz Le projet Interreg IIIB Proholz Probois est un projet interr gional en collaboration avec la Lorraine la Sarre et la Wallonie en vue d encadrer le volet communication et promotion du mat riau bois dans le cadre de la certification des XI 2 for ts Les 13 partenaires du projet sont l asbl Valbois RN chef de fil du projet la Soci t Royale Foresti re de Belgique Woodnet la F d ration Nationale des Scieries Fedemar Bois amp Habitat l association Gipeblor le CRPF l ONF l administration foresti re de la Sarre le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts De 2004 2007 le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts participent aux actions suivantes L action 1 1 qui consiste mettre en place une v ritable collaboration entre les diff rents gestionnaires r gionaux de la d marche de certification d une part et de l ensemble des partenaires concern s par le projet L action 1 2 qui vise mobiliser les propri taires forestiers publics et priv s et gestionnaires pour provoquer leur adh sion la d marche d ensemble dans le but d augmenter la proportion de for ts g r es durablement L action 1 3 qui propose de concevoir r aliser et mettre disposition des entreprises de l exploitation foresti re et de la premi re transformation du bois des outils logistiques adapt s et actualis s leur permettant de met
314. jouit d une grande popularit En effet depuis plus d une d cennie sa surface ne cesse d augmenter et occupe avec 88 ha 7 du vignoble luxembourgeois Le nombre d exploitations et superficie viticole totale par classes de grandeur en 2006 Classes de grandeur en ares Nombre d exploitants Superficie totale en ha 0 9 99 35 2 09 10 19 99 36 5 09 20 29 99 38 8 98 30 49 99 44 17 33 50 99 99 67 47 50 100 199 99 39 52 62 200 299 99 30 75 18 300 499 99 49 197 13 500 00 107 893 29 Total 445 1 299 21 XII 8 3 L ge des chefs d exploitation en 2006 Classes de grandeur Nombre des chefs d exploitations Superficie totale en ans en ha lt 35ans 20 76 86 35 50 ans 146 612 37 50 65 ans 171 445 30 gt 65ans 108 164 68 Total 445 1 299 21 4 La r partition de la superficie Coop ratives 61 9 Viticulteurs ind pendants 38 1 dont 21 1 sont embouteilleurs 5 Les diff rents modes de m canisation de conduite et de travail Mode de m canisation traction directe par treuil la main 92 00 5 97 2 03 Mode de conduite sur chalas sur treille 1 24 98 76 Mode de faire valoir en propri t en fermage autre 70 75 24 67 4 58 6 Les exploitations et parcelles par localit viticole
315. jours le pays fut d fini dans le cadre d une convention sign e entre les tats membres concern s savoir la Belgique l Allemagne les Pays Bas la France et le Luxembourg comme zone lib r e des vecteurs du virus concern plus pr cis ment des culico des partir du 18 d cembre 2006 permettant d entrevoir un all gement des mesures sanitaires restrictives apr s une p riode interm diaire de 60 jours soit vers mi f vrier 2007 Le programme de surveillance effectu sous forme d chantillonnage des esp ces sensibles dans les 3 abattoirs du pays sera continu en 2007 sur des exploitations sentinelles alors que le cycle biologique du vecteur culicoides sera surveill comme en 2006 par la capture de moucherons l aide de pi ges sp cifiques entrepos s proximit d exploitations d levage des esp ces animales sensibles Retenons qu en 2006 un total de 4 122 animaux sensibles ont t chantillonn s y compris 44 chevreuils avec des r sultats positifs pour les 5 exploitations infect es Les chiffres en d tail sont bovins 3 447 ovins 606 caprins 25 gibier 44 X 14 D La s curit alimentaire La s curit des denr es alimentaires n est pas seulement une priorit du Gouvernement mais r pond galement une attente du consommateur Dans la nouvelle r glementation communautaire relative la s curit alimentaire il y a mise en vidence des principes de pr ca
316. l offre for t et bois du territoire concern et la d finition des th matiques pour cr er des circuits de la Route du Bois transr gionale en liaison avec les th matiques et les r f rences d finies tout en assurant les outils de promotion et de communication ad quats L action 3 4 qui vise mettre sur pied de v ritables outils de communication concernant l habitat durable gr ce des visites encadr es de r alisations concr tes pour les architectes et professionnels de l habitat durable la r alisation de colloques sur les diff rents aspects de la probl matique li s l habitat durable et la mise en place d une exposition itin rante reprenant ce th me g n ral de l habitat durable La participation budg taire de l Administration des Eaux et For ts aux actions 3 2 3 3 et 3 4 du projet est de 342 500 EUR La participation budg taire du Groupement des Sylviculteurs aux actions 1 1 1 2 1 3 2 1 et 3 1 du projet est de 621 595 EUR Ces participations sont financ es par le Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural L ensemble des activit s est encadr techniquement par un bureau d tudes sp cialis dans le domaine En 2006 l Administration des Eaux et For ts a r alis 4 activit s majeures dans le cadre des actions 3 2 et 3 4 du projet deux visites de r alisations en bois et bois nergie Penser For t Agir Bois le colloque REGARDS CROISES le bois XI 3 et ses alli
317. la totalit de la p riode de programmation le montant total envisag pour la contribution communautaire et les contreparties nationales publiques pour chaque axe Plan de financement par axe en pour la p riode 2007 2013 Participation publique Taux de participation du Montant du Axes Total FEADER FEADER Axe 1 121 835 275 20 24 367 055 Axe 2 216 810 924 25 54 202 731 Axe 3 15 514 400 40 6 205 760 Axe 4 13 055 700 40 5 222 280 Total 367 216 299 24 51 89 997 826 La strat gie nationale du Grand Duch de Luxembourg pour la p riode de programmation du d veloppement rural 2007 2013 a t approuv e en d but d ann e 2007 par la Commission Europ enne et les nouvelles mesures d application de l axe 3 sont actuellement en voie d approbation au niveau europ en Dans la perspective de l approbation du PDR une premi re bauche de la l gislation nationale bas e sur les documents pr cit s est actuellement pr par e Le r sum de la strat gie nationale du Grand Duch de Luxembourg a Axe 1 L am lioration de la comp titivit des secteurs agricole et forestier 1 La formation et l information Des mesures de formation d information et de conseil accompagneront la mise en uvre des mesures du PDR A c t des mesures visant les acteurs cl agriculteurs sylviculteurs acteurs du d veloppement rural des mesures d information sp cifiques s adresseront aux clie
318. lac les r gimes de prime aux producteurs de certaines cultures arables les primes animales ainsi que la prime aux producteurs de lait et la prime aux producteurs de semences Les droits au paiement unique peuvent tre de nature diff rente Il est fait distinction entre droits normaux droits gel Les droits gel ont t allou s sur base de la surface admissible au gel en 2005 de chaque producteur L obligation de gel d un producteur pour les ann es 2006 et suivantes est donn e par le nombre de droits gel d tenus par celui ci Toutefois les producteurs biologiques peuvent tre dispens s de cette obligation droits gel bio droits avec sticker En principe les surfaces emblav es en fruits I gumes ne sont pas ligibles au r gime de paiement unique Toutefois dans un mod le r gional tel qu il est appliqu au Grand Duch de Luxembourg les producteurs ont pu b n ficier lors de l allocation initiale de droits avec IV 1 sticker qui peuvent galement tre activ s sur de telles surfaces l exception de cultures permanentes p ex vergers Le nombre de droits avec stickers allou a t bas sur une surface historique droits sp ciaux Il s agit de droits allou s aux producteurs qui pendant la p riode r f rence ont b n fici de primes animales non li es la surface et qui en 2005 n avaient pas d clar de surface ou dont la surface d termin e aurait donn
319. ladie Agricole et qui exercent titre accessoire une activit de caract re agricole 3 Dans le cas des associations d exploitations agricoles un des associ s est enregistr dans la Caisse de Maladie Agricole en tant que chef d exploitation alors que les autres sont enregistr s en tant que associ s 4 Situation au 31 d cembre de chaque ann e Tableau 3b Population active agricole R partition des assur s la Caisse de Maladie Agricole par cat gorie d ge Source Centre Commun de la S curit Sociale Moins de 20 ans 21 30 ans 31 40 ans 41 50 ans 51 60 ans plus de 60 ans Total M F T M F T M F T M F T M F T M F T M F T 1995 45 4 49 381 162 543 601 448 1049 573 551 1124 450 415 865 264 123 387 2314 1703 4017 1996 37 2 39 361 151 512 592 442 1034 600 550 1150 405 380 785 278 117 395 2273 1642 3915 1997 29 4 33 336 131 467 588 432 1020 590 525 1115 396 356 752 271 99 370 2210 1547 3757 1998 29 2 31 299 117 416 587 424 1011 602 518 1120 356 345 701 258 102 360 2131 1508 3639 1999 34 2 36 288 100 388 562 406 968 597 518 1115 368 358 726 257 101 358 2106 1485 3591 2000 38 4 42 269 86 355 528 392 920 620 501 1121 369 361 730 253 97 350 2077 1441 3518 2001 30 3 33 257 75 332 503 372 875 627
320. lance accrue et une surveillance intensive des volatiles la fois domestiques et sauvages impliquant un nombre lev d analyses de laboratoire ont pr serv jusqu ce jour notre pays de cette zoonose hautement contagieuse qui pourrait engendrer le cas ch ant selon certains experts la r surgence d une pand mie mondiale Aucun cas n est cependant survenu au Luxembourg o une politique de pr caution fut appliqu e par les autorit s Depuis mi ao t les Pays Bas la Belgique l Allemagne et un moindre degr la France taient confront s la maladie mergente de la fi vre catarrhale ovine Cette maladie exotique transmise par des vecteurs de l esp ce culico de venait ainsi d appara tre pour la premi re fois au centre de l Europe au del de la latitude Nord 50 Notre pays de par sa situation g ographique centrale tait d s le d but incorpor dans la zone de surveillance avec la cons quence d tre soumis des restrictions de mouvements des esp ces animales sensibles Finalement avec la remise l table des bovins revenant du pacage des r gions transfrontali res la fi vre catarrhale ovine a t introduite voire import e sur notre territoire entra nant des mesures restrictives suppl mentaires pour nos leveurs Notons cependant que jusqu ce jour la fi vre catarrhale ovine n a pas caus de mortalit dans notre cheptel A relever que d s d but ao t 2006 l Administration de
321. le mais b n ficiant d un apport lat ral cons quent mais non soutenu C 2 Sols capacit de stockage en eau variable mais b n ficiant d un apport lat ral quasi permanent D Zones perturb es d ponies D 1 D potoir Appr ciation sommaire du comportement des essences principales Le ch ne sessile est l essence productive la mieux adapt e aux divers sols de la for t communale de Wormeldange Il devrait constituer l essence principale des peuplements du domaine forestier Son adaptation est optimale sur 91 de la superficie de la propri t partielle sur les sols dolomitiques 8 et cologique sur les sols hydromorphes 1 Gr ce ses racines puissantes et profondes le ch ne sessile assure non seulement une meilleure stabilit du peuplement y compris la stabilit des autres essences mais galement une exploitation des l ments min raux de profondeur et l entretien de la macrostructure du sol Compte tenu de ses exigences sp cifiques en eau le ch ne p doncul n est pleinement adapt que dans les vallons et bas de versant b n ficiant d un apport lat ral en eau repr sentant pr s du quart de la surface totale de la propri t Sur les sols de plateaux suffisamment profonds le ch ne p doncul est propos avec des r serves en raison du risque d insuffisance des r serves en eau durant l t Si aucune des stations de la for t communale de Wormeldange ne s
322. le public sur les nombreuses fonctions de la for t Le PDR a pr vu pour sa part six paquets de mesures afin de r pondre aux besoins d termin s dans le plan strat gique Ces mesures permettent entre autres le d veloppement des infrastructures de garde pour enfants et de structures d accueil adapt es pour personnes d pendantes le maintien et la valorisation de structures locales voire r gionales d accueil et de garde de favoriser des mesures et initiatives de formation d information et d encadrement professionnel le soutien de structures et institutions proactives qui peuvent constituer des guichets ou permanences de proximit de formation innovante d assistance logistique ou de coaching aux entrepreneurs PME de propager des initiatives de la technologie de l information et de la communication TIC le cofinancement des plans de d veloppement communaux int gr s PDC le soutien des projets aspiration rendre du c ur au village Ils sont soutenus dans le cadre d une d marche proactive et participative en partenariat avec tous les acteurs ruraux int ress s de d ployer des services et march s locaux pour l affinage et la commercialisation de produits agricoles sylvicoles et artisanaux de qualit ancr s au terroir ainsi que pour la transformation la valorisation et la distribution de ressources renouvelables des fins nerg tiques la promotion des ressources foresti res 11
323. les suivant la nature des produits Stocks de vins et autres produits viticoles au 31 juillet 2006 Stocks de vins et autres produits viticoles indig nes d apr s les c pages au 31 juillet 2006 Vente de vins au Grand Duch de Luxembourg Vente de vins au Grand Duch de Luxembourg par habitant Utilisation de vins indig nes par c page pendant la campagne 2005 2006 Utilisation de vins indig nes par c page par campagne viticole Tableau 1 R colte 2006 C pages Superficie P R colte Rendements hl ha en prod ha 1997 2006 Elbling Rivaner Auxerrois Pinot blanc Chardonnay Pinot gris Riesling G Traminer Pinot noir Divers 202 0 1 TOTAL 1 236 94 123 652 100 0 y compris les surfaces de vignes se trouvant sur le territoire luxembourgeois et exploit es par des personnes ayant leur si ge l tranger Tableau 2 Evolution de la production au cours des 10 derni res ann es Ann e Superficie en production Production Rendement ha hl hl ha 1997 1 298 74 708 58 1998 1 299 159 711 123 1999 1 306 184 277 141 2000 1 312 131 931 101 2001 1 301 134 826 104 2002 1 269 153 872 121 2003 1 253 123 085 98 2004 1 248 155 828 125 2005 1 241 135 366 109 2006 1 237 123 652 100 Moyenne 1 277 137 726 108 y compris les surfaces de vignes se trouvant sur le territoire luxembourgeois et exploit es par des personnes ayant leur si ge l tranger Tableau 3 Qualit des r coltes 200
324. llions de pi ces pour les vins tranquilles 2 2 millions pour les cr mants de Luxembourg et 0 7 millions pour les vins mousseux de qualit Le montant r sultant de la vente des labels s l ve 363 098 60 dont une somme de 216 779 16 est destin e au Fonds de solidarit viticole La commission de g rance a propos d augmenter ce montant du b n fice de l exercice 2006 qui se chiffre 37 852 51 6 Les projets de r forme de la marque nationale du vin Une mission importante de l Office national de l appellation contr l e consiste maintenir la marque nationale au niveau des exigences du march viticole Ainsi il doit tenir compte des nouvelles techniques de production et des nouvelles pratiques oenologiques En effet la viticulture moderne est en mutation permanente et les producteurs de vin doivent suivre cette volution pour ne pas XII 17 perdre des parts de march Il est vident que la marque nationale doit suivre le progr s technique et adapter par la suite sa r glementation et son fonctionnement Dans ce contexte il faut mentionner le grand succ s qu a connu le Cr mant de Luxembourg depuis la cr ation de la marque nationale pour vins mousseux et cr mants en 1991 D autres produits comme les vins des c pages Pinot noir rouge ros blanc Chardonnay Elbling ros ou les vins labor s en barrique en gris de gris etc ne pourraient gu re tenir leur rang sur le march san
325. logie Cette approche du bois mat riau est compl t e par une information sur les produits d riv s du bois et leur d veloppement dans le b timent et le design industriel Le troisi me chapitre a plong le public dans la structure m me de la construction en bois Les diff rents syst mes constructifs ont t expos s et situ s dans leur contexte historique et g ographique Le visiteur a t amen saisir les aspects techniques et les diff rences et avantages particuliers de chacun des cinq syst mes pr sent s Cette section a trait galement des bardages et toitures et des questions connexes de la mise en uvre du bois de sa pr servation et de sa durabilit Isolation thermique et acoustique performances nerg tiques fondations aspect sant et confort co t souplesse d utilisation et adaptabilit les atouts du bois ont ensuite t d velopp s La cinqui me section a pr sent les m tiers du bois d hier aujourd hui et une s rie d informations pratiques sur les formations existant aujourd hui dans le secteur du bois L exposition s est achev e sur la mise en perspective de la construction en bois avec le d veloppement durable Le commentaire a rappel les enjeux environnementaux mondiaux li s l augmentation des gaz effet de serre l a voqu les diff rents programmes de mobilisation mis en place par les autorit s publiques des diff rentes r gions et d taill comment la gestion
326. loitations ayant un chef d exploitation retrait sont consid r es aussi comme exploitations accessoires pour le calcul de l indemnit compensatoire Le montant pay se compose comme suit un montant de 15 601 056 a t attribu aux exploitants exer ant l activit agricole titre principal un montant de 208 156 a t attribu aux exploitants exer ant l activit agricole titre accessoire Le montant moyen par exploitation titre principal s l ve 10 827 et celui par exploitation titre accessoire 1 859 Le tableau 25 ci apr s refl te l volution et la r partition de l indemnit compensatoire pour la p riode de 2001 2006 Tableau 25 Evolution et r partition de l indemnit compensatoire Ann e du paiement 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Cr dits budg taires millions d euros 15 369 15 540 14 690 15 920 15 825 15 809 Exploitations b n ficiaires 2 122 2 071 1 598 1 596 1553 1553 dont titre principal 1 711 1 678 1 497 1474 1448 1441 dont titre accessoire 411 393 101 122 105 112 Montant moyen par exploitation b n ficiaire en euros exploitations titre principal 8 815 8 987 9 813 10 669 10 790 10 827 exploitations titre accessoire 1 180 1 172 1 982 1 585 1 927 1 859 IV 18 F La prime l entretien du paysage et de l espace naturel au b n fice des agriculteurs des horticulteurs et des p pini ristes La premi
327. loppement rural Avec l exp rience des processus de planification cl tur s le Service du D veloppement rural tout comme les groupements d tudes interdisciplinaires affinent leur m thodologie de planification permettant de raccourcir raisonnablement les phases initiales de relev s et de mise jour des donn es de base sur les diff rents axes prioritaires Plusieurs r unions de concertation entre les agents du Service du VII 2 D veloppement rural et des communes int ress es ont su fixer les priorit s des axes th matiques la d marche de planification poursuivre contrat type cahier des charges MAVDR ainsi que le choix du groupement d tudes opt par la Commune Des approches confirm es et participatives d valuation telles que m ta plan ou encore SWOT contribuent aboutir plus rapidement l analyse des atouts faiblesses de la commune en concertation avec les responsables communaux et les groupes d int r ts locaux Parall lement elles peuvent aussi servir finaliser et mieux structurer les grandes lignes directrices des futures options de d veloppement ainsi que du catalogue des mesures retenir Aussi une dizaine de communes ont elles d j manifest leur int r t de recourir la d marche int gr e PDC dans le contexte d une r vision resp de l actualisation de leur Plan d am nagement g n ral PAG communal et dans le but de r viser par ce biais aussi les premiers con
328. ls des pulv risateurs agricoles IX 4 b Le programme agri environnemental dans le cadre du r glement CEE 2078 92 et du r glement CEE 1259 99 s oessssssessseeirresssrsrrrrrrssssrrrerrrne IX 5 B La division agronomique ssssssssrrrrresesissreseseeseseororrasnnrnrirrrrrnNunNnnnnrAnrnnannedaeceresseeee IX 7 1 Caprod ctionanimale neiaie a e ae Ea e aai ae ia aa IX 7 2 La production v g tale zen ns nn AAE EREE aea IX 9 a Le contr le et la certification des Semences sssrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrerrrrrrrrn IX 9 b Les essais vari taux et la liste nationale recommand e des vari t s Agricole S eaii nghais E area aaaea EAE ELaNA EAA EEE U eiae kee deina IX 10 c L am lioration de la production fourrag re IX 10 d La production de biomasse et de plantes nerg tiques IX 10 3 La protection des v g taux tatin dir niendntienndinrrentehans IX 11 a Le contr le des plants de pommes de terre au laboratoire du service de la protection des v g taux IX 11 b Les contr les phytosanitaires l importation IX 12 c Les contr les phytosanitaires l exportation IX 13 d L agr ment des produits phytopharmaceutiques IX 13 e L agriculture biologique teinte sn sanentinasinntiteeess IX 14 4 Le service de l horticulture sssneseeeeeeneeene eener
329. m e 45 88 ha producteurs titre principal 28 91 ha producteurs titre accessoire 16 97 ha Surface mara ch re prim e 20 41 ha producteurs titre principal 17 83 ha producteurs titre accessoire 2 58 ha Surface arboricole prim e 109 12 ha producteurs titre principal 69 48 ha producteurs titre accessoire 39 65 ha Solde vers p pini ristes titre principal 11 478 p pini ristes titre accessoire 5 395 mara chers titre principal 14 158 mara chers titre accessoire 1 637 arboriculteurs titre principal 27 582 arboriculteurs titre accessoire 12 607 Total 72 857 IV 21 LE FINANCEMENT DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE PAR LE FONDS EUROPEEN D ORIENTATION ET DE GARANTIE AGRICOLE FEOGA A La section garantie Les d penses du FEOGA Garantie se r partissent en quatre grandes cat gories les d penses li es aux restitutions les d penses pour les aides directes les d penses de stockage public les d penses au titre des mesures v t rinaires et phytosanitaires des actions d information ainsi que les d penses au titre du d veloppement rural Pour l exercice 2005 les d penses totales pour toute la Communaut se sont lev es 48 928 1 mio euros Par rapport aux cr dits disponibles on constate une sous consommation de l ordre de 797 8 mio euros A relever galement que le montant de 48 928 1 mio euros repr sente 42 5 du budget total de l Union Europ
330. m me lieu dit et du m me producteur Au total 92 chantillons de Riesling furent d gust s Le marketing v nementiel Au Luxembourg La Commission de Promotion en coop ration avec la British Chamber of Commerce for Luxembourg avaient convi le 21 septembre 2006 au Mus e du Vin Ehnen les journalistes professionnels et membres de la Chambre de Commerce Anglaise au lancement mondial du livre Winereport 2007 de Tom Stevenson avec David Furer suivie d une d gustation de Rieslings en provenance de 12 domaines viticoles Dans le cadre de la 10 dition du salon international de la gastronomie Expogast la Commission de Promotion par le biais des 36 propri taires de caves et domaines ont propos durant 5 jours leurs crus et cr mants ainsi que les diff rentes sp cialit s vin de glace vin de paille ou vendanges tardives Durant toute la manifestation les l ves du Lyc e technique h telier Diekirch install s dans leur stand au centre du lounge du village viticole ont servi diverses pr parations culinaires en harmonie avec les vins et cr mants luxembourgeois Pour la troisi me ann e La F te des vins et cr mants les vins et cr mants des f tes a t organis e au Knuedler 30 novembre 1er 2 et 3 d cembre 2006 Un chapiteau d cor de mani re festive fut install Place Guillaume face l H tel de Ville Les visiteurs ont pu d couvrir ou red couvrir les plus belles cr ations nolog
331. maladie hautement contagieuse et aux cons quences socio conomiques d sastreuses Le risque d introduction de la fi vre aphteuse partir des pays tiers par le biais d animaux vivants sensibles la maladie ou de leurs produits est toujours donn vu que la vaccination pr ventive contre cette maladie d vastatrice a t arr t e dans toute U E depuis 1992 4 La rage En 2006 aucun cas de rage n a t d tect sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg Le Grand Duch de Luxembourg est d clar pays officiellement indemne de la rage par l Office International des pizooties en juillet 2001 Le dernier cas de rage diagnostiqu sur notre territoire remonte au 15 janvier 1999 sur un poney localis Noertrange La r apparition d une pid mie de rage au Sud Est de Rh nanie Palatinat d but 2005 semble s tre arr t e dans la r gion de Mainz Bingen c est dire quelque 90 km de nos fronti res Quelques rares cas y ont encore t d tect s au d but de 2006 Le monitoring en mati re de rage toujours en place au Luxembourg a donn pour 2006 le tableau suivant Animaux examin s ces derni res ann es pour suspicion de rage Esp ce R sultats positifs R sultats n gatifs 2004 2005 2006 2004 2005 2006 Renards 26 341 23 Chevreuils 2 1 Fouines 2 Sanglier Blaireaux Li vre Furet Ecureuil Rat Bovins 5 Moutons 1 Caprins 2 Chevaux C
332. mations qui sont install s le long des chemins dans la r serve foresti re int grale Ces panneaux ont pour but de familiariser le public avec ce nouveau type de zone prot g e Les sujets suivants y sont trait s habitats naturels de la r serve foresti re int grale Enneschte B sch habitants de la r serve foresti re int grale Enneschte B sch l arbre mort une nouvelle source de vie le monde de la ch naie charmaie habitants d une mardelle de l Enneschte B sch avenir de la r serve foresti re int grale Afin de d limiter la zone prot g e des panneaux d information ont t install s aux entr es secondaires de l Enneschte B sch Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t XI 42 c Les sentiers qui parcourent la r serve naturelle ont t balis s afin de signaliser au visiteur les chemins qu il peut emprunter et qui par cons quent sont s curis s Par ailleurs le balisage des sentiers a galement pour effet de canaliser la circulation l int rieur de la r serve foresti re int grale de fa on ce que la zone de qui tude ne devrait subir aucun d rangement L Enneschte B sch est la troisi me r serve foresti re int grale au Luxembourg o un suivi des habitats forestiers a t effectu Les placettes permanentes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le
333. me de ce secteur a t d gag e sous la pr sidence britannique en novembre 2005 le Parlement europ en a rendu son avis le 19 janvier 2006 A la m me date le Conseil a adopt l unanimit la d cision relative aux orientations strat giques de la Communaut pour le d veloppement rural pour la p riode de programmation 2007 2013 Le Parlement europ en a rendu son avis le 16 f vrier 2006 apr s que le 22 novembre 2005 le Conseil avait d gag une orientation g n rale unanime sur la proposition C est le 22 juin 2006 que la Commission a pr sent sa communication vers un secteur vitivinicole durable Cette communication s inscrit donc dans le prolongement des r formes de la PAC de 2003 reforme g n rale de la PAC 2004 coton houblon huile d olive tabac et 2006 sucre reformes portant sur l ensemble des principaux secteurs l exception de ceux du vin et des fruits et l gumes La Commission estime que la d t rioration de l quilibre entre l offre et la demande dans le secteur vitivinicole et l intensification des d fis inh rents un march du vin europ en et international exigent que l on entreprenne une r forme du secteur A cet gard le futur r gime devrait garantir la viabilit de l activit des producteurs et permettre d assurer l int gration en douceur de la Bulgarie et de la Roumanie ainsi que le respect total des obligations internationales de l Union europ enne La politique doi
334. ment CE n 1698 2005 concernant le soutien au d veloppement rural par le Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural FEADER et le 20 f vrier 2006 les orientations strat giques de la Communaut pour le d veloppement rural Ces orientations d finissent une approche strat gique et une s rie de domaines d actions pour lesquelles les Etats membres sont oblig s de proposer des mesures dans leurs plans strat giques nationaux et dans leurs programmes de d veloppement rural Le r glement CE n 1698 2005 concernant le soutien au d veloppement rural d finit le cadre l gal de la politique de d veloppement rural pour la p riode 2007 2013 II s articulera autour de trois domaines ou axes de d veloppement Axe 1 am lioration de la comp titivit des secteurs agricole et forestier Axe 2 am lioration de l environnement et l espace rural Axe 3 am liorer la qualit de vie en milieu rural et diversifier l conomie rurale un quatri me axe l axe Leader qui s inspire de l exp rience acquise par l initiative communautaire LEADER et qui vise mettre en uvre des strat gies locales en mati re de d veloppement rural En observant le cadre l gal communautaire chaque Etat membre doit pr parer son propre plan strat gique national PSN et son programme de d veloppement rural PDR en tenant compte galement des sp cificit s nationales Le PSN et le PDR seront par la suite soumis l analys
335. ment grand ducal du 22 d cembre 2000 relatif l octroi de primes d abandon d finitif de superficies viticoles constituent les bases l gales de cette aide financi re Bilan de la prime l abandon d finitif de superficies viticoles Ann e culturale 2005 2006 Montant 10 090 92 EUR pour une superficie de 118 2 ares E L aide la restructuration et la reconversion des vignobles Le r glement grand ducal du 18 octobre 2001 fixant les modalit s d ex cution du r glement CE no 1493 1999 relatives au r gime d aide la restructuration et la reconversion des vignobles offre sous certaines conditions une aide financi re aux exploitants viticoles pour l arrachage et la replantation d une vigne Le r gime d aide a pour objet d acc l rer la reconversion vari tale c est dire le remplacement des c pages dont la demande sur le march est en r gression par des c pages plus XII 5 appr ci s par les consommateurs Il vise galement favoriser des techniques de culture de vignobles qui sont plus facilement m canisables dans le but de r duire les co ts d exploitation Campagne 2005 2006 Montant allou Superficie Montant de laide par ha subventionn e Vignobles avec une pente lt 30 7 600 4 8439 ha 36 813 64 Vignobles avec une pente gt 30 9 500 1 9787 ha 18 797 65 Vignobles avec une pente gt 45 resp 11 400 0 1549 ha 1 765 86 vignobles en terrasse Total 6 97
336. ment pratique des contr les est le suivant Tous les agriculteurs sont convoqu s individuellement au contr le Les contr les ont lieu aupr s des revendeurs de machines agricoles d sirant tre int gr s dans l op ration condition qu ils mettent disposition un emplacement ad quat Ainsi si des r parations sont n cessaires l agriculteur peut s adresser imm diatement au service technique du revendeur ce qui lui vite de devoir passer une deuxi me fois au contr le Pour le contr le des pulv risateurs utilis s par les vignerons l quipement de test a t compl t par des instruments adapt s En 2006 les contr les ont eu lieu pendant la p riode avril mai pour les agriculteurs et pendant les mois de ao t novembre pour les vignerons en collaboration avec les revendeurs de machines agricoles Pendant cette campagne 98 pulv risateurs agricoles et 233 pulv risateurs viticoles ont t contr l s Un bilan des contr les de 2006 figure au tableau ci apr s A Pulv risateurs agricoles nombre de pulv risateurs convoqu s 98 taux de pulv risateurs sans observations majeures 65 6 taux de pulv risateurs avec manom tre d fectueux 19 4 taux de pulv risateurs avec buses d fectueuses 20 4 nombre de pulv risateurs agr s apr s r paration 93 nombre de pulv risateurs rejet s 0 nombre de pulv risateurs d clar s hors service 5 nombre de pulv risateurs non pr sent s 0 Par ailleurs une vi
337. ment sur une aire de chablis important La recolonisation naturelle avec des essences pionni res a donn naissance diff rents types de peuplements structur s dans leur ensemble C est ce degr de dynamisme lev 40 de la surface d limit e est occup e par des peuplements tr s jeunes de moins de 16 ans qui conf re un aspect particuli rement int ressant la zone pour la constitution d une r serve foresti re int grale Avancement du projet Cette zone foresti re est d clar e zone prot g e par r glement grand ducal du 9 juin 2006 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 67 15 ha et appartient int gralement l Etat La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude La r serve foresti re int grale comporte des anciens peuplements des plantations et des superficies avec de la v g tation pionni re Ces peuplements sont mis en libre volution Dans la r serve dirig e sont incluses les surfaces de compensation de la Nordstrooss qui viennent juste d tre plant es et qui sont moyen terme conduites vers des peuplements en libre volution La zone de d veloppement comprend de la propri t priv e et a t d limit e afin que le propri taire garde le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e
338. ment unique s effectue selon la r glementation communautaire et est soumis notamment aux conditions suivantes Le c dant doit avoir utilis pendant une ann e au moins 80 de ces droits Dans le mod le r gional appliqu au Grand Duch de Luxembourg qui pr voit une allocation d un droit chaque hectare d clar en 2005 cette condition a pu tre respect e par chaque producteur Le cessionnaire doit tre un producteur actif Sauf en cas d h ritage et d h ritage anticip ainsi qu en cas de fusion scission d exploitations respectivement les droits allou s partir de la r serve nationale les droits dont la valeur a t augment e de plus de 20 par une allocation partir de la r serve nationale et les droits issus d un montant de r f rence augment de plus de 20 suite une demande ligible de modification du montant de r f rence ne sont pas transf rables pendant une p riode de 5 ann es partir du jour de l allocation En outre pendant cette p riode quinquennale ces droits doivent tre utilis s chaque ann e par le producteur sinon ceux ci sont reconduits la r serve nationale en cas de droits et montant de r f rence augment s de plus de 20 en valeur l augmentation de la valeur des droits est reconduite la r serve nationale Les droits peuvent tre transf r s sans cr tement et selon les modes suivants par achat avec ou sans terre par bail le bail de droits
339. meuble Aide art 6 135 130 1 775 203 60 1 597 683 24 Int grat environ Aide art 7 meuble 148 90 1 758 356 99 419 003 62 Aide art 7 immeuble 87 47 2 687 181 71 929 186 57 Aide art 7 suppl pour 9 3 97 300 00 inst biogas Aide suppl envir 10 10 98 898 26 13 074 53 art 7 Aide art 7 8 8 52 155 00 46 939 50 Int grat environ Prime l installation 26 26 312 500 contrat d exploit Reprises jeunes Prime 17 17 240 381 74 l inst Reprises jeunes 19 15 527 882 53 Bonif d int Reprises jeunes 18 18 116 575 61 remb droits enreg Aide en capital 273 243 1 878 429 32 Aides remb frais 382 302 601 309 95 414 551 48 d entraide Habitat rural 28 28 1 376 086 95 688 043 48 2 Les conduites d eau Les bureaux r gionaux ont pr sent pour 2006 6 projets de conduites d eau visant desservir une surface totale d environ 364 64 ha de p turages dont les devis s l vent au total 132 706 1 association syndicale pour la mise en place d une conduite d eau dans des parcs b tail a t cr e Hollenfels et le montant estim des travaux s l ve 36 000 Dans le cadre du remembrement de Mompach 1 projet pour l installation d une conduite d eau dans les pr s et p turages sur le territoire de la commune de Mompach fut labor pour un montant de 741 750 TTC La surface totale desservie est de 553 ha appartenant 66 propri taires diff rents le nombre to
340. n e apr s ann e et de les traiter travers tout l instar des usages en vigueur dans les diff rents inventaires forestiers nationaux europ ens qui sont r alis s sur peu d ann es Cette d cision est renforc e par le fait que la grande majorit des inventaires europ ens ont opt soit pour un cycle de mesures gal ou inf rieur 5 ans soit pour la r alisation de l inventaire l int rieur d une seule ann e La dur e du cycle de l inventaire de 5 ans implique de parcourir 20 de l tendue par an tout en couvrant le territoire de mani re uniforme s lection syst matique d un groupe de points par an L analyse du document d valuation et phase de concertation Une des premi res tapes de la mise en uvre de l IFL2 deuxi me inventaire a t d analyser le document d valuation du premier cycle de mesures Cela consiste passer en revue chaque remarque proposition du document et d incorporer l ventuelle modification dans le document de r f rence du deuxi me cycle de mesures savoir le guide m thodologique Les modifications apport es sont relatives aux variables prendre en compte et aux modalit s de r colte des donn es XI 39 c La r daction du guide m thodologique de l IFL2 Le guide m thodologique de l IFL2 actuellement en cours de r daction propose une m thode de travail globale pour le second cycle de mesure Ce document est destin aux bureaux d tudes qui r
341. n place des dispositions de formation pour la viticulture pour le P D R 2007 2013 L application de mesures en mati re de formation des chefs d exploitation est indispensable en vue d am liorer la comp titivit des exploitations viticoles Plan de d veloppement rural PDR dans le cadre d une nouvelle loi agraire Le programme de d veloppement rural tabli sur le mod le agricole europ en combinera la vision de l agriculture europ enne avec les objectifs du d veloppement durable d finis lors d un Conseil europ en Quatre axes contiennent les l ments cl s de la strat gie nationale et tiennent compte des atouts des besoins et des potentialit s de d veloppement de la r gion rurale du Grand Duch de Luxembourg 2 La Commission de Promotion La Commission de Promotion des Vins et Cr mants de Luxembourg cr e en 2002 au sein du Fonds de solidarit viticole a pour mission d laborer d tablir et de mettre en uvre des programmes qui permettront la r alisation des objectifs suivants cr er une nouvelle image de marque pour les vins et les cr mants de Luxembourg faciliter le positionnement des produits vinicoles sur les march s indig ne et international contribuer la rentabilit conomique du vignoble luxembourgeois par le d veloppement de nouveaux d bouch s haute valeur ajout e assurer que le secteur viticole continue compter parmi les secteurs d avenir de l conomie luxem
342. n de r glement du Parlement europ en et du Conseil relatif aux statistiques sur les produits phytopharmaceutiques Les discussions sur les trois projets sont actuellement men es dans les groupes d experts au Conseil L agriculture biologique Le mode de production biologique respecte particuli rement bien les principes d une agriculture durable et protectrice de l environnement Dans les exploitations biologiques les agriculteurs renoncent volontairement l utilisation d engrais et de pesticides chimiques de synth se de bon nombre d aliments pour animaux usuels ainsi que d organismes g n tiquement modifi s ou de leurs d riv s Quelques autres caract ristiques essentielles de cette forme d agriculture sont une rotation des cultures vari es et le respect pouss du bien tre animal La demande pour les produits issus de ce mode de production a continu de s accro tre en 2006 Par le contr le annuel obligatoire de chaque exploitation l agriculture biologique est un exemple mod le de transparence en ce qui concerne l origine la production et la pr paration ou transformation Par l achat de produits issus de l agriculture biologique les consommateurs soutiennent en m me temps un mode de production respectueux de l environnement et des ressources naturelles L agriculture biologique est r glement e au niveau communautaire par le r glement du Conseil 2092 91 C E qui d finit notamment les r gles de production de transfo
343. n des vari t s de gramin es et de ma s les mieux adapt es nos diff rents types de sol et nos conditions climatiques 24 des chantillons ont comme origine les essais prairiaux comparatifs tablis par le Lyc e technique agricole des fins didactiques les 21 restants concernent les fourrages produits la ferme Ils sont envoy s par diff rents services de vulgarisation et des particuliers pour la d termination des nutriments et des min raux afin de pouvoir les utiliser de fa on optimale dans la ration journali re des ruminants IX 19 Avec l introduction en ao t 2006 de la d termination du sucre et des NDF neutral detergent fiber l analyse standard d un fourrage comprend dor navant 20 param tres qui sont la mati re s che l albumine brute totale l albumine brute digestible les prot ines digestibles dans l intestin le bilan des prot ines d gradables la digestibilit la cellulose brute l h micellulose les NDF les cendres brutes totales le sucre pour les ensilages d herbes et les foins amidon pour les ensilages de ma s les valeurs nerg tiques VEM et VEVI et pour les ensilages les facteurs de conservation pH et le rapport N NHA N tot ainsi que les l ments min raux calcium phosphore potassium magn sium et sodium Il va sans dire que la qualit alimentaire des fourrages qui repr sentent pr s de 70 de la masse d aliments utilis s au niveau de la ferme peut varier de
344. nde Le but tait de revaloriser les produits du terroir de d velopper des strat gies de marketing communes d changer du savoir faire par rapport la cr ation et le fonctionnement de soci t s de commercialisation ainsi que de d velopper des cr neaux de vente sur les march s des r gions partenaires Une journ e de d gustation de vins et cr mants de 10 producteurs luxembourgeois eut lieu le 6 juin 2006 la r sidence priv e de lAmbassadeur du Grand Duch Londres L objectif tait de sensibiliser en coop ration avec l Ambassade la Chambre de Commerce l Office de Tourisme et le bureau Leader les prescripteurs la qualit des vins et cr mants de Luxembourg Une demi douzaine de producteurs de la Moselle luxembourgeoise ont particip la foire professionnelle SHOP du 8 au 10 octobre 2006 Dublin pr par e en coop ration avec l Ambassade le Consulat et le bureau Leader Moselle Les concours En mati re de promotion internationale le Fonds de solidarit viticole par le biais de la Commission de Promotion a continu apporter son soutien aux producteurs luxembourgeois en les encourageant participer des concours et d gustations dont la renomm e ne pourra que mieux renforcer l image et servir celle de nos vins et cr mants savoir Vinalies Internationales Paris Concours Riesling du Monde amp Concours Pinot Gris Strasbourg Concours Mondial du Pinot Noir Sierre en Su
345. ne de surveillance et de lutte contre la para tuberculose a d but en septembre 2006 pour se terminer avec la mise en p ture des bovins au printemps 2007 10 La maladie d Aujeszky En 2006 aucun cas n a t d tect Par la D cision 99 399 CE de la Commission Europ enne du 2 juin 1999 le Grand Duch de Luxembourg a t d clar Etat membre officiellement indemne de la maladie d Aujeszky Par ce fait le Grand Duch b n ficie des garanties suppl mentaires accord es par la Commission par la D cision 93 24 CE du 11 d cembre 1992 En 2006 un total de 2 500 chantillons de sang provenant de diverses exploitations porcines luxembourgeoises ont t test s avec un r sultat n gatif De ce fait le statut de cheptel porcin domestique officiellement indemne a pu tre maintenu suite un programme de surveillance incluant un examen s rologique de toutes les truies abattues dans les abattoirs agr s au Luxembourg et suite un contr le s rologique al atoire des porcs d levage et de rente export s X 10 Il y a lieu de noter que sur 5 sangliers chantillonn s 1 test tait douteux 11 La maladie v siculeuse du porc En 2006 aucun cas n a t d tect La maladie v siculeuse fortement apparent e la symptomatologie de la fi vre aphteuse n a pas t diagnostiqu e ces derni res ann es 12 La maladie h morragique des lapins En 2006 1 foyer a t diagnostiqu Brandenbou
346. nerie semi s che lesquels sont install s de part et d autre du panneau d information g n ral Ce panneau d crit les principales caract ristiques de la r serve ainsi que les raisons pour lesquelles cette for t a t mise sous protection int grale Des panneaux d information ont t install s aux entr es secondaires du Laangmuer afin de d limiter la zone prot g e Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t Par ailleurs tous les sentiers qui se trouvent l int rieur de la r serve foresti re int grale et qui sont ouverts au public ont t balis s Ce balisage a pour but d indiquer au visiteur les chemins qu il peut utiliser et qui sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e En ce qui concerne le suivi scientifique des esp ces un inventaire des chauves souris a t r alis dans le courant de cette ann e La m thode utilis e est identique celle qui avait t appliqu e pour les autres r serves foresti res XI 43 int grales Il s agit d un comptage qualitatif au moyen de filets ainsi qu l aide de d tecteurs ultra sons d La r serve foresti re int grale P ttenerb sch Mersch Pettingen e Description g n rale du projet La sp cificit du P ttenerb sch r side principalement dans la diversit des essences qui s est d velopp e naturelle
347. nes de soja de colza et de tournesol Aide la production de pois f ves et f veroles Fruits coque Retrait des terres arables Recouvrements recouvrements conditionnalit Vin Aides mo ts concentr s Primes d abandon d finitif Actions de restructuration et de reconversion du vignoble Semences Aide la production Produits laitiers Restitutions l exportation Beurre destin la p tisserie et la glace Aide l achat de beurre pour collectivit s Lait scolaire Pr l vement suppl mentaire de corresponsabilit Prime aux produits laitiers Recouvrements Viande bovine Primes aux vaches allaitantes Primes sp ciales Prime l abattage Restitutions l exportation d animaux vivants Recouvrements Viande ovine Primes la brebis Distribution de produits agricoles aux d munies Aide particuli re l apiculture Aides agri mon taires D veloppement rural Investissements dans les exploitations agricoles Installations jeunes agriculteurs Formation Indemnit s compensatoires Mesures agri environnementales Mesures agri environnementales avant 1992 Transformation et commercialisation des produits agricoles Sylviculture Commercialisation de produits agricoles de qualit Diversification des activit s agricoles Services essentiels pour l conomie et la population rurale R novation et d veloppement des villages Encouragement touristiques
348. nforcer l efficacit des engagements op rationnels et financiers des secteurs publics et priv s Dans cette optique le PFN est une partie int grante du programme de d veloppement national Il implique la consultation et la participation de tous les groupes d int r ts li s de loin ou de pr s au secteur forestier Les travaux du 1 PFN au Luxembourg ont d but en novembre 2003 pour aboutir en mars 2004 la formulation d un document national de consensus reprenant les d fis pour la for t luxembourgeoise une vision globale pour la for t de demain les grands objectifs et des propositions de mesures pour la for t Plus de 60 personnes compos s des repr sentants des secteurs public minist res de l Agriculture des Finances de l Economie de l Environnement du Tourisme priv propri taires gestionnaires exploitants industries du bois chambres professionnelles syndicats professionnels associatif clubs et associations de naturalistes sportifs chasseurs et scientifique mus es experts bureaux d tudes et centre de recherche coles et universit s ont particip ces travaux La r union de suivi pr vue en 2006 pour arr ter une liste d finitive de mesures prioritaires n a pas eu lieu comme pr vue et a t report e 2007 5 Le mat riel forestier de reproduction Publication d une brochure relative la loi du 30 novembre 2005 concernant la production et la commer
349. nimit concernant le projet de la r forme de OCM vitivinicole Autres th mes ayant fait l objet de discussions au sein du Comit directeur Entrevue avec le repr sentant pour le Luxembourg de l assurance Vereinigte Hagel ayant pour objet de fournir des renseignements g n raux nombre de ha assur s conditions g n rales sommes indemnis es mode d indemnisation etc sur les deux derniers exercices en mati re d assurances gr le et gel Engagement temporaire des aides viticoles notamment d origine polonaise la Moselle luxembourgeoise Entrevue avec la direction des Douanes et Accises en vue d ins rer la d nomination Luxembourg Moselle accompagnant un code sp cifique dans les r glements relatifs la nomenclature tarifaire et statistique et au tarif douanier commun En effet ce jour les produits luxembourgeois figurent toujours dans la cat gorie des vins autres si bien que la visibilit de vins XII 19 luxembourgeois est inexistante aux yeux des personnes acheteurs journalistes amateurs de vins qui s int ressent aux volutions du march vitivinicole Information concernant les diff rents moyens existants et exig s actuellement en ce qui concerne la formation des viticulteurs Le groupe de travail Formation estime qu il est indispensable l avenir qu un CATP soit exig pour l acc s la profession en tant que viticulteur titre principal conform ment la mise e
350. nn es suite l effet combin de la limitation de la production laiti re et de l augmentation du rendement laitier par vache Le troupeau de vaches laiti res continue diminuer en nombre absolu pendant que le troupeau de vaches allaitantes atteint le plus haut niveau depuis 5 ann es Les parts relatives des cheptels laitier et allaitant dans le troupeau reproducteur s l vent 58 et 42 ce qui confirme la tendance de rapprochement des 2 cheptels en nombres absolus 1 520 exploitations d tenaient des bovins et avaient en moyenne un troupeau de 121 bovins 932 exploitations d tenaient des vaches laiti res avec en moyenne 41 vaches laiti res par exploitation Le cheptel porcin conna t des variations cycliques en fonction du r sultat conomique en production porcine Apr s un pic en 1999 le cheptel a connu une phase d croissante en 2000 et 2001 et une phase croissante de 2002 et 2005 Apr s la forte croissance du cheptel porcin en 2005 on constate un retour au niveau de l ann e 2003 Le cheptel porcin s est lev 84 151 animaux par rapport 90 147 en 2005 Le cheptel reproducteur relativement stable entre 2003 et 2005 diminue de 7 Le cheptel des porcs destin s l engraissement de plus de 50kg de poids vif reste constant pendant que le nombre de porcins de moins de 50kg de poids vif diminue nettement 183 exploitations avec porcins d tenaient en moyenne 460 porcs La classification des exploitations en orientat
351. nner F ls La 1 enqu te de remembrement viticole du secteur W ngertsbierg GREIVELDANGE a eu lieu du 4 d cembre 2006 au 2 janvier 2007 L ONR a d vider une seule r clamation Les op rations de nouvelles mensurations parcellaires Le remembrement est g n ralement accompagn d un nouveau lev topographique de l ensemble des terres remembrer Ce lev comprend trois parties le lev des limites du p rim tre des chemins routes cours d eau et autres limites immuables le lev du nouveau parcellaire apr s bornage des parcelles et la confection des nouveaux plans cadastraux Ces op rations sont conduites suivant les directives de l Administration du cadastre et de la topographie VIII 3 Les travaux de mensuration ont t poursuivis respectivement entam s dans les remembrements de FLAXWEILER DELLEN GREVENMACHER MERTERT BURMERANGE MONDORF SCHENGEN REMERSCHEN MOMPACH MENSDORF SCHIFFLANGE et du LAC de la HAUTE S RE 6 La r daction de l acte notari de remembrement L article 35 de la loi du 25 mai 1964 concernant le remembrement des biens ruraux dispose qu apr s l ach vement de l abornement des nouvelles parcelles et apr s la confection des nouveaux plans parcellaires lacte de remembrement est dress par le ou les notaires de la r gion d signer par la Chambre des notaires Les difficult s en relation avec les actes notari s signal es dans les rapports d activit
352. nouvelle l gislation sur les produits biologiques dans la mesure o certaines des dispositions l gislatives actuellement en vigueur en mati re d importation expireraient le 31 d cembre 2006 Afin de ne pas perturber les changes internationaux le r glement pr voit de permettre aux Etats membres de continuer octroyer des autorisations d importation pour des produits pr cis jusqu ce que le nouveau r gime d importation ait t mis en place La proposition comporte galement de nouvelles r gles pour les importations acc s direct et quivalence similaires celles formul es dans l autre proposition relative l tiquetage des produits biologiques 12 Le r gime des cultures nerg tiques Le 20 d cembre 2006 le Conseil a adopt un r glement qui tend le r gime de soutien direct aux huit Etats membres qui n en b n ficiaient pas et fait passer la superficie admissible de 1 5 2 millions d hectares pour les cultures nerg tiques Dans ce contexte le Conseil a fait une d claration invitant la Commission poursuivre l examen des questions encore en suspens qui n ont pas t prises en consid ration dans le cadre de la pr sente adaptation en ce qui concerne soit le rapport sur la conditionnalit soit le bilan de sant de la PAC pr vu pour 2008 11 15 Le r glement pr voit galement l extension du r gime de paiement unique la surface jusqu en 2010 pour les nouveaux Etats membres la simpli
353. ns es et par l augmentation de la main d uvre salari e ph nom ne observ depuis plusieurs ann es Les observations m thodologiques sur les statistiques conomiques Aux chapitres LE et I F du rapport sont pr sent es les s ries statistiques d indicateurs conomiques de l activit agricole issues des deux bases de donn es se rapportant l agriculture savoir les comptes conomiques de l agriculture CEA et le r seau d information comptable agricole RICA Les CEA donnent une description chiffr e de la situation conomique du secteur agricole pris globalement Les donn es de la statistique agricole de base statistique de la production statistiques des prix servent l laboration des comptes conomiques de l agriculture La m thodologie des comptes conomiques de l agriculture est d finie par EUROSTAT et est uniforme pour tous les Etats membres de l Union Europ enne Elle a t soumise une r vision en 1997 pour la rendre compatible avec celle des comptes nationaux appel s SEC95 La description d taill e des m thodes est consign e dans le r glement CE 138 2004 Les CEA constituent un outil essentiel pour appr cier et analyser l volution globale de la situation conomique du secteur agricole Les CEA ne se pr tent cependant ni l analyse des r sultats conomiques au niveau des exploitations individuelles pour ce faire il faut se reporter aux r sultats du r seau de comptabili
354. ns des lots de semences conventionnelles aucun OGM non autoris dans l UE n est tol r Pour les OGM autoris s toute pr sence fortuite d tectable doit tre clairement indiqu e sur l tiquette officielle accompagnant le lot de semences Des n gociations entre la Commission europ enne et les Etats membres sont actuellement en cours pour adopter une l gislation communautaire fixant des normes la pr sence fortuite d OGM dans des lots de semences Ainsi dans le cadre de ses activit s de contr le de la commercialisation des semences en 2006 l ASTA a pr lev par sondage des chantillons de semences de ma s en vue de d tecter la pr sence accidentelle d OGM Les analyses qui ont t effectu es par le laboratoire d analyse des denr es alimentaires du Laboratoire Nationale de Sant ont montr qu aucun chantillon ne contenait des OGM b Les essais vari taux et la liste nationale recommand e des vari t s agricoles Le choix judicieux des vari t s d esp ces agricoles rev t une grande importance conomique en production v g tale IX 9 c Il est d s lors indispensable qu une instance officielle et neutre se charge de l exp rimentation des nouvelles vari t s pour recommander les plus productives et les mieux adapt es aux conditions naturelles de notre pays Ainsi la commission technique pour l admission des vari t s d esp ces agricoles dont ASTA assume la pr sidence et le secr tariat a pour miss
355. ns le cadre du contr le g n ral des tablissements voire contr le des tablissements les fonctionnaires de l Administration des Services Techniques de l Agriculture ont r alis en 2006 onze contr les sp cifiques d tiquetage et de tra abilit dans les boucheries et les points de vente Durant l ann e 2006 13 tests ADN ont t effectu s afin de contr ler la concordance entre les morceaux de viande pr lev s dans le commerce et les pr l vements d oreilles de bovins effectu s au niveau de l abattoir Pour 9 chantillons la concordance a t constat e et par cons quent la tra abilit a t correctement appliqu e tandis que pour 4 chantillons le respect de la tra abilit n a pu tre v rifi La surveillance de la pr valence des salmonelles dans le cheptel porcin En pr paration de la mise en uvre des dispositions r glementaires communautaires en mati re du monitoring des zoonoses un programme de surveillance de la pr valence des Salmonelles est en application dans les abattoirs sur les porcs abattus Ce programme comprend une variante nationale pour le monitoring des porcs de la Marque Nationale et une variante communautaire relative l ensemble des porcs abattus La pr valence du cheptel porcin est tr s variable selon les exploitations et les porcheries affect es sont soumises des mesures d assainissement 4 Les animaux de boucherie Total des animaux abattus dans les abattoi
356. ntaire I1 6 5 L agriculture biologique nn eneniteitetinheete 1 7 6 La contribution la lutte contre le changement climatique 1 7 7 L am lioration de la rentabilit des propri t s foresti res l 7 b Axe 2 L am lioration de l environnement et du paysage eeeeeeeeen Il 7 1 Le soutien de l activit agricole dans les zones d favoris es IIl 8 2 Les mesures agri environnementales en agriciculre et en viticulture lIl 8 3 La promotion du r le des for ts dans l am lioration de l environnement et du paysage sssini cenieni iieri nement ttes NEEKIN aAA EEEE sobt IIl 9 c Axe 3 L am lioration de la qualit de vie dans les zones rurales et l encouragement de la diversification I 10 d Axe 4 LEADER La constitution de capacit s locales pour l emploi tla diversificati N aiene an ar ere e E RE EE Il 11 C Les autres d cisions du Conseil en 2006 Il 11 1 La biomasse et les bio carburants Il 11 2 Le M morandum sur la mise en uvre de la politique agricole r form e Il 12 3 La qualit des denr es alimentaires Il 12 4 Les mesures exceptionnelles de soutien du march dans le secteur avicole I 13 5 Les conclusions du Conseil sur la coexistence de cultures conventionnelles biologiques et g n tiquement modifi es eseeeeeeeeeeeeeeeeeeiererrsessr
357. ntation technico conomique et de leur taille conomique constitue la base de donn es servant la d termination des statistiques conomiques au niveau national et communautaire dans le cadre du RICA le r seau d information comptable agricole au niveau de l Union Europ enne Chiffre d affaires somme de toutes les ventes de produits et services agricoles plus les variations de stocks plus les aides li es la production B n fice ou revenu agricole r sultat du compte d exploitation b n fice mesurant le revenu annuel d gag par l activit agricole y compris les activit s accessoires Le revenu agricole repr sente la r mun ration du travail fourni ainsi que des capitaux propres engag s par les UTAn pr sents dans l entreprise Revenu de r f rence moyenne nationale annuelle du salaire brut des salari s non agricoles calcul e par le STATEC Coefficient de rentabilit le coefficient est gal au quotient du revenu agricole sur la somme des charges calcul es savoir un int r t forfaitaire de 3 5 sur les fonds propres et une r mun ration pour l exploitant et les membres actifs de sa famille qui est fix e au niveau du revenu de r f rence national Si le revenu est assez lev pour permettre de r mun rer le capital et le travail familial au niveau fix le coefficient atteint la valeur de 100 seuil de rentabilit Aides la production sont remplac es partir de 2005 par la prime
358. nter la capacit d ensachage VI 10 d augmenter la qualit de pr sentation de notre produit Est aussi pr vue la cr ation de deux lignes d emballage en gros conditionnement comprenant un chariot l vateur deux retourneurs de caisse pour vidange produit brut deux bascules 3 000 kg agr es deux remplisseurs de big bags Cet investissement permettra d am liorer l offre envers les clients demandeurs de ces conditionnements de r aliser des conomies en produits finis d augmenter notre capacit d ensachage d am liorer de la qualit du produit Le taux d aide retenu est de 35 tel que pr vu l article 22 2 premier alin a de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Le plan de financement se pr sente comme suit Montant du devis retenu 251 916 52 5 impr vus inclus Part du demandeur 65 163 745 74 Part de l Etat 35 88 170 78 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres D Le r sum des d penses charge du Fonds d orientation conomique et sociale au cours de l exercice 2006 exploitations individuelles ancienne loi agraire 188 598 53 exploitations individuelles nouvelle loi agraire 30 744 789 02 collectivit s nouvelle loi agraire 2 185 524 48 Total 33 118 912 03 E La situation du Fonds
359. ntes La mise disposition ainsi que dans certains cas la livraison n cessite une quantit non n gligeable de la main d uvre Un grand nombre de demandes ont d tre refus es suite la rupture de stock En 2006 les livraisons suivantes ont t effectu es 750 m de bois de chauffage pour les habitants des communes de Schuttrange et Niederanven 426 m de bois de chauffage pour les habitants des communes de Sandweiler et de Contern 220 m de bois de chauffage pour les habitants de la commune de Dudelange et de Frisange 70 m de bois de chauffage triage de Gr newald Waldhof La production de copeaux bois Suite une convention entre les administrations communales de Niederanven et de Betzdorf le responsable du triage de Niederanven s est occup du d chiquetage et du s chage des copeaux et a organis la mise disposition du bois d nergie pour les deux communes Depuis 2006 le triage de Sandweiler participe aussi la production de copeaux bois Au cours de l ann e 2006 1 200 m 3 000 Sfm ont t manipul s 1 m 2 5 Sfm Sch ttfestmeter Volume de bois d chiquet et s ch en 2006 m Commune de Niederanven 300 Commune de Sandweiler 20 Commune de Schuttrange 100 Commune de Contern 280 Commune de Betzdorf 500 Total 1 200 Le chauffage bois du Naturzenter Dans le m me contexte il y a lieu de relever que plus de 75 m
360. ntillons analys s 17 662 R sultats 6 827 chantillons taient positifs en 1I B R gB c d vaccin s avec un vaccin d l t 2 045 chantillons taient positifs en 1 B R dE c d porteurs d anticorps contre le virus sauvage ou vaccin s avec un vaccin non d l t 184 chantillons donnaient un r sultat non conclusif respectivement bovins vaccin s avec un vaccin non d l t soit 11 57 Dans le cadre des expositions des exportations et importations 1 689 analyses effectu es sur des bovins individuels ont donn les r sultats suivants 426 analyses positives en B R gB et 183 analyses positives en I B R dE soit 10 83 La para tuberculose La campagne officielle de surveillance et de lutte contre la para tuberculose organis e durant la p riode de stabulation 2005 2006 a permis d une part d terminer la pr valence de cette maladie sur le cheptel luxembourgeois et d autre part d en initier l assainissement Rappelons cet effet que l chantillonnage s rologique est op r sur les bovins allaitants partir de l ge de 24 mois alors que les vaches laiti res sont analys es sur le lait Les porteurs d anticorps sont examin s par analyse des mati res f cales sur une ventuelle excr tion du germe pathog ne Au vu du grand risque de la transmission de la maladie surtout pour le jeune b tail les excr teurs test s positivement sont cens s tre limin
361. nts de l agriculture et de la sylviculture consommateurs classes scolaires etc Le soutien de l Etat aux activit s de recherche aff rentes sera maintenu IIl 5 2 3 4 Les investissements dans les exploitations individuelles La strat gie actuelle du Gouvernement consistant soutenir les investissements r alis s par les exploitants sera poursuivie afin de r pondre aux exigences en mati re de qualit des produits et d efficience des processus de production et en vue d accompagner la restructuration et la modernisation du secteur de m me que la cr ation de nouvelles exploitations La priorit sera donn e aux exploitants professionnels c est dire ceux pour lesquels l activit agricole au sens large constitue la part pr pond rante de leur emploi et de leur revenu Les secteurs horticole avicole et dans une moindre mesure porcin sont fortement d ficitaires au Luxembourg alors qu un d bouch r gional pour des produits de qualit existe une attention particuli re sera port e ces secteurs D une mani re g n rale les exploitants seront encourag s produire des produits de qualit et valoriser leur terroirs Les politiques de diversification des productions agricoles viticoles et horticoles notamment le d veloppement de sp culations de niche seront poursuivies Le plan de d veloppement rural d finit un r gime d aides favorisant les investissements au
362. o t b n fice sans remettre en question les orientations politiques fondamentales En outre des experts de toute l Europe se sont r unis les 3 et 4 octobre 2006 Bruxelles pour une conf rence de deux jours consacr e la simplification de la PAC Une PAC simple pour l Europe un d fi pour tous Cette r union a prouv que la simplification administrative est le souhait des administrations des op rateurs et des agriculteurs Les r sultats tofferont les discussions sur l volution future de la PAC tant au niveau technique que politique La Commission a pr sent le 18 d cembre 2006 une proposition pour une organisation de march unique destin e remplacer les 21 organisations communes de march OCM qui r gissent actuellement les diff rents march s agricoles Ceci permettra d abroger une quarantaine de r glements du Conseil avec l objectif de renforcer la transparence et d am liorer la qualit des textes juridiques Dans le domaine des paiements directs un rapport sur l introduction du m canisme de la conditionnalit sera pr sent au printemps 2007 Le rapport comprendra une valuation des options possibles de simplification du syst me L examen de sant des r formes pr vu en 2008 comportera galement une analyse d un certain nombre de mesures qui contribuent la complexit tant pour les agriculteurs que pour les administrations Les n gociations commerciales internationales D
363. occasionn s par le gibier En contrepartie de vieux enclos d une longueur totale de 3 300 m ont t enlev s La for t lieu de loisir Des sentiers p destres et des chemins vocation hautement r cr ative ont t entretenus Betzdorf 6 500 m Biwer Bous 1 500 m Canach 1 300 m et Lenningen 1 600 m Dalheim 4 000 m et Waldbredimus 1 500 m Elvange 5 000 m Flaxweiler 4 500 m Grevenmacher 12 000 m Junglinster 2 000 m Manternach 14 000 m et Mertert 15 000 m Mompach 1 000 m Remerschen Remich 5 800 m Wellenstein 2 000 m et Wormeldange 15 000 m La longueur des chemins surveill s et entretenus s l ve 92 700 m Des sentiers fitness et les sentiers didactiques Haard Canach Am Brill Betzdorf Grossfooscht et Kelsbaach Grevenmacher Syrdall Manternach et Mertert D iergaard Remich Riederb sch Betzdorf Haff R imech et alentours Remerschen Schengen Wintrange Gaa Dreiborn Pellembierg Ahn et Wormeldange ont t soigneusement entretenus sur une longueur d passant 41 000 m De m me le sentier international reliant les r gions m diterran ennes la Hollande et traversant les territoires des communes de Remich et Stadtbredimus a fait l objet d un entretien r gulier Tous les sentiers sont quip s d installations de loisir fabriqu s pour la plupart dans nos ateliers bancs tables poubelles et panneaux Il y a lieu de mentionner tout particuli rement l
364. oix du site proximit de la localit de Bissen r sulte de la volont de Luxlait de se rapprocher de ses points de collecte de lait cru Les deux sites actuels de production de Luxlait ne correspondent plus aux standards actuellement requis pour une production puissante concurrentielle ordonn e organis e de haute qualit d hygi ne des produits de s curit alimentaire et des conditions de travail suffisantes respectant l environnement La restructuration est galement un des objectifs de ce projet Deux usines v tustes vont fermer leurs portes et les activit s reprises soit dans la nouvelle unit soit par synergie industrielle dans des usines avec lesquelles Luxlait va fonctionner en partenariat Les besoins de modernisation sont tels qu ils figurent en t te de la d finition du programme de lusine Les co ts li s ces usines obsol tes bloquent Luxlait dans son d veloppement et l absence de conformit aux derni res normes de qualit l emp che d acc der certains march s l exportation La production future poss dera des unit s fonctionnelles coh rentes et souples se r f rant des fonctions unitaires et non plus des produits Les exemples les plus VI 8 frappants sont ceux des syst mes de pasteurisation des machines de conditionnement des palettiseurs et du stockage La nouvelle usine disposera d une r ception des mati res premi res d une unit de pr paration des batchs et d
365. ommandes la saisie des r sultats la r daction de bulletins et la facturation des analyses dans le cadre des exigences de la norme d accr ditation Il permettra galement l valuation statistique des r sultats d analyse et des contr les effectu s pour la mise en uvre du plan pluriannuel conform ment au r glement CE 882 2004 du 29 avril 2004 relatif aux contr les officiels pour s assurer de la conformit avec la l gislation sur les aliments pour animaux et les denr es alimentaires et avec les dispositions relatives la sant animale et au bien tre des animaux Le logiciel de base LAMS voluera avec la collaboration des autres services concern s pour s adapter aux besoins respectifs Suite aux dispositions du r glement CE 882 2004 concernant les contr les officiels la restructuration du service a t entam e Le volet contr le des aliments pour animaux a t int gr dans le service de la production animale de la division agronomique Durant cette p riode de transition un certain nombre d analyses sur les aliments des animaux n a pas pu tre r alis par le service parce que deux chimistes ont t d tach s plein temps pour le contr le Une partie des analyses sont donc effectu es pour le moment par des laboratoires externes Afin de garantir et de maintenir le bon fonctionnement du service dans le domaine de l analyse des aliments pour animaux une adaptation du nombre du personnel analytique aux besoins est a
366. onaux teneur certifi e pour les cellules somatiques et les germes totaux garantit un ajustement correct des instruments d analyse Les normes de qualit minimales europ ennes prescrites par la l gislation directive CEE 92 46 sont de 100 000 ml en ce qui concerne les germes et de 400 000 ml pour les cellules somatiques En 2006 99 43 des producteurs ont respect cette norme quant aux germes et 98 56 quant aux cellules somatiques Les crit res pour le classement du lait cru en cat gorie notamment lt 50 000 ml concernant les germes et lt 250 000 ml concernant les cellules somatiques sont remplies en 2006 par respectivement 97 08 et 87 21 des producteurs 6 La Marque Nationale des eaux de vie luxembourgeoises Introduite le 21 juin 1985 par r glement du Gouvernement en Conseil la commission de la marque nationale des eaux de vie luxembourgeoises vient d achever sa vingti me ann e de d gustation Au cours de cette p riode 228 s ances de d gustation ont eu lieu durant lesquelles 1 956 chantillons d eaux de vie repr sentant un volume total de 404 934 litres ont t soumis l examen organoleptique De ce volume 322 976 litres soit 80 ont obtenu la marque nationale IX 27 Tableau 5 Classification des diff rentes esp ces d eaux de vie pr sent es la marque nationale de 1986 2006 Esp ce Volumes en litres pr sent s admis Cidr
367. ons suivantes _ 42 930h 48 02 Marque nationale Appellation contr l e AOC _12 272h 13 73 Vin class 2 765 3 10 Premier cru 26 689hl 29 85 Grand premier cru _4 730hl 5 30 n ont pas obtenu l agr ment en AOC Pour ce qui est du volume de vins mousseux 13 030 hl ont t class s Cr mants de Luxembourg et 5 155 hl ont t class s Vin mousseux de qualit Alors que les chantillons pr sent s pour la mention Vin mousseux de qualit ont tous t admis 8 des 115 chantillons pr sent s pour la mention Cr mant de Luxembourg ont t refus s Les chiffres des vins de la r colte 2005 repr sentant les mentions sp ciales Vendanges tardives Vin de glace et Vin de paille sont les suivants Vendanges tardives 27 chantillons au total 155 hl Vin de glace 2 chantillons au total 5hl Vin de paille 8 chantillons au total 16 hl 5 La situation financi re de la marque nationale du vin Les ressources financi res de la marque nationale proviennent de la vente des certificats de qualit et des taxes de pr sentation des vins pr sent s pour l agr ment en AOC ou d une des mentions qualitatives Elles sont destin es couvrir les frais de fonctionnement de la marque nationale et financer des actions de promotion du Fonds de solidarit viticole Au cours de l exercice 2006 la vente de certificats de qualit s l ve 12 1 mi
368. ons totales de produits importations En Pa ns A 2005 2006 Animaux vivants Viandes et pr parations de viande Produits laitiers et oeufs d oiseaux Poissons crustac s mollusques C r ales et pr parations de c r ales L gumes et fruits Sucres pr parations de sucre et miel Caf th cacao pices Nourriture pour animaux Produits et pr parations alimentaires divers Produits alimentaires et animaux vivants tous les ous les groupes de produits de ous les groupes de produits 9735567 735 567 11 11632812 812 12 12583544 544 12 12275089 989 12 1210878 789 13518 421 14 14187 055 055 15 15 543 079 079 part relative en des produits alimentaires et animaux vivants dans les importations totales de produits provisoire B L ann e 2006 sur le plan agricole Malgr une volution tr s contrast e sur le plan m t orologique les principales productions v g tales et animales ont fourni des r sultats qui se situent dans la moyenne pluriannuelle Sur le plan des prix au producteur on constate apr s des ann es de recul un net redressement des prix pour les grandes cultures alors que le prix du lait continue baisser mais semble amorcer vers la fin de l ann e un renversement de tendance Les indicateurs de revenu calcul s sur base d une estimation des comptes conomiques de l agriculture CEA indiquent une stagnation voire une l g re tendance positive 0 8 pour l indicateur
369. ons sur les diff rents aspects et r les du cheval de trait des expressions utilis es dans ce contexte ainsi que les diff rentes races de chevaux et leurs caract ristiques La publication donne des conseils pratiques aux futurs meneurs de chevaux et d crit l influence positive que les chevaux de trait peuvent avoir sur les tres humain On est rendu attentif sur le fait que l utilisation moderne du cheval de trait peut tre une source d nergie renouvelable La publication contient une pl nitude d informations concernant des adresses de fabricants de machines chevalines des donn es sur la litt rature utilis e ainsi que d une liste des magazines les plus importants dans le contexte de la publication Cela permet une recherche bien vis e et d taill e L objectif de la publication est d informer et de sensibiliser les responsables politiques et les responsables des services techniques et cologiques des diff rentes communes ou syndicats des centres r gionaux d accueil de parcs naturels les gestionnaires forestiers les agents r gionaux de l Administrations des Eaux et For ts et de l Administration des Services Techniques de l Agriculture l utilisation du cheval dans la gestion du milieu naturel c La publication Naturnaher Waldbau La conception et la r daction de cette publication ont t termin es en 2005 La mise en page ainsi que la campagne photo ont eu lieu en 2006 La publication se pr sente sous
370. ood nt inter dut Le suivi du Programme Forestier National Le mat riel forestier de reproduction La participation au groupe EUFORGEN sisi La gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau La commercialisation du bois de trituration iii v Le BOIS NOTQIe te A A ner An Re nd ee B Les cantonnements forestiers iii iiiiiieeeeceeeceeeeeeceeeeeeesee 1 2 3 4 L exploitation des bois Lavente de bois T AT rire n s taste ee LOS e rss a en TP es ATETA Le cantonnement de Diekirch nn anann nnen n nnna a L exploitation des coupes b Ca vente de bols tit te Ron ent alerter Ode c L tat sanitaire de lA TOr T se nant e rte ne ne la tante ete trtn nine d Les r g n rations les plantations les travaux de culture les travaux de nettoiement ses 6 LES P DINISTOSES sn aa a a O ttes este d ie sed tete ns a E E e imite 1 d VOIrIS TOrSS Beer Le en one done A na E g Les travaux forestiers subventionn s h Laforet pV S enr dr tra nan eE net entend t aan da dent ae ti dt i Les d gats de gibier smerne tesda a A tn ent nee j La peste porcine les centres de collecte pour gibier k La for t lieu de loisir nanne ennnen Le cantonnement
371. opt deux r glements l un relatif la protection des indications g ographiques et des appellations d origine des produits agricoles et des denr es alimentaires l autre relatif aux sp cialit s traditionnelles et garanties des produits agricoles Les deux projets de r glement ont t pr sent s au Conseil le 23 janvier 2006 Le Parlement europ en avait formellement avis les deux propositions le 16 mars 2006 Le premier cadre l gislatif communautaire relatif la production biologique aux sp cialit s traditionnelles garanties aux indications g ographiques et aux appellations d origine a t instaur au d but des ann es 90 Depuis compte tenu des modifications l gislatives de l largissement et plus particuli rement des actions juridiques engag es par des pays tiers l Australie et les Etats Unis dans le cadre de l Organisation mondiale du commerce ainsi que des probl mes techniques de mise en uvre il est apparu n cessaire d op rer un changement d ensemble dans ces r glementations Il s agit notamment de l introduction d un document unique pour les demandes qui vise permettre tout op rateur d exercer son droit d opposition et aux autorit s d assurer la protection des d nominations enregistr es dans chaque Etat membre En outre il permettra une homog n it accrue et une galit de traitement entre les demandes Pour harmoniser la l gislation communautaire toutes les dispositions relatives
372. os de Chab Sea eraa aea ad nt a OUR de ete XI 26 d L tat sanitaire de la for t XI 26 e Les r g n rations les plantations les travaux de culture XI 26 f Les p pini res siemens init dat din se aies El XI 26 g Les travaux d am liorations hit near lee nent lee XI 27 h La v lrie Foresti re isnan na ES at Re np Aa tte t s unes XI 27 i Les travaux forestiers subventionn s XI 28 AE COLE MO A AAS RN XI 29 k Les d g ts de giiel singgi Eana rues fe ren tie Ne gr d s te XI 29 1 La for t lieu de loisir d aeaa t haada sk XI 30 C Le Service de l Am nagement des bois et de l Economie foresti re XI 30 1 Lam nag mentioresti r sssnshents ae At ste nr d ter tt idee XI 30 a Les instructions pour la r alisation des travaux d am nagement XI 30 b L am nagement de la for t communale de Berdorf 644 ha XI 30 c Le Plan Simplifi de Gestion de la for t communale de Reckange 58 ha XI 32 d Le Plan Simple de Gestion de la for t communale de Schifflange 58 ha XI 31 2 Les inventaires forestiers d am nagement XI 31 a Les instructions pour la r alisation des travaux d inventaire d am nagements een abandonner EARE AAE ta st es X1 31 by Les travaux dinventaire sand dede en n RER rt dois e nan XI 31 c La mission photogramm trique seessesserieeeeteeeeritiirtrtesssririnrnnssssrrrr
373. ositions l gales exigent que l ensemble de la production en particulier l quipement et les exigences hygi niques soit port au niveau le plus moderne Ceci vaut galement pour un certain nombre de machines et pour l installation de production de salaisons En parall le le demandeur proc de une restructuration du processus de production pour le rendre plus efficace Ces mesures n cessitent une fermeture partielle de la surface des b timents dont la conception para t aujourd hui trop grande au vu des besoins actuels A noter que dans un premier temps le demandeur a ferm provisoirement jusqu nouvel ordre ses installations d abattage Son projet ne concerne donc que les ateliers de d coupe et les ateliers de transformation et plus sp cifiquement les ateliers de salaisons fum es VI 2 Les travaux quipements et machines vis s par le pr sent projet d investissement sont pour les ateliers de d coupe les travaux de gros uvre peinture d molition murs sols et portes ainsi que la r alisation de l installation lectrique l installation de rails de transport une plucheuse machine pour le parage final des viandes et une d couenneuse machine pour enlever la couenne de la viande les salaisons froides un injecteur machine pour injecter de la saumure dans les salaisons des fumoirs une presse machine pour presser les jambons en cube avant tranchage un quipement smart wrapper machine dest
374. otamment sur le maintien et la cr ation d emplois l acc s la recherche et au d veloppement l innovation les nouvelles initiatives en mati re de technologies de l information et de la communication TIC e a appliqu es la commercialisation la valorisation et la transparence des I11 6 diff rents labels et signes d identification des produits et la production de produits de qualit Des impulsions seront donn es au respect de cahiers de charge qualit aux d marches en mati re d assurance qualit et de tra abilit des produits ainsi qu au d veloppement de nouveaux produits 5 L agriculture biologique Actuellement la demande en produits biologiques d origine r gionale n est pas encore satisfaite pour cette raison le Gouvernement entend accro tre l effort entrepris en faveur du d veloppement des productions biologiques agricole viticole et horticole Le PDR pr voit ainsi un r gime d aide renforc e pour soutenir l agriculture biologique 6 La contribution la lutte contre le changement climatique Le maintien des mesures de soutien offertes par les autorit s publiques et la r alisation d tudes en vue de d terminer le potentiel de la biomasse au Grand Duch de Luxembourg tant pour l agriculture que pour la sylviculture devraient permettre le d veloppement de la production nationale d nergies renouvelables aussi bien en volume que par la mise en uvre de nouvelles techniq
375. oujours pas remises des suites de l t torride de 2003 De plus la p nurie en eau pendant les p riodes de v g tation des deux derni res ann es n a pas am lior la situation L inventaire des d g ts occasionn s par la pollution atmosph rique en relation avec d autres facteurs a r v l un manque de feuillage consid rable H tres et ch nes semblent souffrir de la m me mani re Les r g n rations les plantations les travaux de culture Suivant les principes d une sylviculture proche de la nature les for ts sont r g n r es de pr f rence de fa on naturelle Ainsi une surface d une trentaine d hectares a t mise en lumi re et la v g tation adventice enlev e Cette r g n ration naturelle s est d velopp e dans le triage de Biwer aux lieux dits Kuchw nkel Kuchwenkelbaach Maertesgronn Vir Breinert commune de Biwer et Uewerb sch commune de Junglinster dans le triage de Canach aux lieux dits Hosbusch et R ib sch commune de Lenningen dans le triage de Dalheim aux lieux dits Engelsgronn Kiem Heedscheier commune de Dalheim et Krounebierg commune de Bous dans le triage de Flaxweiler aux lieux dits Widdebierg Maxmeiner Rangels commune de Flaxweiler et Widdebierg commune de Betzdorf dansle triage de Grevenmacher aux lieux dits Deckt Steck G rtchen Schaedergronn et Kleng Schedchen commune de Grevenmacher dans le triage de Manternach aux lieux dits Ae
376. our but d indiquer au visiteur les chemins qu il pourra utiliser l int rieur de la r serve et qui par cons quent sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e Des d marches ont t entreprises afin de supprimer les sentiers balis s qui traversent la zone de qui tude afin de respecter les dispositions du r glement grand ducal qui pr voit un acc s limit cette zone particuli re de la r serve foresti re int grale XI 41 Une deuxi me r union du comit de suivi a eu lieu afin que les diff rentes parties concern es administration communes propri taires priv s puissent changer des informations sur la gestion ainsi que sur les activit s autour de cette nouvelle zone prot g e Les th mes principaux de cette r union taient les suivants installation des placettes permanentes dans la r serve foresti re int grale RFI inventaire des papillons de nuit mesures de gestion entreprises au cours de la derni re ann e pr sentation des panneaux du sentier didactique b La r serve foresti re int grale Enneschte B sch Bertrange Description g n rale du projet La sp cificit du Enneschte B sch r sulte du fait que la zone d limit e repr sente les ch naies charmais sur sols frais ainsi que les h traies sur marnes argileuses du Gutland du Sud L association foresti re la plus fr quente est celle du Primulo Carpinetum avec 62 de la surface d limit e L association du Melico Fag
377. our la for t communale de Bertrange Conditions naturelles La for t communale de Bertrange couvre une superficie de 315 ha La for t est constitu e de quatre massifs distincts de tailles diff rentes L Enneschte B sch et le massif situ au lieu dit H en sont respectivement situ s au sud et au sud ouest de l agglom ration de Bertrange Le troisi me massif est situ l ouest de l agglom ration au lieu dit Heed en continuit avec la for t communale de Mamer lieux dits Dudschleed et Houscht La derni re partie au nord est constitu e d une fine bande bois e situ e sur les versants du Tossebierg L Enneschte B sch couvre une surface de 186 5 hectares et constitue le plus grand massif de la propri t Sa proximit des agglom rations urbaines sa facilit d acc s et son r seau de desserte d velopp en font un lieu tr s fr quent pour la d tente et le sport La partie du massif situ e l est du CR 163 a r cemment t class e en R serve Foresti re Int grale RFI La propri t foresti re communale est situ e dans la partie ouest du domaine cologique du Gutland comprenant les r gions des cours inf rieurs de l Alzette et de l Attert avec leurs affluents La topographie est caract ris e par un paysage faiblement ondul avec une altim trie variant de 280 340 m tres d altitude Les pentes sup rieures 20 atteignent peine 5 de la surface totale La maje
378. plantations les travaux de culture En total 43 575 plants de feuillus et 6 800 plants de r sineux ont t mis dans la terre Les taux de reprise taient de 85 chez les feuillus et de 80 chez les r sineux XI 22 f Les p pini res Actuellement aucune p pini re n est exploit e sur le territoire du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest g Les travaux d am lioration En 2006 127 33 ha ont subi des travaux de d gagement tandis que des travaux de nettoiement ont t effectu s sur une surface de 200 75 ha h La voirie foresti re Au cantonnement 2 projets au total de 1 350 m de chemins nouveaux ont t r alis s dans des for ts communales D autre part 340 m de chemins ont t r fectionn s A l avenir les travaux se limiteront surtout l entretien de la voirie existante i Les travaux forestiers subventionn s Les travaux forestiers suivants ont t subventionn s d bardage cheval 539 99 m3 1 claircie dans des peuplements r sineux 850 30 ares j La for t priv e Le cantonnement forestier entretient des contacts sporadiques avec des propri taires forestiers priv s normalement sur une demande individuelle Les sujets de ces contacts taient constitu s en des conseils pratiques sur la construction de chemins forestiers le choix des essences ou l valuation de travaux forestiers ex cut s par des entrepreneurs priv s k Les d g ts caus s par le gib
379. pommes de terre y compris plants fruits vin autres produits v g taux production v g tale 01 09 1 18 Tableau 6 Production co t de production revenu des facteurs revenu net d entreprise en 1000 hors TVA source SER tous les postes sont exprim s en valeur au prix de base 2e partie production animale production agricole production de la branche agricole variation 2006 par variation 2006 par rapport 2005 2005 1985 1990 1995 2000 2004 2005 2006 indice de indice de indice de prov valeur volume prix animaux 11100 11900 71 891 bovins 56 381 porcins 14 846 equid s 42 ovins et caprins 297 volailles 149 autres animaux 176 produits animaux 12100 12900 84 863 lait 82 707 ufs 1 730 autres produits animaux 426 production animale 11 12 164 001 156 754 156 185 165 596 149 773 production de biens agricoles 10 13 244 544 240 308 242 651 261 478 230 767 production de services agricoles 2 933 5 092 7 447 8 014 7 755 production agricole 14 15 247 477 245 400 250 097 269 492 238 522 activit s secondaires non agricoles non s parables 6 254 5 102 6 130 8071 11982 transformation de produits agricoles 3 612 2 204 2 529 2 518 2618 autres activ secondaires non s parables biens et services 2 643 2 898 3 602 5 553 9 364 production de la branche agricole 16 17 237 819 253 731 250 502 256 228 277 563 250 504 251 951 1 19 Tableau 6 Production co
380. pplicable dans ce pays L indemnit revenant chaque exploitant est calcul e comme suit IV 17 a en ce qui concerne les exploitations titre principal 150 pour chacune des 60 premi res unit s 75 pour chacune des 60 unit s subs quentes Depuis l ann e civile 2004 la surface ligible pour l aide est d termin e en modulant les plafonds repris ci dessus par la prise en compte de la structure conomique des exploitations afin de prendre davantage en compte les exigences conomiques des exploitants titre principal cr ant des emplois pour plusieurs personnes Cette modulation repose sur un syst me d UTA unit de travail annuel calcul es chaque ann e partir des heures de travail moyennes annuellement n cessaires l entretien des diff rentes surfaces et le cheptel Par palier de ces UTA calcul es pour chaque exploitation un coefficient multiplicateur des plafonds est d termin pour le premier et le deuxi me montant d aide b en ce qui concerne les exploitations titre accessoire 100 pour chacune des 15 premi res unit s 62 pour chacune des 10 unit s subs quentes Il en r sulte une indemnit maximale de 2 120 par exploitation titre accessoire En 2006 1 553 exploitations agricoles ont touch une indemnit compensatoire dont 1 441 exploitations titre principal et 112 exploitations titre accessoire Il faut noter que depuis 2001 inclus les exp
381. pr sent chapitre contiennent une description plus ou moins d taill e des activit s plus sp cifiques des divisions nouvellement r parties A La division des paiements directs Les principales missions de la division des paiements directs peuvent tre r parties dans les cat gories suivantes travaux en relation avec la demande annuelle de paiements la surface Fl chenantrag envoi des formulaires saisie alphanum rique et graphique et instruction des demandes laboration des dossiers de paiement travaux en relation avec le paiement unique gestion des droits au paiement demandes de transferts contr le de l utilisation des droits au paiement recalcul de la valeur des droits au paiement laboration de formulaires et communications voir chapitre IV point A pour des informations concernant des travaux sp cifiques en la mati re pour l ann e 2006 ainsi que des informations chiffr es travaux en relation avec les contr les sur place notamment concernant la conditionnalit Cross Compliance coordination de son application contacts avec les diff rentes autorit s comp tentes dans les domaines respectifs contr les administratifs tablissement de l chantillon des contr les sur place Il 2 travaux en relation avec les r gimes d aides coupl es prime aux prot agineux aide aux cultures nerg tiques paiement la surface pour les fruits coque voir chapitre IV point
382. pr sent projet d investissement vise l acquisition de divers quipements et la r alisation de divers travaux aux caves de Wellenstein II s agit en l occurrence des quipements et travaux suivants un syst me de climatisation du laboratoire un analyseur SO2 une plieuse manuelle de capsules une installation de tirage de BIB de concentration des mo ts une installation de flottation un grappoir pour vendanges une capsuleuse des pi ces pour d gorgeuse estimation Le taux d aide retenu pour cet investissement est fix 35 Le plan de financement se pr sente comme suit Montant du devis retenu 5 impr vus inclus 472 147 20 Part du demandeur 65 306 895 68 Part de l Etat 35 165 251 52 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres Projet d investissement pr sent par la s a Caves Bernard Massard relatif l acquisition de divers quipements pour vins luxembourgeois cr mants et vins mousseux Le projet d investissement le demandeur d aide envisage d acqu rir les quipements et de r aliser les travaux suivants au niveau du vendangeoir acquisition et installation des quipements suivants 60 box palettes pour raisins 4 cuves de fermentation thermor gul es r gulation temp rature cuverie 1 boucheuse MCA vin lux 25 cl et pi ces de formats tiquettes 1 syst me de marquage des boute
383. proc d 308 analyses sur les volailles domestiques et 752 analyses sur les oiseaux sauvages Tous les r sultats ont t n gatifs A noter que l chantillonnage des oiseaux sauvages est r alis en collaboration avec les experts de la Ligue Nationale pour la Protection des Oiseaux et de la Nature Au cours de 2006 quelques l g res d viations g notypiques du virus de la grippe aviaire hautement pathog ne ont t constat es pour certaines atteintes humaines faisant craindre la r surgence d une pand mie 15 La maladie de Newcastle ou pseudopeste aviaire Cette maladie de volailles est en progression dans diff rents tats membres et dans les Pays Tiers Aux cons quences conomiques moins graves que l influenza aviaire cette maladie exige n anmoins une surveillance sanitaire rigoureuse Le dernier foyer de la maladie de Newcastle a t notifi au Luxembourg en 1999 sur des pigeons voyageurs 16 La tuberculose aviaire En 2006 aucun cas n a t d tect Les deux derniers foyers ont t diagnostiqu s au Luxembourg en 2000 17 La leucose aviaire En 2006 aucun cas n a t d tect Le dernier foyer au Luxembourg remonte 2000 et tait localis Bertrange 18 La laryngo trach ite infectieuse En 2006 aucun cas n a t d tect Les 2 derniers foyers au Luxembourg remontent 1999 19 La psittacose Avant 2005 cette maladie transmissible l homme n a plus t d tect
384. produits agricoles Importation de produits agricoles Les prix nets au producteur d part ferme hors TVA Tableau 1 Evolution du nombre de la surface agricole utile et de l tendue moyenne des exploitations agricoles de 2 ha et plus Source STATEC ES Nombre d exploitations Surface agricole utile totale Superficie moyenne Ann e en chiffres SODI TRR M indices en ha indices en ha indices absolus 137 446 133 623 134 153 130 964 129 379 125 576 125 866 126 499 127 118 127 369 127 673 127 855 127 933 127 876 128 916 128 683 Tableau 2 Evolution du nombre des exploitations agricoles par classes de grandeur Source STATEC Classe de grandeur 5 9 9 ha 10 19 9 ha 20 29 9 ha 30 49 9 ha 0haet Toutes plus classes 2737 1475 796 183 Tableau 3a Population active agricole Assur s la Caisse de Maladie Agricole Source Centre Commun de la S curit Sociale Chef Conjoints P TOTAL d exploitation aidants 1703 4 017 1 642 3 915 1811 1 225 agricole englobe les agriculteurs viticulteurs et horticulteurs 2 Sont compris dans le pr sent relev les personnes actives travaillant dans les exploitations dont le chef d exploitation est membre ressortissant de la Caisse de Maladie Agricole Ne sont pas compris ni les personnes qui cotisent la Caisse de Maladie Agricole mais qui ressortent d une autre caisse de maladie ni les personnes qui ne cotisent pas la Caisse de Ma
385. ptel ovin luxembourgeois l volution suivante en mati re des g notypes r sistants aux enc phalopathies spongiformes transmissibles 2003 porteur du double all le ARR ARR porteur du simple all le ARR 2004 porteur du double all le ARR ARR porteur du simple all le ARR 2005 porteur du double all le ARR ARR porteur du simple all le ARR 2006 porteur du double all le ARR ARR porteur du simple all le ARR 18 97 37 69 22 06 41 86 32 51 45 70 37 69 47 23 En conclusion il faut retenir que gr ce un levage s lectif la pr valence de la r sistance aux enc phalopathies spongiformes transmissibles du cheptel ovin atteint un pourcentage de quelque 85 Les r sultats du g notypage pour 2006 sont retenus dans le tableau ci apr s R sultats du g notypage en 2006 Ardenner 26 A E E E e T Dt Milchschaf Heidschnucke ER EA l Merino i D e E e a E S E a S S E ous total par 30 Races non d termin es et Pourcentages 37 69 38 00 5 23 4 00 7 69 0 92 0 92 1 08 0 15 0 31 2 15 1 54 0 15 0 15 3 La fi vre aphteuse Le Luxembourg a connu son dernier foyer de fi vre aphteuse en 1964 Une vigilance permanente est maintenue en place au niveau de l Administration des Services V t rinaires aux fins de pr venir pour autant que possible l introduction sur notre territoire de cette
386. que l analyse et la coordination des mesures de promotion communautaire 2 La production v g tale a Le contr le et la certification des semences Les surfaces de multiplication s levaient en 2006 plus de 3 200 ha 55 par rapport 1990 La qualit des semences et plants produits au Luxembourg procure aux producteurs de nombreux d bouch s tant sur le march national qu international Le contr le et la certification des semences et plants de pommes de terre se font sous la responsabilit de ASTA A cette fin le service de la production v g tale actualise la r glementation concernant la commercialisation la production et la certification des semences et plants notamment en application des directives de l UE et de l OCDE Le service contr le tous les stades la commercialisation des semences et plants et surveille les op rations de production et de certification des semences indig nes L ASTA d livre les tiquettes et plombs officiels et per oit les taxes de contr le et de plombage Au Luxembourg suite au plan d action provisoire tabli par la Commission europ enne pour d tecter dans les semences la pr sence fortuite d Organismes G n tiquement Modifi s OGM tous les lots de semences des esp ces sensibles comme le soja le ma s etc import s de pays tiers sont analys s cette fin Les semences de ces m mes esp ces en provenance des autres Etats membres de l UE sont contr l es par sondage Da
387. quoi le Service du D veloppement rural poursuit l accompagnement de tels projets au del de l laboration du plan et par ailleurs susceptibles d tre subventionn s dans le cadre du titre III encouragement l adaptation et au d veloppement des zones rurales de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Le Service du D veloppement rural a encourag les communes rurales du Grand Duch de communiquer au minist re et la commission des zones rurales CZR cf art 59 des projets concrets et autres initiatives communales manant des concepts PDC De tels projets sont susceptibles d tre soutenus dans le cadre du r gime d aides relatif l ex cution du titre III de la loi du 24 juillet 2001 soutien au d veloppement rural Quant aux concepts PDC environ 70 communes rurales ont pr sent et publi les r sultats d inventaire analyse de leur PDC ceci dans le cadre d une sensibilisation amp pr sentation publiques d enqu tes aux m nages ou d ateliers de r flexions id es afin de promouvoir une des id es cruciales du d veloppement rural l approche proactive et participative ou encore le bottom up L animation ainsi que la coordination d ateliers th matiques avec la participation active de la soci t civile et d autres acteurs ruraux sont accompagn es par les agents du Service du D veloppement rural En plus des sp cialistes des diff rents groupements d tudes interdis
388. r par le Ministre conform ment aux dispositions pr vues l article 22 2 deuxi me alin a de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Le plan de financement pour le projet d investissement se pr sente comme suit Montant du devis retenu 5 impr vus inclus 800 873 00 Part du demandeur 65 de 671 164 00 436 256 62 Part de l Etat 35 de 671 164 00 34 907 38 Part du demandeur 60 de 129 709 00 77 825 42 Part de l Etat 40 de 129 709 00 51 883 58 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres Projet d investissement pr sent par la soci t des Moulins de Kleinbettingen S A relative l installation d un nouveau moulin pour bl tendre en son usine de Kleinbettingen Le projet d investissement pr voit la construction d un nouveau b timent dans la cour du site Kleinbettingen pour y abriter un nouveau moulin de bl tendre complet d une capacit d crasement de 180 to jour La capacit de production devrait s tablir environ 38 000 to an L outil actuel sera r serv la mouture de bl dur avec une capacit de 110 to jour La production annuelle en sera d environ 34 000 to Le nouveau moulin comprendra outre les installations de mouture proprement dites une installation de s chage de la farine une presse sons
389. r la protection de l environnement naturel 8 La commercialisation du bois de trituration Suite nos efforts de diversification de la commercialisation du bois d industrie sur 3 piliers savoir 2 repreneurs industriels cellulose et panneaux plaquettes et l utilisation de ce bois des fins nerg tiques suite aussi une hausse spectaculaire des produits p troliers et du bois de chauffage une distribution quilibr e entre ces 3 repreneurs a d tre organis e durant l ann e 2006 par l Administration des Eaux et For ts 9 Le bois nergie Suite l explosion du prix des produits p troliers et suite aux incertitudes d approvisionnement en nergie fossile l ann e 2006 a t marqu e par une nette augmentation de l int r t des communes propri taires de for ts pour la technique des chaudi res de copeaux de bois Une quinzaine de communes ont demand l Administration des Eaux et For ts des informations techniques et financi res L Etat a marqu son accord de principe pour installer une chaudi re copeaux de bois de 1 m gawatt dans un lyc e technique A ce jour gr ce l utilisation du bois comme source d nergie renouvelable les 16 chaudi res en service au Luxembourg produisent une puissance de 5 062 kW en utilisant approximativement 5 567 m3 de bois Le bois utilis des fins nerg tiques rev te un caract re industriel c est dire qu il provient enti rement du bois de tri
390. r la qualit de vie en milieu rural tout en permettant la cr ation et ou le maintien d emplois dans les secteurs de l artisanat et du commerce En 2006 21 projets ont t engag s sous cette mesure VII 6 Porteur de projet Projet Greiweld nger Leit a s b l Restauration d une ferme Greiveldange en vue de la cr ation de salles d exposition de r union et de stockage Commune de Beaufort Construction d un mini stade compact et polyvalent aux abords du complexe scolaire et sportif Commune de Beckerich Am nagement d une salle polyvalente resp de deux salles de formation dans l ancien moulin de Beckerich Commune de Bous Am nagement d une aire de jeux et d une salle multifonctionnelle dans le cadre de l extension de l cole centrale de et Bous Commune d Esch sur S re R novation de la maison communale 1 tage pour des locaux des commissions et associations du village Commune d Esch sur S re Installation d une aire de jeux Boulodrome piste de p tanque Commune d Eschweiler Transformation de l ancienne laiterie en local pour les besoins des jeunes et am nagement d une place ext rieure pour les loisirs des jeunes Selscheid Ville d Ettelbruck Am nagement d une nouvelle biblioth que municipale et r gionale dans les locaux de l ancienne menuiserie Schwalen Ettelbruck Commune de Flaxweiler Transformation de l anc
391. rale du projet Le p rim tre d tudes pour le projet recouvre une superficie de 142 02 ha La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum et Luzulo Fagetum qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure et du Mullerthal Par ailleurs il s agit d un massif tr s int ressant tant donn que cette partie de la for t est depuis longtemps g r e d une fa on tr s extensive voire proche de la nature Ainsi la sp cificit du site Schnellert r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte du bois mort mois dans diff rentes phases de d composition A plusieurs endroits une r g n ration naturelle s est install e cr ant des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le tout fait que la zone d limit e comporte d s pr sent certains endroits une image de for t vierge La zone d limit e a d ailleurs d j fait l objet de nombreuses tudes notamment les recherches interdisciplinaires du Mus e d Histoire Naturelle qui ont t men es sur une p riode de trois ans Cette tude pr conise entre autre une extr me prudence quant l exploitation foresti re du Schnellert Le dossier de XI 47 classement pour la r serve naturelle foresti re de Berdorf Consdorf Echtern
392. re de bien tre des animaux d hygi ne de s curit alimentaire et de respect de l environnement Ce taux est applicable pour les investissements concernant les installations de mouture la station m lange le s choir la machine d emballage et le d tecteur de m tal se placent dans le cadre d une am lioration des conditions en mati re d hygi ne et de s curit alimentaire ceci d autant plus que le demandeur utilise des c r ales produites sous le label Produit du terroir L tzebuerger Miel Les autres installations et quipements ne pourront b n ficier que d une aide de 35 Le plan de financement retenu se pr sente comme suit Montant du devis retenu hors TVA 9 498 784 05 Part du demandeur 65 de 3 010 996 80 1 957 147 92 Part de l Etat 35 de 3 010 996 80 1 053 848 88 Part du demandeur 60 de 6 487 787 25 3 892 672 35 Part de l Etat 40 de 6 487 787 25 2 595 114 90 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des moyens propres et un emprunt Projet d investissement pr sent par l association agricole Luxlait relative la construction d une nouvelle unit de production laiti re sur le site du Roost L investissement consiste en la construction d une nouvelle unit de production laiti re sur le site du Roost Il s agit d un projet de modernisation et de restructuration Le ch
393. rement pour d autres Minist res ou Administrations Environnement STATEC D une mani re g n rale l analyse des donn es fournies par le RNCA peut tre d une grande utilit pour la conduite d une politique agricole nationale raisonn e analyse ex ante Durant l ann e 2006 la division comptabilit a particip activement l laboration des mesures de laxe 1 visant l am lioration de la comp titivit de l agriculture et de la sylviculture du nouveau Plan de D veloppement Rural pour la p riode de 2007 2013 Pour pr senter au public un aper u de la situation socio conomique des secteurs agricole et viticole luxembourgeois le cinqui me apr s midi de la comptabilit a t organis en pr sence de Monsieur Fernand Boden Ministre de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural et de Madame Octavie Modert Secr taire d Etat l Agriculture la Viticulture et au D veloppement Rural Il s est d roul au Centre Culturel An der Fabrik Bettborn le 14 d cembre 2006 autour d une conf rence de Monsieur Dr Antonis Constantinou directeur de la Direction G n rale de l Agriculture et du D veloppement Rural de la Commission Europ enne intitul e Soutien au d veloppement rural pendant la p riode 2007 2013 par le Fonds Europ en Agricole pour le D veloppement Rural FEADER axes 3 qualit de la vie en milieu rural et diversification de l conomie rurale et 4 Leader
394. ren IV 7 B Les r gimes d aides coupl es du 1 pilier de la PAC applicables au Grand Duch de Luxembourg IV 8 1 La prime aux prot agineux nenn nen nnne n tennene IV 8 2 L aide aux cultures nerg tiques IV 8 3 Le paiement la surface de fruits coque sessseesseesseeseeereeesrresreesreesrreserererene IV 8 C La modulation et le montant suppl mentaire de l aide IV 9 Teta modulatione reino des ent less ien mien taire AS IV 9 2 Le montant suppl mentaire de l aide IV 9 D Le lait et les produits laitiers IV 9 1 Le r gime des quotas laitiers 4 IV 9 2 L application du r gime des quotas laitiers en 2006 IV 11 3 La situation structurelle du secteur laitier IV 12 4 L allocation de quantit s de r f rence suppl mentaires nnneeeeeeeee eeaeee IV 14 5e poolinational ss inerte res ir en aer IV 14 6 Les transferts de quotas IV 15 7 Le r gime d aide au lait scolaire 15e isntesnnenndRr enter IV 15 8 Le r gime d aide au beurre destin aux institutions et collectivit s sans 10 LE LL NT 0182 ER Re ER A IV 16 9 Le r gime d aide aux personnes les plus d munies IV 16 10 Les autres r gimes d aides ses edit inde indeenam nit Rennes IV 17 E L indemnit compensatoire allou e aux producteurs des r gions d favoris es IV 17 F La prime l entretien
395. renrnent XI 32 3 La cartographie d aptitude stationnelle XI 33 a La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Wormeldange u sonne eme nnnneemtnnnnteneteeitnites XI 33 XII b La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Bertrange ua an a A nn E TR E E ea 4 Les travaux en relation avec l inventaire Forestier National a L valuation de la m thodologie de l IFL1 b Les travaux relatifs la mise en uvre de l IFL2 c La r daction du guide m thodologique de l IFL2 nsnnnnnnnnnnrennnnnnnnnrrenreena d La caract risation de la biodiversit e L accompagnement scientifique et technique 5 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales a La r serve foresti re int grale Betebuerger B sch b La r serve foresti re int grale Enneschte B sch Bertrange 00 2 c La r serve foresti re int grale Laangmuer au Gr ngewald d La r serve foresti re int grale P ttenerb sch Mersch Pettingen e Le projet de r serve foresti re int grale Grouf Remerschen re1nen f Le projet de r serve foresti re int grale Manternacher Fiels LE Tale 108 E 6 8 MAAE
396. rent l g rement de celles des ann es pr c dentes surtout dans les ensilages d herbes o on constate des moindres teneurs en phosphore et en potassium dues la p riode de s cheresse comme indiqu e plus haut Tableau 1 Comparaison des valeurs moyennes des fourrages de 2005 par rapport 2004 et par rapport la moyenne pluriannuelle M S A B T g kg A B D g kg DVE lg kg OEB C B C T VEM kg amiqon Moyenne 1997 2006 57 3 24 2 29 0 10 9 809 Moyenne de 2006 i 57 8 16 1 29 0 10 4 814 Moyenne de 2005 61 6 21 7 26 8 10 8 837 ENSILAGES DE MA S Moyenne 1997 2006 42 2 22 9 21 7 4 2 27 9 922 Moyenne de 2006 44 6 19 3 20 4 4 6 27 3 935 Moyenne de 2005 41 8 23 1 22 0 4 0 27 2 919 ENSILAGES D HERBES M S mati re s che A B T albumine brute totale A B D prot ines digestibles DVE prot ines digestibles dans l intestin OEB bilan des prot ines d gradables C B cellulose brute C T cendres brutes totales VEM valeur nerg tique IX 20 Tableau 2 Valeurs moyennes des l ments min raux dans les fourrages de 2005 par rapport 2004 et par rapport la moyenne pluriannuelle r sultats exprim s en g kg de M S PHOSPHORE POTASSIUM CALCIUM MAGNESIUM SODIUM P K Ca Mg Na ENSILAGES D HERBES Moyenne 1997 2006 28 1 6 3 2 4 Moyenne de 2006 25 8 6 8 2 4 Moyenne de 2005 28 7 6 6 2 6 ENSILAGES DE MA S Moyenne 1997 2006 Moyenne de 2006 Moyenne de 2005
397. res mises en place sous forme de zones de protection concernent presque la totalit du canton de Capellen ainsi que diverses r gions des cantons de R dange de Mersch de Luxembourg et d Esch Alzette tout en englobant des zones transfrontali res sises respectivement en Belgique et en France Alors que tous les ruchers infect s ont t d truits les ruchers situ s dans les zones de protection pr cit es seront analys s d but printemps sur la pr sence ventuelle de spores de l agent pathog ne Paenibacillus larvae sbsp larvae afin d en d terminer le statut sanitaire 22 L chinococcose Par accord minist riel il a t possible depuis ao t 2001 d intensifier la collaboration entre le Untersuchungsinstitut f r Veterin rmedizin Lebensmittelhygiene und Molekularbiologie in Saarbr cken et le Laboratoire de M decine V t rinaire Les r sultats d analyses d montrent une certaine stabilit dans la pr valence des renards infest s savoir 2001 100 renards avec 20 infestations soit 20 2002 69 renards avec 18 infestations soit 26 2003 4 renards avec 1 infestation soit 25 X 13 2004 35 renards avec 5 infestations soit 14 5 2005 303 renards avec 66 infestations soit 21 8 2006 23 renards avec 7 infestations soit 30 43 23 La fi vre catarrhale ovine La fi vre catarrhale ovine est une maladie virus non contagieuse inoculable rencontr e sur les ruminants domestiques ainsi que sur d
398. reuil 1 o o 1 ee em a a a 0 0 0 X 36 Remarque Tous les chantillons non n gatifs pour brucellose et leucose ont t sous trait s au CERVA et se sont r v l s n gatifs 13700 chantillons ont t analys s par le H T A en sous traitance Total meaa Fro F amme a o o M D omme mn EE feo ogs Bo e Vers intestinaux flottaison M F bovins Vers intestinaux flottaison US E E lee intestinaux flottaison M F caprins iesin totason me wae s o o el intestinaux flottaison M F volaille iesin totason me wwe o o s 6l intestinaux flottaison M F chevreuil oe o ue mm 5 0 a intestinaux flottaison M F lapins iesinaux otion me pons o ofal al intestinaux flottaison M F porcins pumonares migaton me woms n 0 2 n pulmonaires migration M F bovins oumonares migaton me ows 3a oflo pulmonaires migration M F ovins pci ue a a a pulmonaires migration M F caprins pumonaires migaton me wae o 0 0 o pulmonaires migration M F volaille p monares wigaton me wem 1 ofo a pulmonaires migration M F chevreuil 1 1 pmonares migaton me wms 0 0 0 0 pulmonaires migration M F lapins pumonares wigaton me o ne o o 0 0 pulmonaires migration M F porcins mses fameen L ome L omas fos L o Lo fo h patiques s dimentation bovins h patiques s aimentaton me oms 0 h patiques s dimentation M F ov
399. rfeulen Commune du Lac de la Haute S re Transformation de la salle de f tes Kaundorf Commune de Niederanven R novation du F scherbau Niederanven Commune de Niederanven Am nagement d une salle polyvalente Chapelle St Loretto Senningerberg Commune de Steinsel Am nagement parc zone de r cr ation et de verdure aux alentours du cimeti re de Heisdorf Commune de Vianden Am nagement de places et espaces publics dans le cadre de l am nagement de la RN10 et de la N17 dans la travers e de Vianden Commune de Waldbillig R novation et extension du centre culturel Waldbillig Commune de Wincrange Restauration de la fa ade et am nagement des alentours de la ferme Barteshaus Hoffelt Au cours de l ann e budg taire 2006 le montant total de l investissement pr vu au niveau des projets susmentionn s s l ve 2 417 264 51 En cons quence le taux d aide de la mesure o s levant 40 une d pense publique au montant total de 966 913 55 a t engag e Mesure p Diversification des activit s agricoles ou proches de l agriculture en vue de cr er des activit s multiples ou des alternatives de revenu Les projets ligibles cette mesure viennent compl ter les mesures pr c dentes en mati re de diversification des activit s agricoles ou proches de l agriculture en vue de cr er des activit s g n rant des revenus altern
400. rg Par r glement minist riel du 9 ao t 1990 la maladie h morragique des lapins a t ajout e la liste des maladies d claration obligatoire afin de permettre l Administration des Services V t rinaires de prendre des mesures de lutte appropri es En outre il a t d cid que tous les lapins des levages qui participent aux expositions cunicoles doivent tre vaccin s contre cette maladie En 2001 et 2002 aucun foyer officiel de R H D n a t diagnostiqu au Luxembourg alors qu en 2003 on a notifi 4 cas et qu en 2004 il y a eu notification de 3 foyers En 2005 fut d tect 1 cas Ceci prouve que le virus est end mique dans le pays et qu il y a lieu de rester vigilant l gard de l volution de cette maladie hautement contagieuse et fortement d vastatrice pour les l porid s 13 La maladie de Visna Maedi chez le mouton L Administration des Services V t rinaires a mis sur pieds sur base volontaire un programme de d pistage et d radication de cette maladie volution lente L action commenc e en 1990 a t poursuivie en 2006 et 581 moutons ont t soumis une prise de sang pour d tecter la pr sence d anticorps contre le virus Visna Maedi Les r sultats taient positifs pour 2 ovins Notons que malgr l impact conomique de cette maladie sur le cheptel ovin l int r t des leveurs pour la participation ce programme est minime 14 L influenza aviaire peste aviaire
401. ricole en termes de valeur ajout e brute L volution des indicateurs d crits ci dessus est donn e dans le tableau 1 La balance commerciale en produits agro alimentaires de l conomie luxembourgeoise accuse un solde n gatif La part des produits alimentaires et animaux vivants dans les exportations totales de produits s l ve chiffres provisoires 4 6 alors que pour les importations de produits ce pourcentage est de 6 85 Le secteur agro alimentaire luxembourgeois est principalement ax sur les produits agricoles de base provenant du secteur agricole luxembourgeois Vu la taille du territoire il est donc clair qu il ne peut pas couvrir une gamme tr s large de produits et par cons quent le d ficit de la balance commerciale en produits alimentaires et animaux vivants ne doit pas tre sur valu Les chiffres relatifs au commerce ext rieur de produits alimentaires et animaux vivants sont repris dans le tableau 2 Les indicateurs analys s ci dessus ne donnent qu une image incompl te du r le de l agriculture dans l conomie Le secteur agricole primaire est en effet fortement imbriqu dans l activit des secteurs situ s en amont fournisseurs de biens de consommation et d quipement pour l agriculture prestataires de services l agriculture et en aval industries et artisanat de l agro alimentaire dont il est soit le pourvoyeur de mati res premi res soit le principal client Or l importance du secteur
402. ricoles l exception des changes d animaux vivants entre exploitations agricoles aux variations de stock la production aux biens de capital fixe produits pour compte propre plantations production p riodique animaux productifs l autoconsommation de produits agricoles la transformation de produits agricoles par les producteurs activit s s parables et l intraconsommation dans l exploitation uniquement produits v g taux utilis s dans l alimentation des animaux La production est valoris e au prix de base Celui ci est d fini comme le prix net au producteur d duction faite des imp ts sur les produits mais y compris les subventions sur les produits Ainsi la valeur de la production de biens agricoles d passe la valeur intrins que de la production pour les produits pour lesquels existent des subventions sur les produits primes par ha primes par animal et est inf rieure la valeur intrins que de la production pour les produits pour lesquels sont pr lev s des imp ts taxes sur les produits p ex pr l vement en cas de d passement du quota laitier Depuis 2005 premi re ann e d application au Luxembourg de la r forme de la PAC d cid e en 2003 la quasi totalit des subventions li es aux produits a disparu et a t remplac e par la prime unique qui n est plus li e directement au volume de production On observe donc en 2005 une rupture dans la s rie des donn es relatives la vale
403. rmation et d importation des produits agricoles suivre par les diff rents op rateurs afin que ces produits puissent tre qualifi s de biologiques Le r glement d finit cependant aussi les r gles observer pour l tiquetage de ces produits ainsi que les proc dures de contr le respecter pour la certification des op rateurs travaillant dans cette fili re Ce contr le des op rateurs biologiques pr vu par le r glement 2092 91 CEE est assur par le service de la protection des v g taux de l ASTA qui est l autorit comp tente en collaboration avec 3 organismes de contr le priv s et ind pendants agr s par le Minist re de l Agriculture et satisfaisant aux exigences de la norme EN 45011 Le service effectue galement des contr les d tiquetage dans le commerce IX 14 En 2006 82 producteurs agriculteurs mara chers viticulteurs fruiticulteurs et apiculteurs exploitant au total une superficie de 3 516 ha dont env 240 ha par p turage itin rant avec un troupeau de moutons et 35 transformateurs p ex boulangerie boucherie laiterie fromagerie chocolaterie etc taient enregistr s aupr s du service Le secteur de la production biologique est donc toujours en progression Depuis le d but des contr les en 1988 le nombre d exploitants est ainsi pass de 8 82 et la surface agricole exploit e selon ce mode de production est pass e de 368 3 516 ha durant la m me p riode part
404. roduits animaux lait ufs miel La valeur de la production animale prise globalement diminue l g rement par rapport 2005 et atteint 148 millions d euros en valeur au prix de base Elle contribue pour 59 la production de la branche agricole Ceci souligne l importance de ce secteur et plus particuli rement des productions bovines dominantes parmi les productions animales au sein de la production agricole luxembourgeoise La production de bovins y compris les veaux a augment de 2 par rapport 2005 et le prix de la viande bovine continue son redressement apr s la chute drastique au d but des ann es 2000 suite la crise ESB Le prix de la viande de veau et des veaux vivants export s a par contre chut par rapport 2005 Apr s avoir t stable au cours des derni res ann es la production indig ne brute de bovins abattage de bovins solde du commerce ext rieur de bovins vivants exprim en tonnes quivalent carcasse a diminu en 2006 Cela s explique e a par un cheptel bovin en diminution constante au cours des derni res ann es La production porcine a l g rement r gress 1 par rapport 2005 L augmentation des prix des porcins 3 4 n a pas pu compenser la diminution de cette production en volume 4 4 Les exportations de porcelets vivants se d veloppent au d triment des abattages de porcelets dans les abattoirs luxembourgeois Les exportations de porcelets vivants avaient t interrompues
405. rquablement stables au cours des derni res ann es et se situent 28 800 ha Le bl continue son expansion alors que les surfaces en orge et en avoine ont tendance diminuer Avec 56 qtx ha en moyenne l ann e 2006 fut sur le plan des rendements une ann e l g rement en dessous de la moyenne pluriannuelle Les conditions m t orologiques tr s contrast es avec un d but de v g tation au printemps assez sec une s cheresse en juillet et une longue p riode pluvieuse en ao t ne furent sans doute pas trang res ce r sultat Dans l Oesling une partie de la r colte de c r ales a d ailleurs subi sous l effet des pluies d ao t une d pr ciation telle qu elle n a pu tre valoris e en alimentation animale ou en production nerg tique que moyennant des co ts suppl mentaires de r colte et de conservation lev s La production de colza conna t un d veloppement certain au cours des derni res ann es En effet c t du d bouch dans l industrie alimentaire un d bouch dans le secteur des biocarburants a pu tre d velopp pour le colza Les rendements du colza se situent avec 34 qtx ha l g rement en dessous de la moyenne Les emblavements de colza se sont d velopp s et la r colte de colza atteint avec 16 000 tonnes un niveau proche du record tabli en 2004 Par rapport 2005 les prix ont augment substantiellement en 2006 15 de m me que le volume de production 9 de sorte que la product
406. rrerrrreesereee 11 13 6 Le d veloppement rural Il 13 7 Les colzas g n tiquement modifi s I 14 8 Le pr l vement dans le secteur du lait et des produits laitiers Il 14 9 Les boissons spiritueuses Il 14 10 La r forme du secteur de la banane ssnssseeseeesseeeeeeseeesreerreesreeserenr rene renerenn eene Il 15 11 L tiquetage des produits biologiques et les r gles transitoires pour LIMPOTATION ELLES E E TE E E E T AA tetes Il 15 12 Le r gime des cultures nerg tiques essesseeeeeeerteeeeririrtrtsesestrirnrnssssrreenna 11 15 13 Le Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural 11 16 L APPLICATION DE DIVERSES MESURES DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE AU GRAND DUCHE DE LUXEMBOURG ssssssannnnnssnnnnnnenna IV 1 A Le r gime de paiement unique IV 1 1 Les caract ristiques g n rales de son application au Grand Duch de UXSMbOUQ ESS EE TES Rte en ee ee OA nr T IV 1 2 L allocation initiale des droits au paiement IV 3 3 Le paiement de la prime pour l ann e 2005 ssssssessssessessseesreesreesrresreesrresrrerrene IV 5 4 Les transferts de droits ayant pris effet avec la demande de surfaces 2006 IV 6 5 L allocation en faveur des jeunes producteurs sssseeseeeeerrssesrsrrrrrrrssssrrrrrrrne IV 7 6 Le paiement de la prime pour l ann e 2006 naenssesseeseeessenseeesreesreesrresreesrresr
407. rrirrrrssssrrrrerene XI 22 a L exploitation des coupes XI 22 b Les ventes de bols Ras a a en a en a AN di XI 22 C Les bois d Chablis rite nl er raaraa i has Aa eme Lee XI 22 d L tat sanitaire de la TOr t sn trente born innn eee tandis XI 22 e Les r g n rations les plantations les travaux de culture XI 22 f Les p pini res sense XI 23 g Les travaux d am lioration 440000 XI 23 MEa VOIS TOrSStI es AU ne SR fe ee ci enr nette XI 23 i Les travaux forestiers subventionn s XI 23 j Laitor t Priest A Ge Tate era Pate dns ananas te de XI 23 kj es d gats de giblets sen unie de nn ne men Eten n seen XI 23 l La for t lieu de loisir XI 23 8 Le cantonnement de Mersohisssssennsranaune sie nant rene nee XI 23 a L exploitation des coupes et la vente de bois XI 23 b L tat sanitaire de la for t XI 24 c Les r g n rations les plantations les travaux de culture XI 24 d Les p pini res XI 24 e Les travaux d am lioration serons er mens fer edle XI 24 f Eavoirie foreste E riista arp dans a TA Tale AA Cat nn XI 24 g Les d g ts de GIbDISE LS an Ann n on te ttes a XI 24 9 Le cantonnement de WIR 2008 nue 20 nada n rare fat its inde dte XI 25 a L exploitation des coupes XI 25 b Les ventes de BOIS eat net nleterndrniieiebtelttennans XI 25 C Le b
408. rs 2003 2004 2005 2006 gros bovins 28853 29857 26241 24676 veaux 4201 5385 3719 3267 porcs 114864 113662 103138 94179 porcelets 46830 48794 47690 42499 chevaux 27 23 24 14 ovins 2789 3394 2208 4008 caprins 468 529 433 736 autruches 50 84 69 18 TOTAL 198082 201728 183522 169397 X 16 Total des animaux abattus dans les tueries particuli res des bouchers et des agriculteurs 2003 2004 2005 2006 bovins 354 305 263 63 veaux 216 275 289 168 porcs 2384 2350 2378 1913 porcelets 4844 4817 5315 5771 ovins caprins 365 861 950 648 chevaux 21 29 12 0 TOTAL 8184 8637 9207 8563 volailles 37002 41769 34524 39742 lapins 3093 2746 1581 2780 Inspection du gibier dans les centres de collecte cerfs 238 chevreuils 2221 sangliers 1037 daims 26 moufflons 6 R sultats de l inspection des viandes Abattoirs nombre de cadavres carcasses saisies gros bovins 69 4 veaux 3 0 porcs 643 122 porcelets 835 28 ovins caprins 5 0 chevaux 0 0 TOTAL 1555 154 Tueries particuli res des bouchers et des agriculteurs nombre de saisies partielles carcasses saisies en kg bovins adultes 2 0 veaux 1 0 porcs 0 1 foie porcelets 0 14 foies ovins caprins 0 0 volailles 106 0 lapins 24 0 TOTAL 133 15 foies E La cellule de concertation Agriculture Sant La Cellule de Concertation Agriculture Sant a t mise en place par arr t mini
409. rs Les stocks de vin indig ne au 31 juillet 2006 Les stocks de vin indig ne s l vent 192 124 hectolitres et ont baiss de 2 308 hectolitres 1 2 par rapport la campagne pr c dente En tenant compte d une r colte en 2005 de moins de 20 462 hectolitres 13 par rapport la r colte 2004 les stocks n ont pas baiss la m me proportion Tenant compte d une vente totale de 137 674 hectolitres pendant la campagne 2005 2006 les stocks au 31 juillet 2006 taient suffisants pour couvrir 16 7 mois de vente de vins indig nes Vu la r colte de l ann e 2006 qui est de 123 652 hectolitres et sous condition que la vente ne continue s abaisser les stocks pourraient retomber pendant la campagne 2006 2007 178 000 hectolitres La vente de vins l int rieur du pays Alors que la vente de vins trangers a augment au niveau du march national de 4 4 par rapport la campagne pr c dente la vente de produits viticoles XII 3 indig nes a encore r gress de 5 8 en se chiffrant 76 283 hectolitres pour la campagne 2005 2006 La vente de produits viticoles l int rieur du pays se r partit comme suit Vin vin mousseux et cr mant luxembourgeois 29 7 vin blanc et mousseux trangers 21 1 vin rouge et ros trangers 49 2 La vente par t te d habitant au Luxembourg est de 16 7 litres pour les produits viticoles luxembourgeois et de 39 6 litres pour les produits
410. rs a galement insist sur les particularit s sp cifiques communales sur les projets et initiatives que de telles communes rurales en mutation ont entrepris pour favoriser ou bien pour contrecarrer l une ou l autre volution au niveaux local communal et r gional Le Luxembourg tait repr sent par la Commune de BETZDORF sur base d une pr s lection nationale par le Ministre de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural VII 4 Un dossier de candidature labor par la Commune ainsi qu une visite d valuation de la part des membres du jury international ARGE dans la Commune de Betzdorf ont d termin la d cision finale du jury ARGE en juillet 2006 Lors de la remise officielle des prix en automne 2006 par l ARGE Ummendorf en Saxe Anhalt D la Commune de Betzdorf a su remporter nouveau un prix europ en pour un d veloppement rural global et int gr d une qualit minente pour le Luxembourg cette ann e ci parmi une s lection de 32 autres pays et r gions d Europe L encouragement l adaptation et au d veloppement des zones rurales dans le cadre de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural 1 Le contexte g n ral L article 33 du r glement CE n 1257 1999 du Conseil du 17 mai 1999 relatif l encouragement l adaptation et au d veloppement des zones rurales pr voit diverses mesures de soutien li es aux secteurs agricoles et aux se
411. rs des ann es pr c dentes r sultats d finitifs Les donn es pr sent es par la suite tableau 6 retracent l volution des diff rents postes des CEA au cours des derni res ann es et les variations de valeur de 2006 par rapport 2005 Ces variations de valeur sont scind es en variations de volume et variations de prix La variation de prix ne refl te que les variations relatives aux prix alors que toutes les autres variations sont int gr es dans la variation de volume Les CEA sont tablis sur la base du concept de branche d activit et prennent en compte les activit s agricoles des exploitations que celles ci soient g r es comme exploitations titre principal ou titre accessoire ainsi que les activit s secondaires non agricoles repr sentant une continuation de l activit agricole et qui utilisent des produits agricoles transformation de produits agricoles ou des moyens de production agricoles p ex agrotourisme prestation de services au moyen de machines agricoles pour non agriculteurs Puisque ces activit s sont difficilement s parables des activit s agricoles proprement dites elles sont incluses dans les comptes conomiques de l agriculture Sont exclues des CEA les unit s produisant uniquement pour l autoconsommation comme p ex les jardins potagers et les petits levages des non agriculteurs La production agricole de la branche d activit agricole correspond aux ventes des exploitations ag
412. rsuite du projet Des r unions d information ont eu lieu ROESER SCHIFFLANGE MENSDORF LORENTZWEILER LINTGEN et CONTERN dans le contexte des remembrements poursuivant prioritairement des buts cologiques renaturation de cours d eau ou de ruisseaux et avec les Communes de STADTBREDIMUS MOMPACH LAC DE LA HAUTE S RE REMERSCHEN WELLENSTEIN et MERTERT Langsur en vue de remembrer les biens ruraux sur leurs territoires respectivement BURMERANGE et MONDORF pour finaliser leur projet de remembrement Des initiatives ont t poursuivies HOSINGEN TROISVIERGES MUNSHAUSEN CLERVAUX HEINERSCHEID et JUNGLINSTER avec la Commune et les propri taires dans le contexte d un remembrement agricole contournement VII 1 Les travaux pr paratoires pour la fixation du p rim tre et l enqu te sur l utilit du remembrement ont t poursuivis WINSELER sylviculture et HEINERSCHEID sylviculture Plusieurs r unions de concertation ont eu lieu REMERSCHEN et MERTERT WASSERBILLIG avec la commune et les propri taires exploitants pour la d termination du p rim tre viticole de REMERSCHEN II et de LANGSUR Vu la configuration de topographie tr s pentue LANGSUR un lev terrestre a t poursuivi Les travaux de relotissement parcellaire Ces travaux comprennent les phases suivantes 1 L ouverture des op rations En 2006 aucun nouveau projet ne fut lanc vu les difficult s non r solues cette poque avec le Se
413. rvice de la Conservation de la Nature 2 La classification des terres Le regroupement des anciennes parcelles en des ensembles plus grands sur la base de la valeur de leur productivit et la classification des terres en fonction de crit res p dologiques et topographiques sont r alis s par ONR assist d un coll ge d experts Les r sultats de cette classification sont soumis l appr ciation des propri taires lors d une double enqu te publique En vue de la classification des sols forestiers dans la Commune du LAC DE LA HAUTE SURE une campagne de prospection terrestre et par GPS a t men e pour localiser exactement l emplacement des chemins inexactitude du cadastre bi centenaire en vue du rep rage des parcelles d une part et pour d terminer la qualit des boisements peuplements d autre part Les r unions avec l association syndicale la commission locale et le coll ge des experts ont t poursuivies en 2006 dans l optique de d finir la d marche dans ce projet pilote de remembrement forestier Les travaux de la classification furent poursuivis galement en 2006 et tendus sur les terres agricoles enclav es dans la for t A c t de la classification des sols les valeurs des arbres l ments transitoires en for t ont t estim es continuellement par voie d expertise Les travaux pour la classification des terres ont t poursuivis LANGSUR et REMERSCHEN II A Langsur la 1 enqu te de l
414. s Ach vement du projet des travaux connexes de voirie Etude de la conduite d eau et ex cution des travaux de drainage Ex cution partielle des travaux de plantation et de transplantation de haies Duelem Duussebierg parach vement des travaux d am nagement Ex cution du projet d am nagement au W ngertsbierg GREIVELDANGE Etudes des projets Uet et Fachkaul GREIVELDANGE et F ls et D iffert STADTBREDIMUS et GREIVELDANGE VIII 4 Remembrement du LAC de la HAUTE SURE Les travaux connexes de la voirie foresti re sont rest s en souffrance vu le blocage du dossier au sein des E amp F et du MENV Remembrement de SCHIFFLANGE L ex cution des travaux de renaturation a t suivie de pr s par ONR pour respecter les contraintes impos es D La participation financi re des propri taires aux travaux connexes En application de l article 41 de la loi du 25 mai 1964 et du r glement grand ducal du 14 d cembre 1965 les propri taires de l association syndicale du remembrement sont tenus de rembourser au fonds de remembrement 10 du co t des travaux connexes En 2006 l Office a continu les travaux pr paratoires l tablissement des r les contributifs des dossiers de EHNEN LENNINGEN pour les quelques r les non pay s l Administration de l Enregistrement et des Domaines a t charg e du recouvrement BURMERANGE pr paration du r le contributif MONDORF pr
415. s quid s L enjeu que repr sente pour le secteur chevalin la mise en oeuvre de ce nouveau r glement et de ses dispositions a n cessit une r flexion la fois approfondie large et rapide Le service a r uni le maximum d l ments d appr ciation afin de se lancer ensemble avec les acteurs sur la d termination de la strat gie luxembourgeoise aussi au regard de celle envisag e ou d j mise en place par nos partenaires europ ens Suite une restructuration interne le contr le des aliments pour animaux incombe depuis le mois de mai au service de la production animale Le transfert de comp tence a t organis au courant de l ann e en collaboration avec la Division des laboratoires de contr le et d essais Dans le cadre du r glement europ en 183 2005 tablissant les exigences en mati re d hygi ne des aliments pour animaux l enregistrement des tablissements ayant des activit s dans la production primaire d aliments pour animaux et dans le secteur de l alimentation animale a t lanc Le syst me informatis pour le traitement des donn es relatives aux chantillons du contr le et aux r sultats a t finalis et impl ment Les visites de contr le aupr s des tablissements agricoles ont t adapt es et r alis es de fa on pouvoir tre utilis es pour l valuation de l co conditionnalit Le service de la production animale assure depuis septembre en collaboration avec l Administration d
416. s toutes les librairies Cet ouvrage pr sente la for t luxembourgeoise sur base de donn es statistiques obtenues lors du premier Inventaire Forestier National pour le Grand Duch de Luxembourg qui a t r alis dans un r seau d observation permanent d environs 5 200 placettes L objectif de cette publication est de fournir des informations objectives et fiables sur les ressources foresti res nationales ainsi que sur les aspects li s la notion de biodiversit en for t Le but de l Inventaire Forestier National savoir de constituer un v ritable observatoire de la for t a t atteint Ce livre constitue un ouvrage de r f rence pour tous ceux qui sont int ress s la for t en g n ral mais aussi son r le de production ses r les r cr atifs et de protection Il contient des l ments suffisamment vulgaris s pour veiller aussi l int r t d un public non forestier 10 L tude sur l tablissement d une m thode de relev du bois mort Le bois mort constitue un indicateur reconnu pour l valuation de la biodiversit en for t et figure parmi les crit res de gestion durable des ressources foresti res La pr sence de bois mort terre et sur pied dans les diff rentes cat gories de grosseur et divers degr s de d composition assure le d veloppement d une flore et d une faune diversifi e faisant partie du cycle de vie des cosyst mes forestiers Dans les for ts soumises la s
417. s Services V t rinaires a notifi un foyer de la loque am ricaine dans des ruches localis es dans le canton de R dange En fin de compte on a d passer la destruction de toutes les ruches de l apiculteur concern qui taient r parties sur 17 sites diff rents avec le r sultat de la d limitation de zones de protection rayon de 3 km sur une grande partie de la r gion au Sud Ouest du pays Notons encore que la premi re campagne de surveillance et de lutte contre la para tuberculose s est achev e au mois de mai 2006 avec un premier constat de la situation sanitaire et la relance de l assainissement de cette maladie contagieuse tributaire de lourdes pertes conomiques dans nos levages bovins Ces activit s de lutte contre des maladies animales ont t soutenues d une mani re efficace par le personnel du Laboratoire de M decine V t rinaire qui en parall le s est efforc largir la port e de son accr ditation Au niveau de la s curit alimentaire domaine fort important pour l coulement de nos produits agricoles l Administration des Services V t rinaires s est investie dans la mise en application de la nouvelle r glementation communautaire ceci en troite collaboration avec les autres services r unis au sein de la Cellule de Concertation Agri Sant Une synergie active et nergique des divers services impliqu s dans la surveillance de la Sant Publique devra tre le garant de la concr tisation
418. s a t vers pour une surface totale de 11 79 hectares La surface totale d clar e pour l ann e 2006 s l ve 11 51 hectares Depuis l ann e 2005 le r gime de paiement la surface pour les fruits coque est galement soumis aux dispositions de la conditionnalit et de la modulation voir sous sections A et C C La modulation et le montant suppl mentaire de l aide 1 La modulation Le r gime de paiement unique section A et les trois aides coupl es mentionn es la section B sont soumis la modulation pr vue l article 10 du r glement CE n 1782 2003 Celle ci consiste en une r duction proportionnelle des montants d aide de 3 en 2005 de 4 en 2006 et de 5 partir de 2007 Les montants ainsi r cup r s apr s d duction des montants suppl mentaires de l aide vis s au point 2 sont affect s au titre du soutien communautaire suppl mentaire des mesures relevant de la programmation en mati re de d veloppement rural Les montants r sultant de la modulation restent en partie disponibles l Etat membre o les montants ont t g n r s 1 Les montants restants sont attribu s redistribu s aux diff rents Etats membres sur base de crit res relevant de la superficie agricole de l emploi agricole ainsi que du produit int rieur brut PIB par habitant en parit de pouvoir d achat Toutefois un Etat membre re oit au moins 80 des montants totaux g n r s dans le dit Etat mem
419. s ant rieurs subsistent en partie galement en 2006 La nouvelle disposition l gale de l article 35 ne portera ses fruits que pour les nouveaux dossiers et pour les dossiers o les notaires se d sistent volontairement comme c tait le cas pour les remembrements d OBERDONVEN NIEDERDONVEN MACHTUM et de WELLENSTEIN BECH KLEINMACHER Les dossiers suivants ont connu des progr s gr ce notamment au recours des sp cialistes externes qui pr parent les dossiers GREVENMACHER MERTERT en cours de r daction FLAXWEILER en pr paration alors que l acte du remembrement de MANTERNACH LELLIG MUNSCHECKER fut sign le 27 mars 2006 C Les travaux connexes au remembrement Remembrement de GREVENMACHER MERTERT Remembrement de SCHENGEN FELS Remembrement de BURMERANGE Remembrement de MONDORF Remembrement de SCHWEBSINGEN Remembrement de MOMPACH Remembrement de REMERSCHEN Remembrement de STADTBREDIMUS Etude d vacuation des eaux superficielles secteur Fels et appels d offres pour la r alisation Travaux de parach vement stabilisation de glissements de talus par des murets Parach vement de la voirie Ach vement des travaux connexes de voirie agricole Kolteschberg parach vement des travaux d am nagement R ichelter parach vement de travaux d am nagement Hanner F ls tude du projet d am nagement et adjudication des travaux Autre secteur tudes g ologiques et d am nagement en cour
420. s au Luxembourg La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Wormeldange Conditions naturelles La for t communale de Wormeldange totalise 474 5 ha Elle est constitu e de deux massifs principaux Biergerb sch et Kreizb sch situ s au nord ouest de Wormeldange ainsi que d une dizaine de massifs satellites tr s dispers s et de tailles tr s diverses La majeure partie de la propri t 91 se pr sente sous forme de plateaux troits prolong s par des versants en faible pente lt 20 Seuls les massifs les plus l est sur le versant de la Moselle pr sentent une pente marqu e gt 40 Quant l altitude comprise entre 356 et 175 m tres elle est inf rieure au seuil critique de 400 m tres au del duquel plusieurs essences comme les fr ne ch ne sessile ch ne p doncul merisier pin sylvestre et les tilleuls pr sentent des sensibilit s particuli res notamment au froid ou la neige collante Pour la plupart de nos essences indig nes la propri t ne pr sente donc aucune contre indication li e l altitude En contrepartie plusieurs essences exotiques comme l pic a commun l pic a de Sitka et les sapins r put es exigeantes en eau ne b n ficient g n ralement pas ces faibles altitudes des niveaux de pr cipitation suffisants pour assurer leurs besoins hydriques La dispersion de la for t communale de Wormeldange sur une large surface cheval sur les pla
421. s chiffres indiquent aussi que la consommation en v q p r d augmente tandis que la consommation de vin de table baisse La consommation de vins autres pays tiers n a pas augment pendant la derni re campagne et est m me en l ger recul Consommation en 1 000 hl CAMPAGNE TOUS VINS VQPRD TABLE AUTRES 2000 2001 126 190 55 214 62 440 8 536 2001 2002 124 746 54 048 61 268 9 430 2002 2003 124 457 57 209 57 776 9 472 2003 2004 120 885 55 143 53 666 12 076 2004 2005 133 953 57 245 62 931 13 777 2005 2006 133 719 61 556 59 013 13 150 La consommation par type de produit se r partit en 2005 2006 comme suit XII 12 vin de table 59 013 Mio hl soit 46 v q p r d 61 556 Mio hl soit 44 autres 13 150 Mio hl soit 10 La consommation en litres par t te d habitant s l ve 28 99 litres dont 12 79 litres vin de table 13 34 litres v q p r d 2 85 litres autres Une nouvelle pratique oenologique Le 11 octobre 2006 la Commission a publi un r glement concernant les modalit s d utilisation des morceaux de bois de ch ne dans l laboration des vins Ce r glement permet l utilisation de morceaux de ch ne dont les conditions d utilisation sont identiques aux prescriptions admises par l Organisation internationale de la vigne et du vin OIV Afin d viter toute tromperie du consommateur et toute distorsion concurrentielle entre les producteurs les termes ferment lev o
422. s d int r ts locaux commissions consultatives et apr s pr sentation d taill e au grand public L int gration de la strat gie globale et durable ainsi que l adaptation des mesures d finies dans le cadre de projets sectoriels sont entam es suivant les priorit s communales d finies ou bien dans le contexte des programmes de mise en uvre pluriannuels Finalement il y a lieu de relever les succ s enregistr s dans le domaine du d veloppement rural int gr et durable dans le cadre d un concours international organis par la Europ ische Arbeitsgemeinschaft Landentwicklung und Dorferneuerung ARGE A c t de la Commune de Beckerich Laur at du Prix Europ en du d veloppement rural et de la r novation des villages en 1996 tant la Commune de Heiderscheid en 1998 la Commune de Redange Attert en 2000 la Commune de Munshausen en 2002 et la Commune de Heinerscheid en 2004 ensemble avec leurs citoyens ont remport chacune un Prix Europ en pour un d veloppement rural global et int gr d une qualit minente parmi une trentaine de pays et r gions europ ens Pour la session du concours Europ ischer Dorferneuerungspreis 2006 EDEP sous la devise Les grandes mutations comme Chances l id e cl s est focalis e sur les grands changements que les communes rurales ainsi que les communaut s villageoises ont connu surtout au courant des derni res d cennies La session EDEP 2006 concou
423. s dans le cadre du PDR ensemble avec la brochure concernant les mesures du Titre III de la loi du 24 juillet 2001 en leur demandant d informer le Minist re de l Agriculture des projets qu elles entendent pr senter dans le cadre de ce programme En mars 2005 un deuxi me appel projets a t lanc aux communes ligibles dans le cadre du PDR et n ayant pas encore atteint le seuil d investissement fix par commune selon le r glement interne Les seuils d investissement des communes retenues lors du 2 appel projets ont t fix s suivant le m me principe que les seuils des communes lors du 1 appel La majorit des projets VII 5 introduits se sont situ s au niveau des mesures n et o 17 communes ont r pondu l appel projets dans le d lai fix par le Minist re de l Agriculture Les mesures ligibles au PDR et leur mise en uvre administrative et financi re L allocation totale r serv e aux 6 mesures du volet 5 du PDR s l ve 27 105 000 EUR soit 4 4 du budget global Les deux mesures o R novation des villages et n Services essentiels la population rurale totalisent plus des 3 4 de l investissement pr visionnel Sur base de la loi du 24 juillet 2001 132 projets au total depuis la mise en vigueur du r glement ont t transmis au Service du D veloppement rural qui prend le r le d organisme d intervention pour toutes les mesures de l article 33 du r glement CE
424. s de figure suivants producteurs qui commencent exercer une activit agricole apr s le 31 d cembre 2002 ou en 2002 sans percevoir de paiements directs cette ann e l producteurs se trouvant dans une situation sp ciale les producteurs dans les zones soumises des programmes de restructuration et ou d veloppement concernant telle ou telle forme d intervention publique Les diff rentes cat gories de producteurs ainsi que les conditions respecter afin de pouvoir b n ficier d une allocation partir de la r serve nationale sont fix es par le r glement CE n 795 2004 et le r glement grand ducal du 8 avril 2005 En outre les producteurs touch s pendant la p riode de r f rence 2000 2002 par des cas de force majeure ou de circonstances exceptionnelles fix s par la r glementation communautaire ont pu demander que le montant de r f rence soit calcul sur base de l ann e ou des ann es non affect es par le cas de force majeure Des mesures analogues sont pr vues pour des producteurs qui ont commenc leur activit agricole au cours de la p riode de r f rence 2000 2002 par l exclusion des ann es au cours desquelles ils n ont pas touch de primes La situation des demandes de modifications des montants de r f rence est r sum e au tableau 2 1 IV 3 Tableau 2 1 Nombre de dont dont en Cas de fig
425. s de gypse l histoire la culture locale la g ologie et les particularit s du paysage Cette nouvelle brochure a t r alis partir de ces 23 panneaux didactiques et existe en langue allemande Lehrpfad Naturschutzgebiet Strombierg et en langue fran aise Sentier de d couverte R serve naturelle foresti re Strombierg Elle a t concr tis e par les m mes partenaires que ceux qui ont contribu au sentier didactique avec en plus le Mus e National d Histoire et d Art qui a encore rejoint le groupe Il se pr sente sous format 21 x 17 cm et contient 80 pages de texte de photos de la r gion ainsi que des illustrations XI 51 e La publication Der Luxemburger Wald in Zahlen Le livre La for t luxembourgeoise en chiffres qui a t publi il y quelques ann es d j n existait malheureusement qu en langue fran aise et ne pouvait donc pas tre consult par des int ress s germanophones Dans ce contexte l id e de traduire cet ouvrage en langue allemande est devenue vidente La traduction du texte et la r alisation de la mise en page ont t entam es et termin es en 2005 L impression ainsi que la publication du livre intitul Der Luxemburger Wald in Zahlen ont t accomplies en 2006 Le livre se pr sente sous format DIN A4 comprenant sur 210 pages polychromes du texte descriptif des tableaux des graphiques et de nombreuses photos et il se vendra dan
426. s fruits les herbes aromatiques les pommes de terre le mat riel de multiplication v g tal le bois et les emballages en bois Ces produits doivent remplir des crit res phytosanitaires sp cifiques avant l importation et tre accompagn s d un certificat phytosanitaire d livr par le service de la protection des v g taux du pays d exportation IX 12 A l importation ces produits sont soumis une inspection phytosanitaire effectu e par le service de la protection des v g taux Les contr les sont limit s des contr les documentaires si les envois sont destin s des importateurs agr s dans des Etats membres avec lesquels le service a conclu un accord sp cifique Dans ces cas le service d livre un certificat de transit vers le lieu de destination Actuellement de tels accords existent avec les Pays Bas la Belgique et l Allemagne Dans les autres cas une inspection compl te comprenant le contr le documentaire le contr le d identit et une inspection physique de la marchandise est effectu e Le Cargo Center de l A roport de Luxembourg est devenu un point d entr e dans l Union Europ enne privil gi pour les produits v g taux Le service de la protection des v g taux y assure une permanence de 24h 24h 7j 7j pour effectuer les contr les phytosanitaires l importation En 2006 quelque 1200 envois ont t soumis un contr le documentaire pour le transit Pour 320 envois un contr le phytosanit
427. s le certificat de qualit de la marque nationale La derni re nouveaut introduite par l O N A O C en 2001 sont les mentions particuli res Vendanges tardives Vin de glace et Vin de paille ce qui permet aux viticulteurs de produire des types de vins d une qualit exceptionnelle Actuellement l O N A O C poursuit ses r formes dans diff rents domaines Ainsi le r glement grand ducal du 6 f vrier 2007 permet d admettre la marque nationale des vins d assemblage une n cessit pour mieux concourir surtout au march international Les vins de base de ces cuv es doivent provenir de vins de c page de la Moselle luxembourgeoise Sont admis pour les assemblages des vins de diff rents mill simes ou bien d un m me mill sime Les vins d assemblage ne portent pas de nom de c page mais en cas d un m me mill sime ils peuvent porter l ann e de r colte Il est laiss au choix des producteurs de d signer leurs cuv es Afin d augmenter la fr quence des s ances de d gustation et d am liorer la disponibilit des experts la commission de d gustation si gera dor navant 7 d gustateurs au lieu de 14 Un projet de r glement est en cours d instance et devrait permettre l avenir d am liorer l information du consommateur en compl tant l tiquetage par plusieurs donn es suppl mentaires La plus importante est l indication sur la bouteille du type de vin en fonction de sa teneur en sucre r
428. s sol et poly levage qui ont en moyenne la dimension conomique la plus lev e suivies de celles des orientations herbivores et viticulture Les exploitations des autres orientations polyculture exploitations mixtes grandes cultures disposent en moyenne de dimensions beaucoup plus restreintes ce qui s explique par une forte proportion d agriculteurs sans successeur et titre accessoire dans ces orientations La main d uvre agricole est exprim e en unit s de travail ann e UTA Une unit de travail ann e correspond une personne occup e plein temps en agriculture Les personnes occup es seulement partiellement en agriculture sont converties en personnes plein temps sur base du nombre d heures ou jours prest s annuellement en agriculture La conversion se fait au moyen de la relation 1 UTA 2 200 heures Les donn es sur la main d uvre agricole sont recens es annuellement par le STATEC lors du recensement agricole du 15 mai La main d uvre agricole totale s levait 3 864 UTA Celle ci se composait de 3 242 UTA de main d uvre agricole familiale non salari e et de 622 UTA de main d uvre salari e La diminution de la main d uvre en agriculture a t de 3 par rapport 2005 apr s une hausse de 0 1 entre 2004 et 2005 L augmentation de la main d uvre agricole entre 2004 et 2005 peut tre expliqu e en grande partie par l largissement en 2005 du fichier des exploitations rece
429. s viticoles en Allemagne et en Belgique n a que l g rement baiss Les importations du Portugal et des Pays Bas stagnent Les vins rouges et ros s dominent toujours le march de vins trangers 52 et sont suivis par les vins blancs trangers qui repr sentent 22 des importations La France 34 reste le principal fournisseur de produits viticoles trangers sur le march luxembourgeois suivie par la Belgique 24 l Italie 14 le Portugal 12 l Allemagne 8 l Espagne 7 et d autres pays 1 2 Les exportations de produits viticoles indig nes Les exportations ont sensiblement augment pendant la campagne 2005 2006 et s valuent 61 391 hectolitres Cette augmentation de 5 759 hectolitres ou de 9 4 par rapport la campagne pr c dente s explique par une hausse des exportations de vins de qualit vers la Belgique 3 2 et un accroissement extraordinaire des exportations vers l Allemagne en passant de 3 533 hectolitres en 2004 2005 7 687 hectolitres en 2005 2006 Alors que le march belge s est am lior par une augmentation de la vente de vins des c pages Rivaner Elbling et des vins portant la d nomination Pinot le march vers l Allemagne a plus que doubl en raison d une vente lev e de vins de qualit des c pages Auxerrois Pinot blanc Pinot gris et Riesling Alors que l exportation de vin de table et de vin p tillant a baiss le march de vin mousseux et cr mant a l g r
430. se 51 137 viande de volaille t poids carcasse 90 145 lait de vache t taux effectif de mati re grasse 300 463 263 900 266 572 267 114 taux de mati res grasses du lait 3 86 4 25 4 20 4 20 ufs t 986 940 865 987 pour les c r ales et les pommes de terre y compris la production de semences ou de plants pour toutes les productions y comprix la consommation dans le m nage de l exploitant autoconsommation pour le lait y compris le lait intraconsomm lait utilis dans l alimentation des animaux 1 orge brassicole incluse partir de 1993 2 colza usage nerg tique inclus partir de 1994 3 exportation de porcelets vivants incluse jusqu en 1997 1 17 Tableau 6 Production co t de production revenu des facteurs revenu net d entreprise en 1000 hors TVA source SER tous les postes sont exprim s en valeur au prix de base 1 re partie production v g tale variation 2006 par variation 2006 par rapport 2005 2005 1985 1990 1995 2000 2004 2005 2006 indice de indice de indice de prov valeur volume prix c r ales y compris semences 1100 1900 bl et peautre seigle et m teil orge avoine et m lange de c r ales d t ma s grains autres c r ales triticale plantes industrielles 2100 2200 2900 ol agineux prot agineux autres plantes industrielles plantes fourrag res produits mara chers et horticoles 4100 4200 l gumes frais plantes et fleurs
431. sition des communes int ress es et des groupements d tudes mandataires un contrat type PDC ainsi qu un cahier des charges relatif aux prestations PDC d finies Ce cahier des charges tout comme le contrat type PDC d finis en 1990 ont t adapt s avec l volution des processus de planification avec une derni re actualisation en octobre 2004 En tout 77 communes en grande majorit pr dominance rurale et de toutes les r gions du Grand Duch de Luxembourg se sont engag es dans la planification et ou la mise en oeuvre de leurs plans ou programmes de d veloppement P D C jusqu maintenant 70 d entre elles ont pu achever leur processus de planification PDC Ainsi les phases analytique strat gique ou conceptuelle ont t pr sent es au public des communes respectives jusqu la fin de l exercice 2006 Au cours d une d marche int gr e et concert e avec les diff rents acteurs ruraux les groupements d tudes mandataires des communes commettantes ont propos un diagnostic sur les localit s aux lus locaux sur base d un inventaire d taill et actuel des diff rents axes th matiques traiter Cette valuation globale et interdisciplinaire met en vidence les atouts et les faiblesses de la commune et de ses activit s Elle met galement l accent sur les potentialit s et synergies de d veloppement favoriser tout comme sur les d ficiences et antagonismes de certaines volutions redresser voire
432. sons 171 126 45 73 68 26 32 Autres 0 0 0 Total Cas de figure 1265 602 663 Total Demandes 668 47 59 52 41 Suite au traitement des demandes en question les droits au paiement ont t allou s en f vrier 2006 Ainsi 1 983 producteurs ont b n fici d une allocation de droits au paiement unique tableau 2 2 Tableau 2 2 Types de DPU Nombre de Nombre total Valeur totale 2005 Valeur totale 2006 b n ficiaires Gel 614 2 280 85 200 714 80 209 838 20 Gel BIO 12 37 40 3 291 20 3 440 80 Avec sticker 337 704 65 188 975 52 208 181 63 Normal 1 979 119 290 92 32 821 732 54 35 985 883 53 Sp cial 6 6 00 5 444 99 5 444 99 TOTAL 1 983 122 319 82 33 220 159 05 36 412 789 15 producteur peut avoir plusieurs types de droits Le nombre total correspond au total des valeurs surfaciques des DPU Le total des b n ficiaires ne correspond pas la somme de la colonne comme un m me IV 4 L accroissement du plafond national entre 2005 et 2006 de 33 414 000 euros pour 2005 36 602 000 euros pour 2006 tient compte de la derni re augmentation pr vue par la r glementation communautaire de l aide aux producteurs de lait et de produits laitiers y compris l aide suppl mentaire en la mati re Etant donn que cette aide a t d coupl e et int gr e depuis 2005 au paiement unique cette augmentation a t r percut e au niveau de la valeur des
433. sreessnesrresrresereenee X 11 14 L influenza aviaire peste aviaire grippe aviaire X 11 15 La maladie de Newcastle ou pseudopeste aviaire X 12 16 La tuberculose aviaire ss X 12 17 La leucose aviaire sens X 12 18 La laryngo trach ite infectieuse seeeseseeseeeeeiiieetteeeeeerrnrtrresestrnnnrnnnesssreeenne X 12 194 PSITACOS sean a a a a aeee t rene etne tte t tente tte late X 12 20 A VArTOASC Sr nest en E dettes cute A de eee entree tee nes ete X 13 21 La loque am ricaines tannins falaises X 13 22 L ChINOCOCCOSE oee eana eaa a a a ra teste detre tata t ta hate steel X 13 23 La fi vre catarrhale ovine X 14 D La s curit alimentaire sise X 15 1 Le contr le des tablissements nsnnnnseneseeeeeeeeeereerteesreerrresrresrrerrrenrreer rennene X 15 2 Le contr le de l tiquetage neiiti sieleteehin X 15 3 La surveillance de la pr valence des salmonelles dans le cheptel porcin X 16 4 Les animaux de boucherie X 16 E La cellule de concertation Agriculture Sant X 17 F Les mouvements internationaux ss X 18 1 Les changes importations et exportations d animaux vivants et de produits d ANIMAUX 58 EE de E E E MARRON rene dant t ne nr Attente ane ne RL X 18 2 Le pacage assiste mn te ie see a ea eneke bso ek X 22 a Le pacage en zones trang res de b tail luxembourgeois X 23 b Le pacage en territoire lux
434. ssen commune de Manternach et Sernig commune de Mertert dansle triage de Remich au lieu dit K ionner commune de Bous dans le triage de Roodt Syre aux lieux dits Bousb sch et Stockbusch commune de Betzdorf dans le triage de Schengen aux lieux dits Routreiser commune de Schengen et Wouer commune de Mondorf La plantation est utilis e pour compl ter la r g n ration naturelle pour en augmenter la diversit pour proc der au reboisement de parterres de coupes d vast s ou bien pour regarnir des surfaces incompl tes Ainsi 43 250 feuillus et 2 980 r sineux ont t plant s en 2006 Les p pini res Dans la p pini re domaniale de Flaxweiler d une surface de 2 30 ha 98 472 feuillus et 13 070 r sineux ont t inventori s Au courant de l ann e 44 750 plants ont t repiqu s Au total 41 245 jeunes plantes ont t remises aux clients pour tre plant es majoritairement en for t soumise Des semences d un poids de 208 kg ont t collect es Elles proviennent soit de peuplements forestiers de qualit autochtones soit d essences arbustives g La voirie foresti re Diff rents chemins forestiers ont t construits en for t communale sur une longueur de 8 180 m et en for t domaniale sur une longueur de 700 m Ceux ci ont t compl t s par l am nagement de layons de d bardage XI 15 h Les travaux forestiers subventionn s i Les travaux forestiers suivants ont t su
435. st riel le 22 mai 2001 Cet organe regroupe des experts du Minist re de la Sant du Minist re de l Agriculture de la Division de l Inspection Sanitaire et de l Administration des Services V t rinaires du Laboratoire National de Sant du Laboratoire de M decine V t rinaire de l Administration des Services Techniques de l Agriculture X 17 Sa mission essentielle r side dans l laboration d avis en mati re de la S curit Alimentaire de la gestion des risques et de la communication des risques Une nouvelle mission s y est d sormais ajout e Aux fins de r pondre d une mani re cons quente la nouvelle r glementation communautaire notamment l laboration de la mise en uvre du plan pluriannuel de contr le dans les diverses divisions actives dans le secteur alimentaire un Organisme pour la s curit et la qualit de la Cha ne Alimentaire a t institu sous la tutelle du Minist re de la Sant et du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement rural Il reste relever que le paquet r glementaire hygi ne denr es alimentaires adopt au niveau communautaire appelle une r vision de fond de la l gislation relative l hygi ne au niveau national F Les mouvements internationaux 1 Les changes importations et exportations d animaux vivants et de produits d animaux Echanges intracommunautaires d animaux vivants Introductions en provenance des pyas de l
436. stion tiendra galement compte de la grande disparit de revenu du secteur agricole par rapport aux autres secteurs de l conomie L indemnit compensatoire sera d sormais soumise au respect des principes de la conditionnalit 2 Les mesures agri environnementales en agriculture et en viticulture La dimension environnementale de la politique agricole ayant t reconnue et soutenue le Gouvernement entend poursuivre ses efforts dans ce domaine contribuant ainsi la mise en uvre des accords de G teborg et de Kyoto Le plan strat gique national ainsi que le PDR r pondent ainsi aux objectifs notamment des directives concernant les habitats naturels et les oiseaux sauvages et de la r glementation relative la protection des eaux directive cadre relative l eau directive nitrates qui sont consid r es parmi les dispositions communautaires en mati re d environnement comme tant les plus importantes pour le secteur de l agriculture Le PDR 2007 2013 r pondra ces engagements par la mise en uvre de mesures agri environnementales MAE Fortement bas es sur les MAE du PDR 2000 2006 elles seront adapt es en fonction des nouveaux d fis de la PAC primes d coupl es et des orientations strat giques de la Commission tout en assurant une certaine continuit des MAE actuelles Les diff rentes mesures agri environnementales s int greront dans une strat gie coh rente form e de trois l ments la prime
437. sultats ont t satisfaisants sauf pour le gibier o 2 chantillons avaient des valeurs trop lev es pour le groupe B3a organochlor s Les classes Groupe substances ayant un effet anabolisant et substances non autoris es Groupe B M dicaments v t rinaires et contaminants B1 substances antibact riennes y compris les sulfamides et quinolones B2a anthelminthiques B2b coccidiostatiques B2c carbamates et pyr thro des B2d tranquilisants B2d Rbl R blocker B2e AINS B2f corticost roides B3a organochlor s B3b organophosphor s B3c m taux lourds B3d mycotoxines PSP DAP ASP biotoxines marines Les laboratoires sous traitants CER Centre d Economie Rurale Marloie CLO Centrum Landbouwkundig Onderzoek Gent Melle Fytolab Zwijnaarde ISP Institut de Sant Publique Bruxelles LNS Laboratoire National de la Sant L Universit de Gand Bromatologie X 41 XI LA SYLVICULTURE A G n ralit s 1 La certification des for ts La certification des for ts est un instrument volontaire qui est susceptible de promouvoir la gestion durable des for ts Dans le cadre de ses activit s de promotion du d veloppement durable le Gouvernement tient soutenir les initiatives de certification en tant qu instruments de march volontaires Deux syst mes sont actuellement applicables au Luxembourg le FSC et le PEFC Ils ont t analys s et d clar s conformes aux crit res d une gestion
438. sur ces sols peut entra ner des d g ts importants et devrait se limiter aux chemins existants et la p riode de gel Dans les jeunes peuplements un cloisonnement d exploitation appropri doit tre mis en place Le risque d rosion se pr sente sur uniquement sur les versants de pente sup rieure 20 sur mat riaux sableux dans la partie nord est du domaine Sols des fonds de vall es et des d pressions avec pr sence de calcaire actif en bas de profil 40 80 cm sur marne calcaires Sols argileux lourds gleyifi s peu moyenenemt profond apport d eau lat ral quasi permanent Sol des bas de versants et des vallons sur marnes d carbonat es gt 80cm Sols texture limoneuse ou argileuse bien structur sur au moins 70 centim tres drainage mod r avec apport lat ral d eau variable Sol des bas de versants et des vallons sur marnes d carbonat es gt 80cm Sol texture argileuse s alourdissant en profondeur drainage imparfait et tendance acidocline avec apport lat ral d eau variable Sol des hauts de versants et des l vations sur marnes d carbonat es Sols peu profonds avec horizon peu p n table apparaissant avant 50 centim tres de profondeur sans apport lat ral d eau Sol des versants de pente gt 20 exposition froide sur gr s de Luxembourg calcaire actif pouvant appara tre en bas de profil Sol sableux profondeur variable drainant apport hydrique variable 4 Les trav
439. surmmatnmmameniennmennemntinnianmmine ati en distant Le march du vin 2005 2006 Les IMPOATONS nene e nn etre gene nt sen detente Les exportations de produits viticoles indig nes ssseseseeeseeeneeeneenneenn nennen Les r exportationS sfissis e r a E a dede a a Ea a e Les stocks de vin indig ne au 31 juillet 2006 nseeeeeseeeeneeseeserrrreeesreeeenna La vente de vins l int rieur du pays O1 N La prime l entretien de l espace naturel et du paysage dans les vignobles La prime l abandon d finitif de superficies viticoles L aide la restructuration et la reconversion des vignobles Le site Internet de l Institut viti vinicole Le site Internet pour l am lioration de la transparence des traitements phytosanitaires par h licopt re ssssensnesereeerersrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrteerterrttrrtteerteerreet eent La formation continue et la vulgarisation lesessais viticoles E E ADN D SA A Le A Une Qi QU RCE A NA Ce Le conseil Vil COE a a e a a ete ttes a a aa Aai A aa a st tenste test e La structure du vignoble luxembourgeois 1 La superficie du vignoble et le nombre des exploitations ssosssnsseesseeeeeeeeea N Le nombre d exploitations et la superficie cult
440. t d exploitations agricoles ni la comparaison du revenu entre les diff rents secteurs de l conomie nationale Le RICA est un r seau europ en d entreprises agricoles dont les r sultats de la comptabilit conomique sont utilis s pour cr er une base de donn es micro conomiques La m thodologie est d crite dans les r glements CE 1837 2001 et CE 1859 82 Au Luxembourg le r seau RICA est g r par le SER Les exploitations comptables sont affili es soit au SER soit aupr s d Agrigestion L chantillon des entreprises comptables est stratifi en fonction de l orientation technico conomique OTE et de la dimension conomique des exploitations Il ne prend en compte que les exploitations de taille sup rieure un seuil de dimension conomique minimale Cette dimension conomique est mesur e par la marge brute standard totale de l exploitation avec une valeur seuil de 9 600 qui d limite les entreprises professionnelles Le calcul des valeurs moyennes est effectu l aide d un syst me de pond ration destin corriger les d s quilibres de l chantillon et bas sur les donn es du recensement agricole de l ann e Les diff rences fondamentales entre les r sultats obtenus par l enqu te micro conomique RICA et les statistiques macro conomiques des CEA tant au niveau des d finitions que du p rim tre d analyse sont synth tis es dans le tableau ci dessous R seau comptable d
441. t galement apport e pour r soudre des probl mes susceptibles d tre rencontr s lors de traitements courants ou sp cialis s XI 40 Le guide informatique portant sur toutes les proc dures informatiques li es la base de donn es de l IFL1 ainsi que les traitements a t finalis lors de cette convention Etant donn l importance de ce guide et le temps n cessaire sa r daction ainsi que les nombreuses t ches informatiques n cessaires la mise en uvre du second cycle de mesures un programmeur temps plein a t engag en avril 2006 5 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales a La r serve foresti re int grale Betebuerger B sch Description g n rale du projet Le Betebuerger B sch est repr sentatif pour les h traies voire les ch naies charmais sur les sols argileux frais assez humides du Gutland du Sud Les nombreuses sources ainsi que les petits ruisseaux lui conf rent un aspect particulier et sont l origine de diff rents types d habitats forestiers Une autre particularit du Betebuerger B sch provient du fait que ce massif n a pratiquement pas t touch par les derni res temp tes et d tient ainsi un pourcentage lev d anciens peuplements Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinet
442. t galement tenir compte de l volution de la situation afin de renforcer la comp titivit des producteurs de vin de l UE de consolider la r putation dont jouissent les vins de qualit de l UE de reconqu rir d anciens march s et d en gagner de nouveaux d tablir un r gime vitivinicole qui s appuie sur des r gles claires simples et efficaces permettant d quilibrer l offre et la demande d tablir un r gime vitivinicole qui pr serve les meilleures traditions de la production vitivinicole europ enne qui renforce le tissu social dans de nombreuses zones rurales et qui garantit que l ensemble de la production respecte l environnement Dans sa communication la Commission examine quatre options le statu quo une d r glementation totale du march une r forme selon les principes de la r forme de la PAC et une r forme en profondeur et se prononce clairement en 1 1 faveur d une r forme en profondeur comportant une approche soit en une phase soit en deux phases Un premier d bat au sujet de cette r forme importante a eu lieu lors de la session de juillet 2006 du Conseil agriculture et c est le 24 octobre 2006 Luxembourg que le Conseil a termin l examen de la communication Il ressort de ces discussions approfondies que toutes les d l gations ont reconnu la n cessit d une r forme en profondeur afin de renforcer la comp titivit de la production viticole europ enne Les mesures propos es
443. t grale Manternacher Fiels Manternach Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de plusieurs associations foresti res rares au Luxembourg savoir les h traies calcicoles ainsi que les for ts de ravins du Tilio Acerion sur les couches fissur es du Muschelkalk avec de nombreux boulis qui r sultent de leur mode d rosion et par les menaces pour les stations sensibles pouvant r sulter des travaux sylvicoles m me douces L tendue de cette rablaie de ravin est d ailleurs l une des plus importantes au Grand duch de Luxembourg Compte tenu de la raret de ces associations foresti res au Grand duch de Luxembourg une protection au sens le plus stricte s impose Dans ce contexte le r glement grand ducal du 6 mai 2000 pr voit un certain nombre d interdictions pour la zone prot g e Celles ci sont toutefois insuffisantes pour suffire aux objectifs poursuivis dans le cadre du projet de for ts en libre volution Le nouveau dossier de classement aura pour but de proposer une adaptation voire une modification du r glement grand ducal du 6 mai 2000 en fonction des nouveaux objectifs de la zone prot g e La surface de la zone prot g e est de 124 14 ha Les communes en sont les principaux propri taires avec 62 5 Le restant appartient int gralement des propri taires priv s XI 45 Avancement du projet Un dossier de class
444. t retenus au cours de l ann e 2006 comme ligibles au b n fice d une aide dans le cadre des articles 22 et 23 de la loi susvis e sont en principe cofinanc s par les communaut s europ ennes 1 Projet d investissement compl mentaire pr sent par la soci t CEPAL S A concernant la modernisation de la chaufferie de l Agrocenter Mersch Le projet d investissement vise l acquisition et l installation d une chaudi re bi fuel gaz fuel l ger en remplacement de deux anciennes chaudi res fonctionnant au fuel lourd Ces deux chaudi res tant devenues irr parables elles ont d tre d saffect es En effet les mesures de s curit pour un usage continu ne peuvent plus tre assur es La chaudi re assure les besoins de l Agrocenter en chaleur et en vapeur VI 1 En outre le projet pr voit le raccordement de la chaufferie au r seau gaz souterrain de la soci t Soteg passant pr s de l Agrocenter La capacit de production de la nouvelle chaudi re est rest e sensiblement la m me que celle des anciennes chaudi res mais en raison du changement de combustible elle fonctionne de fa on plus conomique et moins polluante Lors d un premier examen de la demande d aide en 2005 le d partement de l agriculture n avait retenu qu une partie proportionnelle de l investissement correspondant la production de chaleur et de vapeur pour les ateliers de production non li s l abattoir et la fabrique
445. t s de pommiers et de poiriers mises sur des souches robustes En automne une centaine de jeunes plants a t pr lev e en vue de la cr ation de nouveaux vergers dans les diverses communes de l Oesling et du Gutland Ce premier essai sera continu en 2007 En outre il est pr vu de lancer une nouvelle production au printemps g Les travaux d am lioration Comme les ann es pr c dentes les travaux d claircies dans les peuplements r sineux dominaient En outre les travaux de nettoiement dans les fourr s des r g n rations naturelles s imposent de plus en plus Comme la r g n ration naturelle a t largement favoris e durant les deux derni res d cennies et suite une transformation d une partie des peuplements r sineux en peuplements feuillus ce type de travail va probablement dominer la prochaine d cennie Comme ces interventions favorisent collectivement les sujets d avenir il importe que ces travaux soient ex cut s par un personnel averti h La voirie foresti re Une bonne infrastructure est indispensable une exploitation rationnelle et conforme aux exigences d une sylviculture proche de la nature Dans ce sens il importe que les distances de d bardage soient minimis es et que le r seau des chemins carrossables soit adapt aux exigences des grumiers d aujourd hui De m me le succ s du dossier Bois Energie d pend entre autres d une vidange rationnelle du bois Vu le terrain accident
446. t impos une vendange s lective La r colte a atteint un volume de 123 652 hl de mo t de raisin Elle est en dessous de la r colte moyenne 145 000 hl principalement cause de la coulure de la s cheresse et des infectations de la pourriture grise Botrytis cinerea ayant d truit une partie de la r colte XII 1 La pellicule des baies tait tr s fine cette ann e ce qui facilitait le pressurage et l extraction des l ments de la pellicule pr curseurs d ar mes sels min raux Les acidit s naturelles du raisin acide malique et tartrique connaissent un bel quilibre qu on esp re retrouver dans le vin En ce qui concerne la qualit des vins il est actuellement trop t t pour avancer des hypoth ses Toutefois les nologues et chefs cavistes conviennent que l ann e viticole 2006 restera en m moire pour la bonne qualit du vin et la faible quantit de raisins r colt e Le march du vin 2005 2006 Les chiffres d taill s sur le march du vin sont reproduits dans les tableaux 4 17 en annexe 1 Les importations En 2005 2006 les importations de produits viticoles ont augment de 7 380 hectolitres par rapport la campagne 2004 2005 et s l vent au total 239 033 hectolitres Cette augmentation de 3 8 s explique par une augmentation accrue des importations de France et d Italie Les importations d Espagne ont diminu de 16 par rapport l ann e pr c dente tandis que l achat de produit
447. t l indice input ont donc connu une augmentation de 2 06 par rapport 2005 Ainsi apr s une longue p riode de d gradation des termes de l change le redressement commenc en 2005 se poursuit en 2006 3 La politique agricole commune PAC Le chapitre III traite les faits marquants de la PAC en d tail Les structures de production de l agriculture luxembourgeoise Le STATEC effectue chaque ann e un recensement aupr s des exploitations agricoles qui porte sur les principales caract ristiques structurelles des exploitations Les r sultats de ce recensement permettent de suivre le mouvement de concentration qui s op re en agriculture Le nombre d exploitations et la main d uvre agricole diminuent alors que la surface agricole utilis e reste plus ou moins stable Les exploitations augmentent donc leur tendue Parall lement les exploitations se sp cialisent c est dire que le nombre de sp culations pratiqu es par exploitation diminue Apr s les chiffres exceptionnels du nombre d exploitations et de la main d uvre agricole en 2008 suite des raisons m thodologiques les tendances observ es long terme se poursuivent Les principales donn es relatives l volution des structures de l agriculture luxembourgeoise sont fournies dans les tableaux 1 10 de l annexe Statistiques agricoles du pr sent rapport d activit Le nombre total d exploitations passe de 2 449 en 2005 2 325 exploitations soit
448. tables ont t enregistr es en 2006 C L unit de contr le L unit de contr le du Minist re de l Agriculture est plac e sous l autorit de l organisme payeur en ce qui concerne la fonction Contr le Son personnel qui s l ve 16 agents dont 12 contr leurs fait partie du cadre de l Administration des services techniques de l Agriculture L unit de contr le a d m nag en novembre 3 route d Arlon L 8009 Strassen En 2006 les contr les suivants ont t effectu s en vue de v rifier le respect des conditions d ligibilit des aides communautaires Identification et enregistrement des animaux Nombre de contr les effectu s 150 Mesures li es la surface Echantillon de printemps 32 Echantillon d t 110 Echantillon viticole 11 Echantillon Prot agineux 6 Echantillon Cultures nerg tiques 4 Echantillon Fruits coque contr l dans le cadre de l chantillon d t Echantillon d automne 8 Total 171 Mesures li s aux investissements Nombre de contr les effectu s 71 D La division des laboratoires de contr le et d essais 1 Le service de p dologie Les activit s du service de p dologie portent essentiellement sur deux domaines diff rents savoir a La cartographie des sols Une des attributions du service de p dologie consiste dans l tablissement de la carte p dologique du Grand Duch de Luxembourg l chelle 1 25 000 De cette carte
449. tal des bacs eau ou d abreuvoirs tant de 164 IX 2 Le drainage de terres agricoles humides 1 projet de drainage a t labor en 2006 dont le devis s l ve 5 000 La surface du terrain est de 1 52 ha En 2006 les ouvriers de ASTA ont proc d pour le compte de particuliers plusieurs d bouchages de drains dans des terrains agricoles La voirie rurale et viticole 112 projets d am nagement et d entretien de la voirie rurale et viticole furent labor s en 2006 Le chiffre total des devis s l ve 6 762 210 La longueur totale s l ve 130 000 m tres 2 projets de chemins ruraux double file sur une longueur totale de 290 m tres ont t labor s en 2006 Le devis se chiffre 75 000 Les assainissements r alis s pour le compte des communes 8 projets d un montant total de 1 034 152 ont t labor s en 2006 pour la stabilisation d un glissement sur un chemin rural la stabilisation de talus le d capage de rochers pour prot ger un chemin viticole la r fection de ponts et ponceaux Les pistes cyclables L ASTA est impliqu e dans les projets pistes cyclables s il s agit de chemins ruraux usage mixte En 2006 les projets suivants ont t labor s en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es am nagement du chemin rural usage mixte de l Oesling PC 22 entre le C R 322 et Puetscheid et am nagement du chemin rural usag
450. tant du Gouvernement luxembourgeois dans l orientation de la gestion des for ts vers une gestion durable et respectueuse de l environnement naturel 562 nouvelles demandes en aides ont t adress es en 2006 aux cantonnements et aux arrondissements Aux cantonnements de Diekirch Mersch Luxembourg Est Luxembourg Ouest et Grevenmacher les demandes en aides manent principalement des communes et des tablissements publics Au cantonnement de Wiltz cependant la situation est diff rente la majeure partie des demandes en aides proviennent de la part des propri taires forestiers priv s Ce grand nombre de demandes de la part des propri taires forestiers priv s engendre un travail administratif consid rable et explique que le cantonnement de Wiltz a t renforc pas plus tard qu en 2005 d une employ e qui s occupe principalement de l vacuation des dossiers d aides XI 10 Le tableau ci apr s reprend les quantit s accord es par type d aide et par type de propri taire Type d aide Communes tablissements Priv s Total publics Boisement h tre ch ne ares 0 00 0 00 181 20 181 20 Boisement autres feuillus ares 82 00 0 00 0 00 82 00 Cl ture 1 5 m hauteur m 2 945 00 0 00 5 247 00 8 192 00 Cl ture 2 m hauteur m 0 00 0 00 1 100 00 1 100 00 Construction chemin forestier EUR 0 00 0 00 119 641 32 119 64
451. tas entre les diff rents acheteurs au cours de la p riode 2006 2007 situation au 15 01 2007 Acheteur Quota total kg en LUXLAIT 125 050 346 46 332 EKABE 34 040 169 12 612 PROCOLA 104 134 761 38 583 CORELUX 4 026 572 1 492 FROMAGERIE DE 2 647 152 0 981 Luxembourg TOTAL 269 899 000 100 000 Vente directe Au cours de la p riode 2005 2006 une quantit de r f rence vente directe a t allou e 3 producteurs les quantit s de r f rence totales attribu es se sont tablies Quota national vente directe 495 000 kg Transfert article 6 paragraphe 2 R CE N 1788 03 46 089 kg Quota national disponible 448 911 kg Les quantit s de lait et de produits laitiers commercialis es directement ont port sur 430 154 kg en quivalant lait R allocation de quotas Pour la p riode du 1 avril 2005 au 31 mars 2006 il a t possible d allouer partir de la r serve nationale les quantit s de r f rence suppl mentaires indiqu es au tableau 15 Tableau 15 Quotas suppl mentaires allou s en 2005 2006 et motifs de l allocation 1 Un quota suppl mentaire de 23 800 kg a t allou 25 jeunes producteurs Quantit de r f rence globale engag e 595 000 kg 2 Allocation d un quota suppl mentaire 326 producteurs appartenant la troisi me cat gorie prioritaire producteurs disposant d une quantit de r f rence propre inf rieure respectivement aux livraisons de lait effectu
452. teaux et les versants dominant la vall e de la Moselle explique la relative diversit g ologique observ e Sur les plateaux et versants de pente douce ce sont les couches du Keuper principalement les Marnes pseudomorphoses de sel km1 et les marnes dolomitiques du Muschelkalk inf rieur ku qui affleurent Sur le versant escarp de la vall e de la Moselle l rosion a mis nu les roches plus anciennes du Muschelkalk sup rieur Couches entroques mo Couches limites et couches Ceratites mo2 et du Muschelkalk moyen mm Peuplements La for t communale de Wormeldange est largement domin e par les peuplements feuillus en particulier par le h tre et le ch ne qui occupent plus de XI 33 80 de la surface foresti re La ch naie occupe 46 de la superficie bois e contre 35 pour le la h traie Ces peuplements sont tous duqu s en r gime de futaie quienne Les autres feuillus 7 sont constitu s essentiellement de fr ne charme rable merisier et de quelques aulnes bouleaux et robiniers Les peuplements r sineux recouvrent environ 12 de la superficie bois e Ils sont repr sent s majoritairement par l pic a D autres essences comme le sapin des Vosges le pin sylvestre le pin noir le m l ze ou encore le Douglas sont pr sents mais ne repr sentent que quelques hectares M thode de travail au niveau des relev s p dologiques Au total 432 sondages p dologiques ont t r alis s sur le
453. tendu n a pas pu tre remplac e sur la totalit du tron on L ach vement de ces travaux s impose pour 2007 vu la graduation du lit de chemin accompli Fauchage tardif Au triage de Kiem le programme du fauchage tardif entam en 2005 a pu tre continu au cours de l ann e 2006 Les ouvriers du triage Kiem s tant familiaris s avec l id e ont commenc d velopper une routine et m me des initiatives b n fiques au projet Seuls les chemins principaux et surtout les pistes cyclables sont soumis un fauchage au printemps o on se limite enlever les orties et les foug res aigle risquant d encombrer les chemins Au triage de Sandweiler le fauchage tardif a t effectu sur l ensemble du r seau forestier Fauchage l aide du cheval Le triage de Hesperange a r alis un fauchage des chemins forestiers dans la for t communale du Howald l aide du cheval ardennais h Les travaux forestiers subventionn s Le tableau ci apr s r capitule les diff rents types de travaux forestiers qui ont t subventionn e en 2006 Le nombre des dossiers de subvention s est lev 12 dont 10 pour des travaux forestiers et 2 pour la construction de chemins forestiers travaux forestiers chemins Nouvelles demandes Ooo 6 e 2 Anciens dossiers trait s demande avant 2006 TO OE Refus s Proc s verbaux provisoires D Proc s verbaux d finitifs 7 2 Nouvelles demandes tat avis de r c
454. tient les propri taires dans la gestion de leur for t Les d g ts de gibier Le nombre de dossiers des d g ts de gibier a sensiblement baiss par rapport 2005 279 contre 339 soit un recul de 18 Les d g ts par contre montrent une nette tendance la hausse et sont tout fait comparables aux r sultats de 2004 voir tableau ci apr s Si la moyenne des dossiers par triage s est lev 28 dossiers il faut toutefois relever que durant la premi re moiti de l ann e 3 triages sur 10 taient vacants o le nombre de dossiers par pr pos tait de 40 par triage Dans ce contexte il faut relever le triage de Hosingen avec 74 dossiers trait s Quant aux d g ts de cerfs en for t il faut noter une hausse consid rable et du nombre des dossiers 20 contre 4 en 2005 et de la surface 43 4 ha contre 6 3 ha l ann e pr c dente soit une hausse de 68 des d g ts en surface Cette hausse s explique par le fait que les propri taires se voient de plus en plus contraints de r agir contre les d g ts caus s sur leurs propri t s Par ailleurs on note une croissance non frein e des populations Et en fin de compte on observe de plus en plus de nouvelles populations dans des zones qui auparavant taient libres de grand gibier XI 29 Surface ha Nombre de dossiers 1998 33 15 180 1999 125 34 313 2000 96 48 219 2001 80 14 158 2002 68 68 303 2003 68 51 324 2004 96 70 258 2
455. tillons de lisier et de fumier sont analys s chaque ann e Les tableaux 3 et 4 donnent un aper u des r sultats dans les diff rentes cat gories de fertilisants organiques de la ferme pour la p riode 1997 2006 ainsi que pour la p riode 2005 2006 D un autre c t le service contribue largement au fonctionnement de diff rentes marques nationales Le service g re la commission de la marque nationale des eaux de vie et r alise une grande partie des analyses en vue de l valuation de la qualit des eaux de vie L administration des douanes et accises sollicite le service pour un nombre consid rable d analyse d alcools et de bi res La gestion et la mise en uvre de la l gislation europ enne sur les boissons spiritueuses g r es par l Institut viti vinicole ont t attribu es PASTA La participation du service divers groupes de travail et comit s de l UE dans les domaines de l alimentation animale et des engrais est une t che n cessaire en vue de l laboration d une r glementation communautaire d autant plus que ces r glements UE sont d application au niveau national En vue d une accr ditation du laboratoire les efforts entam s en 2004 afin de r aliser cet objectif ont t poursuivis en 2006 IX 22 Tableau 3 Valeurs moyennes des principaux l ments nutritifs de diff rents supports organiques analys s de 1997 2005 nombre moyenne moyenne N moyenne P205 moyenne K20 moyenne MgO M
456. toire de l Institut viti vinicole Par la loi du 12 ao t 2003 portant r organisation de l Institut viti vinicole article 1 une des obligations de l Institut est de surveiller et de contr ler l ex cution des prescriptions l gales et r glementaires concernant les vins et boissons similaires et de conseiller les organismes professionnels de la viticulture dans les domaines technique conomique et commercial A cette fin le laboratoire de l IVV r alise l examen analytique des mo ts des vins et des vins mousseux et cr mants par analyse chimique de ses constituants et par d termination de ses caract res physiques Les principaux groupes d analyses se pr sentent comme suit Le contr le analytique syst matique de tous les lots de mo ts faisant l objet d une Vinification pr cis par le r glement CE n 1622 2000 au service du contr le des vins rempla ant ainsi la d claration obligatoire d intention d enrichissement L analyse individuelle des vins des vins mousseux et des cr mants sur demande des viticulteurs pendant la p riode de la fermentation alcoolique jusqu l embouteillage des vins dans notre r le de conseiller incluant l analyse de conformit pour l exportation des vins des cr mants ou des vins mousseux et l analyse prescrite pour participation aux diff rents concours internationaux L examen analytique des vins des vins mousseux et des cr mants luxembourgeois sur diff rentes caract ristiques bien
457. totale de 207 650 22 euros L allocation en faveur des jeunes producteurs Le r glement grand ducal du 24 novembre 2005 portant mesures compl mentaires e a du r gime de paiement unique pr voit en son article 17 une allocation partir de la r serve nationale pour les jeunes agriculteurs nouvellement install s depuis le 16 avril 2004 et qui n ont pas encore b n fici ou demand l octroi d un quota laitier suppl mentaire au titre de leur installation Sont consid r s comme jeunes agriculteurs nouvellement install s ceux qui le dernier jour de la p riode de d p t annuelle c d le 31 janvier remplissent les conditions pr vues l article 11 de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Dans les limites d un montant de 3 030 euros c d 10 fois la valeur moyenne r gionale de 303 euros ha l agriculteur ligible peut demander augmentation de la valeur unitaire des droits qu il d tient d j sans que la valeur unitaire puisse d passer la valeur moyenne r gionale de 303 euros ha et ou Fallocation de droits au paiement suppl mentaires L agriculteur qui opte pour l allocation de droits au paiement suppl mentaires peut d terminer le moment de leur allocation end ans un d lai de 5 ans suivant l accord d allocation L octroi des allocations se fait dans la limite des sommes disponibles dans la r serve nationale tout en gardant une marge de s curit de 50 000 euros
458. tre en uvre la cha ne de contr le et d offrir au long de la cha ne de transformation du bois des produits certifi s L action 2 1 qui envisage de fournir aux sylviculteurs les outils pratiques leur permettant de favoriser concr tement la biodiversit foresti re dans les peuplements qu ils sont charg s de g rer et de cadrer leur action d am nagement et leurs op rations de sylviculteur dans les conditions nouvelles cr es par les chablis sur des bases techniques complexes pr cis es apr s examen de situations vraiment diverses L action 3 1 qui consiste en l organisation d une information continue des m dias r gionaux sur la d marche de certification foresti re et la r alisation de visites d entreprises de rencontres de t moignages afin de relater l avancement de la d marche et l engagement des diff rents partenaires associ s L action 3 2 intitul e Penser For t Agir Bois qui consiste organiser des r unions d information et de sensibilisation aupr s des pouvoirs publics des leaders d opinion des d cideurs des architectes des professionnels de la construction du grand public sur la for t la fili re bois et ses enjeux conomiques au sein de la Grande R gion du bois dans la construction et l am nagement et de ses potentialit s en tant que mat riau de construction L action 3 3 intitul e La Route du Bois qui consiste r aliser un audit dont l objectif est le recensement de
459. tretien assurances frais g n raux salaires fermages int r ts sur la marge brute totale II mesure la partie de la marge commerciale absorb e par les co ts fixes Unit de travail annuel UTA cette unit repr sente la quantit moyenne de travail qu une personne peut prester pendant une ann e elle est fix e forfaitairement 2 200 heures On distingue par ailleurs entre UTA non r mun r es UTAn correspondant aux chefs d exploitations et autres travailleurs non salari es et UTA salari es UTAS dont les charges de salaire constituent une d pense d exploitation 1 26 ll LES ACTIVITES DU SERVICE D ECONOMIE RURALE Les activit s du Service d Economie Rurale sont diverses et s inscrivent d une part dans l application au Grand Duch de Luxembourg d un certain nombre de mesures de la PAC et comprennent d autre part des missions en relation avec la situation conomique et sociale de l agriculture En vertu de la loi modifi e du 25 f vrier 1980 portant organisation du Service d Economie Rurale les missions g n rales sont r parties entre la direction la division des comptes conomiques et des statistiques agricoles la division de la gestion de la comptabilit et de l entraide agricoles et la division des relations ext rieures et des march s agricoles En l absence d une r organisation du SER les changements importants r sultant de la r forme de la PAC de 2003 abolition de la plupart d
460. ts et groupes de travails concernant les fruits et l gumes aupr s des instances europ ennes La tr s bonne collaboration avec les responsables du Dienstleistungszentrum L ndlicher Raum Rheinpfalz dans le domaine de l arboriculture a t maintenue b Le service au niveau national c Le service est responsable des contr les concernant la qualit des fruits et l gumes Dans ce cadre 83 tablissements impliqu s dans le commerce des fruits et l gumes ont t contr l s Plusieurs constats de non conformit ont t dress s Les travaux d am nagement d un verger de d monstration Stadtbredimus servant propager notre arboriculture fruiti re viennent d tre achev s Ce verger regroupe une centaine de vari t s fruiti res anciennes et nouvelles Dans un champs d essais Bous une trentaine de vari t s de potirons mangeables et d ornement ont t cultiv s sur une surface de 20 ares Concernant l am nagement des alentours des fermes et b timents agricoles et horticoles le service a labor une cinquantaine de plans de plantation et a galement fourni gratuitement des arbres env 300 et arbustes env 20 000 aux tablissements agricoles et horticoles Dans le cadre d une convention avec la Direction du d veloppement et de la diversification conomiques du Minist re de l Economie des plantations nouvelles ont t r alis es dans les zones industrielles Les travaux de taille des arbres
461. turation feuillu qui est actuellement transform en majeure partie en cellulose et en papier Aucun arbre suppl mentaire n a t abattu jusqu ce jour des fins nerg tiques et le potentiel nerg tique se trouvant au niveau du bois de trituration n est de loin pas puis Le bois utilis substitue 1 252 530 litres de fuel et r duit ainsi l mission de CO2 du Grand Duch de Luxembourg d environ 3 989 3 tonnes B Les cantonnements forestiers 1 L exploitation de bois Le tableau ci apr s montre le volume r alis en 2006 146 870 m de bois ont t exploit dans les for ts soumises au r gime forestier dont 58 de feuillus et 42 de r sineux XI 8 Exercice 2006 Essence Volume Volume m H tre 60 841 41 Ch ne 21 307 15 Charme 1798 1 Autres feuillus 1025 1 Total feuillus 84 970 58 pic a 45 881 31 Douglas 8 459 6 Pin 5871 4 M l ze 578 0 Autres r sineux 1111 1 Total r sineux 61 899 42 Total 146 870 100 Pour l ann e 2006 une nette hausse du volume r alis peut tre constat e Cette hausse s explique par une forte demande surtout de bois r sineux en provenance des scieries Compar l ann e 2005 le volume de bois r sineux r alis en 2006 a augment de 49 226 61 899 m Cette hausse de la demande se traduit galement par une hausse des prix particuli rement remarqu e partir de l automne 2006 Reste voir si
462. u paysage La for t qui couvre 34 du territoire est un l ment essentiel du paysage luxembourgeois et elle joue un r le important au niveau de la protection de l eau du sol de l air et en tant que pi ge carbone Le plan strat gique national retient que la for t luxembourgeoise devrait continuer assumer ces fonctions elle devra tre pr serv e dans son tendue et ses potentiels actuels La consommation de bois sous forme nerg tique ou bien permettant un stockage longue dur e du carbone sera favoris e L am nagement la gestion et l exploitation de la for t luxembourgeoise se feront dans le respect de la diversit des habitats et des esp ces de la for t et dans le souci de la maintenir et de l am liorer Une attention particuli re sera port e aux esp ces floristiques et faunistiques rares et menac es Des parties de for t seront laiss es en libre volution dans l int r t de la biodiversit Afin de mieux conna tre la for t luxembourgeoise et de d velopper les outils de gestion appropri s son d veloppement durable des programmes de recherche concernant aussi bien les fonctions de protection et de production les pratiques sylvicoles tout comme l impact du changement climatique seront d velopp s Une attention particuli re sera port e la formation et la sensibilisation des diff rents acteurs en for t afin que la for t soit g r e et I11 9 fr quent e dans le respect des exigences de
463. u Grand Duch de Luxembourg en 2006 avec un montant total d aide de 47 132 91 EUR E L indemnit compensatoire allou e aux producteurs des r gions d favoris es L indemnit compensatoire allou e aux exploitants agricoles sur base de l article 18 de la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural s levait pour l ann e civile 2006 plus de 15 8 millions En vertu du r glement grand ducal modifi du 11 f vrier 2002 fixant les modalit s d application de l indemnit compensatoire annuelle allouer aux exploitants agricoles dans les r gions d favoris es l indemnit compensatoire est accord e aux exploitants agricoles dont l exploitation a une dimension conomique correspondant une marge brute standard totale d au moins 9 600 et une taille d au moins 3 ha de surface agricole ligible dont le si ge de l exploitation est situ dans les zones du Grand Duch de Luxembourg qui figurent sur la liste communautaire des zones d favoris es d finies pour le Luxembourg par la directive 75 274 CEE qui s engagent poursuivre leur activit agricole dans une zone d favoris e pendant au moins cinq ans compter du versement de l indemnit compensatoire qui respectent sur l ensemble de leur exploitation les principes de bonne pratique agricole vis s l annexe et en ce qui concerne les surfaces situ es dans un pays limitrophe le code de bonne pratique agricole a
464. u cours de l ann e budg taire 2006 le montant total de l investissement pr vu au niveau des projets susmentionn s s l ve 6 438 260 98 En cons quence le taux d aide de la mesure n s levant 50 une d pense publique au montant total de 3 219 132 70 a t engag e Mesure o R novation et d veloppement des villages conservation et protection du patrimoine La mesure s inscrit pleinement dans la poursuite d actions d j bien d velopp es dans les communes rurales actions qui participent une d marche int gr e de d veloppement des villages de conservation et de protection du patrimoine local ainsi revaloris En 2006 14 projets ont t engag s sous cette mesure VII 7 Porteur de projet Projet Commune de Beaufort Am nagement de la place publique au centre de la localit Beaufort Commune de Beaufort Am nagement du chemin de la Fontaine Beaufort Commune de Beaufort Am nagement du W schbuer dans le chemin de la Fontaine Beaufort Commune de Betzdorf Am nagement de la cour de la nouvelle cole primaire Roodt Syre Commune d Esch sur S re R alisation de trottoirs dans le cadre de l am nagement d un parking Duchfabrik Esch sur S re Commune d Esch sur S re Mise en valeur de la place de la mairie Esch sur S re Commune de Feulen Am nagement des alentours de la maison communale Niede
465. u r seau national LEADER portent essentiellement sur la mise jour du site internet www leader lu avec tous les d tails relevant des projets termin s et en cours de r alisation des GAL Une importance particuli re est accord e la traduction des textes allemands en langue fran aise et anglaise Ensemble avec les GAL et le minist re le r seau pr pare la publication d une brochure regroupant tous les projets soutenus sous LEADER et l organisation de workshops de formation pour le personnel des bureaux LEADER VII 12 VII LE REMEMBREMENT DES BIENS RURAUX A Les op rations pr paratoires au remembrement Les op rations pr paratoires comprennent la d limitation du p rim tre de regroupement parcellaire l tablissement des bulletins de propri t l organisation de l enqu te publique sur l utilit du remembrement et de l assembl e g n rale des propri taires lors de laquelle ceux ci se prononcent sur la proposition de remembrement Depuis 2000 l ONR a t associ aux travaux relatifs la construction de la Route du Nord loi du 27 juillet 1997 pour la Route du Nord Dans ce contexte les travaux pr paratoires ont t poursuivis sur deux plans au niveau des mesures compensatoires article 2 du r g d du 27 ao t 1997 pour la Route du Nord renaturation de l Alzette principalement dans les communes de LORENTZWEILER et LINTGEN reboisement compensatoire du Grengewald dans la Commune de NIED
466. u vieilli en f t f t de ch ne ou barrique ne sont autoris s que pour les vins qui n ont pas t labor s avec l aide de morceaux de bois de ch ne Vers une nouvelle OCM Vin Le 22 juin 2006 la Commission europ enne a pr sent une communication concernant une r forme de l actuelle Organisation commune du march du Vin OCM Vin l gard d une diminution de la consommation d une forte progression des importations d un accroissement continu des exc dents de vin dans l UE la Commission estime que le maintien du r gime vitivinicole actuel ne peut tre consid r comme une solution viable Le budget annuel consacr au secteur vin s l ve 1 2 milliards d euros dont 65 sont utilis s pour les mesures d intervention tel que les diff rentes formes de distillation le stockage les restitutions l exportation La volont de la Commission n est pas de faire des conomies mais d utiliser le budget disponible de fa on plus efficace et cibl e en introduisant des mesures permettant d accro tre davantage la comp titivit du secteur asseoir la r putation des vins de qualit communautaires reconqu rir des parts de march gagner de nouveaux march s quilibrer l offre et la demande et simplifier la r glementation tout en pr servant les meilleures traditions de la production viticole de l UE et en consolidant le tissu social et environnemental des zones rurales En vue de rem dier aux
467. uction agricole compatibles avec les exigences de la protection de l environnement et de l entretien de espace naturel ie 2004 ge 2005 Ann e 2006 a d Exploitants ses 726 nombre de demandes individuelles code mesure Nombre de Nombre de Nombre de demandes demandes demandes 2004 2005 2006 034 035 r d prod phyto 10 44 9 5 2 16 101 041 bord des champs 1 04 1 0 6 0 00 051 bord cours d eau 9 3 9 3 17 6 38 071 vergers traditionnels 13 5 7 15 8 7 6 38 111 retrait 5 ans 0 0 0 0 0 0 0 00 B La division agronomique 1 La production animale Le service de la production animale a pour mission l organisation et l orientation de la production et de l levage des animaux de ferme Il assure la surveillance de l application des dispositions communautaires en mati re zootechnique et d finit ensemble avec les organisations professionnelles les programmes mis en place pour l am lioration g n tique des animaux et des produits d riv s En fin 2006 en races viandeuses 2 099 vaches ont t inscrites aux herdbooks avec une dominance forte de la race limousine 70 1 suivie par la race charolaise 11 5 un effectif inf rieur 10 tant atteint par les autres races viandeuses pr sentes au Luxembourg 39 troupeaux ont adh r en 2006 au contr le de performance organis pour les bovins allaitants En races laiti res en 2005 2006 768 tro
468. ue nationale projet de r glement grand ducal portant r glementation de la marque nationale du vin et fixant les conditions d attribution de cette marque Le Comit directeur a galement t inform plusieurs reprises par les repr sentants luxembourgeois fonctionnaires et professionnels participant aux r unions de l Union europ enne UE et organismes ind pendants du secteur vitivinicole COPA COGECA de certains points d actualit principalement sur une r forme de l organisation commune du march viticole OCM En ce qui concerne le projet d une r forme en profondeur pr conis e par la Commission europ enne la profession viticole estime que l attitude de la Commission est trop d fensive et si cette r forme devait se concr tiser telle qu elle est annonc e cela aurait des cons quences n gatives pour le vignoble luxembourgeois Il faut tout prix pr server le vignoble luxembourgeois de 1 300 ha qui est b ti sur le terroir la culture le tourisme et ses traditions Des repr sentants de la profession viticole ont galement assist diverses conf rences savoir S minaire vitivinicole organis par la Commission europ enne et ayant pour th me D fis et perspectives d avenir pour les vins europ ens Bruxelles le 16 f vrier 2006 assembl e pl ni re de AREV le 7 et 8 avril 2006 Merano Tyrol du Sud Haut Adige lors de laquelle un projet de r solution a t adopt l una
469. ues et de pratiques innovantes Ces tudes seront r alis es galement dans l optique de la participation accrue du secteur de la lutte contre le changement climatique 7 L am lioration de la rentabilit des propri t s foresti res La production foresti re nationale garantit une autosuffisance en bois brut sans mettre en p ril la ressource foresti re Le plan strat gique pr voit l am lioration de la rentabilit des propri t s foresti res dans le respect du principe d une gestion foresti re durable Une attention particuli re sera port e sur la sensibilisation et la motivation des propri taires valoriser leur patrimoine en accroissant leurs connaissances et comp tences en mati re foresti re Des activit s de formation et d ducation visant les acteurs de la for t seront lanc es afin de mieux faire conna tre les outils de gestion appropri s au d veloppement durable de la for t Le recours des services de conseil et d aide la gestion sera favoris afin d arriver un nombre croissant de propri taires priv s s engageant l exploitation volontaire commune de leur patrimoine forestier La valorisation du bois en tant que ressource renouvelable sera soutenue par des moyens de promotion par une meilleure commercialisation et par la recherche de nouveaux d bouch s Des efforts seront entrepris pour augmenter la consommation de produits base de bois dans des domaines tels que la construction l ameubl
470. uillet En ao t une longue p riode pluvieuse a interrompu les travaux de r colte des c r ales Les c r ales qui n avaient pas t r colt es jusque l ont subi des pertes de qualit importantes dues l exc s d humidit qualit boulang re pour le bl panifiable qualit en malterie pour l orge de brasserie qualit fourrag re pour les c r ales fourrag res voire ont d tre valoris es pour la production d nergie dans les installations de biogaz C est surtout dans le nord de l Oesling qu une partie de la production c r ali re a t fortement affect e par la pluviosit excessive du mois d ao t L automne a t relativement chaud et sec de sorte que les travaux de r colte des autres productions v g tales se sont d roul s dans de bonnes conditions 2 La situation des prix des produits agricoles Les indices des prix agricoles output et input renseignent sur l volution des prix la production des produits agricoles respectivement des prix d achat des moyens de production agricoles Tous les produits agricoles sont pris en compte lors du calcul de l indice des prix des produits agricoles indice output avec leur pond ration valeur de production du produit en question au cours de l ann e de base Il en est de m me pour l indice des prix des moyens de production agricoles indice input L ann e de base indice 100 est actuellement l ann e 2000 Les indices output et input sont publi s
471. um qui occupe pr s d un dixi me de la zone Bouleaux broussailles et arbustes r sineux peupliers et fr nes recouvrent le restant de la future RFI Cette zone foresti re a t d clar e zone prot g e par r glement grand ducal du 20 septembre 2005 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 244 6 ha La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude Avancement du projet Cette ann e les travaux dans la r serve foresti re int grale Betebuerger B sch se sont surtout ax s sur le suivi scientifique ainsi que sur la gestion de cette nouvelle zone prot g e Le Betebuerger B sch est la deuxi me r serve foresti re int grale au Luxembourg o un suivi des habitats forestiers a t effectu Les placettes permanentes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine Dans le cadre du suivi des esp ces un inventaire des papillons de nuit a t r alis Les r sultats de cette tude devraient galement tre publi s l ann e prochaine En ce qui concerne les mesures de gestion effectu es il s agit pour la plus grande partie de mesures de s curisation le long des chemins forestiers ainsi que du balisage de la RFI Ce balisage a p
472. un atelier de production d un yaourt traditionnel ethnique Altin Kaymak Le projet d investissement pr voit le d veloppement d un type de production suppl mentaire pour compte d un client traditionnel savoir la production d un yaourt traditionnel ethnique originaire de la Turquie Le produit en question sera commercialis par ce client sous sa propre d nomination Luxlait entend r aliser les op rations unitaires suivantes sur son site de Luxembourg Merl Pr paration de la masse laiti re Conditionnement du produit chaud _ Pr refroidissement en tunnel _ Ensemencement en levain Maturation en salle Refroidissement en salle Operculage Palettisation Lavage des clays et chariots Le projet comprend l acquisition et l installation des quipements n cessaires la production du yaourt ethnique turque Les divers quipements et travaux sont conditionneuse Kulp machine ensemencer Kulp clays avec chariots et pieds de base tunnel de refroidissement et traitement de l air machine operculer et poser de couvercle dateuse pour tra abilit machine laver les clays canon mousse travaux de soudure connexions des fluides r fection du sol clairage isolation lectricit et automation Le projet d investissement b n ficie d une aide au taux de 35 L allocation d une aide au taux de 40 pour cet investissement n est pas justifi e du fait que l investissement vise seulem
473. unale de Hesperange 352 30 ha for t communale de Hesperange usufruit 34 59 ha for t communale de Junglinster 118 82 ha for t communale de Kehlen 466 29 ha for t communale de Lintgen 362 55 ha for t communale de Saeul 245 62 ha Total 1 941 47 ha Les inventaires suivants ont t entam s en 2006 for t domaniale de Bissen 43 00 ha for t communale de Folschette anc com 220 14 ha for t communale de Rambrouch anc com 524 63 ha Total 787 77 ha Une cartographie du r seau de voirie ainsi que des orthophotos ont t r alis es pour les propri taires suivants for t communale de Bettembourg 361 30 ha for t communale de Heseperange 352 30 ha for t communale de Hesperange usufruit 34 59 ha for t communale de Hobscheid 598 04 ha for t communale de Junglinster 118 82 ha for t communale de Kehlen 466 29 ha for t communale de Lintgen 362 55 ha for t communale de Saeul 245 62 ha Total 2 539 51 ha Une cartographie du r seau de voirie a t r alis e pour les propri taires suivants for t communale d Echternach 645 44 ha for t communale de Mompach 643 80 ha Total 1 289 24 ha La mission photogramm trique La couverture a rienne de 2006 a t r alis e dans le cadre des travaux pr paratoires au monitoring dendrom trique dans les r serves foresti res int grales Il s agit en l occurrence d une mission photogramm trique qui a t sp cialement con ue et projet e pour cette application
474. une diminution de 5 1 La superficie moyenne des exploitations agricoles viticoles et horticoles est de 55 43 ha Pour les exploitations agricoles proprement dites sans la viticulture et l horticulture on recense 1 930 exploitations avec une surface moyenne de 65 77 ha La surface moyenne des exploitations reprises par des jeunes est en 2006 de 104 8 ha pour les agriculteurs et 14 5 ha pour les viticulteurs seuil de pers v rance La surface moyenne des exploitations agricoles au sens strict tenant une comptabilit en partie double se situe en 2005 81 9 ha La surface moyenne des parcelles culturales est de l ordre de 2 1 ha La surface agricole utile se r partit entre terres arables 46 prairies et p turages 52 vignobles et autres terres de culture 2 Le cheptel est compos essentiellement de bovins et dans une moindre mesure de porcins volaille et autres animaux Exprim en UGB unit de gros b tail le cheptel bovin repr sente plus de 83 de l ensemble des cheptels ce qui illustre sa pr dominance Le cheptel bovin continue le mouvement de recul qui a t entam au milieu des ann es 80 et qui a connu un bref r pit en 2001 Il s l ve 183 640 t tes au 15 mai 2006 Le cheptel bovin peut tre subdivis en cheptel laitier d une part et cheptel allaitant et d engraissement d autre part Le cheptel laitier est majoritaire mais son importance relative a diminu continuellement au cours des 18 derni res a
475. unique l exception des primes pour les plantes nerg tiques les prot agineux et les fruits coque o w l 25 Aides non li es la production prime unique indemnit compensatoire prime l entretien du paysage et de l espace naturel aides sp cifiques dans le cadre du r glement UE 1257 99 aides pour certains co ts de production lectricit eau assurance gr le aides agri mon taires bonifications d int r ts prime d installation Cash flow est peu pr s gal au revenu amortissements variations des stocks Il correspond au surplus mon taire d gag par l exploitation Ces liquidit s sont utilis es pour rembourser des dettes assurer le train de vie priv e constituer des r serves et financer des investissements nouveaux Si le cash flow n est pas assez important pour couvrir tous ces besoins le solde devra tre financ par un nouvel emprunt Marge brute diff rence entre la valeur de la production y compris les aides la production et les charges op rationnelles variables d un secteur d activit sp cifique p ex culture c r ali re production laiti re l int rieur d une exploitation La marge brute permet de comparer l efficacit conomique de diff rentes productions ainsi que d valuer la capacit de gestionnaire de l exploitant Marge brute standard MBS valeur moyenne nationale d une marge brute standardis e par sp culation La MBS totale par entreprise
476. upeaux ont adh r au contr le laitier avec un effectif de 33 339 vaches contr l es ce qui repr sente 85 des vaches laiti res pr sentes au Luxembourg parmi lesquels 74 reviennent la race Holstein Noir et 22 la Holstein Rouge Pendant la p riode en question le nombre de vaches laiti res moyen par troupeau est 42 3 La production laiti re annuelle par troupeau s l ve 7 473 kg avec 17 producteurs laitiers atteignant une moyenne sup rieure au 10 000 kg 15 vaches s inscrivent en 2006 au palmar s des 100 000 kg Le service assure la gestion des marques nationales du beurre luxembourgeois des salaisons fum es et de la viande porcine En 2006 15 concours beurriers ont t ex cut s en vue de l obtention de la Marque Nationale Beurre de Marque Rose Pour pouvoir obtenir l appellation de qualit le beurre doit tre soumis un examen organoleptique portant sur l aspect la consistance ainsi que sur l odeur et le go t Lors de cet examen le beurre doit avoir t IX 7 class au moins dans la classe de qualit I Les tests microbiologiques et organoleptiques ont d montr que la qualit du beurre luxembourgeois est constante comparable et m me supr me celle des beurres trangers ayant servi comme t moins En 2006 la production de beurre de la Marque Nationale s levait quelque 2 479 665 kg En 2006 58 605 porcs ont t pr sent s pour l obtention de la Marque Nationale de la viande de
477. ur de la production agricole au prix de base et la valeur ajout e brute au prix de base Pour 2006 les subventions sur les produits comprises dans la valeur de la production au prix de base sont donn es provisoires aide aux cultures destin es la production d nergie 14 018 aide la culture de prot agineux 19 280 aide la culture de fruits coques 1 657 total 34 955 Les taxes sur les produits compris dans la valeur de la production au prix de base se rapportent au lait pr l vement suppl mentaire et s l vent pour la campagne 2005 06 imputer l ann e 2006 886 000 Les tableaux la fin de ce chapitre retracent l volution des prix nets au producteur d part ferme tableau 4 des quantit s produites des principales productions agricoles tableau 5 et des principaux agr gats issus des comptes conomiques de l agriculture en rapport avec la valeur de la production le co t de production et le revenu en agriculture en chiffres nominaux tableau 6 Les chiffres pr sent s dans ces tableaux sont d finitifs jusqu en 2005 et provisoires pour 2006 Les chiffres de 2006 sont relativement fiables en ce qui concerne la valeur de la production agricole Pour les consommations interm diaires et les amortissements les r sultats du r seau de comptabilit s des exploitations agricoles qui servent normalement au calcul de ces postes ne sont pas encore disponibles pour 2006 au
478. urant la premi re moiti de l ann e 2006 les n gociations du Cycle de Doha dans le cadre de l organisation mondiale du commerce se sont poursuivies Le Conseil des Ministres de l agriculture europ ens a t inform r guli rement des volutions de ce dossier en conformit avec l engagement pris par la Commissaire en charge de l agriculture Mme Fischer Boel En mars 2006 les Ministres du commerce du G6 UE Etats Unis Br sil Inde Australie et Japon ont tenu une r union Londres sous la Pr sidence de M Peter Mandelson membre de la Commission europ enne en charge du commerce sans que des progr s en ce qui concerne le soutien interne la concurrence l exportation et l acc s au march n aient pu tre r alis s Le d lai du 30 avril fix Hong Kong en d cembre 2005 pour l tablissement des modalit s concernant l agriculture et l acc s au march pour les produits non agricoles n a finalement pas pu tre respect Les n gociations ont cependant continu aux niveaux technique et politique Il est rappel que l UE a pr sent sa derni re offre conditionnelle sur l agriculture et l acc s aux march s pour les produits non agricoles en date du 28 octobre 2005 Lors de la session du Conseil Affaires g n rales et relations ext rieures CAGRE qui s est tenue Gen ve le 29 juin 2006 le Conseil a r affirm que son objectif tait de d gager un accord global quilibr et ambitieux d
479. ure cas de figure signal s refus s accept s refus s accept s Cas force majeure D c s 15 3 12 20 00 80 00 Cas force majeure Incapacit professionnelle 34 12 22 35 29 64 71 Cas force majeure Catastrophes naturelles 11 6 5 54 55 45 45 Cas force majeure Destruction tables 4 2 2 50 00 50 00 Cas force majeure Epizootie 9 4 5 44 44 55 56 Nouveaux exploitants Newcomer 30 25 5 83 33 16 67 H ritage et h ritage anticip 9 4 5 44 44 55 56 Scission d exploitation 9 0 9 0 00 100 00 Sortie d exploitation 3 0 3 0 00 100 00 Mesures agri environnementales 33 32 1 96 97 3 03 Transfert d une exploitation lou e en 2000 2002 11 10 1 90 91 9 09 Investissement Surfaces 153 94 59 61 44 38 56 Investissement B tail 69 57 12 82 61 17 39 Investissement Droits vaches allaitantes 304 75 229 24 67 75 33 Investissement Droits brebis 9 0 9 0 00 100 00 Investissement B timents d levage 118 71 47 60 17 39 83 Achat d une exploitation lou e en 2000 2002 4 3 1 75 00 25 00 Reconversion avec abandon production laiti re 56 30 26 53 57 46 43 Surfaces fourrag res en Fr Bel en 2004 167 26 141 15 57 84 43 Contestation gains exceptionnels cultures 12 5 7 41 67 58 33 Contestation gains exceptionnels vaches allait 2 0 2 0 00 100 00 Contestation gains exceptionnels bovins 24 16 8 66 67 33 33 Correction en cas de fusions 6 1 5 16 67 83 33 Correction surfaces fourrag res en Fr Bel en 2004 2 0 2 0 00 100 00 Contestation autres rai
480. ure des sols s le niveau minimal d entretien des sols En outre les r glementations communautaire et nationale fixent des r gles en mati re de maintien des p turages permanents applicables partir de 2005 Il importe de pr ciser que les dispositions de la conditionnalit sont en large mesure des dispositions qui sont soit directement applicables d j depuis des ann es exigences dans les domaines repris l annexe IIl du r glement CE n 1782 2003 ou rejoignent troitement les obligations pr vues par le code de bonne pratique agricole applicable e a pour l indemnit compensatoire et les mesures agro environnementales et par le r gime de prime au maintien de l espace naturel et du paysage auquel adh re la grande majorit des producteurs Le non respect des exigences manant des dispositions reprises ci avant conduit une r duction proportionnelle des paiements directs La dite r duction est fonction de la gravit de l tendue de la persistance et de la r p tition du non respect Le r glement CE n 1782 2003 fixe les plafonds suivants pour le paiement unique 33 414 000 euros pour 2005 36 602 000 euros pour 2006 et 37 051 000 euros partir de 2007 Etant donn que le r gime de paiement unique fonctionne avec des droits allou s aux producteurs la diff rence entre le plafond et la valeur IV 2 totale des droits d tenus par les producteurs constitue la valeur de la r serve nationale
481. ure partie du domaine forestier se trouve dans le secteur cologique Gutland m ridional caract ris par un climat assez doux et une pluviom trie mod r e Les couches g ologiques affleurantes appartiennent toutes au syst me Jurassique du Lias inf rieur et du Lias moyen Dans les fonds de vall e le long des cours d eau ces formations sont en partie recouvertes d alluvions Les formations du Dom rien couvrent plus de 95 de la surface du domaine Il s agit essentiellement des marnes feuillet es et des marnes septaries et ovo des Le Gr s de Luxembourg est uniquement pr sent sur les pentes du Tossebierg Le Lotharingien d nomm commun ment argiles pauvres en fossile occupe une fine bande dans la partie nord ouest de l Enneschtebesch Une bande du Plienbachien longe le Lotharingien Peuplements La h traie m sophile m lique couvre pr s de la moiti de la surface du domaine tandis que la h traie m lique et gouet couvre 15 du domaine La ch naie fr naie asp rule couvre un quart du domaine tandis que la ch naie fr naie ficaire et asp rule occupe une faible surface cantonn e au sud ouest du domaine L aulnaie fr naie stellaire occupe seulement une surface marginale Par ailleurs les for ts non identifiables du point de vue de la classification phytosociologique couvrent 7 du domaine XI 36 Les faci s de ch naie de substitution occupent 5 de la surface de la h tra
482. urisation ainsi que l absence actuelle de refroidissement dans les tanks de stockage ne permettent pas de maintenir la temp rature id ale de stockage La qualit d hygi ne des produits en sera donc augment e Le stockage r frig r permettra de stocker de nouveaux produits pour exportation dans des conditions sanitaires et d hygi ne optimales Actuellement les capacit s de stockage ne suffisent pas satisfaire l augmentation de vente pr vue Dans le contexte concurrentiel et r glementaire actuel il est impossible de produire des produits finis sans ces capacit s nouvelles de stockage La s curit alimentaire des 4 tanks de maturation sera am lior e En effet les stockages de cr mes pour beurrerie ne s effectuent plus l heure actuelle dans des conditions de s curit alimentaire suffisante De m me les 3 tanks micro fissur s ne permettent plus d assurer une bonne s curit alimentaire Ces tanks de maturation seront int gr s dans un syst me de supervision avec gestion compl te des alarmes et tra abilit Ces moyens sont indispensables la s curit alimentaire Dans le secteur des produits laitiers frais la ma trise de la cha ne de froid est une condition sine qua non de la s curit alimentaire Les divers quipements li s la production la s curit la recherche et au d veloppement ainsi que les impr vus y relatifs b n ficient d une aide au taux e 35 Ce taux d aide est justifi par le
483. us 1 station d vaporation Mullendorf et 17 stations pluviom triques Arsdorf Berdorf Beringen Bettborn Calmus Contern Ermsdorf Fouhren Hersberg Hosingen Kehmen Mersch Hingerhaff Perl Redange Remerschen Schifflange Vianden IX 3 Avec la publication de l atlas hydro climatologique au printemps 2007 les donn es hydrologiques et climatiques de l ann e 2006 seront de nouveau disponibles aux autorit s publiques aux bureaux d tudes tout comme aux instituts de recherche du Grand Duch de Luxembourg L annuaire 2002 vient d tre termin La s rie chronologique des annuaires sera garantie par la publication des annuaires 2001 et 2000 raison d un manuel par an Dor navant les donn es des annuaires disponibles sur l Internet sous format pdf permettent aux int ress s d acc der toutes les donn es anciennes Compte tenu de ce qui pr c de l Administration des Services Techniques de l Agriculture se propose de mettre en place un r seau d observation et d tendre ses services pour r pondre aux besoins des int ress s et pour lutter contre les catastrophes m t orologiques provenant des conditions climatiques extr mes Le service agri environnement a L ex cution des contr les officiels des pulv risateurs agricoles Ce contr le est obligatoire dans le cadre de la prime l entretien du paysage et de l espace naturel r gime d aides qui a t mis en place en d cembre 1996 Le d roule
484. ution de responsabilit et de tra abilit en termes de production et de fabrication des denr es alimentaires alors que l information des consommateurs en devient partie int grante Dans l esprit du suivi int gr des denr es alimentaires d origine animale de l table la table il s agit de la part de l Administration des Services V t rinaires d assurer non seulement le statut sanitaire du cheptel national au niveau de la production primaire mais de surveiller galement les proc dures et l infrastructure des tablissements actifs dans le secteur agro alimentaire Cette approche int gr e implique le contr le des quelque 50 fermes vendant et transformant des produits alimentaires provenant de leur propre production d animaux des quelque 250 boucheries et points de vente ainsi que des tablissements agr s 1 Le contr le des tablissements Suite la r organisation de l Administration des Services V t rinaires la division Sant Publique comprenant 4 v t rinaires officiels effectue ces contr les en commun avec des v t rinaires officiels affect s aux 3 abattoirs agr s au Luxembourg Les contr les consistent dans la surveillance des diff rents param tres tat d entretien des infrastructures et des quipements tat d hygi ne du personnel et du mat riel proc dures de fabrication application respectivement des plans H A C C P et des guides de bonnes pratiques En 20
485. ux d tudes externes d inventaires d am nagement ainsi que les manuels d utilisateurs pour les applications de saisie et de traitement des donn es ont t mises jour Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant les inventaires d am nagement avec annexes Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant l application INV AME O Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant le lay out des cartes d inventaire d am nagement avec annexes Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant l acquisition des donn es cartographiques num riques dans le cadre d un inventaire d am nagement avec annexes Manuel d utilisation INV AME O du 15 d cembre 2006 avec tables de validation Manuel d utilisation CONCOP du 10 novembre 2006 b Les travaux d inventaire Les inventaires suivants ont t entam s en 2005 puis finalis s en 2006 for t communale de Echternach 645 44 ha for t communale de Hobscheid 598 04 ha XI 31 for t communale de Leudelange 351 45 ha for t communale de Mompach 643 80 ha Total 2 238 73 ha Le plan simple de gestion suivant a t entam en 2006 et sera finalis en 2007 for t communale de Schifflange 57 61 ha Les inventaires suivants ont t r alis s en 2006 for t communale de Bettembourg 361 30 ha for t comm
486. vaux et installations au niveau am liorations hygi niques enl vement de faux plafonds remise en tat des sols mise en place de syst mes de protections Rammschutz installation de conduites d eau lectricit ventilation sous vide etc ainsi que l installation de sas de d sinfection aux acc s aux ateliers de production S curit et commodo installation d ammoniac r servoirs et d tection ascenseur remise en tat de deux des sept ascenseurs existants et reliant le sous sol fumoirs et les installations de conditionnement au rez de chauss e Comme les am liorations et modernisations touchent aussi bien les ateliers de d coupe grosse que les ateliers de d coupe fine les ateliers de traitement de produits de la marque nationale et des produits du terroir que les ateliers des produits hors labels de qualit le d partement de l agriculture n a dans son analyse pour d terminer les investissements ligibles retenu que le prorata des travaux et quipements tombant sous les dispositions de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural II a adopt la m me approche pour d terminer le taux d aide allouer L allocation d une aide au taux de 40 retenu pour des investissement se montant 320 256 90 est justifi e du fait que ces investissements ont d une part un effet notable sur les conditions d hygi ne et de s curit alimentaire et de respect de l
487. velle division des statistiques agricoles des march s agricoles et des relations ext rieures laboration de statistiques agricoles relatives la production agricole comptes conomiques de l agriculture gestion et contr le des march s agricoles gestion des quotas laitiers intervention publique participation l laboration de la PAC dans le domaine des march s agricoles A noter que la r organisation des t ches vis es sous les points 2 et 4 ci dessus a t compl t e par un plan d affectation des agents ces t ches Parall lement il a t d cid d accepter l offre du Minist re de la Fonction Publique visant la modernisation et la r forme administrative travers l application du mod le Common Assessment Framework CAF Il 1 Ayant t cr en 2001 par un groupe d experts europ ens la demande des ministres de l Union europ enne responsables de l Administration publique le CAF est un instrument permettant aux administrations de s auto valuer afin de mieux se conna tre de recevoir une image de leur fonctionnement et d am liorer leur performance La 1 application du CAF au Luxembourg partir de mai 2006 a t r alis e dans le cadre d un groupe d administrations dont le SER pour favoriser les changes entre elles La premi re phase a pu tre termin e la fin de l ann e 2006 savoir la phase de l valuation Celle ci s est d roul e en trois tapes
488. ventes par les organismes d intervention luxembourgeois en t Seigle Stocks de fin Achats Ventes Stocks de fin d ann e d ann e 668 850 TABLEAU II Montants vers s au Luxembourg par la section orientation pour l initiative communautaire LEADER en euros Action 2004 2005 2006 LEADER 233 622 140 146 271 432 VI L APPLICATION DE LA LOI CONCERNANT LE SOUTIEN AU DEVELOPPEMENT RURAL A Les aides aux exploitations individuelles Au cours de l exercice 2006 un montant de 188 598 53 a t vers des exploitations individuelles au titre de la loi du 18 d cembre 1986 promouvant le d veloppement de l agriculture dont 169 565 93 pour des mesures agri environnementales et 19 032 60 titre de soldes d investissements dans le cadre d anciens programmes d am lioration agricoles Au cours de la m me ann e un montant de 30 744 789 02 a t vers des exploitations individuelles au titre de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural B Les aides aux collectivit s Au cours de l ann e 2006 le d partement a ordonnanc un montant de 2 185 524 48 titre de subventions pour des projets d investissement pr sent s par des collectivit s dans le cadre de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural En 2006 le d partement de l agriculture a avis favorablement 16 demandes d a
489. viticoles trangers Au total la vente au Luxembourg est de 56 2 litres par t te d habitant C La prime l entretien de l espace naturel et du paysage dans les vignobles La loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Art 27 le r glement CE 1257 1999 du conseil du 17 mai 1999 concernant le soutien au d veloppement rural par le Fonds europ en d orientation et de garantie agricole FEOGA ainsi que le r glement grand ducal du 1 octobre 2002 et du 25 avril 2003 instituant une prime l entretien de l espace naturel et du paysage constituent la base de ce programme agri environnemental Ce nouveau programme remplace l ancienne prime l entretien de l espace naturel et du paysage qui se basait sur le r glement CEE N 2078 92 Ce programme d aide permet aux viticulteurs de souscrire des engagements pluriannuels 5 ann es en vue de favoriser une exploitation viticole compatible avec les exigences de la protection de l environnement et de l entretien de l espace naturel contribuant ainsi l quilibre du march A ce titre les viticulteurs touchent une compensation pour les pertes de revenu dues une r duction de la production et une augmentation des co ts de production suite une utilisation de pratiques respectueuses de l environnement XII 4 Bilan de la prime l entretien de l espace naturel et du paysage en viticulture pour la campagne 2005 2006 en application du r
490. x cution de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural Les honoraires ainsi que les impr vus sont ventil s proportionnellement sur les parties des investissements mises en compte raison de respectivement 35 et 40 Le plan de financement se pr sente comme suit VI 9 Montant non ligible acquisition terrains 1 984 003 80 Montant non ligible impr vus d passant 5 366 435 24 Montant du devis retenu hors TVA impr vus compris 112 424 859 98 Part du demandeur 65 de 64 765 891 25 42 097 829 31 Part de l Etat 35 de 64 765 891 25 22 668 061 94 Part du demandeur 60 de 47 658 968 74 28 595 381 24 Part de l Etat 40 de 47 658 968 74 19 063 587 49 Le demandeur d aide entend financer la partie des investissements restant apr s d duction des aides publiques moyennant des emprunts et des moyens propres Projet d investissement pr sent par la soci t coop rative SYNPLANTS relatif au stockage et au d stockage des plants de pommes de terre dans les halles de Clervaux Eselborn Par le pr sent projet d investissement le demandeur d aide entend acqu rir les quipements et entreprendre les travaux suivants au niveau de la r ception des produits deux tr mies de r ception des plants en vrac deux bavettes de remplissage sur ressort et 300 caisses en bois pour les sous et sur calibre Cet investissement permettra l
491. xembourgeoise de la marque nationale du vin luxembourgeois L Office national de l appellation d origine contr l e Moselle luxembourgeoise O N A O C est charg de la g rance de la marque nationale du vin Il est repr sent par une commission de g rance qui a dans ses attributions la gestion financi re administrative et technique de la marque nationale Pour l accomplissement de ses t ches l O N A O C dispose d un service technique et d une commission de d gustation 2 Le service technique de la marque nationale du vin Le service technique est charg de l administration et de l organisation de la marque nationale ainsi que des s ances de d gustation En premier lieu cette t che comprend l admission et le contr le des chantillons pr sent s aux examens organoleptiques et analytiques la composition de l chantillonnage des vins destin s aux examens organoleptiques l valuation des notes la communication des r sultats et num ros de contr le aux b n ficiaires de la marque nationale et l tablissement de statistiques En outre le service technique est charg de la gestion des certificats de qualit tiquettes dorsales Il organise la commande et l achat aupr s des imprimeurs la vente aux b n ficiaires et surtout le contr le des quantit s distribu es par rapport aux quantit s de vin admises la marque nationale S y ajoute la prise d chantillons dans les caves et dans des
492. ylviculture men e et le type d exploitation peuvent influencer de fa on significative la pr sence de bois mort Ainsi le maintien d arbres au del de leur ge d exploitabilit devenant s nescents puis morts garantit la permanence de bois mort condition qu il ne soit pas exploit ult rieurement comme bois de chauffage ou de trituration Le fait de ne pas retirer tout le bois lors des coupes ordinaires ou lors d v nements particuliers vents attaques parasitaires favorise galement la pr sence de bois mort La prise en compte du bois mort dans l am nagement forestier implique que l am nagiste et le gestionnaire disposent d un tat des lieux p riodiquement revu de cette ressource C est dans ce contexte qu une tude a t r alis e pour laborer une m thode op rationnelle de relev du bois mort dans le cadre des inventaires d am nagement et pouvant tre int gr e dans la m thodologie en vigueur Ensuite la m thode a t concr tement appliqu e la propri t de la for t communale de Leudelange L unit de Gestion des Ressources Foresti res et des Milieux Naturels de la Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux a collabor la mise en uvre du projet dans le cadre d une convention tablie avec l Administration des Eaux et For ts Cette collaboration a notamment consist en la participation aux r unions de concertation la r alisation de certains relev s de terrain et la
493. z 7 Le cantonnement de Luxembourg Ouest a L exploitation des coupes Les exploitations effectu es peuvent tre r parties de la mani re suivante selon le propri taire Propri taire Essence Volume m Etat feuillus 2 139 09 r sineux 2 197 30 Sous total 4 336 39 Communes feuillus 20 624 97 r sineux 5 228 87 Sous total 25 853 84 Total 30 190 23 b Les ventes de bois Les 7 ventes de bois du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest se sont tenues aux dates suivantes feuillus 19 12 2005 17 3 2006 et 31 3 2006 r sineux 25 11 2005 28 4 2006 30 6 2006 et 20 10 2006 Une vente nationale de bois feuillus en provenance de 5 cantonnements forestiers du pays s est tenue en date du 19 d cembre 2006 dans laquelle un volume total de 10 560 m3 a t offert au march de bois dans 38 lots diff rents et dont 3 271 m3 ont t fournis dans 8 lots par les soins du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest c Les bois de chablis En ce qui concerne les bois de chablis seulement quelques arbres isol s tomb s lors des temp tes survenues sont signaler d L tat sanitaire de la for t Jusqu pr sent le cantonnement forestier de Luxembourg Ouest a t pargn par la nouvelle maladie du h tre Par ailleurs la prolif ration du bostryche chez les r sineux est enray e par des interventions locales syst matiques e Les r g n rations les

Rapport d`activité 2006 - Ministère de l`Agriculture, de la Viticulture

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