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manuel de formation - Food and Agriculture Organization of the

1. La lune tourne autour de la terre et son passage g n re un mouvement d eau cet endroit Pendant ce temps cause de la rotation de la terre et de la force centrifuge qui en r sulte le m me ph nom ne se produit aussi l oppos de la plan te Figure 48 Figure 47 Position terre lune et mar e Notre sous r gion est soumise un r gime de mar es semi diurnes ce qui signifie que nous connaissons 2 mar es hautes et 2 mar es basses par tranche de 24 heures 24 heures et 50 minutes pour tre pr cis si bien que l tale se trouve d cal e d environ une heure chaque jour Comme la terre tourne sur elle m me en 24h Dakar se trouve successivement du c t lune c est une pleine mer puis environ 6 heures plus tard du c t moindre attraction c est une basse mer Encore environ 6 heures plus tard c t oppos la lune c est nouveau une pleine mer Enfin environ 6 heures apr s c t moindre attraction c est nouveau une basse mer La mar e est une r alit que tout navigateur doit conna tre s il veut pouvoir s en servir au mieux et ne pas se prendre en d faut 8 19 Les vives eaux ont lieu au moment de la pleine lune et de la nouvelle lune alors que les mortes eaux ont lieu au moment du premier quartier et du dernier quartier 8 10 1 Les courants de mar es Principalement dus l influence des mar es les courants c tiers varient p riodiquement au cours de la journ e en force et en di
2. Anode Figure 13 Emplacement des anodes 7 3 6 D marrer conduire stopper Les pr cautions suivantes sont n cessaires pour renforcer la s curit de l utilisation du moteur Avoir le manuel du constructeur Faire attention l essence elle est tr s inflammable donc faire attention aux fuites risque d incendie Avoir l outillage standard pochette outils corde de d marrage de secours bougies d urgence lampe clignotante batteries de r serve goupille etc Assurer un entretien pour certains l ments cl s du moteur 7 6 7 4 Lutte contre les incendies On constate souvent bord des embarcations de p che artisanale des incendies qui sont li s l utilisation de l essence pour la propulsion ou la pr paration de repas bord etc 7 4 1 Le triangle du feu Pour avoir un incendie il faut l association des trois l ments suivants le combustible le comburant oxyg ne de l air et la source d nergie SOUrCC energie Pour viter le d clenchement d un incendie v Ne jamais associer les trois param tres du triangle du feu combustible oxyg ne chaleur AAJ Combustible Combura anmt Figure 14 Le triangle du feu Pour lutter contre le feu il faut liminer une des composantes du triangle du feu 7 4 2 Diff rents types de feu Les quatre types de feu qu on peut rencontrer sont class s dans le tableau suivant Ce sont les feux de mat riaux solides
3. Centre d animation sociale et d apprentissage des marins pour la p che artisanale et continentale Commission sous r gionale des p ches Centre de formation des p ches Centre national de surveillance et de protection des p ches Conseil national interprofessionnel des artisans p cheurs au S n gal Direction g n rale de la p che artisanale Direction g n rale de la marine marchande Direction nationale des p ches maritimes Direction de la protection et de la surveillance des p ches cole nationale d enseignement maritime et des p ches Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Minist re de la p che et de l aquaculture Organisation non gouvernementale Parc national du Banc d Arguin Programme national d immatriculation informatis e des pirogues Syst me de recherche et sauvetage Search and Rescue Training Needs Assessment Tool Union nationale des artisans p cheurs de Guin e viii 1 REMERCIEMENTS Ce manuel de formation a t labor avec l appui de plusieurs personnes travaillant dans le secteur de la p che artisanale Il renferme des concepts et des approches initi s dans les pays d Afrique de l ouest ayant une tradition de p che maritime et o l embarcation utilis e pour les activit s de p che reste encore pour l essentiel la pirogue traditionnelle construite en bois monoxyle ou assembl Nos remerciements s adressent plus particuli rement la FAO pour avoir financ ce
4. vidange sous le vis de vidange 1 D poser le boulon de vidange puis le bouchon de niveau d huile 2 et vider l huile de transmission Placer le moteur tout droit Ajouter de l huile de transmission par l orifice de vidange jusqu ce qu elle sorte par l orifice de v rification du niveau Respecter les caract ristiques de l huile exemple SAE 90 e Installer le bouchon de niveau d huile puis le bouchon de vidange Il faut respecter la p riodicit pr conis e par le constructeur GEAR OIL CHANGEMENT Figure 11 Vidange et remplissage de l huile 7 3 4 Nettoyer le filtre Le filtre peut tre obstru en cas d utilisation d essence de mauvaise qualit pour cela d monter le filtre et le nettoyer dans de l essence propre Remplacer ou nettoyer le filtre essence e Chaque 20 heures ou chaque mois e D monter et nettoyer compl tement avec de l essence e Nettoyer souvent quand la qualit de l essence est mauvaise e Remonter e S assurer quil n y a pas de fuite Dans le cas d un moteur diesel e V rifier le filtre huile chaque semaine 7 5 Figure 12 D montage et nettoyage du filtre 7 3 5 Remplacer une anode Les anodes de zinc prot gent contre la corrosion et l effet d lectrolyse Tous les trois mois enlever et gratter la surface pour une protection plus efficace remplacer si usure excessive ne pas lubrifier graisser ou peindre l anode sous peine d emp cher son bon fonctionnement
5. 5 2 R glementation nationale Dans chacun des pays concern s une r glementation nationale est mise en place pour s curiser les personnes et les biens En effet il existe un code de la p che qui r glemente les activit s pour chaque pays cependant des manquements sont not s pour les aspects s curitaires suivants Port du gilet dans la plupart des pays il n existe pas de r glementation rendant obligatoire la d tention ou le port du gilet de sauvetage Autre mat riel de s curit absence d une r glementation pour la p che artisanale Radio communications VHF absence d une r glementation pour la p che artisanale Normes de construction des embarcations absence d une r glementation pour la p che artisanale Le capitaine et les p cheurs absence d une r glementation formation et r le d quipage En plus de l absence d une r glementation nationale pour l utilisation du mat riel de s curit dans beaucoup de pays ce mat riel est inexistant et cela s ajoute le manque de professionnalisation du m tier d artisan p cheur 5 3 6 SURVEILLANCE PARTICIPATIVE Figure 2 Installation d une brigade de surveillance participative 6 1 Concept de surveillance participative La surveillance participative autrement dite co surveillance est la mise en uvre des moyens et techniques de surveillance par une quipe commune ou mixte compos e d agents de l administration et de professionnels C est une approche de prox
6. en mer des artisans p cheurs Les quipements sp cifiques pour la s curit en mer ne sont pas disponibles localement et il n existe pas de programme pour quiper les p cheurs en mat riel de s curit m me si ces derniers les jugent utiles et n cessaires La collecte des statistiques est encore tr s limit e et il n existe pas de structure d sign e pour centraliser toutes les informations relatives aux accidents et incidents dans la p che artisanale Les informations disponibles ne sont pas consign es dans des registres le point focal re oit des informations de la part des centres de p che qui sont tr s parpill s par le biais des professionnels et des forces des sapeurs pompiers localis s dans les grands centres de d barquement 3 1 1 Contr le de la s curit des embarcations L embarcation type dans la p che artisanale en Gambie est celle dite traditionnelle constitu e par un assemblage de planches en bois partir d une quille en tronc d arbre dans plus de 95 pour cent des cas Il existe quelques prototypes en fibre de verre qui sont import s d Europe ou d Asie La taille des embarcations est variable suivant les types de p che leur utilisation le go t du propri taire ou simplement les moyens disponibles Conception les plans de conception pour construire des embarcations n existent pas il y a une entente mutuelle entre le charpentier et le p cheur propri taire l administration des p ches n est pas
7. et des aspects sociaux e Mise en application des politiques nationales de r glementation en mati re de s curit qui suppose une s rie de dispositions dans plusieurs domaines LA R GLEMENTATION NATIONALE Dans chacun des pays concern s une r glementation nationale est mise en place pour s curiser les personnes et les biens En effet il existe un code de la p che qui r glemente les activit s pour chaque pays cependant des lacunes sont not es pour les aspects s curitaires suivants Port du gilet dans la plupart des pays il n existe pas de r glementation rendant obligatoire la d tention ou le port du gilet de sauvetage Autre mat riel de s curit absence d une r glementation pour la p che artisanale Radio communications VHF absence d une r glementation pour la p che artisanale Normes de construction des embarcations absence d une r glementation pour la p che artisanale Le capitaine et les p cheurs absence d une r glementation formation et r le de l quipage En plus de l absence d une r glementation nationale pour l utilisation du mat riel de s curit dans beaucoup de pays ce mat riel est inexistant et cela s ajoute le manque de professionnalisation du m tier d artisan p cheur APPENDICE 2 AVIS D V NEMENT EN MER Onome AO AIRE en ent D ne en de bd ed ne de eo Identit de lunit des unit s impliqu e s 1 shimano eaatnneneiinadilinne Nature de l assistance demand e nee Cat
8. m Figure 42 Marque cardinale ouest et voyants quivalents 8 13 3 Marque de danger isol signalant des dangers isol s d tendue limit e autour desquels les eaux sont saines On les trouve galement dans des zones assez proches de la c te On les contourne d un c t quelconque en s en loignant largement Figure 43 Marque de danger isol et voyants quivalents 4 Marque d eaux saines indiquant que les eaux sont saines tout autour d elles on ne trouve autour d elles aucun obstacle pouvant pr senter un danger pour la navigation Figure 44 Marques d eaux saines et voyants quivalents 5 Marque sp ciale indiquant une zone ou une configuration mentionn e dans les documents nautiques Ce ne sont pas des marques qui aident la navigation mais qui signalent l existence de zones interdites ou r serv es et divers obstacles dont le navigateur doit tre inform On les trouve g n ralement proximit imm diate de la c te x x X X x Figure 45 Les diff rentes marques sp ciales 8 14 Exemple de balisage d une zone c ti re r gion A REGION A de jour Chenal utiliser de pr f rence Chenal secondaire gt Figure 46 Balisage d une zone c ti re 8 10 Les mar es La mar e est le mouvement vertical de l eau Ce mouvement est provoqu par l attraction de la lune et du soleil La lune de par sa proximit est la principale responsable des mar es
9. moteur de type pirogue artisanale couramment utilis e par les p cheurs on se retrouve dans la cat gorie des navires les moins privil gi s ce qui est logique puisqu on fait partie des plus man uvrant 8 7 5 Cas de figure les plus courants Navire qui en rattrape un autre R 13 Figure 19 Le navire rattrap doit conserver son cap et sa vitesse Tout navire qui en rattrape un autre doit s carter de la route de ce dernier en le d passant largement et indiff remment par la droite ou la gauche Rencontre nez nez R 14 Figure 20 Navires faisant des routes directement oppos es R 14 Lorsque deux navires propulsion m canique se rencontrent nez nez chacun doit virer droite Lorsqu un navire propulsion m canique se trouve nez nez avec un navire en train de p cher il doit lui c der le passage Le bateau de p che doit maintenir son cap et sa vitesse R 18 8 5 Figure 22 Navire p chant et navire voile Lorsqu un navire voile se trouve nez nez avec un navire en train de p cher il doit lui c der le passage Le bateau de p che doit garder son cap et sa vitesse R 18 Figure 23 Navire p chant et navire capacit de man uvre restreinte Lorsqu un navire en train de p cher se trouve nez nez avec un navire capacit de man uvre restreinte il doit lui c der le passage 8 6 Figure 24 Navire p chant et navire qui n est pas ma tre de sa man uvre
10. Exploitation il n existe pas de permis de p che le transport des marchandises et des personnes pr domine et s exerce entre les les et les pays limitrophes 3 2 2 Disponibilit du mat riel de s curit Les artisans p cheurs et les propri taires d embarcations de transport m connaissent l existence du mat riel de s curit pour la p che artisanale M me le port du gilet s effectue de mani re sporadique Il n y a pas de magasins sp cialis s pour la vente de mat riel ni de programme national de mise disposition pour les artisans p cheurs 3 2 3 S curit des moteurs Les ateliers priv s pour la r paration et l entretien des moteurs hors bords sont localis s Freetown Il n existe de formation ni pour les m caniciens de moteurs hors bords ni pour les capitaines Chaque propri taire s occupe de l entretien de son moteur avec les connaissances de routine qui parfois ne sont pas conformes aux recommandations du constructeur 3 2 4 S curit des quipages Les activit s de p che sont surtout pratiqu es par des trangers ce qui explique l engagement limit des autorit s en ce qui concerne la s curit des quipages Le nombre de personnes embarqu es et l obligation du port du gilet de sauvetage ne font l objet d aucun contr le 3 2 5 Surveillance participative La co surveillance n est pas encore connue et les activit s de p che sont sous le contr le de la police maritime 3 2 6 Recherche et sauvetage L
11. OCTOBRE NOVEMBRE D CEMBRE TOTAL AN Une bonne collecte des statistiques sur les accidents et incidents en mer et leur analyse permettent de comprendre les probl mes de s curit des p cheurs et d y apporter des solutions efficaces 13 1 14 PROBL MES SP CIFIQUES Chaque pays a des probl mes qui lui sont sp cifiques en mati re de p che artisanale Les embarcations les techniques de p che varient consid rablement m me si l objectif ultime est la capture du poisson De nouveaux ph nom nes commencent faire leur apparition la piraterie et les flux migratoires clandestins Quels sont les probl mes sp cifiques que rencontrent les artisans p cheurs du pays Exercice Recenser les diff rents m tiers de la p che artisanale et faire une classification d apr s leur quipage leur autonomie et leur niveau de s curit 14 1 Actes illicites et agressions en mer Des actes illicites sont signal s dans certains pays surtout au niveau des zones frontali res Ce ph nom ne est li aux conflits arm s dans certaines localit s et sont le fait de bandes organis es Les d clarations des p cheurs font tat du d pouillement de leurs embarcations des moteurs de la nourriture et de la cargaison La Convention SUA de 1988 et son Protocole r priment ce type d actes de piraterie Son objectif est d assurer qu une action appropri e soit prise l encontre des personnes commettant des actes illicites contre les navires
12. ant pour la formulation et l application d accords internationaux et autres instruments juridiques aussi bien obligatoires que facultatifs e Faciliter et promouvoir la coop ration technique et financi re ainsi que d autres formes de coop ration en mati re de conservation des ressources halieutiques d am nagement et de d veloppement de la p che f Promouvoir la contribution de la p che la s curit alimentaire et la qualit des aliments tout en donnant la priorit aux besoins nutritionnels des communaut s locales g Promouvoir la protection des ressources bio aquatiques et de leurs environnements ainsi que des zones c ti res h Promouvoir le commerce du poisson et des produits de la p che conform ment aux normes internationales pertinentes et viter l utilisation de mesures qui constituent des barri res cach es un tel commerce i Promouvoir la recherche dans le domaine de la p che ainsi que dans le domaine des cosyst mes associ s et des facteurs environnementaux pertinents et j Fournir des normes de conduite tous ceux impliqu s dans le secteur de la p che 4 6 Nature et port e du code de conduite Le Code est facultatif mais se base sur le droit international et surtout la convention des Nations Unies sur le droit de la mer du 10 d cembre 1982 Le Code int resse les membres et non membres de la FAO Les principes et les normes sont applicables pour la conservation l am nagement et le
13. gorie 2 imenenmmitemennan PO ne a ec a nn Genre de ROLE ESSAI muninnan n aE E ET E TE E A E E E Personnes a pord de lUnite ER ne et tant E r A T Conditions m t orologiques sur les lieux 5 inner VERT saine FOTOS anna sur l chelle de BAL untiessanat aies hrteuntisstque tenant Houle du secteur Hauteur MENES LR es niet no nn cn SDS a et a ee a E A N Moyens d interventomengages 6 nn nt Du detente teste desert Guen tune R SUAT AE INMENENION scsi nneinnd ons a aT Personnes SAUVE sn ane tienne a thon Mana dore din P CH S ASSISES de eat este end ea See PEFSONNES DIE SSSR ne en et nee un at on unten domine Personnes AISDAU S ARR emma a ann E indiens tat de l unit des unit s apr s l v nement 7 inner DGA S CONS AIS Re ae ae dei is ce eee tient ee ete Le D Causes et circonstances de l v nement inner Date et heure de l appareillage de l unit de sauvetage snsnensnsnsnnnunisrsnsrsrsnsnaninnnrsrnrnnunaninnnrnrsrunaninnnnnrnrnrananinnnrnrsrnrnnena Date et heure de l accostage de l unit de sauvetage ssnsnsnensnsnseenesarisnsrsrsrnnanirinrnrnrnrananinnnrnrnrananunininrnranananannnrnrnrnrnnana Dur e totale de lOD TAlIONE Se nn a db dt tente ee ele aies Nom et immatriculation Commerce p che artisanale c ti re hauturi re plaisance Naufrage chouement incendie abordage voie d eau etc Nombre Vent secteur force tat de la mer
14. tresse Figure 70 Utilisation d un feu main Remarque la fus e doit tre tenue loin du Remarque tenir le feu main le bras tendu dans la corps les bras tendus vers le ciel direction du vent sans que la fum e enveloppe la t te 15 1 Chavirement de Pirogue C est le renversement brutal d une embarcation suite une mauvaise m t o une fausse man uvre et ou un chargement d fectueux Exercice Retournement de pirogue chavir e Figure 71 Pirogue chavir e 15 2 Homme la mer Un p cheur tombe l eau suite une fausse man uvre ou par inattention due la fatigue Ce type d accident est mortel du fait que cela se produit souvent la nuit et par mauvais temps les recherches sont infructueuses surtout quand ce dernier ne porte pas de gilet de sauvetage 15 1 Exercice R cup ration d un homme la mer 15 3 Blessures en mer Les cas de blessures en mer peuvent tre de diff rente nature poissons venimeux ou dangereux objets tranchants chutes par d s quilibre etc Exercice vacuation d un bless la plage Figure 72 vacuation d un bless Remarque le bless doit tre plaqu contre le corps en position horizontale bien tenir la t te en quilibre 15 4 Noyades Les cas de noyades sont fr quents il n est pas rare de voir en effet dans la p che artisanale des p cheurs qui ne savent pas nager Exercice Respiration artificielle Figure 73 Premiers soins
15. La recherche et le sauvetage existent du point de vue institutionnel au niveau macro ils sont sous la responsabilit des forces des sapeurs pompiers cependant il n existe pas de syst me SAR Aux niveaux micro et m so ce sont les p cheurs qui s organisent de fa on b n vole les moyens d interventions propres sont inexistants exception faites pour les d barcad res de Bakau Gunjur Tanji et Barra 3 1 7 Sant et VIH sida Au niveau de la sant il n y a pas de m decine sp cialis e pour la prise en charge des cas de maladies li es aux activit s de p che artisanale Il existe cependant un programme national de sensibilisation de prise en charge des cas de contamination par le VIH sida Il existe Tanji un centre de d pistage tabli dans le cadre du programme national VIH sida 3 2 LA SIERRA L ONE La s curit de la p che artisanale est du ressort de la police maritime qui assure les interventions en cas d accident ou d incident en mer il n existe pas de structures sp cifiques d sign es responsables de la s curit de la p che artisanale Les quipements de s curit sont inexistants et sont m mes ignor s par les artisans p cheurs La collecte des statistiques sur les accidents et incidents en mer est quasi inexistante ce qui rend difficile la mise en place d une strat gie pour d ventuels programmes de sensibilisation et de formation des acteurs de la p che qui op rent dans les estuaires qui jalonnent la Sierr
16. Marques de chenal pr f r tribord et b bord 8 11 2 Les marques cardinales indiquent la zone o le navire peut trouver des eaux saines pour viter ce danger Leur emploi est associ celui du compas du navire Les marques cardinales indiquent une des 4 principales orientations cardinales trac es partir du danger par des couleurs et des voyants diversement dispos s a Marque cardinale nord La bou e cardinale nord est noire la partie sup rieure et jaune la partie inf rieure Les eaux sans danger se trouvent au nord de cette bou e Passer au nord de la bou e i Figure 39 Marque cardinale nord et voyants quivalents F PF b Marque cardinale sud La bou e cardinale sud est jaune la partie sup rieure et noire la partie inf rieure Les eaux sans danger se trouvent au sud de cette bou e ME ue ww Y mn 4 4 Passer au sud de la bou e Figure 40 Marque cardinale sud et voyants quivalents 8 12 c Marque cardinale est La bou e cardinale est est noire et porte une bande jaune Les eaux sans danger se trouvent l est de cette bou e l q EI P 199 1 R I SSed 99N0 1 Figure 41 Marque cardinale est et voyants quivalents d Marque cardinale ouest La bou e cardinale ouest est jaune et porte une bande noire Les eaux sans danger se trouvent l ouest de cette bou e f TETT diikidiki v A Passer l ouest de la bou e
17. N 08 r A 2 En mer LES OPERATIONS EN PECHE ARTISANALE akaa Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience de l importance de la responsabilit humaine dans la s curit en mer Conna tre la terminologie utilis e en navigation maritime Conna tre les diff rentes man uvres en mer tre capable de partager avec les p cheurs les r gles de conduite des embarcations artisanales et les connaissances acquises tre capable d utiliser les signaux et les diff rents outils d aide la navigation cartes autres tre capable de reconna tre et d interpr ter les diff rents feux et marques des navires Dur e 1 journ e 8 LES OP RATIONS DE P CHE ARTISANALE 8 1 Utilisation des cartes marines travaux pratiques 8 2 La navigation par l estime 8 3 Orientation par les astres 8 4 Le cap vrai et la route vraie 8 5 Le compas magn tique exercice description utilisation 8 6 Le GPS 8 7 R gles de barre et de route 8 7 1 G n ralit s 8 7 2 Chenaux troits et voies d acc s 8 7 3 Visibilit r duite 8 7 4 Hi rarchie des privil ges 8 7 5 Cas de figure les plus courants 8 8 feux de signalisation des navires 8 9 Balisage 8 9 1 Types de marques 8 10 Les mar es 8 10 1 Les courants de mar es 8 10 2 Les vents Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Diff rents outils du Kit de s curit Feux de signalisation J e Feud ees oo So o O y yY SyS
18. Pas d indicateur de puissance du signal le GPS cherche le satellite e Indicateur de puissance du signal vid le GPS a trouv les satellites et est entrain de recueillir les donn es e Indicateur de puissance du signal plein le GPS a recueilli les donn es n cessaires pour l utilisation des satellites La page position elle nous montre notre position le lieu o on se trouve notre direction et notre vitesse au moment des d placements Comment marquer une position se r f rer au manuel d utilisation du type de GPS Assurez vous que vous tes en navigation 2D ou 3 D message d erreur pas de position La page carte elle affiche les points comme sur la carte et permet de voir les routes et les points La page compas elle fournit un guidage quand on s lectionne un point de destination La fonction Aller vers GO TO Cette fonction permet d aller un point enregistr avec les indications sur les informations de routes vitesse cap heure d arriv temps restant distance etc Elle est tr s utile en cas de recherche et sauvetage en mer Si vous approchez de votre point de destination sur la base de votre vitesse un message sonore et ou visuel vous indiquera que vous arrivez destination Des informations suppl mentaires li es l ph m ride lever coucher du soleil peuvent galement tre visualis es sur votre GPS N h sitez pas consulter le manuel du constructeur de votre GPS et
19. Vid os e Recommandations sur la s curit o STCW F e Textes r glementaires existants EE T o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 04 2 En mer LA SURVEILLANCE PARTICIPATIVE ME 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience de l importance de la surveillance en mer Conna tre les concepts de co surveillance ou de surveillance participative tre capable de transmettre aux p cheurs les notions de co surveillance tre capable d intervenir en mer de tenir une fiche d inspection et de dresser un proc s verbal d infraction Prendre connaissance des textes r glementaires relatifs la co surveillance s ils existent Dur e 2 jours 6 SURVEILLANCE PARTICIPATIVE 6 1 Concept de surveillance participative 6 2 Composition d une commission de co surveillance 6 3 Domaines d intervention d une brigade de co surveillance 6 3 1 En mer 6 3 2 terre 6 4 Moyens techniques d intervention 6 5 Moyens juridiques Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Pirogue quip e e Radios VHF e Fiche d inspection Participation collective oo d O O 1 Avant Fiche de guide du formateur N 05 2 En mer LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience des dangers li s aux accidents en mer Conna tre la typologie des types d embarcation et des utilisations Conna tr
20. _ Participation collective et d monstration e KIT de s curit en mer pour la p che artisanale D O 1 Avant Fiche de guide du formateur N 07 r r A 2 En mer LA SECURITE DE LA PECHE ARTISANALE akaa 3 Apr s MOTEURS Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience des dangers li s aux accidents en mer Conna tre les diff rents types de moteur en p che artisanale tre capable de conseiller les p cheurs sur le choix des moteurs hors bord et leur entretien Savoir quelle attitude adopter en cas d incendie de moteur ou en cas de panne Pouvoir montrer de fa on pratique la composition d un moteur Conna tre et tre capable d apporter les premiers secours Dur e 1 journ e 7 S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS QUIPEMENTS MOTEURS 7 3 S curit du moteur 7 34 M lange carburant huile a V rification du syst me combustible 1 39 Vidanger et remplacer l huile de l embase 7 3 4 Nettoyer le filtre 125 Remplacer une anode 7 3 6 D marrer conduire stopper 7 4 Lutte contre les incendies 7 4 1 Le triangle du feu 7 4 2 Diff rents types de feu 7 4 3 Diff rents types d extincteurs Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Participation d un m canicien hors bord __ Participation collective et d monstration e T moignages des acteurs de la p che e Manuel de l utilisateur du moteur hors bord BE o 1 Avant Fiche de guide du formateur
21. conserver Tortue marine Jeunes plantules ou rejets de pal tuviers Oiseaux et dauphins E Juv niles de poissons Figure 1 Biodiversit marine 4 11 1 La biodiversit La biodiversit d signe la diversit du monde vivant Cependant pour le milieu marin elle peut se d finir comme l ensemble des formes de vies v g tales et animales qu on y rencontre La connaissance de la biodiversit marine peut aider la gestion des esp ces exploit es elle peut ainsi permettre la conservation et la protection des ressources surexploit es ou en voie de disparition En effet la recherche d esp ces rares peut inciter les p cheurs aller de plus en plus loin et rester plus longtemps en mer ce qui augmente les risques pour la s curit des p cheurs et des embarcations 4 11 2 Conservation de la biodiversit Elle peut s effectuer de mani re naturelle par la protection des esp ces et des habitats ou par la conservation avec la cr ation de parcs d aires marines prot g es ou de r serves Les actions de l homme doivent tre contr l es pour la sauvegarde de l environnement marin Il faut lutter contre l exploitation des juv niles ou esp ces immatures et prot ger les zones de fray res 4 4 5 R GLEMENTATION SUR LA S CURIT EN MER Les embarcations de p che artisanale sont de tailles variables li es au mode d utilisation l activit de p che et la zone d volution Il faut noter l a
22. d veloppement de toutes les p cheries La capture la transformation et le commerce du poisson ainsi que les produits de la p che les op rations de p che l aquaculture la recherche et l int gration des p ches dans l am nagement des zones c ti res sont trait s dans le Code La capacit des pays en d veloppement de mettre en uvre les recommandations du Code devrait tre d ment prise en consid ration Pour atteindre les objectifs du Code et faciliter sa mise en uvre effective les tats les organisations internationales pertinentes tant gouvernementales que non gouvernementales et les institutions financi res devraient pleinement reconna tre la situation et les besoins particuliers des pays en d veloppement plus sp cifiquement des petits pays insulaires et des pays les moins avanc s Les tats les organisations internationales pertinentes tant gouvernementales que non gouvernementales et les institutions financi res devraient s efforcer d adopter des mesures r pondant aux besoins des pays 4 2 en d veloppement sp cialement dans les domaines de l assistance financi re et technique du transfert des techniques de la formation et de la coop ration scientifique et renfor ant leurs possibilit s de valoriser leurs propres p cheries ainsi que de participer aux p cheries de haute mer notamment l acc s ces p cheries 4 7 Application suivi et actualisation du code Le Code doit s appliquer dans chaque pay
23. erge OoOO SOSS UEO o e Papaton colo E O 1 Avant Fiche de guide du formateur N 09 2 En mer NAVIGATION IE 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Conna tre le mat riel utile la navigation Savoir se servir des instruments de navigation Conna tre les signaux tre capable d utiliser un GPS Pouvoir aller d un point un autre Dur e 1 journ e 8 LES OP RATIONS DE P CHE ARTISANALE 8 1 Utilisation des cartes marines travaux pratiques 8 2 La navigation par l estime 8 3 Orientation par les astres 8 4 Le cap vrai et la route vraie 8 5 Le compas magn tique exercice description utilisation 8 6 Le GPS 8 7 R gles de barre et de route 8 7 1 G n ralit s 8 7 2 Chenaux troits et voies d acc s 8 7 3 Visibilit r duite 8 7 4 Hi rarchie des privil ges 8 7 5 Cas de figure les plus courants 8 8 feux de signalisation des navires 8 9 Balisage 8 9 1 Types de marques 8 10 Les mar es 8 10 1 Les courants de mar es 8 10 2 Les vents Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Cartes marines e R gle Crass e _ Manuels sur les abordages e G amp S i S O O 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 0 2 En mer LA M T OROLOGIE Contenu du module Objectifs du module Se familiariser avec la m t orologie Prendre conscience de son importance dans la s curit Savoir disposer des informations et les utiliser Conn
24. et devrait par cons quent tre pratiqu e de mani re responsable Le Code reconna t l importance nutritionnelle conomique sociale environnementale et culturelle de la p che et les int r ts de tous ceux qui sont concern s par ce secteur Le Code prend en consid ration les caract ristiques biologiques des ressources et de leur environnement ainsi que les int r ts des consommateurs et autres utilisateurs Les tats et tous ceux impliqu s dans le secteur de la p che sont encourag s appliquer le Code de mani re correcte Dix objectifs sp cifiques sont vis s par le code de conduite savoir a tablir conform ment aux normes de droit international pertinentes des principes pour une p che et des activit s li es la p che men es de mani re responsable en tenant compte de tous les aspects biologiques technologiques conomiques sociaux environnementaux et commerciaux s y rapportant b tablir des principes et des crit res pour l laboration et la mise en uvre de politiques nationales visant la conservation responsable des ressources halieutiques l am nagement et le d veloppement responsables de la p che C Servir d instrument de r f rence pour aider les tats mettre en place ou am liorer le cadre juridique et institutionnel que requiert l exercice de la p che responsable formuler et mettre en application les mesures appropri es d Fournir des orientations utilisables le cas ch
25. grand apport dans l laboration de ce manuel de base qui nous l esp rons sera utile pour le renforcement de la s curit en mer des artisans p cheurs dans les pays en d veloppement d Afrique de l ouest Ce document a t pr par par le projet s curit en mer de la Division des industries et des produits de la p che du D partement des p ches et de l aquaculture de la FAO Il est bas sur l exp rience de la FAO des auteurs du projet s curit en mer dans les pays d Afrique de l ouest et de la CSRP Certaines illustrations utilis es dans cette publication ont t l origine pr par es par d autres institutions et leurs collaborateurs dont les noms suivent e Direction de la protection et de la surveillance des p ches DPSP du S n gal e cole nationale de formation maritime du S n gal e cole nationale d enseignement maritime et de la p che de la Mauritanie e Commission sous r gionale des p ches CSRP e Direction des p ches maritimes du S n gal e Direction des p ches de la Guin e Conakry e Direction des p ches de la Guin e Bissau e Direction des p ches de la Sierra L one e Direction des p ches de la Gambie La FAO exprime toute sa gratitude aux institutions qui ont fourni les informations et illustrations qui nous ont t d une grande utilit dans la pr paration de ce document 4 2 UTILISATION DU MANUEL La mise en place d quipes de formateurs en mati re de s curit en mer d
26. impliqu e dans le processus Construction elle varie selon les moyens du p cheur les qualit s techniques et le savoir faire du charpentier L administration des p ches n est pas impliqu e dans le processus Mise l eau le propri taire est libre de mettre son embarcation l eau aucun constat n est effectu par les autorit s pour la d livrance d un certificat de navigabilit Conduite un p cheur exp riment est choisi pour gouverner l embarcation Ce dernier ne b n ficie d aucune formation ni de titres pour rendre l gale son activit C est une entente tacite qui lie le propri taire au conducteur de l embarcation capitaine Sa responsabilit n est pas engag e en cas d accident vu qu il n existe aucun cadre juridique pour la prise en charge des embarcations et des membres d quipages Exploitation un permis de p che annuel est d livr chaque embarcation en activit Il existe des ports d attache g r s par les professionnels de la p che artisanale le long du littoral 3 1 3 1 2 Disponibilit du mat riel de s curit Le mat riel de s curit n est pas disponible bord des embarcations de p che artisanale et pour cause il n y a pas de magasins sp cialis s ni de programme de distribution et donc le contr le ne peut pas tre effectif m me si des lois existent pour le port du gilet de sauvetage et la navigabilit des embarcations Le projet pilote s curit en mer avait tablit un sy
27. travail Monsieur Mamanding Kuyateh pour ses pr cieux conseils Per Danielsson pour l assistance au Capitane de corvette Mamadou Ndiaye pour sa disponibilit et toutes les autres personnes qui ont particip de pr s ou de loin la r daction de ce manuel de formation Dans ce manuel figurent des l ments tir s d une tr s large documentation et nous tenons remercier toutes les personnes qui ont contribu la r alisation de ce vaste projet pour la s curit dans les p ches artisanales des pays en d veloppement Nos remerciements vont aux diff rents points focaux des pays de la Commission sous r gionale des p ches CSRP et plus particuli rement au Capitaine de vaisseau Dame Mboup pour nous avoir permis de travailler avec tous les moyens disponibles et en toute qui tude tout au long de ce parcours Nous tenons remercier vivement les formateurs locaux du centre des p ches maritimes de Bolama en Guin e Bissau pour la forte participation et les normes efforts fournis au cours de la formation des formateurs De vifs remerciements vont galement l endroit des formateurs de l cole nationale d enseignement maritime et des p ches de Nouadhibou Mauritanie pour la pr cieuse contribution qu ils ont apport e au niveau de l enrichissement du pr sent manuel Nous remercions galement l ensemble des participants aux diff rents ateliers dans les pays concern s leurs pr cieuses contributions nous ont t d un
28. un noy 15 2 APPENDICE 1 LA R GLEMENTATION INTERNATIONALE ET NATIONALE SUR LA SECURITE DANS LE SECTEUR DE LA PECHE Les embarcations de p che artisanale sont de tailles variables en fonction du mode d utilisation de l activit de p che et de la zone d volution Il faut noter l absence d un cadre juridique ad quat pour les embarcations de type artisanal Des axes r glementaires et un cadre juridique sont mis en uvre pour apporter des solutions aux lacunes en mati re de s curit en amont et en aval de la fili re des p ches maritimes mais les textes mis en place concernent peu ou pas la p che artisanale LA R GLEMENTATION INTERNATIONALE Des actions sont entreprises pour r glementer la s curit en mer cependant il reste beaucoup faire pour les embarcations de type artisanal dans les pays en d veloppement Directives facultatives FAO OIT OMI pour la conception la construction et l quipement des navires de p che de petite taille On peut se r f rer aux directives labor es en 1980 par la FAO l OMI et l OIT visant la conception la construction et l quipement des navires dont la longueur est comprise entre 12 et 24 m tres Il ya lieu d indiquer qu un projet de recommandation sur la s curit des navires pont s et non pont s de moins de 12 m tres est en cours d laboration au niveau de la FAO Document destin servir de guide pour la formation des p cheurs et la d livrance des brevets FAO OIT O
29. 5 Moyens juridiques Pour assurer une surveillance efficace et sans difficult il faut s appuyer sur des textes r glementaires Lois et r glements en vigueur dans les domaines de la p che de l environnement de la s curit des p cheurs L gitimit de la brigade acte de cr ation mode de fonctionnement r glement int rieur etc Loi des p ches en vigueur dans le pays et textes d application Arr t s minist riels ou pr fectoraux etc 6 2 Dans certains pays les membres des brigades se reconnaissent par leurs tenues et leurs cartes d identification badges d livr es par l autorit comp tente 6 3 7 S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS QUIPEMENTS MOTEURS La s curit de la p che artisanale est un tout et doit aller de l embarcation au moteur en passant par les quipements La sensibilisation et la formation des acteurs doivent tre des actions continues dans le temps et dans l espace avec l utilisation de supports vari s si on veut atteindre une culture s curitaire 7 1 S curit de l embarcation En plus de la r glementation internationale chaque pays prend des mesures pour assurer la s curit des personnes et des biens sur l tendue de son territoire On peut dire de mani re simple que la s curit est un ensemble de mesures r glementaires techniques et administratives permettant la conduite et l exploitation d une embarcation sans risque pour les vies humaines et les biens
30. ART No an de D ne 13 1 14 PROBL MES SP CIFIQUES sernrenereeeneeenerenenneneeneneeneneeneneenennenennnne 14 1 14 1 Actesillicitesetagressionsen Mer ietsie in ai ae Sn a a a ina ai ti 14 1 142 Ees problemes Inys igues etase CUN O eegann a mini iaune 14 1 14 3 La solidarit et l entraide dans le milieu des p cheurs 14 1 14 4 La p che illicite non d clar e et non r glement e 14 1 15 V XERCICES DE SIMULA HON ss sn ele dette cin 15 1 E Chavi mentad PITOSUC EEE annaa db aa ra nt 15 1 a e E e a E A E E E 15 1 Lo Blessie EENT proie a e EEA 15 2 A Noyades ea A E E E E en ee ta de nee 15 2 APPENDICE L LA R GLEMENTATION INTERNATIONALE ET NATIONALE SUR LA SECURITE DANS LE SECTEUR DE LA P CH S a e a a APPENDICE 2 AVIS D V NEMENT EN MER APPENDICE 3 PR CAUTIONS PRENDRE AVANT DE PARTIR EN MER APPENDICE 4 LE M TIER DE FACILITATION OU ANDRAGOGIE enr APPENDICES NA Dooper at dt an at nd ini APPENDICE 6 QUIPE DE PR PARATION serres APPENDICE 7 LISTE DES FORMATEURS LOCAUX ET POINTS FOCAUX APPENDICE 8 DOCUMENTS ET MAT RIEL PRODUITS PAR LE PROJET APPENDICE 9 LEKITPDE FORMATIONS idee cmt APPENDICE 105 BIBLIOGRAPHIE SR near te VII ANAM ANAPA ASECMAR CASAMPAC CSRP CEFOPE CNSP CONIPAS DGPA DGMM DNPM DPSP ENEMP FAO MPA ONG PNBA PNI SAR T NAT UNPAG ACRONYMES Agence nationale maritime Agence nationale de la p che artisanale Association pour la s curit maritime
31. CU ES MOUT S ea r Nate o a NaS 3 8 3 6 4 Secun dese JUPI Zes a a a 3 8 3 6 5 SUVE lance DATUCIDATIVE nin a a EN 3 8 3 6 6 Rechercheetsauyeta go Aurona an e a E a E ee nee 3 8 3 6 7 Sante E VINAS daa ana a Rd a A te tie 3 8 4 L AM NAGEMENT DES P CHES 4 1 dl Q entendon Par peche responsable ne Ge nn RNA in ne dns 4 1 4 2 Am nagement et gestion des p ches ssssesssssseeoeeereesssssssssssseecssectrrreessssssssssssseccreresosssssssssseeeeeeeeeo 4 1 43 R lede ladministr ti n et des professionnels ssoscsnisiosrocainenn s aE 4 1 4 4 Code de conduite et son application sssssssssssseeeeeeeeressesssssssssssssscctteeresssssssssssseectrererssssssssssseeeeereeeo 4 1 4 5 Objectifs sp cifi ues d code de conduite wrsssiesroin ainra iene E A K a A e 4 2 40 Nature LORS dicodede CONNUE ia nn MA A 4 2 4 7 Application suivi et actualisation du code 4 3 4 8 Besoins particuliers des pays en d veloppement RRRRRR RRRR 4 3 49 10081 CLENNVITONN MIENLE ESS en nent titi eines ti ne AR I en GMA San a tentent ten 4 3 4 10 Protecuon d l nvironnementet des F SSOUrOeS nn hante at 4 3 Alt Labiodiv rsiteetsa ConseryatiON East ile nids lice time 4 4 4 11 1 LADIOIN tienne case E E a none mi emils 4 4 4 11 2 Cons rvauon deda Diodiveis le sanninna N Nina 4 4 5 R GLEMENTATION SUR LA S CURIT EN MER 5 1 JE R glementation internationale RSR RS RE a dde 5 1 5 1 1 Directives facul
32. Dans la Convention actuelle ces actes sont principalement e Le fait de s emparer d un navire par la force e Les actes de violence l encontre des personnes bord e Le fait de placer sur un navire des dispositifs susceptibles de le d truire ou de l endommager 14 2 Les probl mes mystiques et la s curit Dans les pays concern s le mystique est fortement ancr dans la tradition des p cheurs On note une certaine r ticence pour l utilisation du mat riel de s curit moderne parfois par manque d informations et d explications claires au sujet de l int r t du mat riel 14 3 La solidarit et l entraide dans le milieu des p cheurs Du fait des difficult s li es la raret de la ressource et aussi du co t lev du carburant la notion de solidarit et d entraide jadis tr s d velopp e dans le milieu de la p che artisanale tend dispara tre 14 4 La p che illicite non d clar e et non r glement e Elle est fortement pr sente dans certains pays et pose de s rieux probl mes de s curit pour les embarcations de p che artisanale Des collisions et des destructions de mat riel de p che sont signal es r guli rement 14 1 15 EXERCICES DE SIMULATION Des exercices de simulation sont organis s lors de sorties en mer pour attester les acquis de la formation Les th mes suivants peuvent faire l objet de man uvres en mer avec l assistance de professionnels Figure 69 Utilisation d une fus e de d
33. ER ME Contenu du module Objectifs du module Se familiariser avec la r glementation internationale sur la s curit Prendre connaissance des textes r glementaires existants Avoir des changes sur la r glementation nationale Dur e 1 journ e 5 R GLEMENTATION SUR LA S CURIT EN MER 5 1 r glementation internationale 5 1 1 Directives facultatives FAO OIT OMI pour la conception la construction et l quipement des navires de p che de petite taille 5 1 2 Document destin servir de guide pour la formation des p cheurs et la d livrance des brevets FAO OIT OMI sA Es Convention internationale sur la s curit des vies humaines en mer SOLAS 5 1 4 Convention internationale de 1995 sur les normes de formation de d livrance des brevets et de veille des personnels des navires de p che STCW 95 F JS Convention Internationale de 1977 sur les navires de p che Convention de Torremolinos 5 1 6 Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 Su Code de conduite pour une p che responsable 5 1 8 Code de l OMI pour les enqu tes sur les accidents et les incidents en mer 5 1 9 Convention internationale de OMI sur la recherche et le sauvetage maritime de 1979 5 1 10 Recommandations de l OIT en 2007 concernant le travail dans le secteur de la p che 5 2 r glementation nationale Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Diff rents documents des pays de la CSRP e
34. ES D ACCES ne D a E A AA Un ns le 8 4 8 7 3 NIDE T IUC aee A E A A E 8 4 8 7 4 Hicrarehie des PAvile tesien E E 8 4 8 7 5 Cas d Neure les pl s coura S eee E 8 5 So Fe xdesionalisat ondes MAVIT SS ant orpine AOINE EAEE Ore etiremilee 8 9 S BASS con E E E EN 8 10 8 9 1 Types de MATQUES SRE e A diet in 8 11 SAO LESMI e na a a A N N 8 15 8 10 1 Eescowman Side MaA eS LS en ea ane tn ta eus dan 8 16 8 10 2 SNS se a se ue Not 8 16 9 LAM T OROLOGIE SES a 9 1 SP AE OS RE A E S E 9 1 I2 Ecard Ia mer earn a a a a A 9 3 yi 10 LA STABILIT DE L EMBARCATION seeeeeseerecnecnecneeneeeeeeeeeeeeneeene 10 1 10 1 Position du centre de gravit suivant le chargement nnnnnnneesssosssssseseoesseeteeresssssssssssssseeeereesssssss 10 3 102 Facteurs guiimfiuencent la Stabilite scria r S E D nn Net 10 3 11 LES NOTIONS DE RECHERCHE ET SAUVETAGE 11 1 VI Recherche etsauvetage de nauiras sss ann r e E E S 11 1 LEZ Premiers SOINS zanen a E E TN NN 11 1 11 3 Recommandations pour les conditions de travail d hygi ne et de sant des quipages 000000 11 4 12 SUIVI CONTR LE ET SURVEILLANCE serres 12 1 I2 Regles et methodes d COntHOIS ss a E A 12 1 12 1 1 Contolede rembarcat oneens E 12 1 1212 IMSD CHON EL Conroe ES CAPTER Ru net 12 1 12 1 3 Utilisation pratique du mat riel d inspection eessseessssssssseteeeresseesssssssssssssseeeerresssssssssssess 12 2 13 COLLECTE DES STATISTIQUES SUR LA S CURIT DE LA P CHE
35. FI GCP GLO 200 MUL MANUEL DE FORMATION SUR LA S CURIT EN MER S CURIT EN MER POUR LA P CHE ARTISANALE DANS LES PAYS EN D VELOPPEMENT D cembre 2008 GCP GLO 200 MUL FOOD AND AGRICULTURE ORGANIZATION OF THE UNITED NATIONS MANUEL DE FORMATION SUR LA S CURIT EN MER Pr par pour la FAO GCP GLO 200 MUL D cembre 2008 Par Per DANIELSSON Mamadou FAYE Babacar FAYE Mamanding KUYATEH Abdou MBODJ Mamadou NDIAYE Babana Ould YAHYA Ce manuel de formation fait suite une s rie de manuels similaires pr par s dans le cadre du projet indiqu en d but de page Les appellations employ es dans cette publication et la pr sentation des donn es qui y figurent n impliquent de la part de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture aucune prise de position quand au statut juridique des pays territoires villes ou zones ou de leur autorit s ni quant au trac de leurs fronti res ou limites Les opinions exprim es dans ce document sont des auteurs et ne refl tent pas n cessairement les sentiments de la FAO Tous droits r serv s Les informations ci apr s peuvent tre reproduites ou diffus es des fins ducatives et non commerciales sans autorisation pr alable du d tenteur des droits d auteur condition que la source des informations soit clairement indiqu e Ces informations ne peuvent toutefois pas tre reproduites pour la revente ou d autres fins commerciale
36. MI Objectif fournir des orientations aux responsables de l laboration et de la r vision de cours de formation professionnelle destin s aux effectifs des navires de p che Champ couvert navires dont la longueur est inf rieure 24 m tres ou qui sont quip s d un moteur de moins de 750 kW La Convention Internationale sur la s curit des vies humaines en mer SOLAS Premi re convention internationale sur la s curit en mer labor e en 1911 la suite du naufrage du Titanic et adopt e en 1914 La Convention SOLAS stipule des normes minimales de construction d quipement et d exploitation des navires La Convention SOLAS ne s applique pas aux navires de p che ni aux embarcations en bois de construction primitive ni aux bateaux n ayant pas de propulsion m canique La majeure partie des bateaux de p che et de transport des pays en d veloppement n est pas prise en compte Les navires de p che sont explicitement exclus de certaines conventions La plupart de ces conventions ne s applique pas aux navires de moins de 24 m tres Les navires couverts repr sentent peine 1 pour cent de la flotte mondiale de p che Cependant il existe une volont internationale pour la mise en place d un cadre juridique et technique visant entreprendre des actions concert es pour am liorer la s curit des navires de p che La Convention internationale de 1995 sur les normes de formation de d livrance des brevets et de veil
37. Moyens techniques d IN TVO RUON ES ne a a a ane 6 2 GS Moyens JUIQUES SE ane a a ERN 6 2 7 S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS QUIPEMENTS MAO RS A ET A D T 7 1 Jl Secut deremo ios E E tre EE 7 1 7 2 quipements sp cifiques la s curit rer 7 2 E S CULLE CLITIOLEUR not nee dom Ee tient een meet no lea names nicole 7 4 7341 N l nse carburant DUIS sine entendent 7 4 72922 V riication du systeme a combustibles MM Re RS nn 7 4 73 93 Vidanger et remplacer lhuti d l MDASE La us Ne 7 5 7 3 4 N LOYETIE H ROS nee nan tentes 7 5 1599 Remplacer UNE anode hd Led ee he dede en E aE AEEA 7 6 7 3 6 Demaret conduire SION mi nt noie 7 6 BAM TUE CONTI INCENIES EE tn naane ni S r creed 7 7 7 4 1 EC tnAanpl dt fe ds MR eee 7 7 7 4 2 Diti rents ypes de Ted ne RS a lan nee lunes 7 7 7 4 3 Diff rents types d eXUncteurs en Nes T ae A E T AA 7 8 8 LES OP RATIONS DE P CHE ARTISANALE sssssssssssseiesssseetentsetrotssserrterseee 8 1 8 1 Utilisation des cartes marines travaux pratiques 8 1 82 EX TANVIOATONDAr lesio Sisa a a N O E N Nt 8 1 Sa OTICNATIONDAL ICS ase Srecan Le dealer lat E nee 8 1 Sd L CAP VTALETIATOULE NEA ic a in net aires 8 1 8 5 Le compas magn tique exercice description utilisation esssssssssssseoeeereererssssssssssssssserrrrrsssessss 8 2 SES LD EAST r a a E S 8 2 ad Reslesde Dare t de TOU naia a A lin 8 3 8 7 1 Generate Sisi oo M den ia MN nee nil lise 8 3 8 7 2 Chenaux Coser VOI
38. NE DEEN MANE TOURE LO DPSP DPSP P cheur Banjul P cheur Burfut Minist re de la p che et de la marine Police maritime Direction de la m t orologie Forces arm es de la marine Centre de formation des p ches ASECMAR Marine nationale DPSP Minist re de la p che Minist re de la p che Minist re des p ches Minist re de la p che Minist re de la P che APPENDICE 8 DOCUMENTS ET MAT RIEL PRODUITS PAR LE PROJET e Rapports statistiques par pays e Mat riel didactique et p dagogique voir appendice 5 1 e Manuels de formation de formateurs APPENDICE 9 1 KIT DE FORMATION Le mat riel ci dessous est n cessaire pour r aliser les cours de formation Gilets de sauvetage GPS R flecteur radar Jumelles Compas magn tique Feux main Fus e de d tresse Fumig ne orange Corde de 100 m tres Flotteur Trousse de premiers soins Lampe de signalisation Lampe clignotante Extincteur APPENDICE 10 BIBLIOGRAPHIE Anonyme 1998 Loi 98 32 du 14 avril 1998 portant code de la p che maritime S n gal 31pages Anonyme 2002 Loi n 2002 22 du 16 ao t 2002 portant code de la Marine marchande au S n gal 105 pages Anonyme 1998 D cret 98 498 du 10 juin 1998 fixant les modalit s d application de la loi portant code de la p che maritime S n gal 29 pages Anonyme 1995 Loi n 009 95 du 31 janvier 1995 portant code de la Marine marchande Mauritanie Anonyme 2007 Ordo
39. P CHE ARTISANALE COLLECTE DES STATISTIQUES SUR LA S CURIT Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience de l importance des statistiques tre capable de transmettre aux acteurs des notions de statistiques tre capable de tenir des fiches de statistiques sur les accidents et incidents en mer Dur e 1 journ e 13 COLLECTE DES STATISTIQUES SUR LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE Mat riel de formation Autres supports e Exercices sur les statistiques mensuelles trimestrielles et e R gle ruban annuelles e _ Participation collective o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 5 r 2 En mer PROBLEMES SPECIFIQUES baaa Contenu du module Objectifs du module Conna tre les aspects li s aux actes illicites Conna tre la r glementation nationale et internationale en mati re de d finition et de r pression des actes illicites Prendre connaissance des probl mes sp cifiques des pays de CSRP Partager les informations sur la s curit tre sensibilis sur le ph nom ne des flux migratoires clandestins et leurs cons quences Dur e 1 journ e 14 PROBL MES SP CIFIQUES 14 1 Actes illicites et agressions en mer 14 2 Les probl mes mystiques et la s curit 14 3 La solidarit et l entraide dans le milieu des p cheurs 14 4 La p che illicite non d clar e et non r glement e Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Carte marin
40. Si un navire en train de p cher se trouve nez nez avec un navire qui n est pas ma tre de sa man uvre il doit lui c der le passage Navires qui font des routes qui se croisent R 15 Figure 25 Navires qui font des routes qui se croisent Un navire propulsion m canique qui s approche d un autre navire propulsion m canique et qui le voit sur sa droite doit lui c der le passage et viter de le croiser par l avant Figure 26 Navires p chant ayant des routes crois es 8 7 Un navire entrain de p cher qui s approche d un autre navire entrain de p cher et qui le voit sur sa droite doit lui c der le passage Es Figure 27 Navire p chant et navire propulsion m canique Un navire propulsion m canique qui s approche d un navire en train de p cher et le voit sur sa gauche ou sur sa droite doit lui c der le passage R 18 quEi Figure 28 Navire p chant et navire capacit de man uvre restreinte Un navire en train de p cher qui s approche d un navire capacit de man uvre restreinte sur sa gauche ou sur sa droite doit lui c der le passage R 18 dl Figure 29 Navire p chant et navire qui n est pas ma tre de sa man uvre Un navire en train de p cher qui s approche d un navire qui n est pas ma tre de sa man uvre et le voit sur sa gauche ou sur sa droite doit lui c der le passage R 18 8 8 Feux de signalisation des navires Les feux et signaux de navigati
41. UX ATTENTES DES STAGIAIRES La formation a t elle r ellement trait ce que 1234 vous attendiez 11 Pensez vous que la formation ait trait les 1234 aspects utiles votre m tier Pensez vous avoir bien assimil les diff rents 12 th mes afin de pouvoir les utiliser une fois de 1 2 3 4 retour dans votre travail ORGANISATION MATERIELLE ES A GS RE EEE EE D CERN PE DURANT LA FORMATION Ce que J ai aim Ce que je n ai pas aim Ce qui a pr t confusion Mes suggestions L gende e 1 MAUVAIS e 2 PASSABLE e 3 BIEN e 4 TR S BIEN
42. a tre les changements de temps en mer Savoir prendre des mesures en cas de mauvais temps Dur e 1 journ e 9 LA M T OROLOGIE 9 1 La m t o 9 2 L tat de la mer Mat riel de formation Autres supports __ Manuel de formation e Hygrom tre e Observation du ciel et des nuages Rose des vents e Bulletins m t orologiques e Barom tre e Exp rience des p cheurs e _ chelle de Beaufort Douglass T e _ Tables de conversion S o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 1 2 Enmer LA STABILIT DE L EMBARCATION Contenu du module Objectif du module Avoir des notions sur la stabilit des embarcations Conna tre l importance de la stabilit dans la s curit Savoir les bons comportements bord d une embarcation Conna tre les principes de chargement d une embarcation Dur e 1 journ e 10 LA STABILIT E DE L EMBARCATION 10 1 position du centre de gravit suivant le chargement 10 2 facteurs qui influencent la stabilit Mat riel de formation Autres supports RCE ES Compas o S O Ce Cartes marines O o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 2 LES NOTIONS DE RECHERCHE ET SAUVETAGE 2 En mer 3 Apr s SAR Contenu du module Objectifs du module Se familiariser avec les notions de recherche et de sauvetage Conna tre les proc dures de recherche et de sauvetage Conna tre les principales techniques de recherche et de sauvetage Conna tre l
43. a L one La prise en compte de mesures s curitaires concernant la fabrication des pirogues leur quipement et leur utilisation fait compl tement d faut Le r flexe de s curit dans la p che artisanale est encore absent 3 2 1 Contr le de la s curit des embarcations Conception les plans de conception pour construire des embarcations n existent pas l administration des p ches n est pas impliqu e dans le processus 3 2 Construction elle s effectue suivant les moyens du propri taire les qualit s techniques et le savoir faire du charpentier L administration des p ches n est pas impliqu e dans le processus Il faut noter une forte activit de construction d embarcations servant au transport des personnes et des marchandises Les chantiers de construction ne sont pas r glement s et les charpentiers n ont suivi aucun cours de formation Mise l eau aucun contr le n est effectu par les autorit s au moment de la mise l eau et aucun certificat de navigabilit n est d livr Conduite un p cheur exp riment est choisi pour gouverner l embarcation Ce dernier ne b n ficie d aucune formation ni de titres pour rendre l gale son activit C est une entente tacite qui lie le propri taire au conducteur de l embarcation capitaine Sa responsabilit n est pas engag e en cas d accident vu qu il n existe aucun cadre juridique pour la reconnaissance l gale des embarcations et des membres d quipages
44. a recherche et le sauvetage n existent pas aux niveaux macro m so et micro Ce sont les p cheurs qui s organisent de fa on b n vole les moyens d intervention sont inexistants 3 2 7 Sant et VIH sida Au niveau de la sant il n y a pas de m decine sp cialis e pour la prise en charge des cas de maladies li s aux activit s de p che artisanale Il existe cependant un programme national de sensibilisation et de prise en charge des cas de contamination par le VIH sida 3 3 LE S N GAL La s curit de la p che artisanale est confi e la Direction de la protection et de la surveillance des p ches Les mesures suivantes ont t prises durant ces cinq derni res ann es pour apporter des solutions aux probl mes pineux de la s curit en mer des artisans p cheurs e D signation d une structure responsable de la s curit des artisans p cheurs DPSP e Cr ation de la Haute autorit charg e de la s curit et de la s ret maritime HASSMAR 3 3 e Adoption d un Arr t minist riel portant obligation d embarquement et de port du gilet de sauvetage bord des embarcations non pont es La dotation en gilets de sauvetage est subventionn e par l Etat s n galais e Adoption d un Arr t minist riel portant immatriculation informatis e des pirogues e Adoption d un Arr t minist riel portant sur le permis annuel de p che artisanale e Adoption d un Arr t minist riel portant obligation de l installati
45. articiper aux op rations de recherche et de sauvetage en cas de disparition d une embarcation Cette action ne doit pas faire obstacle l alerte des services comp tents NB L assistance aux personnes en danger est obligatoire et gratuite Figure 65 Unit l g re de recherche et sauvetage Les appels de d tresse peuvent tre mis partir d un poste VHF quip d une composante ASN appel s lectif num rique de mani re automatique ou manuelle Ces appels peuvent tre intercept s par des navires o par des stations terrestres qui d clencheront les op rations de recherche et de sauvetage Les balises de d tresse EPIRB Emergency Position Indicating Radio Beacon galement connues sous le nom de balise de d tresse permettent un suivi des transmetteurs qui aident la d tection et la localisation des navires des avions et des personnes en d tresse Ce sont des radios balises avec une interface COSPAS SARSAT qui est un satellite international du syst me de recherche et de sauvetage Ne sont pas encore utilis es dans la p che artisanale en Afrique de l ouest 11 2 Premiers soins Principe de base ne jamais paniquer et garder son calme L quipage doit poss der les notions de base en secourisme savoir En cas d accident sauf si la vie du bless est en danger l o vous le trouvez ne jamais le d placer avant d avoir immobilis les fractures et ma tris les h morragies Les soins d urg
46. bsence d un cadre juridique ad quat pour les embarcations de type artisanal Des axes r glementaires et un cadre juridique sont mis en uvre pour apporter des solutions aux manquements en mati re de s curit en amont et en aval de la fili re des p ches maritimes Toutefois les textes mis en place concernent peu ou pas la p che artisanale 5 1 R glementation internationale Des actions sont entreprises pour r glementer la s curit en mer cependant il reste beaucoup faire pour les embarcations de type artisanal dans les pays en d veloppement 5 1 1 Directives facultatives FAO OIT OMI pour la conception la construction et l quipement des navires de p che de petite taille On peut se r f rer aux directives labor es en 1980 par la FAO l OMI et l OIT visant la conception la construction et l quipement des navires dont la longueur est comprise entre 12 et 24 m tres Il ya lieu d indiquer qu un projet de recommandation sur la s curit des navires pont s et non pont s de moins de 12 m tres est en cours d laboration au niveau de la FAO 5 1 2 Document destin servir de guide pour la formation des p cheurs et la d livrance des brevets FAO OIT OMI Objectif fournir des orientations aux responsables de l laboration et de la r vision de cours de formation professionnelle destin s aux personnels des navires de p che Champ couvert navires dont la longueur est inf rieure 24 m tres ou qui sont quip s
47. calme l tat de la mer peut varier au cours de la journ e D autres mat riels de s curit sont galement n cessaires ils sont num r s sur la Figure 7 Figure 6 Les autres mat riels de s curit 1 r flecteur radar 2 trousse de premiers soins 3 lampe clignotante 7 2 fus e de d tresse jumelles radio VHF il est possible d utiliser le t l phone mobile GPS feux main miroir 0 fumig ne orange ON R Cette liste n est pas exhaustive ni limit e on peut galement d tenir bord une ancre flottante des pagaies une voile des bidons vides etc Pour les embarcations qui le permettent la pr sence bord de bou es couronnes est souhaitable La bou e couronne Figure 8 est tr s efficace en cas d homme la mer son utilisation est facile partir de embarcation Figure 7 La bou e couronne Elle peut tre usage individuel o multiples elle est particuli rement utile en cas d homme la mer de jour comme de nuit d faut un cordage de 100 m tres muni d un grand flotteur peut tre utilis Figure 8 Cordage et grand flotteur 1 3 7 3 S curit du moteur Le maintien du moteur en bon tat de fonctionnement est un l ment important de la pr vention des pannes et donc de la s curit en mer Le moteur doit tre solidement attach bord et de mani re convenable pour viter son d tachement Actuellement la commercialisation des moteurs dans les pa
48. charbon bois coton tissus Feux de solides ou dits secs papiers avec combustion vive ou lente Ce sont les feux de liquides ou de solides liqu fiables essence p trole Feux de liquides ou dits gras fioul graisses etc Cette classe concerne les feux de gaz ou de vapeurs notamment feux d hydrog ne pur ou en m lange gaz de ville de propane de butane Feux de gaz etc Ce sont les feux de m taux aluminium magn sium potassium pou lesquels il faut des moyens d extinction particuliers Feux de m taux 1 7 Il existe cinq agents d extinction pour les diff rents types de feux e L eau qui sera utilis e sur les feux de classe A e L eau additif qui sera utilis e sur les feux de classe A B e Les poudres qui seront utilis es sur les feux de classe A B C e Le CO0 qui sera utilis uniquement sur les feux de classe B e Les poudres sp ciales qui seront utilis es sur les feux de classe D 7 4 3 Diff rents types d extincteurs chaque feu son extincteur Cependant les extincteurs de classe A et B conviennent aux p cheurs Il est recommand de demander conseils un sp cialiste lors de l acquisition d un extincteur Manometre Eau sous pression Eau Figure 15 Extincteur eau Figure 16 Extincteur poudre NB Pour utiliser efficacement un extincteur il faut en tirer la g chette respecter une distance de deux m tres et attaquer le feu par la base puis remonter pro
49. d un moteur de moins de 750 kW 5 1 3 Convention internationale sur la s curit des vies humaines en mer SOLAS Premi re Convention internationale sur la s curit en mer labor e en 1911 la suite du naufrage du Titanic et adopt e en 1914 La Convention SOLAS stipule des normes minimales de construction d quipement et d exploitation des navires La Convention SOLAS ne s applique pas aux navires de p che ni aux embarcations en bois de construction primitive ni aux bateaux n ayant pas de propulsion m canique La majeure partie des bateaux de p che et de transport des pays en d veloppement n est pas prise en compte Les navires de p che sont exclus explicitement de certaines conventions La plupart de ces conventions ne s applique pas aux navires de moins de 24 m tres Les navires couverts repr sentent peine 1 pour cent de la flotte mondiale de p che Cependant il existe une volont internationale pour la mise en place d un cadre juridique et technique visant entreprendre des actions concert es pour am liorer la s curit des navires de p che 5 1 5 1 4 Convention internationale de 1995 sur les normes de formation de d livrance des brevets et de veille des personnels des navires de p che STCW 95 F Objectif fixer les standards minima de la formation des quipages des navires de p che de plus de 24 m tres de long et dont la puissance motrice est sup rieure ou gale 750 KW Cette conventi
50. de la s curit pour la p che artisanale 3 4 6 Recherche et sauvetage La recherche et le sauvetage n existent pas au niveau macro Cette mission est confi e la capitainerie de port qui ne dispose pas pour le moment de moyens SAR Aux niveaux micro et m so ce sont les p cheurs qui s organisent de fa on b n vole pour effectuer les recherches les moyens d intervention sont inexistants 3 4 7 Sant et VIH sida La lutte contre le VIH sida s effectue au niveau national par un programme global g r par le Minist re de la sant 3 5 LA GUIN E L autorit juridique comp tente pour la prise en charge de la s curit des artisans p cheurs est l Agence de la navigation maritime cependant pour des raisons d approche et de gestion des p cheurs c est la Direction nationale des p ches maritimes qui g re techniquement la s curit des artisans p cheurs Il existe dans le code de la marine marchande des dispositions r glementaires pour la d livrance de titres aux embarcations de p che artisanale en ce qui concerne la conception la construction et la mise l eau Les statistiques sur les accidents et les incidents en mer sont collect es par les agents de l Agence de la navigation maritime et envoy es la Direction g n rale des p ches maritimes 3 5 1 Contr le de la s curit des embarcations Actuellement il n y a pas de r glementation pour le contr le de la s curit des embarcations 3 5 2 Disponibilit du
51. du navire en tenant uniquement compte de la vitesse la surface de l eau du cap du temps de parcours et du point de d part C est la position o devrait se trouver le navire apr s avoir navigu pendant un certain temps Chaque capitaine doit tre capable de d terminer la distance et la vitesse durant les sessions de formation 8 3 Orientation par les astres Il est possible de S orienter gr ce aux astres par l utilisation de plusieurs m thodes 8 4 Le cap vrai et la route vraie La route tant trac e sur la carte entre les deux points le navigateur n aura qu faire pointer l avant de l embarcation dans la direction souhait e La route sera l angle en degr qui la s pare de la direction du nord vrai Le cap vrai est calcul en degr s de 0 360 dans le sens des aiguilles d une montre S il n y a ni vent ni courant le cap vrai et la route vraie se confondent L embarcation avance dans la direction o elle est point e 8 1 8 5 Le compas magn tique exercice description utilisation Le compas magn tique doit tre consid r comme l instrument primordial en navigation c ti re bord d une embarcation Tout se fait ou se mesure l aide du compas magn tique Aucune route ne peut tre suivie sans lui Figure 18 Le compas magn tique 8 6 Le GPS Le GPS est un syst me de positionnement utilisant 24 satellites tournant autour de la terre Ce syst me permet de d terminer avec une grande pr cisi
52. e assistance assez soutenues et est parfois m content de lui m me Travail souvent r vis ou m me renvoy par le superviseur NIVEAU MOYEN Vu comme suffisamment et assez expert dans ce domaine Devient de plus en plus ind pendant dans la pratique de la mati re Se sent un peu plus apte avec peu de r visions et de renvois NIVEAU LEV Vu comme expert capable de former d autres l ments N exige pas de supervision compl tement son aise le travail est le plus souvent accept sans changements Bar me pour l valuation des besoins au travail Evaluez les besoins au travail pour chaque connaissance habilit NIVEAU FAIBLE Lorsque la connaissance habilit est rarement utilis e n cessaire dans le travail et ne fait pas partie de la routine ou n est pas tellement importante NIVEAU MOYEN Lorsque la connaissance l habilit est utilis e de temps en temps dans le travail et ou rehausse la performance visiblement assez importante mais pas essentielle dans le travail NIVEAU LEV Lorsque la connaissance l habilit est fr quemment utilis e dans le travail et en fait partie int grante tant tr s visible et importante REMPLISEZ VOS SCORES DANS CETTE GRILLE Niveau d aptitude LEV MOYEN FAIBLE L outil d valuation des besoins en formation l N EE O1 O N 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 FAIBLE MOYEN LEV Niveau de besoin au travai
53. e gite Les facteurs les plus importants pour viter qu une embarcation ne chavire sont la pertinence de sa conception de son entretien et de son chargement ainsi que de l exp rience de son capitaine et de son quipage Toutefois ces facteurs peuvent tre contr l s Une embarcation bien con ue ne chavirera pas m me dans les pires conditions si elle est man uvr e de fa on correcte Pr venir les conditions qui rendent l embarcation instable et tre en mesure de reconna tre les signes d avertissement de ces conditions peut pargner des vies Vous devriez constamment faire preuve de vigilance l gard de toute ventuelle perte de stabilit La stabilit d une embarcation de p che est une question tr s complexe 10 4 11 LES NOTIONS DE RECHERCHE ET SAUVETAGE La recherche et le sauvetage r capitulent un ensemble d actions coordonn es allant de la r ception de l information la mise en uvre des moyens de recherche et de techniques de sauvetage pour la protection des vies en mer Les moyens de communication en cas de d tresse comme Mayday SOS doivent tre connus des p cheurs 11 1 Recherche et sauvetage de naufrag s Les op rations de recherche et de sauvetage sont effectu es par une quipe bien form e avec des moyens ad quats et des proc dures standardis es Dans les pays de la CSRP en attendant l intervention des unit s de sauvetage ce sont les p cheurs qui de mani re informelle s organisent pour p
54. e la s curit des embarcations de p che artisanale tre capable de conseiller les p cheurs sur le choix des mat riaux de construction Savoir comment se comporter en cas de chavirement Prendre conscience des probl mes de stabilit des pirogues Conna tre et tre capable d apporter les premiers secours Dur e 1 journ e 7 S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS QUIPEMENTS MOTEURS 7 1 s curit de l embarcation Mat riel de formation Autres supports e _ Participation collective e Typologie des pirogues et des m tiers dans la p che artisanale DR e Diff rents mod les sur la stabilit des pirogues o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 06 2 En mer LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE QUIPEMENTS 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience des dangers li s aux accidents en mer Conna tre les diff rents quipements de s curit de la p che artisanale tre capable de conseiller les p cheurs sur le choix du mat riel de s curit Savoir comment se comporter en cas d accident Pouvoir manipuler les outils de s curit Conna tre et tre capable d apporter les premiers secours Dur e 2 jours 7 S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE EMBARCATIONS QUIPEMENTS MOTEURS 7 2 quipements sp cifiques 4 la s curit Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e T moignages des acteurs de la p che e
55. e mat riel de recherche et de sauvetage Avoir quelques connaissances en secourisme Dur e 1 journ e 11 LES NOTIONS DE RECHERCHE ET SAUVETAGE 11 1 Recherche et sauvetage de naufrag s 11 2 Premiers soins 11 3 Recommandations pour les conditions de travail d hygi ne et de sant des quipages Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation e Kit de s curit e Gilets de sauvetage e Autres documents e Flotteurs e Exercices de simulation e Carte marines e Jumelles a o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 3 a 2 En mer SUIVI CONTROLE ET SURVEILLANCE mataa 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Conna tre l importance du suivi contr le et de la surveillance en mati re de gestion de la ressource et d am lioration de la s curit tre capable de faire la diff rence entre les trois notions suivi contr le surveillance Conna tre les r gles et m thodes de contr le d inspection des embarcations et des captures Dur e 1 journ e 12 SUIVI CONTR LE ET SURVEILLANCE 12 1 R gles et m thodes de contr le 12 1 1 Contr le de l embarcation 12 1 2 Inspection et contr le des captures 12 1 3 Utilisation pratique du mat riel d inspection Mat riel de formation Autres supports e _ Textes r glementaires EEE __ Ruban de mensuration EE e Cartes marines et supports _ o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 4 2 En mer DE LA
56. e p che de la recherche du sauvetage et de la notification des accidents Avantage caract re souple et non obligatoire 5 1 8 Code de l OMI pour les enqu tes sur les accidents et les incidents en mer Il recommande la mise en place d un syst me d enqu tes sur les accidents en mer afin d tablir les circonstances entrant en ligne de compte de faire conna tre les causes de l accident et de formuler des recommandations appropri es concernant la s curit 5 19 Convention internationale de l OMI sur la recherche et le sauvetage maritime de 1979 Les pays c tiers doivent se doter d un Syst me de sauvetage maritime efficace SAR avec un mode op ratoire et des moyens d intervention 5 2 5 1 10 Recommandations de l OIT en 2007 concernant le travail dans le secteur de la p che Les recommandations suivantes concernent les navires de p che commerciale de toutes les tailles op rant dans les cours d eau les lacs ou les canaux l exception de la p che de subsistance et de la p che de loisir e D finition de la responsabilit des armateurs et des patrons de p che e Conditions minimales requises pour le travail bord des navires de p che e Conditions de service des quipages et dur e du repos e Soins m dicaux protection de la sant et s curit sociale e La mise en application des politiques nationales de r glementation en mati re de s curit suppose une s rie de dispositions dans plusieurs domaines
57. eillance DATHOIDAUVE St Ada en een de tn tete dannte duel 3 3 3 2 6 Recherche EL SANS nine naine ina anni 3 3 3 2 7 Sane TEVENS CG de a a a a 3 3 3 APT NEOA os 3 3 3 3 1 Contr le de la s curit des embarcations hands hrs 3 4 3 3 2 DiSpombrii d mat riel de S curit sn ste ain MR nina 3 4 3 3 3 SCC deS MOLIS eniu a a a a a a a dt 3 4 3 3 4 SECHE des COPA ES er aea a a E a E 3 4 Iaa Suvelan oparai pa VE cieca SR a E 3 5 3 3 6 Recher hec Saved a a a E a E 3 5 IST SI A e T E E E A E E N AE 3 5 A LA CGUIN E BISS A Usea a aaa a 3 5 3 4 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 5 3 4 2 Dispombiht du materielde securite erisin MS a EN 3 5 3 4 3 Secure des MOU Seara a a aa a e aa a een 3 5 3 4 4 Seccu te des CUASE Sisina ena a naine 3 6 3 4 5 Surveillance DA cipal V onna a r a a in us 3 6 3 4 6 Recherche CCSN Se ocarina aA a r S 3 6 3 4 7 Sante CL VIR Sdi aa a a Nan a i 3 6 M EAGUM E aa E T E O 3 6 3 5 1 Contolesde la s curit des embarcations 28 Ti el sn 3 6 3 3 2 Disponibilit du mat riel de s curit ses 3 6 3 5 3 D COULE CES TOOLS da nt a ti iii 3 6 3 5 4 SECCU AESC GUIDA IES nn a ore Ora dns dense ant benne lon nette ennemi lee 3 6 3 5 5 Surve lane paro PaV E a E E 3 7 3 5 6 Recbhercheet sauvetat nemesen e T 3 7 7 Sae CEV TS O aes a E T 3 7 DO EX MAURITANIE a E a Rae 3 7 3 6 1 Contr le de la s curit des embarcations Vs 3 7 3 6 2 Disponibilit d mat riel de s curit sise insu 3 7 3 6 3 SE
58. ence peuvent tre dangereux ne les pratiquer que s ils sont vraiment n cessaires cause du risque de suffocation ne jamais faire boire ou manger une personne inconsciente ou qui risque de s vanouir Si le bless est conscient et qu il souffre lui donner un m dicament analg sique ne pas exc der la dose prescrite Lors d un accident noter l heure les circonstances dans lesquelles il s est produit comment vous avez trouv le bless ce que vous lui avez fait et donn NB En cas d hypothermie couvrir le sujet ne pas le frictionner Il faut faire route vers la c te la plus proche Si le bless est inanim viter de le bouger En cas de blessure appliquer un pansement Maintenir les sujets inconscients dans la position lat rale de s curit pour lib rer les voies a riennes sup rieures et faciliter l vacuation des liquides en cas de vomissement ou de saignement Quelques exemples de premiers secours Respiration bouche bouche z s Ca DS CORRE m i CLIP te En PE Un LE EX h ET a RD a a e aT MERS er Ts z ia ET FRS Rue rss AT de iai pe Piin e E T de P S si ra gW ex 2 H z tarasy z 5 z CRC an A Je Fa ie LES HT f F CRE CTETS k PREI TER ET E E x sa i 0 a i gl T 3 ee Per r Ci L on Massage cardiaque externe crie 1 E EL ET LT US SEE PAT I Sur TM Fe spiration artifidelle ef moisoge cardiague Relation entre les insufflat
59. ermettent tre ex cut e franchement largement temps et conform ment aux bons usages maritimes R gle 8 8 7 2 Chenaux troits et voies d acc s Les navires de longueur inf rieure 20 m tres et les navires voile ne doivent pas g ner le passage des navires qui ne peuvent naviguer en toute s curit qu l int rieur d un chenal troit ou d une voie d acc s Les navires en train de p cher ne doivent pas g ner le passage des autres navires naviguant l int rieur d un chenal troit ou d une voie d acc s 8 7 3 Visibilit r duite Si VOUS ne pouvez pas voir les autres navires cause de la brume ou du mauvais temps r duisez la vitesse faites entendre le signal sonore appropri naviguez avec une extr me prudence et soyez pr ts vous arr ter pas de priorit dans une zone de visibilit r duite R 19 8 7 4 Hi rarchie des privil ges En navigation les privil ges la priorit en langage marin r sultent des r gles de circulation ou de la nature du navire qui peut r duire ses capacit s de man uvre La liste ci dessous pr sente la hi rarchie des navires du plus privil gi prioritaire au moins privil gi e Navire pas ma tre de sa man uvre e Navire capacit de man uvre restreinte e Navire handicap par son tirant d eau e Navire en train de p cher e Voilier marchant la voile e Navire propulsion m canique faisant route Dans la pratique avec une petite embarcation
60. es e Vid os e Jumelles 2 e Fiches de collecte des informations Kit de s curit e Rapport sur les actes de piraterie e Gilets de sauvetage e T moignage des acteurs o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 1 6 2 En mer EXERCICES DE SIMULATION Contenu du module Objectifs du module Renforcer les acquis des cours th oriques Mettre en pratique les notions acquises au cours de la formation Dur e 1 journ e 15 EXERCICES DE SIMULATION 15 1 Chavirement de Pirogue 15 2 Homme la mer 15 3 Blessures en mer 15 4 Noyades Mat riel de formation Autres supports e Carte marines e Carte marines e Jumelles e Kitde s curit e Kitde s curit Gilets de sauvetage e Corde et flotteur e GPS Fiche de guide du formateur N 1 l FICHE D VALUATION FORMATIVE CRIT RES D VALUATION OTE COMMENTAIRES 1 Les objectifs de chaque module ont ils t 1234 clarifi s 2 Le formateur a t il utilis une approche PITA participative 3 Le formateur a t il adapt sa pr sentation 1234 l audience 4 Le formateur est il l coute des probl mes des 1 2 3 4 participants 5 Le formateur a t il encourag l change L2 34 d exp riences K La voix du formateur a t elle t claire 1234 7 Les s ances de formation ont elles t bien 1234 pr par es Li Le formateur a t il v rifi les apprentissages 1 2 3 4 a El Le formateur a t 1l respect le temps 1 2 3 4 on REPONSE A
61. es artisans p cheurs n cessite dans les sept tats membres de la Commission sous r gionale des p ches le partage de modules de formation avec des responsables de la p che artisanale diff rents niveaux de responsabilit Les modules de formation propos s donnent un aper u de l ensemble des connaissances n cessaires pour mener bien des activit s de formation en mati re de s curit dans le secteur de la p che au profit des artisans p cheurs Il serait souhaitable que les quipes de formateurs soient mixtes agents de l administration et professionnels Les aspects trait s dans ce manuel vont des dispositions prises pour assurer le respect des normes de s curit dans le processus de construction de l embarcation la m t orologie en passant par le comportement des quipages Les objectifs pour chaque th me comportent des aspects tout simplement relatifs aux connaissances qui permettront de consolider ou de valider le savoir empirique acquis au cours d exp riences dans le domaine de la s curit des p cheurs ou simplement la s curit d une mani re g n rale Les connaissances acquises pourront ensuite tre partag es avec les v ritables acteurs de la p che pratiquants de tous les jours Certains th mes sont plus techniques et comportent des acquisitions pratiques pour l utilisation d appareils de mat riel de s curit et de savoir tre dans des cas pr cis li s la s curit en mer des artisans p c
62. es pirogues PNI 200 pages Faye Mamadou Faye et al 2005 Manuel sur les bonnes pratiques de p che et d aquaculture DCEG ann e 2005 35 pages MBODJ Abdou 2007 Manuel d application du GPS la cartographie num rique 14 pages SHOM 1987 Signalisation maritime n 3C 55 pages SHOM 1993 R glement international pour pr venir les abordages en mer n 2B 46 pages SHOM 1993 R glement international pour pr venir les abordages en mer n 2A 32 pages Fiche de guide du formateur N 01 LA SITUATION DE LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE 1 Avant 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Avoir une id e de l ensemble des situations s curitaires dans les pays de la CSRP S informer des textes mis en place et des moyens disponibles changer les exp riences et les initiatives r ussies et les checs Partager les acquis en mati re de s curit des artisans p cheurs Faire la revue de l ensemble des probl mes et difficult s rencontr s Conna tre les quipements et leurs disponibilit s pour chaque pays D finir les r les des principaux acteurs et les niveaux d implication Dur e 1 journ e 3 LA SITUATION DE LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE 3 1 LA GAMBIE 3 1 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 12 Disponibilit du mat riel de s curit 3 1 3 S curit des moteurs 3 1 4 S curit des quipages 21 Surveillance participative 3 1 6 Recherche et sau
63. est informelle Un contr le est effectu sur les navires collecteurs qui embarquent des artisans p cheurs 3 4 3 3 5 Surveillance participative Il y a des comit s locaux des p ches qui ont une reconnaissance juridique et qui abritent des commissions de surveillance et de s curit Les commissions de surveillance sont mises en place par arr t pr fectoral et comportent des brigades de contr le sur la base d initiatives locales de cogestion des p ches 3 3 6 Recherche et sauvetage La recherche et le sauvetage existent au niveau macro ils sont sous la responsabilit de la DPSP Au niveau m so ils sont Sous la responsabilit des centres de surveillance qui sont dot s de pirogues de 12 m tres et de moteurs de 40 CV et d un budget de fonctionnement Au niveau micro les sites o se d veloppe la co surveillance ont une commission de s curit en mer il reste cependant une dotation en moyens d intervention En cas d accident les p cheurs mettent la disposition de la commission au moins une embarcation et un capitaine pour organiser les premi res recherches 3 3 7 Sant et VIH sida La lutte contre le VIH sida au niveau national est du ressort du minist re de la sant Le syst me d assurance maladie est encore informel Il existe des initiatives dans certaines localit s pour les consultations familiales moyennant une cotisation mensuelle 3 4 LA GUIN E BISSAU Il existe un d ficit structurel et institutionnel en ce
64. est pas encore entr e dans les m urs des artisans p cheurs 3 6 5 Surveillance participative Les activit s de suivi de contr le et de surveillance des p ches sont confi es la DSPCM qui bien que militaire est au service du minist re charg des p ches Cette structure fait syst matiquement appel aux autres acteurs pour l aider dans les op rations de contr le et de surveillance Une confiance et franche collaboration sont entretenues entre les p cheurs et les l ments de la DSPCM Cette derni re collabore constamment avec les institutions locales suivantes dans le domaine de la surveillance la FNP les communaut s d artisans p cheurs et le PNBA Cette forme de coop ration qui est appel e surveillance participative est soit formelle durable soit informelle circonstancielle 3 6 6 Recherche et sauvetage La Mauritanie a cr un Centre de coordination des op rations de recherche et de sauvetage en mer qui dispose d un certain nombre de moyens humains et mat riels propres Il peut de par la loi recourir aux services des autres structures pour effectuer des missions de recherche et de sauvetage en mer On constate une nette diminution des collisions mortelles et des naufrages depuis le renforcement du contr le et de la surveillance de la zone de p che ax sp cifiquement sur la p che artisanale et la pr sence de plus en plus effective des agents du CCSM 3 6 7 Sant et VIH sida Au niveau du secteur de
65. etc Type et d partement dont ils rel vent 1 2 3 4 5 6 T R cup r e ou perdue AN AAN A a A a PS PS AA a mm mt mm mm APPENDICE 3 PR CAUTIONS PRENDRE AVANT DE PARTIR EN MER V rifiez les pr visions m t orologiques Vous devez savoir comment obtenir des informations jour et pertinentes avant de partir et ce tout au long de votre parcours afin de le modifier si n cessaire V rifiez s il existe des dangers locaux ou des restrictions en mati re de navigation Y a t il des rapides barrages basses chutes courants mar es vents soudains eaux vives c bles a riens ou sous marins ponts vagues croissance rapide Vous pouvez obtenir ces informations l aide d une carte marine et ou en consultant des personnes locales Inspectez l ext rieur de votre embarcation coque et moteur La coque comporte t elle des fissures ou autres dommages Le moteur tourne t il correctement L h lice est elle intacte On peut utiliser bord des embarcations du mat riel usuel fonctions multiples pour plus de s curit pagaies voiles bidons vides en plastique polystyr ne aluminium pots en fer vides etc Utilisez une liste de v rification applicable votre embarcation partir de la liste de l quipement de s curit minimal requis compte tenu de la longueur de votre embarcation dressez vous une liste laquelle vous pouvez ajouter du mat riel suppl mentaire selon l activit pratiqu e le temps de
66. ets de sauvetage aux artisans p cheurs sont r guli rement organis es par le CCSM et la FNP 3 7 3 6 3 S curit des moteurs l exception des lanches qui op rent l int rieur du Banc d Arguin le parc artisanal est motoris 100 pour cent La r paration et l entretien se font dans les nombreux petits chantiers priv s Nouakchott et Nouadhibou alors que les 25 autres sites de d barquement autoris s ne disposent pas de ces services de proximit En plus du projet pilote PMEDP qui avait d velopp des modules de formation sur l entretien et la r paration des moteurs diesel in bord et form une douzaine de m caniciens l ENEMP et le CASAMPAC dispensent aux artisans p cheurs des cours de formation en r paration et entretien des moteurs hors bords 3 6 4 S curit des quipages Le nombre d artisans p cheurs est estim 12 000 dont moins de 4 000 ont pu suivre dans le cadre de leurs cours d apprentissage des stages de renforcement des capacit s en mati re de s curit et d hygi ne Des modules de formation adapt s sont actuellement dispens s par l ENEMP et le CASAMPAC pour am liorer cette situation Bien que le port du gilet soit obligatoire cette mesure comme les autres d ailleurs n est pas souvent respect e Les conditions acceptables de travail en mer font encore largement d faut au niveau de la p che artisanale D une mani re g n rale nous pouvons dire que la culture de la s curit n
67. gion A l Am rique dans la r gion B La diff rence r side uniquement dans l emploi des marques lat rales dont les couleurs sont invers es 8 10 8 9 1 Types de marques Le syst me de balisage comprend cinq types de marques dont toute combinaison peut tre employ e 1 Les marques lat rales indiquent les c t s b bord et tribord de la route suivre Il en est ainsi dans un chenal o le navire doit passer entre des bou es ou des balises b bord et tribord de formes et de couleurs diff rentes dans un estuaire un fleuve etc Les marques sont laisser d un bord ou de l autre Le balisage lat ral se d finit en fonction du sens conventionnel c est le sens que suit le navire venant de la haute mer lorsqu il s approche d un port d une rivi re d un estuaire ou d une autre voie d eau En entrant dans le port les marques tribord seront celles qui se trouvent main droite et les marques b bord celles qui se trouvent main gauche lorsqu on regarde l avant de son navire Les marques b bord sont de couleur rouge et de forme cylindrique Les marques tribord sont de couleur verte et de forme conique R GION A MARQUES LAT RALES Marques de B BORD Marques de TRIBORD A A SENS CONVENTIONNEL DE BALISAGE Figure 37 Marques lat rales r gion b bord et tribord MARQUES DE CHENAL PR F R chenal PR F R TRIBORD chenal PR F R BABORD SENS CONVENTIONNEL DE BALISAGE Figure 38
68. gressivement vers le haut Le tableau suivant r sume les sept principales situations de d tresse et leurs causes Probl me initial SONORE A Situation aggravante Situation de d tresse Avarie de moteur R parer le moteur Pas d outils pas de pi ces de D rive rechange Rupture de combustible R serve de combustible Pas de moteur de r serve Perte d orientation Compas ou kit de navigation Pas de compas pas de kit de D rive navigation Changement brusque de Embarcation ad quate ou bons Mauvaise embarcation Perte de vies possible la m t o marins Mauvais marins Accident ou blessure Premiers soins Pas de trousse de premiers soins Perte de vies possible Feu bord Extincteur Pas d extincteur Risque d incendie Il faut tenir compte du fait que les erreurs humaines sont les principales causes de d tresse en mer 7 8 8 LES OP RATIONS DE P CHE ARTISANALE Ce chapitre pr sente quelques notions de base que chacun doit poss der d s lors qu il peut se trouver en situation d avoir man uvrer une embarcation il ne traite nullement le sujet de mani re exhaustive 8 1 Utilisation des cartes marines travaux pratiques Le travail de carte doit tre pr cis on imagine facilement les cons quences d un manque de pr cision Figure 17 Utilisation de la r gle Crass sur carte 8 2 La navigation par l estime La navigation par l estime est l ensemble des proc d s qui permettent de d terminer la position
69. heurs La tenue et l laboration des statistiques sur les accidents et les infractions dans les p ches artisanales sont galement des objectifs sp cifiques vis s dans ce manuel de formation D autres th mes de formation pourront tre d finis en rapport avec les r alit s du pays concern ce titre nous proposons aux formateurs de proc der l identification rapide des besoins sp cifiques en formation dans le domaine de la s curit des artisans p cheurs nous proposons en annexe un outil pour l identification rapide des besoins en formation Training Needs Assesment Tool appel le T NAT Ce document est un guide et ce titre il r sume des axes de formation pour la s curit en mer des artisans p cheurs Il constitue un manuel de travail et doit permettre aux intervenants d agir en cons quence pour implanter une culture s curitaire dans les diff rents pays concern s Les dur es propos es dans les fiches sont titre indicatif Il appartient au formateur de fixer la dur e qu il juge n cessaire en fonction du th me et des pr requisits des stagiaires La d marche participative doit tre privil gi e en partant du v cu des p cheurs avec l utilisation d exemples L andragogie ou p dagogie de l adulte doit tre mise profit l adulte conna t et n aime pas tre ignorant 2 1 3 LA SITUATION DE LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE Dans les diff rents pays concern s on constate l existence de tr
70. iel d inspection Travaux pratiques sur le GPS orientation positionnement Sur les cartes marines lecture positionnement Sur les r gles pieds coulisse et ichtyo m tres mesures Figure 68 R gle ruban de mensuration 12 2 13 COLLECTE DES STATISTIQUES SUR LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE La collecte des statistiques est indispensable pour l orientation des d cisions en mati re de s curit en mer de la p che artisanale Les actions mener pouvant tre multiples une bonne analyse des r sultats sur les accidents peuvent permettre de d gager des priorit s pour chaque zone d intervention et chaque groupe cible D coupage de la zone d intervention crit res d affinit s Mise en place des fiches de collecte mod le annexe 2 Formation des responsables et sensibilisation des acteurs Compilation et analyse des donn es mois trimestre semestre ann e Exercice Le tableau suivant donne une r capitulation des statistiques sur les types d accidents survenus dans la pratique de la p che artisanale dans un pays A Faites une analyse globale annuelle et une analyse trimestrielle Que proposez vous comme ventuelles solutions pour diminuer les accidents D gagez vos priorit s TYPES D ACCIDENTS PERTES EN D G TS TOTAL MOIS f CHAVIREMENT COLLISION FEU BORD VOIES D EAU HOMME GAREMENT VIES MAT RIELS LA MER JANVIER F VRIER MARS AVRIL JUIN JUILLET AO T SEPTEMBRE
71. imit visant impliquer davantage les exploitants en les responsabilisant Les comp tences des uns et des autres sont ainsi mises profit pour veiller aux respects des lois et r glements dans le domaine des p ches On peut ainsi parler d une surveillance concert e le but recherch est l efficacit des interventions les professionnels se connaissent entre eux et ma trisent les bonnes et les mauvaises pratiques 6 2 Composition d une commission de co surveillance Dans la mesure du possible une commission de co surveillance peut comprendre une pr sidence e un secr tariat e des membres Les crit res d aptitude et de disponibilit doivent tre anticip s ceci par soucis d op rationnalit en effet les moyens humains peuvent tre sollicit s chaque instant et en toutes circonstances Dans certains pays ce mode d organisation peut prendre une autre forme suivant les r alit s sp cifiques des localit s Les commissions de surveillance op rent travers des brigades de co surveillance 6 3 Domaines d intervention d une brigade de co surveillance Les interventions se d roulent en mer terre au niveau des points de d barquement de transformation de vente des produits de la p che et des usines 6 1 6 3 1 En mer Les actions de la brigade doivent se limiter un territoire maritime une superficie d fini par une initiative locale de cogestion des p ches et mat rialis si possible par des bo
72. incidents gardez l esprit les r gles suivantes Figure 56 Forte houle Figure 57 Vent violent et pluie a Soyez conscients des forces ext rieures le vent les vagues et la profondeur de l eau V rifiez toujours les pr visions m t orologiques avant de partir Evitez le gros temps Figure 58 Surcharge en poisson b Ne surchargez pas votre embarcation Soyez inform s du poids suppl mentaire ajout et du franc bord disponible R partissez bien les passagers et la cargaison de fa on quilibr e 10 1 Figure 59 Compartimentage des cales C Assurez vous que l ensemble de la cargaison est bien arrim et le demeure durant le voyage Placez la cargaison en dessous du pont si possible Figure 60 Car ne liquide libre Figure 61 Car nes liquides s par es d Les ballasts d eau et les r servoirs de carburant partiellement remplis contribuent l instabilit Les car nes liquides doivent tre contenues de mani re ce que leur influence ne nuise pas l quilibre de votre embarcation e Ajuster votre cap votre vitesse ou les deux dans la mesure du possible pour r duire le plus possible les mouvements de l embarcation tel que le roulis en particulier f vitez les virages serr s ou haute vitesse lorsqu il y a risque de perte de stabilit 10 2 10 1 Position du centre de gravit suivant le chargement Embarquement de poids au dessus du centre de gravit Figure 62 Positi
73. ion durable Elle met en jeu un ensemble de connaissances scientifiques et techniques mais galement des comportements pour des formes d exploitation durables en toute connaissance de cause avec en prime un partage quitable des revenus issus de la p che L administration et les professionnels se mettent ensemble pour d finir des m canismes de gestion concert e au profit de tous les acteurs en minimisant les dangers d une destruction progressive d un environnement halieutique fragile 4 2 Am nagement et gestion des p ches Un cadre juridique et r glementaire doit tre d fini clairement en se basant sur des textes consensuels La ressource et son environnement doivent faire l objet d tudes scientifiques avec une exploitation des connaissances empiriques biologie environnement conomie aspect social etc L approche cosyst mique doit tre privil gi e pour mesurer et prendre en compte toutes les r alit s du syst me Les probl mes sur chaque site tant sp cifiques les m thodes utilis es doivent pouser les r alit s de la localit cibl e 4 3 R le de l administration et des professionnels L administration doit arbitrer et se porter garante des int r ts communs de l ensemble des populations pour le cas de la p che les ressources appartiennent la nation Les professionnels doivent contribuer l identification claire des probl mes et veiller l application des strat gies d finies pour r so
74. ions et les compressions externe faita simulran ment por deux personnes du thorax dans lo r animation cardic respirat ine faite Z personnes Position de s curit pour personnes inconscientes Pr tr Retourmir eur Le c t droit Main aauche sous la bouche Figure 66 Exemples de premiers soins 11 3 Recommandations pour les conditions de travail d hygi ne et de sant des quipages Le capitaine et son quipage doivent tre aptes physiquement et en bonne sant Le capitaine doit poss der les qualifications requises pour la conduite et l utilisation d une embarcation artisanale Le capitaine doit tre g de 20 ans au minimum Un contrat d engagement doit lier le capitaine au propri taire avec un visa de l autorit des p ches pour la zone L ge minimum recommand par l OIT pour le travail en mer est de 16 ans des restrictions sont possibles suivant les aptitudes pour l apprentissage L effectif pour les sennes tournantes et les pirogues glaci res doit tre suffisant en nombre et en qualit pour assurer la s curit et le bon fonctionnement Le propri taire doit garantir des p riodes de repos l quipage L OIT recommande 10 h par p riode de 24 heures et 77 heures par p riode de sept jours Une liste des membres de l quipage doit toujours tre disponible terre et dans l embarcation Pour les pirogues glaci res le logement la nourriture et l eau potable doivent tre ad qua
75. l Explication ZONE DES BESOINS MOYENS EN FORMATION MMMMMMMMMMMMMMMMMM Lo ZONE DES CONNAISSANCES ADEQUATE AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA Lorsque les besoins du travail ne sont pas sup rieurs celui d aptitude PPPPPP ZONE DU DEVELOPPEMENT PROFESSIONNEL PPPPPPPPP NIVEAU D APTITUDE MOYEN A PPPPPP PPPPP FAIBLE NIVEAU DE BESOIN AU TRAVAIL APPENDICE 6 QUIPE DE PR PARATION FAO Per DANIELSSON FAO Rome Mamanding KUYATEH FAO Banjul CSRP Mamadou BALL CSRP S N GAL Mamadou FAYE Direction de la protection et de la surveillance des p ches Babacar FAYE Ecole nationale de formation maritime Abdou MBODJ Direction de la protection et de la surveillance des p ches Mamadou NDIAYE Direction de la protection et de la surveillance des p ches MAURITANIE Babana Ould YAHYA Ecole nationale d enseignement maritime et des p ches APPENDICE 7 LISTE DES FORMATEURS LOCAUX ET POINTS FOCAUX LISTE DES FORMATEURS LOCAUX S n gal Mamadou Mamadou Abibou Gambie Baboucar Amadou Sierra L one F lix O Francis Denis Sombo Sim on Guin e Bissau Inocencio Antonio Gomes Guin e Conakry Mouhamed Yves Tato POINTS FOCAUX S n gal CV Dame Gambie Amadou Sierra L one Sheik Ibrahim Guin e Bissau Malang Guin e Conakry Joachim Yaya Mauritanie Mamadou Boubou NDIAYE DIAGNE DIATTA TOURAY CHARLEY KOROMA LANSANA NDALOMA LOPES CAMARA COLY MBOUP SE
76. la p che la pr valence du VIH sida serait l g rement sup rieure la moyenne nationale en Mauritanie qui est de l ordre de 1 pour cent Il existe un programme de lutte contre le VIH sida au niveau du D partement dot d un coordinateur sectoriel Une dotation financi re a t obtenue dans le cadre d un programme sur financement du Fonds mondial Les actions r alis es consistent en la formation de paires ducateurs de personnes relais avec un vaste programme de sensibilisation dans le milieu des artisans p cheurs Une s rie d ateliers est organis e chaque ann e et il existe aussi des modules de formation con us pour tre int gr s aux programmes de formation de l ENEMP Le D partement des p ches est dot d un plan d action quinquennal 3 8 4 L AM NAGEMENT DES P CHES Les p cheries mondiales sont largement exploit es du fait d un effort de p che incontr l les solutions pr conis es sont nombreuses et ne r pondent souvent pas aux r alit s du terrain et des moyens mis en uvre pour le respect des normes dict es La p che responsable peut constituer une solution pour la reconstitution des stocks et la protection de l environnement dans un contexte de recherche de moyens d existence durables 4 1 Qu entend on par p che responsable C est l utilisation de moyens et techniques de p che qui ne mettent pas en danger les ressources et l environnement halieutiques tout en garantissant aux acteurs une exploitat
77. le des personnels des navires de p che STCW 95 F Objectif fixer les standards minima de la formation des quipages des navires de p che de plus de 24 m tres de long et dont la puissance motrice est sup rieure ou gale 750 KW Cette convention n est pas encore entr e en vigueur Convention internationale de 1977 sur les navires de p che Convention de Torremolinos Premi re convention internationale sur la s curit des navires de p che Cette convention contient des prescriptions de s curit pour la construction et l quipement des navires de p che pont s long courriers neufs de 24 m tres de longueur ou plus y compris ceux qui assurent galement le traitement des captures Les navires existants ne sont vis s que pour les prescriptions relatives l quipement radio Cette convention n est pas encore entr e en vigueur Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 Cette convention d finit les droits et les obligations des tats c tiers Tout tat prend l gard des navires battant son pavillon les mesures n cessaires pour assurer la s curit en mer notamment en ce qui concerne e La construction et l quipement du navire et sa navigabilit e La composition les conditions de travail et la formation des quipages en tenant compte des instruments internationaux applicables l emploi des signaux le bon fonctionnement des communications et la pr vention des abordages Code de co
78. le vert pour appr hension facile etc Apr s ce cours sur l andragogie suivi des questions et discussions les participants reforment leurs groupes initiaux pour pr parer pr senter et animer des cours APPENDICE 5 T NAT OUTIL D EVALUATION DES BESOINS EN FORMATION Nom Date Agence But l outil d valuation en formation nous aide identifier nos besoins en formation active Le processus consiste en une s ries d tapes s quentielles nous permettant de comparer ceux dont nous poss dons le savoir faire NIVEAU D HABILIT avec ceux pour lesquels nous devrons l acqu rir BESOIN AU TRAVAIL PROCESSUS les tapes Premi re partie Faites la liste des connaissances habilit s Deuxi me partie Donnez des scores vos niveaux d habilit et aux besoins pour le travail Troisi me partie Remplissez l outil Quatri me partie Interpr tation de l outil Cinqui me partie Pr paration du programme de formation I Connaissances habilit s p Liste des connaissances habilit s p oduu UL JUUDUDOUDL IL valuez le niveau d habilit Classement du niveau d habilit Classement du besoin du niveau d habilit au travail Bar me pour l valuation des niveaux de connaissance d habilit Evaluez les niveaux de connaissance habilit en utilisant ce bar me NIVEAU FAIBLE Vu par les autres comme un novice en la mati re A besoin d une supervision et d un
79. lit de la marine nationale Le d ploiement rapide des moyens d interventions semble tre difficile de par la v tust du mat riel et des difficult s financi res Aux niveaux m so et micro ce sont les p cheurs qui s organisent avec des moyens propres pour les diff rentes interventions 3 5 7 Sant et VIH sida Le Minist re de la sant d veloppe des programmes de lutte g n ralis s Les populations de p cheurs ne b n ficient pas de programmes sp cifiques pour le d pistage et la lutte contre le VIH sida 3 6 LA MAURITANIE Des mesures institutionnelles ont t prises au cours de ces derni res ann es en mati re de s curit en mer notamment e La mise en place d un plan national de sauvetage maritime qui sera mis en uvre par un comit national de sauvetage en mer adopt par d cret e L adoption d un d cret portant coordination des moyens de l tat en SAR e La cr ation d un centre d assistance sociale et d appui maritime de la p che artisanale e La cr ation de deux mutuelles une Nouakchott et une Nouadhibou charg es d appuyer les activit s de la p che artisanale en mati re d acquisition d quipements e Le lancement d une tude en vue de la r alisation de trois d barcad res au sud du pays e La finalisation et la d livrance de cartes d immatriculation des embarcations en 2008 Une r flexion est engag e pour mettre en place un syst me d assurance adapt la p che artisanale Les stati
80. lle ne doit pas tre longue dans la narration max 1 minute Le briseur de glace doit avoir rapport au cours et la session 2 Les objectifs il s agit des objectifs du cours de formation ou du s minaire qui sont de loin plus g n raux que les objectifs des sessions qui sont beaucoup plus sp cifiques Les objectifs qu ils soient du s minaire g n ral ou des sessions sp cifiques du s minaire doivent tre mesurables r alisables et courts dans le temps SMART objectives objectifs court terme mesurables et r alisables dans le temps Pour ce faire il est recommand d utiliser des verbes actifs Par ex vers la fin des sessions les participants comprendront On distingue trois types d objectifs d apprentissage a Connaissance o les participants comprendront mais qui n implique pas l habilit de pouvoir faire b Habilit o les participants peuvent faire mais qui n implique pas de changement de comportement c Comportement changement de comportement Apr s avoir bris la glace 1 minute et mis les objectifs d apprentissage au propre 5 minutes il est temps de passer la troisi me tape celle de la livraison du contenu du cours C est ici que le formateur donne son cours sous forme de br ve lecture allant de 20 30 minutes pour une session d une dur e de 1 heure 2 heures noter que l animateur formateur est aussi un gestionnaire du temps des comportements et des discussions noter pro
81. mat riel de s curit Les quipements individuels et collectifs de s curit comme les gilets les r flecteurs radars les feux main les GPS etc n existent pas dans les embarcations de p che artisanale Ce mat riel n est pas disponible localement Les programmes de mise disposition sont inexistants Il Va eu cependant des actions de formation et des campagnes de sensibilisation men es par l ONG ASECMAR 3 5 3 S curit des moteurs Le contr le de la s curit des moteurs n est pas effectif les m caniciens priv s op rent individuellement sur les sites de d barquement Au niveau national il n y a pas de programme ni de centre de formation pour les artisans p cheurs 3 5 4 S curit des quipages M me si les statuts de capitaine et de p cheur sont d finis dans les textes r glementaires le contr le n est pas effectif surtout en ce qui concerne les capacit s de charge des embarcations de type artisanal Cependant le Centre national de la protection et de la surveillance des p ches forme des p cheurs informateurs 3 6 3 5 5 Surveillance participative Elle ne concerne pour le moment que la p che industrielle avec le recrutement la formation et l quipement de p cheurs informateurs dans la zone des 12 miles Elle a comme objectif l identification des navires p chant dans la zone interdite au chalutage 3 5 6 Recherche et sauvetage Au niveau macro la recherche et le sauvetage sont sous la responsabi
82. mat riels en mer D autres d finitions peuvent tre utilis es suivant les contextes c est ainsi que le sauvetage en mer et la gestion des bless s font parties int grantes de la s curit en mer La s curit des embarcations de p che artisanale se situe donc diff rents niveaux qui sont la conception la construction l quipement la conduite et l exploitation Figure 4 Embarcations de type artisanal Soumb dioune Dakar Dans les pays de la CSRP les embarcations sont en majorit construites en bois ceci constitue un premier risque au contact de l eau et pose un r el probl me d entretien et de durabilit Chaque pirogue poss de un quipement propre suivant le type d activit et le nombre de personnes bord Le petit mat riel n cessaire est compos de cordages de 150 200 m tres de long d ancres de pagaies de gaffe et d cope Les embarcations de p che artisanale en bois doivent tre entretenues tous les six mois calfatage et peinture Une boite outils contenant au minimum un marteau des pointes et un morceau de 01 m tre de toile parla pour ventuellement lutter contre les voies d eau 7 1 7 2 quipements sp cifiques 4 la s curit Is concernent les quipements de la pirogue les quipements sp cifiques la s curit de l quipage Figure 5 Gilets de sauvetage Le port du gilet est obligatoire Ne jamais aller en mer sans son gilet de sauvetage m me en temps
83. nduite pour une p che responsable Le Code reconna t l importance de la question de la s curit et traite des conditions de travail de vie de sant d ducation de formation de construction et d quipement des navires de p che de la recherche du sauvetage et de la notification des accidents Avantage caract re souple et non obligatoire Code de l OMI pour les enqu tes sur les accidents et les incidents en mer Il recommande la mise en place d un syst me d enqu tes sur les accidents en mer afin d tablir les circonstances entrant en ligne de compte de faire conna tre les causes de l accident et de formuler des recommandations appropri es concernant la s curit Convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritime de 1979 OMI Les pays c tiers doivent se doter d un Syst me de sauvetage maritime efficace SAR avec un mode op ratoire et des moyens d intervention Recommandations de l OIT en 2007 concernant le travail dans le secteur de la p che Les recommandations concernent les navires de p che commerciale de toutes les tailles op rant dans les cours d eau les lacs ou les canaux l exception de la p che de subsistance et de la p che de loisir e D finition de la responsabilit des armateurs et des patrons de p che e Conditions minimales requises pour le travail bord des navires de p che e Conditions de service des quipages et dur e du repos e Soins m dicaux protection de la sant
84. nnance n 022 2007 du 09 avril 2007 modifiant et compl tant certaines dispositions de la loi n 025 2000 du 24 janvier 2000 portant code des p ches Mauritanie Anonyme 2007 Arr t 2954 du 03 d cembre 2007 relatif limmatriculation des navires de p che artisanale Mauritanie 3 pages Anonyme 1998 Code de conduite canadien sur les pratiques de p che responsable 24 pages Anonyme 1992 S minaire sur la s curit en mer des artisans p cheurs Direction de la protection et de la surveillance des p ches au S n gal 139 pages Anonyme 1954 Manuel de secourisme croix rouge fran aise 304 pages ENEMP 2008 Manuel de cours de formation de formateurs en s curit en mer et co surveillance des p ches en Mauritanie 15 pages CRODT ISRA 2006 Recensement national de la p che artisanale maritime s n galaise 141pages FAO Document technique sur les p ches n 338 1996 Suivi contr le et surveillance de l am nagement des p ches 208 pages FAO 1995 Code de conduite pour une p che responsable Rome FAO 2001 Manuel de formation sur les moyens d existence durables dans la p che projet GCP INT 735 UK 120 pages FAO 2000 Extrait directives et conventions internationales sur la s curit en mer 7 pages Faye Babacar 2007 Cours de navigation et s curit en mer cole nationale de formation maritime Dakar S n gal Faye Mamadou et al 2007 Manuel de formation des commissions de visite technique d
85. nt communiqu es chaque jour la DPSP partir des stations c ti res 3 3 1 Contr le de la s curit des embarcations Un comit technique est mis en place dans le cadre du programme national d immatriculation informatis e des pirogues dans chaque aire de d barquement de la p che artisanale Ce comit est charg de fournir des avis sur l aptitude ou la non aptitude au moment des nouvelles constructions des visites annuelles et des modifications importantes pouvant entrainer des risques pour la stabilit de l embarcation Chaque comit est compos d un p cheur d un charpentier et d un agent de l administration des p ches 3 3 2 Disponibilit du mat riel de s curit Actuellement sur l ensemble du territoire le gilet de sauvetage est disponible Il est subventionn par l tat s n galais et son embarquement est rendu obligatoire par arr t minist riel Pour tout autre mat riel de s curit r flecteurs radars feux de signalisation extincteurs fus es trousses de premiers soins etc un projet d arr t minist riel est en cours 3 3 3 S curit des moteurs Des m caniciens priv s sont disponibles le long du littoral cependant les p cheurs n ont pas la formation requise pour garantir la s curit de l utilisation des moteurs hors bords 3 3 4 S curit des quipages Pour le moment il n y a pas de reconnaissance juridique du statut de capitaine ou de p cheur La formation des artisans p cheurs
86. nts de 20 33 n uds hauteur des vagues de 2 3 m tres e Des avis de coup de vent vents de 34 47 n uds hauteur des vagues de 6 9 m tres e Annonces de temp te vents de 48 63 n uds hauteur des vagues de 9 16 m tres e Annonces d ouragan vents de 64 n uds et plus hauteur des vagues de plus de 16 m tres Un certain nombre de signes peuvent tre consid r s comme annonciateurs d une d gradation des conditions m t o et doivent inciter se mettre rapidement l abri ce sont e Une chute rapide de la pression barom trique e Un changement d orientation du vent e Une d gradation de la visibilit e L apparition ou le passage de certains nuages Figure 49 Cumulo nimbus Cumulo nimbus normes nuages isol s extension verticale sommet largi en forme d enclume de moyenne altitude Intemp ries tr s violentes orages averses gr le foudre Si ge de violents courants verticaux vent de 15 30 m s 9 1 Figure 50 Direction d un orage en mer des orages la pluie la plus forte se produit directement sous le nuage orageux ce qui r duit la visibilit Elle dure de 5 15 minutes Les orages durent normalement moins d une heure Figure 51 Orage en mer La pluie la plus forte se produit directement sous le nuage orageux ce qui r duit la visibilit Elle dure de 5 15 minutes Les orages durent normalement moins d une heure La pluie se produit sous le
87. nuage orageux Figure 52 Trombe marine en entonnoir 9 2 des trombes marines une trombe marine est un entonnoir qui se forme la base du nuage orageux et descend jusqu la surface de la mer Cette trombe peut aspirer l eau elle dure habituellement moins de 15 minutes du brouillard le brouillard est un probl me courant en mer Le danger principal est la r duction de la visibilit la mar e elle peut tre accompagn e d un courant violent le danger vient de la perte de profondeur NB il est utile de conna tre l chelle de Beaufort Douglas et les tables de conversion la hauteur des vagues m tres pieds la pression barom trique millibars kilo pascals pouces Les facteurs les plus importants pour viter qu une embarcation ne chavire sont la pertinence de la conception de l entretien et du chargement du b timent et l exp rience de son capitaine et de son quipage Toutefois ces facteurs peuvent tre contr l s Une embarcation bien con ue ne chavirera pas m me dans les pires conditions si elle est man uvr e de fa on correcte Pr venir les conditions qui rendent l embarcation instable et tre en mesure de reconna tre les signes d avertissement de ces conditions peut pargner des vies Vous devriez constamment faire preuve de vigilance l gard de toute ventuelle perte de stabilit La stabilit d une embarcation de p che est une question tr s complexe 9 2 L tat de la mer L
88. ois niveaux d avancement en mati re de gestion de la s curit des artisans p cheurs Les pays qui disposent d une organisation op rationnelle les pays avec une organisation encore modeste et les pays au stade de mise en place de structures responsables de la s curit 3 1 LA GAMBIE La gestion de la s curit de la p che artisanale en Gambie pr sente des difficult s en ce sens que plus de 75 pour cent des acteurs dans le secteur de la p che sont des trangers Cependant la r vision de la loi des p ches en Gambie pr voit une prise en compte de l ensemble des pr occupations du projet sous r gional sur la s curit en mer La Gambie a enregistr par ailleurs des retards quant la mise en place des quipements s curitaires et d un syst me d assurance au profit des artisans p cheurs Les interventions en cas d accident dans le cadre de la p che artisanale sont assur es par les forces des sapeurs pompiers qui ont des centres de secours et sauvetage dans les grandes aires de p che comme Tanje Gujur et Bakau Le centre de formation de Tanje poss de des locaux mais manque d quipements p dagogiques d outils de formation pour la sensibilisation et de programmes de formation Un programme de sensibilisation sur la s curit en mer pour la p che artisanale a t d velopp en 2000 par les sapeurs pompiers sur l ensemble des sites de p che du pays Cependant il n y a pas de modules de formation sp cifiques pour la s curit
89. on de balises VMS bord des chalutiers e Mise en place de dix 10 stations c ti res de surveillance avec un syst me SMDSM fonctionnel e Acquisition de deux vedettes rapides de surveillance de 20 m tres et quatre de 12 m tres par le Minist re de l conomie maritime e Acquisition d autre mat riel de s curit au profit des artisans p cheurs fus es de d tresse r flecteurs radars trousses de premiers soins compas magn tique etc e Installation sur diff rents sites de d barquement de commissions de co surveillance qui pr voient dans leur composition l ensemble des acteurs impliqu s dans la s curit des personnes et des biens Certains sites de p che importants comme Ouakam Soumb dioune Hann Mboro Ngaparou Nianing sont quip s de radios VHF pour communiquer avec les centres secondaires des p ches et de surveillance install s le long du littoral Le d roulement d une campagne de sensibilisation et de formation des artisans p cheurs sur la s curit en mer entre 2005 et 2006 avec des spots publicitaires des manuels des d bats t l vis s et des affiches Il ya cependant des difficult s pour l instauration d un syst me d assurance pour la p che artisanale du fait de l absence d un cadre juridique propre l activit de p che artisanale la migration des artisans p cheurs et au nombre lev des points de d barquement Les statistiques sur les accidents et les incidents en p che artisanale so
90. on du centre de gravit et chargement 10 2 Facteurs qui influencent la stabilit Nombre de facteurs influent sur la stabilit d une embarcation dans l eau et chaque type d embarcation r agit diff remment aux forces qui la font g ter Les exploitants doivent se sensibiliser la fa on dont la conception et le chargement de leur embarcation interagissent avec les forces ext rieures de la nature et influent sur la stabilit de celle ci Une embarcation convenablement con ue et charg e devrait r sister aux forces qui la font giter lorsqu elle est exploit e dans ses limites environnementales En assiette nulle la force de gravit vers le bas est gale et La flottabilit et la gravit redressent le bateau en oppos e la force de flottabilit ascendante assiette nulle Figure 63 La flottabilit et les forces de g te En ajoutant du poids au dessus du centre de gravit d une embarcation on change sa stabilit Lorsque le centre de gravit est excessivement lev le b timent devient instable 10 3 En cons quence il faut moins de g te pour le faire chavirer Le retrait de poids au dessous du centre de gravit diminue galement la stabilit O Flottabilit j Nouveau centre Q Flottaison Lorsque qu on ajoute un poids au dessus du centre de La flottabilit et la gravit font chavirer le bateau gravit on r duit la capacit de redressement du navire Figure 64 La flottabilit et les forces d
91. on indiquent d autres navires non seulement o vous vous trouvez mais aussi ce que vous tes en train de faire L utilisation correcte de ces feux et signaux est un l ment important de la s curit de la navigation NB Un navire qui fait route est un navire qui n est ni l ancre ni amarr terre ni chou Figure 30 Diff rents feux d un navire en route Les diff rents feux d une embarcation de p che propulsion m canique qui n est pas en train de p cher et qui fait route Les bateaux de p che d une longueur inf rieure 12 m tres peuvent montrer un feu blanc visible sur tout l horizon et des feux de c t au lieu de ceux qui sont indiqu s ci contre Figure 32 Signal de jour Figure 33 Embarcation en train de chaluter et faisant route mais qui n a pas de l erre 8 9 Figure 35 Embarcation en train de p cher autrement qu au chalut faisant route mais n ayant pas de l erre avec son engin de p che d ploy sur une distance horizontale de 150 m tres au plus Figure 36 Engin de p che d ploy sur une distance horizontale sup rieure 150 m tres 8 9 Balisage Le balisage a pour but de signaler au navigateur les limites du chenal et les dangers qui pourraient lui tre invisibles parce que la mer les recouvre Le syst me de balisage de l Association internationale de signalisation maritime A I S M d coupe le monde en deux r gions et B L Afrique est dans la r
92. on la position de l observateur dans tous les points du globe terrestre Conseil traiter par des exercices pratiques qui d pendront des types de GPS disponibles dans la localit concern e La structure du GPS Le GPS est subdivis en trois segments savoir e Le segment spatial il comprend 24 satellites sur 6 orbites 4 satellites gravitant sur chacune d elle e Le segment de contr le il contr le et surveille les satellites partir des stations terrestres Colorado Springs les de Ascension Diego Garcia Iles Marshall Iles Hawa e Le segment utilisateur marins pilotes chauffeurs etc Utilisation du GPS Initialisation et conditions d utilisation 8 2 L initialisation est n cessaire dans les cas suivants e Premi re utilisation GPS neuf e R cepteur d plac hors tension sur plus de 900 km par rapport la derni re position e M moire du r cepteur effac e avec perte de toutes les donn es de la m moire enregistr es Affichage des pages Une fois le GPS mis sous tension la page de bienvenue appara t pendant que le processus du test continue Elle est remplac e aussit t par la page statut Elle nous montre l tat d accessibilit des satellites Le message Ezinit appara t automatiquement si le GPS a besoin d tre initialis Il peut r appara tre en mode d utilisation si l antenne est cach e Progression de l acquisition des satellites Elle se fait en trois tapes e
93. on n est pas encore entr e en vigueur 5 1 5 Convention Internationale de 1977 sur les navires de p che Convention de Torremolinos Premi re convention Internationale sur la s curit des navires de p che Cette convention contient des prescriptions de s curit pour la construction et l quipement des navires de p che pont s long courriers neufs de 24 m tres de longueur ou plus y compris ceux qui assurent galement le traitement des captures Les navires existants ne sont vis s que pour les prescriptions relatives l quipement radio Cette convention n est pas encore entr e en vigueur 5 1 6 Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 Cette convention d finit les droits et les obligations des tats c tiers Tout tat prend l gard des navires battant son pavillon les mesures n cessaires pour assurer la s curit en mer notamment en ce qui concerne e La construction et l quipement du navire et sa navigabilit e La composition les conditions de travail et la formation des quipages en tenant compte des instruments internationaux applicables l emploi des signaux le bon fonctionnement des communications et la pr vention des abordages 5 1 7 Code de conduite pour une p che responsable Le Code reconna t l importance de la question de la s curit et traite des conditions de travail de vie de sant d ducation de formation de construction et d quipement des navires d
94. pique avant d en tirer des conclusions La paraphrase est indiqu e comme une technique de clarification Par exemple Si je vous comprends bien vous dites que ou alors faire un r sum de la mani re dont on entend autrui Evitez de r pondre ou d agir directement aux questions sans les renvoyer la classe en invitant les participants exprimer leurs points de vue sinon pour g rer le temps G rez les perturbateurs les agitateurs qui aussi ont droit l coute Le panier d outils du formateur comprend des lectures de notes un tableau un cran du mat riel didactique des imprim s des prises de notes des tables des blocs de papier des projecteurs des films des vid os des kits questions et r ponses des s ances de d monstrations l organisation de visites des diagrammes t ches la participation des participants etc La pr paration et la conception du cours et des outils de formation exigent un travail ardu et de longue haleine Il est estim qu un formateur normal travaillera de 6 10 heures pour pr parer un cours moyen d une dur e de 60 90 minutes L utilisation des couleurs n en exige pas plus de trois sur une m me page et l aptitude les s lectionner aura une r percussion sur l efficacit de l audiovisuel Bien choisir les couleurs noir bleu rouge vert selon votre but Exemple sur un tableau blanc le noir pour l information g n rale le rouge pour l accent et l alerte
95. pos de la livraison du contenu du Cours Plan de livraison a la probl matique de l expos la position et l importance du th me de l expos 5 min b le contenu g n ral du cours y compris les donn es et l information g n rales sur l expos du th me 15 20 min c les le ons principales et g n rales du cours 5 min et le r sum g n ral du cours 5 min Apr s avoir d livr le contenu du cours vient l tape du processus d apprentissage Ici le formateur facilite les discussions observations questions remarques r ponses etc portant sur le cours qui vient d tre donn La cinqui me tape est celle de l apprentissage g n ral pendant laquelle les participants font ressortir des le ons g n rales Elle comprend des travaux de terrain de la mise en pratique travers des exercices des t ches individuelles ou collectives par des th tres jeu de r le des simulations etc noter les t ches doivent tre claires et bien comprises par les participants avant qu ils ne les entreprennent le formateur doit superviser les participants pendant et tout au long de l ex cution des t ches Application il s agit de la sixi me tape pendant laquelle les participants pr sentent et discutent ensemble les rapports des t ches C est ce stade que les participants tirent des le ons applicables aux situations r elles de leur vie active de chaque jour La septi me tape est celle de l valua
96. qui concerne la gestion de la s curit en mer des artisans p cheurs et des embarcations de transport qui occupent une place tr s importante dans le trafic entre les diff rentes localit s La responsabilit de la s curit des artisans p cheurs incombe la capitainerie de port qui d livre les permis de construction et de navigabilit des embarcations Les statistiques sur les accidents et les incidents en mer sont encore isol es et ceci est d au manque de moyens techniques et financiers Les organisations aux niveaux m so et micro ne disposent pas de locaux et de ressources humaines pour faire la collecte des informations Pr s de 90 pour cent des artisans p cheurs utilisent des embarcations motoris es et sont en majorit des trangers Pour les quipements individuels et collectifs de s curit comme les gilets les r flecteurs radars les feux main les GPS etc il n existe pas encore de magasins sp cialis s pour la vente Aucun programme de dotation en quipements de s curit pour la p che artisanale dans les diff rentes localit s n a t mis en place Au niveau national la co surveillance n est pas encore structur e et r glement e Cependant dans les diff rents sites les p cheurs s organisent pour g rer l exploitation des ressources et la s curit des acteurs Pour ce qui est de la p che responsable au niveau des acteurs la diffusion de l information est encore tr s faible Le code de conduite pou
97. r une p che responsable de la FAO n est pas encore connu de tous 3 4 1 Contr le de la s curit des embarcations La d livrance d attestations de navigabilit et de permis de p che est assur e par la capitainerie de port cependant il n y a pas de contr le de la s curit en mer pour les embarcations 3 4 2 Disponibilit du mat riel de s curit Au niveau du pays les magasins sp cialis s pour la vente de mat riel de s curit sont rares ou inexistants et aucun programme national de mise disposition n est pr vu le contr le est pour le moment impossible 3 4 3 S curit des moteurs Un centre de formation pour la p che artisanale existe Bolama Des modules de formation sur la r paration des moteurs hors bords sont pr vus dans les programmes Cependant on d note un manque de financement pour prendre en charge la formation des p cheurs 3 5 3 4 4 S curit des quipages Le contr le et la reconnaissance du statut de p cheur ne sont pas effectifs Le choix des quipages est la responsabilit du propri taire ou du capitaine En cas d accident la capitainerie de port est l autorit comp tente pour statuer sur les causes et d terminer les responsabilit s 3 4 5 Surveillance participative Dans les diff rents campements de p cheurs il y a des formes d organisation sans implication de l administration Pour le moment la co surveillance n est pas encore entr e dans le syst me de gestion des p ches et
98. rection Les courants sont des mouvements de particules d eau de mer lls sont caract ris s par leur vitesse horizontale et leur direction compt e de 0 360 et dans le sens o porte le courant 8 10 2 Les vents Le ph nom ne des vents c tiers est li au d placement des masses d air sous la chaleur L air chaud se dilate et devient plus l ger il a donc tendance s lever Le jour comme la mer est plus lente se r chauffer que la terre l air situ sur la terre s l ve ce qui fait un appel d air de la mer vers la terre on appelle cela la brise thermique Ce ph nom ne s inverse la nuit lorsque la mer met du temps perdre sa chaleur contrairement la terre Lez brises THE MIQUEE Terre froide er Chaude Le jour Terre Chaude fer froide Figure 48 D placement des masses d air et r chauffement 8 16 9 LA M T OROLOGIE La m t o est un facteur tr s important dans la s curit les activit s de p che et la biologie des animaux marins 9 1 La m t o On peut obtenir les bulletins m t orologiques maritimes en e Consultant les services officiels de m t orologie e Suivant les m dias e coutant les stations radio c ti res e Consultant le syst me portuaire de signalisation m t o Les bulletins m t orologiques maritimes comprennent quatre types d avertissement de conditions dangereuses e Des avertissements aux petites embarcations ve
99. s jour et ou l environnement Voici un exemple d une liste de v rification qui pourrait tre utilis e pour une embarcation moteur V rification de la m t o Inspection de l embarcation V rification des r serves de carburant d eau et de nourriture Pr paration et remise d un plan de route lieu de p che liste quipage Embarcation bien charg e Indiquer l quipage l emplacement des gilets et autres quipements quipements obligatoires Gilet de sauvetage appropri pour chacun Dispositif propulsion manuelle ou ancre cope ou pompe main Dispositif de signalisation sonore Feux de navigation conformes R gl abordages Ligne d attrape flottante min 15 m tres Lampe de poche tanche ou 3 pi ces pyrotechniques Extincteur AB Autres quipements Carte marine et compas Trousse d urgence et manuel d entretien du moteur APPENDICE 4 LE M TIER DE FACILITATION OU ANDRAGOGIE L andragogie consiste comprendre comment la mani re dont les adultes se forment alors que la p dagogie consiste l enseignement des enfants pour l avenir noter les adultes s int ressent moins la th orie qu la pratique Donc ils s int ressent l application imm diate et directe Les avantages de l andragogie Elle permet et encourage une implication active des participants Elle encourage la personne qui apprend faire valoir des exp riences v c
100. s concern et doit s adapter au contexte local il doit tre volutif La vulgarisation du Code doit se faire en collaboration avec les organisations professionnelles et les acteurs la base qui doivent tre inform s des ventuelles modifications 4 8 BESOINS PARTICULIERS DES PAYS EN DEVELOPPEMENT Les pays en d veloppement ont des r alit s sp cifiques notamment la lutte contre la pauvret et la sous alimentation Ces aspects doivent tre pris en compte avec la mise en place d activit s g n ratrices de revenus 4 9 Biologie et environnement Les poissons ont des aires de reproduction aires de ponte qui sont des endroits particuliers o r gnent des conditions favorables au d veloppement des juv niles Exemple la mangrove Des aires d alimentation nourriceries pour chasser des proies et s alimenter Des aires de dispersion pour chapper aux pr dateurs et effectuer des migrations Certaines esp ces sont au fond ce sont des esp ces d mersales d autres sont en surface ce sont des esp ces p lagiques 4 10 Protection de l environnement et des ressources La protection des habitats c tiers est n cessaire pour garantir une exploitation durable des ressources biologiques Les agressions de l environnement peuvent modifier les cycles de reproduction des esp ces Il faut lutter contre toutes les formes de pollution 4 3 4 11 La biodiversit et sa conservation Qu est ce que la biodiversit Comment la
101. s et des efforts entrepris pour prendre en charge la s curit et la sant des artisans p cheurs Le constat global est l int r t que les autorit s des pays cibles accordent la s curit dans ce sous secteur important de la p che qui renferme des acteurs dont les moyens d existence sont tr s fragiles De fa on g n rale l acc s aux quipements de s curit reste encore tr s limit du fait des co ts lev s et de l absence de magasins sp cialis s dans le circuit de distribution TABLE DES MATI RES PE ONE A III TABLE DES MATI RES a a O a IV ACRONY ME S SR a NAN EEN NNN VIII l REMERCIEMENT Sarona E AEE AN 1 1 2 UTIEISATION DU MANUE Disien en a T T E O E ETNEA 2 1 3 LA SITUATION DE LA S CURIT DE LA P CHE ARTISANALE 3 1 SE EACAMBDIE RP e a a Na 3 1 3 1 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 1 3 12 Disponibilit du mat riel de s curit singe int 3 2 3 1 3 SCCA Ee ES MOUS esra entre Mental ee tr tie 3 2 3 1 4 Sce rte des UIPASES AR Ne en RS fe AN ne 3 2 3 1 5 SUEVENIANES parici paN SR Tee M er a 3 2 3 1 6 R CH rCNE LAVE AS AR nn te E 3 2 3 1 7 SLA LL PAST E SO S E E O A E E E O T 3 2 3 LAST RRATT TON oeroet e I E E E T ri 3 2 32 Contr le de la s curit des embarcations 3 2 3 2 2 DisSponibiht dum t riel d S curit 5h hentai 3 3 3 2 3 S CHELLE des MOUSE nn NN nine Ne en nts 3 3 3 2 4 Securite des UIDAS S rer RER NE A LEE A RE M SOUS 3 3 3 25 Surv
102. s sans l autorisation crite du d tenteur des droits d auteur Les demandes d autorisation devront tre adress es au Chef du Service des publications Division de l information FAO Vial delle terme di Caracalla 00100 Rome Italie ou par courrier lectronique copyright fao org FAO 2008 R SUM Ce Manuel de formation sur la s curit en mer pour la p che artisanale a t labor dans le cadre du projet GCP GLO 200 MUL de la FAO II a servi de document de base pour la formation de formateurs en s curit en mer pour la p che artisanale dans six pays appartenant la Commission sous r gionale des p ches CSRP qui sont la Gambie la Sierra L one le S n gal la Guin e Bissau la Guin e et la Mauritanie Les modules qui y sont propos s couvrent des aspects comme la r glementation internationale sur la s curit en mer la navigation maritime la surveillance participative la s curit des embarcations etc renferme en outre des concepts et des approches initi s dans les pays d Afrique de l ouest ayant une tradition de p che maritime et o l embarcation utilis e pour les activit s de p che reste encore pour l essentiel la pirogue traditionnelle construite en bois monoxyle ou assembl Dans ce manuel figurent galement les diff rents niveaux d appr ciation de la s curit en mer pour la p che artisanale constat s par les auteurs au cours des diff rents ateliers organis s dans les pays concern
103. st me de cr dit disponible aux p cheurs pour l achat de mat riel de s curit en mer 3 1 3 S curit des moteurs Dans chaque site de d barquement il y a des ateliers priv s pour la r paration et l entretien des moteurs hors bords Il n existe pas de modules sp cifiques de formation pour les m caniciens des moteurs hors bords pas plus que pour les capitaines Chaque p cheur s occupe de l entretien de son moteur avec les connaissances de routine qui parfois ne sont pas conformes aux recommandations du constructeur 3 1 4 S curit des quipages Il n existe pas pour le moment une professionnalisation du m tier d artisans p cheurs Ce fait r sulte de l absence de centres de formation Les connaissances d tenues sont empiriques et se transmettent de p re en fils Il s y ajoute les croyances mystiques et la culture de bravoure qui parfois prennent le dessus sur la gestion moderne des probl mes s curitaires port du gilet utilisation de la radio pour communiquer et de GPS pour le positionnement etc 3 1 5 Surveillance participative Au niveau de chaque site de d barquement les organisations professionnelles en relation avec les agents de l administration p che sapeurs pompiers police douane assurent la gestion participative des p ches et de la s curit Cependant il ny a pas de textes r glementaires pour la reconnaissance juridique des commissions et des brigades de surveillance 3 1 6 Recherche et sauvetage
104. stiques sur les accidents et les incidents en mer sont collect es par le Centre de coordination et sauvetage en mer CCSM qui tient jour une base de donn es destin e cet effet 3 6 1 Contr le de la s curit des embarcations Pour des imp ratifs de conservation de la ressource la flotte artisanale est fix e 4 022 unit s dont chacune est tenue d tre immatricul e pour avoir acc s la ressource travers la d tention d une licence de p che en fonction des options de p che pratiqu e La construction des embarcations depuis la pose de la quille jusqu la mise l eau n est pas suivie par l autorit Toutefois au moment de l immatriculation les caract ristiques techniques de l embarcation sont requises Arr t R 2954 MP du 03 d cembre 2007 Les structures comp tentes en mati re de contr le des embarcations sont la DSPCM et la brigade maritime gendarmerie nationale L Arr t R 033 du 26 janvier 1994 fixe les titres de navigation de p che et les conditions minimales de s curit exig s pour les navires et embarcations de p che artisanale Il comporte en annexe les listes de mat riel d armement et de s curit qui doivent tre obligatoirement bord des navires et embarcations de p che artisanale 3 6 2 Disponibilit du mat riel de s curit Compte tenu de la chert du mat riel de s curit et de l absence d une demande locale il n existe pas de magasins Des campagnes de distribution de gil
105. tat de la mer est tr s changeant au cours de la journ e Portez une attention sp ciale aux situations suivantes Figure 53 Embarcation et mer de travers mer de travers dans une mer de travers un roulis excessif peut cr er une g te dangereuse qui pourrait faire chavirer le navire De fortes vagues d ferlantes pourraient aussi le faire chavirer ATTENTION viter que l embarcation soit de travers au vent quand elle est immobile 9 3 Figure 54 Embarcation et mer de l arri re mer de l arri re dans une mer de l arri re une embarcation peut perdre sa stabilit sur la cr te d une vague Si l embarcation est rattrap e par la vague elle peut faire une embard e Figure 55 Embarcation et mer de la hanche 9 4 10 LA STABILIT E DE L EMBARCATION La stabilit d signe l aptitude d une embarcation rester droite dans l eau et pouvoir revenir sa position initiale lorsqu elle est momentan ment inclin e De tous les types d accidents les naufrages et les chavirements caus s par une perte de stabilit sont les plus susceptibles de se traduire par des pertes de vies humaines en mer Nombre de ces accidents auraient pu tre vit s si les exploitants avaient pris les pr cautions n cessaires et observ les avertissements Une embarcation bien con ue r sistera aux risques de naufrage ou de chavirement par mauvais temps si elle est exploit e convenablement Pour r duire la probabilit de ces
106. tatives FAO OIT OMI pour la conception la construction et l quipement des navies dep chede pente THAINI sn NM r a r a 5 1 sA Document destin servir de guide pour la formation des p cheurs et la d livrance des brevets FAJVOITOM baran a a e a a A E 5 1 5 1 3 Convention internationale sur la s curit des vies humaines en mer SOLAS 5 1 5 1 4 Convention internationale de 1995 sur les normes de formation de d livrance des brevets et de veille des personnels des navires de p che STCW 95 EF iii 5 2 DES Convention Internationale de 1977 sur les navires de p che Convention de Torremolinos 5 2 5 1 6 Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 5 2 Se Code de conduite pour une p che responsable 5 2 5 1 8 Code de l OMI pour les enqu tes sur les accidents et les incidents en mer 5 2 5 1 9 Convention internationale de OMI sur la recherche et le sauvetage maritime de 1979 5 2 5 1 10 Recommandations de l OIT en 2007 concernant le travail dans le secteur de la p che 5 3 A R SI MERATONHAIONMALS ess SAS Sn RM D te te 5 3 6 SURVEILLANCE PARTICIPATIVE sens 6 1 6 Concept d surveillance DATUCIDAUVE 0 nominale lente tani en 6 1 6 2 Composition d une commission de co surveillance ss 6 1 6 3 Domaines d intervention d une brigade de co surverllance nnsosssssssssoooeeeeessssssssssssssssssseeerreesssssss 6 1 6 3 1 ENO Ea N E ni Unne ennnNenin 6 2 6 3 2 A e 6 2 6A
107. tion par les participants des objectifs d apprentissage d j fix s Ont ils t atteints ou non et qu en est il de leur suivi Des techniques de facilitation l andragogie met beaucoup plus l importance sur la n cessit d impliquer les participants dans le processus d apprentissage C est l l importance et le r le du formateur en tant qu animateur dans le processus d apprentissage C est pourquoi le formateur animateur doit tre Moins protecteur de ses propres opinions et convictions que d autres types de ma tres et professeurs Plus capable d couter les participants surtout lorsqu ils expriment leurs sentiments Capable d accepter et de contenter les perturbateurs promoteurs d id es nouvelles et cr atrices qui mergent d entre les participants Le formateur animateur tendance tre beaucoup plus attentif aux rapports qu il tisse avec les participants concernant le contenu du cours Il est capable d accepter les commentaires et suggestions feedback qu ils soient positifs ou n gatifs et capable de les utiliser d une mani re constructive Dans le processus de facilitation on doit viter la n gation les affirmations h tives des autres ne jamais frustrer ou distraire les participants Il doit toujours revenir sur et clarifier les notions probl mes questions observations remarques avant d agir ou de r agir Il est recommand d encourager plusieurs participants s exprimer sur le m me to
108. ts et en quantit suffisante visite de partance avec un quitus du Service des p ches et de la surveillance Les p cheurs qui embarquent dans les pirogues de mar es doivent justifier d une bonne sant physique Le capitaine doit avoir des notions l mentaires en secourisme et premiers soins Les premiers soins peuvent faire la diff rence entre la vie et la mort Il faut encourager les p cheurs suivre un cours de secourisme 12 SUIVI CONTR LE ET SURVEILLANCE Le suivi le contr le et la surveillance participent au renforcement de la gestion de la ressource et l am lioration de la s curit de la p che artisanale 12 1 R gles et m thodes de contr le Le contr le est une op ration de v rification et de constatation de la conformit la r glementation en vigueur de l activit de p che des documents des quipements et des produits 12 1 1 Contr le de l embarcation Le contr le de l embarcation doit porter sur La zone de p che Les quipements de s curit Le permis de p che Les titres de navigation Le certificat d immatriculation Le mat riel de p che Figure 67 Embarcation de p che artisanale en activit 12 1 2 Inspection et contr le des captures Conformit entre les engins et les captures bord de l embarcation Conformit des tailles et des poids suivant la r glementation Pr sence de juv niles bord etc 12 1 12 1 3 Utilisation pratique du mat r
109. u es de balisage coordonn es g ographiques Ce territoire peut tre une zone interdite une r serve une aire marine prot g e une zone d exploitation r serv e une zone de reproduction ou simplement une aire communautaire 6 3 2 terre La brigade peut pour des raisons d efficacit ou de moyens limit s effectuer des contr les le long des plages exemple cas de la lutte contre l extraction du sable marin sur les sites de d barquement exemple cas des crevettes immatures ou du non respect des quotas sur les sites et dans les usines de traitement et de transformation exemple les esp ces immatures et ou la salubrit aux points de vente des produits de la p che de leur localit exemple esp ces issues de la p che l explosif Des actions de sensibilisation sur la s curit en mer doivent tre men es aupr s des familles de p cheurs pour d clencher les premi res alertes afin de faciliter les recherches en cas de non retour de p cheurs sortis en mer Le paragraphe 12 1 explique en d tail la proc dure suivre pour rendre le contr le efficace 6 4 Moyens techniques d intervention En plus des moyens humains que sont les membres de la brigade de co surveillance d autres moyens sont n cessaires savoir o Moyens mobiles embarcations zodiaque etc o Mat riel de contr le GPS cartes instruments de mesures etc Figure 3 Des moyens humains pour une bonne surveillance participative 6
110. udre les difficult s Le syst me d autocontr le peut s av rer efficace s il ne favorise pas les int r ts d un groupe Les professionnels doivent trouver un cadre formel et largi de r flexion pour participer la prise en charge de l ensemble des pr occupations des acteurs 4 4 Code de conduite et son application La p che est une source majeure de nourriture le d veloppement apr s la deuxi me guerre mondiale a engendr des inqui tudes au sujet de l puisement des ressources Malgr les dispositions de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer MONTEGO BAY 1982 qui a impos aux tats de mieux g rer les ressources de leurs ZEE la surexploitation des ressources halieutiques est demeur e C est dans ce contexte qu en 1995 la FAO a recommand un Code de conduite pour une p che responsable Ce code a un caract re non obligatoire Le Code d finit des principes et des normes internationaux de comportement pour garantir des pratiques responsables en vue d assurer correctement la conservation la gestion et le d veloppement des ressources bio aquatiques dans le respect des cosyst mes et de la biodiversit 4 1 4 5 Objectifs sp cifiques du code de conduite La p che y compris l aquaculture apporte une contribution fondamentale l alimentation l emploi aux loisirs au commerce et au bien tre conomique des populations du monde entier qu il s agisse des g n rations pr sentes ou futures
111. ues dans le processus d apprentissage en vue de revoir l acquis travers de nouvelles donn es des nouvelles probl matiques Elle facilite un climat d apprentissage beaucoup plus coop ratif Formateur Form et non Ma tre l ve Elle entraine une programmation participative contrairement la p dagogie L valuation conduit appr cier les acquis en vue de revoir les nouvelles activit s d apprentissage Les activit s sont empiriques et non transmises consomm es ou banqu es pour l avenir contrairement la p dagogie traditionnelle qui consiste l enseignement pour l avenir L Andragogie en tant que m thode reconna t le cycle d apprentissage empirique cycle d apprentissage par exp rience comme technique de formation qui utilise les sept tapes suivantes 1 Un climat d apprentissage favorable climat ambiant Brisez la glace Briseur de glace 2 Mise au point des objectifs d apprentissage 3 Livraison du contenu du cours de formation 4 Processus de digestion du cours 5 Apprentissage et le ons tir es du processus de digestion 6 Application sur le terrain 7 L valuation des apprentissages et le suivi noter 1 On qualifie le climat d apprentissage de briseur de glace souvent sous forme d une blague ou d une petite histoire Attention cette blague qui aide briser la glace climat ambiant premi re tape du cycle ne doit frustrer ni viser personne parmi les participants e
112. vetage 3 1 7 Sant et VIH sida 3 2 LA SIERRA L ONE 3 21 Contr le de la s curit des embarcations 322 Disponibilit du mat riel de s curit 3 23 S curit des moteurs 3 2 4 S curit des quipages 25 Surveillance participative 3 2 6 Recherche et sauvetage 327 Sant et VIH sida 3 3 LE S N GAL 3 3 1 Contr le de la s curit des embarcations 33 2 Disponibilit du mat riel de s curit 3 3 3 S curit des moteurs 3 3 4 S curit des quipages 3 3 5 Surveillance participative 3 3 6 Recherche et sauvetage 3 31 Sant et VIH sida 34 LA GUIN E BISSAU 3 4 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 4 2 Disponibilit du mat riel de s curit 3 4 3 S curit des moteurs 3 4 4 S curit des quipages 3 4 5 Surveillance participative 3 4 6 Recherche et sauvetage 3 4 7 Sant et VIH sida 3 5 LA GUIN E 3 5 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 52 Disponibilit du mat riel de s curit 3 5 3 S curit des moteurs 3 5 4 S curit des quipages 329 9 Surveillance participative 3 5 6 Recherche et sauvetage 3 5 7 Sant et VIH sida 3 6 LA MAURITANIE 3 6 1 Contr le de la s curit des embarcations 3 6 2 Disponibilit du mat riel de s curit 3 6 3 S curit des moteurs 3 6 4 S curit des quipages 3 6 5 Surveillance participative 3 6 6 Recherche et sauvetage 3 6 7 Sant et VIH sida Mat riel de formation Autres supports e Manuel de formation EEE EE EE Te
113. vous assurer l appui d un utilisateur av r 8 7 R gles de barre et de route Le r glement international pour pr venir les abordages en mer s applique tous les navires en haute mer et dans toutes les eaux attenantes accessibles aux navires 8 7 1 G n ralit s D finition du navire le terme navire d signe tout engin ou tout appareil de quelque nature qu il soit y compris les engins sans tirant d eau les navions et les hydravions utilis s ou susceptibles d tre utilis s comme moyen de transport sur l eau R gle 3 8 3 Par cons quent l embarcation de p che artisanale est consid r e comme un navire En navigation les routes n tant pas trac es comme au sol le danger peut venir de toutes parts C est pourquoi il faut observer une veille constante et attentive c est dire exercer une surveillance visuelle permanente de tout l horizon ainsi qu une surveillance auditive constante R gle 5 Il faut adopter en permanence une vitesse de s curit telle qu on puisse arr ter l embarcation sur une distance adapt e aux circonstances et conditions existantes R gle 6 Tout navire doit utiliser tous les moyens disponibles qui sont adapt s aux circonstances et conditions existantes pour d terminer s il existe un risque d abordage S il y a un doute quant au risque d abordage on doit consid rer que ce risque existe R gle 7 Toute man uvre entreprise pour viter un abordage doit si les circonstances le p
114. xtes r glementaires disponibles oo O Photos o G O OT ES O T moignages des acteurs o 1 Avant Fiche de guide du formateur N 02 r 2 En mer L AMENAGEMENT DES PECHES LE 3 Apr s Contenu du module Objectifs du module Prendre conscience de l importance de la p che artisanale Conna tre ce qu on entend par p che responsable tre capable de transmettre aux p cheurs les notions de p che responsable laborer des guides de bonnes pratiques de p che responsable avec les p cheurs Dur e 2 jours 4 L AM NAGEMENT DES P CHES 4 1 Qu entend on par p che responsable 42 Am nagement et gestion des p ches 4 3 R le de l admimistration et des professionnels 4 4 Code de conduite et son application 4 5 Objectifs sp cifiques du code de conduite 4 6 Nature et port e du code de conduite 4 7 Application suivi et actualisation du code 4 8 Besoins particuliers des pays en d veloppement 4 9 Biologie et environnement 4 10 Protection de l environnement et des ressources 4 11 La biodiversit et sa conservation 4 11 1 La biodiversit 4 11 2 Conservation de la biodiversit Mat riel de formation Autres supports Manuel de formation O OSS e Vid os S e _ Manuel de formation U e Vid os e Code de Conduite FAO CCPR s lections EE changes entre participants ooo o OSO O 1 Avant Fiche de guide du formateur N 03 4 r 2 En mer LA REGLEMENTATION SUR LA SECURITE EN M
115. ys de la CSRP est confi e au secteur priv Il n y a pas de formation sp cifique de r parateurs les ateliers de r paration sont quip s avec des moyens de fortune Pour certaines pannes les p cheurs sont autant outill s que les m caniciens Il faut noter que la puissance d un moteur doit tre conforme la taille et la capacit de chaque embarcation Le capitaine de chaque embarcation ou le m canicien de bord doit tre capable de faire les actions suivantes 7 3 1 M lange carburant huile Pr parer le m lange avant sa mise dans la caisse Mettre l huile puis l essence dans la caisse et m langer en secouant le tout Pourcentage Huile essence v Eviter d utiliser une huile diff rente que celle indiqu e par le constructeur Phase de rodage 1 25 v L insuffisance d huile peut entra ner les grippages du piston Normal 1 100 1 50 v L exc s d huile peut provoquer une mauvaise combustion d p t de calamine Figure 9 Rapport huile essence pour machine hors bord 7 3 2 V rification du syst me combustible Les fuites au carburateur la pompe la caisse aux tuyaux et au filtre etc doivent tre v rifi es Carburateur Figure 10 Circuit du syst me de combustion d un moteur hors bord 7 4 7 3 3 Vidanger et remplacer lhuile de lembase Il est parfois n cessaire de remplacer l huile d embase les tapes sont les suivantes Relever l g rement le moteur Placer un bac

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