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Bulletin n°39

1. 53 Maintenance and Reengineering URL http wWww dsi unifi it nesi csmr98 ADPM 98 3 me conf rence internationale sur 19 20 mars 1998 Reims l Automatisation des Processus Mixtes wWmATM Internatonal workshop on wireless mobile ATM 6 10 avril 1998 Hangzhou implementation URL http members aol com wmatm watm98 htm JDIR 98 Journ es Doctorales Informatique et R seaux 27 29 avril 1998 Paris URL http www rennes enst bretagne fr bourges jdir98 Devant l accroissement des annonces de conf rences et des demandes de publications dans le bulletin le CA de Specif s ance du 4 avril 1996 a d cid d appliquer les r gles suivantes conf rences de jeunes chercheurs publication de l annonce limit e une page Envoyer le document par e mail en format word binhex interpretable par un Mac rtf ou latex autres conf rences renvoi sur URL et maintient de la liste sous la forme pr sent e ci dessus Envoyer par mail le titre la date le lieu et l URL Envoyer les documents Christian Carrez par e mail carrez cnam fr 54 Fonctionnement de l association Convocation l Assembl e g n rale Appel de candidature Membres sortant du CA en 1997 Calendrier des r unions Conseil d administration du 3 avril 1997 Conseil d administration du 26 juin 1997 Bulletin d adh sion 1997 liste des correspondants Assembl e G n rale de Sp cif Vous tes convi e la r union de l
2. la classe exceptionnelle le taux est celui calcul partir des promotions effectivement obtenues par la section 5 pour 200 promouvables vers le 1er chelon et 3 pour 18 promouvables vers le 2 me chelon Calcul effectif du nombre de promotions Pour la voie 1 un peu moins de 50 des promotions sont r parties entre les tablissements proportionnellement leurs promouvables Cette ann e le minist re n a pas attendu la fin de la phase locale pour d terminer le nombre de promotions pouvant tre attribu es par le CNU et les ventiler entre les sections proportionnellement aux promouvables Il n y a donc pas eu de correction apr s la phase locale Le taux cnu indiqu dans le tableau ci dessous est le nombre de promotions pour 100 promouvables Le taux r el est celui qui r sulte de l ensemble des promotions obtenues par la section Le tableau permet de constater que la section a cette ann e encore t assez d favoris e par les promotions locales de professeur 1 re classe MCF Tre classe 24 0 MCF Hors classe 24 PR Tere classe Pour la voie 2 les effectifs tant tr s faibles le minist re a sugg r une n gociation avec les autres sections du groupe Cette n gociation a t men e propos des deux voies 2 et 3 Le r sultat est donn dans la derni re colonne MCF Tre classe MCF Hors classe 4 03 0 PR Tere classe if 06 o Pour la voie 3 le minist re a d fini le nombre de promotions pos
3. 1990 Nice 1994 Comme les pr c dentes elles visent permettre un maximum d changes p dagogiques sur l enseignement de l informatique en Deug Plus particuli rement cette ann e et dans la perspective de la nouvelle r forme universitaire un objectif est de favoriser l mergence d une position de fond sur la place de l informatique dans les diff rentes mentions du DEUG Sciences et Technologies Une r ponse commune cette question clairement affirm e des universitaires informaticiens aurait pour avantage de faciliter le d veloppement de l informatique en Deug de mani re harmonieuse au del de la diversit des sites et de l volution des structures universitaires A cette fin et l initiative de Sp cif un groupe de travail a pr par un texte de proposition d une plate forme pour l informatique dans le Deug Sciences et Technologie que vous trouverez dans ce bulletin Les journ es seront ainsi organis es sous forme de d bats et d ateliers selon deux axes e L examen et l amendement du texte pr liminaire de plate forme en esp rant aboutir sur une position refl tant le plus large consensus e Des changes concrets permettant d clairer des questions g n rales comme par exemple Les contenus des enseignements quels objectifs Faut il laborer un programme national normatif Comment laborer les enseignements Quel contenu pour quelle mention R partition entre m thodes pratique fondement
4. assembl e g n rale Il est donc n cessaire de faire acte de candidature C est ce que nous vous demandons ici Tout membre actif peut tre lu au Conseil d Administration Pour faire acte de candidature il suffit d adresser au secr taire la feuille de candidature apr s l avoir remplie Si tel est le cas merci de nous indiquer par courrier lectronique avant le 5 septembre 1997 votre intention de candidature Merci ceux qui mesurant l int r t de l association pour la Communaut Informatique acceptent de participer son administration Le Secr taire Note Est membre actif de SPECIF tout doctorant enseignant ou chercheur en Informatique de l enseignement sup rieur ou d un organisme de recherche publics jour de sa cotisation 200 Fr La cotisation peut tre jointe l acte de candidature Candidature adresser au Secr taire de SPECIF au plus tard le 30 Septembre 1997 merci de vous manifester par courrier lectronique avant le 5 septembre 1997 M RIVEILL INRIA 655 av de l Europe 38330 Montbonnot St Martin T l phone 04 76 61 52 55 T l copie 04 76 61 52 52 Messagerie Michel Riveill univ savoie fr 56 SPECIF Candidature au Conseil d Administration AGO du 27 11 97 Date limite de d p t des candidatures 30 Septembre 1997 NOM Pr nom PrOf SSION hands menti ile a Adresse professionnelle tsunami diner d clare tre candidat au Conseil d Administration de SPECI
5. 05 05 02 02 04 04 03 03 01 04 05 02 02 02 02 03 05 03 04 04 42 42 22 41 90 59 81 56 56 56 98 31 79 73 44 80 69 76 90 62 96 35 43 20 55 21 72 78 de 96 93 82 73 84 46 66 84 84 80 01 45 75 40 23 39 47 82 93 93 48 49 83 43 45 97 44 18 SPECIF au 14 juillet 1997 tri par zone 14 90 76 53 35 32 64 69 60 63 60 59 88 74 44 58 74 72 86 82 43 60 32 45 73 00 81 64 96 43 86 85 13 01 54 08 81 36 66 66 47 35 89 81 69 64 93 84 82 34 16 11 36 35 46 49 43 66 Fax 04 04 03 02 04 05 03 02 02 04 03 03 01 04 05 02 02 02 02 03 05 03 04 04 42 42 22 41 90 59 81 98 31 79 44 80 69 76 90 62 96 35 43 20 55 21 72 78 28 93 82 73 84 46 66 01 45 75 23 39 47 44 93 93 48 47 83 43 45 97 43 33 08 90 76 53 35 32 64 66 58 88 44 50 70 66 86 82 13 20 35 43 73 95 13 16 00 74 54 52 00 29 50 43 14 88 77 69 08 75 43 60 20 33 65 35 15 95 27 15 Email bartoli romarin univ aix fr feneuile romarin univ aix fr Didier Ferment sc u picardie fr jb univ angers fr gilles univ avignon fr Marcel Dubouel iutbay univ pau fr tati comte univ fcomte fr zielonka labri u bordeaux fr Yves Metivier labri u bordeaux fr Pierre
6. Conseil d Administration Samedi 29 novembre de 9h 12h 58 CONSEIL D ADMINISTRATION du 3 avril 1997 Jussieu Compte rendu par Denis Lugiez Ont particip Membres A BETARI O BAUDON C BELLISSANT C CARREZ B COULETTE M DAUCHET J M FEDOU M HABIB D HERIN D HERMAN B HEULLUY D KROB D LUGIEZ O MILLET BOTTA A MONTANVERT A PETIT P PONCELET M RIVEILL F SEDES J VOIRON 0 Ordre du jour I Compte rendu des r unions IT Deug II Fili re technologique IV Agreg Capes V Serveur Pedagogique VI Bulletin VIL D l gu s I Compte rendu des r unions Rencontre avec Rigo et Gagnepain discussion sur GDR PRC deja p rim e l poque du CA Rencontre avec Hardouin en concertation avec M Lamure pr sident du CNU 27 Discussion sur les dossiers agreg capes et premier cycle Les points de vue d fendus sont l importance de l informatique dans la soci t son peu de visibilit dans le secondaire sa place trop faible dans les deugs et que l informatique est une science caract re technologique Points annexes le minist re se pose des questions sur le fonctionnement des commissions de sp cialistes la mobilit Recontre avec le club EEA Une proposition d action commune semble se dessiner Certains membres du CA font remarquer que les inter ts de l informatique et de l EEA ne sont pas les m mes et que le rapprochement peut tre p rilleux Rencontre avec Flamme voir f
7. Il n y a pas de diff rence significative entre les promus car le faible taux de promotions implique qu elles soient accord es ceux qui sont dans le syst me depuis un temps certain voie MCF1 gt MCFHC effectif ge OE A re moyen T 3 D a a Passage PR2 vers PRI La diff rence entre l anciennet th orique et l anciennet officielle est due essentiellement l activit du candidat souvent comme ma tre de conf rences avant sa nomination dans le corps L essentiel des professeurs est en voie 1 Les faiblesse des effectifs des candidats des voies 2 et 3 ne justifie pas de distinguer entre les voies et le type de promotion On constate que les promus ont une anciennet officielle plus grande PR2 gt PRI effectif ge OOOO S onp moyen Passage PRI vers PRCEI La diff rence entre l anciennet th orique et l anciennet officielle est due essentiellement l activit du candidat dans la seconde classe PR1 gt PRCEI effectif ge groupe moyen officielle candids 68 5325 a 823 26 On constate que les non candidats sont cette fois proportionnellement plus nombreux et peine plus jeunes que les candidats Les promus ont une anciennet plus grande Par rapport 1996 on constate une augmentation de 1 an de l anciennet cons quence directe de la faiblesse du nombre de promotions mais l ge et l anciennet des promus est la m me Semestres sabatiques 2 semestres Nihal P
8. Pierre Burgevin burgevin irisa fr 27 33 33 38 32 40 SAINT ETIENNE Informatique num rique O Gipouloux gipoul univ st etienne fr STRASBOURG I U Louis Pasteur ULP Informatique http www ulp u strasbg fr Michel Kretz kretz dpt info u strasbg fr Guy Ren Perrin perrin icps u strasbg fr 18 18 18 18 22 24 STRASBOURG II USHS Images de synth se appliqu es la communication G rard Toninato toni u strasbg fr 10 15 10 15 20 20 51 TOULOUSE I U des Sciences Sociales UT1 Ing nierie et Gestion des Syst mes d Information IGSI CCI Fran ois Morin UT1 Chantal Soul Dupuy UT1 soule irit fr x x 28 28 30 31 24 Syst me d information et d aide la d cision SIAD CCI avec INPT Marie France Barthet UT 1 barthet univ tlsel fr Michel Alquier INPT 19 19 19 20 22 24 19 TOULOUSE II U de Toulouse Le Mirail UTM Sciences cognitives et interactions homme machine Marine Informatique statistique math matiques appliqu es la gestion de la production Marc de Coligny Caroline Thierry TOULOUSE I TOULOUSE III Architecture des syst mes d information et de communication ASIC Guy Raynaud UPS raynaud irit fr Gilles Zurfluh UT1 zurfluh irit fr 19 19 23 23 24 24 24 TOULOUSE III U Paul Sabatier UPS Informatique fondamentale Jean Vignolle vignolle irit fr 11 11 15 15 17 17 17 Intelligence artificielle reconnaissance des formes robotique IRR Michel Courdesses cou
9. discussion avec des partenaires industriels pourraient devenir un axe national voir le comit interminist riel de la recherche et mener terme un tr s vaste projet de R seau national de la recherche en t l communications projet qui se d cidera au plus haut niveau Microsyst mes Gagnepain e G nie des proc d s Bernier e Chimie catalytique Bernier avec pr sence de SPI e Mat riaux Bernier avec environ 1 3 de participation SPI e Ultimatech Br chignac e Mod lisation et simulation num rique Br chignac Pour donner un ordre de grandeur Ecodev repr sente 21 MF sur 3 ans Syst mes de production repr sente 5 MF sur 3 ans Ing nierie de la langue 1 7 MF sur 3 ans Microsyst mes 14 MF sur 3 ans T l communications 25 MF sur 3 ans chiffre provisoire Certains de ces programmes fonctionneront par appels d offre probablement partir de mai d autres non en fonction de la nature des programmes et du nombre d intervenants possibles en France Il est possible que des unit s d autres organismes participent ces programmes et que leur financement soit compl t par d autres EPIC J Descusse sugg re d une part que les comit s de pilotage de ces programmes mis en place pour accompagner leur lancement prennent soin de rester en troit contact avec la communaut scientifique et d autre part que ces comit s songent d s pr sent ce que seront les modalit s de l valuation a
10. matique Le comit national doit prendre en compte la question de savoir si une mobilit donn e a profit non seulement au chercheur concern mais aussi son laboratoire La valorisation et les relations industrielles sont d ailleurs l ordre du jour d un second conseil de d partement exceptionnel en m me temps que l m ritat apr s une premi re r union exceptionnelle consacr e la mobilit Le budget Il n y a pas de changement par rapport ce qui tait annonc l automne Le soutien de base a t notifi 80 MF soit 5 de moins qu en 1995 l ann e catastrophique de 1996 ne pouvant servir de r f rence La notification des quipements mi lourds 23 MF et des axes prioritaires 10 MF est en cours Les actions diverses colloques missions et alia sont presque enti rement notifi s Par rapport 1995 on est 7 MF Il reste notifier les programmes La mesure de r gulation du budget qui advient chaque ann e est encore venir Elle avait pargn le CNRS en 1996 On ne sait rien sur cette ann e et notamment pas les lignes qui amortiraient le gros de cette r gulation si elle devait nous tre impos e Les programmes On parle en g n ral de 300 MF de programmes pour le CNRS Il s agit en r alit d un chiffre TTC alors que les autres chiffres sont HT Il faut aussi exclure de ce chiffre PINSU et l IN2P3 dont l essentiel est consid r comme tant des progra
11. organisation de s minaires conseil technique etc e L enseignement en premier cycle doit tre valoris de mani re pouvoir impliquer tous les coll gues Ceci concerne aussi bien l enseignement de l informatique disciplinaire que celui de l informatique outil 2 2 Aspects quantitatifs a de mani re g n rale e L enseignement d informatique ne peut tre con u sans sa composante exp rimentale Le volume horaire r serv aux activit s pratiques encadr es doit repr senter au moins 1 3 du volume total pr vu pour l informatique dans une fili re sur les deux ann es e Les travaux pratiques d informatique comportent des activit s d observation mais aussi des activit s de production Ce deuxi me type d activit que l on ne retrouve pas dans les autres disciplines n cessit d accompagner les travaux pratiques encadr s par des plages horaires d acc s en libre service aux salles d ordinateurs au moins 2h par semaine La sp cificit des TP d informatique n est pas facile faire comprendre aux coll gues des autres disciplines et plus particuli rement la n cessit du libre service L int r t du libre service peut tre argument sur divers points a du point de vue des activit s p dagogiques l informatique se distingue des autres disciplines en demandant aux tudiants un travail autonome de construction d un produit fini pr par en s ance encadr e et d velo
12. partissent 94 des titulaires 91 en 95 Notons que 58 tablissements ont moins de 10 titulaires et se partagent 10 5 des effectifs Les enseignants affect s un d partement IUT se r partissent dans 53 tablissements mais 24 de ces IUT n ont pas de professeurs de la section Dans ce cas l ensemble des activit s d enseignement d informatique repose sur des ma tres de conf rences dont 40 sont en seconde classe donc recrut s r cemment La Figure 3 est une approche graphique de la ventilation g ographique des enseignants chercheurs de la section La surface des cercles est proportionnelle l effectif de l agglom ration qui est rappel c t Enfin chaque agglom ration ayant un effectif inf rieur 40 est reli e l agglom ration la plus proche dont l effectif est sup rieur 40 Le crit re de proximit est le temps de voyage par la route tel qu il est donn dans les cartes routi res sp cialis es Par exemple Dunkerque a 10 enseignants chercheurs de la 27 me section et est situ 1 heure par la route de Lille Il est vident que certains enseignants chercheurs de la r gion parisienne sont plus isol s que les Dunkerquois quant ce crit re l Ceci r sulte de la cr ation des universit s de Troyes et de Bordeaux 4 2 Ne sont pas mentionn es les agglom rations qui ne peuvent tre atteinte par la route depuis le territoire m tropolitain 19 Dunkerque 10 CXL00 Lille 0 4
13. pertori s les DESS d informatique industrielle ce que l on peut critiquer Les DESS anciennement double comp tence s appellent maintenant DESS comp tence compl mentaire en informatique CCI dans le tableau Pour la plupart des DESS on indique le nombre d inscrits et de re us pour les 3 derni res ann es ainsi que le nombre d inscrits pour 96 97 sous la forme lt re us gt lt inscrits gt On peut constater que les effectifs en g n ral se maintiennent voire croissent l g rement La diff rence entre inscrits et re us est nulle sinon minime dans ce dernier cas il s agit souvent d un abandon ou d un tudiant inscrit sur 2 ans Pour chaque DESS on trouve le responsable ou les coresponsables distingu s par voire des responsables adjoints Il est bien possible que quelques personnes aient t oubli es Pour les adresses lectroniques il serait souhaitable que les DESS se donnent une adresse de la forme dess lt nom_du_dess gt lt domaine gt La mise jour a t r alis e en interrogeant directement les derniers responsables connus sinon en consultant les archives du minist re Pour conna tre le contenu des enseignements on peut explorer le Web mais relativement peu de DESS y sont d crits On peut aussi consulter l annuaire des DESS publi chez C padu s encore utile bien qu il commence dater et soit incomplet On peut s interroger sur l opportunit de cr er de nouveaux DESS la situati
14. s par le Minist re Un autre niveau d op ration pourrait tre envisag celui d actions sp cifiques mais leur financement reste enti rement trouver Pour les op rations d animation et de Forums et coles B Lorho voque pour la DSPT4 un budget imaginable de 1 5 MF et B Dubuisson voque le m me chiffre pour les sections 07 et 08 Il y aura un petit nombre de GdR 4 5 pour la 07 Enfin il faudrait r fl chir aux modalit s d un rattachement des clubs de partenaires l inter GdR pour ne pas multiplier les sollicitations par exemple avec des tarifs diff renci s selon le nombre de GdR d int r t 1 4 Commentaires La situation appelle de nombreux commentaires la fois sur les points particuliers trait s par la section au cours de cette session sur les informations que nous ont transmises la direction du d partement et le repr sentant du Minist re et sur l volution du CNRS telle qu elle se dessine main tenant depuis quelques temps D abord la prochaine t che de la section le jury d admissibilit pour le recrutement de CR2 et de DR2 Les deux concours posent des questions diff rentes mais tous deux sont caract ris s par un tr s faible nombre de postes Chacun peut rapporter le chiffre de 7 postes de CR2 l tendue du champ disciplinaire couvert par la section et faire les comparaisons qui s imposent Pour le concours DR2 la grande majorit des candidats sont des CR et le passage DR e
15. 58 30 26 Abder Benslimanel utbm fr STRASBOURG 2 EYTAN Michel 03 88 41 74 29 03 88 41 74 40 eytan dpt info u strasbg fr STRASBOURG DUFOURD Jean Fran ois 03 88 41 63 35 03 88 61 90 69 dufourd dpt info u strasbg fr SUISSE COURANT Mich le 41 37 826 556 41 37 826 551 TELECOM BRETAGNE BRIAND Michel 02 98 00 12 80 briand enstb enst bretagne fr TOULON DAMOISEAUX Jean Luc 04 94 14 22 23 04 94 14 24 48 jid univ tln fr TOULOUSE 1 SIBERTIN BLANC Christophe 05 61 63 35 63 61 63 37 98 sibertin irit fr TOULOUSE 2 SEDES Florence 05 61 55 63 22 61 55 62 58 sedes irit fr TOULOUSE 3 IUT CASTAN Serge castan irit fr TOULOUSE 3 VIGNOLLE Jean 05 61 55 69 65 61 55 62 58 vignollel irit fr TOULOUSE INPT COULETTE Bernard 05 61 58 83 57 61 58 82 09 coulettelenseeiht fr TOURS DI SCALA Robert 02 47 36 70 20 TOURS E3I MAKRIS Pascal 02 47 36 14 14 02 47 36 14 22 makris univ tours fr VALENCIENNES RAVIART Jean Marie 03 27 14 13 16 03 27 14 11 50 raviart univ valenciennes fr VANNES DEVEAUX Daniel 02 97 46 31 75 02 97 63 47 22 Daniel Deveaux iu vannes fr VERSAILLES EMAD Nahid 01 39 25 40 73 01 39 25 40 57 Nahid Emad prism uvsq fr 1 Les changements r cents CLERMONT Michel SCHNEIDER remplace Claude BONNEMOY 2 Correspondants recherch s Les zones suivantes n ont plus de correspondants Nous invitons les coll gues int ress s se faire conna tre aupr s de Abdelkader Betari betari lim univ mrs fr t l 04 91 17 79 21 Fas 04 91 17 79 22 BELFORT LA ROCHELLE PARIS E
16. Assembl e G n rale de SPECIF qui aura lieu le Jeudi 27 novembre 1997 partir de 17h30 Lyon Le lieu et l ordre du jour seront annonc s ult rieurement Si vous ne pouvez pas participer l Assembl e G n rale vous pouvez vous faire repr senter par un Membre de SPECIF qui vous devez remettre un pouvoir et ou voter par correspondance uniquement pour les lections au Conseil d Administration Pour participer l Assembl e G n rale il faut tre Membre actif de SPECIF savoir enseignant ou chercheur en Informatique de l Enseignement Sup rieur ou d un organisme de recherche public jour de sa cotisation 200 Frs La premi re r union du Conseil d Administration aura lieu le samedi 29 novembre 1997 de 9h 12h Lyon 55 SPECIF Conseil d Administration APPEL de CANDIDATURES AGO du 27 11 97 Date limite de d p t des candidatures 30 Septembre 1997 Le Conseil d Administration de SPECIF est compos de 24 administrateurs renouvelables par tiers tous les ans Cette ann e encore 8 membres du conseil dont le mandat de 3 ans arrive terme seront sortants et devront tre renouvel s ou remplac s par lection lors de l Assembl e G n rale du 27 novembre 1997 Pouvant assurer jusqu trois mandats cons cutifs tous sont r ligibles Le vote par correspondance pour l lection des nouveaux administrateurs sera possible De ce fait la liste des candidats devra tre connue avant l
17. CAZES Alain FINKEL Alain correspondant recherch GERMA Anne BERTHELOT G rard correspondant recherch 04 04 04 04 04 05 03 04 03 03 02 04 04 04 02 01 06 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 72 72 78 91 91 96 87 67 89 83 40 92 92 93 38 69 87 40 44 44 44 44 44 44 46 44 69 45 49 40 47 45 69 72 43 94 10 82 61 31 14 59 58 37 96 94 21 41 33 25 46 27 55 14 27 27 27 33 05 41 17 40 27 40 81 36 85 89 88 61 90 88 51 41 63 42 16 51 51 79 71 61 49 27 70 35 45 70 70 47 44 43 65 16 35 20 22 78 73 04 05 50 26 75 48 81 81 40 32 28 09 53 11 71 20 55 85 02 37 18 04 32 61 65 93 91 44 90 37 74 38 32 67 04 04 04 04 04 05 03 04 03 02 04 04 04 02 01 06 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 01 72 72 78 91 91 96 87 67 83 40 92 92 92 38 69 87 40 44 44 44 44 44 44 44 69 45 48 40 47 69 72 43 93 10 82 61 31 14 57 74 96 96 94 41 33 25 46 27 55 14 27 27 27 05 41 17 26 27 40 36 80 87 51 61 92 88 51 41 97 14 51 51 28 70 61 48 31 70 35 45 70 68 62 40 65 16 07 27 24 73 80 13 56 02 75 02 89 76 94 06 55 55 96 69 10 29 77 00 36 50 00 49 86 91 86 49 12 09 64 05 Helene Paugam Moisy ens lyon fr jef lisiecrin i
18. Lafon labri u bordeaux fr filloqueluniv brest fr Jean Saquet info unicaen fr Laurence Vignollet lia univ savoie fr schneider cicsun univ bpclermont fr jacques carlier utc fr chabrier crid u bourgogne fr dubois lami univ evry fr Philippe Morat imag fr Bertille Adelaideluniv ag fr marcenac univ reunion fr siroux alba iut lannion fr michel colettaliut univ lehavre fr martial lium univ lemans fr toursel lifl fr gauthier unilim fr wilfrid lefer lil univ littoral fr oudin univ lyonl fr david cc ec lyon fr LYON ENS LYON INSA LYON IUT MARSEILLE 1 MARSEILLE 2 MARTINIQUE METZ MONTPELLIER MULHOUSE NANCY NANTES NICE ANTIPOLIS NICE NICE IUT ORLEANS ORSAY IUT PACIFIQUE PARIS 1 PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS PARIS 11 PARIS 12 PARIS 13 PARIS CNAM PARIS ENS CACHAN PARIS ENSAE PARIS ENST PARIS IIE PARIS INA PG IUT LAFORIA LITP MASI HO J ON O O U1 U 1 N PAUGAM MOISY Helene BOULICAUT Jean Fran ois EYMARD Marie France BOUCELMA Omar GRANDCOLAS St phane LAPIQUONNE Serge HEULLUY Bernard COGIS Olivier DESCHIZEAUX Pierre COULON Daniel HAMEON Jean Denis CAROMEL GALLESIO Erick CHIGNOLI Robert GUILLORE Sylvie HABERSTRAU Marianne TALADOIRE Gilles ROLLAND Colette LABAT Jean Marc COT Norbert De SABLET Georges PERNY Patrice RIOBOO Renaud DERIEUX Anne BESTOUGEFF H l ne LAVALLEE Yvan VANDERPOOTEN Daniel MOURLIN Fabrice BEAUQUIER Dani le SCHWER Sylviane
19. charge d activit s pratiques hors des s ances encadr es ne serait ce que par respect des autres disciplines b Quelques slogans e Des enseignements exigeants et motivants pour stimuler l int r t des tudiants et des enseignants e Des maquettes d enseignement lisibles vis vis de l orientation des tudiants de la compr hension des objectifs par les tudiants par les enseignants de toutes disciplines de l organisation du travail personnel de la pr paration des contr les de connaissances etc e Des contenus d enseignement r alistes pour tenir compte de la nouveaut de la discipline pour les tudiants des conditions de travail en Deug de la mobilit des enseignants etc 45 e Des enseignements portables d un enseignant l autre d une ann e sur l autre de mani re minimiser les nergies de pr paration faciliter l int gration de nouvelles personnes et p renniser l enseignement malgr la n cessaire mobilit des enseignants w o e Des enseignements planifi s et document s livres polycopi s etc pour minimiser la gestion pour donner un cadre de travail solide aux tudiants pour assurer l unit de la formation et sa p rennit 46 Panorama des dess en informatique Claude B tourn IRIT Universit Paul Sabatier betourne irit fr On trouvera ci apr s un tableau mis jour des DESS d informatique ou partiellement d informatique Toutefois ne sont pas r
20. des doubles rapports a incomb la section Ce syst me nous a sembl important mettre en place pour assurer une pluralit minimum dans la lecture des dossiers Pour cette premi re fois tout n a pas t parfait et le syst me est am liorable il m rite d tre conserv Cette ann e encore la section a not les taux extr mement bas propos s par le Minist re et particuli rement l aggravation dans le passage MCF 2 classe vers MCF 1 classe o le nombre de possibilit s a chut d environ 25 5 Les possibilit s offertes en voie 2 petits tablissements et chefs d tablissements ayant renonc la voie sp cifique sont rest es extr mement faibles Au niveau de la voie 3 la situation par rapport l ann e derni re est rest e sensiblement la m me La section a galement not la situation proche du scandale en ce qui concerne le passage de la 2 classe la 1 classe du corps des professeurs 2 promus localement et 7 possibilit s nationales voir plus loin les statistiques Face la difficult de choix qu entra ne une telle situation de p nurie nous avons cherch les meilleurs parmi les candidats satisfaisant les crit res minima utilis s les ann es pr c dentes cf compte rendu de la session de l ann e derni re bulletin SPECIF n 36 Conclusion des deux sessions La section insiste sur le fait que d un point de vue pratique le dossier transmis par les candidats doit tr
21. en vidence que la voie dans laquelle un coll gue demande une promotion rev t de l importance quant au r sultat final ne serait ce que par le simple ph nom ne des pressions d mographiques diff rentes Il faut donc bien que nos coll gues mesurent toutes les cons quences que peut avoir pour leur fonctionnement futur et leur carri re le choix d une prime p dagogique ou d une prime administrative Enfin nous sugg rons aux candidats pour les ann es futures de consulter les diff rents serveurs o la section met les informations qui peut les aider construire leur dossier http www univ lyonl fr URA MASS cnu27 ftp ftp cnam fr pub CNU 293 http dept info labri u bordeaux fr Specif Statistiques sur les promotions par Christian Carrez Principes du calcul du nombre de promotions Rappelons tout d abord qu il y a trois voies possibles pour l attribution des promotions l exception de celles concernant la classe exceptionnelle des professeurs e Voie 1 ou voie normale Environ la moiti des promotions de cette voie sont attribu es par les instances locales et la moiti par les instances nationales Ceci implique que les dossiers sont d abord tudi s localement la section du CNU ne recevant que les dossiers des candidats qui n ont pas t promus localement e Voie 2 ou voie des tablissements petits effectifs La totalit des promotions sont attribu es par la section du CNU e Voie 3 ou avan
22. int ressantes la direction devra faire des choix et si nous ne faisons pas un premier choix d autres le feront sans nous demander notre avis B Lorho rappelle cet gard le r cent changement dans la fa on dont le minist re attribue les bourses de doctorat 80 restent allou s aux responsables de formation doctorale le reste est allou directement par le minist re sur la base de th mes prioritaires th mes sur lesquels le minist re vient de commander des rapports PINRIA et au CNRS remettre dans un d lai tr s rapproch La perspective de produire un tel spectre raies rencontre n anmoins un accueil mitig chez plusieurs membres de la section Une autre discussion porte sur les programmes dont J J Gagnepain nous a entretenus On souligne que la section n a pas t associ e l laboration de ces programmes Il est demand que lorsque les comit s de pilotage auront d cid des contours des programmes les sections puissent donner leur avis sur le contenu et les contours des programmes qui les concernent et participent leur valuation Une motion sur ce th me est adopt e par la section La section 07 du CNRS rappelle qu il entre dans les missions des sections du Comit National d tre consult es sur la politique scientifique et son volution Elle constate que la mise en place des programmes a t faite sans aucune concertation avec les sections du Comit National et de mani re non corr l e
23. jeunes La forme retenue est celle de contributions libres sans s lection par contre un controle minimal est pr vu la pr sence sur le serveur est li e l obtention du visa specif obtenu pour une dur e limit e apr s relecture Un appel relecteurs est lanc tout membre du CA est d sign volontaire mais a le droit de choisir des renforts Le serveur p dagogique ne contiendra pas les documents qui seront chez les auteurs JM Fedou a consult des professionnels pour avoir un devis pour la r alisation de la page web et a fait va faire une demande de subvention VII Bulletin Le preprint du bulletin r alis par C Carrez est pr sent Il est propos d avoir dor navant un bulletin annuel en gardant la forme pr c dente et une lettre bimensuelle ou trimestrielle de forme r duite 4 ou 6 pages avec une pr sentation standard rubriques et de qualit Cf lettre de l imag Chacun est appel r fl chir une maquette et Ch Carrez accepte de se porter volontaire pour s occuper de cette lettre VII D l gu s A Betari fait le point sur sa mise jour des fichiers de correspondants La question des d l gu s r gionaux est abord e Il est n cessaire de faire passer un message clair sur leur r le Une journ e des d l gu s est envisag e La question de la repr sentativit lection d signation et de la motivation des d l gu s est abord e Une proposition est que les d l gu s ou correspondants soient
24. les personnes en position de cr er des dynamiques dans leur r gion CONSEIL D ADMINISTRATION du 26 juin 1997 par Pascal PONCELET Ont particip Membres O BAUDON C BELLISSANT J F BOULICAUT C CARREZ B COULETTE M DAUCHET J M FEDOU M HABIB D HERMAN B HEULLUY D KROB D LUGIEZ O MILLET BOTTA A MONTANVERT P PONCELET M RIVEILL J VOIRON Excus s A BETARI P DAGORRET M C GAUDEL D HERIN H KIRCHNER A PETIT FI SEDES Invit s J P Finance partir de 15h00 I Ce signe rappelle une action mener ou poursuivre 0 Ordre du jour I Serveur P dagogique I Le point administratif Adh sions Renouvellement du CA IHI La communication Bulletin Lettre d Information D l gu s IV Lettre Club EEA 60 V Journ es DEUG VI IUT IUP VII Informatique dans le Secondaire VII CNU Syndicats et Sp cif IX A propos des d clarations du nouveau Ministre Claude All gre I Serveur P dagogique J M F dou fait le point sur le serveur p dagogique en proposant un contrat de d veloppement et maintenance du serveur Le co t de revient est de 15 000 Francs HT et la soci t s engage fournir le serveur pour fin septembre A partir de la livraison nous disposons de 30 jours au plus pour le tester et le valider Le suivi de l application est de 500 Francs mois pendant 6 mois Le co t total de l op ration est de l ordre de 22 KF TTC M Dauchet soul ve le probl me de
25. 0 0 40 Valenciennes 17 B thune 11 Q 1 27 Amiens 25 Le Havre 15 Rouen 19 Com pi ene 10 Metz 24 30 Reims 15 Strasbourg 32 Mulhouse 7 Troyes 1 40 Vannes 12 Orl ans 28 Dijon 24 Besan on 31 1 00 O Angers Clermont Ferrand 36 Nantes i 2 20 Lyon C Tours 24 Chamb ry 18 0 40 O Poitiers 23 St Etienne 10 La Rochelle 15 so 0 S moai Bordeaux O Pau 30 Toulouse Perpignan 3 Montpellier Toulon 13 Figure 3 Ventilation g ographique par agglom ration Sur la faiblesse du taux PR total Comme je le disais plus haut le taux PR total s est encore d grad cette ann e puisqu il est descendu 28 1 dans notre section Il est vident que le retard de la discipline informatique est tr s important Il est sans doute la cons quence d une croissance rapide mais il peut aussi conduire une certaine asphy xie par les cons quences d ficit en encadrement de th se charges diverses sur les jeunes recrut s au d triment de la poursuite de leurs recherches d ficit en docteurs habilit s et donc terme en candidats professeurs d ficit en lobbyistes d ficit en d fenseur de la discipline etc L accroissement du nombre de professeurs est une n cessit et une urgence Corr lativement il faut pousser les jeunes ma tres de conf rences et charg s de recherche passer une habilitation N oublions pas que pr s de 22 des professeurs actuels aur
26. 19 20 15 17 NANCYI NANCYII http www nancy2 u nancy fr Audit et Conception des Syst mes d Information ACSI Odile Foucaut NANCY IT foucaut loria crin fr 25 25 18 19 18 18 Image num rique et interactivit Eric Gnaedinger NANTES G nie informatique Christine Choppy Christine Choppy irin univ nantes fr 21 21 21 21 21 21 24 NICE Informatique et sciences de l ing nieur Jean Claude Lafon Jcl essi fr 27 28 34 34 31 32 ORLEANS Ing nierie math matique et outils informatiques IMOI Monique Pontier pontier labomath univ orleans fr 18 18 22 22 16 16 20 PARIS V U Ren Descartes Informatique et application aux sciences de la vie CCI Georges Stamon PARIS VI U Pierre et Marie Curie Intelligence artificielle syst mes experts et communication homme machine Anne Doucet Anne Doucet lip6 fr Monique BARON Monique Baron lip6 fr Mich le JOAB Michele Joab lip6 fr 28 31 27 30 19 21 29 G nie des logiciels applicatifs Jean Fran ois Perrot Jean Francois Perrot lip6 fr Gilles Blain Gilles Blain lip6 fr Odile Palies Odile Palies lip6 fr 18 21 20 21 22 23 20 T l mformatique r seaux et applications distribu es Eric Horlait Eric Horlait lip6 fr 29 30 31 31 31 31 31 Ing nierie des syst mes informatiques ISI CCD Claude Girault Claude Girault lip6 fr Marie France Le Roch Marie France LeRoch lip6 fr 23 26 24 30 29 33 Informatique appliqu e la biologie avec UVS
27. 2 En conclusion il est reconnu par le CA qu une r flexion est toujours n cessaire et 1l est rappel qu l heure actuelle les IUT ont d j d fini des modules que les d coupages existent et qu il faut examiner le probl me de la semestrialisation sachant que certaines exp riences existent d j VII Informatique dans le Secondaire M Dauchet rappelle les r sultats des groupes de travail avec l EPI le SNES et le SNESUP II pr cise les l ments de la lettre commune qui est une d claration d intention et l importance de l informatique vu l impact social et culturel dans notre soci t Il rappelle l id e d une plate forme notamment avec le SNES en pr cisant que la vocation des professeurs est l enseignement de la discipline l outil et les conseils aupr s des coll gues pour l informatique comme nouvelle technologie Une discussion a lieu sur les probl mes culturels associ s les coles pilotes 3 5 centres de formation pour commencer et il est rappel qu en physique par exemple il existe une licence es sciences physiques orient e formation IS A Montanvert propose d envoyer aux membres de la commission des documents sur l tablissement des programmes tablis pour le secondaire Cf JP Peyrin VIII CNU Syndicats et Sp cif M Dauchet demande aux membres du CA si Sp cif doit faire une liste pour le CNU ou non La plate forme de cette liste tant la d fense de la discipline informatique l quilibre e
28. 3 2 4 Propositions de m dailles La section n a re u aucune proposition de m daille de bronze et une seule proposition de m daille d argent celle d Alain Oustaloup Apr s avoir d battu de cette proposition la section d cide de proposer l attribution d une m daille d argent A Oustaloup 2 5 Autorisations concourir La section a se prononcer sur les candidats aux concours CR et DR ne remplissant pas les conditions de titre pour concourir Les candidats suivants au concours DR2 sont autoris s concourir Ernoult Frank Grigoriev Mercier Les candidats suivants au concours CR2 sont autoris s concourir Brison Cazals Colin Gorokhov Hadji Minaglou Lepain Mackie Perron Poirier Ramsay R my Rodet Ruet S pulchre Servet 2 6 Demandes de renouvellement d accueil au CNRS La section examine d abord les deux demandes de renouvellement pour une troisi me ann e Elle donne un avis d favorable au renouvellement de l accueil en d tachement ou en d l gation de E Goubault et J F Mari Cet avis ne doit pas tre interpr t comme un avis n gatif sur le travail ef fectu Dans les deux cas la section estime que le travail accompli a t d excellente qualit L avis de la section est plut t une opposition de principe un d tachement de trop longue dur e en particulier dans le contexte budg taire que nous connaissons R sultats du vote 20 Oui 0O Non 1 Abstention La secti
29. ARIS_12 PARIS_13 PARIS_CNAM PARIS_ECOLE_DES_MINES PARIS_ENS PARIS_ENS_CACHAN PARIS_ENSAE PARIS_ENST PARIS_IIE PARIS_INAPG PARIS_INRIA PARIS_SUPELEC PAU POITIERS REIMS RENNES_1 RENNES_INSA RODEZ ROUEN ROUEN_INSA SAINT_ETIENNE SEVENANS SOPHIA_INRIA STRASBOURG STRASBOURG_2 SUISSE TELECOM_BRETAGNE TOULON TOULOUSE_1 TOULOUSE_2 TOULOUSE_3 TOULOUSE_3_IUT TOULOUSE_INPT TOURS TOURS_E3I VALENCIENNES VANNES VERSAILLES AUTRES sos Zone AIX 3 AIX IUP AIX IUT AMIENS ANGERS AVIGNON BAYONNE BELFORT BESANCON BORDEAUX 1 BORDEAUX ENSERB BORDEAUX IUT BREST CAEN CHAMBERY CLERMONT COMPIEGNE CRETEIL DIJON EVRY GRENOBLE GUADELOUPE LA REUNION LA ROCHELLE LANNION LE HAVRE LE MANS LILLE LIMOGES LITTORAL ARTOIS LYON 1 LYON 3 LYON ECL Les CORRESPONDANTS T l Nom et pr nom BARTOLI Jacques Andre EGEA Marcel Daniel FENEUILLE FERMENT Didier BOYER Jacques GILLES Phillipes DUBOUE Marcel correspondant recherch TATIBOUET Bruno ZIELONKA Wieslaw METIVIER Yves LAFON Pierre FILLOQUE Jean Marie SAQUET Jean VIGNOLLET Laurence SCHNEIDER Michel CARLIER Jacques correspondant recherch CHABRIER Jean Jacques DUBOIS Catherine MORAT Philippe ADELAIDE Bertille MARCENAC Pierre correspondant recherch SIROUX Jacques COLETTA Michel VIVET Martial TOURSEL Bernard GAUTHIER Michel LEFER Wilfrid OUDIN Emmanuel correspondant recherch DAVID Bertrand 04 04 03 02 04 05 03 05
30. EKERGIN ma tre de conf rences l universit de Paris 1 2 semestres Mohamed NAIMI professeur l Institut polytechnique S venans 2 semestres Gabri le SAUCIER professeur l INP de Grenoble Liste de qualification aux fonctions de ma tre de conf rences en 27 me section tablie au 17 mai 1997 Cette liste est indicative La liste officielle est celle qui r sulte du proc s verbal de la section et qui est communiqu au minist re Allemand Michel Capelle Christian Ambert Fabrice Capponi C cile Amghar Tassadit Cazenave Tristan Andres Eric Chaignaud Nathalie Anquetil Eric Chetali Bouthe na Arditi Laurent Chevrier Christophe Arnould p Mazi re Tauran Agn s Chmeiss Assef Attali Dominique Cloppet p Oliva Florence Avrilionis Denis Condom Jean Marie Ba la Oumaya Cornilleau Thierry Babau Jean philippe Coupaye Thierry Barme Laurent Cozot R mi Baron Claude Daumas Marc Barras Claude De Almeida Antonio Bassino Fr d rique Debled p Rennesson Isabelle Bawa Rajesh Dedieu Eric Beauchene Daniel Delamarre Dominique Becher G rard Delfosse Jos Ben Akli p Bellalem Nadia Delhom Marielle Benadjaoud Ghazi Derdouri Brahim Bercu Sophie Douence R mi Bergougnoux Patrick Dubois Gilles Bertolino Pascal Dubourg Xavier Bertrand Fr d ric Dupin de Saint Cyr p Ban Florence Biermann Isabelle Dupont Pierre Bisgambiglia Paul Durand Lose J r me Blasi Philippe Dutour Isabelle Botta p Genoulaz Val rie Ed
31. F A le Signature Curriculum vitae succinct nn ie seeerrssssss see cennnnesssss sec ceeneenssn Pour vous joindre T l phone personnel dites mani roots ina satin Matin nee T l phone p ofessionn l i ouasierscn en i a ie T l phon secr tariat un ani r i i ETETE T l copie Pa nr rt nr R E aR se Messageri email tA ene ne ns et a Te nes es Renseignements compl mentaires pour la d claration la Pr fecture en cas d lection Dat et lieu d naissance Een nn dede retire Nationalit Domicile Sera publi avec les bulletins de vote Cette information sera communiqu e seulement aux membres du Bureau de Specif sauf avis contraire Cette information sera communiqu e aux membres du Conseil d Administration de Specif Candidature adresser la Secr taire de SPECIF au plus tard le 30 Septembre 1997 merci de vous manifester par courrier lectronique avant le 5 Septembre 1997 M RIVEILL INRIA 655 av de l Europe 38330 Montbonnot St Martin T l phone 04 76 61 52 55 T l copie 04 76 61 52 52 Messagerie Michel Riveill univ savoie fr S e SPECIF Conseil d Administration AGO du 27 11 97 Les membres sortants en 1997 sont marqu s d une Bureau DAUCHET Max Vice Pr sident LIFL Lille BELLISSANT Camille Vice Pr sident IUT2 Grenoble HABIB Michel Vice Pr sident LIRMM Montpellier CARREZ Christian Bulletin et Archives CNAM Paris FEDOU Jean Marc C
32. IS Grenoble inp ZURFLUH GILLES Promotions au ler chelon de la classe exceptionnelle des professeurs Au 1 Janvier 1997 CARREZ CHRISTIAN Au 1 Septembre 1997 ARQUES DIDIER Marne la Vall e DERNIAME JEAN CLAUDE Nancy inp GARDARIN GEORGES Versailles STERN JACQUES Paris 7 Promotions au 2 me chelon de la classe exceptionnelle des professeurs Au 1 Septembre 1997 CHEIN MICHEL Montpel 2 COURCELLE BRUNO Bordeaux 1 LAZARD DANIEL Paris 6 Promotions voie 2 phase nationale Note Il s agit ici des propositions de la section non encore officielles sous r serve d approbation par le minist re Promotions la l re classe des ma tres de conf rences Poitiers ensma Toulouse iufm Bordeaux ensi AIT AMEUR YAMINE BAPTISTE NADINE MOSBAH MOHAMED HEDI Promotions voie 3 phase nationale Promotions la l re classe des maitres de conf rences Au 1 Janvier 1997 LAVAURE ANDRE Au 1 Septembre 1997 BOULANGER NADINE BORELLI EVELYNE CHABARD MARIE_FRANCOISE Clermont 2 Bourgogne Nice iut Clermont 1 iut 32 CHANUDET SYLVIE CHELGHOUM KAMEL NEKI ABDELKADER Promotions la hors classe des ma tres de conf rences Au 1 Septembre 1997 ARGILAS FRANCOIS CLAUDE Toulouse 3 iut STUTZMANN ROLAND Strasbourg 3 iut VAILLY ALAIN Promotions la l re classe des professeurs Au 1 Septembre 1997 FENEUILLE DANIEL Aix Marseille 2 iut 33 34 A propos d enseignement Serveur p da
33. Marc Seghouani Nacera Selmaoui Nazha Semet Fr d ric Serrano Manuel Simon Ga le Siohan Olivier Soutou Christian St mart Isabelle Strogova Polina Subrenat Gilles Taleb Castel Hind Tamine Karim Tessier Alexandre Theiller p Chrisment Isabelle Thollot Jo lle Thomas J r me Thuaire Alain Tillich Jean Pierre Torres Lucile Tort p Sarrailh Fran oise Utard Gilles Vajnovski Vincent Valarcher Pierre Vautrot Philippe Vega Saenz Luis Verdier C line Vernier Isabelle V ron Pascal Vialard p Moreau Anne Vidal Thierry Viennot Laurent Vigneron Laurent Vodislav Christian Dan Weill Jean Christophe Weis Fr d ric Yvinec Yann Zidoum Hamza Liste de qualification aux fonctions de professeur en 27 me section tablie au 17 mai 1997 Cette liste est indicative La liste officielle est celle qui r sulte du proc s verbal de la section et qui est communiqu au minist re Andonov Roumen Bahsoun Jean Paul Bauderon Jean Michel Benhamou Fr d ric Benzaken V ronique Bergougnoux Patrick Boudjlida Nacer Boursier Patrice Bulot R my Cani p Gascuel Marie Paule Canu St phane Cardon Alain Cayrol Testemale Claudette Chen Ken Chesneaux Jean Marie Chu Chengbin Costa Marie Christine De La Higuera Colin Dikovsky Alexandre Folliot Bertil Ga ti Dominique Gengler Marc Giakoumakis Vassilis Golbreich p Pierre Christine Hameurlain Abdelkader 29 J gou Philippe Keller Jean Pierre Krat
34. NSAE PARIS SUPELEC CRETEIL LYON 3 PARIS INA PG RODEZ 68
35. Q CCD Marie Odile Delorme delorme cgmvax cgm cnrs gif fr 13 13 10 12 12 12 Application de l informatique aux sciences de la terre CCI Francois Bouill 50 PARIS VI PARIS VII Circuits int gr s et micro informatique CIMI A Greiner P6 M Pyee P7 Anne Derieux UPMC Anne Derieux lip6 fr 13 13 9 9 11 12 15 PARIS VII U Denis DIDEROT http wWww sigu7 jussieu fr Logiciels fondamentaux Hughes FAUCONNIER Hugues Fauconnier 1lys ibp fr 25 27 22 22 21 22 26 Applications de la t l matique CCI Gilbert Sol PARIS VIII U de Vincennes Ethnom thodologie et informatique PARIS IX U Paris Dauphine Informatique de gestion CCI Charles Berthet PARIS XI U Paris Sud Syst mes et communication homme machine Nicolas Spyratos spyratos lr1 fr Anne Vilnat vilnat limsi fr 36 38 33 36 32 32 Ing nierie informatique Christian Chabbert chabb miag isi u psud fr PARIS XIII U Paris Nord G nie informatique GIGA G rard Plateau gerard plateau lipn univ paris13 fr Catherine Recanati catherine recanati lipn univ paris13 fr Brigitte Biebow bb lipn univ paris13 fr 15 16 20 20 16 18 20 PAU U de Pau et des Pays de l Adour UPPA Math matiques et Informatique appliqu es en Sciences Sociales Benoit Truong Ing nierie math matique et outils informatiques RENNES I Informatique et ses applications ISA Bernard Cousin bcousin irisa fr 39 39 48 50 54 54 52 Informatique CCI
36. SPECIF Bo te 165 4 place Jussicu 75252 PARIS cedex 05 ochnolO ge Ce bulletin contient trois th mes importants Comme souvent en juillet il contient le compte rendu de la session de printemps de la section 07 du CNRS et le compte rendu des sessions du CNU coupl des analyses statistiques des membres de la section 27 Le troisi me th me est relatif au Deug En pr paration des journ es qui auront lieu en novembre le groupe de travail a labor un texte qui ouvre les d bats sur le sujet et devrait favoriser l mergence d une position de fond au cours de ces journ es sur la place de l informatique dans les diff rentes mentions du DEUG sciences et technologies Je rappelle que ce bulletin est ouvert tous les membres de l association pour me simplifier la t che je demande que les documents me soient fournis de pr f rence sous forme lectronique word lisible sur Mac de pr f rence la rigueur latex envoy s carrez cnam fr en me pr cisant qu ils sont destin s publication dans le bulletin et s ils peuvent tre condens s Christian Carrez r dacteur en chef Le dessin de couverture a t r alis par moi m me et n a pas fait intervenir de logiciel ni de comp tence artistique particuli re Table des mati res Nouvelles de la section 07 du CNRS sde tisse ieinelesiesntetistuses 5 Compte rendu intersyndical de la session de printemps de la section 07 5 Carri re des e
37. aiteraient La r daction d un texte d une page pour appuyer cette cr ation est decid e Les intitul s Miage et GMI subsisteraient 59 IV Agres Capes Le projet a t voqu lors de la rencontre avec Hardouin Le SNES a un projet intitul Sciences de l Informatique et de la Communication J M Fedou a rencontr le responsable de ce projet lors du congr s du SNES Nice La position de specif est de refuser l intitul mais de pousser un projet en liaison avec le SNES Le programme propos par le SNES parait satisfaisant tr s ressemblant la proposition du groupe de travail specif sur le sujet Une r union aura lieu le 8 04 au si ge du SNES Une id e d fendre est la cr ation d un concours interne afin d int grer tous les enseignants qui font d j de l informatique Le lien avec les IUFM est pos Quelles licence maitrise seront demand es informatique pure et dure ou plus molle multimedia info et soci t par ex La question des programmes 1 re et terminale du secondaire est abord e remarques faites JP Peyrin sans retour la date du CA V Serveur Pedagogique JM Fedou fait le point sur le serveur p dagogique en incorporant la discussion du groupe de travail du matin qui a discut sur les objectifs du serveur et les moyens L objectif est la mise disposition de documents cours exos tp exams pour l ensemble de la communaut cible privil gi e les jeunes qui d butent mais aussi les moins
38. alyse etc donnant prise sur des ph nom nes tudi s par les sciences plus traditionnelles e La culture informatique des divers partenaires du syst me ducatif est souvent celle d un utilisateur autodidacte ce qui ne facilite pas la communication avec les informaticiens Plus particuli rement les nouveaux bacheliers n ont eu que des contacts parcellaires et h t rog nes avec la discipline L informatique est une discipline jeune Son int gration dans un premier cycle d enseignement g n ral n est pas tablie volumes horaires souvent faibles place marginale dans le contr le des connaissances enjeux mal per us par les non sp cialistes etc L informatique volue rapidement et fortement Le d calage entre les informaticiens et leurs partenaires en est amplifi Et le maintien de programmes d enseignement un niveau ad quat est une t che difficile en particulier dans le contexte peu souple d un enseignement de masse Nous ne traitons dans ce document que du Deug sciences et technologies selon la terminologie de la r forme en cours Il comporte les six mentions Mias SM STPI STU Sv et Mass 38 1 2 Une culture g n rale en informatique pour tous les tudiants des Deug sciences et technologies Le Deug est un cycle d tudes qui vise donner des bases conceptuelles et m thodologiques en vue de poursuivre des tudes longues Dans cette logique il doit tre clair que l introduction de
39. ance j ai regroup comme les ann es pr c dentes d abord les agglom rations par r gion administrative puis les r gions par secteur g ographique de la fa on suivante Nord Haute Normandie Nord Pas de Calais Picardie Est Alsace Bourgogne Champagne Ardenne Franche Comt Lorraine Sud Est Auvergne Corse Languedoc Roussillon Provence Alpes C te d Azur Rh ne Alpes Sud Ouest Aquitaine Limousin Midi Pyr n es Ouest Basse Normandie Bretagne Centre Pays de la Loire Poitou Charente le de France d coupage en Paris Centre et r gion parisienne Outre Mer Antilles Guyane Pacifique R union La ventilation des effectifs par secteur g ographique change peu par rapport l ann e derni re chaque secteur progresse mais le Nord et l Ouest plus fortement avec 10 et l Est moins avec 3 Comme il a t dit plus haut les titulaires se r partissent dans 120 tablissements r partis dans 47 agglom rations Les 10 agglom rations ayant le plus de titulaires sont inchang es Leurs effectifs n ont augment s que de 4 Elles se r partissent maintenant 65 5 des titulaires contre 67 l ann e derni re D autre part 8 agglom rations contre 11 en 1995 ont moins de 10 titulaires et ne se r partissent plus que 2 de l ensemble 4 en 95 il y aurait diminution de l isolement Par ailleurs 5 agglom rations suppl mentaires franchissent le seuil des 15 titulaires ces 32 agglom rations se r
40. ans des enseignements plus sp cifiques de second cycle qui ont leurs objectifs propres et des conditions de travail totalement diff rentes Il est hors de question de consid rer brutalement les contenus de premier cycle comme tant des acquis que l on pourrait d s lors supprimer des programmes pr vus dans tel ou tel second cycle 2 l ments incontournables pour une habilitation Il s agit ici de formuler des principes intangibles et donc non n gociables concernant les enseignements d informatique dans les Deug sciences et technologies Ceci est propos d une part pour aider l laboration de maquettes d enseignements dans les universit s et d autre part pour servir de base l valuation des demandes d habilitation par les experts concern s 41 2 1 Aspects qualitatifs e La responsabilit des enseignements d informatique en premier cycle incombe aux informaticiens Ceci implique en particulier la participation aux instances de proposition et de d cision concernant la d finition des programmes la mise en uvre p dagogique et les choix d investissements mat riels et logiciels e La mise en uvre des enseignements d informatique doit selon la sp cificit des fili res tre prise en charge par les informaticiens ou par les coll gues d autres disciplines Dans ce deuxi me cas les informaticiens jouent alors leur r le d expert sous forme d actions diverses telles que formation de formateurs
41. ans le secondaire M Dauchet doit faire une pr sentation du contexte de la lettre e Rappel du calendrier e L appel candidature pour le prochain CA et annonce de l AG ES C Carrez rappelle que la date limite pour pouvoir faire para tre un l ment dans le bulletin est le 15 juillet Lettre d Information J Voiron propose les diff rentes composantes de la Lettre d Information qui devrait para tre tous les deux mois Le principe tant de tenir les adh rents au courant des derniers travaux r alis s La lettre comportera 4 pages e page 1 ditorial et rappel des motivations de Sp cif e page 2 les br ves dans lesquelles nous trouvons les informations relay es les activit s des groupes et les rencontres des d l gations en pr cisant pour chaque partie le contact e mail e page 3 4 contenu en fonction de la saison ex CNU CNRS INRIA Formation I Le co t de la maquette devrait tre de l ordre de 5000 Francs et C Carrez fait tablir des devis D l gu s P Poncelet et M Dauchet signalent la difficult de mettre au point le principe de d l gations difficult de trouver des d l gu s dans certaines r gions La mise en place de d l gation est donc pour l instant abandonn e IV Lettre Club EEA M Dauchet fait part au CA d une lettre du Club EEA concernant la mise en place sur leur serveur WWW de pages pr sentant les Laboratoires de discipline EEA et la position de Sp cif par r
42. apport cette approche Les membres du CA font remarquer qu il est difficile en Informatique d avoir des pages normalis es mais qu il faudrait que le serveur de Sp cif poss de des liens vers les diff rents laboratoires ES J M F dou se propose d examiner ce point V Journ es DEUG O Millet Botta J F Boulicaut et D Herman pr sentent le document du groupe de travail Ce document de travail sera pr sent dans le bulletin et permettra d ouvrir les d bats et tables rondes des Journ es Deug D Herman pr cise qu il faut envoyer un mail apr s le bulletin pour bien pr ciser qu il s agit uniquement d un document de travail VI IUT IUP C Bellissant pr cise que le 27 6 97 se tient une r union du groupe de travail avec comme invit B Huvet du SFIB pour apporter ses conseils sur la pr sentation des modules capitalisables pour IUT IUP Le but est de trouver la m thodologie pour dessiner un graphe diplomant C Bellissant pr cise qu il s agit bien de la formation initiale et non de la formation continue Il rappelle galement les 4 principes importants de capitalisation de semestrialisation de modularisation et de r orientation M Dauchet pr cise que lors de la r union avec le Club EEA il y a eu une discussion sur le probl me des IUT IUP pour EEA La probl matique ne semble cependant pas la m me car en EEA le passage est d j bien codifi et qu une personne sur 2 entre dans la vie active la sortie de l IUT _ 6
43. avec leur travail sur la conjoncture qui s en trouve ainsi gaspill La section demande que les sections du Comit National soient associ es la d finition des programmes pr sents et venir et leur valuation R sultats du vote 16 Oui O Non O Abstention En ce qui concerne les GdR PRC et leur futur La section verra de nouvelles propositions l automne Malgr la tenue de plusieurs r unions inter PRC et inter GdR il semble que la nouvelle donne ne fasse pas l objet d une interpr tation commune La section demande donc B Dubuisson de lui pr ciser ce que sont les r gles du jeu Le premier message est que SPI et la DSPT4 travaillent ensemble pour proposer la m me chose Par ailleurs ce travail est en construction et ajust en temps r el ainsi un r cent arr t de la cour des comptes interdit de financer des laboratoires publics avec le Fonds pour la recherche et la technologie or c est de ce fonds que provenait tout le financement des PRC Le message de la communaut qui est attach e aux aspects animation a finalement t re u par le d partement et la DSPT4 L inter GdR est conserver C est ce niveau que viendront se rattacher les coles et Forums Jeunes Chercheurs etc On pourrait par exemple avoir un inter GdR 07 La dur e des GdR serait 10 limit e 2 ans renouvelables une fois et ils seraient cadr s sur un domaine particulier avec des groupes de travail co financ
44. cement sp cifique Les candidatures d un m me groupe sont class es par les tablissements puis tudi es dans le groupe du CNU c est dire pour nous par les bureaux des sections 25 26 et 27 Le CNU est oblig de conserver le classement des tablissements Cela veut dire qu un candidat class second ne peut tre promu que si le candidat class premier est lui m me retenu Les promotions concernant la classe exceptionnelle des professeurs sont maintenant enti rement attribu es par la section Le minist re d termine les effectifs potentiels de chaque classe et chaque corps toutes disciplines confondues en fonction des contraintes budg taires loi de finance Il en d duit le nombre de promotions possibles d une classe l autre en tenant compte des d parts la retraite Ces possibilit s de promotions sont ensuite r parties dans chaque voie proportionnellement aux promouvables Le tableau ci dessous donne la proportion globale du nombre de promotions offertes par rapport au nombre de promouvables 1992 1993 1994 1995 1996 1997 MCE l re classe 41 1 399 37 9 24 0 MCF Hors classe PR I re classe 13 6 13 8 PR CE ler chelon PR CE 2 me chelon 26 7 243 217 17 5 11 8 16 7 Il ressort imm diatement du tableau la forte chute du nombre de promotions offertes en 1 re classe de MCF et le maintien des autres apr s la chute des ann es pr c dentes Dans le cas des promotions de professeurs
45. communaut comme une base de travail Il sera d battu et amend lors de journ es organis es par Specif en Novembre 1997 Lyon I Issu de plusieurs r unions de travail 30 janvier 1997 25 26 mars 1997 et 29 mai 1997 ce texte a t pr par par R gine Raynaud Toulouse 3 Jean Fran ois Boulicaut INSA Lyon Daniel Herman Rennes 1 Colin de la Higuera Montpellier Il Odile Millet Botta Lyon 1 Jean Marie Raviart Valenciennes Pierre Claude Scholl Grenoble 1 Dans son tat actuel il n est que la synth se des points de vue de ses auteurs et par cons quent il n engage qu eux m mes 1 Objectifs des enseignements d informatique en Deug 1 1 L informatique discipline scientifique part enti re La discipline informatique est une composante reconnue des universit s Et la communaut scientifique informatique entend assumer son r le d expert comme toute autre composante disciplinaire au moment du choix d orientations pour les formations Parmi les disciplines scientifiques l informatique reste dans une situation tr s particuli re qui tient divers l ments L informatique est traditionnellement per ue en premier lieu par ses aspects technologiques Il convient de ne pas rester sur cette image par trop r ductrice et de la compl ter par ses aspects proprement scientifiques l informatique comporte des outils intellectuels bien r pertori s information mod lisation langages an
46. de tous les CR2 4 ans mais ne pr voit aucune promotion 3 ans Il devrait y avoir 5 promotions DR2 DR1 pour l ensemble du d partement sans pr r partition entre les sections C est un de moins qu en 1996 dans un contexte de baisse globale pour l ensemble du CNRS Les possibilit s de promotion la classe exceptionnelle ne sont pas pr r parties entre les d partements mais il devrait y en avoir pr s de deux fois plus que l an dernier Accueil de chercheurs Le syst me de la d l gation qui tait nouveau l an dernier a donn lieu des n gociations assez longues avec les universit s notamment sur le montant de la compensation vers e par le CNRS qui a t discut au cas par cas La moyenne en SPI a t une compensation du tiers du salaire et l essentiel des candidats retenus par les sections a pu tre accueilli Le principe de la d l gation est maintenu cette ann e et les n gociations devraient tre plus rapides car le minist re a fait savoir aux tablissements concern s que la compensation salariale devrait tre d un tiers N anmoins le directeur scientifique ne peut pas nous dire combien d accueils seront possibles cette ann e La campagne de recrutement chercheurs est prioritaire et elle est assur e par les postes lib r s en 1996 diminu s d un certain nombre de postes en surnombre qui seront rendus et augment s d une partie des postes lib r s en 1997 Si ce dernier volan
47. des enseignants titulaires 27 me section au 31 d cembre 1996 Compte rendu des sessions de 1997 de la section 27 du CNU Statistiques des promotions Liste de qualification aux fonctions de ma tre de conf rences 27 me section Liste de qualification aux fonctions de professeur 27 me section Listes des promotions de la section 27 Statistiques des Enseignants Titulaires 27 me section au 31 D cembre 1996 par Christian CARREZ Comme les ann es pr c dentes voici quelques tableaux statistiques sur les effectifs d termin s partir des Tableaux de classements des personnels enseignants titulaires au 31 D cembre 1996 tablis par le Minist re DPESR et diffus s aux tablissements Rappelons que ne sont pas comptabilis s dans ces statistiques les Ma tres de Conf rences stagiaires n1 les postes vacants De plus ces tableaux ne mentionnent pas les enseignants des autres corps comme les assistants par exemple Les enseignants en d tachement ou en disponibilit sont mentionn s et sont comptabilis s dans les statistiques mentionn es ci dessous Les informations fournies ici viennent en compl ment de celles donn es dans les bulletins pr c dents voir par exemple la bulletin 36 Physionomie nationale des corps La Figure 1 donne l histogramme de l volution de la section 24 puis 27 depuis 1990 Partie d un total de 1132 en 1990 la section a maintenant 1941 membres dont 545 professeurs soit une augmentation a
48. dossiers et du vote Il s agit d un progr s par rapport l ann e pass e qui va dans le sens de la motion adopt e il y a un an par la section 2 Accueils promotions et autres 2 1 Titularisation des stagiaires La section consid re que tous les charg s de recherche stagiaires ont eu une activit satisfaisante et vote leur titularisation Il s agit de P Abry D1325 Hansen J F Collard D1525 Gardarin S Demri C5522 Jorrand P Koiran D1398 Cosnard S Lacroix A8001 Laprie P Ossona de Mendez C0017 Rosenstiehl S Petitjean D0262 Pierrel M Torres Dolores Renda Q6070 Favier S Vaudenay D1327 Stern H Waeselynck A8001 Laprie S Yovine C9939 Sifakis 2 2 Demandes de prise en compte du tiers compl mentaire La section donne un avis favorable la prise en compte du tiers compl mentaire pour O Capp H Fargier Y Grandvalet F Meyer et J Vaganay 2 3 Laboratoires La section donne un avis favorable aux propositions de changement de directeur du CRAN URA 821 F Lepage remplace M V ron de l IMEC FR 67 D Courjon remplace D Hauden et du GdR Cassini Elle renvoie la session d automne son avis sur le remplacement de M Amiel par D Revel la t te de CREATIS UMR 5515 dans l attente d un compl ment de dossier Elle donne galement un avis favorable au transfert de M Soria et de l quipe de Ph Chr tienne C Hanen A Munier et doctorants du LIAFA au LIP6 1
49. e 1 4 Les objectifs de l enseignement L enseignement de l informatique pose de multiples d fis par la vari t des approches qu elle permet en mati re d objectifs de contenus ou de mise en uvre p dagogique Peut on d gager des objectifs pour la p dagogie d une discipline fondamentale dans le cadre d un enseignement de masse C est une question difficile du fait de la jeunesse de l informatique de la vari t des contextes universitaires qu il faut donc aborder progressivement au fur et mesure des exp riences Il faut ainsi essayer de d gager les principes de base permettant de situer les branches assez diff rentes que recouvre le terme informatique en vitant de tomber dans certains cueils connus un enseignement purement technique apprentissage d un langage un enseignement purement th orique 39 bases math matiques de l informatique un enseignement discipline de service manipulation de logiciels Au del d une pr sentation d l ments techniques un enseignement d informatique doit tre organis autour des aspects m thodologiques inh rents aux probl mes de conception d expression et de validation de fa on donner un socle de connaissances pertinent quelles que soient les poursuites d tudes envisag es Ce socle est clairement indispensable dans le cas des poursuites d tudes en informatique il l est tout autant pour une utilisation raisonn e des out
50. e le plus informatif possible de mani re ce que les rapporteurs puissent cerner avec le plus de pr cision les activit s du candidat selon les trois crit res de jugement de la carri re d un enseignant chercheur recherche enseignement et participation aux charges collectives Elle rappelle galement qu un bon dossier de candidature un emploi de Ma tre de conf rences est un dossier bien quilibr entre ces trois types d activit Pour les promotions le dossier devrait faire appara tre le plus clairement possible les diverses charges assum es ainsi que les travaux effectu s depuis la date de la derni re promotion obtenue D un point de vue global les points mis en avant dans le compte rendu de la session de l ann e pr c dente cf bulletin SPECIF n 36 restent d actualit En particulier pour les publications la section insiste sur le fait que la quantit ne fait pas tout Elle consid re qu il ne s agit pas uniquement d un probl me de comptabilit sur le nombre de publications le nombre de coauteurs la qualit de celle ci doivent tre pris en compte De plus la section regrette que parfois la liste des publications soit pr sent e de mani re ambigu que ce soit en ce qui concerne les coauteurs ou la nature de ces publications Les candidats peuvent se r f rer au document d aide la pr sentation du dossier qui apporte des informations pr cieuses ce sujet Les tableaux ci apr s mettent
51. e tiendront ensuite du 28 au 30 mai Il est rappel que les classements tablis par ces jurys sont provisoires Les d cisions d finitives sont prises apr s la r union du jury d admission du d partement SPI en juillet La session d automne de la section 07 aura lieu vers la mi octobre 1 Questions de politique g n rale 1 1 Intervention de J J Gagnepain Le directeur scientifique du d partement commence par quelques points sp cifiques mais impor tants il s agit d une part de rappeler l importance des comit s scientifiques informels que les laboratoires sont encourag s organiser mi chemin entre leurs v ritables comit s scientifiques et d autre part de rappeler que dans les UMR toute int gration d une quipe doit tre approuv e par le Comit National Sur la campagne 1996 Les seules cr ations du d partement SPI ont eu lieu en 07 2 URA le LSV Cachan et ETIS Cergy Pontoise La section 08 ne proposait aucune cr ation La 09 et la 10 avaient des propositions dont la direction a estim qu elles n apportaient rien d exceptionnel au dispositif du CNRS sans mettre pour autant de r serves sur leur qualit Recrutements et promotion des chercheurs La campagne 1997 de recrutement de chercheurs est grosso modo quivalente celle de 1996 pour le d partement Il y aura 28 postes de CR comme en 1996 3 CR1 et 25 CR2 20 postes de DR2 et le budget permet la promotion au grade de CR1
52. e un mode d emploi de la mobilit d finitive le directeur de SPI encourage quant lui la mobilit temporaire et la direction des relations avec les entreprises est r organis e en une d l gation aux affaires industrielles dont une des t ches sera apparemment d organiser ces mobilit s la direction du CNRS semble tre ballott e sur le flot des contraintes budg taires La motion adopt e par la section en appelle une gestion positive donc respectueuse de la carri re des chercheurs Il est clair que si les chercheurs n ont aucune perspective de carri re on va aller au devant d une d mobilisation ravageuse L objectif de la mobilit pourrait alors se r aliser par une fuite qui viderait le CNRS de sa substance Est ce le but Cela serait en tout cas bien contradictoire avec les discours du CNRS sur la men e d une v ritable politique scientifique qui ressort effectivement de sa mission Du c t de l emploi ITA la situation est au moins aussi bloqu e Certes les AFIP ont permis de cr er un certain mouvement au sein du corps ITA mais certains chiffres sont parlants au concours ITA pour SPI 1 poste en 1997 Le rapport r cemment remis par A Costes la direction du CNRS dit clairement le danger qu il y a laisser diminuer ainsi le nombre d ITA La direction dit et c est s rement exact que le nombre de postes budg taires lui est impos de l ext rieur par le Minist re du budget On peut l imagi
53. ement vis vis des domaines la frange d autres sections e exigences pour la qualification enseignement publications valorisation de logiciels etc e travail de la section et de son organisation e mobilit des candidats Session de promotion La deuxi me session a eu traiter toutes les questions autres que les qualifications savoir 3 Le bilan par rapport aux qualifi s de 92 95 n a pas t fait a 99 gt e les demandes de reclassement le CNU doit statuer sur le niveau de comp tence exerc par le candidat durant la p riode que celui ci d sire voir prise en compte De ce point de vue tr s souvent les dossiers soumis n ont qu un contenu strictement administratif Cela ne facilite pas la t che des rapporteurs Il est donc tr s important que les nouveaux coll gues soient inform s par leur environnement local de la n cessit de constituer un v ritable dossier scientifique e les attributions de semestres de cong s sabbatiques l inverse de l ann e derni re nous avons eu moins de demandes d attributions de semestres de cong s que de possibilit s Il n y a donc eu aucune difficult satisfaire les demandes e les promotions En ce qui concerne les promotions la section a d cid d organiser un syst me d valuation des dossiers avec deux rapporteurs Cela a impliqu une organisation interne relativement complexe puisque toute la charge de la mise en place logistique
54. en compte du stage dans l anciennet officielle d autre part l activit du candidat avant sa nomination dans le corps comme assistant ATER moniteur etc On retrouve des caract ristiques peu pr s identiques celles de 96 Les non candidats dans la voie 1 semblent constituer un milieu plus h t rog ne que les candidats Dans l ensemble les promus constituent un milieu assez homog ne dans leur groupe du point de vue anciennet les promus locaux tant l g rement plus g s avec une anciennet th orique l g rement plus grande que les promus cnu Cela peut vouloir dire que certains d entre eux sont depuis plus longtemps dans le syst me et que leur tablissement en a tenu compte Les candidats de la voie 3 sont plus g s et ont une anciennet un peu plus grande 275 voie MCF2 gt MCF1 effectif ge EE moyen officielle FBaB 745 343 promus CNU 33 34 sa 321 RE ms I EU e a E Passage MCFI vers MCF hors classe La diff rence entre l anciennet th orique et l anciennet officielle est due d une part au fait que le corps ayant 12 ans d existence l anciennet officielle ne peut tre sup rieure m me si les ma tres de conf rences sont d anciens ma tres assistants d autre part leur situation avant leur passage en premi re classe La proportion de non candidats en voie 1 augmente 63 contre 55 l ann e derni re chacun a conscience que la comp tition est ici tr s dure
55. en cr dibilit Obtenir les moyens e Les coll gues des autres disciplines Ils travaillent avec les m mes tudiants et participent ainsi part enti re la diffusion de l image de l informatique Ils partagent les m mes ressources et influent ainsi sur l obtention des moyens Montrer l int r t de la discipline Collaborer lors de l accueil et l information des tudiants tablir des bases de collaboration enseignement et recherche e Les tudiants 44 Diffuser une probl matique de l informatique m thodes d analyse et de raisonnement types de probl mes abord s modes de formulation d expression quilibre entre th orie et pratique etc Eclairer sur la recherche en informatique Informer sur les m tiers en informatique 3 2 Mise en uvre p dagogique Quelques slogans li s en particulier un enseignement de masse et la sp cificit du Deug respecter imp rativement de mani re donner un cadre classique la p dagogie et ne pas singulariser inutilement l informatique a Quelques constats e Un grand nombre d enseignants des renouvellements fr quents la participation de vacataires de moniteurs autant de facteurs qui s opposent m caniquement au maintien d une unit de traitement des tudiants et rendent difficile la p rennisation de l enseignement et son organisation Il est donc n cessaire de constituer des quip
56. ens de programmes pr cis et d taill s De tels programmes pourraient servir de r f rence et dans la mesure o les rapports de force le permettent de guide pour valuer les demandes d habilitation Vis vis de cette question il semble qu il soit difficile de trancher entre les deux positions extr mes dont nous donnons bri vement les avantages respectifs a Des r serves quant l existence de programmes d taill s normatifs Pour tayer une m fiance vis vis de programmes d taill s on peut avancer divers arguments e C est la d finition m me du m tier d enseignant chercheur qui donne aux acteurs sur le terrain une tr s large latitude dans la d finition des programmes d enseignement Il s agit de tirer rapidement profit des avanc es de la recherche et certains pensent que cet argument s applique autant aux Deug qu aux autres cycles de l enseignement sup rieur En tout tat de cause cet argument est renforc par le taux d volution de notre discipline La comparaison avec l introduction de l informatique dans les CPGE illustre cette conception de notre m tier 40 L extraordinaire diversit de l implantation de l informatique dans les universit s rend un programme normatif soit totalement inapplicable en certains lieux soit minimaliste L absence de normes trop pr cises permet de profiter ponctuellement des rapports de forces favorables qui peuvent servir d exemples ailleurs Noto
57. erait au moins de gaspiller du temps et de l argent pour la pr paration de dossiers inutiles Il ne s agit pas d une revendication exorbitante La fluctuation des r gles du jeu se retrouve encore dans la distinction UMR UPRESA qui n tait pas au programme de cette session de printemps qui a vari d une ann e sur l autre qui variera peut tre encore et qui elle aussi fait l objet d une d claration de non transparence de la part de la direction du CNRS voir le compte rendu de la session d automne Les motions vot es dans d autres sections qui font cho aux n tres montrent que notre sentiment est partag que le malaise gagne Il est clairement perceptible que le CNRS est en train de changer de face et que ce changement n est pas conduit en concertation troite avec la communaut scientifique Les premi res d clarations de Guy Aubert et ses premiers actes portaient l empreinte d un style de gouvernement en rupture avec la culture relationnelle au CNRS Il n est donc pas surprenant que la proc dure adopt e pour la d finition et le fonctionnement des programmes interd partements soit ce qu elle est Le CNRS semble tre l objet dans l esprit de certains d une pr tendue rationalisation sur le mod le bien connu de la rationalisation d entreprises de production Comme dans le monde de la production cette rationalisation se fait en force et en secret donc implicitement contre les acteurs en jeu Co
58. es p dagogiques structur es autour d un noyau d enseignants chercheurs exp riment s e Horaire limit p riodes d enseignement relativement courtes emplois du temps charg s p nurie de locaux etc s opposent toute improvisation et laissent peu de degr s de libert dans l organisation et le d roulement En particulier il est impossible de coordonner une quipe d enseignants si la progression de l enseignement d coupage des cours et des TD sc narios de TP et les objectifs des contr les de connaissances ne sont pas pr vus de mani re pr cise avant que la session ne commence e H t rog n it du public par les acquis par les motivations nouveaut de la discipline pluridisciplinarit des formations de Deug requi rent beaucoup de r alisme dans la mise en uvre des contenus du point de vue des rythmes et des activit s propos es Ne pas sous estimer la nouveaut du vocabulaire la difficult des notions de base le temps n cessaire la maturation des notions pour un auditoire n ayant que tr s peu de rep res et peu d exp rience en mati re de structuration de l apprentissage Ne pas surestimer le temps consacr par les tudiants l informatique et tenir compte de la charge de travail des autres disciplines De mani re g n rale le temps de travail personnel est faible en Deug l autonomie n est pas tr s grande Encadrer fortement le travail pratique et limiter la
59. f rence pour niveler les diff rentes difficult s financi res administratives e Enfin C All gre a insist sur l introduction de la professionnalisation dans toutes les fili res la gestion des labos CNRS par les Universit s et non plus par les d l gations r gionales ainsi que sur la gestion des bourses par les Universit s et non plus par les CROUS _ 64 SPECIF Bulletin d adh sion 1997 Tous les adh rents non jour de leur cotisation sont invit s transmettre leur r glement soit par l interm diaire de leur correspondant soit directement au responsable des adh sions l adresse suivante Bernard HEULLUY Adh sions SPECIF IUT de Metz D partement Informatique Ile du Saulcy 57045 METZ CEDEX 1 t l 33 0 3 87 31 5593 fax 33 0 3 87 31 51 89 email bernard iut univ metz fr http www labri u bordeaux fr LaBRI Specif Merci d indiquer votre nom dans la fiche et de ne la remplir enti rement qu en cas de nouvelle adh sion ou de changement d adresse Adh sion en tant que Q Personne Physique Q Personne Morale Q M U Mme Q Mlle NOM Rd ne tes Sn PENODI S sistema annees Fonction EnSeisnantChe tcheur Lis Mises nan strates ere Ne AR te A era EE ii Etablissements sisi ie ia dro drama ere ae Ernest aboratoire ss ainsi meme a AR dede lenteur Adresse d exp dition du bulletin Attention cette adresse est publi e dans l annuaire de Specif sauf avis contraire de votre part S a
60. git il de votre adresse personnelle O N ADP OrSamSmes Se ie EEE E in A OOS aa AD2 U it ou D partement C de oni u EEEE a e N sonne E E O E TAi AD3 B timents rue BP se Maison it tarde ss A EA E E EEEE ER AD4 Cod Postal et Valle sine en Re dr te Ne RS nt see En T l phone s less sieste ets net E ne need tes T l copie o seter RES 2 ne ce en re SG Adresse lectronique 25e nie AR Re ei An RAR a don ne nd 2e Si vous ne voulez pas que votre adresse soient diffus e dans l annuaire de Specif signez ici q g R glement adh sion ann e CIVILE 1997 Personne Physique 200 F Personne Morale 1000 F S agit il Q d une Nouvelle adh sion Q d un Renouvellement d adh sion R glement l ordre de SPECIF Montant issues par Q Ch que Q CCP Liste des zones de rattachement entourez votre zone AIX 3 AIX_IUP AIX_IUT AMIENS ANGERS ARTOIS_LITTORAL BAYONNE BELFORT BESAN ON BORDEAUX_l BORDEAUX_ENSERB BORDEAUX_IUT BREST CAEN CHAMBERY CLERMONT COMPIEGNE CRETEIL DIJON EVRY GRENOBLE GUADELOUPE LA_REUNION LA_ROCHELLE LANNION LE_HAVRE LE_MANS LILLE LIMOGES LYON_1 LYON_3 LYON_ECL LYON_ENS LYON_INSA LYON_IUT MARNE_LA_VALLEE MARSEILLE_l MARSEILLE_2 MARSEILLE_IUFM MARTINIQUE METZ MONTPELLIER MULHOUSE NANCY NANTES NICE NICE_IUT ORLEANS ORSAY_IUT PACIFIQUE PARIS_1 PARIS_2 PARIS_5 PARIS_5_IUT PARIS_6_LAFORIA PARIS_6_LITP PARIS_6_MASI PARIS_7 PARIS_8 PARIS_9 PARIS_10 PARIS_11 P
61. gogique en informatique Annonce des journ es nationales Specif sur les DEUG Bulletin d inscription aux journ es sur les DEUG Vers une plate forme pour l informatique dans le Deug sciences et technologies Panorama des DESS en informatique Projet de serveur p dagogique en Informatique Jean Marc F dou Beaucoup d entre nous crivent des polycopi s des supports de cours des feuilles de TD de TP des sujets d examen des projets des corrections qui sont souvent tr s bien faits mais qui ne sont en g n ral utilis s que localement Le projet est donc de cr er un site www permettant la soumission et la diffusion de documentation p dagogique en Informatique Le projet est maintenant bien avanc puisqu un site exp rimental devrait fonctionner la rentr e et le site devrait ouvrir officiellement d but 1998 Il ne s agit pas de cr er une revue lectronique vocation p dagogique Specif ne fait qu un relais entre les auteurs et les utilisateurs Les documents eux m mes seront g r s et diffus s par leurs auteurs Le serveur proposera une description des documents accessibles th me type de document polycopi transparents TD TP projets public vis nombre d heures pr vu plan d taill format du document postscript html word pdf ainsi que le lien par lequel le document lui m me est accessible ftp ou www On disposera galement d un moteur de recherche et de statistiques de consultatio
62. helons 1 2 ou 3 par opposition aux chelons 4 et 5 On voit l l effet des recrutements depuis 8 ans environ 2000 1800 1600 1400 o MCF2 1200 r 1000 OPR2 800 OPRI 600 E PRCE 400 200 0 92 93 94 Figure 1 Effectifs et r partition des enseignants entre 1990 et 1996 La Figure 2 pr cise les flux entre les diff rents corps et classes repr sent s par des arcs orient s valu s par le flux lui m me ainsi que les flux avec l ext rieur repr sent s par des cercles De plus les effectifs au 31 d cembre 1996 de chaque classe sont indiqu s On peut constater comme l ann e derni re le fort taux de renouvellement de la deuxi me classe des ma tres de conf rences puisqu il y a eu 24 33 en 95 d entr es et 24 27 en 95 de d parts la plupart vers la premi re classe Rappelons que les ma tres de conf rences stagiaires ne sont pas mentionn s dans les tableaux du minist re Il s en suit que la grande majorit de ces entr es sont le r sultat des recrutements de 1994 ou de 1995 et non de 1996 D apr s les listes du minist re bulletin 36 il y a eu 109 recrutements dans le corps des ma tres de conf rences en 1996 Par contre les recrutements de professeurs sont imm diatement mentionn s dans les tableaux Les listes ne faisaient appara tre que 25 recr
63. ifi s Ma tres de 262 26 236 conf rences Professeurs 56 17 39 On note donc une progression de 7 6 du nombre de candidats la qualification Ma tres de conf rences ainsi qu une progression de 14 3 du nombre de candidats la qualification Professeurs Cette ann e 11 7 des candidats Ma tres de conf rences n ont pas t qualifi s contre 9 9 l ann e derni re parmi les non qualifi s 3 n ont pas envoy de dossier Pour ce qui concerne les candidats Professeurs 21 9 n ont pas t qualifi s contre 30 4 l ann e derni re parmi les non qualifi s 2 ne se sont pas pr sent s l audition On remarque donc une quasi stabilit dans les r sultats au niveau des Ma tres de conf rences et une nette progression favorable des r sultats au niveau Professeurs Par ailleurs parmi les candidats Ma tres de conf rences 48 avaient t d j qualifi s l ann e derni re A une exception pr s ces 48 candidats ont t requalifi s Pour les candidats Professeurs 8 avaient t qualifi s l ann e derni re tous ont t requalifi s cette ann e Remarques sur la session de qualification Comme l ann e derni re les candidats non qualifi s ont re u du pr sident de la section une petite phrase expliquant la raison de ce refus La section a regrett que le minist re n ait pas modifi la r gle en vigueur pour les postes publi s sur deux secti
64. ili re technologique Rencontre avec le SNES voir dossier agreg capes II DEUG Le groupe de travail sur le deug dirig par R gine Reynaud dont font partie des membres de specif JF Boulicaut D Herman et O Millet Botta en particulier a r dig un document de travail provisoire Des questions sont abord es dans la discussion qui s ensuit implantation du semestre initial faut il ou pas des programmes quoi traiter horaires ceux ci sont jug s trop contraignants vu la diversit des situations et il semble plut t souhaitable d tablir des objectifs Il est important de se battre localement pour promouvoir la discipline Apres discussion il est propos que les journ es deug soient coupl es avec l AG de specif Lyon les 26 27 28 novembre Ces journ es permettront d tablir une position fondamentale sur l informatique en deug III Fili re Technologique Le minist re a un projet de fili re technologique de Bac Bac 5 Des passerelles sont pr vues par ex la poursuite apr s un DUT devient tout fait normale Une question importante est la cr ation d une fili re Informatique pour les IUP Actuellement les formations informatiques sont sous les intitul s MIAGE ou GMI Il est possible de pousser une cr ation d une nouvelle fili re informatique autour des mots cl s g nie logiciel r seaux t l coms avant que d autres ne les r cup rent qui regrouperait en particulier certains des IUP GMI actuels qui le souh
65. ils et m thodes de l informatique dans les autres disciplines Un objectif global peut tre de transmettre une attitude scientifique vis vis des programmes des algorithmes des descriptions d analyses et de probl mes etc objets susceptibles d tre manipul s par l homme plut t qu objets d ex cution par une machine La motivation premi re des tudiants est le plus souvent li e la machine Il faut la r orienter vers l activit humaine Il faut leur faire comprendre le besoin d une attitude rationnelle et m thodique Il faut quilibrer leurs go ts et leurs nergies entre les probl mes de conception la r utilisation ad quate de techniques r pertori es et la mise en uvre concr te Un l ment essentiel dans la structuration de l apprentissage est une claire perception des divers niveaux de complexit qui caract risent l informatique complexit factuelle inh rente aux probl mes et aux limites des machines complexit technique li e la vari t des outils et leur sophistication et complexit conceptuelle impos e par la distance entre l nonc d un probl me et une solution informatique Il faut rep rer ces divers types de complexit et placer des lignes directrices simples permettant de leur faire face classification des types de probl mes organisation m thodique et hi rarchique des connaissances techniques mise en vidence de m thodes d analyse approche pratique exp
66. istration du 26 juin 1997 60 Bull tin d adh sion 1996 5eme E 65 Liste d s correspondants de SDCIL 23 nas ne ta 66 Compte rendu intersyndical de la session de printemps de la section 07 du comit national de la recherche scientifique ler au 4 avril 1997 R Chatila SNCS P Escudier SNCS J Le Maitre SGEN P Lirou SGEN M Roussaly SNIRS CGC P Sainrat SNCS A Valibouze SNESup P Weil SNCS Membres de la section Pr sents D Arqu s M Ban tre R Chatila membre du bureau P Comon J Descusse pr si dent P Escudier G Favier J P Gouyon J L Lacombe J C Laprie N Lefort Piat J Le Maitre P Lirou B Plateau membre du bureau M Richetin membre du bureau M Roussaly P Sainrat P Sall A Valibouze E Walter P Weil secr taire scientifique Ont particip galement aux travaux de la section B Dubuisson directeur scientifique adjoint du d partement Sciences pour l Ing nieur SPI J C Pomerol charg de mission SPI pour la section 07 et B Lorho repr sentant du MENESR Principaux points du d roulement de la session Au cours de la premi re journ e de ses travaux la section a entendu les interventions du directeur scientifique du d partement SPI J J Gagnepain et de M Weinfeld charg de mission Formation permanente pour le d partement En dehors de ces interventions les t ches les plus lourdes de la section pour cette session taient l examen de
67. iv lille1 fr 23 23 29 30 29 30 Syst mes d information et d aide la d cision SIAD Luc Buisine LYON I U Claude Bernard UCBL Informatique et productique J M Brun Informatique Images et R seaux Denis Vandorpe vandorpe ligiahp univ lyon1 fr Informatique documentaire avec ENSSIB Pierre Poncet poncet p cismsun univ lyon1 fr Richard Bouch bouche enssibhp enssib fr LYON II U Lumi re Informatique Ing nierie informatique pour la d cision et l valuation conomique Omar Boussaid Patrick Sylvestre Baron Organisation et protection des syst mes d information dans l entreprise Nouria Harbi Abdelkader Zigued Statistiques et informatique socio conomiques Jean Hugues Chauchat Michel Vate MARNE LA VALLEE Logiciels fondamentaux 1995 Didier Arqu s arques univ mlv fr MONTPELLIER II CNAM http wWww univ montp2 fr Informatique appliquee aux organisations Th r se Libourel libourel lirmm fr Michel Meynard meynard lirmm fr 34 37 29 33 x x T l informatique bases de donn es et interface homme machine Claude Boksenbaum boks lirmm fr Marc Nanard CNAM mnanard lirmm fr 44 47 52 53 47 52 49 NANCY I U Henri Poincar Informatique Marie Christine Haton mchaton loria crin fr 36 37 39 39 42 42 Informatique CCI Karol Proch Karol Proch loria fr 15 18 16 18 13 17 Ing nierie math matique et outils informatiques IMOI Francis Conrad Francis Conrad iecn u nancy fr 20 20
68. jlali Guy Bouali Fatma EL Mabrouk p Nohair Nadia Boufkhad Yacine El Maftouhi Abdellhakim Bouganim Luc Encrenaz p Tiphene Emmanuelle Bouleksibat p Alloui Ilham Escazut Catherine Boulet Pierre Fabre p Rouseau C cile Bounaas Fethi Farenc Christelle Bournaud p Zucker Isabelle Favre Jean Marie Bouzy Bruno F vrier Arnaud Boyer Edmond Fioro Christophe Braffort Anne Fladenm ller Anne Bruel Jean Michel Fleurquin R gis Brun Luc Fleury Eric Bucciarelli Antonio Freitas Antonio Calbrix Hughes Froidure V ronique 29e Fromentin Eddy Gabillon Alban Gaff Daniel Garcia Bruno Laurent Garcia p Salicetti Sonia Ghodous p Shariat Parisa Giannakos Aristotelis Godereaux Christophe Gonzales Christophe Gryl Agn s Guessoum Zahia Guillet Fabrice Guinand Fr d ric Habibi Arash Hadjiat Malika Halfed Ferrari Alves Mirian Henry Jean Luc Hifi Mhand Holzbacher p Jensen Anne Alexandra Holzschuch Nicolas Hubert Gilles Idasiak vincent Incitti Roberto Jacob Bruno Jambon Francis J z quel Fabienne Joly Philippe Jorda Jacques Julia Sandrine Kant Jean Daniel Kermarrec Anne Marie Khoul Le la Lacoste Thierry Laforest Christian Laforest Fr d rique Lafourcade Mathieu Lagasque p Schiex Marie Christine Lahlou Youssef Laiymani David Langlais Philippe Lapujade Anne Lavatelli p Fullana Carolina Lazard Sylvain Lazarus Francis Le Rest Erwan Le Strugeon p Grislin Emmanuelle Le Va
69. l informatique dans les Deug sciences et technologies a pour but principal de donner une culture g n rale en informatique et de ce fait il s agit avant tout de donner des bases m thodologiques L objectif est bien de donner aux futurs cadres et enseignants de ce pays la capacit d int grer des outils informatiques divers dans leur pratique professionnelle Mais compte tenu de l horizon lointain il ne s agit pas d un cycle final il importe de comprendre qu il s agit des outils de demain et d apr s demain et non de ceux d hier Cette remarque de bon sens a une cons quence lorsqu on prend en compte la traditionnelle s paration entre informatique disciplinaire et informatique outil pour de futurs scientifiques ou technologues l initiation aux outils informatiques doit imp rativement tre conduite la lumi re des concepts de base de la discipline Par ailleurs il convient de noter que les enjeux conomiques de l introduction de l informatique en premier cycle sont loin d tre mineurs Notre pays cultive en effet en mati re d informatique un paradoxe original un excellent niveau technologique au plan des capacit s de production se double d un retard certain au plan de l utilisation la sous utilisation des r seaux informatiques en est h las une marque vidente et co teuse Le manque de culture informatique profonde des cadres scientifiques et techniques nous semblent tre u
70. la propri t intellectuelle Il est bien sp cifi dans le contrat que celle ci porte uniquement sur le d veloppement et non pas sur le contenu A partir de fin septembre J M F dou veut compl ter le contenu du serveur en tenant compte des diff rents horizons IUT IUP Licence Ma trise Ecoles Il est donc demand aux membres du CA de trouver des gens int ress s pour fournir les donn es au serveur et un appel soumissions devrait para tre dans le bulletin A l heure actuelle il dispose de suffisamment de mati re premi re pour la phase de test mais 1l renouvelle son appel la relecture des diff rents documents qui pourraient lui tre propos s Le serveur devrait tre rendu public au moment de l AG Un Ma tre de Conf rences de Nice supervisera le travail de d veloppement du serveur IS Le point sur les demandes de subventions est ensuite abord e Riveill signale que l Aupelf serait int ress e et qu elle pourrait apporter une aide financi re J M F dou doit les contacter e Dauchet rappelle qu en principe le Minist re doit accorder une subvention de 30 000 F et il doit contacter F Sedes pour faire le point e F dou signale la pr sence de l IMET et se renseigne sachant qu en contre partie il faudrait installer un site miroir tout fait compatible avec le contrat II Le point administratif Adh sions B Heulluy souligne qu l heure actuelle il y a une baisse de 10 15 des inscriptions par
71. mbre Lyon Programming 1997 URL http wWww insa lyon fr Insa Laboratoires L31 wrtp97 html GRETST 97 Traitement du signal et des images 15 19 septembre Grenoble URL http www gretsi97 cephag inpg fr 1997 Cinqui mes Rencontres de la Soci t Francophone de 17 19 septembre Lyon Classification 1997 URL http chirouble univ lyon2 fr sfc sfc html Ecole d t Temps r el 97 Applications R seaux et Syst mes 22 26 septembre Poitiers URL http www lisi univ poitiers fr etr97 1997 Quatri me conf rence internationale Hypertextes et 25 26 spetembre Paris hyperm dias r alisations outils m thodes 1997 e mail conf97 labart univ paris8 fr ICSM 97 International Conference on Software Maintenance 29 30 septembre 1 Bari URL http wWww cis ohio state edu harrold icsm97 3 octobre 1997 SOSP 97 16th ACM Symposium on Operating Systems 5 8 octobre 1997 Saint Malo Principles URL http SOSP16 risa fr LMO 97 Langages et Mod les Objets 22 24 octobre Brest e mail ducour lirmm lirmm fr 1997 ACS 97 Conference on applications of computer systems 13 14 novembre Szczecin e mail januszki beta ii tuniv szczecin pl 1997 PROMSMmNet 97 International Conference on Protocols 24 26 novembre Santiago for Multimedia Systems Multimedia Networking 1997 URL http cc lab u aizu ac jp promsmmnet97 Journ es Specif sur les Deug 25 28 nov 1997 Lyon EWCSMR 98 Euromicro Working Confernece on Software 9 11 mars 1998 Florence
72. mme dans le monde de la production le co t de ce type de rationalisation est immense et se paiera longtemps Parce que le CNRS n est pas une entreprise de production ce co t ne se pr sente pas sous la forme de cohortes de licenciements mais il aboutira une perte de substance de l organisme Soyons plus pr cis Certains termes apparaissent de fa on r p t e dans nos analyses absence de transparence et absence de politique On a insist plus haut sur l absence de transparence et sur les aspects d sastreux de ce qui tient lieu de politique de gestion des ressources humaines Malgr les pr tentions de la direction du CNRS mener une politique scientifique nous n arrivons pas voir clairement quelle est cette politique quelles sont ses priorit s ni par qui et en fonction de quoi 12 elle est d termin e La direction du CNRS semble agir au coup par coup que ce soit travers la politique de contractualisation travers le lancement de programmes ou travers la d finition des nouveaux GdR Nous sommes bien oblig s de nous demander appelons un chat un chat si cette situation cache un objectif d lib r d affaiblissement ou d touffement du CNRS en vue de sa suppression e La d motivation des chercheurs par l absence de perspectives de promotion et par l encou ragement au d part ne peut pas renforcer l organisme Pour les universit s une association forte avec le CNRS est de m
73. mmes Il reste donc 170 MF pour les programmes inter disciplinaires ou inter d partements et on ne peut pas dire quel pourcentage de cette somme arrivera dans les laboratoires SPI Les programmes ont t lanc s il y a un an environ 150 projets ont t d pos s avant l t Apr s un premier travail de regroupement et de remise en ordre on est arriv dans le courant de l automne une trentaine de projets Le choix a t fait de confier l valuation de ces programmes au conseil scientifique Il en a approuv 18 il y a quelques semaines approbation qui a t promptement mise en forme et transmise au conseil d administration du CNRS qui les a galement approuv s Il est donc possible de mettre en place ces programmes d s maintenant mais ils sont en r alit dans des tats d avancement diff rents Les autres projets seront examin s aux prochains conseil scientifique fin avril et conseil d administration juin Le premier groupe conna tra ses premi res notifications en juillet le second en septembre Une question porte sur l aspect pluriannuel du financement de ces projets Les 18 programmes d j approuv s consommeront environ les 3 4 des 170 MF disponibles voir ci dessus Ces 170 MF sont des AP97 autorisations de programme Dans les programmes approuv s est inscrite une enveloppe pluri annuelle Chaque ann e il faudra mobiliser les CP cr dits de paiement correspondants en fonction de la situation Le foncti
74. n Gong Hubert Lecl re Michel Lefevre Laurent Legros Emmanuel Lietard Ludovic Limet S bastien Log Christophe Mah o Yves Marchand Eric Marcheix David Marcus p Da Silva Ferrei Karina Maret Pierre Marmorstein p Wynter Laura Martin Lionel 298 Mascarilla Laurent Mazigh Belhassen Mela Augusta Mengelle Thierry M nier Gildas M nissier p Morain Val rie Merle Philippe Meseure Philippe Michel Fran ois Michel Olivier Mikou Noufissa Mirbel Isabelle Moinard Claudine Molli Pascal Monteiro Palagi Patricia Moreaux Patrice Morvan Franck Moudenc Thierry Moukrim Aziz Moulinier Isabelle Munteanu Paul Nagih Anass Namyst Raymond Nana Tchamnda Laurent Nicod Jean Marc Nicomette Vincent Nigro Jean Marc Normand Nicolas Ouzrout Yacine Parent p Vigouroux Catherine Parissis Ioannis Paulin Mathias Pellegrini Fran ois Peninou Andr Petit Jean Marc Pican Nicolas Pierson Jean Marc Pointcheval David Poirier Christelle Poitrenaud Denis Portafaix p Baudouin Val rie Poulet Fran ois Ravat Franck Reffay Christophe Ricquebourg Yann Rifqi p Berger Maria Rigotti Christophe Ris Philippe Rivi re St phane Robilliard Denis Roca Vincent Roegel Denis Rosmorduc Serge Roupin Fr d ric Roussel Olivier Roux Michel Roz Laurence Rusu Vlad Sagot Marie France Saint Joan Denis Sakdavong Jean christophe Sala Michel Salinier Bruno Saubion Fr d ric Schang Daniel Schweyer Bettina Sebban
75. ne des explications ce paradoxe 1 3 Poursuite d tudes en informatique En ce qui concerne la pr paration en premier cycle des tudiants qui choisiraient de se sp cialiser en informatique partir du deuxi me cycle les informaticiens d sirent pouvoir s adresser aussi bien aux tudiants ayant choisi les mentions Mias Mass STPI ou SM Un deuxi me cycle en informatique est en effet susceptible d accueillir e des tudiants form s dans un contexte fort caract re th orique ou abstrait pouvant par exemple s appuyer sur une dominante en math matiques ou sur les aspects th oriques de la physique ou de la m canique e des tudiants form s dans un contexte alliant la rigueur des math matiques aux pr occupations des sciences humaines e des tudiants form s dans un contexte technologique e des tudiants form s dans un contexte plus orient vers la mod lisation l exp rimentation s appuyant par exemple sur une dominante dans les disciplines relevant des sciences physiques Ceci est li la vari t des champs couverts par la discipline informatique et la diversit des m tiers sur lesquels d bouchent les formations que ce soit dans le monde industriel ou dans celui de la recherche et de l enseignement Il doit tre clair que la pr paration un second cycle en informatique suppose que la composante disciplinaire soit privil gi e dans les bases informatiques donn es en premier cycl
76. nement Sup rieur est au coeur du coeur e La priorit l emploi en insistant sur le recrutements des jeunes et plus particuli rement des jeunes doctorants Le nombre de postes d ATER et de post docs devrait augmenter e La proc dure de recrutement des enseignants chercheurs devrait tre simplifi e et revenir l ancien syst me qualification puis concours local C All gre estime que les CS poss dent trop de membres et pas assez de personnels ext rieurs e Le Ministre a insist sur la mise en oeuvre des r formes du premier cycle avec toute latitude d am nagement par les Universit s Il r affirme les 4 principes importants capitalisation semestrialisation modularisation et r orientation et insiste sur la n cessit d une r flexion de fond sur la p dagogie en cr ant par exemple des conf rences p dagogiques th matiques Il pr cise qu il ne veut pas secondariser l enseignement sup rieur et qu il ne devrait plus y avoir de recrutements de PRAG e All gre a rappel l importance de la d bureaucratisation et estime que le nombre de commissions doit tre divis par 4 et le nombre de CS par 2 e Il est pr cis que le gouvernement veut renforcer la politique contractuelle avec les entreprises renforcer la citoyennet dans les universit s renforcer la formation continue y compris en direction _ 63 des enseignants primaire et secondaire et renforcer les changes entre pays europ ens cr ation d une con
77. ner C est donc au dessus de la direction du CNRS qu il faut faire passer le message Pour les ITA les AFIP sont en place pour la deuxi me ann e cons cutive Cela repr sente un 11 changement Mais dans quelle direction allons nous Quels sont les projets de la direction Le moins qu on puisse dire est qu ils ne sont pas d battus sur la place publique Comme la gestion des carri res des chercheurs la question de l emploi ITA ne fait l objet d aucune discussion d aucune information de la part de la direction du CNRS Passons rapidement sur le budget il est tr s mauvais dans la lign e d une d croissance plurian nuelle de ce qui est mis la disposition des laboratoires m me si l on fait un peu mieux que l ann e 1996 qui avec les remont es surprises avait t spectaculaire cet gard L absence de transparence se manifeste encore par la politique des programmes dont la section a t inform e par le directeur scientifique du d partement SPI Les sections ont litt ralement d couvert ces programmes en session et sur la base d une pr sentation orale La direction du d partement nous confirme chaque occasion combien le r le des sections est important m me s il n est que consultatif mais elles ne sont pas consult es La motion adopt e par la section voir plus haut est mod r e dans son ton d autres sections ont adopt des motions similaires sur le fond parfois beaucoup plus virule
78. nnuelle moyenne de 9 4 On peut noter un certain tassement de cette augmentation puisqu elle n est que de 5 8 la derni re ann e Cette progression n est pas la m me dans les deux corps puisque les professeurs augmentent en moyenne de 7 6 par an 4 2 en 96 alors que les ma tres de conf rences augmentent de 10 4 par an 6 8 en 96 Ceci conduit une d gradation continue du rapport professeurs sur l ensemble De 31 en 1990 il est descendu 28 1 en 1996 avec une perte de 0 4 la derni re ann e Comme je l ai d j dit il est pourtant d j tr s en dessous de la moyenne de 40 toutes sections confondues et de 38 pour les sections Sciences A l int rieur du corps des professeurs la proportion des classes exceptionnelles et de premi re classe tend se stabiliser apr s les accroissements que l on avait connu de 90 93 Dans le corps des ma tres de conf rences apr s une longue p riode de stabilit on peut noter une l g re diminution du taux de seconde classe actuellement 32 La section 27 est cependant toujours loin des sections 25 20 et 26 25 Il semble bien cependant que ceci soit d l expansion de la discipline comme on le verra par la suite TT On peut noter que dans notre discipline les MCF 1 au 6 me chelon repr sentent 7 de l ensemble des MCF alors qu ils repr sentent 24 en section 25 Par contre on note pour l ensemble des 3 sections un taux assez fort dans les c
79. ns Il nous a toutefois paru indispensable d effectuer une v rification des documents propos s Pour cela nous constituons un Groupe de R flexions P dagogiques dont le r le sera de v rifier d une part que le document est effectivement r cup rable imprimable et d autre part qu il ne contient pas de contrev rit s flagrantes Nous ferons en sorte que le Groupe de R flexions P dagogiques soit repr sentatif des diverses mati res enseign es des divers types et localisations d tablissements Ecrivez moi fedou unice fr si vous tes int ress s participer ce groupe Nous esp rons que vous serez nombreux nous proposer vos documents m me imparfaits N oubliez pas qu il ne s agit de diffuser que des documents de niveau polycopi et donc susceptibles de ne pas tre parfaits Inutile donc de vous censurer Notre discipline est jeune en perp tuelle volution et nous avons tout gagner regrouper nos efforts et notre travail en mati re de p dagogie Une description plus compl te du projet est accessible sur le serveur de Specif http dept info labri u bordeaux fr Specif 35 Journ es Nationales Sp cif INFORMATIQUE DANS LE DEUG SCIENCES ET TECHNOLOGIES Universit Lyon1 26 27 28 Novembre 1997 organis es avec le soutien de l UFR d Informatique et du D partement de 1er cycle Ces journ es font suite celles tenues Bordeaux 1981 Besan on 1988 Nantes 1990 Lille
80. ns que l absence de normes pr cises en mati re de contenus ne signifie pas au contraire l absence de principes pr cis en ce qui concerne les objectifs les moyens d gager etc L introduction de l informatique en Deug est encore trop r cente pour qu on puisse se priver d exp riences nouvelles et originales b Des raisons pour tablir des programmes d taill s normatifs Trois raisons principales militent pour l tablissement de programmes d taill s normatifs Un programme d taill tabli par la communaut est une vitrine pour notre discipline Il en montre sans ambigu t son contenu scientifique et il sert de mod le pour les sites o les informaticiens ont du mal se faire entendre Le caract re national des dipl mes suppose vu la diversit de l implantation de l informatique une norme capable d assurer aux tudiants la capacit de changer de lieu d tudes et l quit d acc s aux formations de deuxi me cycle Un programme d taill normatif permet de rationaliser la mise en uvre de l enseignement organisation du travail en quipe plus stable formation standardis e des intervenants vacataires ressources p dagogiques partag es Cette rationalisation profite aux tudiants quit de traitement qualit am lior e et aux enseignants qui d gagent du temps pour la recherche Il faut l vidence poursuivre le d bat sur le sujet Quelle que soit son issue un certain n
81. nsa lyon fr Eymard iutinfo univ lyonl fr omar gyptis univ mrs fr stephane grancolas lim univ mrs fr bernard iut univ metz fr ocogis lirmm fr coulon loria fr jean hameon ec nantes fr caromel unice fr eg unice fr chignoli unice fr guillore univ orleans fr haberstr iut orsay fr gt ufp nc rolland masi ibp fr labat laforia ibp fr cot math info univ paris5 fr sablet iut univ paris5 fr Perny laforia ibp fr rioboo posso ibp fr derieux masi ibp fr vdp lamsade dauphine fr mourlin lri fr beauquier univ paris12 fr Sylviane Schwer lipn univ paris13 fr cazes cnam cnam fr finkel lifac ens cachan fr Anne Germalenst fr BERTHELOT IIE cnam fr PARIS INRIA CHARPIN Pascale 01 39 63 56 93 01 39 63 56 98 Pascale Charpin inria fr PARIS SUPELEC correspondant recherch PAU HOCINE Amrane 05 59 92 31 96 05 59 84 16 96 Amrane Hocine univ pau fr POITIERS SIRIEIX Annette 05 49 45 39 89 05 49 45 39 89 sirieix cri univ poitiers fr REIMS BLOCH Simon 03 26 05 32 14 03 26 05 33 97 simon bloch univ reims fr RENNES 1 GRAZON Anne 02 99 84 72 84 71 00 Anne Grazon irisa fr RENNES INSA PAZAT Jean Louis 02 99 84 72 14 02 99 38 38 32 pazat irisa fr RODEZ correspondant recherch ROUEN INSA DIEUDONNE Robert 02 35 52 84 02 02 35 52 84 10 ROUEN LEONARD Martine 02 35 14 66 10 02 35 14 67 63 leonard dir univ rouen fr SAINT ETIENNE LARGERON LETENO Christine 04 77 42 16 77 04 77 42 16 84 largeron univ st etienne fr SEVENANS BENSLIMANE Abderrahim 03 84 58 31 26 03 84
82. nseignants ch rcheurs ssssnanteninenieenlaentises 17 Statistiques des enseignants titulaires 27 me section au 31 d cembre RG nn int ne ne nn Eten 17 Compte rendu des sessions de 1997 de la section 27 du CNU sseeeeceecsess 21 Statistiques sur les promotions us 24 Listes de qualification aux fonctions de ma tre de conf rences en 21 me section nore a mn nn ner een 27 Listes de qualification aux fonctions de professeur en 27 me section 29 Liste des promotions de la section 27 422 detunss 30 A propos de l enseignement de l informatique 35 Projet de serveur p dagogique en informatique 35 Annonce des journ es Specif sur les Deug 36 Bulletin d inscription aux journ es sur les Deug 37 Vers une plate forme pour l informatique dans le deug sciences et technologi ES LE se et EEEE ESE EEE EATE O EEEN 38 Panorama des dess en informatique 47 DUR PP ER RE R E E D A 53 Ey nements planifi S sisine oeer rE nn OEE EKSA EA ESES 53 Fonctionnement de l AsSOCAtON s ns nn ren fuites 55 Convocation lass mbl e s n rale ses na een RE devis 55 Appel de ca didat re sieri Rte sie se TaSi ERA 56 Conseil d administration et les sortants 58 Calendrier des F UMONS Ann danois met l rent eau 58 Compte rendu du conseil d administration du 3 avril 1997 59 Compte rendu du conseil d admin
83. ntes dans la forme On retrouve cette absence de transparence m l e une gestion au jug dans la question des GdR et des PRC Certes le d partement et le minist re doivent fonctionner en tenant compte des arr ts de la cour des comptes et des directives minist rielles mais cela implique t il la pr sentation assur e de r gles perp tuellement remises en cause pr par es en petit comit La communaut scientifique est appel e faire des propositions d organisation sans que tous connaissent des r gles du jeu par ailleurs changeantes Est ce normal Ainsi la communaut a souhait tr s fortement que le travail d organisation et d animation th matique IA BD CHM qu avait permis les PRC soit pr serv Il lui a t dit que ce n tait plus d actualit et que l heure tait aux projets incitatifs Beaucoup d quipes s y sont investi la r union inter PRC du 9 avril 40 projets ont t d pos s mais on y a appris qu il y aura tr s peu d argent que seuls 5 ou 6 projets seront retenus Parall lement le SPI nous affirme avoir enfin compris notre besoin d animation et que des groupes de travail pourraient tre cr s au sein des GdR Mais on ne sait toujours pas quel type de GdR il faut proposer Doivent ils tre plus cibl s ou plus interdisciplinaires une rumeur parle d un GdR Informatique Nous sommes en droit d exiger de nos tutelles la d finition d une politique claire qui nous vit
84. ntre l enseignement et la recherche ainsi que l quilibre g ographique par type d tablissement et disciplines Une grande discussion s engage pour savoir s il faut proposer aux syndicats de faire une liste commune car Sp cif veut engager des n gociations froid L id e retenue est la proposition de deux motions une pour et une contre avec une repr sentation de ce que devrait tre le CNU Il est demande aux membres du CA de r fl chir et de faire des propositions crites pour le prochain CA Une tribune libre sera tablie lors de la prochaine AG ES D Herman est charg d crire une lettre rappelant la profession de foi de Sp cif afin d amorcer le d bat et pr cisant que le bulletin de Sp cif retransmettra les interventions dans sa rubrique Libre Opinion Il est demand aux adh rents de Sp cif de venir l AG avec des propositions d intervention et de pr voir un d bat sur ce sujet Un change de vues a eu lieu concernant l opportunit ou non de proposer des r gles de candidature promotion pour les membres du CNU Le d bat sera largi et devrait mener des propositions IX A propos des d clarations du nouveau Ministre Claude All gre JP Finance qui tait invit au CA rappelle certains points voqu s par le Ministre lors de son discours introductif la CPU Commission des Pr sidents d Universit s le 25 6 97 e L enseignement est au coeur des pr occupations du Ministre de l Education et l Enseig
85. ntreprises va d ailleurs dispara tre pour tre remplac e par un d l gu aux affaires industrielles et un secr tariat ex cutif sous la responsabilit de J J Gagnepain Il y a par ailleurs une volution des partenariats industriels les entreprises demandent main tenant souvent des contrats plus longs plut t 3 ans que 6 mois l tat demande aussi aux en treprises qui re oivent plus de 5MF de subventions d ouvrir des postes d accueil pour les chercheurs des tablissements publics Cela commence avoir un effet visible Une question porte sur le type de mobilit que privil gie le CNRS d finitive ou temporaire La r ponse de J J Gagnepain est clairement favorable la mobilit temporaire plus profitable au CNRS malgr les contraintes budg taires La section tombe d accord pour dire qu il faut faire conna tre cette position apr s les encouragements la mobilit d finitive r cemment re us par les chercheurs La discussion se poursuit sur la gestion de l apr s mobilit C est souvent un passage difficile pour les chercheurs Apr s enqu te sur les mobilit s du d partement SPI vers l industrie des cinq derni res ann es trop peu nombreuses cependant pour constituer un chantillon statistique fiable le directeur scientifique estime que ces mobilit s ne sont pas p nalisantes mais qu elles ne sont pas non plus garantie de promotion Il estime qu il ne peut y avoir en la mati re de r gle syst
86. nts ont plut t profit des AFIP et les services communs particuli rement les d l gations r gionales ont connu plus de d parts L essentiel des recrutements ITA en 1997 sera en cons quence pour les moyens communs m me si tous les d parts n y seront pas compens s 150 d parts 120 compens s En ce qui concerne SPI il y a eu 15 postes lib r s moins 8 postes gagn s par le jeu des AFIP soit 7 postes Un tiers de ces postes est gel et on devrait avoir un recrutement externe de 4 postes Pour trois d entre eux la direction du d partement s est d j engag e le concours portera donc sur 1 seul poste L effectif ITA total du d partement va donc diminuer de 6 personnes sur un total de 1430 J J Gagnepain confirme par ailleurs que la d cision politique de r quilibrer le potentiel ITA entre les diff rentes composantes du CNRS n a pas t prise au moins pour 1997 La mobilit J J Gagnepain est peu optimiste sur les chiffres de la mobilit vers l enseignement sup rieur en 1997 Le d partement essaiera de faire une meilleure publicit des postes ouverts dans les universit s mais aussi dans les coles d ing nieur et dans l industrie Un d bat s engage avec la section sur la gestion des mobilit s vers l industrie Le suivi de ces mobilit s ne peut se faire de fa on trop centralis e il doit se faire personne par personne projet par projet Le dispositif de la Direction des relations avec les e
87. oins en moins ressentie comme utile car elle apporte des contraintes mais peu de moyens financiers m me si elle apporte des moyens humains mais ne sont ils pas d j acquis aux universit s e Le CNRS annonce des op rations qu il est ensuite incapable de mener ou de financer court ou moyen terme financement pluriannuel ce qui r duit sa cr dibilit dans la communaut e Le comit national est d poss d de son r le de multiples fa ons il n est pas consult sur des politiques ou programmes d cid s dans l urgence le minist re le double par des comit s d experts un carcan administratif enveloppe de plus en plus les activit s des sections non contact avec les candidats interpr tation excessivement troite des textes fonction publique etc En tout cas la situation du CNRS lui est d j d favorable dans le contexte d une discussion g n rale sur la coordination de l ensemble des moyens publics affect s la recherche comme l ont r v l les n gociations des contrats quadriennaux La mue du CNRS n est s rement pas achev e dans l esprit de certains et les lections seront bient t pass es Terminons sur une note positive et qui malheureusement dans ce contexte pourra sembler ironique Cette ann e les lus B et C ont pu rester pr sents durant la pr sentation des dossiers des candidats la promotion au grade de CR1 ou DRI Ils sont cependant sortis au moment de la discussion de ces
88. oire Participation aux repas de midi restaurant du personnel C mercredi 26 novembre 70 F L jeudi 27 novembre C vendredi 28 novembre 70 F Total repas ci joint par ch que l ordre de EUREST H tels r server directement en mentionnant Journ es SPECIF DEUG Informatique pr s du campus bus 59 et 70 Hotel Etap 154 grande rue de St Clair 69300 Caluire Tel 04 78 23 01 91 Fax 04 78 23 02 68 chambre 170 F petit d jeuner 24 F garage priv 29 F la nuit centre ville pr s des restaurants lyonnais pour le soir bus 26 direct pour l UCB Lyon H tel Bleu Marine 4 6 rue Mortier 69300 Lyon Tel 04 78 60 03 09 Fax 04 78 60 01 95 chambre petit d jeuner 300 F garage priv 40F la nuit Vers une plate forme pour l informatique dans le Deug sciences et technologies Document de travail Une position commune clairement affirm e des universitaires informaticiens aurait pour avantage de faciliter le d veloppement de l informatique en Deug de mani re harmonieuse en del de la diversit des sites et de l volution des structures universitaires Un groupe de travail cr l initiative de Specif a pour objectif de favoriser l mergence d une position de la communaut des universitaires informaticiens sur la place de leur discipline dans les Deug sciences et technologies A cette fin ce groupe de travail a produit le texte qui suit qui est propos la
89. ombre de principes g n raux sont ind pendants de l existence ou non de programmes d taill s c Quelques r flexions sur les contenus L informatique peut apporter des bases utiles toutes les disciplines scientifiques Certaines fili res doivent accueillir un enseignement qui d veloppe les aspects fondamentaux de l informatique d clenchant ventuellement des vocations en direction de l informatique D autres fili res peuvent se focaliser sur l informatique en tant qu outil mais tout en faisant appara tre la discipline au del de l outil L enseignement de l informatique en premier cycle doit tre con u comme une formation g n rale sur laquelle doivent pouvoir s appuyer les formations de second cycle mais sans privil gier pour autant les poursuites d tudes en informatique Une difficult majeure quel que soit le th me envisag et de savoir circonscrire le sujet de respecter un juste quilibre entre th orie et pratique de ne pas d velopper outre mesure les aspects techniques Du fait du volume horaire en premier cycle de la nouveaut de l informatique pour les bacheliers l enseignement d informatique en premier cycle ne peut tre qu une premi re couche qui essentiellement fournit aux tudiants des rep res pr cis sur la probl matique de l informatique et de premi res exp riences en mati re de savoir faire Ceci leur permettra ult rieurement de structurer leur apprentissage d
90. ommunication 13S Nice RIVEILL Michel Secr taire Univ Savoie SEDES Florence Tr sori re IUT Toulouse Assesseurs BAUDON Olivier LaBRI Bordeaux BETARI Abdelkader Correspondant IUT Aix BOULICAUT Jean Fran ois LISI INSA Lyon COULETTE Bernard IRIT Toulouse DAGORRET Pantxika IUT Bayonne GAUDEL Marie Claude LRI Orsay HERIN Dani le LIRMM Montpellier HERMAN Daniel Ardi IRISA Rennes x HEULLUY Bernard IUT Metz KIRCHNER H l ne CNRS Nancy KROB Daniel CNRS Paris 7 LUGIEZ Denis CRIN Nancy MILLET BOTTA Odile LIP Lyon 1 K MONTANVERT Annick IUT2 Grenoble PETIT Antoine ENS Cachan PONCELET Pascal IUT Aix VOIRON Jacques IMAG Grenoble x Calendrier des r unions 1997 Bureau de Direction Jeudi 16 janvier de 16h 18h R union t l phonique Conseil d Administration Jeudi 6 f vrier de 10h 17h30 Bureau de Direction Jeudi 13 mars de 16h 18h R union t l phonique Conseil d Administration Jeudi 3 avril de 10h 17h30 Bureau de Direction Jeudi 22 mai de 16h 18h R union t l phonique Conseil d Administration Jeudi 26 juin de 10h 17h30 Bureau de Direction Mercredi 10 septembre de 16h 18h R union t l phonique Conseil d Administration Jeudi 2 octobre de 10h 17h30 Bureau de Direction Jeudi 24 octobre de 16h 18h R union t l phonique Assembl e G n rale Jeudi 27 novembre 17h 30 Lyon
91. on tant plus florissante que pour les DEA qui ont tendance diminuer en effectif Quant aux profils sont peut tre sous repr sent s l image le calcul parall le les outils du g nie logiciel Je remercie tous les coll gues qui ont aimablement et rapidement r pondu l enqu te et je prie les lecteurs de bien vouloir me signaler toute erreur ou omission 47 Tableau des dess d informatique AIX MARSEILLE II U de la M diterran e Informatique Jean Francois Pique pique gia univ mrs fr 25 25 26 26 20 20 Informatique CCI Henri Garreta dess cci dil univ mrs fr 25 26 26 28 26 28 R seaux t l informatiques et r seaux c bl s de videocommunication Fran ois Bentosela bentosela cpt univ mrs fr x x 16 16 16 15 17 AVIGNON http lia univ avignon fr Conception et administration de syst mes de communication homme machine 1996 Thierry Spriet spriet univ avignon fr BESANCON http comte univ fcomte fr G nie informatique syst mes distribu s parall lisme Jacques Julliand julliand comte univ fcomte fr 11 11 11 11 11 11 24 BORDEAUX I G nie logiciel Andr Raspaud raspaud labri u bordeaux fr 30 30 25 25 31 32 BORDEAUX III U Michel de Montaigne Ing nierie de l image avec Bordeaux I et Il Louis Humbert humbert igd u bordeaux fr BREST http doelan gw univ brest fr Informatique pour l automatisation de la production Yvon Autret autret univ brest fr Philippe Leparc leparc uni
92. on ensemble l Ile de France n est pas la plus peindre 32 mais certains tablissements parisiens sont nettement en dessous En province sur 39 agglom rations ayant plus de 10 titulaires 32 sont en dessous du seuil et il leur faudrait 102 transformations ou 154 cr ations pour atteindre la rapport 1 PR pour 2 MCE Les secteurs Nord et Ouest sont ceux qui pr sentent un retard par rapport la moyenne de la section d j faible Il est clair que la section doit faire un effort particulier pour renforcer le potentiel de rang A dans les IUT non seulement en obtenant des postes mais aussi en s effor ant de les pourvoir Ainsi en ne prenant en compte que les enseignants en IUT pratiquement tous les tablissements ont un taux inf rieur 33 Pour porter le taux 33 il faudrait 56 transformations ou 84 cr ations Il est probable qu une partie d entre eux sont d j compt s dans ceux du paragraphe pr c dent videmment il ne suffit pas d avoir des postes de professeur mis au concours il faut aussi les pourvoir ce sujet on peut noter que apr s le concours 95 il restait sans doute 130 qualifi s non recrut s comme professeur Sans doute une part importante d entre eux avaient demand leur qualification sans tre vraiment candidat au recrutement Cependant il est surprenant de savoir que parmi les 38 postes au concours de 96 4 ont t pourvus par mutation ou d tachement et 24 par recrutement 10 postes n ont
93. on examine ensuite les demandes de renouvellement d accueil pour une deuxi me ann e Elle donne un avis favorable l ensemble de ces demandes qui concernent Mmes et MM Alessandrini B al Chiaramella Claude Cordier Frougny Paugam Moisy Roch et S nizergues R sultats du vote 19 Oui O Non 1 Abstention 2 7 Demandes d accueil CR et DR Il y a 29 demandes d accueil CR et 5 demandes d accueil DR La section propose pour un accueil en d l gation d une part G Kuntz et d autre part la liste class e suivante 1 6 Jacquemin Risch Rouveirol 9 Boutayeb Cassez Langevin L vy V hel M lan on Carton 0 1 2 3 4 5 6 T 8 19 Habert Huguet Pazat Simonet e OH Zissimopoulos Folliot Deruyver pa OH Coupet Maynard S billot 14 20 Pierre 21 Dufourd 22 Safar Tous les autres candidats sont d clar s non class s R sultats du vote 18 Oui 1 Non O Abstention 2 8 Promotions CR2 CR1 Apr s avoir entendu le rapporteur des dossiers des CR2 promouvables 4 ans la section donne un avis favorable la promotion de l ensemble de ces chercheurs Il s agit de Mmes et MM M Antonini D Arzelier Y Bertrand Ch Bessi re G Bisson E Contejean A Darte L Doyen Kh Drira P Gros Th Jensen Y Saouter et L Vieu 2 9 Promotions DRCE1 DRCE2 Il n y a qu un seul candidat I Landau Apr s avoir en
94. onnement de ces programmes sera r gi par les m mes textes que celui des PIR actuels qui vont s teindre Chaque programme a un directeur et est plac sous la responsabilit d un directeur scientifique de d partement La fonction de directeur scientifique est d ailleurs en train d voluer en plus de la responsabilit d un certain nombre de programmes les directeurs scientifiques ont de nouvelles charges comme celle de la d l gation aux affaires industrielles pour J J Gagnepain et les directeurs scientifiques adjoints vont tre amen s prendre encore plus de poids Voici quelques uns des programmes qui int ressent SPI e G nome dont un chapitre Informatique et G nome resp Tambourin Physique et chimie du vivant resp Br chignac Optique resp Br chignac e Sciences de la cognition resp Gagnepain e Ecodev ex Ecotech resp Gagnepain e Imagerie m dicale resp Gagnepain e Ing nierie de la langue qui m rite une mention sp ciale cette action n est pas consid r e comme un programme inter d partements mais comme relevant des cr dits internes aux d partements bien qu elle rel ve de deux d partements Syst mes de production Gagnepain e Enjeux conomiques de l innovation Kaspi e T l communications qui comprend trois chapitres composants et mat riels r seaux logi ciels protocoles et architecture services applications etc Ce programme qui est en phase de
95. ons En effet elle ne conna t pas les lieux o les candidats ont t retenus ce qui est jug positif cependant les candidats d un profil relevant d une autre section 61 section par exemple risquent fort de se voir refuser la qualification par la section 27 d ailleurs non qualifi e pour les juger Nous r it rons donc la demande que les dossiers de ces candidats soient examin s par les deux sections concern es Un premier point important est constitu par le CV envoy au pr sident qui sert l affectation des rapporteurs Dans le but d obtenir la meilleure affectation possible il convient que ce CV donne les informations essentielles relatives son origine sa sp cialit etc Un document est accessible sur le serveur WEB qui propose un CV type En outre les membres de la section voudraient nouveau mettre l accent sur le caract re informatif que doit avoir le dossier propos aux rapporteurs Il est important que les informations mises au dossier soient tout fait pr cises et fassent clairement et objectivement ressortir toutes les facettes du candidat La note aux candidats au fil de ses volutions successives permet d obtenir toute l aide n cessaire la mise au point du dossier aux rapporteurs Elle reste valable m me en cas de changement de proc dure La section a d cid de se r unir pour une session sp ciale de travail autour des quatre points suivants e contour disciplinaire comport
96. ont 60 ans ou plus dans 5 ans et 53 20 auront atteint cet ge d ici 10 ans Cet accroissement peut se faire de trois fa ons plus ou moins sous la responsabilit s des membres de la section e par des cr ations de postes nouveaux par le minist re e par red ploiement interne aux tablissements e par transformation de postes de ma tres de conf rences vacants Pour atteindre la proportion de 38 effectif constant moyenne nationale du secteur Sciences il faudrait transformer 193 postes de ma tre de conf rences en professeur En r sorbant le d ficit par des cr ations il en faudrait 310 Il est vident que ce n est pas raisonnable car nous ne saurions les pourvoir le vivier th orique tant sans doute inf rieur 170 pour le concours 1997 Cette situation se d grade relativement vite la figure 4 donne l volution des besoins pour atteindre 33 3 1 professeur pour 2 ma tres de conf rences soit par transformation soit par des cr ations Vu le nombre de postes mis au concours dans les ann es r centes le rapport 1 PR pour 2 MCF pourrait sans doute tre atteint en dix ans avec une publication annuelle de 40 postes de PR en 97 il y a eu moins de 30 postes de PR D 1 8 E 5 M 76 transformations 38 65 80 196 cr ations 5 9 10 1485 Figure 4 volution des d ficits en professeurs Le probl me n est pas le m me dans tous les tablissements ou agglom rations Dans s
97. pas t pourvus voir le bulletin 37 Il est vrai que la d localisation de certains postes n appara t pas dans les chiffres indiqu s ici Compte rendu des sessions de 1997 de la section 27 du Conseil National des Universit s par Michel Lamure La section 27 du CNU s est r unie deux reprises en mai puis en juin pour examiner successivement les dossiers de qualification et les dossiers de promotions Les r sultats publiables ne pas oublier les diff rentes voies pour les promotions de ces deux sessions sont sur le serveur WEB de la section Session de qualification On rappelle que depuis l ann e derni re la proc dure de recrutement consiste qualifier pour l ann e en cours les candidats qui ont t s lectionn s par les commissions de sp cialistes locales sans conna tre les endroits o ces candidats ont t retenus En r gle g n rale ce principe a t respect De plus la qualification des professeurs est en deux tapes s lection en vue de l audition et qualification apr s audition Cette ann e la section a d cid a priori d auditionner tous les candidats 21 Les r sultats bruts Le r sultat global de la session est le suivant Candidats Non qualifi s Qualifi s Ma tres de 282 33 249 conf rences Professeurs 64 14 50 Par comparaison le tableau correspondant de la session 1996 tait le suivant Candidats Non qualifi s Qual
98. portant pour laisser le temps aux enseignants de d velopper la probl matique et aux tudiants de maturer les notions et de ma triser les savoir faire continuit de l enseignement pendant toute la p riode de formation e Des enseignements optionnels doivent pouvoir tre propos s Arguments pour pr parer une poursuite d tudes en informatique pour d couvrir d autres aspects de l informatique De plus ces enseignements optionnels peuvent permettre d exp rimenter de nouveaux enseignements sur de faibles effectifs avant de les placer en tronc commun Le taux d volution de la discipline rend n cessaire de telles plates formes d exp rimentation c dans les mentions SM SV et STU e Au moins un enseignement semestriel d informatique par niveau doit pouvoir tre propos en tronc commun disciplinaire ou outil Arguments enjeux de l informatique vis vis des disciplines scientifiques nouveaut de l informatique continuit des enseignements e Pour la mention SM des enseignements optionnels doivent pouvoir tre propos s Argument pour pr parer une poursuite d tudes en informatique d dans la mention STPI L informatique doit appara tre dans les troncs communs au m me titre que les autres disciplines technologiques par exemple m canique EEA etc Arguments enjeux de l informatique nouveaut de l informatique continuit des enseignements e Une option g nie informatique doi
99. posteriori Ces modalit s qui peuvent varier d un programme l autre devraient tre affich es d s l abord et tre tablies en concertation avec les futurs acteurs 1 2 Intervention de M Weinfeld M Weinfeld vient rappeler l importance de la formation permanente au CNRS Le budget sp cifiquement allou la formation permanente est relativement r cent une petite dizaine d ann es mais il a pu tre maintenu dans un contexte budg taire plut t orient la contraction Il reste cependant inf rieur celui pr vu par l accord cadre de la fonction publique La formation permanente au CNRS a pour cadre des plans triennaux et elle occupe plusieurs permanents au si ge 1 2 personnes dans chaque d l gation r gionale et un charg de mission dans chaque d partement M Weinfeld en SPI Le troisi me plan triennal sera pr sent au comit national la prochaine session d automne Ce plan ne pr sente pas de grandes nouveaut s La formation permanente reste pilot e par la demande plans de formation des laboratoires demandes individuelles demandes des d partements et demandes du CNRS Elle s adresse d abord tous les membres des unit s du CNRS qu ils soient eux m mes CNRS ou pas ITA ou pas Les plans de formation des unit s rev tent une importance particuli re pour les sections du comit national Ce sont des plans moyen terme destin s faire face l volution des th matiques Il re
100. pp en travail autonome b le libre service peut aussi tre utile aux autres disciplines id e de ressources mat rielles communes c c est un moyen de r duire les in galit s concernant les ressources personnelles des tudiants question qui sera de plus en plus d actualit au fur et mesure que les diverses disciplines proposeront des activit s sp cifiques sur ordinateur e Comme toutes les autres disciplines l enseignement de l informatique doit pouvoir s appuyer sur des cours et des travaux dirig s La n cessit de travaux pratiques et leur sp cificit conduisent d finir des seuils sur les volumes horaires semestriels allou s l informatique Il est ainsi souhaitable qu un enseignement semestriel dispose d environ 70h En aucun cas il ne doit se situer en dessous de 50h Argument suppl mentaire propre la discipline sa nouveaut pour les tudiants Il est minemment souhaitable que le premier enseignement d informatique soit plac dans la premi re p riode de formation Argument il s agit d une p riode d orientation et la discipline est inconnue de la plupart des tudiants b dans les mentions Mias et Mass e Le volume global allou l informatique disciplinaire en dehors des UE dites de m thodologie en tronc commun ne peut tre inf rieur 200h et doit pouvoir tre organis sur trois ou quatre p riodes 42 Arguments volume horaire suffisamment im
101. rapport l ann e derni re Cette baisse est toutefois relative dans la mesure o de nombreuses inscriptions arrivent actuellement la suite de la parution du dernier bulletin Les membres du CA remarquent cependant que la multiplicit des associations et la cr ation d associations th matiques ne favorisent pas les inscriptions IS Des mesures court terme sont pr sent es e Dauchet doit exp dier une lettre aux anciens adh rents pour pr senter les diff rentes actions r alis es par Sp cif repr senter notre discipline dans sa diversit l informatique en Deug l aide l activit d enseignement l informatique dans le secondaire Un courrier doit galement tre envoy pour remercier les personnes morales Renouvellement du CA M Riveill rappelle que le CA doit tre renouvel et que les personnes suivantes terminent leur mandat Camille Bellissant Jean Francois Boulicaut Daniel Herman H l ne Kirchner Odile Millet Botta Pascal Poncelet Jacques Voiron Denis Lugiez ES Un appel candidature para tra dans le bulletin de juillet HI La communication Bulletin C Carrez pr sente les l ments du bulletin de juillet _61 e le CR des commissions du CNU ventuellement du CNRS et de l INRIA M Dauchet doit se renseigner dans le mesure o l un des r les de Sp cif est de relayer l information e La plate forme des Journ es Deug ES La lettre envoy e au Minist re concernant l informatique d
102. rdesse laas fr 20 20 16 19 19 19 Mod les math matiques et m thodes informatiques M3I Jacques Audounet audounet mip ups tlse fr Jean Marc Azais azais cict fr 26 26 19 19 12 14 TOULOUSE III INPT INSAT Concepteur en architecture de machines et de syst mes informatiques CAMSI Dominique Houzet INPT houzet enseeiht fr Daniel Litaize UPS litaize irit fr Jean Louis Noullet INSAT 19 19 11 12 15 15 16 TOURS Informatique CCI Michel Teguia teguia univ tours fr 14 14 12 15 17 18 20 VALENCIENNES http www univ valenciennes fr Informatisation et communication homme machine Fran ois Xavier Lepoutre lepoutre univ valenciennes fr 18 18 24 24 21 21 21 Technologies et m thodes de l aide la d cision Arnaud Fr ville Christophe Kolski VERSAILLES SAINT QUENTIN UVSQ Ing nierie des r seaux et des syst mes Guy Pujolle Guy Pujolle prism uvsq fr Jean Pierre Claud Jean Pierre Claude prism uvsq fr 30 31 25 27 29 30 33 TSD Divers e Ev nements planifi s Ev nements planifi s v nement date lieu EuroPar 97 European Conference in Parrallel Processing 26 29 aout 1997 Passau URL http www uni passau de europar97 Workshop on methods and tools for Ada 95 8 12 septembre Brest URL http www tni fr 1997 BDA 97 13 me Journ es Bases de donn es avanc es 9 12 septembre Grenoble URL http www Isr imag fr BDA97 1997 WRTP 97 IFAC IFIP Workshop on Real Time 15 17 septe
103. recrutement d ITA au CNRS continue conna tre une d croissance catastrophique Elle souligne l importance de l activit des ITA dans les laboratoires et leur r le capital dans l accomplissement de la recherche scientifique et de la valorisation La situation actuelle ne peut avoir que des cons quences d sastreuses sur la qualit et la p rennit de la recherche fran aise comme le souligne le rapport d Alain Costes et peut con duire une red finition non dite des conditions dans lesquelles la recherche fran aise s effectue La section souligne l incoh rence qui existe entre les ambitions affich es par l tat en mati re de recherche et de d veloppement et les moyens humains sp cialement les ITA mobilis s pour les r aliser La section demande aux autorit s comp tentes d agir rapidement pour prendre les mesures n cessaires au r tablissement d un niveau de recrutement d ITA compatible avec ces ambitions R sultats du vote 17 Oui O Non O Abstention Une discussion a lieu sur l avenir de l exercice conjoncture sur ses objectifs et sa motivation pour qui pour faire quoi L int r t de la pr paration d un rapport sur la conjoncture internationale hors objectifs est mis en avant par certains intervenants B Dubuisson souhaite que l exercice conjoncture soit l occasion pour la section de d gager un spectre raies et non un spectre blanc de dire que certaines choses sont moins
104. rimentale Les multiples savoir faire informatiques s appuient sur la ma trise des modes d expression employ s aux divers niveaux d abstraction consid r s et sur des attitudes rigoureuses et pr cises m me si elles ne sont pas formelles On trouve l une difficult majeure rencontr e par les tudiants qui ont une tendance naturelle ne s int resser au probl me d expression qu au moment de r diger un programme dans un langage de programmation particulier voire devant la machine Un enseignement d informatique doit ainsi mettre un accent important sur la notion m me de langage en insistant sur les aspects pragmatiques au plan conceptuel pour l expression de la pens e et au plan technique pour la mise en uvre d une solution 1 5 Elaboration des contenus quelques r flexions L arr t cr ant le Deug sciences et technologies donne comme pour tout autre dipl me national des indications tr s g n rales sur les contenus A titre d exemple pour ce qui concerne les mentions Mias et Mass l arr t pr cise que les enseignements fondamentaux doivent porter entre autres sur l informatique math matiques pour l informatique algorithmique et m thodes de programmation architecture des ordinateurs syst mes d exploitation et r seaux sic De tels cadrages laissent une grande latitude aux universit s et dans ce contexte se pose la question de l tablissement par la communaut des informatici
105. s Informatique disciplinaire versus outil La mise en oeuvre p dagogique information orientation des tudiants Quels enseignants pour quels enseignements Quelles ressources p dagogiques L valuation la valorisation des tudiants des enseignements des enseignants La communaut d enseignants informaticiens comment poursuivre la r flexion au del des journ es comment favoriser l innovation et les changes p dagogiques A l issue des journ es un document de synth se sera r alis et diffus par Sp cif la communaut universitaire L accueil aux journ es commencera le 26 novembre 10h et elles se termineront le 28 16h Un planning d taill sera publi dans le prochain bulletin de Sp cif Les participants aux journ es sont convi s apporter toute forme de mat riel p dagogique illustrant leurs exp riences _ 36 Journ es Nationales Sp cif INFORMATIQUE DANS LE DEUG SCIENCES ET TECHNOLOGIES 26 27 28 Novembre 1997 Universit Lyon1 Bulletin d inscription renvoyer ventuellement avec un ch que Journ es SPECIF DEUG Odile Millet Botta bat 711 UCB Lyon 1 43 bld du 11 novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex Tel 04 72 43 16 16 Fax 04 72 43 14 87 E mail specifdeug univ lyonl fr http www univ lyon1 fr Les participants qui le souhaitent recevront des tickets de r duction pour les transports SNCF ou Air L inscription est gratuite et obligat
106. s demandes d accueil au CNRS et les promotions Ce document reprend les interventions de J J Gagnepain et M Weinfeld les discussions de la section en session suivies d une section de commentaires Vient ensuite un r sum des d cisions de la section en mati re notamment de promotions et d accueil Avant de rentrer dans le d tail des interventions et d bats rappelons quelques dates utiles Informations pratiques et calendrier Apr s la session de printemps le bureau de la section s est r uni le 4 avril pour r partir les dossiers des candidats aux concours CR2 et DR2 entre les membres de la section Il y a 58 candidats DR2 et 141 candidats CR2 Ceci pour 7 postes de DR2 4 postes de CR2 concours g n ral et 3 postes de CR2 profil Comme l ann e derni re le CNRS a demand explicitement que ne soient pas diffus s les noms des rapporteurs Il n y aura pas d auditions pour le concours DR2 Pour les auditions des candidats CR2 la section sera r partie en quatre sous jurys Chaque candidat sera auditionn par le sous jury o si ge son rapporteur Les candidats auront 10 minutes pour faire leur expos plus 10 minutes pour les questions Les auditions auront lieu les 21 22 et 23 mai l UFR d informatique de l Universit Paris 6 sur le campus Jussieu place Jussieu m tro Jussieu Paris Les candidats auront leur disposition un r troprojecteur et un tableau noir Les jurys d admissibilit s
107. sch Dieter Lugiez Denis Malenfant Jacques Mari Jean Fran ois Mathieu Philippe Mathieu p Kenyon Claire Michelon Philippe Mikou Noufissa Mohring p Paulin Christine Munier Alix Paillet Jean Luc Pocchiola Michel Richard Gilles Robach Suzanne Rousseaux Francis Roux Olivier Sakho Ibrahima Schaff Andr Scherson Isaac Silberztein Max Valibouze Annick Vrain p Colas Christel Zissimopoulos Vassilis Liste des promotions de la section 27 Promotions voie 1 phase locale Promotions la l re classe des ma tres de conf rences Promotions la hors classe des ma tres de conf rences BENOIS MICHELLE Grenoble 1 HERTSCHUH NORBERT Nancy 2 iut PASERO ROBERT Aix Marseille 2 ROLLAND ROBERT Aix Marseille 2 30 Promotions la l re classe des professeurs ERNST CHRISTIAN GEIB JEAN MARC Lille I Promotions voie 1 phase nationale Promotions la l re classe des ma tres de conf rences Au 1 Janvier 1997 AMET HENRI BOUSSAID OMAR MAURAS CHRISTOPHE MAZEL CLAUDE NTAR SMAIL Au 1 Septembre 1997 SERVIGNE SYLVIE SYSKA MICHEL TAJINE MOHAMED UBEDA STEPHANE VIOLARD ERIC ZAHZAH EL HADI Promotions la hors classe des ma tres de conf rences Au 1 Septembre 1997 Toulouse inp 31 Promotions la l re classe des professeurs Au 1 Janvier 1997 MIRANDA SERGE Au 1 Septembre 1997 BEAUDOIN LAFON MICHEL EMPTOZ HUBERT GRANDJEAN ETIENNE SORIA p COUSINEAU MICHELE TRYSTRAM DEN
108. se en uvre Il s agit ici de formuler des lignes directrices de mise en uvre sur lesquelles les informaticiens doivent pouvoir s appuyer et s engager de mani re tre cr dibles vis vis des divers acteurs 3 1 Mise en uvre politique D apr s l expos de J P Bertrandias aux Journ es Specif de Lille Septembre 1990 toujours d actualit L installation de l informatique en premier cycle n cessite une bonne perception de la discipline par tous les acteurs Ceci doit tre sous tendu par une action dans quatre directions e Les coll gues informaticiens de mani re cr er les consensus locaux Sur l importance du premier cycle aspect fondamental de l informatique pour toutes les disciplines scientifiques recrutement pour le second cycle image de marque de la discipline responsabilit vis vis de l universit Sur les contenus qu il faut pr senter en tenant compte des domaines d exp rience locaux Sur les moyens consacrer en particulier par la participation d enseignants chercheurs exp riment s Sur l int r t d enseigner en premier cycle fra cheur du public contact avec les autres disciplines vari t des contenus e L universit tre pr sent et actif tous les niveaux conseils pr sidence commissions pour Affirmer une image de la discipline Eclairer les enjeux culturels scientifiques industriels conomiques etc Gagner
109. sibles pour l ensemble du groupe La n gociation a donc port sur la r partition entre les sections en utilisant le crit re du nombre de promouvables dans chaque section MCF 1 re classe MCF Hors classe PR 1 re classe Analyse statistique des r sultats des promotions Il est possible de faire un bilan des r sultats de la campagne de promotions Plusieurs tableaux vont ainsi tre pr sent s ici qui tentent de donner un aper u de l ge et de l anciennet des promouvables candidats ou non promus ou non Comme les ann es pr c dentes nous utiliserons l anciennet officielle qui repr sente officiellement la dur e de pr sence dans le grade au 1 janvier 1997 ainsi que l anciennet th orique cette m me date et qui serait celle de l enseignant chercheur dans son grade s il tait entr au premier chelon avec une anciennet nulle Cette mesure s obtient en cumulant les dur es d anciennet requises par les statuts dans les chelons inf rieurs et l anciennet effective dans l chelon actuel Les effectifs de la voie 2 tant assez faibles ils ont t regroup s avec la voie 1 Le passage en PRCE2 porte sur des effectifs trop faibles pour que les statistiques soient significatives 18 promouvables De plus la section privil gie dans ce cas l anciennet dans l chelon Passage MCF2 vers MCF1 La diff rence entre l anciennet th orique et l anciennet officielle est due d une part la non prise
110. st pour les CR un d veloppement de carri re qui devrait tre naturel La faible augmentation du nombre de postes mis au concours 6 en 96 7 cette ann e ne va pas suffire r sorber le tr s important bourrelet accumul au cours des ann es On le faisait d j remarquer l ann e derni re le r gime actuel va conduire des charg s de recherche tre reconnus comme menant des recherches d excellente qualit tout en se voyant ternellement refuser le passage dans le corps des DR Situation catastrophique de blocage de carri re galement pour les DR2 candidats la promotion DRI1 Ce dossier reste la t che la plus douloureuse de la section au cours des sessions de printemps 1 poste l an dernier pour la 07 5 pour l ensemble du SPI cette ann e ces chiffres sont ridicules et ils conduisent la section op rer des choix impossibles entre des dossiers irr prochables Ceci conduit un malaise certain chez les membres de la section acteurs de ces choix voir la motion rapport e section 2 11 Ces questions taient d j au centre des commentaires sur la session de printemps de l ann e derni re on les retrouve coup s r dans toutes les sections de nombreuses reprises la direction s est vu demander une v ritable politique de gestion des ressources humaines Force est de constater que cette politique reste discr te En dehors d appels la mobilit les chercheurs CNRS ont re u cet hiver leur domicil
111. t ne se r v le pas suffisant il y aura peu d accueils Si tout va bien il y aurait 50 quivalent postes soit donc 150 personnes accueillies Le minist re a par ailleurs fait savoir qu il pr f rait que soit favoris l accueil des ma tres de conf rence par rapport l accueil de professeurs En ce qui concerne l accueil de chercheurs trangers postes rouges les possibilit s sont tr s r duites la campagne de recrutement ayant la priorit suivie par les accueils en d l gation On peut compter sur environ 10 personnes an La direction favorisera les op rations internationales de taille moyenne plut t que les accueils mois par mois En 1995 les postes rouges repr sentaient 16 des accueils d trangers dans les unit s SPI soit 50 personnes Le total des accueillis SPI tait d environ 500 personnes pour une dur e moyenne l g rement sup rieure 4 mois soit donc 200 personnes an L emploi ITA L l ment moteur de la mobilit des ITA a t la proc dure d affichage AFIP La direction du SPI a eu en permanence environ 25 AFIP ce propos il est rappel qu il n y a pas de date limite pour demander un affichage AFIP et les 2 3 de ces affichages ont t pourvus Le bilan des AFIP pour le d partement est une mobilit interne d une trentaine de personnes et un gain de 8 personnes diff rence entre les ITA qui quittent le d partement par une AFIP et ceux qui y rentrent En g n ral les d parteme
112. t pouvoir tre propos e Argument pour pr parer une poursuite d tudes en informatique e les salles d ordinateurs e Elles doivent tre correctement quip es en mat riels et logiciels Sur un plan quantitatif il s agit de rendre effectivement possible l organisation des TP encadr s et du libre service n cessaires aux enseignements d informatique quelles que soient les autres utilisations des ressources informatiques Sur un plan qualitatif il s agit de permettre une ad quation effective entre les objectifs d enseignement et les ressources disponibles et de tenir compte de la rapidit d volution et d obsolescence des technologies informatiques e Elles doivent comporter des points d acc s r seau L acc s r seau n est mentionn ici que du strict point de vue des besoins propres aux enseignements d informatique La question plus globale de l utilisation du r seau en tant que ressource p dagogique g n rale rel ve de l ensemble des disciplines et de la politique de l Universit e Elles doivent tre administr es par des personnels techniques qualifi s 43 f les r glements d examens Ils doivent pr voir des modalit s de compensation coefficients quitables vis vis de toutes les disciplines Lorsque les volumes horaires sont faibles des seuils doivent tre d finis de mani re ne pas d valoriser m caniquement les disciplines concern es 3 El ments de mi
113. tendu le rapporteur la section donne un avis favorable la promotion au grade de DRCE2 de I Landau R sultats du vote 9 Oui O Non 1 Abstention 2 10 Promotions DR1 DRCE Il y a 21 promouvables et 11 candidats d clar s Apr s pr sentation des candidatures discussion et votes interm diaires le classement suivant est adopt 1 Bermond 2 Laprie R sultats du vote 13 Oui O Non 0 Abstention 2 11 Promotions DR2 DR1 Il y a 53 promouvables et 30 candidats Apr s de longues discussions et de nombreux votes la section propose la promotion des trois chercheurs ci dessous ainsi class s 1 M Ghallab 2 R Lozano 3 P Escudier R sultats du vote 10 Oui O Non 1 Abstention la suite de cet exercice la section d bat nouveau de la gestion des carri res des chercheurs au CNRS et elle adopte le message suivant La section 07 apr s avoir examin l ensemble des candidatures une promotion au grade de DR1 a constat qu un grand nombre d entre elles sont de tr s grande voire d exceptionnelle qualit Le nombre de promotions annonc 5 pour les sections du d partement SPI est tel que les blocages de carri re de l ensemble des DR2 de la section 07 vont nouveau s accro tre La section 07 d plore grandement cette situation qui ne traduit pas une gestion positive donc respectueuse de la carri re des chercheurs 15 Carri re des enseignants chercheurs Statistiques
114. utements en 1996 On pourra noter par comparaison avec la m me figure de 95 la stabilit des promotions apr s la d gradation constat e en 95 Il s agit videmment ici des promotions de 96 Voir l article de ce m me bulletin faisant le bilan des promotions de l ann e 97 PRCE 46 T 5 MCFHC 71 PRC1214 D 13 PRC2 285 gt 6 9 MCF1 877 oo G 03 MCF2 448 Figure 2 Flux entre les classes et les corps 18 Comme l ann e derni re j ai tudi la r partition des enseignants en IUT Les points importants sont les suivants 1 Les enseignants en IUT repr sentent toujours environ 20 de la section 390 mais contrairement aux deux ann es pr c dentes l augmentation des effectifs est plus faible ici 5 1 diminuant de 0 2 leur part dans la section 2 Le d ficit en professeurs s accroit les effectifs tant stables leur part est tomb e 19 2 du total des enseignants 3 La proportion de 2nde classe parmi les ma tres de conf rences diminue mais est plus lev e 34 contre 32 pour l ensemble de la section De m me la proportion de 2nde classe parmi les professeurs est plus lev e 64 contre 52 R partition g ographique D apr s le document du minist re les enseignants sont r partis dans 120 tablissements 2 par rapport 95 situ s sur 47 agglom rations Pour avoir une carte de la localisation de la 27 me section en Fr
115. v brest fr 16 16 16 16 16 16 20 CAEN R seaux applications documentaires et images Jean Saquet Jean Saquet info unicaen fr 11 11 17 17 12 12 19 COMPIEGNE U de Technologie UTC Informatique pour la ville G rard Govaert Gerard Govaert hds univ compiegne fr 15 16 15 15 15 18 18 CORTE U de Corse Informatique CCI 1996 Jean Marc Salotti salotti univ corse fr DIJON Bases de donn es et Intelligence artificielle Kokou Yetongnon kokou u bourgogne fr 13 13 22 22 24 24 26 EVRY Informatique Ing nierie documentaire et multim dia 1997 Antoine Rizk Antoine Rizk lami univ evry fr 48 GRENOBLE I U Joseph Fourier G nie informatique Yves Ledru Yves Ledru imag fr 40 42 37 38 47 47 48 Informatique CCI Philippe Morat Philippe Morat imag fr 30 41 36 41 42 48 GRENOBLE II U Pierre Mend s France Informatique et sciences sociales CCI Jean Michel Adam Jean Michel Adam imag fr J r me Gensel Jerome Gensel inrialpes fr 20 22 12 15 14 16 20 LA REUNION http www univ reunion dess R seaux Multim dia Internet 1997 Pierre Gigord gigord univ reunion fr R my Courdier courdier univ reunion fr LILLE I USTL http www univ lillel fr Intelligence Artificielle et G nie Logiciel LAGL Philippe Mathieu mathieu lifl fr 12 14 13 15 18 19 20 T l informatique et Informatique R partie TIIR J C Marti marti fil univ lille1 fr Philippe Marquet Philippe Marquet fil un
116. vient aux sections de les examiner lorsque les unit s sont valu es et les rapporteurs doivent absolument s en enqu rir Les coles th matiques figurent aussi parmi les actions de la formation permanente qui sont pr sent es au comit national Le budget total de ces coles est de 5 5 MF montant comparable au budget des GdR Elles doivent tre valu es avec soin lorsqu elles sont pr sent es l approbation du comit national et la section ne doit pas h siter rejeter des dossiers insuffisamment tay s Pour aider l valuation des actions de formation permanente M Weinfeld distribue aux membres de la section un questionnaire informel qui propose quelques grandes cat gories de classification la suite de cette pr sentation une discussion s engage avec les membres de la section notamment autour de l ampleur des budgets disponibles par l interm diaire des correspondants r gionaux et sur l valuation a posteriori de l efficacit des coles th matiques Tout le monde s accorde galement pour dire qu il est impossible d valuer s rieusement des dossiers d coles th matiques s ils sont soit tr s minces soit d pos s sur le bureau de la section en cours de session 1 3 Discussion de politique g n rale de la section la suite des informations apport es par J J Gagnepain sur la situation de l emploi ITA la section adopte le texte suivant La section 07 du Comit National constate que le

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