？OVAIRE - World Health Organization
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1. tat que les sacs de jute transportaient des puces Ld En ce qui ccnc rne le sch ma d un programme de lutte contre la peste WH0 Plague 11 le Dr de Paula Souza d clare qu il d sire recommander afin qu elle soit tendue d autres travaux administratifs la formule indiqu e l Appendice 2 pour d terminer l effectif d un personnel o le nombre de Jours n cessaires pour le traitement d une r gion Le Dr RAE suppl ant du Dr Mackenzie signale qu la page 8 du document WHO Plague 13 il y a une erreur au sujet du Colonial Insecticides Committee qui n est pas l organisme appropri pour entreprendre les tudes dont il s agit mais ce n est l bien entendu qu un point de d tail sans grande importance Il est heureux de constater que l on s efforcera de recueillir des renseignements compl mentaires avant d envoyer une quipe en Afrique Le Dr BRADY conseiller du Dr Hyde souligne la grande utilit du rapport IL aimerait avoir quelques renseignements compl mentaires sur les points suivants EB5 Min 6 Rev 1l Page 7 qui sont trait s dons le document WH0 Plague 13 Paragraphe 5 2 Paragraphe 6 1 i iii iv Paragraphe 6 2 Paragraphe 6 3 se Au sujet du traitement prophylactique par 3 g de sulfadiazine ou de sulfamirazine nine comprend pas tr s bien quoi doit tro appliqu le DDT 5 Il aurait lieu d mentionner galement doi ic les denr es al2. Ce compos est recommand parce que quarante ann es d exp rience dans l am rique du Sud ont d montr que les autres m thodes sont d nu es de valeur De meilleures conditions M xiote es ont plus fait pour la lutte contre la peste que la plupart des mesures adopt es auparavant mais L utilisation du 1080 a radicalement modifi la situation et L on a obtenu des r sultats extraordinatres i a t prouv an P rou galement que jets m thode de lutt contre la p ste tait la meilleure Le Dr MACKENZIE pense que deux des pointe soulev s dans le Sat ue raient comporter de graves cons quences en ce qui concerne les lente relatifs la quarantaine et aux a ronefs le paragraphe 6 1 iii et le paragraphe 111 des mesures suppl mentaires recommand es sous la ve rubrique pages 7 et 8 du document WH0 Plague 13 Si le Conseil appuie ces recamandations les gouvernements pourraient s estimer fond s demander que l on se conforme aux conditions men tionn es En outre ces d clarations sont en opposition directe avec les conclusions du Comit d experts de L Epid miologie internationale et de la Quarantaine celui ci a recommand dans son projet de r glement international article 32 WI0 Epid 29 page 13 ce qui suit sous r serve des mesures sp ciales qui peuvent tre impos es aux provenances de cocon infect es les marchandises en transit ne peu vent tre ni prohib es l entr e ni rstenues aux
3. aE N par D finition d une zone enzootique de peste Paragraphe 6 p 7 Dn d sirerait voir iriclure dans ce paragraphe qnar ades renseignements sur les m thodes pratiques Paragraphe 6 1 i p 7 I1 n est pas certain que l indice pulicidien soit scientifique ment exact EB5 Min 6 Page 6 Subdivision i de la page 8 Y a til une raison valable pour fixer un rayon de 200 m tres Paragraphe 6 2 p 8 Il aimerait avoir des renseignements compl mentaires au sujet de l affirmation selon laquelle APRES de actuelle de six mois Banero henent PARA tait Poaucanp rop Longue Paragraphe 6 3 p 8 Il estime que l emploi du compos 1080 est recom mand parce qu il produit un effet continu Paragraphe 6 4 p 9 Il peut confirmer que dans son pays on a cons tat que les sacs de jute transportaient des puces En ce qui concerne le sch ma d un onk de lutte contre la peste WHO Plague 11 le Dr de Paula Souza d clare qu il d sire recommander afin qu elle soit tendue d autres travaux administratifs la formule indiqu e l Appendice 2 pour d terminer l effectif d un personnel ou le nombre de jours n cessaires pour le traitement d une r gion Le Dr RAE suppl ant du Dr Mackenzie signale qu la page 8 du document WHO Plogue 13 il y a une erreur au sujet du Colonial Insecticides Committee qui n est pas l organisme appropri pour entreprendre les tudes dont il slagit mais ce n est l bien ente
4. Le Dr GEAR tout en mentionnant combien il a appr ci les donn es du su port et de ses appendices Hehse qu il incombe au Conseil Ex cutif de faire en sorte que la teneur de ces documents soit pr sent e de fa on que les administrations sani taires nationales en comprennent facilement le sense Il seess ae de Sos le rapport au Comit E E de la Feste en recomaissant son importance et en sugg s rant quil lui soit donn une nouvelle r daction permettant l Organisation de le gt consid rer comme propre tre utilis par les gouvernements Les modifications e yraient porter particuli rement sur les points soulev s par le Dr Brady paragraphe 6 1 de WHO Plague 13 et sur la recommandation visant l emploi du compos 1080 en d pit du fait qu un avertissement relatif l emploi de ce compos figure dans l ap pendice on court le risque que cet appondice soit n glig RBS Min Revel G Page 14 La aaotion de L quipe de lutte contre la TE qui est envisag e con cerne la politique n ra Te de L Organisation l gard des mesures sur le PERERIN Le Dr Gear n est pas convaineu qu il soit opportun que les quipes akn dans un peys donn Fae dates r guli res il pourrait tre pr f reble de d velopper l ind pendance des autorit s int ress es et la responsabilit qui d incombe de former leurs propres experts Les documents tablis par le Dr Castro et le Dr Macchiavello contienne
5. a t sugg r que des recherches compl mentaires taient n cessaires que dans l intervalle il y avait lieu de s en tenir la m thode actuelle des compos s cyanur s _ Paragraphe 6 k p 9 On sait de fa on certaine que la peste a t trans port e dans des sacs de jute des cuirs et des peaux etc et le Comit a d sir formuler une recomman dation pr cise permettant d viter ce danger Les 7 renseignenents que l on poss de ne sont pas encore suffisantsset on estime que les recherches doivent se poursuivre dans ce domaine En ce qui concerne la publication du rapport l intention tait au cas o le rapport serait approuv que les annexes soient publi es en m me temps que le EB5 Min 6 Rev l Page 10 rapport tant donn que les annexes indiquent les m thodes adopt es par le Comit d experts et que certaines des m thodes e laboratoire pour l tablissement du diagnostico ont t emprunt es au deuxi ne document En r ponse au Dr Brady le Dr Kaul indique gutil serait tr s possible si le Conseil le d sire de d velopper dans une annexe distincte le paragraphe 6 de la page 7 Suppression des r servoirs de virus et des agents vecteurs de la ET dans les ports maritimes et les a roports Une telle annexe pourrait souligner Les dangers du compos 1080 et indiquer le mode d emploi de ce produit Quant aux Hb esvations du Dr Gear au sujet de l quipe nent lutte contre ja pote te du C
6. chimioprophylactique de la population expos e aux risques d pid nie de peste bubonique Corme le traitement en question doit s appliquer la population d une r gion sous volu e cela ss quelques dif ficult s Par contre on peut employer la m thode de la vaccination avec un vaccin vivant avant de recommander l usage de traitements chimioprophylactiques il se rait bon de mettre en balance la m thode de la vaccination Le Dr KAUL Socr teriat r pond au Dr de Paula Souza sur les points suivants Paregraphe ply peta On a employ le mot end micit la place du mot enzootique parce que le Comit d experts a d cid que ce dernier terme pourrait limiter les r gions celles o la maladie n affecte que les rongeurs llexclusion de l homme Paragraphe 6 1 i p 7 L indice pulicidien inf rieur 2 repose sur le DS fait que c est la base normale pour les besoins dont il s agit EB5 Min 6 Rev 1 Page 9 Subdivision 1 p 8 Avec l emploi de rodenticides modernes 11 serait possible de So rayon condition qu il y ait eu une d sinfestation efficace La recomman dation est fond e sur L efficacit nettement prou v e des rodenticides et insecticides modernes em ploy s sous une surveillance convenable Paragraphe 6 5 p B Bien que l on poss de certains renseignements on a estim qu ils n taient pas encore suffisonts pour justifier ce sujet une recommandation pr cise Il
7. de danger j toutefois afin de b n ficier d une s curit totale on a tabli l indice de moins de deux puces par rat cet indice se fonde sur l exp rience pratique de vingt ann es Quant la question A ercnint du DDT 5 g en poudre l orateur d clare que l on proc de de cette mani re en raison de L exp rience insuffisante que l on a de l emploi des autres insecticides et qwe L on estime pr f rable de slen tenir la pratique actuelle tant que Ls vouveaux insecticides dont le nombre s accro t constamment n auront pas t compl tement prouv s En r ponse la question du Dr Vaucel concernant la PRE de la vaccina tion pour la lutte contre les pid mies de peste il signale que le paragraphe je page 13 de l Appendice du document WHO Plague 13 donne quelques informations sur ce point le paragraphe 5 2 page 7 mentionne que le Comit recommande de procedir au traitement chimio prophylactique au cours des pid mies la vaccination est naturellement de peu de valeur pendant ces pid mies En ce qui concerne les observations du Dr Gear sur la nature dangsredes du 1080 le paragraphe 4 2 l page 12 d clare Clest llun dos poisons 158 plus puissants et qui provoque un empoisonnement flen chafne On ne lui conna t actuelle ment aucun antidote aussi est il n cessaire de prendre des pr cautions rigoureuses quand on l utilise et sa manipulation exige t elle un personnel exp riment EB5 Min 6 Rev l Page 12
8. des d bats et indiquant nettement dans quelle mesure le Conseil est pr t faire siennes les donn es du rapport du Comit d experts de la Peste Ez5 1a 6 Page l5 5 ALIMENTATION ET NUTRITION Points 41 a 41 2 et 41 3 de l Ordre du jour EB5 17 et EB5 17 Add 1 Comit mixte OAA OMS d experts de 1 Alimentation et de la Nutrition Rapport sur les travaux de la session tenue Gen ve du 24 au 28 octobre 1949 gt Le Dr CLEMENTS Section de l Alimentation et de Pr nelle w trois r unions de la Commission consultative permanente de la Nutrition de 1 Organi sation pour l Alimentation et pour l Agriculture ont eu tien et que LIOMS a t repr sent e la derni re de ces r unions qui s est tenue en d cembre i948 Washington Les rapports relatifs aux travaux de ces sessions concernaient les as pects g n raux de la question et le Comit mixte en cons quence n a pas estim n cessaire d exprimer nouveau ces principes sauf dans la mesure o ils concernent les points d ex cution et les deux ou trois sujets express ment renvoy s au Comit par la Deuxi me Assembl e de la Sant Le Conseil pourrait souhaiter examiner deux de ces points qui sont mention n s dans la lettre de communication du rapport 1 la fabrication de vitamines syn He les pays diem ot E E EA et 2 l tablissement de commis sions nationales mixtes OAA OMS de l alimentation et de la nutrition i Le PRESIDENT invite M LA
9. fronti res terrestres maritimes ou a riennes et il a de cette fa on laiss la responsabilit de la d cision aux pays importateurs Le m me Comit d experts apr s avoir examin s il est utile d inspecter les a ronefs avant leur d part a en utre inclus les dispositions suivantes dans le texte de L article 42 6 du m me broet de r glement L autorits sanitaire peut dans des cas exceptionnels appliquer la d ratisation s il y a quel ques raisons de soup onner la pr sence de rongeurs bord et si l op ration n a pas EB5 Min 6 Rev 1 Page 13 t effectu e au d part Le Dr Mackenzie fait remarquer qu une inspection effectu e dans tous les cas serait souvent inutile et pourrait retarder consid rablement I a ronef Il propose que le Conseil ne fasse pas siennes les recommandations du rapport et se contente d en prendre actes Le Dr VAUCEL conseiller du Dr Parisot accepte l explication du Dr Macchiavello relative la vaccination et pense que la situation serait absolu ment claire si 1foh modifiait l g rement la r daction du texte fran ais d document Le PRESIDENT se r f rant aux observations du Dr Mackenzie pense qu il incombe aux Comit s d experts de formuler des conclusions scientifiques exactes mais que le Conseil Ex cutif doit indiquer nettement que ces conclusions constituent un id al et qu il n est pas toujours possible de les mettre en oeuvre imm diatement
10. propose que le Conseil ne fasse pas enas les recommandations du rapport et se contente d en prendre acte Le Dr VAUCEL conseiller du Dr Parisot accepte l explication du Dr Macchiavello relative la vaccination et pense que la situation serait absolu ment claire si l on modifiait l g rement la r daction du texte fran ais du document Le PRESIDENT se r f rant aux observations du Dr Mackenzie pense qu il incombe aux Comit s d experts de formuler des conclusicns scientifiques exactes mais que le Conseil Ex cutif doit indiquer nettement que ces conclusions constituent un id al et qu il n est pas toujours possible de les mettre en oeuvre imm diatement Le Dr GEAR tout en mentionnant combien il a appr ci les donn es du rap port et de sas appendices pense qu il incombe au Conseil Ex cutif de faire en sorte que la teneur de ces documents soit pr sent e de fa on que les administrations sani taires nationales en comprennent facilement le sense IL propose donc de renvoyer le rapport au Comit d experts de la Teste en resomaissant son importance et ch pge rant qu il lui soit donn une nouvelle r daction permettant l Organisation de le Se d teS dame propre tre utilis par les souveren Les modifications de vralent porter particuli rement sur les points soulev s par le Dr Brady paragraphe 6 1 de WHO Plague 13 et sur la recommandation visant l emploi du compos 1030 en d pit du fait qu un avertissement
11. sur le fait que le document c dont il s agit EB5 81 doit tre examin en relation avec le document EB5 76 Iy sou tigne l importance de l existence de E a EEE de sant publique bien orga nis s qui constituent n essairement la seule pee satisfaisante pour un service ee de sant publique Les services de statistiques ne doivent pas tre envisag s uniquement d une mani re FT rAnes comme tant L enrogistremont et l analyse de faits Il faut leur donner un aynamisne sp cial et les maintenir APONTA Il y a lieu d attacher une attention particuli re la n cessit d tablir des comparaisons non seulement entre les diff rents pays mais galement l int rieur des pays entre les r gions pr sentant de caract res analogues des Statisti ques pertinentes TEAR tre tablies pour ous r gion ayant un caract re parti culier La Division de Statistique du Secr tariat derahe Otre emmenar de fournir aux gouvernements des renseignements sur Jes nithodes scientifiques suivre pour re cueillir les donn es Le Dr de Paula Souza d sirerait cette occasion souligner CE l importance de la Division de Dis de l O Le Dr PASCUA Chef de la Division d Statistique de ee eo observer que l on doit ete ce que la ee nes Statistiques varie suivant les pays La r union des donn es statistiques n cessaires d pend la zie l organisation ES in 6 Page g n rale de la sant publique et
12. AMPAR se d clare satisfait des activit s communes OAA OMS dans le champ de l alimentation eb da la nutrition mais attire l attention sur les aspects plus vastes du probl me Les administrations sanitaires nationales tendent encore adopter une vue n gative plut t que positive de cette question et se bornent examiner les produits alimentaires du point de vue hygi nique plut t qu les examiner sous l angle plus large de l agriculture et instituer des recherches scientifiques sur l alimentation et la nutrition EB5 Min 6 ser di 17 i L orateur est parpiguli conent Tranpe de la recommandation du Comit SETE Laquelle les administrations nationales devraient tre aid es former leurs propres experts en mati re A et 48 TUET DLON Par la cr ation d institutions de formation ns contribuerait us jeter les bases d une tude scientifique du probl me de l alimentation et de la nutrition L Dr DUJARRIC de la RIVIERE suppl ant du Professeur Parisot er propos de la section 9 du SH te end mique si les gouvernements ont envoy des r ponses la lettre circulaire qui leur a t ddress e Le PRESIDENT s int resse l affection d nomm e kwashiorkor vis e la section XI du rapport et qu il croit tre une cirrhose infantile du foie qulon ren Cane chez 166 enfants d un quatre ans m me dans ls familles o l alimentation est la meilleure n est particuli rement souhaitable d tudier cette maladi
13. Le Dr VILLARAMA estime que le genre de statistiques demand doit tre pr cis tr s clairement aux gouvernements Le PRESIDENT r pond que lon a besoin de LS portent sur les faits dans les FAPEIqueS propos es et approuv es la s ance du matin on n nag une place tr s importante aux statistiques de toute nature 235 n 6 Page 5 Le Dr de PAULA SOUZA fait remarquer que le document porte sur la n ces sit la fois de cr er et de d velopper les actes nationaux de sante publique m sur l importance qui s attache obtenir des statistiques dignes de foi Les conditions premi res d un service international de sant publique sont l tablisse ment de services nationaux de sant publique et l obtention de statistiques Il est d cid qu en soumettant le document l Assembl e Mondiale de la Sant le Conseil attirera l attention s sur ies deux aspects de la iaso 3 FIEVRE JAUNE EB5 16 Points 38 2 et 38 2 2 de l ordre du jour La r solution contenue dans le document EB5 16 est adopt e 4e PESTE 5637 36 Points 38 3 et ze 3 1 de l ordre du jour Le PRESIDENT donne us des recommendations l et 2 de la page 1 du document Fe Le Dr de PAULA SOUZA rend hommage la valeur th orique et pratigue du rapport Il pr sente Les saratia suivantes au sujet du rapport du Comit d experts de la Peste WHO Plague 13 Paragraphe 4 1 p 4 Il y aurait lieu son avis de remplacer la troisi me ligne
14. O O Ou De Irdina M ZHUKOVA Secr taire Dr Brock CHISH MO Directeur g n ral EB5 Min 6 Rev 1 Page 3 1 ORGANISATION ADMINISTRATIVE EXISTANT ACTUELLEMENT AU SECRETARIAT DE LIONS DANS LE DOMAINE DES STATISTIQUES SANITAIRES EPIDEMIOLOGIQUES M DICALES ET DEMO GRAPHIQUES Point 23 de l ordre du jour Document EB5 76 Le Conseil prend note du document EB5 76 2e DEVELOPPEMENT DES SERVICES NATIONAUX DE SANTE PUBLIQUE NOTAMMENT DES SERVICES STATISTIQUES Point propos par le Gouvernement EL Point 26 de l ordre u jour Document EB5 81 Le Dr de PAULA SOUZA attire rad le f it que le document dont il s agit EB5 81 doit tre stamine on relation avee l document EB5 76 I1 sou Here L importance de l existence de MENAT nationaux da danti publique bien orga nis s qui constituent n cessairement la soula base satisfaisante pour uh service international de ann e bubiique Les s ries de satiatique ne doivent pas tre envisag s uniquement d une mani re gt statique comme tant L enregistrement et l analyse de faits Il faut leur Agana un djnion sp cial et les maintenir vivants Il y a lieu d attsci r une attention particuli re la n cessit d tablir des comparaisons non seulement entre les aifr rent payes mais galement l int rieur des pays entre les r gions pr sentant des caract res analogues des statisti ques pertinentes doivent tre tablies pour chaque r gion ayant un carac
15. TSKY repr sentant de l Organisation de l Alimenta tion e de l Agriculture faire une d claration devant le Conseil M LATSKY d clare que la r cente bohr reres de L Organisation pour Liaie mentation et l Agriculture apr s avoir tudi le apport soumis la session a ET les mesures prises en vue de coordonner les activit s rentrant dans le domaine de l alimentation et de la nutrition qui ont t entreprises par les deux Orgenisations elle a soulign nouveau le besoin de poursuivre cette collaboration t tout en n ignorant nullement que tous les programmes pratiques d alimentation ne PAS 16 et de miery pr sentent des aspects qui int ressent les deux Organisations elle a estim ain Sonvient d viter le chevauchement des activit s et de d finir les attributions La Conf rence a pr sun que l Organisation Mondiale de la Sant fourni rait des avis Peine dans le domaine de j alinentation et de la s ion par ticuli renent en ce qui concerne la sant et les services sanitaires tandis que l Organisation pour l Alimentation et l Agriculture slint resserait particuli rement la production la distribution et l consommation des produits alimentaires Ence qui concerne les commissions nationales mixtes OAA OMS dont l ta blissement est propos la conf rence a pens que les progr s les plus rapides se ront r alis s lorsque toutes les activit s nationales concernant l alimentati
16. UNITED NATIONS _ NATIONS UNIES WORLD HEALTH ORGANISATION MONDIALE ORGANIZATION DE LA SANT CONSEIL EXECUTIF Ana Rev l Cinqui me Session Organisation administrative existant actuellement au Secr tariat de L OMS dans le domaine des statistiques sanitaires pid miologiques 27 wars_1950 ORIGINAL ANGLAIS PROCES VERBAL DS La SIXIEME SEANCE Palais des Nations Gen ve Jeudi 19 janvier 1950 14 heures 30 SOMMAIRE LUE m dicales et d mographiques D veloppement des services nationaux de sant publique notamment en A services de statistiques Point propose par le Gouvernement br silien Fi vre jawe E P ne Alimentation et Nutrition Proposition tendant inscrire l ordre du jour la question de la r partition g ographique du personnel k es An R Rev l Page 2 cer ss Te te SIXIENE SEANCE eA Jeudi 19 janvier 1950 14 heures 30 cooo Menbres pr sents D sign s par Eo Sir Arcot MUDALIAR Pr sident Inde De Ee S GEAR OO o o union Sud Africaine De Ja A4 HOJER Les ii PYT ee RT Dr H HYDE Etats Unis d Am rique Professeur J PARISOT gt LE France Dr G H de PAULA SOUZA Br sil f Dr A STAMPAR ne BU BUS Yougoslavie Dr E TK a a E ee De A VIDDARIMRS E dut Philippines Dr J ZOZAYA CE Er Mexique Repr sentants d autres organisations NATIONS UNIES M L GROS ORA ue ue cu eu he ere de LS o i UNESC
17. ackenzie demande en outre si l tude des besoins physiologiques en calories et en l ments nutritifs section XV du rapport sera entreprise par L organisation pour l Alimentation et L agriculture seul ou en collaboration avec L OMS es E ee ru M LATSKY r pond que l tude se poursuivra sous les auspices de 1 OAA qui a tabli il y a deux ans un comit cette fin un repr sentant de 1109 a assist aux r unions r centes de ce comit Le Dr GEAR demande que L on modifie le paragraphe 1 du projet de r solu tion de P page l du document EB5 17 Les recommandations du Comit malgr leur importance n ont pas assez d ampleur pour tre prises come base des programmes de L OMS dans le domaine de l alimentation et de la nutrition car elles PE pas certains sujets tels que le r gime alimentaire l alimentation solaire les sub ventions aux agriculteurs et aux consommateurs la d shydratation des reado ali mentaires les barri res douani res et autres A Il appuie les observations du Dr Mackenzie sur la fabrication des vitamines synth tiques et est heureux de noter que le rapport insiste sur le fait qu une bonne en se fonde sur un be naturel Le Dr Gear conteste qu il ait t conforme une bonne proc dure aie ne lta fait le Comit le programme du Directeur g n ral pour 1951 en mati re d alimentation z de nutrition Seeon VII du rapport alors que le programme de 1951 n tait pas e
18. age 10 rapport tant donn que les annexes indiquent les m thodes adopt es per ie Comit dlexperts et que certaines des m thodes de laboratoire pour l tablissement du diagnostic ont t emprunt es au deuxi ne document En r ponse au Dr Brady le Dr Kaul indique qu il serait tr s possible si le Conseil le d sire de d velopper dans une annexe distincte le paragraphe 6 de la page 7 Suppression des r servoirs de virus et des agents vecteurs de la peste dans les ports maritimes et les a roports Une telle annexe pourrait souligner les dangers du compos 1080 et indiquer le mode d emploi de ce produit Quant aux observations du Dr Gear au sujet de l quipe permanentede lutte contre Ja peste l intention du Comit tait que cette quipe ait un caract re plus permanent que celles qui travaillent actuellement sur le terrain tant donn que l pid miologie de la peste exige que les travaux entrepris dans une zone particu li re soient poursuivis pendant plus d une ann e L quipe qui serait charg e des op rations pourrait travailler galement dans une autre r gion et continuer pendant une p riode de 4 5 ans sa surveillance au moyen de rapports ou de visites p rio diques La n cessit d une telle surveillance et le fait qu il n existe qu un tr s _ petit nombre d experts hautement sp cialis s dans ce domaine ont oblig le Comit d experts recommander la constitution d une seule quipe qui se d
19. aitement du soie convenant des parties du globe o les coutumes locales interdisent l emploi du sel iod La cirrhose infantile du foie est bien le kwashi rkort et le Comit s est d clar j incomp tent pour introduire un nouveau terme cette maladie est moins un affection qu un groupe de syndromes variant d un pays l autre et le Comit consid re qu elle constitue la d ficience nutritive la plus grave aire les r gions tropicales L Organisation a pr vu dans son programme de 1950 un expert conseil charg d entreprendre des travaux vers la fin de 1950 dans les pays peu d velopp s et elle a envisag que les servicos de cet expert pourraient tre prolong s dans le cadre du programme d assistance technique Quant la question de la fabrication des vitamines synth tiques on a vis offrir des services du m me type que ceux qui ont t fournis par nation dans le cas de la fabrication de la p nicilline Les Membres de 1 0MS et de la Commission Economique pour L Europe ont assist la r union du Comit de L Alimen tation et de la Nutrition afin de donner des avis sur les m thodes suivies par Les deux Organisations en ce qui concerne les demandes d aide dans la fabrication de la p nicilline manant de gouvernements Le Comit estime que l Organisation doit tre en mesure de fournir des avis sur le plan technique aux gouvernements qui souhaite vaient fabriquer des vitamines synth tiques mais que la d c
20. cte que les rongeurs l exclusion de L homme Paragraphe 6 1 p T pe X indice puliciiien inf rieur 2 repose sur le fait que c est la base normale pour les besoins dont il s agit Subdivision 1 p 8 Paragraphe 6 3 p 8 Paragraphe 6 4 p 9 EB5 Min 6 Page 9 Avec l emploi root age modernes il serait possible de r duire ce rayon condition qu il y ait eu une d sinfestation efficace La recomman dation est fond e sur L efficacit nettement prou v e des rodenticides et insecticides modernes em ploy s sous une surveillance convenable Bien que lfon poss de certains renseignements on a estim qu ils n taient pas encore suffisants pour justifier ce eue une recommandation pr cise Il a t sugg r que des recherches compl mentaires taient n cessaires et que dans l intervalle il y avait lieu de s en tenir la m thode actuelle des compos s cyanur s On sait de fa on certaine que la peste a t trans port dans des sacs de jute des cuirs et des peaux etc et le Comit a d sir formuler une recomman dation pr cise permettent d viter ce danger Les renseignements que L on poss de ne sont pas encore suffisants et on estime que les recherches doivent se poursuivre dans ce domaine En ce qui concerne la publication du rapport l intention tait au cas o le rapport serait approuv que les annexes soient publi es en m me temps que le EB5 Min 6 P
21. de l organisation politique de la r gion int res ge Les comit s nationaux de statistiques sanitaires mentionn s par le Dr de Paula Souza accomplissent un travail PR utile et les manuels dstatisttause seront galement d une grande utilit pour l teblissement des comparaisons Le Comit E des Statistiques sanitaires a recommand que les pays publient cer taines indications permettant de a terminer dans quelle mesure les renseignements fournis sont dignes de foi Des reetifications commencent a j parvenir du Royaume Uni Le document pr sent par le Dr de Paula Souza pourrait peut tre figurer parmi les tudes soumettre la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant Le PRESIDENT signale que l ordre du jour provisoire de la Troisi me Assem bl e Mondiale de la Sant comprend la question des statistiques sanitaires et sugg re que la note du Dr de Paula Souza soit incluse dans la documentation Le Dr HYDE craint que la partie du document concernant la cr ation le Re et l am lioration be nationaux de sant publique n ait pas retenu suffisamment d tention n y eneore Ra grand nombre de pays o il n existe pas de services nationaux de sant publique somplets et l attention de l Assembl e de la Sant doit tre attir e sur ce fait Le PRESIDENT reconna t qu il importe d attirer l attention de l Assembl e e la Sant sur les deux aspeets de la question trait e dans le document
22. e en iso de haute mortalit qui en sab le cons quence Le Dr MACKENZIE se f licite de voir se manifester la collaboration OAA OMS Il estime que la section XVI Evaluation de L tat de nutrition devrais tre parti culi rement d velopp e Il n est pas enti rement satisfait cependant de la section XIV Fabrica tion de vitamines synth tiques dans les paye insuffisamment d velopp s et de la r solution qui en nstitue la conclusi n IL ntest pas de Ta cp ten e de 1l organi sabion d aider les gouvernements tablir une nouvelle industrie mesure qui comporte des cons querices d ordre conomique Most pourrait donner des avis aux gouvernements mazs buse doit se Rue de pr ter son nom toute exploitation commerciale des possibilit s des vitanines synth tiques i k Sres RAS artar EB5 Min 6 Revel Page 18 Le Dr Mackenzie demande en outre si l tude des besoins physiologiques en calories et en l ments nutritifs section XV du rapport sera entreprise par l Organisation pour l Alimentation et l Agriculture seule ou en collaboration avec L OMS le Dr LATSKY r pond que l tude se poursuivra sous les auspices de L OAA qui a tabli il y a deux ans un comit cette fins un repr sentant de 1 OMS a assist aux r unions r centes de ce eomit Le Dr GEAR demande que l on modi fie le paragraphe 1 du projet de r solu tion de la page 1 du document EB5 17 Les recommandat
23. imentaires Il serait utile de sp cifior le type de v hi culo L affirmation selon laquelle la p riode de 6 mois g n ralement appliqu e est trop longue devrait p tre amp ccompagn e d explications On ne comprend pas pourquoi si le compos 1080 offre une m thode simple et facilement utilisable on doit continuer dans la pratique se servir de compos s cyanur s Toutes les mesures mentionn es devraient tre expliqu es de fa on plus d taill e afin que les intentions des auteurs soient parfaitement claires dans chaque cas Le Dr GEAR estime qu il faut tenir compte de deux points pour d cider si le rapport doit tre publi sous se forne actuelle Il semble d apr s le paregraphe 3 page 2 du document WHO Plague 13 que l intention soit de constituer une seule quipe EB5 Min 6 Rev l Page 8 permanente de lutte contre la peste on c dans tous les pays une telle pro position doit faire l objet atun examen tr s approfondi de la part u Conseil En outre on sait que le compos 1080 est un agent de d ratisation tr s efficace mais que d autre part c est un produit extr mement dangereux qui pourrait avoir des effets d sastreux s il tait utilis par des personnes non comp tentes Le Dr VAUCEL conseiller du Professeur Parisot se r f re au paragraphe 5 2 de la page 7 du document WHO Plague 13 o 11 est dit Le Comit recommande galement de proc der au traitement
24. ions du Comit malgr leur importance n ont pas assez d ampleur pour tre prises comme base des programmes de 1 OMS dans le domaine de l alimentation et de la nutrition ear elles ne visent _ pas certains sujets tels a le r gime alimentaire l alimentation seolaire les sub ventions aux agriculteurs et aux consommateurs la d shydratation des produits ali mentaires les barri res douani res et autres facteurs pertinents Il appuie les observations du Dr Mackenzie sur la fabrication des vitamines dineti et est heureux de noter que le rapport insiste sur le fait qu une bonne nutrition se fonde sur a r gime naturel Le Dr Gear conteste qu il ait t conforme une bonne proc dure d examiner comme l a fait le Comit le programme du Directeur g n ral pour 1951 en mati re d alimentation et de nutrition section VII du rapport alors que le programme de 1951 n tait pas encore venu en discussion devant le Conseil Ex eutif Le Dr CLEMENTS d clare que les gouvernements ont fait parvenir pr s de cinquante r ponses sur le sujet du goitre end mique et qu il est proc d en ce moment l laboration d un rapport incorporant ces r pons s Malheureus ment 3 EB5 Min 6 Rev l Page 19 celles ci renferment peu diinformations utiles en ce qui concerne la troisi me question savoir l efficacit des mesures appliqu es L Organisation esp rait que ce questionnaire mettrait en lumi re un tr
25. ision devrait tre R par le pays lui m me En ce qui concerne l tude des besoins physiologiques en calories et eu l ments nutritifs l Organisation de l Alimentation et de l Agriculture M finan ci rement responsable de la convocation du Comit tout comme la responsabilit EB5 Min 6 Rev l Page 20 de la convocation d un comit de l tat de nutrition incomberait l Organisation i Mondiale de la sant Toutefois Ces organisations collaboreront dans ces deux probl mes Le Dr Clements souligne que les points mentionn s par le Dr Gear comme ne figurant pas dans le rapport rel vent d autres organisations les obstacles au commerce n int ressent pas 1 OMS la fabrication des produits alimentaires appartient au domaine de l Organisation pour l Alimentation et l Agriculture et il a t convenu tacitement que l alimentation scolaire d pendrait met de cette derni re Organisation Ces principes g n raux se sont trouv s renforc s du fait que la Divi sion de la Nutrition de 1 OAA a un budget consid rablement plus important que celui de la Section de 1IOMS qui s int resse la m me questionf ces principes sont gale ment conformes amp u r cent expos du Directeur g n ral sur la situation financi re L orateur assure au Dr Gear qu il est confoime l usage que les comit s d experts tudient les programmes provisoires du Directeur g n ral si l on estime qu ils n auront pas l occasion de le faire ult rieure
26. lle IL semble d apr s le paragraphe 39 page 2 du document WHO Plague 13 que l intention soit de constituer une seule quipe B5 Min o Page 8 permanente de lutte contre la peste pour op rer dans tous les pays une telle pro position doit faire l objet afun examen tr s approfondi de la Se du Conseil En outre on sait que le compos 1080 dc un agent de d ratisation tr s efficace aie que d autre ES ciest un produit extr mement dangereux qui pourrait avoir des effets d sastreux slil tait utilis par des personnes non comp tentes Le Dr VAUCEL conseiller du Profess ur Parisot se r f re au paragraphe 5 2 de la page T du document WHO Plague 13 o il est dit Le Comit recommande kui oment de traitement chimioprophylactique de la population expos e aux risques d pid mie de peste bubonique Corme le traitement en question doit s appliquer Lu population dtune r gion sous volu e cela suppose quelques dif ficult s Par paG on peut employer 12 m thode de la vaccinetion avec un Perte vivant avant de recommander l usage P traitements chimioprophylactiques il se rait bon de mettre en balance la m thode de la vaccination Le Dr KAUL r pond au Dr de Paula Souza sur les points suivants 3 Paragraphe h l p ia On a employ le mot end nicit la place du mot enzootique parce que le Comit d experts a d cid que ce dernier terme pourrait limiter les r gions celles o la maladie n affe
27. lques informations sur c point le paragraphe 5 2 page 7 mentionne que le Comit recommande de proc der zu traitement chimto prophylactique au cours des pid mies la vaccination est naturellement de peu de valour pendant ces pid mies En ce qui concerne les observations du Dr Gear sur la nature dangereuse iu 1986 le paragraphe 4 2 1 page 12 d clar C est l un d s poisons les plus puissants t qui provoque un empoisonnement en cha ne On ne lui conna t actuelle ment aucun antidote aussi est il n cessaire de prendre des pr cautions rigoureuses quand on l utilise et sa manipulation exige tlle un personnel exp riment EB5 Min 6 Page 12 Ce compos est recommand parce que quarante ann es d exp rience dans l Am rique du Sud ont d montr que les autres m thodes sont d nu es de valeur De meilleures conditions d existence ont plus fait pour la lutte contre la peste que la plupart des mesures adopt es auparavant mais l utilisation du 1080 a radicalement modifi la situation et l on a obtenu des r sultats extraordinaires il a t prouv au P rou galement que cette m thode de lutte contre la peste tait la meilleure Le Dr MACKENZIE pense que deux des points soulev s dans le rapport pour raient comporter de graves cons quences en ce qui concerne les r glements relatifs la quarantaine et aux a ronefs le paragraphe 6 1 iii et le paragraphe iii des mesures suppl mentaires rec
28. mbl e Mondiale de la Sant le Conseil attirera l attention sur les deux aspects de la question 3 FIEVRE JAUNE Points 38 2 et 38 2 2 de l ordre du jour Document FB5 16 Le proj t de r solution contenu dans le document EB5 16 est adopt 4 PESTE Points 38 3 et 38 3 1 de l ordre du jour Document EB5 56 Le PRESIDENT donne lecture des recommendations 1 et 2 de la page 1 du document 7 Le Dr de PAULA SOUZA rend hommage la valeur th orique et pratique du rapport IL pr sente les observations suivantes au sujet du rapport du Comit d experts de la Peste WHO Plague 13 Paragraphe 4 1 p 4 Il y aurait lieu son avis de remplacer la troisi me ligne par D finition d une zone enzootique de peste Paragraphe 6 ee Il d sirerait voir inclure dans su quelques renseignements sur les m thodes pratiques ac IND n est pas certain que 1 indice pulicidien soit scientifique ment exact EB5 Min 6 Rev l Page 6 Subdivision i de la page 8 Y a til une raison valable pour fixer un rayon de 200 m tres Paragraphe 6 2 p 8 Il aimerait avoir des renseignements compl mentaires au sujet de l affirmation selon laquelle la p rio de actuelle de six mois g n ralement appliqu e tait beaucoup trop longue Paragraphe 6 3 p 8 Il estime que l emploi du compos 1080 est recom mand parce qu il produit un effet continu Paragraphe 6 4 p 9 Il peut confirmer que dans son pays on a cons
29. ment or le Comit en question a t constitu de fa on ne se r unir qu uns fois 6 PROPOSITION TENDANT A L INSCRIPTION A L ORDRE DU JOUR DE LA QUESTION DE LA REPARTITION GEOGKAPHIQUE DU PERSONNEL Le Dr GEAR en tant que Pr sident du Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res moe que son Comit a examin la question de la dotation de l Organisation en personnel et a abouti la conclusion que la r partition g ographique est un domaine qui d passe le mandat du Comites Cette question sera donc gatis en vue d un examen au Conseil Ex cutif si geant en s ance pl ni re La s ance est lev e 18 heures 30 UNITED NATIONS Su NATIONS UNIES WORLD HEALTH oh ORGANISATION MONDIALE ORGANIZATION DE LA SANT CONSEIL EXECUTIF a __ EB5 Min 6 Cinqui me Session 3 4 Se 19 janvier 1950 ORIGINAL ANGLAIS PROCES VERBAL PROVISOIRE DE LA SIXTEME SEANCE Palais des Nations Gen ve Jeudi 19 janvier 1950 14 heures 30 TABLE DES MATIERES D no Organisation administrative existant actuellement au Secr tariat de l OMS dans le domaine des statistiques sanitaires pid miologiques m dicales et d mographiques D veloppement des services nationaux de sant publique notamment des services de statistiques Point propos par le Gouvernement br silien Fi vre jaune Peste Alimentation et Nutrition Proposition tendant inscrire l ordre du jour la ques
30. mmission Economique pour l Europe ont assist l r union du Comit de 1 Alimen tation et de la Nutrition afin de dommer des avis sur les m thodes suivies par les deux Organisations en ce qui CONCRRE les demandes d aide dans la fabrication de la p nicilline manant de gouvernements Le Comit esbime que L Organtsation doit tre en mesure de fournir des avis sur le plan technique aux gouvernements qui souhaite raient fabriquer des vitamines synth tiques mais que la d cision devrait tre prise par le pays lui m me En ce qui concerne l tude des besoins physiologiques en calories et en l ments nutritifs l Organisation de l Alimentation et de recente est finan ci rement responsable de la convocation du Comit tout comme la responsabilit EB5 Min 6 a Page 20 de la convocation d un comit de l tat de nutrition incomberait l Organisation Mondiale de la sant Toutefois ces organisations collaboreront dans ces deux probl mes Le Dr Clements souligne que les points mentionn s par le Dr Gear comme ne figurant pas dans le rapport rel vent d autres organisations les obstacles au commerce n int ressent pas L OMS la fabrication des produits alimentaires annartiont au domaine de L Organisation pour l Alimentation et l Agriculture et il a t convenu tacitement que l alimentation scolaire d pendrait galement de 7 derni re Organisation Ces principes g n raux se sont trouv s renforo s du fait q
31. ncore venu en discussion devant le Conseil Ex cutif Le Dr gt CLEMENTS d clare que les E mnte ont fait piges pr s de cinquante r ponses sur le s jet da goitre end mique et qu il est proc d en ce moment l laboration d un rapport incorporant ces I E EB5 Min 6 Page 19 celles ci renferment peu d infomations utiles en ce qui concerne la troisi me question savoir l efficacit des mesures appliqu es L Organisation esp rait que e questionnaire nirai en lumi re un traitement du goitre convenant des parties du globe o les coutumes locales interdisent Kipo du sel iod La cirrhose infantile du foie est bien le kwashtorkor et le Comit s est d clar incomp tent pour introduire un nouveau teme Cette maladie est moins une affection qu un groupe de syndromes variant d un pays Fautro et le Comit consid re qu elle constitue la d ficience nutritive la plus grave dans les r gions tropicales L Organisation a pr vu dans son programe de 1950 un expert conseil charg d entreprendre des travaux vers la fin de 1950 dans Les pays peu d velopp s et elle a envisag que les services de cet et pourraient tre prolong s dans le cadre du programme d assistance technique Quant la question de la fabrication des vitamines synth tiques on a vis offrir des services du m me type que ceux qui ont t fournis par l Organisation dans le cas de la fabrication de la p nicilline Les Membres de L OMS d la Co
32. ndu qu un point de d tail sans grande importance IL est heureux de constater que l on slefforcera de recueillir des renseignements compl mentoires avant d envoyer une quipe en Afrique Le Dr BRADY suppl ant du Dr Hyde souligne la grande utilit du rapport Il aimerait avoir quelques renseignements compl mentaires sur les points suivants EB5 Min 6 Page 7 qui sont trait s dans le document WHO Plague 13 Paragraphe 5 2 Paragraphe 6 1 Paragraphe 6 2 Paragraphe 6 3 1 141 iv Au sujet du traitement prophylactique par 5 g de sulfadiazine ou de sulfamirazine n ne comprend pas tr s bien quoi doit Biye o appliqu le DDT 5 Il aurait lieu d mentionner galement ted Tic les denr es alimentaires I serait utile de sp cifier le type de v hf cule L affirmation selon laquelle la p riode de 6 mois g n ralement appliqu e est trop longue devrait p tre accompagn e d explications On ne comprend pas pourquoi si le compos 1080 offre une m thode simple et facilement utilisable on doit continuer dans la pratique se servir de compos s cyanur s Toutes les mesures mentionn es devraient tre expliqu es de fa on plus d taill e afin que les intentions des auteurs sotent parfaitement claires dans chaque Cas Le Dr GEAR estime qu il faut tenir compte de deux points pour d eider si le rapport doit tre publi sous sa forme actue
33. nt d importantes informations techniques et l on pourrait fort bien les reproduire dans l une des publications de L Organisation Le PRESIDENT fait remarquer pour d fendre les rapports des comit s d ox perts en g n ral qu ils sont r dig s l intention des sp cialistes des administra ions sanitaires nationales et non pas du grand public Le Secr tariat est dispos pr senter un m norandum expliquant plus cu pl tement la situation et le Conseil pourrait souhaiter examiner ce m morandum avant de prendre une d cision Le Dr HYDE appuy par le Dr MACKENZIE propose que le Conseil examine ce m morandum avant d arriver une d cision D cision Le Conseil Ex cutif d cide que le Secr tariat tablira un m morandum Visant les points soulev s au cours des d bats et indiquant nettement dans quelle mesure le Conseil est pr t faire siennes les donn es du rapport du Comit d experts de la Peste E EB5 Min 6 Rev 1 Page 15 5 ALIMENTATION ET NUTRITION Points 4l aa 41 2 et 41 3 de l Ordre du jour Docuuents EB5 17 et dd 1 Comit mixte OAA OMS d experts de 1 limentation et de la Nutrition Rapport sur les travaux de la premi re session PARLES ne Le Dr CLEMENTS Section de l Alimentation et de la Nutrition rappelle que trois r unions de la Commission consultative permanente de la Nutrition de l Organi sation pour l Alimentation et pour l Agriculture ont eu lie
34. omit tait que cette quipe ait un caract re plus permanent que celles qui travaillent actuellement sur le tu tant donn que l pid miologie de la peste exige que les travaux entrepris dans une zone particu li re soient poursuivis pendant plus d une ann e L quipe qui serait charg e des op rations pourrait traiter gelement dans une autre r gion et continuer pendant une p riode de 5 ans se surveillance au moyen de SHopsts ou de visites p rio diques La n cessit dlune telle surveillance et le fait qu il n existe qu un tr s petit nombre d experts hautement sp cialis s dans ce domaine ont oblig le Comit d experts recommander la constitution d une seule quipe qui se d placerait d une r gion l autre EB5 Min 6 Rev Page 11 Le Dr MACCHTAVELLO fonctionnaire charg des plans Bureau r gional de la M diterr n o orient le d clare que le Comit d experts de la Peste 2 estim que l indice pulicidien effectif inf rieur deux donne toute s curit pour le contr le anb peio p riodique mais ne pr sente pas granas utilit pour les tra vaux permanens et c est pourquoi on s efforce en ce moment de remplacer cet indice par quelque chose de plus pr cis on nlesbime pas disposez dans l emploi du nouvel indice nt dt exp rience suffisante et l on a pour cette raison maintenu l ancien indice Re L exp rience mondiale a montr que l indice effectif rat puce inf rieur eing ne pr sente pas
35. ommand es sous la m me rubrique pages 7 et 8 du document WHO Plague 13 Si le Conseil appuie ces recommandations les gouvernements pourraient slestimer fond s A nandee que l on se conforme aux conditions men tionn es En outre ces d clarations sont en opposition directe avec les conclusions du Comit d experts de 1 Epid miologie internationale et de la Quarantaine celui ci a recommand dans son projet de r glement international article 32 WHO Epid 29 page 13 ce qui suit sous r serve des mesures sp ciales qui peuvent tre impos es aux provenances de cireonscriptions infect es les marchandises en transit ne peu vent tre ni prohib es l entr e ni retenues aux fronti res t rrestres maritimes ou a riennes et il a de cette fa on laiss la responsabilit de la d cision aux __ pays importateurs Le m me Comit d experts apr s avoir examin s il est utile d inspecter les a ronefs avant leur d part a en outre inclus les dispositions suivantes dans le texte de llarticle 42 6 du m me projet de r glement L autorit sanitaire peut dans des cas exceptionnels appliquer la d ratisation s il y a quel ques raisons de soup onner la pr sence de rongeurs bord et si l op ration nla pas EB5 Min 6 Page 13 t effectu e au d part Le Dr Mackenzie fait remarquer qu une inspection effectu e dans tous les cas serait souvent inutile et pourrait retarder consid rablement l a ronef Il
36. on et la nutrition seront coordonn es et lorsqu on s appuiera enti rement sur les con naissances et l exp rience des experts de l alimentation et de la nutrition dispo nibles dans leur prope pays M Latsky souligne que d apr s l exp rience qu il a acquise en Europe au cours des trois derni res ann es on a besoin de membres du corps m dical ainsi que d agronomes et d conomistes en vue du d veloppement de l alimentation et de la nutrition d un pays et que la Sr sense atin repr sentant de l MS au sein des commissions nationales est tr s souhaitable Le Dr STAMPAR se d clare satisfait des activit s communes OAA OMS dans le champ de l alimentation et d la nutrition mais attire attention ae jee aspects plus vastes du probl me Les administrations sanitaires nationales tendent encore ndont es vue n gative plut t que positive de cette question et se bornent examiner les produits alimentaires du point de vue hygi nique plut t qu les examiner sous l angle plus large de l agriculture et instituer des recherches scientifiques sur l alimentation et la nutrition EB5 Min 6 _ Page 17 DEEE ee Y L orateur est Side frapp de la RE du b TA Till Le administrations tions TE tre aid es former dus propres amerta en mati re d alimentation et de nutrition Par la cr ation d institutions de formation professionnelle on centribu reit largement jeter les bases d une tude scientifi
37. placerait d une r gion l autre 7 EB5 Min 6 age 11 Le Dr MAOCHTAVELLO d clare que le Comit d experts de la Peste a estin que l indice pulicidien effectif inf rieur deux donne toute s curit pour le cditrels antipesteux p riodique mais ne ne pas grande utilit pour les tra vaux permanents et c est Mo on a s efforce en ce moment de rem lacer cet indice par quelque chose de plus pr cis on n estime pas disposer dras l emploi du aoai ais ras SA exp rience suffisante et L on a porr cotte raison maintenu l ancien indice provisoirement L exp rience mondiale a montr que l indice effectif rat puce inf rieur cind ne pr sente pas de dange ubefois afin de b n ficier d une s curit totale on a tabli l indice de moins de dix puces par rat cet indice se fonde sur l exp rierice pratique de vingt ann es Quant la question de l emploi exclusif du DDT 5 en poudre l orateur dtciurc que l on proc de de cette mani re en raison de l exp rience insuffisante oue iion a de l emploi des autres insecticides et qw L on estime pr f rable de sien tenir la pratique actuelle tant que les nouveaux insect icides dont le n ribre s avcro t constamment n auront pas t compl tement prouv s En r ponse la question du Dr Vaucel concernant la valeur de la vaccina ticn pour la lutte contre les pid mies de peste il signale que le paragraphe 4 5 pago 13 de lL Appendice du document WHO Plague 13 donne que
38. que du probl me de l alimentation et de la nutrition F5 Le Dr DUJARRIC de la RIVIERE n e du Professeur Parisot demande propos de la section 9 du r pport goitre end mique si les gouvernements ont envoy des r ponses la lettre circulaire qti leur a t adress e Le PRESIDENT s int resse l affection d nomm e kwashiorkor vis e la section XI du rapport et qu il croit tre une cirrhose infantile du foie qu on rene contre chez les enfants d un quatre ans m me dans les familles od l alimentation est la meilleure u est particuli rement souhaitable d tudier tte maladie en raison de l haute mortalit qui l accompagne Le De MACKENZIE se f licite des manifestations de la collaboration OAA 0MS IL estime que la section XVI Evaluation de l tat de nutrition ral tre parti culi rement d velopp e L E Il n est pas enti rement satisfait cependant de la section XIV fabrica tion de vitamines synth tiques dans les pays insuffisamment d velopp s et de la r solution qui en constitue la conclusion Il ntest Pae de la comp tence de l Organi sation d aider les gouvernements tablir une nouvelle industrie mesure qui comporte des cons quences d ordre conomique L Organisation pourrait donner des avis Aux gouvernements mais elle doit se garder de t s son nom toute exploitation commerciale des possibilit s d s vitamines synth tiques EB5 Min 6 Page 18 Le Dr M
39. relatif l emploi de ce compos figure dans l ap pendice on court le risque que cet appendice soit n glig EB5 Min 6 Page 14 La question de l quipe de lutte contre la peste qui est envisag e con cerne la politique g n rale de l Organisation l gard des mesures sur le terrain gt Le Dr Gear n est pas convaincu qu il soit opportun que les quipes retourn nt dans un pays donn des dates r guli res il pourrait tre pr f rable de d velopper L ind pendance des autorit s int ress es et la responsabilit qui 1e incombe de former leurs propres experts Les documents tablis par le Dr Casbro et le Dr Macchiavello contiennent d importantes informations techniques et l on pourrait fort bien les reproduire dans l une des publications de l Organisation Le PRESIDENT fait remarquer pour d fendre les rapports des comit s d ex perts en g n ral qu ils sont r dig s l intention des sp cialistes des administra tions sanitaires nationales et non Sas du grand public Le Secr tariat est dispos pr senter un m morandum expliquant plus com pl tement la situation et le Conseil pourrait souhaiter examiner ce m morandum avant de prendre une d cision Le Dr HYDE appuy par le Dr MACKENZIE propose que le Conseil examine ce m morandum avant d arriver une d cision D cision Le Conseil Ex cutif d cide que le Secr tariat tablira un m morandum visant les points soulev s au cours
40. s d alimentation EB5 Min 6 Rev l Fage 16 et de nutrition pr sentent des aspects qui int ressent les deux Organisations elle a estim qu il convient d viter le chevauchement des activit s ot de d finir les attributions La Conf rence a pr sum que l Organisation Mondiale de la Sant fourni rait des avis techniques dans le domaine de d alimentation et de la nutrition par ticuli rement en ce qui concerne la sant et les services ETETE tandis que l Organisation pour l Alimentation et l Agriculture stint resserait particuli rement la production la distribution et la consommation des produits alimentaires En ce qui concerne les commissions nationales mixtes OAA OMS dont Ef ta blissement est propos la conf rence a pens que les progr s les plus rapides se ront r alis s lorsque toutes les activit s nationales concernant L alimentation et la nutrition seront coordonn es et lorsqu on s appuiera enti rement sur les con naissances ct l exp rience des experts de l alimentation et de la nutrition dispo nibles dans leur propre pays M Latsky souligne que d apr s l exp rience qu il a acquise en Europe au cours des trois derni res ann es on a besoin de membres du corps m dical ainsi que d agronomes et d conomistes en vue du d veloppement de l alimentation et de la nutrition d un pays et que la pr sence d un repr sentant de l OS au sein des commissions nationales est tr s souhaitable Le Dr ST
41. t re parti pantar La Division de Statistique du Secr tariat devrait tre en mesure de fournir aux gouvernerents des renseignements sur les m thodes scientifiques suivre pour re cueillir les donn es Le Dr de Paula Souza d sirerait cette occasion souligner Leea de 1a Division de Statistique de L OS Le Dr PASCUA Chef de la Division de Statistique de 1 015 fait observer que l on doit s attendre ce que 1a qualit des statistiques varie suivant les pays La r union des donn es statistiques n cessaires d pend la fois de l organisation de Revel Page g n rale Le la sant Fablique et a l organisation Politique de le r gion int res f PA Les comtt e nationaux de statistiques sanitaires mentionn s par le Dr de Paula Souza aceopissent un travail extr mement utile et les manuels de statistiques seront galement dune grande utilit nr l tablissement des comparaisons Le Comit d experts des Statistiques sanitaires a recommand que les pays publient oer taines in ications Pe niettont de d terminer dons quelle mesure les renseignements fournis sont dignes de foi Des rectifications commencent d j parvenir du Royaume Uni Le document pr sent par le Dr de Paula Souza pourrait peut tre figurer parmi les tudes soumettre la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant ia ET PERN aeiae du jour provisoire de la Troisi me Assem bl e Mondiale e la Sant comprend la q
42. tion de la r partition g ographique du personnel Note Les rectifications au pr sent proc s verbal provisoire devront tre adress es par crit Mr Richards Bureau 102 dans les 48 heures qui suivront la distribution du document ou le plus t t possible apr s ce d lai EB5 Min 6 Page 2 4 oou ei SIXIEME SEANCE Jeudi 19 janvier 1950 14 heures 30 Pr sents Le Sir ivoor MUDALTAR Pr sident a Inde Dr H Se GEAR ne ne Union Sud Africaine SAR Aa or ARS CD D Ne See ds Dr H HYDE o Etats Unis d Am rique Professeur J PARISO rene France Dr G H de PAULA SOUZA Br sil Dr A STAMPAR peii rei De 7 Yougoslavie Dr Be TE RS G ee Dr A VILLARAMA HE g oi enina tno Philippines Dr J ZOZAYA o a A Ea Mexique Repr sentants d autres organisations NATIONS UNIES OO k L aos OAA TOS E aaps ge e RD e TES UNESCO Dr Irina M ZHUKOVA Secr taire i Dr Brack CHISHOLM Ne A PARR OREUR ee EB5 Min 6 Page 3 1 ORGANISATION ADMINISTRATIVE EXISTANT ACTUELLEMENT AU SRCRETARTAT DE L OMS DANS LE DOMAINS DES STATISTIQUES SANITAIRES EPIDEMIOLOGIQUES M DICALES ET DEMO RON EB5 76 Point 23 de l ordre du jour Le Conseil prend note du document Ra KE TEDOF EMENT DES SERVICES NATIONAUX DE SANTE PUBLIQUE NOTAMMENT DES SERVICES STATISTIQUES Point propos par le Gouvernc nt br silien EB5 81 Point 26 de l ordre du jour i pe i Le Dr de PAULA SOUZA attire l attention
43. u et que l OMS a t repr sent e la derni re de ces r unions qui s st tenue en d cembre 1948 Washington Les rapports relatifs aux travaux de ces sessions concernaient les as pects g n raux de la question et le Comit mixte en cons quence n a pas estim n cessaire d exprimer nouveau ces principes sauf dans la mesure o ils aout les points d ex cution et les deux ou trois sujets express ment renvoy s au Comit par la Deuxi me Assembl e de la Sant Ie Conseil pourrait souhaiter examiner deux de ces points qui sont mention n s dans la lettre de Suu catin du rapport l la fabrication de vitamines syn th tiques dans les pays insuffisamment d velopp s et 2 l tablissement de commis sions nationales mixtes Oi4 0MS de l alimentation et de la nutrition Le PRESIDENT invite M LATSKY repr sentant de l Organisation de l Alimenta tion et de l Agriculture faire une d claration devant le Conseil Me LATSKY repr sentant de 10 4 d clare qe la r cente Conf rence l Qganisetion par JMimntation amp MAgriculture apr s avoir tudi le rapport Lee la session a approuv les mesures prises en vue de coordonner les te rentrant dans le domaine de l alimentation et de La nutrition qui ont 4 entreprises par les deux Organisations elle a soulign nouveau le besoin de poursuivre cette collabora tion tout en n ignorant nullement que tous les programmes pratique
44. ue la Divi sion de la Nutrition de 11OAA a un budget consid rablement plus important que celui de la Section de 110MS qui s int resse la m me question ces principes sont gale ment conformes au r cent expos du Directeur g n ral sur la situation financi res L orateur assure au Dr Gear quiil est conforme l usage que les ditta d experts tudient les programmes provisoires du Directeur g n ral si l on estime qu ils n auront pas l occasion de le faire ult ricurenent or le Comit en question a t constitu de fa on ne se r unir qu une fois 6 PROPOSITION TENDANT L INSCRIPTION 4 A LIORDRE a Jour DE LA QUESTION DE IA REPARTITION GEOGRAPHIQUE DU PERSONNEL K Le Dr GEAR en tant que President du Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res mentionne que son Comit a examin la question de la dotation de l Organisation en personnel et a abouti la Peeran que la r partition g ographique est un domaine qui d passe le mangak du Comit pere te question sera donc soumise en vue d un examen au Conseil Ex cutif si geant en s ance pl ni re La s ance est lev e 18 heures 30
45. uestion des statistiques sanitaires et suge re que 74 note u Dr de Paula Souza sott incluse dans la documentation Lo Dr HYPE craint que la partie u document concernant la cr ation le d veloppement et l am lioration de services nationaux de sant publique n ait pas retenu suffisamment l attention IL y a encore i grand nombre de pays o 11 n existe pas de services nationaux de sant publique eomplets et l attention de L Assembl e de la Sant doit tre attir e sur ce fait Le PRESIDENT reconnaft qu il ikjet d attirer l attention de l Assembl e de la Sant sur les acn ie de la question trait e dans le document Le Dr VILLARAMA estime que le genre de de demand doit tre en cis se tn Esene aux gouvernements CA A maae Le PRESIDENT r pond que l on besoin de donn es portant eur as faite dene les rubriques propos es t approuv es le s ance au matin on a CPE une ni ce tr s importante aux statistiques de toute n EB5 Min 6 Rev 1 Page 5 Le Dr de PAULA SUR fait remarquer bre le e document porte sur la n ces sit la fois de cr er et de d velopper les services nationaux de sant publique et sur L importance qui s attache obtenir das statistiques dignes de foi Les conditions premi res d un service international de sant publique sont l institu tion de services nationaux de sant publique et l tablissement de st tistiques I est PE qu en soumettant le document L Asse
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