POUR VOTRE - MG Form Rhônes Alpes
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1. LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE Programme Formation ESE LS MG FORM RA Grande rue BP 11 01260 Champagne en Valromey T l 04 79 87 63 31 Fax 04 79 87 61 16 Email mgform medsyn ir Www mgiorm org D veloppement Professionnel Continu p2 MG FORM 26 ANS AU SERVICE DE LA FORMATION CONTINUE EDITO C est avec grand plaisir que nous vous adressons notre programme de formations 2014 Le DPC va donc commencer sa deuxi me ann e d existence Comme beaucoup d entre vous nous ne sommes pas du tout satisfaits du fonctionnement de l OGDPC C est l organisme administratif qui g re notre DPC Je ne veux pas revenir sur tous les dysfonctionnements qui ont p nalis les organismes de for mation et p nalis les m decins notamment les retards de paiement et la complexit des modes d inscription qui ont pu varier dans le temps Malgr tout beaucoup de m decins g n ralistes nous ont fait confiance et notre secr tariat MG FORM RA a d ploy toute son nergie voire au del pour vous aider dans vos d marches administratives d inscription Cette ann e encore le montant de votre forfait vous permettra de r aliser deux s minaires de deux jours indemnis s Pour ceux qui pr f rent d autres modes de formation nous vous proposons Les GEAP Groupe d change et d analyse des pratiques Le DPC net DPC non pr sentiel sur ordinateur Nous vous proposons des programmes de formatio2. 1 DPC net 517 50 E 1 GeaP 690 j EEE N h sitez pas nous contacter si Vous ne savez pas comment utiliser le reliquat de votre enveloppe MG FORM RA Grande rue BP 11 01260 Champagne en Valromey T l 04 79 87 63 31 Fax 04 79 87 61 16 Email mgform medsyn fr www mgform org La FORMATION DU M DECIN G N RALISTE
3. Ce programme poursuit un double but sensibiliser les m souffrant d addictions aux jeux et pr senter _ decins g n ralistes au bien fond du rep rage des patients l outil Intervision La nutrition en consultation de MG la femme enceinte et allaitante le nourrisson et le jeune enfant Des r ponses aux multiples questions que nous posent les jeunes parents 2 jours e 22 23 MAI 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Christian SCELLIER Docteur je suis enceinte est ce que je peux manger du quel ge peut on donner du lait 2 ge foie gras No l Des hu tres Mon b b a 9 mois peut il manger des crudit s Il y a de l ecz ma dans ma famille est ce que le fait Le lait de suite est il indispensable d allartter mon b b va le prot ger Le m decin g n raliste au c ur des professions de sant le travail pluridisciplinaire Le g n raliste pivot pas un vain mot 2 jours 22 23 MAI 2014 ROANNE Loire 42 Organisateur Benoit OTTON Le travail d quipe entre professionnels de sant de proxi Ces regroupements de professionnels de sant autour mit suppose une connaissance mutuelle des professions d un th me comme dans les r seaux ou autour de pro entre elles une reconnaissance r ciproque au sein des jets de sant comme dans les maisons ou p les de sant structures de proximit l utilisation des comp tences participent la modernisation de la m decine g n rale compl
4. Christian FABREGUE Pour que le g n raliste continue tre reconnu par ses le suivi sans difficult Mais la vigilance est de rigueur patientes comme un acteur utile et comp tent au suivi de face certaines femmes pr sentant des facteurs de risque la femme enceinte de complication ou d accouchement pr matur La grossesse est une tape physiologique de la vie de la particuli rement dans les milieux socioprofessionnels femme 80 90 sont normales Le MG en assure d favoris s PROGRAMME 2014 D pistage diagnostic traitement et pr vention des vulvo vaginites et IST sauf HIV IST et vulvo vaginites informer pour pr venir y penser pour diagnostiquer et bien traiter I jour 17 AVRIL 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Nicole BEZ Trait es pr cocement les IST bact riennes chlamydiae gonocoque certains mycoplasmes Ces complications gonocoque syphilis peuvent facilement gu rir par sont donc vitables par un d pistage et un traitement antibioth rapie pr coce Leur gravit tient aux complications et aux s quelles qui Enfin l herp s g nital constitue un autre probl me de constituent un mode fr quent de leur r v lation sant r pandu et en progression 18 chez la femme et En particulier 25 des st rilit s f minines sont d origine de 14 chez l homme tubaire dont 90 dues une infection chlamydiae Le suivi de la femme en p rim nopause et le d pist
5. Bruno DEYRIEUX La dyslipid mie est un des facteurs de risque cardio montrent l int r t de son contr le oui mais pour qui vasculaires pr pond rants De nombreuses tendues et Jusqu quand Le mal de dos en soins primaires Lombalgies Informer et impliquer le patient pour viter la chronicisation 2 jours 09 10 AVRIL 2014 VALENCE Drome 26 Organisateur Roland VIALY Elles sont souvent pluri factorielles somatiques Nous sommes parfois d courag s en face de certains psycho sociales patients qui en souffrent longtemps La CCAM dans la pratique du m decin g n raliste Diversifier sa pratique et mieux coter ses actes I jour 10 AVRIL 2014 ROANNE Loire 42 Organisateur J r me BARD La derni re convention m dicale a compl tement r nov Si vous ma trisez mieux ces 2 codifications vous pouvez en la nomenclature des actes m dicaux techniques en intro tant plus pr cis en remplissant les feuilles de soins et sans duisant c t de la NGAP Nomenclature G n rale des efforts suppl mentaires augmenter de fa on cons quente Actes Professionnels la CCAM Classification des Actes vos revenus M dicaux D pistage diagnostic traitement et pr vention des vulvo vaginites et IST et vulvo vaginites informer pour pr venir y penser pour diagnostiquer et bien traiter IST sauf HIV I jour o I I AVRIL 2014 SEYSSINS Is re 38 Organisateur Jacques EYMIN Trait es pr c
6. Diab te de type 2 quand et comment instaurer l insulinoth rapie D pistage diagnostic traitement et pr vention des vulvo vaginites et IST sauf HIV Entorses et tendinites en m decine g n rale Approche cognitivo comportementale de l anxi t sociale en m decine g n rale Consultation pr ventive de l adulte assist e par ordinateur Education du patient diab tique en dehors de l insulinoth rapie Soigner domicile les patients en fin de vie 1 niveau Ophtalmologie courante et pratique du m decin g n raliste Prise en charge de la d pression de l adulte en m decine g n rale Etat de stress post traumatique rep rage et prise en charge Relation m decin patient approche thique R gulation lib rale des demandes de soins non programm s Des outils informatiques statistiques pid miologiques pour pr senter des travaux de recherche en m decine g n rale Les allergies d finition Qui tester Quand Que faire Suivre une femme enceinte r les et fonctions du m decin g n raliste Maladie de Parkinson diagnostic et prise en charge par le MG Le jeu pathologique rep rage et prise en charge Diagnostic positif et diff rentiel des tumeurs cutan es pigment es d pistage pr coce du m lanome Urgences ophtalmologiques en m decine g n rale L allaitement maternel rien de plus naturel Ob sit de l adulte Le patient vertigineux diff rencier l urgence orienter g r
7. doivent tre capables de diff rencier une l sion b nigne de leur prodiguer des conseils de pr vention et d auto ou potentiellement maligne rep rer les patients risque surveillance soit de par leur morphotype cutan soit par leur D pistage des troubles mentaux de l enfant et de l adolescent Connaitre les signes cliniques des troubles mentaux pour les d pister pr cocement chez nos jeunes patients 2 jours 02 03 OCTOBRE 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Jacques EYMIN Il refuse d aller se coucher il a mal au ventre avant d al banal ler en cours elle est tr s timide il est irritable et col rique Et si c tait un trouble psychiatrique Ophtalmologie courante et pratique du m decin g n raliste Am liorer mes comp tences en ophtalmologie pour prendre en charge certaines pathologies 2 jours 02 03 OCTOBRE 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Pascal DUREAU Cet enfant voit il bien Et ce patient atteint de Glaucome quand dois je Comment traiter cet il rouge m inqui ter Eclairage thique dans la prise en charge du patient atteint de maladie d Alzheimer Rep rer pour orienter et prendre en charge 2 jours e 08 09O0CTOBRE 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Gilles PERRIN Sensibiliser les m decins au rep rage et la d tection des de leur dignit afin de faciliter l alliance th rapeutique patients atteints de la maladie d Alzheimer dans le respect Prise en ch
8. 24 AVRIL 2014 SEVRIER Haute Savoie 74 Organisateur H l ne PORCO Nombre de nos patients souffrent de comportements m dicaments etc Nous sommes souvent confront s dommageables pour leur sant tabac alcool troubles la difficult d accompagner les changements souhaitables des conduites alimentaires jeu chez eux L entretien motivationnel peut nous y aider Insuffisance cardiaque chronique d pistage et suivi par le g n raliste D pister les patients insuffisants cardiaques avant les sympt mes et les traiter pour les soulager 2 jours 24 25 AVRIL 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Marc Vital DURAND La pr valence de l insuffisance cardiaque est en augmen teurs de risque cardiovasculaire qui prolongent l esp ran tation constante apr s 5 ans Elle est pour partie la ce de vie Elle s instaure souvent de fa on insidieuse r sultante de l efficacit des th rapeutiques sur les fac Pathologie thyro dienne comment mieux la prendre en charge La thyro de de la palpation l op ration 2 jours 25 26 AVRIL 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Abbas KHENNOUF C est la plus fr quente des pathologies endocriniennes en Le r le du MG est central pour synth tiser les donn es dehors du diab te Le diagnostic en est parfois facile mais cliniques avec les examens compl mentaires et atteindre souvent trompeur notamment chez les personnes g es les objectifs suivants Entors
9. Apprenez pr venir les chutes Soigner domicile les patients en fin de vie 17 niveau Soulager en prenant en compte les risques iatrog nes et l atteinte la qualit de vie en fonction des b n fices escompt s dans le contexte de fin de vie 2 jours 24 25 SEPTEMBRE 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Roger BOLLIET Plus de 70 des Fran ais souhaitent pouvoir vivre leurs Les g n ralistes peuvent acqu rir les moyens et les derniers moments chez eux entour s de leurs proches La comp tences pour prendre leur place dans l quipe r alit actuelle est tout autre puisque que seulement 26 pluridisciplinaire qui accompagne le patient et des d c s ont lieu au domicile sa famille lors des fins de vie In galit s d acc s aux soins de pr vention les comprendre en vue de les r duire L esp rance de vie reste en France excessivement li e la position sociale moins 7 ann es 35 ans entre un ouvrier et un cadre sup rieur 2 jours 01 02 OCTOBRE 2014 VALENCE Drome 26 Organisateur Roland VIALY Il nous faut donc comprendre ces In galit s sociales de san se forment une comp tence pratique renforc e en t puis explorer les freins de notre pratique de soin pour sant publique pour collaborer avec les Ateliers l acc s la pr vention des populations les plus vuln rables Sant Ville Vous ne voyez pas ce que ces dispositifs En outre le d veloppement futur des Contrats Locaux de r
10. RONZIERE P BOLLIET P DUREAU B DEYRIEUX H CHASSAGNON J P JACQUET P NALPAS J P JACQUET F LACOIN C FABREGUE F LACOIN F LACOIN F LACOIN J P JACQUET C FABREGUE F LACOIN F LACOIN C ODDOU H PORCO I PATTOU C ODDOU C ODDOU H PORCO En 2013 l OG DPC vous alloue un budget de 3 700 pour faire votre DPC Ce budget englobe votre indemnisation dans la limite de 1 380 et le paiement de la structure qui vous accueille h tellerie secr tariat dossiers p dagogiques Voici les diff rentes combinaisons possibles pour r aliser votre DPC En participant 3 programmes d 1 jour Indemnisation du m decin 3 x 345 1 035 OU 1 programme de 2 jours 1 programme d 1 jour Indemnisation du m decin 1 programme de 2 jours 690 1 programme d 1 jour 345 j L Ekai programmes de 2 jours Indemnisation du m decin 2 x 690 1 380 1 programme de 2 jours 1 GeaP Indemnisation du m decin 1 programme de 2 jours 690 1 1 GeaP 690 J 1380 s GeaP Indemnisation du m decin 2 x 690 1 380 1 programme de 2 jours 1 DPC net Indemnisation du m decin 1 programme de 2 jours 690 1 DPC net 517 50 1 207 50 DPC net Indemnisation du m decin 2 x 517 50 1 035 1 GeaP 1 DPC net Indemnisation du m decin
11. enfant pour d pister pr cocement les troubles du d veloppement psycho affectif 2 jours e 11 12 DECEMBRE 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Rodolphe CHARLES Comment rep rer les signes pr coces et les signes nourrisson et du jeune enfant d alertes d un trouble du d veloppement psycho affectif du Qu est ce que la parentalit Programmes financ s par POGDPC L OGDPE est l Organisme Gestionnaire Conventionnel qui est g r par les signataires de la Convention M dicale Le financement est assur par des fonds de l assurance maladie Les formations sont des sessions allant de 1 2 journ e 2 Jours ou plus Chaque participant est indemnis par l OGDPC Les frais de restauration lors du s minaire sont pris en charge par MG Form e L h bergement pour la nuit entre les 1 et 2 journ es est pris en charge par MG Form si le participant habite plus de 100 km du lieu de la formation e L h bergement la veille du s minaire ainsi que le repas sont la charge du participant Le ch que de caution me sera rendu l issue de la formation Il restera acquis MG Form titre de d dommagement des frais engag s en cas d annulation de ma part quel qu en soit le motif moins de 30 jours calendaires avant la formation ou en cas de non participation la totalit de la formation Cette somme ferait alors l objet d un re u fiscal MG Form me d livrera l issue de la formation une attestation me permettant de ju
12. fonctions sus d critent L quipe en charge du p le g riatrie MG FORM est votre disposition N h sitez pas nous contacter T mgform mgform org LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE AIN DROME IS RE LOIRE Anticoagulants et antiagr gants prescrire au plus pr s des recommandations Le mal de dos en soins primaires Les troubles musculo squelettiques en soins primaires La CCAM dans la pratique du m decin g n raliste In galit d acc s aux soins de pr vention les comprendre en vue de les r duire La prescription d imagerie courante chez l adulte en m decine g n rale D pistage diagnostic traitement et pr vention des vulvo vaginites et IST sauf HIV Suivi du patient toxicomane par le m decin g n raliste Le suivi de la femme en p rim nopause et le d pistage des cancers gyn cologiques Insuffisance cardiaque chronique d pistage et suivi par le g n raliste La nutrition en consultation de MG la femme enceinte et allaitante le nourrisson et le jeune enfant Prise en charge efficace des pathologies articulaires examen clinique diagnostic orientation traitements La CCAM dans la pratique du m decin g n raliste Suivi du nourrisson et de l enfant d pistage pr vention alimentation Les antibiotiques quelle place en m decine g n rale Conna tre et pratiquer l valuation g riatrique et g rontologique D pistage diagnostic suivi et pr vention de
13. mentaires et synergiques Approche cognitivo comportementale de l anxi t sociale en m decine g n rale J aide mon patient contr ler son anxi t en situation relationnelle 2 jours 22 23 MAI 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Bruno DEYRIEUX Ces troubles peuvent tre responsables d anxi t de rendre ces patients les clefs d une communication pathologique de d pression ou d addictions harmonieuse avec leur entourage mettant ainsi en uvre Il en r sulte souvent un isolement socio professionnel un traitement la fois tiologique et pr ventif Le m decin g n raliste quotidiennement confront ces maladies o leur expression somatique aura c ur Prise en charge efficace des pathologies articulaires examen clinique diagnostic orientation traitements I jour e 05 JUIN 2014 SEYSSINS Is re 38 Organisateur Christian SCELLIER La r forme de l Assurance Maladie entr e en vigueur en de sp cialit Le m decin g n raliste est donc amen 2006 encourage le parcours de soins coordonn s au suivre de plus en plus de patients pr sentant des patho sein duquel le m decin traitant occupe un r le pivot logies rhumatismales en parall le avec le rhumatologue Choisi par le patient le m decin traitant r alise les soins l orthop diste ou le kin sith rapeute primaires et oriente si besoin le patient vers les soins PROGRAMME 2014 Consulation pr ventive de l
14. CTOBRE 20 21 NOVEMBRE 20 21 NOVEMBRE 28 29 MARS 10 AVRIL 25 26 AVRIL 6 17 MAI 22 23 MAI 06 07 JUIN 9 20 SEPTEMBRE 02 OCTOBRE 0 11 OCTOBRE LYON BEYNOST 01 VALENCE 26 VALENCE 26 CREST 26 VALENCE 26 SEYSSINS 38 SEYSSINS 38 SEYSSINS 38 PINSOT 38 PINSOT 38 PINSOT 38 SEYSSINS 38 GRENOBLE 38 PINSOT 38 PINSOT 38 PINSOT 38 SEYSSINS 38 GRENOBLE 38 PINSOT 38 PINSOT 38 PINSOT 38 PINSOT 38 SEYSSINS 38 ST ETIENNE 42 ROANNE 42 ST ETIENNE 42 ST ETIENNE 42 ROANNE 42 ST ETIENNE 42 ST ETIENNE 42 VILLEREST 42 ST ETIENNE 42 R GUERIN R VIALY R VIALY J PRATS R VIALY J L REYNIER J EYMIN M MENON J L REYNIER M V DURAND C SCELLIER C SCELLIER G PERRIN A GENTHON J EYMIN J EYMIN J L REYNIER M MENON J EYMIN G PERRIN C SCELLIER C SCELLIER J L REYNIER P CAUSSE J BARD A KHENNOUF M RECHE B OTTON A KHENNOUF M RECHE J BARD M RECHE tions sur Wwww mgformra fr LA O al Z O I A SAVOIE HAUTE SAVOIE Jeune parent jeune enfant parentalit et d veloppement psycho affectif de la petite enfance Consultations d adolescents au del du seul motif exprime d pister pr venir accompagner Le jeune enfant malade les sympt mes du quotidien en soins primaires entre 0 et 6 ans Faut il traiter tous les patients dyslipid miques
15. a population a v cu un v nement Ce programme se propose de faire r fl chir les m decins traumatique significatif au cours de sa vie le risque de g n ralistes et psychiatres sur leurs pratiques en abordant d velopper un trouble de stress post traumatique la la prise en charge des patients pr sentant un tat de suite d un v nement potentiellement traumatique est stress post traumatique ESPT d environ 10 La pr valence vie enti re en population g n rale est de Approche cognitivo comportementale de la d pression en m decine g n rale Utiliser les techniques cognitives dans la d pression et pr venir la rechute d pressive c est possible au cabinet du m decin g n raliste 2 jours 22 23 OCTOBRE 2014 SEVRIER Haute savoie 74 Organisateur H l ne PORCO La maladie d pressive est particuli rement les diff rentes psychoth rapies pr occupante et nous concernent tous Quelles sont nos possibilit s de prise en charge et Comment s y retrouver entre les m dicaments et nos limites Le patient vertigineux diff rencier l urgence orienter g rer les pathologies b nignes I jour e 20 NOVEMBRE 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN Tournez man ge a tangue a tourne j ai la naus e Objectifs que faire pour aider ce patient Comment diff rencier Diff rencier l urgence orienter le fameux vertige paroxystique g rer les pathologies b nignes A b n
16. adulte assist e par ordinateur Adapter la pr vention aux facteurs de risque du patient 2 jours 05 06 JUIN 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Henri CHASSAGNON Il est toujours possible de glisser des actions de Un logiciel m dical d di la pr vention facilite cette consul pr vention dans une consultation traditionnelle mais les tation de pr vention sera distribu et utilis disponibilit s du m decin et les attentes du patient pendant le s minaire rendent cette d marche non satisfaisante Cette d marche de pr vention trouve galement sa place Une consultation sp cifique de pr vention est donc dans l exercice pluridisciplinaire d une maison ou d un p le indispensable mettre en place de sant cest le sujet de ce s minaire Prescrire un arr t de travail pourquoi comment Pour ma triser les d marches et les recours et aider le patient 2 jours e 06 07 JUIN 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Abbas KHENNOUF Mais prescrire un arr t de travail C est prescrire un repos court moyen et long terme pour le patient et qu il faut qui fait partie int grante des soins prescrits au patient C est envisager une d cision m dicale qui nous incombe C est une d ci Des questions C est l occasion de faire le point entre sion qui a des cons quences socioprofessionnelles directes g n ralistes m decin conseil et m decin du travail La CCAM dans la pratique du m decin g n ralis
17. age des cancers gyn cologiques Les modes changent la m decine volue nous devons r pondre aux questions de nos patientes inqui tes 2 jours e 17 18 AVRIL 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Jean Luc REYNIER Faut il encore une contraception en p ri m nopause Faut il faire syst matiquement des mammographies et laquelle d s 40 ans Quel intervalle entre 2 frottis Comment affirmer la m nopause Vous trouverez toutes ces r ponses et plus encore que r pondre au sujet du traitement hormonal dans ce s minaire Diab te de type 2 quand et comment instaurer l insulinoth rapie Rep rer les difficult s du patient pour mieux l accompagner dans ses choix th rapeutiques 2 jours e 17 18 AVRIL 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Gilles RONZIERE Apr s des ann es de traitement nos patients chappent il faut passer l insuline au traitement oral et pour am liorer leur prise en charge Comment faire Maladie de parkinson diagnostic et prise en charge par le MG 2 jours 23 24 AVRIL 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN Am liorer la pertinence de l examen clinique des pour lui permettre d adapter en permanence les personnes risque de MPI et renforcer ses comp tences th rapeutiques et tre attentif aux progr s scientifiques Approche cognitivo comportementale des addictions en m decine g n rale A l coute de mon patient dans l aide au sevrage 2 jours 23
18. arge de la d pression de l adulte en m decine g n rale J accompagne mon patient d pressif vers la gu rison 2 jours 09 10 OCTOBRE 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Bruno DEYRIEUX Comment s y retrouver entre les m dicaments et les Cette formation Interactive a pour objectif de r pondre diff rentes psychoth rapies vos attentes par un abord direct de ces questions en Quelles sont nos possibilit s de prise en charge et nos compagnie de diff rents experts limites Ces patients qui somatisent Encore lui elle 2 jours o 10 11 OCTOBRE 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Marcelle RECHE Qui d entre nous ne s est jamais senti d sempar irrit M me apr s avoir qualifi rapidement le patient de voire puis en voyant pour la Ni me fois ce m me patient fonctionnel la plainte n en est pas moins r elle et le avec cette m me plainte ou pire encore avec une nouvelle sens difficile d crypter cascade de sympt mes encore plus Incoh rente Comment aider ces patients Ob sit de l adulte L ob sit ce n est pas qu une question de kilos 2 jours e 15 16 OCTOBRE 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN Convaincre un patient ob se ou en surpoids de changer indications de la chirurgie et l accompagner dans cette d marche conna tre et mettre Quels objectifs raisonnables sont rechercher en uvre les prises en charge du surpoids et de l ob sit
19. de 4 grands th mes de l alimentation et l allaitement pr vention la pr vention de l ob sit l arriv e du nouveau n dans son milieu familial les vaccinations Diagnostic positif et diff rentiel des tumeurs cutan es pigment es d pistage pr coce du m lanome Savoir examiner la peau de son patient identi fier les facteurs de risque individuels et tablir un plan de pr vention personnalis I jour o 19 JUIN 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN La derni re convention m dicale a compl tement r nov Si vous ma trisez mieux ces 2 codifications vous pouvez la nomenclature des actes m dicaux techniques en intro en tant plus pr cis en remplissant les feuilles de soins et duisant c t de la NGAP Nomenclature G n rale des sans efforts suppl mentaires augmenter de fa on cons Actes Professionnels la CCAM Classification des Actes quente vos revenus M dicaux Les antibiotiques quelle place en m decine g n rale Les antibiotiques le bon au bon moment 2 jours 19 20 JUIN 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Jacques EYMIN Les antibiotiques modifient ils l volution naturelle de la Comment voluent les r sistances aux antibiotiques maladie infectieuse Quels antibiotiques quand pourquoi comment Le patient voyageur avant pendant apr s Les voyages c est super encore faut il les pr parer pour qu ils ne tournent pas au cauchemar 2
20. epr sentent C est donc qu il faut s inscrire Sant l chelon des quartiers m rite que des g n ralistes LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE l allaitement maternel rien de plus naturel Aider les femmes qui le souhaitent allaiter dans les meilleures conditions 2 jours 01 02 OCTOBRE 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Christian FABREGUE Pour l enfant diminution de l incidence et de la gravit des cesse d augmenter ces derni res ann es maladies infectieuses Mais les arr ts d allaitement sont nombreux du fait de Pour la m re diminution des infections du post partum probl mes multiples souvent li s un accompagnement perte de poids plus rapide r duction des risques de inadapt de l allaitement maternel survenue du cancer du sein et de l ovaire pr vention de L allaitement favorise l instauration du lien m re enfant l ost oporose donc c est un vrai soutien dans la bientraitance et dans Le nombre de femmes qui d sire allaiter en France ne l apprentissage du maternage D pistage et prise en charge des cancers cutan s primitifs et des l sions pr pith liomateuses sauf m lanomes Regardons la peau de nos patients pour un diagnostic pr coce des l sions dangereuses I jour e 02 OCTOBRE 2014 VILLEREST Loire 42 Organisateur J r me BARD l issue du programme de formation les participants exposition professionnelle des agents oncog nes et
21. er les pathologies b nignes Jeune parent jeune enfant parentalit et d veloppement psycho affectif de la petite enfance Approche cognitivo comportementale des addictions en m decine g n rale Le patient adulte se plaignant d insomnie comment l aider et moins prescrire Le patient voyageur avant pendant apr s Prise en charge du patient hypertendu en m decine g n rale Approche cognitivo comportementale de la d pression en m decine g n rale 1 12 DECEMBRE 14 MARS 20 21 MARS 03 04 AVRIL 7 18 AVRIL 7 AVRIL 4 15 MAI 22 23 MAI 05 06 JUIN 04 05 SEPTEMBRE 24 25 SEPTEMBRE 02 03 OCTOBRE 09 10 OCTOBRE I7 OCTOBRE 14 15 FEVRIER 27 28 FEVRIER 1 12 MARS 27 MARS 16 17 AVRIL 23 24 AVRIL 22 MAI 19 JUIN 24 25 JUIN 01 02 OCTOBRE 15 16 OCTOBRE 20 NOVEMBRE 27 28 MARS 23 24 AVRIL 13 JUIN 19 20 JUIN 18 19 SEPTEMBRE 22 23 OCTOBRE ST ETIENNE 42 LYON 69 LYON 69 LYON 69 LYON 69 LYON 69 LYON 69 LYON 69 LYON 69 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 CHAMBERY 73 SEVRIER 74 SEVRIER 74 SEVRIER 74 SEVRIER 74 SEVRIER 74 SEVRIER 74 LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE R CHARLES H CHASSAGNON F LAPICA B DEYRIEUX G RONZIERE N BEZ R BOLLIET B DEYRIEUX H CHASSAGNON G
22. ervice de soins de longue dur e ou assimil h pital de jour sous la direction d un Ma tre de Stage G riatre titulaire de la capacit de G rontologie ou d un DESC de G riatrie Si possible avec l id e d une collaboration future avec ce service I est souhaitable que le maximum de stages soit effectu dans des structures g riatriques situ es dans le secteur voire le r seau de EHPAD o le candidat envisage d assurer sa mission de coordonnateur Les m decins lib raux exer ant en service de g riatrie court s jour ou soins de suite en h pital local soins de longue dur e m decins attach s en section de cure m dicale depuis plus de 3 ans sont dispens s de ces stages Le fait d tre m decin coordonnateur ne valide pas le stage LE MEMOIRE RAPPORT DE STAGE En fin de cursus sur un sujet en rapport avec l EHPAD en lien avec le stage et le d veloppement du projet personnel du coordonnateur Pr sent au ma tre de stage qui le valide VALIDATION DE LA FORMATION Pour les m decins ayant termin leur cursus il faut demander la validation MG Form National qui est habilit d livrer l attestation n cessaire Pour cela nous adresser Les copies des attestations de participations aux s minaires auxquelles vous avez particip L attestation du Ma tre de Stage ainsi que votre rapport de stage ou La dispense de stage Attestation sign e par le Directeur de l tablissement attestant 3 ans d anciennet dans les
23. es et tendinites en m decine g n rale Accidents sportifs la balle d cisionnelle est dans le camp du m decin g n raliste 2 jours 14 15 MAI 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Roger BOLLIET La pathologie traumatologique tendineuse et ligamentaire utile d bouchant sur une prise en charge adapt e d un est un motif de consultation de plus en plus fr quent en patient souffrant d une douleur micro traumatique du m decine g n rale coude d une paule d un genou d une cheville Comment pratiquer un examen clinique standardis et D t rioration mentale de la personne g e de la plainte mn sique la d mence D pister pr cocement pour adapter la prise en charge aux besoins r els du patient et viter l puisement de l entourage 2 jours e 16 17 MAI 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Marcelle RECHE La maladie d Alzheimer et les autres pathologies c r brales touche un nombre de plus en plus important de person d g n ratives viennent d tre reconnues part enti re nes g es Le MG est celui qui peut r aliser un diagnostic parmi les 30 ALD exon rant du ticket mod rateur C est pr coce et qui en assume le suivi en collaboration avec les la prise en compte de la sp cificit de cette pathologie qui autres Intervenants du secteur m dico social Le jeu pathologique rep rage et prise en charge I jour e 22 MAI 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN
24. harge recherche en m decine g n raliste m thodologique des th ses m moires travaux de Consultations d adolescents au del du seul motif exprim d pister pr venir accompagner D pister valuer et s entourer pour bien accompagner un ado en souffrance I jours e 14 MARS 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Henri CHASSAGNON PLa plupart des adolescents que nous voyons en consulta A nous de les aider exprimer leur mal tre ventuel Des tion vont bien Il nous faut avec eux tablir une relation de outils valid s un r f rentiel d attitudes peuvent nous y aider confiance et avoir des attitudes de pr vention Et quand ils sont en souffrance comment les aider passer Environ 15 sont en difficult parfois graves un cap difficile D veloppons nos comp tences pour le Ceux l ont du mal nous en parler et s en tiennent le faire en sollicitant si besoin les r seaux psycho sociaux plus souvent un motif de consultation banal demande de locaux _ certificat contraception acn Infection virale Les allergies d finition Qui tester Quand Que faire I jour e 27 MARS 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Fran ois LACOIN Le m decin g n raliste au c ur de la famille est celui des choses entre ce qui est allergie et ce qui ne l est pas qui connait le mieux l entourage de l enfant Il est donc pour adapter la prise en charge m me de d pister t t les a
25. in d une pathologie en connaissant les bons gestes E Ex plus grave La nutrition en consultation de MG le grand enfant l adolescent Des r ponses aux multiples questions que les ados ne nous posent surtout pas 2 jours 20 21 NOVEMBRE 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Christian SCELLIER Il n aime rien Docteur Il ne mange rien pourtant ce avez la r ponse venez quand m me participer ce n est pas faute de le forcer Il est un peu enrob mais minaire Les conseils nutritionnels quand on a les bases son p re tait comme a son ge De toutes fa ons il a prend 5 minutes lors d une consultation mange bien la maison c est la cantine que a ne va pas Et force de r p ter on finit par tre entendu Si vous n avez jamais entendu ces remarques o si vous D pistage des troubles sensoriels du langage et du retard psychomoteur de l enfant avant 4 ans Des outils simples pour ne pas m conna tre des troubles sensoriels ou un retard psycho moteur de l enfant 2 jours 20 21 NOVEMBRE 2014 SEYSSINS Is re 38 Organisateur Jean Luc REYNIER La surveillance de l enfant de la naissance jusqu 6 ans compte les ATCD familiaux et l environnement se fait par le m decin g n raliste qui peut prendre en SOCIO conomique Jeune parent jeune enfant Parentalit et d veloppement psycho affectif de la petite enfance Observer et couter les jeunes parents et leur
26. ires de soins e L organisation de la permanence des soins e Les admissions e L valuation des soins e L information la formation et la sensibilisation la g rontologie Une formation sp cifique est bien entendu n cessaire e tant en termes de pratique professionnelle ant rieure e que de dipl me Capacit en g rontologie DESC en g riatrie dipl me d Universit en g rontologie e et ou de formation m dicale continue Deux cas peuvent alors se produire e Soit le m decin est d j titulaire d une formation g rontologique lors de son recrutement e Soit il s engage l obtenir dans un d lai de 3 ans Deux fili res sont d s lors possibles e Soit la formation universitaire classique par exemple la capacit ou un DU e Soit la fili re de la Formation M dicale Continue Le m decin coordonnateur dispose d un d lai de trois ans apr s la signature de son contrat d embauche pour valider sa formation MG FORM propose une formation g rontologique confort par la publication au JO du d cret du 27 mai 2005 couvrant tous les aspects de la pratique g rontologique par le m decin g n raliste Il s agit de formation professionnelle abord e dans un esprit r solument pratique et s appuyant sur le r f rentiel m tier du m decin g n raliste en m decine ambulatoire Modalit s de validation du Cycle EHPAD La formation continue DPC permet toujours d obtenir l attestation requise pour exercer la fonc
27. isateur Gilles RONZIERE Comment impliquer le patient dans la prise en charge de L acquisition d outils et de m thodes d ducation th ra sa maladie diab tique C est l toute la difficult de notre peutique vous permettra d aider plus efficacement vos t che de m decin g n raliste patients et les rendra plus autonomes La CCAM dans la pratique du m decin g n raliste Diversifier sa pratique et mieux coter ses actes I jour o II SEPTEMBRE 2014 CREST Drome 26 Organisateur Jean PRATS La derni re convention m dicale a compl tement r nov Si vous ma trisez mieux ces 2 codifications vous pouvez la nomenclature des actes m dicaux techniques en intro en tant plus pr cis en remplissant les feuilles de soins et duisant c t de la NGAP Nomenclature G n rale des sans efforts suppl mentaires augmenter de fa on cons Actes Professionnels la CCAM Classification des Actes quente vos revenus M dicaux D pistage diagnostic suivi et pr vention des h patites L ABC du diagnostic du suivi et de la pr vention I jour e 18 SEPTEMBRE 2014 SEYSSINS Is re 38 Organisateur Jean Luc REYNIER Voyage Transfusions Percing Op rations autant de Faire le diagnostic des h patites A B et C facteurs de risque des h patites virales Assurer la surveillance des patients atteints d h patite Pour faire le point Proposer une pr vention Initiation l entretien motivationnel en m decine g
28. jours o 19 20 JUIN 2014 SEVRIER Haute savoie 74 Organisateur Chrystel ODDOU 8 millions de fran ais voyagent chaque ann e vers les dans leur pays d origine dans des conditions qui ne sont pays tropicaux Nos patients sont des voyageurs en pas celles du tourisme puissance soit comme touristes soit par retour r gulier PROGRAMME 2014 Urgences ophtalmologiques en m decine g n rale il rouge il douloureux corps tranger 2 jours 24 25 JUIN 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Jean Pierre JACQUET il rouge il douloureux corps tranger conjonctivite bact rienne Que faire devant un traumatisme oculaire Quels sont les Comment d pister et traiter un herp s oculaire crit res de gravit La m decine g n rale de premier recours trouve tout Quelle antibioth rapie probabiliste utisliser devant une son int r t dans ces pathologies aigu s ophtalmologiques Les troubles musculo squelettiques en soins primaires Pathologies du travail que faire comment et avec qui pour viter l exclusion du patient 2 jours 25 26 JUIN 2014 VALENCE Drome 26 Organisateur Roland VIALY Les troubles musculo squelettiques TMS repr sentent primaires se doit de d pister et d organiser le parcours de une question pr occupante en sant au travail et en sant soins au mieux de l int r t du patient et d assurer son suivi publique dans sa globalit Il doit s ins rer dans
29. llergies et faire la part Jeune parent jeune enfant Parentalit et d veloppement psycho affectif de la petite enfance Observer et couter les jeunes parents et leur enfant pour d pister pr cocement les troubles du d veloppement psycho affectif 2 jours 27 28 MARS 2014 SEVRIER Haute Savoie 74 Organisateur Chrystel ODDOU Comment rep rer les signes pr coces et les signes du nourrisson et du jeune enfant d alertes d un trouble du d veloppement psycho affectif Qu est ce que la parentalit Rep rer et faire face la souffrance morale au travail Savoir entendre la souffrance au travail et cr er le lien interdisciplinaire indispensable la prise en charge du patient 2 jours 28 29 MARS 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Pierre CAUSSE Souffrance morale au travail question de sant une r ponse appropri e dans le champ de nos Question de soci t Comment la rep rer comp tences Le stress au travail c est 37 des salari s c est 20 des C est avec les m decins du travail et aussi dans arr ts de travail de 2 4 mois une approche m dico l gale que ces Interpell directement ou alert par le m decin du travail questions seront abord es comment apporter ces patients en souffrance Faut il traiter tous les patients dyslipid miques Impliquer le patient dans sa pr vention pour mieux l adapter son profil 2 jours 03 04 AVRIL 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur
30. n con us PAR et POUR les m decins g n ra listes Ils r pondent au plus pr s des recommandations et de votre pratique quotidienne Ils sont ouverts tous les m decins g n ralistes sans aucune obligation d adh sion AVEC MG FORM nous avons choisi de privil gier e La qualit scientifique Notre conseil scientifique garant de la qualit de nos programmes assure un suivi permanent de nos dossiers UNE EQUIPE DE FORMATEURS DE PROXIMITE DYNAMIQUE issus du terrain de toute vidence cela facilite les relations professionnelles avec nos correspondants e LA CONVIVIALITE Nous comptons beaucoup vous retrouver dans nos formations en 2014 Amicalement toutes et tous Bien cordialement Dr Jacques EYMIN Pr sident MG Form RA Pour vous inscrire Renvoyez le bulletin d inscription accompagn des documents demand s N h sitez pas nous joindre au 04 79 87 63 31 ou mgsformra medsyn fr Relation m decin patient approche thique Sensibilisation aux questions thiques que nous nous posons tous les jours 2 jours 14 15 FEVRIER 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Jean Pierre JACQUET l interrogation thique peut se r sumer par la question suivante que faire pour bien faire pourquoi et comment La prescription d imagerie courante chez l adulte en m decine g n rale Savoir prescrire bon escient une demande d imagerie I jour o 27 FEVRIER 2014 SEYSSINS Is re 38 Organi
31. n rale avec ses applications en tabacologie alcoologie et addictologie outil de pr vention Quels outils face mon patient d pendant l jour 18 SEPTEMBRE 2014 GRENOBLE Is re 38 Organisateur Michel MENON L entretien motivationnel est une fa on d tre avec nos influen ant la sant tabac alcool exercice physique patients particuli rement utile en m decine g n rale lors alimentation prise de m dicaments L entretien moti qu on veut aborder un changement de comportement vationnel est galement un outil d accompagnement de nos malades chroniques dans le changement PROGRAMME 2014 Prise en charge du patient hypertendu en m decine g n rale Avec le patient valuer ses facteurs de risque et d finir la strat gie th rapeutique adapt e est notre quotidien 2 jours 18 19 SEPTEMBRE 2014 SEVRIER Haute savoie 74 Organisateur Chrystel ODDOU UCHTA est de loin le ler motif de consultation en m decine maladies cardiovasculaires 2 cause de mortalit en g n rale et sa prise en charge s int gre dans celle des France Pr vention de la chute dans le maintien de l autonomie de la personne g e Apr s la chute viter les rechutes 2 jours e 19 20 SEPTEMBRE 2014 ST ETIENNE Loire 42 Organisateur Marcelle RECHE Entre 10 et 25 des personnes g es de plus de 65 ans D pister les 3 d ficits neurosensoriels l origine font des chutes r p tition des chutes
32. net d analyse et d change de pratiques La prescription de radios gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques Le sommeil de l enfant gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques Le sommeil de l adulte gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques L asthme de l enfant gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques D roulement du programme En ligne remplir 8 10 fiches sur des patients vus en consultation Elles portent sur le th me choisi ravall individuel Le participant prend connaissance des recommandations propos es en ligne par l organisme organisateur Retour d exp rience Le participant remplit 8 10 nouvelles fiches selon les m mes modalit s qu en d but d action AN PROGRAMME 2014 ID LE DPC en Groupe d changes et d analyse de Pratiques Vous faites d j partie d un Groupe d changes et d analyse de Pratiques MG Form vous propose un asdossement un savoir faire une m thodologie une logistique Vous souhaitez cr er un Groupe d changes et d analyse de Pratiques Vous tes seul et plein d initiative Des accompagnateurs MG Form vous aideront dans la constitution et le fonctionnement de votre groupe M thodologie et d roulement Les groupes de 6 2 m decins g n ralistes en exercice se r uniront 4 fois durant 3 h 30 participeront une 1 2 journ e de rencontre avec
33. ocement les IST bact riennes chlamydiae chlamydiae sonocoque certains mycoplasmes gonocoque syphilis peuvent facilement gu rir par Ces complications sont donc vitables par un d pistage et antibloth rapie Leur gravit tient aux complications et un traitement pr coce aux s quelles qui constituent un mode fr quent de leur Enfin l herp s g nital constitue un autre probl me de sant r v lation En particulier 25 des st rilit s f minines sont r pandu et en progression 18 chez la femme d origine tubaire dont 90 dues une infection et de 14 chez l homme La majorit des toxicomanes fran ais sont pris en charge psychique sous jacente g n ralement non exprim e par les m decins g n ralistes La relation qui se noue avec Ce s minaire permet un fructueux change ces patients est souvent complexe Les difficult s rencon d exp riences dans la prise en charge de ces patients tr es rel vent d obstacles socioculturels et de la souffrance Suivre une femme enceinte r les et fonctions du m decin g n raliste Le m decin g n raliste m decin de la femme des premi res r gles la m nopause Un patient toxicomane dans mon cabinet Que faire comment faire Suivi du patient toxicomane par le m decin g n raliste 2 jours e 11 12 AVRIL 2014 SEYSSINS Is re 38 Organisateur Michel MENON en passant par la grossesse 2 jours 16 17 AVRIL 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur
34. quels sont les freins l amaigrissement r gimes activit physique m dicaments adjuvants quelle est la place de la chirurgie et des m dicaments LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE PROGRAMME 2014 Anticoagulants et antiagr gants Prescrire au plus pr s des recommandations Vous n AVK vous inscrire 2 jours 16 17 OCTOBRE 2014 LYON BEYNOST Ain 01 Organisateur Rachel GUERIN En pr vention primaire et secondaire que dois je pres La prise de relais d un traitement h parinique comment crire AVK h parine aspirine clopidogrel tre efficace sans tre latrog ne Comment g rer en ville des soins programm s extrac Face aux nouvelles mol cules que l on nous annonce sans tion dentaire coloscopie des patients sous traitement contr le biologique les AVK ont ils fait leur temps anticoagulant Gestes techniques en soins primaires Infiltrer suturer coller panser et bien coter 2 jours o 16 17 OCTOBRE 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Christian SCELLIER Mieux reconnus dans la nomenclature les actes de petite M dicales de Garde valorisent le m decin qui les r alise traumatologie r alis s au cabinet ou dans les Maisons et donnent un sens aux soins de proximit Etat de stress post traumatique rep rage et prise en charge I jour r union 17 OCTOBRE 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Henri CHASSAGNON Pr s de la moiti de l
35. rentiel et voquent de nouvelles pistes d am lioration de leurs pratiques sur le th me choisi MG Form vous propose ce programme de DPC pour am liorer votre confort de travail votre qualit de prise en charge sur ces th mes au choix la consultation avec l adolescent rep rer les adolescents risque de suicide o de conduite risque le d pistage de l alcoolisme rep rage pr coce du risque de d pendance alcoolique et ventuellement d intervention br ve dans les consultations de patientes et patients de plus de 15 ans le d pistage de l ost oporose chez la femme d pistage du risque ost oporotique chez la femme d ge m r la prise en charge du patient d pressif prise en charge du patient d pressif L hygi ne et la pr vention des infections li es aux soins dans la pratique du m decin g n raliste gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques Le suivi des grossesses par le m decin g n raliste gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques Le suivi des patients diab tiques de type 2 par le m decin g n raliste gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques Le suivi des patients hypertendus par le m decin g n raliste gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques La vaccination de l adulte gr ce des outils Internet d analyse et d change de pratiques La vaccination de l enfant gr ce des outils Inter
36. s entre pairs et le lien entre la pratique g rontologique et la d marche g n raliste globalisante et mod lisant Le cycle propos par MG FORM r pondant aux contraintes r glementaires comporte Quatre s minaires obligatoires e Connaitre et pratiquer l valuation g riatrique et g rontologique e Approfondissement des connaissances et de l implication des m decins dans la coordination des soins aux personnes g es en EHPAD e Rep rage de la fragilit chez la personne g e e D t rioration mentale chez la personne g e Et deux s minaires compl mentaires choisir parmi les suivants e Pr vention de la chute dans le maintien de l autonomie de la personne g e e Soigner les patients en fin de vie e G rer la poly m dication et pr venir la latrog nie m dicamenteuse chez la personne g e e D nutrition du sujet g comprendre et mieux d pister pour informer pr venir et prendre en charge e Manager une quipe en EHPAD ou domicile e Comportement de la personne g e d mente et souffrance des aidants e Le dossier m dical en EHPAD Int r ts et limites e Maladie d Alzheimer Quoi faire pour bien faire clairage thique e Le diab te de la PA LE STAGE PRATIQUE La formation pratique doit tre acquise au cours de vingt demi journ es reparties selon vos disponibilit s en EHPAD service hospitalier court s jour g riatrique psychiatrie soins de suite o de r adaptation g riatrique s
37. s h patites Initiation l entretien motivationnel en m decine g n rale avec ses applications en tabacologie alcoologie outil de pr vention D pistage des troubles mentaux de l enfant et de l adolescent Eclairage thique dans la prise en charge du patient atteint de maladie d Alzheimer Gestes techniques en soins primaires La nutrition en consultation de MG le grand enfant l adolescent D pistage des troubles sensoriels du langage et du retard psychomoteur de l enfant avant 4 ans Rep rer et faire face la souffrance morale au travail La CCAM dans la pratique du m decin g n raliste Pathologie thyro dienne comment mieux la prandre en charge D t rioration mentale de la personne ag e de la plainte mn sique la d mence Le m decin g n raliste au c ur des professions de sante le travail pluridisciplinaire Prescrire un arr t de travail pourquoi comment Pr vention de la chute dans le maintien de l autonomie de la personne ag e D pistage et prise en charge des cancers cutan s primitifs et des l sions pr pith liomateuses sauf m lanomes Ces patients qui somatisent Retrouvez toutes nos forma 6 17 OCTOBRE 09 10 AVRIL 25 26 JUIN SEPTEMBRE 01 02 OCTOBRE 27 FEVRIER AVRIL 1 12 AVRIL 7 18 AVRIL 24 25 AVRIL 22 23 MAI 05 JUIN 2 JUIN 13 14 JUIN 19 20 JUIN 04 05 SEPTEMBRE I8 SEPTEMBRE 18 SEPTEMBRE 02 03 OCTOBRE 08 09 OCTOBRE 6 17 O
38. sateur Jean Luc REYNIER La HAS a publi en 2005 un Guide du bon usage des exa pr f rentielle des techniques non irradiantes mens d imagerie m dicale afin de imagerie ultrasonore et imagerie par r sonance R duire l exposition des patients par la suppression magn tique des examens d imagerie non Justifi s Am liorer les pratiques par la rationalisation des R duire l exposition des patients par l utilisation Indications des examens d imagerie R gulation lib rale des Demandes de Soins Non Programm s Mettre en uvre les proc dures d une r gulation efficiente techniques d coute de communication tablissement d un contrat avec l appelant 2 jours 27 28 FEVRIER 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Patricia NALPAS La politique de restructuration du secteur de la perma MG Urgences a lanc le concept de centre de r gulation nence des soins insiste sur l importance d une r gulation lib rale D autres ont vu le jour depuis en collaboration efficace des demandes de soins non programm s plus ou moins troite avec les centres de r gulation du 15 laquelle participeraient des m decins lib raux Des outils informatiques statistiques pid miologiques pour pr senter des travaux de recherche en m decine g n rale Je fais de la recherche mon cabinet 2 jours o 11 12 MARS 2014 CHAMBERY Savoie 73 Organisateur Jean Pierre JACQUET Pour une r alisation de qualit meilleure prise en c
39. stifier mes obligations de formation LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE _DECnet D VELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU La formation en ligne ou le e learning permet de se former sans se d placer sur un lieu de formation et sans la pr sence physique d un formateur Il s agit d un travail r flexif permettant aux m decins de regarder ce qu ils font effectivement et d y r fl chir Le r sultat attendu est une int gration la pratique quotidienne du m decin d outils simples et op rationnels Mode d emploi Le m decin qui souhaite participer au programme de DPC net s inscrit aupr s MG Form l aide d un mail de pr inscription MGForm retourne le bulletin d inscription et signe l engagement participer l ensemble du programme re oit en retour un accus r ception un identifiant et un mot de passe qui lui permettront d acc der au site de t l chargement et la documentation n cessaire chaque session de travail ses r ponses sont enregistr es et peuvent tre consult es lors d une session ult rieure Dix quinze semaines apr s le d but de l action des r unions virtuelles par groupes de 10 12 participants sont organis es par le responsable du programme et un accompagnant form ces techniques Cette r union peut tre t l phonique ou par visio conf rence Au cours de ces r unions les participants changent sur le programme son d roulement le r f
40. taires Optimiser sa pratique face aux probl mes de sommeil de l adulte 4 r unions e Insomnie r cente e Insomnie ancienne e Insomnie de la personne g e Optimiser sa pratique face aux probl mes de sommeil de l enfant 4 r unions e Troubles du sommeil du b b e troubles du sommeil du jeune enfant en p riode d ge scolaire e troubles du sommeil de l adolescent Optimiser le suivi de la femme enceinte 4 r unions e d sir d enfant e Suivi de grossesse e Post partum allaitement Optimiser sa pratique de d pistage et de pr vention des cancers 4 r unions e Cancer du sein Cancer du colon Cancer de la peau Optimiser sa pratique de la prescription des antibiotiques 4 r unions e Infections respiratoires basses e Infections respiratoires hautes e Surinfections de bronchite chronique e Infections urinaires de l adulte Optimiser sa pratique de la prise en charge des pathologies respiratoires 4 r unions e Asthme e Infection respiratoire basse e Infection respiratoire haute LA FORMATION DU M DECIN G N RALISTE CYCLE GERONTOLOGIE MG FORM FORMATIONS MEDECIN COORDONAT EUR EHPAD Contexte Le cahier des charges accompagnant le D cret n 97 427 d 28 avril 1997 pr voit dans son annexe la cr ation d un poste de m decin coordonnateur dont la pr sence est obligatoire en EHPAD Ses missions sont au nombre de douze parmi lesquelles e La coordination avec les autres prestata
41. te Diversifier sa pratique et mieux coter ses actes I jour o 12 JUIN 2014 GRENOBLE Is re 38 Organisateur Gilles PERRIN La derni re convention m dicale a compl tement r nov Si vous ma trisez mieux ces 2 codifications vous pouvez en la nomenclature des actes m dicaux techniques en intro tant plus pr cis en remplissant les feuilles de soins et sans duisant c t de la NGAP Nomenclature G n rale des efforts suppl mentaires augmenter de fa on cons quente Actes Professionnels la CCAM Classification des Actes vos revenus M dicaux Le patient adulte se plaignant d insomnie comment l aider et moins prescrire l jour o 13 JUIN 2014 SEVRIER Haute Savoie 74 Organisateur Isabelle PATTOU 30 de la population adulte souffre d insomnie Il s agit d une plainte fr quente pour laquelle le m decin Elle a des cons quences diurnes un impact sur la qualit de g n raliste intervient diff rents niveaux de soins afin vie et est li e statistiquement un certain nombre d am liorer le soutien psychologique et social des patients de maladies somatiques ou psychiques et limiter le besoin de recourir aux hypnotiques Suivi du nourrisson et de l enfant d pistage pr vention alimentation Parce que la m decine g n rale passe par la comp tence en p diatrie 2 jours 13 14 JUIN 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Alexandra GEN THON Vous ferez le point sur l actualit
42. tion de m decin coordonnateur Le cursus se d compose comme suit e La formation th orique fix e par les textes 80 heures avec e Les 4 programmes obligatoires coordination des soins valuation g riatrique et g rontologique fragilit de la PA d t rioration mentale e 2 des 8 programmes compl mentaires e La formation pratique 20 demi Journ es de stage en une ou deux fois e La r daction d un m moire Le cycle doit tre accompli en 3 ans en cas d embauche raison de deux actions quatre journ es de pr sence indemnis es par an La possibilit de programmer un DPC pluriannuel nous incite vous proposer de participer nos actions dans un ordre d termine e premi re ann e valuation g riatrique et d t rioration mentale e deuxi me ann e fragilit de la personne g e et une des actions optionnelles e troisi me ann e coordination des soins et la seconde action optionnelle Le cursus th orique L objectif g n ral du cursus de formation est e de r pondre aux besoins des patients en optimisant la coh rence de prise en charge e de promouvoir une organisation rationnelle en relation troite avec les diff rents acteurs du domaine m dico social centr e autour de la personne g e Les formations MG FORM outre leur qualit reconnue poss dent une sp cificit laquelle nous sommes attach s une p dagogie bas e sur La proximit Les change
43. un expert pour les questions rest es en suspens Chaque r union porte sur un th me bien pr cis Les th mes propos s sont Optimisation de la recherche documentaire par Internet pendant la consultation e recherche concernant une pathologie recherche d outils Optimiser la prise en charge de pathologies rhumatologiques 4 r unions e lombalgies rhumatisme inflammatoire ost oporose Optimiser le suivi de la femme jeune par le MG 4 r unions e Contraception e grossesse e cancer du col ut rin d pistage pr vention Optimiser le suivi de la femme 4 r unions e Contraception Grossesse m nopause Optimiser sa pratique d une attitude pr ventive 4 r unions e tabac alcool e vaccination Optimiser la prescription biologique 4 r unions e dans le domaine cardio vasculaire HTA insuffisance cardiaque facteurs de risque e dans le diab te type l type 2 diab te gestationnel d pistage et suivi e dans les fatigues et dysthyro dies Optimiser sa pratique de prise en charge de pathologies articulaires 4 r unions e pathologie de l paule hanche genou Optimiser sa pratique pr ventive chez la personne g e 4 r unions e d nutrition latrog nie ost oporose Examiner entre pairs ce que nous faisons nous fait progresser Optimiser le suivi des allergies 4 r unions e allergies respiratoires et cutan es e allergies m dicamenteuses e allergies alimen
44. une cha ne de soins En France les TMS sont la premi re cause de reconnais qui inclut le m decin du travail et les acteurs de la pr ven sance de maladies professionnelles tion du risque professionnel Le m decin g n raliste traitant acteur essentiel des soins Le jeune enfant malade les sympt mes du quotidien en soins primaires entre 0 et 6 ans Expliquer et duquer les parents pour mieux soigner leurs enfants Quand le quotidien du jeune enfant peut masquer une affection plus grave 2 jours 20 21 MARS 2014 LYON Rh ne 69 Organisateur Florence LAPICA Toux Nez qui coule Mal au ventre Fi vre Comment ne pas passer c t Les sympt mes du quotidien embolisent nos de quelque chose de grave consultations Comment r pondre aux parents inquiets Quand faut il passer la main Conna tre et pratiquer l valuation g riatrique et g rontologique Evaluer la d pendance puis organiser pour et avec le patient 2 jours 04 05 SEPTEMBRE 2014 PINSOT Is re 38 Organisateur Jacques EYMIN Formation de base sur la d marche g rontologique et la des outils d valuation g rontologique utiles en m decine classification des handicaps WOOD avec une approche de ville et en EHPAD Education du patient diab tique en dehors de l insulinoth rapie Impliquer le patient diab tique dans sa prise en charge il y a des techniques 2 jours 04 05 SEPTEMBRE 2014 LYON Rh ne 69 Organ
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