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1. un endroit o elle est normale ou exc dentaire le plus souvent dans le pannicule adipeux abdominal La graisse est centrifug e puis r inject e lors de la Lire ce sujet les r sultats de l enqu te TRT 5 www trt B org article128 html www sante gouv fr htm actu yeni_sida rapport_experts_2006 paf Extrait du rapport Prise en charge m dicale de l infection par le VIH 2006 dir Pr Yeni p 218 www trt 5 org IMG jpg Lipoatrophie jpg Protocoles n 47 page 19 www actupparis org article8005 html Cet article est le fruit du travail men par le TRT 5 Traitements et Recherche Th rapeutique Ce collectif regroupe des membres des associations Action Traitement Act Up Paris Aides Arcat Sida soit cinq associations fondatrices avec VLS aujourd hui dissoute puis par la suite rejoint par Sida Info service Sol En Si et Nova Dona Le TRT 5 a t cr en 1992 Comme son nom l indique le TRT 5 se focalise sur des probl matiques li es au traitement de l infection VIH et la recherche men e en ce domaine Protocoles n 47 page 20 Wwww actupparis org article3005 html m me intervention chirurgicale sous la peau des zones atrophi es Cette m thode n cessite une anesth sie g n rale et un arr t de travail d une semaine en moyenne La qualit du r sultat d pend de l exp rience du chirurgien bonne valuation du volume de graisse transf rer pour viter une surco
2. 17h30 la Salle Paul Delouvrier du Conseil R gional d le de France 35 boulevard des Invalides Paris VIF M tro Saint Fran ois Xavier Les th mes abord s porteront sur Travesti transgenre transsexuelLE historique s mantique Histoire de la construction du genre Trans une approche psychanalytique Le milieu trans au Royaume Uni La communaut transgenre portugaise une r alit voil e Trans et modes de vie en France Les vuln rabilit s sanitaires et sociales Quelle pr vention Pour participer un coupon r ponse est retourner au CRIPS avant le 22 juin en indiquant vos Nom Pr nom Association Organisme Fonction Adresse T l phone Fax mail Aucune confirmation d inscription ne sera renvoy e Los Angeles 2007 14 conf rence Voir aussi www actupparis org article2895 html Protocoles n 47 page 12 www actupparis org article3004 html Du 25 au 28 f vrier dernier deux membres de la commission Traitements amp Recherche d Act Up Paris ont suivi la 14 Conf rence sur les r trovirus et les infections opportunistes CROI Entre recherche fondamentale et r sultats d tudes cliniques cette conf rence fut dense et notre compte rendu ne pourra tre exhaustif Pr vention Le symposium sur les d terminants de l pid mie qui mettaient du m me coup en exergue certains aspects essentiels qui font la part belle la propagation du virus
3. le pr puce ne prot ge plus le gland Or sa constitution n est naturellement pas faite pour rester d couvert il doit donc se renforcer s paissir se k ratiniser En durcissant la peau diminue donc la possibilit de p n tration d agents infectieux potentiels telles les IST ou le VIH Enfin apr s un acte sexuel une verge circoncise s che vite tat d favorable au VIH Ces l ments font que la circoncision pourrait tre envisag e pour r duire le risque de transmission du VIH de la femme vers l homme Toute fois il est important de rappeler qu elle ne pr sente qu une protection partielle et qu aucun essai n a d montr que l inverse c est dire la transmission de l homme vers la femme est r duite quand le partenaire masculin est circoncis Epid miologie Ces informations pourraient avoir des r percussions int ressantes pour des pays forte pr valence VIH dans lesquels le VIH se transmet majoritairement par voie sexuelle h t rosexuelle Prenons l exemple du continent africain La pr valence dans certains pays peut atteindre jusqu 38 Swaziland 37 Botswana et 29 Lesotho de la population adulte Dans le m me temps la circoncision concerne dans ces pays respectifs 50 25 et 0 de la population Les pays faible pr valence VIH comme la Mauritanie 0 6 la Somalie 0 7 ou le S n gal 0 8 ont des taux de circoncision lev s 78 93 89 A No dat
4. Enfin la partie pr c dant l AMM Autorisation de Mise sur le March correspond des essais comparatifs pour valuer au mieux les effets secondaires c est la phase III Chacune de ces phases s encha nent les unes aux autres avant que le produit ne soit commercialis Mais IATU Autorisation Temporaire d Utilisation permet aux malades d avoir un acc s pr coce au m dicament Une ATU nominative est demand e par un clinicien pour un patient ATU de cohorte est donn e un groupe de patients qui r pondent aux crit res d un protocole z Au pr alable Avant d entrer dans un essai il est important de bien r fl chir N h sitez pas poser toutes vos questions votre m decin ou l investigateur ne laissez subsister aucun doute votre d cision n en sera que mieux clair e Quelques points notamment doivent tre claircis avant d accepter ou de refuser l entr e dans un essai L essai pr voit il des actes invasifs biopsie endoscopie pr l vement prise de cheveux fibroscopie ponction lombaire etc Ces actes peuvent prendre du temps provoquer des douleurs ou tre prouvants Mieux vaut en tre averti avant Les examens n cessitent ils d tre jeun Dans ce cas v rifier que cela ne fasse pas sauter une prise de votre traitement En cas de pr l vements de sang importants plus de 7 tubes soit environ 40 ml serai je pr venu au pr alable Il est important de le savoir afin de pouvoir vous re
5. agit de cr er un cylindre de peau et de le d couper selon les marques prises la base ext rieure et int rieure du pr puce Le premier essai NCT 00059371 a commenc en f vrier 2002 Kisumu au Kenya 300 000 habitants 28 d hommes circoncis avec une pr valence de 20 chez les hommes entre 15 et 49 ans et de 30 chez les femmes de la m me tranche d ge Il visait valuer si la circoncision diminue le risque pour les hommes circoncis d tre contamin s par le VIH II concerne 2 784 hommes g s de 18 24 ans sexuellement actifs s ron gatifs et volontaires pour se faire circoncire 1 391 ont t circoncis d s leur entr e dans l tude et 1 393 l ont t deux ans apr s Tous ont re us des conseils de pr vention et des pr servatifs ont pratiqu un test VIH et un examen clinique lors des 7 visites de l essai l inclusion au 1 3 6 re 12 r et 24 mois L essai a t arr t mi d cembre 2006 apr s la troisi me analyse interm diaire indiquant de fortes diff rences 22 personnes ont t contamin es par le VIH dans le groupe des hommes circoncis imm diatement contre 47 dans le groupe contr le ce qui marque une r duction du risque d infection par le VIH de 53 associ e la circoncision Le second essai NCT 00425984 men dans le district de Rakai en Ouganda 380 000 habitants avec une pr valence de VIH de 15 6 fois plus lev e chez les femmes de 15 19 ans que chez les ho
6. et le T spot TB dans le diagnostic de l infection tuberculeuse latente chez les personnes vivant avec le VIH Qui peut participer cet essai 240 personnes vivant avec le VIH 1 ou 2 na ves d antir troviraux ou avec des ant c dents de traitement ne d passant pas 3 mois cumul s et ayant des niveaux de risque a priori croissants d tre porteuses d une infection tuberculeuse latente Des personnes s ron gatives pour le VIH et tuberculeuses peuvent y participer Quel est l objectif de l essai Il s agit d tudier la concordance entre les r sultats des diff rents tests l intradermor action IDR la tuberculine le Quantif ron TB Gold et le T SPOT TB chez des s ropositifs diff rents niveaux d immunod pression et chez des s ron gatifs diff rents niveaux d exposition au bacille de la tuberculose La concordance et les facteurs de discordance entre le Quantif ron TB Gold et le T SPOT TB seront valu s galement ainsi que leurs diff rentes valeurs de seuil Quels sont les crit res d valuation La lecture de l IDR sera pratiqu e en mesurant le diam tre maximum en millim tre de l induration 48 72 heures Elle sera consid r e positive pour un diam tre d induration sup rieur 5 mm pour les personnes s ropositives au VIH et sup rieur 10 mm pour celles s ron gatives Le Quantif ron TB Gold sera interpr t selon les recommandations du laboratoire commercialisa
7. histoplasmes Une tude de cohorte d Afrique du sud a montr les incidences typiques de ces syndromes Environ 25 sont atteints de cet effet de d masquage Le type paradoxal li au cryptocoque ou aux tuberculoses Mycobact ries concerne entre 4 et 50 des participants de la cohorte une forte variation puisque cela d pend essentiellement d un autre facteur typique de risque de d velopper un tel syndrome le compte de lymphocytes CD4 au moment de d buter un traitement antir troviral Pathog n se tude des causes et du d veloppement des maladies D signe aussi le processus suivant lequel une maladie volue Lire Protocoles N 41 f vrier 2006 p 16 Immune Reconstitution Inflammatory Syndrome Lire Protocoles N 41 f vrier 2006 p 20 Protocoles n 47 page 15 www actupparis org article3004 html Protocoles n 47 page 16 www actupparis org article3004 html Le d veloppement des IRIS est en fait la cons quence de l accumulation de diff rents crit res En premier lieu le d veloppement de ces syndromes est fr quemment facilit par la pr sence chez les malades d une susceptibilit de leurs propres g nes certains agents pathog nes en particulier dans les cas des virus herp s ou bien des maladies mycobact ries En deuxi me lieu intervient la pr sence de certains agents pathog nes Il peut s agir d infections opportunistes qui sont actives au moment de commencer un traitement
8. tudiant d une part l interaction entre le virus d Epstein Barr EBV et l infection VIH d un point de vue virologique et immunologique et d autre part le r le de la stimulation antig nique chronique r activation de l EBV dans les lymphocytes B Cette tude permettra d autres tudes cliniques et biologiques d velopp es par le groupe Lymphome et VIH de l ANRS Comment se d roule l essai L essai recrute 80 personnes par an pendant 5 ans et chacune sera suivie pendant 5 ans la dur e totale de l tude est donc de 10 ans Chaque participant a une visite m dicale un pr l vement sanguin et un questionnaire de qualit de vie tous les 3 mois la premi re ann e et tous les 6 mois les 4 ann es suivantes soit 12 visites Ces visites correspondent au suivi habituel des personnes vivant avec le VIH atteintes d un lymphome l exception des pr l vements suppl mentaires Un pr l vement de salive peut tre demand ainsi qu une partie du pr l vement ayant permis le diagnostic du lymphome Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigateur principal D Caroline Besson H pital Bic tre 01 45 21 20 16 Notre avis Apr s l essai ANRS 131 Protocoles 45 qui value une nouvelle strat gie de traitement des lymphomes non hodgkiniens par intensification th rapeutique il s agit ici d une tude observationnelle qui permettra de recueillir des donn es concernant l aspect clinique et le
9. 2 mg et 8 mg La prescription se fait sur ordonnance limit e 28 jours Il existe comme pour tout m dicament des risques li s son abus et son m susage injection intraveineuse association de substances psychoactives trafic de revente et des risques de survenue d effets ind sirables graves cas d atteintes h patiques et de d pression respiratoire un plan de gestion des risques disponible sur le site de l Afssaps www afssaps sante fr rubrique S curit sanitaire et vigilances Pour viter un usage d tourn il est recommand depuis peu par la loi que le prescripteur d termine avec l accord du patient un pharmacien r f rent de le contacter et de pr ciser son nom sur l ordonnance s curis e En l absence de ce choix le pharmacien apr s en avoir inform le consommateur prendra contact avec le prescripteur Pour toute information compl mentaire 04 37 53 20 56 Pharmacovigilance du Laboratoire Merck Avertissement Les cas de rupture d approvisionnement de certains antir troviraux se multiplient et ce depuis plusieurs mois En d cembre nous tions avertis que Truvada et Trizivir manquaient dans certaines pharmacies en janvier il s agissait du Kal tra en mai c tait nouveau le tour de Trizivir II y a un an nous avions d j t contact s par plusieurs pharmacies parisiennes concernant une rupture de stocks du Videx du Reyataz et d Epivir Ces ruptures concernent
10. ASE 3 capsules 2 fois jour Abbott AMM du 20 03 01 KIVEXA ZIAGEN EPIVIR 1 comprim jour INHIBITEUR GSK AMM du 17 09 04 INVERSE NORVIR ritonavir INHIBITEUR DE LA PROT ASE 6 capsules 2 fois jour Abbott AMM du 26 08 96 Protocoles n 47 page 30 www actupparis org article2839 html NUCL OSIDIQUE NUCL OSIDIQUE NUCL OSIDIQUE INHIBITEUR NON NUCLEOSIDIQUE Effets ind sirables les plus fr quents e Eruptions cutan es en d but de traitement Troubles digestifs Troubles neurologiques paralysie autour de la bouche Lipodystrophie Hypertriglyc rid mie Hyperglyc mie Hypercholest rol mie e Diarrh es Eruptions cutan es Troubles digestifs e Hyperglyc mie Hypertriglyc rid mie Hypercholest rol mie e Acidose lactique probl me au foie Probl mes psychiatriques d pression evertiges naus es diarrh es efatigue e maux de t te ryth me esinusite einsomnie r ves inhabituels eAcidose lactique devant tre trait e d urgence sympt mes essoufflement fatigue importante et inexpliqu e douleurs musculaires crampes naus es vomissements Lipoatrophie e Naus es importantes qui disparaissent progressivement e Calculs r naux Troubles digestifs Sensations anormales autour de la bouche S cheresse cutan e Perte de cheveux Hypertriglyc rid mie Hypercholest rol mie Hyperglyc mie e Lipodystrophie Ongles incarn
11. Onusida ont organis une consultation d experts internationaux sur la question de la circoncision Sur la base des r sultats des trois essais publi s des recommandations ont t mises afin de consid rer la circoncision comme un moyen suppl mentaire important de r duire le risque de transmission h t rosexuelle de l infection VIH chez l homme On l a vu ces recommandations nous semblent pr matur es les b n fices ventuels de cette m thode partiellement montr s par ces essais peuvent tr s largement tre remis en cause par un rel chement g n ral du pr servatif que des annonces pr matur es peuvent induire Ce risque n a pas encore t tudi et des enqu tes en sciences humaines sont indispensables La r duction globale de la transmission est une chose le discours sur la pr vention l chelle de la responsabilit individuelle sur laquelle s appuie la lutte contre le sida depuis ses d buts en est une autre il est indispensable de trouver des discours compl mentaires et non de les mettre en concurrence Apr s la publication des recommandations de l OMS l ANRS a d cid d organiser un s minaire en sciences humaines et sociales les 20 et 21 septembre prochains pour de d finir les axes prioritaires de recherche dans lesquels l ANRS et les autres promoteurs de recherche europ ens devront s investir afin de r pondre que posent le passage l chelle populationnel de la circoncision comme m
12. ne comporte pas toutes les mentions n cessaires son identification et notamment la date de p remption qui se trouve en bout de blister tr s peu lisible Il est important de faire attention ne pas endommager les blisters des pilules pas encore prises Dictionnaire Des probl mes de traduction ont t relev s sur plusieurs traitements anti VIH Ainsi dans les flacons n cessitant un air sec on trouve des sachets pour absorber l humidit mais les explications sur cet objet sont crites en anglais notamment pour Truvada Si vous tes confront s des probl mes de compr hension pour l utilisation de vos traitements n h sitez pas faire remonter l information aupr s de votre m decin des associations et des laboratoires producteurs et distributeurs Une information claire et compr hensible est essentielle pour la bonne r ussite d un traitement C est de plus une obligation l gale qu elle soit faite en fran ais Protocoles n 47 page 28 www actupparis org article3008 html Un g n rique du Subutex Le 24 avril le g n rique Bupr norphine Merck a obtenu son AMM pour les m mes indications que le Subutex traitement substitutif des pharmacod pendances majeures aux opiac s dans le cadre d une th rapeutique globale de prise en charge m dicale sociale et psychologique R serv aux adultes et adolescents de plus de 15 ans il se pr sente sous forme de comprim s sublinguaux de 0 4 mg
13. plus s r un traitement maternel initi deux semaines plus t t que d habitude son adaptation en cas de faible efficacit une analyse interm diaire apr s les 50 premi res inclusions pourra aboutir l arr t de l essai si n cessaire De plus la dur e du suivi de l enfant est importante Cet essai associ d autres tudes pourrait changer les recommandations de prise en charge dans le cadre de la transmission materno f tale L Enqu te P rinatale Fran aise EPF date de 1986 c est l une des cohortes VIH m re enfant les plus anciennes et num riquement la plus importante avec plus de 10 000 couples m re enfant inclus depuis son ouverture Les recommandations du Rapport Y ni 2006 pr conisent un traitement antir troviral une trith rapie d s le 6 mois pour toute femme infect e par le VIH en cas de grossesse Le but principal de la pr vention de la transmission du VIH est d obtenir une r duction maximale de la charge virale plasmatique et m me de se passer sans risque d une c sarienne programm e Mais il existe des risques de toxicit des INTI chez la m re toxicit mitochondriale et chez l enfant g notoxicit par interaction avec l ADN humain nucl aire ou mitochondrial Le constat de ces risques a t fait dans la cohorte fran aise EFP et dans la cohorte am ricaine WITS Women and Infants Transmission Study Qui contacter Investigateur principal D R
14. s e Risque d acidose lactique Maux de t te vertiges Fatigue Troubles digestifs e Eruption cutan e coloration de la paume des mains e Troubles digestifs e Maux de t te Fatigue e Maux de t te Naus es Diarrh es rash e Au niveau du site d injection rougeurs douleurs petites boules e Maux de t te Fatigue Vertiges e Diarrh es Lipodystrophie Hyperglyc mie Hypertriglyc rid mie Hypercholest rol mie e Diarrh es Troubles cutan s Fatigue e Lipodystrophie Hyperglyc mie Hypertriglyc rid mie Hypercholest rol mie e Fatigue Troubles digestifs Risque d allergie grave surtout les 1 mois sympt mes rougeurs cutan es fatigue d mangeaisons fi vre naus es vomissements diarrh es courbatures malaise g n ral maux de gorge toux sensation d essoufflement Risque d acidose lactique devant tre trait d urgence voir Combivir e Troubles digestifs e Maux de t te e Troubles digestifs diarrh es Sensations anormales autour de la bouche Neuropathies p riph riques Hypertriglyc rid mie Hypercholest rol mie Hyperglyc mie Associations contre indiqu es Terf nadine ast mizole d riv s de l ergot de seigle cisapride pimozide triazolam diaz pam fluraz pam midazolam rifampicine millepertuis Astemizole cisapride midazolam triazolam d riv s de l ergot voriconazole methysergide ergotamine dihydr
15. 47 page 29 Mww actupparis org article3008 html AGENERASE APV ampr navir INHIBITEUR DE LA PROT ASE 4 capsules 2 fois jour GSK AMM du 20 10 00 APTIVUS TPV ipranavir INHIBITEUR 2 g lules 2 fois jour DE LA PROTEASE Boehringer AMM du 25 10 05 ATRIPLA SUSTIVA EMTRIVA VIREAD ANTIPROT ASE 7 NUCL OTIDE ET NON NUCL OSIDE 1 comprim 1 fois jour BMS GILEAD Demande AMM en cours COMBIVIR RETROVIR EPIVIR INHIBITEUR 1 comprim 2 fois jour DE LA TRANSCRIPTASE GSK AMM du 18 03 98 INVERSE CRIXIVAN IDV indinavir INHIBITEUR DE LA PROT ASE 2 g lules 3 fois jour MSD AMM du 04 10 96 EMTRIVA FTC emtricitabine INHIBITEUR 1 g lule jour DE LA TRANSCRIPTASE INVERSE INHIBITEUR Gilead AMM du 24 10 03 EPIVIR 8TC lamivudine 1 comprim jour DE LA TRANSCRIPTASE GSK AMM du 08 08 96 ETRAVIRINE TMC 125 INVERSE 2 comprim s 2 fois jour DE LA TRANSCRIPTASE INVERSE Tibotec ATU nominative FUZEON T20 enfuvirtide INHIBITEUR DE FUSION Injection sous cutan e 2 fois jour Roche AMM du 27 05 03 Isentress MK 0518 raltegravir 1 comprim 2 fois jour INHIBITEUR D INT GRASE Merck ATU nominative INVIRASE V m SQV saquinavir INHIBITEUR DE LA PROT ASE 2 g lules 2 fois jour Roche AMM du 04 10 96 KALETRA LPVr lopinavir ritonavir INHIBITEUR DE LA PROT
16. Ce chiffre a pu tre am lior gr ce l utilisation d un traitement efficace chez la m re Une trith rapie r ussie r duit alors ce taux 2 Mais dans les pays du Sud les r sultats sont tout autres La mortalit infantile est beaucoup plus lev e et le fait de nourrir les enfants au lait maternel leur conf re une protection indispensable contre nombre de maladies infantiles En effet la m re par son lait maternel transmet son b b tous les l ments de son immunit que l enfant ne poss de pas encore Divers essais mont s en Afrique ces derni res ann es ont donc conclu l int r t de poursuivre l allaitement au sein malgr le risque de transmission du VIH Il a ainsi t observ un gain int ressant en mati re de pr vention des diarrh es de malnutrition et de mortalit infantile par les maladies infectieuses La principale cause de probl mes est l insalubrit L acc s l eau potable tant souvent un luxe souvent la balance b n fice risque va pencher en faveur de l allaitement maternel Poursuivant ses recherches une quipe de sud africaine a pr sent un mod le complet parmi les facteurs de risque aggravant la transmission il y a le taux de CD4 de la m re Ce risque est divis par deux au dessus de 200 CD4 Mais c est aussi un droit pour la m re de disposer d un traitement pour elle m me Les r sultats nouveaux portent sur usage de l allaitement exclusif au sein Les chercheurs
17. En effet et c est particuli rement important avec les inhibiteurs de prot ase il est indispensable de suivre son traitement en respectant rigoureusement les doses et les horaires de prise pour viter au maximum les risques de r sistances voire d chec qui surviennent lorsque ces conditions ne sont pas remplies De m me ne r duisez pas les doses et n arr tez pas votre traitement ne serait ce que pour une seule journ e sans en parler avec votre m decin Bilans Nous vous conseillons de demander syst matiquement une photocopie de vos r sultats de charge virale et de CD4 et de les conserver pour garder une trace pr cise de votre histoire au cas o vous seriez amen consulter d autres m decins R sultats complets Les r sultats de l essai auquel vous aurez particip devront vous tre communiqu s par les investigateurs Il leur sera peut tre difficile de pr ciser au moment de l inclusion dans l essai quand ces informations seront disponibles En effet la dur e totale de l essai et son analyse peuvent varier notamment en fonction du rythme des inclusions D veloppement Un essai clinique est une exp rience contr l e au cours de laquelle les volontaires se soumettent un traitement pour voir s il produit un effet efficacit et s il est sans danger tol rance c est la phase I Ensuite viennent les essais permettant d tudier l efficacit th rapeutique et les doses optimales c est la phase ll
18. HLA syst me d hysto compatibilit All le se dit de chacun des g nes occupant la m me position sur une paire de chromosomes d termin e et ayant des effets diff rents sur un m me caract re Ils d rivent les uns des autres par mutation Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Protocoles n 47 page 9 www actupparis org article3002 html ACTIF Sant 73 75 rue de la Plaine 75020 Paris France www actif sante org O 950 796 160 Pour toute question sur la journ e contacter Ridha Nouiouat au 01 58 26 45 76 Pour tous renseignements traitements actupparis org Les comptes rendus des R pis sont disponibles au format PDF sur notre site www actupparis org rubrique5s3 html CRIPS Tour Maine Montparnasse BP 53 75755 Paris Cedex 15 Fax 01 56 80 33 00 Mail rencontre lecrips net Protocoles n 47 page 10 wWww actupparis org article3008 html Rendez vous Fuz on mode d emploi Le lundi 11 juin de 18 21h un groupe d change et d information sur le Fuz on se tient Basiliade 12 rue B ranger Paris dans le II M tro R publique L entr e est libre mais par courtoisie inscrivez vous aupr s d Yvette 01 53 79 71 38 Cette rencontre est organis e par Actif Sant et abordera des sujets autour du Fuz on vivre avec les contraintes du traitement les horaires les effets secondaires concilier le traitement av
19. Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigateur principal D Yazdanpanah H pital Gustave Dron Tourcoing 03 20 69 48 48 Notre avis Jamais ces trois mol cules n ont t utilis es ensemble chez une m me personne Cet essai dont le promoteur est l ANRS a t long trop long et difficile mettre en place En effet les firmes pharmaceutiques ont des difficult s accepter de mettre leurs nouvelles mol cules la disposition de la recherche publique On conna t actuellement assez mal la tol rance de ces nouveaux traitements en particulier de l anti int grase nouvelle classe d antir troviral Les interactions entre mol cules sont pr ciser L tude de pharmacocin tique incluse dans l essai a t tr s difficilement accept e par les laboratoires elle est pourtant indispensable Ce type d tude n est possible que dans le cadre d une Agence de recherche ind pendante Les associations se sont mobilis es pour acc l rer la venue de TRIO et ce dans de bonnes conditions A la fin de l essai les personnes en succ s virologique pourront b n ficier de la poursuite de leur traitement la commercialisation des mol cules tant en cours R capitulatif des trois traitements propos s avec leur d nomination chimique leur d nomination internationale DCI et leur nom commercial MK 0518 ralt gravir Isentress TMC 114 darunavir Prezista TMC 125 travirine Nouve
20. antir troviral ou qui n taient pas d tectables notamment lorsque l immunit tait trop faible ou bien dues des agents non viables Dans une tude particuli re sur la tuberculose on a pu constater aussi que le temps qui s pare le diagnostic d une infection de ce type et le d marrage d un traitement antir troviral est essentiel Plus la prise d antir troviraux est pr coce plus le risque est grand sugg rant que le traitement des maladies opportunistes et la ma trise de ces infections c est dire le contr le doit pr c der le traitement antir troviral pour diminuer le risque de d velopper un IRD C est aussi remarquable dans le cas des h patites comme l a montr l tude TICO men e Bangkok et dont les r sultats montrent que le risque d h patite fulgurante au d marrage du traitement antir troviral est plus fr quent avec une charge de virus VHB forte pr existante Enfin comme il a t dit un compte de lymphocytes CD4 en dessous de 50 pr dispose de toute vidence plus au risque d IRIS Ainsi les personnes qui commencent un traitement antir troviral avec un compte de lymphocytes CD4 faible sont expos es plus que les autres un risque de dysfonctionnement de l immunit C est ce qu on a d j vu depuis plusieurs ann es puisqu on a montr notamment que la reconstitution immunitaire provoque chez certaines personnes la production de lymphocytes T effecteurs qui favorisent l inflammation
21. d un pr l vement de sang devrait aussi permettre de conna tre le taux de circoncision dans la ville ainsi que mesures de pr valence HIV Gonococcies chlamydia Herp s g nital Ces trois enqu tes auront lieu juste avant l intervention d but de l information sur la possibilit de circoncision m dicalis e gratuite deux ans et demie apr s et la fin de la recherche op rationnelle Ces enqu tes transversales quantitatives seront accompagn es d tude qualitative consistant en la cr ation avec la cr ation de focus groupes de femmes d hommes de leaders etc Une autre tude NCT00124878 financ e par la Fondation Bill et Melinda Gates est men e actuellement en Ouganda dans le district de Rakai Depuis ao t 2003 elle se penche sur la population f minine et vise valuer si la circoncision peut r duire les risques de transmission du VIH de l homme la femme Cette tude concerne 800 hommes s ropositifs 1 000 dont le statut s rologique n est pas connu et 5 000 femmes s ron gatives partenaires des hommes participants aux tudes men es dans ce district soit 6 800 participants Le suivi est de 2 ans et 4 visites sont pr vues pour chaque participant Une recherche parall le sera men e sur les taux de diverses IST Les r sultats sont attendus fin 2007 Recommandations o D ores et d j en mars dernier l Organisation Mondiale de la Sant et le programme commun des Nations Unies sur le VIH sida
22. de Neuropathies p riph riques Troubles Didanosine zidovudine neuropathies p riph riques 1 g lule 2 fois jour DE LA m taboliques diab te lipodystrophie zalcitabine doxorubicine Risque de pancr atite surtout en cas TRANSCRIPTASE etc de consommation d alcool BMS AMM du 08 05 96 INVERSE Risque major de lipodystrophie ZIAGEN e Fatigue Troubles digestifs e Risque ABC abacavir INHIBITEUR d allergie grave surtout les 1ers mois sympt mes rougeurs cutan es prendre au moment du repas Surveillance de la fonction r nale recommand e Le tenofovir agit aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co infection 1 comprim jour Non recommand chez la femme enceinte et si insuffisance h patique En cas d hypersensibilit m me sans 1 comprim 2 fois jour NUCL OSIDIQUE d mangeaisons fi vre naus es Alcool thanol ne pas d buter le ruption cutan e contacter le m decin DE LA vomissements diarrh es fatigue traitement en m me temps que ou les urgences avec l avertissement TRANSCRIPTASE courbatures malaise g n ral maux de n virapine fournie dans la bo te INVERSE gorge toux sensation d essoufflement En cas d arr t du traitement pour Risque d acidose lactique devant tre hypersensibilit ne jamais reprendre trait d urgence lire Combivir l abacavir risque mortel Mise jour Mai 2007 Protocoles n 47 page 31 www actu
23. devenir des lymphomes associ s au VIH court et moyen terme Les LNH ont diminu depuis l utilisation des multith rapies par contre le nombre des LH associ s au VIH semble augmenter au cours des derni res ann es lls deviennent une pr occupation essentielle dans le cadre du suivi de la maladie Ce constat justifie pleinement la mise en place de cette cohorte observationnelle uniquement qui si elle ne repr sente pas un int r t direct pour les participants permettra peut tre de mieux comprendre et g rer les maladies associ es Tuberculose VIH Taux de CD4 RISQUES Je Den Participants la tuberculose TE o o Lymphome terme pour d signer les multiplications malignes des lign es lymphocytaires globules blancs Parmi les lymphomes on distingue d une part la maladie d Hodgkin LH pr dominance ganglionnaire et d autre part les mphomes non hodgkiniens LNH EBV le virus d Epstein Barr est sans doute un des co facteurs responsables du lymphome de Burkitt fr quent en Afrique Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Protocoles n 47 page 7 www actupparis org article3000 html Tests de r sistances ils mettent en vidence la r sistance du VIH aux antir troviraux Ce sont soit des tests g notypiques mise en vidence par s quen age de mutations apparues dans l ARN VIH soit des tests ph notypiques Ces tests sont
24. du m decin prenant en charge le VIH du chirurgien qui r alisera l intervention ventuellement du m decin traitant Certaines personnes ont pu b n ficier de prises en charge partielles par la S curit sociale parfois compl t es par un apport de leur mutuelle Cet acc s in galitaire n est toutefois pas du tout satisfaisant et d montre qu il n existe actuellement pas de reconnaissance officielle de la souffrance engendr e par les lipoatrophies s v res des fessiers et de leur caract re iatrog ne dus aux m dicaments Pr valence nombre de personnes atteintes par une maladie donn e dans une population d termin e depuis le d but du comptage sans distinction entre les anciens et les nouveaux cas un moment ou pendant une p riode donn e Dans l infection VIH on utilise le terme s ropr valence c est le nombre de personnes contamin es c est dire s ropositives depuis le d but de l pid mie Cellules de Langerhans cellules dendritiques de l piderme qui peuvent galement tre infect es par le VIH La k ratine est une substance organique qui constitue la base de l piderme des ongles des poils et des tissus corn s Protocoles n 47 page 22 Wwww actupparis org article3006 html Trois essais portant sur le r le de la circoncision dans la r duction de la transmission du VIH l homme h t rosexuel dans des pays forte pr valen
25. indispensables pour le choix de traitements efficaces Il est possible d tablir des r gles d interpr tation des tests g notypiques que l on appelle algorithmes afin de d terminer les mol cules les mieux adapt es pour chaque personne Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Protocoles n 47 page 8 www actupparis org article3001 html Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient MERIT GLAXOSMITHKLINE RECHERCHE PRIV E tude de phase Ilib visant d montrer la non inf riorit du fosempr navir ritonavir en une prise par jour compar e une version en deux prises par jour administr en association avec abacavir lamivudine en une prise par jour chez des s ropositifs na fs d antir troviraux Qui peut participer cet essai 728 personnes infect es par le VIH 1 dont 120 en France n ayant jamais pris d antir troviral avec une charge virale plasmatique sup rieure ou gale 1 000 copies mL Les femmes doivent tre post m nopaus e ou avoir une double contraception physique et hormonale car il ne sera pas possible d avoir des enfants pendant la dur e de l tude deux ans si elle se poursuit apr s la premi re phase Quel est l objectif de l essai L objectif principal est de comparer l efficacit du fosempr navir ritonavir en une prise par jour une version en deux prises par jour admin
26. ne pas entra ner par la suite des recommandations de traitement qui ne soient pas pertinentes Pour les personnes co infect es au VHB il est n cessaire de faire attention la lamivudine afin de ne pas d velopper de r sistance dans cet essai la mol cule tant active contre le VHB Par ailleurs le promoteur devrait faire des tests g n tiques de r sistance l abacavir tests actuellement r alis dans un essai Pr dict Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient P PI 109477 GLAXOSMITHKLINE RECHERCHE PRIV E Etude pid miologique prospective pour d terminer la pr valence du g ne HLA B 5701 chez les personnes vivant avec le VIH Qui peut participer cet essai 2 500 personnes vivant avec le VIH 1 ayant re u un traitement antir troviral ou non et tant affili es au r gime de la s curit sociale Quel est l objectif de l essai Il s agit de d terminer la pr valence de l all le HLA B 5701 dans la population fran aise des personnes vivant avec le VIH et d en valuer la pr valence dans les diff rentes ethnies des participants l tude Comment se d roule l essai Les participants ont une visite unique pouvant tre celle du suivi habituel L essai se d roule dans 90 centres Une fois le consentement sign 4 pr l vements sont pr vus un pr l vement de cellules buccales r cup r es par grattage simple l int
27. prise en charge et du suivi de la bitherapie PEG interf ron et ribavirine Mais les derniers essais montrent qu en cas de cirrhose un succ s de traitement et une gu rison n carte pas h las la progression d autres complications comme un cancer du foie M me si le mot gu rison reste un fantasme pour nous touTEs il est capital de rappeler aux soignantEs l importance de ne pas jouer avec ce terme Apr s l annonce de la gu rison d une cirrhose comment pendre le fait que finalement l volution aboutit un cancer du foie Le mot gu rison est un terme qui ne supporte pas de mais sauf en preuve d immaturit Surtout si nos cirrhoses ont t provoqu es par un traitement qui nous a sauv Les mots ont un sens et une pertinence les malades ont une fragilit qu en langage scientifique ne respecte pas toujours M decins fa tes attention Mai 2007 Protocoles est le bulletin d information th rapeutique pour les malades r alis par les membres de Traitements amp Recherche d Act Up Paris Directeurs de publication Hugues Fischer Emmanuel Chateau R dactrice en chef Claire Vannier nn publications actupparis org Ont particip au num ro Hugues Fischer Fabien Giraudeau Catherine Kapusta Palmer J r me Martin Maryvonne Molina Mika l Quilliou G rald Sanchez Gordon Tucker Claire Vannier Icono Claire Vannier R mi Vannier Imprimerie Auto
28. s l entr e dans l essai l enfuvirtide Fuz on sera remplac par le ralt gravir Isentress en 1 comprim de 400 mg deux fois par jour avec ou sans repas Les autres antir troviraux du traitement en cours sont maintenus Les participants rempliront un auto questionnaire d observance et de qualit de vie Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigatrice principale D de Castro H pital St Louis Paris X Tel 01 42 49 46 83 Notre avis Bien qu il soit efficace le Fuz on associ un traitement au long cours finit par tre difficile supporter en raison de la contrainte que repr sentent les injections sous cutan es 2 fois par jour Simplifier ce traitement en rempla ant le Fuz on par une autre mol cule active par voie orale tout en gardant son efficacit peut s av rer essentiel I semble que le ralt gravir nouvelle classe d antir troviral anti int grase puisse avoir cette possibilit De m me dans cette perspective les participants du groupe maintien pourront en b n ficier partir de la 24 semaine si la charge virale reste inf rieure 50 copies mL A la fin de l essai si le succ s virologique est confirm l acc s au ralt gravir sera possible jusqu sa commercialisation C est l l int r t de cette tude Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient TRIO ANRS 139 RECHERCHE PUBLIQUE Essai
29. sacs faire et les cartes pr voir se renseigner sur les vaccins faire sans risques ou ceux au contraire viter est un pr alable indispensable certaines destinations Certains pays posent des restrictions pour l entr e de personnes vivant avec le VIH si parfois aucun test de d pistage n est exig la d couverte d antir troviraux dans une valise peut compromettre l entr e dans le pays Souscrire un contrat d assurance m dicale et de rapatriement fait galement partie des d marches faire avant de partir tout comme l importance de discuter avec son m decin de l int r t d arr ter ou non son traitement le temps des vacances Durant le s jour se posent d autres probl mes qu il convient d envisager avant pour mieux les g rer pour la prise du traitement comment g rer le d calage horaire la pr sence d un r frig rateur la rupture ou la perte du stock des m dicaments Comment se prot ger des insectes du Soleil ou d une turista Quelques pr servatifs suppl mentaires n alourdiront pas vois bagages et vous permettront de garder des r flexes de pr vention Pour aborder ces sujets et r pondre nos questions des associatifs et cliniciens seront pr sents au Centre Wallonie Bruxelles 46 rue Quincampoix Paris Ir M Ch telet Les Halles ou Rambuteau Trans quels enjeux de sant La 67 rencontre du Crips le de France en partenariat avec Act Up Paris se tiendra le 28 juin de 9h
30. sud africains d voilent leurs r sultats qui montrent clairement un b n fice en mati re de transmission du VIH dans ce cas Avec de tels r sultats il montre galement la faisabilit en expliquant que les comportements sont adaptables pour peu qu on mette en place l accompagnement n cessaire Enfin il formule une recommandation qui permet de discerner les situations o l allaitement maternel apporte un b n fice dans les pays o la mortalit infantile d passe 25 pour mille II nous a bien sembl la sortie de cette session que nous venions d assister un tournant dans l histoire de la transmission m re enfant la controverse semblait enfin dissip e Nos amies les b tes Pour tudier la pathogen se du VIH les chercheurs travaillent avec des singes qui sont infect s par un virus presque identique au VIH le virus simien VIS Gr ce ces mod les il est possible d tudier la maladie chez les animaux pour tenter de comprendre le lien qui existe entre virus et maladie En effet m me apr s 25 ans de recherche il subsiste des zones d ombre dans la compr hension de ce qui fait le lien entre l infection virale et le d veloppement de la maladie autrement dit la pathogen se En particulier les sp cialistes du sida n ont pas d explication claire et satisfaisante sur ce qui fait dispara tre les lymphocytes CD4 au fil des ans chez un s ropositif Les singes sont ici d un grand secours puisqu ils per
31. syst me nerveux central ainsi que l apparition d une r ponse immunitaire dirig e contre le virus JC Un autre poster pr sentait l enqu te ANRS EN19 Mortalit 2005 II montre que la baisse de la mortalit due au sida amorc e il y a dix ans avec l apparition des trith rapies se poursuit bien que le sida reste toujours la principale cause de mortalit des s ropositifs Dans l volution de la maladie la mortalit est principalement due aux cons quences d un lymphome non Hodgkinien La proportion de d c s de cancers non li s au sida de maladies cardiovasculaires et de maladies du foie est en augmentation et pourrait s expliquer par l ge et les co morbidit s ainsi qu au moins deux facteurs modifiables du comportement que sont la consommation de tabac et d alcool En cons quence en plus des soins sp cifiques l infection VIH l accompagnement des personnes vivant avec le VIH devrait syst matiquement comporter une pr vention de ces comportements et une d tection pr coce des morbidit s qui y sont li es Lire Protocoles N 37 mai 2005 p 3 Protocoles n 47 page 17 www actupparis org article3004 html J www trt 5 org article127 html Article publi le 13 mai 2007 C est dire incluant le traitement et l acte m dical galement non pris en charge Protocoles n 47 page 18 www actupparis org article3005 htmil A ce jour l Assurance Maladie n assure pas off
32. 000 habitants dans cette r gion et une pr valence nationale du VIH chez les adultes de 15 49 ans d environ 19 en Afrique du Sud consistait recruter 3 274 hommes ayant entre 18 et 24 ans s ron gatifs volontaires pour se faire circoncire D s leur entr e une s ance de conseils de pr vention tait dispens e tous les participants accompagn e d une mise disposition de pr servatifs Les hommes taient ensuite divis s en deux groupes pour se faire circoncire d s la premi re semaine de l tude ou pour faire partie du groupe contr le auquel cas si les analyses interm diaires montraient un impact de la circoncision dans la transmission du VIH elle leur tait propos e la fin du suivi Tous les participants devaient se rendre 4 visites de suivi l inclusion au 3 12 et 21 mois R sultats dans le premier groupe de 1 568 personnes on a constat 20 contaminations contre 49 dans le groupe contr le comprenant 1 560 participants Ces r sultats montrent une diff rence importante 61 avec un intervalle de confiance compris entre 32 et 76 en faveur du groupe o les hommes ont t circoncis et ont provoqu l arr t pr coce de l essai en avril 2005 La circoncision a donc t propos e aux hommes du deuxi me groupe 70 d entre eux ont accept les 30 restant tant soit perdus de vue soit ont refus de se faire ciconcire Kenya et Ouganda En 2005 l institut national des aller
33. H Cette tude est pr vue sur 5 ans et devrait commencer en juin juillet Il ne s agit plus d un essai randomis mais d une recherche op rationnelle qui consiste r aliser une intervention contr l e afin d en mesurer l impact dans l ensemble de la population Elle consiste informer toute la population de la r gion de l impact ventuel de la circoncision sur la r duction du risque de transmission du VIH des femmes vers les hommes et de proposer tous les hommes qui le souhaitent g s de 18 39 ans une circoncision m dicalis e et gratuite Le nombre de participants potentiels correspond la population masculine adulte non circoncise soit pr s de 50 000 personnes et des tudes men es en Afrique indiquent que 60 des hommes seraient pr ts se faire circoncire en cas d efficacit d montr e Les chercheurs esp rent circoncire entre 30 et 40 000 hommes 20 000 hommes esp r s les 2 premi res ann es Avant le d but de l intervention un travail de communication aupr s des leaders d opinion sera engag afin d viter tout d rapage ou toute rumeur Pendant les cinq ans que dura la recherche trois enqu tes transversales seront men es pour valuer l impact de l intervention II s agit de sondages dans la population aupr s de 2 000 personnes hommes circoncis ou pas femmes sur leurs attitudes comportements connaissances vis vis de la circoncision Le questionnaire social comportemental sera accompagn
34. Protocole Le bulletin d information th rapeutique pour les malades s4 f A Edito La th orie de la relativit nous rappelle que rien ne dure tout est relatif Une bonne prise en charge un traitement efficace une gu rison toutes ces notions voluent dans le temps Une chose ne change pas c est la fragilit des malades et le sens du mot gu rison ainsi que le respect et Phumilit qu y accorde certains m decins Un traitement efficace utilis pour une pathologie pourra tre cart un jour gr ce aux progr s de la recherche et l arriv e d une mol cule plus efficace Gr ce la meilleure compr hension des m canismes biologiques cette m me mol cule pourra revenir au devant de la sc ne comme nouveau traitement d une autre maladie C est le cas pour la zidovudine AZT invent contre le cancer puis utilis contre le VIH ou encore la ribavirine ancien antigrippal utilis ce jour contre l h patite C Le dicton qui dit Rien ne se cr e tout se transforme a bel et bien sa place en m decine Serait il d plac de consid rer les professeurs de m decine comme des artisans Pour bon nombre de malades la ma trise des technologies de pointe ne peut se passer d une approche digne de l artisanat et d un savoir faire alliant les derniers cris de la science une grande connaissance des relations humaines C est quand la recherche n arrive pas produire de nouveaut s que le savoir et le
35. Th1 au d triment de ceux qui la mod rent Th2 cr ant ainsi un d s quilibre Parmi ces cellules effectrices on a aussi d couvert r cemment le r le de lymphocytes appel s Th17 favoris s par l interleukine 6 et qui jouent un r le dans l inflammation et les lymphocytes r gulateurs sur lesquels on manque encore de connaissances L hypoth se pr sent e est que l IRIS est un ph nom ne de d s quilibre entre les deux familles de cellules de l immunit savoir entre les lymphocytes T effecteurs et T r gulateurs Un certain nombre d observations viennent tayer cette hypoth se comme le taux lev d IL 6 et le r le dans ce ph nom ne des lymphocytes Th17 Mais on a aussi observ chez des personnes ayant un IRD un taux anormalement lev de cellules r gulatrices Il est possible que des cellules dendritiques celules ramifi es susceptibles de provoquer cette d r gulation aient un r le pathog ne par la s cr tion excessive des cytokines de l inflammation interf ron gamma et IL 10 Une tude vient de d marrer pour apporter des preuves cette hypoth se Il faudra donc se revoir Sydney lors de la prochaine conf rence de l IAS sur la pathogen se et les traitements de l infection VIH pour en avoir les r sultats et ainsi avancer sur ce terrain difficile des IRIS Organismes g n tiquement diff rents N Devant l norme disparit d volution de la maladie chez les s ropositifs le domaine de r
36. a 0 40 40 75 75 90 90 100 0 3 3 5 5 10 10 40 A Taux de la population masculine circoncise B Pr valence du VIH Mais ces parall les ne sont pas suffisants pour expliquer la disparit des situations en Afrique Certes la circoncision semble tre un facteur cl pour expliquer les disparit s de pr valence du VIH dans les diff rents pays d Afrique mais seulement si elle co ncide avec certains facteurs culturels qui influent sur les comportements sexuels de la population comme le contr le social de la sexualit des jeunes femmes Aux Etats Unis o 90 des adultes sont circoncis la pr valence VIH est de 0 8 alors qu en France o 15 20 des hommes sont circoncis la pr valence VIH est estim e entre 0 3 et 0 7 Seules de nouvelles tudes pourront permettre d aller plus loin dans l analyse du r le que pourrait jouer la circoncision dans une r duction globale de la dynamique pand mique D o l importance des 3 tudes publi es depuis juillet 2005 et d une analyse prudente des r sultats obtenus Afrique du Sud Lors de la conf rence de l International Aids Society en 2005 Rio les premiers r sultats de l tude ANRS 1265 ont provoqu quelques remous et ont t largement m diatis s Cet essai visait valuer l impact potentiel de la circoncision sur la transmission du VIH chez des hommes sud africains s ron gatifs et non circoncis L tude d marr e en 2002 Orange Farm 300 000 400
37. a permis de d couvrir une vue d ensemble des solutions nouvelles pour se battre contre l extension parfois trop rapide des contaminations avec cette pr sentation sur les nouveaux outils de pr vention La situation de l pid mie en Europe est tr s variable selon les r gions Ouest Centrale et Est Tandis que l Europe de l Ouest a connu la drastique chute de mortalit qui a suivi l arriv e des trith rapies il y a dix ans elle peine aujourd hui am liorer une situation pour le mieux stagnante et o domine tr s largement la contamination par voie sexuelle C est tout le contraire l est o l pid mie est beaucoup plus r cente et encore tr s mal ma tris e mais qui est surtout pr sente chez les usagers de drogues Si elle tend se stabiliser ce n est pas gagn car l absence dramatique de pr vention fait craindre une invasion par la voie sexuelle L pid mie chez les gays dans le monde Si l histoire est assez bien connue dans les pays occidentaux o l pid mie atteint beaucoup plus fortement la communaut gay que le reste de la population et o le rel chement de la pr vention en fait le seul segment de population dans lequel l pid mie continue de progresser la diss mination du sida dans la communaut gay est beaucoup moins connue ailleurs dans le monde En Am rique latine le principal probl me est l absence probl matique de pr vention cibl e envers la population homosexuelle Totaleme
38. able pour garantir une efficacit suffisante La posologie d Invirase d pend du dosage plasmatique effectu apr s 2 semaines de traitement Contre indiqu en cas d insuffisance h patique s v re Contient d j du ritonavir comme booster conserver au frais prendre 1h de distance du Videx La lamivudine agissant contre le VHB en tenir compte en cas de co infection Non recommand en cas de grossesse et d insuffisance h patique En cas d hypersensibilit m me sans ruption cutan e contacter les urgences avec la notice de la bo te En cas d arr t du traitement pour hypersensibilit ne jamais reprendre l abacavir risque mortel prendre au cours du repas Le ritonavir est recommand faible dose en association une autre antiprot ase comme booster conserver au frais Effets ind sirables Associations Recommandations et les plus fr quents contre indiqu es commentaires PREZISTA Terf nadine d riv s de l ergot de MC 114 darunavir INHIBITEUR seigle millepertuis rifampicine et M S DE LA e Maux de t te Naus es Diarrh es j Fa sur 2 comprim s 2 fois jour PROT ASE certains anti arythimiques b pridil Tibotec Janssen Cilag AMM quinidine RESCRIPTOR INHIBITEUR NON Rifampicine rifabutine ast mizol Surveiller l apparition d ruption delavirdine NUCL OSIDIQUE Risque d allergie ruption cutan e cisap
39. act de la circoncision comme mode de r duction de la transmission dans cette population www who int mediacentre news releases 2007 pr10 fr index html Protocoles n 47 page 25 www actupparis org article3006 html Protocoles n 47 page 26 www actupparis org article3007 html criminels ADBOT AT RALEIRA ABBOI ag CHANTAGE qpaitanne ASSASSIN 0 Le 26 avril 2007 les militantEs de la lutte contre le sida du monde entier ont organis une journ e internationale de protestation contre le laboratoire Abbott et sa scandaleuse politique de chantage aux m dicaments en Tha lande Cette journ e d action initi e par les activistes thailandaiSEs co ncidait avec la tenue Chicago de l Assembl e G n rale annuelle des actionnaires d Abbott En France 10 heures Act Up Paris lan ait un netstrike gr ve internet contre le site web d Abbott et une campagne de protestation par e mail aupr s des actionnaires du groupe A travers le monde des milliers de personnes ont sollicit le site internet d Abbott ralentissant son acc s puis le rendant impossible A 17 heures Abbott faisait envoyer par son cabinet d avocatEs Baker et McKenzie un fax Act Up Paris dans lequel le laboratoire nous mena ait d une plainte pour D ni de Service qui n existe pas en droit fran ais Le 15 juin Act Up est cit e comparaitre sur ce dossier Mais au cours de ces quelques mo
40. ce VIH ont montr des r sultats encourageants Quand elle est associ e des conseils de pr vention au d pistage VIH et la mise disposition de pr servatifs la circoncision pourrait tre un moyen de r duction de la transmission partiellement efficace pour les hommes C est quoi la circoncision La posthectomie est une intervention qui consiste enlever le pr puce de la verge Cette op ration est plus connue sous le terme de circoncision mais ce mot est utilis en principe pour des interventions pour motif religieux Pratiqu e depuis la pr histoire on estime aujourd hui que la circoncision concerne entre 25 et 30 de la population mondiale adulte masculine Elle est pratiqu e majoritairement sur des enfants Cette intervention chirurgicale simple consiste retirer enti rement le pr puce parfois appel rev tement cutan laissant le gland du p nis d couvert Le pr puce est un tissu cutan et muqueux Son ablation peut pr senter un int r t pour r duire la transmission ou plut t la r ception du VIH car la face interne du pr puce est une muqueuse tr s fine et perm able compos e de nombreuses cellules cibles pour le VIH les cellules de Langerhans Apr s un rapport sexuel des s cr tions vaginales peuvent rester dans cet espace chaud et humide propice au d veloppement des virus et bact ries comme les IST reconnues pour tre des facteurs favorisant l entr e du VIH Une fois retir
41. ces didanosine antibiotiques de la Surveillance de la fonction r nale 1 comprim jour ET Fatigue Diminution du phosphate famille des aminosides foscarnet recommand e 7 sanguin e Maux de t te vertiges sodique amphotericine B Le tenofovir et l emtricitabine agissent NUCLEOTIDE Insutfisance r nale Risque d acidose vancomycine is thionate de aussi contre le VHB en tenir compte en lactique Possibilit d ruption cutan e pentamidine ganciclovir cas de co infection aussi bien e Coloration de la paume des mains l initiation qu l arr t du traitement Gilead AMM du 21 02 05 L 4 VIDEX INHBITEUR Troubles digestifs e Troubles Vigilance sur l apparition de ddi didanosine p h patiques et risques de pancr atite neuropathies p riph riques NUCLEOSIDIQUE aigu en association avec Z rit arr t Ganciclovir stavudine t nofovir Prendre jeun strict et distance des 1 g lule jour DE LA imm diat e Neuropathies i autres m dicaments 2h avant ou apr s TRANSCRIPTASE p riph riques fourmillements et le repas INVERSE diminution de la sensibilit au niveau Risque de pancr atite surtout en cas BMS AMM du 05 05 92 des pieds et des mains de consommation d alcool VIRACEPT a Diarrh es parfois importantes i ici mi isapri NFV nelfinavir INHIBITEUR f P porante Rifampicine ast mizole cisapride prendre absolument durant le repas DE LA Lipodystrophie e H
42. de laquelle nous avons t convi s Les conditions dans lesquelles les personnes vivant avec le VIH commencent un traitement diff rent selon les r gions Le compte moyen de lymphocytes CD4 des personnes au moment de la mise sous traitement est de 164 au Canada 187 aux Etats Unis 102 dans les Cara bes 150 180 en Am rique du Sud 200 en Europe de l ouest 179 l est entre 123 et 86 en Afrique entre 163 et 57 en Asie Si une moyenne proche de 200 est peu pr s stable au fil des ann es dans les pays occidentaux elle est pass e de 50 en l an 2000 100 en 2005 en Afrique subsaharienne Ces valeurs nous montrent que partout au monde les traitements sont d marr s trop tardivement si l on se r f re aux diverses recommandations Sans surprise ils sont d autant plus retard s quand on est dans un pays pauvre Pour ce qui est des m dicaments les traitements les plus utilis s en premi re ligne sont la lamivudine la zidovudine et l efavirenz en Am rique du Nord la lamivudine la zidovudine et le lopinavir ritonavir en Europe la lamivudine la stavudine et la n virapine en Asie et en Afrique Mais la diversit des combinaisons n est pas du tout la m me selon la disponibilit des traitements Ainsi pour 90 des malades on utilise 59 combinaisons diff rentes en Am rique du Nord 47 en Europe 11 en Am rique du Sud et 3 en Afrique et en Asie Puis vient la question du suivi En compilant les donn es de 16 p
43. ec les impr vus l anonymat les voyages la vie active les r sistance et si a ne marche pas les arr ts etc En sortant de prison Le 22 juin prochain la mission prison de Sidaction organise une journ e de d bat et d information propos du Suivi m dico sociales des personnes atteintes d une infection VIH et ou d une h patites virale sortant de prison La sant de la population carc rale reste actuellement un sujet de pr occupation majeure malgr la loi du 18 janvier 1994 Cette r forme qui a pour but d am liorer la situation sanitaire des d tenus en les faisant entrer dans le droit commun pour la sant n a pas rempli tous ses objectifs Les taux de pr valence du VIH sida et des h patites en prison sont encore bien au del de ceux observ s en population g n rale La prise en charge des personnes atteintes en prison et la sortie demeure quant elle bien en de des efforts consentis par l Etat en mati re de lutte contre le sida et les h patites pour le grand public La journ e est organis e autour d une pl ni re en matin e et de diff rents ateliers l apr s midi Le Programme complet et les modalit s d inscriptions jusqu au 15 juin se trouve sur le site www sidaction org actualite actualite colloque prison Sea sex and sun La 65 R PI se tiendra le lundi 25 juin 2007 de 19h 22h sur le th me des vacances Avant de partir il est important de se pr parer Outre les
44. echerche en grand d veloppement est l tude des disparit s g n tiques Mais il s agit avant tout de travaux d observation o l on tente de comprendre si cette disparit permet d expliquer avec pr cision la diff rence des comportements en mati re d infectivit de d veloppement de la maladie de vitesse de r action ou de diff rences par rapport une th rapie On a pu assister lors d une session de pr sentations orales tout un ensemble de donn es sur ces sujets Ainsi le risque de surinfection est diff rent selon les individus et d pend de la capacit d velopper des anticorps neutralisant contre le VIH Ceux qui en sont capables arrivent bloquer la transmission du virus de leur partenaire ou m me d autres Mais ce n est pas loin s en faut le cas de tout le monde Plusieurs r sultats d tude sur la variabilit g n tique des outils essentiels que notre syst me immunitaire poss de pour reconna tre les agents trangers les prot ines HLA permettent d expliquer que la progression de la maladie est plus ou moins rapide selon les individus En effet il y a une forte corr lation entre la qualit de reconnaissance des prot ines virales et l efficacit des cellules immunitaires d truire les lymphocytes infect s Nouvelles mol cules Les r sultats interm diaires des essais Motivate et Il sur le premier anti CCR5 le maraviroc chez des patients ayant une forte exp rience de traitemen
45. encore actives a t faite Et dans ce cas m me lorsque le traitement de base est encore totalement actif le raltegravir rajoute de l efficacit Cependant dans ce cas galement la prudence est de mise Le laboratoire a toujours eu du mal communiquer sur deux aspects de ce nouveau traitement qui risquent d interrompre ce beau r ve un peu brutalement D une part les r sistances ce traitement pouraient se d velopper extr mement rapidement plus facilement peut tre qu avec les non nucl osidiques De plus les connaissances actuelles sur l int gration laissent planer un doute sur le fait que bloquer l int grase suffise emp cher totalement l int gration du g nome viral D autre part ce m canisme totalement nouveau intervient dans un milieu extr mement sensible les prot ines ayant une action sur ADN Une certaine prudence est donc de mise avant d tre s r d avoir limin tout risque de toxicit du produit long terme Le poster pr sentant les r sultats de l essai ANRS 125 montre qu un traitement antir troviral intensifi et contenant de l enfuvirtide Fuz on pouvait acc l rer la reconstitution d une immunit contre le virus JC responsable des leuco enc phalopathies multiformes progressives les LEMP Les r sultats pr liminaires de l essai pr sent s ici sugg rent que cette intensification am liore la survie des malades et associe ce constat une diminution des traces de virus dans le
46. es crit res d valuation Le crit re principal est la proportion de personnes ayant une charge virale strictement inf rieure 50 copies mL S24 Le nombre et les types de mutations sur les g nes de la prot ase et de la transcriptase inverse de la gp41 et de l int grase en cas d chec virologique permettront d valuer les r sultats Comment se d roule l essai Chaque participant est suivi pendant 52 semaines et doit se rendre douze visites dans l un des 57 centres de l essai A l inclusion 70 personnes re oivent le traitement suivant ralt gravir Isentress 1 comprim de 400 mg 2 fois par jour darunavir Pr zista 2 comprim s de 300 mg 2 fois par jour au cours d un repas ritonavir 1 g lule de 100 mg 2 fois par jour au cours d un repas travirine 2 comprim s de 100 mg 2 fois par jour au cours d un repas un traitement optimis comportant un ou plusieurs INTI et ventuellement de l enfuvirtide Fuzeon Les 20 autres personnes qui participent la sous tude pharmacocin tique re oivent le m me traitement mais l travirine ne sera ajout e qu au 8 jour Cette sous tude vise valuer la concordance entre la concentration r siduelle des antir troviraux de l tude S4 et l efficacit virologique S24 ainsi que les param tres pharmacocin tiques entre l inclusion et S4 Les pr l vements sanguins sont plus nombreux 13 visites et une hospitalisation de jour sont pr vues
47. es psychiques en parler son m decin Agit aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co infection Contre indiqu durant la grossesse Suivi h matologique r gulier La lamivudine agit aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co infection aussi bien l initiation qu l arr t du traitement prendre jeun avec de l eau sauf si pris avec du ritonavir et 1h de distance du Videx Boire au moins 1 5 litre d eau par jour pour viter des calculs r naux Effets secondaires tr s importants A viter l initiation d un traitement L emtricitabine agit aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co infection aussi bien l initiation qu l arr t du traitement La lamivudine agissant aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co infection aussi bien l initiation qu l arr t du traitement prendre au cours du repas La mol cule tant toujours en phase d tude nous ne manquerons pas d apporter des compl ments d informations Apr s reconstitution du produit avec de l eau fournie peut se conserver 24h maxi au r frig rateur Changer r guli rement de site d injection et masser imm diatement apr s l injection La mol cule tant toujours en phase d tude nous ne manquerons pas d apporter des compl ments d informations prendre avec d un repas copieux Associ au ritonavir en faible dose indispens
48. essentiellement les pharmacies de ville mais impliquent tant les laboratoires Gilead GSK Abbott BMS que les grossistes Nous avons contact ces diff rents interlocuteurs mais part se rejeter la faute leur r activit n a pas t aussi vive Il n est pourtant pas n cessaire de rappeler l importance de la r gularit des prises de tout antir troviral afin d viter des probl mes de r sistances et le danger que repr sentent ces ruptures Ce dossier est en cours au sein de la commission Traitements et Recherche d Act Up Paris mais d ores et d j et en pr vision de la p riode estivale il est essentiel de ne pas attendre le dernier moment pour commander ses m dicaments Norvir 100 mg L agence europ enne du m dicament vient d approuv mi mai le nouveau conditionnement du Norvir capsule molle de 100 mg en boite unique de 84 capsules La composition du Norvir ne change pas Il s agit de l application d une revendication que les malades avaient depuis longtemps les 4 bo tes obligatoires se r duisent donc une seule Les packs de 4 boites seront progressivement remplac s par ce flacon unique Reste que Aptivus tipranavir en deux g lules deux fois par jour doit tre associ deux capsules de ritonavir deux fois par jour les personnes prenant ce traitement devront donc renouveler leur flacon de Norvir toutes les 3 semaines Nous attendons toujours le Norvir formule s che Protocoles n
49. g nie de certains m decins alli une coute et un partage des d cisions avec leurs patients peut permettre d augmenter l efficacit des traitements disponibles en am liorant la prise en charge Il faut d terminer l histoire naturelle des effets secondaires et leurs signes pr curseurs pour les minimiser voire les viter Am liorer l efficacit des traitements chroniques passe par une formation pr coce sur les enjeux des effets secondaires sur l observance et la compliance responsables de nombreux arr ts pr cipit s Un accompagnement des patients en tant qu acteurs de leur propre sant permet de planifier et d organiser ces changements plus souplement Les malades atteints de plusieurs pathologies chroniques comme les co infect s VIH h patites sont d autant plus r v lateurs de ces enjeux la prise en charge tant souvent plus complexe Arriver tenir plusieurs traitements implique des contradictions am liorer une maladie mais avec le risque d en aggraver une autre C est ce que les infectiologues ont d assumer en sauvant de nombreux co infect s gr ce aux trith rapies VIH M me s ils doivent s impliquer aujourd hui dans la prise en charge des cirrhoses accrues par ces traitements trop lourdement prescrits l poque Aujourd hui on peut contr ler efficacement le virus de l h patite C Dans 40 des cas chez les co infect s VIH on peut gu rir l h patite chronique gr ce aux progr s de la
50. gies et des maladies infectieuses am ricain NIAID a lanc deux essais cliniques sur la circoncision et le risque d infection par le VIH Ces essais grande chelle ils ont t mis en place au Kenya et en Ouganda Les r sultats interm diaires taient si tranch s que les chercheurs ont consid r qu il tait in thique de les poursuivre les groupes d hommes circoncis montraient un b n fice sup rieur et significatif sur les groupes contr les Commenc s en septembre 2005 ces essais auraient d se poursuivre jusqu en septembre 2007 Les m thodes utilis es pour la circoncision taient diff rentes L essai r alis au Kenya utilise la m me m thode que Protocoles n 47 page 23 www actupparis org article3006 html Vient de l anglais random hasard quivalent de tirage au sort Le but de la randomisation dans un essai est de cr er deux ou plusieurs groupes de sujets comparables pour que les diff rences observ es entre ces groupes de participants soient attribuables uniquement aux traitements re us Protocoles n 47 page 24 www actupparis org article3006 html l essai franco sud africain soit la m thode dite aux forceps Le pr puce est tir pinc et coup l extr mit du gland C est la proc dure traditionnelle elle est simple et rapide une demi heure La m thode utilis e dans l essai du district de Rakai est plus longue mais pr conis e par les sp cialistes en urologie Il s
51. graphes 2 10 rue bisson Paris X Tirage 20 000 exemplaires Avec le soutien de l ANRS la DGS et Sidaction Sommaire Bases 2 Essais Prim va Easier 3 Trio Quantispot Lymphosvir M rit P pi Agenda 10 14 CROI 11 Lipoatrophie 18 Circoncision 21 Abbott en Thailande 26 Actu des traitements 28 Tableau 30 M dias 32 www actupparis org article2995 html A orale Il x POST AMM Protocoles n 47 page 2 Conseils de lecture Essais les lieux Nous avons indiqu pour chaque essai les coordonn es de l investigateur principal La liste des diff rents centres qui recrutent Paris comme en province peut vous tre communiqu e par t l phone au 01 49 29 44 75 les lundi mardi jeudi et vendredi de 14h00 19h00 R fl chir La loi oblige les investigateurs des essais fournir aux participants une note d information ainsi qu un formulaire de consentement clair qu ils doivent obligatoirement signer avant de participer un essai Vous pouvez l emporter avec vous et prendre le temps qu il faut pour r fl chir avant de le signer Il est possible de demander conseil aupr s d un autre m decin de votre entourage ou d une association Adh sion au traitement Il est important que vous demandiez votre m decin quels sont les effets secondaires que vous risquez de ressentir et les contraintes de prise des traitements propos s dans un essai
52. her VU nngntodeae Poubes du midezolam ter narine triazolam En 008 de Voies psychiques en cou ortement et de l humeur thynil oestradiol ritonavir Surveillance de la fonction h patique BMS AMM du 28 05 99 g Erupion cutan e parfois s v re rash n virapine Contre indiqu durant la lon u TELZIR ANBAR Permet de remplacer les 8 g lules APV fosampr navir A PREE E quotidiennes d ampr navir DE LA s Parsee a Hypertagye nidemio s prendre au cours du repas PROT ASE Hypercholest rol mie Hyperglyc mie Doit tre associ une g lule de 1 comprim jour 1 comprim 2 fois jour GSK AMM du 12 07 04 TRIZIVIR RETROVIR EPIVIR ZIAGEN e Allergie grave hypersensibilit l abacavir voir Ziagen pouvant entra ner l arr t du traitement Effets Stavudine alcool emitricitabine ribavirine zalcitabine ne pas d buter le traitement en m me ritonavir chaque prise Voir Ziagen La lamivudine agit aussi contre le VHB en tenir compte en cas de co 1 comprim 2 fois jour ind sirables de zidovudine voir R trovir de lamivudine voir Epivir et GSK AMM du 28 12 00 d abacavir voir Ziagen A EMTRIVA VIREAD e Troubles digestifs vomissements temps que n virapine voir infection aussi bien l initiation qu Ziagen l arr t du traitement l prendre au moment du repas KER NUCL OSIDE Inaus es diarrh es flatulen
53. i a marche Mais la question se pose videmment dans l autre sens que faire si a ne marche pas Malgr son dynamisme cette recherche a donn peu de r sultats positifs Les essais vaccinaux les microbicides test s les tentatives d intervention comportementale autant d checs qui ont jalonn la route jusque l Quelques espoirs sont venus r cemment claircir le tableau avec les remarquables r sultats des tudes sur la circoncision Il reste malgr tout encore de nombreuses pistes en cours d valuation comme les prophylaxies pr exposition Il est donc plus que n cessaire de se pr parer l application plus grande chelle de ces techniques parce que le b n fice attendu la diminution des nouvelles contaminations n aura lieu que cons cutivement et encore condition que l ensemble des mesures prises se r alise avec l accompagnement n cessaire Africa is burning Malgr les effets d annonce les difficult s faire parvenir des traitements en Afrique ont produit des probl mes aux funestes cons quences La compilation de donn es d innombrables tudes de cohorte issues de 42 pays et de 176 sites de recherche a permis de faire un tour d horizon de la situation Un site internet est en train de rassembler toutes ces donn es ainsi que de proposer une observation r guli re du devenir des personnes sous traitement antir troviral C est donc une vision du devenir des personnes en traitement dans le mon
54. iciellement la prise en charge d interventions r paratrices compensatrices des lipoatrophies atteignant les fesses Or les retentissements fonctionnels et psychiques de ces troubles sont aussi s v res et parfois davantage que ceux de la lipoatrophie du visage Cet article est issu du site du TRT 5 Des personnes atteintes par le VIH et trait es par antir troviraux peuvent tre atteintes de s v res anomalies de r partition du tissu adipeux Il s agit d un effet ind sirable reconnu des traitements antir troviraux Il peut prendre deux formes principales qui affectent diff rents sites corporels la lipoatrophie perte de graisse et la lipohypertrophie prise de graisse La lipoatrophie des fesses se caract rise par la fonte du tissu adipeux sous cutan sur toute la fesse et notamment aux points d appui zone entourant le coccyx ischions Des troubles au retentissement s v re Malgr les progr s th rapeutiques et la possibilit actuelle de recours des traitements moins toxiques les lipoatrophies en particulier ne r gressent pas ou peu une fois install es Parmi celles ci les lipoatrophies du visage qui ont un retentissement esth tique social et psychique important peuvent b n ficier d interventions actuellement prises en charge par l Assurance Maladie En revanche ce jour l Assurance Maladie n assure pas officiellement la prise en charge d interventions r paratrices compensatrices des lipoatroph
55. ies atteignant les fesses Or les retentissements fonctionnels et psychiques de ces troubles sont aussi s v res et parfois davantage que ceux de la lipoatrophie du visage Une lipoatrophie majeure des fesses rend douloureuse voire intenable la position assise et dans certains cas g ne consid rablement la marche Dans tous les cas ces effets ind sirables conduisent la personne reconsid rer le rapport entre b n fices et inconv nients per us de son traitement antir troviral et peuvent mener des ruptures d observance et ce m me si le traitement actuel n est pas ou peu responsable du trouble Une grande in galit d acc s aux interventions Des interventions r paratrices compensatrices de ces lipoatrophies des fesses existent et permettent certaines personnes de corriger un trouble fonctionnel r el Malheureusement ces solutions ne sont actuellement pas prises en charge par la S curit sociale Leurs co ts globaux sont lev s ce qui en limite l acc s un tr s petit nombre de personnes Il convient ici de rappeler que la moiti des personnes s ropositives vivent dans des situations sociales tr s modestes voire pr caires enqu te ANRS Vespa A cela s ajoute un traitement des dossiers de demande de prise en charge d rogatoire tr s in galitaire en fonction des CPAM quelques unes acceptent des prises en charge exceptionnelles g n ralement partielles la plupart les refusent sans que la situatio
56. im en y joignant un RIB
57. ir Kaletra 400 mg 100 mg en 2 comprim s par jour lamivudine zidovudine Combivir 300 mg 150 mg en 2 comprim s par jour A 8 semaines de traitement et 34 semaines d am norrh e 34 SA un contr le de la charge virale est fait dans les 2 groupes A 34 SA en cas de charge virale de plus de 200 copies mL les traitements sont modifi s trith rapie dans le groupe traitement adaptation du traitement dans le groupe contr le A 36 SA en cas de charge virale sup rieure 200 copies mL une c sarienne programm e est recommand e Pendant l accouchement le traitement est poursuivi accompagn d une perfusion de zidovudine apr s le traitement est arr t pour les m res et la zidovudine est donn aux enfants pendant 6 semaines Deux sous tudes seront r alis es l une pharmacologique chez 10 m res de chaque groupe la 8 semaine durant une hospitalisation de jour et une chez les enfants afin d valuer la toxicit des INTI sur l ADN mitochondrial et nucl aire f tal l aide de pr l vements sur le cordon ombilical et d une chographie cardiaque 1 mois et 12 mois Notre avis L hypoth se de l essai repose sur la possibilit de contr ler la r plication virale en fin de grossesse avec une monoth rapie d antiprot ase donc une simplification du traitement recommand en France tout en vitant les risques de toxicit des INTI pour la m re et l enfant Un certain nombre de garanties rendent cet essai
58. is les profits d Abbott ont augment de 18 6 Le courage tha landais En janvier dernier le gouvernement tha landais d cidait conform ment aux accords internationaux sur la propri t intellectuelle de baisser drastiquement les prix de deux m dicaments sida l efavirenz et le lopinavir Le lopinavir est couvert par un brevet d tenu par Abbott Gr ce ce brevet et au monopole qu il produit Abbott avait pu imposer en Tha lande un prix quatre fois sup rieur au prix en Afrique 2 200 dollars par an au lieu de 500 dollars La Tha lande se trouvant dans l incapacit de soigner ses malades ce prix le gouvernement tha landais a d cid de lever le brevet d Abbott et d autoriser l importation de versions g n riques du lopinavir Cela a abouti une baisse du prix de 55 en seulement trois mois En r ponse cette perte de monopole Abbott a annonc qu il allait priver la Tha lande de tous les nouveaux m dicaments qu il s appr te commercialiser y compris son m dicament anti VIH star le lopinavir thermo r sistant particuli rement utile pour les malades des pays pauvres et chauds comme la Tha lande Sans consid ration pour le sort des malades de mani re unilat rale et particuli rement coeurante Abbott prend ainsi sciemment les malades tha landais en otages dans le seul but de faire pression sur leur gouvernement Ce que dit le Droit international La d cision de la Tha lande de lever le brevet du l
59. istr s en association avec l abacavir lamivudine en une prise par jour Seront aussi compar es l volution des m tabolismes profil lipidique en particulier les r ponses virologiques les r ponses immunologiques la s curit et la tol rance aux deux options de traitements L essai vise valuer les profils de r sistance g notypique et ph notypique virale chez les personnes en chec th rapeutique Comment se d roule l essai La dur e totale de l essai est comprise entre 48 et 108 semaines Il se d roule en 2 temps Phase 1 les 200 participants sont r partis en deux groupes de 100 Groupe A fosempr navir 1 400 mg Telzir ritonavir Norvir 100 mg une fois par jour abacavir 600 mg lamivudine 300 mg Kivexa en une fois par jour Groupe B fosempr navir 700 mg Telzir ritonavir Norvir 100 mg deux fois par jour abacavir 600 mg lamivudine 300 mg Kivexa une fois par jour En cas d hypersensibilit l abacavir une formule de remplacement sera mise en place 8 visites sont pr vues 45 jours avant l inclusion J 45 l inclusion et aux semaines 2 4 12 24 36 et 48 Des examens cliniques et diff rents tests sont pratiqu s g notype et ph notype de r sistance au VIH 1 test de pharmacog n tique pour mieux comprendre l efficacit et la tol rance tests biologiques pr l vement des fins de pharmacocin tique pour mesurer les concentrations plasmatiques r siduelle
60. limide non r sorbable qui est inject sous le derme comme la graisse dans le Coleman Cette endoproth se injectable permet d apporter des volumes moyens importants et donc de combler des lipoatrophies profondes en une seule s ance avec un r sultat visible imm diatement apr s l intervention On dispose d un faible recul sur ce produit en France dans le contexte de l infection par le VIH 2 ans mais son effet semble permanent On dispose d un recul plus important en chirurgie r paratrice esth tique premi re ann e d utilisation 2000 Sa mise en place se fait par l interm diaire d un trocart ou d une canule Le BioAlcamid est efficace pour restaurer les pertes de volume quelles que soient leur importance et leur localisation au niveau des fesses Il faut compter un volume minimal de 100 mL par fesse pour que le r sultat soit satisfaisant L intervention peut se faire en ambulatoire ou n cessiter un temps d hospitalisation de 24 heures 4 Combinaison des deux techniques Il est possible aussi d associer les proth ses sur les c t s et le BioAlcamid au niveau des ischions et du coccyx pour une r paration optimale A retenir Actuellement ces interventions ne sont pas officiellement prises en charge par la S curit sociale Toutefois pour les personnes d termin es il est recommand d essayer de d poser un dossier de demande de prise en charge aupr s de leur CPAM sur entente pr alable avec les avis
61. lle classe th rapeutique capable d inhiber une enzyme sp cifique du VIH l int grase n cessaire sa r plication INNTI pour analogues non nucl osidiques inhibiteurs de la transcriptase inverse INTI pour analogues nucl osidiques inhibiteurs de la transcriptase inverse L ADN proviral r sulte de la copie de l ARN viral gr ce la trancriptase inverse et peut ainsi s int grer au g nome de la cellule h te lymphocytes ou macrophages avec l aide d une autre enzyme virale l int grase ADN circulaire on distingue les mol cules ouvertes dites rel ch es ou d roul es un brin est coup et les mol cules ferm es sans extr mit s libres qui souvent sont superenroul es Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Le ralt gravir Isentress est galement disponible en Autorisation Temporaire d Utilisation ATU nominative sous certaines condition Lire Protocoles n 45 d cembre 2006 Protocoles n 47 page 5 Www actupparis org article2998 html ll existe deux tests tuberculiniques le monostest et l intradermor action ou IDR Le monotest se r alise l aide d une bague munie de pointes permettant d injecter la tuberculine dans le derme L IDR se r alise l aide d une seringue munie d une aiguille tr s fine La tuberculine contenue dans cette seringue est inject e dans le derme L IDR reste le test de r f rence en cas de suspicio
62. lt gravir le darunavir le tipranavir et l enfuvirtide le profil des mutations de r sistance virales en cas d chec compar au profil de mutations archiv es dans l ADN VIH JO Une sous tude de 10 personnes est pr vue pour tudier la pharmacocin tique du ralt gravir dans le compartiment g nital masculin avec quantification de la charge virale Une tude pharmacologique concernera 20 personnes Quels sont les crit res d valuation Le crit re principal est l chec virologique d fini par une charge virale plasmatique sup rieure ou gale 400 copies mL sur deux pr l vements cons cutifs 15 jours d intervalle Mais seront galement pris en compte la proportion et le d lai d abandon de la strat gie de traitement la proportion de personnes ayant une charge virale inf rieure 50 et 400 copies mL la num ration de CD4 de CD8 et des cytokines intra cellulaires Dans le liquide s minal un dosage du ralt gravir et de PARN VIH seront effectu s Comment se d roule l essai L essai se d roule dans 44 centres Le suivi est de 48 semaines pour chaque participant A l inclusion les participants sont r partis en deux groupes de 85 chacun Groupe maintien poursuite du traitement avec enfuvirtide Fuz on jusqu la 24 semaine ensuite et en cas de succ s virologique charge virale inf rieure 400 copies mL acc s au ralt gravir Isentress Groupe substitution interruption d
63. macie montrent bien que le maintien des brevets dans les pays d velopp s seuls capables de payer le prix fort suffisent assurer la rentabilit de la recherche priv e D s l annonce de la d cision d Abbott les r actions se sont multipli es pour d noncer la mise en danger de milliers voire de dizaine de milliers si le cas Abbott devait faire cole de malades du sida Aux protestations des activistes tha s vite relay es par leurs homologues du monde entier d autres d nonciations ont fait suite celles de 22 s nateurRICESs am ricains celle de la fondation Clinton mais aussi de fonds d investissements priv s poss dant des dizaines de millions de dollars en actions du laboratoire ou encore la fondation Gates qui poss de 169 millions de dollars d actions Abbott De m me plusieurs associations dont Act Up en France relaient un texte invitant les m decins et les s ropositifs ne plus recourir dans la mesure du possible aux produits du groupe en proposant des solutions alternatives Lors de la conf rence des pays francophones sur le sida Paris en mars dernier des dizaines d activistes ont interrompu un symposium d Abbott et occup le stand du laboratoire relayant activement la p tition des malades tha s ainsi qu un appel aux prescripteurs boycotter Abbott La mobilisation doit continuer Le 10 avril Abbott acceptait dans un accord important avec l OMS de fournir aux pays en d veloppeme
64. mettent entre autres d tudier une maladie dans d autres conditions que celle de l homme En effet le VIS ne provoque pas chez tous les animaux un d veloppement comparable de la maladie Certains singes contr lent tr s bien l infection En comparant les param tres de d veloppement diff rents on arrive la conclusion que ce n est pas tant l activit virale qui d truit l quilibre du syst me immunitaire et conduit la disparition progressive des lymphocytes CD4 que l activation immunitaire elle m me qui est la cause de la maladie Le sida peut donc tre consid r dans ce mod le comme une insuffisance de reconstitution du stock de lymphocytes mis mal par une activit d bordante D s lors il faut consid rer l int r t d une immunoth rapie avec l interleukine 7 Dangereuse reconstruction p IRIS le syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire est une des pr occupations majeures des cliniciens depuis l arriv e des trith rapies En effet tr s rapidement apr s leur introduction on a remarqu qu un certain nombre de malades avaient des r actions parfois violentes de leur immunit en reconstruction Ce syndrome peut tre consid r comme une r action aberrante de l immunit cellulaire des agents infectieux pr cis Il existe une diff rence entre r ponse immune excessive qui est une maladie de la restauration immunitaire et r ponse ineffective qui est une maladie caus e par l i
65. mmes du m me ge mais identique dans la tranche d ge sup rieure a d marr en ao t 2005 Il visait mesurer l influence de la circoncision sur la contamination par le VIH des hommes circoncis et de leurs partenaires Il concerne 4 996 hommes entre 15 et 49 ans s ron gatifs sexuellement actifs et volontaires pour r aliser une circoncision 2 474 hommes ont t randomis s pour tre circoncis d s leur entr e dans l tude les 2 522 autres participants devaient se faire circoncire apr s 24 mois mais comme l tude a t court e en raison des r sultats favorables obtenus les hommes du second groupe qui le souhaitaient se sont fait circoncire avant la fin Les participants ont eu 4 visites l inclusion 6 12 et 24 mois o ils recevaient des conseils de pr vention et des pr servatifs un test VIH et un examen clinique Les r sultats montrent moins de transmission du VIH dans le groupe des hommes circoncis imm diatement 22 circoncis contre 43 non circoncis ce qui donne une r duction des risques d infection de 48 dans le groupe des hommes circoncis par rapport au groupe contr le Pistes Les r sultats de ces trois tudes en appellent videmment d autres l quipe de Bertrand Auvert de l unit INSERM 687 financ e par l ANRS va poursuivre ses recherches plus large chelle dans le site de Orange Farm en Afrique du Sud afin de v rifier l efficacit pr ventive de la circoncision contre le VI
66. mmunod ficience Lorsque l on parle d IRIS c est bien du premier type d affection dont il est question d o le terme d IRD Immune Restauration Disease Ce syndrome est plus fr quent dans le monde en d veloppement o l esp rance de vie apr s le d marrage d un traitement est beaucoup plus faible que dans les pays industrialis s Une bonne partie de cette diff rence est sans conteste due aux IRIS L essentiel de ces affections se produit au cours des trois premiers mois suivant le d marrage des antir troviraux et elles sont le plus souvent dues des cryptocoques m ningites ou des mycobact ries essentiellement la tuberculose et d autres parasites comme la leshmania ou l histoplasma mais peuvent aussi tre le r sultat d infections virales cytom galovirus CMV certains virus herp s le virus JC responsable de LEMP voir plus loin ou encore des virus h patiques Le syndrome est ici caus parce que la reconstitution immunitaire provoqu e par l utilisation des antir troviraux d masque une infection qui n tait pas visible en provoquant une r action immune excessive Dans d autres cas il s agit d une r activation paradoxale d une infection pr existante Mais IRD peut aussi intervenir tardivement jusqu 24 mois apr s le d but d un traitement Il s agit alors le plus souvent d uv ites CMV de m ningites et d autres pathologies cryptocoques de lymphad nopathies MAC ou
67. n es la transmission de la m re l enfant a toujours t un des sujets de pr occupation essentiels de la recherche clinique La pr vention de ce mode de transmission par l utilisation d antir troviraux est connue depuis plus longtemps que les antiprot ases Les meilleures techniques ont permis de r duire cette transmission initialement d environ 30 moins de 1 dans les pays industrialis s Au Sud l acc s aux antir troviraux est beaucoup moins fr quent essentiellement pour des raisons de prix des traitements Depuis quelques ann es les cliniciens ont renforc les traitements pr ventifs afin de mieux prendre en charge la maladie de la m re et de ne pas risquer le d veloppement de r sistances Les traitements utilis s pour r duire la transmission de la m re l enfant n taient mis en place que dans l optique de sauver l enfant Il a t d montr ensuite que la faiblesse des traitements donn s la m re pouvait provoquer des r sistances rendant la mol cule inefficace ensuite voire m me des r sistances tous les m dicaments de cette classe Les trith rapies ont donc t recommand es Parall lement l accent a t mis sur le risque de transmission que pr sentait l allaitement au sein puisque le virus est pr sent dans le lait maternel Dans les pays d velopp s il avait t observ que lorsque les enfants taient nourris au lait maternel la transmission s levait en moyenne 22
68. n de la maladie La lecture de ces deux tests doit tre r alis e par un m decin 3 jours apr s l injection La r action est jug e positive c est dire que la personne a t en contact avec le bacille de Koch soit par une vaccination ant rieure par le BCG soit par un contact avec le bacille lorsqu il existe une r action d au moins 5 mm de diam tre avec l IDR ou d au moins 2 mm avec la bague La tuberculose est une maladie infectieuse due un microbe le bacille de Koch Mycobacterium tuberculosis invisible l il nu pouvant rester dans l air pendant plusieurs heures En cas de primo infection ou infection tuberculeuse latente tuberculose infection elle peut passer inaper ue n est pas contagieuse et n est d pist e que par les tests tuberculiniques Elle peut voluer dans 10 des cas environ en plusieurs mois voire plusieurs ann es vers une tuberculose maladie qui peut elle m me tre contagieuse et grave Une tuberculose maladie non trait e peut s aggraver et voluer vers la chronicit ou m me la mort Si un traitement est donn et est correctement suivi le taux de gu rison est proche de 100 Protocoles n 47 page 6 Www actupparis org article2999 html Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient QUANTISPOT ANRS EP 40 RECHERCHE PUBLIQUE Etude physiopathologique comparative visant valuer le Quantif ron TB Gold
69. n m dicale et psycho sociale de la personne soit v ritablement consid r e Il s agit donc d une situation tr s in galitaire face des troubles majeurs d origine iatrog ne Faut il ici rappeler la lenteur de prise en compte des effets ind sirables imputables la stavudine d4T Z rit par exemple Les lipoatrophies des fesses observ es aujourd hui ne sont pas une fatalit mais bien le r sultat d une prise au long cours au trop long cours de traitements toxiques dont les effets ont t longtemps trop longtemps minimis s ou ni s La solution passe par un remboursement assorti d un cadre bien d fini de suivi Le nombre limit de personnes concern es par ce probl me ainsi que le processus actuel de mise sur le march des dispositifs m dicaux l inverse d un m dicament un dispositif m dical peut tre commercialis en France sans la contrainte d une valuation stricte de son efficacit expliquent qu aucun essai clinique prospectif et peu de travaux r trospectifs aient permis d valuer le rapport efficacit tol rance de ces solutions de r paration Ainsi l une des techniques utiles face aux lipoatrophies est l injection d un gel d alkylimide BioAlcamid laboratoires Polymekon Le TRT 5 a cherch convaincre ce laboratoire d organiser un essai sans succ s le c ur de march de ce produit est l esth tique et non la lipoatrophie dans l infection par le VIH march co
70. nsid rablement plus restreint Aussi l industriel ne voit il probablement pas d int r t direct l investissement important que repr senterait l organisation d un essai clinique Le rapport d experts Prise en charge m dicale de l infection par le VIH recommande p 237 d obtenir la prise en charge financi re par l Assurance maladie des mesures correctrices des lipoatrophies entra nant un handicap fonctionnel En se fondant sur l exp rience positive de la prise en charge par l Assurance Maladie des lipoatrophies du visage sur le rapport d experts pr cit et sur les avis de m decins infectiologues et de chirurgiens sp cialistes des interventions r paratrices le TRT 5 propose pour la lipoatrophie des fesses entra nant une g ne et un handicap majeurs que les interventions n cessaires injection de gel d alkylimide BioAlcamid laboratoires Polymekon et ou pose de proth ses de fesses soient prises en charge par l Assurance Maladie cela soit assorti d un recueil de donn es d efficacit et de tol rance R percussions Douleur en station assise selon le degr d atteinte la douleur peut tre permanente ou survenir apr s un certain d lai en position assise Elle oblige les personnes changer de position et ou se munir d un coussin de mani re r duire la douleur Douleur lors de la marche dans les cas tr s s v res la douleur est pr sente lorsque la personne est en mouvemen
71. nt des trith rapies un prix inf rieur que ceux propos s par les producteurs de g n riques preuve suppl mentaire qu une baisse de prix tait possible Le laboratoire peut bien faire passer cette mesure pour un signe d apaisement ou envisager de revenir sur sa d cision en Tha lande nul ne peut se permettre un quelconque triomphalisme Le taux d acc s aux m dicaments dans les pays en d veloppement t moigne lui seul du chemin parcourir et des entraves que rencontrent les Etats y compris les plus volontaires Mais ce pas en arri re du laboratoire pourrait en m me temps tre le signal et le Vecteur d une volution fondamentale dans les pratiques commerciales des firmes pharmaceutiques ceux ci pourraient d sormais tre dans l impossibilit de recourir des pratiques de chantage hier accept es Et la jurisprudence Abbott au vu de l importance que conna t le relais de l appel au boycott et la journ e mondiale de protestation du 26 avril pourrait s av rer un mod le de r gulation a minima qui interdirait l exposition au grand jour du cynisme le plus voyant A retenir Signez la p tition des activistes tha www petitiononline com bcottabb petition html Protocoles n 47 page 27 www actupparis org article3007 html Cette rubrique sur l actualit des traitements AMN ATU passage en ville interactions a pour but de vous tenir inform de l volution des mises dispo
72. nt ignor e des campagnes d information elle a comme ailleurs une pr valence nettement aggrav e En Afrique la situation est plus dramatique encore Mais cela est d principalement l absence totale de reconnaissance de la question Dans la moiti des pays africains l homosexualit est m me condamn e par la loi La situation est loin d tre meilleure en Asie o les gays sont tr s majoritairement atteints La criminalisation la stigmatisation l homophobie et les tabous limitent drastiquement l acc s la pr vention aux traitements et aux soins des gays partout dans le monde Cela en fait une population extr mement vuln rable d autant plus que l pid mie est mal connue et sous tudi e dans beaucoup de pays Se pose toujours le lien entre transmission du VIH et pr sence des maladies sexuellement transmissibles On sait bien que les infections augmentent le risque de transmission voire se font le vecteur de la diss mination du VIH du coup on s tonne d entendre encore le besoin d insister sur l int r t que pr sente la prise en charge des maladies sexuellement transmissibles pour la pr vention du sida Une synth se des tr s nombreuses recherches men es sur les techniques prophylactiques incluant la recherche vaccinale les microbicides la prophylaxie pr exposition la circoncision et les essais d intervention comportementale a permis de poser la question essentielle qui est de savoir ce que l on fera s
73. nt le test et pr sent de fa on quantitative et qualitative Le T spot TB sera interpr t selon les recommandations du laboratoire commercialisant le test Un test positif signifie que l chantillon contient des lymphocytes T sp cifiques de WMycobact rium tuberculosis et le test n gatif signifie alors que l chantillon n en contient probablement pas Les r sultats seront pr sent s de fa on quantitative et qualitative Comment se d roule l essai Les participants sont r partis en 4 groupes dans deux centres voir tableau en face Le d veloppement d une tuberculose pendant l tude chez les personnes des groupes et Il sera synonyme d exclusion de l tude 4 visites sont pr vues visite de pr inclusion examen clinique radio du thorax pr l vement sanguin CD4 et charge virale et recherche de tuberculose visite d inclusion r alisation des trois tests visite 48 72 heures lecture de l IDR Visite deux mois apr s examen clinique et recherche de tuberculose L tude doit d marrer en juin 2007 et les inclusions se terminer en juin 2009 Les analyses des r sultats sont attendues pour fin 2009 Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigateur principal D Daniel Bonnet H pital Bichat Paris XVIII Tel 01 40 25 88 92 Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Notre avis En France en 2006 8 500 personnes taient touch es par la tubercul
74. ode de r duction de la transmission du VIH Il r unira chercheurs associatifs et institutionnels Nous reviendrons sur ces sujets dans le prochain num ro A retenir La diffusion de l information sur le r le ventuel de la circoncision dans la r duction de la transmission du VIH ne peut pas faire l conomie d une r flexion scientifique et thique En effet des informations ou des analyses incompl tes risqueraient de faire passer la circoncision pour un outil de pr vention qui se substituerait la capote ruinant ainsi les efforts des 20 derni res ann es sur l usage des pr servatifs masculins et f minins Si les essais men s montrent que la circoncision m dicalis e associ e des conseils de pr vention et la mise disposition de pr servatifs et de tests VIH donnent des r sultats encourageants en mati re de r duction globale de la transmission du VIH l homme cette m thode ne prot ge que partiellement les hommes dans des rapports h t rosexuels et on ne sait encore rien de la protection qu elle pourrait apporter aux femmes Par ailleurs aucune tude n est en cours pour l instant pour valuer l impact de la circoncision dans la r duction de la transmission du VIH chez les gays Si les essais ont montr une r duction de la transmission du VIH dans le cadre de relations h t rosexuelles insertives les gays peuvent avoir des pratiques sexuelles tant t actives tant t passives ce qui pourrait limiter l imp
75. oergotamin mesylate millepertuis officinal efavirenz emtricitabine tenofovir atazanavir lamivudine Stavudine ribavirine zalcitabine emtricitabine Rifampicine ast mizole millepertuis cisapride d riv s de lergot de seigle terf nadine ethinyloestradiol Lamivudine zalcitabine Zalcitabine emtricitabine Carbamaz pine efavirenz n virapine ph nobarbital ph nito ne primidone rifabutine rifampicine ast mizole cisapride terf nadine Ast mizole terf nadine midazolam triazolam cisapride primozide amiodarone d riv s de l ergot de seigle millepertuis rifampicine disulfirame m tronidazole Zalcitabine stavudine emtricitabine alcool thanol ne pas d buter le traitement en m me temps que n virapine Ast mizole cisapride d riv s de l ergot de seigle terf nadine pimozide rifampicine efavirenz midazolam rifabutine triazolam Recommandations et commentaires Surveiller les fonctions h patiques et r nales ainsi que glyc mie et lipides sanguins prendre au cours du repas Association avec ritonavir pr f rable pour augmenter l efficacit prendre avec un verre d eau le ventre vide Prendre ce traitement au moment du coucher peut minimiser les effets in sirables Associ 2 capsules de ritonavir chaque prise Surveiller les fonctions h patiques et r nales prendre au cours du repas En cas de troubl
76. oland Tubiana H pital Piti Salp tri re Paris XIII 01 421601 71 Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 18h 01 49 29 44 82 Protocoles n 47 page 3 www actupparis org article2996 html Vient de l anglais random hasard o tirage au sort Nouvelle classe th rapeutique capable d inhiber une enzyme sp cifique du VIH l int grase n cessaire sa r plication Changement partiel du mat riel g n tique Toute modification dans une s quence d ADN est une mutation Dans le cas du VIH et plus g n ralement de tous les r trovirus la variabilit g n tique est importante car la copie d un g nome ARN n est jamais fid le Certaines mutations n ont aucun effet sur le virus tandis que d autres peuvent tre l tales Certaines vont modifier sa sensibilit aux antir troviraux ce sont les mutations de r sistance Pharmacocin tique tude des diff rentes tapes du m tabolisme des m dicaments dans l organisme r sorption distribution transformation limination en fonction du temps et de la dose administr e Pharmacologie science des m dicaments au sens le plus large Elle comprend la mati re m dicale la chimie pharmaceutique la pharmacie gal nique la toxicologie et la pharmacodynamie Permanence d Act Up mardi mercredi jeudi de 9h 13h au 01 49 29 44 82 Le ralt gravir Isentress est galement disponible en Autorisation Temporaire d U
77. opinavir en soumettant ce brevet la proc dure dite de la licence obligatoire est parfaitement l gale l article 5 b de la D claration de l OMC sur la Propri t Intellectuelle et la Sant Publique sign e Doha en novembre 2001 stipule que chaque tat membre de l OMC a le droit d accorder des licences obligatoires et la libert de d terminer les motifs pour lesquels de telles licences sont accord es Particuli rement en cas d urgence sanitaire un pays est ainsi en droit de lever un brevet pour importer ou fabriquer les g n riques n cessaires sa population En plus des nombreuses pressions que font porter les Etats Unis et l Europe sur les pays pauvres pour qu ils ne touchent pas aux monopoles des multinationales du m dicament c est maintenant un laboratoire pharmaceutique qui met gravement en danger la vie de malades du sida C est inacceptable pour la Tha lande et cela cr e un pr c dent qu Act Up Paris refuse Leurs profits contre nos vies La d cision d Abbott n a pourtant aucune justification Il est d abord question de sant de vie et de mort alors que le laboratoire ne parle que de ses profits La licence obligatoire tha landaise ne signifie pas la ruine du laboratoire ni la fin de la recherche fondamentale spectre souvent agit Les r sultats semestriels annonc s le 18 avril plus de 16 5 d augmentation des b n fices au premier trimestre 2007 pour la branche phar
78. ose maladie On conna t les complications que la tuberculose peut provoquer chez les personnes vivant avec le VIH Ces complications sont souvent dramatiques car elles concernent les personnes les plus pr caris es pour qui les cons quences d une double pathologie sont critiques Les tests qui existent actuellement d pendent beaucoup des niveaux d immuno d pression des personnes et donc des capacit s r actionnelles de l organisme ainsi que de la fr quence et de l intensit d exposition au bacille de la tuberculose qu elles ont rencontr Cette tude permettrait d associer la sensibilit de l IDR la plus grande sp cificit des deux autres tests roupe Il A non RTE Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient LYMPHOVIR ANRS CO 16 RECHERCHE PUBLIQUE Cohorte des lymphomes associ s l infection VIH tude prospective observationnelle non comparative multicentrique nationale Qui peut participer cet essai 400 personnes s ropositives au VIH 1 ou 2 ayant un lymphome non Hodgkinien LNH ou un lymphome Hodgkinien LH diagnostiqu ou en rechute Les personnes en arr t de traitement du lymphome depuis moins de 3 mois ou souffrant d autres pathologies lympho des aig es ne pourront int grer l tude Quel est l objectif de l essai L objectif principal est de mieux comprendre la physiopathologie des LNH et des LH associ s au VIH en
79. par BP 287 75525 PARIS CEDEX 11 ch que pr l vement sur mon compte tous les 18 du mois d un montant de J ai bien not que je recevrai par retour du courrier un re u fiscal me permettant de COORDONN ES DE LA CARTE D BITER N DE LA CARTE DATE D EXPIRATION D SIGNATION DU COMPTE D BITER BANQUE GUICHET N DE COMPTE GL d duire 66 du montant de ce don de mes imp ts Pour les pr l vements je recevrai AUTORISATION DE PR L VEMENT NOM ET COORDONN ES DE L TABLISSEMENT TENEUR DU COMPTE D BITER courant janvier un re u r capitulatif des sommes vers es pendant l ann e Les informations contenues dans la pr sente demande ne seront utilis es que pour les seules n cessit s de la gestion et pourront donner lieu un exercice du droit individuel d acc s et de modification dans les conditions pr vues par la d lib ration n 80 du 1 4 80 de la commission informatique et libert s S adresser Act Up J autorise l tablissement teneur de mon compte pr lever sur ce dernier si sa situation le permet tous les pr l vements ordonn s par Act Up Paris En cas de litige sur un pr l vement je pourrai en faire suspendre l ex cution par simple demande l tablissement teneur de mon compte Je r glerai le diff rend directement avec Act Up Paris Signature Merci de nous renvoyer cet impr
80. pilote de phase Il valuant un traitement antir troviral associant le ralt gravir au darunavir ritonavir et l travirine chez des s ropositifs en chec virologique et porteurs de virus multi r sistants Qui peut participer cet essai 90 personnes lourdement pr trait es en situation d chec virologique sous INNTI prenant une combinaison antir trovirale depuis au moins 8 semaines avant l inclusion dans l essai n ayant jamais pris d anti int grase de darunavir ou d travirine ayant une charge virale sup rieure 1000 copies mL Le test g notypique de r sistance doit montrer 3 mutations majeures sur la prot ase et sur la transcriptase inverse mutations associ es la r sistance aux INTI et aux INNTI une sensibilit pr serv e au darunavir Les femmes doivent avoir une contraception tr s efficace car les effets du ralt gravir sur la femme enceinte et le f tus ne sont pas connus Quel est l objectif de l essai L objectif principal est d tudier l efficacit virologique de l association ralt gravir darunavir travirine chez des personnes en chec virologique et porteuses de virus multir sistants Cette efficacit sera d finie par une charge virale inf rieure 50 copies mL 848 une charge virale inf rieure 400 copies mL S24 et S48 ainsi que par l volution de la charge virale des lymphocytes CD4 de l ADN proviral et de l ADN circularis entre SO et S84 Quels sont l
81. pparis org article2839 html Act Up c est aussi Pour vous informer et lutter efficacement contre le sida Act Up a mis en place une s rie de m dias accessibles tous Les essais cliniques La premi re brochure de la collection information pouvoir concerne les essais cliniques pour les personnes atteintes par le VIH Pour mieux comprendre le principe des essais comment ils sont men s ce que vous pouvez en attendre les questions que vous devez vous poser avant d y participer sida un glossaire La deuxi me brochure est un glossaire ayant pour but de mieux comprendre les termes m dicaux d interpr ter son bilan sanguin de participer plus activement au dialogue avec son m decin On y trouve aussi un r pertoire d adresses et de nombreuses pages sur les h patites dans le cadre des co infections VIH H patites Le guide des droits sociaux La troisi me brochure est un guide des droits sociaux qui permet une information claire et pr cise de tous les droits auxquels peuvent pr tendre les personnes s ropositives Une liste plus compl te des institutions associations et administrations termine ce recueil Pour obtenir une de ces brochures crivez Act Up Paris BP 287 75525 Paris cedex 11 contre frais de port 3 pages des id es folles La pif est le journal interne de l association Il a pour but d am liorer la communication interne de mettre nu les militantEs d engager des r flexions Action Action fai
82. pparis org article3004 html Protocoles n 47 page 14 www actupparis org article3004 html Enfin les taux de mortalit montrent une diff rence certaine entre le nord et le sud Les donn es d une cohorte africaine compar es la cohorte europ enne ART montrent 14 contre 5 de mortalit un an Le risque de mortalit dans le temps est syst matiquement sup rieur dans la cohorte africaine lorsqu on l analyse en fonction du compte de CD4 la mortalit un an pour plus de 200 CD4 est encore sup rieure dans la cohorte africaine ce qu elle est moins de 50 CD4 dans la cohorte europ enne Une analyse de l volution dans le temps comparant des cohortes africaines des donn es des pays industrialis s montre que la mortalit est environ 8 fois sup rieure un mois en Afrique cinq fois 4 mois et reste 1 5 fois sup rieure au del jusqu plus de quatre ans Elle est de 9 10 dans la cohorte africaine contre 0 25 5 dans les cohortes Europe Etats Unis Mais lorsqu on normalise ces donn es en fonction de l ge du sexe du compte de CDA4 de l ann e et de l tat de la maladie les valeurs africaines se confondent avec les donn es occidentales Ceci confirme clairement s il le fallait encore qu il est possible d obtenir les m mes r sultats en Afrique pour peu qu on d marre les traitements plus t t avec un suivi ad quat Lait maternel ou l trange paradoxe Depuis de nombreuses an
83. ride dihydro rgotamine cutan e s v re rash 2 comprim s 3 fois jour DE LA s v re rash Troubles digestifs en ergotamine terf nadine Surveillance r guli re des fonctions TRANSCRIPTASE d but de traitement carbamaz pine ph nyto ne h patiques et r nales par bilans Agouron ATU nominative INVERSE ph nobarbital sanguins RETROVIR eAn mie baisse des globules rouges AZT zidovudine INHIBITEUR Leucop nie et neutrop nie baisse des T NUCLEOSIDIQUE globules blancs dont neutrophiles Suivi sanguin pour surveiller 1 comprim 2 fois jour DE LA Maux de t te Fatigue Chez les Stavudine ribavirine l apparition ventuelle d an mie ou de TRANSCRIPTASE nouveaux n s risque de cytopathies neutrop nie INVERSE mytochondriales si la m re a re u GSK AMM du 13 03 87 AZT 3TC REYATAZ EEE ATZ atazanavir INHIBITEUR i Tounis pp En d but de Nombreuses interactions avec z A prendre au ue du repas d DE LA raitement peut entra ner une jaunisse 4 autres m dicaments limin s par 7 Pr venir son m decin en cas de 2 g lules 1 fois jour g par augmentation de la bilirubine jaunisse g J PROTEASE sanguine e Troubles de la vision le foie Associ une g lule de ritonavir Doit tre associ de faibles doses de ritonavir prendre au cours du repas pe INHIBITEUR MONJ o Sensations d bri t vertiges Saquinavir ast mizol cisapride prendre au couc
84. rieur de la bouche pour la d termination du marqueur g n tique HLA B 5701 Les r sultats seront communiqu s aux investigateurs en fin d essai un pr l vement sanguin pour effectuer un typage HLA par cytom trie de flux analyse cellule par cellule de l expression d un marqueur un pr l vement sanguin suppl mentaire sera conserv pour effectuer un typage HLA B 5701 en utilisant d autres m thodes d analyses un pr l vement sanguin pour la d termination du marqueur g n tique HLA B 5701 dont les r sultats seront communiqu s aux investigateurs en temps r el selon le mode de fonctionnement du laboratoire local Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigateur principal P Molina H pital Saint Louis Paris X 01 42 49 46 83 Notre avis Depuis sa mise sur le march en 1999 les r actions d hypersensibilit l abacavir Ziagen sont connues Elles surviennent chez environ 5 des personnes g n ralement durant les 2 6 premi res semaines de traitement et peuvent menacer le pronostic vital Les sympt mes les plus fr quemment observ s sont une fi vre une ruption cutan e des vomissements des diarrh es des douleurs abdominales une fatigue s v re ou une sensation de malaise g n ral Le g ne HLA B 5701 peut pr disposer ce genre de r action mais on ignore si seul ce g ne est en cause Sa pr valence varie entre 1 8 selon l origine ethnique Le but de cette
85. rogrammes d acc s aux traitements on remarque que 4 des personnes ne reviennent pas apr s la premi re visite et que ce sont jusqu 16 des malades qui sont perdus de vue au cours des six premiers mois de traitement Ce nombre de perdus de vue augmente avec le temps ainsi que chez les personnes ayant un compte de lymphocytes CD4 bas La r ponse au traitement ne diff re pas lorsque l on compare une cohorte de 2 000 malades africains avec la cohorte suisse pour ce qui est de la r ponse initiale ou des rebonds de charge virale En revanche le nombre de changement de traitements est deux fois moindre en Afrique Les maladies opportunistes ne sont pas les m mes et ne se pr sentent pas du tout avec la m me incidence Si les malades africains sont surtout atteints de tuberculose 25 d herp s 8 ou de cryptococcose 2 5 les Suisses connaissent des maladies diff rentes et surtout une incidence bien plus faible tuberculose sarcome de Kaposi ou r tinite CMV sont toutes en dessous de 2 5 Prophylaxie ensemble des moyens destin s pr venir l apparition la propagation ou l aggravation d une maladie l aide de m dicaments de tests de d pistage de messages de pr vention Une prophylaxie m dicamenteuse primaire est utilis e pour pr venir une premi re manifestation infectieuse une prophylaxie secondaire pour viter une rechute Lire l article p 21 Protocoles n 47 page 13 www actu
86. rrection La mise en uvre de cette technique pour la r paration de la lipoatrophies des fesses est souvent impossible pour diff rentes raisons le volume de graisse n cessaire pour obtenir un r sultat satisfaisant est de l ordre de plusieurs centaines de mL une quantit qu il est rare de pouvoir pr lever chez des personnes atteintes par le VIH et souffrant de lipoatrophie s v re de l avis des experts m decins la technique de Coleman donne de mauvais r sultats lorsque la graisse est inject e massivement en une seule s ance car la r sorption est importante Si on veut malgr tout l utiliser il faut envisager plusieurs s ances au minimum 3 espac es de 3 6 mois chaque s ance permettant d injecter un petit volume pour que la graisse tienne mieux Ces conditions rendent le recours la technique de Coleman contraignant et difficilement envisageable en pratique 2 Pose d implants fessiers Les proth ses de fesses permettent une restauration de volume importante en une seule intervention et am liorent indirectement l assise en r partissant mieux les pressions lors de l appui La pose de proth ses est une intervention qui doit tre effectu e par un chirurgien qualifi sous anesth sie g n rale au cours d une hospitalisation 2 5 jours L exp rience du chirurgien est d terminante pour la r ussite de l intervention 3 Injection de produit de comblement Le BioAlcamid est un gel d alky
87. s de l ampr navir et du ritonavir Lorsque le dernier participant arrive 24 semaines de traitement une analyse interm diaire d cidera de la poursuite ou non de l tude selon l quivalence ou non des traitements Durant cette analyse entre les deux phases d une dur e de 10 mois environ les 200 personnes incluses continuent l tude Phase 2 reprise du recrutement pour inclure 528 personnes sur le m me sch ma Qui contacter pour rentrer dans cet essai Investigatrice principale P Katlama H pital Piti Salp tri re Paris XIII 01 42 16 01 03 Notre avis Les essais proposant des strat gies th rapeutiques en une prise par jour se doivent de fournir aux participants un accompagnement particulier afin qu ils soient le plus observant possible Car le saut de la seule prise du jour pr sente un risque plus important de d velopper des r sistances Il existe une diff rence entre la France et les autres pays concern s au sujet des objectifs de l tude l objectif du traitement en une prise est d obtenir et de maintenir une charge virale inf rieure 50 copies mL ceci conform ment aux recommandations du Rapport Y ni il s agit de 400 copies mL pour les autres pays de l essai Un courrier du promoteur en accord avec l AFFSaPS sera envoy aux investigateurs fran ais pour leur rappeler cette exigence La formule en une prise doit tre bien tudi e dans son rapport d efficacit et de tol rance afin de
88. sition des traitements VIH de vous avertir des derni res alertes de faciliter une tape g n ralement fastidieuse le retrait de vos traitements Baraclude Depuis mars dernier le Baraclude ent cavir analogue nucl osidique de la guanosine pour le traitement d une infection chronique par l h patite B est disponible en pharamacie de ville Actuellement son utilisation chez les personnes co infect es VIH VHB qui ne re oivent pas de traitement antir troviral pour le VIH n est pas recommand e En effet dans ce cas l utilisation de Baraclude seul pourrait conduire des mutations du VIH pouvant rendre moins efficaces certains anti VIH mars 2007 Le Baraclude doit tre pris par voie orale une fois par jour 0 5 mg pour les personnes n ayant jamais re u de traitement par un analogue nucl osidique et 1 mg a jeun pour les personnes r sistant la lamivudine Il est produit par Bristol Myers Squibb Ziagen et Truvada Le Ziagen abacavir vient de changer de pr sentation mais sa composition reste la m me Les raisons invoqu es par le GlaxoSmithKline sont la d localisation du site de fabrication du Royaume Uni la Pologne Le conditionnement est plus encombrant boite plaquettes et blisters Cette nouvelle pr sentation a plusieurs d sagr ments la taille des plaquettes qui se veut plus facilement d coupable n est pas pr d coup et ne permet pas une s paration par unit chaque comprim
89. staurer avant En cas d effets secondaires dus l essai actes examens ou traitements des traitements sont ils pr vus Une panoplie de m dicaments anti effets secondaires existe douleur naus es diarrh es etc vous pouvez l exiger Frais organisation La participation un essai vous permet de b n ficier de quelques avantages remboursements de frais de transport d fraiement bonnes conditions de soins ambulance avec position allong e apr s une ponction lombaire salle d attente correcte nourriture en quantit suffisante et de bonne qualit Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient PRIMEVA ANRS 135 RECHERCHE PUBLIQUE Etude de phase I III pr vention de la transmission du VIH de la m re Penfant sans utilisation d analogue nucl osidique en pr partum Qui peut participer cet essai 150 femmes enceintes de 5 6 mois 20 24 semaines d am norrh e infect es par le VIH 1 n ayant pas d indication de traitement antir troviral pour elles m mes c est dire avec un taux de lymphocytes sup rieur ou gal 350 mm et une charge virale inf rieure 30 000 copies mL et n ayant jamais t trait e par antiprot ase L inclusion dans cet essai est associ e la participation l enqu te P rinatale Fran aise EPF ANRS CO Les futures m res devront b n ficier d une prise en charge de s curit sociale En cas de diab
90. t La lipoatrophie r duit la mobilit de la personne et enclenche le cercle vicieux de la perte d autonomie moins la personne est mobile plus elle perd en mobilit et en capacit d autonomie Livoatrophie s v re des fessiers Dans les cas tr s s v res la position assise ou la marche est intenable source de souffrances et de handicap fonctionnel G ne esth tique r percussion psychologique la lipoatrophie des fesses est g n ralement tr s mal v cue par les personnes Celles ci vivent des g nes l habillement pas de possibilit de cacher son absence de fesses ainsi qu une honte face au regard de l autre li e au d faut esth tique et au caract re stigmatisant de l atteinte Les r percussions sont affectives sociales et professionnelles Pour certaines personnes et notamment pour certaines institutions qui pourraient faire avancer ce dossier les lipoatrophies des fesses des personnes atteintes par le VIH ne m ritent pas de prises en charge car elles ne constituent pas comme les lipoatrophies du visage une source de stigmatisation ces personnes on peut conseiller d approfondir la question en observant des photos pr sent es lors d un colloque sur les lipodystrophies du VIH avant de reconsid rer leur position sur la souffrance physique et psychologique engendr e Les techniques 1 Technique de Coleman Dans la m thode de Coleman un pr l vement de graisse de la personnes est effectu
91. t le point sur nos r flexions politiques nos actions leurs r sultats Ce journal est le fruit de l activit des diff rentes commissions d Act Up disponible par abonnement 6 num ros par an 18 Protocoles Protocoles pr sente une information sur les essais men s sur l infection VIH mais aussi le domaine m dical et th rapeutique Il est r alis per les membres de notre commission Traitements amp Recherche Disponible par abonnement quivalent la couverture des frais d envoi 8 pour 6 num ros Les R unions publiques d informations A Paris les R PI ont lieu tous les deux mois et abordent autant le domaine th rapeutique que social Apr s l intervention des invit s la salle peut poser des questions Chaque R pi donne lieu la publication d un dossier complet et d un compte rendu adress s toute personne qui le souhaite contre frais de port 2 50 http www actupparis org Retrouvez toutes ces publications mais aussi des infos nos communiqu s de presse des photos et les rendez vous d Act Up Paris Une lettre lectronique d Act Up Paris vous est envoy e environ tous les 10 jours Pour s abonner consultez la page http listes samizdat net wws info actupinfos Pour nous soutenir Autorisation de la poste PA B 07 96 N National d metteur 421 849 Je souhaite soutenir Act Up Paris dans son combat quotidien contre le sida ACT UP PARIS Pour cela je d sire faire un don
92. t montrent que la piste est int ressante Certes la r duction de charge virale 1 03 log dans le bras placebo contre 1 82 1 85 log dans les bras de traitement est assez impressionnante surtout avec le d corum et les courbes en cinq m tres de haut Mais qui a vu ces r sultats pass s rapidement dans lesquels on constate que chez les personnes pour qui les autres mol cules du traitement sont toujours actives le maraviroc ne rajoute rien contrairement d autres traitements Peu de gens sans doute l illusion est son comble l empereur de l industrie pharmaceutique a fait son show Il r ussit m me faire oublier le principal probl me que pose l utilisation de ce traitement ce jour il n est efficace que sur les virus qui infectent les cellules en utilisant le co r cepteur cellulaire CCR5 Or le test permettant de d terminer cela est l exclusivit d un laboratoire am ricain co te une fortune n est pas rembours et manque s rieusement de pr cision C est une pr sentation des essais Benchmark et Il qui suit Il s agit des derniers r sultats de l anti int grase de Merck le MK 0518 baptis d sormais raltegravir Voil des r sultats int ressants d un nouveau produit qui promet de renforcer utilement la palette des traitements antir troviraux Pour ce produit aussi l tude r alis e chez des personnes ayant eu plusieurs traitements la comparaison de l efficacit selon le nombre de mol cules
93. te non quilibr ou de risque d accouchement pr matur la participation l tude n est pas possible Quel est l objectif de l essai Il s agit d tudier l efficacit virologique d une monoth rapie de lopinavir ritonavir Kal tra apr s 8 semaines de traitement la tol rance clinique et biologique le passage transplacentaire pendant la grossesse dans le cadre de la pr vention de la transmission m re enfant du VIH Quels sont les crit res d valuation Le principal crit re de jugement est le pourcentage de m res du groupe monoth rapie ayant une charge virale inf rieure 50 copies mL apr s 8 semaines de traitement Les crit res secondaires sont le pourcentage de m res ayant une charge virale inf rieure 50 copies mL l accouchement le pourcentage de celles ayant des souches virales pr sentant des mutations de r sistances un mois apr s l arr t du traitement Le crit re essentiel final est le taux de transmission du VIH de la m re l enfant Comment se d roule l essai Les m res sont r parties en deux groupes 100 dans le groupe de monoth rapie traitement et 50 dans le groupe de trith rapie contr le dans 24 maternit s Le suivi est de 28 semaines 16 semaines avant l accouchement et 12 semaines apr s pour les m res et de 2 ans pour les enfants Groupe traitement lopinavir ritonavir Kaletra 400 mg 100 mg en 2 comprim s par jour Groupe contr le lopinavir ritonav
94. tilisation ATU nominative sous certaines condition Lire Protocoles n 45 d cembre 2006 Protocoles n 47 page 4 www actupparis org article2997 html Pour participer cet essai vous devez avoir re u et lu la notice d information patient EASIER ANRS 138 RECHERCHE PUBLIQUE Essai randomis de non inf riorit comparant une strat gie de maintien des antir troviraux en cours une strat gie de substitution de lenfuvirtide par un inhibiteur de lint grase ralt gravir chez des s ropositifs ayant une charge virale inf rieure 400 copies mL Qui peut participer cet essai 170 personnes ayant re u de 3 classes d antir troviraux INTI INNTI IP et ayant des r sistances chacune de ces classes trait es par une association inchang e depuis au moins 3 mois comprenant de l enfuvirtide La charge virale doit tre inf rieure 400 copies mL depuis 3 mois Les femmes doivent avoir une contraception tr s efficace car les effets du ralt gravir sur la femme enceinte et le f tus ne sont pas connus Quel est l objectif de l essai L objectif principal est de comparer dans les 2 groupes de l essai la proportion de personnes pr sentant un chec virologique entre l inclusion et la semaine 24 S24 Les objectifs secondaires concernent la tol rance clinique et biologique la qualit de vie et l observance l tude de la restauration immunitaire des interactions pharmacocin tiques entre le ra
95. tude est donc d tudier la pr valence de ce g ne dans la population VIH fran aise Les r sultats seront communiqu s aux participants et feront partie du dossier m dical Certes il est possible aujourd hui avant de d buter un traitement avec cet antir troviral de tester la pr sence ou non de HLA B5701 mais les donn es issues de cette tude permettront d affiner la pr valence dans les diff rentes populations Une autre tude Predict 1 CNA106030 value actuellement si un d pistage prospectif g n tique du HLA B 5701 pourrait conduire une diminution cliniquement significative de la r action d hypersensibilit l abacavir compar la pratique m dicale courante qui ne fait pas appel ce d pistage g n tique Les r sultats obtenus pourraient inciter ou non d terminer le statut HLA B 5701 des personnes avant toute initiation d abacavir ce qui implique la n cessit d avoir une connaissance pr cise de la pr valence du g ne HLA B 5701 dans la population europ enne vivant avec le VIH afin d valuer le rapport b n fice risque et co t efficacit du test g n tique Mais pour le moment les donn es recueilles au cours de cette tude ne pourront pas influencer les options th rapeutiques offertes aux participants Pr valence nombre de cas ou de personnes malades existant ou survenant dans une population donn e lci nombre de personnes vivant avec le VIH porteuses du g ne HLA B 5701
96. yperglyc mie e d riv s de l ergot de seigle En cas de diarrh es persistantes f Hypertriglyc rid mie Men PR PROT ASE L percholest rol iie terf nadine demander l avis de votre m decin zalcitabine 3 comprim s 3 fois jour INHIBITEUR NON Contre indiqu si insuffisance h pa nevirapine h f TEN Saquinavir ketoconazole thynil tique s v re d o surveillance attentive Le l NUCLEOSIDIQUE Risque d allergie fi vre ruption oestradiol rifampicine efavirenz Risques d allergie Viramune 1 comprim jour sur 14 jours DE LA cutan e s v re rash Atteintes en d buter le traite menten pouvant atteindre la peau et le foie puis 2 jour TRANSCRIPTASE h patiques graves a l initiation doit tre progressive et m me temps que l abacavir n cessite une surveillance accrue Boehringer AMM du 05 02 98 INVERSE surtout en cas de coinfection VIREAD zalcitabine didanosine DF tenofovi INHIBITEUR AE 4 TDF tenofovir NUCL OTIDIQUE Troubles digestifs vomissements antibiotiques de la famille des DE LA naus es diarrh es flatulences aminosides foscarnet sodique Diminution du phosphate sanguin amphotericine B vancomycine TRANSCRIPTASE Insuffisance r nale is thionate de pentamidine Gilead AMM du 05 02 02 INVERSE ganciclovir ZERIT INHBITEUR y E d4T stavudine NUCL OSIDIQUE Toxicit h patique et pancr atique e l Vigilance sur l apparition

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