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compte-rendu de la reunion du 31 janvier 2012
Contents
1.
2. Pe a Ex En Eza Provence Alpe Cite d Azur erpe a erena rerntaihe dt lemireinerenrs COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 31 JANVIER 2012 RESEAU PACA CLIMAT Ce document propose un compte rendu succinct de la r union du r seau PACA Climat qui s est tenue au centre de congr s l Agora Aubagne Les documents relatifs aux interventions sont disponibles sur la plateforme PARENE rubrique groupe m tier PLEE vie du r seau r union du r seau et sur le site internet de la DREAL PRESENTS BEGUIER Jean Yves BELLES Gilbert BELLON Damien BENEDETTI Audrey BERLIOZ Fr d ric BOUCET Marc BOUSQET Marie CAMOIN Emmanuelle CANDELIER Sandrine CHARTIER Christiane DEBLAIS Christelle DELCORSO Sandra ETIENNE Dominique FALGOUS Damien GAIRALDI Olivier GIOVANNESCHI C line GODIN Vincent GORLIER Andr GRAILLAT Jean Michel HEUMANN Carmen JACQUEMES Dominique JEANJEAN Emmanuel LEF BVRE Herv LYAN Julien LYANT Valentin MANSUELLE David MICHALLET Sylvain N GAR A cha PARENTI Geoffrey PAYAN Corinne PEREZ Fabienne PHILLIPS C line PILLAT Philippe RIALHE Anne ROUZAUD Antoine THIBAULT Eric VERGAIN Marie Laure VIARD Carole VITALI Delphine DDTM 13 Communaut d Agglom ration du Grand Avignon Ville de Hy res communaut urbaine Marseille Provence M tropole DREAL PACA Ville d Avignon Conseil G n ral 13 ADEME PACA ADEME PACA ADEME PACA Communaut d Agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile S
3. re du SRCAE est elle possible par exemple pour la C A P A E elle a t men e en parall le avec le SCOT Fr d ric Berlioz il s agit ici d orientations donc le chiffrage est plus difficile Valentin Lyant il y aura des grandes diff rences suivant les d clinaisons en actions par exemple le co t est diff rent selon que l on d cide pour retravailler les centres villes entre raser le centre ou mettre les rues pi tonnes e Nous restons sur notre fin pour les aspects conomiques par exemple l co conception n appara t pas Valentin Lyant c est sch matique Ces actions apparaissent plut t dans le PCET de la R gion e Comment inclut on le recyclage des d chets nucl aires Valentin Lyant Aucune production nucl aire n est incluse pour la R gion car le fonctionnement d ITER est pr vu apr s 2030 e Les sc narii ont t tablis co t d nergie constant Pourquoi Valentin Lyant ce choix a t fait parce que le prix demain est inconnu except pour EDF qui augmentera ses tarifs de 30 e Comment est prise en compte l volution de la ressource en raison du changement climatique Comment est inclue la consommation d nergie due au rafra chissement et les impacts sur les nergies renouvelables Valentin Lyant le sc nario est tabli climat constant Dans ce sc nario le b ti est isol donc a peu de besoins La production de la grande hydraulique ne baisse pas Fr d ric B
4. des orientations qui visent explicitement les PCET comme un des outils de leur mise en uvre e _ L olien est il interdit dans les territoires d favorables Anne Rialhe Non Le fait qu il n y ait pas de ZDE signifie qu il n y a pas de tarif d achat r glement il faut donc aller n gocier avec l acheteur Pr sentation du sc nario engageant Il s arr te en 2030 car les projections post rieures sont trop incertaines et la plupart des tudes de potentiel sur lesquelles s appuient les hypoth ses s arr tent en 2030 sauf pour le b timent o le sc nario est prolong jusqu en 2050 Pour son volet air il est bas sur la mod lisation faite dans le cadre de la r vision des Plans de Protection de l Atmosph re tablie par Air Paca Il conduit globalement e une baisse de 25 de la consommation nerg tique r gionale et de 33 des missions de gaz effet de serre d ici 2030 e une part d nergie produite par les nergies renouvelables port e 25 de cette consommation en 2030 10 aujourd hui e une r duction de 30 des missions de particules fines d ici 2015 et de 40 des missions d oxydes d azote d ici 2020 e Correction attention une coquille appara t dans la diapositive 4 les orientations ENR concernant la surface pr vue de solaire thermique La R gion travaille en parall le avec l appui de l institut n gaWatt un sc nario de transition nerg tique tend
5. Dans votre plan d actions avez vous distingu les services du territoire Et l att nuation de l adaptation Christelle Deblais la collectivit est responsable nous avons men s certains groupes de travail pour les collectivit s certains pour la C A P A E elle m me Dans PCET liste des d marches territoriales en lien avec agenda 21 e Comment avez vous agi pour r duire les missions du transport qui sont pr pond rantes Christelle Deblais M me si nous ne pouvons pas agir sur le transit autoroute il est possible d agir sur tous les d placements internes ainsi qu l chelon d partemental pour les d placements inter urbains sur le syndicat mixte des transports Quelle est la mobilit des personnes g es drain es vers Marseille mais qui n ont pas de lien avec les groupes locaux Christelle Deblais une enqu te des d placements tr s pr cises a t men e Matin et soir aux heures d affluences de bureau il est constat une m me densit de trafic dans les deux sens Marseille Aubagne et vers les petites communes Quelle est l entit politique qui prend la responsabilit Anne Rialhe c est souvent le SCOT qui peut traduire ces volont s Anne Rialhe il faut aussi rappeler que ce sont les lus qui demandent tre moins de 50km d une sortie d autoroute Carmen Heumann il faut que les lus l int grent On ne peut r pondre et agir que par la coop ration Lu AERE C
6. R r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 3 sur 9 4 SCHEMA CLIMAT AIR ENERGIE PROVENCE ALPES COTE D AZUR Version projet du sch ma pr sent e par Fr d ric Berlioz de la DREAL PACA et Valentin Lyant de la R gion PACA Principes et m thodologie Rappel le SRCAE est la d clinaison r gionale des objectifs nationaux et internationaux afin d tre leur hauteur tout en tenant compte des potentiels et enjeux r gionaux Pr cision les zones favorables l olien sont celles o il n y a pas d enjeux r dhibitoires donc celles o peuvent tre tudi es les implantations des zones de d veloppement de l olien Le calendrier est pr sent sur la diapositive 11 La consultation tant repouss e apr s les lections le SRCAE sera valid plut t vers octobre d cembre 2012 Les PCET doivent tre compatibles avec le SCRAE RTE aussi tiendra compte du SRCAE pour l laboration du sch ma r gional de raccordement au r seau des EnR par exemple dans les Alpes l atteinte des objectifs de d veloppement des EnR lectrique n est possible qu condition de renforcements de r seau La circulaire du 23 d cembre 2011 indique que l tat d avancement de la r flexion du SRCAE doit tre port e connaissance des collectivit s charg es d laborer un PCET le projet de SRCAE labor par le Comit Technique est t l chargeable sur l extranet du SRCAE http extranet srcae paca developpement
7. ant vers 90 95 d nergies renouvelables en 2050 elle souhaite qu il soit inclus dans le SRCAE en plus des sc narios tendanciel et engageant Le comit de pilotage n a pas encore pris de d cision sur ce point Le SRCAE est un document d orientations qui n a pas vocation d tablir une liste Toutefois des pistes d actions sont indiqu es pour illustrer chacune des orientations Le cadre de mise en uvre de chaque orientation est pr cis ce qui permet de voir si les PCET sont concern s Le SRCAE est inf rieur l objectif national de 38 la R gion a d j pris du retard par rapport 2007 et la part du chauffage est moindre que dans d autres r gions L objectif est moins ambitieux mais l effort est continu r Echanges e Remarque S assurer que la r duction des distances domicile travail travaill e dans l Atelier talement urbain appara t Fr d ric Berlioz oui e A t on men une valuation des co ts des actions obligatoires des lois Grenelles par rapport aux possibilit s financi res des collectivit s Existe t il un doute sur les mises en uvre et r alisations Fr d ric Berlioz le sc nario tendanciel du SRCAE inclut toutes les mesures prises avant le 1 janvier 2010 en supposant qu elles sont correctement mises en uvre par exemple la r glementation thermique 2012 L valuation des co ts l chelle d un sch ma d orientations r gional ne peut tre fait qu
8. cernant le volet adaptation du P C E T Le changement climatique engendre une modification de la biodiversit avec pour effets la disparition de certaines vari t s et augmentation du risque d incendie ainsi que des cons quences sur l exploitation de la for t par exemple sur la production de bois de pin d Alep En parall le est men un travail pour redonner des activit s conomiques par exemple travers le sylvio pastoralisme et la transhumance inverse Des balades ont t organis es pour sensibiliser le grand public puisque les impacts sont d j visibles AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 8 sur 9 r Echanges e Les visiteurs des balades posent ils la question du choix des plantations dans leur jardin Christelle Deblais cette question est effectivement r currente Des ateliers seront organis s sur ce sujet pour les ambassadeurs du d veloppement durable par exemple sur les jardins secs Carmen Heumann un accompagnement est en projet par exemple autour du questionnement sur la plantation des pelouses 8 VOLET ADAPTATION EXPERIENCE DE LA COVE Par Julien Demich le Co VE En raison des conditions m t orologiques cette pr sentation n a pas eu lieu Vous pouvez retrouver sur le support des l ments du diagnostic ainsi les axes de travail agriculture et risques inondations en lien avec le b ti AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 9 sur 9
9. durable gouv fr comite de pilotage du 30 janvier a3549 html identifiant srcaepaca mot de passe src e paca L avis de l tat est requis pour confirmer la compatibilit du PCET avec le SRCAE En attendant la validation de ce dernier l avis sera plus sommaire Fr d ric Berlioz traitera ces d marches changes e Ce port connaissance est il aussi valable pour les PCET volontaires Fr d ric Berlioz Oui mais la lettre du pr fet ne sera adress e qu aux oblig s et il n y aura pas d avis Compl ment de r ponse post r union si un PCET volontaire veut avoir la m me force juridique et la m me l gitimit qu un PCET obligatoire il doit respecter la m me proc dure informer le pr fet du lancement le port connaissance sera transmis en retour et tre transmis pour avis avant son adoption La collectivit est libre ou pas d adopter ce formalisme Si elle ne le fait pas le PCET n aura aucune valeur juridique en particulier vis vis des SCOT et PLU Jean Michel Grailat cependant l orientation de l tat va dans le sens d un avis pour tous les PCET Anne Rialhe pour les PCET volontaires nous rencontrons un probl me pour les acteurs qui ne veulent pas plus d olien m me si c est identifi dans le SRCAE Valentin Lyant pour rappel le SRCAE n est pas coercitif e Qu en est il pour un PCET dont l adoption est pr vue mi d cembre Fr d ric Berlioz c est la date d
10. e de fa on tr s macro Le SRCAE pr cise dans la partie sc nario les grandes masses financi res n cessaires L approche en co t global s impose en face des d penses il faut mettre en parall le les conomies auxquelles elles conduisent Valentin Lyant nous ne disons pas que ce sera facile Une valuation a t men e qui chiffre entre 1 2 milliards d euros de d penses pour 4 milliards conomis s donc ces actions limitent l h morragie financi re La r ponse est l inverse il faut rechercher de nouveaux modes de financements e Le retour d investissement du double au quadruple sera t il crit dans le SRCAE Valentin Lyant oui Par ailleurs le d tail conomique dans les b timents est tr s fin il est disponible sur le site de l Observatoire de l nergie AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 5 sur 9 e Une approche conomique par modes de r duction serait souhait e pour mettre en place des priorit s sur certaines fili res plut t que d autres Fr d ric Berlioz pour le chiffrage conomique une approche en co t global est n cessaire Le cadrage est possible plut t pour des actions sp cifiques d un PCET Par exemple il sera possible de prioriser sur le b ti Anne Rialhe Il faut mettre en parall le le chiffre des millions d euros d pens s en nergie la pr carit nerg tique et la part des moyens de d placement e Une analyse conomique et financi
11. e la demande d avis qui compte Et pour PCET soumis mi mai Fr d ric Berlioz le SRCAE ne sera pas encore adopt Compl ment de r ponse post r union n anmoins lorsque le SRCAE n a pas encore t arr t l avis prend en compte le projet de sch ma condition que la consultation publique sur celui ci ait t lanc e e Que signifie compatibilit au sens juridique Quelle est la diff rence avec prendre en compte Fr d ric Berlioz cela signifie qu il ne va pas l encontre il est plus fort que la prise en compte Christelle Deblais nous divergeons d opinion car pour nous ce terme est plus fort par exemple le SCOT doit prendre en compte le PCET dans le cas contraire il faut que l explication en soit pr cis e Fr d ric Berlioz compl ment de r ponse post r union Le lien de compatibilit se traduit par une obligation de non contrari t possibilit de divergence entre les deux documents mais condition que les options fondamentales ne soient pas remises en cause par le document devant tre compatible AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 4 sur 9 La prise en compte se traduit par une obligation de ne pas ignorer possibilit de d roger pour un motif justifi e Quels sont les outils pour mesurer la compatibilit avec le SRCAE Fr d ric Berlioz il faut veiller sur la conformit avec les objectifs globaux 25 etc ainsi qu la prise en compte
12. e semaine Le bilan carbone services et territoire ayant t r alis en 2009 la mise jour trisannuelle se r alisera cette ann e en faisant appara tre les missions vit es par les actions mises en place dont une semaine d animations Quelques actions passage des cantines aux produits issus de l agriculture biologique et de circuits de proximit p rennisation des marchons vers l cole des plans de d placement entreprise transcription du PCET dans le SCOT et la Charte Agricole mise en place d un AMO Qualit Environnementale disposition du guide co citoyen et des ambassadeurs du d veloppement durable Le diagnostic de vuln rabilit et la charte agricole sont t l chargeables sur le site internet de la Communaut d Agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile r Echanges e Quelle est la capacit d approvisionnement des produits de la fili re agriculture biologique locale Par exemple pour r pondre une demande de 4000 repas par jour ce qui repr sente environ1l 5 tonnes Christelle Deblais la R gion PACA est la premi re r gion fran aise en agriculture biologique Les agriculteurs sont l pour r pondre aux cantines condition de les regrouper Nous passons par un interm diaire qui g re l administratif Mais il faut perdre l habitude d avoir des tomates ou des fraises en hiver Par ailleurs les cuisiniers que nous avons form s sont tous tr s motiv s e
13. erlioz l chelle de temps est 2030 pour le sc nario nerg tique la prise en compte de l impact du changement climatique sur le productible hydro lectrique se justifierait surtout dans une projection 2050 et au del M me si l orientation adaptation est pour 2050 pourquoi le climat n est il pas pris en compte Tous les secteurs sont touch s Fr d ric Berlioz le taux de climatisation retenu dans l existant est bas sur l tude qui peut tre consid r e comme optimiste du bureau Energies Demain e Quelle est la diff rence entre le sc nario tendanciel versus l engageant Fr d ric Berlioz Le sc nario tendanciel est un sc nario d j infl chi par rapport aux tendances des derni res ann es car il prend en compte toutes les mesures prises au 1 janvier 2010 Le sc nario engageant va nettement au del et s attache d cliner r gionalement des objectifs type 3x20 La loi pr voit une r vision du SRCAE tous les 5 ans qui sera l occasion d un ajustement 5 ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE APPORTS THEORIQUES ET ENSEIGNEMENTS DE L EXPERIENCE INTERNATIONALE Par C line Phillips Service Climat de l ADEME La vuln rabilit est d finie par le croisement de 3 concepts la capacit d adaptation la sensibilit et l exposition au changement climatique Le premier tant trop complexe traiter ce jour l on se contente de croiser la sensibilit et l exposition pour tablir
14. jeux niveaux 9 12 et 8 dans cet outil e Concernant l implication des concitoyens ne peut on craindre qu ils aient une vision tronqu e exemple de Sept les C line Phillips Ce sont les canadiens qui ont le plus travaill avec les citoyens Pour Sept les les canadiens ont travaill avec eux pour les pr parer plus que pour recueillir des id es d action pour l exemple de Kimberley les citoyens ont servi de m moire des volutions pass es du Climat par exemple les p riodes pendant lesquelles il tait possible de patiner sur le fleuve Les autres territoires ont estim qu il vaut mieux attendre pour solliciter les citoyens dans la mesure o ils ne sont pas moteurs de changement l exception des actions du type canicule e La DRIREN travaille avec une superposition de calques pour les d cideurs pour le travail de l urbanisme etc Ce risque devrait faire partie d une approche multirisque C line Phillips Le monde des risques naturels a l habitude de regarder ce qui s est d j pass Aujourd hui une nouvelle gymnastique intellectuelle est introduire la projection dans l avenir par exemple le risque centennal va t il devenir d cennal Anne Rialhe des cartes sont d j tablies par l A R P E Midi Pyr n es C line Phillips ult rieurement le retrait gonflement d argile les cavit s etc seront des donn es mises disposition du public e Peut on savoir quelle est la mei
15. la vuln rabilit quivalente au risque L adaptation vise diminuer la sensibilit au changement climatique pendant que le travail sur l att nuation vise diminuer l exposition Exemple d action d adaptation la capacit d organisation en r ponse la vuln rabilit des transports en commun aux chutes de neige exceptionnelles Plusieurs barri res sont surmonter il y a risque de ne rien faire car on ne sait pas quel sera l impact climatique on ne sait pas par o commencer cela fait peur ou encore c est tr s loin Christelle Deblais oui par exemple le SCoT a pour horizon 2030 Il est conseill d avoir un mix d actions dont celles court terme qui sont des mesures sans regret AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 6 sur 9 Pour les actions long terme avant de d cider d une action il faut s exercer imaginer toutes les nouvelles possibilit s du climat et tablir plusieurs sc narios d adaptation Par exemple lors de la r novation de la barri re du Thames pour prot ger Londres la question de l ampleur des grandes mar es dans 100 ans a t pos e Une autre action possible est d adopter une analyse prisme climat des nouvelles politiques et actions de la collectivit afin de v rifier qu elle seront toujours pertinentes dans le climat futur Trois tudes ont t men es dans l ann e 2011 pour tirer des enseignements d exp rie
16. lleure solution au meilleur co t qui va apporter le meilleur r sultat C line Phillips Il est difficile de d tablir des analyses technico conomique des actions d adaptation m me si c est recommand Beaucoup de collectivit s vont lancer des actions sans faire ces tudes e Les zones industrielles sont elles inclues C line Phillips oui dans les secteurs conomiques e Remarque par rapport aux incertitudes des risques la pr paration la gestion des crises li es aux ph nom nes extr mes est indispensable e Remarque l adaptation peut aussi tre positif par exemple travers la cr ation de nouveaux emplois Cela n appara t pas dans le tableur car il est issu de la m thode d analyse de risques 7 LA VULNERABILITE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE EXPERIENCE DE LA C A P A E Par Christelle Deblais charg e de mission D veloppement Durable et Andr Gorlier responsable du service technique for t de la C A P A E La C A P A E a particip une exp rience europ enne de trois ans avec sept partenaires sur l adaptation les bonnes pratiques et la r glementation Il est possible de t l charger ce travail sur http www regioclima eu Le diagnostic vuln rabilit d Aubagne a pris pour base le sc nario climatique retenu au niveau national pour rappel le diagnostic est disponible sur le site internet de la C A P A E L action sur la for t qui recouvre 68 du territoire est la plus aboutie con
17. nces internationales 1 Diagnostic de vuln rabilit au changement climatique Il y a un effort de mutualisation par exemple au Canada dans la partie amont du bassin du fleuve Columbia avec la participation des tats Unis Les sources d informations sur les vuln rabilit s du territoire par le pass sont multiples via les partenaires impliqu s les archives des journaux les photographies a riennes Pour l analyse du futur une mise en forme des sc narios climatiques photomontage carte d impacts facilite la compr hension de leurs impacts probables Vient ensuite une analyse des niveaux de vuln rabilit par exemple pr sent e sous forme de matrice de risques 2 laborer une strat gie d adaptation 10 territoires La participation a l aussi une place majeure tous les chelons ont des id es r alisables proposer C est la collectivit qui d cide toujours pour son territoire Des liens sont cr er entre actions existantes ex biodiversit et le plan d actions adaptation du PCET Quelques actions Chicago a eu les moyens de faire chiffrer le co t de l inaction toitures v g talis es City de Londres action visible rapidement subvention pour construire avec des mat riaux r sistants au feu Ku ring gai Charte Climat de Murcia pour les entreprises affichage conomie d nergie comprises et choix dans un catalogue de mesures mis leur disposition communication des localisations de zone
18. nt plus grand pour les journ es r seau sera initi e Th mes souhait s l valuation et le suivi des actions en lien avec l agenda 21 par exemple Th me pr vu pour la prochaine r union du r seau restreint Certains commencent seulement leur plan d action mais ce travail peut tre men tr s en amont Marie Laure Vergain dans le cadre du r seau des PLEE un travail collectif a t men avec des propositions par th me des articles interactifs que vous pouvez enrichir des indicateurs communs pour les actions r currentes Il est disponible sur le site de PARENE la rubrique outils valuation et indicateurs Christelle Deblais nous avons travaill sur cette base des PLEE et les indicateurs ADEME pour l agenda 21 Attention apr s il faut les suivre donc ne pas en mettre trop Gilbert Belles l agglom ration du Grand Avignon a repris l Agenda 21 dans son projet il est men avec l ensemble des partenaires actuels et futurs du bassin de vie e Pour les oblig s est il demand une coordination sur la m thode sur les points du p rim tre et du fond pour une approche territoriale Fr d ric Berlioz oui c est dans l esprit de l appel projet Anne Rialhe le bilan en lien avec l Observatoire de l nergie peut tre essay Christelle Deblais nous avons mis en place une concertation des habitants reprise pour la mise en uvre des actions e Parutions o le livret nerg tique C
19. onseils et actions pour les b timents neufs et existants destination des collectivit s par la DDTM des Bouches du Rh ne et 1 ADEME o concernant l int gration du PLU guide PLU et D veloppement durable un document pratique pour innover par ARPE PACA janvier 2012 o outil GES et SCoT comparaison de sc narios d am nagement par le Certu le Cete et la direction g n rale de 1 Am nagement du Logement et de la Nature aux ditions Lavoisier AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 2 sur 9 3 ACCUEIL PAR LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU PAYS D AUBAGNE ET DE L ETOILE Par Christelle Deblais charg e de mission D veloppement Durable et Carmen Heumann vice pr sidente de la CA P A E Le PCET est en voie de finalisation Il a t port par la Communaut d Agglom ration qui est l oblig e avec l ensemble des communes o chacune a un r f rent technique et un r f rent lu et travers la constitution d un groupe gestion responsable des projets Il est int gr l agenda 21 ce qui a entre autres permis une seule concertation Il y a une forte mobilisation en interne facilit e par la centralisation des locaux avec les lus et les chefs de service qui ont anim les ateliers de concertation Tous ces partenaires ainsi que les associations sont aussi impliqu s id es diffusion organisation pour mettre en place les actions en direction du public pendant un
20. ppuyer entre autres sur la base de donn es Gaspar qui recense les arr t s pr fectoraux Le r sultat du pr diagnostic est pr sent sous forme d une matrice qui hi rarchise les vuln rabilit s L tape la plus difficile est celle de l appr ciation des probabilit s d exposition et de sensibilit travers l attribution de notes exercice du charg de mission avec l appui des experts Les collectivit s qui ont exp riment cet outil ont par ailleurs soulign leur int r t pour la liste des al as et les diff rents th mes regarder AERE CR r union r seau PACA Climat du 31 01 2012 Page 7 sur 9 Il est conseill au charg de mission de ne pas travailler tout seul d aller chercher les informations aupr s de ses coll gues votre demande l ADEME met l outil la disposition des territoires qui souhaitent le tester Pensez consulter le mode d emploi La C A P A E et le S A N Ouest Provence se sont d j montr s int ress s r Echanges e Concernant la matrice de vuln rabilit pr sent e en diapositive 14 plusieurs entr es comment peut elle tre un outil de prise de d cision A t elle t diagonalis e C line Phillips Non Alors l issue si je suis d cisionnaire je suis toujours dans le flou C line Phillips la note de vuln rabilit croise la sensibilit et l exposition Elle propose la collectivit de se concentrer sur les niveaux plus forts en
21. que exp rience de la C A P A E Volet adaptation exp rience de la COVE non pr sent e D I OO LU R D 1 DATE THEMES ET LIEU DE LA PROCHAINE REUNION DU RESEAU Sous r serve de confirmation le jeudi 5 avril 2012 Arles avec pour th mes les indicateurs et les registres d actions et l int gration aux r glements d urbanisme 2 VIE DU RESEAU e Pour rappel les documents issus des r unions sont accessibles tous ils sont mis en ligne la fois sur Parene et sur le site internet de la DREAL PACA voir liens sous l en t te de ce compte rendu e Jean Michel Graillat l ADEME propose des formations pour l outil tableur Climat Pratic inspir de l outil Climate Compass Il est destin aux petites collectivit s volontaires qui n ont pas les moyens d employer un charg de mission Le nombre de sessions tant limit au niveau national transmettez rapidement vos demandes pour des formations en PACA e Jean Michel Graillat une AMO sera men e courant 2012 dans le cadre d une r flexion sur la cr ation d une structure qui serait un instrument pour d velopper la d marche collective pour construire avec les lus Les acteurs qui l ont d j fait seront rencontr s Grand Avignon MPM changes e Dans son volution le r seau est il destin s ouvrir aux non laur ats Jean Michel Graillat les territoires commencent avoir plus d exp rience un appel investisseme
22. s fra ches en cas de canicule Londres Il y a de mani re r currente un transfert vers les acteurs conomiques via les obligations et les subventions Secteur minier fondations ONG et entreprises Concernant la strat gie de communication tant donn le grand nombre d incertitudes il vaut mieux cibler sp cialistes internes et acteurs externes sp cialistes qui amorceront les actions puis aller vers le grand public une fois que la collectivit sait ce qu elle attend de lui car ce dernier risque de s essouffler rapidement 3 Suivre et valuer un plan d adaptation Peu de Plans d Adaptation sont termin s et par cons quence peu d valuations abouties Il est important de d finir quel objectif est donn avant de pr ciser les indicateurs de r sultats de moyens et de progression Le rapport Jouzel paru en 2011 contient 19 indicateurs climatiques A minima les collectivit s doivent construire un prisme climat r Echanges Pr sent s la suite du paragraphe suivant 6 TABLEUR DIAGNOSTIC VULN RABILIT ET GUIDE UTILISATEURS Par C line Phillips Service Climat de l ADEME D monstration du tableur provisoire d velopp par l ADEME et test par plusieurs collectivit s fran aises La diffusion de la version finale est pr vue au printemps Les sc narios climatiques utilis s d pendent du choix de la R gion elles sont issues du rapport Jouzel Les sources des v nements pass s peuvent s a
23. yndicat d Agglom ration Nouvelle Ouest Provence Communaut d Agglom ration Fr jus St Rapha l Ville de Gardanne Conseil G n ral 83 Conseil G n ral 05 DDTM 83 Communaut d Agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile ADEME PACA Communaut d Agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile Mairie Marseille Parc Naturel R gional du Queyras ADEME Ville de Fr jus REGION PACA DDTM 13 STS Mairie Marseille Syndicat d Agglom ration Nouvelle Ouest Provence Communaut d Agglom ration du Pays de Martigues Communaut d Agglom ration du Grand Avignon Mairie Marseille ADEME Services Techniques Ville d Aubagne AERE Syndicat d Agglom ration Nouvelle Ouest Provence DDT 05 AERE Communaut d Agglom ration Toulon Provence M diterran e Conseil G n ral 13 AERE 3 impasse de la Retourde 73100 Aix les Bains T l Fax 33 0 4 79 54 87 23 www aere fr SARL au capital de 7 630 Siret 434 702 940 00033 RCS Chamb ry APE 711 2B SOMMAIRE Date th mes et lieu de la prochaine r union du r seau Vie du r seau Accueil par la communaut d agglom ration du pays d Aubagne et de l toile Sch ma climat air nergie Provence Alpes C te d Azur Adaptation au changement climatique apports th oriques et enseignements de l exp rience internationale Tableur diagnostic vuln rabilit et guide utilisateurs La vuln rabilit au changement climati
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