Les périmètres d`intervention en faveur des
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1. des p rim tres Si des lignes budg taires sont parfois ouvertes pour financer d intervention avec la des diagnostics pr alables H rault aucun financement sp planification urbaine cifique n est aujourd hui envisag sur les territoires interro g s pour financer les programmes Quelques rares r ponses et am nagement voquent plut t une mobilisation des outils existants Ainsi foncier le Conseil g n ral de Haute Savoie mentionne le ciblage de lignes budg taires existantes sur ces zones par le biais du Plan D partemental d Equipement Rural L utilisation de la TDENS Taxe D partementale sur les Espaces Naturels Sensi bles est galement cit e Safer de Basse Normandie Quelle intervention fonci re Ce point du dispositif est certainement celui qui soul ve le plus d interrogations notamment de la part des D parte ments sur l articulation avec l outil Espace Naturel Sensible et bien videmment des Safer modalit s d intervention la gestion du foncier acquis les r gles de r trocession du fon cier les modalit s de transfert des d clarations d intentions d ali ner aux Conseils g n raux etc Les attentes vis vis de l exp rimentation vers l laboration d un mode d emploi complet A l exception des Safer dont la demande est plus cibl e sur l aspect foncier les attentes exprim es par les acteurs quelques soient leurs origines vont toutes dans le m me sens gt changes s2. l agriculture 2 l environnement et ou aux espaces verts 1 au d veloppement rural 2 voire la politi que fonci re 1 Dans les Intercommunalit s cette probl matique rel ve galement des vice pr sidents lagri culture l am nagement ou l environnement et au d veloppement durable CGI Interco Chambre SAFER Iis ont t sollicit s o Des d marches encore t tonnantes des collaborations plus ou moins formelles des gt P ri metre Terres en Villes les RLON m thodes sp cifiques encore rares g n raux les 15 intercommunalit s d agglo meration les 15 Chambres d partementales bu cie des Coneis Giner duo ed a qd agriculture ngagee gt Hors p rim tre Terres en Villes les Conseils g n raux et les Chambres d partementales d agriculture de l le de France de la Martini que et des D partements ayant d j fait part de leur int r t aupr s de l Assembl e des D Ils ont retourn leur questionnaire verte en 2006 partements de France et de Terres en Villes En Loire Atlantique le Conseil G n ral a d lib r en juillet 2006 pour activer ses nouvelles com Toutes les Safer de r gion Conseils g n raux 9 soit 27 p tences Des p rim tres potentiels prioritaires ont t d finis suite une tude r alis e par l AURAN Agence d urbanisme la Chambre d agriculture et la Safer en juillet 2006 P D partement consult Conseil g n r
3. soit de mani re plus aboutie sur l Ouest Lyon nais o la Chambre a collabor au travail multi Ma partenarial lanc par le d partement La Chambre d agriculture des Bouches du Rh ne voque le projet de Directive Territoriale d A m nagement avec la DDAF comme base de r flexion ventuelle et la possibilit d un finance ment r gional pour l laboration d un diagnos tic La pr servation des espaces agricoles p riurbains semble souvent tre voqu e avec les Intercommunalit s voire syndicats mixtes des SCOT La Chambre d Agriculture de Loire atlantique collabore avec l Agence d urbanisme de la R gion Nantaise AURAN et la Safer dans le cadre d tudes pr alables au SCOT et aux sch mas de secteur Quelle intervention fonci re Ce point du dispositif est certainement celui qui soul ve le plus d interrogations notamment de la part des D partements sur l articulation avec l outil Espace Naturel Sensible et bien videm ment des Safer modalit s d intervention la ges tion du foncier acquis les r gles de r trocession du foncier les modalit s de transfert des d cla rations d intentions d ali ner aux Conseils g n raux etc Quel programme d action Il est aujourd hui trop t t pour avoir une id e bien claire La majorit des acteurs s interroge encore ce sujet Ils demandent des informations et des outils d aide la d cision pour les aider dans leur laboration Toutefo
4. FN SAFER A fnsafer Les p rim tres d intervention en faveur des espaces agricoles et naturels p riurbains Etat O Participation au questionnaire Etat O Structures ayant r pondu favorablement a l appel participation D partement consult Conseil g n ral Chambre d agriculture Safer de r gion Chambre d agriculture Intercommunalit Martinique Conseil general 3 Iis souhaitent participer l exp rimentation un bon quilibre gt 11 Conseils g n raux officiellement Dr me H rault Martinique Morbihan Pyr n es Orientales Rh ne Sa ne et Loire Haute Savoie Seine et Marne Somme Val de Marne 6 autres devraient les rejoindre rapidement attente de r ponse officielle gt 7 Intercommunalit s Communaut s urbaines de Lille Lyon Nan tes les Communaut s d agglom ration de Rennes du Garlaban Hu veaune Sainte Beaume de Lorient et du Pays Voironnais gt 6 Chambres d acriculture Loire Atlantique Lot et Garonne Morbi han Rh ne Vienne Bouches du Rh ne gt 7 Safer Basse Normandie Maine Oc an Languedoc Roussillon Corse Centre Bourgogne et Ile de France En anticipant quelques r ponses en attente dans six cas le Conseil g n ral la Chambre d agriculture l intercommunalit et la Safer d un m me d partement souhaitent tre ensemble partenaires de l op ra tion N Les Chambres d agriculture revendiquent la protection lo
5. Les intercommunalit s Elles s appuient sur des tudes diver ses m me si une m thodologie sp cifi que aux p rim tres n est pas encore d finie encore une fois on est dans le prolongement d une politique exis tante tudes agricoles sur des terri toires bien cibl s tude Terrasses avec l ONF sur l intercommunalit du Garlaban Huveaune Sainte Beaume bassin de la vall e du TER sur la Com munaut d agglom ration de Lorient tude pour l laboration du Sch ma G n ral des Espaces Naturels et du Sch ma de Secteur sur la Communaut d agglom ration du Pays Voironnais ou tudes de planification dans le cadre de l laboration de SCOT et PLU Parfois elles font r f rence leurs Chartes po litiques Cap Lorient Plusieurs intercommunalit s ont affin leurs d marches Les Safer Parmi les Safer ayant r pondu l enqu te seu les les Safer Maine Oc an et Languedoc Roussillon et dans une moindre mesure les Sa fer Centre et Basse Normandie ont mont des partenariats de r flexion pouss s avec les Conseils g n raux oules Chambres d agri culture Cependant dans ces m mes r gions l avanc e des r flexions semble principalement d pendre de l implication des D partements Ainsi des sites pr cis ont d j t identifi s dans l H rault et en Loire Atlantique travers des tudes men es en ma trise d uvre ex terne alors que les premiers changes se met tent e
6. al Chambre d agriculture et SAFER de r gion gt Dans l H rault le Conseil g n ral vient de s engager dans la r alisation d une tude pr alable avec ma trise d uvre externe Cette tude sera suivie par un comit de pilotage compos d lus et d un groupe de travail ENSAM SAFER DDAF Chambre d agriculture Services environnement et am nagement du territoire du Conseil G n ral Une ligne budg taire a t sp cialement ou Intercommunalit consult e Martinique gt Intercommunalit s de Terres en Villes 7 soit 40 Chambres d agriculture 6 soit 18 A a ia gt En Haute Savoie la r flexion est engag e par le biais de la d marche partenariale PLAN outil de gt SAFER 7 25 ni D a o planification et de coordination des actions pour g rer l espace rural sur la base d un diagnostic i Chambres d agriculture 15 intercommunalit s pr alable afin d identifier les espaces selon leur enjeux et d finir les programmes d ac Des p rim tres pour quoi faire tions Ma trise d ouvrage communes et inter communalit s A noter que cette d marche int ressante propose des indicateurs gt Dans le Rh ne le Conseil G n ral a galement cr un groupe de travail et a lanc l labora tion d un diagnostic en partenariat avec la Communaut urbaine de Lyon la Safer le Se pal Syndicat mixte du SCOT la DDAF La DRAF et l ADASEA et les 28 SAFER r gionales Les D par
7. is la d marche PLAN du d partement de la Haute Savoie laisse pr sa ger des actions possibles Les Intercommunalit s Aubagne sur le vallon des Gavots CAP Lorient sur la vall e du Ter Rennes M tropole le Pays Voironnais le Grand Lyon connaissent les orientations qu ils veu lent traduire dans un programme p rim tre ou non et m me souvent les actions prioritaires conduire dans les secteurs vis s De leur c t les Chambres d agricultures sem blent essentiellement pr occup es par le main tien de l espace agricole sous g A quand les premiers p rim tres Aucun p rim tre n est aujourd hui officielle ment d limit mais des territoires sont pressen tis dans plusieurs d partements sur la Commu naut d agglom ration de CAEN la mer d Auba gne de Lorient dans l Ouest Lyonnais en Sa ne et Loire dans un contexte viticole sp cifique dans l H rault qui voque l hypoth se d un p rim tre sur quatre communaut s d agglom ra tion un territoire prototype sur le nord de la communaut urbaine de Nantes ainsi qu une zone test en Haute Savoie pour exp rimenter la d marche PLAN II faut noter que le Conseil g n ral de la Martini que du fait des aspects contraignants li s son insularit voque le recours la Zone Agricole Prot g e ZAP par certaines communes de l le es EI SA LRU Lie PRUD Quel financement et avec qui Quelle articulation
8. n place dans l Indre et le Gard Protection des espaces naturels p rurGains Exp rimentation nationale Edito Terres en Villes et la F d ration Nationale des SAFER souhaitent favoriser la mise en place des p ri m tres de protection et de mise en valeur des espaces agricoles et naturels p riurbains une nouvelle comp tence du D partement Pour cela ces deux r seaux se sont associ s autour d un projet d exp rimentation nationale qui b n ficie du soutien du Minist re de l Agriculture et de la P che et de l Assembl e des D partements de France Celle ci souhaite conju guer avec nous ses efforts en la mati re C est en effet en recherchant la meilleure coordination possible en tre D partements Communes In tercommunalit s Chambres d agri culture et autres acteurs que l on travaillera utilement la mise en uvre de p rim tres d intervention sur le terrain Pour cela il s agira d changer r guli rement de se doter des outils n cessaires d exp rimenter en commun et d valuer les initiatives Pour initier cette exp rimentation Terres en Villes et la FNSafer ont adress aux acteurs locaux un ap pel participation accompagn d un questionnaire dit tat O0 Merci celles et ceux qui ont bien voulu y r pondre et qui souhaitent cheminer un moment avec nous Bernard Poirier et G rard Seigle Vatte Copr sidents de TEV Andr Th venot Pr sident de la
9. ng terme des espaces agricoles sans oublier d affirmer eur volont du maintien de leur usage agricole comme cer taines d entre elles le rappellent Elles n voquent pas les autres enj eux de l espace p riurbain Protection mais galement valorisation gestion et ma trise sont les mots r currents de leurs r ponses Une Chambre traduit une inqui tude latente souvent exprim e elle pr conise l utilisation des p rim tres sur l ensemble des zones agricoles et non pas seulement pour les extr mes sa voir les zones agricoles tr s productives ou au contraire les espaces en d prise Une proc dure connue mais Vous avez dit p rim tre Quatre chambres d agriculture sur 6 et la moiti des intercommunalit s d clarent bien conna tre la pro c dure Mais seul un tiers des Conseils g n raux juge plut t bon son niveau de connaissance On peut comprendre que les attentes des D partements sont plus importantes et le niveau d exigence plus lev au regard du r le qui leur est confi dans ce nouveau dispositif Structures sollicit es questionnaire et appel participation 33 33 mEnqu t s Comment mettre en place les p rim tres Bontr pondu DParticipent Localement qui est responsable de da AA Qu est ce qu un espace agricole et quoi naturel p riurbain Dans les Conseils g n raux qui ne les ont pas tous nomm s les vice pr sidents
10. tements et les Intercommunalit s attendent g n ralement du dispositif une confortation de leurs actions en mati re de politique fonci re agricole ou en faveur des espaces naturels Ce sont logiquement les Intercommunalit s de Terres en Villes qui ont le plus pr cis leurs attentes le p rim tre tant un nouvel outil d une politique d j mise en uvre Pour elles il s agit dans un premier temps de p renniser les espaces agricoles en maintenant leur usage Les p rim tres permettraient de compl ter le dispositif de ma trise des sols dans le cadre de la strat gie fonci re de l agglom ration de pr ciser la politique les actions les projets mener sur ces zones ou encore de mat rialiser l objectif intercommunal de maintien de l agriculture p riurbaine Une des structures interrog es pr cise que c est un dispositif maj eur un outil d application du SCOT en vue d une protection fonci re des espaces agro naturels Cependant une intercommunalit s interroge sur le plus apport par rapport la Zone Agricole Prot g e D autres d partements Martinique Sa ne et Loire int grent cette r flexion dans le cadre plus large d une politique fonci re globale en partenariat avec f la Chambre d agriculture et la Safer Les Chambres d agriculture Trois Chambres ont entam une collaboration avec leur Conseil g n ral soit forme informelle pour d crypter les textes
11. ur les m thodes et les exp riences v cues gt laboration d indicateurs d finition d un p rim tre gt apports d approfondissements juridiques gt mise en place des partenariats gt les programmes d actions envisageables gt l articulation du dispositif avec la planification urbaine dont les SCOT gt le r le de la Safer l am nagement foncier et les autres politiques locales les mod les de conventionnement gt les financements gt enfin la communication envers les lus et les partenaires locaux et les m thodes d va uation ne sont cit es qu une fois chacune Tout ceci dans le but d viter les erreurs en ma trisant bien la proc dure de juger les limites gr ce au montage d un r seau de comp tence _A fnsafer Terres en Villes Maison des agriculteurs FN SAFER 40 avenue Marcellin Berthelot BP 2608 91 rue du Faubourg St Honor 38036 GRENOBLE Cedex 2 75008 PARIS 04 76 20 68 31 01 44 69 86 00 serge bonnefoy terresenvilles org sophie elie safer fr com
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