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Production végétale

1. BIOPRESSE Sr Num ro 198 Mars 2014 L actualit bibliographique de l agriculture biologique et durable Production animale AN M me si vous ne le voyez pas d un bon il le paysage n est pas laid c est peut tre votre il qui est mauvais J Pr vert ISSN 1698 8399 le num ro 10 AGENDA FRANCE EUROPE Le 29 avril 2014 a Anjou 38 Journ e technico conomique fraises bio T 047561 19 35 www corabio org Du 8 au 11 mai 2014 Barcelone Espagne BioCultura Barcelona 2014 www biocultura org Du 16 au 18 mai 2014 a Lyon Eurexpo 69 Salon Votre Nature www vivez nature com Le 20 mai 2014 la Maison de l Agriculture Rennes 35 Vers une alimentation 100 AB en levage porcin biologique Restitution des programmes de recherche ICOPP PORC BIO Prot AB MONALIM Bio www itab asso fr Du 1er au 15 juin 2014 dans toute la France Printemps BIO www printempsbio com www agencebio org agenda printemps bio 0 Le 10 juin 2014 dans le cadre du Printemps BIO Rencontres Professionnelles de la Bio www agencebio org agenda rencontres professionnelles de la bio printemps bio Les 7 et 8 juin 2014 a Pau 64 Salon Asphod le de Printemps www utovie com asphodele printemps htm Du 13 au 16 juin 2014 Paris Expo Porte de Versailles Salon Naturally www vivez nature com Du 20 au 22 juin 2014 a Zofingen Suisse Bio March www biomarche ch Le 10
2. Source www actu environnement com 15 avril 2014 57 Les Br ves D clin des abeilles l Anses Le troublant rapport de Les premiers r sultats de l tude Epilobee qui consistait mesurer la mortalit des abeilles domestiques Apis mellifera dans 17 pays europ ens ont t rendus publics lundi 7 avril Bruxelles Ses r sultats sont inqui tants double titre selon le rapport du Monde Financ e par Bruxelles hauteur de plus de 3 millions d euros l tude a t pilot e par l Agence de s curit sanitaire fran aise Anses Elle a mobilis plus de 1 300 inspecteurs qui ont visit trois reprises entre l automne 2012 et l t 2013 pr s de 3 300 ruchers totalisant quelque 32 000 colonies d abeilles Les premiers r sultats confirment le d clin des abeilles ph nom ne observ depuis le d but des ann es 1990 Is montrent que les pays du nord de l Europe sont frapp s par des mortalit s tr s sup rieures celles qui touchent le pourtour m diterran en En cumulant les mortalit s hivernales et estivales la Belgique appara t comme le territoire le plus touch avec un taux de mortalit de 42 5 suivie de pr s par le Royaume Uni 38 5 la Su de 31 1 la Finlande 29 8 et la France 27 7 A l inverse le probl me semble moins inqui tant qu attendu dans plusieurs pays du Sud comme la Gr ce 9 1 l Italie 7 6 ou l Espagne 16 3 Dans ce tablea
3. Dans tous les cas le livre prodigue des conseils pour l entretien le choix du mod le ou de la race le mode d emploi ou encore les pr cautions prendre s il s agit d un animal En fin d ouvrage l auteure liste les animaux viter pour la tonte du jardin et explique pourquoi bruit mauvaises odeurs Mots cl s JARDINAGE POULE MOUTON PRATIQUE ECOLOGIQUE PRATIQUE ALTERNATIVE JARDIN PELOUSE 2014 93 p d EDITIONS ALTERNATIVES ref 198 105 R daction ABioDoc EA Biopresse 198 Mars 2014 Maraichage Culture biologique du poireau BERRY Dominique Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fiches sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur la Culture biologique du poireau et traite notamment des points suivants Param tres de la production Climat et sol Rotation Calendrier de production et choix vari tal Semences P pini re Production de plants en racines nues Autres modes de production de plants Culture Travail du sol Plantation Fertilisation Entretien D sherbage Irrigation Maladies et ravageurs Protection des cultures R colte Epluchage et Lavage Conservation Donn es technico conomiques http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques
4. 198 019 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 46 che et syst me sp cifique Agroforesterie Des l gumes et des animaux dans les vergers Int r ts et perspectives de l agroforesterie fruiti re RONZON Julien GRAB Associer arbres fruitiers l gumes et animaux agroforesterie fruiti re peut tre int ressant divers niveaux diversifier la production atout pour la vente directe favoriser la r gulation naturelle les moyens de lutte agro cologique renforcer l autonomie en intrants en eau Des t moignages d agriculteurs en agroforesterie sont pr sent s ainsi que les grands axes de recherche du GRAB dans ce domaine Enfin un projet CasDar projet SMART est en cours au niveau national sur cette th matique Il pr voit une enqu te nationale afin d identifier puis d tudier les syst mes agricoles en agroforesterie en France Le questionnaire d enqu te destination des agriculteurs en agroforesterie est t l chargeable en ligne Mots cl s AGROFORESTERIE ARBORICULTURE DIVERSIFICATION LEGUME FRUIT ANIMAL ASSOCIATION ANIMAL CULTURE ASSOCIATION ANIMAL VEGETAL ASSOCIATION ARBRE ANIMAL MARAICHAGE BIODIVERSITE PROTECTION DES VEGETAUX EXPERIENCE ISERE VAUCLUSE RECHERCHE ESSAI FRANCE RESEAU AGRICULTURE BIOLOGIQUE PROJET ARBO BIO INFOS n 185 01 01 2014 2 pages p 5 6 r f 198 032 R daction ABioDoc Biotechnologies Recherche offensiv
5. 289 01 11 2013 2 pages p 10 11 r f 198 101 R daction ABioDoc Recherche Evaluer la performance des systemes bio RefAB un r f rentiel innovant RIVRY FOURNIER Christine A l issue de trois ans d un travail qui a mobilis de nombreux partenaires Chambres d agriculture instituts techniques le projet R fAB a livr ses r sultats un cadre m thodologique destin mieux caract riser les syst mes agricoles biologiques par la production de r f rences communes et ainsi les faire voluer Ce r f rentiel s appuie sur cinq grands principes de l agriculture biologique l autonomie la diversit la r silience l quit et l cologie Mots cl s REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB REFERENTIEL SYSTEME AGRAIRE FRANCE ORGANISATION DE L AB RECHERCHE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 21 ref 198 021 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 4e salon Tech amp Bio Un rendez vous europeen en plein essor PIERRE Sandra Prisca GARCIN Alain Pour sa 4 me dition en septembre 2013 le salon Tech amp Bio consacr aux techniques alternatives et biologiques a vu une nouvelle fois son nombre de visiteurs augmenter 13 000 personnes pour 240 exposants Parmi les conf rences programm es l une tait d di e la gestion des bioagresseurs en arboriculture bio et a permis la pr sentation de diff rents travaux de recherche m
6. Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s suite MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L ALIMENTATION ET DES AFFAIRES RURALES DE L ONTARIO OMAFRA 1 chemin Stone Ouest N1G 4Y2 GUELPH CANADA T l 1 519 826 3100 about omafra ontario ca www omafra gov on ca DD Organic options for Spotted Wing Drosophila Management www omafra gov on ca english crops organic news 2 014 2014 02a3 htm FISHER P 3p PASCAL GALOD DITEURS 7 Rue de Dinan 35 400 SAINT MALO FRANCE T l 02 23 18 63 45 contact pascalgalodeediteurs com www pascalgalodeediteurs com LS Produire mieux pour manger tous d ici 2050 et bien apr s LE PUILL G rard 324 p 21 90 POLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MASSIF CENTRAL VetAgro Sup Campus agronomique de Clermont 89 Avenue de l Europe BP 35 63 370 LEMPDES FRANCE T l Fax 04 73 98 69 56 www itab asso fr reseaux polebio php B gt Bo te outils pour l introduction de produits biologiques en Restauration Hors Domicile www abiodoc com pole ABMC publications rhd boite a outils BELLEIL Aur lie DELECOURT Sarah BOIS B r nice ET AL 94 p B gt Observatoire 2010 2012 L introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration collective dans le Massif Central www abiodoc com pole ABMC publications rhd FOURNIER Judith VALLAS Myriam 90 p DD Synthese de l observatoire 2010 2012 L introduction de produits biologiques dans les tablissements de restaurati
7. L analyse de cycle de vie ACV est une m thode destin e mesurer l impact environnemental de produits et services de consommation courante sur l ensemble de leur dur e de vie Norm e ISO la m thodologie des ACV fait pourtant d bat notamment pour les acteurs de l agriculture biologique Le manque de r f rences n cessaires est mis en avant de m me que la non prise en compte de certaines sp cificit s de AB telles que la g n ration d un revenu pour les producteurs ou encore les impacts environnementaux sur la biodiversit et la qualit des sols Par ailleurs la diversit des syst mes biologiques rend difficile l acceptation d une valuation unique par type de produit mais multiplier les ACV serait une solution lourde et co teuse L affichage environnemental qui devrait se g n raliser dans les magasins est bas sur les ACV Les acteurs de la fili re biologique craignent d une part l affichage de r sultats aujourd hui d favorables la bio en lien avec les manques m thodologiques exprim s pr c demment et d autre part une perte de visibilit du logo AB Ces deux types d affichage devront en effet tre coh rents et compl mentaires pour ne pas p naliser la fili re Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AGRICULTURE BIOLOGIQUE ANALYSE DU CYCLE DE VIE FRANCE AFFICHAGE ENVIRONNEMENTAL METHODOLOGIE CONTROVERSE IMPACT ENVIRONNEMENTAL REGLEMENTATION PRODUIT AGRICOLE PRODUIT BIO
8. dans le Finist re Henri Th paut est maraicher en agriculture biologique depuis 1988 Son engagement syndical a t continu d abord pr sident du GAB il a ensuite t pr sident de la FRAB puis de la FNAB de 2005 2009 Lorsque la r glementation bio s est vue harmonis e l chelle europ enne avec un cahier des charges commun Henri Th paut a tout de suite point du doigt un certain assouplissement des r gles par rapport la r glementation AB fran aise pr c demment en vigueur Pour lui certains agriculteurs bio se sont sentis d poss d s du logo AB et voient le risque du d veloppement d une agriculture biologique industrielle tourn e vers la grande distribution L id e de cr er une marque priv e Bio Coh rence voit alors le jour Henri Th paut en est le pr sident depuis 2011 Avec un nombre d adhesions plut t mitig 350 adh rents en 2013 pour 1 000 esp r s la marque va s ouvrir aux transformateurs et distributeurs Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE TEMOIGNAGE FINISTERE FRANCE EUROPE REGLEMENTATION MARQUE PRIVEE CAHIER DES CHARGES CIRCUIT DE DISTRIBUTION CONTROVERSE SYMBIOSE n 185 01 12 2013 2 pages p 10 11 r f 198 002 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 44 Vie professionnelle Politique agricole Programme Ambition Bio 2017 Projets exemplaires MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET Ce
9. de CO2 et le reste en eau et quelques traces d autres elements L puration du biogaz n existe que tr s peu en France 4 5 installations seulement fin 2013 mais les arr t s permettant l injection du biom thane dans le r seau ont t publi s fin 2011 La logistique est cependant assez lourde puisque pour l injecter dans le r seau le biogaz a besoin d tre comprim ce qui est parfois complexe pour un agriculteur Mais certains constructeurs de machines agricoles commencent commercialiser des engins fonctionnant au biogaz et la miniaturisation des process laisse esp rer qu un jour les agriculteurs produiront eux m mes leurs bonbonnes de biogaz Une autre voie d avenir serait la transformation de l nergie lectrique produite par des syst mes renouvelables solaire ou olien par exemple en biom thane technique possible si on poss de du CO2 afin de stocker l nergie surnum raire en p riode creuse Mots cl s BIOGAZ METHANISATION ENERGIE RENOUVELABLE BIOMETHANE EUROPE FRANCE INJECTION TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p XXI XXII r f 198 092 R daction ABioDoc Environnement La possibilit d tre humain KRUGER Thierry GIRAULT Pablo Documentaire de Thierry Kruger et Pablo Girault qui s interroge sur la place de l homme dans notre soci t moderne faite de surconsommation de recherche syst matique du profit et d individualisation A travers diff rents t
10. e G n rale de la FNAB qui a eu lieu les 26 27 mars 2014 Marseille les paysans bio ont r affirm leur volont de participer aux d bats passionnants qui s ouvrent pour ces prochaines ann es sur la base des propositions de la Commission europ enne et qui toucheront la fois les r gles de production de transformation de contr le et d importation Source Communiqu de presse FNAB 1 avril 2014 Biopresse 198 Mars 2014 L Assemblee nationale a vot l interdiction de la culture de mais transgenique L Assemblee nationale a adopte le 15 avril 2014 une proposition de loi visant interdire la culture de ma s transg nique en France Le texte approuv par la majorit des d put s reprend le projet de loi soutenu par Alain Fauconnier s nateur PS rejet par le S nat le 17 f vrier dernier Il interdit la mise en culture de vari t s de ma s g n tiquement modifi s et conf re aux autorit s administratives le pouvoir de d cider de la destruction des cultures enfreignant ce moratoire Cette interdiction est assez large puisqu elle concerne tout type de ma s transg nique Les vari t s MON810 de Monsanto et Pioneer TC1507 sont donc toutes deux concern es Pour le groupe cologiste de l Assembl e nationale cette adoption est toutefois assombrie par le rejet des amendements cologistes qui visaient tendre l interdiction de culture toutes les plantes OGM Cependant le risque d ann
11. g tale et animale les indicateurs de diversit des esp ces les indicateurs de diversit des habitats les indicateurs de gestion agricole Ils ont t test s sur 195 fermes dans 12 r gions p doclimatiques europ ennes choisies comme cas d tude Ce guide en anglais pr sente la m thodologie mise en place les indicateurs et les principaux r sultats du projet BioBio www biobio indicator org project php 1 3 Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE SYSTEME A FAIBLES INTRANTS EUROPE BIODIVERSITE INDICATEUR INDICATEUR AGRO ENVIRONNEMENTAL RECHERCHE CONSERVATION DES ESPECES PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE ESPECE PRATIQUE AGRICOLE HABITAT NATUREL METHODOLOGIE SYSTEME AGRAIRE 2012 105 p ed AGROSCOPE Station de recherche Agroscope Reckenholz T nikon ART r f 198 084 R daction ABioDoc EA 35 cologie et ruralit Indicateurs de biodiversit dans les syst mes agricoles europ ens Sommaire du guide HERZOG Felix BALAZS Katalin DENNIS Peter et al Le projet de recherche europ en Biobio conduit entre 2009 et 2012 avait pour objectif d identifier des indicateurs de biodiversit pour les syst mes agricoles europ ens biologiques et conventionnels faibles intrants 23 indicateurs permettant d valuer les effets des pratiques agricoles sur la biodiversit ont t d finis Ils sont class
12. ouvrage limit a 1 ouvrage pour une du Commande dephotocopias r e maximale de 2 semaines opi Se Nombre N Biopresse N notice de pages Ava Titre Total des pages Montant Pour les demandes au niveau des services documentaires nous vous remercions de ne pas joindre de r glement votre bon de commande ABioDoc vous fera parvenir une facture et vous pourrez alors proc der au paiement ch que l ordre du R gisseur ABioDoc VetAgro Sup gt Pour tout abonnement r abonnement ou service documentaire l tranger les frais bancaires et les frais de change sont enti rement la charge de l acheteur 61 Biopresse 198 Mars 2014 Biopresse 198 Mars 2014 62 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s AAC Agriculture et Agroalimentaire Canada difice Sir John Carling 930 avenue Carling K1A 0C7 OTTAWA CANADA T l 1 613 759 1000 Fax 1 613 7597977 info agr gc ca www agr gc ca LS Adaptation d un outil de d pistage des adultes de la c cidomyie des atocas www irda gc ca assets documents Publications docume nts firlej et al 2014 rapport outil depistage cecidomyie atocas pdf FIRLEJ Annabelle VANOOSTUYSE Franz VEILLEUX Jonathan 29p B gt Solutions optimales pour une gestion durable des eaux de lavage de l gumes l chelle de la ferme projets pilotes www irda gc ca assets documents Publications docume nts brassard et al 2014 rappo
13. poids sec de cinq esp ces de mauvaises herbes de dicotyl dones et de gramin es Les exp riences ont t r alis es en utilisant des plateaux en plastique de 26 par 53 cm remplis d un m lange de terre et de terreau 4 1 De la CGM et de la MSM ont t m lang es avec 1 5 kg de m lange de terre et appliqu s des taux quivalents 2 240 4 480 et 6 720 kg ha Dans l ensemble la MSM tait plus efficace que la CGM pour contr ler les mauvaises herbes Dans le sol modifi CGM les taux d mergence taient en moyenne de 17 27 et 34 respectivement pour la kochia le ch nopode blanc et le pied de coq contre 14 13 et 6 respectivement pour la kochia le ch nopode blanc et le pied de coq dans le sol modifi MSM par rapport au t moin non trait La biomasse a rienne de la s taire verte et du ch nopode blanc tait respectivement de 40 et 25 du t moin non trait dans le sol modifi CGM et de 13 et 5 pour la s taire verte et le ch nopode blanc commune dans le sol modifi MSM compar e au t moin non trait Dans l ensemble cette tude indique que la MSM est plus efficace ou au moins gale la CGM pour le contr le de mauvaises herbes des dicotyl dones et des gramin es au m me taux d application www bioone org doi abs 10 1614 WT D 13 00116 1 Mots cl s GLUTEN MOUTARDE MAIS MAUVAISE HERBE CHENOPODE BLANC DICOTYLEDONES GRAMINEE ETUDE ETATS UNIS D AMERIQUE PIED DE COQ WEED TECH
14. s en AB A la fin de chaque section le lecteur trouve les coordonn es des fournisseurs identifi s dans la liste d intrants Le MIB est r alis en collaboration avec les certificateurs qu b cois et des r viseurs du milieu afin de fournir une information fiable et jour Il revient normalement l exploitant de s assurer aupr s du fabricant ou du fournisseur que la composition du produit et dans certains cas son proc d de fabrication sont conformes aux exigences s appliquant aux intrants Le MIB priorise les intrants pour lesquels il existe des attestations de conformit mais aussi d autres intrants disponibles Ce n est toutefois pas une liste officielle Les intrants pour la pr paration des aliments ne sont pas couverts ni les intrants n cessaires au fonctionnement et l entretien des quipements et machineries ex carburants et lubrifiants www cetab org mib Mots cles AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUCTION VEGETALE ELEVAGE BIOLOGIQUE CEREALE INTRANT FERTILISATION SEMENCE VEGETALE AMENDEMENT PROTECTION DES VEGETAUX FOURNISSEUR ALIMENT DES ANIMAUX SANTE ANIMALE ERABLE REGLEMENTATION CANADA QUEBEC 2014 123 p d CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit r f 198 315 R daction CETAB 33 cologie et ruralit Agriculture environnement Les ACV en AB un sujet tr s controvers FOURRIE Laetitia COULOMBEL Aude
15. vulgarisation des r sultats Le suivi des fermes a permis d tablir des fiches techniques selon les syst mes de production bovins laitiers allaitants mixtes et bio et de mod liser la pousse de l herbe en fonction du climat et des sols Le r sultat devrait tre terme une meilleure utilisation du potentiel des prairies gr ce notamment aux fiches techniques t l chargeables sur www herbeavesnois fr Mots cl s NORD HERBE ELEVAGE PROJET PROGRAMME EUROPEEN RECHERCHE SYSTEME FOURRAGER DIAGNOSTIC FLORISTIQUE RECOLTE PRAIRIE BOVIN BELGIQUE FRANCE ALIMENTATION DES ANIMAUX FOURRAGE AISNE BOVIN LAIT BOVIN VIANDE TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 4 pages p 37 40 r f 198 094 R daction ABioDoc Production animale Biopresse 198 Mars 2014 PRODUCTIONS VEGETALES Arboriculture Les beaux fruits des Burri FAURE Isabelle Jean Fran ois et Katarina Burri ont install leur p pini re de vari t s anciennes il y a 34 ans dans l Aude Depuis ils ont reproduit plus de 150 vari t s d arbres fruitiers sans utilisation de pesticides en s lectionnant les plus go teuses et les plus r sistantes aux maladies Habitu s partager leurs savoirs et leurs pratiques aupr s de stagiaires salari s etc ils ont accompagn l installation de Juliette et David Watson en 2008 puis de S bastien Grange Juliette et David multiplient des vari t s fruiti res sur 0 3 hectare
16. 1252 Sans frais 1 800 383 6272 poste 1 T l c 418 856 3053 formation continue mapaq gouv qc ca www cetab org sites www cetab org files pdf agenda bio forma tion demarrage dune culture de raisins de table pdf Les 18 et 25 Novembre 2014 Victoriaville Formation Transition vers la production laiti re biologique T l 819 758 6401 poste 2702 gmartin formationagricole com www formationagricole com detailformation asp qCours 174 Pour plus d informations www cetab org SOMMAIRE Agendas Bio 4 254 45 4444 0242044000440008aatasacasen 2 Productions animales 4 EIEVAge 22 EE E 4 Productions v g tales unnsnunnnnnannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 8 Arborieull re n nina E ET 8 Autres cultures 9 Contr le des adventices 10 Fertilisation saer i tete e E aie eietent ete 11 Grandes cultures 11 H rliculture sn image 12 Jardinage biologique uuuuursssnnnnnnnnennnnsssennnnnnnn 13 Mara chage 14 Petits MUNS 2355 28 82525 der rer sent ni ea E este denne 16 Plantes aromatiques et m dicinales 17 Protection phytosanitaire 17 RE RE E E 21 VILIGUIUFE ren nr nn ee 21 Marche uses neben 23 EIllERO ae ee dir ie leeren 23 Qualen 29 ESS 1 E E BEER mere EEEIPEREEEETEE IE
17. 324 p d PASCAL GALODE EDITEURS r f 198 095 R daction ABioDoc EA Biopresse 198 Mars 2014 32 cologie et ruralit La bio au c ur de la transition agro cologique FNAB La FNAB propose au travers de ce cahier th matique un tour d horizon des pratiques et des initiatives qui contribuent au d veloppement de l agro cologie Apr s une courte d finition on d couvre donc les multiples facettes de cette d marche tourn e vers l quilibre de la terre et la sant de l homme Parmi les retours d exp riences cit s exemple des c r aliers bio dans le Gers proposant des techniques innovantes en grandes cultures celui du dispositif intraparcellaire de la Bergerie de Villarceaux 95 ou encore l outil de diagnostic des pratiques utilis par Bio de Provence Les th mes de la biodynamie et de l agroforesterie sont galement abord s ainsi que diff rents l ments de r flexion sur ce que suppose la transition agro cologique que ce soit au niveau de l implication locale autant que sur l enjeu mondial qu elle repr sente A voir aussi le zoom sur les 6 axes du programme 2014 2020 de l ITAB qui int gre les composantes de l agro cologie Mots cl s AGROECOLOGIE AGROFORESTERIE TRANSITION AGRICULTURE BIODYNAMIQUE PRATIQUE AGRICOLE INNOVATION EXPERIMENTATION AGRICULTURE BIOLOGIQUE OUTIL DE DIAGNOSTIC GRANDE CULTURE FRANCE RECHERCHE ELEVAGE BIOLOGIQUE SOCIETE
18. AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AUTONOMIE MONDE SOUVERAINETE ALIMENTAIRE 2013 46 p d FNAB F d ration Nationale d Agriculture Biologique des R gions de France r f 198 104 R daction ABioDoc M Manuel des intrants biologiques MIB Productions v g tales animales et ac ricole DUVAL Jean MENARD Geoffroy Le Manuel des intrants bio MIB est un recueil des intrants commerciaux disponibles et autoris s en agriculture biologique au Qu bec Le MIB 2014 est la seconde mise jour faite par le CETAB Une introduction situe l utilisation des intrants dans le contexte de la r glementation sur la certification biologique au Qu bec Le corps du manuel est organis selon les utilisations et la nature des intrants pour les productions v g tales amendements du sol nutrition des cultures phytoprotection semences plants animales alimentsa additifs suppl ments produits de soins de sant auxiliaires autres produits et ac ricole Pour chaque type d intrant un tableau liste les produits disponibles leurs descriptions leurs fournisseurs leurs usages leurs approbations par les organismes de certification ainsi que les formats disponibles et les prix s il y a lieu Les intrants qui pourraient tre utilis s sous certaines conditions mais qui n ont pas t approuv s par les certificateurs y sont identifi s de m me que des intrants non autoris s qui pourraient tre confondus pour des produits accept
19. ARBORICULTURE FRANCE AUTONOMIE GRANDE CULTURE SOCIETE RESTAURATION COLLECTIVE ELEVAGE LAITIER RECHERCHE ECONOMIE RURALE n 339 340 01 01 2014 189 pages p 6 194 r f AA R daction ABioDoc Les transversalit s de l agriculture Ressources genetiques Dossier Selection vari tale pour l AB BELLEIL Aur lie FONTAINE Laurence MEYNARD Jean Marc et al Alors que la majorit des programmes de s lection sont men s sous les conditions de l agriculture conventionnelle y compris pour des vari t s homologu es en bio certains acteurs de la fili re Semences fran aise s interrogent Ce mode de s lection indirecte pour la bio est il suffisamment pertinent Ce dossier est introduit par un tat des lieux de cette fili re labor suite une enqu te qui montre qu il reste des attentes Des travaux de recherche pr sent s au colloque DinABio tenu les 13 et 14 novembre 2013 Tours et rapport s dans ce dossier ont tudi s lection directe en AB et s lection indirecte en agriculture faibles intrants D autres ont mis en place une d marche de s lection participative impliquant de fa on plus importante les agriculteurs sur la phase de s lection Enfin une dynamique des innovations vari tales est d crite Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE SYSTEME A FAIBLES INTRANTS GRANDE CULTURE MARAICHAGE SELECTION VARIETALE SEMENCE
20. Aude et al Initi localement en 2007 par le Parc Naturel R gional du Massif des Bauges le concours Prairies Fleuries est depuis 2010 un concours national et depuis 2014 un Concours G n ral Agricole Ces herbages non sem s pr sentent une biodiversit naturelle importante Toutefois ils ne sont pas d connect s du fonctionnement de la ferme et de l agronomie puisqu ils sont destin s nourrir le b tail Les services multiples rendus par les prairies fleuries sont valu s dans le cadre de ce concours gr ce un jury compos d experts en agronomie en cologie et en apiculture Ce dossier pr sente ce que sont ces prairies fleuries qui repr sentent 30 des prairies permanentes fran aises leurs int r ts agro cologiques et conomiques le fonctionnement du concours les raisons d y participer l outil de communication qu il repr sente et les territoires et organisateurs concern s pour 2014 Le dispositif p dagogique jury l ves est galement pr sent Dans ce contexte des l ves de lyc es agricoles sont invit s constituer des jurys lls seront ainsi valu s sur leur capacit juger les qualit s agronomiques et environnementales de prairies fleuries hors concours g n ral agricole Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT PRAIRIE FLEURIE FRANCE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE CONCOURS AGRICOLE BIODIVERSITE AGROECOLOGIE ECONOMIE AGRONOMIE PRAIRIE PERMANENTE PEDA
21. BOVIN COLLECTIVIT TERRITORIALE SYMBIOSE n 186 01 01 2014 2 pages p 18 19 r f 198 003 R daction ABioDoc Nord Pas de Calais mara ch re pr s de Lille RIPOCHE Fr d ric A proximit de Lille 47 7 ha ont t mis en r serve la demande de Lille M tropole afin d y d velopper une zone p riurbaine de maraichage Les porteurs de projets s lectionn s se destinent majoritairement une installation en bio mais des conventionnels engag s dans des d marches de progr s garanties par la certification HVE Haute Valeur Environnementale ont galement pu candidater Parmi les objectifs recherch s d velopper les surfaces maraicheres locales alimenter la restauration collective prot ger la ressource en eau bassin de captage proximit d velopper un lieu d changes et de mutualisation avec notamment la cr ation d un espace test Les premi res cultures devraient voir le jour en 2015 Mots cl s DEVELOPPEMENT RURAL DEVELOPPEMENT DE L AB NORD PAS DE CALAIS MARAICHAGE INSTALLATION AGRICOLE ESPACE TEST APPROVISIONNEMENT LOCAL RESTAURATION COLLECTIVE EAU AGRICULTURE BIOLOGIQUE HAUTE VALEUR ENVIRONNEMENTALE COLLECTIVITE TERRITORIALE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 9 r f 198 015 R daction ABioDoc Une nouvelle zone Yann et Gilbert Le Jeloux Du stade animal au stade vegetal BESNARD Antoine Gilbert Le Jeloux a fortement fait voluer la ferme familiale qu il a rep
22. DE PANIERS FILIERE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ENTRAID OC n 363 01 03 2014 2 pages p 60 61 r f 198 079 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 38 cologie et ruralit Energie Sylvie Monier Directrice de Mission Haies Auvergne Le d fi du bocage demain valoriser la biomasse produite EBRARD Elsa Dans ce long interview Sylvie Monier agronome sp cialis e en agroforesterie et plus sp cialement sur les haies raconte le contenu de son travail la Mission Haies Auvergne Bien qu tant une femme dans le milieu agricole l image colo puisqu elle d fend la haie elle parvient montrer aux agriculteurs les avantages des haies agricoles protection des auxiliaires contre l rosion et conomiques valorisation du bois de coupe liti re bocagere Ses diff rentes missions sont d taill es notamment son approche des agriculteurs la mise en place d un r seau et ses collaborations avec diverses instances CUMA DDE chambres d agriculture Mots_cles HAIE BOIS ENERGIE VALORISATION AUVERGNE BOCAGE BIOMASSE ASSOCIATION AGRICULTURE AGRICULTEUR AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT MASSIF CENTRAL AGROFORESTERIE ARBRE ENTRETIEN COLLECTIVITE RESEAU ASPECT ECONOMIQUE TRAVAUX ET INNOVATIONS n 202 01 11 2013 4 pages 5 8 4 ne R daction ABioDoc Le digestat une nouvelle matiere fertilisante VIARD Nathalie Cet article est extrait du dossier d
23. ELEVAGE BIOLOGIQUE JOURNEE TECHNIQUE POLE DE CONVERSION SALON STRUCTURATION DES FILIERES RESTAURATION COLLECTIVE PANIER TERRITOIRE COLLECTIVITE ENSEIGNEMENT AGRICOLE ENTREPRISE 2013 68 p d MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET r f 198 096 R daction ABioDoc EA Ambition bio 2017 Nouvelle version plus de d tails BIOFIL Le plan Ambition bio 2017 qui vise le doublement des surfaces bio d ici 2017 a t pr sent en d cembre 2013 par le ministre de l Agriculture St phane Le Foll D but 2014 certains l ments sont venus compl ter cette premi re version du plan Ceux qui concernent l axe Production sont pr sent s dans cet article Ces mesures concernent les aides l agriculture biologique Les aides la conversion et au maintien notamment seront inscrites dans le deuxi me pilier de la PAC par le biais de dispositifs d di s Le ministre de l Agriculture a promis une enveloppe annuelle d au moins 160 millions d euros sur la p riode 2014 2020 Concernant les MAEC les syst mes biologiques b n ficieront d une r mun ration sup rieure celle des d marches environnementales moins avanc es Par ailleurs des aides plus sp cifiques seront d di es aux zones enjeu eau afin d y favoriser le d veloppement de l AB Mots cl s POLITIQUE AGRICOLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB FRANCE EUROPE AIDE AIDE AGRI E
24. Mary et al Selon une quipe de chercheurs du Penn State s College of Agricultural Sciences aux E U les cultures de couverture en rotation avec les grandes cultures largement accept es comme tant cologiquement b n fiques le sont davantage qu on ne le croyait auparavant La recherche a quantifi les avantages offerts par les cultures de couverture pour plus de 10 services cosyst miques Les avantages comprennent l augmentation du carbone et de l azote du sol la pr vention de l rosion de la colonisation mycorhizienne et des champignons b n fiques du sol Cette recherche pr sente un cadre pour valuer les services cosyst miques d riv s des terres agricoles et la fa on dont les cultures de couverture affectent ces services Les chercheurs ont simul sur 3 ans la rotation soja bl ma s avec et sans cultures de couverture dans le centre de la Pennsylvanie La rotation des cultures de couverture comprend le tr fle rouge le bl d hiver et le seigle d hiver plant apr s le ma s Le NRCS veut augmenter les superficies plant es en cultures de couverture l chelle nationale en passant de 2 milions actuellement 20 millions d acres en 2020 Le NRCS estime que l augmentation de l adoption des cultures de couverture en 2011 a conduit une r duction moyenne de 78 de la perte de s diments 35 moins de perte d azote de surface 40 de moins de perte d azote du sous sol et une diminution de 30 de l
25. OEUF MIEL 2014 48 p d CORABIO Coordination Rh ne Alpes de l Agriculture Biologique BIOCONVERGENCE ref 198 097 R daction ABioDoc EA Biopresse 198 Mars 2014 Observatoire de la production bio Bretagne Les chiffres cl s 2012 DESPEGHEL Micha l Si la Bretagne a perdu un tiers de ses exploitations agricoles entre 2002 et 2012 les surfaces en bio y ont doubl sur la m me p riode avec une volution du nombre de fermes bio de 85 Toutefois les installations et les conversions en AB ont ralenti en 2011 et 2012 La fili re laiti re est la plus concern e par ce ralentissement alors que le maraichage fait encore preuve d un bon dynamisme de d veloppement et devient la premi re activit biologique de la r gion en nombre de fermes Les principaux chiffres de la fili re biologique bretonne pour l ann e 2012 sont pr sent s dans cet article localisation des surfaces volution du nombre de fermes et des surfaces activit biologique dominante sur les fermes assolement caract ristiques des fermes en fonction de l activit biologique dominante volution des installations et conversions Mots cl s FILIERE AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB BRETAGNE INSTALLATION AGRICOLE CONVERSION OBSERVATOIRE REGIONAL STATISTIQUES SYMBIOSE n 185 01 12 2013 2 pages p 8 9 r f 198 001 R daction ABioDoc R sultats du recensement agricole 2010 Le d
26. SERENERRSAERHEIRSHERENEREGRORE 29 Statistiques 29 Ecologie amp ruralit 32 Agriculture durable 32 Agriculture environnement 33 D veloppement rural 36 Energie nn energie 38 Environnement 41 Vie professionnelle uusuuruuu0nnannnennnnnnnnnnnnnne 42 CONOMIE herren anne te rense neh 42 Formation 42 G n ralit s sisean oe handen 43 Organisation de l AB 44 Politique agricole 44 R glementation 45 Recherche amp syst me sp cifique nnuuusenennnennnnn 46 Agriculture biodynamique 46 Agroforesterie uuuueesnssnnnnnnnnnennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 46 Biotechnologies 46 Recherche sr sn nement 47 Ressources g n tiques 49 BR VES ABIODOC unnennnnesnannnnnnnnnnnennnnnnnnnnnnnen 51 Bulletin d Abonnement 59 Tarif du Service Documentaire 59 Bon de commande 61 Coordonn es des Editeurs des ouvrages cit s 64 Directeur de publication Etienne JOSIEN Directeur g n ral adjoint de VetAgro Sup Redactrice en chef Sophie VALLEIX Realisation Esmeralda RIBEIRO amp Geoffroy MENARD Ont collabor ce num ro Mirella AOU
27. abiodoc com pole ABMC publications rhd boite a outils Mots cl s DEVELOPPEMENT RURAL RESTAURATION COLLECTIVE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUIT BIOLOGIQUE MASSIF CENTRAL OUTIL ETUDE FILIERE SENSIBILISATION DEVELOPPEMENT DE L AB STRUCTURATION DE L AB STRUCTURATION DES FILI RES EMPREINTE ENVIRONNEMENTALE LEVIER POLITIQUE PUBLIQUE APPROVISIONNEMENT ACCOMPAGNEMENT PRODUIT TRANSFORME PRODUIT LOCAL OBSERVATOIRE 2013 94 p d POLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MASSIF CENTRAL r f 198 082 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 26 La place de la viande bio dans les magasins bio du Languedoc Roussillon SCHAER Burkhard GAUVRIT Lisa AVRIL Robin Cette tude r alis e par Ecozept bureau d tudes franco allemand sp cialis dans le march bio a plusieurs objectifs d crire la situation actuelle du march bio mettre en valeur les perspectives de d veloppement des magasins bio conna tre la situation du rayon viande dans les magasins bio du Languedoc Roussillon mettre en avant les perspectives d evolution de la viande au sein des magasins bio v rifier l int r t des magasins de la region concernant la cr amp ation d une marque bio issue de jeunes bovins lev s en Languedoc Roussillon 56 magasins bio de la r gion Languedoc Roussillon ont t sollicit s M me si un certain nombre d entre eux proposent de la viande dans leurs rayons le choix
28. bio issus des 70 appellations qui longent le fleuve Mois cl s VIN VIN DE LA LOIRE VITICULTURE VAL DE LOIRE FILIERE VIN SALON PROFESSIONNEL PAYS DE LA LOIRE TEMOIGNAGE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 8 ref 198 014 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Pour la renaissance des c pages interdits BISCHERI Gilbert DUPARD Sylvie PELLIER Garance et al A travers ce cahier technique l association Fruits Oubli s R seau souhaite faire conna tre et ainsi faire cultiver les c pages oubli s et plus largement la diversit fruiti re Les c pages dits interdits sont de tr s vieilles vignes import es d Am rique vers 1820 qui ont t utilis es comme porte greffes pour leur tol rance aux maladies Ces c pages ont t interdits dans les ann es 1930 dans le but d assainir le march lls ont toutefois pu tre pr serv s gr ce des passionn s r sistants qui les ont maintenus en culture Cet ouvrage donne des pistes pour les identifier fiches vari tales les entretenir techniques culturales et les transformer vinification Mots cl s VITICULTURE CONSERVATION DES ESP CES TECHNIQUE CULTURALE VINIFICATION CEPAGE FRANCE AMERIQUE BOTANIQUE VIGNE TOLERANCE VARIETE ANCIENNE VARIETE RESISTANTE 2012 88 p d FRUITS OUBLIES RESEAU r f 198 010 R daction ABioDoc La ma trise de l oidium en viticulture biologique en Languedoc Roussillon C
29. calcin e contre la cicadelle verte de la vigne Bien qu etant un ravageur secondaire celle ci peut causer par ses piq res des d g ts importants de grillure des feuilles et aucun traitement n est homologu en AB contre ce ravageur En 2013 13 parcelles ont t suivies avec une partie trait e et une partie non trait e L argile en formant une barri re physique entre la cicadelle et la feuille a limit les populations larvaires sur les zones trait es avec une efficacit moyenne de 61 2 En revanche les d g ts de grillure restent relativement pr sents avec une efficacit moyenne du traitement de 55 Ces r sultats confirment ceux observ s sur les trois ann es pr c dentes avec en moyenne sur les trois ans 53 d efficacit sur la diminution de la population et 50 sur les grillures Le pouvoir insectifuge de l argile kaolinite calcin e en fait une solution int ressante pour les parcelles forte pression de cicadelles Une deuxi me partie de ce document rapporte les r sultats d une enqu te consacr e la protection du vignoble biologique aquitain en 2013 Les d g ts observ s et les traitements effectu s sont proches de ceux de 2012 www vinopole com fileadmin user upload fichiers vinopole Environnement Agro ecologie Interet du reseau collaboratif RESAQVIitiBio pdf Mois cl s VITICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ARGILE KAOLINITE RECHERCHE AQUITAINE CICADELLE VERTE RECHERCHE PARTIC
30. consiste conserver une partie de la r colte pour la ressemer l ann e d apr s risquait d tre assimil e de la contrefa on Finalement les d put s avaient d cid d exclure les semences de ferme de la proposition de loi renfor ant ainsi la loi de 2011 sur les certificats d obtention v g tale Source www actu environnement com 12 mars 2014 L agr amp ment de la Soci t fran aise pour le droit de l environnement SFDE publi Le 8 mars le Journal officiel a publi un arr t du 26 f vrier 2014 renouvelant pour cinq ans l agr ment de la Soci t fran aise pour le droit de l environnement SFDE Les arr t s d agr ment des associations de protection de l environnement sont actuellement publi s en application de la r forme adopt e dans le cadre du Grenelle de l Environnement Avec les 12 associations reconnues en 2013 ce sont maintenant 29 associations qui b n ficient de l agr ment national au titre de la protection de l environnement Source www actu environnement com 19 mars 2014 Biopresse 198 Mars 2014 56 Les Br ves La Minute Bio revient sur M6 La Minute Bio est une s rie de films courts sur l agriculture biologique et l ensemble de ses fili res II existe actuellement trente films qui sont rediffus s sur M6 du 23 mars au 1er juin 2014 www agencebio org actualites la minute bio est de retour sur m6 Source www agencebio org 23 mars 201
31. d taill s et illustr s en photos comment faire ses graines r ussir ses semis entretenir ses plants les soigner contre les maladies dont le redout mildiou et les ravageurs On pourra choisir les tomates pour leurs qualit s agronomiques rusticit pr cocit productivit mais aussi en fonction de ses go ts En effet l auteur aid de 30 go teurs a valu chaque vari t selon sa saveur sa texture Et tomate cerise sur le g teau l ouvrage propose des recettes de conservation et de cuisine fournies par des cuisiniers jardiniers abonn s aux 4 saisons du jardin bio Ananas Beaut blanche Casaque rouge Cerisette brin de muguet Miel du Mexique Potiron carlate Vive la biodiversit Mots cl s JARDINAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE TOMATE VARIETE TECHNIQUE CULTURALE POTAGER PLANT SEMIS FERTILISATION PLANTATION PAILLAGE TUTEURAGE TAILLE ARROSAGE PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR MALADIE DES VEGETAUX RECOLTE PRODUCTION DE SEMENCES RECETTE RESSOURCE GENETIQUE 2014 120 p d EDITIONS TERRE VIVANTE r f 198 046 R daction ABioDoc EA Ma tondeuse est silencieuse BEUCHER Patricia Sur un ton d cal mais non moins argument l auteure propose des solutions alternatives cologiques et presque silencieuses pour la tonte du jardin Pourquoi pas une tondeuse sans moteur ou des tondeuses lectriques ou batterie Ou alors des poules ou des petits moutons
32. dans les r f rentiels de l enseignement Le d veloppement de la bio devrait passer par la formation des enseignants eux m mes par des liens entre enseignement et recherche et par la mobilisation des exploitations de lyc es agricoles dont plus de la moiti ont une activit en bio Mots cl s FORMATION ENSEIGNEMENT AGRICOLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE f ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT LYCEE AGRICOLE DEVELOPPEMENT DE L AB BIOFIL n 92 01 03 2014 2 pages p 19 20 r f 198 020 R daction ABioDoc Generalites Dossier Voyage en alternatives PEGEAULT Nelly NOVEL Anne Sophie MOSSALGUE Marc et al Qu elles concernent l agriculture l cologie l conomie le social l nergie etc des initiatives citoyennes et alternatives se d veloppent partout dans le monde Ce dossier en pr sente certaines Parmi celles ci l picerie Le Zeybu solidaire dans la banlieue de Grenoble propose dans un commerce local et autog r par les habitants du quartier des produits locaux provenant directement des producteurs Le village alternatif d Emma s Lescar Pau poss de une ferme alternative qui compte un verger et 1500 animaux de races locales vaches b arnaises poules gasconnes dindons noirs du Gers nes et ch vres des Pyrenees et des vari t s v g tales anciennes pomme Perasse de Nay p che Roussane de Monein Autres initiatives les l gumes envahissent nos villes avec l mergence
33. dans un sol non modifi La rotation des cultures est une pierre angulaire de la gestion des maladies en culture biologique mais elle peut tre difficile r aliser dans les serres et dans les grands tunnels Les mauvaises herbes qui peuvent abriter des insectes nuisibles et des agents pathog nes et galement r duire la circulation d air doivent tre retir es de la structure Les tiges et les feuilles malades doivent tre enlev es et limin es Les surfaces doivent tre soigneusement nettoy es apr s chaque r colte Les fournisseurs de semences doivent tre consult s afin de savoir si des vari t s r sistantes une maladie probl matique sont disponibles www extension org pages 18337 managing diseases of organic tomatoes in greenhouses and high tunnels Mots cl s PROTECTION DES VEGETAUX SERRE TUNNEL ROTATION DES CULTURES VARIETE RESISTANTE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MOISISSURE MALADIE CRYPTOGAMIQUE ETATS UNIS D AMERIQUE 2011 3 p d eXtension r f 198 304 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 Du sucre pour prot ger les plantes DERRIDJ Sylvie Des essais sur le ma s ont montr un effet protecteur contre la pyrale de l application de sucres en tr s faibles doses sur la plante Les sucres concern s pr sents naturellement dans le v g tal sont solubles type fructose glucose ou saccharose et traversent facilement la cuticule des plantes Leur application en tr s petite
34. de jardins sur les espaces publics d laiss s en Gr ce Nikos et Yiannis ont quitt la ville pour s installer en pleine for t sur l le d Eub e Une fois leurs maisons de paille construites ils esp rent pouvoir vendre une partie de leurs productions l gumi res la Nef coop rative bancaire solidaire est l origine de la Fonci re Terre de Liens qui acquiert des terres agricoles gr ce l pargne solidaire Mots cl s AGRICULTURE JARDIN EN VILLE ALTERNATIVE FRANCE GRECE MONDE CITOYEN INITIATIVE EPICERIE AGRICULTURE URBAINE SOCIETE ECONOMIE SOLIDAIRE MONNAIE PRODUIT LOCAL BIODIVERSIT NATURE amp PROGRES n 95 01 11 2013 18 pages p 21 38 r f 198 006 R daction ABioDoc 43 Vie professionnelle Quatre strat gies pour lever les r sistances MILLET S verine La r sistance au changement ou l action se rencontre souvent et g n ralement d s le d but de la phase d change Sont pr sent es ici quatre strat gies diff rentes pour accompagner le changement illustr es partir de cas issus de l environnement ou du d veloppement durable Ces strat gies sont bas es sur la dynamique psycho socio culturelle du changement La premi re approche est d j de mieux r agir aux r sistances notamment en ne cr ant pas une contre r sistance qui am ne renforcer la r sistance de l interlocuteur II faut entendre ces r sistances et en particulier viter
35. de p pini re et cultivent ces m mes vari t s sur 4 hectares De par leur position g ographique 1000 m d altitude ils se sont sp cialis s en plantes de montagne En plus de leur certification AB ils ont fait le choix d adherer Nature amp Progr s S bastien Grange a quant lui pouss la notion de diversit vari tale initi e par les Burri jusqu celle de diversit cologique dans ses p pini res en associant les cultures et en travaillant galement sur les l ments du paysage haies fosses Ces p pini ristes travaillent aujourd hui ensemble permettant de satisfaire la demande locale La pr servation de vari t s anciennes et leur transmission sont ainsi assur es Mots cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PEPINIERE AUDE TRANSMISSION TEMOIGNAGE INSTALLATION AGRICOLE VERGER CONSERVATOIRE BIODIVERSITE CULTIV E ASSOCIATION DE CULTURES RESSOURCE GENETIQUE VARIETE RESISTANTE ARBRE FRUITIER NATURE amp PROGRES n 95 01 11 2013 2 pages p 8 9 r f 198 004 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Production vegetale Verger de pommier en agriculture biologique Impact des conduites sur les bioagresseurs VERPONT Florence ZAVAGLI Franziska GIRAUD Michel et al Les vergers biologiques sont traditionnellement conduits en axe forme proche du port naturel du pommier Dans l objectif de r duire les co ts de production via l augmentation de la m cani
36. de recherche de biologique Ackerstrasse Postfach CH 5070 FRICK SUISSE Tel 41 0 62 8657 272 Fax 41 0 62 8657 273 info suisse fibl org www fibl org B gt Contr ler efficacement les parasites internes des bovins par la gestion de la p ture https www fibl org fr boutique publication c bovins p 1631 parasites des paturages html HECKENDORN _ Felix __ WEIDMANN _ Gilles FRUTSCHI MASCHER Veronique 12 p Format papier 7 20 CHF TVA comprise plus frais d emballage et d envoi l agriculture FNAB F d ration Nationale Biologique des R gions de France 40 Rue de Malte 75 011 PARIS FRANCE T l 01 43 38 38 69 Fax 01 43 38 39 70 www fnab org B gt La bio au c ur de la transition agro cologique FNAB 46 p d Agriculture Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s suite FRAB BRETAGNE F d ration R gionale des Agrobiologistes de Bretagne ZI SUD EST 17 Rue du Bas Village CS 37725 35 577 CESSON SEVIGNE CEDEX FRANCE T l 02 99 77 32 34 Fax 02 23 30 15 75 frab agrobio bretagne org www agrobio bretagne org DO Observatoire r gional de la production bio Edition 2013 Chiffres 2012 Les chiffres de la production biologique en Bretagne en 2012 RESEAU GAB FRAB BRETAGNE 56p 8 FREDON AQUITAINE Site INRA Domaine de la Grande Ferrade 71 Rue Edouard Bourlaux 33 140 VILLENAVE D ORNON FRANCE www fredon aquitaine fr fredon index php LS Reconnaissance des principa
37. des vergers se pose Le prototype Eclairfel a t d velopp au centre Ctifl de Lanxade et valu en 2013 Cet outil a t con u pour pouvoir agir l ext rieur mais aussi l int rieur de l arbre contrairement a la machine Darwin plus adapt e une conduite en mur fruitier Les fleurs en exc s sont limin es par des fils en poly thyl ne qui viennent les frapper grande vitesse Les essais r alis s ont permis de d finir le nombre de fils le plus efficace le stade d intervention le plus opportun ainsi que de finaliser les r glages en termes de vitesses de rotation et d avancement Globalement l outil Eclairfel s est r v l tre une solution int ressante d eclaircissage m canique Mots _cl s ARBORICULTURE ECLAIRCISSAGE MECANIQUE POMMIER VERGER AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE PROTOTYPE ESSAl RECHERCHE DORDOGNE INFOS CTIFL n 298 01 01 2014 7 pages p 36 42 ref 198 027 R daction ABioDoc Garance Une nouvelle pomme pour la bio GOULETTE Myriam Apres dix ans d existence un projet men par le Grab d Avignon le Gabnor Invenio et l Inra a permis notamment d identifier une vari t de pomme particuli rement adapt e aux conditions de culture du sud de la France Garance Cette pomme bicolore a une faible sensibilit aux maladies et ravageurs tavelure o dium anthracnose puceron cendr puceron lanig re et produit des fruits de bonn
38. ellement probl me Mots cl s R GLEMENTATION SANTE ANIMALE HUILE ESSENTIELLE ELEVAGE BIOLOGIQUE ELEVAGE FRANCE PLANTE PHYTOTHERAPIE LEGISLATION EUROPE DROME AROMATHERAPIE SYMBIOSE n 187 01 02 2014 2 pages p 6 7 r f 198 036 R daction ABioDoc Bio portrait Bienvenue la ferme des cabrioles DEBLOIS Sandrine La ferme biologique pr sent e dans cet article compte un troupeau caprin de 42 t tes lev selon un syst me extensif notamment gr ce une convention pluriannuelle de p turage g r e par l ONF concernant 82 hectares de for ts communales Elle est ax e sur la fabrication de fromages pour la vente directe mais a aussi une activit d accueil Visant la coh rence du systeme et l autonomie le couple exploitant maintient un contact troit avec son troupeau s lectionnant les ch vres autant sur leur capacit de production que sur leur comportement social ou alimentaire Ces deux exploitants ont d velopp un syst me qui r pond leur vision du m tier d eleveur Mais ils s inqui tent de l volution des demandes administratives qui se veulent de plus en plus contraignantes et normatives comme la pose de puces lectroniques Mots cl s GARD ELEVAGE BIOLOGIQUE PORTRAIT T MOIGNAGE CAPRIN FORET TRANSFORMATION A LA FERME VENTE DIRECTE ACCUEIL A LA FERME PARCOURS NATURE amp PROGRES n 96 01 02 2014 2 pages p 8 9 r f 198 051 R daction ABioDo
39. en produits carn s reste limit Les quelques magasins bio qui ont d velopp un rayon boucherie ont vu leur chiffre d affaires general augmenter Les consommateurs la recherche de produits de qualit naturels et sans r sidus chimiques sont en effet demandeurs de ce type de produits L tude confirme l int r t de d velopper une marque r gionale de viande bovine bio sur le Languedoc Roussillon condition qu elle se d marque bien packaging qualit communication En effet en bio la viande bovine n est pas celle qui se vend le mieux ni celle qui est la plus difficile trouver l chelle locale Mots cl s LANGUEDOC ROUSSILLON ETUDE VIANDE BOVINE PRODUIT BIOLOGIQUE MAGASIN BIO MARQUE REGIONALE MARCHE PRODUIT LOCAL AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE VIANDE 2013 42 p d ECOZEPT ref 198 022 R daction ABioDoc Les mat riels remarques au Sival Innovations et laureats des Sival d Or LE GONIDEC Guillaume RIVRY FOURNIER Christine Le Sival salon agricole consacr au v g tal r compense tous les ans des innovations en machinisme et automatisme Certaines pr sent es dans cet article sont garantes d une agriculture durable et peuvent int resser l agriculture biologique Les laur ats des Sival d Or sont le Facamatic un rolofaca interceps con u par la soci t Boisselet pour la gestion de l herbe en viticulture et arboriculture la bineuse IC Cultivator de Ste
40. est donc important de travailler au d veloppement de fili res de production de mati res premi res innovantes pour l alimentation prot ique au niveau national et local l accroissement de la sole en prot agineux et ol agineux biologiques plus de conversions travail sur les verrous techniques et de continuer les actions de recherche sur ces th matiques Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE RECHERCHE REGLEMENTATION MONOGASTRIQUE ALIMENTATION DES ANIMAUX PORCIN VOLAILLE PROGRAMME DE RECHERCHE FRANCE EUROPE PERFORMANCE DEROGATION PROTEINE AVICULTURE PERFORMANCE ZOOTECHNIQUE PERFORMANCE ECONOMIQUE IMPACT SOJA TOURTEAU DE SOJA APPROVISIONNEMENT MATIERE PREMIERE LEVURE DE BIERE IMPORTATION PROTEAGINEUX MATIERE PREMIERE INNOVANTE 2014 4 p d ITAB Institut Technique de l Agriculture Biologique r f 198 047 R daction ABioDoc Contr ler efficacement les parasites internes des bovins par la gestion de la p ture HECKENDORN Felix FRUTSCHI MASCHER Veronique WEIDMANN Gilles Les parasites internes sont parmi les agents pathogenes les plus importants pour les bovins au p turage en particulier les strongles gastro intestinaux les strongles pulmonaires et la grande douve Les r sistances aux mol cules antiparasitaires chimiques se d veloppent et sont irr versibles La pr vention le d veloppement d une bonne immunit des animaux sont primordiaux pour g rer le para
41. filets varie d un an plus de sept ans Elle d pend du soin apport lors de sa manipulation et de la dur e annuelle de l exposition aux radiations solaires En 2014 il en co te environ 1500 CAN en mat riaux et en main d uvre pour installer des moustiquaires dans une serre ou un tunnel de 80 m de long Avec une dur e de vie de quatre ans des revenus annuels additionnels de seulement 375 suffiraient pour rembourser l investissement de d part En production biologique les filets peuvent faire la diff rence entre une bonne et une mauvaise r colte www agrireseau gc ca agriculturebiologique documents Filet s 20anti insectes pdf Mots cl s FILET ANTI INSECTES PRODUCTION LEGUMIERE AGRICULTURE BIOLOGIQUE SERRE PREVENTION 2014 5 p d MAPAQ Direction r gionale de la Mont r gie secteur ouest r f 198 300 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 16 Production v g tale Initiative Paysans inventeurs et machines libres LOGLAIS Paul Bien souvent et d autant plus depuis l apparition de cultures maraicheres en planches permanentes les agriculteurs font preuve d innovations en construisant ou en adaptant leurs propres machines Pour viter les r p titions et mutualiser les id es qui peuvent germer un peu partout ADABio autoconstruction a t cr e dans l Is re Cette structure recense les innovations paysannes les teste les am liore si besoin et met disposition de t
42. juillet 2014 a Amboise 37 Le Rendez vous Tech amp Bio Viticulture www rdv tech n bio com Du 6 au 9 septembre 2014 Bologna Italie Salon SANA www sana it Du 3 au 5 octobre 2014 Bilbao Espagne BioCultura Bilbao 2014 www biocultura org Du 13 au 15 octobre 2014 a Istanbul Turquie IFOAM Organic World Congress 2014 www owc2014 org Le 14 octobre 2014 a La Pugere 13 Le Rendez vous Tech amp Bio Cultures p rennes www rdv tech n bio com Les 17 et 18 novembre 2014 Paris 8 me Conf rence IFOAM EU sur la Transformation Bio Trans formation alimentaire bio Nouveaux challenges D veloppement durable qualit int grit et nouvelle r glementation http organicfoodprocessing eu Pour plus d informations sur les v nements bio de l ann e www abiodoc com ISSN 1698 8399 le num ro 10 AGENDA QUEBEC AMERIQUE DU NORD Le 24 mai 2014 Saint lie de Caxton Bazar v g tal de St lie de Caxton T l 819 247 8779 www cetab org sites www cetab org files pdf agenda bio com munique bazar pdf Du 29 au 30 mai 2014 a Montreal Colloque 2014 De larive au talus la stabilisation des sols T l c 514 343 2288 info phytotechno com http phytotechno com collogque2014 index php page col loque html Du 27 Septembre 2014 au 28 Septembre 2014 La Pocati re Formation D marrage d une culture de raisin de table petite et moyenne chelle T l 418 856 1110 poste
43. langes de vari t s de pommiers r sistantes et sensibles associ es ou non des m thodes de prophylaxie travaux de l Inra et du Grab am nagement des abords du verger avec des infrastructures agro cologiques Ctifl trempage dans l eau chaude des fruits apr s r colte Grab Ctifl mise en place de zones de compensation cologique CRA W La combinaison de diff rentes m thodes de lutte alternatives au lieu de l utilisation d une seule d entre elles s est av r e particuli rement efficace Une autre conf rence s interessait quant elle la gestion du sol et des bioagresseurs telluriques en mara chage biologique fertilisation d une culture de chou fleur partir d engrais verts sem s sous couvert de c r ales Ctif SECL comparaison entre labour et non labour en cultures l gumi res Inagro pratiques de d sherbage m canique FiBL ma trise des bioagresseurs telluriques Ctifl etc Du c t des d monstrations de mat riel la pr paration des sols et le binage ont t tr s suivis par les visiteurs Mots cl s SALON ARBORICULTURE MARAICHAGE DEMONSTRATION RECHERCHE CONFERENCE CONTROLE DES RAVAGEURS CONSERVATION DES SOLS PATHOGENE DU SOL PREPARATION DU SOL LUTTE ALTERNATIVE LUTTE BIOLOGIQUE TECHNIQUE CULTURALE ENGRAIS VERT LABOUR NON LABOUR SOLARISATION BIOFUMIGATION DESHERBAGE MECANIQUE MATERIEL AGRICOLE AGRICULTURE BIOLO
44. les cultures les cendres dynamis es de bois de taille malade pour lutter contre la maladie en question Mots cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE TEMOIGNAGE MEUSE TISANE PROTECTION DES VEGETAUX AGRICULTURE DURABLE VERGER POMMIER POIRIER HOMEOPATHIE BIOFIL n 92 01 03 2014 3 pages p 44 46 r f 198 070 R daction ABioDoc Journ es techniques fruits l gumes et viticulture La biodynamie l honneur GOULETTE Myriam L Itab le Grab et l Opaba ont organis en d cembre 2013 des journ es techniques d di es aux fruits l gumes et la viticulture bio Une matin e tait notamment consacr e la biodynamie L occasion de pr senter certains essais comparatifs sur ce mode de production l agriculture biologique et l agriculture conventionnelle Georg Meissner chercheur l universit de Genseilheim a expos les r sultats d un essai sur vigne globalement en faveur de la biodynamie croissance r duite de la vigne structure plus a r e du feuillage et des grappes Par ailleurs le laboratoire Aton ATL travaille sur la m moire de l eau autre th matique qui a interpell les participants ces journ es techniques Mots cl s JOURNEE TECHNIQUE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ARBORICULTURE MARAICHAGE VITICULTURE RECHERCHE ESSAI VERGER CONSERVATOIRE COMPARAISON BIO CONV HAUT RHIN FRANCE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 18 r f
45. moignages le film pr sente des alternatives pour vivre avec moins de biens et plus de liens pour r enchanter notre monde et propose des solutions qui rendent l homme son caract re humain Il y est question notamment d agriculture et de son volution et on notera l intervention de Marc Dufumier ing nieur agronome Mots cl s ALTERNATIVE T MOIGNAGE SOCIETE DECROISSANCE AGRICULTURE 2013 DVD Video 1h25 d EDITIONS MONTPARNASSE r f 198 106 R daction ABioDoc 41 cologie et ruralit Pour l amour de l eau SALINA Irena L eau ou or bleu repr sente aujourd hui un enjeu conomique mondial majeur Au m me titre que le p trole ou l lectricit c est une ressource importante de profits et les multinationales s organisent pour s en emparer et r pondre leurs int r ts au d triment des probl matiques cologiques rar faction acc l r e pollutions des sources et humaines acc s l eau potable C est le constat alarmant que dresse ce documentaire dans lequel la r alisatrice a interrog durant trois ans scientifiques militants cologistes porte parole d entreprises ou simples citoyens partout dans le monde L acc s l eau est il un droit Cette question risque de devenir de plus en plus d actualit Mots cl s EAU ACCES A L EAU GESTION DE L EAU RARETE DE L EAU ENVIRONNEMENT SOCIETE MONDE T MOIGNAGE 2014 DVD Video 1h23 d EDITIONS MONTPA
46. observatoire qui s est poursuivie jusqu la campagne 2012 Apres une presentation de l chantillon d tude cette synth se fournit les principaux r sultats pluriannuels de cet observatoire lls concernent les projets d introduction de produits bio l volution du nombre et de la fr quence de repas biologiques servis les principaux fournisseurs et les types de produits introduits les actions de sensibilisation mises en place et les r actions suscit es au sein des tablissements Enfin des focus sur les r gions Auvergne Limousin et Rh ne Alpes sont pr sent s www abiodoc com pole ABMC publications rhd Mots _ cl s RESTAURATION COLLECTIVE RESTAURATION HORS DOMICILE PRODUIT BIOLOGIQUE OBSERVATOIRE MASSIF CENTRAL AUVERGNE LIMOUSIN RHONE ALPES ENQUETE SENSIBILISATION CONSOMMATION ALIMENTAIRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB FILIERE CHIFFRE STATISTIQUES 2013 20 p d POLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MASSIF CENTRAL r f 198 088 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 28 Pistes d actions et de d veloppement pour les plateformes de distribution et les GAB du Massif Central Observatoire 2010 2012 Introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration collective l chelle du Massif Central FOURNIER Judith VALLAS Myriam L observatoire de l introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration col
47. produire mieux pour manger tous de capter du carbone au lieu d en lib rer de privil gier la souverainet alimentaire la r gle verte et la planification cologique par des contractualisations souples C est ainsi que l on mettra en valeur les terroirs de France avec une production agricole diversifi e Ce livre balise donc de nouvelles pistes pour bien se nourrir sans manger dans l assiette des autres tout en gardant des capacit s d exportation Ce qui suppose aussi de r duire la part des prot ines animales dans notre alimentation quotidienne et de diversifier l alimentation des animaux que nous levons pour le lait et la viande Il s agit d un d fi passionnant que les agriculteurs les d cideurs politiques et les consommateurs devront relever ensemble Mots cl s AGRICULTURE DURABLE SOCIETE ALIMENTATION HUMAINE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT FRANCE MONDE FAIM DANS LE MONDE AGROCARBURANT ORGANISME GENETIQUEMENT MODIFIE POLITIQUE CONTROVERSE GROUPE D INFLUENCE POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE POLITIQUE AGRICOLE DISTRIBUTION GRANDE SURFACE CEREALE LAIT GASPILLAGE ALIMENTAIRE SECURITE ALIMENTAIRE ENERGIE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE VIANDE ELEVAGE ALIMENTATION DES ANIMAUX SOUVERAINETE ALIMENTAIRE AGROFORESTERIE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ELEVAGE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CHATAIGNE NOIX OLIVE HUILE D OLIVE FONCIER TERRE AGRICOLE PRODUCTION DE PROXIMITE ACCES A LA TERRE 2013
48. produits sont de plus en plus demand s La fili re Roquefort bio 2 me d bouch pour cette production laiti re doit quant elle faire face une situation plus d licate Les ventes de Roquefort diminuent sauf en bio o elles plafonnent Les producteurs bio qui alimentent la fili re Roquefort restent toutefois confiants et attendent une mobilisation des industriels autour de ce produit En 2001 cinq producteurs ont cr le GIE Bio du Pays de Roquefort qui comptait 20 fermes en 2013 1 8 million de litres ont t collect s et vendus des transformateurs de toute la France par les leveurs de ce GIE Mots cl s FILIERE LAIT AVEYRON ELEVAGE BIOLOGIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE BREBIS LAITI RE OVIN LAIT PRODUCTION LAITIERE MARCHE TRANSFORMATION LAIT DE BREBIS BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 6 r f 198 012 R daction ABioDoc Bretagne Focus sur la fili re viande BVB RIPOCHE Fr d ric Le groupement Bretagne Viande Bio BVB acteur 100 bio cr il y a 23 ans a organis une journ e d di e la fili re viande le 16 d cembre 2013 Pour ce groupement circuits courts et circuits longs ne sont pas incompatibles et ils sont m me compl mentaires pour certains de leurs adh rents Cette journ e a t l occasion de s interroger sur l avenir de la fili re avec des prix en conventionnel qui fluctuent beaucoup des d parts en retraite pas toujours compens s Observation ra
49. qu il y a de la place pour les conversions pour cette culture pas si difficile mener Mots cl s ASPERGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE T MOIGNAGE LANDES MAINE ET LOIRE ALLIER PRATIQUE AGRICOLE PROTECTION DES VEGETAUX ITINERAIRE TECHNIQUE DEFENSE NATURELLE DES PLANTES CULTURE LEGUMIERE MARCHE FILIERE BIOFIL n 92 01 03 2014 5 pages p 48 52 ref 198 072 R daction ABioDoc Les anciennes varietes au go t du jour DUBON Guy Les vari t s anciennes de tomates ont la c te aupr s des consommateurs notamment pour ceux qui recherchent des produits biologiques Afin de mieux valuer les vari t s anciennes adapt es une production biologique et de produire des r f rences sur celles ci le Grab d Avignon a conduit des essais de 2005 2013 Plus de 130 vari t s de types C ur de b uf Marmande Albenga Noire de Crim e Cornue des Andes ont t test es sous abri ou en plein champ Pour chacune les rendements moyens en 1er et 2nd choix les calibres les qualit s gustatives et autres caract ristiques ont t valu s Si certaines vari t s sont int ressantes tout point de vue d autres plus difficiles cultiver ont n anmoins des qualit s gustatives qui les rendent tr s attractives Mots cl s MARAICHAGE TOMATE VARIETE ANCIENNE RECHERCHE ESSAI VARIETAL RENDEMENT QUALITE ORGANOLEPTIQUE VAUCLUSE AGRICULTURE BIOLOGIQUE RESSOURCE GENETIQUE REUSSIR FRUITS ET
50. s en quatre grandes categories les indicateurs de la diversit g n tique v g tale et animale les indicateurs de diversit des esp ces les indicateurs de diversit des habitats les indicateurs de gestion agricole Ce r sum en fran ais du guide des indicateurs de biodiversit publi en anglais pr sente les indicateurs le projet BioBio qui a conduit leur laboration les tudes de cas sur lesquelles ils ont t test s 12 r gions p doclimatiques repr sent es la m thodologie de calcul des indicateurs la perception de la biodiversit par les parties prenantes organismes publics de recherche organisations d agriculteurs associations de consommateurs les applications possibles au del des fronti res de l Europe les conclusions du projet www biobio indicator org project php 1 3 Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE SYSTEME A FAIBLES INTRANTS EUROPE BIODIVERSITE INDICATEUR RECHERCHE INDICATEUR AGRO ENVIRONNEMENTAL CONSERVATION DES ESPECES PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE ESPECE HABITAT NATUREL PRATIQUE AGRICOLE SYSTEME AGRAIRE 2012 20 p ed AGROSCOPE Station de recherche Agroscope Reckenholz T nikon ART ref 198 085 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Dossier Le concours g n ral agricole des prairies fleuries HANNACHI Yousri SIMEON V CHIRON
51. veille le traitement et la diffusion d information int ressant les acteurs de l agriculture biologique l chelle fran aise et internationale LES SERVICES Gestion du fonds documentaire Gestion et alimentation de la Biobase Gestion de la base des Acteurs de la Bio regroupant organismes et personnes Edition du Biopresse Service questions r ponses Participation des projets de recherche d veloppement Abio www abiodoc com Le partenariat entre ABioDoc et le CETAB SES MISSIONS L entente permet d amplifier pour tous la mise amp disposition d informations en lien avec l agriculture biologique et de renforcer la mise en r seau entre les deux zones g ographiques SES REALISATIONS e Un partage de la veille Le CETAB voit couvrir les documents produits en Am rique du Nord et ABioDoc r pertorie les publications d Europe et du reste du monde e Une alimentation commune de la Biobase la base de donn es documentaire e L dition commune du Biopresse e Des synergies dans le cadre des services questions r ponses e Des transferts d informations et de contacts C gep V de Victoriaville Agriculture P cheries VetAgro Sup et Alimentation 2 Quebec Datar pg Massif central Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Europe MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FOR T a I le Massi
52. 066 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Production animale Passage une alimentation 100 AB en levage de monogastrique partir du 1er janvier 2015 quelles cons quences ROINSARD Antoine JUIN Herv GERMAIN Karine et al La fin de la d rogation permettant d incorporer 5 de mati res premi res alimentaires conventionnelles dans l alimentation des monogastriques biologiques doit s achever partir du 1er janvier 2015 Divers programmes de recherche sont en cours pour travailler sur les solutions possibles Cette note pr sente leurs premiers r sultats Ainsi techniquement des formules alimentaires 100 bio sont possibles Cela sous entend une augmentation de la consommation de tourteau de soja et de levures pour les porcins Des alternatives ces mati res premi res sont possibles comme le tourteau de chanvre ou le concentr prot ique de luzerne Cela peut aider cette transition mais globalement se pose la question de l approvisionnement A ce jour une consommation plus lev e de tourteau de soja veut dire augmentation des importations Si des formulations 100 bio sont techniquement faisables avec globalement un maintien des performances les co ts de production vont augmenter environ 10 du moins dans un premier temps Quelles cons quences pour les marges des producteurs Vue l augmentation de la demande pr voir l approvisionnement pourra t il suivre Il
53. 4 Senegal L agriculture bio en developpement Au Senegal 2 000 a 3 000 agriculteurs se sont regroup s pour produire bio au sein de la F d ration Nationale pour l Agriculture Biologique FENAB selon Radio France internationale qui vient de diffuser un reportage sur ce th me L emploi irraisonn de pesticides est mauvais pour la sant des enfants et a d j tu des personnes explique une productrice de tomates au micro de RFI Il y a d j 18 ans elle a remplac l emploi de pesticides par du neem une plante traditionnelle Avec l AB cela prend du temps mais au moins on est s rs de la qualit de nos produits Selon RFI les producteurs changent des astuces et tentent de mettre en place un syst me de points de vente Dakar Le tout dans un contexte o l emploi de pesticides reste dominant selon des estimations du minist re de la Direction de l horticulture l agriculture s n galaise utilise en moyenne annuellement 598 tonnes de pesticides solides et plus de 1 3 millions de litres de pesticides liquides Pr sentation de la FENAB sur le site du CNCR Conseil national de concertation et de coop ration des ruraux www cncr org spip php article193 amp var recherche FE NAB Source Bio Marche Info 27 mars 2014 Le point sur les Pr parations naturelles peu pr occupantes Dans un document de 4 pages la Conf d ration Paysanne fait le point sur les Pr parations nature
54. 78 6539 info irda qc ca www irda qc ca fr DD Evaluation de la technique d exclusion par filets dans deux vergers de pommiers du Qu bec www cetab org system files publications irda fiche fil ets exclusion pdf AOUN Mirella MARTIN Yveline CHOUINARD G rald 4 p ITAB Institut Biologique 149 Rue de Bercy 75 595 PARIS CEDEX 12 FRANCE T l 01 40 04 50 64 Fax 01 40 04 50 66 secretariat itab itab asso fr www itab asso fr B gt Passage une alimentation 100 AB en levage de monogastrique partir du 1er janvier 2015 quelles cons quences ROINSARD Antoine GERMAIN Karine JUIN Herv ET AL 4p Technique de l Agriculture MAPAQ Direction r gionale de la Mont r gie secteur ouest 177 rue Saint Joseph local 201 JOS 1V0 SAINTE MARTINE QUEBEC CANADA T l 450 427 2000 Fax 1 450 427 0407 www mapag gouv ac ca fr Productions md nousjoindr e redirect Pages index production aspx B gt Les filets anti insectes ou comment garder les insectes distance de vos l gumes www agrireseau gc ca agriculturebiologigque docume nts Filets 20anti insectes pdf VILLENEUVE Christine 5 p MINISTERE DE L AGRICULTURE L AGROALIMENT AIRE ET DE LA FORET FRANCE http agriculture gouv fr B gt Programme Ambition Bio 2017 exemplaires http agriculture gouv fr ambition bio 2017 MINISTERE DE L AGRICULTURE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET 68 p DE Projets DE Biopresse 198 Mars 2014
55. ASITAIRE PARASITE INTERNE PATURAGE PREVENTION STRONGLE GASTRO INTESTINAL PATURE DOUVE VER PULMONAIRE STRONGLE GESTION SUISSE CONTROLE 2014 12 p d FIBL Institut de recherche de l agriculture biologique BIO SUISSE r f 198 053 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 ADARTH GEDA DE L AVESNOIS L herbe toute une culture en Avesnois LESCHIERA Christophe JANSEN Marion CARLIER Damien Cet article relate dans le d partement du Nord des projets men s par l ADARTH Geda de l Avesnois sur la valorisation et la culture de l herbe L un de ces projets Inter herbe tait men avec les leveurs belges voisins de 2010 2013 et ce sont principalement ses r sultats qui sont pr sent s ici Le constat tait que malgr les surfaces importantes en herbe 50 70 de la SAU est en prairie l herbe est peu consid r e par les leveurs qui sous estiment ses apports nutritifs il est courant d entendre qu on ne peut faire du lait seulement avec l herbe Mais le contexte est favorable une revalorisation de l herbe avec notamment l augmentation du prix des c r ales et des mati res premi res et les nouvelles contraintes environnementales chargement plan d pandage etc Le groupe a travaill sur une meilleure connaissance de l herbe typologie commune qualit floristique conduite du troupeau au p turage suivi des r coltes d herbe observatoire de la pousse et
56. Biopresse 198 Mars 2014 Refus d un viticulteur bio de traiter ses vignes suite Le viticulteur de C te d Or Emmanuel Giboulot qui avait refus de traiter ses vignes contre la flavescence dor e a t condamn lundi 7 avril 500 d amende assortis de 500 avec sursis Le viticulteur a fait appel de cette d cision du tribunal correctionnel de Dijon Source www actu environnement com 7 avril 2014 Refus d un viticulteur de traiter ses vignes compl ment Bio Consom acteurs a dit une note expliquant pourquoi l histoire du viticulteur n ayant pas voulu pandre un insecticide est plus complexe qu il n y para t et relatant la difficult de la situation concernant la flavescence dor e www bioconsomacteurs org bio dossiers agriculture p ourquoi l histoire du viticulteur n ayant pas voulu epandre un insecticide Source Bio Consom info n 71 3 avril 2014 Protocole de Kyoto La France pr sente son projet de loi ratifiant la seconde p riode Laurent Fabius ministre des Affaires trang res et du D veloppement international a pr sent le 9 avril en conseil des ministres le projet de loi autorisant la ratification de la deuxi me p riode d engagement 2013 2020 du Protocole de Kyoto sur les changements climatiques La Commission europ enne a invit les tats membres achever leurs ratifications d ici f vrier 2015 Le Paquet nergie climat pr voit une r duction de 20 par rap
57. DE LA VAISSIERE Jean Au fil du temps les tals des primeurs et les rayons des producteurs de semences et plants semblent s appauvrir L offre en plants de choux notamment a quasiment disparu Accus de provoquer des flatulences d tre difficile dig rer etc ce l gume pr sente pourtant de nombreuses propri t s m dicinales Consomm dans toutes les classes sociales le chou a longtemps t consid r comme le m decin du pauvre nombreuses propri t s pectorales et digestives rem de contre les plaies les br lures Il existe une multitude de vari t s de choux du traditionnel chou vert aux choux d coratifs et des modes de consommation vari s Crus cuits fermentes Mots cl s CHOU PROPRIETE MEDICINALE SANTE VERTU HISTORIQUE CUISINE UTILISATION NATURE amp PROGRES n 95 01 11 2013 2 pages D 44 45 r f 198 007 R daction ABioDoc 29 Statistiques L agriculture Bio en Rh ne Alpes Edition 2014 Reperes 2013 Les chiffres de la production transformation et distribution CORABIO BIOCONVERGENCE L agriculture biologique en Rh ne Alpes fin 2013 repr sente 2 867 exploitations agricoles en bio ou en conversion 7 3 des exploitations r gionales la r gion est d ailleurs la 1 re r gion fran aise en nombre d exploitations bio elle compte aussi 96 027 ha en bio ou en conversion 6 2 de la SAU regionale 1 060 pr amp parateurs bio la r gion est la 1 re en no
58. DUCTION ANIMALE HYGIENE VETERINAIRE REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE ALIMENTATION DES ANIMAUX FRANCE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 20 22 r f 198 065 R daction ABioDoc levage caprin A l herbe faites tourner RIPOCHE Fr d ric L levage caprin pour sa r ussite notamment en AB doit prendre en compte divers grands principes pr vention notamment face la sensibilit de la ch vre au parasitisme gestion rigoureuse de l alimentation et du p turage viser l autonomie alimentaire Le p turage tournant est n cessaire et il faut tenir compte du comportement alimentaire de la ch vre qui a tendance avoir de nettes pr f rences pour certaines plantes L alternance prairies et zones bois es peut tre un plus Par ailleurs l agriculteur peut choisir ou non de d saisonner Deux t moignages d agriculteurs pr sentent d abord un syst me saisonn puis un syst me d saisonn mais tout deux visant une utilisation optimale de l herbe Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE CAPRIN SANTE ANIMALE MALADIE PARASITAIRE ALIMENTATION DES ANIMAUX PATURAGE DESAISONNEMENT REPRODUCTION ANIMALE T MOIGNAGE LAIT DE CHEVRE HERBE CONDUITE D ELEVAGE ILLE ET VILAINE FRANCE TOURAINE AUTONOMIE PREVENTION GESTION DU PATURAGE BIOFIL n 92 01 03 2014 4 pages p 36 39 r f 198 048 R daction ABioDoc Production animale Des syst mes durables pour dynamiser Paviculture
59. EJ Annabelle VEILLEUX Jonathan VANOOSTUYSE Franz La c cidomyie des atocas est un ravageur dommageable pour les cultures de canneberges en r gie biologique Elle peut affecter jusqu 50 de la production des tiges affect es par rapport aux tiges non affect es La m thode actuelle de d pistage s av re laborieuse car elle se fait par l observation de 1000 pousses en vue de d terminer un seuil de contamination Cette tude voulait d velopper une m thode efficace et h tive de d pistage des adultes afin de mieux planifier la gestion de ce ravageur Le projet a valu l efficacit de deux pi ges d mergence d pister les adultes de la c cidomyie des atocas dans les atocati res qu b coises Le CETAQ a r alis le d pistage traditionnel des pousses alors que l quipe du laboratoire PFI de l IRDA a r alis les relev s de populations des adultes dans les pi ges d emergence Selon les donn es recueillies le pi ge d amp mergence p tri a t le plus efficace capturer les adultes de c cidomyie en 2012 Une corr lation de 88 a t observ e entre les populations des adultes observ s en 2012 et 2013 et les larves observ es dans les champs la semaine suivante Cette nouvelle m thode donne de bons r sultats alors qu elle est trois fois moins ch re que la m thode de d pistage traditionnelle La derni re tape de cette approche consiste d terminer un seuil d intervention pour la c cidomyie
60. GIQUE FRANCE PROTECTION DES VEGETAUX INFOS CTIFL n 298 01 01 2014 3 pages p 6 8 r f 198 025 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 48 che et syst me sp cifique Semences et s lection en session DinABio quels enseignements pour orienter la recherche FONTAINE Laurence MEYNARD Jean Marc REY Fr d ric Une session du colloque DinABio organis par l Inra et l Itab les 13 et 14 novembre 2013 Tours tait consacr e aux travaux de recherche sur les semences et la s lection Ainsi les participants ont pu prendre connaissance des volutions mais aussi des manques de la s lection pour l agriculture biologique Des approches diverses sont d velopp es de la s lection en station de recherche la s lection participative chez les agriculteurs Face la diversit de l agriculture biologique les crit res de s lection sont vari s productivit comp titivit vis vis des adventices qualit gustative des produits En revanche les esp ces tudi es sont tr s r guli rement des c r ales alors que les vari t s potag res pour lesquelles la demande est pourtant importante sont encore peu mises l essai dans le cadre de s lection varietale pour l AB Autre manque relev par les auteurs de cet article la s lection animale n a pas t trait e l occasion du colloque DinABio Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE RECHERCHE COLLOQUE SELECTION VARIE
61. GOGIE CHAMBRES D AGRICULTURE n 1029 01 01 2014 12 pages p 13 20 et p 25 28 r f 198 086 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 36 cologie et ruralit D veloppement rural Jennifer Corbeau et Bruno J gou Une SCI pour racheter des terres BESNARD Antoine Install e en novembre 2012 sur la commune de Tr margat dans les C tes d Armor avec 50 brebis laiti res bio Jennifer Corbeau a t rejointe par son compagnon Bruno J gou et ses 15 vaches allaitantes L installation s est faite d ailleurs sur la ferme familiale de ce dernier Seulement 20 des 40 ha sont lou s un voisin qui refuse cat goriquement de poursuivre la location avec les deux jeunes agriculteurs bio Les animaux se retrouvent alors sans p turage fixe La solidarit locale leur permet de mieux envisager l avenir Une Soci t Civile Immobili re SCI a en effet t cr e sur la commune de Tr margat afin de r colter via l pargne solidaire part de 100 euros l argent n cessaire l achat de 22 ha en vente sur une commune voisine Fin 2013 36 000 euros sur les 66 000 n cessaires ont t r colt s dont 10 000 ont t investis par la commune de Tr margat Un pr t bancaire pourrait venir compl ter l enveloppe Mots cl s COTES D ARMOR DEVELOPPEMENT RURAL INSTALLATION AGRICOLE FONCIER ACCES A LA TERRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ELEVAGE BIOLOGIQUE EPARGNE SOLIDAIRE CITOYENNE OVIN
62. IE ALIMENTAIRE AGRESTE BRETAGNE n d cembre 2013 8 01 12 2013 4 pages p 1 4 r f 198 009 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 30 Observatoire regional de l agriculture biologique des Pays de la Loire Donn es 2012 GOSCIANSKI Christine En 2012 la r gion Pays de la Loire comptait pr s de 110 000 hectares de sa SAU en bio 2 me rang national soit 5 2 de sa SAU totale 8 me rang national Au total ce sont 1 951 exploitations qui taient certifi es bio ou en conversion en 2012 6 me rang national Ce document pr sente l agriculture biologique en France les chiffres cl s de l agriculture biologique en Pays de la Loire en 2012 les exploitations bio les conversions et les installations en agriculture biologique la main d uvre les surfaces en agriculture biologique les grandes cultures bio un zoom sur la fili re grains biologiques des Pays de la Loire la viticulture bio les fruits bio les l gumes bio les op rateurs ayant une activit en fruits et l gumes bio en Pays de la Loire les semences et les PPAM bio les surfaces fourrag res bio la production bovins viande bio la production bovins lait bio la production de volailles de chair bio la production d ufs bio la production porcine bio la consommation d aliments en levage de volailles et de porcs bio les productions caprines et ovines bio www paysdela
63. IF CENTRAL r f 198 089 R daction ABioDoc Qualite L affinage L art d lever des levures des bact ries et des moisissures GUEGUEN Katell L affinage intervient en derni re tape de la fabrication du fromage les premi res tant la pr paration du lait la coagulation avec de la pr sure et l gouttage C est au cours de l affinage que se d veloppent levures moisissures et bact ries chacune ayant un effet diff rent sur la transformation du fromage Ainsi les levures jouent notamment sur la d gradation des prot ines prot olyse et en cas de probl me le fromage pourra avoir un go t amer Les r actions chimiques concernant les mati res grasses joueront sur l odeur et la consistance du fromage plus les mol cules de lipides seront petites plus le fromage sera coulant Les Penicilliums plus riches en lipases feront un fromage de ch vre avec un go t plus marqu que les G otrichum plus actifs sur la d gradation des prot ines La qualit de l air aussi bien en temp rature qu en humidit sera d terminante notamment pour un bon travail des levures bact ries et autres moisissures mais aussi pour viter la freinte savoir l assechement du fromage Mots cl s AFFINAGE FROMAGE QUALITE TRANSFORMATION FABRICATION FROMAGERE AGRICULTURE BIOLOGIQUE SYMBIOSE n 187 01 02 2014 2 pages p 16 17 r f 198 039 R daction ABioDoc Sant Plaidoyer pour les choux
64. IPATIVE EXPERIMENTATION RESEAU INSECTE RAVAGEUR PROTECTION DES VEGETAUX ENQUETE 2014 9 p amp d VINOPOLE BORDEAUX AQUITAINE r f 198 099 R daction ABioDoc Le dossier du mois La bio au resto Bio et local au resto c est un r gal MERABTINE Elodie ALLAIN Lise La demande en produits biologiques locaux pour la restauration commerciale augmente Des producteurs bretons t moignent de leur d marche ainsi que des restaurateurs ou associations de chefs cuisiniers Le choix pour les restaurateurs d avoir des produits biologiques locaux voire d tre enti rement en bio est souvent un engagement mais aussi une d marche en lien avec le go t la qualit de leur cuisine Les restaurateurs sont pour les agriculteurs des clients d marcher Les volumes sont petits mais r guliers et compl mentaires d autres d bouch s comme la vente en sup rettes La logistique li e aux livraisons reste un frein pour beaucoup plus que le surco t ou encore la gestion des certificats des fournisseurs pour les restaurateurs Un esprit d entraide entre producteurs et restaurateurs permet d apporter des r ponses simples pour les difficult s li es aux livraisons Autre frein la l gislation sur la restauration biologique est r cente un an et encore fort mal connue Du coup beaucoup de restaurateurs utilisant des produits bio n y font pas r f rence et ne sont pas d clar s aupr s de l Agence Bio Cette l gislatio
65. LEGUMES n 337 01 03 2014 2 pages p 36 37 r f 198 081 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Les filets anti insectes ou comment garder les insectes distance de vos l gumes VILLENEUVE Christine Les filets anti insectes sont surtout utilis s en production mara ch re et en serriculture En plus d tre utilis s contre les insectes ils offrent aussi une protection contre les vents violents la gr le etc La grosseur des mailles est fonction des insectes cibl s L identification des insectes probl matiques permet de faire le choix du filet appropri L id e serait de ne pas viser tous les insectes si les plus petits n affectent pas le rendement La dimension de la maille des filets doit tre inf rieure la largeur du thorax des ravageurs cibl s Un tableau dans ce document indique les types de moustiquaires choisir pour emp cher le passage des insectes La porosit est aussi un facteur consid rer car une bonne a ration est primordiale pour avoir des plantes en sant Pour les filets commerciaux anti c cidomyie la porosit varie de 32 80 Plus le mat riau est poreux plus il laisse passer l air ce qui limite les risques de maladies La transmission de lumi re peut varier de 64 92 selon les mat riaux Une baisse marqu e de luminosit peut conduire un d veloppement plus v g tatif mais ceci pourrait tre b n fique pour certains l gumes La dur e de vie des
66. LOGIQUE PRODUIT CONVENTIONNEL COMPARAISON BIO CONV ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 27 29 r f 198 067 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Solutions optimales pour une gestion durable des eaux de lavage de l gumes l chelle de la ferme projets pilotes BRASSARD Patrick GENEREUX Myl ne COTE Caroline et al Le rejet dans les cours d eau des matieres en suspension et du phosphore issus du lavage des l gumes racines pose un probl me environnemental Les producteurs agricoles doivent trouver des proc d s de traitement accessibles qui permettent de r duire l impact environnemental de cette eau Un projet a t mis en place par une quipe de l IRDA afin de trouver des solutions efficaces et applicables l chelle de la ferme pour limiter l impact environnemental du rejet II s est aussi donn pour objectif de pr ciser les voies de traitement qui devraient tre envisag es selon les pratiques et op rations en place dans les entreprises Les conclusions de cette tude ont r v l que le dessablage sec devrait tre favoris dans la majorit des entreprises afin de faciliter la manutention des solides extraits La recirculation de l eau et ou un ajustement de d bit devraient aussi permettre une r duction de l utilisation de l eau Les solutions diff rent si les cultures sont en terre noire ou en terre min rale En terre min rale la s dimentation permet d abattre les c
67. Le cerisier en agriculture biologique http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab STEVENIN Sophie 8 p B gt Le framboisier http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab CHEVALIER C dric 8 p AGROSCOPE Station de recherche Agroscope Reckenholz T nikon ART Reckenholz CH 8046 Z RICH SUISSE T l 41 0 44 377 71 11 info art admin ch www agroscope ch DD Biodiversity Indicators for European Farming Systems Guidebook www biobio indicator org project php l 3 HERZOG Felix DENNIS Peter BALAZS Katalin ET AL 105 p 20 B gt Indicateurs de biodiversit dans les syst mes agricoles europ ens Sommaire du guide www biobio indicator org project php l 3 HERZOG Felix BALAZS Katalin DENNIS Peter ET AL 20 p CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit 475 Notre Dame Est G6P 4B3 VICTORIAVILLE CANADA T l 1 819 758 6401 Fax 1 819 758 8960 info cetab org www cetab org DO Le contr le des pucerons par les coccinelles sous filets d exclusion dans un verger de pommiers en r gie biologique au Qu bec www cetab org system files publications cetab fiche effi cacite de la coccinelle pour lutter contre les pucero ns pdf GAGNON LUPIEN No mie CHOUINARD G rald AOUN Mirella 5 p B gt Manuel des intrants biologiques www cetab org system files publications mib 2014 pdf DUVAL Jean MENARD G
68. N Aur lie BELLEIL Wilbene CENATUS Beno t CROISEL Geoffroy MENARD Esm ralda RIBEIRO Myriam VACHER VALLAS Sophie VALLEIX BIOPRESSE pi Ol SOU ABis Doc Revue dit e et imprim e par ABioDoc Centre National de Ressources en Agriculture Biologique avec le soutien du minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t du Commissariat de Massif Massif Central et du Conseil R gional d Au vergne VetAgro Sup Campus agronomique de Clermont 89 Avenue de l Europe BP 35 63370 LEMPDES France T l 04 73 98 13 99 Fax 04 73 98 13 98 abiodoc educagri fr www abiodoc com CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit Revue r alis e en collaboration avec le CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit avec le soutien du programme Innovbio du minist re de l Agriculture des P cheries et de l Alimentation du Qu bec Agriculture P cheries et Alimentation P Qu bec C gep de Victoriaville 475 Rue Notre Dame Est Victoriaville Qu bec G6P 4B3 Canada T l 819 758 6401 poste 2772 veille cetab org www cetab org Biopresse 198 Mars 2014 PRODUCTIONS ANIMALES Elevage Portes ouvertes Le r seau bio relance les Fermes ouvertes d automne BIO NORMANDIE Le r seau GAB GRAB de Basse Normandie a organis en octobre 2013 sa deuxi me session de fermes ouver
69. NOIR MONILIA CORYNEUM GNOMONIA BACTERIOSE PHYTOPTE ANTHRACNOSE VERGER COUT TRAITEMENT REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE PLANTATION FRANCE 2013 8 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES r f 198 052 R daction ABioDoc Production v g tale Autres cultures Essais visant l am lioration de la qualit du semis et l optimisation des rendements dans la culture du chanvre industriel biologique VILLENEUVE Sara Les petites c r ales connues au sud du Qu bec sont inaptes s implanter dans les r gions nordiques du Qu bec Les producteurs nordiques doivent chercher et trouver des alternatives afin d am liorer leur technique de production et leur rentabilit financi re Depuis quelques ann es le chanvre industriel pour l alimentation humaine est cultiv par certains producteurs biologiques Cette culture permet une bonne rotation mais les techniques de cette production m ritent d tre am lior es afin de stabiliser le rendement et ainsi augmenter l offre r gionale Ces derni res ann es le principal probl me de la culture du chanvre est le pourcentage de lev e des grains obtenu dans la r gion qui est g n ralement faible En 2012 et 2013 des essais ont t conduits sur 4 sites diff rents afin d am liorer la lev e du chanvre dans les entreprises agricoles Selon les r sultats observ s les dates de semis habituelles des producteurs de la r gion ont
70. NOLOGY volume 28 01 03 2014 7 pages p 259 265 r f 198 313 R daction CETAB Fertilisation Do cover crop species and residue management play a leading role in pepper productivity Les cultures de couvertures et la gestion des residus jouent elles un r le de premier plan dans la productivit du poivron Anglais CAMPIGLIA E RADICETTI E BRUNETTI R et al Les cultures de couverture sont de plus en plus utilis es dans les syst mes de productions durables Une exp rience de terrain de 2 ans a t r alis e dans le but d valuer l effet des cultures de couverture et la gestion de leurs r sidus sur la productivit d une culture de poivron Les traitements consistaient en une combinaison de cultures de couverture de vesce velue d avoine avec diff rents syst mes de gestion de r sidus labour s ou tondues et plac s dans des bandes en rang de la culture comme paillis Ces m thodes ont t compar es une parcelle sans culture de couverture Les cultures de couverture ont t sem es au d but septembre et d truites m caniquement en mai environ une semaine avant le repiquage du poivron Le poivron a t transplant dans des rang es paires qui ont t plac es au milieu des bandes de paillis Apr s la r colte des cultures de couverture la vesce velue a montr la biomasse a rienne et la teneur en azote total les plus lev es tandis que l avoine a permis la meilleure r duction de mauvai
71. NVIRONNEMENTALE PROTECTION DE L EAU AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 5 r f 198 011 R daction ABioDoc 45 Vie professionnelle Reglementation Le point avec Ecocert Mesures appliquer en cas d infraction ou d irr gularit SIRVEN Ga tan Le r glement europ en 392 2013 du 29 avril 2013 pr voit que chaque pays membre doit avoir un catalogue de mesures suivre en cas d irr gularit ou d infraction au cahier des charges biologique L autorit comp tente en France pour dresser ce catalogue est INAO qui a travaill avec les organismes certificateurs pour dresser ce catalogue Ce dernier contient minima une liste des infractions et irr gularit s alt rant le caract re biologique des produits et les mesures correspondantes prendre par les organismes certificateurs Ce catalogue de mesures entrera en vigueur courant 2014 L INAO conduit actuellement un travail pour compl ter ce dernier sur les manquements non alt rants carts de gravit mineure et les mesures aff rentes Dans une deuxi me partie l article rappelle divers l ments relatifs l attache des bovins interdite dans le cahier des charges biologique Il existait une d rogation pour certaines exploitations qui a pris fin le 31 d cembre 2013 Il existe malgr tout encore une possibilit de solliciter une d rogation sous certaines conditions assez restrictives Pour cela un formu
72. ONSTANT Nicolas En Languedoc Roussillon les viticulteurs doivent r guli rement faire face des attaques d oidium Pour ceux qui cultivent en bio les moyens de lutte sont relativement limit s Pour accompagner les viticulteurs biologiques dans ce contexte ce document r alis par Sudvinbio pr sente le champignon responsable de l oidum et les conditions favorables son d veloppement Puis des moyens de lutte adapt s l agriculture biologique sont d crits Enfin une foire aux questions apporte les r ponses aux interrogations les plus fr quentes des viticulteurs bio de la r gion www sudvinbio com home qui sommes nous nos publications Mois cl s VITICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PROTECTION DES VEGETAUX VIGNE LANGUEDOC ROUSSILLON OIDIUM CEPAGE PROPHYLAXIE RESISTANCE VARIETALE TRAITEMENT PHYTOSANITAIRE SOUFRE OUTIL D AIDE A LA DECISION EXPERIMENTATION 2013 24 p d SUDVINBIO r f 198 083 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 22 Production vegetale Acqu rir des references en bio Int r t du r seau collaboratif RESAQVitiBio DAVIDOU Ludivine AVELINE Nicolas BERNARD Ana s Le RESAQVitiBio est un r seau collaboratif mis en place en Aquitaine dans le but d acqu rir des r f rences sur les syst mes viticoles biologiques de la r gion De 2011 2013 une s rie d essais chez des viticulteurs avait pour objet l utilisation de l argile kaolinite
73. RE EVOLUTION TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p HI IV r f 198 058 R daction ABioDoc 39 cologie et ruralit Association Agriculteurs M thaniseurs de France Un collectif Recherche et D veloppement TORCY Bertrand de Cet article est extrait du dossier de la revue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es L Association des Agriculteurs M thaniseurs de France AAMF est un collectif d agriculteurs qui par l change et la mise en r seau cherche am liorer la ma trise de cette nouvelle activit L association d veloppe des outils des connaissances met en place des bonnes pratiques et des r f rences Mais ce collectif est galement une force pour faire remonter au niveau d cisionnel et politique des propositions pour adapter la r glementation cette fili re naissante N acceptant que des membres disposant d j du permis de construire d un biodigesteur l association regroupe aujourd hui apr s 3 ans d existence une soixantaine de structures agricoles soit 30 des installations de m thaniseurs Elle est accompagn e notamment par TRAME et financ e par l ADEME pour qui en mati re de m thanisation l agriculteur restera le principal fournisseur de mati res premi res Gr ce cette association les agriculteurs se rencontrent fr quemment et se soutiennent techniquement et moralement Ils deviennent tr s pointus sur
74. RNASSE r f 198 107 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 VIE PROFESSIONNELLE Economie Dossier Economie solidaire NIONCEL Claire VALOIS Alexie GIRAUD CHATENET Sophie et al L adoption en France en novembre 2013 du projet de loi relatif l conomie sociale et solidaire permet une reconnaissance l gale de cette voie conomique et des 200 000 entreprises qui la pratiquent associations coop amp ratives L conomie sociale et solidaire se caract rise par la poursuite d un but d utilit sociale une gouvernance d mocratique ou participative d finie par des statuts et une gestion dont l objectif lucratif est limit et encadr Plusieurs initiatives d ores et d j mises en place sont pr sent es dans ce dossier Parmi elles un certain nombre concernent le secteur agricole la Banaste de Marianne et ses salari s en r insertion trient les fruits et l gumes invendus du march de Marseille pour les redistribuer aux plus d munis Vitamine T cr e des entreprises d insertion par exemple en maraichage biologique les Banques alimentaires collectent chaque matin les produits frais des GMS retir s avant p remption la Ruche qui dit Oui est une plateforme web qui facilite le lien entre producteurs et consommateurs le p le territorial de coop ration conomique Mundo Les Ateliers r unit des agriculteurs du Tarn pour une meilleure valorisat
75. TALE SEMENCE VEGETALE BESOIN INNOVATION AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 6 8 ref 198 030 R daction ABioDoc Dossier bio STREITH Michel CRESSON C line ALLAIRE Gilles et al La justification de l engagement dans un mode de production ou de consommation en agriculture biologique repose sur les dimensions transversales de cette activit Les motivations ob issent g n ralement plusieurs finalit s ou conduites tout autant conomiques qu ethiques et politiques Les pratiques traversent des territoires sociaux tr s divers tant au plan individuel que collectif Mais la recherche n a pas encore suffisamment pris en compte cette r alit dans la construction d outils m thodologiques et th oriques appropri s l tude et au d veloppement du bio Dans la suite du colloque sur les transversalit s de l AB qui a r uni des intervenants d horizons tr s diff rents ce num ro d Economie Rurale propose des pistes de r flexion partir des enjeux conomiques des pratiques et discours et de l identit de l agriculture biologique D passant les clivages institutionnels et disciplinaires traditionnels les articles propos s augurent de nouvelles passerelles scientifiques Mots cl s TRANSVERSALITE AGRICULTURE BIOLOGIQUE CONVERSION COLLECTE FILIERE LAIT POLYCULTURE ELEVAGE AGRICULTURE DE CONSERVATION CANTINE SCOLAIRE TYPOLOGIE DES EXPLOITATIONS
76. UCTION PLANT TRAVAIL DU SOL PLANTATION FERTILISATION DESHERBAGE CONTROLE DES ADVENTICES BUTTAGE IRRIGATION PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR MALADIE RECOLTE CONSERVATION REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE BRETAGNE 2013 10 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES SERAIL Station d Exp rimentation Rh ne Alpes Information L gumes r f 198 044 R daction ABioDoc Maurice Meyer sp cialiste du l gume racine plein champ en biodynamie HUBER G rald SCHAUB Christiane LAMBION J r me Maurice Meyer install en 1996 sur 21 hectares en Alsace a converti son exploitation biologique l agriculture biodynamique en 1998 G rant dans un premier temps un syst me tr s diversifi mais peu rentable il a ensuite fait le choix de se sp cialiser en l gumes racines de plein champ carotte c leri rave chou betterave rouge radis noir navet potimarron Ceux ci sont cultiv s en rotation avec des c r ales des prot agineux des pommes de terre et des prairies temporaires Les interventions sur les cultures sont limit es semis ou plantation fertilisation avec du compost de fumier de bovins d une exploitation voisine et des pr parations biodynamiques binages r colte La production est commercialis e pour les deux tiers aupr s de grossistes Le tiers restant permet d alimenter des restaurants priv s ou collectifs ainsi qu un magasin la ferme Celui
77. VEGETALE SEMENCE POTAGERE SEMENCE DE FERME SEMENCE CERTIFIEE RECHERCHE SELECTION PARTICIPATIVE FRANCE BLE TENDRE METHODOLOGIE INNOVATION BLE DUR BIODIVERSITE CULTIVEE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 15 pages p 5 19 r f 198 029 R daction ABioDoc 49 he et syst me sp cifique Quelle s s lection s du bl tendre pour l agriculture bio BELLEIL Aur lie LE CAMPION Antonin OURY Fran ois Xavier et al Actuellement certains s lectionneurs remettent en cause une s lection dans les conditions de l agriculture conventionnelle pour des vari t s qui seront ensuite utilis es en agriculture biologique Pour eux cette s lection indirecte r alis e dans des conditions plus homog nes que celles rencontr es en agriculture bio utilisation de pesticides et engrais de synth se n est pas adapt e En effet les vari t s qui seront ensuite cultiv es en bio seront soumises des contextes p doclimatiques vari s et plus difficilement contr lables L Inra s est alors pench sur l int r t d une s lection indirecte par une conduite faibles intrants F1 pour le bl tendre Les essais comparatifs r alis s entre cette s lection indirecte et une s lection directe en AB ont permis de montrer l int r t de la conduite FI pour identifier pr cocement des g notypes potentiellement adapt s l AB Toutefois une derni re phase de s lection en AB semble n cessaire afin d
78. a perte de phosphore total Les cultures de couverture m ritent d tre valu es selon un syst me de mesure long terme contrairement ce qui se fait actuellement www sciencedirect com science article pii S0308521X13001 492 Mots cl s Culture de couverture ROTATION DES CULTURES TREFLE BLE D HIVER SEIGLE SERVICE ECOSYSTEMIQUE ETUDE ETATS UNIS D AMERIQUE AGRICULTURAL SYSTEM volume 125 01 03 2014 11 pages p 12 22 r f 198 312 R daction CETAB Biodiversity Indicators for European Farming Systems A Guidebook Indicateurs de biodiversit dans les syst mes agricoles europ ens Guide Anglais HERZOG Felix BALAZS Katalin DENNIS Peter et al Le projet de recherche europ en BioBio conduit entre 2009 et 2012 avait pour objectif d identifier des indicateurs de biodiversit permettant d valuer l impact des pratiques de syst mes agricoles europ ens biologiques et conventionnels faibles intrants Ainsi au del de la n cessit qu ils soient pertinents scientifiquement et pour leurs usages ces indicateurs se devaient d tre g n riques sur l ensemble de ce vaste territoire L tude de la litt rature existante et la mobilisation de chercheurs et de parties prenantes organismes publics organisations d agriculteurs associations de consommateurs ont permis de d finir 23 indicateurs class s en quatre grandes cat gories les indicateurs de la diversit g n tique v
79. ab Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE POIREAU ITINERAIRE TECHNIQUE MARAICHAGE RHONE ALPES FRANCE BRETAGNE CENTRE BOURGOGNE ROTATION DES CULTURES CALENDRIER DE PRODUCTION SOL VARIETE PEPINIERE PLANT PRODUCTION DE PLANTS TRAVAIL DU SOL PLANTATION FERTILISATION ENTRETIEN DES CULTURES DESHERBAGE CONTROLE DES ADVENTICES IRRIGATION PROTECTION DES VEGETAUX MALADIE RECOLTE RAVAGEUR CONSERVATION DONNEE TECHNICO ECONOMIQUE 2013 12 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES SERAIL Station d Exp rimentation Rh ne Alpes Information L gumes r f 198 041 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 14 Production v g tale Culture biologique des laitues BERRY Dominique Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fiches sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur la Culture biologique des laitues et traite notamment des points suivants Param tres de la production Climat et sol Place dans la rotation Semences Calendrier de production et choix vari tal Planning de culture Production de plants Culture Travail du sol Plantation Fertilisation Gestion du climat sous abri D sherbage Irrigation Principaux ravageurs et maladi
80. armaceutique cosm tique L implication forte des producteurs conduit travailler en r seau Mots cl s PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE AGRICULTURE BIOLOGIQUE QUALITE DU PRODUIT DEMARCHE QUALITE GRAND OUEST DEBOUCHE CONTROLE DES ADVENTICES RESEAU PAYS DE LA LOIRE FILI RE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 56 r f 198 075 R daction ABioDoc 17 Production v g tale Protection phytosanitaire Managing Diseases of Organic Tomatoes in Greenhouses and High Tunnels G rer les maladies en production biologique de tomates dans les serres et en grands tunnels Anglais MILLER Sally La gestion parasitaire en serres et en grands tunnels pr sente des probl mes tr s particuliers et diff rents par rapport la production en champ Certaines maladies rares dans les champs peuvent tre tr s courantes en cultures abrit es C est le cas de la pourriture grise de la moisissure blanche et de la moisissure olive Ces maladies peuvent tre g r es par des approches de gestion phytosanitaire appropri es et des choix strat giques comme des vari t s r sistantes et l utilisation de mat riaux biologiques certifi s L am lioration du sol est un l ment critique pour am liorer la fertilit et la sant des cultures La recherche d montre que les plants de tomates cultiv es en grands tunnels dans le sol de compost modifi avaient significativement moins de moisissure blanche que ceux cultiv s
81. ation d engrais et pesticides Certains mouvements contestataires sont alors apparus pr nant notamment une cologisation de l agriculture En agriculture biologique quatre mod les se sont d velopp s entra nant l existence de quatre id otypes contrast s un id otype d fini par la r glementation un id otype de marque d fini par un cahier des charges un id otype patrimonial visant la pr servation de vari t s locales un realtype qui consiste mettre l id otype face la r alit de terrain et sa diversit Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE RECHERCHE AGRICULTURE BIOLOGIQUE INNOVATION SELECTION VARIETALE AGRICULTURE SEMENCE VEGETALE BLE DUR ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 17 19 r f 198 064 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 50 herche et syst me sp cifique BR VES ABIODOC Propositions de la Commission europ enne sur l agriculture biologique Le 24 mars la Commission europ enne a pr sent une proposition de r glement pour une nouvelle r glementation bio et une proposition de plan d action europ en pour le futur de la production biologique Le plan d action a t communiqu par la Commission au Parlement europ en au Conseil au Comit conomique et social europ en et au Comit des r gions Ce dernier devrait entrer en vigueur fin avril Sources IFOAM EU Commission europ enne mars 2014 Proposition europ enne de r
82. bes dans le champ Les paillis de plastique non poreux peuvent entraver l infiltration de l eau de pluie ou d irrigation par aspersion Ainsi presque tous les producteurs qui utilisent le plastique installent un syst me d irrigation goutte goutte afin de fournir de l eau aux cultures Le paillage pr matur ou l utilisation du mauvais paillis pour une culture donn e peut ralentir sa croissance et la laisser plus vuln rable la concurrence des mauvaises herbes Il est recommand de combiner le paillage d autres pratiques de gestion biologique de mauvaises herbes www extension org pages 62033 mulching for weed management in organic vegetable production Mots cl s PAILLIS PRODUCTION LEGUMIERE MAUVAISE HERBE MATIERE ORGANIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ETATS UNIS D AMERIQUE 2012 4 p d eXtension r f 198 303 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 10 Production v g tale Response of Seven Weed Species to Corn Gluten Meal and White Mustard Sinapis alba Seed Meal Rates R ponse de 7 esp ces de mauvaises herbes l application de la farine de gluten de ma s et la farine de moutarde blanche Anglais YU Jialin MORISHITA Don W La farine de gluten de ma s CGM et la farine de graines de moutarde blanche MSM peuvent lib rer des substances all lochimiques biologiquement actives L objectif de cette tude tait de comparer les effets de la CGM et de la MSM sur l mergence et le
83. bio BELLEIL Aur lie BOUVAREL Isabelle POTTIEZ Eve etal Bien que la France soit leader europ amp en en poulets de chair et ufs bio ces deux productions sont encore marginales et ne repr sentent que 1 et 5 des productions totales fran aises Afin de pouvoir r pondre la demande croissante des consommateurs pour ces produits le projet Avibio a tudi les conditions n cessaires un d veloppement durable de ces fili res Pour cela les fili res fran aises et europ ennes ont t analys es des strat gies de d veloppement durable ont t labor es pour diff rents bassins de production et les r sultats du projet ont t communiqu s et valid s aupr s des fili res de la recherche et du d veloppement Les principaux freins au d veloppement des fili res avicoles biologiques sont aujourd hui li s la disponibilit des mati res premi res Les opportunit s quant elles semblent plut t se trouver du c t de la restauration collective ou de l industrie de transformation Un outil d valuation de la durabilit des fili res avicoles biologiques a t construit afin d valuer les marges de progr s et de proposer des pistes d am lioration Mots cl s AVICULTURE ELEVAGE BIOLOGIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE EUROPE FILIERE POULET DE CHAIR OEUF RECHERCHE AGRICULTURE DURABLE DEVELOPPEMENT DE L AB VOLAILLE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 4 pages p 23 26 r f 198
84. boisier Le palissage des framboisiers Mise en place des tunnels Ravageurs et maladies La r colte http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab Mots cles FRAMBOISIER SOL AGRICULTURE BIOLOGIQUE PETIT FRUIT RHONE ALPES PREPARATION DU SOL FERTILISATION FUMURE DE FOND PLANTATION VARIETE PLANTATION SUR BUTTE ITINERAIRE TECHNIQUE IRRIGATION PAILLAGE PLANT RANG CONTROLE DES ADVENTICES PALISSAGE TAILLE PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR MALADIE TUNNEL RECOLTE 2013 8 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES r f 198 054 R daction ABioDoc Plantes aromatiques et medicinales Produire des plantes medicinales Les exigences de qualite RIVRY FOURNIER Christine Le Grand Ouest est le premier bassin de production de plantes m dicinales biologiques avec les Pays de la Loire en t te Certains acteurs de la fili re comme le pr sident fondateur d Anjou Plantes une coop rative qui compte la moiti de ses surfaces en bio t moignent d une exigence de qualit croissante de la part des clients Ainsi les producteurs doivent faire preuve d une grande technicit notamment en termes de gestion des adventices travail qui peut repr senter jusqu 120 h ha an Ces efforts sont toutefois r compens s par la forte valeur ajout e de ces cultures dont les d bouch s sont multiples alimentations humaine et animale industrie ph
85. c Quels besoins de recherche en levage porcin bio FERCHAUD Stephane MAUPERTUIS Florence ROINSARD Antoine La fili re porcine biologique reste marginale en France avec 432 exploitations en 2012 0 6 du cheptel national Cette fili re poss de pourtant un potentiel fort bloqu aujourd hui par divers freins techniques Afin de mieux identifier ces freins l unit GenESl de Inra G n tique Exp rimentation et Syst me Innovants et les Chambres d agriculture des Pays de la Loire ont r alis des enqu tes aupr s d une vingtaine d leveurs porcins bio Les besoins identifi s concernent la reproduction mieux g rer l hyperprolificit synchroniser les chaleurs de mani re compatible avec l AB limiter l ecrasement des porcelets les soins trouver des alternatives la castration mieux g rer le parasitisme proposer des solutions pour une alimentation 100 bio et d velopper de nouvelles mati res premi res et la production de r f rences technico conomiques D autres programmes de recherche des groupes d changes mis en place par la Chambre d agriculture des Pays de la Loire et la commission levage de l Itab travaillent galement sur ces besoins en recherche d veloppement pour la fili re porcine biologique Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE PORCIN FILIERE PORCINE AGRICULTURE BIOLOGIQUE BESOIN ENQUETE RECHERCHE DEVELOPPEMENT PAYS DE LA LOIRE POITOU CHARENTES REPRO
86. certains dossiers digestat injection et servent alors de personnes ressources dans diff rents groupes de travail IIs communiquent aussi notamment via leur site www methaniseursdefrance com Mots cl s BIOGAZ METHANISATION ASSOCIATION COLLECTIF D AGRICULTEURS ENERGIE RENOUVELABLE FRANCE ECHANGE FORMATION DIFFUSION TEMOIGNAGE TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p V VI r f 198 059 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 L approvisionnement des enjeux complexes MERLE Sophie Cet article est extrait du dossier de la revue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es L installation d un m thaniseur est bien r fl chir et l tude des co ts fait partie de cette r flexion Cette tude est complexe car beaucoup de param tres entrent en jeu la sortie le prix de vente du KWh calcul dans l article 0 072 euros kwh ce qui revient 217 euros tonne de mati re s che l entr e le co t de gestion et d entretien du site de m thanisation estim ici 400 euros tonne de mati re s che En gros le calcul montre que le fournisseur de mati re premi re doit tre pr t payer un minimum de 157 euros pour se d barrasser d une tonne de mati re s che pour que le m thaniseur ne co te rien un tableau dans cet article fournit les d tails du calcul Mais la strat gie va au del des simples co ts En eff
87. ci est ouvert seulement pendant six mois de l ann e d octobre mars le printemps et l t tant r serv s aux cultures Mots _cl s MARAICHAGE FERMOSCOPIE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE LEGUME RACINE TEMOIGNAGE ALSACE VENTE DIRECTE PRATIQUE AGRICOLE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 2 pages p 30 31 r f 198 068 R daction ABioDoc 15 Production vegetale Asperges bio Trois parcours la loupe GOULETTE Myriam L asperge biologique est encore une production de niche Pourtant malgr des charges de production lev es c est une culture forte valeur ajout e Nombre de producteurs du monde entier biologiques et conventionnels se sont r unis les 3 et 4 d cembre 2013 aux International Asparagus Days au Barp Gironde Parmi eux trois producteurs bio fran ais dont les t moignages sont rapport s dans cet article la famille Castagn de install e dans les Landes cultive 25 hectares d asperges blanches Fr d ric Poupard cultive des asperges vertes et blanches sur 50 hectares dans le Maine et Loire Dominique Marchal dans l Allier produit 6 hectares d asperges Tous expliquent leurs pratiques agricoles relatives la conduite de la culture la gestion des maladies et ravageurs la commercialisation Dominique Marchal pr sident de l association Asperge Avenir explique que le march de l asperge bio a encore besoin de se structurer mais il estime
88. concentration la surface d une feuille semble induire un m canisme de r sistance l chelle de toute la plante qui am nerait une baisse de la ponte des bio agresseurs Les m canismes ne sont pas encore connus Mais des essais plut t positifs ont t men s sur des pommiers en vergers commerciaux contre le carpocapse Leur application permettrait notamment de r duire les traitements aussi bien en conventionnel qu en AB L effet de ces sucres demande encore beaucoup de recherche mais un programme est en cours pour tester leur impact sur d autres plantes mara ch res et fruiti res et d finir des itin raires techniques pour les utiliser au mieux Des r sultats pr liminaires positifs ont t obtenus sur la vigne contre le mildiou amenant diminuer les doses de cuivre ou encore sur le melon contre l o dium et la pyrale avec r duction des quantit s de soufre Mots cl s SUCRE PROTECTION DES VEGETAUX MAIS ESSAI ARBORICULTURE POMMIER CARPOCAPSE PYRALE RESISTANCE DES VEGETAUX EFFET ELICITEUR BIOAGRESSEUR RECHERCHE VERGER EXPERIMENTATION STIMULATEUR DE DEFENSE NATURELLE STIMULATION DES DEFENSES DE LA PLANTE ARBO BIO INFOS n 186 01 02 2014 2 pages p 1 2 ref 198 033 Redaction ABioDoc Reconnaissance des principaux l pidopt res des cultures mara ch res et des fraiseraies DELAMARRE C cile DASTE Nathalie TERRASSON C cile Ce livret de reconnaissance r alis pa
89. cultures les ravageurs et les syst mes de conservation Cette 3e dition comporte un chapitre sur les cruciferes et les moutardes 16 profils d exploitations agricoles et un chapitre complet sur l utilisation de cultures de couverture dans les syst mes de conservation du sol Ces informations sont bas es sur plus de 100 nouvelles citations issues de la litt rature et des consultations avec les chercheurs et les intervenants des E U Cet ouvrage t l chargeable gratuitement est orient pour les producteurs car il explique scientifiquement des concepts complexes expose les diff rentes options selon les syst mes et les climats et offre des informations innovantes www sare org Learning Center Books Managing Cover Crops Profitably 3rd Edition Mots cl s COUVERT VEGETAL LIVRE GRAMINEE CHOU MOUTARDE AGRICULTURE DURABLE ETATS UNIS D AMERIQUE ENGRAIS VERT 2007 248 p d SUSTAINABLE AGRICULTURE RESEARCH amp EDUCATION SARE r f 198 302 R daction CETAB EX Viticulture Pays de la Loire La Lev e de la Loire le salon r publicain RIVRY FOURNIER Christine En parall le du salon officiel des Vins de Loire qui se tient Angers tous les ans d but f vrier l association interprofessionnelle des vins bio du Val de Loire AIVB VL organise et ce depuis 2012 un salon off La Lev e de la Loire galement Angers Celui ci permet de donner une meilleure visibilit aux vins
90. d activit afin d accompagner ces initiatives d accueil leur donnant ainsi ce m me nom de nid d activit Le but de ce collectif est d aider accueillant et accueilli par exemple d finir au mieux leur projet ou tudier les formes juridiques possibles afin d optimiser les chances de succ s Une convention tripartite d accompagnement a t cr e liant l accueillant l accueilli et le collectif Il existerait entre 20 et 30 nids d activit en Bretagne Le collectif esp re recevoir le soutien des institutions pour mieux accompagner ces initiatives issues du terrain Mois cl s INSTALLATION AGRICOLE NID D ACTIVITE DEVELOPPEMENT RURAL BRETAGNE PROJET T MOIGNAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ELEVAGE BIOLOGIQUE COLLECTIF ACCOMPAGNEMENT MARAICHAGE ECHANGE PARTAGE ENTRAIDE FONCIER ASPECT SOCIAL BIOFIL n 92 01 03 2014 2 pages p 25 26 r f 198 049 R daction ABioDoc Bio portrait V ronique Guitton EARL la Violaye 44 GRASTEAU Alain L agricultrice qui t moigne ici d crit son parcours professionnel de sa formation sa situation actuelle en passant par neuf ans au contr le laitier avant de s installer en 1997 avec son mari sur l exploitation familiale de ce dernier puis de se convertir la bio en 2009 Cette trajectoire est aussi celle d une exploitation en bovins lait dont le syst me conventionnel tr s intensif est devenu de plus en plus herbager plus extensif avant de d
91. de la fili re Par ailleurs les m thodes culturales appliqu es en bio se d veloppent dans les p pini res conventionnelles confront es de plus en plus des probl mes de r sistance Mots cl s SEMENCE VEGETALE PLANT SALON AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB MARAICHAGE GRAND OUEST TEMOIGNAGE CONVERSION FILIERE FRANCE MAINE ET LOIRE BIOFIL n 92 01 03 2014 3 pages p 11 13 r f 198 016 R daction ABioDoc Mill sime Bio R ussir la conversion des consommateurs GOULETTE Myriam Du 27 au 29 janvier 2014 s est tenue la 21 me dition du salon Mill sime Bio Montpellier Ce salon des vins bio aujourd hui mondial voit son nombre d exposants augmenter d ann e en ann e 780 en 2014 en corr lation avec la croissance de la fili re Celle ci a connu un boom de conversions entre 2008 et 2010 Les vins fran ais n taient cependant pas les seuls repr sent s puisque les exposants venaient de douze pays d Europe d Am rique du Sud et d Afrique En parall le de Mill sime Bio les salons Off se multiplient dont certains font la promotion de vins dits nature notion qui ne fait pas l unanimit chez les bio certifi s m me si cet aspect nature est recherch par les consommateurs Autres adeptes des vins bio les sommeliers v ritable maillon de la cha ne entre producteurs et consommateurs ont exprim leur satisfaction vis vis des vins bio Mots cl
92. des atocas www irda qc ca assets documents Publications documents fi rlej et al 2014 rapport outil depistage cecidomyie atocas pdf Mots cl s CANNEBERGE CECIDOMYIE RAVAGEUR DEPISTAGE PI GE SEUIL D INTERVENTION PROTECTION DES VEGETAUX ETUDE QUEBEC 2014 29 p ed AAC Agriculture et Agroalimentaire Canada IRDA Institut de recherche et de d veloppement en agroenvironnement r f 198 301 R daction CETAB 19 Production vegetale Biology and Management of Squash Vine Borer in Organic Farming Systems Biologie et gestion du perceur de la courge dans les syst mes de production biologique Anglais SEAMAN Abby Le perceur de la courge est un des principaux ravageurs de la courge et des citrouilles L infestation est caract ris e par un fl trissement de la plante enti re Ce sympt me peut tre caus par d autres maladies aussi mais la principale caract ristique permettant de distinguer un perceur de la courge de ces maladies est la pr sence de d jections excr ments d insectes qui ressemblent de la sciure humide dans les tunnels creus s Les larves hivernent dans le sol et les adultes apparaissent en mai dans les Etats du sud et la fin juin dans les Etats du Nord des U Plusieurs pratiques permettent de g rer ce ravageur Un travail de sol permet de perturber le cycle des larves matures en les labourant avec les r sidus de culture apr s la r colte L utilisation de culture p
93. document recense et met en lumi re certains projets jug s exemplaires par l ensemble des parties prenantes la construction du programme Ambition Bio 2017 Les descriptifs des projets ont t r dig s et transmis par les DRAAF apr s concertation avec les R gions Axe N 1 CASE communaut d agglom ration Seine Eure Haute Normandie Site pilote National Eau amp Bio Les Plaines et Vall es de Niort Poitou Charentes Les Semeurs du Possible Bourgogne Pass Bio Bretagne Les Champs des Possibles Ile de France BIORHI N Alsace Analyse du fonctionnement et des performances des syst mes d levage agrobiologiques du Massif Central lanc et coordonn par le P le AB Massif Central 6 r gions concern es Exp rimentation en syst me bovin allaitant autonome bio par la Ferme des Bordes Centre A Journ es Techniques Limousin P le de conversion Rh ne Alpes Salon Tech amp Bio Rh ne Alpes Axe N 2 Reine Mathilde Basse Normandie SICA EST ALI BIO Lorraine Du d veloppement de la collecte de c r ales Bio r gionales la valorisation de produits carn s Bio Midi Pyr n es Partenariat Biolait Syst me U Projet national Les Amis de Juliet Projet pluri r gional Axe N 3 Action de sensibilisation du jeune public et d veloppement de la consommation en restauration collective le concours Les Petits Reporters de la Bio Projet national Territoire Bio Engage Aquitaine Manger Bi
94. donn de meilleures lev es que les nouvelles dates qui ont t test es Les semis h tifs ont par contre donn de rendements tr s int ressants Le passage d un rouleau en pr semis n a pas am lior la lev e en 2013 m me si le rouleau est reconnu pour favoriser la lev e par un meilleur contact du sol avec la semence et une meilleure uniformit du semis Les essais de fertilisation n ont pas donn d effets significatifs pour les quatre doses test es 30 70 100 et 130 unit s d azote M me si le chanvre est exigeant en fertilisation il semble tre davantage sensible la fertilit du sol qu la fertilisation Les essais concernant l incidence d un semis 5 ou 10 pouces avec ou sans sarclage devraient tre reconduits en 2014 cause de la variabilit des r sultats et de la tr s faible lev e sur un des sites www agrireseau gc ca agriculturebiologique documents Rap port 20final 20 20Projet 2012 INNOS3 11 20 chanvre pdf Mots cl s CHANVRE RENDEMENT LEVEE FERTILISATION DATE DE SEMIS ESSAI AU CHAMP AGRICULTURE BIOLOGIQUE QUEBEC 2014 15 p d GROUPE CONSEIL AGRICOLE SAGUENAY LAC ST JEAN r f 198 305 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 Contr le des adventices Mulching for Weed Management in Organic Vegetable Production Le paillage pour la gestion des mauvaises herbes en production maraichere biologique Anglais SCHONBECK Mark Les paillis contribuent a la ges
95. e qualit y compris en conditions de culture faibles intrants D sormais inscrite au catalogue Garance est disponible aupr s du Grab pour la saison de plantation 2014 2015 Mots cl s ARBORICULTURE POMMIER SYSTEME A FAIBLES INTRANTS AGRICULTURE BIOLOGIQUE VARIETE DE POMME SUD FRANCE QUALITE ORGANOLEPTIQUE RESISTANCE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 47 r f 198 071 R daction ABioDoc Le cerisier en agriculture biologique STEVENIN Sophie Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fiches sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur Le cerisier en agriculture biologique et traite notamment des points suivants Les principaux aspects techniques Mouche de la cerise Drosophila suzukii Puceron noir Monilia sur fleurs Coryneum Gnomonia Bact riose Phytoptes Anthracnose Cylindrosporiose Guide des interventions en verger Co t moyen d un programme de traitement R f rences technico conomiques ha Co t de plantation http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab Mots cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE CERISIER ITINERAIRE TECHNIQUE PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR MOUCHE DE LA CERISE MALADIE RHONE ALPES DROSOPHILA SUZUKII PUCERON
96. e 4 kg ha an et lEfsa de 4 5 kg ha an pr conisations qui devraient se concr tiser d ici fin mai 2014 Or la profession aussi bien en agriculture conventionnelle que biologique n approuve pas ces doses qu elle estime trop faibles pour une protection efficace des cultures Elle regrette par ailleurs la disparition du concept de moyenne lissee qui permet d adapter les doses aux contextes annuels et est reconnue comme un outil utile une diminution des doses par les agriculteurs eux m mes Enfin les arguments de l Anses et de l Efsa sont contest s aussi bien sur la forme difficult de conclure n cessit d tudes suppl mentaires que sur le fond impact du cuivre sur les vers de terre La profession a construit un argumentaire pour d fendre sa position Des encarts font le point sur une nouvelle famille de biopesticides les lipopeptides produites par des bact ries la pr le qui n a toujours pas acc d au statut de substance de base une publication sur la ma trise de l oidium en Languedoc Roussillon Mots cl s PROTECTION DES VEGETAUX CUIVRE CONTROVERSE PRELE VITICULTURE ARBORICULTURE MARAICHAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE DOSE FRANCE REGLEMENTATION BIOFIL n 92 01 03 2014 2 pages p 54 55 r f 198 074 R daction ABioDoc Quel avenir pour le Adaptation d un outil de d pistage des adultes de la c cidomyie des atocas FIRL
97. e d expertise et de transtert CENTRE NATIONAL DE RESSOURCES EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE en agriculture biologique et de proximit La BIOBASE Plus de 28 000 r f rences bibliographiques en agriculture biologique sont accessibles gratuitement sur la Biobase base de donn es documentaire francophone issue d une veille internationale franco qu becoise Allez vite les consulter sur le site d ABioDoc www abiodoc com biobase cetab org Produits documentaires d ABioDoc COMPILATIONS BIBLIOGRAPHIQUES ANNUAIRE DES ORGANISMES EUROPEENS DELABI A 16 Revue bibliographique sur la 9 Fili re Viande Biologique A 20 Cet annuaire regroupe les coordonn es qui regroupe 251 r f rences des organismes europ ens de l agricul bibliographiques inscrites dans la ture biologique en recherche formation Biobase la date du 15 mars 2011 d veloppement et certification Edition et class es en 6 th mes 2012 8 Tarif Agriculteurs Etudiants joindre Prix format lectronique 18 un justificatif Abonn s Biopresse m 16 Revue bibliographique sur lintro GUIDE DES PRINCIPAUX ORGANISMES duction de produits FRANCAIS INTERVENANT EN AB biologiques en Restauration 5 Collective EI 15 Ce guide pr sente 39 organismes qui regroupe 291 r f rences fran ais intervenant en agriculture biblioraphiques inscrites dans la biologique des administrations et GIP Biobase la date du 15 mars 2011 des organismes d
98. e de plants bio est suffisamment fiable et qu une valuation des besoins pourrait suffire d velopper la production de plants certifi s bio Mots cl s MARAICHAGE POMME DE TERRE PLANT DE POMME DE TERRE PRODUCTION DE PLANTS MILDIOU RESISTANCE VARIETALE QUALITE ORGANOLEPTIQUE FRANCE DEROGATION AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 53 r f 198 073 R daction ABioDoc Culture biologique La pomme de terre BERRY Dominique Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fiches sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur la Culture biologique La pomme de terre et traite notamment des points suivants Param tres de la production Climat et sol Rotation Choix vari tal Calendrier de production et choix vari tal Plants Culture Les diff rentes phases Travail du sol Plantation Fertilisation D sherbage Buttage Irrigation Principaux ravageurs et maladies Protection des cultures R colte Conservation R f rences technico conomiques http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE ITINERAIRE TECHNIQUE POMME DE TERRE RHONE ALPES ROTATION DES CULTURES SOL VARIETE CALENDRIER DE PROD
99. e divers producteurs de niche en AB de la r gion Centre une productrice de gel e royale un leveur de cervid s un producteur de chanvre et cameline qui va jusqu la production d huile une productrice de champignons une autre d escargots ou encore une de safran Ces t moignages illustrent une certaine diversit mais montrent souvent qu une passion motive ces producteurs Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE CENTRE DEVELOPPEMENT RURAL TEMOIGNAGE AGRICULTEUR PRODUCTION DE NICHE MOTIVATION GELEE ROYALE CHANVRE CERVID ELEVAGE BIOLOGIQUE CHAMPIGNON SHIITAKE ESCARGOT HELICICULTURE SAFRAN BIO CENTRE MAG n 10 01 11 2013 3 pages p 4 6 r f 198 040 R daction ABioDoc 37 cologie et ruralit Nids d activite Un levier l installation RIPOCHE Fr d ric Des agriculteurs souhaitant voir se diversifier les activit s sur leur exploitation ou anticipant la question de la transmission de leur syst me font le choix d accueillir sur leur ferme un ou des porteurs de projet futurs producteurs cherchant s installer ou tester une activit Ainsi un leveur allaitant breton a accueilli une jeune agricultrice voulant faire de la transformation laiti re en d butant avec un petit troupeau de huit t tes ainsi qu un maraicher Quatre associations bretonnes Entraide Rurale La Marmite FDCivam 35 et Terre de Liens Bretagne ont constitu un collectif Nids
100. e la revue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es Peu d tudes existent pour conna tre et qualifier la composition des digestats issus des diff rentes digestions de mati res organiques lors de la m thanisation Pour le moment et m me si dans certains cas le digestat constitue un excellent amendement il ne peut acc der au statut de produit et tre commercialis suivant une norme Mais le bureau unique de Normalisation pour la Fertilisation BN FERTI se penche sur la question et devrait bient t palier ce manque Par ailleurs l ANSES a re u plusieurs dossiers d homologation du digestat Ce qui terme devrait permettre de vendre ce produit Un guide r alis en 2011 par l ADEME Qualit agronomique et sanitaire des digestats gt fait aussi le oint ME cles BIOGAZ METHANISATION ENERGIE RENOUVELABLE DIGESTAT ASPECT ECONOMIQUE REGLEMENTATION FERTILISATION FRANCE HOMOLOGATION AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT EPANDAGE AMENDEMENT ORGANIQUE TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p XIV XV r f 198 091 R daction ABioDoc Le biogaz agricole une histoire vieille de 10 ans VIARD Nathalie Cet article est extrait du dossier de larevue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es La France est pass e de deux digesteurs pour produire du biogaz dans les fermes en 2002 150 uni
101. e nombre d applications par saison Des gu pes parasitoides de la DAT ont t identifi es en Ontario et ailleurs en Am rique du Nord mais les contr les biologiques n assurent pas une efficacit conomique Des h tes sauvages sont un habitat important pour les pollinisateurs et autres insectes b n fiques Il n est pas pratique d enlever tous les h tes sauvages autour de vos champs agricoles car ils peuvent favoriser la lutte contre la DAT www omafra gov on ca english crops organic news 2014 20 14 02a3 htm Mots cl s MOUCHE DES FRUITS FRUIT FRAISE FRAMBOISE REFROIDISSEMENT BIOINSECTICIDE PARASITOIDE 2014 3 p d MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L ALIMENTATION ET DES AFFAIRES RURALES DE L ONTARIO OMAFRA r f 198 314 R daction CETAB 21 Production vegetale Sol Managing Cover Crops Profitably 3rd Edition Gestion des cultures de couverture de fa on rentable 3e dition Anglais CLARK Andy Ce livre explore les diff rents aspects des cultures de couverture C est un ouvrage complet qui fournit toutes les informations n cessaires la mise en uvre de cultures de couverture au sein d une exploitation agricole Il donne des d tails sur les esp ces les plus couramment utilis es telles que les gramin es les choux les moutardes et les l gumineuses Il propose galement des chapitres sur le r le des cultures de couverture dans des cas plus vastes comme la rotation des
102. e recherche et et class es en 7 th mes exp rimentation de formation de documentation de developpement et d organisation de la fili re des associations gestionnaires de marques privees et des organismes certificateurs GUIDE TECHNIQUE Edition 2012 Prix format lectronique 12 8 Tarif Agriculteurs Etudiants joindre un justificatif Abonn Biopresse EI 15 Cr er ou d velopper une activit de transformation de produits biologiques Destin aux agriculteurs et artisans engag s dans la bio ce guide aide pr voir en amont tous les aspects n cessaires cette activit Prix format lectronique 12 67 Biopresse 198 Mars 2014 CETAB LA MISSION D velopper l agriculture biologique et contribuer la prosp rit des entreprises du secteur Favoriser les syst mes agroalimentaires de proximit b n fiques pour les entreprises et la soci t LES SERVICES Information et veille technologique Transfert technologique Soutien aux intervenants Recherche appliqu e Formation continue Services conseils personnalis s Analyses sectorielles CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit S www cetab org ABioDoc SES MISSIONS Cr en 1993 ABioDoc service de VetAgro Sup et soutenu par le minist re fran ais de l Agriculture a pour missions de r aliser la
103. e sur le ble DE KOCHKO Patrick Jusqu maintenant le bl semblait peu int resser les agro industries travaillant sur les plantes g n tiquement modifi es et ce pour diverses raisons les vari t s lign es de bl sont reproductibles et donc la r colte r utilisable comme semence le g nome du bl est plus complexe que celui du ma s par exemple les consommateurs qui ing rent directement des produits base de bl comme le pain se montrent plus r ticents au d veloppement d OGM sur cette fili re Pourtant les choses semblent changer et les agro industries tout comme certains centres de recherche publics s int ressent de plus en plus au bl g n tiquement modifi Patrick de Kochko auteur de cet article et coordinateur du R seau Semences Paysannes condamne les strat gies mises en place par ce qu il appelle l agro business pour pouvoir d velopper et faire accepter ces cultures g n tiquement modifi es Il d fend l inverse les recherches sur les vari t s paysannes men es par des agriculteurs eux m mes mais aussi par des chercheurs et des consommateurs Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE BLE RECHERCHE VARIETE PAYSANNE ORGANISME GENETIQUEMENT MODIFIE RECHERCHE PARTICIPATIVE INDUSTRIE DES CEREALES NATURE amp PROGRES n 95 01 11 2013 2 pages p 10 11 r f 198 005 R daction ABioDoc 47 che et syst me sp cifique OGM Monsanto n est pas le seul Coordinati
104. ement basique n en est pas moins polyvalent et performant Vincent Philippon leveur biologique en Touraine en t moigne Pour lui cette bineuse pr sente galement les avantages d tre moins co teuse que d autres syst mes de guidage facile d utilisation et facilement r parable Mots cl s GRANDE CULTURE BINAGE BINEUSE BINEUSE AUTOGUIDEE SYSTEME DE GUIDAGE MATERIEL AGRICOLE INNOVATION TEMOIGNAGE TOURAINE FRANCE DESHERBAGE MECANIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 64 r f 198 078 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 12 Production v g tale Horticulture Le contr le des pucerons par les coccinelles sous filets d exclusion dans un verger de pommiers en r gie biologique au Qu bec L efficacit de la coccinelle Adalia bipunctata comme moyen de lutte aux pucerons sous filet GAGNON LUPIEN No mie AOUN Mirella CHOUINARD G rald Les filets d exclusion pour la protection du pommier sont efficaces contre plusieurs ravageurs mais ils contribuent l augmentation de la population de pucerons sous filets selon les essais r alis s en 2013 un verger de recherche en r gie biologique au Qu bec Le contr le des pucerons par les coccinelles qui sont pr sentes naturellement sur le site ainsi que par l introduction de larves de la coccinelle deux points a t valu pour trois esp ces de pucerons puce
105. ent de la maladie Une bonne connaissance de l agent pathog ne conduit au meilleur contr le en emp chant son entr e dans la ferme Les champs qui sont infest s par un agent pathog ne ne doivent pas tre plant s de cultures sensibles cette maladie M me si la rotation permet de g rer la plupart des maladies transmises par le sol ce n est pas le cas pour certaines maladies de semences Il convient de d pister les agents pathog nes dans les semences et de traiter biologiquement les semences De faibles niveaux d infestation de semences peuvent conduire la propagation d une maladie dans tout le champ La connaissance de la culture est tout aussi importante Elle permet de choisir les traitements appropri s et de s lectionner les vari t s r sistantes quand elles sont disponibles car c est la meilleure m thode pour contr ler les maladies des plantes transmises par les semences Les conditions environnementales qui favorisent la transmission des maladies sont viter L irrigation goutte goutte est une bonne m thode pour emp cher la propagation des maladies sinon l irrigation doit tre r alis e t t les matins Les plantations sont r aliser soit t t soit tard dans la saison afin d viter les conditions m t orologiques qui favorisent le d veloppement de la maladie Les cultures en grands tunnels et l utilisation des tissus g otextiles permettent d avoir un contr le plus important sur l environne
106. entielles GAUTHIER Emmanuelle Tout vise diminuer l usage des antibiotiques volont de l Etat demande des consommateurs Mais paradoxalement la r glementation sur l usage de traitements base de plantes est devenue plus dure ces derniers mois Ainsi un r glement europ en a t publi en mars 2013 amenant au retrait du march des additifs pour l alimentation animale de centaines d extraits aromatiques v g taux Ces retraits ne sont pas li s un probl me de dangerosit Pour qu un additif sensoriel reste inscrit au registre europ en des additifs pour l alimentation animale il faut qu un dossier complexe soit mont et une redevance de 3000 euros pay e En l absence d un tel dossier la substance est retir e du march Par ailleurs l Agence nationale de s curit de l alimentation a publi en ao t dernier une circulaire dont il d coule que tout produit base de plantes doit disposer d une autorisation de mise sur le march et d une prescription v t rinaire Ne pas respecter ce point conduit se mettre dans l ill galit et courir le risque de ne plus toucher certaines aides de la PAC soumises conditionnalit notamment en lien avec les r gles sur le paquet hygi ne Ainsi l absence d un statut coh rent pour les produits base de plantes utilis s en sant animale ce jour ces produits ne peuvent tre class s qu en additif ou en m dicaments v t rinaires pose r
107. eoffroy 123 p CORABIO Coordination l Agriculture Biologique INEED Rovaltain TGV 1 Rue Marc Seguin BP 11150 Alixan 26 958 VALENCE CEDEX 9 FRANCE T l 04 75 61 19 35 Fax 04 75 79 17 68 contact corabio org www corabio org B gt L agriculture Bio en Rh ne Alpes Edition 2014 Rep res 2013 Les chiffres de la production transformation et distribution CORABIO BIOCONVERGENCE 48 p 2 Rh ne Alpes de Biopresse 198 Mars 2014 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s suite ECOZEPT 1 Rue Saint Barth l my 34 000 MONTPELLIER FRANCE T l 04 67 58 42 27 Fax 04 67 58 42 27 info ecozept de www ecozept com La place de la viande bio dans les magasins bio du Languedoc Roussillon SCHAER Burkhard AVRIL Robin GAUVRIT Lisa 42 p EDITIONS ALTERNATIVES 5 Rue Gaston Gallimard 75 007 PARIS FRANCE T l 01 46 33 47 33 01 49 54 42 00 info editionsalternatives com www editionsalternatives com B gt Ma tondeuse est silencieuse BEUCHER Patricia 93 p 10 DITIONS EYROLLES 61 Boulevard Saint Germain 75 240 PARIS CEDEX 05 FRANCE T l 01 44 41 46 21 Fax 01 44 41 41 98 www editions eyrolles com B gt Cultiver et soigner les arbres JULLIEN Elisabeth JULLIEN J r me 672 p 39 EDITIONS MONTPARNASSE 12 Villa Coeur de Vey 75 014 PARIS FRANCE T l 01 56 53 56 53 Fax 01 56 53 56 59 accueil editionsmontparnasse fr www editionsmontparnasse fr DO La p
108. es Protection des cultures R colte et rendement Conservation R f rences technico conomiques http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab Mots _cles SALADE LAITUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE ITINERAIRE TECHNIQUE ROTATION DES CULTURES CALENDRIER DE PRODUCTION VARIETE PRODUCTION DE PLANTS PLANTATION TRAVAIL DU SOL FERTILISATION DESHERBAGE CONTROLE DES ADVENTICES IRRIGATION CULTURE SOUS ABRI CULTURE DE PLEIN CHAMP PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE MALADIE RECOLTE RENDEMENT CONSERVATION RHONE ALPES 2013 12 p ed AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES SERAIL Station d Exp rimentation Rh ne Alpes Information L gumes r f 198 042 R daction ABioDoc Pomme de terre Zoom sur l offre en plants bio GOULETTE Myriam Cet article propose un point rapide sur l offre en plants bio de pommes de terre La r sistance au mildiou et la qualit gustative surtout pour les maraichers qui commercialisent en circuits courts sont les principaux crit res de s lection Une nouvelle vari t nomm e Passion productive et peu sensible au mildiou sera commercialis e partir de 2015 Des d rogations sont encore r guli rement demand es pour utiliser en production biologique des plants de pommes de terre non trait s Pourtant Fabris Tr horel g rant de Douar Den estime que la production actuell
109. est pr sent e dans cet article D but e en 2010 cette derni re a amen les communes cr er un groupement d achat afin de permettre de contractualiser avec les producteurs locaux partenaires travers un march public Les changes ont permis notamment la construction d un cahier des charges pour appel d offre incluant des crit res tenant mieux compte des contraintes des producteurs Ces derniers pour r pondre aux besoins des communes ont choisi de s organiser collectivement travers un groupement solidaire Cette exp rience bretonne montre aussi certains facteurs cl s prendre en compte en tant que maraicher pour r pondre et tre retenu un appel d offre Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE LEGUME RESTAURATION COLLECTIVE OFFRE ET DEMANDE CONTRACTUALISATION MARCHE PUBLIC COTES D ARMOR APPROVISIONNEMENT LOCAL PRODUIT LOCAL PRODUIT BIOLOGIQUE COMMUNE AGRICULTEUR GROUPE D AGRICULTEURS GROUPEMENT D ACHAT MARAICHAGE COLLECTIF D AGRICULTEURS ORGANISATION DE L AB TEMOIGNAGE COLLECTIVITE TERRITORIALE SYMBIOSE n 187 01 02 2014 4 pages p 20 23 ref 198 038 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Bo te outils pour l introduction de produits biologiques en Restauration Hors Domicile BELLEIL Aur lie BOIS B r nice DELECOURT Sarah et al De 2008 2013 diff rents acteurs de la fili re biologique et de la restauration collective du Massif Central g
110. et les bact ries responsables de la digestion ne doivent pas subir des variations trop fortes dans le type de mati res premi res traiter par ailleurs l exploitant doit disposer d un stock de mati res premi res ensil es afin de pouvoir n gocier au mieux l approvisionnement d autres mati res premi res sans devoir interrompre la cha ne de digestion Et le stockage doit veiller ne pas d grader le potentiel m thanog ne de ces mati res Mots cl s BIOGAZ METHANISATION FRANCE DEVELOPPEMENT FILI RE APPROVISIONNEMENT ENERGIE RENOUVELABLE RENTABILITE MATIERE PREMIERE COUT CO DIGESTION TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p X XI r f 198 060 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 40 cologie et ruralit La petite m thanisation port e par le march du carbone ROBERT Manon Cet article est extrait du dossier de la revue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es Le Protocole de Kyoto oblige les gros metteurs de gaz effet de serre GES les compenser en s questrant ou r duisant une quantit quivalente de GES dans un autre endroit de la Plan te D autres acteurs non soumis aux obligations du Protocole de Kyoto op rent cette m me compensation sur une base de volontariat souvent aid s par des ONG comme GoodPlanet qui met en relation des acteurs du Nord qui ach tent des points carbone a
111. eur du mais s est progressivement adapt e la toxine insecticide produite par une version OGM sp cifiquement cr e pour lutter contre ses d g ts Si en 2009 seuls des cas de r sistance ont t signal s dans le nord de l Iowa en mars de cette ann e une nouvelle tude d montre qu une majorit des chrysom les des racines du ma s ont mut pour devenir r sistantes la toxine de ma s transg nique Source Univers nature 9 avril 2014 Nouveau rapport du Giec Les missions de GES ne cessent de cro tre alors qu il faut les r duire drastiquement pour limiter 2 C la hausse des temp ratures Si le rapport du 3 me groupe de travail du Giec indique que cela est possible les auteurs charg s de le pr senter au public sont tr s sceptiques Au rythme actuel des missions de gaz effet de serre GES la temp rature moyenne terrestre devrait s envoler de 3 7 4 8 C d ici la fin du si cle par rapport l re pr industrielle Une limitation de cette hausse 2 C rel ve du d fi r duire d ici 2050 de 40 70 les missions mondiales de GES alors qu elles ont augment d un tiers entre 2000 et 2010 soit au rythme le plus lev enregistr depuis le d but de la r volution industrielle Tel est le principal message du nouveau rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat Giec rendu public dimanche 13 avril Source www actu environnement com 14 avril 2014
112. evenir bio Ce t moignage illustre aussi certains points int ressants comme l impact du foncier de facteurs sociaux qui peuvent favoriser une conversion comme des contacts un r seau ou encore l importance de la formation Cette agricultrice a doubl son engagement en AB d un engagement dans diverses associations ou groupes autour de la bio ou des syst mes herbagers Mots cl s LOIRE ATLANTIQUE TEMOIGNAGE SYSTEME HERBAGER ELEVAGE BIOLOGIQUE CONVERSION ELEVAGE LAITIER TRAJECTOIRE BOVIN LAIT VOIX BIOLACTEE LA n 75 01 01 2014 4 pages p 22 25 r f 198 055 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Les circuits courts alimentaires rapprochent les habitants FUCHS Francois L auteur pr sente les bienfaits qui d coulent d un rapprochement entre consommateurs et producteurs via un point de vente directe qu il s agisse d une AMAP d un magasin de producteurs ou d autres syst mes C t producteurs la plus value est en g n ral plus int ressante en fili re courte et le contact avec les consommateurs leur permet d en conna tre la fois les attentes et les retours sur leurs produits C t consommateurs se trouve la satisfaction de manger des produits sains frais et cologiques issus d un environnement local connaissance du producteur conomie de CO2 r duction des emballages et de rencontrer d autres personnes avec les m mes pr occupations Cela d bouche souvent sur un res
113. f Central
114. glement sur la production biologique Dans sa proposition de r glement sur la production des produits biologiques la Commission met l accent sur un renforcement des exigences et des contr les pour r pondre aux attentes des consommateurs Apr s avoir men pendant l ann e 2013 une concertation et une consultation publique sur l agriculture biologique la Commission a pr sent aux ministres de l Agriculture europ ens le 24 mars une proposition de r glement sur la production biologique et l tiquetage des produits bio Elle souhaite une entr e en vigueur de ce texte au 1 juillet 2017 La Commission pr voit des dispositions pour accompagner le d veloppement du secteur renforcer le march int rieur et maintenir la confiance des consommateurs La Commission propose de mettre fin aux d rogations intrants mat riel de reproduction alimentation des animaux sauf lorsque des mesures provisoires sont n cessaires pour permettre la production biologique de continuer ou de reprendre en cas de catastrophe Objectif que la plupart des intrants utilis s dans la production et la transformation biologiques soient issus de l agriculture biologique Selon la Commission ces dispositions devraient favoriser le d veloppement d intrants biologiques et de techniques alternatives De son c t elle s engage remettre au plus tard le 31 d cembre 2021 un rapport sur la disponibilit de mat riel biologique de repr
115. hes sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur le Tournesol biologique et traite notamment des points suivants Choix de la parcelle et pr paration du sol Choix vari tal Semis Fertilisation D sherbage Irrigation Maladies et ravageurs R colte Approche conomique Marge brute tournesol biologique en sec Marge brute tournesol biologique irrigu http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab Mots cl s TOURNESOL AGRICULTURE BIOLOGIQUE ITINERAIRE TECHNIQUE RHONE ALPES SEMIS FERTILISATION DESHERBAGE CONTROLE DES ADVENTICES IRRIGATION PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR MALADIE RECOLTE DONNEE ECONOMIQUE MARGE BRUTE DROME FRANCE 2013 6 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES r f 198 043 R daction ABioDoc Pierre Pujos laur at des Troph es de l agriculture durable La priorit au sol avant la rentabilit conomique court terme POUPEAU Jean Martial Pierre Pujos c r alier biologique dans le Gers a t r compens en 2013 par les Troph es de l agriculture durable Le jury a ainsi voulu saluer le travail de l agriculteur dans la lutte contre l rosion des sols et la perte de biodiversit A son installation en 1998 Pierre Pujos a t choqu par la quantit de terre d plac e apr s les orages de printemps Il a alors fa
116. i ge donne de r sultats int ressants car selon une recherche de l Universit du Connecticut le perceur de courge a diminu de 88 dans les cultures de courgette ou de courge d t quand une culture pi ge de courge bleue de Hubbard est utilis e Des gu pes parasito des peuvent tre utilis es pour attaquer l oeuf du perceur de courge L utilisation des vari t s r sistantes le contr le visuel et les pesticides biologiques certifi s peuvent compl ter les m thodes de lutte contre ce ravageur www extension org pages 65684 biology and management of squash vine borer in organic farming systems Mots cl s Perceur de la courge RAVAGEUR PROTECTION DES VEGETAUX BIOLOGIE PARASITE DES VEGETAUX ETATS UNIS D AMERIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE 2014 3 p d eXtension r f 198 307 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 Keys to Disease Management in Organic Seed Crops Les cl s de la gestion des maladies de semences des cultures biologiques Anglais JOHNSON Kenneth B MORTON Frank La gestion des maladies de cultures commence tout d abord par l utilisation de semences saines Pour viter ou pour g rer les maladies de semences dans nos cultures trois aspects sont prendre en compte II s agit de connaitre l agent pathog ne susceptible d attaquer la semence connaitre la vari t de semence potentiellement attaquable par cet agent pathog ne et identifier l environnement propice au d veloppem
117. iande Porcs Poules pondeuses Poulets de chair Caprins lait Ovins viande Ovins lait Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE STATISTIQUES BRETAGNE SURFACE AGRICOLE EXPLOITATION AGRICOLE CIRCUIT DE COMMERCIALISATION PRODUCTION VEGETALE PRODUCTION ANIMALE HERBAGE FOURRAGE LEGUME FRUIT CEREALE OLEOPROTEAGINEUX PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE BOVIN LAIT BOVIN VIANDE PORCIN POULE POULET DE CHAIR CAPRIN LAIT OVIN VIANDE OVIN LAIT ELEVAGE BIOLOGIQUE 2013 56 p d FRAB BRETAGNE F d ration Regionale des Agrobiologistes de Bretagne r f 198 100 R daction ABioDoc Ca 31 Biopresse 198 Mars 2014 ECOLOGIE amp RURALITE Agriculture durable Produire mieux pour manger tous d ici 2050 et bien apres LE PUILL Gerard Pour l auteur la plan te ne pourra pas nourrir neuf milliards d humains d ici 2050 si on continue de fonder les changes sur une concurrence mondialis e avec une localisation des productions selon la vieille th orie des avantages comparatifs de David Ricardo Poursuivre dans cette voie revient multiplier les famines sur fond de r chauffement climatique Avec ce troisi me livre en moins de cinq ans l auteur propose de nombreuses pistes pour relever le d fi alimentaire des prochaines d cennies Cela passe par les rotations des cultures le travail simplifi des sols l agroforesterie les ceintures vertes autour des grandes villes s agira de
118. ion biologique de la drosophile ailes tachet es DAT Anglais FISHER P La drosophile ailes tachet es DAT est un ravageur envahissant des cultures de petits fruits et d autres fruits peau douce En quelques ann es ce ravageur a conquis toutes les grandes r gions de production de fruits aux Etats Unis en Colombie Britannique et dans l est du Canada Le contr le de ce ravageur est un d fi pour les producteurs de fruits La strat gie de gestion la plus importante pour contr ler la DAT est de r colter fr quemment et soigneusement Id alement les fruits m rs doivent tre r colt s chaque jour ou tous les deux jours Un bon ajustement du calendrier de r colte a permis une bonne ma trise de la DAT dans les framboises les fraises Cependant cette option n est pas tr s pratique pour les bleuets ou les m res qui sont r colt s une ou deux fois par semaine Les pratiques qui favorisent la dessiccation des fruits tomb s peuvent contribuer r duire l mergence de la DAT Un refroidissement de 1 6 C 35 F imm diatement apr s la r colte ralentit le d veloppement de la DAT Une telle temp rature tue les ufs et les larves si les fruits y s journent durant 3 jours Il est possible d autoriser l usage d urgence de l insecticide ENTRUST en 2014 pour le contr le de la DAT Cet insecticide est tr s efficace et est acceptable dans la plupart des programmes biologiques Cependant il y aura des limitations sur l
119. ion de leurs produits l Isomir Industrialisation solidaire en milieu rural propose des solutions techniques r glementaires ou encore commerciales aux petits producteurs agricoles Mots _cles ECONOMIE SOCIALE ECONOMIE SOLIDAIRE INITIATIVE FRANCE AGRICULTURE AGROALIMENTAIRE INSERTION PROFESSIONNELLE ENTREPRISE D INSERTION ENTREPRISE VALORISATION DES PRODUITS AGRICULTURE BIOLOGIQUE SOCIETE INFORMATION AGRICOLE L n 873 01 12 2013 12 pages p 10 21 r f 198 028 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 42 Vie professionnelle Formation La R seau Formabio bio investit l enseignement agricole RIVRY FOURNIER Christine Sous l impulsion du plan d action bio 2007 2012 les tablissements de formation ont d velopp leurs offres en agriculture biologique mais il reste encore du travail fournir En effet dans l enseignement sup rieur il n existe encore aucun master consacr la bio et l offre des coles d ing nieurs devrait tre plus visible Le nouveau plan de d veloppement de la bio Ambition Bio 2017 pourrait permettre de poursuivre les efforts engag s Une cinquantaine de responsables de formations d enseignants et de directeurs d exploitations agricoles et de CFPPA se sont r unis la rencontre annuelle de Formabio le r seau bio de l enseignement agricole de la DGER L occasion de souligner l int gration de l agro cologie et de l agriculture bio
120. issus de 30 pays se sont r unis au Bhoutan lors de la conf rence IFOAM Organic and Ecological Agriculture in Mountain Ecosystems A l issue de celle ci la d claration de Thimpu a t tablie visant montrer l int r t de l agriculture biologique pour les r gions de montagne et inciter son d veloppement sur ces territoires www ifoam org sites default files thimphu declaration pdf Source IFOAM Insider mars 2014 55 Les Br ves La FAO s inqui te du bond des contaminations OGM L intensification des cultures g n tiquement modifi es de par le monde a donn lieu une augmentation d incidents lies la pr sence d organismes g n tiquement modifi s OGM en faible quantit dans les denr es alimentaires et aliments pour animaux faisant l objet d changes internationaux C est ce qui ressort d une tude r alis e par l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture FAO et synth tisant les informations re ues de 75 pays dont la France Les incidents concernant les cargaisons de grains c r ales et autres esp ces cultiv es ont entra n des interruptions des changes et les pays importateurs ont d truit ou retourn les cargaisons l exp diteur s inqui te la FAO noter que la notion de faible quantit n est d finie ni quantifi e par aucune r glementation internationale et son interpr tation est donc laiss e la discr tion des
121. it plusieurs choix travail en travers des pentes arr t du labour implantation de bandes enherb es et de haies II lui aura fallu plusieurs autres adaptations notamment face des probl mes de compaction des sols ou de salissement par le chardon pour mettre au point un syst me performant techniquement mais aussi conomiquement EBE de 30 000 a 35 000 euros an Parmi ses techniques particulieres l absence de fertilisation le semis de bl dans un couvert de luzerne La rotation des cultures peut voluer selon les conditions essentiellement en fonction du niveau de salissement des parcelles Depuis 2006 Pierre Pujos s est galement lanc dans l agroforesterie Mois cl s GRANDE CULTURE GERS AGRICULTURE BIOLOGIQUE T MOIGNAGE AGRICULTURE DURABLE PROTECTION DES SOLS NON LABOUR BIODIVERSIT LUTTE CONTRE L EROSION AGROFORESTERIE ROTATION DES CULTURES SEMIS SOUS COUVERT CONTROLE DES ADVENTICES BIOFIL n 92 01 03 2014 4 pages p 40 43 r f 198 069 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 SARL du Mail dans le Gers Une ETA 100 bio POUPEAU Jean Martial Responsable d une exploitation de grandes cultures et de viticulture biologique de 600 ha dans le Gers Nicolas Meliet est galement co g rant de la SARL du Mail Celle ci est sp cialis e dans le travail fa on en agriculture biologique et intervient dans le Gers le Lot et Garonne et les Landes Les 14 clients to
122. its biologiques dans les tablissements de restauration collective dans le Massif Central FOURNIER Judith VALLAS Myriam Cet observatoire de l introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration collective l chelle du Massif Central a t r alis dans le cadre du projet D veloppement des fili res biologiques du Massif Central pour r pondre aux besoins de la restauration hors domicile pilot par le P le Agriculture Biologique Massif Central et associant de nombreux acteurs de la fili re Ainsi 491 tablissements du Massif Central ont t interrog s sur leurs pratiques d introduction de produits bio de 2010 2012 146 d entre eux servaient ce type de produits Les informations recueillies et pr sent es dans cet observatoire pluriannuel concernent la passation des commandes les autres produits sous labels hors produits bio les projets d introduction de produits bio les produits bio introduits et leurs fournisseurs la satisfaction des tablissements vis a vis des services des grossistes mixtes les changements li s l introduction de produits bio les freins l introduction de produits bio les moyens mis en uvre pour limiter le surco t les actions de sensibilisation mises en place les r actions au sein des tablissements vis vis des produits bio les produits bio les plus appr ci s en restauration collective les produi
123. ketee le gant DSES Dispositif Suppl mentaire Electronique de S curit d Infaco Les laur ats des Sival d Argent sont le trieur automatique de vendange lame d air haut d bit de la soci t Bucher Vaslin l chelle rambarde pour les plateformes automotrices des vergers de la soci t Chabas le DVD p dagogique sur la s curit en viticulture r alis par la MSA Parmi les autres innovations remarquables le cultivateur Struik quip d un proc d de pasteurisation par traitement thermique le buttoir Grimme GH Oko adapt un d sherbage m canique des rangs de pommes de terre les bineuses doigts Maxi utilisables en mara chage et en viticulture et prochainement peut tre en arboriculture le systeme d attelage Gangl Docking System le porte outils 27 ch d Agri 3D les semoirs polyvalents d ICS Terradonis notamment pour le maraichage les rotofils interceps de Naturagriff La jeune entreprise Terrateck pr sente aussi sa gamme de mat riels qui a int ress de nombreux agriculteurs bio lors du Sival Mots cl s MATERIEL AGRICOLE INNOVATION MACHINISME AGRICOLE AGRICULTURE DURABLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE VITICULTURE MARAICHAGE ARBORICULTURE SEMOIR GRANDE CULTURE DESHERBAGE MECANIQUE FRANCE SALON BIOFIL n 92 01 03 2014 4 pages p 60 63 r f 198 077 R daction ABioDoc 27 Observatoire 2010 2012 L introduction de produ
124. la situation a t meilleure surtout pour les f veroles La demande pour l alimentation animale na pas augment e mais la part des importations est rest e significative Pour 2014 la demande va rester importante les conversions en levage semblent reprendre et avec une r colte 2013 pas tr s bonne les op rateurs s attendent une augmentation des importations Au sommaire de ce dossier Evolution de la production dans le Grand Ouest Grand Ouest bilan de la collecte et des stocks Analyse des prix 2012 et perspectives 2013 Zoom sur les utilisations de c r ales R sultats d une enqu te Prix nationale men e par FranceAgriMer de 2005 2011 Observatoire les grandes cultures en Bretagne Mois cl s GRANDE CULTURE BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE FRANCE STATISTIQUES COLLECTE STOCK GRAND OUEST CENTRE NORMANDIE POITOU CHARENTES CEREALE OLEOPROTEAGINEUX UTILISATION PRIX ALIMENTATION HUMAINE ALIMENTATION DES ANIMAUX T MOIGNAGE ENQUETE MARCHE SYMBIOSE n 187 01 02 2014 7 pages p 9 15 r f 198 037 R daction ABioDoc 25 Semences biologiques en France pratiques quelles attentes BELLEIL Aur lie REY Fr d ric SINOIR Nicolas et al Dans le cadre du projet europ en Solibam et du projet Casdar Semences biologiques les acteurs de la fili re Semences biologiques fran aise ont t sollicit s pour une enqu te L objectif
125. laire de demande est disponible aupr s des organismes certificateurs Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE REGLEMENTATION EUROPE FRANCE MESURE INFRACTION IRREGULARITE INAO ORGANISME CERTIFICATEUR DEROGATION BOVIN ATTACHE CONTROLE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 24 ref 198 050 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 RECHERCHE amp SYSTEME SPECIFIQUE Agriculture biodynamique Pommes et poires en biodynamie Les tisanes c est la base GOULETTE Myriam Les vergers de Philippe Prot dans la Meuse sont cultives en biodynamie depuis 2002 Dans cet article l arboriculteur r compens par les Troph es 2013 de l agriculture durable decrit le fonctionnement de son exploitation notamment en ce qui concerne les preparats biodynamiques En compl ment des traditionnelles 500 et 501 Philippe Prot utilise de nombreuses plantes en tisane la pr le comme fongistatique efficace contre la tavelure l ortie galement contre la tavelure la bardane et la consoude pour l apport de potasse Ces quatre plantes sont celles privil gi es par l agriculteur m me si d autres sont utilis es Dans la lutte contre les ravageurs maladies et adventices Philippe Prot utilise aussi les dilutions hom opathiques qui consistent pulv riser une dilution infinit simale d un ravageur broy afin de lutter contre ce m me ravageur et le poivre biodynamique qui consiste pulv riser sur
126. le pi ge de vouloir convaincre avant tout ce qui exclut l autre La seconde strat gie vise tenir compte de la r sistance et l utiliser Par exemple en cas d argument sur le manque de temps pour s investir entendre la remarque et demander alors par exemple ce qui est possible dans le temps disponible et lancer alors une d marche de petits pas dans l action La troisi me approche propos e s appuie sur l id e d ouvrir le champ des possibles en travaillant l imaginaire Demander par exemple ce que pourrait tre lavenir sur un point donn et partir de l changer sur le comment y arriver toujours travers l imaginaire La quatri me strat gie propose de transformer la r sistance en motivation Si on reprend l exemple du manque de temps l id e ici est plut t de dire puisse qu on manque de temps consacrons nous sur l essentiel et soyons efficace Ces strat gies sont autant d outils mobiliser pour accompagner le changement la concertation ou la construction d actions partag es www nature humaine fr lettres Mots cl s CHANGEMENT SOCIETE RESISTANCE ENVIRONNEMENT DEVELOPPEMENT DURABLE STRATEGIE ACCOMPAGNEMENT ECHANGE MOTIVATION DIALOGUE NATURE HUMAINE LA LETTRE n 12 01 01 2014 11 pages p 1 11 r f 198 034 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Organisation de l AB Henri Thepaut Paysan bio coh rent BESNARD Antoine Install Plabennec
127. lective l chelle du Massif Central pilot par le P le Agriculture Biologique Massif Central comprenait un volet sur les plateformes de distribution En effet parmi les fournisseurs possibles des 140 tablissements en restauration collective proposant des produits biologiques certaines plateformes de distribution se sont sp cialis es sur les produits biologiques et sont ainsi de v ritables moteurs de la production biologique locale En 2012 28 des tablissements interrog s ignoraient l existence de telles plateformes au nombre de trois sur le Massif Central Pourtant ils sont de plus en plus nombreux s int resser l introduction de produits locaux dans leurs restaurants Les groupements d agriculteurs biologiques GAB peuvent galement faire le lien entre producteurs et lieux de consommation notamment par la r alisation d actions de sensibilisation Des pistes d am lioration pour l introduction de produits biologiques en restauration collective et destin es aux plateformes de distribution et aux GAB sont propos es www abiodoc com pole ABMC publications rhd Mots cl s RESTAURATION COLLECTIVE RESTAURATION HORS DOMICILE PRODUIT BIOLOGIQUE OBSERVATOIRE MASSIF CENTRAL ENQUETE SENSIBILISATION CONSOMMATION ALIMENTAIRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PLATEFORME DE DISTRIBUTION GROUPEMENT D AGRICULTEURS PRODUIT LOCAL DEVELOPPEMENT DE L AB FILIERE 2013 18 p d POLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MASS
128. lles peu pr occupantes PNPP pr sentation de ces pr parations base de plantes alternatives aux produits phytosanitaires chimiques et du combat politique pour leur libre utilisation par les paysans Retour sur les diff rentes formes de PNPP la guerre de l ortie la r glementation ou la situation de l Allemagne o les PNPP b n ficient d un statut sp cifique www confederationpaysanne fr actu php id 2386 amp PH PSESS A amp rech 0 amp raz 1 amp PHPSESSID a1499b6e13 e Sources Confederation Paysanne Bio Marche Info 28 mars 2014 Les pesticides responsables de la baisse continue de la production de miel francaise Le syndicat apicole Unaf pointe l impact des pesticides n onicotino des et r clame l extension de leur interdiction toutes les cultures et deux autres substances dangereuses pour les abeilles l ac tamipride et le thiaclopride L Union nationale de l apiculture fran aise Unaf syndicat repr sentant 22 000 apiculteurs a alert le 11 f vrier de la baisse de la production nationale de miel en 2013 inf rieure 15 000 tonnes en r it rant impact des pesticides sur les populations d abeilles L Unaf estime que les pesticides utilis s notamment sur le colza et le tournesol sont la principale cause des pertes des colonies d abeilles intoxiqu es Auxquelles s ajoutent les conditions m t orologiques d favorables de 2013 froid pluie
129. loire chambagri fr pages hors menu internet publications detail publication actualite lobservatoire regional de lagriculture biologique des pays de la loire edition 2013 sur donnee html Mots_ cl s PAYS DE LA LOIRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE OBSERVATOIRE REGIONAL STATISTIQUES CONVERSION MAIN D OEUVRE ELEVAGE BIOLOGIQUE FILIERE PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE SURFACE AGRICOLE EXPLOITATION AGRICOLE 2013 44 p d AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRE REGIONALE D AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE r f 198 023 R daction ABioDoc a Observatoire regional de la production bio Edition 2013 Chiffres 2012 Les chiffres de la production biologique en Bretagne en 2012 RESEAU GAB FRAB BRETAGNE Au 31 d cembre 2012 l agriculture biologique en Bretagne repr sentait 64 490 ha en bio dont 8670 en conversion soit 3 9 de la SAU r gionale 1770 fermes bio et en conversion 5 1 des fermes bretonnes Au sommaire notamment de ce document qui pr sente les chiffres de la production biologique en Bretagne en 2012 Les donn es g n rales Les fermes Les surfaces Les circuits de commercialisation Les donn es d partementales C tes d Armor Finist re Ille et Vilaine Morbihan Les productions v g tales Herbages et fourrages L gumes Fruits C r ales Ol oprot agineux Plantes parfum aromatiques et m dicinales Les productions animales Bovins lait Bovins v
130. mbre de pr parateurs bio 319 magasins sp cialis s bio et 234 grossistes 2 me r gion en nombre de distributeurs bio Cette publication de Corabio et de Bioconvergence pr sente les chiffres de l agriculture bio en Rh ne Alpes fin 2013 au niveau de la production transformation et distribution Au sommaire La production agricole bio en Rh ne Alpes Les fermes bio Progression et perspectives Part de la bio par rapport l agriculture conventionnelle La bio dans les d partements La transformation des produits bio La consommation des produits bio La distribution des produits bio Les productions v g tales Les l gumes frais Les fruits Le vin Les plantes aromatiques et m dicinales Les grandes cultures c r ales et ol o prot agineux Les productions animales La viande bovine Le lait de vache Le lait de ch vre et brebis La viande ovine La viande de porc La viande de volailles Les ufs Le miel Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE STATISTIQUES RHONE ALPES PRODUCTION PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE EXPLOITATION AGRICOLE SURFACE AGRICOLE PREPARATEUR ELEVAGE BIOLOGIQUE TRANSFORMATION CONSOMMATION FILIERE DISTRIBUTION LEGUME FRUIT VIN PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE GRANDE CULTURE CEREALE OLEOPROTEAGINEUX VIANDE BOVINE LAIT LAIT DE BREBIS LAIT DE CHEVRE LAIT DE VACHE VIANDE OVINE VIANDE PORCINE VIANDE DE VOLAILLE
131. ment des cultures www extension org pages 18332 keys to disease management in organic seed crops Mots cl s SEMENCE VEGETALE MALADIE DES VEGETAUX AGRICULTURE BIOLOGIQUE VARIETE RESISTANTE TRAITEMENT DES SEMENCES IRRIGATION LOCALISEE 2010 2 p Ed eXtension r f 198 308 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 20 Production vegetale Cultiver et soigner les arbres JULLIEN Elisabeth JULLIEN J r me Destin aux jardiniers amateurs et professionnels aux p pini ristes aux paysagistes aux gestionnaires d espaces verts et aux tudiants en horticulture cet ouvrage est une r f rence sur les m thodes de culture et de soin des arbres Paru initialement sous le titre Guide cologique des arbres il s enrichit l occasion de cette nouvelle dition d une premi re partie de 100 pages sur les bonnes pratiques en mati re d arboriculture respect de la biodiversit techniques de plantation entretien des arbres et des sols protection phytosanitaire V ritable outil de diagnostic et d aide la d cision la seconde partie de l ouvrage propose des fiches culturales et phytosanitaires sur 80 genres de feuillus et conif res rencontr s dans nos parcs jardins vergers et for ts Chaque fiche d taille les exigences culturales habitat plantation type de sol exposition arrosage nutrition les auxiliaires insectes oiseaux les sensibilit s et r sistances froid pollu
132. mes L impact sur la biodiversit cultiv e de ce mode innovant de s lection a par ailleurs t tudi Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE SELECTION VARIETALE AGRICULTURE BIOLOGIQUE BLE TENDRE INNOVATION SELECTION PARTICIPATIVE FRANCE RESEAU BIODIVERSIT CULTIV E AGRICULTEUR CHERCHEUR ASSOCIATION PROGRAMME DE SELECTION VARIETE VARIETE POPULATION 7 RECHERCHE RECHERCHE PARTICIPATIVE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 14 16 r f 198 063 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 De l Ideotype au Realtype une gestion dynamique des innovations varietales BELLEIL Aur lie DESCLAUX Dominique CHIFFOLEAU Yuna et al Avec l volution du monde agricole les principes de s lection vari tale ont chang Jusqu au XIXe si cle la s lection se faisait surtout par les agriculteurs eux m mes lls selectionnaient dans leurs parcelles des plantes mod les ou id otypes qui poss daient un ensemble d attributs pour lesquels la plante tait reconnue G n ralement les plantes les mieux adapt es leur milieu de culture taient ainsi s lectionn es Le d veloppement de l agriculture apr s la seconde guerre mondiale a induit une sp cialisation de ses diff rentes activit s notamment du secteur semencier D s lors les id otypes produits sont issus de l action directe de l homme via les croisements mais aussi via son action sur les milieux de culture par l utilis
133. n pr voit trois niveaux utilisation de quelques produits bio pr sence de plats ou menus bio et enfin enti rement en bio Ce dernier niveau est moins fr quent que le niveau 1 Enfin cette l gislation encadre la communication que peut faire le restaurateur sur son utilisation de produits bio Etant une r glementation nationale fran aise les restaurateurs ne peuvent utiliser que le logo AB et non l Eurofeuille Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUIT BIOLOGIQUE RESTAURATION COMMERCIALE BRETAGNE TEMOIGNAGE PRODUIT LOCAL RESTAURANT CREPERIE OEUF AGRICULTEUR LAIT DEBOUCHE APPROVISIONNEMENT LOCAL RESTAURATEUR RELATION PRODUCTEUR RESTAURATEUR QUALITE REGLEMENTATION FRANCE COMMUNICATION NOTIFICATION CERTIFICATION ORGANISATION SYMBIOSE n 186 01 01 2014 7 pages p 7 13 r f 198 031 R daction ABioDoc 23 Midi Pyr n es L Aveyron concentre la fili re fran aise de lait de brebis COSSERAT Martine L Aveyron peut tre d fini comme Le d partement de la fili re de lait de brebis bio 57 du cheptel national et 90 du volume de lait de brebis bio fran ais y sont en effet concentr s Quatre op rateurs conomiques sont en charge de la collecte dont la laiterie Triballat qui vient d ouvrir un nouvel atelier en Loz re avec une capacit de 6 millions de litres Cette unit est enti rement consacr e la transformation de lait de brebis bio dont les
134. nt con ue pour tre utilis e en plein champ Free N100 de la soci t Ga ago est un fertilisant compos d une s lection de souches de micro organismes qui favorisent la fixation de l azote de l air par la plante Mots cl s INNOVATION AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE VARIETE FRAISIER FRAMBOISIER RUCHER POTIMARRON POLLINISATION OUTIL DE DIAGNOSTIC CARPOCAPSE FIXATION D AZOTE CULTURE DE PLEIN CHAMP VERGER SALON APICULTURE LUTTE BIOLOGIQUE PROTECTION DES VEGETAUX FRANCE MATIERE FERTILISANTE BIOFIL n 92 01 03 2014 2 pages p 14 15 r f 198 017 R daction ABioDoc Le dossier du mois Cultures Une ann e 2013 tr s moyenne FRAB BRETAGNE CAB DES PAYS DE LA LOIRE Qu en est il de la fili re grandes cultures c r ales prot agineux en particulier en France en r gion Grand Ouest et plus sp cifiquement en Bretagne et Pays de la Loire Ce dossier regroupe de nombreux l ments chiffr s issus de donn es nationales ou r gionales afin de donner aux acteurs des rep res sur la situation actuelle et des l ments de perspective 2013 a t une ann e tr s moyenne au niveau des r coltes avec de fortes disparit s entre territoires ou au sein de ces derniers D apr s FranceAgriMer la collecte de bl tendre biologique a t en baisse de 11 par rapport celle de 2012 et pour l orge le recul a t de 7 Pour les r coltes en prot agineux
135. nvironnemental L nergie n cessaire pour chauffer l levage sera fournie tout ou partie par les d chets produits par les insectes qui seront nourris de v g taux bl fruits et farine respectant leur biotope Les trois vari t s produites ont t choisies pour leurs propri t s nutritionnelles Les insectes fournissent plus de prot ines et d acides amin s que la viande de b uf et demandent 10 fois moins de ressources pr cise Fabienne Dupuy Les trois scientifiques associ s au projet Bipro planchent avec des industriels pour produire faibles co ts une mati re transform e comme la farine par exemple Avant de se lancer la fin de l ann e ils finalisent leur plan de financement et comptent effectuer plusieurs lev es de fonds en esp rant d marrer la production d ici fin 2015 Sources lesechos fr Bio Marche Info 9 avril 2014 Site sur le BRF Ce nouveau site consacr au bois ram al fragment et con u par Bernard Mercier ing nieur agronome est destin aux sylviculteurs exploitants forestiers commer ants de bois lagueurs paysagistes jardiniers agents des services des espaces verts mara chers agriculteurs viticulteurs arboriculteurs p pini ristes et tous les amateurs de nature et de jardin Site www brfgeneration fr Source Les derni res nouvelles d Arbre amp Paysage 32 mars 2014 D claration de Thimpu Bhoutan Du 5 au 8 mars pr s de 100 participants
136. o Champagne Ardenne Champagne Ardenne Les Biocabas du Nord Nord Pas de Calais Axe N 4 ARTEMIS Animation du R seau de Travail sur l Environnement le Mat riel les Intrants et le Sol Franche Comt AGRO TRANSFERT AGRI BIO de la Connaissance la Performance Picardie Qui Fait Quoi Projet national Axe N5 De la formation en maraichage biologique la couveuse d entreprise le projet territorial et multipartenarial de l EPLEFPA de Fayl Billot Champagne Ardenne Groupe de travail AB productions et formations AB dans l enseignement agricole PACA PEDAGOBIO Pays de la Loire Cycle Ing nieur Module de formation sp cifique l agriculture biologique intitul Agriculture biologique ou agricultures biologiques Formation co habilit e Licence Professionnelle Agriculture Biologique Conseil et D veloppement ABCD Animation et Suivi du Programme Contrat de fili re Agir pour la Bio Languedoc Roussillon Club d Entreprises Bio Nord Pas de Calais P le Conversion Bio Poitou Charentes http agriculture gouv fr ambition bio 2017 Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB FRANCE POLITIQUE AGRICOLE PLAN DE DEVELOPPEMENT FILIERE CONSOMMATION FORMATION RECHERCHE PROTECTION DE L EAU AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT TEST D ACTIVITE CONVERSION ACCOMPAGNEMENT COUVEUSE D ENTREPRISE REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE DONNEE ECONOMIQUE EXPERIMENTATION
137. oduction des v g taux et d animaux biologiques destin s la reproduction La suppression des exceptions et d rogations devrait 51 Les Br ves am liorer les contr les estime la Commission qui pr voit galement de r unir l ensemble des dispositions relatives au contr le dans un seul et m me texte par souci de simplification et de clarification Les contr les ne seront plus syst matiquement r alis s chaque ann e mais leur fr quence sera adapt e au niveau de risque pr sent par chaque op rateur Les petits exploitants pourront avoir recours un syst me de certification de groupe par souci de partage des co ts et des contraintes administratives La Commission propose galement de mettre fin aux exploitations mixtes agriculture conventionnelle bio et que l ensemble des op rateurs de la fili re biologique l exception des microentreprises soit tenu de mettre en place un syst me visant l am lioration des performances environnementales Les accords commerciaux d quivalence avec les pays tiers ne pourront plus tre unilat raux mais communautaires Source www actu environnement com 25 mars 2014 R action de la FNAB Pour la FNAB la pr sentation par la Commission europ enne le 24 mars 2014 d un projet de nouvelle l gislation pour la bio devrait permettre l agriculture biologique de continuer tre le ferment d une n cessaire r volution agricole en Europe Lors de l Assembl
138. ommages de plusieurs ravageurs ainsi que les dommages par le gel et les bris m caniques L utilisation des filets a permis de r colter une plus grande proportion de pommes saines et d liminer l utilisation d insecticides ainsi que l utilisation de fongicides dans le cas du cultivar Honeycrisp De plus l ajout d un toit fait d une membrane de poly thyl ne ultra clair offrant une protection contre la pluie semble tre une avenue prometteuse pour r duire la tavelure Les parcelles sous filets ont produit autant de pommes et de calibre quivalent compar s celles trait es aux insecticides En revanche certains insectes comme l hoplocampe des pommes sont bien moins contr l s dans certaines situations et d autres comme les pucerons ont t plus probl matiques sous les filets www cetab org system files publications irda fiche filets ex clusion pdf Mots cl s FILET ANTI INSECTES RAVAGEUR TAVELURE PROTECTION DES VEGETAUX LUTTE BIOLOGIQUE CALIBRE RECHERCHE QUEBEC POMICULTURE 2014 4 p ed IRDA Institut de recherche et de d veloppement en agroenvironnement r f 198 311 R daction CETAB Jardinage biologique Je r ussis mes plants du premier coup LAPOUGE DEJEAN Brigitte LAPOUGE Serge Produire soi m me ses plants de l gumes permet de faire d importantes conomies mais aussi de s lectionner des vari t s que l on appr cie tout particuli rement d en d couvrir de nouvelles
139. on collective dans le Massif Central www abiodoc com pole ABMC publications rhd FOURNIER Judith VALLAS Myriam 20 p gt Pistes d actions et de d veloppement pour les plateformes de distribution et les GAB du Massif Central www abiodoc com pole ABMC publications rhd FOURNIER Judith VALLAS Myriam 18 p Biopresse 198 Mars 2014 66 SUDVINBIO Arcades Jacques Coeur B t C 75 Avenue de Boirargues 34970 LATTES FRANCE T l 04 99 06 08 41 Fax 04 67 06 53 96 www sudvinbio com B gt La ma trise de l oidium en viticulture biologique en Languedoc Roussillon www sudvinbio com home qui sommes nous nos publications CONSTANT Nicolas 24 p SUSTAINABLE AGRICULTURE RESEARCH amp EDUCATION SARE 1122 Patapsco Building University of Maryland COLLEGE PARK MD 20742 6715 ETATS UNIS www sare org B gt Managing Cover Crops Profitably 3rd Edition www sare org Learning Center Books Managing Cover Crops Profitably 3rd Edition CLARK Andy 248 p VINOP LE BORDEAUX AQUITAINE 39 Rue Michel Montaigne 33290 BLANQUEFORT FRANCE www vinopole com Acqu rir des r f rences en bio Int r t du r seau collaboratif RESAQVitiBio www vinopole com fileadmin user upload fichiers vin opole Environnement Agro ecologie Interet du reseau collaboratif RESAQVitiB io pdf DAVIDOU Ludivine BERNARD Ana s AVELINE Nicolas 9 p BIOBASE BASE DE DONN ES DOCUMENTAIRE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE AbioDoe ceme Centr
140. on contre les m faits de Bayer La coordination contre les m faits de Bayer qui signe cet article existe depuis 30 ans n e en Allemagne d un mouvement de protestation la suite de la pollution par Bayer de la rivi re Wupper Si elle reconna t ici que Monsanto est le principal producteur de plantes transg niques elle tient rappeler la pr sence sur ce march de deux industriels allemands Bayer et BASF qui tous deux produisent aussi des pesticides et des semences Une r cente tude men e l Office Europ en des Brevets OEB montre d ailleurs que sur les 2000 brevets accord s ces 20 derni res ann es des plantes transg niques 206 l ont t Bayer contre 179 Pioneer 144 BASF 135 Syngenta et 119 Monsanto De plus l association d nonce la pratique courante des semenciers de transformer g n tiquement une nouvelle obtention v g tale conventionnelle uniquement dans le but d en d poser un brevet Par ailleurs Bayer se positionne sur le continent am ricain avec ses plantes tol rant le glufosinate et la construction d une nouvelle usine de glufosinate pour remplacer les PGM de Monsanto tol rant le glyphosate mol cule laquelle de plus en plus d adventices sont r sistantes Mots cl s ORGANISME GENETIQUEMENT MODIFIE ENTREPRISE BREVET PLANTE TRANSGENIQUE SEMENCE VEGETALE HERBICIDE PESTICIDE BIOTECHNOLOGIE MONDE CONTROVERSE ALLEMAGNE EUROPE CAMPAGNES SOLIDAIRES n
141. ontaminants des niveaux acceptables pour le rejet dans l environnement tandis qu en terre noire la s dimentation et la centrifugation sont peu efficaces pour abattre la majorit des contaminants puisque ceux ci sont solubles Dans ce dernier cas le s jour en lagune a r e est appropri afin d viter l ajout de coagulants Ces options doivent tre valid es en vue d une utilisation l chelle de la ferme sur une base quotidienne et sur une longue p riode Des param tres comme le pompage de l eau sortant de la laveuse vers les unit s de s dimentation primaire la protection contre le gel de celles ci la m thode de vidange des solides s diment s dans les bassins hors sol ainsi que la m thode d a ration des lagunes sont prendre en compte lors de l implantation dans une ferme www irda gc ca assets documents Publications documents brassard et al 2014 rapport gestion eaux lavage legumes pdf Mots cl s GESTION DE L EAU LAVAGE IMPACT ENVIRONNEMENTAL BASSIN TAMPON DE SEDIMENTATION ETUDE QUEBEC 2014 61 p d AAC Agriculture et Agroalimentaire Canada r f 198 306 R daction CETAB Biopresse 198 Mars 2014 34 cologie et ruralit A framework for evaluating ecosystem services provided by cover crops in agroecosystems Un cadre pour valuer les services cosyst miques fournis par les cultures de couverture dans les agrosyst mes Anglais SCHIPANSKI MEAGAN E BARBERCHECK
142. ossibilit d tre humain KRUGER Thierry GIRAULT Pablo DVD Video 1h25 15 DD Pour l amour de l eau SALINA Irena DVD Video 1h23 15 EDITIONS TERRE VIVANTE Domaine de Raud 38 710 MENS FRANCE T l 04 76 34 80 80 Fax 04 76 34 84 02 info terrevivante org www terrevivante org LS Je r ussis mes plants du premier coup LAPOUGE DEJEAN Brigitte LAPOUGE Serge 120 p 14 Elles sont bonnes mes tomates Des semis aux conserves LECLERC Blaise RAYNAL Jean Jacques 120 p 14 eXtension Biopresse 198 Mars 2014 64 6 Ag Communications Bldg University of Nebraska Lincoln 830918 LINCOLN NE ETATS UNIS www extension org DD Mulching for Weed Management in Organic Vegetable Production www extension org pages 62033 mulching for weed management in organic vegetable production SCHONBECK Mark 4 p DD Managing Diseases of Organic Tomatoes in Greenhouses and High Tunnels www extension org pages 18337 managing diseases of organic tomatoes in greenhouses and high tunnels MILLER Sally 3 p B gt Biology and Management of Squash Vine Borer in Organic Farming Systems www extension org pages 65684 biology and management of squash vine borer in organic farming systems SEAMAN Abby 3 p B gt Keys to Disease Management in Organic Seed Crops www extension org pages 18332 keys to disease management in organic seed crops JOHNSON Kenneth B MORTON Frank 2 p FIBL Institut
143. out agriculteur int ress les plans et m thodes de construction et ce sans redevance de brevet Un guide pr sentant les plans a t r alis et des stages d autoconstruction sont organis s dans toute la France Pour l instant le mat riel propos est essentiellement d di au maraichage Il est par ailleurs adapt l agriculture biologique mais n est pas exclusivement r serv ce mode de production Mots cl s MATERIEL AGRICOLE MARAICHAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE FRANCE IS RE AUTOCONSTRUCTION INNOVATION STAGE ECHANGE ENTRAID OC n 363 01 03 2014 1 page p 62 r f 198 080 R daction ABioDoc Petits fruits Le framboisier CHEVALIER C dric Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fiches sont des outils d accompagnement des projets d installation et de conversion Cette fiche porte sur Le framboisier et traite notamment des points suivants Agronomie Conditions de culture Avant plantation Pr paration du sol Fumure de fond La plantation Choix vari tal Pr paration de la parcelle Plantation sur butte Type de butte Irrigation Plantation et types de plants Le paillage et entretien du rang de plantation Le palissage Apr s plantation Irrigation Gestion de l herbe La taille du fram
144. pays pr cise la FAO ajoutant que pour un grand nombre de pays cela correspond une quantit d celable Par ailleurs l tude indique que 49 des pays ayant r pondu ne disposent pas de capacit s de d tection des OGM suffisamment robustes pour assurer le contr le de leurs importations Un d tail important puisque selon Renata Clarke sp cialiste de la s curisation sanitaire des aliments la FAO et charg e de l enqu te il semblerait que plus on renforce les tests et la surveillance plus on recense d incidents L tude indique que depuis 2002 198 incidents ont t recens s par les pays ayant r pondu Avec 138 v nements rapport s sur les quatre derni res ann es 2009 2012 contre 60 sur les sept premi res 2002 2008 la FAO voque un bond au cours de la derni re p riode L ann e 2009 marque un pic avec plus de 70 contaminations constat es tats Unis Chine et Canada sont les trois principaux exportateurs des lots contamin s avec 35 45 cas chacun L Allemagne est le quatri me pays mais avec moins de dix cas recens s sur la p riode Le lin avec plus de 50 contaminations constat es le riz un peu plus de 40 cas et les galettes et nouilles de riz un peu plus de 30 cas forment le trio de t te des produits pour lesquels le plus grand nombre de contaminations a t constat Le ma s 30 cas et le soja moins de 5 cas apparaissent en quatri me et huiti me place respec
145. port aux niveaux de 1990 des missions de gaz effet de serre dans l UE Pour le minist re cette deuxi me p riode permet d assurer la transition jusqu l adoption d un accord sur le climat Paris en d cembre 2015 pour une entr e en vigueur en 2020 Source www actu environnement com 9 avril 2014 Biopresse 198 Mars 2014 54 Les Br ves Cr dit d imp t bio 2014 Mode d emploi Pour tout savoir sur les modalit s du nouveau cr dit d imp t bio la FNAB a mis en ligne une note explicative www agrobio bretagne org actualites credit dimpot bio 2014 mode demploi Source www agrobio bretagne org Avril 2014 Bipro Des insectes bio pour l industrie alimentaire Proposer une alternative cologique l levage traditionnel ovins bovins etc pour produire des prot ines tel est le pari de Bipro Ce projet original qui associe trois entomologistes de l universit d Angers Delphine Calas Fabienne Dupuy et Olivier List devrait voir le jour fin 2014 Dans une usine bas e en Maine et Loire ils produiront l chelle industrielle des grillons criquets et vers de farine pour remplacer la viande ou le soja dans nos boissons et nos plats cuisin s Nous visons une production d insectes bio d une tonne par jour destin e aux professionnels de l industrie agroalimentaire et aux commer ants Bipro finalise la mise au point d un processus d levage thique avec un faible impact e
146. que bio indicateur particuli rement performant dans le compartiment biodiversit de la surveillance des phytos Le transfert l Anses de la comp tence de d livrance des autorisations de mise sur le march des produits phytosanitaires et des mati res fertilisantes est aussi confirm Un amendement pr voit galement que les programmes d actions l int rieur des aires d alimentation des captages de cours d eau peuvent interdire usage de substances dangereuses pour la sant ou l environnement Source www actu environnement com 16 avril 2014 Projet de loi sur la biodiversite Parmi les dispositions pr vues par le projet de loi sur la biodiversit pr sent le 26 mars dernier en Conseil des ministres figurent des mesures visant maintenir ou reconqu rir la biodiversit en milieu agricole Il s agit de mettre en uvre des actions favorables la biodiversit am nagements arbor s bandes enherb es mise en place de pratiques restaurant la qualit des sols etc sur les terrains agricoles sans avoir recourir leur acquisition par la signature de contrats entre les propri taires de ces terrains d une part une collectivit publique ou une personne morale de droit priv agissant pour la protection de l environnement d autre part Cet outil reposera sur la libert contractuelle qu il s agisse du contenu des mesures de leur dur e de leur phasage ou des conditions de r vision et de sor
147. r la Chambre d agriculture du Lot et Garonne et la FREDON Aquitaine pr sente les principaux l pidopt res ravageurs des cultures mara ch res et des fraiseraies savoir Duponchelia fovealis le l gionnaire de la betterave la mineuse de la tomate diff rentes noctuelles la pi ride du chou la pyrale du ma s la s samie du ma s le sphinx t te de mort la teigne des crucif res les tordeuses du fraisier et de l illet diff rentes autres chenilles d foliatrices la petite h piale du houblon Classifi s selon les organes atteints feuilles tiges et fruits ou collet et racines tous ces bioagresseurs sont d crits diff rents stades uf chenille papillon Une description des d g ts caus s et quelques moyens de surveillance et de rep rage compl tent ces fiches Mots cl s LEPIDOPTERE INSECTE RAVAGEUR MARAICHAGE FRAISIER PETIT FRUIT AQUITAINE DETERMINATION DESCRIPTION PROTECTION DES VEGETAUX DEGAT 2012 46 p d FREDON AQUITAINE r f 198 024 R daction ABioDoc Ca Biopresse 198 Mars 2014 18 Production v g tale R duction des doses cuivre GOULETTE Myriam Le cuivre m tal est aujourd hui utilis pour la protection des cultures viticoles arboricoles et mara ch res biologiques La dose autoris e de 6 kg ha an en moyenne liss e sur 5 ans risque d tre revue la baisse L Anses pr conise en effet une dose maximale d
148. rares ou anciennes et de les choisir adapt es la r gion au climat au sol Cependant pour r ussir ses plants du premier coup et viter les cueils fr quents il est profitable de suivre les conseils avis s et en images des auteurs de ce livre Quelles vari t s choisir Comment pr parer un terreau adapt Faut il semer chaud dans la maison froid en serre en godets en mottes en pleine terre Quand repiquer Comment viter la fonte des semis Quels soins naturels apporter aux plants pour bien d marrer Autant de r ponses apport es pour les 25 l gumes et aromatiques pr sent s Mots cl s JARDINAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUCTION DE PLANTS PLANT TECHNIQUE LEGUME PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE POTAGER SEMIS SUBSTRAT MATERIEL REPIQUAGE PROTECTION DES VEGETAUX PLANTATION VARIETE 2014 120 p d EDITIONS TERRE VIVANTE r f 198 045 R daction ABioDoc a 13 Production v g tale Elles sont bonnes mes tomates Des semis aux conserves LECLERC Blaise RAYNAL Jean Jacques Photographe Cet ouvrage pr sente l exp rience de l auteur qui a cultiv 50 vari t s de tomates toutes cultiv es dans son potager au cours de l t 2013 Son objectif faire d couvrir des vari t s m connues aux formes et couleurs plus vari es les unes que les autres et aux go ts prononc s Pour les adopter dans son propre jardin il suffit de suivre les conseils de culture
149. rise en 1977 commence en bio par instinct avant de prendre conscience que ce mode de production lui convient II a d abord commenc par l levage laitier en vente directe Puis peu peu la part du v g tal a augment en particulier la production de pommes de terre et de plants de ce tubercule En 1998 le troupeau laitier est arr t pour laisser la place la production de viande biologique Au final l levage est stopp en 2010 et le syst me enti rement consacr la production v g tale Install maintenant aves son fils ce producteur travaille en permanence am liorer son syst me le rendre ind pendant malgr l arr t de l levage tout en respectant ses valeurs Un maitre mot pour cet agriculteur il faut oser Mots cl s T MOIGNAGE DEVELOPPEMENT RURAL POMME DE TERRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MORBIHAN GRANDE CULTURE MAIS CEREALE EVOLUTION SYSTEME TRAJECTOIRE SYMBIOSE n 187 01 02 2014 2 pages p 18 19 r f 198 035 R daction ABioDoc Les productions de niche Une diversite qui cache souvent une passion BIO CENTRE MAG Les productions de niche peuvent tre d finies par divers crit res repr senter un petit segment de march en termes de client le ou de produits et toucher un nombre restreint de producteurs Secteur souvent peu concurrentiel ces productions peuvent tre int ressantes au niveau rentabilit Cet article regroupe les t moignages d
150. ron rose vert et lanig re Sous les conditions de l essai dimension et type d installation des filets les filets d exclusion install s n ont pas t des milieux compl tement ferm s La dynamique de population observ e au cours de la saison d chantillonnage d montre que les coccinelles peuvent appara tre et dispara tre des pommiers sous filets selon l abondance de proies Le cycle de d veloppement naturel de l organisme et son interaction avec d autres pr dateurs pr sents sur le site semblent avoir t des facteurs qui sont rentr s en ligne de compte quant l efficacit de la coccinelle deux points pour contr ler les populations de pucerons www cetab org system files publications cetab fiche efficaci te de la coccinelle pour lutter contre les pucerons pdf Mots cl s LUTTE BIOLOGIQUE COCCINELLE PUCERON FILET DE PROTECTION POMME RECHERCHE QUEBEC POMICULTURE 2014 5 p d CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximite r f 198 310 R daction CETAB Evaluation de la technique d exclusion par filets dans deux vergers de pommiers du Quebec AOUN Mirella CHOUINARD Gerald MARTIN Yveline Les filets d exclusion ont t valu s en 2012 et 2013 dans deux vergers de pommiers qu b cois le verger de l IRDA en production fruiti re int gr e et le verger du CETAB en r gie biologique Les filets ont t efficaces pour r duire les d
151. roupements de producteurs interprofessions tablissements d enseignement plateformes de distribution ont travaill ensemble pour le d veloppement de produits bio en restauration collective Ce projet pilot par le P le Agriculture Biologique Massif Central a permis la mutualisation mais aussi la cr ation d outils et d exp riences Cette bo te outils travers huit fiches th matiques donne des informations sur ces outils des cl s des r sultats d tudes des t moignages et des contacts de personnes ressources Elle est destin e tous ceux qui participent l introduction de produits biologiques en restauration hors domicile et ceux qui souhaitent le faire Les diff rents th mes abord s sont Fapprovisionnement de la restauration collective la structuration des fili res et la professionnalisation des producteurs bio vis vis du d bouch restauration collective la sensibilisation et l accompagnement des cuisines et des tablissements le d veloppement de produits transform s pour la restauration collective la sensibilisation des convives les leviers d action politiques pour d velopper l approvisionnement en produits biologiques de la restauration collective l introduction de produits biologiques dans la restauration collective sur le Massif Central volution de 2010 2012 l empreinte environnementale de l approvisionnement en restauration collective www
152. rt gestion eaux lavage legumes pdf BRASSARD Patrick COTE Caroline GENEREUX Myl ne ET AL 61 p AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRE REGIONALE D AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE 9 Rue Andr Brouard CS 70510 49 105 ANGERS CEDEX 02 FRANCE T l 02 41 18 60 00 Fax 02 41 18 60 01 accueil pl chambagri fr www paysdelaloire chambagri fr B gt Observatoire r gional de l agriculture biologique des Pays de la Loire Donn es 2012 www paysdelaloire chambagri fr pages hors menu internet publications detail publication actualite lobservatoire regional de lagriculture biologique des pays de la loire edition 2013 sur donnee html GOSCIANSKI Christine 44 p AGRICULTURES ET TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE RHONE ALPES 23 Rue Jean Baldassini 69 364 LYON CEDEX 07 FRANCE T l 04 72 72 49 10 Fax 04 78 61 76 76 accueil rhone alpes chambagri fr http rhone alpes synagri com B gt Culture biologique du poireau http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab BERRY Dominique 12 p B gt Culture biologique des laitues http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab BERRY Dominique 12 p LS Tournesol biologique http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab CHAMPION Jean 6 p LS Culture biologique La pomme de terre 63 http rhone alpes synagri com portail fiches technico economiques ab BERRY Dominique 10 p
153. s SALON VIN AGRICULTURE BIOLOGIQUE VITICULTURE CONVERSION CONSOMMATION CONSOMMATEUR FILIERE LANGUEDOC ROUSSILLON MONDE BIOFIL n 92 01 03 2014 2 pages p 16 17 r f 198 018 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 24 Au fil du salon Les nouveaut s du Sival BIOFIL Le Sival salon agricole des fili res v g tales est tous les ans loccasion de d couvrir de nouvelles innovations Certaines d entre elles sont d di es sp cifiquement l agriculture biologique ou peuvent int resser ce mode de production Cet article en pr sente une s lection qu elles aient t prim es ou non Rubis des jardins cr e par le Ciref est la premi re vari t de fraises recommand e sp cifiquement pour l AB Orange Summar est un potimarron s lectionn en bio par Vitalis la filiale bio du groupe Enza Zaden la framboise Paris n est pas produite en bio mais peut int resser les agriculteurs bio de par ses caract ristiques culturales plante vigoureuse et rustique la ruche Flying Doctors de Biobest permet aux bourdons de diss miner des formulations poudreuses Madex Pro est un insecticide larvicide de biocontr le commercialis par Compo Expert l Inra et Koppert France ont mis au point une application web aidant reconna tre au champ les ravageurs et les auxiliaires et proposant des solutions de biocontr le adapt es Natupol Outdoor est une ruche sp cialeme
154. s e indemnit forfaitaire si non retour 80 80 80 forfait 8 8 6 Liste bibliographique th matique e sur place effectu e par l utilisateur gratuit gra gratuit effectu e par une documentaliste 4 tuit 4 e par courrier 8 6 8 16 Photocopies e Frais de photocopies sur place la page 0 10 0 10 0 10 e Frais de photocopies par corres la 1 2 2 pondance incluant le co t de la page 0 30 2 0 30 recherche documentaire des les sui 0 30 photocopies et les frais d expedi vantes tion Questionnement par t l phone ou gratuit gra gratuit mail et r ponse imm diate ne n cessi tuit joindre un justificatif Pour tout abonnement r abonnement ou service documentaire l tranger les frais bancaires et les frais de change sont enti rement la charge de l acheteur Pour les demandes au niveau des services documentaires nous vous remercions de ne pas joindre de r glement votre bon de commande ABioDoc vous fera parvenir une facture et vous pourrez alors proc der au paiement ch que l ordre du Regis seur ABioDoc VetAgro Sup 59 Biopresse 198 Mars 2014 Biopresse 198 Mars 2014 60 Bon de commande Identification du demandeur NOM ee ie PR NOM nn et endete Organis ME Re mn Re Br Re TAO LS En ERREGER RE REN AREA To ee ee ee ee C Abonn L Non abonn C Agriculteur tudiant Pr t d
155. sation des travaux de recherche s int ressent la conduite en Mur fruitier C est le cas notamment au centre Ctifl de Lanxade qui s est interrog sur l impact de ces deux types de conduites sur les bioagresseurs crit re moins tudi que l incidence sur la floraison le rendement ou encore la qualit des fruits Les r sultats montrent que les deux types de conduites en axe et en Mur fruitier pr sentent des avantages et des inconv nients et ce selon le bioagresseur consid r En Mur fruitier par exemple la tavelure est limit e mais les populations d acariens rouges se d veloppent Les effets li s l ann e et aux vari t s cultiv es marquent cependant plus la pr sence de bioagresseurs Mots cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE VERGER POMMIER RAVAGEUR MALADIE DES VEGETAUX CONDUITE DU VERGER MUR FRUITIER RECHERCHE ESSAI DORDOGNE TAVELURE PUCERON ACARIEN CARPOCAPSE RENDEMENT CONDUITE TECHNIQUE PROTECTION DES VEGETAUX INFOS CTIFL n 298 01 01 2014 6 pages p 30 35 ref 198 026 R daction ABioDoc Eclaircissage m canique du pommier Premiers r sultats du prototype Eclairfel HENNION Bernard ROCHE Laurent PICARD Lo c et al Aussi bien en agriculture conventionnelle avec la diminution des sp cialit s chimiques homologu es qu en agriculture biologique avec des co ts de main d uvre particuli rement lev s la question de l claircissage m canique
156. serrement du lien social dans les campagnes et d une meilleure compr hension du monde agricole Mots cl s CIRCUIT COURT ALIMENTATION HUMAINE DEVELOPPEMENT RURAL RELATION PRODUCTEUR CONSOMMATEUR TERRITOIRE COMMERCIALISATION VENTE DIRECTE DIMENSION SOCIALE ASPECT SOCIAL SOCIETE CONSOMMATION PRODUIT LOCAL ORGANISATION TRAVAUX ET INNOVATIONS n 202 01 11 2013 2 pages p 25 26 r f 198 057 R daction ABioDoc Ma vie Vincent Favreau nourrir la confiance DEMAZEL Vincent Vincent Favreau maraicher bio s est install en 1997 sur l exploitation familiale non loin de Dou la Fontaine dans le Maine et Loire Depuis 2009 il est associ avec Denis Leur production permet de fournir des paniers de l gumes 95 familles par le biais de la premi re AMAP du d partement cr e par Vincent Cette relation avec les consommateurs va bien au del du simple commerce puisque ces derniers participent activement la vie de la ferme en participant des travaux sur les b timents dans les parcelles ou encore en participant financi rement un pr t solidaire Pour r pondre la demande croissante en l gumes l chelle locale Vincent et Denis ont mis en place une organisation pointue lls travaillent ensemble du 15 avril au 15 septembre et en alternance le reste de l ann e Mots cl s MARAICHAGE MAINE ET LOIRE TEMOIGNAGE AMAP RELATION PRODUCTEUR CONSOMMATEUR VENTE DIRECTE VENTE
157. ses herbes La vesce velue a permis un rendement du poivron plus lev compar l avoine et la parcelle sans culture de couverture ind pendamment de la gestion des r sidus probablement en raison d une disponibilit abondante de nitrates dans le sol tout au long de la saison de croissance du poivron Les r sidus de cultures de couverture mis en bandes ont supprim plus efficacement les mauvaises herbes que les r sidus incorpor s Une meilleure nutrition azot e et le contr le des mauvaises herbes ont conduit une augmentation de la productivit du poivron cultiv dans le cas de la vesce en bandes de paillage Par cons quent une combinaison de cultures de couverture de l gumineuses et une technique bande de paillage pour g rer les r sidus de culture de couverture pourraient contribuer accro tre efficacement la productivit des cultures www sciencedirect com science article pii S0304423813006 468 Mots cl s POIVRON COUVERTURE ORGANIQUE ENGRAIS VERT MAUVAISE HERBE AZOTE VESCE AVOINE PRODUCTIVIT ITALIE AGRICULTURE DURABLE Scientia Horticulturae volume 166 13 02 2014 8 pages p 97 104 r f 198 309 R daction CETAB 11 Production v g tale Grandes cultures Tournesol biologique CHAMPION Jean Le r seau des r f rents techniques r gionaux agriculture biologique des Chambres d Agriculture de Rh ne Alpes a r alis un ensemble de fiches technico conomiques Ces fic
158. sitisme ainsi qu une bonne gestion du p turage Il faut distinguer le cas des jeunes bovins non encore immunis s et celui des adultes peu ou beaucoup moins sensibles aux parasites d autant plus que l immunit acquise en premi re ann e de p turage est bonne surtout pour les strongles digestifs Les jeunes bovins doivent donc tre au contact des parasites tout au long de leur premi re saison de p turage mais pas soumis une forte pression car ils d velopperaient des pathologies pr judiciables Divers facteurs de risques sont prendre en compte les p turages humides un chargement lev la p ture continue ou encore une p ture r serv e aux jeunes animaux Cette fiche technique pr sente les principaux l ments conna tre sur le cycle des principaux parasites des rep res en termes de suivi du parasitisme de son troupeau sympt mes analyses et des outils pour valuer les risques parasitaires notamment la parcelle ainsi que les mesures de gestion de p ture mobilisables alternance fauche et p ture p ture mixte ou en alternance animaux jeunes et adultes ou avec d autres esp ces p turage tournant gestion du chargement Cette fiche technique est dit e par le FiBL Institut de Recherche de l agriculture biologique Bio Suisse et la Fondation Rurale Interjurassienne FRI e D 631 parasites des paturages htm Mots cl s ELEVAGE ELEVAGE BIOLOGIQUE BOVIN SANTE ANIMALE MALADIE PAR
159. ssurante toutefois les volumes en bio progressent pour la boucherie et se maintiennent pour l industrie Par ailleurs des leveurs conventionnels sont venus se renseigner sur la fili re bio l occasion de cette journ e du 16 d cembre Mots cl s VIANDE BRETAGNE FILIERE VIANDE AGRICULTURE BIOLOGIQUE CIRCUIT COURT CIRCUIT LONG BOUCHERIE INDUSTRIE AGRO ALIMENTAIRE CONVERSION ELEVAGE BIOLOGIQUE BIOFIL n 92 01 03 2014 1 page p 7 ref 198 013 R daction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Sival salon des cultures sp cialis es Angers Un rendez vous incontournable RIVRY FOURNIER Christine Le salon des cultures sp cialis es le Sival a accueilli plus de 20 000 visiteurs entre le 14 et le 16 janvier 2014 Organismes de d veloppement de la bio et exposants s y sont retrouv s pour r pondre aux demandes des visiteurs Parmi les entreprises pr sentes les semenciers proposent des gammes bio de plus en plus larges et diversifi es Agrosemens notamment propose une gamme 100 biologique et biodynamique qui s est enrichie de 80 nouvelles vari t s en 2013 Bejo graines propose 120 vari t s en bio avec le chou en t te de file 40 vari t s Le PDG d Emeraude Plants qui r alise 8 de son chiffre d affaires avec des plants bio ressent le ralentissement des conversions en 2013 Toutefois la liste des esp ces hors d rogation s amp toffe un point important pour le d veloppement
160. t s en 2013 titre de comparaison l Allemagne en avait d j 3000 en 2006 Pour comprendre cette volution l article retrace l historique des lois et du contexte tarifaire de rachat de l lectricit En 2003 le rachat d lectricit produite par cog n ration tait fix 8 euros kWh et permettait difficilement la rentabilit des exploitations De 2006 2010 c est le temps des pionniers les directives cadres europ ennes sur les d chets et sur la production d nergie renouvelable se mettent en place Dans le droit fran ais cela se traduit par des mesures en faveur de la m thanisation la ferme dont des rachats tr s r valu s 132 15 2 euros kWh La m thanisation est reconnue comme activit agricole en 2010 des tudes sont men es pour disposer de premiers retours d exp riences et de transfert de technologies notamment de l Allemagne Enfin la p riode 2010 2013 peut tre qualifi e de temps de la diffusion avec la cr ation de l Association des Agriculteurs M thaniseurs de France AAMF en 2010 une nouvelle revalorisation des tarifs de rachat 32 en 2011 et enfin en 2013 la mise au point d un plan Energie M thanisation Autonomie Azote EMAA port par les minist res de l Agriculture et de l Ecologie Objectif 1000 installations en 2020 Mots cl s BIOGAZ ENERGIE RENOUVELABLE FRANCE METHANISATION REGLEMENTATION ACTIVITE AGRICOLE HISTORIQUE POLITIQUE FILIE
161. tait de faire un tat des lieux de cette fili re d en identifier les sp cificit s et les besoins Du c t des c r ales les progr s sont marqu s puisque la production de semences c r ali res bio a progress de 84 entre 2007 et 2011 La majorit des agriculteurs 57 reproduisent eux m mes des semences du commerce semences fermi res ou r alisent leur propre s lection semences paysannes Cette observation concerne aussi l agriculture conventionnelle Dans les autres fili res le d veloppement de semences autoris es en AB semble stagner voire baisser En semences potag res notamment la satisfaction des maraichers est tr s mitig e et d pend beaucoup des esp ces consid r es Mots cl s SEMENCE VEGETALE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILI RE ETAT DES LIEUX ENQUETE FRANCE GRANDE CULTURE MARAICHAGE DEVELOPPEMENT DE L AB SELECTION VARIETALE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 2 pages p 9 10 r f 198 061 R daction ABioDoc quelles Coordonner l offre et la demande de l gumes bio en restauration collective Vers la contractualisation par le biais d un march public PERRIN Agathe Les quatorze communes de Saint Brieuc agglom ration avec l appui de la MAB 22 Maison de l Agriculture Biologique ont men une importante d marche de concertation afin de mettre en place un approvisionnement r gulier en l gumes biologiques locaux pour leur restauration collective La d marche engag e
162. tes Sept fermes biologiques ont ouvert leurs portes leurs coll gues en bio en conversion ou en projet de conversion et des tudiants Malgr l invitation les agriculteurs conventionnels sans projet de conversion PAB ont t peu nombreux se d placer Ces visites th matiques restent tout de m me un succ s avec 105 visiteurs Trois des fermes participantes sont pr sent es dans cet article Hubert Jouandet conduit un troupeau de vaches allaitantes biologiques et mise sur la compl mentarit des circuits de commercialisation pour la valorisation de ses produits vente directe fili re bio organis e Franck Leboulanger a un troupeau laitier mixte avec un croisement trois voies croisement de trois races le lait et la cr me transform s sur place sont vendus la ferme et sur un march C cile et Jean Fran ois au Mas du Yogui ont converti leur exploitation laiti re la bio en 2011 et sont pass s depuis un syst me tout herbe Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE BOVIN VIANDE BOVIN LAIT SYSTEME TOUT HERBE COMMERCIALISATION VISITE DE FERME TEMOIGNAGE BASSE NORMANDIE AGRICULTURE BIOLOGIQUE TRANSFORMATION A LA FERME VENTE DIRECTE REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE SELECTION BIO NORMANDIE n 121 01 11 2013 5 pages p 10 14 ref 198 008 Redaction ABioDoc Biopresse 198 Mars 2014 Production animale Que dit la r glementation Soigner son troupeau avec des huiles ess
163. tie ventuelle Point de pr cision en revanche sur une ventuelle r mun ration des obligations environnementales ou des services cosyst miques qui semble n anmoins tout fait envisageable Autre outil pr vu par le projet de loi les zones soumises contraintes environnementales ZSCE Le dispositif consiste d terminer par d cret des zones o il est n cessaire de maintenir ou de restaurer les habitats d une esp ce prot g e et tablir un programme d actions cet effet Le texte pr voit galement d introduire une dimension environnementale dans des outils tourn s jusque l vers des objectifs de production agricole exclusivement Il envisage ainsi que la finalit d un assolement en commun puisse tre la pr servation de la qualit de l eau ou la protection de la diversit et que les op rations de remembrement puissent tre men es en vue de permettre une utilisation des parcelles vocation naturelle agricole ou foresti re en vue de la pr servation de l environnement Source www actu environnement com 11 avril 2014 53 Les Br ves Le principal pr dateur du ma s s adapte sa version OGM G n tiquement modifi pour r sister la chrysom le des racines du ma s Diabrotica virgifera virgifera le ma s Bt y aura t r sistant de 1995 date de sa premi re autorisation de culture aux USA 2009 Une p riode durant laquelle la chrysom le principal pr dat
164. tion s cheresse sel vent carences les attaques parasitaires sympt mes fr quence et gravit identification du bioagresseur les techniques de lutte pr ventive prophylactique et curative sans recours des traitements chimiques de synth se Les plus de ce guide des fiches d taill es sur 80 genres d arbres d ornement fruitiers ou forestiers les exigences culturales propres chaque genre plus de 1000 photos et dessins pour visualiser les maladies les ravageurs et les auxiliaires naturels une indication du niveau de fr quence et de gravit de chaque type d attaque des traitements pr ventifs et curatifs sans chimie de synth se pour chaque bioagresseur 4 index pour faciliter la recherche d informations index general des arbres des auxiliaires des parasites Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT ARBRE ARBORICULTURE PROTECTION DES VEGETAUX PLANTATION ENTRETIEN DES CULTURES TECHNIQUE CULTURALE FEUILLU CONIFERES GYMNOSPERMES CONDUITE CULTURALE LUTTE BIOLOGIQUE AUXILIAIRE TRAITEMENT PREVENTION LUTTE CURATIVE LUTTE PREVENTIVE REGLEMENTATION DEGAT JARDINAGE PEPINIERISTE PAYSAGISTE ESPACE VERT HORTICULTURE ARBRE D ORNEMENT ARBRE FRUITIER ARBRE FORESTIER 2014 672 p d EDITIONS EYROLLES EDITIONS SANG DE LA TERRE r f 198 098 R daction ABioDoc EA Organic options for Spotted Wing Drosophila Management Les options de gest
165. tion des mauvaises herbes dans les cultures biologiques en r duisant la germination des graines de mauvaises herbes en bloquant leur croissance en favorisant la conservation de l humidit du sol et parfois en modifiant la temp rature du sol Cet article examine les usages les avantages et les limites des diff rents syst mes de paillage dans le contr le des mauvaises herbes en production maraichere biologique Le paillis synth tique opaque comme le plastique noir sont pos s sur un lit de semence pr par juste avant la transplantation ou avant l ensemencement d une culture de l gumes Ils fournissent une barri re efficace contre la plupart des mauvaises herbes Des quipements m caniques permettent l agriculteur de les poser rapidement et de planter en une journ e Malgr les co ts le plastique demeure l option de gestion de mauvaises herbes la plus conomique pour de nombreux producteurs biologiques Les paillis organiques tels que le foin les feuilles sont g n ralement appliqu s lorsque la culture maraich re est bien tablie et le sol r chauff des temp ratures proches de l optimum Ils d truisent la semence des mauvaises herbes conservent l humidit et ajoutent de la mati re organique mais la mise en place demande beaucoup de main d uvre Dans certaines circonstances le paillage peut aggraver les probl mes Les paillis organiques peuvent transporter des graines de nouvelles esp ces de mauvaises her
166. tivement Quant la France elle a indiqu avoir identifi onze lots de denr es contamin es aux OGM Cinq v nements concernaient des lots de riz import s des tats Unis 2 cas de Chine 2 cas et du Pakistan Inde 1 cas Avec quatre lots contamin s le ma s est la deuxi me denr e concern e Tous les lots de ma s venaient des tats Unis Enfin un lot de lin en provenance du Canada et un lot de papayes en provenance du Vietnam compl tent la liste noter que la France figure aussi dans la liste des pays exportateurs de lots contamin s Sources Euractiv Bio March 2 avril 2014 Biopresse 198 Mars 2014 Conference de la CE sur l agriculture familiale Une conf rence a t organis e par la Commission europ enne Bruxelles le 29 novembre 2013 sur l agriculture familiale Les actes de la conf rence et les vid os des diff rentes sessions sont disponibles sur le lien suivant http ec europa eu agriculture events family farming conference 2013_en htm Source IFOAM France 7 avril 2014 La loi visant a renforcer la lutte contre la contrefa on est publi e La loi sur la contrefa on est parue le 12 mars 2014 au Journal Officiel apr s son adoption par les s nateurs le 26 f vrier 2014 Le texte avait cristallis les oppositions des agriculteurs car il limitait la possibilit de pratiquer la semence de ferme Cette m thode utilis e depuis la nuit des temps par les cultivateurs qui
167. ts bio refus s en restauration collective les changements d habitude des convives Apr s une pr sentation des r sultats de l observatoire sur la zone Massif Central les r sultats sur 3 r gions Auvergne Limousin Rh ne Alpes sont expos s www abiodoc com pole ABMC publications rhd Mots cl s RESTAURATION COLLECTIVE RESTAURATION HORS DOMICILE PRODUIT BIOLOGIQUE OBSERVATOIRE AUVERGNE MASSIF CENTRAL LIMOUSIN RHONE ALPES ENQUETE FREIN SENSIBILISATION CONSOMMATION ALIMENTAIRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB CHIFFRE FILIERE STATISTIQUES 2013 90 p d POLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MASSIF CENTRAL r f 198 087 R daction ABioDoc EA Biopresse 198 Mars 2014 Synth se de l observatoire 2010 2012 L introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration collective dans le Massif Central FOURNIER Judith VALLAS Myriam L observatoire de l introduction de produits biologiques dans les tablissements de restauration collective l chelle du Massif Central a t r alis dans le cadre du projet D veloppement des fili res biologiques du Massif Central pour r pondre aux besoins de la restauration hors domicile pilot par le P le Agriculture Biologique Massif Central et associant de nombreux acteurs de la fili re 146 des 491 tablissements interrog s servaient des produits biologiques d s 2010 premi re ann e d tude de l
168. u disparate la France appara t comme le pays o la mortalit est de loin la plus lev e au cours de la saison apicole 13 6 contre moins de 10 dans tous les autres pays tudi s La production de miel y a chut de moiti depuis les ann es 1990 Mais l tude est aussi inqui tante par ce qu elle ne dit pas Le protocole choisi visait en effet restreindre la recherche des causes des mortalit s observ es aux uniques pathog nes naturels seules les grandes maladies d Apis mellifera ont t recherch es dans les ruchers visit s Dans le rapport d une trentaine de pages la moindre allusion aux pesticides ou aux modes d agriculture est donc soigneusement vit e Une absence d nonc e par plusieurs chercheurs Sources lemonde fr Bio Marche Info 15 avril 2014 Biopresse 198 Mars 2014 Biopresse 198 Mars 2014 58 Bulletin d Abonnement NOM ee Prenom Organismen a Nee ee Adresse d exp dition ns kin Adrasse de CANON Seen ea ee Bohne BIOPRESSE e Je m abonne BIOPRESSE L Abonnement ou r abonnement en format papier courrier pour 1 an soit 11 num ros 50 60 pour l tranger tarif l unit 10 L Abonnement ou r abonnement en format pdf Internet pour 1 an soit 11 num ros gratuit Tarif du Service Documentaire tant pas de recherche particuli re Nombre Abonn s Non Agriculteurs de pages abonn s Etudiants Pr t d ouvrage
169. ulation de ce r glement par le Conseil d tat est lev car la haute juridiction administrative a d j annul par deux fois des arr t s semblables pour non respect de la r glementation europ enne Des risques de contamination ill gale existent galement Ainsi le 15 avril Greenpeace a r v l que des semences de ma s certifi es sans OGM vendues en 2013 et 2014 par le semencier espagnol Semillas Fit des agriculteurs fran ais contiennent jusqu six OGM diff rents Selon l association le cabinet de St phane Le Foll ministre de l Agriculture a pris rendez vous avec elle le 16 avril pour avoir plus de renseignements et mener son enqu te L association a en effet fait tester par le laboratoire ind pendant Eurofins trois chantillons de trois kilos de semences de ma s commercialis es en 2013 et 2014 choisis al atoirement Des traces d au moins trois OGM diff rents ont t retrouv es dans chaque chantillon Ces OGM ont t vendus sem s et cultiv s dans les champs on ne sait o en France l insu d agriculteurs qui ne souhaitaient pas planter d OGM mais qui ont t tromp s par ce semencier explique Ana s Fourest charg e de campagne agriculture Greenpeace Source www actu environnement com 16 avril 2014 Biopresse 198 Mars 2014 52 Les Br ves Le S nat adopte le projet de loi d avenir pour l agriculture Le S nat a adopt en premi re lect
170. ure le projet de loi d avenir pour l agriculture par 175 voix pour et 135 contre De nombreux amendements sont venus enrichir le texte vot par l Assembl e nationale le 14 janvier dernier Les s nateurs ont affirm la n cessit de d finir des zones de p turages pr serv es ou indemnes de pr dateurs tels que le loup et de pr server les territoires montagneux Les dispositions relatives la for t ont galement t vot es Les s nateurs ont confirm la cr ation des groupements d int r t conomique et environnemental GIEE qui visent encourager des collectifs d agriculteurs s engager dans l agro amp cologie La possibilit d change de semences dans le cadre d entraide entre agriculteurs a toutefois t supprim e afin de garantir la s curit sanitaire des productions L article visant exclure du m canisme de protection des brevets le cas d une pr sence fortuite d une information g n tique dans les semences a en revanche t adopt Un amendement permet par ailleurs d inscrire dans le code rural le principe de compensation en nature de terres agricoles perdues dans le cadre de la politique d am nagement rural l objectif tant de maintenir le potentiel de production agricole En ce qui concerne les pesticides le texte cr e un dispositif de pharmacovigilance et renforce l encadrement de la publicit sur les produits phytopharmaceutiques L abeille domestique est reconnue en tant
171. us en bio et qui repr sentent environ 700 ha sont g n ralement des doubles actifs ou des propri taires qui ont fait le choix de laisser la gestion de leurs terres entre les mains de la SARL du Mail Les prestations de services vont au champ du semis la r colte mais peuvent aussi concerner le choix de l assolement la commercialisation des produits ou encore la d claration Pac Pour faciliter ce lourd travail une seule culture par site et par an est implant e bl ou soja le plus souvent L important parc mat riel devrait voluer vers plus de technologies avec l investissement dans des bineuses cam ra L objectif travailler vite et bien Ce mod le ne pla t pas tous les acteurs de l agriculture bio mais pour Nicolas Meliet la cr ation d emplois est un bon argument avec 2 co g rants et 8 salari s pour 1 300 hectares travaill s Mots cl s GRANDE CULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE GERS LOT ET GARONNE LANDES MECANISATION ENTREPRISE AGRICOLE AGROFORESTERIE TRA ABILITE CONTROVERSE BIOFIL n 92 01 03 2014 3 pages p 57 59 r f 198 076 R daction ABioDoc Agri Structures Bineuse autoguid e par skis RIPOCHE Fr d ric Le fabricant de mat riel agricole Agri Structures a mis au point une bineuse autoguid e par skis glissants Au nombre de 3 ou 4 plac s sur la bineuse ces skis suivent des sillons d une profondeur de 5 6 cm creus s dans le sol lors du semis Cet outil relativ
172. ux l pidopt res des cultures mara ch res et des fraiseraies DELAMARRE _ C cile DASTE Nathalie TERRASSON C cile 46 p FRUITS OUBLIES RESEAU 4 Avenue de la R sistance 30 270 SAINT JEAN DU GARD FRANCE Tel 04 66 85 33 37 Fax 04 66 85 19 fruits oublies wanadoo fr www fruitsoublies fr LS Pour la renaissance des c pages interdits BISCHERI Gilbert PELLIER Garance DUPARD Sylvie ET AL 88 p 10 1 50 de port GROUPE CONSEIL AGRICOLE SAGUENAY LAC ST JEAN 640 rue C t Ouest local 102 G8B 7S8 ALMA CANADA T l 1 418 668 7967 Fax 1 418 668 7818 gcalsie gcag ca www gcag ca GCA Lac St Jean Est aspx LS Essais visant l am lioration de la qualit du semis et l optimisation des rendements dans la culture du chanvre industriel biologique www agrireseau gc ca agriculturebiologique docume nts Rapport 20final 20 20Projet 2012 INNO3 11 20 chanvre pdf VILLENEUVE Sara 15 p 65 IFOAM International Agriculture Movements Charles de Gaulle Strasse 5 53113 BONN ALLEMAGNE Tel 49 228 92650 10 Fax 49 228 92650 99 headoffice ifoam org www ifoam org DD Certification collective des paysans bio Guide pour producteurs organis s LECHLEITNER Florentine EISENLOHR Ute 32 p Federation of Organic IRDA Institut de recherche et de d veloppement en agroenvironnement 3300 rue Sicotte C P 480 J2S 7B8 SAINT HYACINTHE CANADA T l 1 450 778 6522 Fax 1 450 7
173. valuer la stabilit des performances et de l aptitude la panification des bl s crit re essentiel en termes de valorisation de la r colte et plus variable en bio sans apport d azote min ral Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE RECHERCHE ESSAI COMPARAISON BIO CONV AGRICULTURE BIOLOGIQUE SYSTEME A FAIBLES INTRANTS BLE TENDRE SELECTION VARIETALE PANIFICATION ALEA FRANCE ALTER AGRI n 123 01 01 2014 3 pages p 11 13 r f 198 062 R daction ABioDoc M thodologie pour une s lection participative du bl tendre BELLEIL Aur lie RIVIERE Pierre PIN Sophie et al En productions v g tales les vari t s s lectionn es en stations de recherche de mani re centralis e sont ensuite cultiv es dans des conditions diverses et vari es notamment en agriculture biologique o pesticides et engrais de synth se ne sont pas utilis s Des associations et paysans du R seau Semences Paysannes RSP et l quipe de recherche Diversit volution et Adaptation des Populations DEAP de l Inra du Moulon ont travaill sur la mise en place d une m thode de s lection innovante du bl tendre Celle ci est d centralis e et participative car men e chez une vingtaine d agriculteurs du r seau RSP Les agriculteurs sont alors acteurs de la s lection vari tale en partenariat avec des associations et des chercheurs Les populations valu es sont issues de croisements r alis s sur ces m mes fer
174. vec des projets du Sud qui eux conomisent des GES L article d crit trois projets de construction de biodigesteurs en Inde au Mali et en Chine Il s agit chaque fois de produire du biogaz et des fertilisants via le digestat ce qui lutte contre la d forestation le biogaz remplace une partie du bois de chauffe les engrais chimiques et r duit in fine la pauvret locale Un encadr sur GoodPlanet permet d en savoir plus www goodplanet org Mots cl s METHANISATION ENERGIE RENOUVELABLE BIOGAZ MONDE EMISSION GAZ A EFFET DE SERRE ENVIRONNEMENT CREDIT CARBONE INDE CHINE MALI COMPENSATION CARBONE RELATION NORD SUD AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT TRAVAUX ET INNOVATIONS n 203 01 12 2013 2 pages p XXIII XXIV r f 198 093 R daction ABioDoc L injection du gaz renouvelable dans les tuyaux LE GUEN Ga lle MAGUIN Charles Cet article est extrait du dossier de larevue Travaux amp Innovations n 203 La m thanisation agricole de l nergie et des id es La m thanisation permet de produire du biogaz et ensuite Si le biogaz peut tre valoris par combustion dans une chaudi re ou dans un moteur de cog n ration il existe une autre voie fort potentiel la production de biom thane qui peut ensuite tre inject dans le r seau de gaz naturel ou utilis comme carburant Il doit avant cela avoir t pur car le biogaz contient 50 60 de m thane CH4 35 45
175. ynamisme de l agriculture biologique en Bretagne LESAINT Sylvie DAUVIER Fran oise Le recensement agricole de 2010 a t l occasion de faire un tat des lieux de l agriculture biologique Les donn es en Bretagne pr sent es dans ce document montrent que le nombre d exploitations bio y a progress de 41 en 10 ans En 2010 3 8 des exploitations et 3 des surfaces bretonnes sont certifi es bio Les fermes laiti res sp cialis es taient majoritaires 26 des exploitations bio mais le mara chage l horticulture et l arboriculture sont galement bien repr sent s 14 des exploitations en bio contre 3 en conventionnel la Bretagne tant la premi re productrice de l gumes bio Les leveurs bio recherchent l autonomie ce qui se refl te par l augmentation des surfaces en c r ales entre 2000 et 2010 m me si les prairies restent dominantes dans ce mode de production 65 des surfaces contre 38 en conventionnel Concernant les agriculteurs les bio sont globalement plus jeunes et plus form s Un sur deux fait le choix de la vente en circuits courts Enfin une exploitation biologique de Bretagne sur quatre a des productions diversifi es www draaf bretagne agriculture gouv fr IMG pdf Agriculture bio_cle0821f4 1 pdf Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE BRETAGNE STATISTIQUES RECENSEMENT DEVELOPPEMENT DE L AB DIVERSIFICATION ELEVAGE BIOLOGIQUE MARAICHAGE EXPLOITATION AGRICOLE AUTONOM

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