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Rapport d`activité 2014 de l`ARS Bretagne

1. PARS et vise les s curiser au plan juridique et TOn m thodologique Il a t actualis en 2014 par la Mission En 2014 VARS Bretagne a lanc plusieurs projets impactant ses modes inspection contr le Gestion des r clamations MIC GR de fonctionnement r gionalisation des missions r galiennes r organisation de la en lien avec le Comit technique IC les directions m tiers Direction adjointe sant environnement optimisation du circuit des courriers et les d l gations territoriales Il importait en effet de am lioration de l organisation des secr tariats du si ge groupes de travail de l adapter l volution des textes des organisations et des l encadrement et organisation r nov e de l ARS Bretagne Afin de permettre chacun pratiques et de le pr senter de mani re plus p dagogique des agents de suivre l avanc e de ces dossiers une nouvelle rubrique a t cr e dans l intranet de l agence LARS Bretagne aujourd hui pour demain Elle permet en quelques clics de prendre connaissance des d cisions cl s des ch ances venir et du dispositif d accompagnement mis en uvre Chaque nouvelle actualit publi e est relay e par l envoi d une newsletter l ensemble des agents Des liens permettent un acc s rapide et direct la rubrique intranet Cette version 2 pr sente notamment le processus inspection contr le sous forme de t ches num rot es et de logigrammes Elle comporte aussi des d
2. l insertion ou la r insertion professionnelle Bretagne donn es 2013 oo Egi e a mise disposition de mat riel de pr vention des infections Les 9 milliards de d penses se r partissent comme Suit Ces missions peuvent se d rouler dans un lieu fixe compl t par des interventions de proximit l ext rieur du centre en vue d tablir un contact avec les usagers et le d veloppement d actions de m diation sociale La Bretagne compte un CAARUD par d partement LARS a souhait r aliser une tude sur ces structures jeunes afin de quantifier et qualifier le p rim tre g ographique d intervention la r alisation des missions par rapport au cahier des charges national les moyens mobilis s les partenariats existants et analyser les besoins non couverts pour les usagers de drogues Une premi re tude a ainsi t men e en 2012 en Ille et Vilaine et en 2013 sur le Finist re et le Morbihan le CAARUD des C tes d Armor n a pas fait l objet d une telle valuation compte tenu de la reprise tr s r cente de sa gestion par l ANPAA 1 janvier 2013 l issue de ces tudes et au regard des constats et recommandations qu elles formulent il a t d cid d laborer un plan d actions pour et avec les CAARUD bretons En cours de r alisation il pr sente une dimension pluriannuelle n cessaire car la mise en uvre d actions est inter d pendante pour la plupart d entre elles d un accompagnement financier qui
3. q unit est rattach e au SESSAD Mille Sabords g r par le CHGR Handicaps rares un sch ma inter r gions Bretagne Centre Pays de Loire Poitou Charentes Le sch ma national handicap rare couvre la p riode 2010 2014 Sa mise en uvre est pilot e par la Direction G n rale de la Coh sion sociale et la CNSA et s organise en inter r gions Ainsi la Bretagne participe l organisation du dispositif en lien avec les r gions Centre Pays de Loire et Poitou Charentes Dans le cadre du sch ma les ARS sont notamment sollicit es afin de d velopper une offre m dico sociale adapt e aux situations de handicaps rares avec une meilleure structuration territoriale de l offre pour un quilibre entre technicit et proximit des expertises et des interventions L ann e 2014 a t marqu e par le d ploiement de strat gies d appui et d expertises via la mise en place d quipes relais du dispositif national Handicaps rares Ces quipes doivent s appuyer sur les centres de ressources nationaux et sur les autres ressources sp cialis es en r gion pertinents sur le champ des handicaps rares et des maladies rares EN BREF L exp rimentation relative au fonctionnement en dispositif ITEP dans les C tes d Armor Depuis septembre 2014 les C tes d Armor exp rimentent un fonctionnement en dispositif ITEP Institut Th rapeutique ducatif et P dagogique L ARS Bretagne pilote cette exp rimentation qu
4. 0 Poursuivre la politique sant engag e depuis 5 ans au service de tous les Bretons En publiant le rapport d activit 2014 de l ARS Bretagne je souhaite rendre un hommage appuy au travail men par mon pr d cesseur Alain Gautron et par l ensemble des collaborateurs La richesse des r alisations 2014 et le lien troit de chacune d entre elles avec les partenaires et acteurs en sant t moignent des relations constructives install es sur la dur e au service d une ambition collective agir ensemble pour la Olivier de Cadeville sontot Bieta Je reprends mon compte avec enthousiasme n cette ambition et m attacherai d velopper encore Directeur G n ral de ARS Bretagne la co construction de nos actions avec chacun des partenaires sommaire Observer analyser et valuer pour mieux piloter notre syst me de sant 3 Favoriser un acc s quilibr la pr vention l accompagnement et aux soins sur le territoire 13 D velopper nos partenariats et la d mocratie en sant 30 Observer analyser et valuer Dour mieux piloter notre syst me de sant L ARS Bretagne joue un r le important dans l observation de l tat de sant des populations et de l offre en sant Pour construire et d ployer sa politique de sant elle observe et analyse avec ses partenaires le syst me de sant breton travers notamment la r alisation de tableaux de bord d tudes Pa
5. d cliner les objectifs du programme en collaboration avec le r f rent r gional Le Comit de suivi du PRAPS a souhait pour 2014 approfondir la d clinaison territoriale du programme par plusieurs actions interconnect es tat des lieux par territoire de sant instance d partementale de coordination r union d partementale des acteurs Les comit s d partementaux du PRAPS ont vocation assurer la transversalit de la th matique sant pr carit au niveau territorial L ann e 2014 a constitu l ann e d mergence de ces comit s avec des stades d volutions propres chaque d partement Ils r unissent les principaux acteurs institutionnels qui sont concern s par les questions de sant pr carit e Promouvoir les comportements favorables la sant tout au long de la vie De gauche droite 1 rang Adrian MOHANU Myriam RACAP Olivier JOSEPH H l ne DELAVEAU H l ne KURZ Nadine CAMBLA 2 rang Salima TAYMI Jean Marc JAUNET LE FAIT MARQUANT Journ e r gionale Sport Sant une premi re pour informer des bienfaits de l activit physique sur la sant Mardi 9 d cembre 2014 plus de 200 personnes du monde du sport et de la sant se sont r unies Rennes pour la 1 fois pour changer sur les bienfaits de l activit physique et tout particuli rement pour les personnes atteintes de maladies chroniques Le Pr Jean Fran ois Toussaint de l universit de Paris Descartes di
6. des jeunes e l inspection contr le e la lutte contre la maltraitance e les actions en faveur de personnes en situation de handicap ou de d pendance e les articulations entre les formations sanitaires sociales et m dico sociales e e rep rage et le traitement des situations d habitat indigne ou insalubre Un comit r gional technique de suivi compos des repr sentants r gionaux et d partementaux de la DRJSCS et l ARS Bretagne veille l application de la convention La signature du Contrat Local de Sant du Pays de Foug res Contrat d Objectif Emploi Formation COEF les travaux se poursuivent Le Contrat Local de Sant du Pays de Foug res a t sign le 30 octobre 2014 Ce CLS identifie un axe strat gique Promouvoir un environnement favorable la sant qui comporte plusieurs actions visant am liorer la qualit des aliments s curiser la ressource en eau destin e l alimentation limiter l impact de la qualit de l air int rieur sur la sant et r duire l habitat indigne La dimension sant environnement dans les nouveaux CLS est maintenant syst matiquement questionn e travers la signature du contrat d objectifs emplois formation du secteur sanitaire social et m dico social l Etat la R gion ARS et l ensemble des partenaires se sont engag s dans une d marche de concertation et d action sur les questions d emploi et de formation en Bretagne Tout d abord un t
7. diffus e dans les m dias de l ARS site internet publication La contribuer orienter les politiques publiques et guider les actions mener en Bretagne dans le champ sant environnement sera un l ment important pour nourrir les travaux d laboration du prochain programme r gional sant prise environnement PRSE compter de 2015 atnan Bretagne en sant Mal 2014 T L acc s aux pharmacies d officine r identification des territoires fragiles Ba Suite une instruction de la direction g n rale de l offre de soins DGOS relative au diagnostic r gional des territoires pour l acc s aux pharmacies d officine un travail a t mis en place par l ARS en partenariat avec les sim repr sentants de la profession ordre URPS syndicats repr sentants des tudiants et facult s et l assurance maladie Il a permis d identifier les facteurs de fragilisation des pharmacies d officine et de dresser une cartographie en me Bretagne des zones fragiles en cours de fragilisation et surveiller en termes n mm d acc s aux m dicaments d officine En parall le des propositions d actions mener tant sur le plan r gional et national ont t list es L ensemble de ces tn r sultats a t pr sent la DGOS et aupr s de ensemble des pharmaciens ER AA e inspecteurs lors de leur s minaire de formation interne l EHESP en mai 2014 rm Afin de donner une lisibilit plus large ces trava
8. etc Ces travaux serviront de Es d base de contractualisation avec les tablissements volontaires sur 4 5 actions phares Chlo BATEAU charg e de mission P le organisation des soins ambulatoires et Guillaume LE DUFF charg de mission P le Performance et Investissements Journ e du m dicament bilan et perspectives La journ e r gionale du m dicament organis par l ARS et l int r t qu elle a suscit aupr s des professionnels t moignent de l importance de la politique du m dicament en Bretagne C est par le biais de son programme m dicament int gr au Projet R gional de Sant qu elle a pu mettre en place un pilotage strat gique de la politique r gionale du m dicament avec l appui de l OM DIT Bretagne L Observatoire du M dicament des Dispositifs M dicaux et de l Innovation Th rapeutique L ann e 2014 s est traduite par l avancement du programme d inspection contr le sur la qualit de la prise en charge m dicamenteuse et de la contractualisation ce jour pr s de 30 des tablissements ont t inspect s et plus de 50 des lits De son c t la contractualisation se traduit par la signature des contrats de bon usage des m dicaments 59 sont finalis s en Bretagne et engagent ainsi les tablissements dans une d marche qualit et de bon usage Ces dispositifs constituent aussi des leviers d cisifs pour limiter les d penses notamment celles li es aux m dicaments inscrits sur les listes en s
9. finitions et des fiches techniques Elle introduit enfin des l ments nouveaux tels que la cr ation d un r f rentiel sp cifique pour les contr les de nouvelles fiches techniques et la cr ation d un dispositif de gestion des suites d inspection L actualisation du R f rentiel IC s inscrit dans la d marche pluriannuelle d am lioration continue de la EC PE qualit en mati re d inspection contr le engag e par la ss MIC GR Elle s accompagne ce titre d une revue des r documents types mis la disposition des inspecteurs et des contr leurs de l agence dans l espace collaboratif IC eu et 7 El I i E AR E El mam ECRTATEE H ARARAARRAA ZOOM SUR D veloppement durable r alisation du 1 bilan carbone de l ARS 6 6 Plus qu une obligation r glementaire la r alisation du bilan des missions de gaz effet de serre GES est une volont de l ARS Bretagne de r duire sa consommation d nergie fossile II prend en compte les d placements professionnels le chauffage l clairage ainsi que les Jean Yves EONET installations de climatisation responsable du quipements DSII Dans ce cadre l ARS d partement des Bretagne a remplac des convecteurs par ressources mat rielles des panneaux rayonnants dans les et conditions de travail d l gations territoriales 29 et 56 Elle a commenc le renouvellement des luminaires fluorescents par des led et a a
10. gage La strat gie nationale de sant nous AAA pr FT conduit reconsid rer l organisation du syst me de sant dans son ensemble pla ant le patient au centre d un parcours NE ER ee pe de soins gradu et organis _ de e en mason A E 20 i 44 ET 1 AAA AS SLI Lt i fl A e i i 1 fe P N ram e D velopper la coordination des acteurs LE FAIT MARQUANT Des r seaux de sant vers les Coordination territoriale d appui CTA deux projets accompagn s Dans le cadre de la strat gie nationale de sant les r seaux de sant sont amen s voluer vers des dispositifs polyvalents de coordination notamment en appui de l offre de soins de premier recours L objectif optimiser les parcours de sant des patients en situation complexe Ils participeront ainsi au maillage territorial recherch en Bretagne qui consiste mettre en place un dispositif de coordination polyvalent 2 sites b n ficient d un soutien financier pour l accompagnement m thodologique et juridique destin la mise en place d un dispositif mutualis d appui la coordination e Brest Territoire de sant n 1 L accompagnement a d marr en janvier 2014 pour 4 r seaux brestois Canc rologie du Ponant Palliance R seau g rontologique brestois et diabiroise 1 r seau de Lesneven RESPECTE soins palliatifs et 1 r seau de Saint Pol de L on Pol Aur lien PA Le projet organisationnel est
11. senfumage vacuation NOVI Route du Rhum 2014 d minage bombe 2 guerre mondiale exercice TMR Accident sur voie publique impliquant un transport radiologique e 6 L application SI VSS est un projet mis en production en Bretagne le 15 juillet 2014 phase pilote D ploy e l automne 2014 aupr s des ARS elle remplace l application ORAGES qui tait uniquement d di e aux signaux de veille sanitaire et sant environnement Outil essentiel du point d entr e unique des signaux son objectif est d am liorer le partage des donn es m dical tensions sur le syst me de sant Thierry DEMARQUET la tracabilit des informations le travail collaboratif et permanencier du l aide la d cision 8 familles de signaux 164 natures i i Centre Op rationnel sont aujourd hui saisir dans le SI VSS telles que les h de R ception maladies d clarations obligatoires les v nements g et de R gulation ind sirables survenant en tablissement etc pn Wi des Signaux yF Dans le cadre de la premi re phase de d ploiement de l outil afin de former son utilisation 4 sessions de formation ont eu lieu aupr s de m decins infirmiers et ing nieurs notamment soit un total de 28 agents Nous assurons notamment la continuit par assistance t l phonique en liaison directe avec les agents qui nous sollicitent pour r pondre et r soudre les probl mes qu ils peuvent rencontrer Nous sommes galement 4
12. ARS Bretagne renforce sa culture de la gestion de crise Apr s des sessions de sensibilisation aupr s des cadres du si ge et des d l gations territoriales DT en 2013 et d but 2014 la d marche s est tendue de mani re plus op rationnelle la repr sentation ARS en COD par les cadres en DT Sur la base de leurs pratiques nous avons construit un cadre th orique harmonis Puis nous avons organis des formations et des visites de terrain Guillaume BRELIVET charg PE i i E E dans les centres op rationnels d partementaux au sein des 4 Samus de mission p le r gional a Ze et m me au c ur d un exercice de s curit civile de d fense sanitaire ZOOM SUR BEREERR PE TARN AEE EaR E E ENNEA e q Le r le de l ARS dans l pid mie de fi vre Ebola Face l pid mie de fi vre h morragique virus EBOLA s vissant depuis mars 2014 en Afrique de l Ouest le premier objectif strat gique des autorit s fran aises tait et reste de prot ger la population fran aise Pour l atteindre notre syst me de sant doit tre en capacit de limiter e l introduction du virus sur le territoire fran ais en d tectant de mani re la plus pr coce possible les premiers cas arrivant sur le territoire mise en uvre de mesures telles que le contr le sanitaire aux fronti res des mesures barri res et assurer la prise en charge m dicale des cas e a propagation du virus sur le territoire si e
13. P le et produits h movigilance de sant Marie Claude Fran oise M rillon Chabernaud leflon Cellule Cellule de veille d alerte de l Invs et de gestion sanitaires en r gion Pierre Guillaumot Bretagne Lisa King P le P le Charg s de Mission r gional r gional Patricia Rousseau veille d fense sanitaire sanitaire Pierre Vincent Guillaumot Sevaer MM Membres du COMEX Am liorer nos processus de travail De gauche droite 1 rang Nathalie LE FORMAL Aur lie BODET Jean Michel DOKI THONON Anne Yvonne EVEN Antoine BOURDON Pierre BERTRAND 2 rang Olivier DE CADEVILLE Herv GOBY Olivier JOSEPH Direction des ressources Direction des finances Nathalie GIOVANNACCI Pierre LE RAY Marine CHAUVET Annick VIVIER B n dicte SIMON Christophe ROULL Aur lie Bodet Christophe Roull Dominique PENHOU T Thierry DE LABURTHE Dr Pierre GUILLAUMOT f pn 3 En m daillon Jean Luc POTELON Assistante C line Etienne 99 agents D partement D partement D partement oe reder Ve l des ressources des ressources informatique BIng Sr Le i a manges humaines mat rielles Jean Christophe auet LE Marine Jean Yves Eonet Cantinat Lacoste P le P le P le P le ma trise financier facturier paye des risques m financiers et De gauche droite 1 rang Fabienne M AL Marie BOUTIER comptables 2 rang Christophe ROULL Nadine DELOURMEL St phanie R A BRUNEAU Catherine FAISANT P le P le P l
14. ae SUU Y LL LT n kai E E Y L E JE A al KER e A sN CAE E Ea aN ERE IR a ER RE IEP One Fruit de travaux concert s avec les professionnels et les b n voles du terrain les coordonnateurs territoriaux des 4 d l gations d partementales de l ARS le Groupe de Travail R gional en Soins Palliatifs et gr ce au soutien de la Cellule d Animation R gionale des Soins Palliatifs CARESP la fili re palliative bretonne a v cu une riche ann e 2014 bien des gards e remise du bilan r gional 2013 sur les structures sp cialis es en soins palliatifs en Bretagne e pr paration du plan triennal d actions en soins palliatifs 2015 2017 e participation aux travaux interr gionaux sur la mise en place d indicateurs d efficience des Equipes Mobiles de Soins Palliatifs EMSP e r flexion engag e sur l volution des r seaux territoriaux de soins palliatifs e Validation du principe de cr ation d une Unit de Soins Palliatifs USP universitaire entre le CHRU et la clinique Saint Laurent de Rennes e r ception et instruction des demandes de cr ation et ou d extension de Lits Identifi s Soins Palliatifs LISP d USP etc Le 3 Plan cancer 2014 2019 dont le pilotage r gional est confi aux ARS a d j permis de retenir deux quipes bretonnes pour participer l exp rimentation du parcours personnalis en canc rologie autour de la mise en place de postes d di s d Infirmi res de
15. appel projets La mise en uvre des syst mes d information structure le d veloppement des nouveaux modes d exercice coordonn et pluri professionnel qui participent au maintien d une offre de soins de premier recours de qualit sur l ensemble du territoire S agissant d un axe fondamental du pacte territoires sant pr sent par la Ministre en d but d ann e 2013 l appel projet initi en 2013 a t renouvel au cours du 1 semestre 2014 Au total 6 sites ont t retenus pour b n ficier d un accompagnement financier ce jour 2 d entre eux ont fait le choix d un diteur et sont en cours de d ploiement Les 4 autres doivent finaliser la proc dure avant la fin du 1 semestre 2015 Actualisation du zonage e 21 territoires de 1 recours ETES e 5 bassins de vie sous dot s en chirurgiens dentistes lib raux Dans le cadre de la r vision du Projet R gional de Sant intervenue le 10 f vrier 2014 une mise Le bilan du premier exercice ayant mis en vidence un manque de lisibilit pour les professionnels de sant des am nagements ont t apport s pour ce deuxi me appel projets Ainsi les crit res d ligibilit li s au zonage n ont pas t reconduits D sormais tout site dont le projet de sant est valid par l ARS est susceptible d marger au dispositif Par ailleurs la contribution financi re de l ARS s effectue pr sent hauteur de 70 de la d pense engag e dans la l
16. charg de mission la d l gation territoriale d Ille et Vilaine Structurer et d velopper les parcours de sant CARS Bretagne a souhait accompagner les tablissements pr ts faire voluer l offre en sant mentale pour e d velopper des coop rations entre quipe de secteur et quipes de 1 recours des Maisons de sant pluridisciplinaire MSP et P les de sant PS e r quilibrer l offre des soins de psychiatrie adulte au profit des alternatives aux hospitalisations temps plein e mettre en uvre des accompagnements sociaux et m dicosociaux adapt s aux personnes hospitalis es au long cours de fa on inad quate CAAC proposait un appui financier pour l aide au d marrage mission d ing nierie de projet ou renforcement ponctuel en ressources humaines pour une phase de pr paration ou de transition de projets r alis s pour l essentiel par red ploiement 33 projets ont t d pos s parmi lesquels 6 ont t retenus 3 ont re u un accord de principe pour une finalisation projets en lien avec les MSP et PS et 2 doivent tre r examin s apr s une phase d approfondissement 6 6 L appel projet pour accompagner l volution de l offre en sant mentale a t L Plut t bien accueilli par e les tablissements bretons l issue de la Sylvie DUGAS d marche lanc e en conseill re m dicale Juillet 2014 un comit direction adjointe de de S lection a eu lieu l offre m dico soc
17. d autre part leur fonctionnement m dical fait appel des m decins g n ralistes lib raux faisant de ces tablissements un trait d union entre l offre m dicale de 1 recours et la m decine hospitali re de proximit Les textes ont cependant progressivement autoris l intervention de praticiens hospitaliers salari s dans ces tablissements dans le contexte d une d mographie m dicale d clinante surtout en milieu rural Le r f rentiel des missions sanitaires des Centres Hospitaliers Locaux sera finalis et diffus au 1 semestre 2015 jour du zonage pluri professionnel a t r alis e et cible 21 territoires de premier recours comme prioritaires pour concentrer les diff rentes aides permettant de renforcer l offre de soins de proximit Cette r vision a galement t l occasion de publier un nouveau zonage pour la profession des chirurgiens dentistes lib raux Ce zonage cible 5 bassins de vie bretons comme tr s sous dot s en chirurgiens dentistes lib raux sur lesquels les professionnels peuvent b n ficier d un dispositif d incitation l installation et au maintien d exercice cf avenant n 2 la convention nationale des chirurgiens dentistes b sites coordonn s et pluri professionnels suppl mentaires ce qui porte le total des maisons et p les de sant en Bretagne 59 20 contrats de praticiens territoriaux de m decine g n rale sign s et actifs sur les 20 attribu s la Breta
18. la gale en France Vitr et en partenariat avec est constat e La gale est une maladie b nigne mais dont le diagnostic et la le r seau Breizh Paralysie C r brale l ARS Bretagne a financ la premi re plateforme de pes e qui contribue l am lioration de l acc s aux prise en charge peuvent s av rer complexes C est dans ce contexte que la Cellule de Veille d Alerte et Gestion Sanitaires de PARS Bretagne a souhait laborer deux plaquettes informatives sur la gale La premi re destination du grand public explique les Lucie D SRUE soins des personnes en situation n du grand A Hae de handicap Accessible depuis jee dira use eu be je 13 novembre 014 ou Centre erare rs nc ms d partement Action d Examens de Sant d lle et de sant d taille la conduite Vilaine Rennes cette plateforme permet aux personnes en fauteuil roulant qui le souhaitent de se peser en toute autonomie et gratuitement Le co t de cette plateforme de pes e a t de 6 260 pour son installation puis sera de 1 300 par an pour son entretien Faten amaan a na Lie erre 1 sea Deene aer Rx y eam amy ena a Er nn nn nn Kimim RR a Ei am 2 bA RE une qe a mnmmnmnme 7 ESS RE g n rale tenir devant un ou plusieurs cas de gale prise en charge traitement m dical de la personne atteinte de gale et des personnes contacts etc et Animation Territo riales de Sant Dir
19. liorer nos processus de travail ZOOM SUR e DUER au terme de la derni re tape d inventaire men e au si ge sur le site de la DT29 le Document Unique d Evaluation des Risques professionnels DUER D marche similaire men e avec Sant au Travail en Cornouaille et le plan d action ont t pr sent s au CHSCT de d cembre 2014 actuellement au stade de l analyse des r ponses de l enqu te e Pr vention des Troubles Musculo Squelettique TMS en 2014 c tait e Pr vention du risque routier au tour de la d l gation territoriale des C tes d Armor avec l aide de 30 agents les plus expos s aux risques routiers ont b n fici s d un stage l AIDAMT de sensibiliser les agents aux TMS Un accompagnement CENTAURE consacr la remise niveau des connaissances du code individuel l am nagement du poste de travail a t propos chaque de la route et la pratique de la conduite sur route glissante agent Le remplacement des fauteuils s est poursuivi sur toute la r gion et des bureaux r glables en hauteur ont t mis disposition des agents de grande taille Avec le concours de la DDTM du MORBIHAN un stage de pr vention des risques routiers a t organis pour les 20 agents de la de la d l gation territoriale du Morbihan et de la d l gation territoriale du Finist re Remise e Pr vention des Risques Psycho Sociaux niveau code de la route accidentologie les effets de l alcool sur les su
20. nous avons donc r alis un tat des lieux tr s pr cis par d partement des transports sanitaires nombre de v hicules moyenne d ge de la population du territoire nombre de personnes g es plus demandeuses de transports sanitaires D autre part optimiser les d penses de transport privil gier le VSL transport assis au lieu de l ambulance transport allong plus co teux co Lei u CR TrE Ces orientations r gionales sont actuellement soumises pour avis aux Comit s d partementaux de l aide m dicale urgente de la permanence des soins et des transports CODAMUPS TS et feront l objet en 2015 d un arr t du directeur g n ral de l ARS LE a a pe EME 1 E DETE TEA ER EAEESSEHSANAE 2 res DoBHenre nn CAE ENS enennInE HETER FO Vo TENTE ENT EEE IS eee Hidden CARRERAS BE RaBeAABnE pe on minis EEE EEE EEE ET r Vs sen LE FAIT MARQUANT Faire conna tre les Consultations Jeunes Consommateurs l ARS fait campagne aupr s des jeunes Les conduites risque chez les jeunes sont une Catholique et la Pr fecture de r gion une campagne de communication pr occupation pour l ARS Bretagne Elle a r gionale avec pour slogan cran Passe nous voir avant d tre accro retenu les addictions AAA lune des priorit s Cette campagne s est appuy e sur diff rents outils site internet et page Jos de sant publique Parce que les Facebook d di s spot radio diffus sur des radios jeunes N
21. professionnels de sant de la r gion institutions contacter pour en b n ficier Brochure t l chargeable Sur www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s tudes et publications Bretagne 6 6 Les aides destination des professionnels de sant lib raux taient auparavant list es dans un tableau synth tique r alis par le Minist re Cependant au del de son manque d exhaustivit il n tait pas r guli rement mis jour et ne faisait pas de lien direct avec les zonages auxquels un certain nombre d aides est li Or de plus en plus de professionnels recherchent des informations sur les diff rentes aides pour S installer ou exercer en Bretagne et il Arnaud GANNE peut tre difficile de s y retrouver car les interlocuteurs sont charg de mission nombreux assurance maladie ARS Urssaf imp ts A pra re Ce guide r pond donc un vrai besoin et nous l avons voulu deloc oN pratique sous forme de r pertoire synth tisant l ensemble des des acteurs aides disponibles Elles sont regroup es sous plusieurs onglets pour en faciliter la lecture avec un onglet reprenant les aides communes tous les professionnels de sant puis des onglets sp cifiques par profession m decin infirmier sage femme chirurgien dentiste masseur kin sith rapeute orthophoniste pharmacien Fo iag RHH ukia bgr re FE Mii Liia Les signataires de la Convention de partenariat en faveur de l installation de
22. r alis et demande tre finalis La fusion des associations a t act e lors de l assembl e g n rale du 27 janvier 2015 La couverture du territoire de sant sera progressive en particulier sur le territoire de Carhaix e Lannion Tr gor Go lo L accompagnement a d marr en janvier 2014 pour 2 r seaux bas s Lannion R seau g rontologique Ouest Tr gor et Diab te en Tr gor La fusion des associations est pr vue lors de l assembl e g n rale du 1 avril 2015 avec un effet r troactif au 1 janvier 2015 La couverture du territoire de proximit sera aussi progressive de Lannion vers Tr guier puis Paimpol selon un calendrier fixer La mise en place de ces 2 dispositifs prend en compte l offre de soins et d accompagnement et son organisation sur les territoires concern s ainsi que les dispositifs d j en place ex des MAIA Leur mise en uvre sera contractualis e dans un CPOM dont la signature doit intervenir avant la fin du premier semestre 2015 8 autres sites sont galement demandeurs de cet accompagnement AE LE LE E e E PER EE NE E ON pe a pe LEE PO EE PE e PE EE PS ARE A AE EU VU ES Imag D cELAJETAAARCARA RAAE D D 0 uena gt nnnrt H artirit s DN1A daln me rataona acma anpor aA acti 7A AGOTAR 2 e Y 2 waa MPPT e m eun E ay VERTUS zeam HAE ENT AAIE DE EERE ZOOM SUR Le d ploiement territorial des MAIA M thode d Action pour l Int gration des services d aide et de soins dans le
23. sur les nouveaux CRE contrat de retour l quilibre ZOOM SUR EE Se ne Re PTE Mutualisation des postes infirmier hygi niste infirmier de nuit en EHPAD tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes 13 projet financ s CARS a lanc deux appels candidature exp rimentaux de mutualisation des infirmiers hygi nistes et des infirmiers de nuit en EHPAD pour la p riode 2015 2016 Mutualisation des infirmiers hygi nistes les infirmiers hygi nistes sont recrut s pendant 2 ans raison d un e infirmier e mutualis e intervenant pour 10 15 EHPAD regroup s autour d un EHPAD r f rent Ils assurent des actions de pr vention et de ma trise du risque infectieux aide l auto valuation formations laboration des protocoles mutualis s surveillance audits de bonnes pratiques et mise en place des premi res mesures de gestion en cas d infections particuli rement dans un contexte pid mique 7 projets d exp rimentation ont t financ s en Bretagne hauteur de 810 000 euros L appel candidature infirmiers de nuit il vise mettre en place la pr sence d infirmier re la nuit 20h 8h 365 nuits sur 365 sous la forme d astreinte op rationnelle mutualis e entre 4 ou 5 EHPAD Cette exp rimentation doit permettre de diminuer les hospitalisations non programm es la nuit pour les personnes g es d viter des hospitalisations la nuit pour le seul motif de la charg
24. voluer vers des dispositifs polyvalents de coordination en appui de l offre de soins de premier recours afin d optimiser les parcours de sant des patients en situation complexe S agissant des r seaux en charge du diab te la d marche a t initi e d s 2012 ann e au cours de laquelle une analyse pouss e des rapports d activit a permis de mettre en vidence une activit trop orient e vers l ducation th rapeutique du patient Cette premi re approche a t compl t e courant 2013 par une tude permettant d objectiver la plus value m dico conomique des 4 structures concern es L ensemble de ces l ments a servi de base la n gociation d un contrat d objectifs et de moyens lui m me d clin en 2 axes e le premier d di la d finition des orientations communes l ensemble des r seaux et renfor ant le principe d une volution vers des missions d appui la coordination e le second plus sp cifique d clinant les objectifs op rationnels dont les indicateurs de suivi permettront d valuer le degr de r alisation au cours des prochaines ann es Ces contrats ont t conclus pour une dur e de 3 ans La premi re valuation doit intervenir la fin du 1 semestre 2015 tienne in tite YEAR EeNAE e D velopper la performance des acteurs Prescription de transports sanitaires par les tablissements lancement d une enqu te r gionale 6 6 Les prescriptions des tablissem
25. Coordination En Canc rologie IDEC le CHRU de Rennes service de pneumologie et le P le Pluridisciplinaire de Sant du Pays de Saint M en le Grand et de ses environs Par ailleurs le 3 Plan cancer porte en ses objectifs de nombreuses volutions adaptations pour partie initi es Dossier Communicant en Canc rologie DCC r seaux territoriaux d di s et Centres de Coordination de Canc rologie 3C etc 6 6 travers ce dispositif il s agit d am liorer la qualit de la prise en charge et du suivi en protocolisant des d l gations d actes et d activit s des m decins vers les infirmi res afin qu ils puissent suivre davantage de patients en particulier dans des zones jug es sous denses ou d ficitaires du point de vue de la d mographie m dicale L articulation plus formelle de Ren NIVELET m decin l intervention de plusieurs professionnels devrait Direction Adjointe aussi permettre de gagner la fois en qualit de l Offre Ambulatoire et en efficience L association ASALEE a labor et de la Coordination des protocoles de d l gation d actes et d activit s des Acteurs coop ration entre le m decin g n raliste et l infirmi re pour deux d pistages troubles cognitifs et BPCO du patient tabagique et deux suivis de pathologies chroniques diab te risque cardio vasculaire ZOOM SUR Dans le cadre de la strat gie nationale de sant les r seaux de sant sont incit s
26. EN DT A Nad kP i w COS ne HAE ZAREE 0 D A oo AEE E 22e Prenant Rene RER NaENR RE serrer nus SA PP ERARA er i De gauche droite 1 rang Elodie LE POUPON Caroline RIC Morgane BOUCAULT 2 rang Elisabeth LAGADEC FETHADDINE Thierry DE LABURTHE Aur lien ROBERT e Hhevelnnner lla neamners tie AR c3 a Patricia BREUILLE P RAIS Le LE nee e uw D E el GS Tm gt wue OS oE us VE ee OS S En m daillon C cile SOLLIER Katia CANNESAN Anne France RENAUD LE FAIT MARQUANT Installation de la nouvelle Conf rence R gionale de la Sant et de l Autonomie Bretagne CRSA Instance consultative qui concourt par ses avis la politique de la sant en Bretagne la Conf rence R gionale de la Sant et de l Autonomie CRSA de Bretagne associe tous les acteurs de sant et promeut la participation citoyenne aux politiques de sant La nouvelle CRSA a t install e le 7 octobre 2014 en pr sence du Pr fet de R gion Bretagne et du Directeur g n ral de l ARS Bretagne Lors de cette s ance d installation le pr sident sortant Bernard GAILLARD universitaire m rite a t r lu la Pr sidence de la CRSA Bretagne Dans son discours il a notamment tenu rappeler l importance de l existence de cette instance de d mocratie en sant qui repr sente une ressource pour mieux d cider et mieux r pondre aux besoins de la population des usagers et des professionnels bretons Au cours de la m m
27. ER E SS HE vention name Ras EEE TER TE EE PaPe teere AREATA ERATE ES ses Rare Rene seen ennE ac FRERE D Or PERA AIARA EEE EE EE a a e a a i a e T E a a g F ZOOM SUR Le CESP contrat d engagement de Service Public les signataires rencontrent l ARS Pour la deuxi me ann e cons cutive les tudiants en m decine et odontologie et les internes en m decine signataires du CESP ont t re us en r union pl ni re et entretien individuel par ARS afin de faire un point sur leur futur projet d installation dans les lieux d exercice fragile o la continuit des soins est menac e Au titre de l ann e universitaire 2014 2015 e 14 nouveaux candidats ont t retenus par les commissions de s lection de m decine de Brest et Rennes 12 tudiants et 2 internes e 10 nouveaux candidats ont t retenus par les commissions de s lection d odontologie de Brest et de Rennes ce jour 2 m decins se sont install s e l un en m decine g n rale Pleine Foug res 39 e le second en m decine g n rale Plumelin 56 CARS Bretagne envisage d largir les propositions de postes CESP en o Un 3 m decin est en cours de finalisation de son projet d installation en anesth sie et ophtalmologie tant que m decin g n raliste dans le secteur de Retiers et Marcill Robert Syst mes d informations des Maisons de sant pluri professionnelles 6 sites retenus suite au lancement de l
28. RJ Hit West et ss consultent it et souvent tardivement Virgin Radio banni res web sur des sites internet destination du public ARS a RAR EQRE la mise en place des jeune En compl ment 3 000 affiches 40 000 d pliants d information ont t Consultations Jeunes Consommateurs CJC diffus s dans les coll gues et lyc es de Bretagne universit s centres de Ces structures sont destin es aux jeunes de formation et d apprentissage missions locales points accueil coute jeunes moins de 25 ans qui pr sentent des difficult s dans leurs consommations usage de tabac Fans car Tel e d alcool de cannabis de coca ne ou autre produit m E ou pour une pratique addictive sans substance n Samaran jeux vid o hasard ou argent etc lors de leurs a uat RE premi res exp riences Ce dispositif manque de visibilit aupr s des jeunes de leur entourage mais galement des acteurs de terrain Un constat qui a amen l ARS Bretagne a organis en partenariat avec le Rectorat de Rennes les Directions D partementales de l Enseignement Permettre aux personnes handicap es en fauteuil roulant de se peser l ARS finance le 1 dispositif en Bretagne Cr ation de deux supports sur la gale dont un guide aux professionnels Dans le cadre des travaux g n raliste et ducation nationale du programme territorial de sant n 5 Rennes Redon Foug res Depuis plusieurs ann es une augmentation de l incidence de
29. SI d activit Ce point d tape permet l ARS d avoir une vision globalis e de l utilisation des moyens allou s et de v rifier le respect des exigences r glementaires Le cas ch ant peut tre mis en vidence un manque d efficience et ou de qualit dans la r ponse aux Anne VIVI S charg e de du Tableau de bord des indicateurs de pilotage des missions de r ducation et d insertion du SSR L incitation mission direction adjointe tablissements et services m dico sociaux Cette d velopper le recours aux prises en charge ambulatoires est de l offre hospitali re et d marche conjointe avec les Conseils G n raux doit galement une motivation de l agence Fran oise DURANDI RE permettre de conforter les initiatives des gestionnaires interpeler les tablissements sur ce point m decin Ceta issemenisiet O ame QI acon als ane partag e de l offre m dico sociale en Bretagne Sur les 48 tablissements 200 autorisations concern s par le renouvellement Ce tableau de bord couvre cinq dimensions d activit les d l gations territoriales et le si ge ont adress 27 tablissements des et de fonctionnement les prestations de soins et injonctions afin que les prises en charge des patients soient am lior es d accompagnement les ressources humaines et charge en soins projets m dicaux compl mentaires mutualisation mat rielles les finances et le budget la politique de services meilleure ad quation entre dotation fi
30. a renforc et formalis des partenariats pour mieux coordonner nos accompagnement financiers Nous disposons d sormais de crit res partag s pour s lectionner les projets soutenir Malgr des enveloppes contraintes notre action gagne en lisibilit Coh sion sociale PARS Bretagne et la Pr fecture renouvellent leur partenariat En octobre 2014 FARS Bretagne et la Pr fecture de r gion ont sign le renouvellement de la convention cadre relative leur collaboration en mati re de coh sion sociale pour trois ans Les partenaires s engagent ainsi mettre en place une d marche de collaboration de leurs services respectifs dans le but de mieux coordonner les politiques r gionale et d partementales de coh sion sociale de la jeunesse des sports et la politique r gionale de sant notamment en faveur des publics vuln rables La convention cadre fixe des orientations strat giques communes Ainsi les principaux axes d intervention vis s sont e l acc s la pr vention et aux soins des personnes en situation pr caire ou vuln rable ou en situation d insertion e e volet sant de la politique de la Ville e la protection de la sant des sportifs e a pr vention et la lutte contre le dopage e a pr vention et la lutte contre les addictions e a promotion des activit s physiques et sportives comme facteur de sant e a connaissance et l analyse des d terminants sociaux de l tat de sant e a sant
31. aburthe P le P le P le professions animation performance et m dicales terr ona a investissements B n dicte Simon e SREE Olivier Paugam P le P le P le professions communication observation param dicales gestion des statistiques Chantal Bost instances valuation Elisabeth Carole Rieu Lagadec Fethaddine P le P le gestion qualit en des carri res des directeurs des tablissements Myriam Bonnerre tablissements Myriam Bonnerre Direction Direction Direction adjointe adjointe adjointe de l offre de l offre de l offre ambulatoire m dico sociale hospitali re et de la Anne Yvonne Dominique coordination Even Penhou t des acteurs Marine Chauvet P le P le P le organisation programmation organisation des des soins et organsisation tablissements ambulatoires des ESMS sanitaires supu Ka Lon Anne Delucq Nathalie Giovannacci P le P le P le r seaux allocation autorisations de sant de ressources et Estelle Avisse Sophie P chillon contractualisation Mathilde Henry P le P le gestion allocation du risque de ressources Sophie P chillon Nathalie Giovannacci P le P le espace allocation num rique de ressources r gional Sophie P chillon de sant Anne Briac Bili Direction adjointe Direction Direction veille et s curit adjointe de adjointe sanitaires la sant de la Pierre Guillaumot environne pr vention ment et promotion Jean Luc de la sant Potelon Olivier Joseph P le pharmacie
32. al de Sant 2012 2016 en y associant l ensemble des institutions qui donnent un avis Conseil g n ral Conseil r gional Conseil de surveillance Cette d marche a t confi e Plan te publique Ce prestataire en lien avec les principaux acteurs de la Morgane BOUCAULT sant doit concevoir le cahier des charges de la future valuation 9 9 charg e de mission PRS p le Cette derni re posera les bases de la construction du nouveau animation territoriale et PRS Projet R gional de Sant I S EE BE EE J P d Ag EAr QU LE LE EEN aan A JL mU E a Pi Pan TERE meme wW ENS Promouvoir la sant en prenant en compte l ensemble de ses d terminants sociaux environnementaux culturels ducatifs et pr venir l apparition des maladies constitue une priorit de l ARS dans la droite ligne de la Strat gie Nationale de Sant Cette action pr ventive s accompagne d une activit intensive de veille 24h 24 et 7 jours 7 et de s curit sanitaires qui permet de prot ger les populations contre tous les risques pid miologiques LE FAIT MARQUANT Direction adjointe Sant Environnement De gauche droite Jocelyne LEFEUVRE B atrice GAUTIER GRALL Jean Luc POTELON Anne VIDY Laurence COCHET Accompagnement des collec tivit s dans la mise en place des profils de baignades En 2014 PARS a t impliqu e dans plusieurs v nements et actions visant promou
33. amment avec les acteurs du premier recours Une instruction minist rielle du 4 d cembre 2013 a fix l objectif de doubler le nombre de prise en charge en HAD d ici 2018 CARS Bretagne s est engag e dans un programme ambitieux en 2014 visant une progression significative du recours en HAD 22 actions on t privil gi es autour de plusieurs axes pilotage r gional de l activit contractualisation sur les taux de recours ou d adressage avec les tablissements communication plaquette diffus e l ensemble des m decins g n ralistes de la r gion diversification des nul nti re 9 E es soins ise en cha g ve de Pen de sari prises en charge par exemple autour de la p rinatalit et du SSR et pertinence des s en tabli ctes les gur e etta fr quent dispens s prises en charge plexit la dhs nabitue ta com l i s gitf rencient des domicile Renouvellement des autorisations des activit s de Mise en place Soins de suite et de r adaptation SSR du tableau de bord des indicateurs de pilotage des ESMS un d ploiement progressif CARS Bretagne a t retenue par l Agence nationale d appui la performance ANAP participer avec 8 autres r gions la premi re phase du d ploiement l occasion des renouvellements d autorisations en soins de suite et r ducation SSR les tablissements remettent aux ARS un bilan de leur organisation que ARS croise avec les donn es PM
34. ar t l phone sur 12 th matiques parmi lesquelles la qualit de l air le radon l eau Les r sultats de l enqu te t moignent de l int r t de la population bretonne pour la sant environnementale 70 des Bretons s y d clarent sensibles ou tr s sensibles et se disent majoritairement mal inform s sur certains sujets comme l air int rieur la pollution des sols ou encore le radon Ce barom tre fournit une aide pr cieuse pour Refonte de la Statistique Annuelle des tablissements SAE accompagnement et information aupr s des tablissements V ritable colonne vert brale du syst me d information sur les tablissements de sant la Statistique Annuelle des Etablissements SAE a t r nov e en 2014 L objectif tait double renforcer la coh rence des donn es et simplifier leur recensement Les donn es recueillies sont d sormais organis es par entit g ographique hors psychiatrie Ce principe rend possible une analyse localis e de l offre de soins Par ailleurs la convergence renforc e avec le Programme de M dicalisation des Syst mes d Information PMSI permet d assurer une coh rence des donn es entre les diff rentes sources Les changements tant importants pour les tablissements des pr sentations sp cifiques ont t r alis es aupr s des 2 CHU et des tablissements psychiatriques Par ailleurs pour une diffusion plus large aupr s de tous les tablissements une information a t
35. artements AATS ont r dig et mis en place les proc dures internes de gestion quotidienne du traitement de l information En parall le ont t mises jour les proc dures et r gles de fonctionnement du service de messagerie avec la publication d une charte de messagerie et la formation avanc e des assistantes AATS e D velopper un service interne de qualit Cr ation du catalogue de service du d partement syst mes d information sur intranet DSi 6 6 Le catalogue DSII est un document de r f rence valid par la direction qui d crit de fa on pratique et simple les services offerts par le d partement tous les agents aux directions m tiers et supports de l Agence Il permet galement de rappeler les missions le p rim tre d intervention et l organisation du DSII mais aussi de publier les r gles de bonne hygi ne informatique et de s curit qui s imposent tous 15 offres de services sont aujourd hui d taill es sur 60 fiches descriptives de proc dures de bonnes pratiques ou de mode d emploi Le catalogue de service est d sormais en phase d am lioration continue notamment par analyse des demandes re ues dans la BAL support Jean Christophe CANTINAT responsable du d partement syst mes d information Afin de mieux d tailler le service applicatif le DSII a pour objectif en 2015 la publication d un catalogue des 66 applications m tiers et support utilis es l ARS Am
36. champ de l Autonomie La MAIA est un maillon structurant de l animation territoriale et de la politique Les MAIA sont une opportunit pour mobiliser les acteurs autour de d partementale dans une strat gie de territoire LARS Bretagne a donc fait le l am lioration des parcours des personnes g es enjeu de la strat gie choix d un d ploiement des MAIA concert avec les Conseil G n raux Le choix nationale de sant LARS s assure que les MAIA soient coh rentes avec les du territoire doit tre coh rent au vu des flux habituels de population de leur dispositifs de sant publique le d veloppement de l exercice coordonn et de consommation de soins et de l organisation de l action sociale C est pourquoi l volution des r seaux vers des Coordination territoriale d appui Le copilotage V ARS Bretagne propose de d ployer le dispositif au regard des 22 territoires institutionnel avec les CG est le gage d une coh rence entre objectifs territoriaux de proximit qui fera l objet d une concertation en 2015 terme l ARS de sant et politique d partementale g rontologique La gestion des situations souhaite donc couvrir l ensemble du territoire breton avec minima la mise tr s complexes facilite le maintien domicile en apportant soutien la en place de 22 tables de concertation tactique horizon 2016 personne aux aidants et aux acteurs de proximit elle compl te l offre des CTA MAIA Ann e installation Dept Terr
37. chet deux v hicules hybrides et un v lo lectrique Pour aller plus loin un groupe de travail se mettra en place au sein de l agence R organisation de la direction adjointe et des p les sant environnement des d l gations territoriales Jean Luc POTELON directeur adjoint Sant environnement A 6 La r organisation de la direction adjointe et des p les sant environnement des DT engag e en 2014 dans le cadre d une large concertation avec les agents s est d velopp e selon 3 axes la signature d une charte entre les membres du comit r gional sant environnement CRSE et le directeur de la sant publique la restructuration du pilotage th matique r gional par la cr ation de groupes de travail permanents et enfin la r alisation d un tat des lieux des pratiques des DT en sant environnement avec l appui d un cabinet d audit en vue d identifier des axes de progression en termes d efficacit d harmonisation ou de mutualisation des pratiques Ce chantier est achev depuis le d but 2015 pour le domaine de l eau Il sera termin cet t pour les 2 autres domaines relatifs aux espaces clos et l environnement ext rieur Syst me d information d cisionnel SID faciliter l acc s l information 6 6 L informatique d cisionnelle consiste donner aux agents un acc s continu de l information facilement exploitable afin qu ils puissent disposer en permanence d informations
38. ciga rette 14 1 ans premi re ivresse alcoolique 15 2 ans premi re consommation de cannabis 15 3 ans e l usage r gulier de cannabis c est dire au moins 10 fois dans le mois a fortement diminu depuis 2002 cela concerne actuellement 9 des gar ons et 3 des filles Mais des points restent pr occupants e a consommation tr s pr coce c est dire avant l ge de 12 ans concerne 7 des lyc ens pour le tabac et 4 pour le cannabis e le tabagisme quotidien est un niveau tr s lev il augmente de la seconde la terminale classe laquelle 37 des gar ons et 36 des filles fument quotidiennement les comportements addictifs des filles rejoignant celui des gar ons il atteint m me 51 des l ves de terminale en lyc e professionnel 37 en France e plus d un lyc en sur 10 est concern par des polyconsommations r guli res e l ivresse r guli re au moins 10 fois dans l ann e a un niveau tr s lev et tr s sup rieur la France 31 des gar ons et 15 des filles noter que le comportement addictif de l entourage et celui du jeune sont troitement li s Malgr la r gle mentation en vigueur les l ves de seconde consid rent les produits d acc s facile hauteur de 76 pour certain type d alcool 60 pour le tabac et 41 pour le cannabis Publication disponible sur le site internet www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s tudes et publications e Obser
39. ction pourtant simple n cessite une profonde r organisation du travail des soignants et peut rencontrer une r sistance des patients Autorisations d Activit s Par ailleurs d finir une dur e pr visionnelle de s jour d s l admission du patient facilite la vision des disponibilit s en lits et permet la r duction de la dur e des hospitalisations et des s jours forains h bergement de patients dans des unit s non adapt es leur pathologie par exemple en chirurgie par saturation des lits de m decine De nombreux tablissements choisissent de se doter d une cellule de gestion des lits avec Tin une personne d di e la recherche de lits vacants et la programmation des hospitalisations Laurent BOIREAU le gestionnaire de lits ou bedmanager Cette d marche b n ficie la fois au patient gestionnaire de dossier prise en charge plus rapide et de meilleure qualit au personnel organisation plus en d autorisation P le ad quation avec son activit et la direction organisation plus efficiente 99 UE E y GER eEREnmr TAATETTANE TARRCANNE TEEBA LE FAIT MARQUANT Am liorer la qualit et la s curit des soins mise en uvre du plan d action pertinence des soins CARS en lien avec l assurance maladie a adopt fin 2013 un plan sur la pertinence des actes op ratoires des s jours hospitaliers des modes de prise en charge des parcours de so
40. de proc der au reclassement des dispensaires ou centres de soins implant s dans la r gion Bretagne soit en les fermant soit en les int grant dans la nouvelle cat gorie centres de sant ce jour la Bretagne compte 86 centres de sant antennes comprises Il reste 5 centres de l AUB et 6 antennes en attente de reclassement _ CERN RnnEr D Lomme nvEn Eee RES ES SE EU ES EN ES A EN E Ta os Matane Tate tee eme E eve vers neue resserre sen aires on EEEE A A A C0 208 EE RL me ES En EE 1 NE Nhcerve B avai antre la ear m E e E a E Sein sie a THAER DORE EN PE Le PE a EE A 1 a EE EE D PE A En En A E E E E a E E S E a e E E e S a a R mA D LR RRNRRARNRRRRANRARA M M G A e w e valuer notre action et celles des acteurs de sant LE FAIT MARQUANT R duction des risques valuation et plan g 0 64 milliards acti 7 LE d action des 4 CAARUD en Bretagne d euros tel estle montant P t 4 La r duction des risques constitue l un des objectifs du PRS en assurant des d penses de sant is j notamment le suivi des Centre d Accueil et d Accompagnement la R duction en Bretagne LS LE fi des Risques CAARUD Cr s en 2005 ces dispositifs m dico sociaux r cents AUS ih hh ont pour missions L ARS Bretagne a publi en 2014 A Ur 3 i 5 He es A f e l accueil l information le soutien aux usagers dans l acc s aux soins aux les d penses de sant en CS droits au logement et
41. djointe des professions de sant et cadres en tablissements B n dicte SIMON 6 e L dition 2014 de DemoPS confirme la volont de l ARS Bretagne de disposer d un outil de r f rence sur l observation de la d mo graphie des professionnels de la sant partag avec ses parte et Aur lie QU MENER naires Cette dition int gre un panel encore plus large de profes charg e de mission sionnels de la sant Elle s est enrichie pour chaque m tier p le observation d une vue sur l appareil de formation r gional et de donn es Statistiques valuation sur l origine du dipl me des personnes exer ant en gt 9 Bientraitance publication des r sultats d une enqu te en direction des Maisons d accueil sp cialis es MAS et foyers d accueil m dicalis s FAM La bientraitance est une dimension essentielle de l am lioration de la qualit de l accompagnement des personnes handicap es et g es Dans le cadre de la mise en uvre du plan national de d veloppement de la bientraitance les Maisons d accueil sp cialis es MAS et les foyers d accueil m dicalis s FAM ont s inscrire dans une d marche d auto valuation de leurs pratiques de bientraitance Pour faciliter cette d marche l Agence Nationale de l Evaluation et de la qualit des Etablissements et Services M dico sociaux ANESM a lanc une enqu te que l ARS Bretagne a relay e portant sur les MAS et les FAM Les objectifs favoriser une r flexio
42. e formation achats contrats bureautique march s Marie Christine Billon P le P le P le gestion logistique architecture du personnel et gestion patrimoine Thi Thuy Bui P le P le P le recrutement documentation solutions GPEC Christine Chauvel m tiers masse salariale P le conditions de travail De gauche droite 1 rang Marie Annick DUCLOYER Rozetta GROS 2 rang C line ETIENNE Fr d rique SUZANNE Agence R gionale de Sant Bretagne Www ars bretagne sante fr 6 place des Colombes CS 14253 35042 RENNES CEDEX 02 90 08 80 00 f www facebook com arsbretagne Directeur de publication Olivier de Cadeville Directeur de la r daction Herv Goby R dactrice en chef lisabeth Lagadec Fethaddine Comit ditorial Morgan Boucault Patricia Breuille P rais Aur lie Bodet Thierry de Laburthe Coralie Descamp Anne Delucq Jean Yves Eonet Christian Gauvain Nathalie Giovannacci Bernard Guillou Pierre Guillaumot Mathilde Henry Olivier Joseph Marine Lacoste Anne Lecoq Fabienne M al Vincent Sevaer Sophie P chillon Jean Luc Potelon C cile Solier Carole Rieu Jean Paul Remeur Caroline Ric Aur lien Robert B n dicte Simon Christophe Van der Lind R alisation Pr contact Cr dits photos ARS Bretagne R v l action Photo Cocktail Sant Thinkstock Impression M dia Graphic D p t l gal parution N ISSN 2263 62212 H pr contact
43. e en uvre les diff rentes actions qui sont pr vues La cr ation de la premi re unit d enseignement en maternelle cr e dans le cadre du plan autisme L action 21 du plan d actions r gional Autisme 2014 2017 pr voit l ouverture d une unit d enseignement UE en maternelle dans chacun des d partements de Bretagne en vue de favoriser la scolarisation des enfants avec autisme ou autres troubles envahissants du d veloppement TED Ces unit s d enseignement de 7 places constituent une nouvelle modalit de scolarisation d l ves d ge pr l mentaire avec autisme ou autres troubles envahissants du d veloppement TED dont les troubles sont tels qu ils ne pourraient pas tre accueillis en classe ordinaire Pr sents l cole sur le m me temps que les l ves de leur classe d ge ils b n ficient sur une unit de lieu et de temps d interventions p dagogiques ducatives et th rapeutiques se r f rant aux recommandations de bonnes pratiques de la HAS et de l ANESM Ces interventions sont r alis es par une quipe associant l enseignant sp cialis et les professionnels m dico sociaux dont les actions sont coordonn es et supervis es Le travail de collaboration entre l ARS et l ducation nationale a permis l installation de la premi re unit d enseignement bretonne en septembre 2014 l cole Bourgchevreuil Cesson S vign en Ille et Vilaine Cette SR MMIE En OO NOCOO O OOE O EEOAE e
44. e en soins techniques infirmiers augmenter les hospitalisations programm es d am liorer la qualit et la s curit de prise en charge la nuit et diminuer les passages aux urgences la nuit 6 projets sont financ s par l ARS hauteur de 660 860 Ces appels candidatures feront l objet d un suivi et d une valuation sur les 2 ans de l exp rimentation afin de v rifier l int r t de ces dispositifs et de leur p rennisation le cas ch ant dans le cadre des conventions tripartites des EHPAD 6 6 Ces deux appels candidature sont compl mentaires dans l am lioration de la qualit de prise en charge en EHPAD D une part le risque infectieux en EHPAD est une r alit le taux d infections associ es aux soins est de 11 2 contre 5 6 dans le secteur sanitaire Des pid mies notamment de gastro ent rites aigu s et d Infections Respiratoires Aigu s sont r guli rement signal es la Cellule de Veille d Alerte et de gestion Sanitaires CVAGS En effet la population des EHPAD est fragile et la d pendance des r sidents n cessite des soins fr quents sources potentielles d infections toilette alimentation d placements etc D autre part seuls 14 des EHPAD disposent de personnel infirmier de nuit et leurs interventions n exc dent gu re 1h30 par nuit d faut ce sont g n ralement deux aides soignantes ou une aide soignante et un agent de service qui officient en nocturne Mais ils ne sont pas qualifi
45. e s ance la conf rence a proc d la constitution de la commission permanente et des 4 commissions sp cialis es droits des usagers offre de soins offre m dico sociale pr vention promotion de la sant ainsi qu l lection de leur Pr sidents et Vice pr sidents 4 ans apr s l installation des 8 conf rences de territoire FARS Bretagne a r uni l ensemble de ses membres 6 6 Install es en 2011 les Conf rences de territoire ont depuis r alis un travail important au service de la sant des Bretons Elles constituent aussi un appui solide pour l ARS Bretagne En octobre 2014 l Agence a organis une rencontre associant tous les acteurs impliqu s E HE A 7 dans ces instances Cette journ e fut A Rd l occasion d une part de dresser un au p le animation blond PNR territoriale et PRS ilan des exp riences et du v cu de chacun et d autre part de parler d avenir Les changes ont t libres et nombreux _ 7 GBENENERNME ZOOM SUR arrive AH den Rapport La loi HPST du 21 juillet 2009 conf re aux conf rences r gionales de la sant et de l autonomie CRSA la annuel mission de proc der chaque ann e l valuation des conditions dans lesquelles sont appliqu s et respect s les droits des personnes malades et des usagers du syst me de sant de l galit d acc s aux services de 2013 sant et de la qualit des prises en charge Pr par par la Com
46. ection adjointe offre de soins m dico sociale De gauche droite 1 rang Nadia BRECHET MESNIL Chantal BOULLE Anne DELUCQ Mathilde HENRY Brigitte EBOUNDIT Claire LIENARD 2 rang Chlo BERGER Sylvie DUGAS Anita MANGAL Mich le BODENES Anne Yvonne EVEN Bernadette MITOUAMONA Nawal BOUTAHAR Micka l ORIAC rang Jean Charles LAURENT Claude Anne GROSCOLAS Maryvonne LE GALL Maryse RAIMOND Sophie FERRAND Maryline GRASSAUD B n dicte BOURGET VALSON Maryvonne LAURENT Seul dans l angle Bernard ROUXEL ZOOM SUR LE FAIT MARQUANT Prise en charge de l autisme un plan d actions r gional En d clinaison du 3 plan national autisme l ARS a publi son plan d actions r gional autisme 2014 2017 apr s un tat des lieux et une phase de concertation 5 axes ont t retenus e l identification d une gouvernance r gionale forte e a participation des usagers et des familles la mise en place des actions du plan e e renforcement du diagnostic e l am lioration de l accompagnement tout au long de la vie e a formation de tous les acteurs Is ont donn lieu la d finition de 16 objectifs et 39 actions Le plan marque un tournant dans l accompagnement de l autisme et s inscrit dans la ligne des recommandations de bonnes pratiques professionnelles de la Haute Autorit de Sant HAS et de l Agence Nationale de l Evaluation Sociale et M dico sociale ANESM 8 300 000 seront consacr s la mis
47. ents repr sentent 3 4 des d penses de transports en Bretagne Ces d penses ne cessent d voluer depuis 2010 Afin d infl chir cette tendance l ARS contractualise avec les tablissements et les aide mettre en place des mesures correctrices Elle a lanc en 2014 une enqu te r gionale sur la base d outils d velopp s par l ANAP aupr s de 54 tablissements de sant publics et priv s but non lucratif ayant des activit s M decine Chirurgie Obst trique et Psychiatrie Une d marche d accompagnement qui se veut constructive II ne s agit pas de remettre en cause la pertinence des prescriptions mais le cas ch ant le choix du mode de transport v hicule personnel transports en commun assis ou couch Les r sultats de l enqu te permettent l tablissement d avoir une photographie de son organisation actuelle et des diff rents axes pouvant faire l objet d une am lioration proc dure interne modalit s de prescriptions actions de communication relations avec les prestataires suivi des d penses etc En avril 2015 l ARS pr sentera les r sultats de l enqu te et les bonnes pratiques recommand es par le groupe de travail r gional pouvant tre mises en place par les tablissements afin d am liorer leur organisation et infl chir l volution des d penses de transports ex actions de communication rappelant la r glementation regroupement des examens sur une journ e contractualisation avec les transporteurs
48. es contrats de bon usage du m dicament le suivi des volumes de d penses des m dicaments on reux une recherche de r duction de la prescription de m dicaments avec SMR insuffisant en tablissement l volution de l offre autour de 2 axes renforcement des collaborations avec les professionnels de ler recours et services sociaux et m dico sociaux de proximit recalibrage de l offre sanitaire au profit de l offre de proximit et d accompagnements m dico sociaux en milieu ordinaire e l am lioration de l indication des poses de pace makers afin de limiter les r hospitalisations et les possibilit s de pose en hospitalisation de jour ont galement fait l objet d une tude qui devrait conduire en 2015 l laboration de recommandations D veloppement des projets de t l m decine r gionaux Le d ploiement de la t l m decine constitue un facteur cl d am lioration de la performance de notre syst me de sant Son usage dans les territoires constitue une r ponse organisationnelle et technique aux nombreux d fis pid miologiques d mographiques et conomiques auxquels fait face le syst me de sant aujourd hui Dans ce contexte l ARS a souhait faire merger des projets de t l m decine susceptibles d tre d ploy s rapidement et constituant pour la Bretagne une r ponse pertinente des besoins sp cifiques de sant publique Suite au lancement d un appel projet r gional en 2013 s
49. form s aux gestes et soins d urgence et quip s en mat riel et m dicaments par les tablissements si ges de SAMU dont ils d pendent par contrat La formation aux gestes et aux soins d urgences est r alis e par le Centre d Enseignement des Soins d Urgences d un tablissement de sant si ge de SAMU diff rent de celui de rattachement au MCS e 6 Le traitement des demandes d autorisation de mise en service des v hicules v hicule sanitaire l ger et ambulances et des demandes d agr ment afin d exercer une activit de transport sanitaire font partie des missions r galiennes effectu es dans les d l gations territoriales DT Nous travaillons depuis juillet 2013 en interne Julie LONGY pour harmoniser les pratiques d finir une i E a charg e de mission interpr tation commune de la r glementation et mettre _ ns _ direction adjointe jour les arr t s fixant le nombre th orique de de l offre ambulatoire v hicule par d partement C est un v ritable travail et de la coordination transversal effectu avec les DT et diff rents services des acteurs du si ge juridique statistique inspection contr le L tape suivante consistait laborer des priorit s r gionales qui r pondent deux objectifs D une part r guler les transports sanitaires priv s en agissant sur le nombre et la r partition g ographique au regard du besoin de la population Pour ce faire
50. g n ral Au 31 d cembre 2014 4 1 2 AQEN S travaillent PARS Bretagne Service zonal de d fense et de s curit Christophe Van der Linde Agent comptable Christophe Roull Mission Inspection Contr le Bernard Guillou Direction de la strat gie et des partenariats Pierre Bertrand Assistante Fr d rique Suzanne Conseill re technique m dicale Anne Le Coq Expertise juridique Coralie Descamps Mission PDSES Biologie Urgence m dicale Patrick Airaud Mission CPDM Christian Gauvain oT E E LE 2 Alain Gautron Assistante Marie Annick Ducloyer agents Directeur g n ral adjoint Pierre Bertrand Assistante Fr d rique Suzanne Direction de l offre de soins et de l accompagnement Herv Goby Assistante Rozetta Gros Conseill res techniques m dicales Fran oise Durandi re Sylvie Dugas D l gation territoriale C tes d Armor Annick Vivier D l gation territoriale Finist re Antoine Bourdon D l gation territoriale Ille et Vilaine Nathalie Le Formal D l gation territoriale Morbihan Pierre Leray Direction de la sant publique Jean Michel Doki Thonon Assistante Sandrine Boulais Direction Direction Direction adjointe des adjointe de adjointe de professions la d mocratie la strat gie de sant sanitaire et de la et des projets et cadres en communication Julie tablissements Thierry Courpron B n dicte Simon de L
51. gauche droite 1 rang Florence MOULAIS Maryse MUTSHE Annie MORVAN Anne Briac BILI Dominique PENHOU T 2 rang Christine GU RIN Nelly CADIO LEROUX Claire LEROUVREUR Nathalie GIOVANNACCI 3 rang Fabienne LE DREN Marie VIEL Alexandra EMERAUD St phane RIVET Thierry ALLAIN ZOOM SUR La d marche de gestion des lits La d marche gestion des lits s inscrit dans la feuille de route urgence de l ARS et plus particuli rement sur le volet de la saturation des urgences Mais c est une probl matique beaucoup plus large qui concerne finalement tous les services de l h pital L ANAP a initi un accompagnement national aupr s de 163 tablissements fran ais ayant un service d urgence dont 6 en Bretagne CHU de Brest CH Interhospitalier de Cornouaille CH Bretagne Sud H pital d Instruction des Arm es le CH de Redon et le CH de Saint Dr Patrick AIRAUD m decin eee DATS ma dak dTa i aY SERRE PEN ART RL SERRE Anne VIVI S charg e de mission direction adjointe de l offre hospitali re et Nicolas PELE charg de mission la d l gation territoriale du Finist re G 6 En lien avec les 4 Conseils G n raux deux trames distinctes ont t labor es afin de renouveler les conventions des tablissements pour personnes g es d pendantes et des unit s de soins de longue dur e USLD Le suivi repose sur des indicateurs adapt s chaque structure En USLD ce processus a permis de e
52. gne LE FAIT MARQUANT Acc s aux soins urgents en moins de 30 minutes les M decins Correspondants SAMU compl tent le dispositif Afin d am liorer l acc s aux soins urgents en moins de 30 minutes l ARS Bretagne en concertation avec les 4 SAMU la FHF l URPS M decins le Conseil R gional de l Ordre des M decins les SDIS des repr sentants de m decins correspondants SAMU le R seau Bretagne Urgences et la coordination Assurance Maladie Jea SN LR D r D JE er Enr uia map Tamen mp Lt PEE z i za r P Ea i il b i l PE RS T Les CON Er 3 arr ri a labor un dispositif de d ploiement de M decins Correspondant SAMU MCS Miimii pi i sur la r gion Bretagne OEFA FA Ji msn e T Tarsan En US ji Le r le et les missions du MCS sont d finis Aa caram m 1 par le d cret n 2006 576 du 22 mai 2006 D smemmbe mess Il relatif la m decine d urgence l arr t du 12 f vrier 2007 relatif aux m decins correspondants du service d aide m dicale urgente et l instruction DGOS du 6 juin 2013 qui en pr cise le cadre juridique et financier Un cahier des charges r gional pr cise le dispositif qui a t mis en place compter du 1 novembre 2014 en Bretagne Le dispositif MCS breton repose ce jour sur une dizaine de m decins g n ralistes lib raux localis s sur les zones blanches d finies par ARS Bretagne
53. gne s est traduite cette ann e au travers de trois logiques de r ponse e l laboration et l adaptation continue dans un cadre zonal et r gional coordonn des plans de d fense et de s curit et la participation des exercices d clinaison du plan pand mie grippale mise en uvre des actions au titre du plan Vigipirate et du r glement sanitaire international e la participation aux dispositifs prudentiels organisation de la mise disposition pr ventive des moyens et repr sentation ARS dans les cellules de crise pr fectorales Route du Rhum 2014 Op ration de d minage d une bombe de la 2 guerre mondiale Direction adjointe veille et s curit sanitaires et p le pharmacie De gauche droite I rang Colette PICOT Marie France AQUET Pierre GUILLAUMOT Thierry DEMARQUET 2 rang Guillaume BRELIVET Martine MALLET Elisabeth MONNIER Marie BRUN LE LOUARN 3 rang Jean Yves GAUTHIER Jean Beno t DUFOUR Suzanne COUDRAY Bertrand DANIELLOU Vincent SEVAER Jos Hector ARANDA GRAU Olivier LORIN DE LA GRANDMAISON e a mise disposition imm diate de moyens intemp ries de l hiver 2013 2014 anticipation de la r ponse lors de l pid mie de fi vre Ebola organisation de la r ponse dans le cadre des mouvements de gr ve des pharmaciens et des m decins lib raux En parall le de ces actions la formation des agents de l ARS aux situations sanitaires exceptionnelles a t pours
54. horaire de l offre de soins Les populations cibles sont les personnes sans protection compl mentaire sant CMUC ou priv e les agriculteurs les artisans les commer ants les cadres les ch meurs Les localisations privil gier sont la moiti ouest de la r gion et l agglom ration de Rennes Cette tude men e en collaboration avec l Insee a apport l ARS des pistes pour mieux cibler ses actions e lutter contre le renoncement aux soins pour motif financier ex prises en charge gratuites ou sans avance de frais Les populations cibles sont les personnes sans protection compl mentaire sant CMUC ou priv e les ch meurs les familles monoparentales les m nages les plus modestes 20 au bas de l chelle des revenus les femmes Les localisations privil gier sont la moiti ouest le littoral et les grandes unit s urbaines de la r gion Publication disponible sur le site internet www insee fr rubrique R gion Bretagne Publications ZOOM SUR Les addictions chez les jeunes bretons deux tudes pour mieux conna tre leurs comportements partir des derni res tudes nationale et europ enne ESCAPAD et ESPAD l ARS Bretagne a publi une synth se Les jeunes bretons et les substances psychoactives Parmi les constats de cette tude des volutions positives sont observ es e l ge moyen des exp rimentations est en recul chez les jeunes bretons autour de 14 15 ans premi re
55. i mobilise les partenaires d partementaux signataires d une convention Le projet vise favoriser la fluidit des parcours d accompagnement et de soins et viter les ruptures Ces travaux permettront de mod liser la d marche et de l tendre d autres d partements En Bretagne l quipe relais a t s lectionn e fin 2014 suite un appel candidatures interr gional le centre Gabriel Deshayes en lien avec le r seau Phare Ouest a t retenu Sa mission consiste organiser un dispositif de coordination qui n a pas vocation mettre en uvre l accompagnement des personnes mais faciliter le lien entre des quipes des institutions diff rentes des associations et des personnes en situation de handicap rare Elle s appuie alors sur une quipe experte constitu e d un ou plusieurs professionnels travaillant habituellement au sein d un ou plusieurs tablissement ou Services sanitaires sociaux ou m dico sociaux qui n ont pas vocation couvrir l int gralit du parcours de prise en charge mais tre positionn s sur une voire deux fonctions comme le diagnostic l valuation l accueil l accompagnement le soin Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d accompagnement et de Soins Au del de l organisation de l offre de soins la qualit de la prise en charge des usagers et des patients est en permanence recherch e En effet l ARS Bretagne au quotidien s assure q
56. iale en fin d ann e et l on constate qu une dynamique des tablissements vers une r organisation globale de l offre en sant mentale a t impuls e d velopper les coop rations les alternatives l hospitalisation et mettre en uvre des accompagnements sociaux et m dico sociaux adapt s __ L RRRSERRE BEIGE TT 4 Yale CARH EE LT SSE a EE OU En EE FIGE TA L E E E E EEcTECECEAERT CCCCEEECCEERAE A EE 1711 La politique de sant de l ARS Bretagne s appuie sur le principe de gouvernance appel e d mocratie sanitaire En associant tous les acteurs de la sant la participation citoyenne aux politiques de sant en Bretagne est ainsi favoris e La concertation constitue la base du fonctionnement des diff rentes instances CRSA conf rences de territoires o si gent les repr sentants des professionnels de sant des collectivit s locales de l Etat des usagers D Le Rectorat de l acad mie de Rennes et l Agence r gionale de sant Bretagne ont sign une convention de partenariat le 18 juillet 2014 Cette convention vise d finir les modalit s de collaboration entre les deux institutions en vue de promouvoir la sant des l ves scolaris s dans les tablissements scolaires publics bretons Elle s articule autour de 4 volets d activit e l am lioration de la connaissance de l tat de sant des l ves travers notamment la mise en place d un sy
57. ientations r gionales du d veloppement l formation la culture s curit et culture du signalement la gestion des risques professionnel continu en coh rence avec le Programme R gional de Sant breton l valuation des pratiques et aux diff rentes vigilances PRS Elles ont fait l objet d une concertation avec les partenaires concern s Ordres Sa volont est de URPS f d rations hospitali res facult s de sant instituts de formation param dicaux e d velopper les approches par territoires permettant la coh rence et la mise OPCA Elles s appuient sur les particularit s bretonnes en mati re d pid miologie en pratique des parcours Elles tiennent compte de la sant et des maladies pr valentes en Bretagne de la e favoriser les formations pluridisciplinaires pluri professionnelles et 25 fr quence et de la r partition dans les territoires de sant des probl mes de sant plurisectorielles au sein d un territoire en vue d encourager les volutions sp cifiques rencontr s par la population ainsi que des actions mises en place par les et les changements de pratiques professionnels de sant dans l int r t de la sant publique et de la m decine pr ventive e soutenir les formations concernant le maintien des comp tences professionnelles LCARS Bretagne a ainsi retenu prioritairement comme orientations r gionales de DPC l am lioration des organisations et la s curisation de l exercice pluri profes
58. imite de 40 000 par site quels que soit le nombre de professionnels de sant et la nature des quipements n cessaires et ou de logiciels achat de mat riel adh sion une prestation de service Les sites retenus peuvent disposer d un appui logistique du GCS e sant tant pour la d marche de contractualisation avec les diteurs que pour l assistance dans la mise en uvre du produit retenu H pitaux de proximit FARS labore un r f rentiel de leurs missions sanitaires CARS a mis en place un groupe de travail pluridisciplinaire associant f d rations usagers professionnels tablissements afin de r fl chir aux missions sanitaires des Centres Hospitaliers Locaux CHL L objectif donner un cadre aux missions de ces tablissements et tablir un consensus r gional sur des recommandations en termes de fonctionnement Deux r unions se sont tenues avec le groupe de travail compl t es par la visite sur site de PARS de 8 tablissements venant ainsi illustrer et enrichir les l ments de r flexion du groupe de travail Ces tablissements dont la Loi HPST du 21 juillet 2009 a reconnu le statut de droit commun des tablissements publics sont implant s dans une zone g ographique de proximit le plus souvent rurale et ont d velopp un savoir faire dans la prise en charge de la personne g e lls se caract risent par une double sp cificit d une part la double vocation sanitaire et m dico sociale et
59. ins et des dispositifs m dicamenteux En 2014 un certain nombre d actions ont t r alis es e l organisation de la fili re r gionale de prise en charge de l ob sit avec mise en place d un r seau r gional auquel ont adh r l ensemble des chirurgiens des tablissements pratiquant la chirurgie bariatrique e a poursuite du plan de d veloppement de la chirurgie ambulatoire avec notamment le lancement d une exp rimentation avec l URPS afin de former et de mieux informer les professionnels lib raux et le grand public sur les pratiques innovantes e le ciblage d tablissements dont les pratiques de cure de canal carpien sont atypiques en pr vision d une mise sous accord pr alable en 2015 e a poursuite de l exp rimentation lanc e par la HAS sur les c sariennes programm es terme pour les tablissements volontaires e en sant mentale un appel candidature pour accompagner e le cahier des charges r gional des r animations et unit s de surveillance continue a t r actualis et diffus aux professionnels concern s e l offre en soins de suite et de r adaptation a fait galement l objet d une analyse l occasion des renouvellements des autorisations ceux ci ont t conditionn s des crit res de qualit de prise en charge au d veloppement des alternatives l hospitalisation compl te e enfin les actions sur le m dicament avec la poursuite des signatures et du suivi d
60. itoire de sant Porteur MAIA du Pays de Pontivy 2011 56 TS8 et TS4 Pondi CLIC EAS VANNES PLOERMEL AURAY SUD EST 2013 56 TS4 Le Conseil G n ral du Morbihan a 2014 29 TS2 Cap Sizun Pr vention S nior Pr figuration Pays COB 22 29 2014 22 et 29 il Pays COB 2 MAIA Ouest Cornouaille 2013 29 TS2 Cap Sizun Pr vention S nior Le MAIA du Pays de Morlaix 2011 29 TSI GCSMS du pays de Morlaix MAIA TGG 2013 22 D Association Ti Liamm MAIA SBL 2014 22 7 Association Ti Liamm MAIA du TS 2012 22 et 35 TS6 r SU de la MAIA du territoire n 6 Le Conseil G n ral Pr figuration MAIA du TS5 2014 40 TS5 d Ille et Vilaine L association InterCLiC MAIA du Pays de Rennes 2012 35 15 du Pays de Rennes e D velopper les parcours sur chacune des th matiques transversales du PRS Projet de parcours en sant mentale r alisation du diagnostic et laboration d un plan d action 6 6 Il s agit d un projet national initi par l ANAP avec 3 r gions Nord Pas de Calais Auvergne et Bretagne qui vise l am lioration des parcours de personnes pr sentant une pathologie psychiatrique chronique par l utilisation de m thodes et d outils en appui aux acteurs de terrain En Bretagne ce projet se d roule sur une partie du territoire 5 Rennes Redon Foug res Vitr et associe l ensemble des acteurs repr sentants des usagers et des familles professionnels sanitaires sociaux et m dicosociaux concern s par la sant mentale Luc BOISSEAU
61. ivation provoqu e mais ont regrett globalement le manque de temps pour traiter l ensemble des questions que pose l exercice coordonn et pluri professionnel reconduire certainement Retrouvez les actes du colloque accompagn s des supports techniques travaill s au sein des ateliers sur www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s Etudes et publications D Pour favoriser une meilleure r partition g ographique des professionnels de sant un certain nombre de mesures destination des professionnels de sant ont t prises afin de combattre les in galit s de l acc s aux soins et d offrir une solution de proximit l ensemble de la population Cependant la diversit de ces dispositifs selon les professions concern es et les FORMATION INSTALLATION LES ADISS Ee pour les professi de sant de TERE Pr sent e sous la forme d un trieur cette brochure fait la synth se de chaque mesure en vigueur selon les professions de sant en pr cisant les conditions n cessaires leur attribution les avantages conf r s les territoires d exercice concern s et les conditions pour les obtenir ne facilitent pas toujours leur visibilit et leur compr hension C est pourquoi l Agence R gionale de Sant Bretagne a souhait faire conna tre l ensemble des mesures que ce soit sur la formation l installation ou les conditions d exercice en publiant un guide des aides destination des
62. l l encore les attentes r currentes les rendez vous manqu s et le manque de prise en compte des contraintes de temps des diff rents m tiers sont des l ments forts du mal tre au travail et de ses cons quences e l efficience m dico conomique un seul acteur manquant peut immobiliser toute une quipe et interrompre la production de soins partenariat avec la F d ration Hospitali re de France et l Agence Nationale d Appui Engag s en 2012 les travaux ont conduit en 2014 aux premi res concr tisations toutes sources de progr s Ces aspects l ARS Bretagne a tenu ce que les tablissements engag s dans la d marche les pr sentent les expliquent les partagent Tel a t l objet de la rencontre r gionale organis e par ARS en juin en la Performance L v nement a r uni de nombreux professionnels hospitaliers bretons et a t l occasion de lancer un nouvel appel projet national qui va permettre trois tablissements bretons de b n ficier d un accompagnement par l ANAP partir de 2015 CHRU de Rennes CHRU de Brest et CH Redon ZOOM SUR Hospitalisation domicile HAD t d velopper la prise en charge E La strat gie nationale de sant comme le PRS privil gie le d veloppement des alternatives l hospitalisation compl te Le d veloppement de l HAD y participe concr tement en favorisant le maintien domicile et la coop ration entre professionnels de sant not
63. lace par l ARS Bretagne en 2014 coordonn par le CHU de Brest en partenariat avec le CHGR en lien avec le CHU de Rennes Une enveloppe budg taire de 115 000 a t allou e pour la mise en uvre du projet Ce P le s int gre dans l organisation g n rale de la prise en charge des addictions aux jeux sur 3 axes tudes actions de pr vention et promotion de la sant prise en charge sanitaire et m dico sociale Ainsi trois CSAPA Lorient Morlaix et Saint Brieuc ont t renforc s sur les addictions aux jeux par un bin me compos d un mi temps de psychologue et d un mi temps de travailleur social IIs viennent en compl mentarit avec la couverture territoriale du POSRAI D autres acteurs sont mobilis s l association Douar Nevez sur le secteur pr vention l ORSB la FNORS r alisation d une tude visant am liorer la compr hension la pr vention et la prise en charge des conduites addictives chez les jeunes de 11 25 ans B m Ste De EE RARE EE _ GES ENEE uvo nte rat RENE ERARE A A NE D aaa e Pr parer le syst me de sant aux situations sanitaires exceptionnelles LE FAIT MARQUANT Veille et s curit sanitaires un dispositif toujours plus r actif et efficace LCARS Bretagne poursuit ses travaux de structuration visant maintenir op rationnel en permanence un dispositif de veille et s curit sanitaires toujours plus performant L action de l ARS Breta
64. les rondes th matiques conditions de travail urbanisme et environnement social diff rents acteurs ont fait part de leurs r flexions et ont pr sent des exp riences de terrain En conclusion de la richesse des d bats nous pouvons nous appuyer sur l engagement de nombreux acteurs sur la vari t des initiatives sur des propositions innovantes adapt es au terrain efficaces dans la proximit Mettre en exergue la pr vention pas uniquement comme intention mais comme axe majeur d une meilleure sant venir c est soutenir un d veloppement sain et convivial de tous d s l enfance au travers d une mobilisation des acteurs d j existantes sur les territoires dans les coles dans les lieux sociaux dans les entreprises En permettant chacun une plus grande ma trise sur sa vie son d roul la politique de sant doit soutenir la fois des microprojets des projets territoriaux mais aussi s engager dans une politique incitative globale et p renne s appuyant sur une recherche financ e permettant d adapter les dispositifs aux connaissances venir Poursuivre la d clinaison territoriale du Programme r gional d acc s la pr vention et aux soins des plus d munis PRAPS installation des comit s d partementaux En 2012 et en 2013 la d clinaison territoriale du PRAPS s est faite travers notamment les CLS et les PTS Dans chaque d l gation territoriale un r f rent PRAPS d sign en 2013 veille
65. mission sp cialis e dans le domaine des droits des usagers CSDU de la CRSA ce rapport 2013 sur les donn es de 2012 comporte 15 items regroup s au sein de 4 th matiques e promouvoir et faire respecter les droits des usagers e renforcer et pr server l acc s aux soins pour tous e conforter la repr sentation des usagers du syst me de sant e renforcer la d mocratie sanitaire Il propose galement une synth se ainsi que des pr conisations et un suivi des recommandations Consultez le rapport sur internet ARS rubrique politique r gionale de sant CRSA publications Anne France RENAUD charg e de mission au p le Communication D mocratie sanitaire 6 6 Suite au lancement de deux groupes de travail sur le th me de l acc s aux soins et du vieillissement des personnes handicap es la CRSA Bretagne a organis deux d bats publics en 2014 sur ces th matiques Riches en t moignages et d bats ils ont permis de r unir lus usagers et professionnels de sant autour de la question de l accompagnement des personnes handicap es aussi bien dans leur parcours de soins que dans leur avanc e en ge 9 9 gt Respect des droits des usager s du syst me de sant i Actualisation du Projet R gional de Sant Bretagne 2012 2016 D s sa publication en mars 2012 le principe de la r vision annuelle du Projet R gional de Sant tait nonc Les mises jour apport es en 2013 ont t int g
66. n en interne sur les facteurs favorisant la bientraitance r aliser un diagnostic sur les actions d j mises en uvre et les difficult s rencontr es identifier les actions susceptibles d tre d velopp es Dans le cadre de sa collection Les tudes de l ARS le num ro 7 a t consacr l analyse des r sultats r gionaux de cette enqu te avec en annexe une comparaison avec les r sultats nationaux Les pr conisations ont t labor es au sein du groupe de travail bientraitance charg du suivi de la mise en uvre de cette th matique importante du sch ma r gional de l organisation m dico sociale SROMS arc Publication disponible sur le site internet www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s Etudes et publications ERP RP RRRRRRERRREERRREE su EEE TOUIT Je sal une Es a Le 22 VERRE DS ee en IE ns _ YBBBEBEBERE LE FAIT MARQUANT Barom tre sant environnement les Bretons se montrent int ress s par la sant environnementale En 2014 la 2 dition du barom tre sant environnement a t mise en uvre par l observatoire r gional de la sant et financ e par l ARS la Dreal et le Conseil r gional Son objectif est d appr hender la perception les connaissances les attitudes et comportements des Bretons face aux risques sanitaires li s l environnement 1 400 personnes r sidant en Bretagne et g es de 18 75 ans ont t interrog es p
67. nanci re et activit qualit et le syst me d information soit 47 autorisations en suspens L ARS Bretagne a choisi de d ployer progressivement ce nouvel outil 370 tablissements et services sont entr s dans la d marche en 2014 d autres l int greront en 2015 pour une g n ralisation en 2016 Cette d marche a donn lieu une restitution r gionale le 17 novembre 2014 Plus de 400 personnes repr sentant les tablissements et services m dico sociaux de la r gion de la DGCS la CNSA l ANAP et les quatre conseils g n raux A 6 AA taient pr sentes Cette rencontre a permis de faire Les nouveaux contrats de retour l quilibre gagnent un retour sur cette premi re phase de d ploiement en coh rence avec les contrats pluriannuels d objectifs et de du tableau de bord et de pr senter l exploitation moyens et le projet m dical Ils posent de nouveaux principes r alis e par l ARS Bretagne de quelques indicateurs ils ne misent plus sur un accroissement d activit mais autour d un objectif strat gique partag qu est privil gient l optimisation des organisations les r ductions de l am lioration de la connaissance de l offre m dico d penses et la ma trise des charges L ARS Bretagne propose sociale Sur les territoires aussi aux tablissements des pistes de r organisations capacitaires ou de redimensionnement des effectifs soignants 99 Contractualisation avec les tablissements de sant zoom
68. ne peut se faire Sur une ann e 3 777 56 millions 035 ETES avec une priorisation des actions sur les territoires Il est constitu autour de TETE n deux objectifs Soins de ville Sant publique e mettre en uvre ou renforcer des axes d actions communs aux 4 CAARUD e d velopper la couverture territoriale de chaque CAARUD avec des sp cificit s 0 58 EIRE 1 117 79 millions Autres d penses sanitaires et tablissements m dico sociaux selon les territoires do des Les CAARUD volontaires pourront galement mener des exp rimentations sur 549 60 millions 3 535 40 millions des axes nouveaux tels que l intervention sur appels de professionnels ou l auto support ducation par les pairs le AE tablissements de sant CARS a notifi chaque CAARUD dans le cadre de la campagne budg taire 2014 30 000 de cr dits non reconductibles qui seront d ployer dans le Publication disponible sur le site internet www ars bretagne cadre des actions cibl es au niveau du plan sante fr rubrique Actualit s Etudes et publications Projet r gional de sant lancement d une d marche valuation Pr alablement la construction du prochain PRS l ARS et la CRSA ont d cid de lancer ensemble une d marche de construction d un cahier des charges d valuation du PRS 6 6 U ARS Bretagne et la Conf rence R gionale de la Sant et de l Autonomie ont lanc la d marche pr alable l valuation du Projet R gion
69. niveau g ographique 2 d partements 3 EPCI 15 communes Cette premi re version a t compl t e d une deuxi me livraison qui permettent toutes deux de disposer des donn es en lien avec e e contexte d mographique population du territoire et structure de la population volution de la population depuis 1968 et projection de la population jusqu en 2040 e l tat de sant de la population taux standardis de mortalit par pathologie taux de morbidit e a capacit des tablissements sanitaires et m dico sociaux personnes g es et personnes handicap es e les indicateurs de pr carit e a d mographie de professionnels de sant e l offre de soins de 1 recours L observatoire des territoires sera compl t dans ses prochaines versions pour int grer les principaux besoins de ses utilisateurs e Observer et analyser les besoins des populations l offre de soins et leur ad quation LE FAIT MARQUANT Activit des tablissements et Rapport de l ARS deux nouvelles collections cr es e Afin de donner plus de lisibilit aux publications de l ARS Bretagne les collections ont t refondues en 2014 ce qui a permis de lancer deux nouvelles collections e a collection Activit des tablissements Les publications de cette collection donnent les informations essentielles sur l volution de l activit des tablissements en Bretagne qui reposent e
70. ns Ces aides ont concern le centre hospitalier de Paimpol l occasion de la fermeture de son service de p diatrie le CHRU de Brest concernant la restructuration des brancardages avec un service e centralis l H tel Dieu de Pont l Abb pour la fermeture du bloc op ratoire avec mise disposition du personnel au GCS Sud Finist re Signature des CPOM Personnes handicap es L ann e 2014 a connu le d veloppement de la contractualisation avec les tablissements pour personnes handicap es en s appuyant sur le guide r gional d appui la d marche 2014 a t marqu e par une collaboration entre l ARS et les conseils g n raux des C tes d Armor et d Ille et Vilaine qui a abouti la n gociation et la signature de deux CPOM tripartites ADAPEI 22 et ADAPEI 35 Plusieurs autres CPOM ont t sign s ADPEP 22 pour le dispositif ITEP ADSEA 29 EPSM Gourmelen Association La Br t che d autres sont en cours d tude de finalisation ADAPEI 56 Les enfants de Kervihan 6 Structurer et d velopper les parcours de sant LLLI 6 EI a IIS ma KL ITU EL i NUL LL l ZA gg AM LE RAS ie mon vala mi NER L ARS Bretagne de par ses missions doit A 7 E ot CI 0 x pe jouer un r le moteur dans l organisation 124 lt P a z N ZA Nn EN des parcours de sant et de leur bon MN Kaiho fonctionnement INA A 1 s z vn gt NN
71. ogramme d investissement du territoire l harmonisation des syst mes d information hospitaliers et l accompagnement des fonctions support CARS Bretagne exp rimente depuis 2012 un contrat hospitalier de territoire sur le territoire de sant n 7 qui a vu se constituer en 2012 la Communaut Hospitali re de Territoire CHT d Armor LARS Bretagne a d cid de renouveler son soutien par la signature d un avenant au contrat hospitalier de territoire le 5 juin 2014 repr sentant un accompagnement financier de pr s de 700 000 sur une nouvelle p riode triennale 2015 2017 portant sur la structuration de 3 fili res de soins neurologie AVC h modialyse n phrologie et plaies chroniques Le bilan de la mise en uvre de la tranche 2014 du contrat a par ailleurs t r alis en d cembre 2014 afin d valuer la mise en uvre d actions du projet m dical de territoire ayant fait l objet d un accompagnement via le contrat hospitalier de territoire Afin de d ployer le contrat hospitalier dans d autres territoires de sant des changes se sont tenus au cours de l ann e 2014 entre l ARS et deux autres CHT en vue de signatures de contrats hospitaliers de territoire devant intervenir au cours du 1 semestre 2015 la CHT du Nord Finist re territoire de sant n 1 et la CHT Val d Oust Bretagne Atlantique territoire de sant n 4 EE LEE a Rl N a PoE R LE BERREREE a ein ei LI AAT E al a ai a iY
72. oirs adjudicateurs Cette fonction d achat pour revente comprend l enregistrement des commandes et l mission des factures vis vis des clients d une part la gestion des march s mise jour des r f rences r vision des prix la passation des commandes aux titulaires de ses march s le paiement de leurs factures et le traitement des ventuels litiges d autre part L UGAP est galement en mesure de mettre disposition de ses clients des cadres contractuels march s ou accords cadres qu ils signent et dont ils assurent eux m mes l ex cution Mise en place des Bo tes aux lettres BAL Action Animation Territoriale de Sant AATS Dans le cadre du projet d optimisation de l organisation et des circuits documentaires courriers et mail de l agence un point d entr e unique en d l gation territoriale pour l animation des territoires de sant a t mis en place Une nouvelle BAL fonctionnelle ars dtXX animation territoriale par d l gation est venue remplacer les anciennes BAL territoire et plusieurs BAL th matiques Le remplacement a t mis en uvre sur une p riode de 2 mois de fa on progressive et coordonn e en combinant l utilisation de gestion de droits sp cifiques et des redirections automatiques aupr s des partenaires Une fonction d assistante AATS soutien aux coordonnateurs a t cr e afin de faciliter la circulation de l information au sien du d partement et entre direction Les d p
73. on est de contribuer la professionnalisation de la fili re achats des minist res et de g n rer des conomies L ARS vient de signer une convention constitutive d un groupement de commandes permanent permettant de b n ficier de march s et accords cadres pass s par l tat sur de nombreux segments d achats Ces march s permettent de s exon rer de proc dures longues et fastidieuses et de b n ficier de conditions tarifaires tr s avantageuses au b n fice de l effet volume la Mission R gionale Achats MRA confi e aux pr fets de r gion par l interm diaire d un Correspondant Mission R gionale Achats CMRA pour mettre en uvre la politique des achats d finie et conduite par le Service des Achats de l Etat Dans ce cadre ils sont charg s au niveau r gional de contribuer la mutualisation au recueil d information l expression des besoins d organiser les proc dures de consultation et de conclure les march s r pondant un besoin valu au niveau d concentr lorsque ce niveau est consid r comme le plus pertinent par le service des achats de l Etat Ces march s sont ensuite propos s aux tablissements r gionaux l UGAP centrale d achat qui constitue un levier de la mise en uvre des politiques publiques notamment en mati re de rationalisation de la d pense de d veloppement durable et de soutien aux PME et l emploi local L UGAP acquiert des fournitures et des services destin s des pouv
74. p tences et des conditions d installation des plateformes d ETP Afin de r pondre aux enjeux de qualit et de maillage territorial de l offre d ETP le p le r gional de ressources et de comp tences en ducation th rapeutique du patient a t mis en place en septembre 2014 Trois territoires de sant ont structur les conditions pr alables la cr ation de ces plateformes territoriales d ETP Au niveau r gional le p le constitue un espace de ressources et d expertise pour l ensemble des acteurs de l ETP en Bretagne base de donn es documentaire et des personnes ressources promotion de l ETP notamment aupr s des organismes de formations des professionnels de sant initiales et continues espaces d change de pratiques et expertise sur des th matiques sp cifiques Au niveau territorial dans une logique de proximit trois territoires de sant ayant inscrit au sein de leur projet territorial de sant PTS la mise en place de plateformes territoriales d ETP ont finalis leur projet par la signature d une convention pluriannuelle Les plateformes d ETP ont pour objectifs de mieux coordonner l offre et d am liorer sa visibilit mais aussi d informer d orienter et d accompagner les professionnels sur l offre d ETP de formations ou au montage de programmes Addiction aux jeux cr ation d un p le de Ji r gional Un P le de Sp cialisation R gional sur les Addictions aux Jeux POSRAJ a t mis en p
75. partag es par tous dans le cadre de projets transversaux comme le suivi du PRS la feuille de route etc Dans l optique de disposer d un SID le plus Guillaume LE DUFF structurant possible et de cibler les charg de mission besoins et attentes des utilisateurs au P le Performance l Agence a fait appel un prestataire et Investissements ext rieur d avril juin 2014 Un plan d action a alors t d velopp autour de 3 volets le volet production autonomisation des directions m tiers sur la gestion des donn es et de l outil le volet reporting 35 am lioration du reporting l Agence sur le suivi du PRS la feuille de route etc le volet pilotage Aujourd hui nous sommes dans la phase de mise en uvre des volets production et reporting L objectif est ensuite de faire 9 9 voluer cet outil annuellement partir de 2015 LEE Es LES PEN OS EE ER SE 8 EE I LE EE A EP ak dno l aY EE S T os nnn LI RL EE PEN sum A A RE EPA RAR E Ines ISBN NBBE IRET JER SMS ne ZOOM SUR Achat public s appuyer sur des r seaux pour plus d efficience Dans un contexte de rationalisation des d penses et dans le cadre de sa politique d achat l ARS Bretagne s appuie sur diff rents r seaux tr s fortement recommand s par l Etat pour satisfaire ses besoins d achats le Service des Achats de l tat SAE cr en 2009 dot d une force de prescription importante et dont la missi
76. promotion de la sant et l appui m thodologique au montage de projets de pr vention et de promotion de la sant e le d veloppement d actions de pr vention dans les tablissements scolaires Ces actions devront respecter des crit res de qualit s largement partag s e un acc s effectif aux soins suite aux rep rages et aux d pistages r alis s en milieu scolaire travers ce partenariat l ARS et le Rectorat d finissent de fa on concert e et coh rente des priorit s d intervention en mati re de promotion de la sant et de pr vention en faveur des l ves bretons Ces priorit s seront largement partag es avec les professionnels de l ducation nationale et les acteurs de terrain uvrant dans le champ de la pr vention et la promotion de la sant _ 7 GBENENERNME Olivier PAUGAM responsable du p le Performance et Investissements ZOOM SUR E E E e D A ER EI RER ER CA PRESS CEA ES DEA ER a CECOCEECHLCE RECH O CECAZCARECECTALCESETE CE stia esnitsira m CREER OLET LOCS Co EE LE p a A a E E E O DE ER A A EP E EE O ASR E EAE pe Ee LE EE m zz Mieux coordonner les investissements en EHPAD les Conseil G n raux partenaires de l ARS Avec les Conseils G n raux nous partageons la comp tence des tablissements pour personnes g es En mati re d investissements les D l gations Territoriales changeaient d j avec ces instances d partementales mais en 2014 l ARS
77. que quotidienne pour tous ou encore le rep rage de la d nutrition L adoption de comportements favorables la sant d s le plus jeune ge constitue un axe H l ne KURZ charg e de l dre J i i mission pr vention de d veloppement prioritaire En outre pour les malades chroniques l alimentation direction adjointe pr vention et l activit physique sont des th rapeutiques non m dicamenteuses dont l efficacit promotion de la sant a t d montr e scientifiquement et qu il importe de promouvoir aujourd hui ZOOM SUR Les Programmes d ducation Th rapeutique du Patient ETP e LARS lance un appel projets en direction des professionnels de sant lib raux L ducation th rapeutique du patient ETP aide les personnes atteintes de maladies chroniques comprendre la maladie le traitement coop rer avec les professionnels de sant et maintenir ou am liorer leur qualit de vie L enjeu est pr sent d quilibrer l offre vers l ambulatoire dans une perspective de maillage de proximit du territoire r gional Ainsi un appel projets r gional a t lanc aupr s des p les et maisons de sant ayant un projet de sant valid par l ARS Bretagne afin de permettre aux professionnels de sant lib raux de d velopper des programmes d ETP coordonn s en proximit des lieux de vie des personnes atteintes de maladies chroniques e Mise en place du p le r gional de ressources et de com
78. r es une nouvelle version 2014 qui r sulte d une phase de concertation aupr s des instances de la d mocratie sanitaire Elle a permis d int grer toutes les volutions r glementaires et notamment le zonage pluri professionnel CE Am liorer nos processus de travail L am lioration de nos organisations internes au b n fice des agents et des acteurs externes constitue la ligne de conduite de toutes les fonctions supports communication interne logistique ressources humaines gestion des finances L optimisation des processus de travail qui consiste am liorer les fa ons de faire de chacun au sein de l organisation De gauche droite 1 rang Marine LACOSTE Bernard CHAUVEL et de rendre efficientes les activit s Beatrice MAR CHAL Victor COUESME Rozetta GROS Aur lie BODET fait en effet d sormais partie des 2 rang C line ETIENNE Marie Annick DUCLOYER Jean Christophe CANTINAT priorit s internes l ARS Nad ge NICOLLE Fr d rique SUZANNE Marie Christine BILLON Paticia BAUDRIER Dominique SALAUN HAMON 3 rang Christine CHAUVI Thiery DUMOUTIER Sylviane ISMAEL Nathalie CHAMPIE Marielle LE BEZVOET Denis JUHEL Myriam GALL E e Am liorer l efficience de nos organisations LE FAIT MARQUANT Accompagnement du changement lancement d une newsletter PARS Bretagne a a a d i Ne institutionnel qui structure les fonctions IC au sein de aujourd hui pour demain
79. r f rents suivre le projet pour le compte de l ARS Bretagne RETOUR SUR DU 26 JUIN 2014 ARLES lonnels d EVENE VENTE EP IL EE KE I 1 DO IE S U s LU EES E 2 FTN UE ERA Se oe a EE EE D BRIE n n JELE eu ses E Bee EEEE UARS Bretagne organise et r gule l offre de pr vention de soins et de services dans les secteurs ambulatoire hospitalier et m dico social travers cette mission elle s attache plus particuli rement r duire les in galit s d acc s aux soins li es la situation sociale ou g ographique LE FAIT MARQUANT 1 SO eee A ADRO re E E a m ate m B a V a D HI D IL ll Ne ie DE EE fe fe E E me Te Ve EE IL DES EE EE a SERNER E el Lu DE b Ji D Sne D 8 Do EN ME 1 ARTS SSSR ose CE 1 Font adjointe de l offre de soins ambulatoires De gauche droite 1 rang Jean Paul LEROUX Christelle DENIS Chlo BATEAU Val rie LUCAS Marine CHAUVET Jacqueline LE QU R Ren NIVELET 2 rang Arnaud GANNE Sylvana ARNAUD Julie LONGY Sophie P CHILLON Sylvain PLEYBER En m daillon Vanessa GALESNE Semiya THOUIR Promouvoir l exercice coordonn et pluri professionnel lib ral plus de 200 professionnels et lus pr sents au colloque de PARS L ARS Bretagne a organis un colloque TER destination des professionnels de sant de RP d marre proximit et des lus locaux sur le th me Travailler ensemble
80. r ailleurs elle value galement son action et celles des acteurs de sant afin de compl ter les orientations lus des politiques de sant voire de les r ajuster P le observation et statistiques De gauche droite 1 rang Aur lie QUEMENER Virginie GABORIAU Christelle DIODAT Samantha DODARD 2 rang Carole RIEU Val rie GU RILLON Isabelle ROMON Rose Line VIOT Enguerrand LOOTVOET Nathalie POLITI En m daillon Patrick SERVASIER et Florence MILLE e Construire le pilotage de l observation permettant le suivi et l valuation LE FAIT MARQUANT La premi re version de l observatoire des territoires a t diffus e au sein de l ARS Bretagne en juin 2014 Des r unions de pr sentation ont t effectu es dans les services pour faire conna tre l outil et faciliter sa prise en main L observatoire des territoires est un outil interactif d velopp par le P le statistiques qui permet de dresser le profil de n importe quel territoire breton d fini une chelle supra communale La mise jour des tableaux et graphiques est instantan e lorsque l on modifie la s lection du territoire Le niveau le plus fin de restitution tant la commune il est galement possible d obtenir un profil agr g au d partement au territoire de sant au pays l Etablissement Public de Coop ration Intercommunale au canton au territoire de premiers recours ou sur un territoire compos de plusieurs territoires d un m me
81. r le site de la DT56 reflexes et les comportements comment remplir un constat La d marche s est poursuivie avec l AMIEM tout au long de l ann e sensibilisation au r le des ceintures de s curit avec simulation d un choc pour aboutir la mise en uvre du plan d action frontal 30 km h tests de freinage e D velopper et accompagner le management au sein de l agence LE FAIT MARQUANT changer sur des th mes ressources humaines mise en place des premi res matin es manag riales Instaur es en 2014 les matin es manag riales ont vocation harmoniser et renforcer les comp tences des managers au sein de l Agence Tous les deux mois des informations relatives aux ressources humaines sont diffus es aux cadres managers et des cas pratiques sont tudi s permettant d changer sur les diff rentes pratiques manag riales afin d laborer des guides de bonnes pratiques Ainsi trois matin es manag riales ont t organis es e e 12 juin pr sentation de la campagne des entretiens professionnels et de la construction du plan de formation e e 2 octobre pr sentation des statuts des agents de l ARS au regard de leurs similarit s et diff rences dans la gestion des ressources humaines e le 9 d cembre pr sentation des accords sur le temps de travail et cas pratiques autour de la validation des cong s du dispositif de r cup ration et de la validation des cycles de travail Organigramme
82. ravail d observation a t finalis en 2014 celui sur le m tier d aide soignant Une r flexion qualitative et prospective a t engag e travers l organisation de journ es de travail ayant mobilis successivement trois groupes t moins anim s conjointement par le GREF Bretagne et l ARS Bretagne le premier compos d aides soignants le second de personnels d encadrement et de direction le troisi me de partenaires du COEF Les th mes principaux sur les secteurs d exercice des aides soignants ont t le recrutement le profil sociod mographique la mobilit professionnelle les besoins en F formation Le tableau de bord sur la fili re ducative a t valid en fin d ann e 2014 EX la d marche qualitative tant pr vue pour 2015 Par ailleurs une enqu te d insertion a galement t r alis e pour mesurer l insertion 15 mois pour les formations sociales DE Educateur sp cialis et DE Assistant de service social et l insertion 14 mois pour la formation sanitaires DE Infirmier Cette enqu te sera reconduite en 2015 pour suivre l volution des besoins en emploi de ces professionnels Poursuite des travaux en 2015 sur les fili res infirmi re Accompagnement social et R ducation fonctionnelle 1 Ce l E E ES Se a o S E a s CENE E E E DER Reese sons Fesses eres ses BE nl le D mn nl je lol a EU Pr 2AA a TIVIE 7 EPA 8 Hi Iyi IR DLNEPI7 t Te T CEU E CN
83. recteur de FIRMES l INSEP et le Pr Arlette Gratas Delamarche de l UFR APS laboratoire Mouvement Sport sant de l universit de Rennes 2 ont notamment d taill les effets n fastes de la s dentarit dans le monde et les diff rentes solutions pour traiter ce probl me majeur de sant publique Cette journ e a t tr s appr ci e par les participants et les organisateurs ARS DRJSCS se sont engag s renouveler cette rencontre annuellement Le rendez vous est donc pris pour d cembre 2015 L apr s midi des tables rondes ont permis aux professionnels du sport et de la sant d changer sur des actions en cours comme celle du club de cano kayak avec des patientes atteintes de cancer du sein ou encore celle de l association Temps Libre Sport Loisirs avec des personnes diab tiques 6 Nutrition et sant les partenaires bretons r affirment leur engagement 6 La nutrition et l activit physique sont des d terminants majeurs de la sant Ils peuvent moduler L les risques d apparition de certaines maladies chroniques comme le diab te ou l hypertension Le 18 avril 16 institutions publiques ARS Assurance maladie DRJSCS Rectorat ont sign une convention cadre de 3 ans pour la conduite du plan national nutrition sant et du plan ob sit Par cette convention nous nous sommes accord s sur des domaines prioritaires soutenir comme l ducation nutritionnelle le d veloppement de l activit physi
84. s m decins g n ralistes en Bretagne souhaitent fluidifier le parcours installation des m decins g n ralistes Les travaux concert s ont identifi les leviers permettant de favoriser l installation des m decins g n ralistes et travers un programme de travail labor conjointement et revu annuellement En particulier a t labor un d pliant d taillant le Parcours installation du m decin g n raliste qui oriente ainsi le m decin vers le bon arc interlocuteur selon ses interrogations A A Le minist re a souhait r nover les sites internet r gionaux de la PAPS afin de mieux r pondre aux besoins des tudiants et des jeunes professionnels lib raux m decins infirmiers masseurs kin sith rapeutes sages femmes chirurgiens dentistes p dicures podologues orthophonistes et orthoptistes 3 rubriques principales sont pr vues je me forme je m installe j exerce Les sites plus ergonomiques ont t construits en concertation avec les repr sentants nationaux des professionnels Ces plateformes d information 4 renvoient vers les sites des organismes qui interviennent dans le parcours du professionnel i Lg conseil de l ordre assurance maladie La mise en ligne est pr vue en 2015 Chlo BATEAU charg e de mission la direction adjointe de l offre ambulatoire et de la coordination des acteurs et Caroline RIC charg e de communication EL E E CR E ERA LEE NL EN ERARE A
85. s pour prendre en charge certaines situations perfusions r installer crises d angoisse d o les nombreux transferts vers l h pital de proximit C dric LABBAY charg de mission Ces hospitalisations se r v lent co teuses pour l assurance maladie mais elles g n rent de lourds effets secondaires sur les personnes g es qui reviennent dans un tat de d sorientation et d agitation aggrav souffrant d affections connexes elles aussi aggrav es escarres d nutrition La pr sence d une infirmi re de nuit semble diminuer le nombre Marie GESTIN coordinatrice du territoire de sant n 8 d hospitalisations notamment pour les personnes en fin de vie 80 c est le pourcentage des tablissements de sant disposant d un CPOM 6 6 Fin 2014 80 des tablissements bretons disposaient de leur contrat pluriannuel d objectifs et de moyens complet Le principe propre la Bretagne permettant chaque tablissement de personnaliser son contrat demeure Il reste finaliser quelques contrats notamment sur les orientations strat giques et l annexe coop ration territoriale Un nouveau d fi se pr sente l utilisation d e Cars l outil de gestion lectronique 9 9 Maryse MUTSHE assistante et Jean Paul REMEUR charg de mission P le Organisation des Etablissements de Sant des contrats Lee N CE can Yaf CI 4 En Direction adjointe offre de soins hospitali re De
86. sionnel En JEU EE LUE RE Es m DREGA HE E BRIE a a SERRE A AD P i An TELL CHERE 1 ni FSI D a aa a EE SERRE BAIE FRE EE EE EP A I A A A EP EE UE UE Es ON EE ER LEE en EE m ER Em z mn Le HE aj gt DI Taf peu E EH f Nes FI L E A b L g NJI Eiee n m E RE E PR E E D pe ph BENIN El 41 dat bals LA LI ART T i z B SDAR 2 A LE LE a Ee E m m P TINI vA LAURE E cam Pr s d une centaine de professionnels de sant a particip la journ e r gionale s curit des patients organis e en d cembre 2014 par l ARS Bretagne qui entend ainsi soutenir la dynamique r gionale autour des projets qu elle accompagne financi rement dans le cadre l am lioration de la qualit et de la s curit des soins Par ailleurs elle promeut le d veloppement d une culture s curit action dans laquelle ARS Bretagne est engag e dans le cadre des travaux du chantier n 7 de la strat gie nationale de sant sur les perspectives de r organisation des structures de vigilances et d appui dont un des objectifs est d augmenter le nombre de d claration des v nements ind sirables li s aux soins CARS Bretagne a accompagn plusieurs op rations de r organisation hospitali re au cours de l ann e 2014 sur le plan social au travers du financement d aides individuelles de prise en compte de changement du lieu d exercice ou d accompagnement de d parts ou reconversio
87. ssentiellement sur l analyse fine des donn es du Programme de M dicalisation des Syst mes d Informations PMSI 7 publications ont int gr cette collection en 2014 M decine Chirurgie Obst trique MCO Hospitalisation domicile HAD Soins de suite et de r adaptation SSR centres hospitaliers locaux bretons Psychiatrie RIM P Chirurgie ambulatoire Analyse de la conjoncture r gionale e la collection Les rapports de l ARS elle rassemble des rapports d tude et dossiers plus ou moins d taill s permettant d approfondir des th matiques particuli res Un premier num ro de cette publication est parue en 2014 sur le th me de la prise en charge des personnes avec troubles envahissants du d veloppement Publications disponibles sur le site internet www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s Etudes et publications ZOOM SUR rm tests ESITI da rpiegpmgnt ALICE TT Ea Artagas MC D mographie des professionnels de sant une information plus pr cise pour une action plus pertinente Le Projet R gional de Sant fixe comme priorit le d ploiement d une offre de soins de qualit sur l ensemble de la Bretagne L atteinte de cet objectif passe par l identification des besoins donc par un recensement pr cis des professionnels de sant cet gard ARS Bretagne a publi D moPS 2014 qui pr cise par territoire et par profession les forces et faiblesses r gionales directrice a
88. st me d information fiable permettant de recueillir des donn es relatives au surpoids et l ob sit chez les enfants scolaris s e l am lioration de la qualit des actions de pr vention et de promotion de la sant en faveur des l ves travers notamment la formation des quipes ducatives au LE FAIT MARQUANT Conduites addictives et risques en milieu festif FARS signe une convention de partenariat avec la Pr fecture et le Conseil R gional La pr vention des conduites risques en milieu festif constitue l chelle de la Bretagne une priorit partag e par l Etat PARS et le Conseil R gional cet gard une convention de partenariat a t sign e le 17 juillet 2014 par ces trois institutions L objectif coordonner les actions pour am liorer la pr vention et la r duction des conduites addictives et risques en milieu festif sur l ensemble du territoire breton notamment e lors d v nements festifs bien identifi s concerts festivals manifestations alternatives la fois sur site et autour des v nements transports en commun parkings campings e sur l espace public en particulier en milieu urbain l instar des d marches engag es par plusieurs villes et agglom rations bretonnes en milieu ferm bars discoth ques Un programme d actions annuel sera labor d s 2015 pour pr ciser les modalit s mettre en uvre d veloppement de d marches de
89. t remettre plat les financements poser un diagnostic r gional pour am liorer la qualit et la r partition de l offre 9 9 Brieuc Chaque tablissement a r alis son auto valuation en mesurant notamment la capacit d h bergement le mouvement entre les unit s et services ainsi que la dur e des s jours dans les services M decine Chirurgie Obst trique les temps de passage aux urgences En Bretagne deux vagues de mise en place de la d marche sont programm es septembre 2013 juin 2015 5 tablissements et janvier 2014 d cembre 2015 avec le dernier tablissement La d marche se poursuivra au del de ces dates 6 6 La gestion des lits r pond un triple enjeu qualit des soins travail des personnels m dico conomique et financier L int r t pour les tablissements est le partage interne du diagnostic autour de donn es d activit d organisations internes des points forts et de ceux am liorer Il s agit principalement de l optimisation des parcours et des circuits des patients de la qualit des soins et des prises en charge du d veloppement des alternatives l hospitalisation et terme la r organisation des capacit s La majorit des actions organisationnelles s orientent autour des sorties de la r duction du temps d attente aux urgences et des dur es de s jours Par exemple la sortie de patients le matin lib re des lits pour une nouvelle admission plus t t dans l apr s midi Cette a
90. toriale du Morbihan L ARS Bretagne les a accompagn es en d actions pour r sorber les sources de contamination OMS organisation mondiale de la sant appr ciant la qualit de l tude notamment EHESP cole des hautes tudes en la coh rence du diagnostic et la pertinence sant publique d doci S2D association Sant D veloppement u pian d actions Ces dispositions devraient permettre d atteindre l objectif d une qualit microbiologique suffisante fix au niveau europ en VOA BARRE Cie EN De EE BARRE CE re aa pali E f EE MIE e Promouvoir l galit devant la sant LE FAIT MARQUANT Les d terminants de la sant comment agir collectivement L ARS Bretagne et la CRSA se sont associ es pour le deuxi me d bat breton organis dans le cadre de la r flexion sur la Strat gie Nationale de Sant SNS lanc e le 23 septembre 2013 par la Ministre des Affaires sociales et de la Sant En effet faire le choix de la pr vention agir t t et fortement sur tout ce qui a une influence sur notre sant constitue le premier objectif de la Strat gie Nationale de Sant Cette rencontre a t l occasion de d battre sur ce qu il est possible de faire collectivement pour concevoir des environnements mat riels et Sociaux qui non seulement ne mettent pas la sant en danger mais aussi facilitent l adoption et le maintien de comportements favorables la sant Dans le cadre de tab
91. ue les 3 2 millions de Bretons aient acc s une offre de soins et des prises en charge sanitaires et m dico sociales s res et de qualit tout en veillant l efficience de l offre miy De gauche droite Patrick AIRAUD Caroline LE CALLENEC Sandrine BOULAIS Myriam BONNERRE B n dicte SIMON Nora OUADI Maryl ne GUILLOUX D e Promouvoir la prise en charge efficiente qualit au meilleur co t des usagers et des patients LE FAIT MARQUANT Les centres hospitaliers de Dinan Guingamp Lannion Trestel Paimpol Saint Brieuc et Saint Malo participent l exp rimentation conduite par l Agence Nationale d Appui la Performance et soutenue par l ARS Bretagne visant d velopper des outils d aide l organisation Plus pr cis ment il s agit d optimiser le temps de travail m dical et non m dical autour du patient Cette optimisation organisationnelle est un facteur essentiel pour la qualit des prises en charge et l efficience de l tablissement Le projet synchronisation des temps m dicaux et non m dicaux a en effet pour objectif de permettre aux tablissements d am liorer la coordination des acteurs et par cons quent d am liorer galement e la qualit et la s curit des soins les temps d attente du patient tout au long de son parcours hospitalier ainsi que le d ficit de communication directe entre intervenants sont des exemples fr quemment cit s e la qualit des conditions de travai
92. uivi en fonction de cette valuation consistant prendre contact par t l phone avec eux chaque jour durant 21 jours apr s le dernier contact avec une situation risque et suit l volution de leur tat de sant e assurant le suivi des personnes contacts ou expos es d un cas confirm de MVE Le r le de l ARS de Bretagne en qualit d ARS de zone Art R 1435 7 du Code Sant publique a t dans le cadre de l pid mie de fi vre h morragique virus EBOLA FVE de e v rifier depuis ao t 2014 le caract re op rationnel des tablissements de r f rence habilit ESRH 12 en France dont 2 en zone de d fense civile Ouest CHU de Rennes et CHU de Rouen pour garantir la prise en charge ad quate d un patient possible ou confirm FVE Proc dures mat riels d di s dont la mise aux normes des laboratoires L3 formation des soignants e coordonner l organisation de la prise en charge r elle des cas possible au sein des 2 ESRH comprenant le transfert vers l tablissement de sant de r f rence en e Exercer la veille sanitaire Mieux tracer les infos relatives aux signaux c est le nombre d exer e i f cices et dispositifs sanitaires mise en place du SI VSS prudentiels auxquels PARS a particip en 2014 Parmi ces exercices 7 ont impliqu une mobilisation renforc e de l ARS PEARSON 35 Exercice Zonal Exercice a roport de Lorient Lann Bihou M tro Rennes D
93. uivie Structuration du p le r gional de d fense sanitaire PRDS si ge DT Vincent SEVAER responsable du P le R gional de D fense Sanitaire et Erick ALLOMBERT La mission de d fense sanitaire au sein de l ARS Bretagne est assur e au sein d un p le r gional de d fense sanitaire PRDS compos d agents r partis entre le si ge et les 4 d l gations territoriales Le p le en mutualisant les comp tences administratives m dicales d ing nieurs vise favoriser le lien entre les quatre d partements en l articulant autour d une strat gie r gionale permettant d ancrer l action de l ARS dans la r alit du d partement Une des missions de chaque bin me PRDS en d l gation territoriale est d y d velopper et d y entretenir la culture d fense La fr quence des changes entre le si ge et les DT renforce l organisation du PRDS et favorise le partage des informations Cela permet de maintenir une dynamique r gionale de la veille et de la s curit sanitaires tout en parlant d une seule r t rent d partemental PRDS la DT 56 et m me voix en r gion et en d partement Acculturation la gestion de crise apr s le si ge eena l ARS forme les d l gations territoriales g Afin de mieux r pondre aux situations sanitaires exceptionnelles dans la continuit de l action de l ARS r alis en 2013 au si ge les d l gations territoriales ont t form es la gestion de crise 6 6 U
94. une d marche professionnelle au b n fice du patient Plus de 200 personnes y ont assist Une journ e riche en changes dont l objectif tait d encourager les professionnels de sant de proximit travailler de mani re coordonn e et pluri professionnelle en Bretagne Plusieurs r alisations d organisations collectives pluri professionnelles maisons et p les de sant syst me d information notamment ont t pr sent es lors de ce colloque LE COLLOQUE La journ e a t organis e en 3 temps e 2 tables rondes pr sentant les enjeux contraintes et leviers de l exercice coordonn et pluri professionnel e 3 ateliers anim s par l ARS avec l appui d un expert et de t moins Travailler ensemble de la reconnaissance mutuelle la coordination des pratiques De l change au partage d information entre professionnels de sant quels outils pour favoriser la coordination La Soci t Interprofessionnelle de Soins Ambulatoires structuration ou complexification e 5 stands installation investissement immobilier exercice coordonn syst mes d informations et ma trise de stage tenus par 12 partenaires professionnels et institutionnels ayant pour mission d accompagner et de soutenir ces nouvelles organisations En donnant une note moyenne de 7 5 10 les 38 de r pondants au questionnaire bilan ont exprim leur satisfaction sur l organisation les sujets trait s la convivialit la mot
95. ur les 8 projets retenus mobilisant une enveloppe de 700 000 6 initiatives concernent directement la mise en place de t l consultations et t l expertises multi sp cialit s entre des Centres Hospitaliers et des EHPAD La t l m decine doit permettre de mieux g rer les situations en urgence mais aussi d am liorer l acc s et le suivi aux consultations programm es de sp cialit s ZOOM SUR Le d veloppement des contrats hospitaliers de territoire 3 territoires de sant engag s dans la d marche CARS Bretagne a d velopp depuis 2012 un outil au service de la strat gie territoriale le contrat hospitalier de territoire Cet outil s inscrit dans le cadre de la mise en uvre des principes de gradation et de territorialisation de l offre de soins port s par le Projet R gional de Sant PRS Ainsi le contrat hospitalier de territoire a vocation venir en appui aux recompositions hospitali res en cours sur la r gion et accompagner la structuration des Communaut s Hospitali res de Territoire CHT sur le territoire breton Faisant office de CPOM de territoire public le contrat hospitalier permet la d clinaison du projet m dical de territoire avec une mise en regard des objectifs de ce dernier et des moyens pour les mettre en uvre Le champ du contrat int gre en sus de l accompagnement de la mise en uvre du projet m dical l accompagnement la gestion des ressources humaines l appui au pr
96. us la Bretagne a limit leur hausse 6 77 alors qu elles progressent de 7 29 au niveau national LARS a aussi d ploy le programme r gional z ro accident li aux v nements qui ne devraient jamais arriver never events en collaboration avec l OM DIT Ce dispositif est bas sur un meilleur rep rage et remont e de l information aupr s de l ARS Bretagne car la sous d claration est importante Le groupe de travail r gional s est fix l objectif de disposer dans les deux ans des mesures barri res pour les 12 v nements li s aux produits de sant cibl s par la circulaire nationale et d organiser des partages d exp riences par territoire ZOOM SUR Les orientations r gionales de D veloppement professionnel continu DPC Le d veloppement professionnel continu DPC est un dispositif d am lioration e le rep rage de la crise suicidaire et la prise en charge des risques suicidaires continue de la qualit et de la s curit des soins associant la formation e e rep rage pr coce et la r alisation des diagnostics de l autisme et autres TED continue et l analyse des pratiques professionnelles Il s adresse l ensemble la prise en charge l accompagnement et la prise en compte des sp cificit s de l autisme des professionnels de sant et constitue une obligation individuelle e e rep rage pr coce des conduites addictives et leur prise en charge sp cifique L ARS Bretagne a d fini en 2014 des or
97. ux la r daction d une publication externe est pr vue en 2015 Enqu tes destination des tablissements de sant se coordonner en interne Dans le cadre de la gestion des enqu tes r gionales aupr s des tablissements de sant il a t d cid de regrouper dans la mesure du possible les diff rentes sollicitations dans une seule et m me enqu te contenant les diff rentes th matiques Cette enqu te dite ARS MCO concerne les tablissements M decine Chirurgie et Obst trique et sera r alis e en 2 temps e un premier volet recours l int rim remplir par entit juridique e le second volet remplir par entit g ographique Les th matiques du second volet Indicateurs du PRS Imagerie m dicale Offre de soins en addictologie PDSES Consultations non programm es Soins continus Soins intensifs R animation De plus et afin d am liorer la communication vers les tablissements un planning des enqu tes 2015 leur a t envoy Il a t act qu une restitution bas e sur les r sultats des donn es collect es leur serait adress e pour les inciter bien renseigner nos enqu tes et leur montrer l usage qui est fait de l information N e Partager notre observation de la sant tude ARS INSEE r duire les in galit s sociales dans l acc s aux soins e lutter contre le non recours ex sensibilisation dans le cadre professionnel largissement de la plage
98. ver et analyser notre syst me de sant Int gration des tablissements Personnes Ag es dans FINESS un travail conjoint de FARS et des Conseils g n raux La refonte du cadre des tablissements h bergeant des personnes g es pr cisant les modalit s de cr ation d une cat gorie EHPAD dans FINESS et le projet de cr ation d un portail internet personnes g es ont conduit de nombreux travaux au sein de l ARS en lien avec les conseils g n raux Dans ce cadre des r unions sp cifiques ont permis de pr senter la circulaire et les travaux mener notamment le classement des tablissements dans les diff rentes cat gories dont 3 nouvelles les tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes EHPAD les tablissements h bergeant des personnes g es percevant ou pas des cr dits d assurance maladie EHPA Cette refonte a t men e dans des d lais contraints l objectif tant de respecter la date du 1 janvier 2015 date de la bascule nationale Mise jour du r pertoire FINESS sur les centres de sant Suite une instruction de la Direction G n rale de l Organisation des Soins relative l enregistrement des centres de sant dans le Fichier National des Etablissements Sanitaires et Sociaux FINESS ARS a recens les centres de sant selon la d finition des centres de sant d finie dans la loi HPST et actualis le r pertoire FINESS Ces op rations ont n cessit
99. voir un urbanisme favorable la sant e organisation dans le cadre de la strat gie nationale de sant d un d bat public Comment agir sur les d terminants sociaux de sant e co organisation d un colloque national avec la SFSE et le r seau fran ais des villes sant OMS Paysages urbanisme et sant e participation au R seau d changes Bretagne Urbanisme et Sant RBUS avec l EHESP la ville de Rennes Rennes M tropole et S2D travers la signature d une convention de coop ration e int gration des d terminants de la sant dans ses avis rendus sur les projets et documents d urbanisme Un travail a t effectu en ce sens avec l actualisation L union europ enne impose aux collectivit s la r alisation de profils de baignade En Bretagne 90 d entre eux sont tablis les collectivit s ont r alis un diagnostic de qualit microbiologique des eaux et pour d un outil d aide la r daction lors de l laboration des documents d urbanisme La TEE certaines engag un plan parution du guide l attention des ARS Agir pour un urbanisme favorable la sant r alis par l EHESP et la formation de 4 agents au sein de l ARS va permettre de poursuivre cette dynamique SFSE soci t fran aise sant environnement Durable centre collaborateur OMS pour les villes sant francophones Benjamin RICHARD ing nieur d tudes sanitaires d l gation terri
100. xistence d au moins un cas import non contr l sur le territoire ou un cas autochtone c est dire chez une personne qui n a pas voyag r cemment dans les zones d pid mie en prenant en charge les personnes qui ont pu tre en contact avec lui pour viter d exposer d autres personnes Dans ce contexte l ARS a tenu un r le majeur en e appliquant et d clinant au niveau r gional le dispositif d fini par les autorit s sanitaires et pilot par le minist re DUS e diffusant les recommandations nationales aux professionnels et aux tablissements m dicaux de la r gion e coordonnant en lien avec la CIRE suite un appel des centres 15 pour suspicion d un cas possible de maladie virus EBOLA MVE en journ e et avec l InVS les nuits et WE les investigations permettant de classer les cas suspects ventuels de MVE soit en cas possible ou les exclure e organisant le parcours de soins de tout cas possible de MVE l occurrence le CHRU de Rennes pour effectuer les pr l vements et la prise en charge o informant le CORRUSS et les Pr fectures concern es de tout cas suspect de MVE e suivant les personnes de retour de zones concern es demandant un suivi Dans ce but l ARS Bretagne contacte tout Breton ayant travaill dans les pays concern s par l pid mie en vue de les rapprocher leur retour d un m decin infectiologue et d valuer leur exposition ventuelle la MVE Elle assure un s

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