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cardio - DSB Communication sa

1. de I HMG CoA r ductase une e vation des taux de transaminases a cit rapoort e chez des patents 5005 traitement au Lipitor Ces l vations taient habituellement mineures el transitoires el n ont pas requis l imenmuption du traitement Des l vations diniquement impo antes 2 3 Toes la LSN des ranamingses siigies sont apparues chez 0 6 des pabents sous Lpitor Ces l vations tment dese d pendantes el furent r versibles chez tous les patients Lors des tudes cniques des kvations des taux de cr atine phosphokinase CPR gt 3 fols la LSN ont t not es chez 2 5 des patients sous Lipitor ce qui tait s mila re aux autres inhibiteurs de l HMG Co4 r ductase Des concentrations plus de 10 fols la LSM sont apparues chez 0 45 des patients sous Loitor MODE DE DELIVRANCE Ligitor est soumis prescription m dicale TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE PFIZER A Boulevard de la Plaine 17 1050 Bruxelles Belgique NUMEROS Lipitor 10 mg BE184082 Lipitor 20 mg 184073 Lipitor 40 mg BE164064 Lipitor 80 mg 86252953 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 11 2009 Pfizer R f rence 1 Bandyopadhyay Drugs of Today 2004 40 7521 671 2 Colhoun ef ai Lancet 2004 364 685 696 PRES Date de pr paration juin 2010 Code article LIPINOZOO10494 Votre d cision LIPITOFrF Or VS tee FINANCE l indexation automatique des salaires sera le sujet chaud
2. Mensuel pour m decins m decins deniti SE DOSSIE Cardio 4 19 5 2010 FA entre Luxembourgeois _ de Prot omique Clinique Y Age lancette goupillon id guid e de la recherche PEORIPIE Dr Schmit 2 Staark Schnell 24 Stonnen Bronchodilatatioun COPD chronesch obstruktiv Longenerkrankung New Once Daily d a onbrez breezhaler indacaterol inhalation powder Dr chenpolver Inhalator deen eng aktiv Inhalatioun vum Patient erfuerdert BPCO bronchopneumopathie chronique obstructive Inhalateur poudre s che n cessitant une inhalation active du patient DENOMINATION Onbrez Breezhaler 150 microgrammes poudre pour inhalation en g lules Onbrez Breezhaler 300 microgrammes poudre pour inhalation en g lules COMPOSITION Chaque g lule contient 150 microgrammes d indacat rol sous forme de mal ate d indacat rol La dose d livr e par buccal de l inhalateur Onbrez Breezhaler est de 120 microgrammes d indacat rol sous forme de mal ate d indacat rol Chaque g lule contient microgrammes d indacat rol sous forme de mal ate d indacat rol La dose d livr e par l embout buccal de l inhalateur Onbrez Breezhaler est de 240 microgrammes d indacat rol sous forme de mal ate d indacat rol INDICATIONS Onbrez Breezhaler est indiqu en traitement bronch
3. 28 jours sans traitement La posologie n est pas ajust e fonction du poids Tous les patients doivent recevoir une ampoule de TOBI 300 mg de tobramycine deux fois par jour Des tudes cliniques contr l es r alis es sur une p riode de 6 mois en utilisant le sch ma d administration suivant ont r v l que l am lioration de la fonction pulmonaire se maintenait pendant les p riodes de 28 jours sans traitement Sch ma d Administration de TOBI au cours des Etudes Cliniques Contr l s Cycle 1 Cycle 2 Cycle 3 TOBI 300 mg traitement TOBI 300 mg traitement TOBI 300 mg traitement deux fois par standard deux fois par standard deux fois par standard jour plus traite jour plus traite jour plus traite ment standard ment standard ment standard La s curit et l efficacit ont t valu es lors d tudes contr l es et ouvertes pen dant une p riode allant jusqu 96 semaines 12 cycles mais elles n ont pas t tudi es chez les patients de moins de 6 ans chez les patients ayant un volume ex piratoire maximal par seconde VEMS lt 25 ou gt 75 de la valeur pr dite ni chez les patients infect s par Burkholderia cepacia La th rapie doit tre instaur e par un m decin exp riment dans la prise en charge de la mucoviscidose Il faut poursuivre le traitement par TOBI de mani re cyclique aussi longtemps que le m decin estime que le patient tire un b n fice clinique de l inclusion de TOBI dans son sch
4. cette proposition aussit t abandonn e par le gouvernement L indexation a t d clench e le 1 juillet dernier avec une hausse g n ralis e de 2 5 des salaires suscitant par la m me occasion la col re des pa trons qui n ont pas h sit manifester devant la Chambre des d put s Comp titivit de l conomie Le Statec Service national de Statisti ques a r cemment estim que la mo d ration actuelle de l inflation devrait se poursuivre en 2011 avec un taux pr vu de 1 6 2 1 en 2010 et de vrait aussi contenir la hausse des laires limit s par le niveau historique ment lev du ch mage 6 en 2010 et 6 3 l ann e suivante Toujours selon le Statec la prochaine indexation ne devrait pas intervenir avant le mois de f vrier 2012 sauf en cas de nouvelle flamb e des prix p troliers dans ce cas une nouvelle tranche indiciaire pourrait tre d clench e en juillet 2011 Le Premier ministre Jean Claude Juncker Florence Anselme s est engag trouver cet automne des pistes pour pr server la comp ti tivit de l conomie luxembourgeoise sans trop s attaquer ce qui s appa rente comme une des vaches sacr es du Luxembourg Aucune information n a encore filtr sur les intentions du gouvernement le Premier ministre juste indiqu avoir des id es en t te dont la faisabilit et l impact financier seraient actuellement l tude par ses services Le gouvernemen
5. court terme Ce traitement r duit en outre le risque de d velopper une n vralgie post herp tique chez les patients g es de plus de 50 ans la posologie usuelle mentionn e ci dessus 1 comprim de Zerpex une fois par jour pendant 7 jours Apr s un premier cycle de traitement 7 jours il ne faudra pas initier un second cycle Patients g s Il n est pas n cessaire d adapter la posologie chez les patients de plus de 65 ans Patients atteints d insuffisance h patique ou r nale Des modifications significatives de l exposition syst mique la brivudine n ont pas t observ es la suite d une insuffisance r nale ou h patique D s lors il n est pas n cessaire d adapter la dose chez les patients atteints d insuffisance r nale mod r e s v re ni chez les patients atteints d insuffisance h patique mod r e s v re voir aussi la rubrique 5 2 4 3 Contre indications Zerpex ne doit pas tre administr en cas d hypersensibilit la substance active ou l un des excipients Patients sous chimioth rapie anti canc reuse L utilisation de Zerpex est contre indiqu e chez les patients sous chimioth rapie anti canc reuse particuli rement s ils sont trait s avec le 5 fluoro uracile 5 FU y compris sous formes topiques ses prodrogues p ex capecitabine floxuridine tegafur et les associations m dicamenteuses contenant ces substances actives ou les autres 5 fluoro pyrimidines voir galement la rubrique 4
6. fonctions vitales sera instaur 5 PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES 5 1 Propri t s pharmacodynamiques Classe p La brivudine le principe actif de harmacoth rapeutique Anti viral Code Jo5AB15 Luxembourg P P 7 Co 82 79 Zerpex est un des plus puissants analogues des nucl osides inhibant la r plication du virus varicelle zona VZV Les souches cliniques de VZV sont particuli rement sensibles Dans des cellules infect es par des virus la brivudine subit une s rie de phosphorylations s quentielles donnant lieu la formation de triphosphate de brivudine qui est responsable de l inhibition de la r plication virale La conversion intracellulaire de la brivudine 53 la puissante inhibition de la r plication virale Le m canisme le contexte clinique les pr requ et des douleurs post zost riennes d enzymes h patiques P450 n a t d montr La prise de nourriture n affecte pas significativement l absorption de la brivudine 4 6 Grossesse et allaitement Zerpex est contre indiqu pendant la grossesse et l allaitement Les tudes animales n ont pas montr d effets embryotoxiques ou t ratog nes Les effets foetotoxiques n ont t observ s qu doses lev es Cependant la s curit de 7 au cours de la grossesse humaine n a pas t tablie Les tudes animales ont montr que la brivudine et son principal m tabolite le bromovinyl uracile BVU passa
7. g es constituent un groupe plus vuln rable de personnes hyperten dues Reste savoir comment cela se traduit en termes d v nements de dommage des organes cibles et ou de mortalit Mais s il s av rait que les cons quences de l hypertension sur ces crit res sont plus lourdes pour ce groupe particulier il faudra peut tre le consid rer comme un groupe de patients hypertendus haut risque C est en effet un groupe de patients que les guidelines de l ESH mises jour en novembre dernier prennent distinctement en consid ration et qui m rite aux yeux des experts une prise en charge sp cifique plus agressive et pour lequel les valeurs cibles de la pression sanguin sont plus s v res que pour les autres groupes d hyper tendus Chez les femmes un plus grand ge un cholest rol total plus lev et l absence de recours au monitoring de la pression sanguine domicile taient des pr dicteurs d une pression systolique plus lev e Le contr le de la pression sanguine ne touche pas une proportion suffisante de la population e DOSSIER M DICAL Dr Louis Boisant Cardiologue L expert du mois Le saviez vous Tous deux parisiens d origine le Docteur Louis Boisant et son pouse le Docteur Ca therine Boisant ont quatre enfants g s de 33 23 ans aux parcours divers de la ga lerie d art l v nementiel de luxe en passant par le design
8. la dose a t observ e chez des patients trait s par de la rosuvastatine la plupart de ces cas taient l gers asymptomatiques et transitoires En cas de taux lev s de CK gt 5 x LNS le traitement sera interrompu voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Effets au niveau du foie Comme avec d autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase on a not une augmentation des transaminases en relation avec la dose chez un petit nombre de patients trait s par la rosuvastatine Ces cas taient majoritairement l gers asymptomatiques et transitoires L exp rience post rieure la commercialisation En compl ment de ce qui pr c de les effets ind sirables suivants ont t observ s sur base de l exp rience post rieure la commercialisation de CRESTOR Affections du syst me nerveux Tr s rare polyneuropathie perte de m moire Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Fr quence ind termin e toux dyspn e Affections gastro intestinales Fr quence ind termin e diarrh e Affections h patobiliaires Tr s rare jaunisse h patite Rare l vation des transaminases h patiques Affections de la peau et du tissu sous cutan Fr quence ind termin e syndrome de Stevens Johnson Affections musculo sauelettiques et syst miques Tr s rare arthralgie Affections du rein et des voies urinaires Tr s rare h maturie Troubles g n raux et anomalies au site d administration Fr qu
9. Description des effets ind sirables s lectionn s Dans les tudes cliniques de phase Ill les professionnels de sant ont observ lors des visites cliniques que 17 20 des patients en moyenne pr sentaient une toux sporadique qui survenait habituellement dans les 15 secondes suivant l inhalation et qui durait g n ralement 5 secondes environ 10 secondes chez les fumeurs Sa fr quence tait plus lev e chez les femmes que chez les hommes et chez les fumeurs que chez les anciens fumeurs En g n ral cette toux suivant l inhalation a t bien tol r e et n a entra n la sortie pr matur e d aucun patient des tudes men es aux doses recommand es la toux est un sympt me de la BPCO et 6 8 seulement des patients au total ont rapport une toux en tant ind sirable Il n existe pas de donn es indiquant que la toux survenant apr s l inhalation soit associ e un bronchospasme des exacerbations une aggravation de la maladie ou un manque d efficacit TITULAIRE ET NUMERO D ENREGISTREMENT Novartis Europharm Limited Wimblehurst Road Horsham West Sussex RH12 5AB Royaume Uni EU 1 09 593 001 005 EU 1 09 593 006 010 DELIVRANCE Prescription m dicale DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 26 03 2010 RMP Onbrez Breezhaler est indiqu en tant que bronchodilatateur pour le traite ment d entretien de l obstruction bronchique chez les patients adultes souffrant de BPCO L
10. affections h patiques prolif ratives telles qu une h patite Vu la pr sence de lactose parmi les excipients les patients pr sentant des probl mes h r ditaires rares d intol rance au galactose une d ficience en Lapp lactase ou une malabsorption du glucose galactose ne doivent pas prendre ce m dicament 4 5 Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions Contre indication d utilisation concomitante avec le 5 fluoro uracile en ce y compris ses pr parations topiques et ses prodrogues p ex la capecitabine la floxuridine le tegafur ou d autres 5 fluoro pyrimidines telle que la flucytosine Cette interaction qui m ne une toxicit augment e des fluoro pyrimidines est potentiellement mortelle La brivudine via son principal m tabolite le bromovinyl uracile BVU inhibe de mani re irr versible la dihydropyrimidine d shydrog nase DPD une enzyme qui r gle tant le m tabolisme des nucl osides naturels p ex thymidine que celui des m dicaments structure pyrimidine tel que le 5 fluoro uracile 5 FU L inhibition de l enzyme entra ne une surexposition et une toxicit accrue du 5 FU Il a t prouv cliniquement que chez des adultes en bonne sant recevant une cure th rapeutique de Zerpex 125 mg une fois par jour pendant 7 jours l enzyme DPD retrouvait son activit fonctionnelle compl te 18 jours apr s la derni re dose Zerpex et le 5 fluoro uracile ou d autres 5 f
11. modialys s Aucune adaptation de la posologie initiale n est n cessaire chez les patients atteints d insuffisance r nale et chez les patients h modialys s Utilisation chez les patients insuffisants h patiques Une dose plus faible doit tre envisag e chez les patients ayant des ant c dents d insuffisance h patique Il n y a pas d exp rience clinique chez les patients atteints d insuffisance h patique s v re Le losartan est donc contre indiqu chez les patients at teints d insuffisance h patique s v re Utilisation chez les enfants et adolescents Les donn es concernant l efficacit et la s curit d emploi du losartan dans le traitement de l hypertension chez les enfants et adolescents de 6 16 ans sont limit es voir rubrique 5 1 Propri t s pharmacodynamiques Des donn es pharmacocin tiques limit es sont disponibles chez l enfant hypertendu g de plus d un mois voir rubrique 5 2 Propri t s pharmacocin tiques Chez les patients capables d avaler des comprim s la posologie recommand e est de 25 mg une fois par jour pour un poids corporel compris entre 20 et 50 kg Dans des cas exceptionnels la posologie pourra tre augment e jusqu une dose maximale de 50 mg une fois par jour La posologie doit tre adapt e en fonction de la r ponse tensionnelle Chez les patients de plus de 50 kg la dose habituelle est de 50 mg une fois par jour Dans des cas exceptionnels la posologie peut tre adapt e jusqu une
12. Saint Pierre Bruxelles et le Professeur Ch Pilette UCL Saint Luc Woluw AU programme d une part les nouvelles approches dans l asthme s v re et sp Le Dr Schlesser ici en entretien avec le Pr Ninane faisait partie des pneumologues pr sents Depuis l ann e pass e le Luxembourg n est plus du ressort de Novartis Ger many et comme l a soulign Tony Neimry Product Manager Respiratory Be Lux Le Grand Duch de Luxembourg b n ficie aujourd hui d une approche sp cifique s inscrivant dans une relation de confiance et de partenariat long terme avec les m decins sp cialistes et g n ralistes et les acteurs de la sant au Grand Duch L omalizumab l innovation dans l asthme allergique s v re non contr l Le principal d fi dans l asthme est l asthme allergique s v re non contr l C est dans ce cadre que apr s un point sur cette difficile probl matique r siduelle le Pr Pilette a r sum les tudes cliniques men es avec l omalizumab Xolair ainsi que sur les donn es observationnelles avec ce traitement la lueur de tra vaux plus r cents auxquels il a pu participer personnellement sait que malgr l efficacit des traitements cortico des inha l s avec ou sans LABA de nombreux patients asthmatiques restent symp tomatiques a d embl e soulign le Pr Pilette Ceci montre d une part l im portance de l ducation du patient et d autre part
13. Salp tri re Paris a pr sent les r sultats de l tude SHIFT qui a montr le DOSSIER M DICAL b n fice de l ivabradine Procoralan dans l insuffisance cardiaque Ces r sultats tr s attendus ont montr que l adjonction d ivabradine chez des insuffisants cardiaques recevant d j un traitement optimal r duit de 18 l incidence de la mortalit cardiovasculaire et des hos pitalisations pour aggravation de l insuffisance cardia que index composite constituant le crit re principal de l tude HR 0 82 IC 90 0 75 0 90 p lt 0 0001 Ces r sultats sont importants et l on parle aujourd hui d une nouvelle classe th rapeutique ouvrant une nouvelle voie dans le traitement de l insuffisance cardiaque Le th me principal du congr s europ en de car diologie tait clairement les maladies corona riennes auxquelles ont t consacr es plus de cent sessions scientifiques Stockholm avec en point d orgue la pr sentation de la Euro Heart Survey par le Professeur Schiele Besan on Dr Boisant Ce registre EHS ACS Ill pour Euro Heart Survey Acute Coronary Syndromes Ill port sur 7655 patients pr sentant un syndrome coronarien aigu avec sus d calage du segment ST entre 2006 et 2008 Le but tait d tudier le temps de reperfusion rapidit d inter vention le taux de reperfusions efficacit et la mani re de reperfuser utilisation de stents etc Les r sultats ont montr une am
14. d allongements significatifs de l intervalle QT F par rapport au placebo La fr quence d intervalle notable soit gt 450 ms chez les hommes et gt 470 ms chez les femmes et les cas d hypokali mie ont t comparables ceux observ s sous placebo Les variations maximales de la glyc mie ont t en moyenne comparables avec Onbrez Breezhaler par rapport au placebo Tableau de synth se des effets ind sirables Le programme de d veloppement clinique de phase Ill d Onbrez Breezhaler a t men chez des patients ayant un diagnostic clinique de BPCO mod r e s v re Au total 2 154 patients ont t expos s l indacat rol pendant des dur es allant jusqu un an des doses repr sentant jusqu deux fois la dose maximale recommand e Chez ces patients 627 ont t trait s avec 150 microgrammes une fois par jour et 853 avec 300 microgrammes une fois par jour Environ 40 des patients pr sentaient une BPCO s v re L ge moyen des patients tait de 63 ans 47 d entre eux tant g s de 65 ans ou plus et les patients taient majoritairement caucasiens 89 Les effets ind sirables sont pr sent s dans le tableau 1 selon la classification par classes d organes MedDRA dans la base de donn es de s curit d emploi dans la BPCO Au sein de chaque classe d organes les effets ind sirables sont class s par fr quence en ordre d croissant selon la convention suivante CIOMS III Tr s fr quent
15. du Syst me P u fr quents Mrombocyiog nst Affechions du syst me munita Fr qu nts acions all rgques Tr s rares anaphylaxi Af chons endocrinennes Peu fr quents alop cie Mmgerglyc mic Mmoogtac mic pancr atte Alffeclicnis peychiabnques Fr qu nts insomnie Peu fr quents amnesie Affections du Syst me n reux Fr quents c phal e verges paresth si Nypoesih sic P u fr quents neurogpathi p rph nque Tr s Cr queusie AMectiong oculaires Tr s rares troubles visuel Actions h palotiliaires Rares h palite punisse cholestaliqu Tr s rares insulfisance h patique ANcctions de la peau t du lesu sous cutan Fr quents rash Gutan Peu fr quent urlicaire Tr s rares dirne de Quancke ashes bubeux compris ryth me polymorchc smdrome de cl ANcctons de l oreite ct du Peu fr quent acouph nc Tr s rares porc d audibon AfcCtons MUSC sSqueveftiques et syst miques Fr quents myalgi douleur articulaire Peu fr quents myopathie Rares mesie mMabdomyohksc crampes musculyres Tr s ares de tendon ANGciions des organes de reproduction e du sein Peu fr quents impuissance Tr s rares qyneconmaslie Troubles g n raux Fr quents asth nie douleur Moracique dorsalqe cad me p riph rique Feu fr quents malaise gan de pads Irvestiqatons comme avec d autres
16. et tr s rare lt 1 10 Affections h matologiques et du syst me lymphatique Rare leucop nie thrombocytop nie Tr s rare agranulocytose pancytop nie Affections du syst me immunitaire Rare r actions d hypersensibilit telles que fi vre angioed me et r action choc anaphylactique Troubles du m tabolisme et de la nutrition Peu fr quent d me p riph rique Rare hyponatr mie Affections psychiatriques Peu fr quent insomnies Rare agitation confusion d pression Tr s rare agressivit hallucinations Affections du syst me nerveux Fr quent maux de t te Peu fr quent vertiges paresth sie somnolence Rare alt ration du go t Affections oculaires Rare vision trouble Affections de l oreille et du labyrinthe Peu fr quent vertiges Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Rare bronchospasmes Affections gastro intestinales Fr quent douleurs abdominales constipation diarrh e flatulence naus es vomissements Peu fr quent bouche s che Rare stomatite candidose gastro intestinale Affections h patobiliaires Peu fr quent augmentation des enzymes h patiques Rare h patite avec ou sans jaunisse Tr s rare insuffisance h patique enc phalopathie chez des patients atteints d une maladie h patique pr existante Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent dermatite prurit rash urticaire Rare alop cie photosensibilit Tr s rare ryth me multiforme
17. l ordre des Antonins ou Antonistes S il n existe plus d hospice cr par ces derniers dans le Luxembourg actuel ses fronti res m di vales en abritaient un Marville villes d sormais situ e en France N an moins comme le souligne le Dr Kugener ils poss daient aussi une maison dans la ville de Luxembourg Celle ci n abritait qu un rece veur tr s probablement charg de recevoir les aum nes locales pour les Antonistes tient il toutefois pr ciser Pour la petite histoire il n tait pas rare que l tat des patients hospi talis s suite une crise d ergotisme s am liore la nourriture distribu e l h pital tait plus riche que celle consomm e dans les chaumi res et l apport en pain de seigle infect par le champignon toxique y tait surtout moins important La fondation de cet h pital la plus ancienne dont nous ayons la trace est bient t suivie par d autres un peu partout dans la r gion Dans ville de Luxembourg il semble que le pre mier tablissement propos duquel il subsiste des documents ait t tenu par les chevaliers teutoniques par tir de 1222 11 s agissait d un h pital aux abords de l Alzette qui concurren a un h pital St Nicolas mis en place la bourgeoisie au centre ville I en prit finalement la rel ve explique le Dr Kugener L tablissement avait la particularit d accueillir la fois indi gents et visiteurs de passage De plus
18. le bar situ sur le toit offre une vue EVASION magnifique sur la baie de La Havane Va pour un mojito donc Belles Am ricaines Lada et MZ Cadillac Pontiac Plymouth Oldsmo bile elles sont toutes l pour rappeler qu un jour Cuba fut l arri re cour des tats Unis l poque l argent coulait flots et les Belles Am ricaines s ex portaient ici en nombre Avec la r vo lution leurs propri taires ont migr Miami laissant derri re eux un parc automobile inchang depuis les ann es 60 D sormais class es patrimoine na tional et souvent reconverties en taxis elles sont chouchout es par les Cubains qui se feront plaisir contre quelques pi ces de vous inviter monter bord de ces fabuleuses caisses pour faire un tour de la ville L occasion par ailleurs de croiser leurs concurrentes les Lada envoy es par les Russes dans les an n es 70 et 80 Et les anciennes motos l ex RDA telle la d sormais vintage MZ Motorradwerk Zschopau puis Mo torrad und Zweirawerk n e apr s la Seconde Guerre mondiale Villes coloniales Apr s la vieille ville de La Havane et Trini dad Cienfuegos situ e 225km de la capitale est la 3 cit cubaine recevoir les honneurs de l Unesco Pas tonnant au vu de son centre histo rique particuli rement bien conserv Fond e au d but du XVIIIe si cle par des Espagnols cette ancienne cit mar chande a ensuite
19. mie familiale homozygote est de 10 B mg jour L atorvastatne do tre utilis e chez ces patients qu en tant que traitement adjuvant d autres th rapues hypolipid miantes p ex LDL plasmaph r se ou lorsque de telles th rapies ne sont pes cispombles Pr vention des maladies cardiovasculaires dans les tudes de pr vention primasre la dose tait de 10 Une augmentation de la posologie peut tre n cessaire pour atteindre le taux de LDL C sp cifi selon les recommandations en viqueur Posologie chez les patients atteints d insuffisance r nale l insuffisance r nale n a aucune influence sur les concentrations plasmatiques de l atorvastatine ni sur les effets hypotpid mitants de Lipitor il n est donc pas n cessaire d ajuster la posologie cher ce type de patients Patient g l efficacit et la s curit d emploi aux doses recommand es chez les patients 5965 de plus de 70 ans sont similaires celles observ es dans la populabon g n rale F diatne l ubksation en p diatrie tre pratiqu e uniquement par des sp cialistes L exp rience en p diatrie se lame un petit nombre de patients 4 17 ans souftrant de dyslipd mies s v res telles que l hypercholest rol mie femakale homozygote La dose recommand e chez ces patients est de 10 mig d atorvastaline par jour Cette dosa peut tre augment e jusqu 20 mg jour selon la r ponse et la tol rance Les donn es de s curit c
20. sur ces deux param tres ainsi que sur la biologie inflammatoire le taux de plaquettes et l chocardiographie pr coce Progr s th rapeutiques en vue Dans 10 15 des cas le syndrome de Kawasaki r siste au traitement clas sique Le m thotrexate petites doses a sembl prometteur mais depuis 2009 l option la plus efficace est la perfusion d infliximab Il supprime l in flammation m diat e par les cytokines m me s il ne bloque pas compl tement la vasculite locale C est cependant un progr s estimable Des chercheurs ja ponais proposent galement la forme active de la vitamine D appel e la rescousse pour inhiber le Tumor Ne crosis Factor alpha TNF alpha induit par les cytokines Dans les cas o les anomalies coronaires sont mod r es le traitement antiagr gant peut faire appel au clopidrogel plut t qu l as pirine Les inhibiteurs de pour raient galement pr venir la formation d an vrysmes par action sur les Matrix MetalloProteinases MMPs impliqu es dans ce m canisme Par ailleurs en cas d an vrysmes coronariens l agent antiplaquettaire peut tre associ un anticoagulant comme la warfarine ou une h parine bas poids mol culaire S il appara t une occlusion aigu une th rapie thrombolytique est envisa geable ainsi qu une proc dure inter ventionnelle percutan e Que deviennent les enfants gu ris Les premiers cas de Kawasaki d crits il y quarante
21. t peupl e par les Fran ais qui y ont construit de magni fiques b timents n oclassiques Vous pr f rez les belles b tisses baroques Direction le splendide palais Ferrer qui accueillit le quotidien E Sol ou le palais del Valle joyau architectural devenu casino sous la gouvernance de Batista et transform aujourd hui en restaurant Surnomm e la Perle du Sud Cienfuegos est situ e au fond d une des plus belles baies de la mer des Cara bes et son art re principale 4km appel e Le Prado appelle bien Semper Luxembourg septembre 2010 videmment la fl nerie Trinidad ensuite la pr f r e de nom breux visiteurs qui la surnomment la Ville Mus e de Cuba Et pour cause les grandes familles les aristocrates du sucre du 18 affich rent ici leurs arrogantes fortunes palais seigneu riaux vastes demeures centenaires places et glises conservent la splen deur de la ville fond e en 1514 chaque coin de rue galement de belles maisons certes plus modestes mais qui arborent toutes fi rement des rejas les cages en fer forg qui d corent les fen tres et de hautes por tes coch res Certains pourront repro cher Trinidad d tre quasiment fig e dans le temps c est faute sans doute d y avoir pass une soir e Car la nuit venue pas un bar qui ne s ouvre pour c l brer la salsa et jouer Hasta Siempre avec toi pour toujours ma gnifique chanson crite en 1965 par Car
22. Nouveau RCP Crestor DIMINUTIONS DIE AR Nexiam Nexiam som prazole conna t une diminution de prix de 41 55 depuis le Ter ao t 2010 Info AstraZeneca Cozaar Cozaar losartan conna t une diminution de prix de 40 partir du mois de septembre 2010 Cette diminution porte sur sur tous les dosages de Cozaar Cozaar Plus et Cozaar Plus Forte Info MSD Semper Luxembourg septembre 2010 PEOPLE OOO M Dr Jean Claude Schmit Le directeur g n ral du CRP Sant part d un grand clat de rire lorsque peine entr dans son bureau je lui fais remarquer que la montre qu il porte au poignet et d une marque bien connue pour ne pas dire quasi v n r e par la client le cible trahit sa passion Car oui Jean Claude Schmit trouve son plaisir lorsqu il est aux commandes d un petit avion de tourisme e Dr Schmit est directeur g n ral du CRP Sant depuis 2007 M de cin sp cialiste en infectiologie au CHL au service national des maladies infec tieuses il y garde une activit un jour par semaine Il a galement suivi une formation en virologie clinique ou plut t en biologie mol culaire appli qu e la virologie dit il En r alit il est actif au CRP Sant depuis 1996 en tant que responsable du labora toire de r trovirologie Je ne sais pas ce qu il en est pour vous mais moi comme tant d autres petit J tais fascin par les avions c tait l
23. Study Design Essential Documents STUDY CONCEPTION AND PREPARATION Health Authorities SAFETY OF THE PATIENTS DURING THE STUDY Data Management Steering Committee Statistical Analysis gt gt Ve Results e Methodology Costs e Protocol e Investigator s brochure e Local Health Authorities Direction de la Sant Division de la Pharmacie et des M dicaments e Ethic Committee CNER CNPD notification authorisation e Insurance e Data collection Confidentiality e Data Validation and Credibility assure data is integer authentic accurate contemporaneous true e Report on study status e Protocol deviations e Final report e Publications Presentations que pour tout le personnel impliqu dans l tude clinique en cours Lorsque l tude est termin e et que toutes les donn es collect es ont t v rifi es le rapport statistique servira l interpr tation clinique et sera suivi par le plan de publication et de diss mination des r sultats FINAL REPORTING 1 question 1 clinical research project Scientific and medical validity 1 to several months e Patient Information letter and inform consent form Patient questionnaires e Case Report Form 2103 months 2 to 6 months lt 1 MUU gt lt 7 gt 1 to several years Promoteur le promoteur prend l initiative gestion fi na
24. Usel dange Cela rejoint un peu mon int r t pour l a rodynamisme C est une autre fa on de voler ils vont m me parfois tr s loin Quant au co t de cette passion on l imagine tr s lev Il l est certes Mais Jean Claude Schmit nuance et pr sente les choses autrement C est vrai que cela revient de 120 140 euros l heure de vol Mais une tren taine d heure de vol par an cela ne donne pas une charge financi re nor me Si l on se regroupe pour partager les frais cela vous revient bien moins cher que le TGV Enfin je connais des gens qui changent de grosse berline tous les deux ans Moi j ai une petite voiture que je tiens sept huit ans C est un choix de vie H Fir r Patienten mat engem typ 2 Diabetes dei et schweier hun hire Bluttzocker enner Kontroll ze kr ien Dann z ckt net m i fir hinnen eng einfach an efficace 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT Onglyza 5 mg comprim s pellicul s 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim contient 5 mg de saxagliptine sous forme de chlorhydrate Excipient chaque comprim contient 99 mg de lactose monohydrat Pour la liste compl te des excipients voir rubrique Liste des excipients 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim pellicul comprim Comprim pellicul rose biconvexe rond portant l impression l encre bleue 5 d un c t et 4215 de l autre c t 4 DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques En associati
25. aduvant au r gime alimenat pour abaisser les laux lev s de cholest rol total de LOL cholest rol d apohpopgro ine B el de triglyc rides chez les patients atiants d iypercholest rol mie primaire y compris l ip ercholest ol mie Familiale variante h t rozygote ou l hypedipid mie combin e mixte correspondan aux types la et b de la classification de Fredrickson lorsque la r ponse au r gime alimentaire ct d autres mesures non s matne ireutisante Liin cai galement indiqu pour diminuer le taux de cholest rol total et de LOL chobest rol UDL C chez les patients atteints d hypercholest ngt mie familiale homozygote en traitement adjuvant d autres th rapies hypolind miantes pex LOL aph r se ca lorsque de telles th rapies sont pas disponibles Pr vention des maladies cardiovasculaire Pr vention des v nements cardiovasculaires chez les patients estim s haut risque de faire un premier v nement cardiovasculaare voir rubrique 5 1 en compl ment de la comection des autres facteurs de risque POSOLOGIE et MODE D ADMINISTRATION Avant d instaurer un bradement Lipstor il y a lieu de prescrire un r gime Nypocholest rot miant standard qui sera poursuivi pendant le traitement au LIPITOR La posologie sera individualis e en fonction des taux imiaux de LOL C des objectifs th rapeutiques de la r ponse du patient La posologie initiale usuelle es de 10 en prise Des inter
26. amp Tableau 1 Fr quence des effets ind sirables par classe de syst me d organes Effets ind sirables par classe de syst me Fr quence des effets ind sirables par traitement d organe Saxagliptine avec Saxagliptine en Saxagliptine avec un sulfamide eg monoth rapie metformine hypoglyc miant thiazolidinedione glibenclamide Infections et infestations Infections des voies 7 respiratoires sup rieures fr quent fr quent fr quent fr quent Infections des voies fr quent fr quent fr quent fr quent Gastroent rites fr quent fr quent fr quent fr quent Sinusites fr quent fr quent fr quent fr quent Rhinopharyngites fr quent Troubles du m tabolisme et la nutrition Hypoglyc mies tr s fr quent 3 Affections du syst me nerveux C phal es fr quent fr quent fr quent fr quent Affections gastro intestinales Vomissements fr quent fr quent fr quent fr quent Troubles g n raux Oed mes p riph riques fr quent 1 Inclut la saxagliptine en ajout la metformine et en association initiale avec la metformine 2 Uniquement en association initiale 3 Pas de diff rence statistiquement significative par rapport au placebo L incidence des hypoglyc mies confirm es tait peu fr quente pour Onglyza 5 mg 0 8 et placebo 0 7 4 Tous les effets ind sirables rapport s d d me p riph rique ont t d
27. angor bloc auriculo ventriculaire du deuxi me degr accident vasculaire c r bral infarctus du myocar de palpitations arythmie fibrillation auriculaire bradycardie sinusale tachycardie tachycardie ventriculaire fibril lation ventriculaire Affections vasculaires Peu fr quent vascularite Affections respiratoires thoraciques et m dias tinales Fr quent toux infections des voies urinaires hautes congestion nasale sinusite troubles des sinus Peu fr quent g ne pharyng e pharyngite laryngite dyspn e bronchite pistaxis rhinite congestion pulmonaire Affec tions gastro intestinales Fr quent douleur abdominale naus es diarrh e dyspesie Peu fr quent constipation douleur dentaire s cheresse de la bouche flatulence gastrite vomissements Affections h patobiliaires Inconnue anomalies de la fonction h patique Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent alop cie dermatite s cheresse de la peau ryth me bouff es vasomotrices photosensibilit prurit rash urticaire sudation Affections musculo squelettiques et du tissu conjoncti Fr quent crampes musculaires douleur lombaire douleur la jambe myalgies Peu fr quent douleur des bras gonflement des articulations douleur des genoux douleur muscu losquelettique douleur l paule raideur arthralgie arthrite coxalgie fibromyalgie faiblesse musculaire Affections du rein et des voies urinaires Peu fr quent nyctu
28. d HbA1c 6 8 pour les femmes et 6 6 en moyenne pour les hommes C est au niveau du profil li pidique qu on trouvait la plus grande diff rence entre les deux sexes Le cholest rol total tait 5 17 mmol L chez les femmes et 4 92 chez les hom mes 0 00005 Et si le LDL tait sensiblement le m me pour les deux groupes 2 94 vs 2 95 mmol L le HDL tait significativement plus lev chez les femmes 1 63 mmol L vs 1 31 p 0 0001 Et les triglyc rides ne marquaient pas de diff rence Des pr dicteurs Chez les femmes un plus grand ge un cholest rol total plus lev et l ab sence de recours au monitoring de la pression sanguine domicile taient des pr dicteurs d une pression systoli que plus lev e Par contre c tait un plus jeune ge qui pr disait une dias tolique plus haute chez les hommes tandis que les femmes devaient tre la fois plus jeunes et diab tiques pour que l on doive s attendre une pres sion diastolique plus forte Mais quoi qu il en soit le contr le de la pression sanguine ne touche pas une propor tion suffisante de la population Et si chez nous une plus grande proportion des hypertendus sont sous contr le il reste encore du travail faire pour amener les autres aux valeurs cibles et aussi pour d tecter les hypertendus qui s ignorent encore E R f rences Kantola 1 Varis J Savola et al Poor an tihypertensive and hyperlipidemic control of both women an
29. d administration Rare Douleur thoracique asth nie fi vre c phal es douleur Tr s Rare Douleur abdominale infection fongique malaise douleur dorsale r ac tions allergiques incluant une urticaire et un prurit Affections gastro intestinales Rare Naus e anorexie ulc ration buccale vomissements Tr s Rare Diarrh e can didose orale Affections h matologiques et du syst me lymphatique Tr s Rare Lymphad nopathie Affections du syst me nerveux Rare Vertiges Tr s Rare Somnolence Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Peu fr quent Alt ration de la voix incluant un enrouement dyspn e augmentation de la toux pharyngite Rare Bronchospasme oppression thoracique toux essoufflement trouble pulmonaire augmentation des expectorations h moptysie diminution de la fonction pulmonaire laryngite pistaxis rhinite asthme h moptysie diminution de la fonction pulmonaire pistaxis rhinite asthme Tr s Rare Hyperventi lation hypoxie sinusite Organes des sens Rare Acouph nes alt ration du go t perte auditive aphonie Tr s Rare Trouble auriculaire douleur auriculaire Affec tions de peau et du tissu sous cutan Rare Eruption cutan e Au cours d tu des ouvertes et apr s la commercialisation du m dicament certains patients ayant des ant c dents d une utilisation ant rieure prolong e concomitante d aminogly cosides par voie intraveineus
30. de l insuffisance cardiaque s v re quand la pioglitazone a t ajout e un traitement comprenant de l insuline tait de 1 6 sup rieure celle du groupe placebo Cependant ceci n a pas conduit une augmenta tion de la mortalit dans l tude De ra res cas d insuffisance cardiaque ont t rapport s depuis la commercialisation de la pioglitazone mais plus fr quemment quand la pioglitazone tait utilis e en association avec l insuline chez des patients ayant des ant c dents d insuffisance cardiaque Des donn es issues des essais cliniques randomis s en double aveugle et contr l s versus comparateurs placebo ou comparateur actif et portant sur plus de 8100 patients trait s par la pioglitazone et plus de 7400 patients trait s par des comparateurs suivis jusqu 3 5 ans ont t analys es Un taux plus lev de fractures a t observ chez les femmes trait es par la pioglitazone 2 6 par rapport celles trait es par un comparateur 1 7 Aucune augmentation du taux de fractures n a t observ e chez les hommes trait s la pioglitazone 1 3 versus un comparateur 1 5 Dans l tude PROactive tude de morbi mortalit cardiovas culaire men e sur 3 5 ans 44 870 5 1 des patientes trait es par la pioglitazone ont pr sent des fractures contre 23 905 2 5 des patientes trait es par un comparateur Aucune augmentation des taux de fractures n a t observ e chez les hommes tr
31. de la rentr e politique Les patrons n en veulent plus les syndicats n entendent pas l cher prise et le gouvernement tranchera Le gouvernement ne se laissera pas prendre en otage par les partenaires sociaux pr venu le Premier minis tre Jean Claude Juncker lors d une de ses rares apparitions devant la presse au d but du mois d ao t Le chef du gouvernement menac de prendre une d cision sur le sort de l indexation automatique des salaires sans n gocia tions au sein de la Tripartite et sans n gociations entre les patrons et les syndicats dont les positions irr conci lables vont mettre rude preuve le fameux mod le social luxembourgeois Jean Claude Juncker menac de pr parer avant de les soumettre au Parlement des mesures pour relancer la comp titivit des entreprises luxem bourgeoises La piste de la restauration de cette comp titivit ne passe pas uni quement par une modulation voire une suppression de l index Cet automne constituera un test de r sistance pour le mod le social luxembourgeois af firm le Premier ministre En avril Jean Claude Juncker avait propos de limiter le poids des pro duits p troliers dans l indice national des prix la consommation et d in troduire parall lement la gratuit des transports en commun pour les salari s du Luxembourg afin de maintenir leur niveau de vie Les grandes centrales syndicales s taient vigoureusement oppos es
32. de thrombolyse passant de 20 15 minutes et un d lai d angiographie passant de 60 45 minutes A noter qu il est de plus en plus difficile d am liorer ces d lais car 1 5 du d lai seulement est intrahos pitalier Les 4 5 sont constitu s par le d lai pr hospitalier A Luxembourg en la mati re peut on imaginer d encore am liorer des r sultats unanimement reconnus comme excellents Dr Boisant C est effectivement difficile mais nous uvrons Un r seau par exemple t mis en place avec les anesth sistes et les urgentistes pour affiner encore la rapidit de prise en charge par exemple via l utilisation d un modem permettant de transmettre des lectrocar diogrammes afin de pouvoir transf rer directement le pa tient l INCCI sans passer par les urgences de l h pital Luc Deflorenne Plan d action synergies et efficacit A l agenda renforcer les ponts avec le Conseil Scientifique et l Alformec notamment Dr Boisant Au niveau des grands pays il est relativement ais pour les soci t s membres del ESCde mettre en place des groupes de travail ayant pour mission de traduire les recom mandations l chelle nationale Notre approche Luxem bourg doit tre pragmatique il est inutile de refaire ce qui a d j t fait Et d autre part nous devons utiliser les synergies Ainsi je vais videmment me tourner vers le Dr Schummer qui accomplit un travail d Evidence Based Medicine au
33. diverticulites actualit s Aspects diagnostiques et th rapeutiques des incontinences et prolapsus du rectum Le cancer du pancr as non r s cable Orateur s D A Moneret Vautrin T Asselah W Kruis D Hoore M Geissler 19 11 2010 Journ e d Etude annuelle de la Clinique priv e Dr E Bohler Lieu Utopolis au Kirchberg Programme l allaitement maternel d fis socioculturels Orateur s C Rollet Dr J Newman l Bayot Dr Y Wagener J Jauer Steichen B Monhonval C Duvivier Inscriptions et renseignements catherine buffard cbk lu T l 00 352 26 333 9201 www cbk lu 8 12 2010 de 18h 20h Das Reasoning and Rehabilitation Programm R amp R Lieu CHNP Centre Hospitalier Neuro Psychiatrique Programme Thema gefolgt von einer Fragen und Antworten Runde mit dem Publikum Orateur s Walter Schmidbauer Klinik f r forensische Psychiatrie Deutschland Dernier jeudi du mois Brasserie m dicale Alformec Tous les derniers jeudis du mois l Alformec invite orateur pour r pondre toutes vos questions concernant un sujet www alformec lu AGENDA 2 JOURNEE DE Organis e par le CRP Sant LA RECHERCHE Mercredi 27 octobre 2010 CLINIQUE Parc Belle Vue Luxembourg GE pour m decins m decins dentistes et pharmaciens Luxembourg c PE SANT CENTRE DE RECHERCHE PUBLIC Renseignements et inscriptions stephanie conter crp sante lu
34. doit Next Harc lement Le Monde perdu Soleil levant Jurassic Park c est dire si Crichton n a pas vol son tiquette de roi du techno sus pense Le premier roman posthume qu il nous l gue taquine pourtant un autre genre le roman d aventures avec l histoire sanglante d un groupe de corsaires anglais en poste dans les Cara bes Trois cent pages nourries de d tails vraisemblables voire v ridiques Interroger la psychiatrie En adaptant Shutter Island le best seller de Dennis Lehane Martin Scorsese plonge Leonard DiCaprio dans la tourmente d un polar qui interroge les m thodes psychiatriques appliqu es sur les malades mentaux apr s la Seconde Guerre mondiale e Marshal Teddy DiCaprio d barque sur Shutter Island pour enqu ter sur un institut psychiatrique cens soigner des patients particuli rement violents Apr s trente minutes de confrontations avec des infirmiers des malades le chef psychiatre Ben Kingsley et le directeur ex naz interpr t von Sydow le spectateur est amen s interroger sur les motivations du Marshal lui m me pourquoi est il sur cette le Quel est son objectif personnel Quels secrets nous cache t il Qui est r elle ment celui qui se pr tend son adjoint Mark Ruffalo l origine du film le roman ponyme de Dennis Lehane un polar terrifiant qui d veloppe une histoire fonction nant plusieurs niveaux O celui qui traque devient celu
35. dosage du taux d IgE s riques totales pourra tre r alis pour d terminer la dose administrer En cas de variation importante du poids corporel les doses devront tre r ajust es voir les tableaux 2 et 3 Sujet g 65 ans et plus Les donn es disponibles sur l utilisation de Xolair chez le patient g de plus de 65 ans sont limit es mais aucun l ment ne sugg re que les patients g s aient besoin d une posologie diff rente de celle utilis e chez les patients alduites plus jeunes Enfant moins de 12 ans Xolair doit pas tre utilis chez l enfant en dessous de 6 ans compte tenu de l insuffisance de donn es concernant la s curit et l efficacit Patients pr sentant une insuffisance r nale ou h patique La pharmacocin tique de Xolair n a pas t tudi en cas d insuffisance r nale ou h patique La clairance de l omalizumab aux doses cliniques faisant intervenir essentiellement le syst me r ticulo endoth lial SER il est improbable qu elle soit alt r e par une insuffisance r nale ou h patique M me si aucune adaptation particuli re de la posologie n est recommand e pour ces patients Xolait doit tre administr avec prudence Contre indications Hypersensibilit la substance active ou l un des excipients Effets ind sirables Plus de 4 400 patients atteints d asthme allergique ont t randomis s dans les tudes d efficacit contr l es consuites avec Xolair Sur la base des donn es cl
36. duire le risque d hypoglyc mie lors d une utilisation en association D Fa avec Onglyza R actions d hypersensibilit Onglyza ne doit pas tre utilis chez les patients ayant d j pr sent une r action d hypersensibilit grave un inhibiteur de la dipeptidyl peptidase 4 DPP4 Sujets g s L exp rience chez les patients g s de 75 ans et plus est tr s limit e et une attention particuli re est requise lorsque l on traite cette population voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Propri t s pharmacodynamiques et Propri t s pharmacocin tiques Troubles cutan s Des l sions cutan es ulc ratives et n crotiques ont t rapport es chez les singes au niveau des extr mit s dans les tudes de toxicologie non clinique voir rubrique Donn es de s curit pr clinique Bien qu une augmentation de l incidence des sions cutan es n ait pas t observ e lors des essais cliniques l exp rience est limit e chez les patients pr sentant des complications cutan es li es au diab te Des cas d ruption cutan e ont t rapport s avec la classe des inhibiteurs de la DPP4 depuis leur commercialisation Les ruptions cutan es sont galement mentionn es comme un v nement ind sirable d Onglyza section Effets ind sirables Par cons quent conform ment aux soins de
37. es en fonction du taux initial d IgE Ul ml mesur avant le d but du traitement et du poids corporel kg Le taux d IgE du patient devra tre d termin avant la mise en route du traitement par l une des m thodes disponibles de dosage des IgE s riques totales afin de d finir la dose administrer En fonction de ces mesures une dose de 75 600 mg de Xolair en 1 4 injections pourra tre n cessaire lors de chaque administration Les patients qui pr sentent un taux d IgE inf rieur 76 Ul ml sont moins susceptibles de tirer b n fice du traitement Les m decins prescripteurs devront s assurer que les patients adultes et adolescents chez qui le taux d IgE est inf rieur 76 Ul ml ainsi que les enfants de 6 ans moins de 12 ans chez qui le taux d IgE estinf rieur 200 Ul ml ont une r activit significative in vitro RAST unallerg ne perannuel avant de d buter le traitement Voirletableau dans la notice compl te pour la table de conversion et les tableaux 2 et 3 pour les tables de d termination de la dose chez les adultes les adolescents et les enfants partir de 6 ans Les patients dont le taux initial d IgE ou le poids corporel kg sont en dehors des valeurs limites figurant dans la table de d termination de la dose doivent pas tre trait s par Xolair La dose maximale recommand e est 600 mg d omalizumab toutes les deux semaines Poids corporel kg Taux initial d IgE Ul ml gt 20 25 gt 25 30 gt
38. est alors la lisibilit globale pour le praticien et ce tant pour le cardiologue que pour le g n raliste Il est d s lors essentiel de faire un travail de synth se et de mettre en place le cadre de la communication au corps m dical Percevez vous des lacunes dans le maintien jour des connaissances Dr Boisant Fort heureusement non Au Luxembourg nous disposons de plusieurs valuations concr tes en la mati re On peut notamment citer l tude men e par le Docteur Fouzia Belbachir qui s est int ress e au traitement de l hypertension art rielle en m decine g n rale Cette tude reposant sur un questionnaire ouvert a montr que les guidelines taient globalement bien appliqu es m me si certains points taient perfectibles comme la mesure de la pression art rielle bras jambe importante pour le diagnostic des art riopathies des membres inf rieurs Une autre th se en cours de finalisation porte sur le traite ment de l insuffisance cardiaque Ce type d valuation est int ressant sur le plan de la formation continue Dans quels domaines devons nous attendre de grands bouleversements Dr Boisant C est clairement dans le domaine de l an ticoagulation et notamment de la prise en charge de la fibrillation auriculaire que nous conna ftrons une r volution avec l av nement des nouveaux anticoagulants D ores et d j nous disposons de nouvelles recomman dations communiqu es Stockholm sous
39. et 25 ml min 1 73 m de surface corporelle et chez les patients atteints d insuffisance h patique mod r e s v re classes Child Pugh A B sont ets t moins et d s lors il n est pas n cessaire dans ces cas d adapter la dose 5 3 Donn es de s curit pr clinique Sur base des tudes conventionnelles de pharmacologie de s curit de g notoxicit de potentiel carcinog ne et de toxicit reproductive les donn es pr cliniques n ont pas r v l de risque p atticulier pour l utilisation court terme dans l esp ce humaine Les effets pr cliniques pour la toxicit aigu et chronique ont t observ s dans les tudes court terme des taux consid r s comme suffisamment excessifs par rapport l exposition maximale chez l homme Les donn es recueillies partir d tudes animales long terme pour des taux m dicamenteux quotidiens proches des doses utilis es en clinique sont consid r s comme n ayant pas de signification pour le traitement court terme dans l esp ce humaine Le foie tait l organe cible pour la toxicit dans toutes les esp ces utilis es dans les tudes pr cliniques 6 DONNEES PHARMACEUTIQUES 6 1 Liste des excipients Cellulose microcristalline lactose monohydrat povidone K 24 27 st arate de magn sium 6 2 Incompatibilit s Sans objet 6 3 Dur e de conservation 3 ans 6 4 Pr cautions particuli res de conservation Conserver le blister dans l emballage ex
40. et anomalies au site d administration Fr quent asth nie fatigue Insuffisance cardiaque chronique Les effets ind sirables suivants ont t rapport s dans une tude clinique contr l e men e chez des pa tients atteints d insuffisance cardiaque Affections du syst me nerveux Peu fr quent tourdissements c phal es Rare paresth sies Affections cardiaques Rare syncope fibrillation auriculaire accident vasculaire c r bral Affec tions vasculaires Peu fr quent hypotension y compris hypotension orthostatique Affections respiratoires thoraci ques et m diastinales Peu fr quent dyspn e Affections gastro intestinales Peu fr quent diarrh es naus es vomissements Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent urticaire prurit rash Troubles g n raux et anomalies au site d administration Peu fr quent asth nie fatigue Hypertension et diab te de type 2 avec insuf fisance r nale Dans une tude clinique contr l e men e chez des patients diab tiques de type 2 avec prot inurie les v nements ind sirables les plus fr quents li s au losartan sont les suivants Affections du syst me nerveux Fr quent tourdissements Affections vasculaires Fr quent hypotension Troubles g n raux et anomalies au site d administration Fr quent asth nie fatigue Investigations Fr quent hypoglyc mie hyperkali mie Les effets ind sirables suivants ont t rapport s avec une plus grande fr que
41. et les institutions acad miques peuvent jouer un r le Afin d apporter une modeste contribution cet difice en construction Semper Luxembourg inaugure d s lors dans ce num ro une rubrique recherche De mois en mois sous la direction du Docteur Anna Chioti responsable du CIEC au CRP Sant cette rubrique abordera diff rentes facettes de la recherche et pr sentera plusieurs acteurs impliqu s Luxembourg Nous assurerons galement une vaste couverture de la 2 journ e de la recherche clinique le 27 octobre prochain laquelle nous avons le plaisir et l honneur d tre associ s et o nous esp rons vous rencontrer nombreux Mais cela c est pour un prochain num ro Dr Eric Mertens R dacteur en chef Dr Eric Mertens drmertens dsb lu Photographe Semper Luc Deflorenne www lucphoto lu dsb communication Secr taire de r daction Fran oise Moitroux fmoitroux dsb lu Directrice artistique Nathalie Ruykens nruykens dsb lu Ont collabor ce num ro Dr J Andris F Anselme S Calmant Dr A Chioti Dr R Dehesbaye O Frochisse P Kroll Dr C Maton Dr J L Schouveller M Vandermeir Production Sacha Design s r l contact sacha lu Semper Luxembourg est imprim sur du papier certifi FSC issu de la gestion responsable MIXTE des for ts FSC C017655 Editeur Semper Luxembourg est une publication de DSB Communication sous licence Roularta Media Group IN DSB Commun
42. fragment est analys et une carte tablie En comparant les caract ristiques de prot ines issues par exemple d une tumeur bronchique avec celles des prot ines issues du m me tissu mais sain il est possi ble de mettre en vidence un cer tains nombre d anomalies carac t ristiques du dysfonctionnement cellulaire responsable en partie ou dans son int gralit de la maladie Ces diff rences serviront ensuite en fonction de leur pertinence non seulement comme marqueurs tr s sp cifiques de la maladie les fameux biomarqueurs mais aussi et surtout comme base pour le d veloppement pharmacologique de nouveaux traitements cibl s et acqu rir une visibilit internationale indispensable le Front National pour la Recherche FNR par l entremise du pr sident de son conseil scientifi que Fran ois Meyer et le CRP sant par celui de son directeur g n ral le Dr Jean Claude Schmit ont lanc un vaste programme destin attirer au Grand Duch de jeunes lites scientifi ques porteurs de projets int ressants Exemple de cette chasse aux cerveaux le directeur du Centre de Prot omique Clinique de Luxembourgn estautre que le Pr Bruno Domon suisse d origine et l un des rares sp cialistes mondiaux de la prot omique que laboratoires priv s Jeannot Kreck nous esp rons d velopper de nombreux partenariats avec les industries du secteur de la sant afin de mettre au jour des mol cules innovante
43. g re mod r e aucun ajustement posologique n est n cessaire Une dose initiale de 5 mg est recommand e chez les patients avec une insuffisance r nale mod r e clairance de la cr atinine lt 60ml min La dose de 40 mg est contre indiqu e chez les patients avec une insuffisance r nale mod r e En cas d insuffisance r nale s v re tous les dosages de CRESTOR sont contre indiqu s voir rubriques Contre indications et Propri t s pharmacocin tiques Posologie chez les patients en insuffisance h patique On n a pas observ d augmentation de l exposition syst mique la rosuvastatine chez les sujets dont les scores de Child Pugh taient situ s 7 ou en de Mais une augmentation de l exposition syst mique a t observ e en cas de scores de Child Pugh de 8 et 9 voir rubrique Propri t s pharma cocin tiques Chez ces patients on envisagera d valuer la fonction r nale voir rubrique 4 4 On ne dispose d aucune exp rience chez les sujets dont les scores de Child Pugh sont sup rieurs 9 CRESTOR est contre indiqu chez les patients pr sentant une affection h patique volutive voir rubrique Contre indications Facteur racial On observ une augmentation de l exposition syst mique chez les patients asiatiques voir rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques La dose de d part recommand e est de 5 mg chez les patients d origine asiatique La dos
44. gt 1 10 fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 lt 1 100 rare gt 1 10 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Tableau 1 Effets ind sirables Cat gorie de fr quence Infections et infestations Rhinopharyngite Fr quent Infection respiratoire haute Fr quent Sinusite Fr quent Troubles du m tabolisme et de la nutrition Diab te et hyper glyc mie Fr quent Affections du syst me nerveux C phal es Fr quent Pares th sies Peu fr quent Affections cardiaques Cardiopathie isch mique Fr quent Fibrillation auriculaire Peu fr quent Affections respiratoires thoraciques et m dia stinales Toux Fr quent Douleur laryngopharyng e Fr quent Rhinorrh e Fr quent Congestion des voies respiratoires Fr quent Affections musculo squelet tiques et syst miques Spasmes musculaires Fr quent Troubles g n raux et anomalies au site d administration d me p riph rique Fr quent Douleur thora cique non cardiaque Peu fr quent Globalement le profil de s curit d emploi d Onbrez Breezhaler administr raison de deux fois la dose maximale recommand e a t comparable celui rapport lors de l administration des doses recommand es Les effets ind sirables suppl mentaires ont t des tremblements fr quents et une an mie peu fr quente
45. l tude d un groupe de 25 cardiologues europ ens qui remplacent la version ant rieure datant de 2006 alors communes avec et Ces recommandations concernent d une part l anti coagulation et d autre part le traitement antiarythmique des patients en fibrillation auriculaire Pour l anticoagu lation l accent est principalement mis sur l valuation du risque la fois thromboembolique et h morragique au travers de 2 nouveaux scores CHADS VASC pour le ris que isch mique et HASBLED pour le risque h morragique CHADS VASC tient mieux compte par rapport au score CHADS2 en vigueur du facteur ge du sexe et de la pr sence d une maladie art rielle Pour HASBLED sont pris en compte les ant c dents h morragiques l instabilit de INR et l alcoolisation notamment Ces deux scores permettent donc de pond rer l indication du traitement anticoagulant Par contre les nouveaux anti thrombotiques ne sont pas pas encore int gr s dans les recommandations Quelles sont les autres avanc es th rapeutiques marquantes qui peuvent tre soulign es Dr Boisant Outre les anticoagulants nous devons en core mentionner la dron darone Multaq qui selon les recommandations de l ESC devrait tre envisag e en trai tement de premi re intention chez les patients atteints de fibrillation auriculaire compte tenu de son absence d effets secondaires thyro diens Enfin le Pr Michel de la Piti
46. les hautes tudes commercia les ou encore les projets de restauration immobili re DOSSIER M DICAL Les femmes g es constituent un groupe plus vuln rable de personnes hypertendues Dans le m me ordre d id es celui d une diff rence entre hommes et femmes on peut se demander avec Kantola et al si la prise en charge de l hypertension est la m me pour les patients des deux sexes que ce soit pour les chiffres tensionnels eux m mes pour la glyc mie et le pro fil lipidique Ils ont r alis un ques tionnaire l intention de 357 hom mes et 357 femmes r partis dans tout le pays Finlande qui avaient t vus par leur g n raliste au cours d une semaine donn e d automne 2006 Ces personnes taient g es en moyenne d une soixantaine d an n es Ecart Les r sultats du questionnaire ont montr une pression systolique moyenne de 148 3 mm Hg pour les femmes et 146 5 pour les hommes mais la diff rence n tait pas significa tive Pour la pression diastolique par contre la diff rence tait significative et les chiffres taient respectivement de 86 8 et 89 mm Hg Mais les valeurs cibles taient atteintes dans les m mes proportions pour les femmes et pour les hommes la seule chose que l on puisse am rement regretter est que dans un cas comme dans l autre on atteigne p niblement les 30 de patients touchant au but Il n y avait pas de diff rence non plus pour le taux
47. lymphatique Fr quence ind termin e Thrombop nie idiopathique s v re Affections du syst me nerveux Fr quent Maux de t te Peu fr quent syncope paresth sies somnolence tourdissements Affections respiratoires thoraciques et m diastinales Peu fr quent bronchospasme allergique toux Rare d me du larynx Fr quence ind ter min e vascularite granulomateuse d hypersensibilit exemple syndrome de Churg Strauss Affections gastro intestinales Fr quent douleurs abdo minales hautes Peu fr quent signes et sympt mes dyspeptiques diarrh es naus es Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent photosensibilit urticaire ruption cutan e prurit Rare Angi d mes Fr quence ind termin e Alop cie Affections musculo squelettiques et syst miques Fr quence ind termin e Arthralgie myalgie gonflement des articulations Infections et infestations Peu fr quent Pharyngite Rare Infestation parasitaire Affections vasculaires Peu fr quent Hypotension orthostatique bouff es vasomotrices Troubles g n raux et anomalies site d administration Tr s fr quent Fi vre Fr quent R actions au point d injection telles que gonflement ryth me douleur prurit Peu fr quent Syndrome pseudo grippal gonflement au niveau des bras prise de poids fatigue Affections du syst me immunitaire Rare R action anaphylactique autres r actions allergique
48. mais profite bel et bien l exc dent des entreprises pour tant d j ultra dynamiques Un rapprochement des positions des partenaires sociaux sera un exercice d quilibriste pour le chef du gouver nement luxembourgeois Les donn es scientifiques d nu es de partialit sur les effets nocifs ou positifs de l in dexation sont assez r centes Le lien direct avec la perte de comp titivit des entreprises fait l objet de tr s vives pol miques entre les camps Le Premier ministre s est engag trouver des pistes pour pr server la comp titivit de l conomie Le directeur g n ral du Statec Serge Allegrezza avait t appel au mois d avril intervenir devant les membres du comit Tripartite et parler chif fres l appui de la perte progressive de la comp titivit globale Apr s son chec la Tripartite pour tenter d imposer un moratoire de deux ans sur le m canisme ou sa limitation deux fois le salaire social minimum le Premier ministre aura peu de raisons pour renoncer lors de la reprise des discussions l automne Les chiffres pr sent s par Serge Allegrezza au printemps dernier devant la Tripartite montrent que consid r e en termes nominaux l volution du co t salarial unitaire CSU a progress de pr s de 50 au Luxembourg entre 1995 et 2009 contre 0 3 en Allema gne 27 9 en France et 27 9 en moyenne dans la zone euro Le Statec et le Centre de r
49. manquerais pas Je suis l actualit des construc teurs plus que l aspect commercial m me si bien s r je sais que des com pagnies comme United et Continental viennent de fusionner Mais cela reste un peu moins int ressant Jean Claude Schmit affiche quelque trois cents heures dans son carnet de vol Ce qui est d j tr s honorable compte tenu d obligations profession nelles lourdes et des restrictions dues au vol vue Sans oublier que la li cence n est renouvel e que si un cer tain nombre d heures de vol ont t accomplies Cette passion a t elle contamin la famille L encore le visage du Dr Schmit s claire d un sourire Mon pouse voit a comme un moyen de transport comme la voiture ma fille de quinze ans a plut t un peu peur tandis que mon fils de huit ans lui Assumer l enti re responsabilit Il suffit de lire les journaux pour voir combien l aviation m me la plus banale fascine au point d occuper parfois une place disproportionn e Pourquoi Je pense que c est d au fait que c est quelque chose qui n est pas naturel L homme n est pas fait pour voler En plus beaucoup de gens n osent pas m me s ils ont la possibilit parce que c est quelque chose d inhabituel Alors qu il n y a en soi rien dans l aviation qui doive faire peur y a d autres activit s bien plus dangereuses Tenez moi je ne suis pas tr s courageux je suis en g n ral plut t quelqu un d
50. patients trait s par losartan et hydrochlorothiazide En plus de ces effets les effets ind sirables rapport s depuis la mise sur le march sont les suivants Affections h patobiliaires Rare H patite Investigations Rare Hyperkali mie l vation des ALAT D autres effets ind sirables rapport s avec l un des composants individuels pourraient tre des effets ind sirables observ s avec l association losartan hydrochlorothiazide Ce sont les suivants Losartan Affections h matologiques et du sys t me lymphatique Peu fr quent An mie purpura rhumato de ecchymoses h molyse Affection du syst me im munitaire Rare R actions anaphylactiques angio d me urticaire Troubles du m tabolisme et de la nutrition Peu fr quent anorexie goutte Affections psychiatriques Fr quent insomnie Peu fr quent anxi t troubles anxieux peur panique confusion d pression anomalie des r ves troubles du sommeil somnolence troubles de la m moire Affections du syst me nerveux Fr quent c phal es tourdissements Peu fr quent nervosit paresth sie neu ropathie p riph rique tremblements migraine syncope Affections oculaires Peu fr quent vision trouble sensation de br lure de picotement dans les yeux conjonctivite baisse de l acuit visuelle Affection de l oreille et du labyrinthe Peu fr quent vertiges acouph nes Affections cardiaques Peu fr quent hypotension hypotension orthostatique sternalgie
51. petits poix et copeaux de truffes d t Cuisson parfaitement ma tris e pour la couronne d agneau en cro te de pain G n reux plateau de fromages belges Beaux flacons vineux des quatre coins du globe o tr ne une Loge d Excep tion Meursault Batard Montrachet Mouton Rotschild etc Demain c est s r on ira se d penser en VTT Bon plan N h sitez pas privil gier les menus du Clos 29 euros gastronomique 6 services 58 euros 86 avec vins Formule h bergement 1 nuit e petit d jeuner menu gastronomique 110 50 euros par personne Le Clos des R collets Rue de la Pr v t 9 6940 Durbuy T l 086 212969 info closdesrecollets be www closdesrecollets be Semper Luxembourg septembre 2010 ON EN PARLE Une rubrique de Servane Calmant L aventure continue Ma tre du roman suspense Michael Crichton est mort en 2008 d un cancer ll nous laisse deux romans posthumes Pirates oeuvre achev e et un manuscrit au titre non r v l et incomplet qui devrait sortir en 2012 1665 la Jama que est une petite colo nie britannique perdue au milieu des possessions espagnoles On y croise pas mal de femmes d vergond es de boucaniers et de poivrots souvent fr res de tripot ainsi que le capi taine Hunter qui n est pas un acte de piraterie pr s s en va d ailleurs r unir une petite quipe de malfrats pour s emparer d un galion espagnol gorg d or On lui
52. plus que 1 300 patients dans le traitement des crises par tielles avec o sans g n ralisation secondaire chez des patients pileptiques g s de 16 ans ou plus et non contr l s par 1 3 anti pileptiques dose stable Ces tudes concernaient des patients qui pour 44 d en tre eux avaient essay au minimum 7 anti pileptiques au cours de leur vie et dont 85 prenaient 2 ou anti pileptiques concomitants Dans ce contexte les patients ont conserv un taux de r tention lev 77 au terme d une tude d exten sion r alis e aupr s de 370 patients issus de ces tu des qui avaient re u du lacosamide en compl ment de leur traitement actuel sans interactions cliniquement significatives ce jour Le m canisme d action du lacosamide n est probable ment pas tranger cette efficacit En effet contraire ment la carbamaz pine la ph nyto ne la lamotrigine qui agissent sur l inactivation rapide des canaux sodiques voltage d pendants Vimpat augmente s lectivement l inactivation lente entra nant ainsi une stabilisation des membranes neuronales hyperexcitables Source UCB Crestor nouvelle indication plus de son indication classi que dans le traitement de l hy percholest rol mie la rosuvastatine Crestor est aujourd hui indiqu e dans la pr vention des accidents car diovasculaires majeurs chez des pa tients estim s haut risque d avoir un premier v nement cardiova
53. pratiquer toutes les op rations saign es et autres lavements E Vue de l hospice St Jean Luxembourg tel qu il se pr sentait en 1602 REFERENCES 1 Le terme villa renvoie ici la villa romaine d Echternach voir Semper 15 il ne s agit pas d une simple b tisse mais bien d une propri t relativement tendue noter que le monast re b n dictin dont nous parlons ici probablement de taille tr s r duite est diff rencier de l abbaye d Echternach qui fut fond e par Saint Willibrord lui m me 2 Il est noter que le territoire du duch de Luxembourg tait bien plus tendu l poque qu il ne l est aujourd hui Pour plus de clart nous parlerons pourtant pas ici des institutions aujourd hui situ es hors fronti res telles que celles d Houffalize 1216 ou encore Arrancy 3 Souvent une tunique et un bonnet de nuit L objectif principal n tait pas tant de maintenir une id e d galit que d emp cher la propagation des poux et autres vermi nes qui grouillaient souvent sur les oripeaux des indigents L INSPIRATION DES CROISADES Si l essor des h pitaux m di vaux partir du XI si cle est mettre en partie sur le compte de la croissance d mographique urbaine il est aussi d aux croisades En terre musulmane les crois s croiseront en effet plusieurs reprises d importantes institutions hospitali res attenantes des mosqu es Une fois revenus chez eux les cheva
54. routine des patients diab tiques la surveillance des troubles cutan s tels que des cloques une ulc ration ou une ruption cutan e est recommand e Insuffisance cardiaque L exp rience chez les patients insuffisants cardiaques de classe NYHA I II est limit e et il n y a pas d exp rience dans les tudes cliniques avec la saxagliptine chez les patients de classe NYHA III IV Patients immunod prim s Les patients immunod prim s tels que les patients qui ont subi une transplantation d organe ou les patients atteints d un syndrome de l immunod ficience humaine n ont pas t tudi s dans le programme clinique d Onglyza Par cons quent l efficacit et le profil de tol rance de la saxagliptine n ont pas t tablis chez ces patients Utilisation avec les inducteurs puissants du 344 L utilisation d inducteurs du CYP3A4 comme la carbamaz pine la dexam thasone le ph nobarbital la ph nytoine et la rifampicine peuvent r duire l effet hypoglyc miant d Onglyza voir section Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions Lactose Le comprim contient du lactose monohydrat Les patients pr sentant des probl mes h r ditaires rares d intol rance au galactose de d ficience en Lapp lactase ou de malabsorption du glucose galactose ne doivent pas prendre ce m dicament 4 5 Effets ind sirables Un total de 4 148 patients atteints de diab te de type 2 incluant 3 021 patients trait s par Onglyza ont
55. s Chez les patients souffrant de probl mes de d glutition les comprim s de NEXIAM peuvent galement tre dispers s dans demi verre d eau plate On ne peut pas utiliser d autres liquides vu que l enrobage ent rique peut tre dissout Agitez le m lange jusqu ce que les comprim s soient d sint gr s et buvez le liquide et les pellets imm diatement ou dans les 30 minutes Rincez le verre avec un demi verre d eau et buvez galement ce liquide Les pellets ne peuvent tre ni m ch s ni cras s Chez les patients incapables d avaler les comprim s peuvent tre dispers s dans de l eau plate et administr s par sonde gastrique Il est important de tester soigneusement l ad quation de la seringue choisie et de la sonde Veuillez consulter les instructions pour la pr paration et l administration au paragraphe Pr cautions particuli res d limination et manipulation Adultes et adolescents partir de 12 ans Maladie du reflux gastro oesophagien RGO Traitement de l sophagite de reflux au stade rosif mg pendant 4 semaines recommandera un traitement additionnel de 4 semaines chez les patients dont l sophagite n est pas gu rie ou qui pr sentent des sympt mes persistants Traitement long terme des patients apr s gu rison de l sophagite dans le but d viter les r cidives 20 mg 1x jour Traitement symptomatique de la maladie du reflux gastro oesophagien RGO 20 mg1x jour en l a
56. t randomis s dans 6 tudes cliniques d efficacit et de tol rance contr l es en double aveugle visant valuer les effets d Onglyza sur le contr le de la glyc mie Dans une analyse pool e l incidence globale d v nements ind sirables chez les patients trait s par la saxagliptine 5 mg a t similaire celle observ e chez les patients sous placebo Les arr ts de traitement en raison d v nements ind sirables ont t plus fr quents chez les patients recevant la saxagliptine 5 mg que chez les patients sous placebo 3 3 compar 1 8 Les effets ind sirables rapport s ind pendamment de l valuation de causalit par l investigateur chez au moins gt 5 des patients trait s avec la saxagliptine 5 mg et plus fr quemment que chez les patients trait s placebo ou qui ont t rapport s chez gt 2 de patients trait s avec la saxagliptine 5 mg et chez gt 1 plus fr quemment compar au placebo sont pr sent s dans le tableau 1 Les effets ind sirables sont list s par classe de syst me d organe et par fr quence absolue Les fr quences sont d finies comme suit Tr s fr quent gt 1 10 Fr quent gt 1 100 lt 1 10 Peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 Rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 ou Tr s rare lt 1 10 000 non connue ne pouvant tre estim e selon les donn es disponibles En plus des effets ind sirables d crits ci dessus des v nements ind sirables secondaires ont t ra
57. troubles visuels Troubles gastro intestinaux Fr quent flatulence Troubles g n raux et localis s au site d administration Peu fr quent fatigue Examens cliniques et para cliniques Fr quent prise de poids Peu fr quent augmentation de la lactate d shydrog nase Troubles du m tabolisme et de la nutrition Peu fr quent augmentation de l app tit hypoglyc mie Troubles du syst me nerveux Fr quent tourdissement Peu fr quent c phal e Troubles r naux et urinaires Peu fr quent glycosu rie prot inurie Troubles cutan s et sous cutan s Peu fr quent sudation EN ASSOCIATION TRIPLE AVEC LA METFORMINE ET UN SULFAMIDE HYPOGLYCEMIANT Examens cliniques et para cliniques Fr quent prise de poids augmentation de la cr atine phosphokinase sanguine Troubles du m tabolisme et de la nutrition actos TOUJOURS PR SENT actos FAMILY RJ K EFFICACIT D UNC IQUE SOUTENU A gt Actos 15mg 28 compr Actos 15mg 98 compr Actos 30 mg 28 compr Actos 30 mg 98 compr 00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 Tr s fr quent hypoglyc mie Troubles du syst me musculo squelettique et des tissus conjonctifs Fr quent arthralgie EN ASSOCIATION AVEC INSU LINE Troubles du m tabolisme et de la nutrition Fr quent hypoglyc mie Troubles g n raux et locali s s au site d administration Tr s fr quent oed mes Troubles infectieux Fr
58. www crp sante lu Semper Luxembourg septembre 2010 LE MEILLEUR DE KROLL Guel f A m gra e 7 RESPONSABILISATION DES PATIENTS D BAT AU QU BEC Outre Atlantique comme au Grand Duch le d bat sur le financement des soins de sant fait grincer des dents Une des pistes de r duction des co ts et de responsabilisation du patient est l instauration d un ticket mod rateur But encourager les patients utiliser les services moindre co t En revanche note le Dr Godin pr sident de la F d ration des omnipraticiens du Qu bec si le ticket mod rateur amenait une r duction trop importante de la consommation de soins de sant cette r duction court terme pourrait mener une augmentation des d penses long terme si la sant des gens ne s am liore pas ou se complique Ce qui d montre le caract re ubi quitaire du dilemme entre vision court et long terme D NOMINATION DU M DICAMENT Actos 15 mg comprim s Actos 30 mg comprim s COMPOSITION QUA LITATIVE ET QUANTITATIVE 15 mg de pioglitazone sous forme de chlorhydrate 30 mg de pioglitazone sous forme de chlorhydrate FORME PHARMACEUTIQUE comprim s Les comprim s sont blanc blanc cass ronds convexes et marqu s 15 ou 30 sur une face et ACTOS sur l autre face INDICATIONS THERAPEUTIQUES traitement du patient diab tique de type 2 En monoth rapie chez le patient en particulier en surpoids ins
59. 30 40 gt 40 50 gt 50 60 gt 60 70 gt 70 80 gt 80 90 gt 90 125 gt 125 150 gt 30 100 75 75 75 150 150 150 150 150 300 300 gt 100 200 150 150 150 300 300 300 300 300 gt 200 300 150 150 225 300 300 gt 300 400 225 225 300 gt 400 500 225 300 gt 500 600 300 300 gt 600 700 300 ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES VOIR TABLEAU 3 Cie N D a un MI Ea 5 56 Eve ee 5 lt gt lt S 2 g 3 5 h E saseg Ee 05 5 Tao D ov s p Poids corporel kg Taux initial d IgE Ul ml gt 20 25 gt 25 30 gt 30 40 gt 40 50 gt 50 60 gt 60 70 gt 70 80 gt 80 90 gt 90 125 gt 125 150 gt 30 100 gt 100 200 gt 200 300 gt 300 400 gt 400 500 gt 500 600 gt 600 700 gt 700 800 gt 800 900 gt 900 1000 gt 1000 1100 gt 1100 1200 gt 1200 1300 gt 1300 1500 ADMINISTRATION TOUTES LES 4 SEMAINES VOIR TABLEAU 2 NE PAS ADMINISTRER donn es non disponibles pour tablir une recommandation de posologie Tableau 3 ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES Doses de Xolair milligrammes par dose administr es par injection sous cutan e toutes les 2 semaines d Pour les patients asthmatiques allergiques s v res qui restent symptomatiques malgr un traitement standard optimal Administration R serv uniquement l administration par voie sous cutan e Ne pas administrer par voie intrave
60. 4 et 4 5 Patients immunod prim s L utilisation de Zerpex est contre indiqu e chez les patients immunod prim s tels que ceux recevant une chimioth rapie anti canc reuse un traitement immunosuppresseur ou un traitement avec la flucytosine pour traiter une mycose syst mique s v re Enfants La s curit et l efficacit de Zerpex n ont pas t suffisamment tablies chez l enfant d s lors son utilisation est contre indiqu e Grossesse et allaitement Zerpex est contre indiqu pendant la grossesse ou l allaitement voir rubrique 4 6 4 4 Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi 2 et le 5 fluoro uracile y compris sous formes topiques ou ses prodrogues p ex la capecitabine la floxuridine le tegafur ou des associations m dicamenteuses contenant ces substances actives et d autres 5 fluoro pyrimidines p ex la flucytosine doivent pas tre administr s concomitamment et un intervalle de temps minimum de 4 semaines doit tre observ avant d instaurer le traitement par des m dicaments du groupe des 5 fluoro pyrimidines Comme pr caution suppl mentaire l activit de l enzyme DPD doit tre suivie avant d instaurer tout traitement par des 5 fluoro pyrimidines chez des patients qui ont r cemment re u du Zerpex Zerpex ne doit pas tre utilis si les manifestations cutan es sont d j totalement d velopp es Zerpex sera utilis avec prudence chez les patients atteints d
61. CE M dicament soumis prescription m dicale 8 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE Octobre 2009 Des informations d taill es sur ce m dicament sont disponibles sur le site internet de L Agence europ enne du m dicament EMEA http www emea europa eu Bristol Myers Squibb AstraZenec 422BE10PM006 NS 1100 04 10 HISTOIRE DE LA M DECINE L h pital tait avant tout une institution de charit les personnes disposant de ressources elles consultaient chirurgiens ou m decins la cs Image tir e de L in ventaire chirurgical ou m dical XV si cle Parall lement la m decine la que le Moyen Age voit se d velopper nombre d institutions hospitali res tenues par des eccl siastiques Des tablissements vocation davantage philanthropique que curative o le soin de l me importait tout autant si pas plus que celui du corps Plusieurs de ces hospices verront le jour dans nos r gions et ce d s les premiers si cles de l Europe m di vale Olivier Frochisse able coc H duit Garde cor Ak am NT me un LA E LUE Las 38 F TAr foss La lancette et le goupillon premi re mention d un tablis sement hospitalier dans l histoire luxembourgeoise remonte 697 o 698 lorsque Saint Willibrord entame l vang lisation de nos r gions il re oit en donation un petit monas t re situ sur le territoire de la v
62. ESTOR toutes les doses et en particulier aux doses gt 20 mg Des cas tr s rares de rhabdomyolyse ont t signal s lors de l utilisation d z timibe combinaison avec des inhibiteurs de la HMG CoA r ductase Une interaction pharmacodynamique ne peut tre exclue voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions Cette combinaison doit tre utilis e avec prudence Comme c est le cas pour d autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase le nombre de rapports de rhabdomyolyse en relation avec CRESTOR observ s lors de la surveillance apr s commercialisation est plus lev avec la dose 40 mg Contr le de la cr atine kinase On ne devra pas contr ler la sont s v res et cr ent un inconfort au quotidien m me si les taux de CK restent lt 5 x LNS En cas de disparition des sympt mes et de retour la normale des taux de CK on envisagera de r introduire CRESTOR ou un autre inhibiteur de la HMG CoA r ductase la dose la plus basse et en maintenant le patient sous troite surveillance Une surveillance en routine des taux de CK n est pas justif e chez des patients asymptomatiques Dans des essais cliniques on n a mis en vidence aucune augmentation des effets sur les muscles squelettiques chez le petit nombre de patients prenant CRESTOR et un traitement concomitant On a cependant observ une augmentation de l incidence des cas de myosite et de myopathie chez les patients tr
63. Il y a dix ans Fr d ric et Ang lique Bruneel ach tent une maison de vil lage en vieilles pierres vou e l Ho reca mais Initialement cr e dans une ancienne ferme Le nom charmant est celui de moines franciscains les r collets On devine l int rieur du Clos sobre il l est Tissus crus et bois natu rel dans le plus pure style n o rustique sont l honneur Mais le contemporain n est pas oubli il habille par petites touches la r ception de l h tel le salon et surtout les huit chambres Celles ci ont t r nov es au printemps 2010 et loin de tout effet bling bling affichent de belles dimensions et une sobri t assum e et particuli rement zen table J essaye que ma cuisine soit poin tue orchestr e autour de produits de grande qualit qu il me pla t d associer de fa on singuli re et personnelle Je peux y adjoindre un rien de mol cu laire mais pas trop J aime tre atten tif au d tail la pr sentation et par dessus tout la combinaison des go ts nous avoue Fr d ric dont la cuisine nous particuli rement s dui te R d la cr ativit toil e d Yves Mattagne le jeune chef jongle avec les saveurs et les textures sans jamais sacrifier une savoureuse l g ret l es broufe Inoubliable son carpaccio de noix de St Jacques cr me de cresson tomber caviar belge Fabuleuse sa couronne d asperges saumon fum jambon d Ardenne fum cr meuse
64. Onglyza peut tre pris au cours ou en dehors des repas n importe quel moment de la journ e Si le patient oublie de prendre une dose du m dicament il doit la prendre d s qu il s en rend compte Il ne doit pas prendre une double dose le m me jour 4 3 Contre indications Hypersensibilit la substance active ou l un des excipients 4 4 Mises en garde et pr cautions d emploi G n ral Onglyza doit pas tre utilis chez les patients atteints de diab te de type 1 ou pour le traitement de l acidoc tose diab tique La saxagliptine n a pas t tudi e en association avec l insuline Insuffisance r nale L exp rience des essais cliniques avec la saxagliptine chez les patients atteints d une insuffisance r nale mod r e s v re est limit e Par cons quent l utilisation d Onglyza n est pas recommand e chez ces patients voir rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques Insuffisance h patique La saxagliptine doit tre utilis e avec pr caution chez les patients ayant une insuffisance h patique mod r e et n est pas recommand e chez les patients ayant une insuffisance h patique s v re voir rubrique Posologie et mode d administration Utilisation avec les sulfamides hypoglyc miants Les sulfamides hypoglyc miants sont connus pour entra ner des hypoglyc mies C est pourquoi une dose plus faible de sulfamides hypoglyc miants peut tre n cessaire afin de r
65. a dose n est recommand e chez les patients atteints d insuffisance r nale l g re L exp rience des essais cliniques avec Onglyza chez les patients atteints d une insuffisance r nale mod r e s v re est limit e Par cons quent l utilisation d Onglyza n est pas recommand e chez ces patients voir rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi et Propri t s pharmacocin tiques Patients insuffisants h patiques Aucune adaptation de la dose n est n cessaire chez les patients atteints d insuffisance h patique l g re ou mod r e voir rubrique Propri t s pharmacocin tiques La saxagliptine doit tre utilis e avec pr caution chez les patients ayant une insuffisance h patique mod r e et n est pas recommand e chez les patients ayant une insuffisance h patique s v re voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Sujets g s gt 65 ans Aucune adaptation de la dose n est recommand e en fonction de l ge uniquement L exp rience chez les patients g s de 75 ans et plus est tr s limit e et une attention particuli re est requise lorsque l on traite cette population voir galement rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Propri t s pharmacodynamiques et Propri t s pharmacocin tiques Population p diatrique Compte tenu de l absence de donn es d efficacit et de tol rance Onglyza n est pas recommand chez les enfants et les adolescents Mode d administration
66. a dose recommand e est l inhalation du contenu d une g lule 150 micro grammes une fois par jour l aide de l inhalateur Onbrez Breezhaler N augmenter la dose que sur avis m dical La dose maximale est de 300 microgrammes une fois par jour Onbrez Breezhaler ne doit pas tre utilis lors d asthme en raison de l absence de donn es concernant les r sultats long terme avec Onbrez Breezhaler dans l asthme Veuillez vous r f rer la pour avoir des informations compl mentaires NOVARTIS ONB 02 08 10 6528 DITO Un an d j Ce premier num ro de la rentr e acad mique signe galement pour Semper Luxembourg une ann e d dition d j depuis qu en octobre 2009 nous partagions avec vous notre leitmotiv cr er des synergies avec les acteurs de la sant au Grand Duch de Luxembourg Cette mission que nous nous tions fix e nous esp rons l avoir accomplie Au cours de cette ann e dans chaque num ro nous avons en tout cas eu le plaisir de partager VOS passions vos projets Vos travaux vos coups de gueule parfois Aujourd hui ainsi que nous l annoncions avant la pause estivale Semper Luxembourg effectue avec vous sa rentr e sous le signe de la recherche Car comme le souligne dans ce num ro le Ministre Kreck nous pensons que l innovation dans les sciences de la vie est enjeu majeur pour le pays Un enjeu o les praticiens de terrain tout comme l industrie
67. a notice scientifique Schering Plough NV SA an MSD Company MSD Clos du Lynx 5 Lynx Binnenhof 1200 Bruxelles Brussel Tel 32 0 2 776 62 11 Fax 32 0 2 776 63 67 2010 BE 325 Semper Luxembourg People Se d tacher des choses habituelles Le Dr Jean Claude Schmit est directeur g n ral du CRP Sant depuis 2007 I trouve son plaisir lorsqu il est aux commandes d un petit avion de tourisme et nous fait d couvrir sa passion et ses r ves comme de pouvoir aller voler en Australie Recherche En partenariat avec le CRP Sant Une nouvelle rubrique voit le jour dans ce num ro sous la direction du Dr Anna Chioti CIEC CRP Sant Ce mois ci tout ce qu il faut savoir sur la recherche clini que Enjeux principes phases et l indis pensable glossaire i L 2 r AMM iog 7 F b l T 4 L i ME 1 Ae Fa EL R 1 num Histoire de la M decine La lancette et le goupillon Parall lement la m decine la que le Moyen Age voit se d velopper nombre d institutions hospitali res tenues par des eccl siastiques La premi re mention d un tablissement hospitalier dans l histoire luxembourgeoise remonte 697 698 Evasion La r sistance des mythes Cuba l art de cultiver ses mythes Le Che continue bien malgr lui vendre son sex appeal su
68. ait s par d autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase en association avec des fibrates y compris du gemfibrozil de la ciclosporine de l acide nicotinique des antifongiques azol s des inhibiteurs des prot ases et des antibiotiques du groupe des macrolides Le gemfibrozil augmente le risque de myopathie lorsqu il est administr en traitement concomitant avec certains inhibiteurs de la HMG CoA r ductase L association de CRESTOR et du gemfibrozil n est donc pas recommand e On valuera soigneusement les b n fices retirer d une diminution ult rieure des taux de lipides obtenue par l usage combin du CRESTOR de fibrates ou de niacine vis vis des risques potentiels induits par ces combinaisons La dose de 40 mg est contre indiqu e lors de l utilisation simultan e d un fibrate voir rubriques Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions et Effets ind sirables CRESTOR ne sera pas utilis chez les patients pr sentant des sympt mes aigus et s v res voquant la myopathie ou chez les patients pr dispos s d velopper une insuffisance r nale cons cutivement de la rhabdomyolyse p ex septic mie hypotension chirurgie majeure traumatisme troubles m taboliques s v res troubles endocriniens perturbation au niveau des lectrolytes convulsions incontr l es Effets h patiques Comme avec d autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase CRESTOR sera utilis avec pr caution
69. ait s par la pioglitazone 1 7 versus comparateur 2 1 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Global Research and Development Centre Europe Ltd 61 Aldwych London WC2B 4AE Royaume Uni NUMEROS D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU 1 00 150 001 EU 1 00 150 003 EU 1 00 150 004 EU 1 00 150 006 MODE DE DELIVRANCE sur prescrip tion m dicale DATE DE REVISION DU TEXTE D cembre 2009 ANS Scheen Betteridge DJ Birkeland Schmitz O Charbonnel PROactive investigators Long term glyc mic effects of pioglitazone compared with placebo as add on treatment to metformin or sulphonylurea monotherapy in PROactive PROactive 18 Diabet Med 2009 Dec 26 12 1242 9 00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000009000000 actos pioglitazone HCI TPB ANN 03 10 FR Jakeda d couvreur des glitazones DVE RSYL 5810 Pour une protection cardiovasculaire hug 25m0 Plus Dmg au del du contr le tensionnel D gt SERVIER
70. ale biconvexe pellicul grav sur les 2 faces 1 face porte la gravure mg l autre DONNEES CLINIQUES Indications th rapeutiques Les comprim s de NEXIAM sont indiqu s dans Maladie du reflux gastro oesophagien RGO traitement de l oesophagite de reflux au stade rosif traitement long terme des patients apr s qu rison de l oesophagite dans le but d viter des r cidives traitement symptomatique de la maladie du reflux gastro oesophagien RGO En association avec un traitement antibact rien appropri pour l radication d Helicobacter pylori et la cicatrisation de l ulc re duod nal associ la pr sence d Helicobacter pylori et la pr vention de la r cidive d ulc res peptiques chez les patients souffrant d ulc res associ s la pr sence d Helicobacter pylori Patients qui ont besoin d un traitement chronique par des produits anti inflammatoires non st ro diens AINS cicatrisation des ulc res gastriques associ s la prise d AINS pr vention des ulc res gastrique et duod nal associ s la prise d AINS chez les patients risque Traitement de prolongation apr s la pr vention initi e en i v d une r cidive h morragique d ulc res peptiques Traitement du syndrome de Zollinger Ellison 4 2 Posologie et mode d administration Les comprim s de NEXIAM doivent tre aval s en entier avec un liquide Les comprim s ne peuvent tre ni m ch s ni cras
71. ans ont l ge maintenant d tre ath roscl reux et d tre compa r s aux sujets sans ant c dents Leur histoire montre qu apr s r solution du probl me le dysfonctionnement en doth lial persiste et peut progresser jusqu l ath roscl rose L IPS Index de Pression Systolique rapport de la pres sion systolique jambi re distale la pres sion systolique brachiale et le contr le chographique du c ur mais aussi de l intima carotidienne sont des moyens simples et non invasifs de contr ler le degr de scl rose et de pr dire le ris que cardiovasculaire l ge adulte Un tel follow up est n cessaire pour les en fants gu ris m me s ils ne pr sentent pas d anomalies chocardiographiques Il est tr s possible que la suite des an n es soit marqu e par la pr sence de prot ine C r active de stress oxydatif et de cytokines inflammatoires Tout an vrysme de plus de 5mm dans les suites de la maladie fait courir ris que de l sions st nosantes mais m me des coronaires apparemment normales peuvent tre associ es des l sions myocardiques uniquement rep r es l effort par SPECT Single Photon Emis sion Computed Tomography Une scl rose vasculaire inattendue est observ e et quelques cas d infarctus myocar diques pr coces sont d crits chez de jeunes adultes anciens Kawaski n existe pas encore de guidelines pour l valuation et le traitement des jeunes rescap s mais les donn
72. anxieux Si j arrive me mettre dans un avion et piloter c est que je suis vraiment convaincu qu il peu de risques Bien s r le premier vol solo est un peu stressant Il n y a plus l instructeur qui c t peut intervenir C est aussi un des in t r ts de cette passion tre dans une situation o l on doit assumer l enti re responsabilit Vous me direz que c est le cas dans bien des situations dans la vie de chacun Mais l on ne le r alise peut tre pas ce point On se dit maintenant c est toi qui dois piloter cet avion sinon cela n ira pas Jean Claude Schmit n est pas fan de moteur au point de parfaitement conna tre la m canique Il est plus attir par tout ce qui est a rodynamisme Le profil des ailes etc je trouve cela tr s int ressant Tout comme je trouve tr s int ressant que finalement on ne sa che toujours pas vraiment en physique pourquoi les avions volent Il y a beau coup d explications plusieurs th ories mais personne n est vraiment s r de rien Tout cela m int resse plus Des r ves dans sa passion le Dr Schmit en caresse plusieurs Comme de pou voir aller voler en Australie mais sur tout dans la partie nord de l Afrique du Sud Parce que l il y a de ma gnifiques r gions voir d en haut Il y a des fleuves de grands deltas ce doit tre splendide voir d avion Je vou drais aussi pouvoir voler en planeur J en ai vu beaucoup enfant
73. ardive La r f rence INNOVATE L tude INNOVATE INvestigatioN of Omalizumab in seVere Asthma TrEat ment est une tude randomis e double aveugle contr l e par placebo qui valu pendant 28 semaines Pr Ch Pilette UCL Saint Luc Woluw l efficacit et la s curit d un traite ment add on par omalizumab chez des patients atteints d asthme s v re persistant selon les crit res GINA s agissait donc essentiellement de patients qui conservaient une tomatologie asthmatique malgr un traitement par hautes doses de corti inhal s et par LABA et avaient pr sent au cours de l ann e coul e au moins deux exacerbations une exacerbation s v re Exacerbations et visites aux urgences Les r sultats ont montr chez les pa tients trait s par omalizumab une r duction de 26 2 du nombre d exacer bations mais surtout une diminution 50 du nombre d exacerbations s v res et une diminution de 43 9 du nombre de visites aux urgences En outre cette r duction des exacerba tions asthmatiques s observe ind pen damment de la fonction pulmonaire du patient ou du traitement par cortico des oraux Enfin le traitement add on par omalizumab tait galement bien tol r avec un profil de s curit et de tol rance similaire celui du placebo et se traduisait par une am lioration si gnificative de la qualit de vie valu e par le score AQLQ R s
74. as le futur de notre conomie en mati re de soins de sant Retomb es conomiques Comme la plupart des chefs de grandes en treprise les responsables de l conomie natio nale sont en ces p riodes troubl es face un dilemme qu a tr s bien r sum le Ministre l Economie et du Commerce Ext rieur Jeannot Kreck Pour assurer la p rennit de no tre d veloppement social et conomique le choix est simple c est innover o mourir Rassurez vous pour le Luxembourg nous avons opt pour la survie et ce centre de pointe que nous inaugurons aujourd hui fait partie int grante de notre plan d innovation visant faire du Luxembourg une r f rence en mati re d innovation et de recherche scientifique clinique Ce programme aura entre autres impact certain dans un do maine hautement sensible celui des soins de sant L aussi il y avait une d cision prendre impliquant l avenir rester un simple consommateur ou se muer en acteur part enti re dans le domaine de la sant C est cette voie que en accord avec mon confr re Mars Di Bartolomeo nous avons choisie En propulsant le Luxembourg sur la grande sc ne de la recherche de pointe nous esp rons d velopper de nombreux partenariats avec les industries du secteur de la sant afin de mettre au jour des mol cules innovantes ce qui laisse pr sager d importantes retomb es conomiques en cas de succ s En voyant la qualit et l enthousi
75. asculaire potentiel ainsi que du risque potentiel de survenue d effets ind sirables voir ci dessous La dose peut tre doubl e apr s 4 semaines si besoin est voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques Suite l augmentation du taux de notification des effets ind sirables avec la dose de 40 mg par rapport aux doses moins lev es voir rubrique Effets ind sirables le passage une dose maximale de 40 mg ne sera envisag que chez les patients souffrant d hypercholest rol mie s v re accompagn e d un risque cardiovasculaire lev en particulier chez les patients atteints d hypercholest rol mie familiale qui n atteindront pas les objectifs du traitement avec une dose de 20 mg et pour qui un suivi doit tre effectu en routine voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi On recommandera de faire superviser le traitement par un sp cialiste quand le patient commence prendre la dose de 40 mg Pr vention des v nements cardiovasculaires Dans l tude sur la r duction du risque d v nements cardiovasculaires la dose utilis e tait de 20 mg par jour voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques Population p diatrique L usage p diatrique est exclusivement r serv aux sp cialistes Enfants et adolescents de 10 17 ans gar ons au stade de Tanner Il et au dessus et filles r gl es depuis au moins 1 an Chez les enfants et adolescents avec une hyper cholest rol mie familiale h
76. asme de l quipe r unie ici je suis tranquille Nous sommes sur une bonne voie Espoir la question de savoir si ce projet destinait le Luxembourg devenir la prochaine Silicon Valley de l Europe le Ministre J Kreck prudent a pr f r nous r pondre qu il tait encore un peu t t pour de pareilles affirma tions car nous ne sommes qu au tout d but d une grande aventure N oubliez pas Monsieur le Ministre que ce sont les petites rivi res qui font les grands fleuves surtout quand elles portent en elles autant tise et d enthousiasme E ACTU HIV AIDS OUR COLLABORATIONS WITH AFRICA FRIDAY SEPTEMBER 24 2010 FREE ENTRANCE Amphith tre du Centre Hospitalier de Luxembourg CHL CENTRE DE RECHERCHE PUBLIC www crp sante lu Abot Coms V til bot Vi V Boehringer IDOTECC Il Ingelheim JANSSEN CILAG Healthcare Press partnership Bristol Myers Squibb Belgium 2 9 5 Semper Luxembourg septembre 2010 MEETINGS Ev nement Novartis Luxembourg Le 17 juin Novartis organisait l h tel Melia une soir e scientifique sp cialement destin e aux pneumologues luxembourgeois L occasion de souligner la place du laboratoire dans le domaine respiratoire avec des traitements tels que Xolair Tobi et Onbrez J DE orateurs de premier plan taient pr sents pour l occa sion le Professeur V Ninane CHU
77. aussi menac e que lui sinon plus une fois que ses ovaires ne la soutiennent plus Constate t on le m me ph nom ne en ce qui concerne l hypertension essen tielle et ses r percussions sur la qualit de vie en rapport avec la sant Bonne question La question m ritait d tre pos e et Katsi et al Gr ce ont tent d y r pondre 115 ont recrut 154 person nes 78 hommes et 76 femmes g s en moyenne de pr s de 55 ans et dont la pression sanguine mesur e au cabinet s levait en moyenne 152 92 mm Hg Ces personnes souf fraient donc d hypertension de sta de ou Il mais ne recevaient pas de Dr Jean Andris traitement pour cette hypertension Les deux groupes hommes et fem mes ont t appari s pour l ge la pression au cabinet et le profil lipidi que La version nationale valid e du General Health Survey questionnaire leur t soumise Pour simplifier la lecture des r ponses les huit sous rubriques du questionnaire ont t regroup es en deux ensembles l un concernant la composante physique et l autre concernant la composante psychologique Il est apparu que les femmes attribuaient des scores significativement plus faibles que les hommes leur fonctionnement physique Et l analyse statistique montr que ce d clin des capacit s physiques selon la perception des patientes a montr qu il est en cor r lation avec l ge Fragilit De ce point de vue donc les femmes
78. bsence d sophagite Si les sympt mes ne sont pas sous contr le au bout de 4 semaines il faudra pousser plus loin les investigations Une fois les sympt mes disparus on pourra obtenir un contr le ult rieur des sympt mes prescrivant 20 mg 1x jour Chez les adultes un traitement la demande on demand avec 20 mg 1x jour quand c est n cessaire peut tre suivi Le contr le ult rieur des sympt mes par un traitement la demande n est pas conseill chez les patients trait s par des AINS pr sentant un risque d ulc res gastriques et duod naux Adultes En association avec un traitement antibact rien appropri pour l radication d Helicobacter pylori et la cicatrisation de l ulc re duod nal associ la pr sence d Helicobacter pylori et la pr vention de la r cidive d ulc res peptiques chez les patients souffrant d ulc re associ la pr sence d Helicobacter pylori 20 mg de avec1 g d amoxicilline et 500 mg de clarithromycine chacun 2 x jour pendant 7 jours Patients qui ont besoin d un traitement chronique par AINS Cicatrisation des ulc res gastriques associ s la prise d AINS la dose usuelle est de 20 mg 1 fois par jour La dur e du traitement est de 4 8 semaines Pr vention des ulc res gastriques duod naux associ s la prise d AINS chez les patients risque 20 mg 1 fois par jour Traitement de prolongation apr s la pr vention initi e en i v d
79. chez les patients qui consomment des quantit s excessives d alcool et ou qui ont des ant c dents de maladie h patique Il est conseill de tester la fonction h patique avant le traitement et 3 Vivre plus longtemps le c ur tranquille Nouvelle indication chez l adulte Pr vention d v nements cardiovasculaires importants chez le patient pr sentant un risque lev de premier v nement cardiovasculaire Indication compl te voir Aidez prot ger vos patients risque cardiovasculaire avec CRESTOR AstraZeneca cr atine kinase CK apr s un effort musculaire intense ou en pr sence d une autre cause plausible d augmentation de la qui pourrait semer la confusion dans l interpr tation des r sultats Si les taux de CK sont significativement lev s au d part gt 5 x LNS un test de confirmation sera effectu dans les 5 7 jours Si ce test confirme des valeurs de d part de CK gt 5 x LNS on ne commencera pas le traitement Avant de commencer le traitement CRESTOR comme d autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase sera prescrit avec prudence chez les patients pr sentant des facteurs pr disposant la myopathie la rhabdomyolyse Ces facteurs comprennent l insuffisance r nale l hypothyro die les ant c dents personnels ou familiaux de troubles musculaires h r ditaires les ant c dent de toxicit musculaire avec un autre inhibiteur de la HMG CoA r ductase ou des fibrates une co
80. culaire gauche dans l insuffisance cardiaque chronique ainsi que dans l hypertension chez des patients diab tiques de type 2 pr sentant une n phropathie les tourdissements ont t l effet ind sirable le plus fr quent Hypertension Les v nements in d sirables suivants ont t rapport s dans les tudes cliniques contr l es men es avec le losartan dans l hypertension essentielle Affections du syst me nerveux Fr quent tourdissements vertiges Peu fr quent som nolence c phal es troubles du sommeil Affections cardiaques Peu fr quent palpitations angor Affections vascu laires Peu fr quent hypotension orthostatique en particulier chez les patients en d pl tion intravasculaire par ex emple les patients pr sentant une insuffisance cardiaque s v re ou trait s par diur tiques hautes doses effets orthostatiques dose d pendants rash Affections gastro intestinales Peu fr quent douleurs abdominales constipa tion persistante Troubles g n raux et anomalies au site d administration Peu fr quent asth nie fatigue d me Hypertension avec hypertrophie ventriculaire gauche Les v nements ind sirables ci dessous ont t rapport s dans une tude clinique contr l e men e chez des patients hypertendus pr sentant une hypertrophie ventriculaire gauche Affections du syst me nerveux Fr quent tourdissements Affections de l oreille et du labyrinthe vertiges Troubles g n raux
81. d men in treated hyper tensive patients in Finnish general practice Poster PP 7 296 http www esh2010 com abstracts online Katsi V Tsartsalis D Kontoangelos K et al Gender differences in essential hypertension the dimension of health related quality of life 20th European Meeting on Hyperten sion Oslo Norway June 18 21 2010 pos ter PP 7 295 http www esh2010 com abstracts online LE SEUL SARTAN AVEC 4 INDICATIONS DIMINUTION DE PRIX 40 SUR TOUS LES DOSAGES DE COZAAR COZAAR PLUS ET COZAAR PLUS FORTE Maintenant vous avez la valeur de Cozaar Cozaar Plus et Cozaar Plus Forte AU PRIX MINIMAL DENOMINATION DU MEDICAMENT Cozaar 12 5 Cozaar 50 mg Cozaar 100 mg comprim s pellicul s COMPO SITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim de Cozaar contient 12 5 mg 50 mg ou 100 mg de losartan potassique et 25 25 mg 25 5 mg ou 51 0 mg de lactose monohydrat FORME PHARMACEUTIQUE Com prim s pellicul s Indications th rapeutiques 1 Traitement de l hypertension art rielle essentielle chez les adultes et les enfants et adolescents g s de 6 16 ans 2 Traitement de l atteinte r nale chez les patients diab tiques de type 2 hypertendus avec prot inurie 20 5 g jour dans le cadre d un traitement antihypertenseur 3 Traitement de l insuffisance cardiaque chronique chez les patients de 60 ans et plus lorsque le traitement par IEC est inadapt en raison d une intol
82. dans le groupe trait par l omalizumab L volution la s v rit et la r ponse au traitement des infestations n ont pas t modifi es Titulaire et num ro de l autorisation de mise sur le march Novartis Europharm Limited Wimblehurst Road Horsham West Sussex RH12 5AB Royaume Uni EU 1 05 319 002 D livrance sur prescription m dicale Date de la derni re mise jour du texte 30 03 2010 XOL 02 07 10 6442 D nomination 300 mg 5 ml solution pour inhalation par n buliseur Com position et forme Une ampoule de 5 ml contient une dose unique de 300 mg de tobramycine Solution claire et jaune p le Indications Prise en charge long terme de l infection pulmonaire chronique caus e par Pseudomonas aeruginosa chez les patients atteints mucoviscidose g s de 6 ans et plus Il faut tenir compte des direc tives officielles relatives l utilisation appropri e des agents antibact riens Posolo gie et mode d administration TOBI est destin tre utilis par inhalation et non par voie parent rale Posologie Chez les adultes et les enfants la dose recommand e est d une ampoule deux fois par jour pendant 28 jours L intervalle entre les doses doit tre le plus proche possible de 12 heures et ne pas tre inf rieur 6 heures Apr s 28 jours de th rapie les patients doivent arr ter le traitement par TOBI pendant les 28 jours suivants Il faut maintenir un cycle 28 jours de th rapie active suivis
83. des patients sous placebo Des cas d l vation de l ur mie de la cr atinin mie et de kali mie ont t rapport s dans une tude clinique contr l e men e chez des patients atteints d insuffisance cardiaque Le profil des effets ind sirables chez les patients p diatriques semble tre comparable celui observ chez les adultes Les donn es sont limit es dans cette population TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Merck Sharp amp Dohme BV Chauss e de Waterloo 1135 1180 Bruxelles Belgique T l 32 0 800 38 693 MSDBelgium_info merck com NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Cozaar 12 5 mg 201144 Cozaar 50 mg 173074 Cozaar 100 mg 235627 DATE DE PREMIERE AUTORISATION DE RENOU VELLEMENT DE L AUTORISATION COZAAR 12 5 mg 22 02 1999 21 08 2006 COZAAR 50 mg 30 01 1996 21 08 2006 COZAAR 100 15 04 2002 21 08 2006 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 16 11 2009 Mode de d livrance sur prescription m dicale DENOMINATION DU MEDICAMENT Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg comprim s pellicul s Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg comprim s pellicul s COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Cozaar Plus mg 12 5 mg con tient 50 mg de losartan potassique et 12 5 mg d hydrochlorothiazide HCTZ comme substances actives Cozaar Plus Forte 100 mg 25 contient 100 mg de losartan potassique et 25 mg d hydrochlorothiazide HCTZ comme sub stances actives Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg contien
84. dirig par un ordre de moines cheva liers cherchant des fonds pour leurs op rations en terre pa enne il exer ait visiblement une fonction bancaire Un troisi me h pital de Luxembourg c l bre celui ci fut fond dans la ville peu avant 1310 par la comtesse Marguerite pouse du Comte et fu tur empereur germanique Henri VII l hospice Saint Jean situ dans la ville Ta 0 F ri ELFELE M L basse du Grund le long de l Alzette RAR Cas rare car les h pitaux m di vaux taient de pr f rence b tis la sortie de la ville voire le long des remparts et non pas en plein centre Seuls les patients les plus gravement malades souvent d j moribonds se retrouvaient seuls dans un lit Les autres devaient se partager une m me paillasse deux voire trois Image tir e du Livre de vie active des religieuses de l H tel Dieu XV si cle Semper Luxembourg septembre 2010 HISTOIRE DE LA M DECINE avant tout Point commun tous ces h pitaux l accueil du malade est soumis tout un c r monial marquant le passage du monde ext rieur la c au monde religieux Toute admission d bute d s lors par des soins spirituels le ma lade est tenu de se purifier l me par la confession et la communion ce qui souligne aussi le caract re r demp teur de la maladie et de la douleur De plus corps et esprit tant intime men
85. dose maximale de 100 une fois par jour Les doses sup rieures 1 4 mg kg ou sup rieures 100 mg par jour n ont pas t tudi es chez l enfant et l adolescent Le losartan est d con seill chez l enfant de moins de 6 ans compte tenu de l insuffisance de donn es dans cette tranche d ge Compte tenu de l absence de donn es le losartan ne doit pas tre utilis chez les enfants ayant un d bit de filtration glo m rulaire inf rieur 30 ml mn 1 73 m Le losartan ne doit galement pas tre utilis chez les enfants pr sentant une insuffisance h patique Utilisation chez les sujets g s Une posologie initiale de 25 mg devra tre envisag e chez les patients de plus de 75 ans bien qu aucun ajustement posologique ne soit habituellement n cessaire chez ces patients Contre indications Hypersensibilit la substance active ou l un des excipients Deuxi me et troisi me trimestres de la grossesse Allaitement Insuffisance h patique s v re Effets ind sirables La fr quence des effets ind sirables r pertori s ci dessous est d finie selon la convention suivante tr s fr quent 21 10 fr quent 1 100 lt 1 10 peu fr quent 1 1 000 lt 1 100 rare 21 10 000 lt 1 1 000 tr s rare lt 1 10 000 fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Dans les tudes cliniques con tr l es men es dans l hypertension essentielle dans l hypertension avec hypertrophie ventri
86. e de 40 mg est contre indiqu e chez ces patients Posologie chez les patients pr sentant des facteurs pr disposant la myopathie La dose initiale recommand e est de 5 mg chez les patients pr sentant des facteurs pr disposant la myopathie voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi La dose de 40 mg est contre indiqu e chez certains de ces patients voir rubrique Contre indications 4 3 Contre indications CRESTOR est contre indiqu chez les patients pr sentant une hypersensibilit la rosuvastatine ou l un des excipients chez les patients atteints d une affection h patique volutive y compris en cas d l vations inexpliqu es et persistantes des transaminases s riques et toute augmentation des transaminases s riques au del de 3 fois la limite sup rieure de la normale LNS chez les patients atteints d insuffisance r nale s v re clairance de la cr atinine lt 30 ml min chez les patients pr sentant une myopathie en cas de traitement concomitant avec la ciclosporine en cas de grossesse allaitement et chez les femmes ge de procr er n utilisant pas de mesures contraceptives appropri es La dose de 40 mg est contre indiqu e chez les patients pr sentant des facteurs pr disposant la myopathie la rhabdomyolyse Ces facteurs comprennent l insuffisance r nale mod r e clairance de cr atinine lt 60 ml min l hypothyro die les ant c dents pe
87. e ont pr sent une perte auditive Les aminoglycosides par voie parent rale ont t associ s la survenue d une hypersensibilit d une ototoxicit et d une n phrotoxicit Titulaire et num ro d enregistrement Novar tis Pharma SA B 1800 Vilvoorde BE 219676 D livrance sur prescription Date de mise jour de la notice 08 07 09 Vimpat add on dans l pilepsie epuis le 1 juillet Vimpat fait l objet d un rem boursement si prescrit en traitement add on des crises partielles avec ou sans g n ralisation secondaire chez des adultes et enfants partir de 16 ans pr sen tant une pilepsie dans l une des situations suivantes e en cas d chec un pr c dent traitement compre nant au moins 3 anti pileptiques en cas d chec d des effets secondaires significa tifs d un traitement pr c dent comprenant au moins 3 anti pileptiques Vimpat est disponible sous forme de comprim s pelli cul s et de sirop Famin Dose posar Compres houes 50 100 150 200 mg Serie 00 mg 2x 50 mg Semaine 2 200 mg 2x 0 m R sereine 2 300 ma Demane 4 my Nouveau m canisme d action Vimpat est un nouvel anti pileptique dot d une structure chimique diff rente qui agit par le biais des canaux sodiques voltage d pendants pour diminuer l hyperexatabilit pathologique L efficacit et la tol rance du lacosamide en associa tion ont t d montr es dans 3 tudes pivots sur
88. echerche pu blic Henri Tudor CRP ont entam des travaux pour le compte de l Observa toire de la Comp titivit afin de mettre FINANCE en place au niveau national nouvel outil d valuation de la productivit au Luxembourg de son volution en fonc tion des diff rents secteurs d activit important pour une conomie encore tir e par sa place financi re et dont l importance peut fausser les statisti ques ainsi que leur interpr tation et de son positionnement par rapport ses partenaires en Europe Les chercheurs ont ainsi mis au point instrument sp cifique baptis Luxklem pour me surer la productivit totale des facteurs PTF de l conomie du Luxembourg Les donn es utilis es par l Observatoire de la Comp titivit d pendant du mi nist re de l conomie et du Commerce ext rieur couvrent la p riode de 1995 2008 Elles montrent que si le Luxem bourg a le plus haut niveau de producti vit du travail l Euro pe des 15 la croissance de la productivit du tra vail et de la productivit totale des facteurs sont les plus faibles Le taux de croissance de la productivit du travail mesur par les chercheurs du Statec et du CRP ainsi accus une d gradation de 8 03 en 2008 Les travaux d organismes in ternationaux et europ ens obtiennent pour le Luxembourg des s ries un peu moins alarmantes qui ne remettent ce pendant pas en cause la pertinence des donn es pr sent
89. ela d pend du temps dont je dispose Par contre pour ce qui est des vols la chose la plus int ressante que j ai fai te Jusqu pr sent c est un survol du Grand Canyon aux Etats Unis l ann e pass e l occasion d un voyage pro fessionnel Phoenix en Arizona Nous en avons profit pour louer un petit avion et faire ce survol 12 500 pieds puisque l altitude minimale est mainte nant r glement e suite aux accidents C tait magnifique L int r t vers le transport a rien en g n ral est moins marqu L avion est souvent comme un bus et vent aussi peu confortable sauf 5 PEOPLE l on peut voler en Business ou First class L aviation sous son aspect trans port n est pas tr s amusante m me si les avions sont beaux voir Prenez un avion comme l Airbus A 380 Ses d monstrations en vol au Bourget taient tr s impressionnantes Il est norme et se d place avec une facilit et une maniabilit inou es Par contre si j avais l occasion de visiter les est enthousiaste Mais il s endort apr s cinq minutes comme tous les enfants en avion Chaque fois qu il peut m accompagner il le veut abso lument puis s endort La partie la plus amusante pour lui c est de nettoyer l avion apr s l atterrissage il faut ter les mouches et insectes sur les vitres et la carlingue Je pense que lorsqu il sera plus grand il sera tr s attir nes de montage je ne le
90. ence ind termin e d me Les effets ind sirables suivants ont t rapport s avec certaines statines D pression Troubles du sommeil y compris insomnies et cauchemars Dysfonctionnement sexuel Cas exceptionnels de maladie pulmonaire interstitielle en particulier lors de traitement long terme voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Le nombre de rapports de rhabdomyolyse d affections r nales s v res et d affections h patiques s v res consistant principalement en une l vation des transaminases h patiques est plus lev avec la dose 40 mg Population p diatrique Dans une tude clinique de 52 semaines des augmentations de cr atine kinase gt 10 x LNS et des sympt mes musculaires apr s l effort ou apr s une augmentation de l activit physique ont t observ s plus fr quemment chez les enfants et les adolescents par comparaison aux adultes voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Par ailleurs le profil de s curit d emploi de la rosuvastatine tait similaire chez les enfants et les adolescents par comparaison aux adultes 5 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE NV AstraZeneca SA Rue E Van Ophem 110 B 1180 Bruxelles Tel 32 0 2 370 48 11 6 NUMEROS D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE CRESTOR 5 mg plaquette thermoform e 276945 Conditionnement HDPE BE276963 CRESTOR 10 mg plaquette thermoform e BE250187 Conditionne
91. es de signal et les effecteurs et ainsi une efficacit lev e pendant 24 heures permettant Une adminis tration en une prise par jour Effet de 24h sur le VEMS On dispose aujourd hui de plusieurs tudes valuant les donn es de VEMS avec l indacat rol en comparaison avec un placebo ainsi qu avec les autres LABA et LAMA Ainsi l tude INHANCE a permis la fois de d terminer les doses optimales de l in dacat rol 150 et 300 ug une fois par jour et d valuer l efficacit ainsi que la s curit du traitement Cette tude a montr que l indacat rol permet d obtenir une am lioration significa tive du VEMS de fin d intervalle poso logique c est dire le matin avant la prise suivante du m dicament par rapport au tiotropium et ce sur 26 semaines L tude INVOLVE d autre part a montr que l indacat rol of fre une am lioration significative du VEMS de fin d intervalle posologique sur 52 semaines sup rieure celle obtenue avec le formot rol De plus cette diff rence significative est pr sente d s le 2 jour et atteint 100 ml apr s 12 semaines de traitement B n fices cliniques Mais au del du VEMS l important pour le patient est l impact sur la ma Pr V Ninane CHU Saint Pierre Bruxelles ladie au quotidien Et en la mati re les tudes montrent galement que l indacat rol am liore dyspn e du patient score focal TDI le score de qualit de vie score tota
92. es pr liminai res indiquent qu un suivi cardiaque long terme doit tre propos Dans ce programme le scanner coronaire non invasif a probablement sa place H Bibliographie 1 Rowley A H Shulman S T Pathogene sis and management of Kawasaki disease Expert Rev Anti Infect Ther 2010 Feb 8 2 197 203 2 Galeotti C et al Kawasaki disease Aetiopathogenesis and therapeutic utility of intravenous immunoglobulin Autoim mun Rev 2010 Jan 6 Nouveaux prix publics partir du 01 08 2010 20 mg 14 cprs 9 25 20 mg 28 cprs 14 46 45 20 mg 56 cprs 20 59 55 40 mg 28 cprs 18 66 45 Convaincu par son efficacit Maintenant surpris par son prix PRIX v Nexiam som prazole Baisse des prix de 41 55 A partir du 1 ao t 4 AstraZeneca 2 INFORMATIONS ESSENTIELLES 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT NEXIAM 20 mg comprim s gastro r sistants NEXIAM 40 mg comprim s gastro r sistants 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprim contient 20 mg ou 40 mg d som prazole sous forme de sel de magn sium trihydrat Pour la liste compl te des excipients voir rubrique Liste des excipients 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim gastro r sistant 20 mg comprim rose p le de forme ellipso dale biconvexe pellicul grav sur les 2 faces 1 face porte la gravure 20 mg l autre mg comprim rose de forme ellipso d
93. es r cemment par le Statec ainsi le taux de croissance de la productivit du travail se limite une perte de 5 5 pour l OCDE et de 4 2 pour Eurostat Le taux de croissance de la PTF est pass pour le Luxembourg de 1 2 entre 1996 et 2007 0 5 en tre 1995 2008 quoi s ajoute de gain d efficacit pour les deux p rio des et un taux de progr s technique qui s est galement d grad 0 5 L volution n gative de la productivit selon les chiffres officiels donne ainsi de bonnes cartes en main au gouver nement de Jean Claude Juncker pour faire voluer le syst me de l indexa tion automatique des salaires vers un nouveau mod le E Semper Luxembourg septembre 2010 es p wi LA C est un fait Cuba a l art de cultiver ses mythes Le Che immortalis par Korda continue bien malgr lui vendre son sex appeal sur des t shirts Hemingway se consomme au bar du coin l image de l crivain noy e dans une bonne rasade de rhum agricole Quant aux Belles Am ricaines Ca dillac Ford Fairlane Chevrolet Bel Air Pontiac Plymouth Oldsmobile elles poursuivent leur route faisant r ver le touriste auquel elles prouvent assez ironiquement par ailleurs l existence d une poque pr r volutionnaire Servane Calmant pas photo Le c l bre clich pris par Alberto Korda en 1960 et le montage d images cr ensuite par Warhol ont rendu Le Che plus populaire chez nous
94. espiratoires thoraciques et m diastinales Fr quence ind termin e toux Affections gastro intestinales Fr quence ind termin e diarrh e Affections h patobiliaires Rare h patite Fr quence ind termin e anomalies de la fonction h patique Affections de la peau et du tissu sous cutan Fr quence ind termin e urticaire prurit rash Affections musculo squelettiques et du tissu conjonctif Fr quence ind termin e myalgies arthralgies Affections du rein Des modifications de la fonction r nale incluant une insuffisance r nale dues l inhibition du syst me r nine angiotensine aldost rone ont t rapport es chez des patients risque ces modifications de la fonction r nale peuvent tre r versibles l arr t du traitement Investigations Dans les tudes cliniques contr l es des modifica tions cliniquement significatives des param tres biologiques standards ont t rarement associ es l administration de comprim s de losartan Des l vations de l ALAT sont survenues rarement et en g n ral ont disparu l arr t du traitement Dans les tudes cliniques men es dans l hypertension 1 5 des patients ont d velopp une hyperkali mie taux de potassium s rique gt 5 5 mmol l Dans une tude clinique men e chez des patients diab tiques de type 2 pr sentant une n phropathie une hyperkali mie gt 5 5 mmol l a t observ e chez 9 9 des patients trait s par le losartan comprim s et 3 4
95. et adolescents Le losartan HCTZ ne doit donc pas tre utilis chez l enfant et l adolescent Contre indications Hypersensibilit au losartan aux d riv s sulfa mid s tels que l hydrochlorothiazide ou l un des excipients Hypokali mie ou hypocalc mie r sistante au traite ment Insuffisance h patique s v re cholestase et troubles obstructifs biliaires Hyponatr mie r fractaire Hyper uric mie symptomatique goutte 2 et 3 trimestres de la grossesse Allaitement Insuffisance r nale s v re c est dire clairance de la cr atinine lt 30 ml mn Anurie Effets ind sirables Les effets ind sirables ci dessous sont r pertori s si appropri par classe d organe et fr quence selon la convention suivante Tr s fr quent 21 10 Fr quent gt 1 100 lt 1 10 Peu fr quent 21 1000 lt 1 100 Rare gt 1 10000 lt 1 1000 Tr s rare lt 1 10000 Inconnue ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Dans les essais cliniques men s avec le losartan et l hydrochlorothiazide aucun effet ind sirable sp cifique cette association n a t observ Les effets ind sirables ont t limit s ceux d crits pr c demment avec le losartan et ou l hydrochlorothiazide Dans les tudes cliniques contr l es men es dans l hypertension essentielle les tourdissements ont t le seul effet ind sirable li au m di cament et rapport avec une fr quence sup rieure au placebo chez au moins 1 des
96. existe tout ge m me adulte D crite pour la premi re fois au Japon en 1967 c est la plus fr quente vascularite auto immune de l enfant avec le purpura d Henoch Schoenlein Il s agit g n ralement d un gar on f brile depuis au moins cinq jours dont les sympt mes font penser maladie rup tive conjonctivite langue frambois e ch ilite exanth me morbilliforme puis scarlatiniforme ryth me palmo plantaire d me des extr mit s et ad nopathies cervicales La biologie montre un syndrome inflammatoire avec polynucl ose et thrombocytose gt 500 000 La fr quence plus grande de la maladie de Kawasaki chez certai nes populations notamment au Japon plus de 10 000 nouveaux cas chaque ann e et l existence de quelques cas familiaux inspirent la recherche g n tique La pr sence d pid mies saison ni res fin d hiver d but de printemps a fait croire tort origine in fectieuse En r alit tous les indices confirment qu il s agit d un d sordre immunitaire probablement partielle ment g n tique perfusion d infliximab R agir rapidement Des anomalies art rielles en particulier coronariennes se d veloppent chez 25 30 des cas non trait s Ces l sions peuvent galement toucher le c ur et les gros vaisseaux et tre tr s s v res de la myocardite et la p ricardite la phase aigu jusqu l installation progressive d an vrys
97. fets ind sirables d pendra de la dose Effets r naux On a observ de la prot inurie le plus souvent d origine tubulaire d tect e un test avec tigette chez des patients trait s par CRESTOR Des passages des taux de prot ines urinaires allant de absence ou traces un niveau ou davantage ont t momentan ment observ s au cours de traitement par 10 et 20 mg chez moins de 1 des patients et chez approximativement des patients trait s par 40 mg Une augmentation mineure du passage de absence ou traces a t observ e avec une dose de 20 mg Dans la plupart des cas la prot inurie diminue ou dispara t spontan ment au cours du traitement Aucun lien de causalit entre la prot inurie et une pathologie r nale aigu ou progressive n a t mis en vidence lors la revue des donn es provenant d essais cliniques et de l exp rience apr s commer cialisation actuelle Une h maturie a t observ e chez des patients trait s par CRESTOR Les tudes cliniques montrent que la fr quence est faible Effets sur les muscles squelettiques On a rapport des effets sur les muscles squelettiques par exemple des myalgies des myopathies compris la myosite et dans de rares cas une rhabdomyolyse avec ou sans dysfonctionnement r nal aigu chez des patients trait s par CRESTOR toutes les doses et en particulier des doses gt 20 mg Une augmentation des taux de CK reli e
98. gment e un comprim de Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg 100 mg de losartan 25 mg d hydrochlorothiazide une fois par jour La dose maximale est de un comprim de Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg une fois par jour En g n ral l effet antihypertenseur est atteint dans les 3 4 semaines suivant le d but du traite ment Utilisation chez les patients insuffisants r naux et patients h modialys s Aucune adaptation de la posologie initiale n est n cessaire chez les patients atteints d insuffisance r nale mod r e clairance de la cr atinine 30 50 ml mn Les comprim s de losartan hydrochlorothiazide ne doivent pas tre utilis s chez les patients h modialys s Les comprim s de losartan HCTZ ne doivent absolument pas tre utilis s chez les patients atteints d insuffisance r nale s v re clairance de la cr atinine lt 30 ml mn Utilisation chez les patients pr sentant une hypovol mie L hypovol mie et ou l hyponatr mie doivent tre corrig es avant le d but du traitement par losartan HCTZ sous forme de comprim s Utilisation chez les patients insuffisants h patiques L administration de losartan HCTZ est contre indiqu e chez les patients pr sentant une insuffisance h patique s v re Utilisation chez les sujets g s En g n ral il n est pas n cessaire d adapter la posologie chez les patients g s Utilisation chez les enfants et adoles cents en dessous de 18 ans Il n y a pas d exp rience chez les enfants
99. hiques sont rest s n gatifs plus longtemps s il existe des anomalies coronariennes Comment rep rer les risques l atteinte cardiaque est plus fr quente avant un an et apr s cinq ans mais rare chez l adulte 5 Cette constatation a incit des chercheurs tu dier les facteurs de risque des art res coronaires chez 161 nourrissons de moins de un an et 60 enfants de plus de cinq ans diagnostiqu s par cho graphie endovasculaire coronarienne et histologie virtuelle Les crit res cli niques et biologiques avant et apr s traitement gammaglobulines montrent que les plus jeunes enfants pr sentent plus souvent un tableau incomplet tardivement inqui tant et les plus g s une mauvaise r ponse aux gammaglobulines Dans les deux cas le risque d atteinte coronaire est plus lev En plus de l ge la longue dur e de la fi vre avant traitement un nombre de plaquettes tr s lev et la non r ponse aux immunoglobulines sont typiques des cas an vrysmaux Une tude r cente propose en outre une pr disposition l arythmie ventri culaire par un espace QT plus prolon g Il est aussi int ressant de pr ciser que les enfants qui pr sentent unique ment des ad nopathies et de la fi vre prolong e sont plus en danger d vo lution s v re et an vrysmale que si le tableau est floride C est pourquoi les crit res de l AAFP American Academy of Family Physicians de 2006 insistent
100. i qu on traque chaque personnage est d voil travers une autre facette O le h ros nous ment se ment Pour orchestrer cette descente aux enfers Martin FIRATES Michael Crichton Pirates Robert Laffont ditions sur les rhumeries les bordels les ma ladies tropicales les rapports de force entre les empires britannique et espa gnol le tout rythm de nombreux tr s nombreux rebondissements Le roman de la rentr e d vorer fissa 8 LEDNARDO DVD Martin Scorsese Shutter Island Paramount Scorsese un ma tre pour la 4 fois en tandem avec DiCaprio Parfaitement l aise avec les codes du film noir gothi que un peu moins avec ceux du fan tastique voyez les quelques sc nes fantasm es il r ussit un polar cr pus culaire plusieurs moment judicieu sement effrayants qui interroge une certaine psychiatrie d apr s guerre va sans dire que le constat se r v lera aussi effroyable si pas plus que le dra me qui se joue devant nous 29 09 2010 de 18h 20h St rung des Sozialverhaltens Lieu CHNP Centre Hospitalier Neuro Psychiatrique Orateur s Dr Michael Meusers Gemeins chaftskrankenhaus Herdeke Deutschland 13 11 2010 de 8h30 13h Alformec Gastroent rologie Lieu H tel Melia Programme Les allergies alimentaires my thes et r alit s St atoses et st ato h patites non alcooliques une nouvelle pid mie Diverticulose et
101. ication s a Soci t anonyme au capital de 31 000 Adm responsable Dr Corinne Rosman 31 Val Sainte Croix L 1371 Luxembourg T l 352 26 25 61 41 Fax 352 26 25 82 01 R C S Luxembourg B 110 223 Autorisation d tablissement N 123743 Directeur g n ral Dr Eric Mertens drmertens dsb lu Les articles photos dessins et autres illustrations de la partie r dactionnelle de Semper ne comportent pas de publicit Les mentions d entreprises ou de produits figurent titre documentaire Les articles photos et dessins ainsi que les opinions et les publicit s sont publi s sous la seule responsabilit des auteurs ou annonceurs Tous droits de traduction d adaptation et de reproduction par quelque proc d que ce soit sont r serv s pour tous pays PP 1165 65 1 stylo pr rempli 50 mg Voici Simponi le premier anti T NF sous cutan efficace en une seule injection par mois simple d utilisation pour le patient Polyarthrite rhumato de Spondylarthrite ankylosante Rhumatisme psoriasique Une fois par mois on Un anti TNF simple d utilisation pour les patients Keystone EC et al Ann Rheum Dis 2009 68 789 796 Inman RD et al Arthritis and Rheumatism 2008 58 N 11 3402 3412 Kavanaugh A et al Arthritis and Rheumatism 2009 60 N 4 976 986 Simponi notice scientifique 2010 Pour de plus amples informations sur les diff rentes indications veuillez consulter l
102. ient dans le lait 4 7 Effets sur l aptitude conduire des v hicules et utiliser des machines Il n existe pas d tudes concernant l effet de ce m dicament sur l aptitude conduire un v hicule ou manipuler des machines Lors de la conduite d un v hicule ou de la manipulation de machines ou d un travail en quilibre instable il faut tenir compte que des vertiges et de la somnolence ont t rapport s dans de rares cas 4 8 Effets ind sirables La brivudine t administr e plus de 3900 patients dans des tudes cliniques Le seul effet secondaire potentiel fr quent fut l apparition de naus es 2 1 L incidence et le type d effets secondaires potentiels correspondaient ceux connus pour d autres agents antiviraux nucl osidiques appartenant la m me classe Les effets secondaires potentiels li s la brivudine ont t r versibles et g n ralement d intensit l g re mod r e Le tableau ci dessous num re les effets secondaires potentiels par syst me et par ordre d croissant d incidence Syst me Fr quents 1 10 Troubles gastro intestinaux Naus es Peu fr quents 1 19 Troubles h matologiques et lymphatiques Granulocytop nie osinophilie an mie lymphocytose monocytose Troubles m taboliques et nutritionnels Anorexie Troubles psychiatriques Insomnie Troubles neurologiques C phal es tourdissements vertiges somnolence Troubles gastro intestinaux Dyspepsie vomissements douleurs abdom
103. illa d Echternach et comprenant un pe tit hospice Mais n allez pas imaginer un grand centre de soins temp re le Dr Henri Kugener ll y a fort parier qu il n y avait l que de quoi traiter les ampoules au pied gu re plus C est que les premiers hospices g n rale ment situ s en des endroits assez iso l s ne sont nullement destin s soi gner mais bien offrir l hospitalit Le monast re d Echternach se situant alors le long d une ancienne voie ro maine reliant Metz Tr ves nom breux sont les p lerins et voyageurs chercher asile en ses murs Charit bien ordonn e Avec l essor des villes partir des XII et XIII si cles la vocation des h pitaux va toutefois voluer La notion d hos pitalit demeure mais est davantage tourn e vers les indigents plut t que vers les voyageurs L h pital urbain m di val peut en quelque sorte tre qualifi de maison des pauvres les n cessiteux mais aussi les petits commer ants et artisans trop mala des ou bless s que pour subvenir leurs besoins y trouvent le g te et le couvert le temps que leur tat liore L objectif est finalement plus de r conforter le patient que d offrir un r el traitement curatif m me si quel ques soins m dicaux et spirituels sont bien videmment pr vus On vient donc l h pital en dernier recours pour autant qu on en ait les moyens on fait d abord appel aux chirurgiens ba
104. inales diarrh e flatulence constipation Troubles h patobiliaires St atose augmentation des enzymes h patiques h patite Troubles cutan s et des tissus sous cutan s R actions allergiques prurit ruption ryth mateuse augmentation de la sudation Troubles g n raux Asth nie fatigue 4 9 Surdosage On n a rapport comparables ceux retrouv s chez les suj de brivudine chez l homme recevant les doses pr vues 125 m d riv s phosphoryl s est catalys e par des enzymes cod es par le virus essentiellement la thymidine kinase La phosphorylation n a lieu que dans les cellules infect es ce qui explique la grande s lectivit de la brivudine vis vis de infect es par les virus persiste dans ces cellules pendant plus de 10 heures et interagit avec la polym rase de l ADN viral Cette interaction est responsable de de r sistance est bas sur la d ficience de l enzyme virale thymidine kinase TK Cependant dans is pour la r sistance sont le traitement antiviral chronique et l immunod ficience du patient deux situations peu probables pour les indications et posologies recommand es La concentration de brivudine capable d inhiber in vitro la r plication virale correspond 0 001 extr mes 0 0003 0 003 ug ml D s lors la brivudine est approximativement 200 1000 fois plus puissante que l aciclovir et le penciclovir sur le plan d l inhibition in vitro de la r plication du VZV Les concent
105. ineuse ou intramusculaire Les injections sous cutan es seront faites dans la r gion deltoide du bras En cas d impossibilit elles pourront tre r alis es dans la cuisse I existe peu d exp rience sur l auto injection de Xolair Aussi le m dicament devra tre administr par un professionnel de sant Dur e du traitement suivi et ajustements posologiques L arr t du traitement par Xolair entraine g n ralement un retour des taux lev s d IgE circulantes et des sympt mes associ s Les tudes cliniques ont d montr qu un d lai d au moins 12 16 semaines est n cessaire pour b n ficier de l efficacit du traitement par Xolair L efficacit du traitement devra tre r valu e par le m decin apr s seize semaines de traitement avant de poursuivre les injections La d cision de poursuivre Xolair se basera sur l observation d une am lioration significative du contr le de l asthme Les taux d IgE totales peuvent tre lev s au cours du traitement et peuvent le rester jusqu un an apr s l arr t du traitement Par cons quent un nouveau dosage du taux d IgE au cours du traitement par Xolair ne peut pas tre utilis pour d terminer les doses administrer Apr s une interruption de traitement de moins d un an la dose administrer sera d termin e sur la base du taux d IgE s riques mesur lors de d termination de la dose initiale Si le traitement par Xolair a t interrompu pendant an ou plus un nouveau
106. iniques il est attendu un taux d environ 16 de patients trait s par Xolair pr sentant des v nements ind sirables Lors des essais cliniques chez les adultes et les adolescents g s d au moins 12 ans les v nements ind sirables les plus fr quemment rapport s ont t des r actions au point d injection notamment une douleur un gonflement un ryth me et un prurit au point d injection ainsi que des maux de t te Dans les tudes cliniques men es chez des patients g s de 6 ans moins de 12 ans les effets ind sirables les plus fr quemment rapport s suceptibles d tre li s au m dicament ont t des c phal es une fi vre et des douleurs abdominales hautes La plupart de ces r actions ont t d intensit l g re ou mod r e Les effets ind sirables signal s lors des essais cliniques pour la population globale trait e par Xolair et analys e pour la tol rance sont repris ci apr s par syst me ou organe et par fr quence Au sein de chaque groupe de fr quence les effets ind sirables doivent tre pr sent s suivant un ordre d croissant de gravit Les fr quences sont d finies de la mani re suivante fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 000 lt 1 100 et rare lt 1 1 000 Les effets ind sirables rapport s apr s commercialisation sont mentionn s sous la rubrique fr quence ind termin e ne peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Affections h matologiques et du syst me
107. intensit l g re mod r e et aucun n a entrain l arr t du traitement fr quent et dysfonction rectile peu fr quent Tests biologiques Dans l ensemble des tudes cliniques l incidence des v nements ind sirables biologiques a t similaire chez les patients trait s par la saxagliptine 5 mg et chez les patients trait s par placebo Une l g re diminution du nombre absolu de lymphocytes a t observ e Pour un nombre absolu moyen de lymphocytes avant traitement d environ 2 200 cellules uL une diminution moyenne d environ 100 cellules uL a t observ e comparativement au placebo dans une analyse pool e contr l e versus placebo Le nombre moyen de lymphocytes est rest stable lors d une administration quotidienne allant jusqu 102 semaines Les diminutions du nombre de lymphocytes n ont pas t associ es des effets ind sirables cliniquement significatifs La significativit clinique de cette diminution du nombre de lymphocytes comparativement au placebo n est pas connue 5 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Bristol Myers Squibb AstraZeneca EEIG Bristol Myers Squibb House Uxbridge Business Park Sanderson Road Uxbridge Middlesex UB8 1DH Royaume Uni 6 NUM RO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCH EU 1 09 545 001 EU 1 09 545 002 EU 09 545 003 EU 1 09 545 004 EU 09 545 005 EU 1 09 545 006 EU 1 09 545 007 EU 1 09 545 008 EU 1 09 545 009 EU 1 09 545 010 7 STATUT LEGAL DE DELIVRAN
108. ion cardiog nique Apr s traitement selon le proc d mis au point par Cardio3 Biosciences qui constitue une sorte de programma tion de leur diff renciation elles ont montr une r gulation la hausse de l expression intracytoplasmique et la translocation nucl aire de facteurs de transcription cardiaques Elles taient devenues potentiellement aptes donner des cellules pr curseurs des cardiomyocytes Des contr les et des tests L acquisition des propri t s caract ristiques de ces cellules pr curseurs a fait l objet d un nombre impression nant de contr les biochimiques et morphologiques ce qui repr sente d j un exploit scientifique et tech nique en soi Restait tester leur efficacit biologique in vivo avant de pouvoir en faire un v ritable trai tement en m decine humaine Pour cette v rification les cellules trait es in vitro ont t inject es des sou L action r g n ratrice unique de cette approche devrait montrer des b n fices cliniques dans un programme de phase III ris atteintes d un dysfonctionnement cardiaque comparable celui que l on rencontre chez des patients en phase chronique post infarctus Elles ont permis d am liorer la fonction cardiaque repeuplant le tissu ci catriciel d l infarctus et en g n rant de nouveaux vaisseaux sanguins Cela a conduit r duire la cicatrice et reconstruire chez ces animaux du tissu cardiaque humain fonction
109. ion de la Pharmacie et des M dicaments DPM est aussi charg e de l change d information et de la notification d effets v nements ind sirables et de la maintenance de la banque europ enne des donn es des tudes cliniques Eudra CT clinical trials data bank Les phases de la recherche clinique Phase 1 Tol rance ou innocuit Des quantit s croissantes de la mol cule tester sont administr es des volontaires sains sous surveillance troite Cette phase permet d valuer les grandes lignes du profil de tol ran ce du produit et de son activit phar macologique Phase 2 Efficacit du produit sur de petites populations et recherche de dose Cette phase se d roule chez un pe nombre de patients hospitalis s Il s agit ici de v rifier que le rapport b n fice risque est favorable et au moins quivalent au traitement existant n entra ne pas des effets secondaires importants La dose optimale c est dire celle pour laquelle l effet th ra peutique est le meilleur pour le moins d effets secondaires est tablie Phase 3 tudes pivot Dans les conditions aussi proches que possible des conditions habituelles d utilisation des traitements le rap port efficacit tol rance est v rifi RECHERCHE sur un grand groupe de malades Pr cautions d emploi et risques d in teractions avec d autres produits sont identifi s Les essais peuvent couvrir plusieurs centaines plu
110. isante donner des pr cur seurs de cellules cardiaques Et il est pour l instant impossible de pr dire quelles sont les personnes dont les cellules ont un tel potentiel et quelles sont celles chez lesquelles le proc d dans son tat actuel ne donne pas les r sultats esp r s Une explication possi ble serait que leur aptitude r pondre d pende du site de pr l vement celui op rant un premier conditionnement de leur devenir Certains sites seraient d s lors plus favorables que d autres Cet aspect Important devrait encore tre explor Mais on peut saluer le tra vail accompli jusqu ici m Bibliographie Behfar A Yamada S Crespo Diaz R et al Guided Cardiopoiesis Enhances Thera peutic Benefit of Bone Marrow Human Mesenchymal Stem Cells in Chronic Myo cardial Infarction Journal of the American College of Cardiology 2010 56 721 34 Marban E Konstantinos M Boot Camp for Mesenchymal Stem Cells Journal of the American College of Cardiology 2010 56 735 9 INFORMATIONS ESSENTIELLES 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT CRESTOR 5 mg comprim s pellicul s CRESTOR 10 mg comprim s pellicul s CRESTOR 20 mg comprim s pellicul s CRESTOR 40 mg comprim s pellicul s 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE CRESTOR 5 mg chaque comprim contient 5 mg de rosuvastatine sous forme de rosuvastatine calcique Chaque comprim contient 94 88 mg de lactose monohydrat CRESTOR 10 mg chaque comprim contien
111. istant s v re ayant un test cutan positif ou une r activit in vitro un pneumallerg ne perannuel et qui malgr un traitement quotidien par un cortico de inhal forte dose et un b ta2 agoniste inhal longue dur e d action pr sentent une r duction de la fonction pulmonaire VEMS lt 80 de la valeur th orique des sympt mes diurnes ou des r veils nocturnes fr quents et des exacerbations s v res multiples et document es de l asthme Enfants de 6 ans moins de 12 ans Xolair est indiqu en traitement additionnel pour am liorer le contr le de l asthme chez les patients atteints d asthme allergique persistant s v re ayant un test cutan positif ou une r activit in vitro un pneumallerg ne perannuel et qui malgr un traitement quotidien par un cortico de inhal forte dose et un b ta2 agoniste inhal longue dur e d action pr sentent des sympt mes diurnes ou des r veils nocturnes fr quents et des exacerba tions s v res multiples et document es de l asthme Le traitement par Xolair ne doit tre envisag que chez les patients pr sentant un asthme dont la d pendance aux IgE limmunoglobulines E a t tablie sur des crit res probants Posologie et mode d administration Le traitement par Xolair doit tre instaur par un m decin exp riment dans le diagnostic et le traitement de l asthme persistant s v re La dose et la fr quence d administration adapt es de Xolair sont d termin
112. l SGRO mais aussi le d lai avant la premi re exacerbation la capacit inspiratoire et encore la tol rance l effort Et ce avec un profil de s curit et de tol rance optimal notamment sur le plan cardiovasculaire Enfin le device Breezhaler mis au point pour On brez permet de contr ler ais ment bonne prise du m dicament ce qui constitue un atout suppl mentaire pour le suivi clinique H Dr R Dehesbaye d apr s un expos du Pr V Ninane 1 Gold guidelines updated 2009 2 Donohue J et al AJRCCM 2010 182 155 162 3 Dalh R et al Thorax 2010 65 473 479 4 RCP ONBREZ ICS corticost ro ides inhal s et LABA b ta agonistes longue dur e d action D nomation Xolair 150 mg poudre et solvant pour solution injectable Composition Un flacon contient 150 mg d omalizumab L omalizumab est un anti corps monoclonal humanis produit par la technique dite de l ADN recombinant sur une lign e cellulaire de mammif re la lign e cellulaire ovarienne de hamster chinois CHO Apr s reconstitution le flacon contient 125 mg ml d omalizumab 150 mg dans 1 2 ml Forme pharmaceutique Poudre et solvant pour solution injectable Xolair est une poudre lyophilis e de couleur blanc cass Indications th rapeutiques Adultes et adolescents partir de 12 ans Xolair est indiqu en traitement additionnel pour am liorer le contr le de l asthme chez les patients atteints d asthme allergique pers
113. la difficult que posent les 5 10 de patients souffrant d asth me allergique s v re o les nouveaux traitements ont leur place et sp ciale ment les traitements ciblant les IgE Sur la phase initiale et sur la phase tardive En liant aux IgE libres lib r s par le plasmocyte et diminuant l expression cialement la place des anti IgE Xolair et d autre part la pr sentation l inda cat rol Onbrez mol cule de nouvelle g n ration dans la BPCO disponible maintenant au Grand Duch Novartis en pathologie respira toire c est galement Tobi anti biotique anti Pseudomonas aeri gunosa inscrit sur la liste positive au taux pr f rentiel de 80 taux pouvant tre port 100 pour le traitement la mucovisci dose avec l accord pr alable du Contr le m dical de s curit so ciale sur base d une ordonnance m dicale individuelle motiv e du r cepteur aux IgE l omalizumab exerce un effet de d sensibilisation mastocytaire ce qui se traduit par la diminution de la r ponse inflammatoi re et par une r duction de la lib ration de m diateurs allergiques Pour le patient asthmatique cette ac tion aboutit une diminution la fois de la phase initiale et de la phase tardive de la r ponse allergique et ce contrai rement aux cortico des inhal s qui n ont qu un effet modeste sur la phase aigu et aux stabilisateurs des mastocytes qui agissent peu sur la phase t
114. liers chr tiens et les eccl siastiques qui les accompagnent importeront l id e Notable diff rence la qualit des soins prodigu s restera long temps bien meilleure chez les musulmans qui n h sitent pas isoler les malades contagieux ni sp cialiser certains tablissements dans des domaines aussi pointus que l ophtalmologie pour ne citer qu un exemple RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 DENOMINATION DU MEDICAMENT Zerpex 125 mg comprim s 2 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE 1 comprim Zerpex contient 125 mg de brivudine Pour la liste compl te des excipients voir rubrique 6 1 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim Comprim s blancs ou blanch tres disco des bords biseaut s DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques T raitement pr coce du zona aigu chez les adultes immunocomp tents 4 2 Posologie et mode d administration Les adultes prendront un comprim de Zerpex une fois par jour pendant 7 jours On d butera le traitement d s que possible de pr f rence dans les 72 heures de l apparition des premi res manifestations cutan es g n ralement apparition d une ruption ou 48 heures apr s l apparition de la premi re v sicule Les comprim s doivent tre pris plus ou moins au m me moment chaque jour Il est conseill au patient de consulter son m decin si les sympt mes persistent ou s aggravent apr s les 7 jours de traitement Le produit est indiqu pour une utilisation
115. lioration des performances le pourcen 1 gt Fi L ors iem TESPIT ns E R TES Luxembourg au top rs 6 Le congr s de l ESC est aussi arm digue a d B n 2 chaque soci t D Due CU Sn due me nationale de pr senter ses i oo lt BER 8 BS pm activit s aux autres soci t s es membres Et dans le cas du aren u ntm es Grand Duch de rappeler ee ma Be gt gt la tr s enviable de position fan a mme nationale au Euro Consumer ms en ma me Heart Index Health Consumer Powerhouse CEE PRESS Si rT ii sucre becs Bas rri mpr nes On Bo Re ns ns nd Eos AE T r DOSSIER M DICAL tage de patients reperfus s passant par exemple de 77 en 2006 81 en 2008 De m me le pourcentage de patients reperfus s dans les premi res heures est pass de 53 en 2006 63 2008 Enfin 64 des pa tients ont b n fici d une angioplastie primaire en 2008 alors qu ils n taient que 52 en 2006 Quelles ont t les cl s de cette am lioration Dr Boisant Le point marquant est l am lioration de l or ganisation des centres sur les 136 centres participants avec un d lai de d but
116. lique Monsieur de La Palisse en aurait dit autant de ne voler que lorsque la vue est suffisante Ce qui dans nos contr es o souvent Le Dr Schmit caresse plusieurs r ves comme de pouvoir aller voler en Australie mais surtout dans la partie nord de l Afrique du Sud la seule vue l ext rieur est celle d un mur d eau et de nuages tr s bas limite nettement les possibilit s J aimerais un jour passer mon brevet de vol aux instruments Mais c est difficile parce que d abord c est tr s cher il faut compter vingt mille euros que je n ai pas et ensuite cela passe par nor m ment de cours th oriques et d heu res de vol En Europe en effet ce bre vet est assimil une premi re tape vers l aviation professionnelle qui est compl tement ridicule Aux Etats Unis il n y a pas cet a priori Pour eux il est normal que beaucoup de person nes disposent de ce brevet sans avoir aucun lien vers l aviation commerciale Heureusement l organisme europ en en charge repense tout cela et en principe en 2012 il devrait y avoir un brevet simplifi de vol aux instru ments Je vais donc attendre Cette passion am ne t elle le DrSchmit par exemple aller des meetings suivre de pr s l actualit de l aviation commerciale et des constructeurs etc Je vais effectivement parfois des meetings dont certains tr s classiques PEOPLE comme celui du Bourget Paris mais c
117. los Puebla la gloire du Che au moment o il quitte Fidel pour l Afri que On se souviendra de ce refrain on ne peut plus logieux lci reste la clart la profonde transparence de ta ch re pr sence commandant Che Guevara Un deuxi me On a beaucoup crit sur la carte de rationnement notamment qu elle af le peuple cubain s agit en fait d un livret qui d finit les quantit s de nourriture et de biens de premi re n cessit riz sucre sel caf poisson en boite huile poulet mais aussi vons pour la lessive et pour le bain et dentifrice que le gouvernement vend aux citoyens dans des magasins d tat au prix plancher videmment Le gou vernement lui m me reconna t que les quotas d finis par mois suffisent en r a lit pour une douzaine de jours La po pulation est ensuite invit e se fournir dans les march s agricoles ou dans les magasins de prix diff renci s o les prix sont fort malheureusement exces sivement lev s une majorit des tra vailleurs cubains faut il le rappeler ga gnant peine l quivalent de 10 euros mois Selon notre guide officielle le d bat sur la suppression du livret de rationnement serait prochainement X EO GER gt gt gt H tel Iberostar Varadero l ordre du jour du Conseil des minis tres Mais comme le disent si souvent les Cubains no es facil gt gt gt H tel Iberostar Lag
118. luoro pyrimidines tels que la capecitabine la floxuridine la flucytosine le tegafur ou des associations m dicamenteuses contenant ces substances actives ou la flucytosine ne doivent pas tre administr s concomitamment et un intervalle de temps minimum de 4 semaines doit tre observ avant d instaurer le traitement par des m dicaments du groupe des 5 fluoro pyrimidines Comme pr caution suppl mentaire l activit de l enzyme DPD doit tre suivie avant d instaurer tout traitement par des 5 fluoro pyrimidines chez des patients qui ont r cemment re u du Zerpex En cas d administration accidentelle de 5 FU et de m dicaments apparent s des patients trait s Zerpex il faut arr ter les deux m dicaments et prendre des mesures drastiques pour r duire la toxicit du 5 FU L hospitalisation rapide est recommand e et toutes les mesures destin es pr venir les infections syst miques et la d shydratation seront prises Les signes de toxicit du 5 FU comprennent naus es vomissements diarrh e et dans des cas s v res stomatite neutrop nie et d pression de la moelle osseuse Autres informations Aucun potentiel d induction ou d inhibition du syst me Nouvelle approche th rapeutique du zona jusqu pr sent aucun cas de surdosage aigu avec Zerpe Apr s un surdosage voulu ou accidentel un traitement appropri symptomatique et de pr servation des
119. m thodologie des essais cliniques voir illustration Le parcours d une tude clinique une l gislation Directive Europ en ne et R glement grand ducal voir R f rences et liens utiles e une thique D claration d Helsinki voir R f rences et liens utiles Fid le la devise des m decins Pri mun non nocere avant tout ne pas nuire la recherche clinique est conduite avec le souci premier de la protection des patients qui apr s avoir t clairement inform s par le m decin sont appel s donner s ils l acceptent leur consentement pour participer l essai Rubrique sous la direction du Dr Chioti responsable du Centre d investigation et d Epid miologie Clinique au CRP Sant Avant de d marrer une tude il faut l autorisation d un comit d thique et des autorit s comp tentes Au Luxembourg c est le Comit National d Ethique de Recherche ou CNER qui assure la protection des patients qui participent la recherche clinique Dans ses avis le CNER se laisse guider par les principes thiques de la D cla ration de Helsinki les recommanda tions de bonne pratique clinique ICH GCP ainsi que le r glement grand ducal sur les essais cliniques de m di caments usage humain voir encadr R f rences et liens utiles L autorit comp tente au Luxembourg est la Direction de la Sant au Minist re de la Sant Dans le cadre des essais cliniques la Divis
120. ma th rapeutique En cas de d t rioration clinique vidente de la fonction pulmonaire il faut envisager un traitement additionnel anti pseudomonal Les tudes cliniques ont r v l qu un examen microbiologique indiquant une r sistance in vitro la subs tance n est pas n cessairement synonyme d une absence de b n fice clinique pour le patient Mode d administration faut vider le contenu d une ampoule dans le n buliseur et l administrer par inhalation sur une p riode d environ 15 minutes en utilisant un n buliseur main r utilisable PARI LC PLUS muni d un compresseur appropri Les compresseurs appropri s sont ceux qui lorsqu ils sont fix s un n buliseur PARI LC Plus fournissent un d bit de 4 6 l min et ou une contre pression de 110 217 kPa Il faut suivre les instructions du fabricant concernant l entretien et l utilisation du n buliseur et du compresseur TOBI est inhal pendant que le patient est en position assise ou debout et qu il respire normalement par l embout buccal du n buliseur Des pinces nasales peuvent aider le patient respirer par la bouche Le patient doit poursuivre son traitement standard de kin sith rapie respiratoire Il faut poursuivre l utilisation des broncho dilatateurs ad quats tant qu on l estime clinique ment n cessaire Lorsque les patients re oivent plusieurs th rapies respiratoires diff rentes il est conseill de respecter l ordre suivant broncho dilatateur kin si
121. ment HDPE BE250205 CRESTOR 20 plaquette thermoform e BE250223 Conditionnement HDPE BE250241 CRESTOR 40 mg plaquette thermoform e BE250266 Conditionnement HDPE 250284 7 STATUT LEGAL DE DELIVRANCE M dicament soumis prescription m dicale 8 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE Date de derni re mise jour du r sum des caract ristiques du produit mars 2010 B Date de l approbation du r sum des caract ristiques du produit 05 2010 Licensed from Shionogi amp Co Ltd Osaka Japan NS 2358 07 10 DOSSIER M DICAL Dr Louis Boisant Cardiologue L expert du mols Dr Louis Boisant Cardiologue Centre Hospitalier Emile Mayrisch CHEM Les guidelines en point de mire Au sein de la Soci t Luxembourgeoise de Car diologie le Docteur Boisant a une mission bien sp cifique pour les ann es venir uvrer l im pl mentation des guidelines en pratique clinique C est dans ce cadre que nous l avons rencontr au retour de la grande foire de la cardiologie qu est le congr s annuel de la European Society of Car diology qui se tenait cette ann e Stockholm Dr Boisant Chaque ann e sont publi es de nouvel les recommandations Sur l ann e coul e nous avons re u de la Soci t Europ enne de Cardiologie une demi douzaine de pav s d information repr sentant chacun des dizaines de points pr cis le tout agr ment de nom breux sous chapitres Le probl me
122. mes vers la troi si me semaine Par ailleurs l l vation du taux des plaquettes sanguines peut Vascularite des art res de gros et moyen calibres d tiolo Ye esPonsable de thromboses d ac cidents c r braux de mort subite La gle inconnue cette affection Touche pr f rentiellement le ission initiale touche la cellule ende nourrisson et l enfant de moins de cinq ans Sa gravit est th liale via la production anormale de li e l atteinte cardiaque et au d veloppement d an vrys cytokines et d anticorps cytotoxiques mes surtout coronariens Les premiers malades reconnus Les immunoglobulines intraveineuses atteignent la quarantaine Ont ils des s quelles associ es l acide ac tylsalicylique hautes doses sont g n ralement Dr Chantal Maton efficaces pour pr venir l alt ration de Kawasaki ans plus tard Le synarome quarante Semper Luxembourg septembre 2010 DOSSIER M DICAL vasculaire Leur m canisme anti inflammatoire agit sur les cytokines et les anticorps mais modifie aussi la diff renciation des monocytes macro phages neutrophiles et lymphocytes perturb s L addition de corticost roi des intraveineux ne semble pas appor ter de b n fice suppl mentaire Lors de la convalescence qui commence en moyenne dix quinze jours apr s le d but de la maladie le traitement par aspirine est poursuivi faibles do ses pendant deux mois si les examens chocardiograp
123. missements diarrh e constipation Affec tions h patobiliaires Peu fr quent ict re cholestase intrah patique pancr atite Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent r actions de photosensibilit urticaire syndrome de Lyell Affections musculo squelet tiques osseuses du tissu conjonctif Peu fr quent crampes musculaires Affections du rein et des voies urinaires Peu fr quent glycosurie n phrite interstitielle anomalie de la fonction r nale insuffisance r nale Troubles g n raux et anomalies au site d administration Peu fr quent fi vre tourdissements TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Merck Sharp amp Dohme BV Chauss e de Waterloo 1135 1180 Bruxelles Belgique T l 32 0 800 38 693 MSDBelgium_info merck com NUMERO S D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg BE 190915 BE342754 Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg BE 229302 BE342763 DATE DE PREMIERE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT DE L AUTORISATION Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg 23 02 1998 23 08 2004 Cozaar Plus 100 mg 12 5 mg 08 06 2009 Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg 12 11 2001 23 08 2004 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 08 06 2009 Mode de d livrance sur prescription m dicale e MSD Clos du Lynx 5 1200 Bruxelles DOSSIER M DICAL Depuis 20000 EE ans 80 des cas la maladie de plus efficace pour traiter la Kawasaki touche les enfants de maladie de moins de cinq ans mais elle
124. moyenne de 1 0 kg Des troubles visuels ont t report s particuli rement en d but de traitement Ils sont li s au chan gement de la glyc mie qui est res ponsable d une alt ration tempo raire de la turgescence et de l indice de r fraction du cristallin comme cela a t observ avec d autres hypoglyc miants Dans les tudes cliniques avec la pioglitazone l incidence d une augmentation des ALAT sup rieure 3 fois la limite sup rieure de la normale tait quivalente celle du placebo mais inf rieure celle observ e dans les groupes compara teurs metformine ou sulfamides hypoglyc miants Le niveau moyen des enzymes h patiques a t r duit lors du traitement par la pioglitazone De rares cas d l vation des enzymes h patiques et de dysfonction nement h patocellulaire ont t rapport s apr s commer cialisation Bien que dans de tr s rares cas une volution fatale ait t rapport e aucune relation de causalit n a t tablie Dans les es sais cliniques contr l s l in cidence des insuffisances cardiaques rapport es avec la pioglitazone tait similaire celle des groupes placebo met formine et sulfamides hypoglyc miants mais elle tait augment e quand la pioglitazone tait utilis e en association avec l insuline Dans une tude de morbi mortalit cardiovas culaire r alis e chez des patients ayant une pathologie macro vasculaire majeure pr existante l incidence
125. n tiques Patients g s Aucun ajustement de la dose n est n cessaire chez les patients g s 4 3 Contre indications Hypersensibilit connue l som prazole aux benzimidazoles substitu s ou tout autre constituant de cette formulation Comme les autres IPPs l som prazole ne peut pas tre administr avec de l atazanavir voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions 4 4 Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi En cas de sympt me alarmant p ex perte de poids significative et involontaire vomissements r currents dysphagie h mat m se ou m l na et en cas de suspicion ou de pr sence d ulc re gastrique on cartera au pr alable la possibilit d une malignit car le traitement par NEXIAM peut en att nuer les sympt mes et en retarder ainsi le diagnostic On surveillera r guli rement les patients trait s long terme plus particuli rement lorsque le traitement d passe un an Il faut donner aux patients qui suivent un traitement la demande l instruction de consulter leur m decin au cas o la nature de leurs sympt mes changerait Quand on prescrit de l som prazole pour un traitement la demande il faut prendre en consid ration les implications des interactions avec d autres m dicaments suite aux concentrations plasmatiques fluctuantes de l som prazole Voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d i
126. n 2003 et 2004 Depuis lors je me prom ne ainsi Des vols d en moyenne une heure une heure trente autour du pays il est tellement petit que tr s vite on n est plus au dessus vers Namur Reims Tr ves Bitburg Coblence Les Ardennes la vall e de la Moselle c est assez joli Par contre direction la Fran ce a devient vite tout fait plat et un peu ennuyeux Plein de destinations et des d placements plus longs lors des vacances des week ends Par exemple pour aller la c te belge rien de plus facile une heure une heure quinze et vous y tes M me chose pour Paris etc Etre d tach des choses habituelles Lorsque je lui demande ce qu il trou ve ce qu il ressent lorsqu il tient le manche balai mon interlocuteur s exclame en riant C est une bonne question Cela permet d tre d ta ch des choses habituelles on plane un peu explique t il Mais videm ment en tant dans une situation de vigilance tr s r elle Parce que c est quand m me entre guillemets dan gereux Si l on ne fait pas attention il y un risque ce qu on ne peut se permettre C est comme ces gens qui conduisent longtemps ils sont tout fait pr sents sur la route et sont bien conscients de ce qui se passe autour d eux mais peuvent r fl chir certai nes choses L avion a le m me effet Le Dr Jean Claude Schmit dispose pour l instant d un brevet pour vol vue Ce qui imp
127. nce l effort am liorer l tat de sant pr venir et traiter les complica tions pr venir et traiter les exacerba tions et r duire la mortalit On pour rait aussi y ajouter l am lioration de la fonction pulmonaire et la diminution de besoin en traitements de secours Attentes cliniques Ces diff rents objectifs ne sont tou tefois pas tous atteints avec les trai tements actuellement disponibles Il existe donc clairement un besoin en innovation notamment par une dur e d action plus importante offrant une v ritable efficacit bronchodilatatrice pendant 24 heures permettant une seule administration par jour Le clini cien attend aussi une entr e en action plus rapide une efficacit sup rieure celle des LABA existants et videm ment un profil de s curit et de tol rance favorable ainsi qu une utilisation ais e pour le patient garante d une meilleure adh sion au traitement Une structure chimique innovante Ainsi que l a montr le Pr Ninane l in dacat rol est structurellement distinct la fois du formot rol et du salmet rol et combine le groupe de t te d un formot rol l g rement modifi avec une queue plus rigide plus compact et plus courte que celle du salmet rol C est cette structure qui permet l in dacat rol d avoir une affinit lev e pour les lipid rafts des r gions de la membrane cellulaire o les b tar cep teurs sont en contact troit avec les mol cul
128. nce chez les patients trait s par losartan que chez ceux sous placebo Affections h matologiques et du syst me lymphatique Fr quence ind termin e an mie Affec tions cardiaques Fr quence ind termin e syncope palpitations Affections vasculaires Fr quence ind termin e hypotension orthostatique Affections gastro intestinales Fr quence ind termin e diarrh e Affections musculo squelettiques et du tissu conjonctif Fr quence ind termin e douleur dorsale Affections du rein et des voies uri naires Fr quence ind termin e infection des voies urinaires Troubles g n raux et anomalies au site d administration Fr quence ind termin e syndrome pseudo grippal Depuis la mise sur le march Les v nements ind sirables ci dessous ont t rapport s depuis la mise sur le march Affections h matologiques et du syst me lymphatique Fr quence ind termin e an mie thrombop nie Affections du syst me immunitaire Rare hypersensibilit r ac tions anaphylactiques angio d me avec gonflement du larynx et de la glotte entra nant une obstruction des voies a riennes et ou un d me du visage des l vres du pharynx et ou de la langue Certains de ces patients avaient des ant c dents d angio d me li l administration d autres m dicaments notamment des IEC vascularite incluant un purpura rhumato de Henoch Sch nlein Affections du syst me nerveux Fr quence ind termin e migraine Af fections r
129. ncement de la recherche clinique Il peut s agir d une en treprise du m dicament d un centre de recherche publique d un tablissement de soins Protocole document dans le quel sont d crits les objectifs conception la m thodologie les remarques d ordre statisti que et les diverses tapes d un essai Le protocole fournit d or dinaire le contexte et la raison d tre de l essai mais ces ren seignements peuvent tre four nis dans d autres documents cit s dans le protocole AVASTIN bevacizumab BR 8593 01 2009 Semper Luxembourg septembre 2010 DOSSIER M DICAL J Nous abordions le sujet dans notre num ro de juin les diff rences entre les sexes restent un enjeu en cardiologie M me si les choses changent lentement 26 Diff rences entre les sexes Hypertension 31 Le syndrome de Kawasaki a femme Cellules souches et myocarde est presque l gale de l homme ll reste des diff rences entre les deux sexes pour les r sultats obtenus en mati re d hyperten sion mais ces diff rences s estompent Il va de m me pour la glyc mie et le profil lipidique Mais un autre constat s impose il y a encore beaucoup de pain sur la planche Bases nous montr que sur le plan cardiovasculaire la fem me ne courait pas les m mes risques que l homme Consid r e comme mieux prot g e que son compagnon avant la m nopause elle serait
130. nel Les animaux trait s ont affich l chographie une am lioration de la fonction cardiaque Leurs c urs ont ensuite t examin s au microscope ce qui a confirm certaines donn es d j acquises en chographie Cardio3 BioSciences a ensuite contri bu au d veloppement de cette tech nologie avec la conduite r cente d un essai clinique men aupr s de 45 pa tients europ ens souffrant d insuffisan ce cardiaque Les tests ont montr que son cocktail de facteurs de croissance et le modus operandi qui l accompa gne pr sentent un tr s bon profil de s curit Les chercheurs ont observ des tendances encourageantes sur les param tres physiologiques et cliniques de la fonction cardiaque ainsi que le laissaient esp rer les donn es prove nant de mod les animaux L action r g n ratrice unique de cette nouvelle approche sur le muscle cardiaque de vrait montrer des b n fices cliniques dans un programme de phase III Un progr s remarquable Mais comme toujours en m decine il faudra encore du temps pour que cela devienne un traitement de routine si les donn es se confirment De nouvel les questions se posent Ainsi Behfar et al ont constat une tr s grande h t ro g n it entre les patients pour la capa cit de leurs cellules souches m senchymateuses r pon dre aux facteurs de croissance utilis s Seules celles qui pro venaient de certains patients ont montr une capacit suf f
131. nnuelle des exacerbations s v res par rapport la p riode pr c dant l inclusion dans l tude P lt 0 01 E Dr R D d apr s un expos du Pr Ch Pilette 1 Bateman E et al AJRCCM 2004 170 8 836 844 2 Humbert M et al Allergy 2005 60 3 309 316 3 Brusselle G et al Respiratory Medicine 2009 103 1633 1642 Analyse selon protocole lt 0 01 pour toutes les com paraisons XOLAIR LE PATIENT TYPE 1 Notices scientifiques Xolair 11 Tobi page 12 Onbrez page 2 Semper Luxembourg septembre 2010 MEETINGS L indacat rol l innovation dans la BPCO Pour pr senter l indacat rol le Pr Ninane est clairement un expert de choix Son service a effet particip plusieurs tudes sur ce nouveau traitement de la BPCO qui est d sormais la disposition du corps m dical Et comme on peut le voir l indacat rol Onbrez ouvre une nouvelle en combinant les attentes principales du clinicien un effet bronchodilatateur maximal une action imm diate et une efficacit pendant 24 heures le sait la pierre angulaire du traitement de la BPCO est la bron chodilatation que ce soit par les b ta 2 agonistes longue dur e d action LABA ou par les antagonistes muscari niques longue dur e d action LAMA Les buts de ce traitement sont d finis dans les recommandations GOLD soulager les sympt mes pr venir la progression de la maladie am liorer la tol ra
132. nsommation excessive d alcool un ge sup rieur 70 ans les situations o peut appara tre une augmentation des taux plasmatiques voir rubrique Propri t s pharmacocin tiques l usage concomitant de fibrates Chez ces patients le risque du traitement sera valu en fonction du b n fice possible et une surveillance clinique est recommand e Si les taux de CK sont significativement lev s au d part gt 5 LNS le traitement ne sera pas commenc Au cours du traitement On demandera aux patients de signaler imm diatement toute douleur musculaire inexplicable toute faiblesse ou toute crampe surtout si ces sympt mes sont associ s des malaises ou de la fi vre Chez ces patients on mesurera les taux de CK Le traitement sera arr t si ces taux sont tr s lev s gt 5 x LNS ou si les sympt mes musculaires 4 i CRESTOR rosuvastatine L efficacit d embl e mois apr s le d but de ce traitement La prise de CRESTOR sera arr t e ou la dose sera r duite si les taux des transaminases s riques sont sup rieurs trois fois la limite sup rieure des valeurs normales Le nombre de rapports d affections h patiques s v res consistant principalement en une l vation des transaminases h patiques observ s pendant la surveillance apr s commercialisation est plus lev avec la dose 40 mg Chez les patients avec une hypercholest rol mie secondaire une hypothyro die ou un syndrome n ph
133. nteractions Quand on prescrit de l som prazole pour l radication de l Helicobacter pylori il faut tenir compte des interactions m dicamenteuses possibles pour tous les composants du traitement triple La clarithromycine est un inhibiteur puissant du CYP3A4 et il faut donc prendre en consid ration les contre indications et les interactions de la clarithromycine lorsque le traitement triple est prescrit des patients qui prennent en m me temps d autres m dicaments m tabolis s par le CYP3A4 tels que le cisapride Ce m dicament contient du saccharose Les patients pr sentant des maladies h r ditaires rares telles qu une intol rance au fructose une malabsorption du glucose galactose ou un d ficit en sucrase isomaltase ne peuvent pas prendre ce m dicament Un traitement par des inhibiteurs de la pompe protons peut conduire un risque l g rement accru d infections gastro intestinales telles que par les Salmonelles et le Campylobacter voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques 4 5 Effets ind sirables Les effets ind sirables suivants ont t identifi s ou suspect s au cours du programme d essais cliniques et post marketing r alis s avec l som prazole On n a mis en vidence aucune relation avec la dose administr e Les fr quences des effets ind sirables sont r pertori es comme suit fr quent gt 1 100 lt 1 10 peu fr quent gt 1 1 lt 1 100 rare gt 1 10 lt 1 1
134. o dilatateur continu de l obstruction des voies respiratoires chez les patients adultes atteints de broncho pneumopathie chronique obstructive BPCO POSOLOGIE Posologie La dose recommand e est l inhalation du contenu d une g lule de 150 microgrammes une fois par jour l aide de l inhalateur Onbrez Breezhaler La posologie ne doit tre augment e que sur avis m dical L inhalation du contenu d une g lule de 300 microgrammes une fois par jour l aide de l inhalateur Onbrez Breezhaler peut apporter un b n fice clinique suppl mentaire pour diminuer l essouf flement en particulier chez les patients atteints de BPCO s v re La dose maximale pr conis e est de 300 microgrammes une fois par jour Onbrez Breezhaler doit tre administr quotidiennement heure fixe dans la journ e En cas d omission d une dose la dose suivante doit tre prise l heure habituelle le lendemain Patients g s La concentration plasmatique maximale et l exposition syst mique totale augmentent avec l ge mais il n est pas n cessaire d adapter la posologie chez les patients g s Enfants et adolescents Il n y a pas d indication sp cifique pour l utili sation d Onbrez Breezhaler chez les enfants et adolescents en dessous de 18 ans Insuffisance h patique l n est pas n cessaire d adapter la posologie chez les patients pr sentant une insuffisance h patique l g re mod r e Il n existe pas de donn es conce
135. o logues ce symposium propose dans une seule salle un programme intensif de trois jours o les sujets trait s par des experts internationaux permettent une r elle mise jour structur e des connaissances sur les Major Topics in Cardiology Today Un must Prochaine dition 43 Annual New York Cardiovas cular Symposium 10 12 d cembre 2010 Des preuves grande chelle O plus petit et forme offrir comprim s Anciens comprimes Taille r elle DENOMINATION Lipitor 10 mg comprim s pellicults Lipitor 20 mg comprim s pellicul s Lipitor 40 mg comprim s p llicul s Limiar 80 mg comprim s pallicui s COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE pollicu content Tra 20mg 40mg o Mmg d atorvastaime sous forme d atorvactatine FORME PHARMACEUTIQUE Compam s pelho lcs Lipitor 10 mg comprim s pellcul s blancs et la menton 10 grav s Sur ume tace et ATV sur l autre Lipitor 20 mg comprim s pelhcul s blancs 1 ronds avec la menton 20 grav e sur une el ATV sur l autre 40 mg comprim s pellicules Bancs el ronds la mention 4D grav e sur une sur l autre Lipnor 80 comprim s pellicules blancs el ronds la men 20 grav e sur une Tace l ATV sur l autre INDICATIONS THERAPEUTIQUES est indiqu comme tratement
136. omme a raccroch du pou voir en 2008 laissant sa place son fr re Raul Concr tement cepen dant il reste toujours tr s pr sent et tr s tr s influent Cuba Dear Hemingway Voici l Am ricain le plus aim des Cu bains Normal Ernest Hemingway aimait le rhum la f te et les femmes La litt rature aussi Aujourd hui la vieille Havane d clar e Patrimoine culturel de l humanit 1982 cultive volon tiers le mythe Hemingway incitant les amoureux du Weil Homme et la Mer visiter ses lieux de pr dilection voire de perdition le bar El Floridita et le resto La Bodeguita del o d guster une cuisine locale poulet riz haricots noirs point du tout raffin e soyez pr venu on mange mal Cuba et mojito n dit on dans ces murs Fi re de sa Promenade du Prado la longue avenue du bord de mer que l on arpente le soir venu La Havane se vit videmment aussi de nuit au rythme des bars ouverts m me les rues ou des cabarets dont le c l brissime Tro picana On y dort n anmoins et pour quoi pas dans un beau b timent rose de style colonial au coeur de la vieille ville L h tel Ambos Mundos de mandez des chambres avec fen tres o Hemingway s journa dans les an n es 30 pour y crire Pour qui sonne le glas 2 offre d cor d licieusement d suet v tuste diront certains qui promet un vrai retour dans le temps Le service y est disons tr s laxiste mais
137. on Onglyza est indiqu chez les patients adultes atteints de diab te de type 2 pour am liorer le contr le de la glyc mie en association avec la metformine lorsque la metformine seule associ e n r gime alimentaire et la pratique d un exercice physique ne permet pas d obtenir un contr le ad quat de la yc mie en association avec un sulfamide hypoglyc miant lorsque le sulfamide hypoglyc miant seul associ n r gime alimentaire et la pratique d un exercice physique n assure pas un contr le ad quat de la glyc mie chez patients pour lesquels l utilisation de metformine est consid r e comme inappropri e en association avec une azolidinedione lorsque la thiazolidinedione seule associ e un r gime alimentaire et la pratique d un exercice hysique n assure pas un contr le ad quat de la glyc mie chez les patients pour lesquels l utilisation d une hiazolidinedione est consid r e comme appropri e 4 2 Posologie et mode d administration Posologie En association La dose recommand e d Onglyza est de 5 mg une fois par jour en association avec la metformine une thiazolidinedione ou un sulfamide hypoglyc miant L efficacit et la tol rance de saxagliptine en trith rapie orale en association avec la metformine et une thiazolidinedione ou en association avec la metformine et un sulfamide hypoglyc miant n ont pas t tablies Populations particuli res Patients insuffisants r naux Aucune adaptation de l
138. oncernant le d veloppement n ont pas t valu es chez ces pabents CONTRE INDICATIONS Lipitor est contre indiqu chez les pabents pr sentant une hbypersensitehi la substance active ou lun des excipsents du m dicament une affection h patique activ ou des l rabons persistantes inexpliqu es des transaminases s nques d passant 3 fois la mile sup rieure la nomale LSH un myopathie t la grossesse ou l allaitement et chez les femmes en ge de procr er qui n utilisent pas de m thode contraceptive appropri e EFFETS INDESIRABLES Les effets ind sirables l s p us fr quents sont surtout gastro inbestinaue notamment constipation flatulence dyspepsie douleurs abdominales Es s am liorent g n ralement avec la poursuite du traitement Moins de 2 des patients ont f modus des essais cliniques n raison d ettets md srables dus Le tableau suivant pr sente l profil des effets ind sirables de Lipitor sur base des donn es des tudes cliniques t d une vaste exp rience acquise degues commercialisation du produit Les fr quences estim es des v nements sont class es de la fa on suivante fr quents gt 1 100 lt 110 peu regents gt 1000 lt 11001 rares gt 1210000 lt 11000 tr s rares lt 1100001 Affections gastre mtestinales Fr quents constpaban Nalvlence dyspepsic naus e diarrh e Peu fr quents vomissement Affections h matnogiques 1
139. oration de l hypoth se de recherche aura un impact sur le design de tude c est dire sur le sch ma d tude La fa on dont on va compa rer diverses interventions p ex traite ment A versus traitement B permettra de mettre en vidence les diff rences entre groupes tout en permettant l in terpr tation des r sultats avec un ni veau de preuves suffisant Ces l ments seront d crits dans le protocole un des documents essen tiels soumettre aux autorit s com p tentes Direction de la Sant CNER CNPD La bonne information de l in vestigateur et de son patient sera as sur e par la mise disposition de la Brochure Investigateur la lettre d in formation au patient D s que l autorisation est accord e de d marrer l tude il faut alors mettre en place toute la logistique conven tions formation du personnel et des quipes soignantes initiation des acti vit s dans les sites d tude gestion de la pharmacie pour la d livrance du m dicament de l tude planification des visites et examens r aliser et collecte des donn es m dicales dans le l assurance qualit le respect des re commandations GCP et la surveillance et notification d effets v nements in d sirables sont des activit s essentiel les pour les attach s de recherche clini que les infirmiers res d tude ainsi COURSE OF A STUDY FROM Hypothesis gt
140. par jour un mois apr s le d but du traitement Cozaar peut tre administr avec d autres antihypertenseurs diur tiques inhibiteurs calciques alpha ou b tabloquants et antihypertenseurs d action centrale par exemple ainsi qu avec l insuline et d autres hypoglyc miants couramment utilis s par exemple sulfamides hypoglyc miants glitazones et inhibiteurs de la glucosidase Insuffisance cardi aque La posologie initiale habituelle de Cozaar chez les patients insuffisants cardiaques est de 12 5 mg une fois par jour La posologie sera g n ralement augment e chaque semaine savoir 12 5 mg par jour 25 mg par jour 50 mg par jour jusqu la dose d entretien habituelle de 50 mg une fois par jour si elle est tol r e par le patient R duction du risque d accident vasculaire c r bral chez les patients hypertendus pr sentant une hypertrophie ventriculaire gauche l lectrocardiogramme La posologie initiale habituelle est de 50 mg de Cozaar une fois par jour Une faible dose d hydrochlorothiazide sera ajout e et ou la dose de Cozaar sera augment e 100 mg une fois par jour fonction de la r ponse tensionnelle Utilisation chez les patients pr sentant une hypovol mie Chez les patients pr sentant une hypovol mie par exemple ceux recevant des diur tiques fortes doses il convient d instaurer le traitement la posologie de 25 mg une fois par jour Utilisation chez les patients insuffisants r naux et patients h
141. para vant yeux de cette organisation l index constitue un outil global de politique salariale qui garantit une revalorisa tion de salaire tout le monde d autant que la moiti des salari s ne serait pas couverte par une convention collective Aussi la tranche indiciaire est la seule revalorisation garantie La Chambre des salari s consid re galement dans son tude l index comme un atout pour l conomie qui joue un r le non n gligeable sur le dynamisme de l conomie en dopant notamment la consommation finale des m nages Un miroir aux alouettes Un plafonnement de l index telle la proposition formul e au printemps dernier par le gouvernement deux fois le salaire social minimum fut une piste de travail n entra nerait pas de Justice sociale ni d effets de redistribu tion dans une limitation de l indexation aux seuls petits salaires C est par le syst me fiscal que s op re la redistri bution favorisant certaine justice sociale indique le rapport Rendre l indexation plus sociale ajoute l orga nisation passe par une adaptation du bar me fiscal Le plafonnement de l indexation r sume enfin la Chambre des salari s ne serait qu un miroir aux alouettes social un leurre au d triment de la coh sion sociale tout b n fice pour les entreprises donner moins aux chelons sup rieurs de r mun ration n apporte absolument rien de plus aux chelons inf rieurs
142. poque du fameux Boeing 707 Ha bitant pr s d un a roport je les admi rais en pleine manoeuvre de d collage et d atterrissage Une page d histoire puisque le fameux Charlie le pilote automatique n existait pas encore et que le cockpit accueillait encore trois ou quatre membres d quipage D s que je le pouvais j allais l a roport admirer ces grands coucous depuis les terrasses donnant en direct sur les pistes et les zones d embarquement Une passion tait n e Pour le Dr Schmit c est exactement la m me chose Lorsque j tais pe tit J allais toujours avec mon p re l a roport de Luxembourg regarder les avions C tait encore l ancien a roport pas celui qui est en cours de d molition mais celui d avant o on pouvait quasiment aller jusqu l avi Marc Vandermeir on puisqu il n y avait pas de barri re Il y avait une terrasse et donc le di manche nous allions voir les avions C est l qu est n mon int r t pour l aviation Avec d j une id e en t te passer le brevet de pilote Mais la vie est ce qu elle est le directeur du CRP Sant n a jamais eu le temps ni l argent pour le faire Mais l id e le taraudait et le destin l a aid Lorsque je suis re venu au Luxembourg j ai par hasard achet une maison pr s de l a roport Je voyais chaque jour passer les petits avions et je me suis dit qu il fallait que je passe ce brevet de pilote priv ce que j ai fait e
143. pport s ind pendamment d une relation de causalit avec le traitement et survenant plus fr quemment chez les patients trait s avec Onglyza incluent une hypersensibilit 0 6 versus 0 et une ruption cutan e 1 4 versus 1 par comparaison avec le placebo Les v nements ind sirables consid r s par l investigateur comme au moins possiblement li s au traitement et rapport s chez au moins deux patients de plus trait s avec la saxagliptne 5 mg par rapport au contr le sont d crits ci dessous En monoth rapie tourdissements fr quent et fatigue fr quent En association la metformine dyspepsie fr quent et myalgie fr quent En association un sulfamide hypoglyc miant glibenclamide fatigue peu fr quent dyslipid mie peu fr quent et hypertriglyc rid mie peu fr quent En association initiale avec la metformine gastrite fr quent arthralgie peu fr quent myalgie peu Behandlung un ze bidden t e Eng verbessert Kontroll vun der Glucose Triad HbA PPG an FPG e Eng mfaassend Bluttzockerkontroll bei enger zous tzlecher Metformin Sulphonylurea oder TZD Behandelung e Kee verst erkten Optriede vun Hypoglyk mie Effekter a keng weider siichtbar Gewiichtsschwankungen am Vergleich zu engem Placebo e Eng gutt Verdr iglechkeet an einfach Dos ierung vu 5 mg eemol den Dag PPG Gelee nheets Plasma Glucose FPG Niichtern Plasma Glucose ongyz j
144. que ses actes r volutionnaires Chez nous mais pas Cuba La fameuse le des Ca n est pas pr te d oublier ce jeune tudiant en m decine devenu commandant de la gu rilla internatio naliste L homme qui luttait pour les pauvres comme on dit l bas D sormais ic ne des rares mouvements r volutionnaires du monde entier et quoique objet de nombreuses criti ques qui l accusent d avoir ex cut des innocents la face cach e du bel l tre Ernesto Guevara continue vendre son id ologie La revolu cion siempre hasta la victoria sur des panneaux propagandistes de La Havane centre administratif politi que et culturel du pays ne l oublions pas Quant la fameuse Place de la Revolution elle impose le portrait g ant du Comandante jouxtant celui de l ami Fidel Pourtant tout se perd Car si Che reste accroch sur de nombreux murs voire s il orne carr ment des poteries il semble moins pr sent qu il y a dix ans date de notre premier voyage en terres cubaines Un signe temp rer Lors des d fil s du 1 mai la Journ e in ternationale des travailleurs l homme revient hanter les esprits d cha nant invariablement les passions Moins photog nique et sexy que le Che Fidel Castro tr ne aussi Place de la R volution Son ancien tank est d ailleurs plac face au Mus e de la R volution R volutionnaire donc pour les uns dictateur pour les autres l h
145. quent bronchites Examens cliniques et para cliniques Fr quent prise de poids Troubles du syst me musculo squelettique et des tissus conjonctifs Fr quent mal de dos arthralgie Troubles respiratoires thoraciques et m diastinaux Fr quent dyspn e Troubles cardiaques Fr quent insuffisance cardiaque DONNEES APRES COMMERCIALI SATION Troubles oculaires Non connus oed me maculaire Des oed mes ont t report s chez 6 9 des pa tients ayant re u la pioglitazone pendant plus d un an au cours d essais cliniques contr l s Le taux d oed mes dans les groupes comparateurs sulfamides hypoglyc miants metformine tait de 2 5 Les oed mes taient en g n ral l gers mod r s ne n cessitant pas l arr t du traitement Lors d essais cliniques contr l s et comparatifs avec la pioglitazone administr e en monoth rapie la prise de poids moyenne tait de 2 3 kg apr s un an Ceci est identique ce qui a t observ avec le groupe comparateur sulfamide hypoglyc miant Dans les essais comparatifs o la pioglitazone a t associ e la metformine la prise de poids moyenne apr s un an tait de 1 5 kg et dans le cas de l association avec les sulfamides hypoglyc miants de 2 8 kg Dans les groupes comparateurs l addition sulfamide hypoglyc miant la metformine aboutissait une prise de poids moyenne de 1 3 kg et l addition de metformine un sulfamide hypoglyc miant une perte de poids
146. r des t shirts et Hemingway se consomme au bar du coin l image de l crivain noy e dans une bonne rasade de rhum agricole Dans ce numero Actu Le Luxembourg mise sur la m decine du futur 06 Meeting Ev nement Novartis Luxembourg 08 Flash infos News du m dicament 12 People Dr Jean Claude Schmit 14 Histoire de la m decine La lancette et le goupillon 18 Recherche Une visite guid e de la recherche clinique 22 Dossier m dical e Hypertension la femme est presque l gale de l homme 26 e Le syndrome de Kawasaki quarante ans plus tard 31 e R g n rer plus efficacement le myocarde 34 e L expert du mois Dr Louis Boisant 38 Finance Faut il garder l index 42 Evasion La r sistance des mythes 44 Auberge gourmande 47 On en parle L aventure continue Interroger la psychiatrie 48 Agenda 49 Le meilleur de Kroll Responsabilisation des patients d bat au Qu bec Semper Luxembourg septembre 2010 ACTU Le Luxembourg mise sur la m decine du futur En inaugurant le 9 septembre dernier le nouveau Centre Luxembour geois de Prot omique Clinique implant au c ur CRP sant Cen tre de Recherche Public le Luxembourg se dote d un outil de pointe unique en Europe confirmant ainsi son engagement dans la voie de la recherche et de l innovation scientifique vis e clinique nouveau fer de lance du d veloppement du tissu social et conomique du pays haque cellule tiss
147. rance en particulier la toux ou d une contre indication Le losartan ne doit pas tre utilis en traitement de relais chez les patients atteints d insuffisance cardiaque stabilis s par un Les patients doivent avoir une fraction d jection ventriculaire gauche lt 40 et doivent tre cliniquement stabilis s et sous un traitement r gulier pour l insuffisance cardiaque chronique 4 R duction du risque d accident vasculaire c r bral chez les pa tients hypertendus pr sentant une hypertrophie ventriculaire gauche l lectrocardiogramme Posologie et mode d administration Les comprim s de losartan doivent tre aval s avec un verre d eau Cozaar peut tre pris au cours ou en dehors des repas Hypertension La posologie initiale et d entretien habituelle est de 50 mg une fois par jour chez la plupart des patients L effet antihypertenseur maximal est atteint dans les 3 6 semaines suivant le d but du traitement Chez certains patients l augmentation de la posologie 100 mg une fois par jour le matin peut per mettre d accro tre l efficacit th rapeutique Cozaar peut tre administr avec d autres antihypertenseurs particu li rement avec des diur tiques hydrochlorothiazide par exemple Patients diab tiques de type 2 hypertendus avec prot inurie 20 5 g jour La posologie initiale habituelle est de 50 mg une fois par jour En fonction de la r ponse ten sionnelle la dose pourra tre augment e 100 mg une fois
148. rations plasmatiques maximales C s cibles virales Le triphosphate de brivudine une fois form dans des cellules une fois par jour sont de 1 7 ug ml c est dir 1000 fois in vitro et d croissent vers concentration minimale C de 0 06 pg m c est dire au moins fois la IC Le d but d l action de la brivudine est tr s rapide dans de conditions de croissance virale floride atteignant 50 d inhibition de la r plication virale dans l heure de l exposition au m dicament La brivudine pr sente galement une activit antivirale chez des animaux de laboratoire infect s par le virus simien singes ou le virus herp s simplex de type 1 souris et cobayes La brivudine agit sur le virus herp s simplex de type 1 mais n a pas d activit antivirale significative sur le virus herp s simplex de type 2 L inhibition de la r plication virale est la base de l efficacit de Zerpex en acc l rant la gu rison des manifestations cutan es au stade pr coce du zona chez les patients La puissance antivirale lev e de la brivudine in vitro se refl te dans l efficacit clinique sup rieure observ e depuis le d but du traitement jusqu la derni re ruption v siculeuse dans les tudes cliniques comparatives avec l aciclovir le temps moyen tait r duit de 25 avec la brivudine 13 5 heures par rapport l aciclovir 18 heures En outre le risque relatif de d velopper une n vralgie po
149. rbiers et autres gu risseurs la ques Le plus souvent les h pitaux sont cr s par donation quelque notable ou noble de la r gion en r alit sou Vers 1248 Vianden acquiert elle aussi son h pital confi l ordre des Trini taires Le choix de cet ordre n a peut tre rien d un hasard selon les sour ces le fondateur le Comte Henri de Vianden aurait eu un p re captur en Palestine par les musulmans Celui ci n aurait d sa libert qu aux Trinitai res dont l objectif premier tait de ra cheter les chr tiens emprisonn s par les Sarrasins et r duits en esclavage L histoire est belle mais tient proba blement plus de la l gende que de la r alit vent plus soucieux du salut de son me que du bien tre de la classe populaire installe Une communaut eccl siastique avec obligation pour cette derni re de subvenir aux besoins des indigents C est ainsi qu est cr en 1207 le premier h pital urbain du Luxembourg toujours Echternach Il faut remarquer que les soins pro digu s aux malades n y sont attest s que pr s de cent ans plus tard Preu ve que sa vocation premi re tait bien l hospitalit Chaque ordre monacal a ses particularit s mais rares sont ceux ayant une vocation m dicale bien pr cise Il existe n anmoins un Ordre dont l objectif premier est de venir en aide aux personnes atteintes d ergo tisme voir Semper 16 aussi appel Feu de Saint Antoine Il s agit de
150. rie mictions fr quentes infection des voies urinaires Affections des organes de reproduction et du sein Peu fr quent baisse de la libido impuissance Troubles g n raux et anoma lies au site d administration Fr quent asth nie fatigue douleur thoracique Peu fr quent d me du visage fi vre Investigations Fr quent hyperkali mie baisse mod r e de l h matocrite et de l h moglobine Peu fr quent El va tion mod r e de l ur mie et de la cr atinine s rique Tr s rare El vation des enzymes h patiques et de la bilirubine Hydrochlorothiazide Affections h matologiques et du syst me lymphatique Peu fr quent agranulocytose an mie aplasique an mie h molytique leucop nie purpura thrombop nie Affections du syst me immunitaire Rare r ac tion anaphylactique Troubles du m tabolisme et de la nutrition Peu fr quent anorexie hyperglyc mie hyperuric mie hypokali mie hyponatr mie Affections psychiatriques Peu fr quent insomnie Affections du syst me nerveux Fr quent c phalalgie Affections oculaires Peu fr quent vision trouble transitoire xanthopsie Affections vasculaires Peu fr quent ang ite n crosante vascularite vascularite cutan e Affections respiratoires thoraciques et m dias tinales Peu fr quent d tresse respiratoire incluant pneumopathie et d me pulmonaire Affections gastro intesti nales Peu fr quent sialad nite spasmes irritation gastrique naus es vo
151. rim s 207 11 fi vre Si l on suspecte qu un patient a d velopp une maladie pulmonaire interstitielle le traitement par les statines doit tre interrompu Diab te sucr Chez les patients avec un taux de glucose jeun de 5 6 6 9 mmol l le traitement par la rosuvastatine a t associ une augmentation du risque de diab te sucr voir rubrique Effets ind sirables Population p diatrique L valuation de la croissance lin aire taille du poids indice de masse corporelle et des caract res secondaires de la maturation sexuelle par les stades de Tanner chez des patients p diatriques g s de 10 17 ans prenant de la rosuvastatine est limit e une p riode d un an Apr s 52 semaines de traitement dans l tude aucun effet sur la croissance le poids ou la maturation sexuelle n a t d tect voir rubrique Propri t s pharmacodynamiques L exp rience dans les tudes cliniques chez les patients enfants et adolescents est limit e et les effets de la rosuvastatine long terme gt 1 an sur la pubert sont inconnus Dans une tude clinique chez les enfants et adolescents prenant de la rosuvastatine pendant 52 semaines des l vations de CK gt 10 x LNS et des sympt mes musculaires apr s l effort ou apr s une augmentation de l activit physique ont t observ s plus fr quemment par comparaison aux observations faites dans les tudes cliniques chez les adultes
152. rnant l administration d Onbrez Breezhaler chez les patients atteints d insuffisance h patique s v re Insuffisance r nale I n est pas n cessaire d adap ter la posologie chez les patients pr sentant une insuffisance r nale Mode d admi nistration Pour inhalation seulement Les g lules Onbrez Breezhaler doivent tre administr es en utilisant uniquement l inhalateur Onbrez Breezhaler Les g lules Onbrez Breezhaler ne doivent pas tre aval es CONTRE INDICATIONS Hypersensi bilit la substance active au lactose ou l un des autres excipients EFFETS INDESIRABLES Synth se du profil de s curit d emploi Les effets ind sirables les plus fr quents aux doses recommand es ont t rhinopharyngite 9 1 toux 6 8 infections respiratoires hautes 6 2 et c phal es 4 8 Dans la plupart des cas ils ont t d intensit l g re ou mod r e et leur fr quence diminuait avec la poursuite du traitement Aux doses recommand es le profil d effets ind sirables d Onbrez Breezhaler chez les patients atteints de BPCO montre des effets syst miques sans r percussions cliniques significatives de la stimulation des r cepteurs b ta 2 adr nergiques Les modifications de la fr quence cardiaque ont t en moyenne inf rieures une pulsation par minute et les cas de tachycardie ont t peu fr quents et rapport s une incidence comparable celle observ e avec le placebo n a pas t d tect
153. rotique on traitera d abord la pathologie sous jacente avant de commencer le traitement par CRESTOR Facteur racial Des tudes de pharmacocin tique ont mis en vidence une augmentation de l exposition syst mique chez les patients asiatiques par comparaison aux Caucasiens voir rubriques Posologie et mode d administration et Propri t s pharmacocin tiques inhibiteurs des prot ases L utilisation concomitante avec des inhibiteurs des prot ases n est pas recommand e voir rubrique Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions Intol rance au lactose Les patients qui pr sentent de rares probl mes h r ditaires d intol rance au galactose de d ficience de la lactase Lapp ou de malabsorption du glucose galactose ne doivent pas prendre ce m dicament Maladie pulmonaire interstitielle Des cas exceptionnels de maladie pulmonaire interstitielle ont t rapport s avec certaines statines particuli rement lors de traitement long terme voir rubrique Effets ind sirables Les caract ristiques de celles ci peuvent inclure dyspn e toux non productive et d t rioration de l tat g n ral fatigue perte de poids et CRESTOR 5 mg 28 comprim s 25 44 CRESTOR 10 mg 28 comprim s 32 51 CRESTOR 10 mg 98 comprim s 86 37 CRESTOR 20 mg 28 comprim s 47 29 CRESTOR 20 mg 98 comprim s 132 80 CRESTOR 40 mg 28 comprim s 79 72 CRESTOR 40 mg 98 comp
154. rsonnels ou familiaux de troubles musculaires h r ditaires les ant c dents de toxicit musculaire avec un autre inhibiteur de la HMG CoA r ductase ou des fibrates une consommation excessive d alcool les situations o peut appara tre une augmentation des taux plasmatiques les patients asiatiques l usage concomitant de fibrates voir les rubriques Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Interactions avec d autres m dicaments et autres formes d interactions et Propri t s pharmacocin tiques 4 4 Mises en garde sp ciales et pr cautions Effets r naux On a observ de la prot inurie le plus souvent d origine tubulaire d tect e par un test avec tigette chez des patients trait s par de fortes doses de CRESTOR particuli rement avec 40 mg le plus souvent il s agissait d un ph nom ne transitoire ou intermittent La prot inurie ne constitue pas un signe avant coureur d une maladie r nale aigu ou progressive voir rubrique Effets ind sirables Le nombre de rapports d affections r nales s v res observ es lors de la surveillance apr s commercialisation est plus lev avec la dose 40 mg On envisagera d valuer la fonction r nale au cours du suivi de routine des patients trait s par une dose de 40 mg Effets sur les muscles squelettiques On a observ des effets sur les muscles squelettiques tels que des myalgies une myopathie et rarement une rhabdomyolyse chez des patients trait s par CR
155. s qui laisse pr sager d importantes retomb es conomi ques en cas de succ s et instituts prestigieux tentaient depuis longtemps de s arracher Cette four mili re de jeunes espoirs et de talents reconnus ne peut qu attirer l attention du monde scientifique international et de l industrie de la sant sur les pos sibilit s offertes par le Luxembourg pour mener bien et faire voluer les recherches dans les domaines cliniques et pharmacologiques du futur Un enjeu capital pour l conomie de la sant Prenant la parole le Ministre de la San t Mars Di Bartolomeo a rappel que Comme tous les pays d velopp s le Luxembourg fait face une augmenta tion spectaculaire des co ts de sant Et ceci n est qu un d but Ce fait est li tant l allongement la dur e de vie qu l augmentation du nombre de patholo gies lourdes pour le traitement desquel les des traitements efficaces existent mais un co t de plus en plus lev Changer notre vision des traitements et la faire voluer vers des protocoles sp cifique ment adapt s la pathologie et au profil du patient soigner constitue une solu tion int ressante et attendue pour tenter de diminuer les co ts et viter au patient des traitement peu ou pas efficaces Le Centre de Prot omique clinique par sa mission de d velopper des solutions globales pour une personnalisation croissante des traitements re pr sente je n en doute p
156. s la v rification des consen tements clair s et du dossier investigateur ensemble des documents se rapportant l tude et conserv s par l investigateur le suivi des v nements ind sirables graves survenue proc dures de d claration Design d tude c est le sch ma ou plan d tude qui se doit d tre le plus pragmatique possible tout en per mettant une interpr tation des r sultats avec un ni veau de preuves suffisant Diff rents sch mas d tude sont possibles comme entre autres l essai randomis en groupes parall les o la cohorte non randomis e avec groupe t moin Semper Luxembourg septembre 2010 RECHERCHE Le parcours d une tude clinique La r alisation d une tude clinique est un processus long et complexe n cessitant des ressources et des com p tences diverses qui peut se d rou ler entre autres en milieu hospitalier en m decine ambulatoire ou bien au sein d unit s de recherche clinique Au Luxembourg le Centre d investigation et d Epid miologie Clinique CIEC qui fait partie du Centre de Recherche Pu blic Sant est une structure qui permet d assurer le suivi de toutes les tapes de la recherche clinique voir illustration Le parcours d une tude clinique Dans la premi re phase de conception et de planification il est essentiel de se poser la question de la pertinence de la recherche et de bien formuler la ques tion scientifique poser travers l la b
157. s graves Fr quence ind termin e Maladie s rigue pouvant comprendre fi vre et lymphad nopathie Tr s fr quent chez les enfants de 6 ans moins 12 ans Chez les enfants de 6 ans moins de 12 ans Cancers Le taux d incidence global de cancers observ dans le programme d essais cliniques de Xolair chez les adultes et les adolescents g s d au moins 12 ans a t comparable celui rapport dans la population g n rale Aucun cas de cancer associ l omalizumab n a t observ dans les tudes cliniques m n es chez les enfants g s de 6 ans moins de 12 ans un seul cas de cancer a t rapport dans le groupe contr le Plaquettes Lors des essais cliniques peu de patients ont pr sent un nombre de plaquettes inf rieur la limite inf rieure de la normale du laboratoire Aucune de ces variations n a t associ e des pisodes h morragiques ou une diminution du taux d h moglobine Il n a pas t observ de diminution persistante des plaquettes chez l homme patients de plus de 6 ans commeilavait t observ chez les primates non humains m me si des cas isol s de thrombop nie idiopathique ont t rapport s apr s commercialisation Infestations parasitaires Chez des patients expos s de fa on chronique au risque d infestation par les helminthes un essai contr l contre placebo a montr une l g re augmen tation non statistiquement significative du taux d infestation parasitaire
158. s institutions tel les que le Centre Cardiovasculaire d Alost et la Mayo Clinic de Rochester Minnesota tats Unis y ont gale ment pris une part d terminante Les recherches en question ont conduit au d veloppement de la plate forme technologique de Cardio3 BioScien ces destin e reprogrammer les cellules souches du patient lui m me pour reconstituer du tissu musculaire cardiaque On l aura compris l utili sation de cellules souches du patient lui m me pour la r g n ration du tissu cardiaque n est pas vraiment une nouveaut Mais jusqu pr sent on se heurtait une difficult certains facteurs propres au patient entra nant une limitation de l efficacit du processus Les chercheurs belgo am ricains ont donc tudi tr s m thodiquement le moyen d optimiser cette efficacit Dans le cadre de ces travaux d avant garde ils sont parvenus identifier un processus faisant intervenir v ritable cocktail de facteurs de crois sance pas moins de huit facteurs de ce type qui permet de modifier le devenir des cellules souches m sen chymateuses CSM Ces cellules qui sont peu diff renci es peuvent tre pr lev es dans la moelle osseuse des patients mais existent aussi dans de nombreux autres sites Dans l tude qui nous occupe il s agit de personnes qui subissaient pontage coronaire Dans leur tat natif les cellules sou ches ne montraient que peu d aptitu de la diff renciat
159. sculaire en compl ment pour corriger d autres facteurs de risque JUPITER Cette nouvelle indication repose sur les r sultats de l tude JUPITER Jus tification for the Use of Statins in Primary Prevention An Intervention Trial Evaluating Rosuvastatin qui valu l effet de la rosuvastatine sur l incidence des v nements majeurs de maladie cardiovasculaire ath ros cl rotique chez 17 802 hommes gt 50 ans et femmes gt 60 ans Effet sur le LDL cholest rol Les participants l tude ont de mani re randomis e le placebo n 8 901 ou 20 mg de rosuvastatine une fois par jour n 8 901 et ont t suivis pendant une dur e moyennne de 2 ans La concentration de LDL cholest rol a t r duite de 45 lt 0 001 dans le groupe rosuvas tatine par comparaison au groupe placebo FLASH INFOS Sujets haut risque SCORE Dans une analyse post hoc men e sur un sous groupe de l tude JUPITER comprenant de sujets haut risque 9 302 sujets avec un risque SCORE au d part 25 extrapol e pour inclure des sujets de plus de 65 ans on a mis en vidence une r duction significa tive du crit re d valuation combinant d c s cardiovasculaire accident vas culaire c r bral et infarctus du carde 0 0003 sous traitement rosuvastatine versus placebo La r duction du risque absolu dans le taux d v nement tait de 5 1 par 1000 patients ann es Source
160. sein du Conseil Scientifique afin de mettre en place une concer tation et de nous associer pour les recommandations en car diologie C est dans cette optique d ailleurs que j ai pos ma candidature afin de rejoindre le groupe de travail car diologie du Conseil Scientifique en qualit de repr sentant de la Soci t Luxembourgeoise de Cardiologie On pourrait galement envisager d organiser avec les organisations de formation en m decine g n rale si elles le souhaitent une r union sur les nouvelles recommandations en vigueur en cardiologie REGARD SUR LES CONGR S A c t des manifestations comme l ESC d autres organisations taille plus humaine permettent de faire la synth se des nou veaut s en cardiologie Le pr f r du Dr Boisant est le Fuster Dr Boisant Les congr s tels que ESC ou p chent par gigantisme Avec autant de ses sions parall les il est indispensable de bien pr parer son programme mais on ne peut tout couvrir En re vanche sur le plan des contacts avec les confr res trangers et les autres soci t s scientifiques il s agit d v nements majeurs En ce qui concerne la formation continue ma pr f rence se porte sur une r union comme l Annual New York Cardiovascular Symposium plus couramment ap pel Fuster du nom de son directeur et fer de lance le Pr Valentin Fuster qui se tient chaque ann e en d cembre New York Rassemblant 1000 2000 cardi
161. sieurs milliers de patients A rajouter une phase 4 apr s l ob tention de l AMM AMM autori sation de mise sur le march qui se d roule tout au long de la vie du m dicament GLOSSAIRE Attach ou assistant de recherche clinique ARC personne mandat e par le promoteur et charg e du suivi d une tude aide logistique r glementaire et contr le de la qualit des donn es Formulaire de consentement clair document qui d crit les droits des participants de la recherche clini que et qui comprend des d tails propos de l tude tels que son objectif sa dur e les examens et proc dures m dicales qui seront r alis s ainsi que les coor donn es du personnel m dical impliqu Les risques et b n fices potentiels li s la participation sont gale ment expliqu s Le participant peut d s lors d cider signer ce document mais conserve le droit de retirer son consentement tout moment sans que cela n ait un quelconque impact sur la fa on dont il continuerait tre pris en charge par son m decin Brochure Investigateur ensemble de donn es com portant toutes les informations pertinentes connues avant le d but d un essai clinique les donn es chimi ques pharmaceutiques toxicologiques pharmacocin tiques et pharmacodynamiques chez les animaux et les r sultats d essais men s chez l homme ant rieurement La brochure doit contenir suffisamment d informations pour justifier le t
162. sse d organe et de fr quence absolue Les fr quences sont d finies comme suit tr s fr quent gt 1 10 fr quent gt 1 100 et lt 1 10 peu fr quent gt 1 1000 et lt 1 100 rare gt 1 10000 et lt 1 1000 tr s rare lt 1 10000 non connus ne pouvant tre estim partir des donn es disponibles Au sein de chaque groupe de fr quence les effets ind sirables sont pr sent s par or dre de gravit d croissante EN MONO THERAPIE Troubles oculaires Fr quent troubles visuels Troubles in fectieux Fr quent infection respira toire haute Peu fr quent sinusites Examens cliniques et para cliniques Fr quent prise de poids Troubles du sys t me nerveux Fr quent hypo esth sie Peu fr quent insomnie EN ASSOCIATION AVEC LA METFORMINE Troubles du syst me sanguin et lymphatique Fr quent an mie Troubles oculaires Fr quent troubles visuels Troubles gastro intestinaux Peu fr quent flatulence Examens cliniques et para cliniques Fr quent prise de poids Troubles du syst me musculo squelettique et des tissus conjonctifs Fr quent arthralgie Troubles du syst me nerveux Fr quent c phal es Troubles r naux eturinaires Fr quent h maturie Troubles du syst me reproducteur etdes seins Fr quent dysfonction rectile EN ASSOCIATION AVEC UN SULFAMIDE HYPOGLYCEMIANT Troubles auriculaires et de l oreille interne Peu fr quent vertiges Troubles oculaire Peu fr quent
163. st herp tique NPH tait r duit de 25 avec la brivudine 33 de tous les patients ont rapport une NPH par rapport l aciclovir 43 de tous les patients ont rapport une NPH chez les patients immunocomp tents g s de plus de 50 ans qui ont t trait s pour un zona 5 2 Propri t s pharmacocin tiques Absorption La brivudine est rapidement absorb e apr s la prise de Zerpex par voie orale La biodisponibilit de la brivudine est d environ 30 de la dose orale de Zerpex cause d un m tabolisme de premier passage consid rable Le pic de concentration plasmatique moyen de brivudine apr s une dose orale de 125 mg de Zerpex est de 1 7 pg ml l tat d quilibre et appara t une heure apr s la prise La nourriture retarde l g rement l absorption de brivudine mais n influence pas la quantit totale de m dicament absorb e Distribution La brivudine est distribu e de mani re importante dans les tissus comme l indique son grand volume de distribution 75 l La brivudine est li e de mani re tr s importante aux prot ines plasmatiques 5 95 Biotransformation La brivudine est m tabolis e rapidement et de fa on importante par l enzyme pyrimidine phosphorylase qui clive le groupe sucre donnant lieu la formation de bromovinyl uracile BVU un m tabolite d pourvu d activit virustatique Le BVU est le seul m tabolite d tect dans le plasma humain et son pic de concentration plasmatique e
164. syndrome de Stevens Johnson n crolyse pidermique toxique NET Affections musculo squelettiques et syst miques Rare arthralgie myalgie Tr s rare faiblesse musculaire Affections du rein et des voies urinaires Tr s rare n phrite interstitielle Affections des organes de reproduction et du sein Tr s rare gyn comastie Troubles g n raux et anomalies au site d administration Rare malaise augmentation de la transpiration 5 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE NV AstraZeneca SA Rue E Van Ophem no B 180 Bruxelles T l 32 0 2 370 48 1 6 NUMEROS D AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE NEXIAM 20 mg plaquette thermoform e BE215826 NEXIAM 20 mg flacon BE215792 mg plaquette thermoform e 215887 mg flacon 215853 7 STATUT LEGAL DE DELIVRANCE M dicament soumis prescription m dicale 8 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE Date de mise jour du texte mai 2000 Date de l approbation du texte ao t 2009 OL 0 G0cc l insuffisance cardiaque post infarctus sera t elle un jour vaincue par les cellules souches 24 R g n rer plus efficacement le myocarde Sp cialis e dans la pr para tion de cellules pr curseurs cardiaques pour r parer no tre pompe centrale la ci t Cardio3 BioSciences vient de mettre au point un protocole d induction visant un meilleur rendement de la diff renciation cardia que de cellules so
165. t rieur 6 5 Nature et contenu de l emballage ext rieur a Nature de l emballage Blister consistant en un film opaque rigide de PVC et un feuillet d aluminium b Contenu de l emballage Emballage original de 7 comprim s Emballage clinique de 35 5 x 07 comprim s Emballage chantillon de 1 comprim Toutes les pr sentations peuvent ne pas tre commercialis es 6 6 Pr cautions particuli res d limination Pas d exigences particuli res 7 TITULAIRE DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Laboratori Guidotti S p A Via Livornese 897 l 56010 Pisa La Vettola 8 NUMERO S DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE BE236957 9 DATE DE PREMIERE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT DE L AUTORISATION Date de premi re autorisation 27 mai 2002 Date de renouvellement de l autorisation 10 DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE APPROBATION DU TEXTE 03 2009 Mise garde sp ciale et pr cautions particuli res d emploi La recherche clinique est une activit m dicale visant am liorer la connais sance soit d une maladie soit d une th rapeutique En pharmacologie la recherche clinique est domin e par les tudes du m dicament administr l homme dans le cadre des essais cliniques Chronologiquement les essais clini ques se d roulent apr s les tudes de pharmacologie exp rimentale qui se d roulent en laboratoire stades pr cliniques Les tudes chez l homme ob issent eune technique
166. t rozygote la dose initiale habituelle est de 5 mg par jour L chelle habituelle de doses est de 5 20 mg une fois par jour en dose orale L ajustement de la dose doit tre effectu selon la r ponse individuelle et la tol rance chez les patients p diatriques comme prescrit par les recommandations sur le traitement p diatrique voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Les enfants et adolescents doivent tre plac s sous r gime hypocholest rol miant standard avant l initiation du traitement par la rosuvastatine ce r gime doit tre poursuivi pendant le traitement par la rosuvastatine La s curit d emploi et l efficacit de doses sup rieures 20 mg n ont pas t tudi es dans cette population L utilisation du comprim 40 mg n est pas appropri e chez les patients p diatriques Enfants de moins de 10 ans L exp rience chez les enfants de moins de 10 ans est limit e un petit nombre d enfants g s de 8 10 ans avec une hypercholest rol mie familiale homozygote De ce fait l utilisation de CRESTOR n est pas recommand e chez les enfants de moins de 10 ans Usage chez les patients g s Une dose initiale de 5 mg est recommand e chez les patients gt 70 ans voir rubrique Mises en garde sp ciales et pr cautions d emploi Aucun autre ajustement posologique relatif l ge n est n cessaire Posologie chez les patients en insuffisance r nale En cas d insuffisance r nale l
167. t 10 mg de rosuvastatine sous forme de rosuvastatine calcique Chaque comprim contient 91 3 mg de lactose monohydrate CRESTOR 20 chaque comprim contient 20 mg de rosuvastatine sous forme de rosuvastatine calcique Chaque comprim contient 182 6 mg de lactose monohydrat CRESTOR 40 mg chaque comprim contient 40 mg de rosuvastatine sous forme de rosuvastatine calcique Chaque comprim contient 168 32 mg de lactose monohydrat Pour la liste compl te des excipients voir rubrique Liste des excipients 3 FORME PHARMACEUTIQUE Comprim pellicul CRESTOR 5 mg comprim s ronds de couleur jaune grav s 704522 et 5 sur une face l autre face tant lisse CRESTOR 10 mg comprim s ronds de couleur rose grav s des mentions 204522 et 10 sur une face l autre face tant lisse CRESTOR 20 mg comprim s ronds de couleur rose grav s des mentions 204522 et 20 sur une face l autre face tant lisse CRESTOR 40 mg comprim s ovales de couleur rose grav s des mentions ZD4522 sur une face et 40 sur l autre 4 DONNEES CLINIQUES 4 1 Indications th rapeutiques Traitement de l hyper cholest rol mie Adultes adolescents et enfants de 10 ans ou plus avec une hypercholest rol mie primaire de type lla incluant l hyper cholest rol mie familiale h t rozygote ou dyslipid mie mixte combin e type 110 en compl ment au r gime lorsque le r gime et d autres
168. t 63 13 mg de lactose monohydrat Cozaar Plus Forte 100 mg 25 mg contient 126 26 mg de lactose monohydrat FORME PHARMACEUTIQUE Comprim s pellicul s Indica tions th rapeutiques Cozaar Plus Forte est indiqu dans le traitement de l hypertension art rielle essentielle chez les patients dont la pression art rielle n est pas suffisamment contr l e par le losartan ou l hydrochlorothiazide en monoth rapie Posologie et mode d administration Cozaar Plus Forte peut tre administr avec d autres antihyper tenseurs Cozaar Plus Forte doit tre aval avec un verre d eau Cozaar Plus Forte peut tre pris au cours ou en dehors des repas Hypertension Le losartan hydrochlorothiazide ne doit pas tre administr en traitement initial mais chez les patients dont la pression art rielle n est pas suffisamment contr l e par le losartan ou l hydrochlorothiazide en monoth rapie Il est recommand d augmenter progressivement la dose de chaque com posant individuel losartan et hydrochlorothiazide Si la clinique le justifie le relais direct de la monoth rapie l association fixe peut tre envisag chez les patients ne pr sentant pas une r ponse tensionnelle suffisante La posologie habituelle en traitement d entretien est de un comprim de Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg 50 mg de losar tan 12 5 mg d hydrochlorothiazide une fois par jour En cas de r ponse insuffisante Cozaar Plus 50 mg 12 5 mg la posologie peut tre au
169. t li s selon les conceptions m di cales de l poque on estime qu une purification de l me ne peut tre que b n fique au physique Le corps n est pas pour autant oubli les patients sont parfois lav s avant de recevoir un uniforme et de rejoindre leur lit Lit dans lequel d ailleurs le ma lade n est g n ralement pas seul deux ou trois personnes se retrou vent souvent sur la m me paillasse Rien de choquant l dedans une poque o la contagion tait encore mal comprise et o l on avait l habi tude de dormir plusieurs sauf chez les nantis ce syst me avait l avantage de maintenir les patients au chaud La salle des malades mixte sert la fois de salle d op ration de lieu de vie des patients ainsi que de r fectoire De leur c t les moines ou moniales en charge des patients sont th ori quement tenus de s occuper des pa tients comme s il s agissait du Christ en personne Ils sont donc charg s de les veiller nuit et jour de les nourrir et de subvenir dans la mesure du pos sible leurs besoins Un soin constant qui limite videmment la capacit de l h pital m di val sauf exceptions peine une dizaine de personnes y est trait e Il existe le plus souvent un moine o une moniale vers dans l art apothicaire m dical ainsi qu un potager d herbes m dicinales mais gu re plus on fait appel l un des chirurgiens barbiers de la ville pour venir
170. t r servera videmment la primeur de ses plans aux partenaires sociaux si toutefois ils montrent suffisamment de bonnes dispositions pour se remettre la table des n gociations de la Tripartite En attendant c est la surench re pour d montrer la solidit des th ses de chacun le patronat entend donner la preuve par trois de l intol rance la reprise pour les entreprises l indexa tion automatique des salaires tandis que les tenants du syst me essaient de leur c t l absence de corr lation en tre l index et l inflation il n y a pas ph nom ne d auto allumage De son c t le pr sident de la Banque centra le du Luxembourg Yves Mersch ap port sa contribution en affirmant sans ambages que l appartenance du Luxembourg la zone euro n tait pas compatible avec le maintien du sys t me actuel d indexation Dans une publication du mois de juillet la Chambre des salari s a sou hait apporter son tour sa pierre dans le d bat sur la question du syst me d indexation automatique des sa laires avec l id e bien accroch e qu il ne faut pas y toucher et qu une tran che indiciaire n est en fait rien d autre que le rattrapage d une augmentation des prix qui a d j eu lieu et dont les entreprises ont d j profit Une tranche indiciaire poursuit la Cham bre des salari s permet en effet uni quement aux m nages de r cup rer la valeur du salaire qu ils avaient au
171. th rapie respiratoire autres m dicaments en inhalation et enfin TOBI Dose quotidienne maximale tol r e pour n a pas t tablie Contre indications L administra tion de est contre indiqu e chez tout patient ayant une hypersensibilit connue un aminoglycoside Effets ind sirables Lors des tudes cliniques contr l es une alt ration de la voix et des acouph nes taient les seuls effets ind sirables rapport s chez un nombre significativement sup rieur de patients trait s par respective ment 13 dans le groupe TOBI contre 7 dans le groupe contr le et 3 dans le groupe TOBI contre O dans le groupe contr le Ces pisodes d acouph nes taient transitoires et se r solvaient sans l interruption du traitement par TOBI et ils n taient pas associ s la pr sence d une perte auditive permanente l examen par audiogramme Le risque d acouph nes n augmentait pas lors des cycles r p t s d exposition TOBI D autres effets ind sirables dont certains sont des s quelles fr quentes de la maladie sous jacente mais pour lesquels il a t impossible d exclure l existence d un lien causal avec le traitement par TOBI taient coloration anormale des expectorations infection des voies respiratoires myalgies polype nasal et otite moyenne Au cours de la phase POST MARKETING on a rapport des effets ind sirables selon les fr quences suivantes Troubles g n raux et anomalies au site
172. tidienne En association l insuline la dose d insuline peut tre maintenue lors de l initiation du traitement par pioglitazone En cas d hypoglyc mie la dose d insuline devra tre dimi nu e Sujet g aucune adaptation posologique n est n cessaire chez le sujet nsuffisant r nal aucu ne adaptation posologique n est n cessaire chez les patients atteints d une insuffi sance r nale clearance de la cr ati nine gt 4 ml min La pioglitazone doit pas tre administr e chez les patients dialys s aucune informa tion n tant disponible dans cette population nsuffisant h patique la pioglitazone ne doit pas tre utilis e chez les patients atteints d insuffisance Enfant et adolescent en l absence de don n es disponibles l utilisation la pioglita zone n est pas recommand e chez les su jets de moins de 18 ans CONTRE IN DICATIONS chez les patients ayant une hypersensibilit au principe actif ou l un des excipients une insuffisance cardiaque ou des ant c dents d insuffisance car diaque NYHA stades IV une insuffisance h patique une acidoc tose diab tique EFFETS INDESIRABLES les effets ind sirables repor t s une fr quence sup rieure 0 5 par rapport au placebo et sup rieure un cas isol chez les patients recevant de la pioglitazone dans le cadre d tudes en double aveugle sont list s ci dessous selon la classification MedDRA par cla
173. traitements non pharmacologiques ex exercice perte de poids n ont pas procur de r ponse ad quate Hypercholest rol mie familiale homozygote soit en compl ment d un r gime et d autres traitements hypolipid miants ex l aph r se des LDL soit si ces traitements ne sont pas appropri s Pr vention des v nements cardiovasculaires Pr vention des v nements cardiovasculaires majeurs chez des patients estim s haut risque d avoir un premier v nement cardiovasculaire voir rubrique Propri t s pharma codynamiques en compl ment pour corriger d autres facteurs de risque 4 2 Posologie et mode d administration Avant de d buter le traitement le patient doit suivre un r gime hypocholest rol miant adapt qu il devra poursuivre pendant toute la dur e du traitement La dose sera d termin e sur base individuelle en fonction de l objectif poursuivi et de la r ponse du patient en se basant sur les directives courantes en la mati re CRESTOR peut tre administr n importe quel moment de la journ e avec ou sans nourriture Traitement de l hyper cholest rol mie La dose d part recommand e est de 5 ou 10 mg en une seule prise journali re orale aussi bien chez les patients na fs que chez les patients pr c demment trait s par un autre inhibiteur de l HMG CoA r ductase Pour un patient donn le choix de la dose initiale devra tenir compte du taux de cholest rol individuel du risque cardiov
174. u o organe de notre corps exerce l action pour laquelle il a t cr via la production d un certain nombre de prot ines L ensemble de ces prot ines porte le nom de prot ome La prot omique au centre du nouveau processus th rapeutique et diagnostique qu est la m decine personnalis e est la science qui permet l analyse d taill e des pro t ines de ce prot ome via de multiples techniques dont la plus r cente est la spectrom trie de masse M decine personnalis e C est de l volution fulgurante de cette technique au cours de la derni re d cennie qu est n e la notion de m de cine personnalis e d j bien implant e dans le traitement de certains cancers sein c lon etc La recherche de cer tains de ces marqueurs sp cifiques au sein de la tumeur du patient permet d appliquer non un traitement stan dard mais bien un traitement cibl augmentant les chances de r mission ou de gu rison diminuant le risque d atteinte des cellules saines et donc des effets secondaires et r duisant ainsi les co ts soci taux Attirer l lite scientifique au Luxembourg Pour mener bien ce vaste projet le Luxembourg peut certes compter sur un certain nombre de t tes natio nales Cependant pour to fer leur quipe multiplier plus encore la ri chesse du programme de recherche Dr Jean Luc Schouveller MODE D EMPLOI Apr s digestion par la trypsine qui permet leur fragmentation chaque
175. uches m senchymateuses Dr Jean Andris ne publication r cente parue dans le Journal of the American College of Cardiology JACC fait tat de travaux scientifiques impor tants sur la diff renciation de cellules souches m senchymateuses en pr curseurs des cardiomyocytes Chose DOSSIER M DICAL rare r serv e aux travaux d une im portance majeure cette publication a eu les honneurs d un ditorial Les deux auteurs de l ditorial soulignent le caract re controvers de la capa cit de ces cellules souches se dif f rencier de cette mani re Certaines donn es exp rimentales obtenues en cultures cellulaires sugg rent n an moins un tel potentiel mais on n a pas pu reproduire dans ces condi tions les propri t s lectrophysiolo giques de vrais cardiomyocytes D un autre c t les donn es obtenues in vivo sugg rent une implantation car diaque et une diff renciation de tel les cellules mais cela ne se passe que dans une tr s modeste mesure C est dire l importance de l enjeu des re cherches dont les r sultats viennent d tre publi s La soci t Cardio3 BioSciences une soci t belge la pointe des biotechnologies est sp cialis e dans les th rapies r g n ra daflon 500 Luxembourg septembre 2010 DOSSIER M DICAL tives pour le traitement des maladies cardiovasculaires Elle a t au centre de ces travaux Cellules programm es De prestigieuse
176. uffisam ment contr l par le r gime ou l exercice physique et chez qui la metformine est contre indiqu e ou non tol r e En bith rapie orale en association avec la metformine chez les patients en particulier en surpoids lorsqu une dose maximale tol r e d une monoth rapie orale par metformine ne permet pas d obtenir un contr le glyc mique suffi sant un sulfamide hypoglyc miant uniquement chez les patients intol rants la metformine ou pour lesquels la metformine est contre indiqu e lorsqu une dose maximale tol r e d une monoth rapie orale par sulfamide hypo glyc miant ne permet pas d obtenir un contr le glyc mique suffisant En triple association orale avec la metfor mine et un sulfamide hypoglyc miant chez les patients en particulier en surpoids chez lesquels les associations bith rapie ci dessus ne permettent pas d obtenir un contr le glyc mique suffisant La pioglitazone est galement indiqu e en association avec l insuline chez les patients diab tiques de type 2 insuffisamment contr l s par l insu line et chez qui la metformine est contre indiqu e ou mal POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION la pio glitazone est administr e par voie orale en une seule prise par jour pendant ou en dehors des repas Le traitement par la pioglitazone peut tre initi la dose de 15 mg ou 30mg une seule prise quotidienne La dose pourra tre augment e progressivement jusqu la dose de 45mg en une seule prise quo
177. ultats de PERSIST En Belgique les autorit s de rem boursement ont impos la r alisation d une tude observationnelle pros pective multicentrique afin d valuer du point de vue pharmaco pid mio logique et pharmaco conomique l efficacit et la s curit du traitement add on par omalizumab chez les pa tients souffrant d asthme allergique persistant s v re Le but de cette tude tait galement d valuer si les r sultats du traite ment persistaient long terme 52 semaines Chez ces patients dont l asthme tait encore plus s v re que dans l tude INNOVATE ont t va lu s le crit re Global Evalution of Ireatement Effectiveness le score de qualit de vie AQLQ et le nombre d exacerbations s v res Les r sultats 16 semaines et 52 semaines sont repris dans le tableau ci dessous Comme le montrent ces donn es PERSIST 16 semaines 52 semaines R sultats 16 et 52 semaines n 146 n 105 r sultat bon excellent 83 6 80 9 totale am lioration 83 8 89 0 Patients exacerbation free 91 2 66 0 MEETINGS chez des patients atteints d asthme s v re les r sultats du traitement par omalizumab sont excellents avec une remarquable persistance long terme de l efficacit obtenue En effet 66 des patients sont toujours indemnes de toute exacerbation apr s un an de traitement avec une r duction globa le de 65 0 de la fr quence a
178. una Azul gt gt gt H tel Iberostar Trinidad AUTANT LE SAVOIR gt gt gt gt gt gt gt gt gt www nunaarcuba be ALLER CIR COIT i 14 L D L E D 2 a F F van 1 hi H A RE 2 a i gt Li VERT PSN TR i i PP Auberge gourmande Elle beau tre la plus petite ville d Europe Durbuy Belgique n en est pas moins une grande gourmande Et ce ne sont pas Fr d ric Bruneel et sa compagne Ang lique du Clos des R collets qui vont nous contredire C est joli Durbuy la petite ville se profilant m me comme destina tion phare pour un week end la vall e de l Ourthe offre en effet une grande vari t de paysages et un site malin www randos be renseigne sur les circuits de promenades p destres VTT questres v los et m me de pous settes Sans oublier la marche nordi que le kayak le rafting voire Durbuy en vespa www vespadurbuy be et le parc de Durbuy Adventure www durbuyadventure be Mais la vie au grand air c est bien connu a ouvre l app tit Tant mieux car nous sommes invit s ce week end au Clos des R collets une auberge gourmande sise au c ur m me du pi tonnier de la vieille ville Sobri t modernit et tradition
179. une r cidive h morragique d ulc res peptiques 40 mg une fois par jour pendant semaines apr s la pr vention initi e en i v d une r cidive h morragique d ulc res peptiques Traitement du syndrome Zollinger Ellison La dose de d part recommand e est Nexiam 40 mg deux fois par jour La dose devra ensuite tre adapt e individuellement et le traitement devra tre poursuivi aussi longtemps que la situation clinique l exige Sur base des donn es cliniques disponibles la plupart des patients peut tre contr l e avec des doses d som prazole allant de 80 mg mg par jour Avec des doses sup rieures 80 mg par jour la dose doit tre divis e et donn e deux fois par jour Enfants g s de moins de 12 ans ne doit pas tre utilis chez les enfants de moins de 12 ans vu que l on dispose pas de donn es En cas d alt ration de la fonction r nale Aucun ajustement de la posologie n est n cessaire en cas d insuffisance r nale En cas d insuffisance r nale s v re vu l exp rience limit e dont dispose la prudence s impose lors du traitement voir rubrique Propri t s pharmacocin tiques En cas d alt ration de la fonction h patique Aucun ajustement de la posologie n est n cessaire en cas d insuffisance h patique l g re mod r e En cas d insuffisance h patique s v re une dose maximale de 20 mg de peut pas tre d pass e voir rubrique Propri t s pharmacoci
180. valles d au moins 4 semaines dolent tre respect s entre les ajustements poscloglques La dose maximale est de 80 en une prise par jour Chaque dose quotidienne d atorvastatine est adm nistr s en seule prise Les comprim s peuvent tre administr s tout moment de ba journ e qu sans noumiure Hypercholest rol mie primaire et hyperliipid mie combin e mixte la majorit des patients sont sous contr le 10 mg de Lipitor une prise par jour La r ponse th rapeutique s observe en 2 semaines et est habituellement mammals au bout de d semaines Cette r ponse persiste lors d un traitement chronique Hypercholest rol mie familiale h t rorygota les patients d bu eront par une prse quotidienne de 10 de Lipsior Les doses seront alors indiyvidualis es et ajust es toutes las 4 semaines jusqu 40 mg par jour Ensuite soit la dose pour tre augment e jusqu un maximum de 80 mg par jour un ch lateur de l acide biliaire pourra tre combin une prise quotidienne de 40 mg d atorvastatine Hypercholest rol mie familiale homozygote dans une tude en usage compassionnel chez 64 patients Pinformation confirm e concernant les r cepteurs LOL tait disponible chez 46 patients Chez ces 46 patents la dim nution moyenne du LOL C tait d enrron 21 L atorvastatine a t administr e des doses allant jusqu 80 mo jour La posologie d atorvastatine chez les patients souffrant d hypercholest ro
181. voir rubrique Effets ind sirables 4 5 Effets ind sirables Les effets ind sirables observ s avec CRESTOR sont g n ralement mod r s et transitoires Dans des essais cliniques contr l s moins de 4 des patients trait s par CRESTOR ont arr t l essai en raison d effets ind sirables La fr quence des effets ind sirables est valu e comme suit Fr quent gt 1 100 lt 1 10 Peu fr quent gt 1 000 lt 1 100 Rare gt 1 10 000 lt 1 1 000 Tr s rare lt 1 10 000 Fr quence ind termin e peut tre estim e sur la base des donn es disponibles Affections du syst me immunitaire Rare r actions d hypersensibilit y compris l angioed me Affections endocriniennes Fr quent diab te sucr 1 Affections du syst me nerveux Fr quent maux de t te tourdissements Affections gastro intestinales Fr quent constipation naus es douleurs abdominales Rare pancr atite Affections de la peau et du tissu sous cutan Peu fr quent prurit rash et urticaire Affections musculo squelettiques et syst miques Fr quent myalgie Rare myopathie y compris myosite et rhabdomyolyse Troubles g n raux Fr quent asth nie 1 Observ dans l tude JUPITER fr quence totale rapport e 2 8 sous rosuvastatine et 2 3 sous placebo principalement chez des patients avec un taux de glucose jeun de 5 6 6 9 mmol l Comme pour les autres inhibiteurs de la HMG CoA r ductase la fr quence des ef
182. xc de d un facteur deux celui de la substance m re Le BVU est ensuite m tabolis en acide uracylac tique principal m tabolite polaire trouv dans l urine chez l homme mais ind tectable dans le plasma Elimination La brivudine est limin e de mani re efficace la clairance corporelle totale tant de 240 ml min La demi vie plasmatique terminale de la brivudine est d environ 16 heures La brivudine est limin e par voie r nale 65 de la dose administr e essentiellement sous forme d acide uracylac tique et de plusieurs compos s plus polaires de type ur e La brivudine non m tabolis e repr sente 5 n Q D D moins de 1 de la dose de Zerpex excr t e dan les urines Les param tres cin tiques du BVU termes de demi vie terminale et de clairance sont du m me ordre de grandeur que ceux de la substance m re Lin arit non lin arit On a observ une cin tique lin aire dans l ventail de doses de 31 25 125 mg Les conditions de l tat d quilibre de brivudine sont atteintes apr s 5 jours de prise quotidienne de Zerpex sans indication d accumulation ult rieure Les principaux param tres cin tiques AUC et demivie plasmatique terminale de la brivudine mesur s chez les sujets g s ainsi que chez les patients atteints d insuffisance r nale mod r e s v re clairance de la cr atinine respectivement de 26 50 ml min 1 73 m de surface corporelle
183. ype la taille et la dur e de l essai pro pos Les informations doivent tre mises jour durant l essai en fonction d ventuelles donn es nouvelles Good Clinical Practice Guidelines ICH recom mandations de bonne pratique clinique Ensemble de dispositions mettre en place pour assurer des tudes cliniques la qualit et l authenticit de leurs donn es scien tifiques d une part et le respect de l thique d autre part Centre investigateur ou site d tude lieu de l tu P o sont recrut s les participants Il peut s agir d un tablissement hospitalier public ou priv d un cabinet m dical etc Infirmier re d tude ou Study Nurse personne qui r alise les prestations demand es dans le protocole de l tude et plus particuli rement des actes cliniques CRF Case Report Form cahier d observation qui re prend toutes les donn es collect es pour chaque person ne participant l tude Les donn es peuvent tre enre gistr es sur un papier ou sur un lectronique Investigateur m decin qui dirige et surveille la r ali sation de l essai clinique Monitoring suivi du bon d roulement d une tude conform ment au protocole aux ventuels amende ments aux GCP et aux dispositions l gislatives et r gle mentaires Comporte notamment la v rification du recueil complet de donn es lisibles coh rentes confor mes aux documents source

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