La participation des usagers - Seine-Saint
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1. de l valuation et du d veloppement Florence Julienne Thomas Coordinatrice des quipes d valuations m dico sociales 1 Des constats partager 1 1 Ce qui nous relie la personne vieillissante La personne vieillissante a plusieurs r alit y compris au sein d un EHPAD plus ou moins acteurs plus ou moins conscient La r alisation du projet de vie qui tient compte de la personne Prendre soin de la personne Faire le deuil du bon usager et tre dans une d marche d coute tre pr t modifier ses pratiques professionnelles Partage de savoirs et de pouvoirs sans perdre de vue son positionnement CR_GT4 participation des usagers 17janv2013 Page 1 kot CRER L action et le partenariat de proximit Accepter l change Le lien existe au sein de l espace familial comment passer de l espace familial l espace public Les associations repr sentatives des usagers et notamment celles qui participent et qui sont implant es au niveau local Le positionnement de ces associations dans les organismes qui incluent le paritarisme dans leur fonctionnement CPAM CCAS ESMS Prendre soin des personnes g es lorsqu elles en expriment le besoin et que cela se passe dans une co construction qui s oppose la notion d accompagnement Le statut de citoyen de la personne g e 1 2 Ce qui nous distancie de la personne vieillissante Le lien avec la personne g e d pend en partie de la mission qui2. nous est confi e puissance de l expert dans le soin coute d terminante dans l animation ou l aide l autonomie L absence de retours ou de restitution dans le cadre de d marche qualit par exemple L accompagnement de personnes vuln rables impos sans coute sans choix L improvisation des d marches participatives Mener une concertation sans aller son terme y compris jusqu modifier ses pratiques La distanciation peut tre li e la difficult de s envisager comme personnes g e ou comme future personne g e C est l enjeu des d marches de pr vention comment informer sur le vieillissement L tat de sant qui ne permet pas l usager d tre en situation de revendication La prise en compte des r alit s qui s imposent aux professionnels et qui peuvent tre contraires aux repr sentations des personnes g es gestion des restes en mati re d alimentation La crainte de ne pas pouvoir r pondre aux demandes faites par les usagers et plus g n ralement de sortir de sa toute puissance Par exemple que faire devant le refus d aide de l usager La limite de ce qui est financ par exemple des situations o le plan d aide ne comprend que la toilette et qui prend souvent insuffisamment en compte la n cessit d une aide globale Le lien interg n rationnel qui existe dans la famille et qui peut s opposer l intervention des aidants professionnels ressentis parfois comme moins comp tents q
3. cekets CONSEIL Conseil g n ral de la Seine Saint Denis Sch ma d partemental 2013 2017 en faveur des personnes g es Groupe th matique n4 la participation des usager s Lisette Labeau Responsable d Agence DOMIDOM Christine de Coninck Responsable du d partement m dico social DTARS Dr Christophe Debeugny Chef de service SPAS CG G rard Dereix Directeur du CCAS de Pierrefitte seine Anne Jouineau Evaluatrice sociale du CLIC de Montreuil Denise Laupr tre B n vole France Alzheimer Laure Grout De Beaufort AS La Courneuve SSD CG Aim Relave Pr sident de la commission g rontologie du CODERPA Bernard Cotentin Membre Bureau CODERPA M Gabellica Evaluatrice sociale CLIC AULNAY Elsa Bezault Charg e du Caf Social pour retrait s migrants Association femmes boissi res Fran oise Bosquet Directrice EHPAD La Maison des Vergers et les appartements du 111 Mireille Egalgi Directrice d l gu e CG Jean Louis Faci Chef du service SSIAD Habitat et Soins SSIAD Cl mence Boudot Psychologue SPA CG Mauricette Sorin Charg e de mission Union d partementale des Associations familiales de Seine St Denis Monique Multon Conseil des a n s d Epinay sur Seine Sidonie Muni reEvaluatrice ADPA CG Christine Potel Responsable de secteur ADPA h bergement CG Marie Sylvie Candas Responsable de secteur ASH CG G raldyne Troly Responsable de secteur APA domicile Bao Hoa Dang Pilote MAIA Doroth e Lamarche Chef du bureau
4. f des ges conseil des a n s forums Informer les personnes g es et coordonner simplifier le syst me qui intervient en leur faveur en respectant la place des services municipaux comme porte d entr e Permettre aux professionnels gardiens d immeubles de mieux conna tre le dispositif d information CLIC et d accompagnement SSD Promouvoir et permettre la prise en charge cog r e par les personnes g es elles m mes babayaga Mettre en place des bureaux de vote dans certaines EHPAD publiques Favoriser la participation des a n s dans toutes les activit s propos es par les collectivit s publiques Le probl me du co t de l accompagnement en tablissement Modifier la place de l animation sociale dans les tablissements qui est actuellement tr s faible Faire voluer les aides d partementales et r gionales afin de fid liser les professionnels qui se forment au sein d un tablissement 2 2 Ce que le professionnel peut faire pour aider la personne de trouver sa place Formation pour les professionnels rassurer l usager Mettre en place les conditions d laboration d un projet de vie l entr e en tablissement en r solvant les probl mes de moyens pour les mettre en uvre initiation formalisation mise en uvre et partage du projet de vie Respecter les attentes des usagers ex origine migrants Groupes de parole CR_GT4 participation des usagers 17janv2013 Page 4 cekets CONSEIL Projet de vie
5. ff rents membres de l entourage et aussi entre entourage et personnes g es CR_GT4 participation des usagers 17janv2013 Page 3 cekets CONSEIL Am liorer la lisibilit du dispositif y compris pour les professionnels pour qui il faudrait un acc s privil gi lignes d di es pour les professionnels Parler du sujet de la vieillesse la personne g e accompagnement l coute r alis par un intervenant ext rieur une coute largie au travers de groupes de parole mettre en place des accueils pluri professionnels et notamment trouver le moyen de sensibiliser les m decins traitants Faire connaitre et favoriser la mise en place de l acte de mise sous protection future Mettre en place proposer des groupes de paroles destination des personnes g es b n ficiant de l APA domicile afin de leur pr senter les parcours de vie et de sant et notamment les tablissements qui doivent tre pr sent s comme une bonne solution de prise en charge pour un certain nombre de situations Utiliser les CAJ les EHPAD les EHPA comme lieux de r union pour des conf rences des animations destination des personnes g es b n ficiaires de l APA D velopper l h bergement temporaire l accueil de jour pour diversifier les modes d accompagnement et de raisonner en parcours de vie Optimiser les d lais d obtention des prestations ex accueil de jour Mettre en place des actions interg n rationnelles ca
6. imer son avis sur le service propos et a abouti des modifications de l organisation et des locaux Probl me de la nature de la r ponse ces demandes afin que l usager ait l impression sous la forme de r sultats tangibles d avoir t entendu au risque sinon de ne lus pouvoir les associer la r flexion avec succ s Une d marche qualit a t mise en place un agent est charg d valuer la qualit obtenue et la fin du questionnaire signale qu une r ponse aux demandes sera faite Diff rencier consultation au sein des CVS et participation dans la r alisation des t ches de la vie quotidienne Mener la concertation jusqu son terme y compris en modifiant ses pratiques que l on soit professionnel ou associatif afin de partager le savoir et les pouvoirs B n ficier de formations et de mettre en place des changes de pratiques et d exp riences Faire voluer les pratiques des institutions dans leurs conditions de dialogue d coute et d intervention en direction des usagers 2 Des pistes d action 2 1 Ce qui permet la personne g e de trouver sa place La r alisation du projet de vie qui tient compte de la personne La co construction Permettre l coute provoquer l expression de la personne g e par exemple pour des personnes g es pauvres qui n ont pas recours aux aides propos es ex resto du c ur L coute suggestive 1 Avec ici la complexit des d saccords intra familiaux entre di
7. temps d coute 3h Pourquoi suis je venu dans cet tablissement Qu est ce que j ai fait Qu est ce que je n ai pas encore fait Quels liens avec les personnes Quelle implication des professionnels 2 3 Comment concilier les positionnements du professionnel et de la personne g e Changer les modalit s de communication sur les EHPAD et les EHPA en mettant en avant les aspects positifs de ces tablissements et services Il faut viter que le sch ma soit cloisonn et assurer une continuit de vie quelles sont les opportunit s pour vivre ensemble et pour garantir cette continuit Politique d ouverture des tablissements Accueil de jour h bergement temporaire quoi et quel moment vont ils tre mobilis s Pour quel public Comment va t on les faire fonctionner Comment animer Sensibilisation des offices HLM Le sch ma doit davantage identifier et pr senter une d marche que d tailler un mode d emploi CR_GT4 participation des usagers 17janv2013 Page 5
8. ue les proches Pour les EHPA et les EHPAD nous avons plusieurs strates de personnes g es Celles pour lesquelles d pendance n est pas gale incapacit Des personnes g es qui ont des syndromes d mentiels CR_GT4 participation des usagers 17janv2013 Page 2 cekoets CONSEIL Des personnes g es repr sent es et pour lesquelles l usager est souvent en fait le repr sentant familial R soudre la dichotomie entre le soin et la vie sociale afin d quilibrer le poids des attentes de l usager et les exigences des soignants Mieux restituer les r sultats des enqu tes et prendre en compte les demandes des usagers ou expliquer pourquoi cela n est pas possible N cessit pour les repr sentants d usagers de se former afin de pouvoir prendre sa place aupr s des professionnels N cessit pour les professionnels d arriver consid rer l usager comme un partenaire en plus de sa position de personne accompagn e et de se remettre en question formation groupes de paroles Probl me de l image des usagers vus par les professionnels qui a priori sont ressentis comme un danger L usager b n ficiaire de l APA devient un consommateur Il y eu une r volution sexuelle mais pas encore de r volution vieillesse la parole des personnes g e est elle pris en compte 1 3 De l int r t de prendre l avis des usagers Pierrefitte un comit d tablissement du Centre de sant a t cr et permet l usager d expr
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