081 (12 Mo)
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1. le temps d attente le temps s coulant entre la derni re ad ministration l animal et le mo ment o les teneurs en r sidus dans les tissus ou productions lait uf miel sont inf rieures ou gales aux LMR CLASSEMENT DES MATI RES ACTIVES Les limites maximales de r sidus des diff rentes substances agr es sont reprises dans 4 an nexes diff rentes en fonction du type de produit CEE 2377 90 IL est int ressant de voir o se si tuent les diff rents produits uti lis s dans le cadre de la lutte con tre la varroase En annexe on retrouve les LMR fix es d finitivement Les dos siers sont consid r s comme suf fisants On y retrouve par exem ple l amitraze avec une LMR de 200 ug kg de miel L annexe Il regroupe les produits pour lesquels une LMR n est pas n cessaire Le dossier d montre que le produit n engendre aucun r sidu susceptible d tre dange reux pour le consommateur On retrouve ainsi dans cette annexe le tau fluvalinate la flum thrine les acides organiques formique lactique l exception de l acide oxalique le thymol l eucalyptol le camphre L annexe lll regroupe les LMR pro visoires Le dossier des produits repris dans cette liste pr sente des lacunes qui ne permettent pas de fixer des LMR d finitives Le fabricant a moins de 5 ans pour combler ces lacunes On y re trouve le coumaphos 100ug kg et le cymazole 1000ug kg la d2. ra z 341 Cu RE 3 as El gt 0 R r n N pod DOC jise mo is de protei re a eed V1 ec Fr Q Abeilles amp C n 81 2 2001 H R flexion apports de pollen donc des condi tions m t orologiques du biotope de la comp tition intrasp cifique de l tat physiologique de labeille d veloppement plus ou moins important du corps gras la SYNERGIE ENTRE TICIDES DOSES H S ET VIRUS DJs ISTE TUDIER e entre le Virus de la Paralysie e CPV et des doses subl tales est soup onn e La fr quence des sympt mes de la maladie rh chronique s est modi fi e c ee s derni res ann es Cette maladie ctue lement diagnostiqu e de f vrier vembre au cours d une ann e alors qu ms nt elle se limitait plus ou moins s Quelques essais pr liminai mer ont montr un effet de sy e des traces de lindane et le d t de la maladie noire Bien que Ernie connu de la synergie Les ACI pus et de traces de n thrine conforte cette hypoth se qui le plus souvent mis en 1 l environnement de l abeille on des traitements de ses para loque europ enne va se d velop per diverses poques de l ann e et avec une intensit variable De m me les affections virales dues au Virus de la Paralysie Aigue au Virus des Ailes D form es sont vectoris es lors de l action spolia trice de Varroa jacobsoni Il faut noter enfin que le
3. POUR LES ABEILLES LA TENUE DU REGISTRE D LEVAGE PR VU PAR L ARTICLE 253 I DU CODE RURAL EST R PUT E EFFECTU E PAR L ENREGISTREMENT DES TRAITEMENTS EFFECTU S SUR LES RUCHERS AVEC L INDICATION 1 DE LA NATURE DES M DICAMENTS NOM COMMERCIAL OU D FAUT SUBSTANCES ACTIVES 2 DES RUCHERS CONCERN S PAR LE TRAITEMENT ET DE LA QUANTIT ADMINISTR E PAR RUCHE CES MENTIONS POUVANT TRE REMPLAC ES PAR UNE R F RENCE L ORDONNANCE RELATIVE AU TRAITEMENT ADMINISTR SI L ORDONNANCE COMPORTE CES INDICATIONS 3 DE LA DATE DE D BUT OU DE LA P RIODE DE TRAITEMENT LE CLASSEMENT DES R SULTATS D ANALYSE OBTENUS EN VUE D TABLIR UN DIAGNOSTIC OU D APPR CIER LA SITUATION SANITAIRE DES ABEILLES DES COMPTES RENDUS DE VISITE OU BILANS SANITAIRES TABLIS PAR TOUT INTERVENANT VIS L ARTICLE 9 DES ORDONNANCES AINSI QUE DES PRESCRIPTIONS DES AGENTS SP CIALIS S EN PATHOLOGIE APICOLE dans le r glement CEE 2377 90 doivent tre connues savoir les r sidus de m dicaments v t rinaires toutes les substances pharmacologiquement actives qu il s agisse de principes actifs d excipients ou de produits de d gradation ainsi que leurs m tabolites persistant dans les den r es alimentaires provenant de l animal trait limites maximales de r sidus LMR les teneurs maximales en r sidus acceptables dans Les den r es alimentaires issues d ani maux traites
4. Association des instituts de recherche sur l abeille Apidologie 31 5 septembre octobre 2000 Honey Bee Pest Predators and Diseases R A MORSE Third Edition 1997 J P FAUCON M RIBIERE L MATHIEU Xp Unit AgelLLe AFSSA E SOPHIA ANTIPOLIS AGENCE FRAN AISE DE S CURIT SANITAIRE DES ALIMENTS AFSSA SITE DE SOPHIA ANTIPOLIS LABORATOIRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LES PeriTs RUMINANTS ET LES BEILLES Les TEMPLIERS 105 ROUTE DES CHappes BP 111 F 06902 SopHia ANTIPOLIS CEDEX T t 04 92 94 37 00 Fax 04 92 94 37 01 EMAIL JP FAUCON SOPHIA AFSSA FR WEB WWW APISERVICES COM AFSSA SOPHIA ANTIPOLIS tablissements BAUDREZ Tout le mat riel de vinification Production amp SUIVI DES MIELL ES Am liorer la production et la commercialisation de nos miels au travers de cet objectif g n ral du programme europ en Miel nous avons cherch mieux cerner l importance de nos miell es Plusieurs pistes ont t suivies dans ce sens Informations g n rales sur les productions annuelles de miel mise en place d un r seau de balances suivi des floraisons et enfin int gration des donn es existantes en vue d une cartographie du potentiel mellif re des diff rentes r gions Nous nous attacherons ici pr senter l tat d avancement des travaux pour les trois premiers points MIELL ES Nous disposons aujourd hui d in formations r guli res en prove nance de plusieurs r
5. cenrimtianm Centre R gional de R f rence et d Exp rimentation IROTT 4 Q 7 ze SANN IX f Y f O 7i ji 7O j 71 on UUU COTISATIONS Membre CARI 20 807 BEF Abonnement 6 num ros d Abeilles et Cie Analyse de miels tarif pr f rentiel sl Service tiquettes on personnalis es pour valoriser DPIDA De la Fleur vos miels gi Acc s la biblioth que Acc s au voyage apicole Sud de la France Diapositives gt erifari Acc s au pr t de mat riel Cassettes vid o didactique Membre CARIPASS 62 2501 BEF 23 928 BEF pour une nouvelle inscription EN PLUS DES SERVICES MEMBRES CARI GRATUIT Entr e toutes les activit s CARI 4 analyses de miel qualit et identification 15 jours de pr t de mat riel didactique R duction 1500 BEF sur le voyage apicole 2001 Sud de la France Achats group s Acc s exclusif Apr s midi techniques tables rondes Revue de presse trimestrielle APIPASS copie d articles Annuaire CARIPASS VIP apicole CARIPASS Service pollinisation Assurance RC uniquement en Belgique PAIEMENT Pour la Belgique verser au compte n 068 2017617 44 avec mention Membre 2001 ou CARIPASS 2001 Pour la France uniquement par ch que adress au CARI ou VISA MASTERCARD votre n de carte et sa date d expiration Pour les autres pays UNIQUEMENT par mandat postal intern
6. NOM ooon anaon nann nannaa Prix unitaire Fa PR nuance nes IE N ann Quantit COGE PR mme VIS eaa Frais d envoi Total payer ad Je paie ma commande par lt 2 Virement au compte N 068 2017617 44 d CARI Y 2 Ch que barr g e 2 Carte bancaire N EPRE E tes Expire Date et Signature 1 Mandat hii U 2 Je vous fais parvenir ma commande _ _ _ gt Par courrier Par Fax Par T l U Par e mail o _ lt 27 Abeilles amp C n 81 2 2001
7. de S curit Sanitaire des Ali ments a attir l attention du pu Photo 2 Site de linstitutagricole de Fribourg Abeilles amp C n 81 2 2001 8 9 Abeilles C n 81 2 2001 3 Ev nement blic toujours aussi int ress et nombreux sur les facteurs favo risant les maladies des abeilles Avant de passer la soir e de gala nous avons eu le plaisir de prendre l ap ritif au son de cors de montagne et de superbes chants r gionaux La soir e s est termin e tard pour certains 4 h du matin Ils sont r sistants ces Suisses car au petit d jeuner ils taient tous pr sents Plusieurs se sont rendus l abbaye de Haute rive toute proche D autres ont pr f re visiter le rucher cole de l Institut agricole Vers 10 h 30 j ai expliqu l impor tance des diff rents constituants du miel sur son volution sa ca ract risation et sa valorisation Le public tait moins nombreux mais tout aussi int ress que la veille Ce deuxi me Congr s romand d apiculture s est termin autour d un verre et d une choucroute sp cialit de la r gion de Fri bourg Un grand merci aux organisateurs pour cet anniversaire qui restera dans les m moires TIENNE BRUNEAU GAUCHO CONFIDOR Pathologie ca QUE SAIT ON AUJOURD HUI Depuis 1994 les apiculteurs du Sud Ouest de la France ne cessent de se battre pour d noncer les effets de limidaclopride mati re active du GAUCHO
8. oZ O zZ O E LL LLJ O LLJ o zZ Li J Samedi 12 mai de 8h 22 h Dimanche 13 mai de 8 h 18 h F te des fleurs et des abeilles organis e par la Section apicole d Andenne la Ville d Andenne le rucher cole du Ch teau de Seilles Mieux Vivre Andenne Foire aux tableaux Foire artisanale Fleuristes Apiculteurs Magasin d articles apicoles Sp cialiste en plantes condimentaires et mellif res Barbecue g ant Brocante apicole Site de l ancien COLRUYT Andenne Avenue Reine Elisabeth ANDENNE route de Huy Namur 500 m tres apr s le carrefour des Quatre Bras Andenne Contact J L Helas 085 84 29 63 ou B Sabatier 085 61 18 50 Le CFPPA d ARRAS organise Stage BP REA option APICULTURE Septembre 2001 ao t 2002 Stage sp cifique la formation adulte permettant d ac qu rir ou de renforcer ses connaissances apicoles d ob tenir une nouvelle capacit professionnelle de niveau IV quivalente au B T A acc s possible aux aides l installation Dipl me se composant de 12 unit s qui peuvent tre obtenues s par ment et qui sont capitalisables Biolo gie Technologie Gestion Commercialisation Informati que etc Le stage compte 1200 heures en fonction des acquis ant rieurs 350 heures en entreprise R mun ra tion selon statut et tude du dossier h bergement et restauration POUR TOUS RENSEIGNEMENTS C F P P A pu Pas DE CALAIS Raymonp CARS
9. IMIDACLOPRIDE DANS LES SOLS DE SON CA RACT RE SYST MIQUE IMPORTANT EXPLIQUANT SON EFFICACIT VIS VIS DES PUCERONS ET DE LA VARIABILIT DES R SULTATS LA COMMISSION NE PEUT CONCLURE L ABSENCE DE RISQUE POUR LES ABEILLES D CETTE MATI RE ACTIVE k Sstt E a e gt aT PR F m i t L IMPACT DES TRAITEMENTS PHYTOSANITAIRES SUR D AUTRES CULTURES VEN TUELLEMENT BUTIN ES PAR L ABEILLE CONTINUERA TRE EXAMIN USAGE PAR USAGE EN CONCLUSION LA COM MISSION D TUDE DE LA TOXICIT DES PRODUITS ANTIPARASITAIRES USAGE AGRICOLE PRONONCE L AVIS SUIVANT L ENSEMBLE DES DONN ES ANALYS ES PAR LA COMMIS SION NE PERMET PAS D IN CRIMINER FORMELLEMENT ET EXCLUSIVEMENT LES TRAITE MENTS DE SEMENCES DE TOURNESOL PAR LA PR PARATION GAUCHO NI DE CONCLURE LEUR ABSENCE DE RISQUE POUR L ABEILLE 2 f vrier 2001 Communiqu de presse du ministre de l Agri culture fran ais JEAN GLAVANY MINISTRE DE L AGRICULTURE ET DE LA P CHE A D CID DE PROLONGER POUR DEUX ANN ES SUPPL MENTAIRES LA SUSPENSION DE L AUTORISATION DU GAUCHO DANS LE TRAITEMENT DES SEMENCES DE TOURNESOL ET DE CONFIER UN COMIT D EXPERTS IND PEN DANTS UNE TUDE PID MIOLOGIQUE DE GRANDE ENVERGURE QUI ANALYSERA L ENSEMBLE DES FAC TEURS QUI PEUVENT AFFECTER LA SANT DES ABEILLES JEAN GLAVANY A N ANMOINS D CID DE SAISIR IMM DIATEMENT LA COMMISSION D TUDE DE LA TOXI
10. colo nies en p riode hivernale notam ment La varroase oblige donc des trai tements acaricides p riodiques et efficaces afin de conserver les potentialit s de r colte des colo nies cela en plus des mesures de i prophylaxie g n rale colonies EE fortes jeunes reines l agent pathog ne a Cas particulier du CPV les causes favorisantes Virus de la Paralysie Chronique ou maladie noire Depuis quelques ann es une aug mentation de la pr sence de sympt mes attribuables ce vi rus sur le terrain est constat e La bibliographie fait tat pour cette maladie de deux syndromes plus ou moins distincts et pouvant tre associ s A T ELLE LA POSSIBILIT DE R SISTER AUX MALADIES i abeille r siste aux maladies pour diff rentes raisons 1 2 3 Elle vit dans un milieu peu propice au d veloppement des agents patho g nes Le miel la gel e royale le pollen sont des l ments peu favora bles au d veloppement des microbes Elle est prot g e par sa cuticule par des arrangements de poils l en tr e des stigmates orifices des trach es par la membrane p ritrophique au niveau du ventricule Elle assure le nettoyage Le comportement de nettoyage comprend la _ pr paration des cellules pour la ponte future le nettoyage du nid couvain limination des larves ou des nymphes dont le comportement sous l opercule est anormal et l
11. de La qualit et de la quantit des LA R PONSE IMMUNITAIRE C EST be R SISTANCE AUX MALADIES f Diff rentes agressions vont diminuer la r sistance aux maladies 1 Varroa jacobsoni sa pr sence conduit une c d autres prot ines une baisse du pouvoir phago _ en plus bien s r des actions connues et li es aux premi res telles que la diminutio ps E 3 la dur e de vie de l abeille la perte de l activit La RE 5 2 Nosema apis il modifie le rapport des prot ines du cc corps gras La s r tion de gel e royale devient difficile perturbant l levag re ouva 3 Les intoxications doses subl tales qui sont des facteurs d pesticides n agissent pas seulement sur leur cible mais aussi st ur ur l l er ble de l organisme Ils peuvent affecter les BR de d E Si e ce laire de l h molymphe se fixer dans le corps s res th se des prot ines 4 La pollution et les m dicaments les abeilles qui vi aasa desr contamin s par Les m taux lourds Cu Pb moi nes pouvoir de d fense La synth se des apid cines aun gras est diminu e N oublions pas que les m taux lourds se r fr quemment dans les abeilles Les antibiotiques et les aca pour lutter contre la vafoase peuvent aussi diminuer les d d fens nitaires de l abeille 19 k 0 or allu i i amp te r D Sr Y 1 pos Ahots able de la syn EE S ba R7 ia ps pi Fe pere
12. en cours d homologation en France Certains apiculteurs uti lisent galement du thymol cris tallis selon des proc d s diff rents cadre thymol Le traitement au thymol doit s ef fectuer dans des conditions bien pr cises Il faut traiter tout le ru cher la temp rature ext rieure est importante De plus il faut signaler qu un tel traitement n est pas anodin pour les colonies et qu il est absolument n cessaire de r aliser un traitement compl mentaire hors couvain en raison d une efficacit insuffisante du produit JEAN MARIE BARBAN ON Ev nement C3 LA S A R SOci T ROMANDE D APICULTURE FETE SES 125 ANS Photo 1 Willy Des ir 125 ans c est un bail me direz vous Cet ge pour le moins res pectable n est pourtant pas signe de s nilit bien au contraire La S A R organisme fond en 1876 et regroupant les soci t s d apiculture du Bas Valais de Fri bourg de Gen ve du Jura ber nois de Neuch tel de Vaud et du Jura est plus dynamique que ja mais Willy Des iy photo 1 son nouveau pr sident depuis deux ans a des projets plein la t te Il faut d velopper de nouveaux projets Congr s romand d apicul ture site Internet http www abeilles ch pour que l apiculture puisse garder sa place dans notre soci t L argent est la pour tre utilis et non pour tre th sauris Il est parfaitement conscient de l volution du mo
13. litt rature les cinq derniers compos s de la liste sont consi d r s comme aussi toxiques ou plus toxiques que le compos pa rent De plus ils peuvent ven tuellement agir en synergie avec l imidaclopride r siduel Pour L BELZUNCES en toxicit aigu seuls l ol fine et le 5 monohydroxy imidaclopride pr sentent une toxicit comparable celle de la mol cule m re Les ph nom nes de toxicit sub aigu sont enre gistr s pour les m tabolites les plus connus Cette action pour rait tre particuli rement nocive et sournoise il est probable que certains m tabolites puissent agir sur des sites neurologiques diff rents de celui de l imidaclopride M Cou a montr que la fr quen tation du nourrisseur tait pert r b e avec l ol fine d s 0 75 ppb Ceci l a amen conclure que Graphique 1 Les effets d l t res sur les abeilles absence ou diminution de l efficacite du butinage sont donc d montr s dans une gamme de concentrations de 1 3 ppb PERSISTANCE DANS LES SOLS La persistance d un produit dans les sols est un l ment essentiel car plus un produit restera long temps dans un sol plus le risque ecotoxicologique sera important Un produit tr s persistant risque de s accumuler dans les sols C est pourquoi l Union euro p enne a limit la dur e de demi vie d un produit trois mois Si ce n est pas le cas la firme doit d montrer que le
14. produit ne s ac cumule pas dans le temps S il ne r pond pas l une de ces deux conditions un nouveau produit ne peut plus tre agr aujourd hui QU EN EsT IL pu GAUCHO L BELZUNCES et J N Tase ont mon tr que la demi vie de l imidaclopride est de 188 jours 25 dans un sol sablo limoneux et de 249 jours 50 dans un sol limoneux ultra fin Nous sommes d s lors en dehors des limites fix es par l Union europ enne BAYER aid du CETIOM a ainsi r alis des essais de longue du Abeilles amp C n 81 2 2001 12 13 Abeilles amp C n 81 2 2001 Donn es A Pathologie volution de la r colte de tournesol 4 ruchers des Deux S vres kg ruche et France Miel indice moyen 100 r e pour prouver que leur produit ne s accumulait pas dans les sols Ils ont montr que lors de traite ments syst matiques avec du GAUCHO on observait une stabi lisation des doses apr s trois an n es de traitements Bien qu aucun chiffre n ait t avanc pour ce palier les tudes men es par le CNRS le CETIOM et BAYER permettent d avancer raisonna blement la moyenne de 10 ppb Si l on consid re que cette con centration est atteinte dans les 30 premiers centim tres du sol cela correspond une charge de 50 g ha d imidaclopride C est ce qu un semis de tournesol GAUCHO apporte nominalement 50 g ha Le m me type d essais a gale ment t r alis en vergers Du CONFI
15. r siduel prove nant des sols contamin s les do ses sont presque aussi importan tes que celles trouv es dans le ma s sur ant c dent GAUCHO D CISIONS Sur base de tous ces r sultats plusieurs d cisions importantes pour le sort des apiculteurs ont t prises 13 d cembre 2000 Avis de la commission d tude de la toxi cit des produits antipa rasitaires usage agricole re latif l impact sur l abeille du traitement des semences de tournesol par la pr paration GAUCHO LA LUMI RE DES R SULTATS DISPONI BLES POUR CERTAINS INCOMPLETS ET IMPR CIS RIEN NE PERMET D INCRIMINER FORMELLEMENT ET EXCLUSIVEMENT LA PR PARATION GAUCHO DANS L ENSEMBLE DES PROBL MES AU DEMEU RANT TR S COMPLEXES RAPPORT S PAR LES API CULTEURS N ANMOINS BIEN QUE DANS LES ESSAIS EXP RI MENTAUX PLEIN CHAMP AUCUN EFFET SUR L ORIENTATION LA COMMUNICATION DANS LA RUCHE LA CONSOMMATION DE SIROP OU LE D VELOPPEMENT DES COLONIES N AIT T OBSERV AUX DOSES D EMPLOI RECOMMAND ES POUR L IMIDACLOPRIDE DES ALT RATIONS DES PERFOR MANCES D APPRENTISSAGE OLFACTIF DES ABEILLES ONT T OBSERV ES EN CONDITION DE LABORA TOIRE TEST DE CONDITIONNEMENT OLFACTIF DU R FLEXE D EXTENSION DU PROBOSCIS DES CON CENTRATIONS 12 PPB PROCHES DES NIVEAUX DE R SIDUS PR SENTS DANS LES PARTIES DE LA PLANTE ACCESSIBLES L ABEILLE 2 3 PPB DANS LE NECTAR ET LE POLLEN COMPTE TENU DE LA PERSISTANCE DE L
16. v r des r sultats telle ment diff rents dans les valeurs de la DL 50 dose qui tue 50 des abeilles en 48 h annonc es par les diff rents chercheurs valeurs comprises en tre 3 7 et 40 9 ng abeille ng nanogramme ou milliardi me de gramme Il faut signaler que ces valeurs de DL 50 font tat d une toxicit 1000 fois plus lev e que celle des anciennes familles de produits insecticides organo phosphor s carbamates L BELZUNCES INRA Avignon a ga lement tudi l effet de l inges tion prolong e d une dose de 0 0045 ng d imidaclopride par abeille et par jour toxicit sub aigu Des mortalit s significa tives apparaissent 3 4 jours apr s le d but du traitement Il fait remarquer que ce laps de temps correspond la p riode entre le d clenchement de la miell e et le d but de la d popu lation des ruches Lorsqu on parle de toxicit il faut galement tenir compte des l ments qui peuvent perturber l abeille sans pour autant entra ner sa mortalit directe C est ce que l on appelle les effets subl taux Ces effets peuvent tre multiples perte de m moire d rive perturbation de la transmission d information dimi nution des r sistances aux patho Marc Cou INRA Montfavet Avignon g nes Les tests qui mettent en vidence ces effets subl taux ne sont pas reconnus officiellement et ne doivent donc pas tre four nis par les firmes qui introdui
17. 6 21 2 21 9 19 9 Le samedi de 10 19 heures ou sur rendez vous Prod Wallonie tonnes 1150 1175 850 525 1025 1050 1175 1000 Abeilles amp C n 81 2 2001 20 21 Abeilles amp C n 81 2 2001 E8 Production Tableau 2 Pourcentage d apiculteurs par classe de production en 2000 et par rapport la production moyenne sur 7 ans Production Miel par ruche 2000 en 12 apiculteurs sont galement fort importants Voici un tableau qui donne le pourcentage d apicul teurs par classe de production en 2000 et par rapport la produc tion moyenne sur 7 ans tableau 2 La majorit des apiculteurs r coltent entre 10 et 20 kg ru che On peut estimer que 5 font r guli rement des r coltes de plus de 40 kg Cela provient sans doute de la technicit et de l en vironnement des ruchers On constate galement que les plus gros apiculteurs ont une produc tion en moyenne moins lev e ce qui est assez logique vu que l on ne peut pas suivre un cheptel im portant de la m me fa on qu un petit nombre de ruches On peut galement observer des ph no m nes de saturation de l environ nement PES E JOURNALI RE Depuis deux ans des balances Tableau 3 Nombre de jours Poids total des apports kg apports cat gorie Abeilles amp C n 81 2 2001 gt 20 lt 30 nl BEI LI a ES 41 22 17 2 2 2 2 sont install es dans diff rents ru chers de Wall
18. CIT DES PRODUITS ANTIPARASITAIRES USAGE AGRICOLE POUR QU ELLE SE PRONONCE AUSSI VITE QUE POSSIBLE SUR LA QUESTION DES EFFETS VENTUELS DE LA PERSISTANCE DANS LE SOL DE GAUCHO COMPTE TENU DE LA ROTATION DES CULTURES peer TIRE Penos gt 15 Manifestation nationale des apiculteurs fran ais des 23 24 et 25 octobre 2000 R ACTIONS Cette d cision ne r pond pas aux attentes de BAYER dont les cher cheurs restent persuad s que les probl mes observ s par les apicul teurs se situent ailleurs ce ti tre ils se f licitent que le minis tre ait r pondu leur demande de r aliser une tude pid miologique de grande envergure Selon leurs chercheurs elle devrait permettre d accr diter lhypoth se que ce n est pas le GAUCHO qui doit tre mis en cause mais d autres patho logies Ces d cisions ont profond ment d u les apiculteurs qui esp raient une interdiction totale de l imidaclopride ou du moins une suspension sur d autres cultures au moins sur ma s sans parler des craintes qu ils avaient formul es sur l utilisation du fipronil subs tance active du REGENT dont il n a pas t tenu compte Ce pro duit semble encore plus toxique que l imidaclopride Vu que ce produit n est pas pr sent comme un syst mique remont e possible dans la plante aucun test pr cis sur abeille n a t demand En Belgique un courrier a t adresse au ministre d
19. DOR 70 WG a t pulv ris une dose de 150 g de mati re active ha sur pommiers la fin du mois de mai pendant 6 ans en tre 1992 et 1997 Les concentra tions d imidaclopride sont d ter min es Ainsi dans un verger et pour les sols nus on trouve suc cessivement dans la couche 0 10 cm juste avant le traitement annuel lt 2 ppb 16 9 ppb 27 4 Abeilles s C n 81 2 2001 indice pivot France MIEL kg ruche Deux S vres ppb 29 6 ppb 32 6 ppb 38 1 ppb En 1997 lanalyse a t effectu e dans trois couches de sol diff ren tes 0 10 cm 10 20 cm 20 30 cm et 86 175 et 356 jours apr s traitement Cela a donn les r sultats suivants qui mettent en vidence le manque d homo g n it du produit dans le sol en surface et le fait que l essentiel du produit reste en surface dans l humus du sol Les concentra tions relev es sont J 86 de 20 0 ppb 2 6 ppb lt 2 ppb J 175 de 26 3 ppb lt 2 ppb lt 2 ppb J 356 de 34 5 ppb 2 6 ppb 2 6 ppb On constate que les doses dans ce cas sont net tement sup rieures celles ren contr es dans les zones de cul ture REMONT E DANS LES PLANTES De nombreux essais ont gale ment t r alis s pour d termi ner la quantit d imidaclopride que l on peut retrouver dans des plantes non trait es se d velop 14 pant sur des sols occup s au cours des ann es pr c dentes par des cultures GAUC
20. EL TEL 03 21 60 73 10 Fax 03 21 60 73 15 Le C F P P A d AUTERIVE Haute Garonne organise une formation apicole de 1200 heures en troite collaboration avec l exploitation apicole du Lyc e Agricole d Auzeville pour r pondre aux besoins exprim s par la formation sur l ensemble de la r gion MIDI PYR N ES et le grand SUD OUEST Pour TOUS RENSEIGNEMENTS C F P P A D AUTERIVE ROUTE D EsPAGNE F 31190 AUTERIVE T l 05 61 50 62 78 Fax 05 61 50 08 46 VERS UNE REVUE COMMUNE Lors de notre derni re assembl e g n rale nous avons pr sent aux membres pr sents un nouveau projet de revue commune Celui ci a t accept l unanimit Voici le texte de notre proposition adress e chaque f d ration provinciale de Wallonie et de Bruxelles et l Union Royale des Ruchers Wallons Suite la r union du mercredi 13 d cembre 2000 durant laquelle fut abord e la pers pective de publier une revue commune toutes les associations d apiculture le CARI asbl pr sente la proposition suivante adopt e par son assembl e g n rale lors de sa r union du 25 mars 2001 Le CARI asbl a l espoir que cette proposition permette de concr tiser les attentes d un grand nombre de responsables apicoles conscients de lim portance d un organe d information de premier plan pour lavenir de l apiculture dans nos r gions Pr ambule Depuis sa fondation en 1983 le CARI a pour vocation d tre un centre de s
21. HO Ces essais ont t conduits principalement sur tournesol On constate que des plantes de tournesol non trait es et sem es la suite de tournesol GAUCHO ou deux trois ans apr s contiennent de l imidaclopride et des m tabolites R SIDUS DANS LE POLLEN Un premier essai montre que 5 chantillons sur 7 de pollen de tournesol non trait GAUCHO con tiennent de l imidaclopride une concentration moyenne de 0 7 ppb si la culture suit dans les trois ans une culture GAUCHO La persistance peut tre encore plus importante car apr s 4 ans on peut retrouver des pollens conta min s pour les cas positifs 4 sur 7 avec une moyenne de 1 2 ppb De tels r sultats nous permettent d imaginer l importance de l imidaclopride r siduel puisque le pollen d une plante trait e con tient une moyenne de 3 3 ppb J M Bonmat n et I Moeau ont d montr que le ma s semble se comporter comme le tournesol Il pourrait absorber l imidaclopride r siduel jusqu 8 ppb De plus l imidaclopride est retrouv dans toutes les parties du ma s tiges feuilles pollen et fleurs La ca pacit d absorption d imida clopride du tournesol est plus im portante ou gale celle du ma s Le colza pr l ve moins de toxi que Quant au bl il est Le moins sensible de tous Des analyses ont galement t r alis es sur des adventices Les r sultats prou vent qu elles peuvent absorber l imidaclopride
22. Je p CEA CA y n de prise de poids Hi h Ei x LME sn diigii 23 02 1 03 8 03 15 03 22 03 29 03 5 04 12 04 19 04 26 04 3 05 10 03 17 03 24 03 31 05 7 06 5 07 12 07 19 07 26 07 IINA PET TOUL ar Sras 14 06 21 06 28 06 avec une miell e sur saule d s la fin mars Cette miell e n est pas enregistr e en Ardenne o la miell e d marre une semaine apr s les autres r gions et o l on observe un trou de miell e impor tant en mai Par contre la miel l e de juin est la plus importante de toutes les r gions La Lorraine b n ficie d une miell e pratique ment continue pendant tout le printemps C est d ailleurs dans cette r gion que les apports to taux sont les plus importants 81 kg et d passent de 20 kg les trois autres r gions On observe une petite miell e dans la zone Condroz Famenne Herve au d but du mois d ao t SUIVI DE LA FLORE Pour r aliser le suivi de la flore Abeilles amp C n 81 2 2001 nous nous sommes bases sur les travaux d Hubert Guerriat Nous avons propos aux personnes du r seau de surveillance de r aliser le suivi des floraisons de plusieurs esp ces indicatrices de groupes de plantes mellif res Ces esp ces ne sont pas toutes mellif res mais sont g n ralement bien re pr sent es g ographiquement et ais ment identifiables Pour fa ciliter le travail des observateurs no
23. OUR RENOUVELER LA REINE UN LIVRE SUR LA COULEUR DES PELOTES DE POLLEN DU MIEL DIT BIOLOGIQUE UN COURS APICOLE AU QU BEC DES TRAITEMENTS INCERTAINS DES PI GES POLLEN DIGRESSIONS SUR UNE QUINTUPLE INTOXICATION BEILLES ET FI VRE APHTEUSE Nouveau UNE ADH SION PLUS FACILE Rejoignez nous Pour adh rer la liste envoyez simplement un courriel l adresse lectronique lt majordomo fundp ac be gt avec les deux mots suivants dans le corps du message subscribe abeilles C est tout Vous recevrez un message de bienvenue vous donnant le mode d emploi de la liste C est le message intitul Welcome to Abeilles quelques lignes automatiques en anglais suivies de toutes les explications en fran ais RECHERCHE D INFORMATIONS Vous pouvez galement obtenir tous renseignements compl mentaires un acc s une page Web de souscription ou une page de recherche sur les archives anciens messages depuis 1997 la page d information http www fundp ac be jvandyck abeill infoabei html Il est aussi possible de l obtenir plus conomiquement en temps en envoyant lt majordomo fundp ac be gt la requ te courrielle INFO ABEILLES dans le corps d un message Vous le recevrez dans un courriel en retour y compris le lien vers une page d adh sion Maintenant donc les amateurs ont le choix du moyen d expression courriel ou toile Et la r ponse est quasi imm diate Si vous avez le moindre probl me
24. actuelle elle est dia gnostiqu e jusqu au mois de d cembre avec des sympt mes pr sents d s le mois de f vrier D une fa on g n rale l action du CPV conduit une diminution de l activit des abeilles et des mor talit s variables selon la force de la colonie et les causes envi ronnementales ou favorisantes CAUSES FAVORISANTES Les causes favorisantes peuvent tre r parties en deux groupes les causes externes aux colonies et les causes internes Les causes favorisantes externes aux colonies appartiennent prioritairement l environnement et sa qualit Il s agit des conditions m t orologiques hivers rigoureux s quences cli matiques perturb es au prin temps s cheresse de l alimentation pollinique et en nectar variables selon les bio topes ou d autres raisons des pollutions en relation avec les activit s industrielles plomb cadmium des intoxications doses subl tales en particulier ayant pour origine les diverses activites agricoles Ces causes favorisantes externes peuvent tablir des synergies en tre elles en fonction de leur dominance au cours de la saison apicole Elles peuvent se r per cuter tout au long de l ann e sur le d veloppement des colonies ou d voiler leur action plus tard dans la saison apicole hypoth se de la contamination des pollens stock s dans la colonie et consommes ul t rieurement Cas particuli
25. ate d expiration est fix e au 01 07 01 pour ces deux produits L annexe IV reprend les produits pour lesquels une LMR est impos sible fixer car les r sidus cons tituent un risque inacceptable pour le consommateur Il faut pr ciser qu lui seul le manque d informations peut constituer un risque inacceptable Leur admi nistration est interdite dans l UE Plusieurs produits ne sont pas ins crits car aucun dossier n a t r alis au niveau de l Union euro p enne L acide oxalique et la rot none sont dans ce cas Ils ne sont donc pas autoris s Varroase PRESCRIPTION D UNE PR PARATION EXTEMPORAN E Dans quelles conditions un v t rinaire peut il prescrire un m dicament non agr sans AMM S il existe un ou plusieurs produits agr s efficaces un v t rinaire sera oblige de prescrire l un de ceux ci Pour qu il en soit autrement il faudra donc prou ver qu aucun des produits autori s s ne conserve une efficacit suf fisante C est une des raisons qui a amen l AFSSA entreprendre une tude de l efficacit des pro duits agr s en France savoir l APISTAN et l APIVAR Cette tude a montr qu aujourd hui aucun de ces deux produits ne permet de garantir une efficacit suffisante On est donc dans le cas o une prescription extempo ran e peut tre ordonn e Celle ci doit cependant r pondre cer taines conditions Il faut signaler que
26. ational ou VISA ou MASTERCARD votre n de carte et sa date d expiration ou ch que libell en euro Nous envoyer un bulletin d adh sion accompagn du paiement Abeilles amp C REVUE BIMESTRIELLE dit e par le CARI N 81 2 2001 Parutions F vrier avril juin ao t octobre d cembre Editeur responsable Etienne BRUNEAU Mise en page Etienne BRUNEAU Evelyne JACOB Corrections Marie Claude DEPAUW Photo de couverture Etienne BRUNEAU Publicit Tarif sur demande Anciens num ros 1 24 50 BEF n frais de port Le CARI est partenaire aema aa N ARC Cette publication b n ficie du soutien financier de la Communaut europ enne Les articles paraissent sous la seule responsabilit de leur auteur Ils ne peuvent tre reproduits sans un accord pr alable de l diteur responsable et de l auteur AGENDA 6 mai Visite technique CARIPASS de l exploitation de Pol GOEDERT Mondercange 8 mai Comit d accompagnement 20 heures au CARI 12 et 13 mai Florabeilles Andenne 15 mai Groupe de travail sanitaire au CARI 20 h situation varroase et essais de traitements 27 mai Journ e technique partir de 10 h jusqu 17 h formation de ruchettes dans le cadre d une apiculture performante au CARI Place Croix du Sud voir Actu Api Juin diff rents week ends Op ration Ruchers portes ouvertes 12 juin Comit d accompagnement 20
27. ctive du GAUCHO est pr 11 gt Semences trait es Gaucho en ma s grainet ensilage pour un rendement maximum e sente tous les stades et dans tou tes les parties de la plante de tour nesol trait e avec ce produit no tamment dans le nectar et le pol len butin s par l abeille On re trouve ainsi de l imidaclopride sur tournesol traite des doses avoi sinant les 3 3 ppb 1 10 ppb dans le pollen et 1 9 ppb dans le nectar ce dernier r sultat a t observ pour des plantes cultiv es en pots Ces doses r ellement infimes un ppb correspond 1 g dans 1000 tonnes ou en d autres mots un milliardi me n ont pu tre mises en vidence qu apr s la mise en place d un protocole exp rimen tal extr mement performant Une telle concentration de substance active dans la fleur serait entre autres li e la mobilisation des r serves photosynth tiques stoc k es dans les feuilles v ritables pi ges imidaclopride lors de la Abeilles amp C n 81 2 2001 3 Pathologie France Rent en France pour une utilisa n sur ma s et tournesol iiers constats sur tournesol mise en place d un comit de pilo 3 Eer du suivi des tudes com uspe De ns sior d utilisation sur tournesol gt d tudes compl mentai k olites de l imidaclopride dans _ limite de toxicit du produit et de e ou bolites pour les abeilles persistance du toxique dans le
28. dans ce cas le prescripteur v t rinaire engage sa responsa bilit professionnelle personnelle Dans tous les cas de prescription de produits non agr s hors auto Ps lt p gt Ea n gt e Conf rence du 28 janvier 200f Namur X Abeilles amp C n 81 2 2001 6 7 Abeilles amp C n 81 2 2001 ce Varroase risation de mise sur le march ou AMM on recommandera donc au prescripteur 1 d tayer sa prescription sur des r f rences scientifiques et techniques contr lables produit b n ficiant d un agr ment AMM dans un autre pays produit b n ficiant d essais cliniques publi s dans une re vue scientifique sp cialit dont l emploi est consacr par l usage 2 d valuer les d lais d attente avec une grande marge de se curit 3 de ne prescrire qu une subs tance inscrite en annexes Il ou II de LMR On constate que l acide oxalique ne peut donc pas faire l objet d une telle prescription c t de ces voies officielles on peut ventuellement proposer une utilisation de produits sans indication th rapeutique Ce cas doit naturellement tre r serv des produits ne pr sentant pas de risque toxicologique repris en an nexe I des LMR par exemple le thymol ou l acide formique Il va de soi que ce produit ne peut pas faire partie de la liste des substances v n neuses cas de l acide oxalique Pour rester en deh
29. e l Agriculture pour lui faire part des craintes des apiculteurs vis vis du ma s Abeilles amp C n 81 2 2001 g Pathologie GAUCHO et du CONFIDOR en ver gers Les services du minist re sui vent de pr s l volution du dossier entre autres en France Il manque cependant de donn es relatives des intoxications recens es dans notre pays pour remettre en cause l agr ment donn ces produits De plus la d cision prise par le mi nistre fran ais peut laisser suppo ser que les risques sur ma s ne sont pas suffisants pour interdire l uti lisation de cet enrobage de graine QUE FAIRE Si l on veut parvenir des r sul tats concrets nous devons tre plus vigilants que jamais Surtout il ne faut pas h siter faire part des probl mes que l on rencon tre avec ses colonies renouvel lement anormal de reines d ve loppement tardif ou insuffisant mortalit s anormales d rive ex cessive pillages r coltes insuffi santes par rapport l tat des co lonies l environnement et au climat comportement de buti nage perturb tremblements nettoyage fr quent des abeilles sur Les fleurs visites d sordonn es sur le capitule des ast rac es ou compos es mortalit larvaire IL faut v rifier si ce ph nom ne Abeilles a C n 81 2 2001 est g n ralis ou n est observa ble que dans certaines ruches s il se prolonge s il se produit dans des cond
30. er des intoxications doses subl tales photo 1 La mise en vidence de plus en plus fr quente du Virus de la Pa ralysie Chronique lors d affaiblis sement de colonies a conduit l hypoth se d une synergie pos sible du CPV avec des doses subl tales de pesticides Une pre mi re tude exploratoire a laiss entrevoir la possibilit d une telle hypoth se Confirmation ou infir mation doivent tre apport es avec le travail en cours l AFSSA Sophia Antipolis Les intoxications cr ent des rup tures d quilibre entre les diff rentes populations d abeilles mo dification du ratio entre les abeilles d int rieur et d exte rieur en raison de la disparition plus ou moins im portante des buti neuses Une pertur bation du compor tement de net toyage en est une des cons quences Elles augmentent la pression parasitaire de Varroa jacob soni Le r le patho g ne d j d crit du parasite s en trouve exacerbe Il s ensuit une recrudescence des autres maladies courantes telles que les loques et les viroses Les causes favorisantes internes sont 1 la varroase qui conduit au d veloppement d autres mala QUELS SONT LES L MENTS QUI v Pathologie E F Photo 1 Mortalit significative d abeilles apr s ne intoxication dies de la loque europ enne en particulier En fonction de l intensit du parasitisme et des associations avec Nosema apis possibles
31. ervices travaillant pour toute lapi culture de Bruxelles et de Wallonie sans distinction aucune ABEILLES amp CIE dans son concept actuel peut constituer le support d une information de tous les apiculteurs de Bruxelles et de Wallonie Le CARI souhaite am liorer la diffusion de cette information C est dans cet esprit de services pour tous les apiculteurs que la pr sente proposition a t labor e Proposition Point 1 BEILLES amp CIE fusionne avec ACTU AP qui devient le titre principal de la nouvelle revue publi e six fois par an ACTU Api peut porter en sous titres ABEILLES amp CIE LA BELGIQUE APICOLE REVUE BELGE D APICULTURE en fonction des fusions r alis es Lors de la fusion les objectifs et la structure g n rale de la nouvelle revue sont discut s coll gialement avec chaque association adh rente On y retrouve les articles de type Actu Api d finis par le comit d accompagne ment les articles r dactionnels d Ageizzes amp Cie vulgarisation des nouvelles connaissances scientifiques prati que avanc e actualit et r seau EDAPI et des articles destin s aux petits apiculteurs et aux d butants Un volet est galement consacr l actualit Les informations relatives aux activit s de chaque organisme communi qu s cours conf rences agenda des sections petites annonces sont rassembl es en fin de journal de mani re diff renci e Point 2 Le CARI renonce fournir une revue aux ap
32. et du CONFIDOR sur leurs abeilles Aujourd hui le ph nom ne mobilise vraiment l ensemble des apiculteurs qui estiment avoir perdu pr s de 500 000 ruches en trois ans Le 25 octobre 2000 2500 apiculteurs ont d ailleurs travers la France pour venir crier leur d sespoir devant les locaux de l usine Bayer Cormery Indre et Loire Fin 98 nous ditions un dossier GAUCHO dans notre revue voir A amp Cie 67 Depuis on ne compte plus les articles publi s dans la presse et m me dans des journaux aussi prestigieux que le Monde ou le Figaro En 98 les donn es scientifiques faisaient encore cruellement d faut pour confirmer ou infirmer les observations des apiculteurs Les scientifiques ne sont pas rest s inactifs et de nombreuses recherches ont t men es tant par Bayer que par des scientifiques ind pendants Voici les principaux l ments de ce dossier particuli rement sensible Le GAUCHO est le nom commer La substance active est galement cial d un produit utilise pour le utilis e en arboriculture fruiti re LISTE COURRIELLE DE DISCUSSIONS ABEILLES gt Voici quelques sujets qui ont fait l objet de discussions entre les plus de 220 adh rents actuels de la liste franco phone Abeilles au cours de ces deux derniers mois f vrier et mars 2001 COLLES POUR RUCHES ENCORE LE GAUCHO SIROP BASE DE PROPOLIS STIMULATION DE PRINTEMPS CONSOMMATION DES R SERVES CONDENSA TION AU CADRE T MOIN P
33. heures au CARI 10 juillet Comit d accompagnement 20 heures au CARI 27 30 juillet Foire agricole de Libramont 5 ditorial Luc NO L 6 Varroase Traitement de la varroase Jean Marie BARBAN ON 9 v nement La S A R Soci t Romande d Apiculture f te ses 125 ans 10 E mail Liste courrielle Jean Marie VAN Dyck 11 Pathologie GAUCHO CONFIDOR que sait on aujourd hui tienne BRUNEAU 17 Pathologie R flexions propos des maladies de l abeille J P FAUCON M RIBI RE L MATHIEU 21 Recherche Suivi des miell es tienne BRUNEAU 26 Informations apicoles c Apimondia 2001 LS LU JILeWWOS Abeilles amp C n 81 2 2001 D Informations apicoles Petites annonces vendre essaims avec reine Buckfast 2000 sur 5 cadres en DB et DN reines Buckfast Jos ARTUS rue de Burnontige 3 B 4190 FERRIERES T l 086 43 31 50 ou 086 43 45 50 Apiculteur professionnel italien producteur de paquets de 1 5 kg d abeilles avec reine Buckfast ou Ligustica recherche revendeur pour exclusivit en Belgique Conditions sanitaires des abeilles garanties Vincenzo LATERZA APICOLTURE Via San Francesco 28 74011 CASTELLANETA TA ITALIA T l Fax 0039 099 8491254 Abeilles amp C n 81 2 2001 Florabeilles LLJ Er oZ O lt L Z O gt O oZ O LLJ O LLJ LLJ mc Li Z Z oO Ta a LLJ Li
34. iculteurs belges qui adh rent pour b n ficier de ses services Le nouvel ACTU Ar est uniquement disponible par le biais d une cotisation une association d apiculture ABEILLES amp CIE b n ficie aujourd hui d une large renomm e sur le plan europ en il occupe une place unique dans la presse apicole francophone Le CARI souhaite pr server et tendre cette ouverture vitale pour notre apiculture C est pourquoi il continue g rer les abonnements des lecteurs trangers Point 3 Sur base d une charte commune le CARI r alise et publie la revue pour les associations d apiculture Le r dac teur en chef a autorit pour la mise en uvre de la revue et se fait aider dans son travail par un comit de r daction groupe de travail information du comit d accompagnement regroupant les diff rents partenaires et ouvert toutes les parties Les modalit s financi res du partage du co t de la publication restent d finir Le CARI s engage g rer financi rement cette revue les comptes y aff rents sont directement accessibles toutes les associations participantes Point 4 Cette proposition n cessite l adh sion des deux tiers des associations d apicul ture pour pouvoir se concr tiser Fait Louvain la Neuve le 25 mars 2001 Luc NO L pr sident 5 Abeilles C e n 81 2 2001 E3 Varroase TRAITEMENT DE LA VARROASE PRODUITS AUTORIS S Un Arr te minist riel impose do r navant
35. inution de la dur e de vie des abeilles para sit es une alt ration de la phy siologie des abeilles Dans ce cas la cons quence majeure est la s cr tion d une gel e royale de mau vaise qualit ce qui influe sur l levage du couvain Le parasite Varroa jacobsoni joue un r le de vecteur en transmet tant l abeille des virus dont le plus connu est le Virus de la Para lysie Aigu APV et le Virus des Ailes D form es DWV L APV Xp Ds Tir re N APIOLATURE ORDS rO PPOO Pour qu il y ait maladie trois l ments doivent tre pr sents l h te l agent pathog ne et des causes favorisantes fig 1 En ce qui concerne la varroase les causes favorisantes jouent sur la rapidit de d veloppement de la parasitose mais le d veloppement est cependant in luctable sur Apis mellifica dans les conditions de la pratique apicole ANN ES 1997 1998 Loque am ricaine 10 2 9 8 Loque europ enne 3 2 3 6 Nos mose 1 1 1 3 Varroase pathologie d clar e 11 5 10 3 g Tableau 1 Pourcentages de foyers de maladies rencontr s lors des visites des agents sanitaires pour les ann es 1997 et 1998 17 Abeilles a C n 81 2 2001 s Pathologie Figure 1 Le d veloppement d une maladie chez l abeille Pour qu il y ait dont l action perdure malgre l li mination du parasite lors des trai tements est responsable en par tie des affaiblissements des
36. itez pas nous contacter Hubert GuerriAT se chargera de cette partie du suivi des miell es 25 Abeilles amp C n 81 2 2001 Ge Informations apicoles pee es Cf ET Su FE Den PE p PIMONDIA Sie p NPA SN s S p A as 2 ARhfnondl 2 ZUUI gt Apiculture meets Africa XXXVIle Congr s International de l Apiculture ICC Durban Afrique du Sud du 28 octobre au 1er novembre 2001 Des sp cialistes de renom donneront des expos s sur les acquis scientifiques r cents dans leurs domaines respectifs utiles tant aux apiculteurs qu leurs coll gues chercheurs L utilisation des cultures g n tiquement modifi es comme source de nourriture pour les abeilles l acarien varroa et les races africaines d abeilles les effets du commerce des abeilles sur la diffusion des pr dateurs et des maladies des technologies appropri es pour les professionnels et pour les apiculteurs amateurs le miel et son emploi en autom dication les ph romones des abeilles solitaires et des abeilles mellif res voil quelques uns seulement des sujets qui seront abord s Pour recevoir la derni re circulaire en fran aisl contactez le secr tariat d Apimondia en pr cisant votre langue l adresse suivante CONFERENCE PLANNERS P O Box 82 Irene 0062 Afrique du Sud T l 27 0 12 667 3680 Fax 27 0 12 667 3681 E mail confplan iafrica com Internet www apimondia2001 com Date li
37. itions climatiques parti culi res Il faut prendre un maxi mum d informations sur l environ nement du rucher dans lequel vous suspectez un probl me quels sont les champs ou vergers avoisinants jusqu 2 3 kilome tres susceptibles d avoir t trai tes quels traitements ont t r a lis s Un tat sanitaire g n ral doit tre dress et le type de traitement r a lis doit tre connu quand comment et avec quel pro duit L id al est de pouvoir disposer de preuves Pour cela si vos ru ches se trou vent dans un environnement risque ver ger champ de ma s trait s GAUCHO il faut pr lever du pollen et ventuellement des abeilles mortes que l on doit im p rativement stocker au surg lateur pour viter les d gra dations En cas d intoxication vi sible il faut faire appel une per sonne asserment e qui r alisera elle m me les pr l vements qui pourront alors avoir une valeur ju ridique Dans le cas du GAUCHO le constat est beaucoup plus dif ficile et c est l Etat et non l agri culteur qui serait tenu pour res ponsable du pr judice puisque le produit utilis est agr un niveau plus g n ral il serait utile de r aliser des tests de ter rain en analysant en champ l ef fet ventuel de la pr sence d une parcelle de ma s trait GAUCHO sur les colonies d un rucher si el les ne disposent pas d autres sour 16 ces de p
38. la production de ces trois derni res ann es est as sez stable et tr s l g rement su p rieure la moyenne Par con tre l importance relative des miell es varie d une ann e lautre En 2000 on constate que la miell e de printemps tait tr s bonne et m me exceptionnelle dans certains ruchers Par con tre la miell e d t tait nette ment plus mauvaise Les chiffres d t sont souvent surestim s car ils reprennent l ensemble du miel r colt depuis l enl vement des hausses de printemps parfois en cours de miell e La majorit des apiculteurs consid rent que la miell e d t d bute d s la deuxi me semaine de juin Ces dates peuvent cependant varier en fonction des r gions et des an n es Comme nous le verrons par la suite en juillet les conditions climatiques particuli rement d favorables n ont pas permis de r colte Les carts de production entre d Nombre 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 Moy Tout le mat riel apicole i Ruchers suivis 35 37 39 39 43 57 42 41 6 Ruches suivies 480 554 561 594 620 786 339 390 Place Saint M dard 16A Kg printemps ruche 10 9 2 8 3 5 3 12 5 8 2 12 5 9 4 B 5600 SAMART Philippeville Kg t ruche 15 12 1 9 7 7 9 4 12 2 9 6 10 7 T l Fax 071 61 57 07 Kg ruche d un rucher 23 4 24 9 18 12 1 24 8 22 5 23 2 21 2 Ouvert les mercredi et vendredi de 14 19 heures Moyenne kg ruche 23 6 23 8 17 2 10 7 20
39. mite d inscription 10 juin 2001 Centre d levage de s lection et d ins mination de reines M J Caucasiennes 3 Buckfast I Ve Italiennes Ed REINES VIERGES PAR 6 1000 BEF 24 79 REINES S LECTIONN ES INS MIN ES 1500 BEF 37 19 DISPONIBLES MAINTENANT Estrada Nacional n 2 168 A Campinas FARO 8000 PORTUGAL GSM 0032 0 479 230902 ou 00351 964804595 Abeilles amp C n 81 2 2001 26 APICULTEUR LEVEUR Eduardo NUNES Informations apicoles 3 APIMONDIA a r uni le savoir des Abeilles et des Hommes rr La m decine par les abeilles Trait d Apith rapie D couvrez ce cd rom passionnant et tr s utile R alis sous l impulsion du Prof Th Cherbuliez MD Pr sident de la Commission d Apith rapie d APIMONDIA ce CD ROM r dig en fran ais anglais et espagnol regroupe les connaissances actuelles d un grand nombre d experts internationaux en Apith rapie Il contient plus de 350 th mes trait s allant d un niveau grand public un niveau de sp cialiste lesquels sont enrichis de plus de 300 photos graphiques vid os diaporamas ES Achetez ce cd rom au prix de 50 les frais d envoi D utilisation facile il est lisible sur Mac et PC Pani BON DE COMMANDE _ Oui je commande le cd rom La m decine par les abeilles _ Voici mes coordonn es _ Voici ma commande NOM ooiiiaaina RTE Pr
40. nde apicole et ne compte pas se laisser d pas ser Il faut dire qu il n est pas seul Huit autres apiculteurs com p tents et motiv s l aident dans ce travail au sein du Comit de la S A R Cet anniversaire ils l ont voulu avant tout convivial chaleureux b n fique et ouvert tous Le site de l institut agricole de Fri bourg Grangeneuse photo 2 situe quelques kilom tres de Fribourg se pr tait merveilleuse ment bien cet v nement cou pl au deuxi me Congr s romand d apiculture Sur le terrain ils pouvaient compter sur l aide pr cieuse et efficace des apiculteurs de la f d ration fribourgeoise Les apiculteurs suisses ont r pondu en masse cet appel Il faut pr ciser qu auparavant les cours techniques et les conf ren ces taient r serv s uniquement aux inspecteurs conseillers et leveurs C tait donc une pre M gt SS Eon 4 z as gt mi re pour de nombreux apicul teurs la recherche d informa tions de premi re main Le samedi 17 mars d s le repas de midi il a fallu rajouter 50 couverts L apr s midi c est face un audi toire bonde photo 3 que Jean Daniel CHARRI RE photo 4 du Cen tre de recherche apicole de Liebefeld a pr sent une conf rence sur les aspects biologiques et conomiques de la pollinisation des fleurs par les abeilles Apr s la pause Jean Paul Faucon photo 5 de l AFSSA Agence Fran aise
41. nts l tat la tent dans les colonies L limina tion ou la minimisation de ces cau ses favorisantes se fait par l ap plication d une prophylaxie offen sive en cas de maladie tablie ou d fensive pour emp cher son ap parition Les causes favorisantes sont multiples vari es et peuvent s associer entre elles Les maladies des abeilles actuel lement dominantes en France sont la varroase maladie du couvain et des abeilles adultes la loque am ricaine maladie du couvain la nos mose maladie des abeilles adultes les viroses dont le CPV Virus de la Paralysie Chronique l ascosphaerose maladie du cou vain comme peut en t moigner le bilan des visites note de ser vice de la DGAI du 22 08 00 r a lis es par les agents sanitaires apicoles en 1997 et 1998 Ce bilan donne une image de l tat de sant officiel du cheptel apicole fran ais tableau 1 Les pourcentages mentionn s repr sentent ceux des foyers constat s lors de l ensem ble de ces visites nombre total de visites 7106 en 1997 6714 en 1998 Cas particulier de la varroase La varroase pr sente un caract re insidieux puisque l infestation d bute bien avant l apparition des sympt mes Cet tat de fait con duit bien souvent minimiser l ac tion du parasite sur le d veloppe ment des colonies La varroase in duit en fonction du seuil d infes tation un affaiblissement g n ral de la colonie une dim
42. ollen Ce type de test est impose en culture fruiti re pourquoi n en est il pas de m me pour les cultures mellif res sour ces de nectar et ou de pollen On devrait galement analyser d autres pistes d intoxications comme l effet de l imidaclopride en doses subl tales sur la capa cite de d fense des abeilles face des pathologies comme les vi rus ou les bact ries Ce type d in toxication pourrait ventuelle ment expliquer les ph nom nes anormaux et irr guliers relev s lors des tests de toxicit Ils pour raient peut tre expliquer l im portance des effets observes sur le terrain En mati re de toxicologie hu maine la variabilit des r sultats de tests toxicologiques oblige faire appel un facteur de s cu rite Celui ci est souvent gal 300 Un tel coefficient n est pas admis en mati re d environne ment Lorsque les effets non in tentionnels sur des organismes non cibles doivent tre valu s il faudrait galement appliquer un facteur de s curit Pourquoi comme le dit Marc Colin ne pas prendre un coefficient de s curit de 50 ou de 100 partir de la pre mi re concentration induisant des effets biologiques non mortels ou irr versibles Si l on veut vrai ment admettre que l environne ment est un bien pr cieux au m me titre que la qualit des ali ments il faudrait avoir le courage d une telle politique qui limine rait plusieurs produits ph
43. onie Les figures 1 et 2 pr sentent la moyenne des prises de poids journali res enre gistr es respectivement sur 7 et 17 colonies En 1999 on reconna t clairement les deux grandes p riodes de miel l e printemps du 28 avril au 9 juin et t du 13 juin au 5 ao t On constate galement que la miell e de printemps est relati vement stable Par contre la miel l e d t est souvent entrecoup e d un ou deux jours de non miel l e En 2000 la miell e de prin temps domine largement en inten sit celle d t qui semble d bu ter d s le d but du mois de juin et qui se termine pr matur ment le 21 juin On peut ne comptabiliser que les app rts et compter les jours qui donnent en moyenne un apport important plus de 1 kg ou tr s important plus de 2 kg Cela nous donne le tableau 3 On constate qu en moyenne on 22 observe une rentr e de nectar un jour sur quatre Les journ es qui g n rent une miell e int ressante sont beaucoup moins nombreuses 21 j en 1999 et 24 j en 2000 On constate galement que certaines ruches sont capables de r colter plus de 7 kg en une journ e En 2000 le maximum r colt par jour et par ruche tait de 5 7 kg de 3 2 9 kg Le simple fait de per turber une ruche ce jour l vous fait perdre une tr s grosse partie de la r colte On peut galement comparer l volution des poids des ruches en fonction des r gions cette fin nous avons
44. ors du champ d application du m dicament v t rinaire on ne peut donner aucune indication th rapeutique L information ne peut se faire que par le bouche oreille SUR LE TERRAIN Une strat gie de lutte passe par l alternance des produits ou du moins des m thodes de lutte La situation actuelle est tr s difficile vu que l on dispose de tr s peu de produits agr s APISTAN APIVAR et PERIZIN en Belgique De plus ces produits sont tres co teux En France tr s peu d apiculteurs b n ficient de sub ventions pour l achat de leurs pro duits Voici un bref tour d hori zon des principaux produits pr sents sur le march en Europe APISTAN Produit agr e AMM en France qui pr sente un trop grand confort d utilisation IL tait tr s efficace avant l apparition de la r sis tance Aujourd hui il a cepen dant perdu son efficacit dans de tr s nombreux ruchers La pres sion commerciale et l ignorance font qu il est encore employ par certains C est regrettable car on aurait pu ventuellement r utili ser terme le produit en cas de disparition de la r sistance APIVAR Produit agr AMM en France dont l efficacite est fort variable La pr sentation de l amitraze peut influencer l efficacit du traitement L ancienne formulation utilis e dans les a rosols TAKTIC peut venir en d pannage et pour des interventions ponctuelles PERIZIN Ce produit ba
45. ossier pr c dent A amp C 67 nous faisions tat des r sul tats de m morisation r alis s par M H PHAm DEL GUE qui mettait en vidence une diminution signifi cative des performances d ap prentissage olfactif pour des do ses de 6 12 ppb M Colin de l INRA Montfavet a travaill sur la fr quentation d un nourrisseur en milieu confin serre tunnel de 80 m par de petites colonies 1000 2000 abeilles Il observe syst ma tiquement une perturbation dans la fr quentation du nourrisseur des doses de 6 ppb des doses de 3 ppb l expression de la toxicit d pend probablement d un effet environnement encore mal connu qui reste ma triser IL observe cependant des effets si l on prend en consid ration le crit re dur e de la prise alimentaire Il en d duit que la concentration d imidaclopride sans effet observable sur l abeille est inf rieure 3 ppb TOXICIT DES M TABOLITES On ne peut se limiter tudier la toxicit de l imidaclopride Cette mol cule peut se d grader dans la plante et donner naissance de nouvelles mol cules appel es m tabolites Ces derniers peu vent galement pr senter une certaine toxicit Pratiquement les recherches ont montr que l imidaclopride se d grade en au moins 8 m tabolites ur e guanidine guanidine ol fine monohydroxy imidaclopride X 2 dihydroxy imidaclopride nitroso imidaclopride et ol fine Dans la
46. pouillage Elle poss de un syst me de d fense dans l h molymphe Ce syst me est d une part cellulaire on retrouve dans l h molymphe des cellules qui assurent la phagocytose c est dire la digestion des l ments in d sirables l enkystement d autre part humoral avec l apparition en fonction des besoins de petites prot ines dot es de pouvoir bact riosta ue Ce sont les lysozymes les apid cines les ab cines les hym nopt cines Abeilles amp C n 81 2 2001 18 1 les abeilles montrent une agi tation anormale au trou de vol certaines abeilles ont les ailes cart es et ou l abdomen r tr ci tra nent devant la ruche pr sen tent une couleur noire brillante ce qui a conduit d autres d no minations telles que petites noi res abeilles frites 2 les abeilles ne sont pas obliga toirement petites et noires elles sont tremblantes et incapables de voler devant la ruche ou sur les v g taux Les abeilles mortes sont diss min es irr guli rement plus ou moins loin autour des colonies et la mortalit peut tre forte dans certains cas La mise au point d un diagnostic plus sensible que la reproduction exp rimentale de la maladie pra tiqu e jusqu alors a montr une modification de l apparition de cette virose Jusqu pr sent la maladie noire tait signal e au printemps et en t en relation avec les s cr tions de miellat l heure
47. s sols et r manence dans les cultures non formation des graines Sur le ter rain il faut signaler une grande va riabilite dans les r sultats qui peu vent varier d un facteur 10 Le ma s trait GAUCHO contient lui aussi de l imidaclopride dans toutes les parties de la plante Les fortes concentrations dans les parties florales jusqu 20 ppb avec une moyenne de 10 7 ppb rappellent le ph nom ne observ sur le tournesol J M BONMATIN 1 Moeau CNRS Orl ans M CoLin INRA Avignon C FL CH AFSSA Nice J M BONMATIN CNRS Orl ans TOXICIT DE L IMIDACLOPRIDE Le moins que l on puisse dire c est que cette substance active ne se comporte pas comme la plu part des produits toxiques G n ralement l effet d intoxication est directement li la dose Ainsi une augmentation de dose toxique sera imm diatement sui vie d une mortalit plus impor tante Si l on observe des symp tomes d intoxication imm diats avec l imidaclopride la mortalit peut tre tardive et encore re tard e lors d une augmentation de la dose De plus il n y a pas de liaison directe en tre cette dose et la mortalit Ainsi on observe parfois plus de mortalites tres faible dose 25 mg ou un demi jabot de sirop 4 ppb qu des doses moyennes Le graphi que 1 illustre cette grande variabilit lors d essais Dans ces cir constances il n est pas tr s tonnant de trou
48. s traite ments acaricides sont source de contaminations chimiques des co lonies dans leur ensemble sans que leurs effets soient clairement ta blis L tude en cours l AFSSA Sophia Antipolis des r sidus dans les cires devra pr ciser l influence de ce facteur 2 les conditions d exploitation li es une pratique apicole in tensive 3 les traitements m dicamenteux r alis s sans connaissance de leur exacte qualit en ce qui concerne les traitements non officiels ou as soci s une mauvaise efficacit d montr e par des essais r cents pour les produits ayant une AMM En conclusion si l tiologie des maladies des abeilles a bien comme origine primaire des agents patho g nes limiter le d veloppement des maladies cette seule pr sence est une vue trop r ductrice La concomitance de divers facteurs favorisants s exacerbant differem ment se cumulant voluant dans le temps doit tre prise en compte pour expliquer la variabilit de l tat sanitaire du cheptel apicole POUR EN SAVOIR PLUS Elaboration de strat gies pour le contr le du varroa Expos de W RITTER Merelbeke La Belgique Apicole N 1 janvier f vrier 2000 Dossier Varroa 1999 La Sant de l Abeille N 173 septembre octobre 1999 Le comportement hygi nique de l abeille et la tol rance Varroa jacobsoni Journ es d tude de l ANERCEA Abeilles et Cie N 74 janvier f vrier 2000
49. se de coumaphos n est plus commercialis en France et en Belgique mais il est commande directement en Alle magne par le minist re de l agri culture belge pour l organisation de la campagne de lutte organis e ILest tr s co teux comme l APIS TAN et l APIVAR Ce produit doit tre utilis en dehors des p rio des de couvain Il pr sente alors une bonne efficacit On signale cependant des premiers cas de r sistance au coumaphos en Italie ASUNTOL 50 Cette poudre base de coumaphos et de kaolin peut tre utilis e en cas de prescription ex temporan e Dans ce cas il faut utiliser la m me dose que PERIZIN et travailler hors couvain Le pro bl me principal vient du poudrage qui favorise les r sidus En pr sence de couvain certains apicul teurs utilisent jusqu 8 fois la dose agr e 250 mg contre 32 mg augmentant dans la m me proportion les risques de r sidus CHECKMITE Ce produit commercialis aux Etats Unis consiste en des lani res au coumaphos Vu la teneur lev e en mati re active ce pro duit s est vu refuser son agr ment en Union europ enne ACIDE FORMIQUE Il existe de nombreux types de dif fuseurs L efficacit est souvent variable et insuffisante THYMOL Il existe divers produits commer cialis s pour le traitement de la varroase base de thymol APILIFE VAR produit agr en Ita lie THYMOVAR produit agr en Suisse et APIGUARD produit
50. sent un dossier pour l agr ment d un produit Lorsqu ils existent ils peuvent cependant venir toffer le dossier et aider les experts prendre leur d cision Voici les r sultats de trois tests assez pointus allant dans ce sens Le premier test portant sur les danses de l abeille a t r alis en Allemagne par le professeur W KIRCHNER Les abeilles de ruchettes 5000 abeilles ont t entra n es visiter des nourris seurs situ s 500 m de la ruche et contenant des sirops diff rentes concentrations d imida clopride Ils ont ainsi observ que la fr quence des danses corr l e avec l activit de recrutement d une source de nourriture par la colonie est significativement moindre pour des sirops contami n s des concentrations d imidaclopride comprises entre 10 et 20 ppb Les danses trem blantes se manifestent clairement entre 10 et 20 ppb Il faut noter que les effets de l imidaclopride affecteront galement Le compor tement d abeilles qui n ont pas t en contact direct avec le toxi que La perturbation de la danse peut avoir un effet inhibiteur du recrutement W KIRCHNER Une analyse fine de ces danses permet de constater que la pr cision est alt r e dans la communication de la direction partir d une concen tration comprise entre 10 et 20 ppb et dans la communication de la distance partir d une concen tration comprise entre 20 et 50 ppb Dans le d
51. si vous n arrivez pas vous abonner crivez au g rant de la liste lt owner abeilles fundp ac be gt Amicalement Jean Marie Van DycK Abeilles amp C n 81 2 2001 10 traitement des semences de tour nesol et de ma s mais galement de froment d escourgeon de betterave Celles ci sont enro b es d une substance insec ticide aux propri t s syst miques l imidaclopride Lors de la crois sance de la plante ce produit transporte par la s ve va se r pandre dans toutes les parties du v g tal Les insectes piqueurs suceurs tels que les pucerons vont ing rer le produit Il agit directement sur le syst me ner veux des insectes avec un effet non r versible provoquant des blocages des transmissions ner veuses Chez l abeille cette mo l cule se fixe sur le r cepteur nAChR de l ac tylcholine et de ce fait bloque le passage de l in flux nerveux sous le nom de CONFIDOR Sous cette forme le produit est utilis en application foliaire 14 jours avant la floraison L imidaclopride pr sente une toxi cit relativement faible pour l homme et est class comme no cif On admet par exemple dans certains fruits noyau des doses de r sidus de 0 03 mg kg PR SENCE DE L IMIDACLOPRIDE DANS LA PLANTE Contrairement ce qui avait t annonce au d part de nombreu ses tudes A STork BAYER AG CETIOM Fr LAURENT INRA Ku louse d montrent que la subs tance a
52. tout apiculteur fran ais commercialisant du miel de noter dans un registre les traite ments effectu s Dans ces condi tions seuls des m dicaments autoris s sont th oriquement possibles pour le traitement des ruches Mais que faut il entendre exacte ment par m dicament On entend par m dicament au sens du Code de la Sant Publique Art L 511 toute substance ou com position pr sent e comme poss dant des propri t s curatives ou pr ventives l gard des maladies humaines ou animales ainsi que tout produit pouvant tre admi nistr l homme ou l animal en vue d tablir un diagnostic m di cal ou de restaurer corriger ou modifier leurs fonctions organi ques Ainsi du sucre en poudre avec une indication th rapeutique est consid r comme un m dica ment au sens de la loi D autres d finitions pr cis es Le dimanche 28 janvier Namur Jean Marie BARBAN oON apiculteur professionnel fran ais v t rinaire et responsable sanitaire au niveau de son d partement est venu nous parler de la situation des traitements de la varroase en France Il faut savoir que la l gislation relative l agr ment des produits est europ enne et que d s lors elle est galement d application dans notre pays Par contre la mise en application d un registre d levage apicole n existe pour l instant qu en France REGISTRE D ELEVAGE ARR T DU 05 Juin 2000 EXTRAIT ART 12
53. trac les courbes d volution de poids sur base de leur amplitude maximale chelle en Ceci nous permet de com parer l importance des diff ren tes miell es pour chaque r gion La figure 3 nous donne ces infor mations On constate que les ru ches d marrent le plus t t sur le plateau hennuyer brabancon 24 2 3 3 10 3 1743 Figure 2 16 03 Production D Figure 1 Moyenne des variations de poids de 7 colonies en 1999 en kg o EL R R BD WD p 2 P PF m F d ia a Ti gt ia a gt 7 7 gt LL nn 7 7 nn nn u 6 pE AP 8 nn mm EE M O nN E 1 N bgd N oN _ N N e kmg N N Moyenne des variations de poids journali res de 17 colonies en 2000 en Kg A M 8 23 3 35 3 58 S S S 9 8 8 8 8 S S S kas w bn ba baa a ns ba be at 48 T8 RSR NN amp 8 N 23 Abeilles amp C n 81 2 2001 ED Production Production F3 Figure3 volution relative du poids de ruches dans diff rentes r gior Tableau 4 Fiche de relev des miell es pre ARR ALES 54 26 27 281 29 30 EATEN 3 7 ea Lee PS2 Mi sn DE i EX ds s ER ipa vi gt pO pS LA LI FM ON it 5 EA Hhith elelee ni 1 tite Ml sun BRnnsaneannnnR EC nes nil LL IE m 4 4 2 gt S v LD y 14 aaf DCE D A COR A RAS 4 TL Y Dea a Lee pu i A ATOUT Ki 4 A 1 d 4
54. uchers Nous demandons aux apiculteurs de nous faire part de l importance de leurs r coltes de printemps d t et de miels monofloraux le cas ch ant Ces chiffres sont de mand s par ruche de production et par ruchette ruche de produc tion qui a essaim ou ruche sur 6 cadres Nous avons constate que les ruchettes quelques rares ex ceptions pr s ne permettent pas de r colte de miel Les miels monofloraux sont galement tr s peu r colt s Les chiffres dont nous disposons nous sont envoy s par des apiculteurs qui suivent r guli rement leur cheptel et l on peut donc consid rer que leurs r coltes sont sup rieures la moyenne Tableau 1 Miell es depuis 1994 Le tableau 4 des miell es depuis 1994 reprend sur la premi re li gne le nombre de ruchers pour les quels nous avons recu des don n es La seconde ligne reprend le total des ruches dont la r colte a t valu e Les deux lignes suivantes donnent la moyenne des diff rentes miell es r alis es dans les ruchers On peut gale ment s tonner que la somme des r coltes de printemps et d t ne corresponde pas au miel total re colt C est li au fait que les moyennes sont calcul es sur des bases diff rentes Ces donn es nous permettent d extrapoler une production globale pour l ensem ble de la Wallonie On peut ainsi estimer que la production moyenne tourne autour de 1000 tonnes de miel par an On constate que
55. us mettons leur disposition un tableau tableau 4 sur lequel les p riodes probables de floraison sont indiqu es Ce travail demande une attention constante et un rep rage pr ala ble des stations dans lesquelles on retrouve les esp ces suivre Il faut d s que l on rentre dans une p riode possible de floraison d une esp ce se rendre r guli rement dans la station pour y ef 24 fectuer un suivi de la floraison Comme vous pouvez le constater il faut une ou deux ann es avant de pouvoir fournir des r sultats fiables que l on peut analyser sur plusieurs ann es C est pourquoi nous ne sommes pas encore en mesure de pr senter des r sultats Ces diverses approches nous per mettent de mieux comprendre la dynamique des miell es et de vraient nous aider mieux les exploiter Il s agit d un travail de longue haleine qui n est pas pr s de se terminer Nous tenons re mercier ici toutes les personnes qui ont contribu sa r alisation TIENNE BRUNEAU 3 PU b Musee ao mi on DLL EE vnsssannn er AE anapgananannndbii DTT LL Lx zi 4 De CS 11 ere COCOCCCC IL DE ba jas 5 L LIRE A a H gt 2 EI LL ut HF hagannnsnnnnanank sssssss A al M ss AVIS Le CARI recherche actuellement de nouveaux candidats pour toffer le r seau de suivi de la flore Si vous tes int ress n h s
56. ytosani taires du march De plus on de vrait avoir une totale transpa rence et objectivit dans les l ments relatifs aux donn es environnementales des dossiers d agr ment de nouveaux produits A terme c est notre environne ment et notre avenir qui en d pendent ETIENNE BRUNEAU Path ologie K R FLEXIONS PROPOS DES MALADIES DE L ABEILLE aig ES D AGENCE FRAN AISE DE SECURITE SANITAIRE D ALIMENTS PRINCIPAUX AGENTS PATHOG NES Les agents pathog nes apicoles regroupent des acariens parasites Varroa jacobsoni Acarapis Woodi des parasites protozoai res Nosema apis des champi gnons Ascosphaera apis des bact ries Peanebacillus larvae Strepto coccus pluton et des vi rus APV CPV virus du couvain sacciforme Pour arr ter ou frei ner leur d veloppement l ex ception de celui des virus il peut tre n cessaire d utiliser des trai tements m dicamenteux Les trai tements officiels ayant une Auto risation de Mise sur le March AMM sont peu nombreux en api culture et leur efficacit sujette actuellement caution notam ment en ce qui concerne le traite ment de la varroase Les maladies bact riennes peuvent tre trait es avec les antibiotiques de la famille des t tracyclines Les causes favorisantes encore appel es d clenchantes sont sour ces d apparition des maladies par activation des agents pathog nes g n ralement pr se
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