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1. journal des dipl m s en viticulture nologie et arboriculture de changins ASS DES DIPL M S mars 08 N 68 Terra incognita 0 i m NIC DIEG 0 J D bl mes d tanch it des bouchons vis Se SPA ML LES 2M2 LES PLUS 2 O IMPORTANTS DE VOTRE vie LT KALTERING ISE y ___ _ _ _ ___ Vin rouge blanc mousseux quelque soit la sp cialit les techniques de vinification modernes exigent une parfaite ma trise de la temp rature du produit durant les diff rentes phases de production D bourbage e Fermentations e Stabilisation tartrique e Maturation en f ts ou cuves e Vieillissement en bouteille Nous trouverons ensemble la solution la plus adapt e a vos besoins pour le refroidissement de caves le traitement thermique du vin en cuve laide de drapeaux les processus de passerillage de cryoextraction d humidification ou l installation de syst mes d extraction de CO2 et de free cooling Avec exp rience et un grand respect du produit notre bureau d tude nos quipes de montage et notre service de maintenance se mobilisent 24 24h pour vous servir de mani re efficace rationnelle et cologique R gulation conviviale d velopp e pour l oenologie Groupe de production d eau glac e CFRIE ME Echangeurs immerg s pour cuves drapeaux M Laurent Marin successeur de M Henri Conne est votre disposition
2. DOSSIER Terra Incognita Le Le territoire en partage _ Les Syst mes d Information G ographiques ont fait leur entr e en viticulture avec la r alisation des tudes terroirs Mais leur int r t ne s arr te pas l Pour le producteur cest un outil puissant d aide la d cision NOLOGIE mars 08 PATRIMOINE Les premiers indices vitivinicoles en Suisse DITO Une viticulture pour durer 5 cai SCIENCE REOR Viticulture 7 des Ca psules a VIs Le vignoble de l cole d Ing nieurs de Changins nologie 11 propos de probl mes d tanch it des bouchons vis pa e _ Arboriculture 17 La capsule vis est de plus en plus pris e Renouvellement du verger d abricotier en Valais par les producteurs Des r cents probl mes de bouteilles couleuses ont impos une tude DOSSIER 21 approfondie des causes possibles Terra Incognita Le territoire en partage x Wai p i F ES ne DA PORTFOLIO 25 M 7 1 La Perdrix grise COUP DU MILIEU 33 Courrier des lecteurs ECHO DES VIGNOBLES Trois vendanges en une ann e 34 Le Merlot une grande chance pour le Tessin 36 Actualit s 39 CLAIRAGES z ADC 57 me Assembl e G n rale des dipl m s de Changins 40 Prevention USOE Une d gustation historique pour f ter 20 ans d activit s 44 gt EIC Summer School Ecole Sp cialis e et annonces 46 2m pour la vie la peau SPAA La peau les 2m les plus importants de votre vie 48 un organe a prot ge
3. cole et de poss der un outil pour l enseignement les travaux pratiques et la recherche Fig 1 En 1998 gr ce la collaboration d Agroscope Changins W denswil ACW une parcelle de 6 000 m2 a pu tre cadastr e Prangins sur le domaine des Rives Lors de la mise en place du vignoble PEIC a d cid que cette vigne serait cultiv e selon les pratiques de la viti culture biologique Elle ferait l objet d essais de lutte contre les maladies et les insectes de m me que des essais d entretien du sol Le vignoble est donc scind en 3 par ties distinctes e une partie plant e en 2003 avec du Chasselas pour les tudes d entretien du sol e une autre plant e en 2002 avec divers c pages intersp cifiques Table 1 pour les tudes phytosanitaires e et enfin le raisin de table en 2002 Les vignes sont greff es sur Fercal id al en terres argilo calcaires La parcelle se situe sur un CALCOSOL r doxique issu de moraines de fonds lit es et compactes Elle poss de une texture moyenne lourde 25 a 30 d argile et silteuse Le sol et le sous sol C pages Chasselas clone 800 Couleurs d automne sur le vignoble des Rives sont tr s calcaires avec un pH alcalin Un drainage a t effectu avant plan tation pour diminuer les probl mes d hydromorphie Le sol poss de une teneur lev e en mati re organique Les teneurs et r serves en K et Mg sont satisfaisantes riches selon les zo
4. AURA a vs CA ARCE EEE da 5 ERSES His j PTFE a HUA EEE y HE F TE g j A LA A HHT E A R doxique sur les zones de brunisol et luvisol Drainages et collecteurs existants L gerement r doxique sur les calcosols 32 Objectif N 68 mars2008 DOSSIER En r sum la parcelle r enc pager jouxte d autres vignes Orient e Sud Sud Est elle b n ficie d une pente de 5 10 Un affleurement de molasse gr seuse est situ dans la partie inf rieure Les sols sur cette molasse sont calcaires l g rement r doxiques et peu profonds On trouve sur les parties sup rieures et inf rieures des sols non calcaires r doxiques et plus profonds Les drainages sont existants Quelles conclusions pour la vigne On remarque dans cet exemple une certaine h t rog n it du sol et surtout des conditions de croissance pour la vigne Dans les zones poss dant des sols profonds et pourvus d une bonne r serve en eau la vigne va se montrer plus vigoureuse si les racines explorent l entier de la profondeur Comme ces zones ne sont pas calcaires on peut imaginer donner priorit aux porte greffes peu vigoureux Attention toutefois aux conditions d hydro Le tout morphie que certains d entre eux ne supportent pas toujours bien La zone sur la molasse gr seuse comporte un sol moins profond plus l ger qui devrait induire une moins grande vigueur On pourrait donc imaginer changer de porte greffe p
5. Enqu te diplom e s Conseill re technique pour les d cos de notre ch re Ruth Tu veillais avec amour sur l d roulement des stages En Suisse l Etranger tu les as tous plac s Maintenant l heure de nous quitter Tu dispaches dossiers archives et PV s Objectifs et d roulement e Quelles sont les motivations qui ont conduit au choix de l ESp pour la formation e Quelle est l appr ciation du dipl m ESp e Quels sont les points forts et les points faibles de la formation e Quels sont les comp tences attendues d un e titulaire de CFC Qu il est long qu il est beau ton chemin Nicole syst me modulaire depuis 2003 d un dipl me ESp d un dipl me e Quels sont les points forts et les HES points faibles de la formation Ton passage marqu tous ceux de Changins Qu il est long qu il est loin ton chemin d Ecole Ton d part va laisser un grand vide 48 Objectif N 68 mars 2008 Les th mes seront aussi bien techniques sol c pages protection de la vigne vinification technologie que culturels habitudes de consommation d gustation march du vin Les tudiants pourront lier des contacts utiles pour la suite de leur parcours professionnel stages places de travail partenariats La langue officielle de ce summer school sera Panglais Afin de favoriser la participation des tudiants de la fili re nologie de Changins des cours option de langue anglaise sont propos
6. SIG de la Conf d ration www cosig ch EUROGT Organisation fa ti re europ enne des informations g ographiques www eurogi org G od sie science qui mesure et repr sente la surface terrestre Consid r e comme la m re de toutes les sciences c est gr ce elle que les premiers concepts g om triques abstraits sont apparus G odonn es donn es d crivant un objet ou un bien r f renc spatialement et un moment donn en particulier sa position sa nature son utilisation et son statut juridique G odonn es de base g odonn es rendues obligatoires pour les propri taires par la l gislation G oinformation information obtenue par la mise en relation de diff rentes g odonn es G oservices applications pouvant tre mises en r seau permettant l acc s aux g odonn es de mani re simple et structur e GPS Global Positioning System ou syst me de position nement mondial principal syst me de positionnement par satellite mondial actuellement enti rement op rationnel Con u par l arm e am ricaine et encore sous son contr le le premier satellite est lanc en 1978 C est la constellation de 24 satellites qui d s 1995 rend op rationnel le syst me sur toute la plan te avec une pr cision de 100 m pour l usage civil En 2000 Bill Clinton autorise la diffusion libre des signaux avec une pr cision de 10 m environ engendrant un norme d veloppement c
7. transformation industrielle publicit contr le de qualit FINANCEMENT TOTAL 12 6 MIO TEA Bilan financier de l action de renouvellement Des co ts de reconstitution lev s La valeur de l outil de production se compose 1 des co ts de mise en culture sa voir arrachage de l ancienne culture arrachage des souches d foncement du sol arbres mat riel de plantation et d irrigation En incluant la main d uvre ces co ts sont valu s 50000 CHF ha 2 des co ts d entretien jusqu l ge adulte des arbres 7 ans savoir frais du travail op rations culturales de machines tracteur pulv risateur girobroyeur et des intrants en grais produits de protection des plan tes semences pour l interligne Il faut compter 50000 CHF ha suppl mentaires pour couvrir les frais de la culture en croissance jusqu la fin de la 6 ann e Un soutien financier appr ciable de la part de la Conf d ration et du Canton De mani re acc l rer le rythme des renouvellements il a t d cid que les pouvoirs publics couvrent le 50 des frais du capital plantes Fig 2 savoir 25 pour la Conf d ration et 25 pour le Canton l autre moiti tant la charge de l exploitant Ainsi avec une contribution publique moyenne de 48 000 CHF ha 258 ha ont t renouvel s Pr s de 600 dos siers ont t trait s Le Canton et la Conf d ration ont inject
8. 15h45 16h15 JAOUEN Sylvain 08h00 08h30 PASSAS Yannick 08h30 09h00 ROBERT Olivier 09h00 09h30 VAN VLAENDEREN Yann 09h45 10h15 WEISSER Markus 10h15 10h45 HOULMANN David 10h45 11h15 Mardi 18 mars 2008 Etude du comportement thermique et hydrique d une parcelle viticole pr sentant une variabilit de profondeur de sol Etude de l effet de diff rents modes d entretien du cavaillon sans emploi d herbicides sur les adventices le sol et la vigne Comparaison de m thodes d extractibilit des polyph nols au cours de la maturation de raisins rouges Etude comparative du comportement ph nolique de plusieurs nouveaux c pages rouges Impact du traitement l eau chaude des bois de vigne sur leur vitalit Etude compl mentaire Effet du traitement l eau chaude des plants de vigne sur les champignons associ s aux maladies du bois Esca Recherche sur les alternatives pour le cuivre en viticulture biologique Influence du port de la v g tation ascendant et retombant sur la physiologie de la vigne et la qualit du raisin et des vins Lutte biologique contre la pourriture grise de la vigne Botrytis cinerea laide de substances d origine naturelle Lutte biologique contre la pourriture grise de la vigne Botrytis cinerea l aide d agents bact riens Am lioration des techniques d application des herbicides foliaires en viticulture et optimisation de leurs doses
9. 23 au 25 mai 2008 MARCH DES VINS DE VINZEL Vinzel VD jean paul besson bluewin ch 24 mai 2008 10 00 17 00 CAVES OUVERTES DE GEN VE Canton de Gen ve GE www opage ch 26 au 30 mai 2008 S LECTION DES VINS VAUDOIS Lausanne VD www vins vaudois com 28 au 30 mai 2008 S LECTION DES VINS DE GEN VE Satigny GE www opage ch 31 mai 2008 10 00 15 30 MARCH DES VINS Chardonne VD www chardonne ch 31 mai 2008 16 00 19 00 AUBONNE NOUVEAU MILL SIME Aubonne VD 079 622 86 95 JUIN 1 juin 2008 BREITENHOFTAGUNG 08 Wintersingen BL www acw admin ch 3 au 5 juin 2008 S LECTION DES VINS DU VALAIS Sierre VS 027 345 40 80 6 au 7 juin 2008 F TE DE LA FLEUR D AMIGNE V troz VS www amigne ch 6 au 7 juin 2008 F TE DU PAIN ET DU VIN Ollon VD 024 499 17 21 6 au 8 juin 2008 VILLENEUVES LECTIONS Villeneuve VD www villeneuve selections ch 19 juin 2008 LA GERLE D OR Colombier NE www ovpt ch 23 juin 2008 au 18 juillet 2008 SUMMER SCHOOL Changins sur Nyon VD www eichangins ch JUILLET 5 juillet 2008 15 00 18 00 ROUTE GOURMANDE Praz Vully FR www vin vully ch 12 juillet 2008 des 9 00 RALLYE P DESTRE FAMILIAL Tartegnins VD 021 824 20 65 20 juillet 2008 d s 10 00 BALADE GOURMANDE DU VULLY VAUDOIS Vully vaudois VD www balade gourmande vully ch AO T 11 ao t 2008 PR PARATION AUX EXAMENS VITICULTURE Changins
10. Etude de l influence de la maladie de enroulement de la vigne sur la qualit du mo t et du vin Application de la thermisation l levage des lies Mercredi 19 mars 2008 Influence de diff rents sous produits de levures sur le pouvoir r ducteur et sur le pouvoir tannant des vins Le glyc rol dans le vin blanc Brettanomyces dans les caves tude de l air ambiant et autres param tres Etude sur la pr sence des germes dans les vins en bouteilles La d salcoolisation P n trabilit des bois de ch ne secs et bousin s par les vins et leurs composants viticulture Mardi 29 4 08 toute la journ e Lundi 11 8 08 toute la journ e oenologie Mercredi 30 4 08 toute la journ e Mardi 12 8 08 apr s mid Mercredi 13 8 08 toute la journ e Objectif N 68 mars2008 49 CLAIRAGE SPAA BUL SPAA SPIA www bul ch S 4 p Y ecurite les 2m les plus importants de votre vie Philippe Cossy service de pr vention des accidents dans l agriculture SPAA Moudon VS spaa bul ch La peau mise rude preuve Organe compos de plusieurs tissus la peau joue le r le entre autres d enveloppe protectrice du corps Chez l homme adulte elle repr sente environ 2 m2 de surface pour un poids avoisinant les 10 du poids corporel C est donc un organe tr s important Or cet organe est mis rude preuve dans les m tiers de la terre contact avec diverses substances agressives tels qu a
11. L accent est mis sur l approche sensorielle de la d gustation plus que de d tailler une technique les auteurs placent le lecteur en condition pour progresser Au fil du texte ce dernier d couvrira le monde de la d gustation avec son vocabulaire propre et les difficult s qui l entourent pour ma triser l usage des sens Emile Peynaud et Jacques Blouin D couvrir le go t du vin Dunod 2e dition 2005 LVA f tera son 100 anniversaire l ann e prochaine Cette marque vit le jour lorsque Emil Friederich construisit sa premi re machine de cave en 1909 Morges VD Auparavant celui ci travaillait chez H ny un ancien fabricant de pompes filtres et autres machines de cave install Meilen au bord du lac de Zurich La l gende veut qu chaque mise en marche d une nouvelle machine Morges le fondateur s exclamait elle va Ainsi naquit ELVA Apr s la seconde guerre mondiale en 1954 l entreprise Friederich d m nage une premi re fois derri re la gare de Morges avant de se d placer Tolochenaz en 1991 Puis en 2004 Roland Baldinger reprend la soci t et la nomme ELVAmac SA Aujourd hui cette PME est install e Denges et poursuit les activit s de la maison Friederich en d veloppant deux axes principaux Consommables de filtration plaques cartouches modules lenticulaires Machines nologie alimentation chimie Depuis quelques ann es ELVAmac SA porte une attention toute pa
12. Un savoir faire de qualit j g k i L sii F A j NAN M AR PLANTATION LA MACHINE e PRODUCTION DE PORTE GREFFES CERTIFI S e NOUVEAUX CLONES Jean Jacques DUTRUY amp Fils FOUNEX Village VD e T l 022 776 54 02 e E mail dutruy lesfreresdutruy ch LAFFORT C NOLOGIE Levures s lectionn es Actiflore et Zymaflore Activateurs de fermentation Enzymes de vinification Lafase et Lafazym Clarification et levage Traitements sp cifiques Conservation Stabilisation LAFFORT OENOLOGIE Importateur pour la Suisse BP 17 33015 BORDEAUX FRANCE XC nologie 17 route de Cartigny 1236 Cartigny Tel 00 33 556 86 53 04 Fax 00 33 556 86 30 50 MAL 0T S0 N a UT DENS www laffort com E mail xcoeno bluewin ch SCIENCE viticulture Le vignoble de l Ecole d Ing nieurs de Changins Un premier bilan de son adolescence Jean Philippe Burdet professeur EIC jean philippe burdet eichangins ch R SUM L Ecole d Ing nieurs de Changins dispose de ses propres vignes depuis cinq ans Cultiv selon les pratiques de la production biologique ce vignoble est un outil id al pour l enseignement et la recherche Plant de Chasselas et de c pages intersp cifiques il fait l objet d tudes phytosanitaires et d entretien du sol Depuis 2002 l EIC dispose de son propre vignoble LEIC et ses collaborateurs ont long temps souhait cr er un vignoble afin d y produire les vins de l
13. effectu es pour trouver l origine inattendue de ces couleuses SCIENCE nologie vol DCE CMD COCO DC STE TEE 50 C Dans le cas des bouteilles la surface 70 de la bague de verre est lisse et enduite d une couche de colorant vert Puis 60 la fermeture vis est replac e dans sa position initiale par serrage au 50 60 C maximum Le joint du bouchon se retrouve donc sous pression contre 40 70 C la bague de verre En d vissant la fermeture de la bouteille une empreinte 30 80C de couleur verte se d pose sur le joint et P J 20 90 C permet de d terminer la surface r elle de contact 10 L observation de la surface color e en 0 vert l aide d une loupe binoculaire 0 10 20 30 40 50 permet de v rifier la surface de contact o vol dilat Abaque de dilatation des solutions hydro alcooliques L tat de surface des joints m thodes d observation Lorsque le joint est cras par la pression pendant le bouchage on peut s attendre ce que la surface du joint pouse parfaitement la surface de verre du goulot Ce raisonnement est logique si la surface du joint est suffisamment souple pour que toutes les ventuelles irr gularit s disparaissent au contact du verre et pousent parfaitement la surface du verre Des irr gularit s sur la surface du joint peuvent tre la cause d une mauvaise tanch it mais pas uniquement L observation de la surface des joints sur des bouchons neufs ou utilis
14. en Guyot ou en Guyot double Les sols du Tessin sont tr s variables Dans le Sopraceneri les sols sont acides sur une roche m re d origine cristalline compos e de granit et de gneiss tandis que le Sottoceneri pr sente des sols alcalins haute teneur en calcaire sur des roches m res calcaires Pour cette raison les terrains du Sopraceneri sont l gers sableux et perm ables avec une forte teneur en mati re organique alors que dans le Sottoceneri ils poss dent une forte teneur en compos s argileux sont plus lourds et plus fertiles Ces consid rations ont naturellement une nette influence sur le caract re organoleptique g n ral des vins La plus grande l g ret min ralit et sablosit du Sopraceneri donne des vins fins et l gants souvent fruit s et fleuris Le caract re plus calcaire et surtout argileux du Sottoceneri conduit des vins plus charpent s alcoolis s et intenses AOC associations promotion la qualit est l ordre du jour de chacun En 1947 le label Viti fut introduit par le Conseil d Etat du Canton du Tessin Pour pouvoir y acc der les vins de Merlot devaient d j l poque tre vieillis au moins une ann e en bouteille Le label tait d livr ceux qui obtenaient une appr ciation d excellence apr s passage devant une commission de d gustation LAOC a t introduite au Tessin depuis 1997 On obtient cette reconnaissance en respectant une r glementa
15. gularit de la surface des joints peut tre la cause d une mauvaise surface de contact avec le verre de la bouteille Comme la surface de contact est faible en comparaison avec la surface de contact que pr sente un bouchon de li ge sur le goulot d une bouteille toute imperfection si faible soit elle peut provoquer le passage involontaire du vin vers l ext rieur La souplesse de la surface est galement en cause Si la surface tait tr s souple elle pouserait parfaitement la surface du verre Dans les cas pr sent s la surface n est pas suffisamment souple et conserve certaines irr gularit s m me sous pression Ces observations ne dispensent pas de stocker les bouteilles dans de bonnes conditions en particulier sans changement de temp ra ture important de mani re ne pas cr er de pression interne anormale sous l effet de la dilatation du vin Objectif N 68 mars2008 17 Un nouveau concept pour la ma trise des temp ratures et le suivi de la vinification un prix comp titif Soucieux des pr occupations des professionnels de la vinification DIONYSOS Syst mes a mis au point depuis 15 ans en collaboration troite avec les viticulteurs et leurs nologues un produit parfaitement adapt aux exigences actuelles en mati re de vinification Le produit de DIONYSOS Syst mes permet aux vinificateurs non seulement de ma triser les temp ratures de vinifica tion d enregistrer les densit s en cours de v
16. la base des fins de recherche DOSSIER terra Quelles donn es vous paraissent primordiales en viticulture Les donn es de r f rence cadastre photos a riennes photos infrarouges et les mod les altim triques pour calculer d autres param tres importants pentes exposition rayonnement etc Puis les donn es li es au climat microclimat sol la g ologie l hydrog ologie partir desquelles de pr cieux renseignements peuvent tre tir s Enfin dans le contexte d une viticulture durable tous les renseignements visant pr server l cosyst me suivi des populations floristiques et faunistiques lutte contre l rosion RIV LE R SEAU INTERACTIF EN VITICULTURE Explications par Basile Aeberhard responsable t agride RIV Agridea Basile Aeberhard agridea ch a 8 Rom de la parcelle Lutry 233 dus pu Le RIV est une interface informatique d velopp e en collaboration avec Agroscope ACW Camptocamp EPFL LASIG et Prom terre pour rendre accessibles aux producteurs les cartes p doclimatiques du vignoble vaudois 2 Il est constitu de trois modules Vigne Cave Recherche Eur ce Cabra des Lale rca har p fale SE f g un EE D EE Ir On On Peu PE 8 08 O O O ne Fe m t Hii SSSR im BETREE l TEE ET E PU a cs D fa mu E LE n Dog ag ua ea mee Un i Li 1 LI i lap Vulgaris
17. permis de r pertorier 220 esp ces Beaucoup d esp ces sont plut t rares peu d esp ces sont tr s fr quentes Pour les g rer il faut r sonner en terme de leurs impacts agrono miques et de leur int r t botanique Une documentation didactique l attention des producteurs est actuellement en pr paration On y trouvera notamment des informations concernant leur morphologie biologie cologie et distribution leur profil agro cologique et une photo Convolvulus arvensis oe Heliotropium europaeum Pie Pos N Delabays ACW Patrick Charlier biologiste et enseignant Pierre Baumgart naturaliste et peintre animalier accompagn de Pierre Vauthey botaniste se succ dent pour apporter leur vision compl mentaire de la vigne dans son environnement l aide d une s rie d images belles et mouvantes Tous trois collaborent au Portfolio du journal Objectif L auditeur en ressortira combl CLAIRAGE Abc Lap ritif est servi sur le parvis du Ch teau suivi d un repas original magnifiquement pr par par Dominique Trebossen et sa brigade Concoct autour de plantes du vignoble de plaine et d alpage il associe les plaisirs visuels des saveurs et des ar mes peu communs A MESAI APA Saumon fum accompagn de cresson sauvage Emilienne Hutin gauche et Sophie Dugerdil On ne saura assez remercier les membres genevois qui ont gracieusement mi
18. rie d outils permettant d interroger d analyser et de cartographier des donn es tout au long d un processus d cisionnel Il n est pas un syst me automatique de d cision partir de donn es diverses un SZG produit une nouvelle information apportant un clairage nouveau sur le sujet trait P rennit de l information mise en vidence de ph nom nes comparaison diff rentes poques et simulation d hypotheses sont quelques uns de ses avantages Les donn es g ographiques disponibles sur les g oportails facilitent grandement l orga nisation par une plus grande f d ration de l information exemple cadastre orientation hydrologie sol sous sol Elles permettent de prendre plus rapidement les meilleures d cisions Les logiciels utilisant ces g odonn es offrent une personnalisation suppl mentaire pour la gestion parcellaire avec des fonctions pratiques d archivage et de visualisation Evolutifs ils sont amen s prendre de plus en plus d importance dans les exploitations Objectif N 68 mars2008 DOSSIER 33 P pini res Depuis R F N V U E B F N U i coles 3 g n rations nous E participons P volution y E m MA du vignoble suisse par la production de plants de vignes de haute qualit ri c En s lection des meilleurs Vot re pu D IC J CORES el souches de c pages IMANES j la production de mos dans le prochain num ro li Dutr la production de nos Ch du
19. une plante aux vertus all lopathiques Les premiers r sultats de cette tude seront pr sent s en mars dans le cadre d un travail de dipl me Marseille 2008 Apr s floraison nous utili sons des produits base de cuivre appliqu s faibles doses de 200 500 g de cuivre m tal par application En t 2007 en raison de la forte pression du mildiou des doses de 750 g de Cu m tal ont t utilis es et la quantit de cuivre appli qu e est lev e Table 2 En 2005 gr ce des condi tions climatiques cl mentes la lutte contre le mildiou na pas pos de probl me En 2006 par contre les condi tions climatiques taient plus favorables au mildiou Dans un essai conduit parun tudiant dans le cadre de son travail de dipl me Utzinger 2007 sur le Chasselas trait l intensit du mildiou mi juillet tait de l ordre de 16 de surface foliaire atteinte fr quences de feuilles atteintes 60 et 70 des grappes pr sentaient du mildiou intensit 15 Cette forte pression a influenc le rendement et la maturit du raisin Table 4 En 2007 le t moin non trait Chasselas tait compl tement d foli 2006 2007 ELU Nombre d applications anti mildiou et doses de cuivre utilis es entre 2005 et 2007 Solaris un c page tr s r sistant au mildiou La protection phytosanitaire est effectu e sans utilisation de produits chimiques de synth se La lutte contre Poidium est
20. Lac 2 da 1297 Founex un service digne T l 022 776 16 39 de ce nom Fax 04022 770 04 24 DES CRUS SUBLIMES ISSUS D UN VIGNOBLE UNIQUE POUR DES TABLES D EXCEPTION BOUCHONS Aves FABRIQUE DE BOUCHONS ET DE LIEGE AGGLOMERE E amp H Schlittler Fr res SA Autschachen 41 f CH 8752 Naefels Gl e BOUCHONS EN LI GE T l 41 0 55 618 40 30 Fax 41 o 55 618 ao 37 CAPSULE VIS VINIVIS info swisscork ch e BOUCHONS SYNTH TIQUES NOCORK E e BOUCHONS T TE NOCORK SPIRIT Domaine du Mont d Or Y e TIRE BOUCHONS PULLPARROT Pont de la Morge Sion case postale 240 CH 1964 Conthey T l 027 346 20 32 Fax 027 346 51 78 montdor montdor wine ch i CONSULTEZ LE SITE www montdor wine ch g Y WWW SWISSCORK CH SWISS M A DE FELCO 54 CH 2206 Les Geneveys sur Coffrane T 41 328 581 466 F 41 328 571 930 info felco ch www felco ch coup du milieu Courrier des lecteurs Paule Andr e Scheder une lausannoise de 62 ans a deux passions principales la photographie et l criture Elle se d crit volontiers aussi comme sociologue journaliste libre et prof de relaxation entre autre Par ses photos insolites elle nous livre un vibrant hommage la nature et les magnifiques sculptures naturelles qu elle nous renvoie lorsque l on prend la peine de la voir www images et pas ch visiter absolument pa scheder bluewin ch L exhibitionniste de son ombre Le patineur artistique ndlr
21. Le laboratoire de l Ecole d Ing nieurs de Changins s est vu confier plusieurs probl mes de bouteilles couleuses ferm es l aide de bouchons vis Les cas observ s allaient de fuites importantes comme le montrent les figures 1 et 2 o une grande quantit de liquide manque dans la bouteille des fuites tr s l g res sans changement de niveau apparent Couleuse importante Dans ces derniers cas une observation attentive de l int rieur du bouchon montrait quelques petites taches beige clair de vin s ch sur la surface int rieure du bouchon de m tal Simultan ment une odeur rappelant le vieux pain sec ou les noix se d gageait du bouchon Dans ces cas le vin tait habituelle ment moins jeune moins frais et moins fruit car une quantit quivalente d air avait p n tr dans la bouteille provoquant un vieillissement pr matur Il est clair que dans les cas de fuites importantes le vin tait perdu Les conditions de stockage pouvaient tre l origine de ces cas de bouteilles couleuses Des l vations de temp rature peuvent provoquer une dilatation du vin d autant plus importante que la teneur en alcool est lev e comme le pr sente la figure 3 Pourtant des contr les stricts ont montr que la cause de l apparition de ces ph nom nes de couleuses n avait rien voir avec les conditions de stockage qui taient correctement respect es De nombreuses mesures ont t
22. SA MOL OEA QE 34 14 1113 Et aphorin au ca Alar Sul MOL OEA ECS 7900 Multi monnales dansa tl MOL OEA ECO 4149 Multi soci t s 3 1242 Signy Enundarco EA t L 002 960 1330 1252 Malnlor Ski A a MOL CGT TEO 24 24 1401 YverdorHos Ealns Agritachi qua MOL CO 425 65 27 CHF 1 149 HT 1435 Mood Gruncdarco Su DL 054480 17 71 livrable galement par modules 148 Menhod Promoda Sub SA EL 024 480 6030 1510 Moudon Dado Bamard S4A Cadira SAL 071 905 1296 Disponible chez votre revendeur informatique ala Ec Agr BA MES 472 Informations suppl mentaires a Cheppci 3A bager 74 1333 http www winbiz ch 3225 MUmehembr dapan Landmasdhinan Aa B 062343 24 15 41 0 848 118 000 3080 Saro gra Siara H DGT 4 1750 Approuv par la Commission F d rale du FISCHER nouvelle Siril Contr le du Commerce des Vins la R gie Votre apeclallste de pulverisation F d rale des Alcools et conforme aux 1964 Colombayla Grenid exigences de l OIC BERTHOU D En Bawar M 004 479 5080 WWA flacher sarl ch SCIENCE nologie propos de probl mes d tanch it des bouchons vis S bastien Fabre Anik Riedo Ecole d Ing nieurs de Changins sebastien fabre eic vd ch Les bouchons vis se sont r pandus en Suisse partir de la fin des ann es 70 suite aux nombreux probl mes rencontr s avec les bouchons de li ge particuli re ment sur les vins blancs sensibles et tout en finesse dont les Chasselas sont sans doute les plus nobles re
23. ailleurs le paysage est plus doux contempler de ses plateaux mi hauteur dont le regard saisit le profil des coteaux rase la cr te des for ts et court se perdre dans les lignes ondul es d un fuyant horizon que de ces sommit s lev es d o il s abaisse un travers du vide sur une plate immensit sur un vaste tapis tachet de champs carr s de c tes d coup es de bois sans feuilles et sans branchages Dans la salle du Ch teau l Assembl e G n rale d bute par un message de bienvenue du Pr sident Nicolas Ruedin Alexandre de Montmollin Chef de la Station cantonale de viticulture et d oenologie du canton de Gen ve transmet les salutations des autorit s cantonales tout en pr sentant le vignoble genevois son esprit d ouverture la diversit de ses sols et de ses vins qui remplacera Nicole Miauton dans quelques semaines Occasion de rappeler limmense travail accompli par Nicole et d informer Paudience qu elle sera dignement honor e lors de la 58 AG mots de Simone de Quelques Montmollin le souhait du comit de positionner Objectif comme la carte de visite de la formation sup rieure en UELOENIE De gauche droite St phane Burgos Nicolas Delabays Yves Bischofberger Pierre Baumgart Patrick Charlier avec sa gauche Michel Vauthey RSA Jean Philippe Mayor nomm membre d Honneur trinque avec le Pr sident Nicolas Ruedin viticulture nologie et arboricult
24. assur par Ticinowine Elle organise de nombreux v nements au Tessin et en Suisse dont les plus importantes foires internationales du secteur Gr ce au travail et l engagement de toutes ces organisations la viticulture tessinoise est consid r e aujourd hui comme une viticulture de qualit Dans une si petite r gion il est vraiment tonnant de trouver une gamme aussi vari e et raffin e de vins de grande qualit Objectif N 68 mars2008 39 L e e du froid FRIALP AEFEAIGERATION CLIMATISATION Halle Agora Rte de Chandoline 25b CP 549 1951 Sion T 027 203 61 00 F 027 203 48 58 Ch de la Foret 10 1024 Ecublens T 021 401 41 00 Gerbon de Li REMOTE 043 Cure wwe firialp ch info frialp ch 9 CHEMIN DES CARPIERES AR DUPENLOUP SA 1219 LE LIGNON GEN VE FAITES CONFIANCE FABRIQUE DE POMPES T L 022 796 77 66 FAX 022 7970806 AU SPECIALISTE MAT RIEL POUR L INDUSTRIE gt actua t s ECHO DU VIGNOBLE Prix d innovation agricole suisse PIAS ELVA une marque bient t centenaire PRIX d INNOVATION AGRICOLE SUISSE es bonnes id es m ritent de bonnes r compenses De 1999 a 2007 l agriculture suisse a organis chaque ann e sous le nom de Prix d innovation agricole suisse PIAS un concours r compensant l inventivit dans le secteur alimentaire Le but de ce concours lanc en 1999 par le conseiller f d ral Pascal Couchepin et plac sous le patronage du Conseil
25. coordonn es surface forme de l objet descriptive ou attributive donn es associ es l objet ou au ph nom ne pour en d finir sa nature tel que nom d un route type d arbre dans un verger graphique param tre d affichage et m tadonn es i Tar E e 7 a A 1 L y li Larco moto gira airs on graptique morra DH Gr ce la standardisation des formats de nombreuses donn es g ogra phiques sont disponibles aupr s de producteurs de donn es et peuvent tre directement utilis es par un SIG La plan te est mise en images gr ce aux satellites la photographie a rienne et l utilisation des GPS Ces diff rentes sources d images et de mesures permettent la collecte d infor Une fois les donn es acquises les objets sont organis s en couches et rassembl s en groupes homog nes village de Concise et ses environs M Riedo ta incogni MA honie C Trakements Enik gr n La Tue ri DOSSIER terra Sc nez Repr sentations 30 bandes virtuels adapo de Essbran 1991 Composants d un SZG OM Riedo mations qui seront trait es visualis es analys es et interpr t es avant leur utilisation par un SZG Deux formats permettent de visualiser l information g ographique Le format vecteur indique points lieu monument lignes route fleuves et polygones surfacique territoire parcelle Le format matriciel appel aussi raster pr sente ima
26. d un objet et de sa position a la surface de la Terre M tadonn es information sur les donn es g ographiques date et m thode d acquisition auteur Les producteurs de donn es g ographiques ont la responsabilit de la tenue jour et de la diffusion publique des m tadonn es Orthophotographie image num ris e d un clich a rien ou prise de vue num rique dont les d formations dues au relief du terrain la distorsion de l appareil photo et l inclinaison de la prise de vue ont t corrig es OSIG Organisation Suisse pour l information g ographique active essentiellement dans l change interdisciplinaire la diffusion et la formation et la coordination internationale www sogi ch SIG Syst me d Informations G ographiques Outil informatique logiciel donn es mat riel et savoir faire permettant d organiser de stocker d analyser et de pr senter des donn es num riques r f renc es spatia lement Il permet de produire des plans et des cartes Equivalent de SIT En savoir plus www swisstopo ch www esrifrance fr WWW CCg e0 ch gt Guichets cartographiques http sitn ne ch web diffusion igso Article_1GSO_fevrier2008_ v3 pdf Les g oportails romands Fribourg www geo fr ch Gen ve http etat geneve ch geoportail geovit www sitg ch Jura http geoportail jura ch Neuch tel http geoportail ne ch Vaud www geoplanet vd ch CONCLUSION Un SIG est une s
27. de fruits ainsi que de la lutte contre les campagnols Suivent les recommandations sur l entretien du sol les strat gies de d sherbage et l appli cation des produits phytosanitaires avec les pr cautions prendre pour l utilisateur et l environnement Les pages rouges sont consacr es aux actualit s arboricoles comme par exemple le feu bact rien et les probl mes li s a l claircissage Comme toujours le Guide Arbo est livr avec la derni re dition de l Index phytosanitaire pour l arboriculture qui contient la liste compl te des herbicides fongicides insecticides et acaricides recommand s en 2008 class s selon leur compatibilit avec la culture bio la production int gr e et conventionnelle La version fran aise du Guide Arbo 2008 2009 l index Arbo 2008 peuvent tre obtenus au prix de 20 fr par courrier aupr s d Agroscope Changins W denswil CP 1012 1260 Nyon 1 par t l phone au 022 363 41 51 par fax au 022 363 41 65 ou par e mail colette porchat acw admin ch Eliane Rohrer et Sibylle Willi Renseignements Agroscope Changins W denswil ACW CP 1012 1260 Nyon 1 E mail eliane rohrer acw admin ch Objectif N 68 mars2008 45 CLAIRAGE usok 46 Objectif N 68 mars 2008 us CE Une d gustation historique Le 24 novembre 2007 plus d une centaine d nologues venus de toute la Suisse mais aussi de France et d Italie sont r unis Morat pour f ter les 20 ans de l USOE Presque
28. du projet terroir genevois Le choix du porte greffe d pend entre autre de la teneur en calcaire des sols et de la vigueur que celui ci pourrait conf rer la vigne Les caract ristiques g ologique et p dologique permettent d appr cier ces param tres La carte de l hydromorphie donne les zones avec un risque de stagnation d eau Avant d entreprendre un drainage la carte des drainages informe sur leur position La v rifi cation de leur bon fonctionnement est toutefois n cessaire La RU potentielle permet d appr cier la disponibilit en eau pour la plante et donne une indication sur la vigueur potentielle 160 mm moyen lev 75 mm faible O se situe ma parcelle Quel est son environnement direct L orthophoto pr cise rapidement le contexte Surface et distances peuvent tre calcul es en 2 clics Puis je planter le m me c page sur toute la surface Quelle est l orientation Quelle est la pente Sud Sud Est Pente moyenne de 5 1 10 15 5 10 M2 5 lt 2 Quel porte greffe dois je utiliser Caract ristiques g ologiques Caract ristiques p dologiques na r Y Moraine avec affleurement de molasse gr seuse 50 cm Calcosol entrecoup par un brunisol dans la partie Moraine Moraine avec affleurement de molasse sup rieure et dans le tiers inf rieur de la parcelle d un luvisol en bas de pente Quelle est la situation hydrique de ma parcelle La parc ls
29. en la prolongeant avec les vari t s tardives Fig 1 Cet talement peut tre enco re renforc par l altitude et l exposition des parcelles qui jouent un r le sur la maturit des fruits Zones C mi coteau tardif haut de coteau mi coteau haut coteau bien expos A plaine fond de coteau Vari t s pr coces Early Blush Vick Royal Orangered Robada Vari t s mi tardives Kioto Bergarouge Luizet Harval Un projet ambitieux renouveler rapidement la moiti du verger Prenant conscience du potentiel des nouvelles vari t s l Interprofession IFELV qui r unit producteurs exp diteurs et repr sentants de l Etat a labor en 1994 un projet qui consistait renouveler la moiti des surfaces de Luizet en 8 ans Si quelques producteurs avaient commenc leur renouvellement sur une base de financement propre la situation tait beaucoup plus difficile pour la plupart des autres Ainsi les pouvoirs publics Conf d ration et Canton ont t sollicit s pour un appui financier destin couvrir une partie des co ts du capital plantes E avant renouvellement var objectif Vari t s mi pr coces Goldrich Jumbo Got Vari t s tardives Bergeron Tardif de Tain Etalement de la production de l abricot en Valais en fonction des situations et des vari t s Objectif N 68 mars2008 19 en Mio de CHF BRenouvellement Autres mesures
30. et Gr ne Une collection de clones de Luizet a t plant e Saxon L exp rience et l observation ont mis en vidence que le verger de Luizet n tait pas tr s homog ne et qu il existait cer tainement des individus g n tiquement diff rents au sein du mat riel v g tal Face la disparition de cette diversit g n tique li e l arrachage du Luizet dans le cadre du renouvellement notre office avec le concours de la FVPEL a men une enqu te aupr s des arbori culteurs valaisans pour qu ils nous an noncent les individus avec des caract ristiques particuli rement recherch es telles que la qualit gustative la r gu larit de production la beaut du fruit ou sa r sistance aux manipulations Cette enqu te a d bouch sur une s lection massale les arbres annonc s ont t observ s durant quelques saisons dans leur milieu d origine puis du mat riel a t pr lev sur les plus int ressants pour refaire de jeunes arbres Deux arbres de chacune de ces s lec tions ont t plant s il y a six ans sur le coteau de Saxon Les changements ne sont pas termin s et concernent aussi les pommiers et les poiriers L arriv e des nouvelles vari t s et le pro gramme de renouvellement du verger de Luizet ont donn une impulsion importante cette culture Renouvellement 260 ha Reconversion 40 ha Nouvelles cultures de plaine 150 ha Cultures de Luizet 250 ha FEA Surfaces va
31. et la perdrix bartavelle qui vit dans les versants pierreux des Alpes et des Pr alpes Celle que l on appelle commun ment la perdrix des neiges et qui change de couleur en hiver est en fait le lagop de alpin qui vit bien au dessus de la limite des arbres dans les Alpes 30 ObjectifN 68 mars2008 PORTFOLIO On constate une offre tr s variable selon les cantons Pourquoi Tous les cantons suisses a l exception de quelques cantons de la Suisse centrale et du Valais qui y travaillent ont d velopp un g oportail internet pour la mise disposition de donn es g ographiques Le premier voir le jour est celui du canton de Gen ve il y a une dizaine d ann e Il reste aujourd hui un exemple sur l tendue de l offre des donn es mises disposition Forc s par la pression sur le territoire et la n cessit de r agir ad quatement au d veloppement conomique rapide les cantons villes ont t les premiers utilisateurs de ces technologies Les autres ont suivis progressivement Il est donc normal de constater une disparit en terme de donn es et d applications qui tendra diminuer avec le temps Chaque canton a ensuite profit d tudes sp cifiques sol hydrologie climat pour ajouter des informations toffant son offre Beaucoup de g oportails sont payants rendant l acc s aux donn es moins ais et parfois tr s on reux N est ce pas anti d mocratique La plupart des g oportails en Suisse et dans
32. f d ral promouvoir le potentiel novateur des producteurs et de les encourager a s imposer sur le march avec de nouveaux produits prometteurs Les produits prim s taient expos s en alternance a l une des grandes foires de Suisse romande et de Suisse al manique ce qui leur assurait une forte promotion pendant leur phase d intro duction AMS Agro Marketing Suisse est responsable de l organi sation du concours Rappelons qu AMS est une association regroupant les interprofessions agricoles Sa t che est de promouvoir les ventes de denr es alimentaires indig nes par le biais d une information et de mesures de marketing ad quates Nous sommes actuellement en train de retravailler la conception du Prix d innovation agricole raison pour laquelle le concours ne sera pas organis cette ann e mais devrait tre relanc en 2009 D couvrir le go t du vin Ce livre s adresse un large public du n ophyte l amateur clair Il s agit d une version plus grand public de Le go t du vin ouvrage tr s souvent cit d Emile Peynaud professeur et chercheur en nologie de grand renom Celui ci a travaill sur cette 2e dition avant de s teindre en 2004 Depuis Jacques Blouin nologue r put et auteur de nombreux ouvrages techniques a boucl seul la refonte de ce livre Ces deux auteurs font partager leur exp rience et leur talent travers une initiation aux myst res de la d gustation des vins
33. info sur www oenologue ch Objectif N 68 mars2008 47 CLAIRAGE EC Summer School 2008 viticulture et oenologie C Briguet Directeur EIC S Fabre Doyen de la fili re cenologie K Fast assistante Bonne retraite Nicole Miauton sebastien fabre eichangins ch Le chemin de Nicole n a pas laiss indiff rents les nombreux tudiants partenaires et coll gues de l Ecole d Ing nieurs de Changins EIC Ils ont pu la croiser entre 1965 et 2007 dans sa fonction d Assis tante de Direction En guise de reconnaissance et de remerciements ses coll gues de FEIC lui ont chant la chanson ci dessous sur l aire du le chemin de Papa compos et chant par Joe Dassin instituts M Rochat Directeur de la HES vaudoise a t mandat par la HES SO pour cr er les conditions n cessaires favoriser des changes avec des universit s de Californie Dans ce cadre des universit s d t sont organis es successivement dans le canton de Vaud et en Californie Une belle opportunit pour l EIC La fili re nologie a t choisie pour organiser l un des summer school en t 2008 Apr s deux voyages en Californie en hiver 2006 et printemps 2007 les objectifs de collaboration ont pu tre pos s favoriser les changes d tudiants et de professeurs entre ces diff rents favoriser les projets communs entre ces tablissements Tu es un peu maman et un peu la Reine M re Le sum
34. mission l orga nisation coop ration entre tous les acteurs les donn es fondamentales obtention mises jour compatibilit la formation et la recherche en g omatique les g oservices et la r glementation acc s diffusion protection des donn es Il doit notamment cr er les conditions cadres pour favoriser l utilisation de SZG et le d veloppement du march de g odonn es La loi f d rale sur la g oin formation du 5 octobre 2007 LG o RS 101 d finit le cadre l gal notamment la r partition des t ches entre cantons et Conf d ration la tarification et la protection des donn es ta incogni DOSSIER terra HE Pe k a a A E LL GAO a 5 sl T aae y gt pa pp i es Introduction Les informations g ographiques ZG information ayant une r f rence au territoire soutenues par les techno logies modernes du traitement de donn es offrent un norme potentiel de connaissances gr ce aux multiples combinaisons possibles Des processus de d cisions et de planifi cations plus transparents tant sur les sujets politiques conomiques que sociaux sont rendus possibles gr ce l identification des relations d inter d pendances qui caract risent notre environnement complexe Selon les sources il appara t qu actuellement les ZG interviennent dans 60 et 80 des d cisions du secteur public L information g ographique permet de mod liser les relations spatiales entre les individus et leur environ nemen
35. ne cultiv e La question est actuellement sous la loupe des biologistes et historiens Quant la consommation de vin le plus vieil indice mis en vidence a t retrouv dans une tombe celtique pr s de Sembrancher VS On d couvre une bouteille en c ramique contenant du vin italien accompagnant la d pouille d une femme inhum e au IT si cle av J C Nomm es vases a trottola ces bouteilles en forme de toupie taient produites dans des officines celtiques de l Italie du Nord On conna t leur contenu gr ce une gravure r alis e sur l une d entre elles Durant l poque celtique env 150 av J C les valaisans offraient donc du vin aux morts Tout porte croire qu ils en buvaient aussi Ce n est qu un si cle plus tard que les amphores romaines font leur apparition 1 Mus e cantonal d arch ologie de Sion Objectif N 68 mars2008 3 CH 2012 Auvernier T l 032 731 21 15 Fax 032 730 30 03 e mail wine chateau auvernier ch www chateau auvernier ch Martin Auer P pini res Viticoles Lisiloostrasse 8215 Hallau SH T l 052 681 26 27 Fax 052 681 45 63 E Mail auer rebschulen ch www rebschulen ch Assortiment complet vari t s clones porte greffes 34 42 50 cm C pages teinturiers Raisins de table Brochure en couleur Service de plantation la machine TUBEX tubes de protection La meilleure qualit c est notre id e directrice
36. oiseaux migrateurs les zones de protection des eaux avec interdiction d utilisation d atrazine celles touch es par le feu bact rien ou les glissements de terrain En viticulture la r alisation des diff rentes tudes de terroirs a r cemment g n r un int r t particulier pour les SZG Toutes les donn es r colt es constituent un norme potentiel pour l analyse la compr hension et le suivi des parcelles Dans le canton de Vaud pour la zone viticole un abonnement au syst me RIV voir page 29 permet d obtenir les donn es p dologiques et climatiques issues du projet terroir Neuch tel les diff rentes couches concernant le sol ne sont actuellement pas mises en ligne par manque de ressources au Service de la viticulture Toutefois ces donn es existent et peuvent tre obtenues sur demande par les producteurs En Valais il n existe actuellement pas de guichet cartographique L acquisition de donn es num riques est en cours Le r sultat des tudes climatique et g op dologique effectu es entre 2004 et 2007 dans la zone viticole sont n anmoins disponibles en format pdf sur le site de l Etat du Valais voir sous Service de l agriculture Enfin Gen ve toutes les donn es sont libres d acc s et le g oportail offre 8 couches pour les sols et 2 couches LE POINT SUR LES SYST MES D INFORMATION DU TERRITOIRE EN SUISSE Interview avec Marc Riedo ing nieur EPF du g nie rural sp cialis res
37. pages Johanniter Solaris et Regent n abritent plus que des populations r siduelles moins que 0 5 typhlodrome par feuille en septembre alors que sur les autres c pages les populations se maintien nent un niveau satisfaisant env 1 typhlodrome par feuille La baisse des populations s explique par le ph nom ne de dilution des acariens dans la v g tation en croissance et par les temp ratures chaudes de P t Les produits phytosanitaires moyenne ment toxiques peuvent aussi avoir une influence bien que cette hypoth se ne soit pas v rifi e sur Solaris c page peu trait 2005 2006 2007 moyenne 2005 2006 2007 moyenne 2005 2006 2007 moyenne 2005 2006 2007 moyenne 2005 2006 2007 moyenne 2005 2006 2007 moyenne Regent Dates vendanges 27 septembre 14 septembre 27 septembre 27 septembre 27 septembre 27 septembre 27 septembre SCIENCE viticulture Rendements kg m 0 75 0 46 0 45 Sucres 0e pain UT 1223 0 74 0 67 0 75 0 44 2 2 S Ba oo 2 k S S S BR ooN 28 ao t 106 909 0 59 0 62 0 46 O O IS SH a N BE e e eS S MH UT en wE No e CO Ne 1 08 0 49 pas mesur 0 48 0 45 so EM oo OS S o lo Y a a jun 93 0 gt P ZM Dates des vendanges taux de sucres et rendements en
38. pour les vendanges comme pour les travaux de la vigne qui sensuivent Pour ceux ci les profes sionnels et les amateurs sont bienvenus pour donner un coup de main En fonction de l entreprise on re oit une br ve instruction sur la taille puis on nous quipe de cisailles et d un s cateur Suite de quoi on taille tire les bois palisse et d sinfecte les plaies des ceps conduits en guyot double quadruple ou plus La r tribution se faisait la t che si bien que les plants de vigne souffraient souvent du travail trop rapide des tailleurs des mill simes pr c dents plus soucieux de leur porte monnaie que du mat riel v g tal rois vendanges en une ann e Isabella Brunner ing HES en nologie Testuz VD isabella_brunner hotmail com Travailler l tranger a toujours t un de mes plus grands r ves D couvrir le monde d autres cultures m urs langues et cuisines est fascinant Pour le r aliser je suis partie travailler en dehors de nos fronti res le lendemain de la fin de mes tudes Des vendanges express aux Etats Unis Gr ce aux contacts li s en Nouvelle Z lande et l aide d Agroimpulse une organisation suisse sp cialis e j ai pu partir ensuite en Californie La cave o je me trouvais se situe dans Central Valley deux heures au sud de San Francisco Y sont produits environ 20 MI par an surtout du Chardonnay et du Pinot noir accompagn s d un peu de Riesling S
39. r soudre ce type de probl mes Les mesures de distances se font l aide de rubans gradu s rubans d arpenteurs jusqu au XX si cle e PPE Extrait de Tabula Peutingeriana l IV si cle fac simile de Conradi Millieri 1887 1888 11 feuillets 6 80 m sur 0 34 m au total archiv es la biblioth que de Vienne Autriche PETIT RETOUR EN ARRI RE N us wi F Ear EE E C est l lectronique et le traitement informatique des donn es qui depuis une vingtaine d ann es ont donn naissance aux nouvelles techniques de relev t l m trie laser position nement par satellite GPS Ces derni res ont r volutionn la connaissance de la surface de la Terre et avec elle la perception de notre environnement La cartographie est la crois e des sciences dont elle s inspire Astronomie g od sie math matique physique et philosophie ont contribu au d veloppement de la cartographie Les connaissances bibliques ont aussi grandement influenc la repr sentation du monde Ainsi au Moyen Age la carte en T positionne J rusalem au centre entour de l Europe l Asie et l Afrique puis de l Oc an Ces cartes taient des supports la r flexion philosophique La plus ancienne retrouv e ce jour est une tablette babylonienne fouilles de Ga Sur Nuzi Iraq datant de 2500 ans av J C Elle repr sente la M sopotamie et les pays limitrophes accompagn s d un texte en criture cun iforme C e
40. s aux tudiants partir de la rentr e de l automne 2007 Un test final permettra aux tudiants de Changins de prouver leur comp tence en anglais Des conditions tres avantageuses Loffre du Summer School 2008 comprend la gratuit pour la participation au cours le logement les d placements en Europe les autres activit s culturelles ainsi qu une subvention pour l alimentation Les professeurs nord am ricains qui participeront auront aussi l occasion de donner des cours afin de souligner la volont de r alisation commune et d enrichir le contenu des cours Le summer school donnera galement l occasion aux tudiants qui participent d obtenir des cr dits ECTS syst me Bologne justifi s par un travail personnel final not Ces cr dits participeront au total des 180 cr dits n cessaires pour obtenir le dipl me d oenologue confor m ment aux r solutions de POIV et du Bachelor of Science en oenologie d cern par la HES SO Un questionnaire valid par l EIC a t administr par t l phone aupr s de 30 employeurs R sultats et conclusions Les r sultats complets sont disponibles sur le site de VEIC www eichangins ch rubrique Ecole Sp cialis e L Ecole sp cialis e de Changins est un acteur reconnu et tr s appr ci dans le paysage viti vinicole helv tique Les formations propos es correspondent bien aux attentes du monde professionnel Les comp tences attendues doiv
41. sont en g n ral des drapeaux en acier inox lectro poli fix s dans les cuves m talliques et dans les vases en bois Par soucis de fiabilit le circuit d alimentation est constitu de tuyaux en acier inoxydable isol s et sertis A l int rieur de celui ci circule un m lange compos d eau et d un liquide caloporteur pour emp cher le gel FRIALP SA et DUPENLOUP SA ont r alis s l installation de gestion des temp ratures de vinification de l HOPITAL POURTALES sur 19 vases en bois et 9 cuves m talliques avec pilotage au moyen de l armoire tactile Cave ouest Synoptique sur armoire tactile FRIALP SA et DUPENLOUP SA ont aussi r alis s l installation de la nouvelle CAVE DE GENEVE SA comprenant la gestion de 99 cuves inox dont 9 avec circuit de chauffe lectrique La climatisation de trois locaux est aussi pilot e depuis l armoire tactile de commande sers E Le a Cuverie centrale Synoptique sur armoire tactile cuverie centrale SCIENCE arboriculture Renouvellement du verger d abricotiers en Valais Jacques Rossier chef de l Office cantonal d arboriculture du Valais j rossier admin vs ch R SUM Le manque de diversit des vergers d abricotiers en Valais a d cid les producteurs de renouveler pr s de la moiti de la surface en 8 ans cela d s 1994 La Conf d ration et le Canton du Valais ont accept de participer aux co ts de reconsti tution laissant la moiti des frais la charge des exp
42. sur Nyon VD www eichangins ch 12 et 13 ao t 2008 PR PARATION AUX EXAMENS OENOLOGIE Changins sur Nyon VD www eichangins ch 23 au 24 ao t 2008 F TE DE LA TERRE Cernier NE www ovpt ch 22 au 24 ao t 2008 MONDIAL DU PINOT NOIR Sierre VS www mondial du pinot noir com 28 ao t 2008 CONCOURS DE D GUSTATION DES MILL SIMES BLANCS Aubonne VD 079 622 86 95 Objectif N 68 mars2008 53 impressum Tirage 2500 ex Diffusion aux membres de l Association des dipl m s de Changins aux Autorit s et services f d raux et cantonaux de viticulture nologie et arboriculture aux Ecoles et stations de recherche concern es aux annonceurs et par abonnements aux profes sionnels de la vitiviniculture et l arboriculture aux clubs et amateurs de vins Editeur Association des dipl m s de Changins AU SOMMAIRE n 69 ao t 08 DU PROCHAIN NUM RO La maturit en question vec le r chauffement on assiste une mutation lente mais constante des ontraintes climatiques Accidents ponctuels et fortes variations sont plus R daction Simone de Montmollin Richard Pfister Comit de r daction Nicolas Ruedin St phane Gros Simone de Montmollin Richard Pfister Pierre Baumgart fr quentes Lincidencesur la viticulture estd ja perceptible La compr hension des facteurs de maturit est d sormais incontournable dans le processus d cisionnel Choix culturaux suivis On
43. E Toutefois l exception des noms de propri taires de biens fonciers autoris s par les bases l gales du registre foncier aucune information personnelle n appara t sur les g oportails La loi sur la protection des donn es est respect e mais la sensibilit ce 3 probl me est question d individu Un domaine d application actuel pour la surveillance concerne les subventions agricoles l chelle europ enne ou suisse les SIT photos satellites photos a riennes cadastre informatis mod les altim triques sont mis en uvre pour surveiller l ad quation entre les demandes et les subventions auxquelles ont droit les producteurs Comment voyez vous l avenir des SIG et leur utilisation en agriculture Loffre de g odonn es va s toffer ces prochaines ann es L utilisation de l infor mation qui en d coule d pendra des interfaces disponibles Elles sont de plus en plus conviviales Il faudra tenir compte de l effet Google Earth qui a offert un SIG 3D gratuit plus de 100 millions de personnes La formation aux SZG devrait se g n raliser pour de nombreux domaines et ne plus rester cloisonn e aux sp cialistes Pour la viticulture quelques logiciels de gestion d exploitation existent actuellement qui int grent des fonctions cartographiques par ex Isavignoble d ISAGRI Le RIV est une interface en r seau approche participative chaque utilisateurs apporte des donn es par des saisies individuelles con u
44. PUSOE sous Pimpulsion de Jean Crettenand Claude Desbaillet laur at de la premi re vol e d ing nieurs en 1962 rappelle pour sa part les p rip ties v cues pour valider cette nouvelle fili re de formation Enfin Monsieur le conseiller d Etat Pascal Corminboeuf 4 souligne avec brio l importance du vin dans notre culture fa sS La journ e s ach ve M tier dans le Vully La cuisine cr ative du chef Werner R tz 5 a r gal les convives du Gala tout comme la s lection des vins la hauteur de toutes les attentes Enfin le bal conduit par Erwin Zmoos 6 et son orchestre Alpha accompagnera les f tards jusque tard dans la nuit Les vins des repas et de Pap ritif gracieusement offerts par nos membres et quelques producteurs nous ont fait parcourir en bouche un tour de Suisse l image de cette journ e vari e riche et de qualit d montrant si besoin en tait l extraor dinaire potentiel de nos terroirs CLAIRAGE US0E photos Nicolas Repond Cette magnifique journ e t rendue possible gr ce au soutien de tous nos sponsors que nous remercions chaleu reusement Un remerciement sp cial Emeline Zufferey Nadine Strasser et Alain Emery pour leur travail d organi sation Jean Marie Pont Yves Blondel Andr Longet les tudiants HES Nicoleta Rossy Dario Kreienb hl et Olivier Robert pour la parfaite logistique durant la d gustation Plus d
45. UTENANCES DES TRAVAUX DE DIPL MES Changins sur Nyon VD www eichangins ch 23 mars au mois d octobre 2008 LAVAUX EXPRESS Lavaux VD www lavaux ch AVRIL 3 au 10 avril 2008 EXPOVINA PRIMAVERA Zurich ZH www expovina primavera ch 4 avril 2008 HEFETAGUNG W denswil ZH www acw admin ch 16 au 20 avril 2008 ARVINIS Morges VD www arvinis com 19 avril 2008 F TE DES VINS DU PRINTEMPS Salquenen VS www salgesch ch 26 avril 2008 9 00 17 00 EPESSES NOUVEAU Epesses VD www epesses nouveau ch 29 30 avril 2008 PR PARATION AUX EXAMENS VITICULTURE OENOLOGIE Changins sur Nyon VD www eichangins ch MAI 1 au 3 mai 2008 CAVES OUVERTES VALAIS Canton du Valais VS www lesvinsduvalais ch 2 au 3 mai 2008 CAVES OUVERTES NEUCH TEL Canton de Neuch tel NE www ovpt ch 3 mai 2008 des 10 00 VULLYSSIMA Nant FR p a besse bluewin ch 10 mai 2008 10 00 18 00 AIGLE VERRE EN MAIN Aigle VD www vinicole aigle ch 16 au 17 mai 2008 MILL SIME LA F TE DES VINS VAUDOIS Lausanne VD www vins vaudois com 17 au 18 mai 2008 CAVES OUVERTES MONT SUR ROLLE Mont sur Rolle VD 021 826 10 42 18 mai 2008 9 00 17 00 FOIRE AUX SAVEURS ET SENTEURS Orbes VD 024 441 37 85 19 au 23 mai 2008 VII CONGR S INTERNATIONAL DES TERROIRS VITICOLES 2008 Changins sur Nyon VD www acw admin ch 20 au 22 mai 2008 S LECTION DES VINS DE NEUCH TEL Cernier NE 032 889 36 30
46. ace l histoire du Priorat dont la r ussite tient la fois du r ve et de la De g d Ren Barbier Bruno Prats Barbara Meier Dittus Francois Murisier Jean Marc Amez Droz pers v rance acharn e De ces diff rents mill simes d gust s Clos Mogador 1995 et 2005 2002 pour le Manyetes on retiendra surtout l volution de la ma trise des techniques nologiques Des vins puissants au bouquet intense et complexe avec une belle min ralit pour le Manyetes Lors du d bat men par Barbara Meier Dittus et Francois Murisier le r le majeur jou par les critiques dans l volution des vins de Bordeaux et du Priorat est longuement abord Le mot de la fin reviendra Bruno Prats Aujourd hui il existe une nouvelle client le tr s fortun e pour qui boire des grands crus sans consid ration de prix rel ve du statut social Cette r alit offre de nouvelles opportunit s Les march s demandent de plus en plus de grands noms or les grands terroirs traditionnels ne sont pas extensibles c est une formidable opportunit pour d autres r gions viticoles Fait marquant de la c r monie la nomination de deux membres d Honneur Philippe Dupraz 1 et Fran ois Murisier 2 accueillis chaleureu sement par l assembl e Les discours ont su rappeler l importance de la coh sion des nologues suisses Francesco Tettamenti 3 membre fondateur voque la cr ation de
47. ant finalis une tude des terroirs viticoles le RIV pourrait tre prochainement propos plus largement Des discussions sont en cours www riv agridea ch 1B Aeberhard et al 2007 Le r seau interactif en viticulture RIV un projet novateur au service de tous Revue suisse Vitic Arboric Hortic 39 3 2 E Murisier et al 2004 Etude des terroirs viticoles vaudois Revue suisse Vitic Arboric Hortic 36 4 Objectif N 68 mars2008 DOSSIER 31 UNE CARTE VAUT MIEUX QU UN LONG DISCOURS Les applications en viticulture sont multiples et peuvent servir tant le propri taire que les collaborateurs de l exploitation Les prises de d cisions sont grandement facilit es par la f d ration des param tres pouvant caract riser les aptitudes des parcelles Une reconstitution bien document e est gage de succ s L exemple fictif suivant a t cr sur le g oportail genevois qui vient de mettre en ligne l ensemble des r sultats de l tude terroir men e par la Station cantonale de Viticulture et Oenologie SCVO en collabo ration avec l Ecole d ing nieurs de Changins EIC le Service de g omatique du canton de Gen ve les vignerons AOVG l Agroscope Changins W denswil ACW et l EPFL Une reconstitution donne l occasion de prendre en consid ration une ventuelle variabilit au sein de la parcelle Voyons la s quence des r flexions avec St phane Burgos p dologue et professeur l EIC en charge
48. aphie e Marseille D 2008 Etude de l effet de diff rents modes d entretien du cavaillon sans emploi d herbicides sur les adventices le sol et la vigne Travail de dipl mee en pr paration e Maurice E 2006 Lutte contre Botrytis cinerea l aide d agents de contr le biologique Travail de dipl me HES Ecole d Ing nieurs de Changins 71 p e Utzinger M 2007 Recherche sur les alternatives pour le cuivre en viticulture biologique Travail de dipl me HES Ecole d Ing nieurs de Changins 112 p Objectif N 68 mars2008 11 JEAN PAUL GAUD SA BOUCHONMNS CAPSULES CAPSULES Vis ue Antoine Jolivet 7 e CP 1212 1211 Gen ve 25 T l 41 0 22 343 78 42 vs gaud bouchont com Entre les clients et nous ca colle 5 couleurs offset or a chaud La polwalenca pour vos vigne vernis gaufrage et s rigraphie Qui dit mieux en Suisse romande Le D ul v ri CEAT r polyvalent ETICOLLE 4 lcpuette autocolante MI NI TR AC M r sg ur Wus types Technop le cp 860 3960 Sierre t l 41 0 27 452 25 26 fax 41 0 27 452 27 35 de chariad info eticolle ch ein 2400H o 500H 4 gapa aforra AA TT eah NA 12504 200 ras LJ FR d arts opire WinBIZ e N Logiciels comptables adapt s la gestion de caves Comptabilit Facturation Stock Tr wa points d assistance r glonaka D biteurs Ei ii 4 1040 Echalana Schitinann SA BLOE BEA 1130 _Cr anciers gt 1070 Pukou Paroda
49. ation Ces modules permettent lutilisateur d obtenir des donn es g ographiques sur ses parcelles de g rer leur exploitation et celle de sa cave L acc s par Internet est s curis et toutes les donn es concernant l exploitation sont stock es sur le serveur RIV Le module Vigne permet la gestion des parcelles et int gre la cartographie p dologique et climatique L utilisateur saisit lui m me son parcellaire viticole en dessinant le pourtour de sa parcelle sur l cran Il peut ensuite r pertorier tous les param tres culturaux de la parcelle l ensemble des op rations viticoles effectu es durant la saison traitement travaux du sol et de la feuille et les observations faites la vigne maladies ravageurs carences relev s m t o et de vigueur estimations de r colte etc Fiche de description parcellaire du module Vigne De nombreuses fonctions de recherche et de consultation sont disponibles e Calendrier des t ches effectu es e R alisation automatis e du cahier d exploitation Pl bilan de fumure compris reconnu par VitiSwiss e Int gration des analyses de terre zones Pl surfaces de compensations cologiques des c pages porte greffe produits de traitements mati res actives etc Les fonctions cartographiques permettent de superposer la carte parcellaire avec les cartes p dologiques type de sol teneur en calcaire profondeur r serve en eau utile climatiques e
50. avance apr s une recherche sur internet et deux ou trois mails une place de travail ma t offerte pour les vendanges 2006 en Nouvelle Z lande Le logement tait fournit il restait juste obtenir un visa Easy going en Nouvelle Z lande A mon arriv e fin mars 2006 Marlborough au nord de l le du sud les vendanges avaient d j comment La cave en question produit pr s de 6 MI et vinifie pour des tiers avec une majorit de Sauvignon blanc de Chardonnay et de Pinot Noir Image 1 Les conditions de travail taient sympa des jeunes d une dizaine de pays diff rents exer aient tous les m mes travaux d bourbages sulfitages remontages et d cuvages La journ e commen ait 7h00 avec une tasse de caf accompagn e des histoires de la veille jusqu ce que les premi res personnes de l quipe de nuit arrivent au carnotzet On changeait alors quelques mots puis l quipe de jour sortait la cave un groupement de cuves inox rassembl es selon leur volume ciel ouvert A la fin de la journ e apr s 12 heures de travail 36 ObjectifN 68 mars 2008 lorsque l quipe de jour transmettait les travaux en cours l quipe de nuit les deux quipes buvaient un verre On allait parfois manger ensemble l atmosph re tait tr s d tendue En Nouvelle Z lande les surfaces viticoles sont tr s importantes Au vu de la population il manque toujours de main d oeuvre
51. bjectifN 68 mars 2008 SubOeno j ES F I sE Me mA i TE E Le AN l i C1 Ph de linnovation FES E B Vinitec 2004 TH 1 En oa T rs R e A E f a FLE EN RE 4 A f r Fi be E s s Er F j is mn a Pie E 0 Ur E AE dre 08e FA PE fre A Fi r Es a LE PREMIER BOUCHON LIEGE SANS 2 4 6 TOA QUANTIFIABLE E DER ERSTE En OHNE QUANTIFIZIERBAREN GEHALT AN 2 4 6 TCA SUBOENO SA DISTRIBUTEUR EXCLUSIF POUR LA SUISSE TIQUETAGE CONDITIONNEMENT MACHINE ET GROUPES D EMBOUTEILLAGE SUBOENO SA CH 1268 BURTIGNY TEL 41 22 366 67 67 FAX 41 22 366 80 25 Email info winecork com Adsorption s lective des collides instables NaCalit PORE TEC 4 une solution optimale pour la stabilisation prot ique X Importateur pour la Suisse k ppel Tel 071 638 0835 pits ar ERBSL H Geisenheim ln www erbsloeh com n Fontannaz Tel 079 310 16 28 E Mail john fontannaz netplus ch
52. chacun 6 2 millions CHE pour cette mesure entre 1995 et 2006 Durant ce laps de temps 20 Objectif N 68 mars 2008 MReconversion 0 2 1995 1997 hectares 1999 2001 2003 2005 EA Evolution des surfaces concern es par l action de renouvellement la Conf d ration a soutenu galement la promotion la transformation indus trielle et le contr le de qualit des fruits pour un montant de 1 3 millions CHE Le Canton a mis 200000 CHF suppl mentaires destin s couvrir l ensemble des demandes de renouvellement Les surfaces renouvel es ont volu diff remment entre 1995 et 2007 L action a d marr lentement les 2 premi res ann es puis a acc l r son rythme sp cialement d s 2000 pour voir ensuite un ralentissement en fin de p riode Fig 3 Ce d roulement nous montre que les producteurs ont eu besoin d une phase initiale pour se familiariser et se s curiser avec les nou velles vari t s Evolution des vari t s plant es dans le temps Durant la premi re partie de l action de renouvellement ce sont surtout les va ri t s pr coces et mi pr coces qui ont t E 1995 2000 plant es Fig 4 Orangered repr sen tait elle seule 50 des plantations et Goldrich 25 Avec l arriv e de nouvelles vari t s le choix des produc teurs s est d plac sur le semi tardif et le tardif Les vari t s mi tardives Kioto et surtout Bergarouge prennent une place de plus en pl
53. cules de la surface vibration en ciseau vibration sym trique et asym trique comme pr sent aux figures 6 et 7 La comparaison de ces deux spectres montre une identit parfaite Cela signifie que la surface de ces deux joints est chimiquement parlant de m me composition La diff rence des tats de surface n est donc pas de nature chimique mais est plut t due la mani re dont la surface se solidifie lors de son cycle de fabrication C est donc la ma trise du cycle de fabrication qui permet dans certains cas d obte nir une surface tout fait lisse alors que dans d autres cas la surface pr sente des irr gularit s du type peau d orange le processus de CO m N nn QQ 00 NAN 1 4 0 8 1 0 0 4 0 6 ATR Units 0 0 0 2 Wavenumber cm 1 1 4 1 0 0 8 ATR Units 0 4 0 6 0 0 0 2 4000 3500 3000 2500 Wavenumber cm 1 4000 3500 3000 2500 SCIENCE nologie 2000 1500 1000 500 BON JOINT 2000 1500 1000 500 MAUVAIS JOINT MARTA Les spectres infrarouges d un joint bonne surface de contact haut et d un joint contact lacunaire bas sont identiques et prouvent leur nature chimique identique fabrication est d terminant pour l obtention d un joint lisse souple et parfaitement ajust Conclusion Les ph nom nes de couleuses apparus r cemment peuvent dans certains cas tre attribu s l tat de surface des joints des bouchons vis L irr
54. e certains changes avec l ext rieur La peau est m me la voie d absorption principale des produits de traitement des plantes PTP dans le corps humain Ceci est d autant plus vrai lorsque la peau est irrit e Lors d une tude men e par Antoine Milon sur Pabsorption cutan e du Folpet il a t d montr que le port de gants pendant les traitements tait une barri re efficace Chose plus regrettable les relev s ont montr quon retrouvait autant si ce n est plus de r sidus de PTP la surface des mains nues lors des effeuilles qu la surface externe des gants port s pendant un traitement C est pourquoi il est bon de rappeler l importance de respecter le d lai de r entr e dans la culture trait e minimum 48 heures si rien nest pr cis dans le mode d emploi du produit Deuxi mement ce constat pose la question du port de gants aux effeuilles Science fiction Pas si s r lorsqu on interroge des viticulteurs allergiques Heureusement le march offre aujourd hui des gants adapt s ce type d activit l gers a r s et pr servant une bonne dext rit tout en assurant une protection optimale Choix d un moyen de protection Le fabricant japonais Showa propose toute une gamme de gants profes sionnels adapt s diverses activit s Son concept repose sur le meilleur compromis entre s curit du gant dext rit et confort C est un v ritable d fi relev par cette firme car o
55. e ou r alit R ve vu l ampleur du probl me l chelle plan taire d but de r alit vu la nouvelle puissance des outils disponibles titre individuel Conna tre cest comprendre et comprendre permet de d cider en connaissance de cause Les outils d information du territoire ou information g ographique lorsqu ils sont utilis s des fins civiles ont cette extraordinaire puissance qui permet d int grer des donn es d origine diverses dans une r flexion pluridisciplinaire r serv e jusqu ici aux seuls sp cialistes Vu l exiguit du territoire suisse la pression d mographique sur la zone agricole est lev e Prendre des mesures volontaires tout en restant souverains facilitera sans doute le d veloppement harmonieux des activit s de production Et qui sait les efforts environnementaux d aujourd hui seront peut tre les avantages concurrentiels de demain Art Objectif N 68 mars2008 7 Filtration Vin Eau Bi re Jus de fruit Gaz Sartorius Alfa Laval Technologie membranaire Vin Lait Jus de fruit Petit lait Alfa Laval DSS Silkeborg Classic le plus vendu L Elevage des vins Premium la nouvelle star u 0 Conseils et mat riel de micro oxyg nation et cliquage KELLER KELLER FLUID PRO AG Bombachsteig 12 8049 Zurich T l 044 341 09 56 Fax 044 341 43 66 kellerfluidpro keller ch UNIX AY IN 1 y D PINI RES ORULE f DULUN amp FILS Le professionnel votre service
56. ectifN 68 mars2008 DOSSIER Comment a marche sur le plan national Coop ration compatibilit des syst mes La coop ration est excellente en Suisse romande et se passe relativement bien l chelle nationale m me si les discussions sont parfois vives sur les partages de comp tences de financement et de responsabilit s Les SZT cantonaux sont repr sent s par un organe de coordination la CCGEO www ccgeo ch plateforme d changes l origine de plusieurs r alisations concr tes Vaud Jura Fribourg Neuch tel la COSZG et la ville de Lausanne collaborent pour le d veloppement de leurs g oportails Neuch tel h berge le g oportail du Jura partageant ainsi infrastructures et comp tences En viticulture les enseignements tir s de l tude des terroirs vaudois ont pu tre r utilis s par d autres cantons viticoles D un point de vue technique l change de donn es est aujourd hui largement ma tris Il y a une volont l gale de cr er des standards minimaux l chelle nationale 6 http lasig epfl ch projets terroir index html suite page 29 La Perdrix grise ny Illustrations et texte Pierre Baumgart Peintre graveur animalier www pierre baumgart com Introduction La perdrix grise est un oiseau tr s discret un gibier pris dont on conna t souvent mieux le go t que la biologie Originaire des steppes elle appr cie particuli rement les grandes zones agricoles ouvertes et bien structu
57. effectu e avec du soufre mouillable de 1 8 kg ha en d but de saison jusqu 5 kg ha La pression de l o dium est faible dans le vignoble En 2005 seules quelques feuilles pr sen taient des sympt mes en fin de saison En 2006 et 2007 l o dium n a pas pos de probl me La lutte contre le mildiou s articule en deux tapes principales utilisation d argiles Mycosin et dUlmasud au d but de saison jusqu la floraison 10 Objectif N 68 mars 2008 en d but d automne et Pentier de la r colte tait d truit Dans les zones trai t es l intensit de la maladie tait tr s h t rog ne entre 0 et 50 de grappes atteintes avec une moyenne estim e de 10 15 de pertes de rendement Le c page intersp ci fique Solaris pr sente la meilleure r sistance A l exception des ceps fai sant partie d un essai sp cifique ce c page n est jamais trait contre le mildiou En 2006 et CRE RE oasis 06 ELA Densit annuelle moyenne des populations de typhlodromes par c page Agroscope ACW 2007 Solaris ma pr sent que quel ques taches noires sur les feuilles situ es au sommet des rameaux ou sur les entre c urs Ces n croses sont typi ques d une r action dite d hypersen sibilit le mildiou ne sporulant pas sur ces taches Les grappes sont rest es saines Les autres c pages intersp cifiques et les vari t s de raisin de table sont assez r sistants au mildiou Ma
58. en des esprits veules tentent de confiner l Histoire d aimables conversations de salon quand ils n essayent comme le fit Francis Fukuyama d en annoncer la fin ou d faut celle de la lutte des classes au profit d un progr s humain unidimensionnel Pourtant l cenologue d faut de s inscrire dans le si cle comme Emile Peynaud est au moins tributaire de sa p riode au del des choix techniques et technologiques auxquels les disciples de Bacchus sont confront s elles et ils se doivent au moins d appr hender d faut de comprendre les mutations contemporaines L Histoire se pla t nous rappeler que l in luctabilit n est souvent que l apparence fallacieuse d un choix de soci t c t de ces consid rations je me r jouis de la mise en valeur de photos plus explicites qu auparavant tout en ne n gligeant pas l esth tique No mie Graff vigneronne historienne avec la collaboration de Thomas Frings conomiste institutionnel Si vous souhaitez r agir l un ou l autre des articles ou sur tout autre sujet en lien avec les themes trait s dans notre journal il vous suffit d envoyer vos commentaires et ou photos insolites la r daction simone demontmollin usoe ch ou pfister_richard hotmail com Objectif N 68 mars2008 35 ECHO DU VIGNOBLE MENTA Nouvelle Z lande vue sur le vignoble depuis la cave Lorganisation du voyage a t on ne peut plus simple Quelques mois P
59. en tout temps et sans engagement pour vous conseiller au 021 731 26 26 ou par e mail laurent marinQunifroid ch NB Les observations arch ologiques valaisannes font l objet d un programme de recherches historiques coordonn par le Mus e de la Vigne et du Vin Sierre Les premiers indices vitivinicoles en Suisse La tradition vitivinicole en Suisse est tr s ancienne En 1986 une d couverte arch ologique a r v l que le canton du Tessin poss de une vocation viticole depuis fort longtemps des p pins de raisins sont d couverts au cours de la fouille d une tombe romaine dans le petit pays d Arcegno Au Valais des indices tendent prouver que la culture de la vigne existait m me bien avant l poque romaine Lors d une fouille effectu e pr s de Brigue Gamsen entre 1989 et 1999 des p pins de raisins datant de MES du Fer 800 500 av J C ont t retrouv s 1 Vase a trottola bouteille de vin celtique datant de 200 av J C retrouv e dans une tombe Sembrancher VS Mus e cantonal d arch ologie Sion NOlnv 585 Lo Le CL Lu RC en Vue du site arch ologique de Gamsen Waldmatte en cours de fouille G s av J C 5 s apr J C En arri re plan la ville de Brigue Vue depuis l ouest O Bureau TERA SARL Sion Des grappes de raisin taient pr sentes en Valais plusieurs si cles avant l arriv e de l Empire Romain Provenaient elles d une vigne indig
60. ent montrer un tr s fort ancrage dans la pratique Les r ponses la fois des dipl m e s et des employeurs montrent clairement que les efforts consentis par l ESp pour am liorer les comp tences op rationnelles des diplom e s ne doivent pas tre rel ch s Il ressort galement que la formation en comptabilit et gestion financi re de m me qu en marketing m riterait d tre renforc e Le syst me d enseignement modulaire introduit en 2003 suscite des avis contrast s Il est en g n ral mieux per u par les diplom e s que par leurs employeurs Enfin les employeurs expriment des attentes tr s pr cises quant aux diff rents niveaux de formation propos s CFC Brevet f d ral Dipl me Esp HES et confirment la pertinence de cette segmentation CLAIRAGE EC PROGRAMME Soutenance des travaux de dipl me des tudiants de l Ecole d Ing nieurs HES fili re nologie Programme sous r serve de la recevabilit des travaux de dipl me GRAND AUDITOIRE REYMOND R my Alain 08h00 08h30 MARSEILLE David 08h30 09h00 BUCHMANN Rahel 09h00 09h30 CHRISTEN Lukas 09h45 10h15 PONNAZ H l ne 10h15 10h45 MORISOD Thomas 10h45 11h15 UTZINGER Matthias 11h15 11h45 CHRISTINAT Mary Christine 13h00 13h30 GROS S bastien 13h30 14h00 MERINO BOSSI Nestor 14h00 14h30 0 KELLY Hugues 14h45 15h15 R TSCHE Christin 15h15 15h45 HELMRICH Alain
61. ent de l nologie et des techniques de vinification Des fonctions qui se sont vues associ es d autres responsabilit s au fil du temps comme par exemple la mise sur pied et la responsa bilit de l Ecole du Vin en 1999 de l assurance qualit et plus r cemment du projet Grands crus suisses levage des vins du terroir en f ts de ch ne indig ne Dynamisme passion sont les deux moteurs qui ont toujours su orienter vos choix Un sens aigu de l organisation un esprit d initiative toujours en veil et un int r t marqu pour les gens vous ont conduit mener bien multiples travaux reconnus en Suisse comme l tranger Un parcours riche et intense l image de votre personnalit Un grand MERCI Judith pour votre engagement sans faille au service des tudiants et de l Ecole d Ing nieurs de Changins Nous vous souhaitons beaucoup de succ s dans la r alisation de vos nouvelles responsabilit s Alors bon vent et que vogue le navire L Association des dipl m s de Changins O J Ph Mayor le march des sp cialit s sous www spahnicourtage ch Amez Droz SA f f f AU Service des encavenrs T l 41 0 32 753 18 25 Fax 41 0 32 753 16 62 www amez droz ch CH 2074 MARIN PAGNIER CP 11 Rue Louis de Meuron 18 Fabrication Vente R paration Mise au point de vos machines cenologiques Groupe de mise en bouteilles Visseuses Etiqueteuses Boucheuses manuelles pour tous formats de b
62. eo COMMENT A MARCHE Un SIG ou SIT est un outil informatique Il est compos d un ensemble de cinq parties logiciels mat riel informatique donn es savoir faire li s leur utilisation m thodes utilisateurs vous Il permet de repr senter de mani re assez r aliste tous les objets qui existent sur Terre assortis de tout type d information pouvant pr ciser leurs natures Les bases de donn es sont leurs poumons permettant requ tes et analyses statis tiques en un temps record Des logiciels puissants offrent une repr sentation graphique unique de cartes en 2D mais aussi 3D permettant de mieux visualiser les diff rents sc narios pour mieux pr senter les id es et pour mieux appr hender l tendue des solutions possibles Les premi res cartographies automa tiques des ann es septante ont d abord t d di es aux services d Etats cadastre arm e topographie Depuis 1980 la croissance des logiciels et des applications PC ont facilit la mise en r seau des informations et depuis les ann es nonante l av nement de l Internet a tr s vite d mocratis l utilisation des SIG par un public vari calculs d itin raires routiers utilisation d outils portables ou embarqu s GPS Tableaux de dones Grantriques Origine des donn es Les donn es g ographiques sont import es partir de fichiers ou saisies directement Elles ont en g n ral quatre composantes g om trique
63. er des pressions de l ordre de 1 1 5 bar au dessus de la pression atmosph rique sans permettre le passage du liquide Pour un bouchon vis la surface de contact ne se pr sente que sous la forme d un mince anneau d une surface de contact de 236 mm Pour un bouchon de li ge 24 x 20 24 mm de diam tre et 20 lignes soit 44 mm de longueur habituel lement utilis en Suisse la surface de contact est gale au p rim tre corres pondant au diam tre int rieur moyen du goulot fois la hauteur du bouchon Pour un diam tre moyen de 20 mm et une hauteur de 44 mm la surface de contact repr sente 2763 mm Il faut admettre dans les deux cas que la surface du verre est parfaitement lisse et qu aucune irr gularit ne vient modifier la surface de contact Dans le cas du bouchage li ge la surface int rieure du goulot est souffl e et ne pr sente g n ralement pas de d faut Pour la surface de la bague qui doit tre en contact avec le joint du bouchon vis les verriers ont rencontr plus de probl mes et il est arriv que des jointures de moules laissent subsis ter des irr gularit s qui mettaient en cause l tanch it Ces probl mes sont actuellement parfaitement ma tris s la fabrication Objectif N 68 mars2008 13 SCIENCE nologie Les bouteilles couleuses Le ph nom ne des bouteilles couleu ses n est pas nouveau il est connu des embouteilleurs qui savent que pour un bo
64. et conf re un aspect n glig la bouteille ouverte Onentend parfois dire queles bouchons vis sont tr s fragiles et que le moindre choc sur le m tal du bouchon cr e une couleuse Cette crainte est totale ment infond e et ne s est pas v rifi e depuis une trentaine d ann es que les bouchons vis sont utilis s en Suisse avec succ s On estime actuellement que 80 des bouteilles de vins blancs suisses sont ferm es avec des bouchons vis 14 Objectif N 68 mars 2008 L utilisation du bouchon vis une question d habitude Il est int ressant de constater que pendant une trentaine d ann es la Suisse tait l unique r gion viticole utilisant des bouchons vis sur des bouteilles de vin alors que les autres pays r servaient le bouchon vis aux ap ritifs aux eaux de vie ainsi qu d autres boissons Nos voisins fran ais d Alsace utilisent le bouchon vis depuis quatre ou cinq ans sur leurs vins avec succ s les r ticences tant plut t li es des habitudes qu des mauvaises exp riences Plus r cemment les nouveaux pays producteurs de l h misph re sud et les Etats Unis ont commenc utiliser les bouchons vis large chelle sur les bouteilles de vin La demande de bouchons vis est donc en phase de croissance tr s rapide sur le march mondial D p ts de vin l int rieur des bouchons d pots De nouveaux probl mes de bouteilles couleuses
65. gents de nettoyage ou de d sinfection lubrifiants solvants produits de traitement engrais A ces contacts s ajoutent l exposition prolong e au soleil ou les lavages r p t s Il en r sulte des peaux irrit es br l es vieillies pr matur ment s ches ou r ches avec un risque de compli cation allergies ecz mas cancers etc En outre une peau ab m e est la porte ouverte aux toxiques avec lesquels elle est en contact avec risque d intoxication Des campagnes de pr vention Les irritations de la peau sont encore trop souvent mises sur le compte de la fatalit On va jusqu souffrir en silence impuissant sans savoir qu il existe des solutions C est pourquoi une campagne nationale de pr vention a t lanc e en Suisse dans toutes les professions 2 mains c est pour la vie tel est son nom Les probl mes de peau ne touchent pas que la Suisse en Allemagne une campagne ne se limitant pas qu aux mains vise aussi pr venir sous le slogan Votre peau les 2 m les plus importants de votre vie Toutes deux font suite au m me constat les affections de la peau 50 Objectif N 68 mars 2008 Akaintes m caniques sont en augmentation et lourdes de cons quences notamment en termes de co ts de la sant et de r insertion professionnelle Des gants aux effeuilles Une peau saine n est pas imperm able C est m me l une des caract ristiques naturelle de la peau que de permettr
66. ges plans ou orthophotos pos x Objectif N 68 mars2008 DOSSIER 25 0600 0600 0600 600 LES SYST MES D INFORMATIONS G OGRAPHIQUES QUEL INT R T l av nement de l informatique et la prise de conscience environnementale ont impos s depuis les ann es septante de nouvelles approches scientifiques Int gration de donn es et transdisci plinarit sont d sormais n cessaires la compr hension des ph nom nes d coulant de l activit humaine Des cartes repr sentant l tat de l envi ronnement sont indispensables pour mesurer l impact du d veloppement anthropique Aujourd hui une tr s large majorit de professionnels sont concern s par les informations g ographiques recherche et d veloppement de nouveaux march s tudes d impact de l am nagement et de la construction organisation du territoire gestion de r seaux suivi en temps r el de v hicules protection civile etc Une fois les donn es int gr es le SIG permet de poser des questions simples comme A qui appartient cette parcelle et des questions r sultant d une analyse Quels sont les parcelles caract ris es par une pente de 30 ou Quels sont les sols adapt s la plantation de telle ou telle vari t Des algorithmes permettent d obtenir des informations de proximit entre les objets Quel est le nombre de clients potentiels dans un rayon de 10 km autour de ce point de vente alors qu
67. gme et l habitat r el des hommes pour le Haut Moyen Age fixer les voies de p che chez les Polyn siens et celles du commerce a SE rl A jad H mi saa i iT in par A pm derma maritime la Renaissance d finir pour la diplomatie les fronti res et nourrir la propagande aux temps modernes Georges Kish dans La carte images des civilisations Seuil Paris 1980 r sume ainsi les motivations souvent conjugu es qui ont pr sid au d velop pement de la cartographie Nos motivations actuelles la hauteur de la puissance des outils disponibles Toute la surface de la Terre tant balis e et accessible en un clic ou presque les nouveaux enjeux des applications civiles concernent la gestion et l exploitation du territoire dans une optique de d veloppement durable En agriculture ces pr occupations visent notamment l utilisation et la gestion des ressources naturelles la r duction de production de d chets non r utilis s et d missions polluantes le maintien de la biodiversit et des cosyst mes la limitation de l usage de pesticides la pr servation des sols lutte contre l rosion et la d gradation a A AZ E A hett 3 ll ipe 1 gyptiens Sum riens Chinois Harapp ens puis Hittites Assyriens Ph niciens et Grecs Le plus ancien exemple imprim de carte en T la premi re page du chapitre XIV de l Etymologiae Par Guntherus Ziner Augsburg 1472 reo
68. hane Burgos rappelle que l histoire d un sol se d crypte avant tout par l observation attentive des contours du paysage des cailloux et des indicateurs biologiques comme le comportement de la vigne par exemple L avis du g ologue est confirm par celui de l historien Yves Bischofberger g ographe et historien du paysage illustre les modifications du paysage l aide de planches d poque Les Communailles font partie des rares points d observation privil gi s du canton et de citer Rodolphe Toepfer voir encadr Immortalis s pour la premi re fois par Konrad Witz en 14442 ces paysages sont complexes pleins fait d irr gularit s n s de l usage quotidien et structur s par le r seau viaire enti rement enserr de haies Lun d eux parmi les plus importants passait par Dardagny et fut longtemps parcouru par les diligences destination de Gen ve Le Mandement auquel Dardagny fut rattach au d but du 42 Objectif N 68 mars 2008 57 Assembl e G n rale des dipl m s de Ghangins au coeur du tefroir Le vignoble de Dardagny vu depuis le haut des Communailles gauche le Jura droite les Alpes XVI si cle fut de tout temps grand pourvoyeur de vins destin s la Cit R publique Durant la partie statutaire le Pr sident pr sente Brigitte Humbert nouvelle secr taire de l Association Rodolphe Toepfer Extrait de Premiers voyages en zigzag Combien d
69. inification d tablir le carnet de bord en int grant toutes les informations concernant les op rations nologiques et d archiver le tout mais aussi d enregistrer la provenance de la r colte pro pri taire parcelle etc et d obtenir la tra abilit de chaque lot La r colte des informations et le pilotage de l installation se fait l aide du logiciel de centralisation et de m morisation des donn es Les r gles de ce d veloppement ont t Co t d installation r duit Fiabilit Simplicit d utilisation Modularit Co t d installation r duit car chaque cuve est quip e de son coffret de commande et seuls le c ble Bus et le c ble d alimentation 24 V relient les coffrets entre eux Le c ble Bus relie lui seul tous les coffrets au logiciel de centralisa tion Par sa simplicit d utilisation m me les utilisateurs que l informatique rebute risquent d y prendre go t La Modularit du produit de DIONYSOS Syst me permet de commencer par de la gestion Cuve cuve pour s tendre jusqu 3 x 240 cuves sur le m me logiciel Association de comp tences Les entreprises DUPENLOUP SA qui commercialise le produit de DIONYSOS Syst mes et FRIALP SA sp cialiste en installation de r frig ration et climatisation et b n ficiant d une longue exp rience dans le domaine proposent des solutions compl tes pour de nouvelles installations ou pour la mise jour d installations existantes Les changeurs install s
70. inistrateur est votre disposition Membre de l ordre vaudois des experts comptables fiduciaires et fiscaux P pinieres Viticoles ROSSET Toutes vari t s sur divers porte greffes Plantation de vos vignes la machine TUBEX protections pour vos plants Qualit et Service font notre diff rence Jolimont 8 1180 Rolle T l 021 825 14 68 Fax 021 825 15 83 rossetp domainerosset ch www domainerosset ch Terra incognita Le territoire en Sarta par Simone de Montmollin M Riedo 1992 Sommet de la Terre Rio de Janeiro la Conf rence des Nations Unies reconna t la n cessit d une infrastructure globale de donn es g ographiques Global Spatial Data Infrastructure GSDI pour garantir le d veloppement durable Se met alors en place un r seau international pour favoriser l harmo nisation des donn es g ographiques En Europe plusieurs organisations et institutions sont actives l int gration et la coordination de ces donn es nationales r gionales et locales f d r es sous l gide de l EUROGTI La Suisse y est repr sent e par son organisation fa ti re OS G www sogi ch L objectif prioritaire est de garantir une utilisation efficace des informations g ographiques qui doivent tre actuelles compatibles entre elles et accessibles un large public Dans cet optique le Conseil f d ral adopte une strat gie pour l information g ographique en 2001 Le COSTG voit le jour avec pour
71. is lors de sai sons forte pression comme 2006 et 2007 du mildiou a pu se d velopper sur feuille dans les t moins non trait s Parmi ces c pages Regent est l inter sp cifique le moins r sistant Au niveau des insectes nous n avons pas rencontr de probl me particu lier La pression du vers de la grappe est basse et la taille de la parcelle ne Densit annuelle moyenne Ch Linder communication personnelle HYBRIDE DE CUVE BLANC TEST EN SUISSE PAR ACW J L Spring 2001 Nom Solaris FR 240 75 Parents Merzling X GM 6493 Seyval blanc X Riesling X Pinot gris X Saperavi Severnyi X Muscat Ottonel Date de naissance 1975 Lieu Staatlisches Weinbauinstitut Freiburg D Pr cocit Tres pr coce Coulure Mill Assez sensible R sistance mildiou Tr s lev e R sistance o dium Moyenne Vigueur Assez lev e Vin Sec ou doux Puissant chaleureux L g rement fruit complexe Finesse moyenne amertume finale permettant pas la lutte par confusion nous utilisons du Bacillus thuringiensis contre la 2 me g n ration Pour la lutte contre les acariens des chers de typhlodromes ont t effec tu s en 2003 et 2004 Le service d en tomologie d ACW a effectu un suivi du d veloppement des typhlodromes dans la parcelle Table 3 Les populations de typhlodromes sont g n ralement abondantes en d but de saison mais diminuent pendant l t Les c
72. laisannes d abricot SCIENCE arboriculture En parall le aux sur faces subventionn es se trouvant essentiellement sur le coteau de nouvelles cultures ont t install es dans la plaine du Rh ne entre 1990 et 2005 ceci sans aide financi re la plantation On estime ces nouvelles surfaces 150 ha Table 1 Depuis la fin 2005 le Canton r alise un programme de reconversion des cultu res fruiti res Le but est de diminuer les cultures exc dentaires de pommiers et poiriers et de favoriser les nouvelles va ri t s de pommes et d abricots ce jour le programme concerne 170 ha dont 40 ont t annonc es pour de l abricot Ainsi une surface d environ 700 ha est plant e en abricotiers en Valais Conclusion Le programme de renouvellement financ parts gales entre Conf d ration et Canton a permis d acc l rer un changement de cap entrepris par quelques pr curseurs Les aides financi res peuvent tre assimil es une participation aux risques des producteurs qui veulent s adapter aux changements des conditions cadres De tels changements ne peuvent pas sop rer sans l implication de toute la fili re II faut relever notamment l engagement du commerce dans cette r volution Finalement ce sont aussi et surtout le citoyen et le consommateur qui b n ficient de l apport de la nouvelle diversit amen e par le renouvellement du verger diversit des paysages et diversit des fruits propos s su
73. le monde sont gratuits et permettent essentiellement de consulter des cartes ou des informations g ographiques et de les imprimer Ce qui est payant c est l achat des donn es pour les int grer dans son propre SIT faire son g oportail ou pour faire des applications commerciales Un r cent article paru dans la NZZ met en lumi re cette probl matique Le co t d obtention de donn es identiques cadastre informatis passerait d une centaine de francs Gen ve quelques 20 000 B le Si la tarification des g odonn es de bases est d finie par le droit f d ral les cantons sont autonomes en mati re de tarification des donn es et services relevant de leur comp tence Chaque canton adopte donc une strat gie propre Dans tous les cas les gains obtenus restent tr s marginaux en regards des investissements n cessaires except s pour les cantons dont la tarification est lev e comme B le Les Etats Unis et l Australie postulent que toute information fournie par des services de l Etat doit tre mise disposition du contribuable gratuitement En Suisse on se dirigera vraisemblablement vers une solution m diane co t de mise disposition ou retour partiel sur investissement On entend souvent le terme de flicage faisant r f rence aux possibilit s de contr les offertes par les SIG Doit on vraiment craindre Big Brother Les donn es trait es par un SZG peuvent effectivement tre tr s pr cises et vari es
74. loitants Apr s s tre familiaris s et s curis s avec les nouvelles vari t s les arbori culteurs ont pu taler le calendrier de production et augmenter les surfaces plant es d abricotiers tout en am liorant les techniques culturales Historique Labricotier est pr sent en Valais depuis plusieurs si cles Ce mest qu partir du milieu du 19 si cle que la culture de Pabricotier s est v ritablement d velopp e avec l arriv e de la vari t Luizet En 1990 celle ci repr sentait 525 ha localis s principalement sur le coteau Reconnu pour ses qualit s gustatives le Luizet est un abricot fragile pour le commerce de gros De nouvelles vari t s ont fait apparition depuis 1990 D s 1990 de nouvelles vari t s s lectionn es dans plusieurs pays ont t introduites sur des parcelles de r f rences g r es par les instances publiques cantonales ou f d rales ou alors directement par les arboriculteurs dans leurs vergers A titre d exemple d s 1992 nous avons pu observer avec les producteurs les premiers fruits d Orangered de Goldrich ou de Hargrand sur de jeunes arbres import s de France et plant s en 1990 sur le domaine de l Ecole d agriculture de Ch teauneuf L apport des nouvelles vari t s devait supprimer la pointe de r colte du Luizet entre juillet et ao t et permettre l allongement du calendrier de pro duction en commen ant plus vite la r colte avec les vari t s pr coces et
75. lot provenant de Guyenne dans la r gion du P rigord F greff s sur pieds am ricains furent lanc es aux environs de 1907 Au d but du XXe si cle la superficie du vignoble cantonal atteignait pr s de 8000 ha avec une production de 7 millions de litres de vin A partir de 1945 des contr les statistiques officiels ont t effectu s La premi re v rification enregistra une production de 50000 quintaux de raisin ce qui correspond pr s de 4 millions de litres de vin valeur nettement inf rieure celle du d but du si cle A LETTRE Verscio Sopraceneri Le merlot un tres bon choix pour le Tessin Au vu de son excellente acclimatation aux terroirs tessinois le merlot peut tre consid r comme un cultivar quasi autochtone du Canton m me sil provient de France Son nom proviendrait du merle un oiseau qui semble appr cier tout particuli rement les raisins de ce c page de la m me couleur que son plumage Originaire de la r gion de Bordeaux il est mentionn dans la litt rature pour la premi re fois la fin du XVIIIe si cle avant d tre d crit plus pr cis ment en 1854 De la France il s est ensuite dirig vers toutes les principales zones viticoles du monde dont la Suisse et l Italie du nord est En 80 ans la surface cultiv e tous c pages confondus s est consid ra blement r duite au Tessin De 8000 hectares en 1910 on est pass 1200 hectares en 1990 cultiv s par pr
76. mbant neuve de nombreux c pages Cabernet Sauvignon Sauvignon blanc Chardonnay Merlot et Carmen re Chili mise en barrique ECHO DU VIGNOBLE puis en petites quantit s Pinot noir Petit Verdot Malbec Tintorera et Syrah Une anecdote int ressante les ardoises des cuves de Carmen re mentionnaient du Merlot Auparavant on croyait que Carmen re et Merlot formaient un unique c page Comme leur maturit ph nolique n est pas atteinte au m me moment les vinifi cations taient souvent compliqu es Un amp lographe fran ais d couvrit la confusion et depuis les c pages sont vinifi s part le Carmen re ayant 2 3 semaines de retard sur le Merlot Le travail durait 12h pourlesoenologues alors que les cavistes cessaient de travailler apr s un maximum l gal de 8 10h Nous commencions 8h00 en prenant le relais de l quipe de nuit Une partie du personnel tait engag e ann e apr s ann e D autres ne connaissent rien au vin et manquaient souvent de motivation la t che Leurs travaux termin s il m tait pas rare de les apercevoir se cachant dans un coin ou papotant avec d autres Aider un coll gue tait rare on pr f rait le regarder faire Un choc de culture Au premier regard il ne semble pas y avoir de grandes diff rences entre la Suisse et les Etats Unis ou la Nouvelle Z lande Pourtant apr s avoir t sur place il faut avouer qu on est parfois surpris tout d abo
77. mer school 2008 Dans un premier temps PEIC met sur pied un summer school du 23 juin au 18 juillet 2008 l attention d une trentaine d tudiants en nologie nord am ricains et d un groupe d tudiants de la fili re nologie de Changins 4 me et 6 me semestres Ce cours de quatre semaines permettra aux participants d aborder les th mes li s la vitiviniculture propres l Europe Les quatre semaines du summer school se d rouleront entre la Suisse Pltalie Universit de Piacenza et la France Bourgogne en particulier Fabien les apprentis et les nouvelles secr taires Tous les membres du Conseil de Direction comptaient sur toi Pour monter les s ances assurer les promotions Et quelqu part dans un coin de l Asie Tes amis attendent une fois d plus ta visite Qu il est long qu il est beau ton chemin Nicole Ton passage marqu tous ceux de Changins Qu il est long qu il est loin ton chemin d Ecole Ton d part va laisser un grand vide Tu tais le pilier fort pour beaucoup la confidente Tas toujours aim ton cole et tous ses tudiants Pour plus d informations www eichangins ch A peine le temps pour toi de penser souffler Et te voil reparti pour un nouveau Directeur Et le soir de retour au foyer Tu pensais qu cr er h berger et coacher mm L Ecole sp cialis e ESp de Changins Ph Dupraz doyen ESp a l enqu te Qu il est long qu il est beau ton chemin Nicole Ton
78. mod le de d veloppement en marketing du IM Cet ouvrage s adresse tous les profes sionnels du secteur vitivinicole confront s des questions pratiques de marketing de m me qu aux tudiants en commerce et management de la fili re vitivinicole Pierre Mora et Yohan Castaing Bonnes pratiques en marketing du vin Dunod Editions La Vigne 2005 Objectif N 68 mars2008 41 CLAIRAGE Abc Organis e Dardagny GE le vendredi 31 ao t 2007 autour du th me Un autre regard sur le vignoble la 57e Assembl e G n rale est orchestr e d une main de ma tre par St phane Gros La journ e d bute par une visite des vignes Depuis le haut des Communailles St phane Burgos raconte l histoire g ologique du vignoble genevois depuis la formation du Jura et des Alpes jusqu la p riode post glaciaire On en retiendra l h ritage calcaire de la moraine wurmienne et l extr me diversit des sols engendr e par la pr sence d une mer puis bien plus tard par le retrait des glaciers Les Communailles o nous nous trouvons sont sur une couche de molasse gros grains form e il y a 25 mio d ann es dont les affleurements forment bosses et collines douces Les sillons se sont progressivement combl s de mat riaux charri s par les cours d eau On y trouve par exemple des cailloux de granit laiss s par la moraine glaciaire ou de graviers arrondis t moins d anciens d p ts glacio lacustres St p
79. n sait que plus un gant est protecteur plus il risque de devenir inconfortable et moins il permet en dext rit Pour les effeuilles on choisira plut t le mod le Showa fine un gant comparable une seconde peau respirant sur sa partie sup rieure et prot geant sur sa po face interne Pour ceux qui ne suppor teraient pas un tel gant on peut limiter les contaminations d j par l appli cation de cr me de protection sachant que ceci ne sera jamais aussi efficace qu un gant Stoko est un fournisseur reconnu de cr mes de protection professionnelles Stoko Protect est une cr me qui prot ge contre les agents m lang s l eau et est parfaitement indiqu e notamment en compl ment au port de gants lors des traitements Lhygi ne et le soin de la peau sont aussi importants apr s le travail et ce fournisseur propose encore des savons doux ainsi qu une cr me d entretien L offre du SPAA Le SPAA propose un programme complet de soin et de protection de la peau gants adapt s chaque travail gamme Showa distributeurs de cr mes professionnelles gamme Stoko hydrofuges lipofuges solaires ou d entretien et savons efficaces mais m nageant la peau N attendez pas les complications mais anticipez les en nous demandant un conseil person nalis selon vos besoins SPAA Grange Verney 1510 Moudon 021 995 34 28 www spaa ch spaa bul ch CLAIRAGE SPAA AL LORIE Les quantit s de fo
80. nes La teneur en P est m diocre Le porte greffe utilis est le Fercal Alterner les outils est utile pour un bon entretien du cavaillon Linterligne est compos de la flore naturelle de la parcelle Il est fauch L entretien du cavaillon sans utilisa tion d herbicide est plus probl ma 1900 Solaris Johanniter Pinot Noir clone 9 18 Regent L on Millot 1 1 Lilla blanc 5 50 0 Nero rouge IANN C pages nombre de ceps et surfaces 3 5 Objectif N 68 mars2008 9 SCIENCE viticulture tique Les outils et techniques utilis s par l cole sont un intercep lame de type Clemens un intercep rotatif Humus et des br leurs gaz pour le d sherbage thermique Aucune tech nique utilis e seule ne permet la ma trise de la flore sous le rang Pour obtenir une bonne efficacit il faut alterner les outils et utiliser le d sherbage thermique contre les chardons liserons et autres g ra niums En 2007 l entretien du cavaillon a n cessit 2 passages de l intercep rotatif 2 passages de l intercep lame et un d sherbage thermique Ces travaux sont extr mement exigeants en temps Pour trouver des alternatives au tra vail du sol un essai d entretien a t mis en place d s Pautomne 2006 avec les variantes suivantes travail du sol couverture avec des corces de r sineux enherbement naturel fauch planta tion d pervi res piloselles Hieracium pilosella
81. ngicides d pos es sur la peau lors des effeuilles sont affolantes les gants Showa fine sont actuellement les mieux adapt s pour ces travaux II faut toutefois aussi respecter le d lai de r entr e dans la culture trait e Objectif N 68 mars2008 51 DE A tl amp al MAISON FOND E EN 1829 Le Prieur St Pierre M tiers Neuch tel T 032 862 03 03 Retrouvez toutes nos cuv es sur WWW mauler ch Ne laissez pas le mauvais temps d truire le fruit de votre travail Nous assurons vos vignes les bois de vigne et les jeunes vignes l aide d une A couverture compl te contre la gr le et autres calamit s naturelles BETA Case postale 8023 Zurich MON T l 044 257 22 11 o D Fax 044 257 22 12 AN info grele ch E E www grele ch A VOTRE SERVICE DEPUIS 1902 C H_ AIC C O Lans A Rp Rte de la Drague 14 1950 SION t l 027 323 67 21 fax 027 323 67 22 site www chaillot ch Zl au Glapin 10 1162 SAINT PREX t l 021 823 20 00 fax 021 823 20 01 e mail info chaillot ch agenda mars gt ao t 08 CONF RENCES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES ORGANISATIONS ASSOCIATIONS ENTREPRISES PROFESSIONNELLES V NEMENTS DIVERTISSEMENTS MARS 8 mars 2008 10 00 19 00 1 SALON DES VINS ALPINS Domaine du Cr pon Villeneuve VD www domaineducrepon com 18 mars 2008 9 45 17 00 FACHTAGUNG OBSTBRANDSPEZIALIT TEN W denswil ZH www acw admin ch 18 au 19 mars 2008 EIC SO
82. nsoleillement vent pluviom trie indice climatique ou autres donn es g ographiques pente altitude Les informations p doclimatiques peuvent tre visualis es pour l ensemble du vignoble tandis que les informations culturales ne peuvent tre consult es que par l utilisateur qui les a saisies Le module Cave est destin aux encaveurs n gociants et caves coop ratives Les fonctions de recherche et de consul tation sont identiques au module Vigne Le module Cave permet la gestion des acquits viticoles et des droits de production facilitant la cr ation d assemblages bas s sur la notion de terroir Des fonctions permettent la gestion des apports de vendange et la r partition des lots Les donn es du module Vigne peuvent tre r cup r es Le module Recherche amp Vulgarisation permet de cr er sa propre base de donn es Destin en particulier aux organismes cantonaux ou r gionaux groupe PI appellations etc il est utilis par Consultation des interventions et observations sous forme de calendrier Agroscope ACW dans le cadre du r seau C page mis en place dans le canton de Vaud Il a permis la r alisation d enqu tes ponctuelles comme l tude concernant la relation entre type de sol et indice de la chlorose de la vigne Perspectives RIV AGRIDEA est disponible dans le canton de Vaud par abonnement annuel Moyennant des adaptations techniques et l acc s aux donn es des cantons ay
83. oint sur le verre Ces surfaces non color es n tant pas en contact avec le verre peuvent alors permettre la sortie du liquide et cr er ainsi une couleuse Les figures 4 et 5 montrent deux cas typiques de joints de bouchons vis Il est clair que des diff rences de fabrication apparaissent entre les joints qui assurent un bon contact et ceux qui n adh rentque partiellement Il pourrait s agir non seulement d un tat de surface diff rent mais galement d une composition chimique diff rente Objectif N 68 mars2008 15 pa Martin Les Biotechnologies a es par Martin Vialatte Des s lections de produits r alis es en laboratoire l chelle industrielle nologie D pecti Extraction D pectiP Pressurage Gamme d enzymes sp cifiques adapt e aux diff rentes applications Vitilevure S lection de levures adapt e aux vins Suisses GYsurvins rouges Vitilevure CEPAGES 0 Vitani pour les sp cialit s Les tanins Collage facilit M semencement direct VITANIL VR stabilisation de la couleur rar ces aux te mp r atures VITANIL B limite les go ts de r duction d SUBOENO SA CH 1268 BURTIGNY TEL 41 22 366 67 67 FAX 41 22 366 80 25 Email info winecork com L analyse du spectre infrarouge de la surface permet de r pondre cette question Lespectreinfrarougedonneles fr quences d absorption des diff rents types de vibration des mol
84. ommercial dans de nombreux domaines Actuellement le syst me compte 33 satellites Il fonctionne gr ce au calcul de la distance qui s pare un r cepteur et plusieurs satellites Des ondes lectromagn tiques envoy es par les satellites se propagent la vitesse de la lumi re Pour mesurer le temps mis par l onde pour lui parvenir le r cepteur compare l heure d mission incluse dans le signal et de r ception Connaissant la position des satellites minimum 4 l heure d mission et la distance mesur e le r cepteur r sout un syst me d quations pour calculer les points X Y Z converties ensuite en latitude longitude altitude La d pendance strat gique vis vis des Etat Unis si le gouvernement le d sirait le signal pourrait tre d grad avec pour cons quence une perte importante de la pr cision comme avant 2000 a incit l Europe se doter de son propre syst me Galileo D velopp des fins civiles la pr cision th orique est sup rieure au GPS II test depuis 2004 et sera utilisable partir de 2010 2012 INDG Infrastructure f d rale de donn es g ographiques www e geo ch Information g ographique IG interpr tation d un nombre variable de donn es provenant de diff rentes sources D crite de fa on uniforme selon un mod le commun et chang e l aide de formats neutres qui s appuient sur des standards internationaux C est l ensemble de la description
85. our avoir une croissance homog ne sur toute la parcelle Pour l entretien des sols la zone avec de fortes r serves en eau est certainement enherber tandis que la zone sur la molasse n cessitera plus de prudence et d observation de la vigne pour viter une concurrence entre celle ci et l enherbement Il est enfin important de confronter ces conclusions au comportement des vignes d j pr sentes avant replan tation et autour de cette parcelle pour tenir compte de tous les facteurs d influence Le choix du c page int grera l estimation du niveau de pr cocit de la parcelle Dans le cas pr sent il n y a pas de grande diff rence de pente ou d orientation Seule la zone sur molasse est un peu plus favorable des c pages l g rement plus tardifs Comme le souligne St phane Burgos la visualisation des couches th matiques est une aide pr cieuse l analyse d une situation L interpr tation des informations qui en d coulent reste cependant capitale II ne faut jamais perdre de vue que ces syst mes d information ne sauraient remplacer l analyse critique Leur utilisation contribue et facilite grandement le processus de d cision mais ne le remplace pas D ici quelques mois le g oportail viticole genevois compl tera son offre avec la carte de l enc pagement et une couche indiquant le potentiel de pr cocit I ta incogni DOSSIER terra COSIG Groupe de coordination interd partementale IG
86. outeilles Spahni Sion Avenue des Mayennets 12 1951 Sion T l phone 027 322 11 67 Fax 027 322 83 91 PROPRI TAIRE DE VIGNOBLES R PUT S Obri to Vevey artisans du vin depuis 1854 OBRIST SA Av Reller 26 1800 VEVEY T l 021 925 99 25 Fax 021 925 99 15 www obrist ch E mail obrist obrist ch ARBORICULTURE Le Guide Arbo 2008 2009 Le guide d arboriculture national dit par Agroscope Changins W denswil ACW vient de para tre en fran ais et en allemand Les abonn s de la Revue suisse de Viticulture Arboriculture Horticulture re oivent la version fran aise et ceux de la Schweizerische Zeitschrift f r Obst und Weinbau la version allemande Ce guide est valable deux ans de 2008 2009 Le Guide Arbo d Agroscope Changins W denswil est vraiment unique dans son genre en Europe la fois d taill et accessible il constitue une mine de renseignements irrempla cables sur la protection de la sant des vergers Le Guide Arbo 2008 2009 L dition 2008 2009 se distingue is o par une pr sentation plus a r e dl Ag TOSCOpDE ACW enrichie de nouveaux chapitres agr able l il et facile utiliser Le nouveau guide Arbo d Agroscope Changins W denswil ACW Le Guide Arbo se compose de deux parties bien distinctes Les pages vertes traitent du contr le des ravageurs au verger de la protection des auxiliaires des maladies et des ravageurs des diff rentes cultures
87. passage marqu tous ceux de Changins Qu il est long qu il est loin ton chemin d Ecole g _ Avant d affronter d importantes Un questionnaire crit valid mutations entrain es par l entr e par l EIC a t adress pr s de en vigueur des nouvelles Loi 248 dipl m e s des 10 derni res et Ordonnance f d rales sur la vol es Une relance t l phonique a formation professionnelle la permis finalement de totaliser 100 direction de l EIC a souhait tablir questionnaires rendus 40 un bilan de l ESp Ce travail a t confi Agridea qui a r alis une Enqu te employeurs enqu te aupr s des dipl m e s des Objectifs et d roulement 10 derni res vol es ainsi qu aupr s Quelle est l appr ciation du syst me modulaire depuis 2003 e Quelles sont les motivations qui ont conduit au recrutement d un Ton d part va laisser un grand vide Les vernissages apr s s ances c tait ton grand dada Le quatre d cembre tait un jour qu on ne manquait jamais Ap ros et petits extras tout le monde profitait Que deviendront tous ces moments de convivialit Et encore par dessus le march Les Anciens pour leur voyage comptaient sur toi Qu il est long qu il est beau ton chemin Nicole Ton passage marqu tous ceux de Changins Qu il est long qu il est loin ton chemin d Ecole Ton d part va laisser un grand vide des employeurs Tu tais la conceptrice des plaquettes a grande vitesse
88. ponsable du Syst me d Information du Territoire Neuch telois SITN et charg de cours au laboratoire SIG de l Ecole Polytechnique F d rale de Lausanne LASIG Il est l auteur de nombreuses publications et documents de vulgarisation Depuis la mise en place de la strat gie pour l information g ographique par le Conseil F d ral en 2001 quels sont les d veloppements significatifs r alis s Premi rement l adoption l unanimit par les deux Chambres le 5 octobre 2007 de la loi f d rale sur la g oinformation Lg o confirme la volont strat gique de soutenir les d veloppements dans ces domaines Les enjeux sont normes et peut tre encore sous estim s Deuxi mement l ouverture imminente d un g oportail f d ral offrant un acc s privil gi aux donn es g ographiques de nombreux offices f d raux certains d j accessibles topographie g ologie et topom trie inventaire des voies historiques environ nement et projet e geo ch d infrastructure de donn es g ographique www e geo ch 1 R cente publication Infrastructure SIG dans le canton de Neuch tel http sitn ne ch web diffusion igso Article_1GSO_fevrier2008_v3 pdf 2 http www swisstopo admin ch internet swisstopo fr home docu law html 3 http www swisstopo admin ch internet swisstopo fr home apps html et http prod swisstopogeodata ch kogis_apps erdbeben 4 http ivs gis admin ch index php lang fr 5 http www ecogis admin ch 26 Obj
89. pr sentants Les bouchons vis apportent une neutra lit bienvenue vis vis du go t qui pr serve la d licatesse et le fruit Cette neutralit est due au choix des mat riaux en contact avec le vin Le joint d un bouchon vis est l l ment d terminant pour assurer l tanch it Son paisseur totale varie de 1 8 2 mm selon les fabrications De la qualit du joint d pend la qualit du bouchage Le joint est constitu d une couche souple de mousse synth tique charg e d assu rer une lasticit durable Une couche de polym re recouvre la mousse de mani re garantir l tanch it du joint en contact avec le verre du goulot La grande difficult est de garantir une bonne tanch it emp chant le liquide contenu de s couler vers l ext rieur tout en permettant une l g re diffusion d oxyg ne de mani re ce que le vin ne se r duise pas lors du vieillissement en bouteille Les d fis techniques sont d licats r soudre ll en va toutefois de la qualit de la conservation du vin dans la bouteille pendant les mois ou les ann es qui vont pr c der la consommation La surface de contact du joint d un bouchon vis est 11 7 fois inf rieure celle d un bouchon de li ge L tanch it d une bouteille est assur e par son bouchon et en particulier par la surface de contact du bouchon avec le verre de la bouteille Les bouchons tant vis qu en li ge sont capables de s oppos
90. r AGENDA 51 Objectif N 68 mars2008 5 DU TCA DANS LE VIN VOICI LA SOLUTION D Q t O Simone de Montmollin o 1 7 veloppement durable agriculture de pr cision agro cologie Concepts un peu vagues dont les d finitions varient selon l occasion mais r currents et que l on a pris l habitude d entendre car souvent associ s aux mesures de soutien plus connues sous le nom de compensations cologiques En fait de compensation faudrait il sentendre sur qui doit tre compens de quoi compenser la production pour les efforts consentis pr server l environnement et rester concurrentiel ou compenser l environnement pour les d sagr ments voire d gradations quon lui impose Si la r ponse ne fait aucun doute fut elle en regard de l absurdit apparente de la deuxi me interpr tation la question m rite n anmoins d tre pos e Trop souvent encore les consid rations environnementales sont rel gu es au chapitre des bonnes intentions faute de connaissance d information de possibilit ou de volont Le syst me actuel a le m rite d avoir fait prendre conscience des enjeux mais il apporte son lot de mesures contraignantes et co teuses On pourrait d s lors r ver mieux un syst me par lequel tout impact n gatif sur la Nature et donc sur l Homme pourrait tre mod lis anticip et donc consciemment vit all geant d autant les lourdeurs administratives et financi res R v
91. r es des r gions basses Sans avoir jamais t abondante en Suisse elle tait encore r partie il y a une trentaine d ann es dans plusieurs r gions agricoles B le Jura Schaffhouse Fribourg Saint Gall et Gen ve Elle a pratiquement disparu aujourd hui principalement cause de l intensification des pratiques agricoles 28 Objectif N 68 mars 2008 PORTFOLIO couple de perdrix grises Objectif N 68 mars2008 PORTFOLIO 29 PORTFOLIO D o proviennent les perdrix rel ch es Certaines ont t captur es en Pologne et en France puis rel ch es d autres sont issues d levages francais Comment faites vous pour savoir ce que deviennent ces perdrix apres les l chers La moiti des oiseaux rel ch s a t quip en t l m trie afin de pouvoir suivre les individus Comment cela se passe t il L oiseau est quip d un petit metteur avec une antenne qui ne l entrave dans aucun de ses mouvements bien entendu Chaque oiseau muni d un metteur poss de une longueur d onde qui lui est propre correspondant un num ro ou un nom La personne qui les tudie se rend avec une antenne environ deux fois par semaine dans la r gion des l chers et doit rechercher syst matiquement tous les individus munis d metteurs Il positionne sur une carte leur emplace ment pr cis Il note galement le type de v g tation dans lequel se trouve l oiseau son comportement si l oiseau est vi
92. r les talages Bibliographie e Offices valaisans d arboriculture et de protec tion des plantes Stations f d rales de recherches agronomiques Centre des Foug res 1996 Labricot prince du verger valaisan e Lichou J et al 1998 Abricot Les vari t s mode d emploi CTIEL e Rapillard C Dessimoz A 2001 Essai de vari t s d abricotiers Revue suisse Vitic Arboric Hortic 33 239 242 e Christen D Ladner J Monney P Z rcher M 2006 Choix de vari t s et de porte greffes dans la production d abricots de p ches et de nectarines Commission professionnelle pour l examen des vari t s de fruits e Rapports annuels Interprofession des fruits et l gumes du Valais IFELV Objectif N 68 mars2008 21 Elaboration de vins mousseux Fermentation traditionnelle en bouteilles Avec l aide de votre vin de base nous laborons avec soin des bouteilles qui vous seront remises apr s 9 mois pass s sur lie Contactez moi pour tous renseignements suppl mentaires que vous d sireriez sachant qu une bonne m thode traditionnelle se pr voit avant vendanges X C nologie Xavier Chevallay 17 rte de Cartigny 1236 Cartigny T l 022 756 02 12 Fax 022 756 03 55 FICOGERE FIDUCIAIRE CONSEILS GERANCES S A COMPTABILIT FISCALIT ADMINISTRATION CONSEIL ET GESTION DE SOCI T S Rte d Oron 2 Case postale 167 1010 Lausanne t l 021 651 06 06 e mail lausanne ficogere ch Claude BEDA adm
93. rd la langue puis la gastronomie ou les habitudes de travail sont franchement diff rentes Sans parler des diff rences au niveau des techniques de vinification De plus ici nous avons une certaine rigueur et ardeur au travail ce n est pas le cas partout Une fois un caviste d un pays lointain ma dit Il ne faut pas vouloir tout faire au m me moment Il faut prendre son temps car du travail il y en a toujours mais toi tu nes pas l ternellement autrement dit la vie est courte profites en Donc si tu n arrives pas faire quelque chose un autre s en chargera Pour obtenir les coordonn es des caves isabella_brunner hotmail com Objectif N 68 mars2008 37 ECHO DU VIGNOBLE Le Merlot une grande chance pour le Tessin Andrea Arnaboldi ing HES en oenologie Chiodi Vini TI andrea chiodi ch En 1986 une d couverte arch ologique a r v l que le canton du Tessin a une vocation viticole depuis fort longtemps Dans le petit pays d Arcegno lors de la fouille d une tombe romaine rien moins que des p pins de raisin ont t retrouv s parmi les divers l ments de Pattirail fun raire 38 Objectif N 68 mars 2008 La culture de la vigne tessinoise a atteint son point culminant partir de la fin du XIX si cle lorsque l effi cacit de la greffe vitis vinifera sur porte greffe am ricain s imposa Mendrisio les premi res exp rimen tations de plantation de ceps de Mer
94. re vendange dans l h misph re sud La premi re semaine je lai pass e encaver 8 MI de blancs haut de gamme principalement du Chardonnay et du Sauvignon blanc La cave paraissait d su te les cuves taient vieilles et prot g es par un toit ajour sens les prot ger du soleil Malgr tout le travail tait coh rent et l ambiance agr able Avec un autre expatri nous nous sommes occup s des additions acide tartrique chips etc et du levurage La pr paration des levures tait quelque peu compliqu e il fallait entrer dans la douche des hommes la douche des femmes n existait pas puis chaque utilisation mettre en marche un chauffe eau gaz peu performant Ensuite j ai t transf r e au principal lieu de production de l entreprise dans la vall e centrale au c ur de la vitivi niculture chilienne Le premier regard de l ext rieur tait presque choquant une vieille b tisse d une quarantaine d ann e quip e d normes et encombrantes cuves en b ton toutes en hauteur Image 3 Lint rieur un labyrinthe sombre et sale dans lequel je me suis souvent perdue la premi re semaine Sans parler du mat riel Il a fallu attendre trois semaines pour que les cavistes shabituent mon fonctionnement C tait la premi re fois qu ils travaillaient avec un nologue tranger une femme qui plus est Les plus gros jours on encavait 300 tonnes gr ce une r ception fla
95. rot ge et revitalise n cessairement son milieu naturel une campagne l agricul ture plus extensive et on favorise ainsi d autres esp ces animales et v g tales sensibles li es cet environnement Bibliographie GRANDS CHASSIERS GALLINAC S R LES D EUROPE Paul G roudet d Delachaux et Niestl 1978 ATLAS DES OISEAUX NICHEURS DE SUISSE EN 1993 1996 station ornithologique suisse de Sempach 1998 Pour en savoir plus www geneve ch nature PORTRAIT La Perdrix grise est un gallinac famille des poules au corps replet et la petite t te ronde d environ 30 cm Les couleurs mim tiques et ternes de son plumage la prot gent des pr dateurs Un examen minutieux r v le cependant de tr s subtiles nuances le corps est d licatement chin de gris et le dos brun macul de taches noire et finement stri de plumes blanch tres La face est orang e et des taches rousses lui strient les flancs Elle arbore une tache brune en forme de fer cheval sur le ventre plus importante chez le m le Terrestre et discr te la perdrix vit en compagnies durant l hiver et en couple au printemps lors des nich es Elle se faufile le long des champs et des haies et ne s envole qu en dernier recours si elle est d rang e elle part comme un boulet de canon pour se reposer un peu plus loin l abri LES PERDRIX EN SUISSE Il existe deux esp ces de perdrix en Suisse la perdrix grise campagnarde
96. rticuli re une gamme r cente de produits les remplisseuses de bags in box et leurs p riph riques filtres tiqueteuses plieuses scotcheuses etc L o nologie mais aussi tout l agroalimentaire est concern par ces produits jus et pur es de fruits coulis confitures eaux vinaigres pour ne citer que ceux ci www elvamac ch Bonnes pratiques en marketing du vin Ecrit par deux sp cialistes du marketing du vin Pierre Mora et Yohan Castaing ce livre apporte la preuve que le marketing n est pas l pour d naturer le go t ou l identit du vin mais bien pour mettre en avant ses caract ristiques Face a un consommateur souvent versatile une surproduction mondiale et a une concurrence venue du bout du monde la fili re vitivinicole parait s installer dans une crise durable Les auteurs sont all s la rencontre d innovateurs talentueux qui tentent de s adapter cette nouvelle donne en d veloppant des actions de marketing strat giques sans pour autant perdre leur authenticit Vingt cas pratiques tr s vari s sont pr sent s pour montrer que chacun peut s approprier une d marche commerciale et les outils indispensables sa mise en uvre Sont propos es plusieurs pistes articul es autour de sept th matiques tre diff rent Bonnes prat ques gt Segmenter son march Se rapprocher du march B tir sa marque Offrir plus de valeur ajout e Communiquer autrement Construire son
97. s disposition les vins de la soir e Sophie Dugerdil St phane Gros Emilienne Hutin Luc Mermoud Jean Pierre Pellegrin ainsi que les vins de la R publique et Canton de Gen ve Cette journ e n aurait pu se r aliser sans l appui et la g n rosit de nos sponsors que nous remercions chaleureusement e Cercle des Agriculteurs canton de Gen ve e Jean Paul Gaud Gen ve e Dreier Oeno Tech Estavayer le Lac Pro Uva Sierre 1 Professeur de g ologie et p dologie PEIC 2Le panneau central du retable de Konrad Witz met en sc ne l pisode religieux de la p che miraculeuse dans les eaux du L man Il fait partie de l exposition permanente du Mus e d Art et d Histoire du canton de Gen ve 3910 14 Objectif N 68 mars2008 43 Ordonnance sur la promotion r gionale de la qualit et de la mise en r seau des surfaces de compensation cologique dans l agriculture OQE CLAIRAGE Abc L occasion nous fut donn e de remercier tr s chaleureusement Mme Judith Auer Appel e reprendre la responsabilit du groupe Communication la Station de recherche Agroscope Changins W denswil ACW Judith Auer a quitt ses fonctions l ElC juste avant les vendanges 2007et a t remplac e par M Hans Ulrich Pfenninger Ch re Judith Voil une page qui se tourne Une belle page crite la faveur d ann es bien remplies au sein de PEIC 20 ans d activit en qualit de Professeur en charge de l enseignem
98. s montre que dans certains cas la surface est brillante comme un miroir alors que dans d autres cas la surface du joint est l g rement irr guli re bossel e comme une peau d orange L observation de la surface du joint sans pression appliqu e n est toutefois pas suffisante pour tirer quelque conclusion que ce soit les irr gularit s pouvant tre nivel es par la pression du joint sur le verre du joint avec le verre et d estimer ainsi son adh rence sur la bague de la bouteille Si la surface est int gralement color e en vert on peut conclure un contact parfait entre le joint et le verre alors que si la surface du joint pr sente MAA Le contact est total sur la figure 4 alors que de nombreuses zones blanches apparaissent sur la figure 5 favorisant le ph nom ne de couleuse Il s agit donc de v rifier ce contact lorsque le joint est sous pression pour s assurer que les irr gularit s disparais sent bien lorsque la pression du bouchage est appliqu e La m thode d observation est emprun t e la m canique de pr cision et consiste d poser une fine couche de couleur sur la surface lisse et d observer apr s rapprochement de l autre surface les points de contact qui apparaissent sous la forme d un transfert de couleur sur la seconde surface des zones non color es en vert savoir des zones blanches dans le cas des joints utilis s on peut conclure un contact imparfait du j
99. s de 6000 viticulteurs dans 136 communes avec environ 3 5 millions de ceps dont 2 5 millions du c page Merlot A partir de 1955 la Station f d rale de recherches agronomiques de Cadenazzo apport sa contribution la parfaite acclimatation du Merlot aux conditions p doclimatiques tessinoises en mettant au point des s lections clonales particuli rement r ussies La finesse du Sopraceneri et la puissance du Sottoceneri Le Tessin est divis en deux sous zones le Sopraceneri etle Sottoceneri Au c ur du canton et culminant 550 m tres d altitude le Monte Ceneri sert de ligne de partage des eaux entre ces deux zones Les r gions viticoles d limit es par districts sont plus nombreuses Bellinzona Blenio Rivera Leventina Locarno et Vallemaggia Sopraceneri Lugano et Mendrisio Sottoceneri Dans plusieurs de ces zones on observe encore un syst me de culture qui tait tr s r pandu au d but du XX si cle tout comme dans une grande partie de Pltalie la tonnelle Elle a perdu de sa popularit au fil des d cennies au profit de formes de culture plus propices la qualit qu la quantit Bien qu une tonnelle cultiv e avec soin est en mesure de donner des r sultats int ressants Aujourd hui elle reste ancr e dans la typicit de certaines vall es en particulier les vall es de Blenio Leventina et Vallemaggia Actuellement la grande majorit des vignes sont cultiv es en rangs et taill es
100. sible ventuellement le nombre d individus etc La dur e de vie de l metteur est d environ six mois p riode durant laquelle on peut obtenir des renseignements pr cieux sur les oiseaux suivis Toutes ces informations seront report es sur une carte qui deviendra un outil de travail tr s pr cieux pour la gestion et la protection de cette esp ce Par exemple On conna t le taux de survie des individus dans les six premiers mois des l chers On conna t aussi les milieux pr f rentiels des oiseaux pour se nourrir se reposer et m me ventuellement pour la nidifi cation Si on d couvre un nid il y a possibilit de le prot ger plus efficacement On sait que les vignes enherb es consti tuent un milieu appr ci des perdrix pour se reposer et se nourrir Quels sont les premiers r sultats Les premiers r sultats sont mitig s En 2006 une trentaine de couples se sont install s pour nicher ce qui prouve que le milieu est favorable cette esp ce mais ce chiffre ne garantit pas la survie g n ti que de l esp ce Fin 2007 il ne restait plus qu une vingtaine d oiseaux connus Il faudra sans doute continuer les l chers et connecter la Champagne d autres zones favorables la r installation de cette esp ce pour garantir son avenir dans la r gion Pourquoi d velopper autant d nergie pour une seule esp ce La perdrix grise est une esp ce cible en t chant de la sauvegarder on p
101. st aux Romains que l ont doit la plus vaste repr sentation g ogra phique permettant de se rep rer dans le monde connu de l poque R alis e par Castorius au Ille si cle et connue hr ne ra 24 Objectif N 68 mars2008 DOSSIER y a pes er i sous le nom de Table de Peutinger tout l Empire Romain y est d crit De l Angleterre l Afrique du nord et de l Atlantique aux Indes routes fleuves montagnes villes sont minutieu sement consign s avec les distances qui les s parent On y trouve aussi des particularit s comme les phares et les monuments ou des symboles indiquant les villes importantes C est l anc tre du syst me cartographique actuel En Suisse c est en 1838 que le G n ral Dufour cr e Carouge l Office f d ral de topographie actuel Swisstopo transf r Berne Il travaillera sur la Carte Dufour qui devient rapidement une r f rence Son travail sera poursuivit par Herman Siegfried devenu responsable de l Office en 1865 Aujourd hui Swisstopo est charg de la mise jour et de l dition des cartes nationales Par l utilisation laquelle elle la carte est destin e elle refl te les finalit s principales d une civilisation baliser les tendues de l oecum ne pour les Grecs tracer les routes des arm es pour les Romains d finir les limites juridiques des propri t s pour les Babyloniens et les Romains s assurer de la concordance entre le paradis terrestre du do
102. t De cet norme potentiel ressort de multiples domaines d appli cation de l analyse des risques la planification recherche formation gestion de l environnement sant s curit transport agriculture L information g ographique est en outre un support au d bat public en rendant accessibles des informations indispensables la prise de d cisions dans notre d mocratie directe Exemple un nouveau plan d am na gement est pr vu L impact sur l espace les individus qui l occupent TR Frick M Keller A Vettori J Meir D Spahni Analyse du march suisse des g odonn es 2002 et leur environnement peut tre visualis et mieux expliqu Ce volet de la Soci t de l Information a un co t estim plusieurs centaines de milliards l chelle mondiale Une tude INFRAS mandat par le COSIG montre que chaque ann e 200 mio CHF sont investis pour assurer l acquisition de nouvelles donn es cadastrales et topographiques Le co t de remplacement des g odonn es atteindrait 5 milliards de francs Autant dire que ce volet repr sente en Suisse un l ment essentiel de l infrastructure nationale au m me titre que les r seaux de distribution de transports et de communication Le chiffre d affaire annuel g n r par l utilisation priv e de g oinformations avoisinerait 200 mio CHF et pourrait selon certains avis tre quadrupl par une lib ralisation totale Il est pr vu que la co
103. t collabor s ce num ro P Baumgart l Brunner St Burgos J P Burdet A Arnaboldi Ph Cossi Ph Dupraz S Fabre S de Montmollin R Pfister A Riedo M Riedo J Rossier B Sordet H berli N Tabur Secr tariat de r daction Brigitte Humbert sensoriels et analytiques Ce dossier fera le point sur les connaissances actuelles 2004 900 Anthocyanes mg l A Gamaret Dessins illustrations Pierre Baumgart 800 Photos voir cr dits photographiques si Photo de couverture S bastien Fabre e Conception graphique r alisation Cabernet Line Roby Troinex i a Impression Papier M ga certifi FSC Satigny Publicit Brigitte Humbert o Merlot 500 brigitte humbert eichangins ch t l 41 22 363 4034 Abonnement et vente au num ro Gamay Bernex 400 Brigitte Humbert m Pinot noir 300 Bernex brigitte humbert eichangins ch t l 41 22 363 4034 Tous droits r serv s 27 8 6 9 16 9 26 9 6 10 16 10 26 10 5 11 a D O A A e M e nN t aussi t l chargeable sur www eichangins ch rubrique Association des dipl m s de Changins Il vous suffit de remplir ce bon et de l envoyer Journal Objectif Secr tariat de l Association des dipl m s de Changins 1260 Nyon Im Je m abonne au Journal Objectif 2 num ros par ann e au prix de CHF 20 Nom Pr O OOOO Soc res NP local OOOO ve OOOO O EE ace e PE 54 O
104. tion stricte qui d limite les zones de production le type de c page les degr s de sucre et le rendement 1 kg par m2 au maximum pour les raisins rouges de premi re cat gorie Les raisins qui ne r unissent pas obtenir la qualification ECHO DU VIGNOBLE Vigneti mendrisiotto Sottoceneri sont utilis s dans la production du Nostrano de Suisse italienne ou des vins de table Le secteur est galement r glement par l Interprofessione del vino ticinese I V T organisme qui regroupe tous les partenaires du secteur vitivi nicole des caves aux n gociants en vin comme des grands producteurs aux petits viticulteurs A partir de 2002 la Federviti association qui regroupe pr s de la moiti des 4000 viticulteurs actuels a lanc un projet d tude pour analyser en d tail les territoires viticoles du Tessin et identifier les terroirs qui font la singularit des vins du canton En effet l un des l ments qui influence v ritablement sur la qualit des raisins et du vin est le terroir d fini ici comme une zone dont les caract ristiques permettent de produire des raisins originaux et typiques diffici lement reproductibles ailleurs Une tude de zonage a donc t lanc e suivant une approche rigoureuse et scientifique non plus uniquement de fa on empirique afin de mieux comprendre o et quoi produire pour optimiser la qualit des vins de la r gion La promotion du vin du Tessin est
105. toute ressemblance avec une personne connue serait fortuite et purement involontaire La danseuse From ndallemagne wanadoo fr To pfister_richard hotmail com Subject re Objectif Date Sat 5 Jan 2008 18 34 56 0100 Bonjour Bonne Ann e et Bonne Sant en 2008 Je vous souhaite de vifs succ s dans vos projets J ai eu du plaisir a d couvrir le nouvel Objectif Il ressemble plus un journal qu un dossier technique comme c tait le cas avant ce qui le rend plus abordable tout public La pr sentation plus color e plus attrayante l oeil donne un aspect moins technique et moins officiel au 1 coup d oeil Le fait de trouver des tableaux dans les articles conf re au journal son c t technique et professionnel L article est plus lisible par des couleurs plus adapt es et il reste de qualit et d int r t pour le professionnel Bref je pense que c est une totale r ussite Bravo Amicalement Nathalie Dallemagne PS je suis toujours la recherche d un travail Au cours de ma lecture de l ditorial du dernier Objectif j ai t agr ablement surprise de d couvrir les nouvelles rubriques de la revue Cest avec satisfaction que j ai ainsi appris que l Histoire allait d sormais avoir droit de cit aux c t s de sciences plus dures A l heure o la comp tition et la performance empoisonnent le monde sportif pilotent la sph re conomique et envahissent notre quotidi
106. tre 2005 et 2007 mais all chant pour les oiseaux Les rendements obtenus sont bas Table 4 Le vignoble entour de haies subit de fr quentes visites des oiseaux attir s d j en juillet par le Solaris Inform s par le bec oreille d autres oiseaux res tent jusqu en octobre malgr la pose de filets En 2006 et 2007 le mildiou a provoqu des pertes de rendement En 2007 le Chasselas a aussi t vic time d une forte coulure tr s h t ro g ne selon les ceps suite un retour de froid pendant la floraison Peu sen sible au mildiou et peu appr ci des oiseaux le c page Johanniter a t le c page le plus productif La vendange a t vinifi e ou trans form e en jus de raisin Le Solaris a t valoris en vin doux d s le mill sime 2005 Une partie de la vendange a t passerill e hors souche l autre partie a t press e congel e cryo extraction Les deux vins ont t ensuite assembl s Conclusion Le vignoble des Rives est un excellent outil utilis pour les travaux pratiques avec les tudiants Il permet aussi d effectuer quel ques exp rimentations dans le cadre des travaux de dipl me Au niveau de l enc pagement le Solaris et le Johanniter ont d montr leur r sis tance au mildiou Par contre le c page L on Millot est un c page peu int ressant cultiver et vinifier ll sera surgreff dans le cadre de travaux pratiques de greffage Bibliogr
107. trois g n rations d nologues comme le pr cisera Xavier Bagnoud Pr sident Simone de Montmollin directrice Les vins rouges de la 18 la 3 g n ration 30 ans d cenologie racont s par des orateurs de renom Bruno Prats offre un t moignage pragmatique et poignant en partageant trois mill simes de Cos d Estournel 1975 la vinifi cation est basique et sans malo la technologie rudimentaire Un vin qui traduit admirablement bien son poque soulignera Jean Claude Vaucher Le 1985 de style moderne suit la p riode du renouveau S lection et tri vendanges beaucoup plus tardives longues mac rations Un vin pur riche et opulent Enfin le 2002 marque l entr e dans le 21 si cle La recherche de Pexcellence pouss e Pextr me s lections intraparcellaires vendanges selon la vigueur des zones rendements tr s faibles Vin d une richesse et longueur exceptionnelle encore jeune mais d j tr s s duisant Jean Marc Amez Droz brosse le portrait d un nologue passionn Andrew Wigan A Barrossa Valley la Syrah est sa passion il la cultive et la choie depuis plus de 20 ans Autre continent autres probl mes Les Syrah d gust es sont issues de raisins dont les diff rentes maturit s ne sont pas faciles faire co ncider sucre acidit ar mes et polyph nols Des vins opulents et longs avec de fines notes d eucalyptus Ren Barbier cl t cette r tros pective et retr
108. uchage li ge il faut imp rati vement laisser la bouteille verticale 3 5 minutes au minimum avant de la coucher pour la mise en carton afin de laisser le temps au li ge de faire son retour lastique de mani re ce que la force maximum soit exerc e par le li ge contre la surface de verre Certains embouteilleurs laissent d ailleurs leurs bouteilles 24 heures debout avant de les coucher ce qui offre les meilleures garanties d tanch it pour le futur Dans le cas du bouchage vis le probl me est compl tement diff rent Le joint est cras par une force verticale de 180 kg 200 kg avant que le m tal soit matric sur le filet de verre de la bouteille par les molettes de filetage de la t te de bouchage Les molettes sont en acier tremp et poli de mani re ne pas ab mer la surface peinte du bouchon Le r glage de ces molettes doit retenir toute l attention de l embouteilleur Les param tres de r glage de la t te de bouchage doivent tre imp rativement respect s sous peine de constater des d fauts ult rieurs d tanch it Il en va de m me pour le r glage des molettes de sertissage de la jupe qui assurent que les ponts d invio labilit se rompent correctement lors de louverture Si le sertissage est mal effectu il arrive que la jupe monte lors du d vissage du bouchon Cela n est pas catastrophi que mais indique que les r glages n ont pas t effectu s consciencieusement
109. une analyse spatiale rigoureuse int grant diff rentes couches permet d accro tre la compr hension de notre environnement en tenant compte des multiples variables qui le composent Exemple croiser la nature d un sol son ll permet d analyser al combiner ces den rubis peur den bimer des aya bss utiles 4 la gestion c est sa fonction d alde la d cision ll permet de tranemettre Ces l ments cesta fonction d information Contexte du syst me d information du territoire SZT O M Riedo exposition la flore spontan e pr sente le type de c page et de climat avec la pr sence de vecteurs infectieux ou de sympt mes phytosanitaires Pour l utilisateur final l Internet permet d obtenir ces requ tes la maison en quelques clics Leur accessi bilit d pendra de la disponibilit des donn es ont elles t acquises et de leur mise disposition par les producteurs de donn es strat gie de diffusion variable selon les cantons Tous les g oportails cantonnaux offrent en plus des donn es topographiques et cadastrales des informations relatives au paysage la nature la faune et la flore etc Par exemple le g oportail fribourgeois mentionne les sites de reproduction des batraciens les lieux o ont t recens s des plantes n ophytes dangereuses pour la sant Ambroisie Heracleum les arbres et haies r pertori es Sur le portail vaudois on trouvera les r serves naturelles d
110. ure s est concr tis avec le n 67 juste sorti presse Les nouvelles rubriques Patrimoine Dossier et Portfolio ont t cr es pour favoriser le transfert d informations aupr s d un public plus large La nomination de Jean Philippe Mayor en tant que membre d Honneur cl t la partie statutaire S il est coutume d accueillir au sein de l Association les anciens directeurs de PEIC il men demeure pas moins que nous sommes particuli rement heureux et fiers de ta nomination dixit Nicolas Ruedin qui poursuit Tes r ussites profes sionnelles militaires associatives ou sportives peuvent tre suivies comme exemples par beaucoup LEIC gardera longtemps en m moire les am liorations qui Pont amen e sa reconnaissance actuelle Puis Nicolas Delabays malherbologue et chercheur Agroscope ACW pr sente les conclusions des inventaires botaniques effectu s entre 2001 et 2005 lors de la conf rence Vigne faune flore et histoire La flore spontan e des vignobles est aujourd hui au carrefour de questions importantes et complexes les nouveaux enjeux de l entretien du sol rosion enherbement l volution des outils de d sherbage herbicides la prise en compte de la biodiversit exigences OQES et le respect du patrimoine viticole sont des pr occu pations actuelles Malgr tout la flore spontan e des vignobles est encore assez mal connue Ces inventaires ont
111. us importante dans le choix vari tal Bergeron et Tardif de Tain se partagent l essentiel des surfaces des vari t s tardives Des techniques culturales appropri es pour relancer certaines vari t s Il est int ressant de souligner que la va ri t Bergeron n est pas proprement parler une nouvelle vari t Elle a t d couverte en France vers 1920 et est actuellement la vari t la plus cultiv e dans ce pays Elle avait t introduite en Suisse il y a quelques d cennies mais sans grand succ s en raison de son alternance en mati re de produc tivit C est gr ce Papplication d une nouvelle pratique culturale que nous avons pu relancer cette vari t E 2000 2006 40 par ordre de maturit 20 Surface R partition relative des surfaces par vari t Comparaison des p riodes 1995 2000 et 2001 2006 R partition des surfaces replant es D claircissage manuel sur jeunes fruits six semaines apr s la floraison permet d am liorer la qualit et de r guler les productions Cette technique a bien videmment t vulgaris e et syst matis e sur toutes les autres vari t s R partition g ographique des surfaces Le renouvellement du Luizet s est op r entre les communes de Vernayaz et Agarn Saxon et Nendaz tant les deux principales communes de l abricot en Valais Fig 5 Ensuite viennent quel ques communes de moyenne impor tance comme Martigny Riddes Salins Sion
112. uverture de la Suisse avec des donn es num riques d une pr cision centim trique 1 500 soit atteinte entre 2015 et 2020 A titre comparatif pour l Afrique les donn es g ographiques connues concernent 1 du territoire avec une pr cision de 1 25 000 Objectif N 68 mars2008 DOSSIER 23 L Homme depuis qu il est devenu une cr ature pensante a essay d apporter des r ponses aux probl mes concernant la g om trie de son environnement donc des questions de g od sie au sens large La forme et la configuration de la Terre au del des conceptions mythiques h rit es des traditions pr historiques ont t tudi es d s les poques historiques les plus anciennes Les peuples de l Ancien Monde ont consid rablement influenc notre conception de la Terre et du Cosmos et ont consign cet h ritage multimil l naire dans les premiers documents crits Les instruments de mesures vont d terminer les avanc es des connaissances L utilisation des astres comme rep res spatiotemporels est pr dominant De tout temps les navigateurs d finissent leur position par des mesures l angles entre l horizon et un astre depuis l arbal te ou b ton de Jacob utilis e au Vle si cle av J C au sextant du 18e si cle Dans l gypte ancienne les arpenteurs oblig s de recommencer leur travail cadastral apr s chaque crue annuelle du Nil acqui rent des connais sances empiriques en g om trie pour pouvoir
113. yrah et Cabernet Sauvignon Image 2 La cave est si grande que les chefs d quipe communiquent par walkie talkie Elle est tr s moderne et pratique d utili sation Le chai barriques compte Etats Unis pressurage des rouges 45 000 f ts de ch ne les transvasages se font soit par gravitation soit par gaz inerte Cette cave fait partie d un groupe d une dizaine d autres qui s tendent travers la Californie 150 personnes sont engag es la cave pendant les vendanges le triple du personnel annuel On y travaille 24 24 avec une quipe de jour et une quipe de nuit La plupart des travailleurs viennent sp cialement du Mexique Seuls quelques uns parlaient un peu anglais les chefs d quipe donnaient donc ordres et explications en espagnol Ensuite 5 minutes taient r serv es du stretching pour diminuer les risques d accident Lors du changement d quipe 6h00 30minutes suffisaient pour organiser le transfert Puis apr s la fin des travaux en cours et des remontages une d gustation journali re des vins en fermentation tait effectu e Les vendanges 2006 ont commenc tard aux Etats Unis la faute un t plus froid que d habitude Les raisins m rissaient en m me temps c est pourquoi nous avons vendang pr s de 1000 tonnes jour et ce pendant un mois M s aventures au Chili Un autre contact m a ouvert les portes du Chili Fin f vrier 2007 me voil donc partie pour une aut

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