Dossier de presse - application/pdf
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1. bases de loisirs sports nautiques et motoris s quads piscines parcours acrobatiques locations de v los centres questres la conformit des quipements de protection individuelle EPI et des mat riels et produits mis en uvre lors de ces activit s sera particuli rement v rifi e CE la protection du consommateur dans l offre de transport touristique a rien maritime transport routier offre de voyage la journ e ou moins forfait Voyage avec transport inclus En compl ment de l action men e sur internet des contr les visant v rifier la bonne information des consommateurs sur les prix et les conditions g n rales de vente seront men s aupr s des diff rents op rateurs En outre cette action s tendra galement aux prestations propos es durant le transport qualit et loyaut du service 3 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 FA BILAN INTERMEDIAIRE DE L OPERATION INTERMINISTERIELLE VACANCES 2012 1 Les contr les r alis s A la date du 24 juillet les agents des DDPP et des DDCSPP relevant de la DGCCRF ont effectu au total pr s de 44 000 actions de contr le dans 11 750 tablissements situ s dans les zones touristiques Ces inspections ont donn lieu notamment 768 proc s verbaux 631 mesures administratives 3 755 rappels de r glementation infractions mineures Si l on consid re les cas graves c est dire ceux donnant lieu des pr2. noter que quelques jours plus tard dans le cadre de son activit Protection animale le service a mis en demeure l exploitant du zoo de cesser ses pratiques non conformes la r glementation relative la protection animale En Auvergne galement un h tel restaurant a fait l objet d une mesure administrative afin de retirer un toboggan pr sentant des asp rit s pouvant s av rer dangereuses et d am liorer les conditions de r ception au sol pour les diff rents jeux implant s sur le site Les cabines de bronzage En Bretagne des tablissements qui proposaient des s ances de bronzage en utilisant des cabines UV non conformes la r glementation ont fait l objet de mesures de police administrative pour mise en conformit En Lorraine un institut d esth tique meusien proposant des prestations de bronzage aux UV fonctionnait avec une cabine non d clar e un rappel de r glementation a t adress son gestionnaire 4 EXEMPLES D ACTIONS PREVENTIVES ET PEDAGOGIQUES Des manifestations sous contr le En Bretagne une pr paration s rieuse op r e en amont permis que les festivals notamment celui des vieilles charrues se d roulent dans des conditions de s curit satisfaisantes les services de l Etat ont t ainsi associ s aux r unions d organisation de cette manifestation par les organisateurs Les installations alimentaires et non alimentaires ont ensuite t contr l es en fin de phase d in
3. du cano kayak organis e par le Parc Naturel R gional des Landes de Gascogne en mai 2012 avec la pr sence de la DDCS Les diverses obligations r glementaires ont t rappel es et pr sent es aux professionnels en notamment les affichages des prix des prestations et la remise de notes l obligation g n rale de s curit avec notamment la n cessit de d livrer les informations sur les risques et les capacit s requises pour la pratique de l activit sur les conditions de d roulement de l activit et les pr cautions prendre la n cessit de fournir des quipements de protection individuelle adapt s aux normes bien entretenus ainsi que l obligation de d tenir un registre de suivi de ces quipements Cette partie sur la s curit a t compl t e par les services de la Jeunesse et des Sports d information sur les obligations hygi ne et s curit contenues dans le code du sport Ce type de r unions organis es avant l arriv e des estivants permet de faire le point avec les professionnels sur les diff rentes r glementations applicables et sur les cons quences en terme de responsabilit du non respect de leurs obligations 12 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 A
4. 2 PV ont t dress s ainsi que 2 mesures de police administrative Le responsable d un stand de r tisserie sur un march de la r gion PACA laissait d congeler temp rature ambiante 8 cartons d une cinquantaine de poulets soit plus de 120 kg de marchandises car sa chambre de stockage dite froide n tait pas branch e Un proc s verbal de contravention a t r dig Une hygi ne douteuse dans des restaurants En Basse Normandie un restaurant renomm annon ant le Label Normandie Qualit Tourisme a fait l objet d une mesure de police administrative et d une enqu te en cours sur les conditions d attribution de ce Label les enqu teurs y ont en effet relev de graves manquements aux r gles d hygi ne dans les cuisines et les quipements et de nombreux manquements d autres r glementations absence de toilettes pour le personnel plans de travail sales assiettes de service sales poste de d sinfection situ dans un local poubelle utilisation de la d nomination soupe maison pour de la soupe de poissons industrielle Un autre restaurant touristique de la m me r gion a r v l d importantes anomalies 3 5 kilos de viandes et pr parations conserv s dans des conditions d plorables ont t d truits le laboratoire de fabrication tait v tuste et inadapt la carte des vins annonce pour 1 4 de l chantillon contr l des mill simes faux Des proc dures sont en cours Un contr l
5. EX r Libert galir Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Dossier de presse Op ration interminist rielle vacances D placement de Benoit HAMON Ministre d l gu charg de l Economie sociale et solidaire et de la Consommation RUNGIS Le 27 juillet 2012 Contacts presse Cabinet de Beno t HAMON Anne Sophie DE FAUCIGNY 01 53 18 41 04 DGCCRF Marie TAILLARD 01 44 97 23 91 PSE De a MINIST RE DE L CONOMIE ET DES FINANCES OPERATION INTERMINISTERIELLE VACANCES SOMMAIRE e Pr sentation g n rale de l op ration Interminist rielle vacances e Bilan interm diaire chiffr e Faits marquants 2012 e D roulement de la visite 4 H 00 Visite du march de Rungis 7 H 00 Petit d jeuner au Restaurant l Etoile 7 H 30 Conf rence de presse 8 H 10 Op ration de contr le 7 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 K PRESENTATION DE L OPERATION INTERMINISTERIELLE VACANCES 2012 gt Un double enjeu de protection des consommateurs et d image du tourisme Les vacances repr sentent un double enjeu enjeu individuel pour le consommateur dans ses attentes l gitimes et enjeu collectif pour l conomie et l emploi du tourisme de notre pays Le plan interminist riel op ration interminist rielle vacances 2012 coordonn par le ministre de l conomie et des finances et le ministre d l gu l conomie sociale et solidaire et la conso
6. Midi Pyr n es proposant des jeux pour enfants sur structures gonflables a t effectu en juillet Les anomalies constat es ont donn et donneront lieu plusieurs suites selon leur gravit 10 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 HE l exploitation de six structures gonflables a t suspendue par arr t pr fectoral pour une dur e de 7 jours pour danger grave et imm diat pour pr sence d installation lectriques la port e des enfants pr sence de cordes n ud coulant pendant hauteur d enfant filet de confinement trou et d chir Un nouveau contr le est pr vu pour v rifier la mise en place des mesures n cessaires la s curisation une proc dure contentieuse est en cours pour non respect des r gles d hygi ne dans le point de restauration des insuffisances importantes ont t relev es concernant la s curit des aires de jeux et les v rifications qui s imposent l exploitant Il lui a t demand de pr senter tous les justificatifs d autocontr les avant la fin du mois Une mesure de police administrative est envisag e les aires des jeux En Auvergne une aire de jeux install e dans un zoo a t contr l e Devant le manque manifeste d entretien des quipements les conditions d exploitation pr sentant un fort risque pour la s curit des usagers et principalement des enfants la fermeture de cet quipement a t prononc par arr t pr fectoral Il est
7. assurer un haut niveau de s curit et de confiance pour le consommateur dans ses achats de produits ou de prestations et tout particuli rement en mati re alimentaire dans la restauration traditionnelle rapide et surtout ambulante dans le secteur des ventes emporter et les commerces saisonniers campings bords de plages manifestations festives les 3 th matiques suivantes de pr vention et de contr le ont t retenues comme priorit s de l op ration en 2012 le contr le des offres touristiques sur internet notamment celles bas prix face au recours de plus en plus pr dominant internet de la part des consommateurs pour effectuer leurs choix en mati re touristique la surveillance des sites de prestataires r gionaux ou nationaux de voyages ou de transport a rien notamment doit tre particuli rement 2 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 a renforc e pour veiller au respect des engagements annonc s ainsi les contr les et points de vigilance porteront notamment sur la r alit des offres de r duction de prix s jours de derni re minute sur la pratique du pr cochage qui impose abusivement une assurance superflue ou sur les offres de voyage tr s attractives mais indisponibles le contr le des activit s de loisirs sportifs en particulier quipements et prestations propos es les contr les seront intensifi s pour veiller l information du consommateur et sa s curit
8. aux infractionnel Dans la restauration classique le pourcentage d tablissements faisant l objet de PV est ainsi de 8 2 contre 7 2 en 2011 Dans la restauration rapide le taux d tablissements faisant l objet de PV est de 6 7 contre 4 7 en 2011 Dans ces tablissements les infractions g n ralement constat es concernent les all gations valorisantes utilis es abusivement par les restaurateurs l absence de remise de note l absence d indication de l origine de la viande bovine servie les d fauts d affichage des prix la d tention de denr es comportant une date limite de consommation d pass e La distribution 2 502 contr les ont t effectu s sur les march s aupr s de 2 364 commer ants non s dentaires donnant lieu 730 rappels de r glementation 82 proc s verbaux et 11 mesures administratives Les infractions le plus souvent constat es concernent par ordre d importance l information sur les prix et les conditions de vente l tiquetage des denr es la tromperie et la publicit de nature induire en erreur et l hygi ne et les r gles de temp rature de conservation S agissant des moyennes et grandes surfaces 983 contr les ont t effectu s dans 911 tablissements et ont donn lieu 270 rappels de r glementation 27 mesures administratives et 60 proc s verbaux Les infractions relev es sont de m me nature que sur les march s mais les anomalies relatives l hygi ne au non respect des
9. e dans un restaurant en Alsace poss dant un atelier de fabrication de p tisseries a mis en vidence de mauvaises conditions d hygi ne La fabrication de p tisseries se r alisait en m me temps que des travaux et des produits non alimentaires taient stock s pr s des denr es alimentaires perceuse sur des ufs tube de produit pour joints sur des p tisseries colle n opr ne sur du sucre c bles lectriques coup s proximit des p tisseries sans oublier la poussi re les gravats Ces constatations ont donn lieu un arr t pr fectoral de fermeture jusqu la remise en tat des locaux et des quipements dans des grandes surfaces Un hypermarch situ en Bourgogne d tenait lors d un contr le des produits alimentaires des temp ratures sup rieures celles autoris es Le repr sentant de la direction du magasin a proc d au retrait des denr es Un proc s verbal pour d faut de temp rature et pour absence d affichage de prix de vente a t r dig En r gion PACA un contr le d un hypermarch a conduit la prise d un arr t de fermeture du rayon fromages plats cuisin s et charcuterie la coupe et en libre service de ce magasin en raison des manquements graves et r p t s aux r gles d hygi ne et de la v tust des quipements et meubles r frig r s qui ne permettaient plus la conservation des 7 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 E denr es aux temp ratures
10. efa on Lors d une op ration en mer dans la r gion PACA il est apparu qu une association type Loi 1901 assurait r guli rement des prestations de plong e en mer des non adh rents alors que cette activit commerciale ne figurait aucunement dans ses statuts Un PV de contravention pour pratique de para commercialisme est en cours de r daction A l occasion des contr les sur un march les enqu teurs ont d couvert sur un tal des produits contrefaisant les marques Chanel et Vuitton sacs lunettes foulards et porte monnaie Les produits ont t saisis et une proc dure judiciaire est en cours Sur un signalement de l Office Central de Lutte contre la Criminalit li e aux Technologies de l Information et de la Communication OCLCTIC le contr le d un commer ant auto entrepreneur de la r gion Provence Alpes C te d Azur op rant sur internet a conduit la saisie de 789 articles contrefaisants originaires de Chine Les bijoux de fantaisie et les porte cl s en acier incrimin s arboraient tous une marque d pos e de notori t certaine soit au Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 A total 22 identifiants diff rents Ce constat a donn lieu l tablissement de proc s verbaux de d lit pour contrefa ons pratique commerciale trompeuse et d faut de facturation 3 SECURITE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS DE SERVICE Les activit s sportives En Bourgogne la fermeture d un prestataire de sp
11. es qui tait de nature induire en erreur sur la provenance des produits presque locaux Dans le Limousin un hypermarch avait organis une op ration de communication sur le th me de la marque Produit en Limousin Le contr le a permis de constater la pr sence de produits provenant en fait d autres r gions de production et ne b n ficiant pas de la marque produit en Limousin Une injonction administrative de cessation de ces ventes a t imm diatement adress e au professionnel des produits francis s Des investigations men es en r gion PACA chez un grossiste en fruits et l gumes ont montr la francisation de c leri en branches originaire d Espagne au total 50 factures de vente taient concern es ce qui repr sentait un poids total de plus de 210 tonnes Au regard des cours ou mercuriales du c leri fran ais et du prix d achat aupr s du fournisseur espagnol la marge ainsi d gag e abusivement s tablit environ 0 25 kg soit un avantage de 250 par tonne aboutissant un gain illicite de 52 500 euros Un proc s verbal de d lit pour tromperie sur l origine a t dress 2 __ PRODUITS _ NON ALIMENTAIRES __ET__ SERVICES _LOYAUTE ET INFORMATION DU CONSOMMATEUR Affichage et tiquetage Une op ration de contr le renforc e a eu lieu sur un march alsacien o certains commer ants non s dentaires ne respectaient pas la r glementation d affichage obligatoire de
12. l ancr es sur la partie Plage de sable et sur la proximit de barri res pouvant s av rer dangereuses en cas de chute au niveau de la zone parcours acrobatiques Une remise en conformit est en cours Sur une aire d autoroute une structure gonflable de jeu pour les enfants pr sentait l arri re de la structure au niveau du sol une accessibilit au moteur et des installations lectriques Il a t demand des travaux de protection de ce mat riel et un courrier a t adress au si ge de la soci t d autoroute concern e visant l inviter v rifier si cette situation ne se retrouvait pas sur d autres aires disposant de la m me structure et prendre les mesures de remise en s curit appropri es Un contr le conjoint a t r alis avec la gendarmerie l inspection du travail et l URSSAF aupr s d un exploitant de structures de jeux gonflables install es en Bourgogne La DGCCRE a v rifi l application des dispositions relatives l obligation g n rale de s curit des structures ainsi que leurs conditions d utilisation par les enfants Une Mesure de Police Administrative a t prise son encontre pour lui demander le marquage de s curit et des certificats de conformit de chacune des structures ainsi que des notices sur le mat riel r dig es en langue fran aise le fabricant doit les lui transmettre r dig es en langue fran aise Le contr le complet d un parc animalier de loisirs en
13. mmation a vocation y r pondre gt qui justifie un dispositif interminist riel mobilisant de nombreux services Ce dispositif est d ploy sous l autorit des pr fets de r gion avec l appui des Directions R gionales des Entreprises de la Concurrence de la Consommation du Travail et de l Emploi Direccte et mobilise de nombreux services sur le terrain sous l autorit des pr fets de d partements les services relevant de la DGCCREF de la Direction g n rale de l Alimentation et de la Direction des Sports au sein des Directions D partementales Interdirectionnelles DDI les DDPP ou les DDCSPP les Douanes les affaires maritimes la gendarmerie la police gt avec des moyens d action diversifi s fond s sur l information Des supports complets sont mis au service des consommateurs pour les informer sur leurs droits les pr cautions prendre les secteurs risque et notamment un dossier guide vacances 2012 qui r alis par la DGCCRF et mis en ligne sur le site www dgccrf bercy gouv fr d livre des conseils pratiques un centre d appel g n ral Allo Service Public avec un num ro d appel unique le 39 39 qui permet aux consommateurs comme aux professionnels d obtenir des informations en particulier dans leurs d marches en cas d ventuels litiges gt etle contr le cibl sur trois priorit s cet t Au del d un socle traditionnel d actions qui vise
14. oc s verbaux on observe que le taux de suites p nales nombre d intentions de proc s verbaux sur nombre total de contr les s l ve pour le moment 1 8 contre 1 9 en 2011 soit une situation plut t stable 2 Des priorit s de pr vention et de contr le en 2012 La vigilance des services s est notamment exerc e sur les 3 domaines prioritaires suivants 2 1 Le contr le des offres touristiques sur internet notamment celles bas prix Le recours de plus en plus important des consommateurs internet pour effectuer leurs choix en mati re touristique n cessite une surveillance renforc e des sites d importance nationale ou locale de pr sentation d offres commerciales pour veiller au respect des engagements annonc s Au total 727 contr les men s sur 319 sites ont donn lieu 37 rappels de r glementation 3 mesures administratives 12 injonctions de proc der des mesures correctives et 8 proc s verbaux On note plut t une tendance g n rale l am lioration en particulier pour les disponibilit s des s jours ou voyages mais de nouvelles pratiques sont souligner comme pour les agences de voyages une assurance coch e par d faut en faisant r f rence un article du code du tourisme qui n impose en aucun cas de proposer une assurance contrairement ce qui est annonc pour les organisateurs divers de voyages et de prestations touristiques des frais de dossier et de derni res minutes qui ap
15. ort de rafting a t prononc e pour les faits suivants d faut de suivi des mat riels des conditions de stockage n gligence de l entretien et d hygi ne des mat riels absence de d sinfection de r vision des mat riels etc manquement l obligation de qualification des ducateurs sportifs l obligation de d claration d activit ainsi qu aux garanties d hygi ne et de s curit des pratiquants manquement l obligation d assurance de l exploitant A la suite de l intervention r alis e avec la gendarmerie dans une base nautique de la r gion Midi Pyr n es de nombreux manquements ont t constat s concernant la fois la qualification de l encadrement et l obligation g n rale de s curit Une mise en demeure de rem dier ces manquements a t effectu e aupr s du responsable de la structure Mais aussi de loisirs les structures gonflables A la suite d un article dans la presse quotidienne sur l installation du toboggan gonflable le plus haut du monde gt 11 m tres une visite de l installation dans un parc en Auvergne a t effectu e il s agissait de la mise disposition gratuite de zone de jeux toboggan mini parcours acrobatique en hauteur piste de rollers piscine etc Si concernant le toboggan les prescriptions pr vues par le fournisseur ont paru tre respect es des anomalies ont t signal es concernant notamment l installation provisoire de cages de Hand ball ma
16. paraissent seulement en cours de demande de devis Pour des croisi res des frais obligatoires pr lev s en fin de s jour qui sont signal s en bas de page en petits caract res 4 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 A 2 2 Le contr le des activit s de loisirs sportifs en particulier quipements et prestations Ces activit s n cessitent des contr les renforc s pour veiller la bonne information du consommateur et surtout sa s curit Au total 1503 contr les portant uniquement sur la s curit ont t men s dans 1218 tablissements ils ont donn lieu 152 rappels de r glementation et 9 PV En dehors du contr le g n ral et classique des activit s dans les clubs bases de loisirs sports nautiques ou motoris s centres de voiles de cano s kayaks hippiques etc pendant la p riode estivale l accent a t mis sur les activit s et produits de loisirs sportifs qui ont merg ces derni res ann es quads parcours acrobatiques en hauteur saut l lastique surfbikes bicyclette nautique ainsi que sur les domaines visant la s curit de la vie quotidienne comme la s curit des lunettes solaires ou encore la s curit des aires collectives de jeux 396 sites d j visit s D une mani re g n rale ces aires de jeux sont bien entretenues un effort reste parfois faire sur la tenue des registres d entretien Outre la s curit les contr les ont port galemen
17. r glementaires Cette visite faisait suite deux mises en demeure adress es fin mars et fin mai au directeur de l tablissement et non suivies d effet Ce rayon ne pourra r ouvrir qu apr s r alisation des mesures correctives demand es Sur la route Des v rifications la sortie d un magasin cash and carry ont t op r es en r gion PACA sur 10 v hicules contr l s aucun acheteur professionnel restaurateur traiteur ne respectait correctement les r gles applicables la cha ne du froid Pour les 6 constats les plus r v lateurs des proc s verbaux de contravention ont t tablis alors que les autres responsables ont t destinataires de rappels la r glementation Des tromperies du consommateur Utilisation abusive du terme boulangerie En Bourgogne un proc s verbal t dress l encontre d un op rateur important comptant une quinzaine d tablissements et plus de 120 salari s qui utilisait ill galement l enseigne boulangerie dans ses points de vente et mettait en vente des p tisseries des temp ratures non conformes 15 C 21 8 C d ficit en poids annonc En Bourgogne un proc s verbal a t dress l encontre d un producteur fermier qui commercialisait des charcuteries fermi res avec un d ficit de poids net de 5 55 g par unit de vente sur pr s de 80 des produits expos s et avait une pr sentation de saucissons et de fruits et l gum
18. r gles de temp rature et aux DLC d pass es sont les plus nombreuses Tous secteurs confondus 38 anomalies ont t constat es sur le tarage des balances 3 2 l h bergement L exploitation de terrain de campings La situation y est globalement satisfaisante et le taux d infractions majeures PV dans ce secteur est quasi stable sur 351 tablissements visit s 5 d entre eux se sont vus notifier un PV soit 1 4 des tablissements visit s contre 2 8 en 2011 Les anomalies relev es concernent toujours essentiellement l information du consommateur ainsi que quelques probl mes sur les quipements de loisirs H bergement touristique A compter du 23 juillet la nouvelle classification des h tels s applique Les enqu teurs rappellent lors des visites le cadre des dispositions transitoires qui ne sont pas encore bien comprises par certains professionnels du secteur notamment celles permettant de continuer d utiliser son ancienne plaque sous r serve qu une demande de nouvelle classification ait t faite pr alablement aupr s d Atout France Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 A FAITS MARQUANTS ET ACTIONS PREVENTIVES OU PEDAGOGIQUES 1 DENREES ALIMENTAIRES HYGIENE QUALITE SECURITE ET INFORMATION DU CONSOMMATEUR Des produits temp rature ambiante En Bretagne deux marchands ambulants de vente emporter pr sentaient des plats cuisin s sans aucun autocontr le de temp ratures
19. s prix sur les 37 tablissements contr l s 10 PV ont t dress s 9 PV de publicit des prix et 1 PV sur la non conformit d tiquetage de produits cosm tiques Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 A Des tromperies du consommateur Sur les march s Sur le march de plein air de la r gion PACA divers objets en bois d olivier taient pr sent s comme tant fabriqu s en Provence A l arri re du stand une banderole mentionnait Artisans de Provence cette indication valorisante tant galement reprise sur les tiquettes de chaque article Or lesdits objets provenaient de Tunisie 90 et d Italie pour le reste Un PV a t r dig pour d lit de pratique commerciale trompeuse Sur un march de la r gion PACA un bonimenteur annon ait qu il fabriquait lui m me une cire destin e nettoyer la carrosserie de v hicules En r alit il constituait le 37 interm diaire pour un produit acquis 2 00 TTC le litre et revendu au final 22 00 Un PV de pratique commerciale trompeuse a t r dig Sur internet Le site d une compagnie a rienne sugg rait fortement de ne pas passer c t de l assurance qu il proposait et annon ait des conditions d assurance trompeuses proposait l assurance annulation avec la mention en cas d impr vu faites vous int gralement rembourser alors que les garanties de l assurance annulation pr cisaient qu en cas d annula
20. stallation et en pleine activit pendant les 4 jours d animation Enfin un courrier sera adress au Maire et l Association des Vieilles Charrues pour faire part des observations du service et plus particuli rement sur l insuffisance des points d eau pour les commerces ambulants 11 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 a De nombreuses interventions p dagogiques dans les centres de vacances Qui donnent l occasion de pr senter la presse les contr les effectu s et de rappeler les r glementations en mati re de s curit des pratiques de loisirs mais galement de la s curit des couchages en hauteur et articles de literie sur les bases de loisirs En pr sence le plus souvent des Pr fets et autorit s locales et apr s une pr sentation globale de l OIV la presse des contr les sont effectu s dans diff rents domaines s curit alimentaire restauration s curit des prestations de services aires de jeux toboggan aquatique paint ball parcours acrobatique en hauteur p dalos cano kayak loyaut des transactions et information du consommateur publicit des prix et conditions de vente qualit de l eau et surveillance de la zone de baignade C est l occasion de rappeler les obligations sp cifiques incombant aux professionnels vers les professionnels A titre d exemple dans la r gion Aquitaine la DGCCRF a particip une r union d information des professionnels
21. t sur l information g n rale du consommateur sur les prix et les conditions de vente les pratiques commerciales trompeuses et les d fauts d emploi de la langue fran aise mode d emploi garantie Au total on notera que le nombre d infractions graves est assez faible les risques encourus en cas de d faillance ou de n gligence incitent d ailleurs la majorit des professionnels collaborer pleinement avec les services de l Etat 2 3 La protection du consommateur dans l offre de transport touristique En compl ment de la surveillance des sites sur Internet des enqu tes exhaustives visent actuellement v rifier la bonne information des consommateurs sur les prix et les conditions g n rales de vente pratiqu es par les diff rents op rateurs qu il s agisse de la prestation de transport stricto sensu ou des services annexes s y rapportant ainsi que sur l information d livr e par ces op rateurs ou les interm diaires les agences de voyage notamment sur ces m mes prix et conditions Au 23 juillet 125 contr les ont d j t effectu s aupr s de grands op rateurs SNCF Air France Easyjet Air Austral donnant lieu 5 rappels de r glementation et 1 proc s verbal 3 Les volutions selon les types de commerce ou d tablissement 3 1 La remise directe de produits alimentaires GMS restauration commerces de bouche Si on n observe pas de d rives particuli res dans ce secteur les manquemen
22. tion pour v nement ou pour accident une franchise absolue par personne et par sinistre de 25 ou 30 reste la charge du souscripteur Le site a t mis en demeure de modifier cette annonce Lors de v rifications sur un site d offres de voyages et portant principalement sur les accroches publicitaires telles que derni res minutes ou encore en promotion dernier d part Les anomalies et infractions constat es concernaient des indisponibilit s des offres propos es des prix diff rents apr s commande de ceux mentionn s sur cran ou encore des destinations propos es mais sans aucune offre r elle en face Faux et escroquerie En Haute Garonne le service a re u une plainte d un consommateur l encontre d une agence de voyages pour double pr l vement concernant lachat d un billet d avion et pour d faut de remboursement d un autre voyage Il s est av r que cette agence n tait pas immatricul e ne disposait pas de l agr ment obligatoire ni de la garantie financi re De plus elle ne respectait pas la r glementation en mati re de cr dit Lors du contr le l agence en cause il a t observ la pr sence de tr s nombreux consommateurs m contents apr s lachat de billets lectroniques qui se sont av r s tre faux Une enqu te est actuellement r alis e par la police sur ce point L activit de l tablissement a t provisoirement suspendue Du paracommercialisme et de la contr
23. ts les plus couramment observ s sont r currents et concernent en particulier Le non respect des r gles g n rales d hygi ne des locaux et des denr es il est particuli rement accentu dans la restauration rapide et la vente emporter o des professionnels saisonniers ignorent parfois les r gles d hygi ne de base tandis que d autres pour acheter au prix le plus bas s approvisionnent aupr s de circuits non autoris s Les temp ratures de conservation excessives les mat riels de froid r serves meubles de vente sont souvent surcharg s au del de la limite fix e par le constructeur les syst mes de refroidissement sont insuffisamment nettoy s et l absence de surveillance et d autocontr le des temp ratures des meubles de froid qui ne permet pas de corriger ces anomalies 5 Bilan interm diaire de l OIV 2012 27 juillet 2012 EX L absence d autocontr le et de tra abilit des produits les tiquettes d identification des produits vendus la coupe ne font pas l objet d une conservation syst matique les fabrications en GMS et en boucheries ne font pas syst matiquement l objet d une tra abilit L absence de formation de base l hygi ne des acteurs de la remise directe professionnels comme salari s temporaires en particulier en restauration et la distribution La restauration est un secteur toujours sensible l t On y observe pour le moment une remont e du t
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