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Le rapport d`activité 2007 de - Observatoire des gaspillages

1. Produits sur op rations de gestion 11 570 851 Sidaction Communaut s 75 340 35 000 28 167 82 173 Paris Sida Sud 399 495 451 708 399 495 451 708 Charges exceptionnelles 21 324 783 SAS Charges sur op rations de gestion 21 324 Ethique 25 000 15 000 15 000 10 000 15 000 Bourses de recherche 856 136 886 555 315 497 698 812 301 793 1 057 583 Reprise sur fonds d di s 18 010 902 16 035 062 Subventions de recherche 1 392 039 2 235 064 58 726 1 604 181 14 953 1 949 244 Affectation aux fonds d di s 18 304 924 18 739 693 Les soutiens financiers en faveur des programmes dans les pays en d veloppement sont affect s pour moiti au fonds recherche et pour moiti au fonds aide aux malades Les comptes de Sidaction 2007 Informations relatives au compte de r sultat Ventilation des produits d exploitation Les op rations de ventes de marchandises se composent des abonnements aux publications Transversal Ensemble pour 14 102 du produit des ventes de l album 10 ans ensemble initi par M Pascal Obispo pour 5 666 et de l album Chung Argerich pour 12 380 du produit des ventes de la boutique Internet pour 15 842 Les subventions d exploitation se composent principalement dela subvention du minist re des Affaires Etrang res 484 220 de la Mairie de Paris 400 000 de l ANRS 60 142 d AREVA 30 000 de l UN
2. 4 a b n fici d un contrat de travail dans le cadre d un partenariat avec l Institut Pasteur qui a pris sa charge le surco t li la transformation des lib ralit s en salaires Les titres des programmes sont disponibles sur le site www sidaction org O La pr vention et l aide aux malades En 2007 Sidaction soutenu une centaine de projets avec un budget de 3 7 millions d euros Bastien No l pr sident du Comit associatif sida France Le nouveau d fi est la place des per sonnes s ropositives dans la soci t Quel bilan associatif 2007 faites vous de la lutte contre le sida Les s ropositifs vivent mieux avec le VIH gr ce aux frith rapies mais leurs conditions de vie se d t riorent On a observ une paup risation des personnes accueillies dans les associations et dans certaines r gions notam ment les d partements fran ais d Am rique DFA la situation est pr occupante L augmentation du co t de la vie touche de plein fouet les personnes s ropo sitives d pendant des minima sociaux du rembour sement 100 remis en question par les franchises m dicales ou de mutuelles toujours plus on reuses Cela co te de plus en plus cher d tre s ropositif D autres probl mes perdurent comme les discrimina tions beaucoup pr f rent alors taire le plus souvent leur statut s rologique Est ce dire qu on vit dans soci t o ne peut ex
3. NOVA Rh ne Alpes Associations soutenues dans le cadre de l Appel FRISSE TOONE Projets Mission Emploi R SONANCE Bretagne Associations soutenues dans le cadre de l Appel R SEAU VILLE H PITAL 45 Centre Projets DFA Nom Association implantation de l action SOS INSERTION ALTERNATIVE ENVOL EMERGENCE 75 CIRQUE ET PARTAGES Ile de France lle de France lle de France MFPF CONF D RATION Guadeloupe LA MAIN FINE Ile de France ASSOCIATION R SEAU VILLE HOPITAL EE COMITE GUADELOUPEEN D EDUCATION Guadeloupe LIRE LA VILLE PACA POUR LA SANTE COGES OREA MAISON DE L EMPLOI Rh ne Alpes FORCES Guadeloupe AGOUTI Guadeloupe ENTRAIDE GWADLOUP Guadeloupe Guadeloupe CHRETIENS ET SIDA Guyane Martinique M DECINS DU MONDE Guyane CFAES ARBRE FROMAGER Guyane UNION DE LA COMMUNAUT HA TIENNE NTE DE GUYANE Y R SEAU MATOUTOU Guyane ASSOCIATION DE SOUTIEN AUX FAMILLES Suvane DES MALADES ET DE FORMATIONS ENTR AIDES GUYANE Guyane A D S S U K ASSOCIATION POUR LE D VELOPPEMENT Guyane SOCIAL ET DE LA SOLIDARIT URBAINE DE KOUROU R partition des financements par Appels d Offres Partenaires 2 178 207 53 projets Appel d Offres 777 389 55 projets Aides exceptionelles 89 560 7 projets DFA 294 300 14 projets Mission Carc ral 211 386 12 projets Mission Emploi 164 409 9 projets Pour la vie le programme de pr vention jeunes de Sidaction Face au consta
4. Ces exp riences pilotes en mati re d emploi devraient trouver leur rythme de croisi re et se d velopper en 2008 Vivre mergence rime avec chance Comment inclure le VIH dans son CV L association Vivre mergence sp cialiste de la formation et de l accompagnement l emploi des travailleurs handi cap s a fait le choix de nommer r f rent pour faire profiter de son exp rience les personnes s ropositives Financ par la mission Emploi de Sidaction en 2007 il re oit 4 demi journ es par semaine des personnes en provenance d associations de lutte contre le sida pr f rant passer le relais des professionnels Ensemble ls peuvent laborer un parcours de retour l emploi formation stage centre de r ducation professionnelle avant une recherche d emploi classique La personne s ropositive se pr sente ensuite son employeur avec une probl matique g n rale de handicap Cela lui permet de faire entendre ses contraintes m dicales diarrh es fatigabilit prise de m dicaments etc aux recruteurs sans r v ler son statut s rologique En effet les employeurs semblent plus enclins faire des efforts depuis que les sanctions de l Agefiph sont mieux appli qu es l encontre de ceux qui ne respectent pas le quota de 6 de travailleurs handicap s par entreprise Les candidats mettent d abord en avant leurs comp tences ef signalent ensuite leurs restrictions fonction nelles En change l e
5. Alexandra SACERDOTI Responsable juridique charg e de mission jeunes chercheurs Annick FLAMMANG Comptable Milko PARIS Responsable des moyens g n raux Charlotte PARADIS Responsable contr le de gestion comptabilit et paye Bruce MAC ARTHUR Charg d accueil Esteban Viget Charg d accueil Assistant comptable Lamia BELAIB Agent d entretien Soraya BELAIB Rempla ante agent d entretien Service des programmes scientifiques et m dicaux Paola DE CARLI Directrice des programmes scientifiques Nadia ABID Responsable des financements scientifiques Sandrine PERRIN Charg e des valuations amp attach e la com munication scientifique V ronica NOSEDA Mission Sciences Sociales Sophie LHUILLIER Charg e de communication scientifique B n dicte FLAGEUL Mission Qualit de vie et qualit des soins Emmanuelle PESME Assistante administrative Service des programmes associatifs Alix BERANGER Directrice des programmes associatifs Vincent DOURIS Mission Sciences Sociales Corinne LE HUITOUZE Responsable du d veloppement Nathalie PIERRET Mission Emploi Luis RAMIREZ Mission Emploi Anne KITTLER Analyste de projets Aurore DUMONT Analyste de projets Marie CUILLIER Mission COREVIH Fabrice PILORGE Mission COREVIH 31 Fr d ric CRONARD Mission DFA Melaine CERVERA Mission Emploi Jennifer COUBARD
6. Dr H l n CONJEAUD Equipe des T traspanines et Dynamiques Membranaires INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Pr Jean Luc DARLIX Laboratoire de Virologie Humaine INSERM 0758 LYON Dr Jacqueline DELOUMEAUX TYNDAL D partement d Information M dicale de Sant CHU de Pointe Pitre POINTE A PITRE Dr Xavier DUVAL D partement d Epid mio logie Biostatistiques et de Recherche Clinique et Centre d investigation Clinique INSERM 0357 PARIS Dr J r me ESTAQUIER Unit de Recherche et Expertise Physiopathologie des Infections Lentivirales CNRS URA 1930 PARIS Florian FORSTER Organisation Internationale pour les Migrations PARIS Dr Vincent FRANCOIS Institut de G n tique Humaine CNRS UPR 1142 MONTPELLIER Dr Sylvie FRIANT Laboratoire de Cytosquelette d actine et trafic intracellulaire CNRS FRE 2375 STRASBOURG Isabelle FUNCK BRENTANO Unit d Immuno logie H matologie P diatrique H pital Necker Enfants Malades PARIS Pr Pierre Marie GIRARD Service des Maladies Infectieuses et Tropicales H pital Saint Antoine PARIS Dr Jo l GOZLAN Laboratoire de Physiologie et Physiopathologie CNRS UMR 7079 PARIS Pr Pascal HINTERMEYER Dr Marc EGROT Laboratoire des Cultures et Soci t s en Europe CNRS UMR 7043 STRASBOURG Pr Alain HOVNANIAN Laboratoire de G n tique des Maladies Cutan es INSERM U563 TOULOUSE Dr Denis HUDRISIER Institut de Pharmacologie et de Biologie Structurale CNRS UMR 50
7. Les dons ont ils permis de concr tiser tous les projets Notre budget 2007 s est lev environ 3 millions d euros Ce n est pas suffisant La contrainte financi re nous oblige faire des choix Mais si l argent est le nerf de guerre ce n en est pas moins vrai pour les res sources humaines Il est parfois tr s difficile de trouver un m decin dans certains pays Nous avons aid la formation de 400 professionnels de sant mais cela est tr s peu l chelle du monde Chaque ann e va peu plus loin Des partenariats se nouent avec de nouveaux pays comme le Congo ef nous proje tons de travailler d avantage avec l Afrique centrale et l Europe orientale Quels sont les grands chantiers qui ont merg La mont e en puissance de projets en dehors du conti nent africain est en marche En Europe de l Est nous soutenons des associations de plus en plus implant es en prison en Asie nous avons sign une convention de trois ans avec une association n palaise Nava Kiran Plus qui travaille avec les usagers de drogues 1 s agit de les convaincre de se faire d pister et de les int grer dans un circuit de soins 200 usagers ont t approch s et 30 b n ficient d j d un traitement En Afrique des programmes destin s aux enfants s ro positifs d but s en 2006 se d veloppent avec la cr a tion de groupes de parole Des missions d aides pour les minorit s sexuelles doivent se mettre en place
8. qualit de vie qua lit des soins 16 demandes de financement ont t re ues et 11 ont t accord es et prendront effet en 2008 Des associations et un h pital public ont propos des projets portant sur les consultations d observance et d ducation th rapeutique les th rapies compl mentaires manuelle shiatsu art th rapie et les outils de communication for mations ef coordination entre professionnels Le groupe de travail pluridisciplinaire qualit de vie qualit des soins constitu de 12 experts ind pendants poursuivra en 2008 sa r flexion sur l volution de l appel projets Alors que l on ne gu rit pas de l infection par le VIH et qu il s agit toujours d une maladie lourde stigmatisante il est important de mettre tout en uvre pour am liorer la qualit de vie des personnes s ropositives Partenariat avec la Fondation de France 13 programmes soutenus en 2007 par Sidaction ont b n fici du partenariat mis en place en 2005 avec la Fondation de France Celui ci implique une enveloppe globale de 400 000 euros attribu e pour le co financement de pro grammes de recherche sur le VIH sida plus pour la recherche et pour la lutte contre l pid mie FONDATION DE FRANCE R partition des financements en cours en 2007 R partitions des financements par type de recherche Fondamentale 68 86 financements pour 1 654 025 Clinique 10 13 financements pour
9. 01 006 L Droits d auteur 1 01 007 L 1 02 002 L Liquidit s 1 02 006 L Liquidit s 6 000 00 03 001 L Liquidit s quote part immeuble 42 700 00 03 002 L Quote part terrain 2 218 70 03 004 L Liquidit s 1 03 005 L Liquidit s r clamation 166 00 03 006 L Liquidit s quote part immeubles 40 666 00 04 003 L Liquidit s 17 500 00 05 004 L Liquidit s 24 104 36 06 001 L Liquidit s immeubles 20 500 00 06 002 L Liquidit s immeubles 37 657 97 06 004 L Liquidit s immeuble 91 900 00 06 005 L Liquidit s immeubles 1 650 000 00 06 006 L Liquidit s 7 699 38 06 008 L Liquidit s 49 689 22 06 009 L Liquidit s solde 964 00 06 010 L Liquidit s 1 524 49 07 001 L Liquidit s immeubles 129 000 00 07 002 L Liquidit s 0 00 07 003 L Liquidit s 25 900 00 07 004 L Liquidit s 1 524 49 07 005 L Liquidit s 1 524 49 07 006 L Liquidit s 3 600 00 07 007 L 2 1 07 008 L Liquidit s Immeubles 390 000 00 07 009 L Liquidit s 25 900 00 02 001 D Droits d auteurs 1 1 Montant non estim au 31 12 2007 Les comptes de Sidaction 2007 Compte d emploi annuel des ressources collect es aupr s du public au 31 d cembre 2007 Ressources nettes disponibles hors cofinancements ant rieurs Ressources nettes disponibles au 1 janvier Reprises sur subventions investissements Restitutions de financements vers s ava
10. Elles ont donn lieu une proposition de financement d un montant de 101 300 61 demandes de financement dans le cadre de l appel d offres g n ral pour un montant global de 1 110 962 8 demandes de financement dans Appel projets Milieu Carc ral pour un montant global de 169 925 7 demandes de financement dans l Appel projets pour les d partements fran ais d Am rique pour montant global de 192 392 4 demandes de financement dans l Appel projets Emploi pour un montant global de 46 033 26 mai Journ e Benny Berthet Depuis 1977 l initiative de la F d ration Fran aise de Tennis se d roule ce traditionnel rendez vous du tennis et de la solidarit C est l occasion d assister des rencontres exhibition souvent spectaculaires et amicales Les b n fices de la journ e sont revers s 8 associations 38 000 euros ont ainsi t revers s Sidaction 6 7 juin Comit scientifique et m dical sida 5ldemandes de financement ont t trait es 23 dossiers ont t accept s soient 45 des demandes juin juillet Transversal n 36 ou ne pas circoncire transv rsal 22 juin Journ e Prison L objectif de cette journ e tait double mettre en commun les exp riences des institutionnels et des associations pour am liorer la pr paration et la prise en charge la sortie des personnes incarc r es atteintes par
11. Face cette stabilisation relative le rel chement des moyens accord s au Fonds mondial de lutte contre le sida la tuberculose ef le paludisme par les pays riches est un risque En tant que bailleur de fonds Sidaction aux c t s de ses partenaires a soutenu en 2007 une centaine de projets dans 29 pays oeuvrant depuis toujours faire remonter la r alit et les besoins du terrain aux pouvoirs publics Ainsi 43 organisations ont t paul es financi rement en Afrique 7 en Asie et autant dans l Union europ enne 5 en Europe de l Est et 4 en Am rique Latine L quipe des programmes internationaux a effectu 34 missions de terrain au cours de l ann e 2007 pour assurer principalement un appui tech nique ainsi qu un suivi et une valuation de ces projets dans les pays en d veloppement Malgr les fonds d volus la lutte contre ce fl au des mil ions de malades dans le monde n ont toujours pas acc s aux soins La pr carit des syst mes de sant le manque de m decins et de personnels soignants constituent autant de freins la prise en charge m dicale des personnes touch es Dans nombre de pays du Sud il y a un besoin urgent d infirmi res et de m decins Face leurs bles conditions de travail beaucoup d entre eux s expatrient ou recherchent un autre emploi Au Malawi par exemple pr s d un million de personnes vivent avec le VIH alors que le pays ne compte que 2 m decins et 59 infirmi re
12. Isabelle DEVOGE Infirmi re Association Diagonale Ile de France Juvisy sur Orge Marc DIXNEUF Rapporteur Conseil National du Sida Paris Dr Martin DURACINSKY M decin hospitalier Service de M decine Interne et de Maladies Infectieuses H pital Universitaire de Bic tre chercheur sur la Qualit de vie li e la sant Le Kremlin Bic tre Dr Marie Odile FRATTINI M decin de sant publique m decin chercheur sur les pratiques et l organisation des soins Paris Laurence POTTE BONNEVILLE Repr sentant d association de personnes vivant avec le VIH directrice de l association Sol en Si Paris Dr Anne Marie PY Coordinatrice m dicale de R zopau r seau vile h pital sida h patites et addictions m decin attach au Centre hospitalier Soins Ambulatoires Maladies Infectieuses Toxicomanies Pau Sophie RAGUES Assistante socio ducative au CHU de Bordeaux membre de la SFLS Bordeaux Dr V ronique TIRARD FLEURY M decin de sant publique consultante Paris Marie H l ne TOKOLO MUNDALA Repr sentante d association de personnes vivant avec le VIH Pr sidente de l association Marie Madeleine Versailles L quipe de Sidaction au 1 juin 2008 Direction G n rale Bertrand AUDOIN Directeur g n ral David BELLIARD Directeur g n ral adjoint Service administratif et financier Anne SCHAETZEL Directrice administrative et financi re Marianne DUVAL Responsable legs et donations
13. Publique et les Directions R gionales des Services P nitentiaires La question carc rale est transversale Le travail sur prison s organise autour d un partenariat entre les diff rentes missions et programmes de Sidaction La mission jeunes a conduit une action de pr vention aupr s de jeunes adultes de mineurs incarc r s via des DVD CDROM ou des quizzs Sidaction a organis la rencontre d un grand nombre d acteurs du milieu carc ral dans les Antilles fran aises priorit des missions DFA et Milieu Carc ral car la Guyane est la r gion p nitentiaire la plus touch e par le sida en France Les Corevih ont int gr des repr sentants de la prison pour cr er un axe fort de collaboration avec la mission Milieu Carc ral Seule la question de l emploi des d tenus sortants butte sur la raret des projets associatifs dans ce domaine Concernant les Programmes scientifiques un groupe de travail s est constitu pour associer sa mission Sciences sociales celle du Milieu Carc ral sur les ques tions de recherche en prison AU niveau des Programmes internationaux un travail sur le VIH en prison dans cer tains pays en d veloppement a t amorc avec un p le appel POPEX Populations Exclues ciblant entre autres les publics p nitentiaires devrait renforcer la collaboration entre les deux programmes et engendrer l change d exp riences entre associations fran aise
14. rager les actions d information de pr vention d coute d acc s aux droits et aux soins destin es ce public parti culi rement touch En 2007 l association Rainbow Gwada s est ainsi cr e en Guadeloupe La question des migrants dans les DFA est r currente en Guadeloupe et Saint Martin ils sont originaires d Ha ti de la R publique Dominicaine en Guyane d Ha ti du Suriname du Guyana et du Br sil Plusieurs associations les aident comme l Union la communaut haitienne et l Association de soutien aux familles de malades de for mations en Guyane l association Latinos Unidos Actions de pr vention aupr s de la communaut de la R publique Dominicaine en Martinique Ces structures doivent travailler sur le plan inter d partemental et r gional pour gagner en coh rence et renforcer leurs actions Enfin la mission Corevih a uvr en troite collaboration avec la mission DFA pour favoriser la mise en place de ces structures dans les 3 d partements Des contacts r guliers avec les acteurs locaux ont facilit ce travail et ont permis aux associations notamment celles qui repr sentent les usad gers de si ger aux Conseils d Administration de la nouvelle instance Le rapprochement des deux missions se poursuivra notamment travers l organisation d inter Corevih pour per mettre aux associations de lutte contre le sida des DFA de se rencontrer et de pallier ainsi une r elle difficult dan
15. 230 936 ppliqu e 12 15 financements pour 364 826 Sciences Sociales 10 86 financements pour 86 535 R partition des financements par domaine de recherche Virologie 48 6l financements pour 1 326 503 Immunologie 12 15 financements pour 230 116 Th rapeutique 6 86 financements pour 100 719 L Co infections 9 86 financements pour 245 337 Physiopathologie 15 86 financements pour 347 112 M Sciences Sociales 10 86 financements pour 86 535 AIDES AUX EQUIPES Dr Sophie ABGRALL Service des Maladies Infectieuses et Tropicales H pital Avicenne BOBIGNY Dr Karine 2 2 Laboratoire d Architecture et Fonctions des Macromol cules Biologiques CNRS UMR 6098 MARSEILLE Dr Victor Laboratoire d Immunologie Cellulaire et Tissulaire INSERM U543 PARIS Dr Nathalie BAJOS Unit d Epid miologie D mographie et Sciences Sociales Sant Reproductive Sexualit et Infection VIH INSERM U569 LE KREMLIN BICETRE Pr Jean Marie BARD Laboratoire d Etude du Polymorphisme de l ADN de Nantes NANTES Dr Bruno BEAUMELLE Dynamique mol culaire des interactions membranaires CNRS UMR 5539 MONTPELLIER Dr Philippe Laboratoire de Biologie Cellulaire de l Immunit Anti Tumorale INSERM 0520 PARIS Dr Richard BENAROUS Equipe des Interactions Mol culaires H te Pathog ne INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Se
16. Anne BONICARD R gis ARNOU Simone BIGNAT Tiphanie BLANC Chlo CHARLERY Emilie COUTRET Charlotte DEFREL El Mostafa EL MOUDEN Aurore JOURDAN Audrey LECLERE Marguerite MAURY Anna NDIAYE Pauline PLANTROU B r nice PIERSON Amandine PICARD Am lie PINOT Deborah TILMAN Vonick TONGA Marianne BENNISON Merci toutes les associations qui nous soutiennent pour l organisation des animations r gionales l occasion du Sidaction mais galement tout au long de l ann e association plaqu or sauvequiprod Show case Paris association mercure Essca Angers association musicon cept Saillagouse discoth que les bains douches Paris Jennifer j ralph garden party Forges les eaux association Barbara Perlimpinpin association des l ves efrei Kremlin Bic tre le g do bar Metz le bureau des l ves de l escip Longuenesse la discoth que l insolite le comit d animation des jeunes de Thiais la chorale equivox le point infor mation jeunesse de Garges les Gonesses l association les carabins Bordeaux l Universit de la Citoyennet et Sid Avenir Pau le collectif sida et le service hygi ne et sant de la M con l IFSI Lannion LAAEMR Rennes le collectif sida du Loiret le CDAG de Chalons en Champagne le collectif sida de Reims l association Sida Solidarit de Lons le Saulnier la discoth que le VIP et le service pr vention de la ville de Beauvais le comit des f te
17. Corevih notamment en Ile de France et en PACA deux r gions regroupant la majorit des personnes s ropositives La mobilisation d Act Up Paris Aides et Sidaction aura permis 15 associations d ta blir des listes de repr sentants pour les 5 Corevih fran ciliens Cette d marche encourag e par les autorit s locales de Sant comme la DRASSIF a permis de r unir 80 futurs repr sentants de malades la Mairie de Paris et autant l Assembl e nationale Sidaction a souhait apporter son expertise technique une trentaine d associations pour r diger le dossier de demande d agr ment pr alable la nomination de leurs membres dans les Corevih Elle a galement diffus dans des r unions scientifiques des documents d information mettant en valeur le r le des repr sen tants des associations ef la perspective d une nouvelle collaboration entre soignants et malades En octobre des bourses ont permis une cinquantaine de repr sentants de malades de faire entendre leur voix et de participer aux travaux du congr s annuel de la Soci t fran aise de lutte contre le sida regroupant des m de Cins des soignants et des acteurs de l action sociale En 2007 pr s d un quart des membres des Corevih sont des repr sentants de malades d une quarantaine d associations dont 80 aux actions locales ef ils sont 17 vice pr sidents sur 28 lus dans les Pr vention gay et tests rapides une priorit Le sign
18. Paris Alioune BLONDIN DIOP Pr sident de M decins d Afrique Europe Praticien hospitalier au CHU La Piti Salp tri re Paris Jean Baptiste BOLLENS Chef du service ISAT Paris Est Interventions Sociales et Accompagnement Th rapeutique SOS Habitat et Soins Paris Jean Jacques BOUYER Directeur GAPS Bordeaux St phane CRIEDLICH Coordinateur associatif administratif et comp table Actis Saint Etienne Jean Francis FAVATIER Coordinateur ASUD N mes Carine FAVIER Administratrice ef responsable de la Commission sida Mouvement Fran ais pour le Planning Familial Montpellier Anne Marie GOSSE Directrice Basiliade Paris Omar HALLOUCHE Coordinateur du programme de pr vention aupr s des migrants ALS Lyon Emmanuelle LENGLET Directrice ADIS Calais J rome MARTIN Act Up Paris Paris Christiane MARTY DOUBLE Vice pr sidente AIDES N mes Romain MBIRIBINDI Pr sident Afrique avenir Paris Bastien NO L Coordinateur Envie Montpellier Perrine PERILLAT Directrice Entr Aids Lyon Jacqui SCHNEIDER HARRIS Charg e de direction ressources humaines counsellor et formatrice Acc s Marseille Jos SONGA Pr sident Bondeko Gonesse Les membres du Comit International du Comit Formation et du Comit Grandir M Vincent BASTIEN Kasabati BURKINA FASO Pr St phane BLANCHE H pital Necker FRANCE M Fabrice CLOUZEAU Sida Info Service FRANCE Mme Jovite DE COUR
19. Paris sous la coordination de G Peytavin Cette tude permettra de savoir si les traitements antir troviraux donn s la diffusent dans le sang et le lait maternel et chez l enfant allait et sont susceptibles de r duire charge virale dans le lait maternel et donc de r duire la transmission du VIH l enfant Les r sultats finaux sont attendus d ici fin 2008 En 2007 69 680 ont t vers s l quipe de V Leroy pour ce tra vail de recherche qui associe R Becquet jeune chercheur galement soutenu par Sidaction hauteur 38 808 Les r sultats pr liminaires de son travail post doc ont t pr sent s lors de la conf rence de la CROI Conf rence on Retroviruses and Opportunistic Infections en 2008 La recherche en 2007 Un appel projets pour la qualit de vie et la qualit des soins Avec le d veloppement des traitements antir trovir aux qui allongent la dur e de vie des personnes vivant avec le VIH mais qui provoquent souvent des effets ind sirables impor tants l attention la qualit de vie est devenue une dimen sion essentielle dans la lutte contre le VIH sida Sidaction a d velopp en 2007 un appel projets sp cifique qui tend promouvoir et valoriser les programmes qui ciblent la qualit de vie ressentie par les personnes et utilisent pour leur vad luation les mesures de la qualit de vie li e au VIH Pour la premi re dition de cet appel projets
20. au qui demeure une des principales causes de d c s dans le monde En d cembre 2007 le rapport de l Onusida note une stabilisation de l pid mie en effet l organisation internationale en partenariat avec l OMS a modifi son mode de calcul et revu la baisse son estimation du nombre de personnes vivant avec le virus du sida dans le monde En 2006 on estimait 40 millions le nombre de s ropositifs En 2007 ce chiffre est ramen 33 2 millions R troactivement en appliquant ces nouveaux calculs on value d sormais 32 7 millions les personnes qui vivaient avec le VIH en 2006 Cette diff rence de donn es provient essentiellement de corrections effectu es dans six pays l Angolo l Inde le Kenya le Mozambique le Nigeria et le Zimbabwe En Inde les nouvelles m thodes de collecte d informations sont spectaculaires le nombre de personnes infect es initiale ment pr vu 5 7 millions est tomb 2 5 millions En Afrique on compte 1 7 million de nouvelles contaminations C est premi re fois depuis le d but de l pid mie qu on enregistre une baisse sur le continent notamment dans certains pays Botswana Tchad Togo Malawi Zambie ou Cameroun N anmoins la r alit des chiffres ne doit pas en masquer une autre on ne cesse de se contaminer ef de mourir du Le sida dans les pays en d veloppement sida partout dans le monde avec dans cerfaines zones une augmentation du nombre
21. es Midi Pyr n es National National National National National Nord Pas de Calais PACA PACA PACA PACA Rh ne Alpes Rh ne Alpes Rh ne Alpes Rh ne Alpes Rh ne Alpes Rh ne Alpes Rh ne Alpes Nom Association R gion MIGRATIONS SANT ALSACE Alsace CACIS Aquitaine GAPS Aquitaine IPPO INFORMATION PREVENTION PROXIMITE E ORIENTATION MANA Aquitaine SID AVENIR Aquitaine SID ACCUEIL BASSE NORMANDIE dd CENTRE INTER CULTUREL FRANCO MAGHR BIN Bourgogne R SONANCE Bretagne DOMICILE 45 Centre MFPF 37 Centre ARPS DOM TOM AREMEDIA Ile de France ASEDOS Ile de France ASSOCIATION DE SOLIDARIT INTERNATIONALE ET E A DE INT GRATION ASSOCIATION DES FEMMES M DIATRICES SOCIALES ET CULTURELLES DE PANTIN ASSOCIATION DES TUNISIENS EN FRANCE Ile de France ASSOCIATION R SEAU DE SOINS 92 Ile de France CENTRE GAI ET LESBIEN Ile de France ELLE EPHEMERE Ile de France FEDERATION REGIONALE ILE DE FRANCE DU MFPF Ile de France FONDATION LA MAISON DES CHAMPS E ALTERNATHIV HA TI DEVELOPPEMENT Ile de France HORIZONS Ile de France INITIATIVES Ile de France LA R SILIENCE Ile de France LES AMIS DU BUS DES FEMMES Ile de France MIGAS MIGRATION ACCUEIL SANTE Ile de France MIGRATIONS SANT Ile de France LA CASE DE SANTE Midi Pyr n es SEPIA Midi Pyr n es ACTIF SANT National FEDERATION NATIONALE DES HEBERGEMENTS VIH National SOL EN SI National SOS DROGUE INTERNATIONAL National GROUPEMENT DE PR VENTION ET D ACC
22. est leurs c t s en soutenant des associations qui mettent en place des programmes qui leurs sont d di s L coute et le non jugement sont les postulats requis pour mener bien ces programmes qui entendent respecter ef s adapter aux besoins des personnes concer n es De nombreuses associations ont donc d cid d aller au devant des populations sur leur lieu de vie dans leur quartier car on sait qu elles ne sont pas forc ment touch es par les campagnes de pr vention et qu elles n ont pas tou jours acc s la prise en charge sociale ou m dicale Les entraves mat rielles la pr carit le manque d estime de soi la solitude sont autant de sp cificit s prendre en compte avant de pouvoir proposer une offre de soins Au N pal par exemple Sidaction soutient Nava Kiran pour l acc s aux soins des usagers de drogues s ropositifs et la Blue Diamond Society pour son action en direction des minorit s sexuelles Au B nin le soutien nutritionnel prend RACINES Le projet de l association Racines Cotonou au B nin s occupe du soutien nutritionnel des b b s expos s au VIH ou de ceux qui sont s ropositifs Les femmes enceintes sont accompagn es dans leur choix du mode d allaitement et apr s la naissance une aide l alimentation avec un suivi rigoureux comprenant s ances di t tiques visites domicile lait maternis est propos e aussi bien aux m res pratiquant l allai tement exclusif qu
23. et de recherche et des projets men s en propre Ces dotations comprennent les subventions re ues par l association en 2007 939 304 correspondent des co ts d instruction et de suivi des projets financ s et de conseil ou de formation aux organismes intervenant dans la lutte contre le sida en France ef dans les pays en d veloppement 1 690 219 correspondent aux co ts des actions de lutte contre le sida men es l association qui se composent comme sui 272 020 correspondent la conduite des missions d aide aux malades d partements fran ais d Am rique Milieu carc ral Emploi et Pr vention Gay 152 281 correspondent aux co ts li s aux v nements orga nis s par l association seule ou en collaboration avec d autres structures Ces v nements ont pour point commun de r unir les acteurs de la lutte contre le VIH sida ef concernent notam ment 2007 l organisation de la conf rence Aids Impact Marseille 237 795 correspondent au co t des publications le maga zine Transversal et les guides th matiques dit s par lasso ciation Ces co ts sont pr lev s parts gales sur les fonds d di s la recherche et l aide aux malades 169 312 correspondent aux projets Cartographie Portail VIH et de pr vention en milieu scolaire Pour la vie 494 668 correspondent aux programmes de lutte contre le sida conduits par l associ
24. et m dical sida est compos de cliniciens en activit dans des services de maladies infectieuses ou d immunologie clinique de chercheurs investis dans des travaux fondamentaux o appliqu s et d experts en sciences sociales Le comit est compl t par deux repr sentants d associations de malades Ces sp cialistes apportent au Conseil d adminis tration de Sidaction tout l clairage scientifique n cessaire une bonne tude des demandes valuent les r sultats obtenus par les programmes soutenus par Sidaction dans le domaine scientifique collaborent aux activit s d informar tion de vulgarisation scientifique de l association 30 demandes de financement ont t trait es lors de cette session et 16 dossiers ont t accept s soit 53 des demandes 8 et 9 mars Comit associatif sida Lors de cette session le comit a examin e 48 demandes de financement des associations parte naires pour montant global de 2 388 438 5 demandes de financement dans l Appel projets Milieu Carc ral d un montant global de 104 786 7 demandes de financement dans l Appel projets dans les d partements fran ais d Am rique pour montant global de 229 500 financ es hauteur de 180 000 5 demandes de financement dans l Appel projets Emploi pour un montant global de 150 395 23 24 et 25 mars Sidaction 2007 Tous solidaires restons soud s 15 parte
25. pas La recherche en 2007 Monsef BENKIRANE D partement Dynamique du G nome et de la Chromatine de l Ins titut de G n tique Humaine de Montpellier IGH CNRS UPR 1142 Comprendre comment le VIH se cache dans des cellules r servoirs Les combinaisons de traitements antir troviraux ARV existantes bloquent efficacement la r plication du VIH point d atteindre le seuil d ind tectabilit du virus Le virus est donc sous contr le mais les personnes s ro positives n en sont pas pour autant gu ries En effet des cellules infect es persistent au sein desquelles le VIH est latent savoir qu il est pr sent dans les cel lules mais ne se multiplie pas Les sp cialistes parlent de r servoir du VIH Dormant dans ces cellules r servoirs le virus est l abri des traitements actuels qui ciblent des prot ines impliqu es dans la r plication virale La r activation du virus dans ces cellules permettrait de les rendre accessibles au syst me immunitaire et aux antir troviraux et d liminer le virus Ainsi l quipe Monsef Benkirane travaille comprendre comment s tablit le r servoir et explore l une des principales voies l origine de sa formation les micro ARN sont des petits morceaux d ARN acide ribonucl ique qui interviennent dans la r gulation de l expression des g nes Les travaux de l quipe de Monsef Benkirane et de ses collaborateurs ont montr que les micro ARN exer aient
26. pour 150 pog et dons rattach s aux mailings et T pr TF permanentes pour des fournisseurs r guliers et des salari s enga OP rations de collecte de janvier pour 20 698 50 j geant beaucoup de frais pour compte de l association 9 750 Subventions d exploitation 1217816 1 368 643 et des acomptes de r servations de tables pour le diner dela Engagements hors bilan mode 2008 qui auraient d tre rembours s si l op ration avait t Reprises sur provisions et transferts de charges 25 564 32 781 annul e 125 300 Missions sociales Les dettes fiscales sociales et autres dettes 594 933 Dans la proc dure d attribution de subventions et de bourses les Dons droits et autres produits 16 829 674 17 190 872 correspondent engagements du Conseil d administration ne deviennent ex cu aux provisions pour cong s pay s 411 346 toires qu compter de la signature d une convention de finance Charges d exploitation 17 572 287 15 978 772 e aux charges salariales du quatri me trimestre 2007 r gl es ment avec le tiers destinataire des fonds Toutefois il a paru utile de janvier 2008 160 354 faire figurer ici l ensemble des d cisions du Conseil d administration Charges courantes et de collecte 683 207 408 204 la provision pour prime de pr carit sur les CDD cours au portant sur les subventions et bourses En 2007 les engagements sont Imp ts t
27. recherche en chiffres et actions Un effort financier pour les jeunes chercheurs des contrats de travail pour tous En 2007 Sidaction a soutenu 126 programmes de recherche pour un montant de 2 3 millions d euros Ce montant est sen siblement le m me qu en 2006 bien qu il couvre un nombre moins important de programmes En effet on constate que le soutien allou aux laboratoires est stable avec 80 aides aux quipes alors que les financements nominatifs attribu s des jeunes chercheurs sont pass s de 76 en 2006 et en moyenne 80 depuis 2004 46 en 2007 Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette baisse dont les difficult s li es la 9 transformation des financements par lib ralit s en contrats de travail dur e d termin e Cette transformation repr sente par ailleurs un surco t de 71 pour Sidaction En 2007 Sidaction a intensifi les discussions avec les pou voirs publics initi es depuis d j plusieurs ann es pour faci liter la transition vers des contrats de travail mais celles ci n ont malheureusement pas donn les suites escompt es En effet l Etat a annonc d une part qu il ne prendrait pas en charge le surco t de la transformation des lib ralit s en contrats pour les post doctorants mais galement qu il arr tait fin 2007 de payer les charges des doctorants R sultat les organismes caritatifs financeurs de la recherche qui ont t aux c t s des jeunes chercheurs dans leu
28. un suivi actif a eu lieu au Togo suite aux difficult s locales avec le financement du Fonds mondial pour qu il soit ravitaill Une rencontre la Centrale d achat togolaise de m dicaments des contacts r p t s avec les pouvoirs publics du pays le GIP Esther Paris et le Fonds mondial Gen ve ont permis de g rer crise Une r ponse envoy e le directeur du Fonds Sidaction prouv que l alerte donn e avait t entendue La mise disposition des traitements quelques mois plus tard a sans doute t le fruit de cette mobilisation Enfin lorsque le Viracept m dicament anti VIH tr s r pandu a t rappel par le laboratoire fabricant Sidaction a assur le relais de l information aupr s des associations du Sud qui auraient sans doute t tr s mal inform es Les patients ont pu changer de traitement temps l opportunit aussi de relayer au Nord la voix associative du Sud et de demander au laboratoire concern d assurer l avenir une meilleure pharmacovigilance dans ces pays Sidaction un soutien adapt chacun Les enfants 2 1 millions d enfants de moins de 15 ans sont s ropositifs et 420 000 ont t contamin s en 2007 Malgr les efforts notamment associatifs des d fis perdurent difficult s annoncer un enfant sa s ropositivit celle de ses parents appr hension des m decins manipuler les antir troviraux p diatriques g ne des acteurs de pr
29. vention pour aborder les questions de sexualit avec les jeunes Pour r pondre ces cueils Sidaction a renforc cette ann e le programme Grandir 4 num ros de Grandir Info ont t publi s en 2007 pour faire le point sur toute l actualit p dia trique 9 fiches pratiques ont tabli des recommandations par exemple sur la prophylaxie coftrimozaxole chez les nourrissons n s de m re s ropositive ou la co infection Le sida dans les pays en d veloppement VIH paludisme chez l enfant Une note technique permis de diffuser aupr s des associations partenaires les bonnes m thodes de diagnostic de l infection VIH en pr sence ou en absence d outils virologiques pr coces de l infec tion avant 18 mois Et une formation sur l alimentation du nourrisson n de m re s ropositive eu lieu en septembre Abidjan 1 000 enfants ont ainsi t pris en charge glo bale au sein de 3 associations burundaises impliqu es dans le programme Paris Sida Sud ef une vaste campagne de d pistage du VIH a t propos e par l association REVS aux orphelins de Bobo Dioulasso Burkina Faso et leurs familles d accueil Mobilis e sur ces questions de l enfance Sidaction constat une augmentation du nombre de femmes enceintes prises en charge dans les associations partenaires des pays du Sud Les populations discrimin es D tenus usagers de drogues minorit s sexuelles prostitu es une fois encore Sidaction
30. virus qui est capable d adopter un tr s grand nombre de formes sa variabilit g n tique est tr s importante et son m canisme de multiplication favorise les muta tions Un virus va donc pouvoir voluer dans l orga nisme d une personne infect e et donner naissance de nouvelles formes du VIH qui ne seront plus sensibles au traitement en cours il faudra alors un nouveau trai tement adapt Ainsi nous courons derri re le virus et il faudra toujours l attaquer sur plusieurs fronts avec des th rapies innovantes En outre les effets ind sirables des m dicaments sont encore trop souvent insuppor tables pour les malades Le combat face l infection par le VIH doit continuer Et le vaccin pr ventif A l heure actuelle il n existe malheureusement pas de vaccin pour pr venir la contamination par le VIH En raison de la complexit de ce virus un tel vaccin demeure un d fi pour les scientifiques Fin septembre 2007 le laboratoire pharmaceutique Merck annonc l arr t d un essai clinique de phase ll donc tr s avanc qui portait sur un candidat vaccin Celui ci initialement prometteur s est av r inefficace Cet chec oblige un retour la recherche fondamentale pour tudier les bases du fonctionnement du virus ef de ses interac tions avec le syst me immunitaire Si cette annonce est tr s d cevante etsi toutes les pistes en coursn abou tiront pas aucune ne doit pourtant tre n glig e Le fait de compre
31. 2 NNT Rapport d activit A CMPRDELDMEUNE SUN ma COTRMCEETOLE a80 959 DE AMMETHESQNE HYOSCINE BUT YUBPOMIUE METROMIDEZOLE 200 ma 490 eq Sat ENSEMBLE CONTRE LE SIDA Editos Retour sur les temps forts de l ann e 2007 La recherche en 2007 La pr vention et l aide aux malades Le sida dans les pays en d veloppement l organisation de Sidaction en 2007 Comptes de Sidaction en 2007 22 28 34 Le mot du Pr sident Face au sida nous marchons sur un fil Sidaction a la force et la d termination d un quilibriste Malgr une ann e peu propice la collecte lections pr sidentielles obligent notre association a main tenu en 2007 son niveau de collecte et le Sidaction 2007 a tout de m me permis de r unir lui seul plus de 6 millions d euros Gr ce la g n ro sit renouvel e des donateurs la mobilisation des medias partenaires nous avons pu renforcer ef accompa gner nos projets en France comme l tranger Malheureusement cet argent est l arbre qui cache la for t Pour que Sidaction puisse faire vivre ses missions agir o les besoins du terrain l exigent il faut collecter tout au long de l ann e trois fois plus de dons Pour continuer soutenir la recherche et les associations alerter l opinion ef les pouvoirs publics aider les s ropositifs et pr venir ceux qui le sont pas Je s
32. 38 837 4 102 072 655 908 377 918 405 554 27 636 832 584 290 967 708 474 166 857 93 413 81 406 8 841 262 1 456 598 4 676 753 3 076 566 974 843 1 423 920 145 778 703 324 703 324 7 721 597 Notes sur le compte d emploi annuel des ressources collect es par Sidaction R gles et m thodes d tablissement du CER l ordonnance 28 juillet 2005 pr voit que pour les exercices ouverts compter du 1 janvier 2006 le compte d emploi annuel des ressources collect es aupr s du public CER accompagn des informations relatives son laboration est inclus dans lan nexe des comptes annuels En l absence de r glementation comptable le CER a t labor conform ment aux textes existants arr t du 30 juillet 1993 1 Note sur les ressources Le total des ressources est de 26 192 779 Ce montant se compose e des reprises de fonds d di s de l exercice pr c dent soit 7 721 597 e du total des ressources des op rations de collecte dons manuels legs et autres appels la g n rosit du public de l exercice 2007 16 825 536 des subventions publiques venant en cofinancement de pro grammes de Sidaction 1 193 028 des restitutions de sommes non consomm es sur les subventions ver s es des programmes durant les exercices ant rieurs 197 009 e du montant des produits financiers d gag s sur l exercice 255 609 1 1 Information sur les o
33. 648 913 Frais de collecte M Programmes scientifiques et m dicaux Programmes internationaux Programmes associatifs France Les comptes de Sidaction 2007 Bilan de Sidaction au 31 d cembre 2007 Actif immobilis 1571 11 Immobilisations incorporelles 74 401 Immobilisations corporelles 1 457 015 Immobilisations financi res 39 695 Actif circulant 10 463 861 Cr ances 249 388 Valeurs mobili res de placement 8 399 632 Disponibilit s 1 814 842 Comptes de r gularisation 145 554 Charges constat es d avance 145 554 Fonds propres 1570665 R serves statutaires 46 175 Autres r serves 1 524 490 R sultat 500 000 Provisions pour risques ef charges 16 166 Fonds d di s 8 212 629 Dettes 1 360 391 Dettes fournisseurs 765 457 Dettes fiscales ef sociales 940 508 Autres dettes 54 425 Comptes de r gularisation 170 699 Produits constat s d avance 170 699 amortissements et provisions 349 978 74 401 275 577 1 221 133 1 181 438 39 695 10 463 861 249 388 8 399 632 1 814 842 145 554 145 554 1 234 661 1 196 580 38 081 9 651 796 909 739 7 894 734 1 247 324 114 523 114 523 Net 2006 amortissements et provisions 1 570 665 46 175 1 524 490 900 000 16 166 8 212 629 1 360 391 765 457 940 508 54 425 170 699 170 699 1 570 665 46 175 1 524 490 25 269 7 721 597 1 308 257 806 323 466 778 35 156 375 193 375 193 Informations relatives au bil
34. 8 10 novembre Comit scientifique et m dical Sida 80 demandes de financement ont t trait es 39 dossiers ont t accept s soient 49 des demandes 13 novembre Journ e de r flexion du CA Cette journ e annuelle permet aux administrateurs de Sidaction d analyser les propositions faites par les diff rents comit s et par l quipe de Sidaction sur la base de leurs connaissances des exp riences de terrain Elle aboutit la d finition des orientations strat giques de l association et de ses priorit s annuelles 15 novembre Soir e Vente aux ench res Fil Rouge Pendant deux ans Julio Piati et Tom de Ruiter ont parcouru le monde pour mettre en sc ne et photographier personnalit s du cin ma de la mode de la musique ef du design qui se sont toutes pr t es au jeu au profit de Sidaction Ce sont 6 superbes photographies ponctu es par un unique l ment rouge toujours po tique parfois all gorique et bien souvent ludique qui sont r unies dans un recueil excep tionnel Cette soir e a permis de collecter 76 000 euros novembre d cembre Objectit Transversal n 38 d pistage Objectif d pistage 19 23 novembre Comit international Le comit international le comit Grandir etle comit formar tion dans les PED sont compos s de membres d associations de pays en d veloppement et d experts fran ais b n voles engag s dans la lutte contre le sida d
35. 89 TOULOUSE Dr Catherine ISEL Laboratoire d Architec ture et R activit de l ARN CNRS UPR 9002 STRASBOURG Dr Rosemary KIERNAN Institut de G n tique Humaine CNRS UPR 1142 MONTPELLIER Dr Guido KROEMER Laboratoire Apoptose Cancer et Immunit INSERM U848 VILLEJUIF Dr Annie LADOUX Biologie du D veloppement du tissu Adipeux cellules souches et diff rencia tion CNRS UMR 6543 NICE Dr Marc LALLEMANT Centre de Coordination IRD UR 054 CHIANG MAI THAILANDE Dr Olivier LAMBOTTE 2 Laboratoire d Immunit INSERM U802 PARIS Dr Val riane LEROY ISPED Universit Victor Segalen BORDEAUX Pr France LERT Laboratoire Epid miologie Sant Publique et Environnement Professionnel et G n ral INSERM 0088 SAINT MAURICE Pr Yves LEVY Service d Immunologie Clinique H pital Henri Mondor CRETEIL Dr Fabrizio MAMMANO Unit de Recherche Antivirale INSERM U552 PARIS Dr Patrick MARCELLIN Laboratoire de Physiopathologie et Traitement des H patites Virales INSERM 0773 CLICHY Dr Florence MARGOTTIN GOGUET 2 Equipe du Contr le du Cycle Cellulaire et Prot ines Virales INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Stefano MARULLO Equipe Pharmacologie Cellulaire et Mol culaire des R cepteurs INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Olivier MAUFFRET Laboratoire Biotechnologie et de Pharmacologie G n tique Appliqu e CNRS UMR 8113 CACHAN Dr Elisabeth MENU Unit de R gulation des Infections R tro
36. A le milieu car c ral l emploi et la pr vention gay Son r le est d ac les associations dans leur plaidoyer pour assurer une meilleure prise en charge globale des personnes touch es Par exemple l association Le Tipi Marseille mis en place un parcours favorisant le retour l emploi informant les acteurs locaux de la r alit du VIH les coups de fatigue les trous dans le CV etc Un travail sur les repr sentations de la s ro positivit a t men dans les milieux professionnels car les personnes s ropositives prennent des risques retrouver un emploi dans la gestion du secret o la peur d tre rejet es si cela se sait La pr vention gay est aussi un enjeu l heure o le nombre de confaminations chez les homosexuels ne diminue pas De nouvelles id es mergent pour prendre en compte les sp cificit s de certains modes de vie Enfin Sidaction a soutenu les initiatives inter associatives aupr s des pouvoirs publics pour rattraper l norme retard de la mise en place en France du d pistage avec des tests rapides En quoi Sidaction reste t elle d terminante dans son soutien aux associations Beaucoup de structures survivraient pas sans Sidaction 2007 elles sont encore plus nombreuses nous solliciter Nous sommes pourtant l un des rares secteurs du sanitaire et social dans lequel les sub ventions ne sont pas p rennes mais renouvelables exceptions faites des Caarud
37. AIDS 27 340 37 500 dans le cadre des projets internationaux des subventions de la Direction G n rale la Sant DGS 80 000 de la Direction de l administration p nitentiaire 30 000 du minist re de l Outre mer 20 000 A ces montants s ajoutent les subventions li es au projet de pr vention en milieu scolaire Pour la Vie men en partenariat avec le minist re de l Edu cation nationale France 5 Education et des conseils r gionaux pour 34 000 la subvention Education nationale pour le d tachement d un salari 43 993 Les transferts de charges 295 se composent des participations des tablissements scolaires aux frais d envois des DVD Pour la vie Les autres produits concernent les redevances droits d auteurs de diffusion sur les albums Ensemble No l Ensemble Love United 10 ans ensemble 120 923 les dons du public 15 348 463 les produits des diff rentes op rations de collecte men es au profit de Sidaction 862 605 les dons d entreprises pour le magazine Transversal 9 700 les produits des legs encaiss s durant l exercice apr s autorisa tion pr fectorale ainsi que des assurances vie 434 847 les cotisations des membres 1 110 les produits divers de gestion 52 026 qui recouvrent la parti cipation aux frais de gestion accord e parle minis
38. ARIS Dr Mireille AL HADDAD LAFORGE Laboratoire du D veloppement Lymphoi de Normal et Pathologique au cours de l infection VIH INSERM ADZPAT2 CRETEIL Dr Firouz BANI SADR Sant Publique et Science de l Information Biom dicale INSERM U707 PARIS Sandra BASCOUGNANO Unit de Recherche Migrations et Soci t s CNRS UMR 7032 PARIS Dr Renaud BECQUET ISPED INSERM U593 BORDEAUX Dr Amar BENNASROUNE Laboratoire ATIP Traffic membranaire et signalisation lipidique CNRS UMR 7156 STRASBOURG Jana BLAZKOVA Institut de Canc rologie de Marseille INSERM UMR599 MARSEILLE Gwenoline BORHIS Service d Immunologie Virologie CEA FONTENAY AUX ROSES Dr Martine BRAIBANT Unit de Virologie INSERM ESPRI 19 EA 3856 TOURS Dr Nicoletta Groupe Virus et Immunit CNRS URA 1930 PARIS C cile CHARTRAIN Centre de Recherches sur l Action Politique en Europe CNRS UMR 6051 RENNES Sylvain COSQUER Laboratoire de Biotechnologie et de Pharmacologie G n tique Appliqu e CNRS UMR 8113 CACHAN Dr Magalie CREMEL Laboratoire d Immunit Muqueuse et Vaccination INSERM UMR 721 NICE Elodie Laboratoire d Enzymologie Mol culaire CNRS UMR 5075 GRENOBLE Dr Pierre DE BEAUDRAP laboratoire et Maladies Associ es CNRS UMR 145 LYON Sophie DJETCHA Centre de Recherche Cultures Sant Soci t JE 2424 AIX EN PROVENCE Dr Lucile ESPERT Laboratoire Infections R trovirales et Signal
39. Dr Andrea CIMARELLI Laboratoire de Virologie Humaine INSERM 0758 Ecole Normale Sup rieure de Lyon Lyon Dr Fran ois CLAVEL Unit de Recherche Antivirale INSERM 0552 Groupe Hospitalier Bichat Claude Bernard IMEA INSERM Paris Pr Jean Luc Ecole Normale Sup rieure INSERM U758 Virologie Humaine Lyon Fabien GIRAUDEAU Act Up Paris amp TRT 5 Paris Dr C cile GOUJARD Service de M decine Interne H pital de Bic tre Le Kremlin Bic tre Dr Sophie GRABAR Laboratoire de Biostatistique et Informatique m dicale H pital Cochin Paris Pr Roger GUEDJ Laboratoire de Chimie Bioorganique CNRS UMR6001 Facult des Sciences Nice Dr Anne Genevi ve HELIOT MARCELIN Service de Virologie H pital de la Piti Salp tri re Paris Dr Simon LITVAK Laboratoire de R plication et d Expression des G nomes Eucaryotes et R troviraux REGER Universit Victor Segalen Bordeaux 2 Bordeaux Dr Christiane Laboratoire de Pathog nie des Infections Virales Persistantes UNV40961 Universit Louis Pasteur Strasbourg 29 Dr Laurence MORAND JOUBERT Service de Bact riologie et de Virologie H pital Saint Antoine Paris Dr Jean Fran ois MOUSCADET Laboratoire de Biotechnologie et pharmacologie G n tique Appliqu e LBPA CNRS UMR8113 Ecole Normale Sup rieure de Cachan Cachan Dr Matteo NEGRONI Institut de Biologie Mol culaire et Cellulaire Strasbourg Dr Ch
40. ENS Cachan Une dizaine de personnes grands donateurs salari s et b n voles de Sidaction ont t re us l ENS Cachan par le Professeur Jean Fran ois Mouscadet qui fait r f rence dans le domaine des anti int grases Les visi teurs ont pu mesurer l importance de financer les tudiants chercheurs pour garantir les avanc es dans la recherche sur le VIH d cembre Sortie du Guide Prison 2007 a ut AG ENSEMBLE CON Pr Yves L vy Pr sident du Comit Scientifique et M dical de Sidaction La recherche avance m me si on meurt toujours du sida En 2007 quels sont les r sultats visibles de la recherche contre le sida L ann e 2007 a t riche en nouveaut s dans le domaine des m dicaments antir troviraux Avec 5 nouvelles mol cules disponibles en France depuis fin de l ann e et l arriv e prochaine de la premi re combinaison de 3 antir troviraux en un seul comprim ef une seule prise par jour nous avons de bonnes nouvelles qui repr sentent une bouff e d espoir pour les patients Ainsi aujourd hui en France au total 6 familles de m dicaments et 25 mol cules antir tro virales sont disponibles Toutefois ces traitements prendre vie pr sentent de nombreux inconv nients pour les patients ef les moyens mis en uvre pour une recherche de qualit contre le VIH sida doivent perdurer Pourquoi avons nous
41. LON FRANCE Mme Nicoleta DASCALU ARAS ROUMANIE Pr Alice DESCLAUX IRD S N GAL Dr Alioune BLONDIN DIOP M decins d Afrique FRANCE Mme Rose DOSSOU Chigata C TE D IVOIRE Dr Joseph ESSOMBO Elizabeth Glaser Paediatric Aids Foundation C TE D IVOIRE Mme Delphine FLOURY Plate forme ELSA FRANCE Dr Isaline GREINDL AEDES BELGIQUE Dr Alice GOUGOUNON Racines B NIN Dr Jean BAPTISTE Guiard Schmid OMS BURKINA FASO Mme Christine KAFANDO la MAS BURKINA FASO M Adama KOMPAOR AAS BURKINA FASO Dr Val riane LEROY ISPED FRANCE M Othman MELLOUK ALCS MAROC Dr Fran oise RENAUD THERY OMS SUISSE Dr Emmanuel RICARD Soci t Fran aise de Sant Publique FRANCE M Nicolas RITTER PILS lle Maurice Dr Margaret SANGA SWAA Littoral CAMEROUN M Mohamed TOUR K n dougou Solidarit MALI Dr Siaka TOUR Aconda C TE D IVOIRE Dr Roland TUBIANA H pital de la Piti Salp tri re FRANCE M Arnaud WASSON SIMON AIDES FRANCE Pr Laurence WEISS H pital Europ en Georges Pompidou FRANCE Mme Corentine ZANKPE Yovo ELSA FRANCE Le comit Qualit de vie et qualit des soins Dr Ana CANESTRI M decin hospitalier Service de M decine Interne H pital de la Piti Salp tri re Paris Agn s CERTAIN Pharmacien praticien hospitalier H pital Bichat Claude Bernard Paris Guillaume DEROCHE Th rapeute praticien shiatsu R seau Sant Provence Aix en Provence
42. PARIS Dr Guillemette MASSE D partement des Maladies Infectieuses INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Saori MATSUOKA Unit de Recherche Antivirale INSERM U552 PARIS 13 Dr Fabrice MICHEL D partement de Biologie et G nomique structurales CNRS UMR 7104 ILLKIRCH GRAFFENSTADEN Dr Christian MOUALA Epid miologie clinique de l infection VIH INSERM 214 PARIS Dr Michelina NASCIMBENL Pr sentation de l an tig ne par les cellules dendritiques INSERM 567 UMR CNRS 8104 IFR 116 PARIS Dr Ariane POISSON Laboratoire de Biologie Mol culaire et Cellulaire de la Diff renciation INSERM U309 LA TRONCHE Dina RAKOTOBE Virologie et Pathog n se Virale CNRS UMR 5537 LYON Mary Sophie REQUENA Equipe Immunit et Bioth rapie Muqueuse INSERM U743 PARIS Dr Asier SAEZ CIRION Unit de Biologie des R trovirus Institut Pasteur PARIS Dr SAIDI 4 URE Immunit Anti Virale Bioth rapies et Vaccins Institut Pasteur PARIS Dr Aur lie SCHNURIGER Laboratoire d Immu nologie Cellulaire et Tissulaire INSERM 0543 PARIS Amina SHABOU Organisation Internationale pour les Migrations PARIS Nora TAMARA laboratoire de Recherche Antivirale INSERM 0552 PARIS Dr Huifeng YU D partement de Biologie Cellulaire INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS l a b n fici d un co financement de la Fondation de France 2 a b n fici de deux aides aux quipes en 2007 3 a b n fici de deux bourses en 2007
43. Suivi financier Ridha NOUIOUAT Mission Milieu carc ral Fr d rique VIAUD Responsable de suivi des projets 2 sortant 2007 Service communication et collecte de fonds Christine TABUENCA Directrice de la collecte de fonds et de la communication Marie Adjointe de direction Fran oise GODARD Responsable des v nements en r gions Francis GIONTI Responsable des relations presse et m dias Pascale DECAP Responsable du marketing direct Ana s MERINO Adjointe marketing direct M lanie DESPREZ Assistante marketing direct Delphine SOUFFRE LAJUS Assistante marketing direct Miassa AIMENE Responsable webmarketing Koffi MESSAN Responsable relations donateurs Vincent BODIN Responsable v nementiel partenariat Thomas GAUTIER LALLIA Assistant v nementiel partenariat Aude LECAT Relation Grands donateurs Marie GARNIER Mission Pour la vie Janet GOODE Responsable b n vole de la Phototh que Alexis BLOCH Responsable b n vole de la vid oth que 2 sortant 2007 Retrouver la composition actualis e du Conseil d administration et de l quipe de Sidaction sur www sidaction org EEE L organisation de Sidaction 2007 Service des programmes internationaux Eric FLEUTELOT Directeur des programmes internationaux Marie HELLOUIN DE C NIVAL Responsable p le Ethique dans la recherche Julie LANGLOIS Responsa
44. UD Vice pr sidente Pr Fran oise BARR SINOUSSI Administratrice Institut Pasteur Jean Marc BORELLO Vice pr sident Pr sident d Arcat Claire BOUGARAN Administratrice Union nationale des Associations de lutte contre le sida Hugues CHARBONNEAU Administrateur Emmanuel CH TEAU Vice pr sident suppl ant du co Pr sident d Act Up Paris Jean Fran ois DELFRAISSY Administrateur H pital du Kremilin Bic tre Christian DOUBRERE Administrateur Union nationale des Associations de lutte contre le sida Hugues FISCHER vice pr sident co Pr sident d Act Up Paris Louis GAUTIER Administrateur Conseiller ma tre la Cour des Comptes Edmond Luc HENRY Tr sorier Pr sident de l Association Fran aise des H mophiles Hakima HIMMICH Administratrice Pr sidente de L Association marocaine de lutte contre le sida CHU Ibn Rochd Denis LACOSTE Administrateur Pr sident de la Soci t Fran aise de Lutte contre le sida Jean Paul Administrateur Universit de la M diterran e Christine ROUZIOUX Administratrice H pital Necker Olivier S GOT Secr taire g n ral Jeanne GAPIYA NIYONZIMA Pr sidente de l Association Nationale de Soutiens aux S ropositifs et Sid ens Burundi Philippe MSELLATI Institut de Recherche pour le D veloppement Issoufou TIENDREBEOGO Pr sident de l Association African Solidarit Burkina Faso Yves SOUTEYRAND Organisation Mon
45. UEIL Nord Pas de LILLOIS Calais LES SOEURS DE LA PERPETUELLE INDULGENCE Nord Pas de COUVENT DE PANAME Calais ACTION SANT ALTERNATIVE PACA AFRISANTE PACA ASFCF ACTION DE SOLIDARIT FRANCO COMORIENNE PACA EN FRANCE La pr vention et l aide aux malades Associations soutenues dans le cadre de l appel Associations soutenues dans le cadre de l Appel d offres 2007 suite Projets Milieu Carc ral L EGALIT LIBERT FRATERNIT L ELF PACA SIDA INFO SERVICE Guyane LO TIPI LA CIUTAT PACA SIDA PAROLES R SEAU SANT MARSEILLE SUD PACA MIGRATIONS SANT R SEAU SANT PROVENCE PACA SIDA INFO SERVICE ASSOCIATION FRANCO MAGHREBINE DU ASSOCIATION SANTE MEDIATION ET lle de France Ile de France lle de France lle de France RHONE Rh ne Alpes DEVELOPPEMENT ASSAMEDE PR VENTION ACTION SANT TRAVAIL CONTACT LYON Rh ne Alpes 26 POUR LES TRANSGENRES ler cie eines KEEP SMILING Rh ne Alpes LA CASE DE SANTE OBSERVATOIRE INTERNATIONAL DES PRISONS SECTION FRAN AISE ACT UP PARIS National SOCIETE D HEPATO Midi Pyr n es National Aides exceptionnelles 2007 Nom Association R gion ASUD LOIRET Centre GASTROENTEROLOGIE DE CATALOGNE National MFPF CONF D RATION le de France ROUSSILLON LA R SILIENCE EE ACTION POUR LA CITOYENNET ET PACA L EDUCATION LA SANT ACCES Languedoc ENVIE Peu los SIDA INFO SERVICE PACA ACT UP TOULOUSE Midi pyr n es NOUVELLE OUVERTURE VERS L AVENIR 2
46. al avait t lanc 2007 serait l ann e du renforce ment du soutien de Sidaction aux actions de pr vention en direction des homosexuels Pour ce faire le Conseil d ad ministration d bloqu une enveloppe de 220 000 euros pour soutenir la mise en place de programmes de terrain Des r unions de concertation avec le milieu associatif ont pr c d la mise en place d un appel projets sp cifique Les associations t invit es avant le 5 octobre 2007 d poser leurs demandes de financement La capacit aller au devant des personnes l innovation de l action ont t les crit res retenus pour valider les projets pr vention sur les lieux de rencontre ou sur Internet d pistage promotion du traitement d urgence soutien en groupe o en entre tien individuel sensibilisation des personnels de sant aux modes de vie gay ont t retenus comme axes prioritaires Avant cet appel projets des programmes de pr vention et de soutien aux gays s ropositifs taient financ s dans le cadre de l appel d offres associatif ou des partenariats de Sidaction sans qu ils fassent l objet d une enveloppe d di e Deux journ es de travail les 13 et 15 juin 2007 co organis es par Actis Saint Etienne et le Kiosque Paris regroupant une trentaine d intervenants de la lutte contre le sida ef de la communaut gay ont pr c d la r daction de cet appel Peu d associations gays ont r pondu pr sent Parmi
47. amp DU SUD EST f L 2239 000 380000 4 MILLIONSA Ces LA 4 2 un f y f 6 G A d La N Y zA Ve j J 6 N AFRIQUE SUBSAHARIENNE f 9 D AM 22 5 MILLIONS AMERIQUE LATINE 5 6 MILLION n EN h y a 4 r g Nombre d enfants et d adultes vivant avec le VIH source Onusida 2007 Faire plus ef mieux oui mais comment D abord gr ce aux donateurs de Sidaction qui nous donnent les moyens d agir Notre budget a aug ment de 15 et nous a permis d accueillir 2007 une nouvelle personne dans l quipe Nous sommes aujourd hui 7 salari s dont la raison d tre est de rester au service de nos partenaires Notre nouveau d fi est que Sidaction devienne d ici trois ans une ONG inter nationale Son mod le de collecte et de distribution est transposable puisqu il existe avec succ s au Maroc et bient t peut tre dans un autre pays d Europe Le Mali se dit lui aussi int ress Nous tenons ce que la r flexion mane du terrain et que nos efforts s asso cient toujours ceux des populations locales pid mie dite stabilis e Sidaction plus que jamais mobilis e Sur le front du VIH sida se m fier des fausses bonnes nou velles est la condition sine qua non pour ne pas baisser garde face un fl
48. ampagne des ann es 80 Le sida il ne passera pas par moi Aujourd hui il est urgent de d livrer message positif qui permette chacun de dire La pr vention elle passera par moi Nous avons la possibilit de faire reculer le VIH En informant davantage que le pr servatif reste l unique moyen de ne pas tre contamin par le virus du sida C est pourquoi Sidaction a d cid de faire de la pr vention gay une priorit car l pid mie demeure forte parmi les gays l urgence est d informer au plus pr s l heure o les campagnes nationales sont timo r es voire inexistantes et que l pi d mie progresse inexorablement Doit on encore rappeler que mieux vaut pr venir que gu rir D autres avanc es doivent nous encourager Nos engagements pris en 2006 aupr s des jeunes cher cheurs ont t tenus en 2007 Une ann e riche au niveau m dical puisque 5 nouvelles mol cules sont disponibles en France avec l arriv e prochaine de la premi re combi naison de 3 antir troviraux en un seul comprim et une seule prise par jour Des quipes de recherche ont pu travailler en Afrique avec les popula tions locales favorisant le consente ment clair de part et d autre Une charte de qualit a t sign e avec l administration p nitentiaire fran aise qui s engage faciliter l acc s des tablissements p nitentiaires aux associations de lutte contre le sida partenaires de Sidaction U
49. an ACTIF Immobilisations incorporelles 31 12 06 2007 2007 31 12 07 74 400 0 0 74 400 Amortissement lin aire sur dur e de vie du bien 1 3 ans Immobilisations corporelles La dur e r elle d utilisation des immobilisations corporelles est prise en compte comme base de calcul Les dur es d amortissement sont donc les suivantes 5 ans pour les travaux et les imprimantes 3 ans pour le mobilier ef les ordinateurs fixes 2 ans pour les ordinateurs portables Total au Acquisition Total au 31 12 06 2007 31 12 07 Construction de l association non amortissable uvre d ar 1 090 997 0 0 1 090 997 Installation du si ge de l association 116 698 2 098 0 118 796 Mat riel informatique 184 638 56 870 32 736 208 772 Mobilier de bureau 38 449 0 0 38 449 Immobilisations financi res Ce montant correspond principalement au d p t de garantie vers par l association pour ses locaux administratifs Il s agit donc de cr ances plus d un an Cr ances Les cr ances s tablissent 249 388 Elles concernent Cr ances sur PArfENGITES ner 5 295 26 354 Comptes associ s ANRS Cotisations 4 317 222 800 Provision pour d pr ciation partenaires 377 Provision pour d pr ciation cptes associ s 5 000 Les ac
50. ans ces pays 44 demandes de financement ont t trait es et accept es 26 28 novembre Comit associatif sida 30 novembre 1 d cembre Colloque Femmes et VIH 10 ans apr s Act Up Paris le Planning Familial et Sida Info Service rejoints par 16 associations de femmes de lutte contre le sida ont orga nis ce colloque soutenu par Sidaction avec le minist re de la Sant afin de faire circuler et de rendre accessible toutes les connaissances m dicales pi d miologiques sociologiques mais aussi ef surtout d entendre et de faire entendre la parole des femmes vivant avec le VIH 1 d cembre Journ e mondiale de lutte contre le sida Le 1 d cembre est une occasion unique de mobilisation du plus grand nombre autour de la lutte contre le sida et de ses enjeux actuels C est dans ce cadre ef pour symboliser la force de la mobilisation que Sidaction en collaboration avec les associations locales de lutte contre le sida a organis de grandes cha nes de solidarit dans huit villes de France Bordeaux Caen Lille Lyon Marseille Paris Reims et Toulouse 7 Du 19 au 30 novembre 10 s ances de sensibilisation dans les coll ges ont t organis es sous forme de duo Une personnalit et une personne vivant avec le VIH ont port le message de pr vention et apporter leur t moignage en s appuyant sur les outils Pour la vie Le but tait de parler aux jeunes avec humour
51. association Ruban Rouge Abidjan C te d Ivoire a profit de ce dis positif Sensibiliser le personnel une gestion rigoureuse des stocks peut viter leur rupture notamment gr ce leur infor 25 matisation 4 pharmacies communautaires au Mali ont ainsi pu jouir de ces outils ainsi que d une assistance distance Le B nin le Zimbabwe et le Kenya ont aussi b n fici de cet accompagnement Une journ e de formation sur les traitements anti VIH et le suivi biologique a t organis e en novembre Douala au Cameroun par Sidaction en lien avec des consultants locaux Une trentaine d acteurs asso ciatifs soignants et conseillers psychosociaux ont particip cette rencontre qui a permis d changer sur les th mes d actualit li s au m dicament Depuis la France l appui technique de Sidaction reste en alerte Il joue les interm diaires entre des industries phar maceutiques et les partenaires afin que certains m dica ments soient disponibles localement 18 structures dans 12 pays ont aussi pu tre d pann es en petites quantit s de m dicaments en rupture de stock De plus 2 associations burundaises ont t soutenues administrativement pour la mise en place d un programme de donation d un m dica ment combattant certaines infections opportunistes le flu conazole Plus qu en aval Sidaction veut tre efficace en amont pour que l approvisionnement des antir troviraux se d roule au mieux Cette ann e
52. ation en faveur des pays en d veloppe ment Hard to Reach Paris Sida Sud Sidaction Communaut s Unit de formation PED Grandir et Ethique ces co ts s ajour tent ceux li s aux op rations d changes entre les associations dans les PED 126 833 correspondent aux d penses effectu es dans le cadre du programme mobilisation associative dans les COREVIH 3 676 correspondent aux d penses effectu es dans le cadre du Lieu de Connaissance et de M moire du Sida Art re Les co ts li s aux salaires et charges sociales des personnes sala ri es de l association en charge de la mise en uvre de ces dif f rents programmes sont compris dans ces co ts et s l vent 1 048 751 147 783 correspondent aux co ts indirects des actions de lutte contre le sida men es l association quote part des frais de structure 8 632 554 correspondent des versements de subventions et bourses 2 5 Information sur les ressources engag es non vers es Les engagements vot s au b n fice des actions associatives d information de pr vention et d aide aux malades et des pro grammes de recherche et d am lioration de la qualit de vie res tant verser s l vent 6 114 975 Pour les actions associatives d information de pr vention et d aide aux malades en marge de ses propres programmes Sidaction a engag en 2007 pour 4 946 millions d euros de subventions asso c
53. ation sur les autres activit s Cette ligne correspond aux produits non inclus aux dons de Sidaction issus des partenariats et op rations de collectes sp cifi ques ainsi qu aux subventions spontan ment vers es Sidaction par certaines communes comme suit d ner de la mode 450 744 op rations r gionales 162 585 op ration Fil Rouge 50 600 boutique Internet 6 806 autres partenariats et op rations 90 325 43 1 5 Information sur les produits financiers Les produits financiers 255 609 concernent les plus values g n r es par les placements court terme de la tr sorerie de l association Le placement financier des fonds issus de la g n rosit publique est effectu en Sicav et Fonds communs de placements bancaires 2 Note sur les emplois Pour des raisons de lisibilit les co ts sont affect s aux types de ressources auxquels ils se rapportent La distinction entre co ts directs et co ts indirects est conserv e conform ment aux dis positions du d cret du 30 juillet 1993 Le total des emplois de l ann e 17 480 150 est indiqu en pied de compte d emploi des ressources Comme pour l exercice 2006 les co ts li s la structure ont t rattach s aux types d activit s auxquels ils se rapportent La ven tilation a t effectu e suivant la superficie de locaux administra tifs occup s par les personnels attach s ces activit s Les c
54. axes et versements assimil s 215 620 186 013 31 12 2007 17 041 donc les suivants Salaires et traitements 1 820 604 1 594 164 Charges sociales 928 711 863 802 Solde restant Nouveaux Modification Versements Reliquats Restitutions Solde restant Dotations aux amoriissements 74 110 81 406 verser engagements sur effectu s sur renonciation verser au 01 01 2007 2007 engagements 2007 financements surfinan 31 12 2007 Dotations aux provisions 25 543 25 269 B 09 0 3 cements A B C D E F Pr vention et aide aux malades 494 260 3 004 956 23 166 3 212 564 9 218 18 580 272 848 subventions vers es 8 032 554 7 708 319 Appels d offres 295 233 732 189 23 166 804 770 9 218 18 580 208 848 Autres charges 191 939 5 506 Associations partenaires 182 200 2 168 207 2 286 407 64 000 Missions sp cifiques 308 342 678 595 10 000 711 395 8 500 257 042 Produits financiers 255 609 93 413 d partements fran ais d Am rique 10 000 294 300 286 900 17 400 Emploi 38 800 164 409 194 209 9 000 Produits nets sur cession de SICAV 255 609 93 413 Pr vention et soutien en milieu carc ral 38 900 219 886 10 000 230 286 8 500 10 000 Ch arges financi res 290 558 R serve pour projet Pr vention Gay 220 642 220 642 Am lioration de la qualit de vie 334 829 72 300 72210 72 300 262 619 Int r ts charges assimil es 290 558 Programmes sp cifiques 844 449 1 220 796 43 709 1 089 439 932 097 Produits exceptionnels 11 570 85
55. ble p le m dicaments Anna NDIAYE Responsable p le gestion finance Marie NAQUET Responsable p le gestion finance Julien POTET Responsable p le enfants Cl mence PRUNIER DUPARGE Responsable p le populations exclues Florence THUNE Responsable p le formation Publication Neijma HAMDAOUI R dactrice en chef Juliette BASTIN R dactrice en chef Fran ois BENET Consultant Strat gie 2 sortant 2007 Sidaction ne pourrait pas exister sans la mobilisation des donateurs des b n voles et des entreprises partenaires Plus de 90 des ressources de Sidaction proviennent de la g n rosit du public et des entreprises partenaires dons en argent vente de produits d riv s pro duifs partages don nature legs En 2007 Sidaction comptait 517 339 dona teurs fid les ayant fait au moins un don dans les 18 mois Leur fid lit est vitale pour la poursuite des missions de Sidaction 4500 b n voles taient sur le terrain l occasion du Sidaction 2007 pour assurer le succ s de celui ci Pendant trois jours ces b n voles se sont relay s pour saisir les promesses de dons ef pour organiser des animations de collecte de fonds et d information a PE 2 PE 1 x LE Un grand merci tous les stagiaires pour leur investissement et moti vation qui pendant plusieurs semaines d activit s intenses ont renforc s l quipe
56. ce 578 617 6 991 928 9 266 155 2 852 843 5 090 610 5 090 610 676 889 6 6 889 907 607 907 607 469 652 469 652 524 059 524 059 8 540 573 8 540 573 46 693 46 693 250 000 250 000 2 584 978 2 584 978 7 142 981 5 349 018 9 235 778 11 029 741 3 541 944 3 541 944 546 889 546 889 813 363 813 363 469 652 469 652 524 059 524 059 8 540 573 8 540 573 148 316 148 316 250 000 250 000 2 584 978 2 584 978 communication 50 Les comptes de Sidaction 2007 Provisions pour risques charges Les provisions pour risques et charges d un montant de 16 166 correspondent un licenciement en cours au 31 12 2007 et un proc s en appel Dettes Les dettes fournisseurs 765 457 correspondent des frais du la provision pour les piges r gl es en janvier 2008 pour le dernier num ro de l ann e 2007 de Transversal 6 192 Toutes les dettes sont d ch ance un an au plus Produits constat s d avance Les produits constat s d avance s l vent 170 699 Il s agit de dons ou participations re us en 2007 correspondant des op ra Compte de r sultat de Sidaction au 31 d cembre 2007 39 dernier trimestre 2007 dont le r glement a t effectu en 2008 de collecte et de communication du premier trimestre 2008 Produits d exploitation 18 120 743 18 590 480 444 520 aux factures non parvenues 205 387 des avances Fondation MAC
57. celles choisissant l alimentation de substitution AU dernier trimestre 179 enfants s ro positifs ou expos s au VIH nourrissons au statut encore inconnu taient suivis dont 127 de moins de 18 mois Sidaction un plaidoyer pour la recherche En 2006 Sidaction lan ait Un programme sur l thique de la recherche VIH en Afrique Co financ par l ANRS il visait donner les moyens la soci t civile africaine de mieux s approprier les recherches sur le sida Quelles avanc es en 2007 Le Burkina Faso a t promu pays prioritaire pour instaurer Une dynamique de mobilisation 15 associations de lutte contre le sida du pays se sont inspir es d une enqu te concernant leurs relations avec le monde de la recherche pour d finir une feuille de route principes thiques faire res pecter centre de documentation conseils aux associations pour un meilleur contr le des essais cliniques sont les prio rit s Un blog r cemment mis en ligne rendra compte des avanc es du chontier burkinab concernant les r flexions communautaires sur l thique de la recherche Un forum de discussion sur Internet re oit 10 30 messages par mois d acteurs communautaires ou de divers experts une sorte de prise de temp rature en ligne des revendications du moment libert de sortir des essais impact des recherches sur la circoncision masculine voir encadr cons quences de l arr t d un essai vaccinal en Afrique du Sud En o
58. d convaincre le minist re de la Sant du bien fond des tests rapides incitant un plus grand nombre de citoyens se d pister Enfin les actions soutenues l international sont mises en place par des associations ind pendantes de Sidaction avec lesquelles partage d exp rience et transmission des savoirs sont au coeur de notre travail Et en 2008 Continuons faire changer les choses D j des pistes se dessinent pour fonder nos actions la mise en place des Corevih des changes inter associatifs dans les d parte ments fran ais d Am rique la formation de soignants dans les pays du Sud la lutte contre les discriminations l embauche l acc s la formation et au partage des expertises entre partenaires la pr vention la recherche et bien entendu le maintien et le d veloppement de la collecte pour mener bien fous ces projets Les comptes de Sidaction 2007 ner la mal Avril Faites vos don action 2006 du gt Le mot du tr sorier L ann e 2007 a confirm l volution de l association qui a vu Sidaction passer d une position de simple bailleur de fonds celle d acteur majeur de la lutte contre le sida en France et l international Les fonds collect s par Sidaction en 2007 s l vent 18 1 mil lions d euros L op ration Sidaction t l et radio t recon duite avec 15 partenaires m dia Elle a permis de collecter 5 9 millions d euros soit un tiers
59. de formation des professionnels Elles ont permis de cr er r seau d changes d informar tions de soutien qui fonctionne de mani re autonome Cette session de formation avait pour objectifs e Am liorer la connaissance des contraintes des diff rents acteurs professionnels et personnes concern es pour faciliter les collaborations et l accompagnement Identifier et formuler les freins l accompagnement afin de les pr senter lors de la r union inter institutionnelle du 3 d cembre la Mairie de Paris Pr parer les questions et les propositions soumises lors de cette m me r union ainsi que son d roulement nous sou haitions en effet qu elle soit men e par les professionnels et les personnes concern es septembre octobre Transversal n 37 Tuberculose et VIH un duo meurtrier 2 octobre Point presse annonce des r sultats du Sidaction 2007 A l occasion de l annonce du r sultat final du Sidaction 2007 5 9 millions d euros Sidaction d voile sa nouvelle cam pagne Le Sablier rappelant la r alit de l pid mie dans le monde 1 mort toute les 10 secondes Cette campagne t r alis e gracieusement par l agence Leo Burnet 12 octobre Congr s de Strasbourg SFLS La Soci t Fran aise de Lutte contre le Sida SFLS cr e en 1994 compte 800 adh rents repr sentant les diff rentes cat gories de professionnels de sant principalement hos pitaliers ma
60. de personnes s ropositives en Europe occidentale surtout en France ef au Royaume Uni en Europe centrale en Asie de l Est En 2007 chaque jour sur la plan te 6 800 personnes ont t d pist es positives au VIH et 5 700 autres sont mortes du sida Au total 2 5 millions de nouvelles contaminations et 2 1 millions de morts en une seule ann e Le sida reste en Afrique la premi re cause de mortalit et avec ses 22 5 millions de personnes touch es le continent totalise 68 de l pid mie mondiale et 76 des d c s Des pays voient m me le virus se propager davan tage comme c est le cas au Burundi Parce que le sida touche principalement les personnes g es entre 20 et 40 ans et notamment les jeunes femmes l impact social co nomique et culturel de la pand mie sur le continent africain est consid rable Avec un recul de 30 ans d esp rance de vie dans les pays les plus touch s d Afrique australe la pro gression d mographique de l Afrique est stopp e hypoth quant gravement sa croissance conomique Les Cara bes sont la seconde r gion du monde la plus affect e avec 1 de la population s ropositive Le nombre de malades continue augmenter L acc s favoris aux traitements anti VIH am liore l esp rance de vie mais on continue toujours contracter le virus du sida aux quatre coins du monde R pondre aux besoins du terrain l autre danger des chiffres est leur possible cons quence financi re
61. des ressources de l association Cette stabilisation des ressources un niveau lev a permis Sidaction de consacrer 11 4 millions d euros aux missions sociales de l association 1 1 million de plus qu en 2006 Le financement direct de programmes de pr vention d aide aux malades ou de recherche en France ef dans les pays en voie de d veloppement reste la mission principale de Sidaction L association a ainsi vers 8 6 millions d euros en 2007 aux structures de recherche de lutte contre le sida en France et l tranger soit progression de plus de 900 000 par rapport l ann e pr c dente Pr s de 4 millions d euros ont ainsi t vers s aux associations menant des actions de pr vention et d aide aux malades en France m tropolitaine ainsi que dans les d partements fran ais d Am rique 2 33 millions d euros aux structures de lutte contre le sida des pays en d veloppement et en transition et 2 3 millions ont t consacr s la recherche scientifique et m dicale Ces soutiens financiers s accompagnement d une aide la gestion et la structuration des associations ainsi que d une assistance au montage de projet et au suivi et l valuation des actions men es Au del des appels d offres Sidaction d velopp des missions sp cialis es visant faire merger de nouveaux projets et rassembler les acteurs associatifs dans des domaines jug s prioritaires par le Conseil d administra
62. diale de la Sant Pascal OBISPO membre d honneur 1 sortant en 2007 Comit scientifique et m dical Pr Yves LEVY Service d Immunologie Clinique H pital Mondor Creteil Dr Ali AMARA Unit Pathog nie Virale Mol culaire INSERM U819 Institut Pasteur D partement de M decine Mol culaire Paris Dr Fran oise BACHELERIE Unit d Immunologie Virale Institut Pasteur D partement de M decine Mol culaire Paris Franck BARBIER TRTE Pantin Dr Genevi ve BECK WIRTH D partement d H matologie clinique H pital Emile Muller Mulhouse Dr Monsef BENKIRANE Laboratoire de Virologie Fondamentale CNRS UPR1142 Institut de g n tique humaine IGH Montpellier Dr Eric BILLAUD Service de M decine Interne CHU de Nantes Nantes Dr Michel BOZON Institut National d Etudes D mographiques UR 4 Equipe D mographie genre et soci t s Paris Dr Sophie CAILLAT ZUCMAN Laboratoire d Immunologie Equipe AVENIR PASTEUR H pital Necker Enfants Malades Paris Dr Bruno CANARD Laboratoire Architecture et Fonction des Macromol cules Biologiques Ecole Sup rieure d Ing nieurs de Luminy ESIL Marseille Dr Guislaine CARCELAIN Laboratoire d Immunologie Cellulaire et Tissulaire INSERM U543 H pital de la Piti Salp tri re Paris Patrizia Epid miologie amp Sciences Sociales Appliqu es l Innovation M dicale INSERM U379 Institut Paoli Calmettes Marseille
63. eetic 9cegetel Orange Yahoo Les Partenaires produit partage 2007 BNP la troupe de Cabaret les ditions du Cherche midi Durex Equitel Opinion way Equitel Neuf HSBC le th tre des Vari t s le th tre des Folies Berg res Mac Aids Fund Paco Rabanne Puig S lection du Rider Digest Stage Entertainment les photographes Julio Piatti et Tom Ruiter Les partenaires du diner de la mode 2007 Brantes et Associ s Le Domaine Barons de Rothschild Lafite Dom P rignon Dor S curit Eliane de la B raudi re La F d ration Fran aise de la Couture et du pr t porter des Couturiers La Fondation Yves Saint Laurent Florence Dor JJP Conseil La Mode en Images Le Pavillon d Armenonville Lomarec Ma tre Remy Le Fur Olivier Massart et l quipe de la Mode en Images Patricia Goldman Communication Potel amp Chabot S bastien Mengozzi fleuriste Les partenaires 1 d cembre Durex EMI IDTGV SNCF IFOP L o Burnet La villette Mairie de Paris MSN France 5 ducation Fun radio Starcom Les partenaires de Sidaction tout au long de l ann e ANRS AREVA F d ration fran aise de tennis Fondation de France France 5 France coop ration Je veux aider com Initiative d veloppement Institut Pasteur La ligue de l enseignement Minist re de l ducation Nationale Mac Aids fund Minist re des Affaires rang res Minist re de l Agriculture et de la p che Minist re de la Jeunesse et des Sports Minis
64. et des appartements de coordination th rapeutique Est ce une ann e qui rend optimiste Je ne le suis pas pour deux raisons Il est difficile d imar giner des collectes plus importantes dans le contexte actuel ef les pouvoirs publics ne prennent pas assez leurs responsabilit s Au lieu d tre second e Sidaction pallie de plus en plus le d sengagement de l Etat sur le terrain Quant la perception du les mentalit s n voluent gu re L espoir se loge dans notre cr ativit et dans notre r activit s emparer de ces combats La place des personnes vivant avec le VIH dans notre soci t est le nouveau d fi de la lutte contre le sida VIH en France chiffres en baisse inqui tudes en hausse En 2007 environ 134 000 personnes vivent avec le VIH dont 27 000 ont d clar le sida Environ 6 500 nouveaux cas de d couverte de s ropositivit contre plus de 7 000 en 2006 ne faut cependant pas se r jouir trop vite La France est avec la Grande Bretagne le mauvais l ve de l Europe occidentale avec une recrudescence de comportements risques 40 000 personnes seraient s ropositives sans le savoir ou ne veulent pas faire de test ef Une personne sur deux apprend sa s ropositivit au stade sida Une fois encore Sidaction dans son r le de vigie sur le front du VIH s est fortement engag e aupr s des associations pour r pondre aux exigences du terrain Partout dans gone et dans les d
65. et l g ret mais aussi avec gravit de sexualit du sida des risques de leur expliquer comment se prot ger comment d pister le virus de cr er un dialogue pour faire changer leur vision de la maladie et des s ropositifs Merci Yvan le Bolloch Louise Bourgouin Julie Gayet Laurent Gamelon Tom Novembre Bruno Solo et Sorel L op ration Pour la vie est Un programme national d information de sen sibilisation et de pr vention du VIH sida de Sidaction aupr s des jeunes de 15 24 ans Ce programme initi par Sidaction en 2006 a pu voir le jour gr ce un r seau de partenaires solides notamment le minist re de l Education nationale France 5 t l vision et la Ligue de l enseignement 3 d cembre Journ e Emploi Renforcer la sensibilisation des institutions aux questions li es l emploi et au VIH c est dans cette optique qu a t orgar nis e la rencontre inter institutionnelle de d cembre Sidaction a ainsi r uni des acteurs importants sur les ques tions de l emploi Agefiph direction g n rale de l ANPE DGA Cap emploi Cette r union t int gr e au dispositif du grenelle de l insertion La mission emploi partici pera prochainement aux ateliers Sant et travail organis s dans le cadre de ce dispositif 11 d cembre Visite au laboratoire de Biotechnologies de Pharmacologie g n tique Appliqu e LBPA l Ecole normale Sup rieure de Cachan CNRS UMR 8113
66. et le local aider au d veloppement d actions d pistage aides aux malades pr vention constituer un r seau associatif solide et actif contribuer une politique de partenariat entre associations locales r gionales natio nales ef internationales et enfin accompagner les projets retenus En 2007 14 associations ont t financ es pour un montant de 294 545 euros 10 associations avaient re u 195 000 euros en 2006 Suite au s minaire inter associatif Carib en de Saint Martin en octobre 2006 des liens entre les diff rents acteurs de lutte contre le sida dans les DFA ont permis de d buter des pro jets d s 2007 Sidaction a soutenu entre autres la pr vention aupr s des travailleur e s du sexe et a apport un soutien m thodologique n cessaire pour renforcer les capacit s d intervention mise en r seau avec des structures similaires de m tropole et dans les Cara bes changes d exp rience formation Un projet de coop ration r gionale entre des associations guadeloup ennes martiniquaises guyanaises et dominicaines d but Face la forte stigmatisation des personnes s ropositives dans les DFA les associations communautaires ont besoin de temps pour se structurer se faire conna tre et proposer des actions Sidaction a commenc en soutenir certaines Gwada Univers en Guadeloupe o AMVIE en Martinique Des relations privil gi es naissent avec des partenaires pour faciliter leur d veloppemen
67. et postaux courants de l association qui affi chent une situation positive pour une valeur globale de 1 134 122 de la caisse pour un montant de 9 346 Charges constat es d avance Les charges constat es d avance s l vent 145 554 II s agit des contrats d abonnement courant sur plusieurs exercices pour un montant de 28 308 des prestations r gl es en 2007 correspondant des op rations de collecte du premier trimestre 2008 op rations de mailing de janvier 2008 d ner de la mode 2008 Sidaction 2008 pour un montant de 100 002 de frais engag s pour 2008 pour des d placements l tranger pour montant de 7 059 de communication institutionnelle 2008 pour 10 185 PASSIF Fonds propres La dotation statutaire de 46 175 est maintenue La r serve vot e par l Assembl e G n rale en 1998 1 524 490 est maintenue Op rations sur fonds d di s Le d tail des op rations est pr sent ci dessous Fonds d dies Recherche Subventions scientifiques vers es cofinancements des financements Actions de lutte contre le sida men es par Sidaction Frais d instruction ef de suivi Emplois nets de l ann e Ressources nettes de l exercice Resftifutions R sultat affecter Co ts li s aux op rations de collecte et de Emploi Ressources Fonds comptabilis comptabilis es restant en fin au cours de au cours de d exercice l exercice l exerci
68. iatives qui sont venus s ajouter aux 1 937 million d euros de sub ventions engag es sur les exercices pr c dents non vers es au 31 d cembre 2006 Sur ces sommes Sidaction a vers 5 091 millions d euros pr lev s sur ses collectes Le solde des engagements en cours de versement au 31 d cembre 2007 en tenant compte des reprises sur les engagements ant rieurs 105 920 des reliquats et restitutions d duire 862 s tablit 1 688 million d euros Pour les programmes de recherche scientifique et m dicale d am lioration de la qualit de vie des malades en marge de ses propres programmes Sidaction engag en 2007 pour 4 457 millions d euros de subventions ef bourses de recherche qui sont venus s ajouter aux 5 023 millions d euros engag s sur les exercices pr c dents non vers s au 31 d cembre 2006 Sur ces sommes Sidaction a vers 3 542 millions d euros pr lev s sur ses collectes Le solde des engagements en cours de versement au 31 d cembre 2007 en tenant compte des reprises sur les engagements ant rieurs 1 193 804 des reliquats et restitutions d duire 316 746 s tablit 4 427 millions d euros 3 Nature et quantit des ressources en nature 2007 Sidaction n a b n fici d aucun don en nature fichier a t enregistr sous le num ro 456932 aupr s de la Commission Nationale de l Informatique et des Libert s en date du 6 ao t 1996 r pond aux e
69. iens de cette conf rence 5 avril Comit qualit de vie et qualit des soins Le d veloppement des traitements antir troviraux allonge la dur e de vie des personnes vivant avec le VIH mais pro voque souvent des effets ind sirables importants La qualit de vie ef des soins est donc devenue un facteur essentiel dans la lutte contre le VIH sida En compl ment du soutien la recherche en qualit de vie Sidaction d veloppe un appel projets sp cifique qui tend promouvoir et valoriser les programmes qui prennent en compte cet aspect ressenti par les personnes avril Un bateau aux couleurs de Sidaction lors de la seconde dition de Matondo Congo La soci t Sail Incentive a offert Sidaction de rev tir de ses couleurs l un de ses bateaux engag s dans la course la voile sans escale entre Marseille et Pointe Noire Congo Un grand merci aux skippers Jean Pierre Nicol Arnaud Thierry et Antoine Carpentier sont arriv s septi me Cette course a permis de collecter 5 000 euros pour le projet de l association Serment Merveil Brazzaville qui a pour objectif d apporter un appui psychologique et une aide sociale aux personnes vivant avec le VIH et leurs familles avec en particulier un programme de parrainage d enfants infect s par le VIH 5 24 26 mai Comit associatif sida Le comit a examin pendant cette session 4 demandes des associations partenaires pour un mon tant de 176 700
70. ionnel l ann e s est achev e une rencontre impor 15 tante le 3 d cembre entre institutions professionnels et personnes concern es sur le th me VIH et emploi Cette manifestation int gr e au Grenelle de l insertion labou tissement de deux ann es de travail t une tape d terminante pour porter les questions li es au sida aupr s d administrations peu sensibilis es et peu inform es C est aussi l objectif de la troisi me priorit que des repr sentants d entreprises s engagent aux c t s de Sidaction afin que les personnes s ropositives b n ficient d un meilleur retour l emploi Un partenariat avec les employeurs du Centre des Jeunes Dirigeants de la r gion Centre a ainsi t ins taur dans lequel ils s engagent favoriser l inclusion de s ropositifs au sein de leurs entreprises Une exp rience inno vante sur les repr sentations professionnelles face au sida a galement t men e avec le Th tre de l Opprim pour aider les participants ext rioriser leurs peurs Sentiment irrationnel ayant la peau dure la peur d attraper le virus au contact d une personne contamin e sur le lieu de travail est encore tr s pr sente chez nombre d employeurs et de sala ri s L objectif de la mission Emploi est de faire reculer l ex clusion des personnes s ropositives dans la vie active qui passe aussi par cette analyse tant qu on avance masqu on ne fait pas reculer les tabous
71. is aussi lib raux impliqu s dans la lutte contre le sida La SFLS est inscrite dans le tissu associatif de lutte contre l pid mie membre du Conseil d administration de Sidaction La SFLS vise am liorer la prise en charge des maladies chroniques telles que l infection VIH ou H patite C Elle organise des rencontres nationales annuelles permet tant aux adh rents d changer sur leurs pratiques et de par tager leurs exp riences Depuis Octobre 2000 un Congr s National sur des th matiques proches des pr occupations des soignants compl te ces rencontres et assure que les soi gnants les associations et les malades travaillent ensemble 9 novembre Journ e d pistage Hors les murs Sidaction organis une journ e de travail intitul e D pistage du VIH hors les murs l aide de tests rapides regroupant le Conseil National du Sida la Haute Autorit de Sant l Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Produits de Sant l Institut national de Veille Sanitaire et diff rentes associations ef chercheurs Cette journ e avait pour objectifs de pr senter diff rentes exp riences de d pistage hors les murs l aide de tests rapides men es dans un cadre associatif en Suisse aux Pays Bas et en Angleterre de pr senter la situation en France au regard des dispositions l gales et r glementaires et de proposer un temps de r flexion sur l ventuelle implantation en France de ce fype de programmes
72. isation Cellulaire CNRS UMR 5121 MONTPELLIER Dr Roman GALETTO 4 Unit de R gulation Enzymatique des Activit s Cellulaires CNRS URA 2185 PARIS Armelle GOUBARD Unit de Recherche Antivirale INSERM U552 PARIS Dr Boyan GRIGOROV LabokRetro Unit de Virologie Humaine INSERM U758 PARIS Dr Pascale HANCART PETITET Centre de Recherche Cultures Sant Soci t JE 2424 AIX EN PROVENCE Dr Guillaume HOEFFEL D partement d Immuno logie INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Laurent MHOUZET laboratoire Infections R trovirales et Signalisation Cellulaire CNRS UMR 5121 MONTPELLIER Dr D sir e KUNKEL Unit de R gulation des Infections R trovirales Institut Pasteur PARIS Dr Olivier LADA Laboratoire de Physiopathologie et Traitement des H patites Virales INSERM 0773 CLICHY Marie LAMBELE Laboratoire Virus Pseudovirus Morphogen se et antig nicit INSERM ERI 19 TOURS Dr St phanie LAY Unit de Physiopathologie des Infections Lentivirales Institut Pasteur PARIS Kouatar LEGHMARI Laboratoire d Immuno Viro logie Universit Paul Sabatier TOULOUSE Dr Isabelle MALLARD FAVIER Laboratoire de Chimie Organique Biomol culaire de Synth se CNRS UMR 5625 PARIS Dr Concepcion MARANON LIZANA Equipe Pr sentation de l Antig ne aux Lymphocytes CD8 par les Cellules Dendritiques INSERM 0567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Val rie MARTINEZ TADAYONI Laboratoire d Immunologie Cellulaire et Tissulaire INSERM 0543
73. l pi d mie et l mergence de nouveaux besoins Enfin priorit est donn e aux actions de plaidoyer en France et l inter national pour lutter contre le d sengagement des Etats et la banalisation de l pid mie Pour atteindre ces objectifs Sidaction doit plus que jamais pouvoir compter sur la mobilisation de fous donateurs b n voles et partenaires Henry Les contr les d utilisation des fonds Comme en 2006 Sidaction a fait appel un cabinet d audit ind pendant pour contr ler 24 structures laboratoires de recherche associations ayant b n fici de financements de la part de Sidaction ces derni res ann es Ces contr les s ajoutent au tra vail men en interne par l quipe de Sidaction d ana lyse des comptes d emploi et des bilans d activit des projets soutenus ainsi qu aux visites sur le terrain Toute utilisation des fonds vers s par Sidaction jug e non conforme par les comit s d experts et le Conseil d administration donne lieu une demande de res titution Sidaction met ainsi tout en uvre pour s as surer que les fonds vers s issus de la g n rosit du public ont bien t utilis s conform ment aux projets approuv s par le Conseil d administration Les ressources collect es en 2007 35 r partition par type de ressources conform ment au compte d emploi annuel des ressources collect es aupr s du public hors fonds d di s Total des res
74. le VIH sida et ou une h patite et mieux sensibiliser les pouvoirs publics et l opinion une situation qui ne saurait perdurer Cette journ e s inscrit dans le cadre de la mission milieu car c ral de Sidaction cr e en 2004 afin de mieux r pondre aux besoins des personnes incarc r es touch es par le VIH et ou une h patite virale Le groupe expert prison Sidaction a fait une synth se de ces recommandations qui est publi e ainsi que les diff rentes interventions et des fiches pratiques dans le guide prison issu de cette journ e Retour sur les temps forts de l ann e 2007 juillet ao t Pique Nique Art re L Art re est une uvre de Fabrice Hyber un lieu en devenir C est la fois un lieu de m moire et de connaissance du sida hommage tous ceux qui ont lutt et qui luttent encore contre le virus mais aussi Un espace d in formation de pr vention et de sensibilisation sur l pid mie En collaboration avec le parc de la Villette o l uvre est visible du grand public Sidaction a mis en place tout l t des piques niques qui ont permis de sensibiliser les visiteurs du parc la pr vention du sida et la solidarit avec les malades 4 septembre Visite au laboratoire de virologie humaine l Ecole Normale Sup rieure de Lyon INSERM 758 14 15 septembre Comit associatif sida Journ e de r flexion 28 septembre Journ es
75. les projets d pos s les plus innovants comprennent des interventions de d pistage hors les murs l aide de tests rapides En organisant en novembre une journ e interna tionale de travail sur la question Sidaction soutien la mise en place de ces tests rapides recommand s fin 2006 par le Conseil national du sida La France jusque l tait r tive cette pratique Sans pr juger des modifications r glemen taires venir concernant l usage de ces tests on peut rai sonnablement penser qu ils feront bient t partie des outils de d pistage Ces tests rapides ne permettront pas de conna tre son statut s rologique plus vite puisqu il faudra respecter le d lai de trois mois apr s une prise de risque pour une fiabilit 100 mais le temps d attente du r sultat sera r duit environ 15 minutes pourra tre d livr ailleurs que dans le r seau m dical ou de d pistage traditionnel L objectif reste de sensibiliser diff remment les homosexuels au VIH Peut tre faudrait il davantage parler de plaisir et de sexualit plut t que de maladie et de virus Il est certain que si on facilite l acc s au d pistage ceux qui prennent des risques seront plus tent s de savoir o ils en sont Reste savoir si cela changera leurs comportements En outre cela permettra de d pister plus pr coc ment nombre de personnes qui apprendraient sinon leur s ropositivit au stade sida Associations partenaires 19 Associati
76. ment maternel et pr vention de la transmission du VIH de la m re l enfant PTME Etude men e Abidjan en C te d Ivoire De nombreux programmes de recherche onf permis de r duire fortement le risque de transmission m re enfant du VIH le risque est aujourd hui inf rieur 1 dans les pays du Nord mais il reste bien plus lev dans les pays en d veloppement PED en particulier cause de la transmission par l allaitement Des don n es sur l effet des traitements antir troviraux pris par des femmes infect es par le VIH alors qu elles allaitent leur enfant sont importantes pour am liorer la pr ven tion de la transmission m re enfant dans les Une tude de recherche de l quipe V Leroy Abidjan en C te d Ivoire a pour objectifs de mesurer la diffusion des antir troviraux dans le sang et le lait maternel et le sang des enfants allait s et de comparer la charge virale plasmatique ef dans le lait maternel ainsi que la pr sence de virus r sistants dans ces diff rents compartiments ef chez leurs enfants 49 couples m re enfant ont t suivis de la naissance la fin de l allaitement dans cette tude conduite de 2006 2008 Tous les pr l vements ont t stock s Abidjan La plupart des pr l vements seront directement trait s au laboratoire Abidjan par l quipe d H Menan avec le contr le de qualit de C Rouzioux Paris Les analyses pharmacologiques sont r alis es
77. mie Liz Taylor que je me suis engag e dans cette lutte Depuis ce jour boulevers e par les discri minations que subissaient d j les personnes s ropositives j ai pour suivi combot sans jamais m ar r ter avec l aide de mes amis du spectacle En 1994 les grandes cha nes de t l vision nationales nous ont rejoints en unissant leurs forces pour cr er le premier Sidaction C est lors de ce grand moment d motion que les Fran ais ont pris conscience de l ampleur du fl au Depuis nous n avons jamais cess de nous engager m me dans les moments difficiles ef je suis heureuse que Sidaction ait r ussi remettre en place depuis 2004 une op ration m diatique annuelle unique Cela nous permet la fois d informer le grand public sur l pid mie sur les actions de toutes les associations sur les espoirs que fait na tre la recherche mais aussi de collecter pr s de 6 millions d euros D ann e en ann e cette cha ne de solidarit n a cess de grandir pour atteindre un nouveau record en 2007 avec e 16 partenaires m dias qui ont consacr durant le week end du Sidaction 2007 fout ou partie de leurs programmes des t moi gnages des missions sp ciales des appels aux dons pour faire reculer cette pand mie e 500 b n voles qui pendant plus d une semaine ont r pondu aux appels des donateurs pour enregistrer les promesses de dons faites au 110 Ils se mobilisent ga lement
78. mission et d envoi des re us fiscaux 269 050 e co ts de compte rendu aux donateurs et aux partenaires de l association et co ts relations m dia 162 323 Les co ts directs des autres activit s li es aux appels la g n ro sit publique repr sentent un total de 159 016 dont 130 310 pour l organisation du d ner de la mode de janvier 2007 2 2 Information sur les co ts de fonctionnement Le montant total des frais de fonctionnement de l association pour son administration est de 826 226 Au sens du d cret du 30 juillet 1993 il convient d y ajouter les co ts indirects d appel la g n rosit du public et de traitement des legs pour un total de 6 6 836 Par cette op ration le total des co ts de fonctionnement s tablit 1 503 062 2 3 Information sur les dotations aux amortissements Les dotations aux amortissements sont constitu es des amortisse ments de l ann e 74 110 Les comptes de Sidaction 2007 2 4 Information sur les affectations aux missions sociales Les affectations r alis es au b n fice des actions associatives d information de pr vention et d aide aux malades et des pro grammes de recherche et d am lioration de la qualit de vie s l vent 10 216 832 Sur ce total 1 193 028 provenaient de dotations publiques confi es la gestion de l association pour le cofinancement des programmes d aide aux malades
79. mployeur embauchant un salari en CDI ou en CDD d au moins un an touche la prime l insertion de l Agefiph Un emploi gagnant gagnant O La pr vention et l aide aux malades Sidaction une clef en prison Face l pineux probl me des prisons fran aises surchar g es et avec une proportion de personnes s ropositives ou atteintes d une h patite bien plus lev e qu l ext rieur Sidaction s est mobilis e afin que l administration p niten ouvre davantage ses portes Depuis 2004 la mission Milieu Carc ral apporte un appui m thodologique et financier aux associations afin qu elles d veloppent des programmes en lien avec la prison Cette ann e 12 struc tures ont pu porter 15 projets contre 9 dans 5 associations 2006 Migration Sant Paris Act Up Paris l Observar toire International des Prisons Sida Paroles Colombes le PASST Paris la Case de Sant Toulouse l Assamede Paris Sida Info Service Paris Nice et en Guyane l Acc s Marseille et la Soci te d H pato gastroent rologie de Catalogne Roussillon Perpignan Sidaction a mis en place un parcours de qualit d limitant un cadre juridique organisationnel thique et d ontolo gique des actions mener en prison La mission intervient tr s en amont en conseillant orientant et favorisant l acc s des associations au milieu carc ral En contre partie leur adh sion la Charte de qualit P
80. naires m dias ont consacr pendont trois jours fout ou une partie de leurs programmes des t moignages des missions sp ciales des appels aux dons pour faire reculer cette pand mie Ce Sidaction 2007 a remport un vif succ s avec 5 9 millions d euros collect s soit 98 des donateurs RESTONS SOUD S qui ont tenu leur promesse dp F Ori W 218 8 j M mars avril Transversal n 35 Quel engagement Se BUEL ENGAGEMENT _ 90 i l a i 29 30 4 Conf rence VIH Francophone La 4 Conf rence Francophone VIH sida s est d roul e la Cit des Sciences et de l Industrie Paris Elle constitue le principal forum international sur la recherche et la lutte contre le sida usage des pays francophones et vise notam ment amener les pays francophones concern s mettre en place des politiques r gionales et de collaboration inter nationale sur ce sujet 1 500 sp cialistes ont r pondu pr sents ce rendez vous organis en langue fran aise sous les patronages du minist re de la Sant et des Solidarit s du minist re de la Recherche et du minist re des Affaires trang res sous l gide de l Agence nationale de recher ches sur le sida et les h patites virales ANRS en partenariat avec ESTHER Sidaction Aides EACS et SOLTHIS Sidaction a t l un des principaux sout
81. ndre pourquoi certaines pistes ne fonctionnent pas permet de mieux appr hender les m canismes d infections du virus et d avancer vers une meilleure solution Est ce que l on meurt toujours du sida en France en 2007 Malheureusement oui Certaines personnes d cou leur s ropositivit un stade tr s avanc de la maladie et ont donc un pronostic vital r serv Ceci est inacceptable alors qu il existe des traitements efficaces qui pris au bon moment auraient frein la progression de l infection Pr vention d pistage sont donc les enjeux prioritaires pour lutter contre l pi d mie et diminuer le nombre de morts li s au sida Poursuivre le combat sans rel che Aujourd hui les chercheurs fran ais peinent trouver des fonds pour mener leurs recherches et ceci est particuli re ment vrai dans le domaine du VIH sida La recherche contre le sida est donc un domaine de militants avant tout En France Sidaction association reconnue d utilit publique est le premier collecteur de fonds priv s contre le VIH sida De plus c est la seule association fran aise de lutte contre cette pid mie qui finance la recherche Le soutien que Sidaction apporte aux chercheurs est donc crucial que cela soit sous la forme d aides aux quipes pour du fonc tionnement de l quipement ou du personnel technique temporaire ou sous la forme de financements pour des doc torants post doctorants Sidaction et la
82. ne grande premi re Contre les discriminations au travail qui font de la r sistance Sidaction a rencontr des syndicats y compris patronaux les Assedic ef l ANPE Tout cela doit pas nous aveugler sur une autre r alit moins glorieuse la place des s ropositifs dans la soci t Un exemple dans certains grands organes de l Etat ne trouve plus d interlocuteurs sp ci fiquement charg s du dossier VIH Comment accepter cette indiff rence alli e aux tabous Que faire pour que les mentalit s progressent aussi vite que les m dicaments Sidaction joue son r le de plaidoyer ef finance notamment des structures qui ne re oivent pas le soutien de l Etat N oublions pas que c est le virus qu il faut exclure pas les s ropositifs Au nom des associations partenaires des chercheurs des salari s et b n voles de Sidaction je tiens saluer la m moire de fous ceux qui sont morts du sida en 2007 ces personnes avec qui nous avons travaill milit et v cu un combat dont la fin d pend de nous fous Un combot politique solidaire et d usure pour refermer les blessures Pierre Berg Pr sident 3 Le mot de la Vice pr sidente Tous solidaires Ce th me embl me du Sidaction 2007 est au c ur m me de mon combat commenc depuis le d but de l pid mie C est en 1984 aux Etats Unis apr s avoir vu la mobilisation des artistes am ricains contre le sida autour de mon a
83. nt le ler janvier restitutions de subventions associatives restitutions de financements vers s la recherche Ressources nettes des appels la g n rosit publique dons manuels co ts directs d appel la g n rosit publique co ts indirects d appel la g n rosit publique Legs et autres lib ralit s legs encaiss s co ts directs Activit s annexes li es aux appels la g n rosit publique activit s du Fonds Line Renaud autres activit s co ts directs d organisation Produits financiers Dotations aux amortissements ef provisions Affectations aux missions sociales cofinancements publics des financements financement des programmes d aide aux malades financement des programmes de recherche suivi des financements conseil ef formation actions de lutte contre le sida men es par l association co ts indirects Co ts directs de fonctionnement de l association administration de l association 23 756 660 16 035 062 Total des ressources des emplois Dont fonds d di s Dont r sultat de l exercice 7 2 597 7 72 597 197 009 48 693 148 316 10 498 028 15 481 045 4 334 103 648 913 406 924 434 847 27 923 750 628 148 584 761 060 159 016 255 609 74 110 10 216 832 1 193 028 090 610 3 541 944 939 304 1 690 219 147 783 826 226 826 226 20 192 779 17 480 150 8 212 629 500 000 4 876 535 4 876 535 850 185 432 39 989 145 442 10 980 857 15 7
84. o ts li s aux charges salariales ont t quant eux affect s directe ment aux activit s pour lesquelles les personnels concern s sont affect s Ainsi les co ts indirects reprennent une part des co ts de la structure et des charges salariales des personnels affect s l activit consid r e 2 1 Information sur les co ts directs d appel la g n rosit publique L ann e 2007 a t marqu e par l organisation d un Sidaction m diatique Cette op ration qui a permis la collecte de 5 952 millions d euros a engendr des co ts hauteur de 1 338 million d euros L augmentation des frais par rapport l ann e 2006 est de 0 996 million d euros En effet nous avons affect au Sidaction t l vis les dons 1 950 million d euros et frais 1 057 million d euros des op rations de marketing direct men es en parall le du Sidaction 2007 et y faisant r f rence toujours dans un souci de meilleure lisibilit Les co ts directs d appel la g n rosit publique repr sentent un total de 4 334 103 Ils se d composent en plus des 1 337 835 des co ts d organisation du Sidaction 2007 en co ts d appel la g n rosit publique 1 976 805 qui globa lisent la conception l dition et l exp dition des mailings ainsi que les op rations de street fundraising co ts du traitement des dons compris les dons li s l op ra tion t l vis e Sidaction 588 090 e co ts d
85. omptes sur salaires sont remboursables par les salari s en une ou plusieurs mensualit s sous r serve de validation par le Directeur G n ral et le Tr sorier Les cr ances Etat recevoir d un montant de 222 800 correspon dent des subventions accord es Sidaction dans le cadre de mis sions 2007 et se d composent comme suit 5 800 du conseil g n ral de Martinique 2 000 de solde de l INPES 5 000 du conseil r gional de Picardie 210 000 du minist re des Affaires Etrang res Toutes les cr ances sont d ch ance an au plus Valeurs mobili res de placement Le stock de valeurs mobili res de placement constat au 31 d cembre 2007 repr sente une valeur liquidative totale de 8 399 632 Le montant des plus values latentes est de 155 806 Ressources Fonds d di s Aides aux malades Subventions associatives vers es cofinancements des financements Actions de lutte contre le sida men es Sidaction Frais d instruction ef de suivi Emplois nets de l ann e Ressources nettes de l exercice Restitutions R sultat affecter Co ts li s aux op rations de collecte et de communication 50 engager au d but de exercice 37 Disponibilit s Les disponibilit s sont constitu es des valeurs l encaissement de dons re us au mois de janvier 2008 mais dat s de l ann e 2007 pour un montant de 671 374 des comptes bancaires
86. ons soutenues dans le cadre de appel FRS SID ARMOR ALIS 36 ASUD LOIRET R SEAU VILLE H PITAL 45 RIVE ACT UP PARIS ACTIONS TRAITEMENTS AERI ATELIERS EXPERIENCE REDYNAMISATION ET INSERTION BASILIADE BONDEKO CHARONNE COMEDE DESSINE MOI UN MOUTON DIAGONALE LE DE FRANCE ESPOIR GOUTTE D OR IKAMBERE LA MAISON ACCUEILLANTE LA CONTREMARQUE LA MARMITE LE KIOSQUE INFOS SIDA ET TOXICOMANIE MEDECINS D AFRIQUE EUROPE PR VENTION ACTION SANT TRAVAIL POUR LES TRANSGENRES URACA UNIT DE R FLEXION ET D ACTION DES COMMUNAUT S AFRICAINES ARAP RUBIS ASUD N MES ENVIE LA TREV REDUIRE LES RISQUES ACT UP TOULOUSE GRIS LIDIS LA CLEF ACT UP PARIS ASUD GROUPE INTER ASSOCIATIF TRT 5 M DECINS DU MONDE SOS HABITAT ET SOINS dont Arcat et Arbor ADIS ACTION POUR LA CITOYENNET ET L EDUCATION LA SANT ACCES ASUD MARS SAY YEAH AUTRES REGARDS LE TIPI ACTIS ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LE SIDA ALS CABIRIA ENTR AIDS FRISSE RUPTURES TEMPO Bretagne Centre Centre Centre DOM TOM Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Ile de France Languedoc Roussillon Languedoc Roussillon Languedoc Roussillon Languedoc Roussillon Languedoc Roussillon Midi Pyr n es Midi Pyr n
87. oyens s expriment dans nos pages pour offrir tous grand public ou sp cialiste une information fiable et objective sur les grands th mes qui font l actualit de la lutte contre le sida Contact transversal sidaction org 25 janvier 5 me dition du d ner de la mode Ce d ner traditionnel lement programm la fin des d fil s de mode de janvier est d sormais le ren dez vous annuel de toutes les personna lit s et des maisons du monde de la mode d sireuses de s engager aux c t s de notre association dans la lutte contre le sida En 2007 plus de 800 personnes ont particip ce rendez vous en pr sence de Line Renaud et Pierre Berg Nathalie Rykiel Alber Elbaz en taient les parrains 15 f vrier Conf rence de Lancement du Sidaction 2007 Lancement officiel Sidaction 20007 par Line Renaud et Pierre Berg en pr sence des dirigeants et quipes des 15 m dias par tenaires de l op ration des associations des chercheurs et des malades Cet v ne ment est l occasion de d voiler le dispositif du week end 250 personnes ont particip ce lancement 1 au 3 mars Comit associatif sida Le comit associatif sida est le groupe d experts b n voles charg d instruire les demandes de financement des asso ciations fran aises pour des actions sur le territoire national et de formuler des propositions au Conseil d administration 5 et 6 mars Comit scientifique
88. p rations de collecte Durant l exercice 2007 les op rations faisant appel la g n rosit publique ont permis de collecter 15 481 045 Les op rations de marketing direct ont repr sent 9 454 millions d euros de dons Ces op rations ont utilis le fichier des donateurs issu des campagnes de collecte de fonds men es l associa tion de 1994 2007 ainsi que des adresses obtenues par change avec d autres organismes faisant appel la g n rosit publique auxquels s ajoutent 74 500 de dons de la Fondation Par ailleurs l op ration de collecte Sidaction 2007 en partenariat avec la totalit des cha nes heriziennes des 23 24 et 25 mars 2007 permis de collecter 5 952 millions d euros de dons contre 5 139 millions d euros pour l op ration organis e en 2006 1 2 Information sur les legs et autres lib ralit s Au cours de l ann e 2007 nous avons encaiss 434 847 prove nant de 9 legs 170 524 4 assurances vie 189 511 et 3 dona tions 74 812 1 3 Information sur les activit s du fonds Line Renaud Le fonds Line Renaud correspond une affectation analy tique des ressources collect es par Sidaction gr ce l action de Madame Line Renaud En 2007 il totalise 148 584 constitu s des ressources des albums ventes et droits d auteurs pour 138 969 et des recettes des manifestations organis es au b n fice de las sociation 9 615 1 4 Inform
89. par tout o elles sont oubli es discrimin es voire pers cu t es comme en Europe de l Est ou en Afrique Il existe beaucoup de zones de non droits Sidaction est toujours un bailleur de fonds mais nous devons aussi assurer un accompagnement sur le terrain Notre r le est d en mesurer la complexit de trouver les bonnes personnes les conseiller ou les convaincre Des probl mes persistent ils malgr les efforts d ploy s Nous avons des probl mes r currents sionnement en m dicaments ce qui est anormal Malheureusement la corruption dans certains pays est elle en pleine forme TD j L N lt S 74 i C D e AINN j gt a 4 Ri S N 3 d k S a L 6 EUROPE ORIENTALE 18 y J A amp ASIE CENTRALE 2 a es 1 6 MILLION WA 2 CD J i r FANA oc ASIE DEL EST Di EUROPE OCCIDENTALE Ca S AM RIQUE DU NORD L T CENTRALE 800 000 7 d JE T l La A 1 3 MILLION 760 000 2 A 4 A D r de _ N C gt l N L r 4 oe lt 1 lt P D j LA MOYEN ORIENT__ 4 A UN f LA p NN AFRIQUE DU NORDA a ASIE DU SUD
90. parfois l impression que la recherche n avance pas assez vite Evidemment nous souhaiterions toujours obtenir des r sultats tr s rapidement Malheureusement cela n est pas possible dans le domaine de la recherche sur le VIH sida car seul un travail long terme peut venir bout de la complexit du virus et de son mode d interaction avec l organisme Mais les r sultats sont l S il a fallu plus de quinze ann es de travail acharn pour mettre au point une th rapie qui cible la prot ine int grase du VIH aujourd hui une nouvelle famille de traitements les anti int grases voit le jour avec leur premier repr sentant mis sur le march fin 2007 le Ralt gravi De m me le Maraviroc ouvre la voie d une nouvelle piste de recherche en tant que pre mier m dicament qui ne s attaque pas une prot ine virale mais cible une prot ine humaine utilis e par le VIH pour entrer dans la cellule En effet la recherche fondamentale nous permis de comprendre que si le VIH ne contient que 9 g nes il utilise un tr s grand nombre de prot ines humaines pour se multiplier Aujourd hui ce champ d tude est large et de nom breuses quipes travaillent comprendre et carac t riser ces interactions Pourquoi a t on toujours besoin de nouveaux m dica ments Si la recherche a permis la d couverte de m dica ments am liorant la sant des malades aucune fh rapie ne permet d radiquer le virus Le VIH est un
91. partements fran ais d Am rique DFA elle a augment l enveloppe des fonds attribu s avec cette ann e une volont farouche de r duire le temps de la dif fusion de l appel d offres et des appels projets et d ac c l rer le reversement aux structures Par ailleurs elle s est donn e les moyens d assurer un meilleur suivi des projets en d veloppant l aspect m thodologique Elle a ainsi poursuivi ses 3 missions phares dans le domaine de l emploi du milieu carc ral et des DFA en mettant aussi l accent sur la pr ven tion gay Des priorit s qui ont n cessit une mobilisation par ticuli re rencontres formations journ es internationales communications ef actions Sidaction mode d emploi Pour sa mission Emploi l ann e 2007 t charni re Sidaction qui s est investie sur trois priorit s D abord au niveau associatif le nombre de structures inscrites dans le programme a augment Deux nouvelles associations de droit commun Or a Lyon et Vivre mergence Paris non sp cifiquement engag es contre le VIH ont souhait int grer le dispositif Cette ouverture permet de mettre en place un accompagnement compl mentaire de celui des personnes suivies par les associations de lutte contre le sida Aid es ces organisations non estampill es sida les personnes recherchant un emploi auront de fait moins de risques d tre stigmatis es sur le march du travail C t ins titut
92. partie jeux le blog G n ration capote actualis quotidiennement 21 R partition des financements par r gion 1 500 000 1 200 000 900 000 600 000 300 000 Ces nouveaux outils ont t diffus s en octobre 2007 l ensemble des partenaires et un public largi soit environ 19 000 structures a notamment t envoy pour la premi re fois dans les 7 000 coll ges de France des tination des classes de 3 Un travail a t ailleurs commenc aupr s de jeunes publics prioritaires notam ment dans le milieu carc ral l op ration galement t pr sente dans de nom breuses manifestations Lors du 1 d cembre un grand quizz concours sida et toi en collaboration avec MSN Fun Radio et EMI a t d velopp sur le site Internet Le sida et les jeunes Un sondage a t men en lien avec MSN sur Les jeunes face au sida Des duos de personnalit s et de personnes vivant avec le VIH se sont d plac s dans des tablissements sco laires La mission a t aussi pr sente dans de nombreux salons ef ainsi accueilli pr s de 2 000 jeunes et des intervenants de pr vention sur son stand d information au Salon de l tudiant et Salon de l ducation N Le sida dans les pays en d veloppement En 2007 Sidaction soutenu une centaine de projets dans 29 pays en d veloppement avec un budget de 3 millions d euros Eric Fleutelot direc
93. pliquer sa s ropositivit un enfant qu partir du moment o l on est s r qu il pourra mentir On continue ne pas pouvoir en parler son m decin son dentiste et jusque dans la mort ou les soins post mortem sont parfois refus s Vivante morte la personne s ropositive est plus stigmatis e qu aucune autre Y a t il des avanc es au niveau des aides associatives Sidaction augmente un peu plus chaque ann e ses soutiens financiers et logistiques en direction des asso ciations fran aises En 2007 Sidaction a r ussi verser plus t t dans l ann e les fonds destin s aux associa tions On cherche en permanence am liorer le dis positif pour faire en sorte que les associations les plus fragiles n aient pas de difficult s de tr sorerie Gr ce au travail de l quipe de Sidaction nous avons beau coup volu sur la mani re d instruire les demandes de financement Nous sommes plus rapides ef cela a un impact favorable sur le terrain La particularit est d avoir mandat un charg de mission dans chaque grand domaine qui accompagne la r alisation de nouveaux projets Sidaction n est pas simplement bailleur de fonds elle suscite aussi la cr ation d ac tions ef s investit dans des domaines qui lui semblent prioritaires Quels sont les domaines dans lesquels Sidaction s est particuli rement investie Sidaction a poursuivi cette ann e le d veloppement de quatre missions prioritaires les DF
94. r Et puis partout les vaccins pr ventif et th rapeutique se font attendre Le meilleur est cependant devant nous car il repose la fois sur des bases solides et sur de v ritables espoirs Sidaction 33 gr ce aux synergies des donateurs des b n voles et de son quipe permanente lutte efficacement chaque jour contre le VIH Non seulement en tant un bailleur de fonds exigeant initiateur d appels projets et de plaidoyers mais surtout en accompagnant les associations en France et l tranger sur les plans technique logistique et surtout politique ef en aidant se former l ensemble de ses partenaires Encore plus d argent un plus grand nombre d associations aid es plus de visibilit c est le bilan de Sidaction dont l action grandit gr ce au soutien de nombreux medias partenaires et de nouveaux qui souhaitent nous rejoindre Tout au long de ce rapport d activit vous avez pu lire quel point Sidaction essaie d tre sur tous les fronts Dans le domaine de la recherche on a compris depuis longtemps l importance de l engagement des jeunes chercheurs pour am liorer les trai tements trouver un vaccin Sidaction investit l o l tat d serte les attributions de bourses Sidaction souhaite aussi agir poli tiquement en lien avec d autres structures pour s emparer de th matiques fortes Une charte de qualit avec l administration p nitentiaire a t sign e pour la premi re fois et Sidaction a ai
95. r s nombreuses associations ont ainsi b n fici de ce soutien financier en 2007 et certains ont m me re u des aides exceptionnelles afin de construire des locaux ou de r aliser des travaux d am nagement pour la mise en place de nouvelles activit s L association malienne Kenedougou Solidarit a pu r habiliter son local qui regroupe d sormais les services administratifs et le centre de prise en charge des personnes s ropositives L installation lectrique la plomberie le r seau t l phonique Internet ont pu voir le jour gr ce au soutien de Sidaction Depuis plus de dix ans avec l Appel d offres International Sidaction met dispo sition du monde communautaire une ressource financi re importante en augmentation depuis quatre ans En 2007 1 2 million d euros ont t investis pour l aide structurelle ou destination directement des malades M dicaments mal trait s le rem de Sidaction L approvisionnement et la gestion des m dicaments dans les pays du Sud restent probl matiques Depuis 2005 Sidaction a lanc un appui technique pour le personnel des pharma cies associatives renforc en 2007 8 missions de terrain ont t men es par le Dr Julie Langlois pharmacienne Un dia gnostic personnalis est tabli pour r pondre aux besoins et am liorer les capacit s r am nagement de local stoc kage des m dicaments accueil des patients respect de la confidentialit En janvier la pharmacie de l
96. r combat pour reconnaissance de leur statut portent aujourd hui seuls le poids de cette transformation Avec plus de 25 ans de lutte contre l pid mie nous avons besoin de renouveler le vivier des chercheurs en encourageant les jeunes chercheurs s orienter vers la th matique VIH une recherche passionnante ef mulidisciplinaire qui demande des moyens afin de travailler dans de bonnes conditions Malgr cet effort financier suppl mentaire Sidaction continue s in vestir autant aux c t s des jeunes chercheurs R partition par statuts des financements jeunes chercheurs 2007 15 Doctorants 33 150624 24 Post doctorants 52 438 862 gt M decins Pharmaciens 15 120 291 Sidaction et la recherche fondamentale En 2007 la recherche fondamentale se donne toujours comme objectif la d couverte de nouvelles cibles th ra peutiques et pistes vaccinales Elle reste la discipline majo rtairement soutenue par Sidaction avec 1 654 025 soit 68 des fonds La virologie et l immunologie b n ficiant respectivement de 48 et 12 de ces financements sont des domaines de la recherche fondamentale dans lesquels les investissements doivent se poursuivre pour am liorer nos connaissances de l infection par le VIH En effet beaucoup reste d couvrir et les r sultats alimentent de nouveaux espoirs comme le montre notamment la dynamique des publications de recherche fondamentale sur le VIH sida qui ne fl chit
97. rches en sciences sociales par Sidaction fin 2006 avait montr que ce domaine tait sous repr sent compte tenu notamment de l volu tion de l pid mie depuis les ann es 80 Les projets soutenus en 2007 sont ax s en particulier sur la pr vention de la trans mission de la m re l enfant chez les personnes migrantes en France et dans les pays en d veloppement ainsi que sur la prise en charge psychologique et sociale des personnes vivant avec le VIH Avec 14 programmes soutenus 7 aides aux quipes et 7 financements de jeunes chercheurs pour un total de 86 535 de financements la recherche en sciences sociales repr sente plus de 10 des projets sou tenus Sidaction Outre le travail de soutien aux chercheurs la Mission sciences sociales est l origine d une nouvelle dynamique En juillet 2007 8 mois apr s sa cr ation elle a organis l occasion de la 8 conf rence internationale Aids Impact consacr e la recherche en sciences sociales sur le VIH sida un ate lier sur le th me de l implication des communaut s dans les programmes de recherche en sciences sociales La Mission sciences sociales galement organis en novembre 2007 une journ e de r flexion sur le d pistage hors les murs l aide de tests rapides A l heure actuelle bien que des outils pr cis et fiables soient disponibles et que plusieurs associations soient pr tes d velopper des programmes de d pistage l aide de
98. res dirigeants ne per oivent aucune r mun ration de l association Sidaction Information sur les provisions pour indemnit s de d part la retraite des salari s L application des modalit s du droit du travail pour le calcul des provisions d indemnit s qui seraient dues aux salari s de l associa tion au titre de leur d part la retraite d termine une somme dont l impact est n gligeable pour l exercice 2007 Aucune provision n a donc t constat e pour ce poste Information sur le DIF Droit Individuel la Formation des salari s Le volume d heures de formation cumul correspondant aux droits acquis au titre du DIF par les salari s est de 3 966 heures Aucun salari n a encore fait de demande ce titre Modification de la composition du personnel Cat gorie Effectif au Entr es D parts Effectif au 31 12 06 31 12 07 Non cadres 5 CDI 5 CDI 1 CDI 9 CDI 5 CDD 9 CDD 7 CDD 7 Cadres 34 CDI 4 CDI 5 CDI 33 CDI TOTAL 44 18 13 A9 correspondant 48 25 Equivalent Temps Plein Information sur les legs et donations r aliser 1 assurance vie 30 legs et 2 donations accept s par le Conseil d administration sous r serve de la non opposition de la Pr fecture de Paris permettront l association d entrer en possession des biens et liquidit s suivants Nature des biens Montant estim 07 002 A Liquidit s 50 000 00 97 001 L Terrains 1 98 002 L Liquidit s solde 170 18
99. rge BENICHOU Equipe Prot ines Virales et Trafics Intracellulaires INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Monsef BENKIRANE Institut de G n tique Humaine de Montpellier CNRS UPR 1142 MONTPELLIER Dr Clarisse BERLIOZ TORRENT Equipe des Interactions Mol culaires H te Pathog ne INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Martine BIARD PIECHACZYK Laboratoire des Infections R trovirales et Signalisation Cellulaire CNRS UMR 5236 MONTPELLIER Dr Franck BOCCARA Service de Cardiologie H pital Saint Antoine PARIS Dr Morgane BOMSEL Equipe Entr e Muqueuse du VIH et Immunit Muqueuse INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Jacques BONNET Laboratoire d Ath rosc lo rose INSERM U441 PESSAC Dr Serge BOUAZIZ Unit de Pharmacologie Chimique et G n tique INSERM U640 CNRS UMR 8151 PARIS Dr Denys BRAND Unit de Virologie Universit Fran ois Rabelais TOURS Dr V ronique BRAUD institut de Pharmacologie Mol culaire et Cellulaire CNRS UMR 6097 VALBONNE Dr Anne BRELOT Equipe des R cepteurs Virus et Fusion Membranaire INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Sophie CAILLAT ZUCMAN laboratoire des Maladies Auto Immunes G n tique M canismes et Traitements INSERM 0025 PARIS Pr Jacqueline CAPEAU Laboratoire de Signalisation Normale et Pa hologique du M tabolisme de la S cretion et de la Croissance Cellulaires INSERM 0402 PARIS Dr Andr a Laboratoire de Virologie Humaine INSERM 0758 LYON
100. rison co sign e Sidaction et la DAP Direction de l administration p nitenti aire est une garantie pour les autres financeurs Un module de formation action a t cr Il propose une m fhodo logie aux associations dans la gestion de projets ef permet de renforcer les synergies interassociafives pour une prise en charge compl mentaire des personnes et de leur famille en prison et l ext rieur Par ailleurs le groupe expert Prison compos de repr sen tants de l ensemble des acteurs du milieu carc ral UCSA SPIP SMPR personnels de justice associations ducation nationale repr sentants de prisonniers favorise la vision globale des probl mes et accompagne la mission dans ses objectifs soutien aux associations veille ef plaidoyer Une Journ e nationale Prison organis e par Sidaction s esttenue le 22 juin 2007 Paris sur le Suivi m dico social des personnes atteintes d une infection VIH et ou d une virale sortant de prison Un guide a t con u suite aux r flexions men es par 3 ateliers le SPIP Services p nitentiaires d in sertion et de probation les UCSA Unit s de consultations et de soins ambulatoires et les associations pour am liorer la prise en charge des personnes s ropositives d tenues pendant et apr s leur d tention Un travail de coordination des projets a galement t fait dans diff rentes r gions avec les Groupements R gionaux de Sant
101. ristophe PIKETTY Service d Immunologie Clinique H pital Europ en Georges Pompidou Paris Dr Olivier SCHWARTZ Groupe Virus et Immunit D partement de Virologie Institut Pasteur Paris Dr Bruno SPIRE AIDES PACA TRT5 Marseille Dr Naomi TAYLOR Groupe d Immunomodulation et Immunoth rapie CNRS UMR5535 Institut de G n tique Mol culaire de Montpellier GMM Montpellier Dr Rodolphe THIEBAUT Institut d Epid miologie Sant Publique et D veloppement INSERM E338 Universit Victor Segalen Bordeaux 2 Bordeaux Dr Jean Paul VIARD Service d Immunologie Clinique H pital Necker Paris 1 entrant en 2007 2 sortant en 2007 Liste des membres ad hoc en 2007 2 session de l appel d offres de 2007 Janine PIERRET Centre de recherche m decine science sant et soci t CERMES CNRS UMR8169 Inserm U750 Villejuif 3 session de l appel d offres de 2007 Dr Nathalie BAJOS Sant reproductive Sexualit Infection VIH INSERM U822 CHU de Bic tre Le Kremlin Bic tre Fr d ric LE MARCIS D partement d anthropologie sociale Universit Victor Segalen Bordeaux 2 Bordeaux EEE L organisation de Sidaction 2007 Comit associatif sida Yves DUPONT Pr sident du Comit Directeur Le Tipi Marseille Danielle AUTHIER Coordinatrice FRISSE Femmes R duction des risques et SExualit Lyon Elisabeth AVRIL M decin coordinateur du bus m thadone GA A
102. s avec 4 aides aux quipes et 6 financements de jeunes chercheurs en C te d Ivoire au Burkina Faso au Mali au Cameroun au S n gal en Inde et en Tha lande pour un montant total de 213 065 de soutien par Sidaction Le champ des recherches reste tendu pr sentant des th matiques r currentes comme l am lioration des traitements antir troviraux la pr vention de la transmission du VIH de la m re l enfant une partie des recherches intervenant dans le domaine des sciences sociales Dans le cadre du d veloppement de l appui de Sidaction aux quipes de recherche dans les PED et l occasion de visites de parte naires associatifs deux missions de terrain ont t r alis es en 2007 en C te d Ivoire et au B nin permettant de rencon trer les quipes r cemment financ es en 2006 et ou 2007 sur leur site de travail et de faire ensemble le point sur leurs travaux L identification d un interlocuteur privil gi pour les recherches se d roulant dans les pays du Sud en synergie avec le travail de la Mission sciences sociales facilite les changes avec les chercheurs et a contribu une aug mentation des candidatures au total 28 projets se d rou lant dans les PED ont t d pos s alors que 11 seulement l avaient t en 2006 Val riane LEROY Equipe VIH Afrique Inserm 0897 Institut de Sant Publique d Epid miologie D veloppement ISPED Bordeaux France Antir troviraux allaite
103. s ces d partements La pr vention et l aide aux malades Du c t des Corevih Fin 2007 les 28 Coordinations r gionales de lutte contre le Corevih ont remplac les Centres d in formation et de soins de l immunod ficience humaine Cisih cr s en 1988 Leurs nouvelles comp tences sont largies la pr vention au d pistage ou l aide aux malades et elles proposent un lien nouveau entre les acteurs de la prise en charge hospitali re et ceux du secteur extra hospitalier et une place de choix aux repr sentants de malades issus des associations de lutte contre le sida Les Corevih ont aussi pour mission d analyser des enqu tes produites par leurs parte naires pour am liorer les pratiques professionnelles Apr s une ann e 2006 consacr e informer les futurs acteurs des Corevih 2007 permis Sidaction de poursuivre son soutien p dagogique et financier commenc d s novembre 2005 Avec deux objec tifs favoriser le dialogue inter associatif dans chaque r gion pour laborer une liste de repr sentants de malades ef permettre aux associations locales de faire partie des Corevih y compris celles issues du monde migrant des travailleurs du sexe et des usagers de drogues Une quinzaine de r unions d information et de formation ont eu lieu dans 13 r gions dont les d partements fran ais d Am rique Sidaction a favo ris l laboration de listes inter associatives dans plus de la moiti des
104. s de Meze le collectif sida de la vile de Mende l association des tudiants en m decine de N mes l association des tudiants en BTS du Lyc e Kastler de Stenay l association Emergence 57 de St Avold l association des tudiants de l IUT de Tarbes l association Entre L de Nice le Sexodrome de Paris l association Nantes Roller l association SAVIHEP de Chamb ry les Etudiants de l Institut de Formation des Kin sith rapeutes d Echirolles l association Tempo de Grenoble le collectif de lutte contre le sida ECLAS de Lyon l association les Nougats Roulants de Mont limar l association Actis de Saint Etienne Bertrand Audoin Directeur G n ral Mot du Directeur G n ral Ann e en demi teinte pour notre combat 2007 confirme le mauvais comme le bon dans la lutte contre le VIH Le mau vais car plus que jamais l pid mie d fie notre poque que ce soit dans le domaine de la recherche de l accom pagnement social m dical et psychologique des personnes s ropositives ou dans celui de l volution des mentalit s de notre soci t Partout les droits des s ropositifs et des malades sont bafou s regard de leur envie de travailler de voyager d aimer de se soigner parfois de dire leur s ro positivit ou tout simplement d tre Comment combattre le virus si certains sont exclus de ce combat l Homosexuels prostitu es migrants d tenus le sida est l affaire de tous en g n ral et de Sidaction en particulie
105. s et trang res Un guide dedans dehors Depuis 1999 l association d H pato gastroent rologie Perpignan qui compte une douzaine de membres soutient les patients confront s aux h patites virales notamment en milieu carc ral Apr s avoir cr un annuaire des ressources m dicales et sociales des tination des d tenus des professionnels l associa tion demand en 2007 le soutien de Sidaction pour r aliser un guide pratique sur le th me Que faire en sortant de prison Gr ce une aide de 23 000 euros cet ouvrage donnera autant d informations utiles aux associations qu aux d tenus et leurs familles pour envisager l avenir liste de contacts fiches pratiques sur les d marches administratives etc Sidaction aussi permis de financer une journ e de formation sur le th me Le post carc ral afin d offrir un meilleur lien entre le dedans ef le dehors Sidaction les DFA en premi re ligne La mission DFA d partements fran ais d Am rique c est dire la Guadeloupe la Guyane et la Martinique cr e en 2004 a voulu pallier la faible structuration des associations de lutte contre le sida dans ces d partements En effet trop peu de demandes de financement parvenaient Sidaction au regard de l importance de l pid mie 6 objectifs principaux sont poursuivis renforcer le soutien aux associations former des intervenants pour partager les comp tences entre la m tropole
106. s par 100 000 habitants Lorsque le pays a voulu tendre l acc s aux traitements pour les personnes touch es il n a pu le faire faute de ressources humaines Depuis longtemps Sidaction s est engag e dans cette voie en contribuant la prise en charge financi re des salaires des membres des quipes associatives et des formations destination des profession nels de sant ou du domaine du psychosocial Depuis 2005 Sidaction a soutenu la cr ation d une unit de formation per mettant d apporter un appui technique l laboration et la r alisation des formations mises en uvre par ses parte naires ou d en r aliser certaines directement En novembre 2007 Florence Thune charg e de l unit de formation a particip au Burkina Faso au Premier atelier r gional des formateurs en mati re de VIH sida en Afrique francophone dont l un des objectifs est de coordonner l offre de formation propos e par plusieurs universit s africaines r parties dans 7 pays francophones Sidaction une aide mat rielle Rares sont les bailleurs qui acceptent de financer des frais de fonctionnement ou des locaux d associations Pourtant les conditions de travail de ces acteurs de terrain sont un pr requis pour bien accueillir les personnes en difficult et agir efficacement dans la lutte contre le sida Depuis long temps les programmes internationaux de Sidaction se sont engag s soutenir les frais de structure des partenaires De t
107. sources collect es en 2007 18 471 182 cofinancements publics des financements 1 193 028 partenariats et op rations diverses 761 060 activit s du Fonds Line Renaud 148 584 legs encaiss s 434 847 L emploi des ressources collect es en 2007 produits financiers 255 609 restitutions de financements associatifs et recherche 197 009 op ration sidaction media 5 951 877 marketing direct et autres dons 9 529 168 r partition de l emploi des ressources collect es en 2007 conform ment au compte d emploi annuel des ressources collec t es aupr s du public Total des emplois 2007 17 480 150 co ts indirects li s aux missions sociales 147 783 actions de lutte contre le sida men es par l association 1 690 219 suivi des financements conseil et formation 939 304 Missions sociale financement des programmes de recherche 3 541 944 financement des programmes d aide aux malades 5 090 610 L volution des financements vers s depuis 2005 source comptes de r sultat 2005 2006 et 2007 10 000 000 2 302 992 8 000 000 2 174 907 1 886 338 6 000 000 4 000 000 2 000 000 2005 2006 2007 administration de l association 826 226 dotations aux amortissements et provisions 74 110 Frais de fonctionment co ts directs de collecte 521 042 co ts indirects d appel la g n rosit publique
108. ssociatif sida charg d instruire les dossiers d aide aux malades d pos s par les associations comptait 18 membres Le Comit International charg d instruire les dossiers des associa tions trang res dans le cadre de l appel d offre international du PAARV des projets Sidaction Communaut et Ethique comptait 12 membres Le Comit sp cifique charg d instruire les demandes de programmes de Formation dans les pays en d veloppement comptait 11 membres et celui charg d instruire les projets dans le cadre de l appel d offre Grandir 6 membres Par ailleurs Sidaction a fait appel au b n volat dans le cadre de l organisation de l op ration m diatique Sidaction pour assurer la r ception des appels des t l spectateurs souhaitant faire une pro messe de don dans le cadre des op rations organis es l occar sion du 1 d cembre et d autres actions La diversit des situations professionnelles et personnelles de chacune de ces personnes ne permet pas de valoriser financi rement l apport en nature dont a b n fici Sidaction en 2007 II faut noter que la g n rosit des 3 500 b n voles apport 14 000 heures de r ponse t l phonique l association Information sur la r mun ration des 3 plus hauts cadres dirigeants au sens de l article 20 de la loi du 23 mai 2006 Les 3 plus hauts cadres dirigeants de l association Sidaction sont le Pr sident la Vice pr sidente et le Tr sorier Ces 3 plus hauts cad
109. t Act Up Paris Aides en m tro pole dans les DFA ou la plate forme des associations hai tiennes de personnes vivant avec le VIH et CRN Au plus pr s des personnes Pour beaucoup d acteurs de la lutte contre le sida les DFA sont davantage un lieu de passage que d ancrage Le turn over des associatifs ajout la pr carit de beaucoup de personnes s ropositives qui vivent pour la plupart dans le secret pour viter la mort sociale complique la t che de leur prise en charge et de leur accompagnement Pour les femmes Sidaction financ 2 programmes du Mouvement fran ais pour le planning familial Il s agit d une formation l animation de groupes de parole sur la r duc tion des risques sexuels au f minin Cette action concert e a galement permis la participation de femmes s ropositives des DFA aux Etats g n raux Femmes et VIH 1997 2007 o en sommes nous 10 ans apr s qui se sont tenus Paris les 30 novembre ler d cembre 2007 L occasion de faire le point sur les connaissances m dicales actuelles la place 17 des femmes dans la recherche les nouveaux outils de pr vention la sexualit et d laborer des recommandations sp cifiques Concernant les hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes la forte discrimination dont ils sont vic times le nombre d associations travaillant sur cette question est faible dans les DFA Il est pourtant primordial d encou
110. t re de la Justice Minist re des Dom Tom Minist re de la sant Cr dits photos Bellack Janet Goode Fabrice Hyber Gilles Sabri Bruno Thomas Conception et r alisation kHamankai com Sidaction CONTRE LE SIDA 228 rue du Faubourg Saint Martin 75010 PARIS FRANCE T l 01 53 26 45 55 Fax 01 53 26 45 75 www sidaction org
111. t re des Affaires Etrang res 26 882 et divers produits participations pour le suivi des essais ANRS remboursement par la CPAM 19 672 et le CNASEA 3 981 Les produits financiers 255 609 concernent les plus values g n r es par les placements court terme de la tr sorerie de l association Charges exceptionnelles Les charges exceptionnelles sont compos es essentiellement de soldes de factures en attente suite contestation et qui ont t r gularis es en 2007 Remboursements des frais aux administrateurs En 2007 Sidaction a pris en charge les frais engendr s par la par ticipation aux Conseils d Administration et Assembl es G n rales des administrateurs pour un montant de 13 636 soit le double de l ann e derni re Ces frais correspondent essentiellement aux d placements du coll ge international Valorisation des dons et apports en nature Pour l instruction des demandes de financement manant des associations ou des laboratoires de recherche Sidaction fait appel des scientifiques des m decins et des responsables d as sociations qui apportent b n volement leur exp rience de la lutte contre le sida dans le processus d attribution des fonds collect s aupr s du public Au 31 d cembre 2007 le Comit Scientifique et M dical charg d instruire les dossiers de recherche scientifique m dicale comptait 26 membres et le Comit Qualit de Vie 12 membres Le Comit a
112. t alarmant des contfaminations parmi les jeunes qui repr sentent plus de 10 des nouvelles contaminations en France Sidaction poursuit son enga gement au travers de l op ration Pour la vie Ce pro gramme national de pr vention jeunes cr e et diffuse gratuitement des outils d information de sensibilisation ef de pr vention du VIH aupr s des jeunes de 15 24 ans R fl chir sur la pr vention acqu rir des connaissances sur le VIH sida et les infections sexuellement fransmissi bles lib rer une parole autour de la prise de risques tels sont les objectifs majeurs de ce te op ration Ce pro gramme permet aussi de cr er mouvement de soli darit autour des personnes touch es de lutter contre les id es re ues les pr jug s et les discriminations En 2007 suite l valuation des deux premi res ann es du programme et la demande des intervenants et des jeunes le dispositif multim dia Pour la vie a t enrichi de nombreux outils Le manuel de l op ration Pour la vie conseille le per sonnel ducatif et associatif sur l utilisation des outils de l op ration et l organisation d un projet de pr ven tion sur le VIH sida e Les trois spots vid o Pour la vie d clinent fous les pos sibles en termes de prise de risques hfip www sidac org pourlavie outils pour la vie Lesite Internet Le sida et les jeunes a t enrichi d une partie vid o et d une
113. tests rapides en direction de publics particuli rement expos s au risque de contamination et loi gn s des dispositifs de d pistage traditionnels ce dispositif n est pas disponible en France Le Conseil National du Sida la Haute Autorit de Sant l Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Produits de Sant l Institut national de Veille Sanitaire ainsi que des repr sentants de diff rentes associa tions et des chercheurs taient pr sents Cette journ e r pon dait une v ritable attente et a donn le jour un consensus quant l int r t de l usage des tests rapides du VIH dans le cadre de programmes allant la rencontre des b n ficiaires potentiels Une exp rimentation des tests rapides effectu s par des associatifs hors les murs soif en dehors de labo ratoires ou de Centres de D pistages Anonymes et Gratuits devrait tre lanc e en 2008 suivre donc D veloppement du financement des programmes de recherche dans les PED En encourageant les collaborations entre quipes locales et chercheurs fran ais Sidaction est depuis sa cr ation en 1994 aux c t s des chercheurs des pays du Sud Gr ce une mission sp cifique cr e en f vrier 2006 un suivi adapt des programmes de recherche dans les PED ainsi qu un accompagnement des chercheurs souhaitant soumettre une demande de financement pour un projet men dans les PED pu tre mis en place Aussi en 2007 10 programmes sont en cour
114. teur des programmes internationaux Quand 1 personne est mise sous traite ment 4 se contaminent Quel bilan 2007 faites vous de la lutte contre le sida au niveau international Ce fut une ann e particuli rement intense mais les coups port s notre combat semblent avoir t plus forts qu auparavant C est la premi re fois qu on peut plus se satisfaire des progr s accomplis La r vi sion des donn es pid miologiques par l Onusida et l OMS ramen es 33 2 millions de personnes s ro positives dans le monde va avoir des r percussions dommageables La mobilisation financi re risque de se tarir ici l on constate d j une baisse des cr dits accord s Les pays les plus riches dont la France second donateur du Fonds mondial vont mettre de moins en moins la main la poche Pourtant lorsqu une nouvelle personne est mise sous traitement quatre se Par ailleurs Nord comme au Sud la criminalisation de la transmission du VIH gagne du terrain AU Burkina Faso o au Niger la confidentialit sur la s ropositivit est remise en cause au nom de la d fense des personnes s ropositives et pourtant l exclusion des personnes s ropositives est renforc e Enfin si de grands progr s ont t r alis s au niveau de l acc s aux soins il reste beaucoup faire concer nant les droits des s ropositifs notamment pouvoir tra vailler et circuler librement
115. tion L association a consacr 1 69 million d euros soit pr s de 15 des affectations aux missions sociales Le travail sur ces th matiques prioritaires s effectue dans le domaine de la recherche avec une mission destin e favoriser les projets en sciences sociales en France dans le cadre des missions Milieu carc ral Emploi D partements fran ais d Am rique Pour la vie programme de pr vention jeunes et Corevih COordination R gionale de lutte contre le Virus de l Immur nod ficience Humaine et dans les pays en d veloppement avec les programmes Grandir prise en charge des enfants affect s ou infect s par le VIH Ethique dans la recherche Hard to reach soutien adapt aux sp cificit s des popula tions exclues l unit de formation ou l appui la profession nalisation des pharmacies communautaires Enfin Sidaction a poursuivi son action visant informer et ras sembler les acteurs de la lutte contre le VIH gr ce sa publica tion Transversal et l organisation d v nements d changes qui favorisent mises en r seau et partages de connaissances Pour 2008 compte tenu des besoins des structures de lutte contre le sida en France et dans les pays en d veloppe ment Sidaction doif encore augmenter ses soutiens finan ciers tout en renfor ant l accompagnement technique des associations L association doit aussi poursuivre ses missions prioritaires tout en restant r active face l volution de
116. tout au long de l ann e en pr tant main forte l quipe de Sidaction stands d informar tion animations de collecte e Plus de 400 animations de sensi bilisation d information ef de col lecte r parties sur l ensemble du territoire nationale 500 000 donateurs fid les 90 000 nouveaux donateurs qui permet tent Sidaction par leurs dons de poursuivre son soutien la recherche aux associations et aux malades Ils repr sentent 90 de nos ressources De nombreux partenaires ef entre prises nous ont permis par leur sou tien financier mat riel ou logistique de mener bien nos actions Du fond du c ur je vous remercie pour cette solidarit sans rel che qui nous donne l espoir d un avenir sans sida C est ensemble que nous gagnerons ce combot Line Renaud Vice pr sidente d l gu e 8 Retour sur les temps forts de l ann e 2007 janvier Sortie du Guide DFA janvier f vrier Publication du n 34 Transversal VIH transy Orsa Quelles sont les derni res avanc es de la recherche sur le VIH Quels sont les facteurs favorisant les prises de risque Comment parler du sida aux jeunes Comment vit on qu quotidien avec le VIH en France et ailleurs dans le monde Ces ques tions et bien d autres sont abord es tous les deux mois dans Transversal le magazine d information que publie Sidaction depuis 2001 Chercheurs experts militants politi ques et cit
117. ts associatifs afin d int grer la vision des malades dans la r flexion du comit Sidaction pro pose un appel d offres scientifique et m dical annuel comprenant trois Sessions Le Comit associatif sida est charg d instruire les dossiers d aide aux malades d pos s par les associations fran aises est compos d ac teurs sanitaires et sociaux uvrant sur le terrain de la pr vention et de l aide aux malades Le Comit am lioration de la qualit de vie et de la qualit des soins en compl ment du soutien la recherche en qualit de vie Sidaction d ve loppe appel projets sp cifique qui tend promouvoir et valoriser les programmes qui prennent en compte cet aspect de la vie des per sonnes touch es Les valuations utilis es sont les mesures de la qualit de vie li e au VIH Le Comit international ainsi que les comit s formation dans les et Grandir sont compos s de membres d associations de pays en d ve loppement et d experts fran ais b n voles engag s dans la lutte contre le sida dans ces pays Ces comit s sont charg s d instruire les dossiers des associations trang res dans le cadre de l appel d offre international du PAARV des projets Sidaction Communaut et Ethique les demandes de programmes de formation dans les pays en d veloppement et enfin les projets dans le cadre de l appel d offre Grandir Conseil d administration Pierre BERG Pr sident Line RENA
118. tuto para el Desarollo Humano AAS REVS URBLS Maison des Associations Universit de Ouagadougou Initiatives Conseil International ANSS SWAA Burundi APECOS REDS SWAA Littoral SunAids Alternatives Cameorun Beijing ZHIAIXING Information amp Counselling centre Aids Care China Serment Merveil SOS sida RSB Centre SAS Lumi re Action Bouak Eveil Ruban Rouge Chigata ACONDA Oui la Vie Solidarit F minine Georgian Plus Group SAI WOFAK sida Kenedougou Solidarit ALCS PILS Nava Kiran Plus Blue Diamond Society Mieux Vivre avec le Sida Living Hope Care NELA SWAA Kano NHV Mag PAFPI ARAS IMENA Humanitarian Action Foundation SMLA CDN Tchad TTAG Espoir Vie Togo Aides m dicales et charit AI Ukrainian Network of People Living with HIV ACCSI Batsirai Group The Centre Programmes multi pays France PED France PED France Cameroun France PED Pays Bas PED BA Sidaction Communaut s 27 FINANCEMENTS ENGAGEMENTS 2007 35 000 PAARV 123 900 Paris sida Sud 451 708 Formation PED 369 000 Hard to reach 52 000 1 192 900 Grandir 179 500 Soutien conf com amp scient 125 000 Ethique 15 000 EEE L organisation de Sidaction 2007 Deux principes fondateurs rigueur et transparence Un contr le d utilisation des fonds rigoureux La transparence est au c
119. uis particuli rement fier que cette ann e et alors que les financements publics sont de plus en plus complexes ef parfois tardifs Sidaction ait pu d bloquer ses sou tiens aux associations locales tr s t t dans l ann e Si 2007 fut une bonne ann e pour nos programmes de recherche de pr vention et d aide aux malades en France et l international elle fut h las mauvaise sur le front du VIH 2 5 millions de personnes ont appris leur s ropositivit dans le monde dont pr s de 6 500 personnes dans notre pays 20 chaque jour dont beaucoup de femmes de jeunes de moins de 25 ans Deux autres chif fres nationaux restent pr occupants 40 000 personnes ignoreraient leur s ropositivit et 50 des nouveaux cas connus sont d j au stade sida faute d avoir t d pist s pr coc ment Mais les combats se nourrissent d espoirs La France va enfin rattraper son retard sur l exp rimentation de tests rapides demand s par des associations l initiative de Sidaction En effet ces tests viennent d ob tenir l accord d exp rimentation du minist re de la Sant Ils permettront de conna tre son statut s rologique en quinze trente minutes m me s il faudra toujours attendre les trois mois requis apr s une prise de risque afin d tre certain de leur fiabilit 100 Vous le savez mon attention va tou jours vers la pr vention qui se rel che y compris chez les homosexuels Souvenez vous de la c
120. une action extr mement r pressive sur la r plication virale et jouait un r le dans l tablissement et le maintien du r servoir viral Plus largement leurs travaux sur les m canismes mol culaires de la cellule qui inhibent l expression des g nes viraux pourraient aboutir de nouvelles strat gies de blocage de la multiplication du VIH Pour cette recherche ambitieuse de biologie fondamentale le laboratoire de Monsef Benkirane a b n fici d un finan cement de Sidaction de 63 286 Ces travaux d j publi s plusieurs reprises dans des revues scientifiques de tout premier ordre devraient prochainement pr senter de nour veaux r sultats Liste des publications Triboulet et al 2007 Science 315 1579 1582 Du Ch n et al 2007 EMBOJ 26 424 435 Lassot Latreille D et al 2007 Mol Cell 25 369 383 Du nouveau pour les sciences sociales L ann e 2007 termin e c est l heure du premier bilan pour la Mission sciences sociales de Sidaction qui a t mise en place un an auparavant l augmentation du nombre de demandes de financement dans ce domaine est cons quente 26 dossiers d pos s contre seulement 9 2006 Le soutien sp cifique apport aux chercheurs en sciences sociales souhaitant d poser un dossier ainsi que la plus large diffusion de l appel d offres scientifique et m dical de Sidaction ont contribu favoriser cette progression En effet le bilan des financements des reche
121. ur des valeurs de Sidaction Plus qu une exigence c est une thique un engagement pris le jour de sa cr ation en 1994 Les structures soutenues par Sidaction ont l obligation de justifier l emploi des sommes allou es en nous adressant annuellement leurs comptes ainsi qu un bilan d taill de l tat de leur programme Ces rapports sont contr l s par les quipes de Sidaction qui analysent la bonne utilisation des fonds Chaque ann e Sidaction mandate ga lement cabinet d audit ind pendant pour contr ler sur place en moyenne vingt associations et structures de recherche L organisation de Sidaction repose sur 7 instances b n voles Le Conseil d administration est compos de 19 membres b n voles sim pliqu s depuis longtemps dans la lutte contre le sida Le Conseil d ad ministration est constitu de 4 coll ges le coll ge associatif France le coll ge scientifique et m dical le coll ge international et le coll ge des personnalit s qualifi es Le Conseil d administration prend la d cision finale d accord ou de refus de financement ef autorise le versement des fonds Il s appuie pour cela sur les recommandations de plusieurs comit s d experts Le Comit scientifique et m dical est charg d instruire les demandes de contrat de travail et de financement manant des chercheurs Il est constitu de cliniciens de chercheurs fondamentalistes et de chercheurs en sciences sociales mais aussi de deux repr sentan
122. utre Sidaction a facilit la participation des diff rents acteurs de lutte contre le sida des colloques ateliers ou autres forums sur l thique dans la recherche Comme l ont bien affirm les participants l atelier de Ouagadougou l thique de la recherche ce n est la priorit de personne mais le pro bl me de tout le monde est temps qu on s en pr occupe de fa on collective 2007 a galement t plac e sous le signe de la rencontre de Sidaction avec une majorit de ses partenaires La 4 conf rence francophone sur le sida s est tenue Paris Sidaction en tait co organisateur Un moment privil gi pour pr parer l avenir et r fl chir l am lioration de l acc s aux soins et pour maintenir un r le fort dans le domaine de la recherche La circoncision masculine trancher Fortement impliqu e sur la question l invitation de l ANRS Sidaction s est fait le relais des pr occupations communautaires aupr s de l agence de recherche La pr occupation de Sidaction est que l essai d enver gure visant 20 000 hommes circoncire n ait pas une cons quence n gative sur la sexualit entre hommes et femmes au sujet de la n gociation du pr servatif sur la contamination des femmes Les associations partenaires de Sidaction dans le cadre des programmes internationaux en 2007 PAYS ASSOCIATIONS The Kidzpositive Family Fund VuSAbantu Racines Universit d Abomey Calavi Insti
123. virales Institut Pasteur PARIS Dr Sylviane MULLER Laboratoire d Immuno logie et Chimie Th rapeutiques CNRS UPR 9021 STRASBOURG Dr Matteo NEGRONI Unit de R gulation Enzymatique des Activit s Cellulaires CNRS URA 2185 PARIS Dr S bastien NISOLE Equipe des Interactions Mol culaires H te Pathog ne INSERM U567 CNRS UMR 8104 PARIS Dr Th ophile OHLMANN Laboratoire de Virologie Humaine INSERM 0412 LYON Pr Serge PIETTRE Laboratoire d Asym trie h t rocycles h t rochimie et bio organique CNRS UMR 6014 MONT SAINT AIGNAN Dr Christophe PIKETTY Service d Immunologie Clinique H pital Europ en Georges Pompidou PARIS Dr Olivier SCHWARTZ Groupe Virus et Immunit Institut Pasteur PARIS Dr Daniel SCOTT ALGARA Unit des R gulations des Infections R trovirales Institut Pasteur PARIS Dr Anne SIMON LOMBES Laboratoire de G n tique Physiopathologie et Th rapies des Affections du Muscles Stri INSERM U582 PARIS Dr Naomi TAYLOR Institut de G n tique Mol culaire de Montpellier GMM CNRS UMR 5535 MONTPELLIER Dr Alain VENET 2 Equipe Immunit Antivirale Syst mique et C r brale INSERM E0109 LE KREMLIN BICETRE Pr Laurence WEISS Service d Immunologie Clinique H pital Europ en Georges Pompidou PARIS Dr Jean Fran ois ZAGURY Conservatoire National des Arts et M tiers PARIS FINANCEMENTS DE JEUNES CHERCHEURS Lauran ACHILLI Centre d Etudes Africaines CNRS FRE 2450 P
124. xigences de la loi n 78 17 du 6 janvier 1978 relative l infor matique aux fichiers et aux libert s MERCI Merci tous nos fid les partenaires qui chaque ann e r affirme leur engagement nos c t s Merci aux nouveaux qui ont rejoint cette chaine de solidarit en 2007 Sidaction ne pourrait exister sans eux la gratuit de leurs services et de leurs mat riels l implication b n vole de leurs quipes leur soutien financier permettent Sidaction une plus grande visibilit un gain de temps et d argent consid rable Ils font entendre le message de Sidaction tout au long de l ann e Les partenaires du Sidaction 2007 Les partenaires m dia officiels En D CUS are M CO em RIL francet l visions Augure Hors Antenne Les m dias solidaires qui ont relay s le message Direct 8 RMC TMC La cha ne parlementaire Les partenaires du 110 pour d poser sa promesse Above contact Actel Ajilon Amex Annuaire invers Axa Atout coeur Canal Centrappel free Cesti Dediservice E sama PJMS Macif Maisoning Sitel Vitalicom Neuf C getel Polycontact Webhelp Paypal Les partenaires plan m dia Affimext Affiouest Aloes Red Avenir Publicit Clearchanel Dynacom Eurorscg G amp B Affichage Rdp France Affiche Tdf Metrobus Insert Pavillon d Armenonville Viacom Outdoor Yolle Publicite Les partenaires internet Allocin Msn France television interactive Free M

Le rapport d`activité 2007 de - Observatoire des gaspillages

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