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Biocoop Alimentation :

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1. La premi re climatisation propre au monde est fran aise Une conomie de 234 000 tonnes de CO et de 50 millions de litres de gasoil par an un air plus sain et plus de 250 cr ations d emploi en vue Apr s des ann es de recherche et d veloppement la soci t AEREL a mis au point une technologie d avant garde au niveau mondial la climatisation par injection vapora tive Ce syst me brevet en Europe et bient t aux Etats Unis permet de climatiser en r duisant significativement les nuisances sur la sant de l homme et sur l environne ment toutes cabines d engins roulants industriels agricoles BTP transport en com mun etc Une innovation qui s duit d ja des collectivit s et les premiers fabricants de mat riels Elle pourrait a terme cr er 250 emplois en France Une v ritable avanc e pour le d veloppement du rable mesur e et valid e par l ADEME Cette innovation se r v le plus efficace que toutes les technologies d j connues climatisation convention nelle gaz frigorig nes climatisation vaporative humidificateurs Elle est soutenue par ANVAR et valid e par une tude de l ADEME qui ont mesur scientifiquement ses b n fices Une conomie de carburant consid rable La climatisation par injection vaporative AEREL fonctionne sans compresseur Ainsi elle utilise dix fois moins de puissance que la climatisation gaz 62 Bien tre et cologie 0 5 C
2. pour une plante demeure encore largement pr ma tur e De m me il n est aujourd hui pas possible d mettre des recommandations pratiques pour le grand public concernant par exemple le nombre et le type de syst mes de biofiltration installer dans un logement et leurs conditions d entretien Les v g taux pr sents dans les logements ou les bu reaux peuvent pr senter une certaine toxicit et tre l origine de troubles allergiques Mais les impacts sanitaires restent faibles Les substrats sur lesquels poussent les v g taux sont favorables au d veloppement de moisissures qui peuvent g n rer des ph nom nes de type allergique notamment Seize esp ces de champignons poten tiellement pathog nes ont t isol es dans la terre de plantes en pot ce qui impose leur suppression des en vironnements o s journent des personnes sensibles Par ailleurs l entretien des plantes est souvent li l utilisation de produits biocides qui peuvent gale ment avoir un impact sur la sant En ce qui concerne les plantes elles m mes des ph nom nes allergiques peuvent survenir Ils se traduisent par des sympt mes de type asthme ecz ma rhinoconjonctivite dermatite etc Les plantes les plus incrimin es dans la survenue de telles pathologies sont les ficus Ficus benjamina les cactus de No l Schlumbergera sp le poinsettia Euphorbia pulcherrima ainsi que certaines vari t s de primev res et d
3. Angers Institut National d Hor ticulture et de Paysage Association Plant Airpur Marie Am lie Rzepka Association pour la Pr ven tion de la Pollution Atmosph rique Jensen Zhang Syracuse University Etats Unis et Laurence Galso mi s ADEME Source Observatoire de la qualit de l air int rieur Bien tre et cologie 41 HABITAT DS L isolation au naturel Les isolants base de laine de mouton et de chanvre sont recommand s pour leurs propri t s naturelles tonnantes notamment leur r sistance aux at taques des rongeurs La laine est de plus un tr s bon isolant thermique prot geant aussi bien du froid que du chaud et poss de d ailleurs un des meilleurs coefficients thermiques C est en se basant sur ces constatations et apr s deux ans de recherche et d veloppement que la soci t Les Textiles de Garrot a mis au point une gamme compl te d isolants naturels et cologiques pour l ensemble de l ha bitation La gamme Novalaine Pourquoi utiliser ces types d isolant Tout simplement parce que les produits base de laine de mouton et de chanvre sont des mat riaux co logiques sains naturels recyclables et renouvelables qui s inscrivent parfaitement dans une d marche d cologie et de d veloppement durable tout en tant faciles poser De plus ces fibres naturellement bio d gradables n cessitent tr s peu d nergie pour leur fabrication et leur
4. temp rature humidit relative luminosit ainsi que surface rugosit et densit foliaires e quilibre qui s instaure entre les concentrations des substances pr sentes dans l air et celles l in t rieur du v g tal e la saturation au fil du temps de l accumulation des polluants l int rieur des v g taux d efficacit Dans les r els d montr e espaces pas En l tat actuel des connaissances encore limit es l utilisation de plantes en pot n appara t pas efficace pour liminer les polluants de l air dans les espaces clos Actuellement peu d tudes ont pu d montrer l effi cacit des plantes seules pour purer l air int rieur l chelle d une pi ce chambre ou bureau Trop peu d exp rimentations ont t men es dans des condi 7 RE tions r elles faibles concentrations des polluants m lange de substances ventilation r aliste des lo caux volume d air purifier De plus les carac t ristiques d ambiance des milieux int rieurs mou vements d air r duits temp rature constante faible hygrom trie luminosit ne sont pas propices op timiser les facult s d accumulation des polluants par les v g taux Si quelques rares travaux tendent in diquer qu l chelle de l habitation la pr sence de v g taux peut effectivement entra ner une diminution des concentrations en COV les r sultats montrent le plus souvent un
5. AA L 5 ce ZR ET be We bap 1 e KR 15 r 7 AS f M ad 4 D Qi j P 0 951 A D 5 km c 4 2001 2004 lt N 0 1000 2000 Figure 1 Origine des populations envahissantes d Harmonia axyridis Les aires natives et envahies sont res pectivement en vert et rouge La probabilit estim e pour chaque sc nario d introduction est en noir P Les dates de premi re observation des invasions sont en bleu ENA Est Nord Am rique ONA Ouest Nord Am rique AS Am rique du Sud AFS Afrique du Sud EU Europe de l Ouest Belgique Dans le cas de la population Ouest Europ enne EU les contributions g n tiques relatives des sources Est Nord Am rique ENA fl che rouge et de la population de lutte biologique europ enne LBE fl che bleue sont respective ment gales 59 et 41 dividus provenant d Am rique du Nord Est et ceux issus de la souche de lutte biologique pr c demment cit e est en cours d tude 1 Cornuet J M Santos F Robert PC Marin J M Balding DJ Guillemaud T Estoup A 2008 Infer ring population history with DIYABC a user frien dly approach to Approximate Bayesian Computation Bioinformatics 24 2713 2719 Source INRA Scientifique Arnaud Estoup 04 99 62 33 38 estoup supagro inra fr www montpellier inra ft CBGP Contact presse H l ne Deval 01 42 75 91 67 presse inra fr Bien
6. appareil digestif Une portion de 180 g de pommes de terre bouillies procure 3 grammes de fibres ce qui quivaut plus de 10 des apports quotidiens recom mand s fix s 25 grammes Certaines personnes 81 ment manger des pommes de terre cuites dans leur peau Sous cette forme elles contiennent encore plus de fibres Il faut toutefois viter de manger la peau des pommes de terre dont la couleur a chang ou qui est tachet e Les taches vertes indiquent une forte concentration de glycoalcalo des tels que l alpha so lanine qui peut tre nocive pour la sant si elle est consomm e en grande quantit Une petite partie de pommes de terre sont une source de fibres pomme de terre l amidon contenu dans la pomme de terre r siste la digestion d o le nom d amidon r sistant cela est notamment le cas lorsque les pommes de terre sont mang es froides en salade par exemple apr s la cuis son L amidon r sistant agit dans l organisme comme les fibres alimentaires et peut contribuer au contr le de la glyc mie et du taux de lipides sanguins Les pommes de terre sont une source r guli re et fiable de vitamine C une pomme de terre bouillie de taille moyenne 180 g en contient environ 10 mg soit un huiti me des besoins d un adulte Les pommes de terre nouvelles contiennent le double de vitamine C M me s il existe de nom breux fruits et jus riches en vitamine C aucun autre f c
7. cole largement utilis Malgr un pourcentage lev de ruches contenant des r sidus de ce produit en France plus de 50 il est souvent difficile d ta blir un lien entre son utilisation et le taux de mortalit des abeilles Le champignon Nosema ceranae a t rendu responsable de pertes massives d abeilles en Espagne et associ des pertes aux Etats Unis Nosema alt re la nutrition de l abeille en colonisant l intestin et perturbe le comportement alimentaire Il induit une consommation plus importante de nourri ture nerg tique chez l abeille stress nerg tique Hi aux mortalit s massives observ es chez Les chercheurs ont tudi les effets de l interaction de ces deux agents sur la sant des abeilles en exa minant diff rents l ments la mortalit individuelle et le stress nerg tique mesur par la consommation de saccharose l immunit individuelle et l immunit sociale de la colonie Comme insectes sociaux la sant des abeilles n est en effet pas seulement indi viduelle mais elle d pend galement du fonctionne ment global de la ruche Les r sultats montrent que l effet combin entre Nosema et l imidaclopride des concentrations ren contr es naturellement par les abeilles induit un taux de mortalit et un stress nerg tique significativement plus lev s que chaque agent seul Si au niveau des individus aucun effet sur limmu nit des ouvri res n a
8. la lai vous donne IV VOUS a EUREXPO LYON M ss las du 19 au 22 novembre 1619 novembre de 11h 22 h les 20 21 ot 22 novembre 2010 de 10h 19h tp www Vivez nature com les 4 JOURS de L AGRICULTURE BIOLOGIQUE ra L ENVIRONNEMENT et des PRODUITS au NATUREL en RHONE ALPES Salon des vins bio et des vins naturels a Landerneau 29 Du 20 au 21 novembre 2010 Th mes Vins de plusieurs terroirs alimentation pain fromage charcuterie D gustations restau ration bio Site www foirebio landerneau fr March gourmand des vins bio Bor deaux Du 20 au 21 novembre 2010 Th mes Viticulteurs produits bio Conf rences d gustations information restauration bio Site wwy vigneronsbio aquitaine org Salon Naturabio Lille Du 26 au 28 novembre 2010 Th mes Alimentation bio habitat sain jardinage tourisme vert beaut artisanat commerce quitable m decines douces associations Entr e gratuite sur invitation 6 tarif normal 1 tarif offre sp ciale 12 forfait 3 jours Site www salon naturabio com Salon B tir Ecologique Paris Du 26 au 28 novembre 2010 Th mes Rendez vous national de la construction cologique et de l habitat sain Site www batirecologique com Journ es de l arbre de la plante et du fruit Saint Jean du Gard 30 Du 26 au 28 novembre 2010 24es Journ es de l arbre de la plante et du fruit Saint Jean d
9. tre et cologie 53 ENVIRONNEMENT 0 Les for ts m lang es moins infest es par les insectes ravageurs Une quipe de chercheurs de l INRA de Bordeaux en collaboration avec des coll gues de Nouvelle Z lande montre que la diversit des esp ces d arbres a une influence positive sur la r sistance des for ts aux attaques des insectes Dans une m ta analyse de 119 cas publi s dans la litt rature scientifique les chercheurs ont montr que le niveau des d g ts occasion n s par ces nuisibles sur une essence foresti re donn e est pratiquement toujours inf rieur quand cette essence est g r e dans les peuplements m lang s plut t que dans des peuplements monosp cifiques L analyse livre galement des explications sur les m canismes responsables de cette meilleure r sistance Par son approche quantitative cette tude justifie l int r t de diversifier les essences foresti res comme moyen de pr vention des attaques par les insectes ravageurs histoire r cente des for ts t moigne d une r duction continue de la diver sit des essences foresti res exploit es pour la production de bois En France on estime que la surface des for ts plan t es constitu es d une seule essence avoisine les 2 millions d hectares Au total environ la moiti de la surface des for ts fran aises serait constitu e de peu plements domin s par une esp ce par ex h traies ch naies Avec le changement cli
10. GEL DOUCHE IO SECURE sum TEA 5 eee AN 85895 anses tunt vena mous CARO RATUREL tutman Eom 4 84 paraan E SEC RE AETI y NON NON TEST BIOs paraben SUR LES t aluminium AN ra cosvS ph noxy thanol IMAUX a LMY amp R 2010 Laboratoires Biopha Montaigu SAS au capital de 1 000 000 euros RCS La Roche sur Yon B 328 835 905 Photo Atypique Prod Sant amp Bien tre L action du Bisphenol A sur l intestin pour la premi re fois d montr e Pour la premi re fois une quipe de chercheurs de LINRA de Toulouse vient de d mon trer que l exposition au Bisph nol A BPA a des cons quences sur la fonction intesti nale Cette mol cule constitutive de nombreux r cipients alimentaires en plastique est couramment retrouv e dans l organisme d une large majorit de la population quel que soit l ge Or le BPA est un leurre hormonal capable de mimer l effet des strog nes les hormones sexuelles f minines qui au del de leur r le dans la fonction de repro duction sont essentielles au d veloppement d organes comme le cerveau ou le syst me cardio vasculaire Les chercheurs de LINRA montrent que l appareil digestif du rat est tr s sensible aux faibles doses de BPA affectant la perm abilit intestinale la douleur visc rale et la r ponse immunitaire l inflammation digestive Ils d voilent galement comment l exposition pr et p
11. La prise r guli re d un petit d jeuner est associ e une am lioration des apports nutritionnels et pourrait contribuer au maintien d un poids sant Ce repas est particuli rement important pour les en fants et les adolescents car 1 semblerait qu il am liore les apprentissages et la performance scolaire notam ment chez les enfants dont le statut nutritionnel est m diocre Puisqu il s agit du repas le plus susceptible d tre n glig il est important de rappeler ses bien faits aux Europ ens Rompre le je ne La plupart des enfants et des adolescents passent de l tat de sommeil et donc d une p riode de je ne de plusieurs heures un tat d activit intense La demande en glucose des muscles et du cerveau aug mente donc rapidement cr ant un besoin important de carburant Ce repas le premier de la journ e rompt le je ne nocturne et procure l nergie n ces saire pour faire repartir l organisme et aiguiser l es prit 2 Pourtant entre 10 et 30 des enfants euro p ens et plus particuli rement les adolescents et les filles s abstiennent de petit d jeuner Un repas nutritif Compar s ceux qui s abstiennent de manger le matin les enfants qui prennent r guli rement un pe tit d jeuner sont plus susceptibles de respecter les recommandations nutritionnelles et d avoir des ap ports quotidiens plus lev s en vitamines min raux et fibres Un examen rapide
12. co responsabilit aussi bien en vironnementale que sociale et conomique Biopha b b c est toute une gamme de produits pour votre b b formul e base d ingr dients issus de l Agriculture Biologique sans huile essentielle sans conservateur de synth se sans paraben ni phenoxyethanol sans silicone sans colorant ni parfum de synth se sans OGM et garantie hypoallerg nique Retrouvez biopha b b au rayon hygi ne b b des grandes et moyennes surfaces Info points de vente www biopha com 8 amp La s lection biopha b b verra e Gel Corps et Cheveux 2 en 1 nettoie en un seul geste le corps et les cheveux de votre b b 1 peut galement tre utilis en gel douche pour toute la famille e Shampooing nettoie en douceur les cheveux de b b ainsi que ceux de toute la famille en usage fr quent e Lait de toilette nettoie sans rincer le visage et le corps de b b et peut galement servir d ma quiller la maman tout en nourrissant et r parant l piderme e Eau nettoyante l aloe vera et extraits de fleurs de cerisier elle nettoie sans rincer la peau de b b et ne n cessite pas de rin age Au plus pr s de la nature Pour en savoir plus sur l esprit biopha b b et obte nir des renseignements compl mentaires sur tous les produits de la nouvelle gamme rendez vous sur http www biopha com Adrien R PRESS ae La gme d hygi ne b eai 0 B
13. en partenariat avec la Facult de Phar macie de Lille et l ADEME a fait le point sur les connaissances actuelles afin de r pondre ces questions l occasion d un s minaire organis le 6 mai 2010 Qualit de l air int rieur du bon sens avant tout Les sources de pollution de l air int rieur sont tr s diversifi es appareils de chauffage et de cuisson ta bagisme produits d entretien mat riaux de construc tion de d coration et d ameublement Les conta minants biologiques virus bact ries moisissures allerg nes et physicochimiques particules mo noxyde de carbone compos s organiques volatils 1 KENPEI s photo 38 Bien tre et cologie COV ou semi volatils qui se retrouvent en concen trations plus ou moins importantes dans l air int rieur sont susceptibles d avoir des effets sur la sant Le mode de vie urbain conduisant passer la grande ma jorit du temps jusqu 90 dans des espaces clos il appara t donc essentiel de chercher liminer les substances polluantes pr sentes dans l air int rieur Le bon sens consiste en priorit limiter les sources de polluants afin de diminuer la concentration de ces derniers dans l air int rieur et a rer et ven tiler correctement les locaux Une fois ces gestes de base appliqu s il est alors envisageable de d ployer des syst mes de rem diat on pour contribuer l pu ration d
14. nourris avec du pollen monofloral pr sentant des diff rences en quantit de prot ines et d autres groupes avec du pollen multi fleurs pr sen tant entre eux des taux identiques de prot ines Un groupe de contr le ne recevait aucun pollen L exp rience a t r p t e sur 5 colonies diff rentes Les r sultats montrent que la quantit de pol len consomm e par abeille et par jour est la m me entre les diff rents groupes quelque soit le type 44 Bien tre et cologie d alimentation Par contre la composition en pollen a un effet significatif sur les diff rents param tres de l immunit Concernant l immunit individuelle des insectes il n y a pas de diff rence observ e entre les diff rentes alimentations de pollen monofloral Par contre l ali mentation par du pollen multi fleurs contribue une meilleure immunit individuelle La diversit des ressources alimentaires contribuent une meilleure immunit de la colonie Concernant l immunit sociale les abeilles nourries avec du pollen monofloral m me celui contenant le plus de prot ines produisent moins d antiseptiques s cr t s dans l alimentation des larves et le miel que celles nourries avec du pollen polyfloral et par cons quent la colonie devient plus sensible aux ma ladies Ceci souligne l importance de la diversit de l alimentation pour l immunit coloniale n cessaire pour l apport des diff rents ac
15. page 66 Sources Eufic Bien tre et cologie 25 Sante amp Bien tre Les Fleurs de Bach comment ca marche Pour le docteur Edward Bach la maladie est un signal qui nous indique l origine de nos erreurs notre souffrance l endroit de notre souffrance est en relation troite avec nos difficult s mentales de comportements correspondant a des troubles motionnels n gatifs Ces troubles comporte mentaux mettent en vidence notre mani re d aborder notre vie Les v nements l inconnu les hommes les femmes ces troubles sont le plus souvent la mani festation visible des sch mas motionnels n gatifs conscients ou inconscients que nous avons stock au cours de notre vie Selon leur intensit ces troubles peuvent entra ner des maladies ainsi que des dysfonc tionnements plus ou moins graves e docteur Bach a identifi et classifi 38 formes Le Dr Bach chercha dans la nature le monde visible des l ments porteurs d motions positives capables d lever nos propres vibrations similaires a un ni veau tel que les motions n gatives feraient place des pens es positives et cr atrices Il trouva dans les fleurs sauvages les nergies curatives sp cifiques qu il cherchait Mais comment recueillir et transmettre ces nergies aux tres humains Selon ses intuitions 1 pla a les fleurs dans un r cipient rempli d eau pure sur le sol au pied des plantes au soleil Apr s que
16. r e en peuplements m lang s L effet de la diversit des for ts varie ce pendant avec la plus ou moins grande sp cialisation des insectes ravageurs vis vis de l essence attaqu e On distingue ce titre deux cat gories d insectes her bivores les g n ralistes et les sp cialistes Les her bivores g n ralistes ont la capacit de se nourrir sur un grand nombre d essences h tes on les dit poly phages alors qu au contraire les sp cialistes ne peu vent se nourrir que sur une seule ou sur un nombre restreint d essences h tes ils sont oligophages La m ta analyse r v le que le niveau de d g ts par les insectes sp cialistes est pratiquement toujours inf rieur dans les peuplements m lang s 93 des cas Par exemple la cochenille Matsucoccus feytau di strictement inf od e au Pin maritime cause plus de dommages sur cette essence dans les peuplements purs que dans les peuplements mixtes associant le Pin laricio au Pin maritime En revanche les chercheurs ont constat que l effet de la diversit des essences foresti res sur les attaques d insectes g n ralistes est moins important que dans le cas des sp cialistes 60 des tudes montrent une r duction des d g ts cau s s par les insectes g n ralistes dans les peuplements m lang s par rapport aux monocultures contre 40 montrant au contraire des d g ts plus lev s dans les peuplements m lang s Quels m canismes cologiq
17. t observ l action combin e des deux agents test s affecte l immunit de la ruche Pour tester cette immunit au niveau de la colonie les chercheurs ont mesur le taux de production de la glucose oxydase En effet cette enzyme permet la production d antiseptiques H202 dans la nourriture de larves et le miel et donc de pr venir toute conta mination de la nourriture Alors que Nosema et l imi daclopride seuls n ont aucun effet leur combinaison provoque une r duction significative de la production de glucose oxydase Ceci sugg re sur le long terme en plus des effets imm diats de ces deux agents sur la mortalit des abeilles une sensibilit accrue de la ruche aux pathog nes due la diminution des anti septiques produits En se focalisant sur les effets des pesticides ou patho g nes seuls leurs effets synergiques ont longtemps t ignor s Cette synergie entre agents pathog nes et doses subl thales de pesticides est par ailleurs bien tablie en lutte int gr e contre les insectes ravageurs R f rences page 66 Source INRA Contacts Yves Le Conte T l 04 32 72 26 27 yves leconte avignon inra fr unit mixte de recherche Abeilles et environne ment INRA Universit d Avignon et des Pays de Vaucluse d partement Sant des plantes et environnement centre INRA de PACA Bien tre et cologie 45 ENVIRONNEMENT a Les aires marines prot g es une solution la sauv
18. tes et chimiques ils peuvent mettre des odeurs r pulsives qui limitent la d tection des arbres h tes par leurs her bivores Par ailleurs les for ts diversifi es offrent des meilleures conditions de survie et de d veloppement abris ressources alimentaires secondaires comme le nectar aux ennemis naturels pr dateurs parasi to des des insectes ravageurs En cons quence les ennemis naturels des ravageurs sont plus abondants et plus diversifi s dans les peuplements m lang s et exercent un meilleur contr le biologique des popula tions de ravageurs Cette tude originale offre donc des explications co logiques la plus grande sensibilit aux d g ts sani taires des for ts pures que m lang es Elle confirme galement que la biodiversit participe du bon fonc tionnement des cosyst mes forestiers Il convient d sormais d associer sylviculteurs cologues et co nomistes pour d velopper des m thodes de gestion des for ts m lang es assurant un meilleur compromis entre contraintes techniques co t de gestion et b n fices attendus pour la croissance et la sant des arbres R f rences page 67 R dacteur Herv Jactel INRA T l 05 57 12 27 39 herve jactel pierroton inra fr Unit Biodiversit G nes et Communaut s d parte ment Ecologie des for ts prairies et milieux aqua tiques centre INRA de Bordeaux 2 Les parasito des sont des insectes dont les femelles pondent
19. tique pour un produit destin aux b b s peut tonner les jeunes m res En r alit les b b s ont une peau 5 fois plus fine et donc beaucoup plus perm able que celle des adultes ce qui justifie pleinement l utilisation de produits cosm tiques et da vantage encore de produits biologiques d pourvus de mati res premi res pouvant tre jug es n fastes Plus que quiconque les b b s doivent tre prot g s des produits cosm tiques dont on ne conna t pas v ritablement la nature des composants et leur degr de nocivit L usage des produits biologiques biopha b b a l avantage d apporter cette garantie en respec tant la peau fragile du b b et en rassurant pleinement les parents Comment garantir l hypoallerg nie En plein d veloppement les allergies qui associent facteurs h r ditaires et environnementaux concer nent de plus en plus les jeunes notamment les b b s Les produits biopha b b par leur caract re naturel et biologique minimisent les risques de r actions allergiques en radiquant subtilement les allerg nes classiques tels que les parfums et les conservateurs de synth se eaux florales et autres huiles essentielles Un produit de qualit en grandes et moyennes surfaces une h r sie La gamme biopha b b tient avant tout concilier sa grande exp rience pharmaceutique et son accessibi lit tous les publics Les laboratoires BIDPHA offre ici un gage de leur
20. 1677 1681 5 Holt SH et al 1995 A satiety index of com mon foods European Journal of Clinical Nutrition 49 9 675 690 6 De Wilde T De Meulenaer B Mestdagh F Gov aert Y Vandeburie S Ooghe W Fraselle S Demeule meester K Van Peteghem C Calus A Degroodt JM Verh R 2005 Influence of Storage Practices on Acrylamide Formation during Potato Frying Journal of Agricultural and Food Chemistry 53 16 6550 6557 DOI 10 1021 jf050650s Sources Conseil Europ en de l Information sur 1 Alimentation EUFIC Bien tre et cologie 13 092 Alimentation Comment faire manger des Les l gumes jouent un r le important dans un regime alimentaire quilibr Ils constituent l un des principaux groupes d aliments et apportent fibres vita mines min raux et antioxydants Malheureusement il est souvent difficile d inciter les jeunes enfants augmenter leur consommation de l gumes Voici donc quelques sug gestions pour les parents enombreux parents savent combien les jeunes D enfants peuvent tre difficiles au moment des repas Il n est pas rare qu ils n aiment pas les l gumes et cette aversion est souvent une source de conflit table Dans la mesure o les pr f rences alimentaires des enfants peuvent dicter leur futur comportement alimentaire 1l est important de savoir que les pr f rences alimentaires peuvent s acqu rir 1 D termination des pr f rences alimentaires
21. 42 R f rences Diet effects on honeybee immunocompetence C dric Alaux Fran ois Ducloz Didier Crauser and Yves Le Conte Biology Letters published online 20 January 2010 doi 10 1098 rsb1 2009 0986 L interaction entre pathog ne et insecticide affecte la sant des abeilles Page 43 R f rence Alaux C Brunet J L Dussaubat C Mondet F Tchamitchan S Cousin M Brillard J Baldy A Belzunces L P Le Conte Y Interactions between Nosema microspores and a neonicotinoid weaken honeybees Apis mellifera Environmental Microbiology 2009 doi 10 1111 j 1462 2920 2009 02123 x Les cosyst mes aquatiques menac s par la taille des poissons exotiques Page 48 R f rences Non native species disrupt the worldwide patterns of freshwater fish body size implications for Bergmann s rule S Blanchet G Grenouillet O Beauchard P A Tedesco F Leprieur H H D rr F Busson T Ober dorff S Brosse Ecology Letters avril 2010 Les criquets une valeur s re pour la biodiversit Page 46 47 R f rence Acridid Orthoptera Acrididae abundance in Western European Grasslands sampling methodology and temporal fluctuations Journal of Applied Entomology 133 2009 720 732 I Badenhausser1 P Amouroux1 J Lerin2 amp V Bretagnolle3 1Centre d tudes biologiques de Chiz INRA UPR 1934 CNRS F 79360 Beauvoir sur Niort France 2INRA URP3F F 86600 Lusignan France 3CNRS CEBC IPR 1934 F 79360 B
22. Centre INRA de Toulouse Bien tre et cologie 33 Sante amp Bien tre Le point sur les additifs alimentaires E 300 E 104 E 129 gomme de xanthane m thylcellulose quelles substances se cachent derri re ces codes ou ces noms A quoi servent elles Dans quels aliments les retrouve t on Sont elles dangereuses Comment sont elles r glement es Qu est ce qu un additif alimentaire Les additifs alimentaires ont des fonctions particuli res comme par exemple garantir la qualit sanitaire des aliments conserva teurs antioxydants am liorer l aspect et le go t d une denr e colorants dulcorants exhausteurs de go t conf rer une texture particuli re paississants g lifiants garantir la stabilit du produit mulsifiants antiag glom rants stabilisants On distingue deux types d additifs naturels c est dire obtenus partir de microorganismes d algues d extraits v g taux ou min raux et de synth se Les additifs sont regroup s en France en vingt quatre cat gories selon leur fonction Leur pr sence dans les denr es est mentionn e dans la liste des ingr dients soit par leur code E suivi de 3 ou 4 chiffres soit par leur nom En France l arr t du 2 octobre 1997 modifi regroupe les additifs pouvant tre employ s dans la fabrication des denr es destin es l alimenta tion humaine Quelles substances sont autoris es et comment Un ad
23. chercheurs de l IRD et leurs partenaires vise a d terminer l origine les m canismes de dispersion et l impact des pollutions sur l environnement et la sant Oruro Il r unit des g ochimistes des colo gues des m decins pid miologistes des g ographes et des sociologues 1 La Universidad Mayor de San Andr s La Paz et la Universidad Mayor de San Simon Cocha bamba en Bolivie la Universidad de Chile a Santi ago au Chili l Universit Paul Sabatier Toulouse et le Centre for Research in Environmental Epide miology Barcelone en Espagne Le projet ToxBol a t financ par 1 Agence nationale de la recherche ANR IRD Jacques Gardon Les d chets miniers c toient les habitations et les lieux de promenade dans les quartiers des mineurs Oruro L rosion des terrils par la pluie ou le vent contaminent l air l eau et le sol en m taux lourds Le r seau hydrologique est contamin cessus d accumulation du mercure dans les r seaux trophiques aquatiques du lac Uru Uru l une des prin Les eaux jaune verd tres acides rejet es lors du cipales zones de p che du d partement Par ailleurs pompage des galeries de mine ou issues de l rosion un indicateur de la qualit des rivi res par l analyse des terrils en saison des pluies traversent la ville etse de leur peuplement en poissons a t labor pour les d versent dans le Lac Uru Uru et le lac Poop situ Andes et
24. chez l enfant Les enfants ont un go t inn pour le sucr et une aver sion naturelle pour les aliments acides ou amers 1 3 Mais il faut savoir que les pr f rences gustatives des b b s semblent tre influenc es par l alimentation de la m re pendant la grossesse et l allaitement D apr s une tude les nourrissons de m res qui avaient consomm r guli rement du jus de carottes pendant leur grossesse ou l allaitement faisaient moins la gri mace lorsqu on leur pr sentait des c r ales aux 8 rottes par rapport des c r ales naturelles 4 Selon les m res les nourrissons qui avaient t expos s au go t de la carotte avant leur naissance appr ciaient davantage les c r ales aux carottes que les c r ales l gumes aux enfants 7 naturelles Ces diff rences n ont pas t observ es chez les nourrissons dont les m res avaient bu de l eau pendant la grossesse et l allaitement Par cons quent si une femme enceinte consomme une alimentation riche et vari e en l gumes 1 y 8 fort parier que son enfant appr cie davantage des go ts diff rents que l enfant expos un nombre r duit d aliments pen dant la gestation et l allaitement Les pr f rences alimentaires continuent de se d ve lopper pendant l enfance et les parents ont un r le es sentiel jouer dans la promotion d un comportement alimentaire sain et quilibr L environnement duca tif et aliment
25. compris institutionnels car 1 est difficile d en observer les impacts concrets De plus une identit forte s est construite autour de la mine activit lu crative traditions mode de vie carnaval etc Enfin du fait de l absence de politiques d am nagement du territoire et d information r elle sur les dangers les habitations et certaines activit s industrielles c toient les d chets miniers Pour des raisons conomiques politiques ou so ciales les autorit s ont souvent n glig les risques sanitaires et la r habilitation des sites contamin s Oruro comme dans d autres villes mini res de la Cordill re et de l Altiplano boliviens Ces quatre an n es de recherches multidisciplinaires dans le cadre de ToxBol fournissent aux d cideurs politiques des l ments scientifiques Ces donn es sur l exposition biologique peuvent leur permettre de mettre en place des l gislations sur les activit s mini res a risque et d am liorer la protection des populations et de leur environnement L IRD et ses partenaires ont diffus les r sultats de ces travaux aux populations concer n es en langues aymara et quechua IRD R daction DIC Ga lle Courcoux 1 UMR IRD Universit s Montpellier 1 et 2 CNRS 2 UMR IRD Universit de Provence Aix Marseille 1 Vous achetez un appareil neuf N oubliez pas de confier l ancien votre livreur Votre distributeur a l obligation de reprendr
26. ils ont r a lis l chantillonnage hebdomadaire de fin mai mi octobre de la densit de criquets dans 23 prairies de mani re annuelle depuis 2004 L analyse statistique a consist mod liser les cin tiques des 2 taxons do C italicus Juv niles Adultes Juv niles Adultes 200 250 300 Date julienne 100 150 200 250 300 minants par la loi de Weibull Les chercheurs ont ain Si r ussi a caract riser les fluctuations d abondance saisonni re des deux esp ces par un sch ma annuel moyen d crivant 70 des parcelles tudi es voir fi gure Courbes repr sentant les dynamiques sai sonni res d abondance des deux taxons de criquets tudi s Calliptamus italicus et la sous famille des Gomphocerinae La date julienne est le nombre de jours coul s depuis le 16 janvier R f rences page 67 Sources INRA Contacts Isabelle Badenhausser T l 05 49 09 96 15 ou badenh cebc cnrs fr Centre d Etudes Biologiques de Chiz USC INRA CNRS d partement Sant des plantes et environne ment centre INRA de Poitou Charentes Bien tre et cologie 49 ENVIRONNEMENT Les cosyst mes aquatiques menac s par la taille des poissons exotiques Les poissons introduits par l homme dans les cours d eau depuis 150 ans ont modifi la taille moyenne des communaut s de poissons dans de nombreuses zones du globe L tude r alis e par des chercheu
27. in children and adolescents a systematic review Public Health Nutrition 12 267 283 6 Dovey TM Staples PA Gibson EL Halford JCG 2008 Food neophobia and picky fussy eating in children A review Appetite 50 181 193 7 Heim 5 Strang J Ireland M 2009 A garden pi lot project enhances fruit and vegetable consumption among children Journal of the American Dietetic As sociation 109 7 1220 1226 Sources Conseil Europ en de l Information sur P Alimentation EUFIC Bien tre et cologie 17 8 Alimentation aa biocoop L importance de manger des fruits et l gumes bio et de saison selon Biocoop C est bon pour la sant Biocoop s engage depuis plus de 20 ans pour le d veloppement d une agriculture biologique fran aise une agriculture qui exclut l usage de pesticides et d OGM L Organisation Mondiale de la Sant OMS a estim qu il y a chaque ann e dans le monde 1 mil lion de graves empoisonnements par les pesticides avec quelque 220 000 d c s probl mes d infertilit ou de d veloppement cancers d ficits immunitaires perturbation du d veloppement neurologique et com portemental diabete Les Fruits amp L gumes bio C est plus de vitamines de nutriments et d anti oxydants Et c est 700 fois moins de pesticides et parfois pr s de 40 de nitrates en moins C est bon pour l environnement La production de Fruits amp de L gumes bio interdit l
28. la sant des occupants des cabines Offrant un co t d utilisation trois fois moindre que celui des climatisations classiques les premiers ap pareils en service donnent enti re satisfaction leurs utilisateurs Le dirigeant d Aerel qui en vend au jourd hui 200 par an esp re s duire les quipemen tiers fran ais afin de donner l impulsion industrielle son invention Il estime la cr ation potentielle d em plois g n r s en France 250 Comment a marche D clin en trois familles de climatiseurs Climatop Climapur et Climacool la climatisation par injec tion vaporative n utilise aucun fluide frigorig ne ni compresseur Le traitement de l air est effectu au tra vers d un r acteur n buliseur o une injection d eau est r alis e selon des param tres d finis Trois per formances simultan es y sont d velopp es labais sement de la temp rature la r hydratation et la pu rification de l air Un branchement lectrique sur la batterie de la machine lui suffit pour alimenter le sys t me qui peut donc fonctionner sans faire tourner le moteur de l engin Elle est d j int grable en premi re monte par les constructeurs ou disponible sous forme de kits modulaires destin s quiper facilement les machines d j en service Etude de ADEME sur le march fran ais jointe dans le dossier de presse ou accessible sur www ademe fr Des tests en laboratoire valid s
29. leurs ufs dans 16 corps d autres insectes souvent des chenilles Les larves du pa rasito de se d veloppent dans le corps de leur h te qui finit par mourir au moment de l mergence des parasito des adultes Bien tre et cologie 55 ENVIRONNEMENT aa L impact des mines en Bolivie Depuis des si cles les hommes ex ploitent la richesse min rale de la Cordill re des Andes Les Incas puis les Espagnols en ont extrait l or et l argent qui ont fait l aura de leurs empires Aujourd hui encore l or et largent mais aussi l tain le zinc l antimoine l arsenic le cadmium sont exploit s de mani re intensive Mais c est l une des activit s hu maines les plus polluantes les mines peuvent disperser dans l environne ment de grandes quantit s de m taux lourds connus pour leur toxicit La pauvret et la forte d pendance co nomique l industrie extractive de mati res premi res conduisent trop souvent en n gliger les impacts co logiques et sanitaires D imposantes cit s se sont construites autour des mines C est le cas de la ville d Oruro perch e 3 700 m d al titude sur l Altiplano bolivien deve nue l un des centres miniers les plus importants de Bolivie Depuis 2006 dans le cadre du programme Tox Bol une quipe multidisciplinaire de l IRD et ses partenaires 1 y tudient les origines la propagation et les im pacts des pollutions mini res sur l
30. on pourrait prendre pour de ba nales mottes de terre L origine de ces difices est elle naturelle Pour les habitants des environs leur origine est myst rieuse et de nombreuses explications circulent Certains affirment par exemple que ces buttes sont li es au passage r p t de bovins dans ces savanes mar cageuses Pourtant des tudes arch olo giques men es la fin des ann es 80 ont r v l que ces structures taient le fruit de la main humaine Comment des champs construits par des Am rin diens pr colombiens et abandonn s pour la plupart vers 1250 avant l arriv e des Europ ens ont pu per sister jusqu nos jours Ils auraient d dispara tre du fait de l rosion des pluies des incendies et des remaniements v g taux Une quipe de recherche interdisciplinaire tente depuis 2007 de r pondre cette question Co pilot e par Doyle McKey colo gue au Centre d cologie fonctionnelle et volutive CNRS Universit s Montpellier 1 2 et 3 SupAgro Montpellier CIRAD Ecole pratique des hautes tudes de Paris et St phen Rostain arch ologue l unit Arch ologie des Am riques CNRS Universit Pa ris 1 elle r unit plus d une vingtaine de sp cialistes de diverses disciplines provenant de plusieurs orga nismes fran ais et europ ens En s appuyant sur un large ventail d expertises arch obotanique arch o logie pal o cologie sciences du sol cologie et ima
31. se du maintien de l tanch it de la cabine et sur un recyclage majoritaire de lair in t rieur confin Climatop fonctionne au contraire en tout air neuf Il injecte en permanence dans la cabine un air 100 contr l rafra chi et purifi mettant ainsi l habitacle sous pressurisation int grale et ren dant a rauliquement tanches les cabines qui ne le sont pas ou plus D j les premiers utilisateurs de Climatop dont l IN RA et les DDE notent l agr able sensation d un air plus sain et naturel et une diminution des maux de t te et du dess chement de la gorge De l invention au projet industriel Issu des milieux automobile et agricole Roland Lyon ing nieur de formation a l me d un inventeur De puis longtemps il fait un constat la climatisation classique avec fluide frigorig ne est une aberration pour l environnement et pour la sant de l homme Dans ses ateliers du Sud Sarthe il labore donc au prix de plusieurs ann es de recherche un dispositif apparemment simple mais ultra performant Celui ci s annonce comme une r volution dans le monde de la climatisation pour les tracteurs tractopelles camions bennes ordures m nag res balayeuses de voirie bus minibus et autres engins de travaux publics L int r t de cette tchnologie innovante est triple elle permet de r duire l mission de gaz effet de serre d conomiser du carburant et des charges et d am liorer
32. te de nourriture En revanche en 2009 seulement 3 mois apr s la ferme ture de cette zone la p che 70 de leurs plong es ont t effectu es moins de 20 km l int rieur de l aire marine prot g e AMP Ces oiseaux ont gale ment diminu leur temps de recherche alimentaire de 30 r duisant ainsi leur d pense nerg tique journa li re de 40 En comparaison la zone de recherche alimentaire des oiseaux de Bird Island la colonie contr le est rest e similaire au cours des deux an n es les manchots ayant m me augment leur effort de recherche alimentaire en 2009 Cette exp rience unique au monde d montre les bien faits imm diats d une aire marine prot g e pour la conservation d un pr dateur marin sup rieur en dan ger d extinction Elle confirme l impact n gatif de la p che industrielle sur les conditions de nourrissage des manchots africains et d montre galement l im portance capitale des aires marines prot g es pour la conservation de cette esp ce menac e D finies de mani re appropri e celles ci peuvent faciliter la restauration des cosyst mes p lagiques mis mal par les effets combin s des changements cli matiques et de la surp che Notes 1 Du Percy FitzPatrick Institute of African Ornithology 2 La convention de Rio de 1992 stipule que 10 des surfaces marines doivent tre prot g es Pourtant ce jour seuls 0 8 de ces surfaces sont effective
33. transformation d o un impact en vironnemental tr s faible Quelles performances Que ce soit la laine ou le chanvre les produits Nova laine poss dent d excellentes propri t s phoniques et thermiques connues depuis longtemps d j La laine est surtout un tr s bon isolant thermique elle prot ge aussi bien du froid que du chaud c est en grande par tie pour cette raison que les moutons s adaptent tous les climats qu ils soient en montagne ou bien dans les r gions chaudes et d sertiques D un point de vue hydrique la laine peut fixer 33 de son poids en eau et la restituer en s chant sans perdre de son pouvoir isolant 42 Bien tre et cologie Novalaine Compos e d un ventail de huit articles cette gamme base de fibres naturelles propose principalement deux produits uniques pouvant facilement remplacer les isolants classiques laine de verre par exemple dans les diff rentes parties d une habitation que ce soit pour les combles les planchers ou les cloisons e Une plaque compos e de deux matelas de laine feutr e s par s par une me en carton servant l isolation thermique et phonique des murs e Des m ches souffl es de laine card e principale ment destin es l isolation des combles perdus et des cloisons A propos Filateurs d exp riences depuis plus de 30 ans les Textiles de Garrot ont su d velopper une po lyvalence certaine dans leurs capacit s de prod
34. 37 06 62 ONT CONTRIBUE A CE NUMERO Fr d rique Dambre M lanie Koronko Xavier Lebranchu Un grand merci Priscille Couvent Catherine Jolivet Aux instituts de recherche et organismes suivants Ad me Afssa Eufic Anses Inra OQAI CNRS et IRD REALISATION Bien tre et cologie 2 Place de la R publique 59 000 Lille Tel 03 20 37 06 62 Siret 444 165 328 Parce que d fendre l environnement est avant tout une fa on d tre de penser et de consommer avec intelligence Parce qu il est possible de concilier notre sentiment de bien tre avec le respect de l cologie Parce que ces deux th matiques sont li es Voil pour quoi Bien tre ET Ecologie est n Con u tout d abord comme une plateforme num rique avec des actualit s des astuces un forum participatif et un annuaire pour trouver des professionnels au plus pr s de chez vous Bien Etre et Ecologie a d cid d aller encore plus loin dans l information en vous proposant un magazine GRATUIT L ann e de la biodiversit n est elle pas le meilleur moment pour le lancer Le temps presse il faut agir ne cesse t on d entendre Agir oui Mais comment Reportages articles de fond pr sentations de solutions innovantes Vous trouverez l essentiel dans Bien tre et cologie magazine Dans ce premier num ro Bien tre et Ecologie met l honneur la communaut scientifique qui repr sente l une des cl s du d veloppement du
35. 44 96 43 90 1 cecile perol cnrs dir fr Les routes d invasion de la coccinelle asiatique Harmonia axyridis retrac es Des chercheurs de l INRA de Sophia Antipolis et de Montpellier ont retrac l aide de marqueurs g n tiques et de traitements statistiques novateurs les routes d invasion d une esp ce d insecte la coccinelle asiatique Harmonia axyridis Leurs r sultats mon trent que les invasions en Europe de l ouest et en particulier en France mais aussi en Am rique du Sud et en Afrique du Sud ont tr s vraisemblablement pour origine des coccinelles provenant d Am rique du Nord Est En Europe de l ouest les populations envahissantes se sont m lang es g n tiquement avec des individus issus d op rations de lutte biologique contre les pucerons Cette tude illustre la notion de t te de pont invasif une population envahissante particuli re va devenir la source de plusieurs autres populations envahissantes dans de nouvelles zones loign es de la pr c dente Ces r sultats paraissent dans l dition du 17 mars 2010 de la revue PLoS ONE aire native de la coccinelle Harmonia axyri p dis se situe en Asie L esp ce a longtemps t 4 utilis e en lutte biologique contre les puce rons mais sans installation et multiplication notables _ dans les zones o elle a t utilis e en Am rique du Nord depuis 1916 en Europe depuis 1990 et en Am rique du Sud dans les ann es 1990 Ce n est que r cem
36. 60 Bien tre et cologie gerie a rienne les scientifiques ont cherch com prendre comment l action pass e de l Homme sur ces paysages a pu moduler le fonctionnement actuel de l cosyst me Des champs con us et exploit s entre l an 650 et l an 1250 Cette tude confirme tout d abord que des agricul teurs pr colombiens ont difi ces vastes complexes de champs sur lev s au sein des savanes guyanaises St phen Rostain Vue a rienne d une savane de Guyane Les vestiges des champs sur lev s pr colombiens apparaissent tr s nettement Ces franges c ti res r put es inhospitali res subissent des inondations saisonni res alternance de p riodes d inondation et de s cheresse Les Am rindiens ont construit des monticules bien drain s ce qui a permis une agriculture s dentaire intensive Ils disposaient donc d une ing nierie agricole performante pour ex ploiter des terrains aujourd hui jug s inaptes culti ver Les chercheurs sont parvenus dater pr cis ment certains de ces champs l un des sites tudi s remonte au XIIe si cle le second plus ancien au XIe si cle de notre re L analyse de deux types de microfossiles vestiges de plantes des particules en silice phy tolithes d couvertes dans les buttes et des grains d amidon trouv s dans les morceaux de plats en c ramique mis au jour dans les villages pr colombiens a r v l qu au moins trois plante
37. ATION DES PRODUCTEURS DES PRODUITS BIO 100 SANS OGM SANS TRANSPORT PAR AVION DES FRUITS amp LEGUMES DE SAISON UNE BIO ACCESSIBLE A TOUS 000 Alimentation iii Que sont les complem Le concept de compl ment alimentaire est relativement r cent Il a t defini par la directive 2002 46 CE du Parlement europ en transpos e par le d cret du 20 mars 2006 On entend par com pl ments alimentaires les denr es alimentaires dont le but est de compl ter le r gime alimentaire normal et qui constituent une source concentr e de nutriments ou d autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combin s a l gislation pr cise ga Li qu ils sont com mercialis s sous forme de doses savoir les formes de pr sentation telles que les g lules les pastilles les comprim s les pilules et autres formes similaires ainsi que les sachets de poudre les ampoules de liquide les flacons munis d un compte gouttes et les autres formes analogues de pr pa rations liquides ou en poudre des tin es tre prises en unit s mesu r es de faible quantit D pendant du code de la consom mation les compl ments alimen taires font l objet de d claration aupr s de la Direction de la concur rence de la consommation et de la r pression des fraudes DGCCRF qui examine leur composition et r alise des contr les l instar des autres cat gories de denr es alimentaires La r gle
38. Bien tre et cologie iimentation Biologique amp Eco Produits A SY To g 8 w bien etre et ecologie com L importance de manger des fruits et l gumes bio et de saison re os Comment faire manger des l gumes aux enfants PL NM 3 ALIMENTATION SANTE BIEN ETRE Le petit d jeuner Les fleurs de Bach Pollution de Pair in S inspirer des tech une bonne habitude comment a t rieur quel poten niques agricoles pour toute la vie marche tiel d puration par pass es P 24 P26 les plantes P38 P 60 Meltitea la nature au coeur SMET Bio 2 Were coset pour toute la famille 0 Melita la nature au coeur nature at heart 3 Su 9 gt Sa Me shea butte Ft Melvita cr a la Cr me Universelle Pour toute la famille R confort protection et bien tre visage et corps COSMETIQUE ECOLOGIQUE ET BIOLOGIQUE DEPUIS 1983 EDITOR iii Novembre 2010 Magazine biocooP bioco L Importance de manger des fruits et l guimes bio et de saison eis Comment faire manger des l gumes aux enfants 8 Li z I le Bach a fi DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Eric Lerouge eric bien etre et ecologie com REDACTION mag bien etre et ecologie com SERVICE PUBLICITE 2 Place de la R publique 59 000 Lille 03 20
39. IOLOGIQUE 5 HYPOALLERGENIQUE formul pour minimiser les rsques d allenge Au plus pr s de la nature Sant amp Bien tre Bio Secure propose une nouvelle gamme hypoallerge nique Bio Secure bebe a gamme Bio Secure s agrandit Si la gamme Bio Secure s duit les adultes par son ventail de produits cologiques et biolo giques rigoureusement contr l s dans le domaine de l hygi ne et des cosm tiques elle a d sormais une cible encore plus exigeante les b b s dont chacun connait la n cessit de prot ger la peau des pr dateurs potentiels que sont certaines substances chimiques aux cons quences parfois irr versibles Des formules sp cialement con ues pour la peau de b b C est dans cette perspective d efficacit et de qualit que les Laboratoires Biopha s engagent cr er des produits sp cifiques pour le b b Effectivement Bio Secure expert en dermatologie biologique propose une gamme Bio Secure B b hypoallerg nique qui b n ficie pleinement des avanc es scientifiques de ses chercheurs en la mati re D o des formulations adapt es l piderme des b b s un pH proche du pH physiologique de la peau limination des aller g nes connus savons huiles essentielles colorants ou encore alcool Des parfums 100 d origine na turelle adapt s et soigneusement s lectionn s Bref une rigueur n cessaire la valorisation optimale de la gamm
40. V au lieu des 5 CV pris par le compresseur Sachant qu un v hicule diesel climatis consomme en moyenne l ann e 5 de carburant de plus que ceux qui ne 16 sont pas l conomie potentielle pourrait se monter 50 millions de litres de gasoil par an 42 000 tep an en France source Ademe Une technologie propre et cologique Compar e la climatisation gaz Climatop permet de r duire sensiblement les missions de gaz effets de serre CO et NO puisque celles ci sont provo qu es par la surconsommation de carburant et par les rejets de fluides frigorig nes les derni res g n ra tions de ces fluides restant 1000 3000 fois plus no cives que le CO2 lui m me L enjeu une conomie potentielle de 234 000 tonnes de CO par an gr ce la climatisation par injection vaporative Enfin Climatop est int gralement r utilisable Alors que la climatisation gaz est perdue chaque fois qu une machine est remplac e il suffit de moins d une heure pour r cup rer et y transposer le Climatop Une r elle avanc e pour la sant La purification de l air est un v ritable progr s en ma ti re de sant au travail et de confort Les agricul teurs qui pulv risent des pesticides sont tr s expos s au risque d auto empoisonnement dans des cabines tanches Ils mesurent d ja les enjeux de cette avanc e technologique Alors que la climatisation gaz tait fond e sur l hypoth
41. aire dans lequel l enfant grandit est tr s largement influenc par les parents Si cet environne ment est agr able et que de nouveaux aliments sont introduits de mani re non coercitive l enfant aura beaucoup plus de chances de les appr cier 1 existe en effet une relation positive troite entre les encoura gements des parents et les r gles en mati re de com portement alimentaire d une part et la consommation de l gumes d autre part 5 N ophobie alimentaire et chipotage La n ophobie alimentaire est un terme utilis pour d crire la crainte et le refus de go ter de nouveaux aliments 1 3 Les parents doivent souvent se battre pour que leurs enfants go tent de nouveaux aliments et abandonnent facilement lorsque l enfant r siste Il Bien tre et cologie 15 arrive aussi parfois que les enfants r agissent n ga tivement un aliment familier et se mettent chipo ter dans leur assiette Tous ces probl mes culminent entre l ge de 2 et 6 ans et diminuent consid rable ment l ge adulte Pour encourager et inciter leurs enfants manger des l gumes les parents ont un r le important jouer notamment par des expositions r p t es en donnant l exemple et en contr lant l environnement alimen taire Plus l enfant est expos de nouveaux aliments plus il est susceptible de les go ter et de s y habituer1 Chez certains enfants 10 15 bouch es d un nouvel aliment seron
42. au Japon C est Mme Patricia Gandini pr sidente de la gestion des parcs nationaux argentins qui 8 re u 16 prix Leaders for a Living Planet l un des plus important qui existe dans le domaine de l environnement Chantal Jouanno propos du sommet sur la biodiversit La conf rence de Nagoya est historique Les Etats ont fait la d monstration qu ils taient capables de faire un pas les uns vers les autres un pas pour conclure Un pas pour redonner espoir dans la com munaut internationale Un pas pour redonner du souffle l environnement et un grand pas pour la pr servation de la biodiversit C est ainsi que nous cri rons un nouveau mod le de d veloppement Sortie au cin ma du film Severn la voix de nos enfants Apr s Nos enfants nous accuseront Jean paul Jaud pr sente Severn la voix de nos enfants En 1992 au Som met de la Terre Rio de Janeiro Se vern Cullis Suzu ki une enfant de 12 ans interpellait les dirigeants du monde entier sur la situation humani taire et cologique de la plan te En 2009 Severn est une jeune femme de 29 ans qui s appr te donner naissance a son premier enfant Ce long m trage documentaire propose une mise en regard du discours de Severn en 1992 avec la vision qu elle porte sur le monde en 2009 Que s est il pass depuis 18 ans Quels sont les engagements environnementaux qui ont t tenus A q
43. bserv es dans les logements la plupart du temps tudi es s par ment et sur des dur es limit es Tr s peu de recherches ex p rimentales ont port sur des m langes de polluants de faibles concentrations Sur le plan physiologique l ad ou l absorption des polluants par les v g taux met en jeu des m canismes qui se situent soit au ni veau de l appareil a rien par les stomates des feuilles ou de fa on moindre par simple change gazeux entre les tissus cellulaires et l air soit au niveau du syst me racinaire via un transit par le substrat Une fois adsorb es ou absorb es les mol cules sont stoc k es et ou d grad es Les tudes ont montr une ef ficacit d polluante du complexe racine substrat bien sup rieure celle pr sent e par le seul syst me foliaire Le r le des micro organismes dont la pr sence est largement entretenue par les v g taux eux Bien tre et cologie 39 m mes se r v le essentiel dans le processus d pura tion Les recherches montrent que les performances d puration varient en fonction du type de plante et des polluants tudi s Malgr le caract re av r de la capacit puratrice des plantes celle ci est sujette un certain nombre de facteurs limitants qui en r dui sent l efficacit potentielle Ainsi il appara t que les performances observ es sont conditionn es par e les param tres physico chimiques et biologiques
44. confirme le fort impact de l activit mini re en aval Ce syst me hydrologique est original car il dans la r gion d Oruro n a pas d vacuation vers la mer mais aussi du fait de l altitude de la salinit et de la forte min ralisation L air est galement pollu des eaux ce qui rend l quilibre cologique et hydro logique de cette r gion particuli rement fragile L rosion olienne des terrils et le d placement des Les scientifiques ont montr que les eaux lacustres minerais par camions ou trains non b ch s voire contiennent des concentrations en m taux lourds en taxis ou voitures individuelles des mines vers comme le cadmium le plomb le mercure l anti les usines de traitement et fonderies situ es hors de moine le nickel le cobalt le chrome le zinc le 18 ville dispersent dans l atmosph re les l ments cuivre et l arsenic nettement sup rieures aux normes traces m talliques sous forme de particules souvent de potabilit Les biologistes de l quipe ont aussi re tr s fines les plus toxiques sur des distances assez lev des taux de contamination lev s des poissons importantes notamment au cadmium et parfois au plomb dans le Dans certains quartiers bien structur s les toitures et lac Poop6 Ils mettent galement en vidence un pro les huisseries des maisons sont tanches Mais dans d autres quartiers l habitat est pr caire Les toits de 2 Des op rations de
45. de 1 m2 et il n est pas possible de la diminuer en raison d effets de bords importants pour les tailles inf rieures Dans un second temps les chercheurs ont montr que l abondance des esp ces de criquets du site d tude pr sente de fortes variations la fois saisonni res et dans l espace Ainsi pour les Gomphocerinae on ob serve des densit s maximales annuelles qui varient de moins de 2 individus par m tre carr en 2007 plus de 7 en 2004 Une autre esp ce Calliptamus italicus maintient des densit s tr s faibles quelle que soit l an n e 0 5 individus m au maximum La pr sence des criquets est galement fonction du type d habitat re trouv dans le paysage agricole Si l abondance de C italicus n est pas li e au couvert v g tal en revanche celle des Gomphocerinae est structur e par le type de couvert moyennes ajust es en prairies de gramin es 100 150 Gomphocerinae 3 1 individus m en prairies artificielles 0 8 indi vidus m La densit des Gomphocerinae augmente avec la dur e d implantation des prairies jusqu un ge de 4 8 ans qui maximise l abondance avant que celle ci ne d croisse Les chercheurs ont ensuite mod lis l volution de l abondance d esp ces dominantes sur le site d tude l esp ce Calliptamus italicus et la sous famille des Gomphocerinae depuis l closion des ufs jusqu la mort des adultes l automne Pour cela
46. des enfants se forment tot au cours de la vie et les parents peuvent exercer une influence positive en privil giant un environnement permettant de structurer leur comportement alimentaire Pr senter aux enfants de mani re r p t e de petites quantit s de nou veaux aliments donner l exemple d un bon comportement alimen taire faire participer les enfants la culture et la pr paration des l gumes et appr ter les plats de mani re ludique sont autant de 5 lutions pour am liorer l environ nement alimentaire des enfants R f rences Benton D 2004 Role of parents in the de D termination of the food a preferences of children and the development of obesity Internatio nal Journal of Obesity 28 858 869 2 Wardle J Cooke LJ Gibson EL Sapoch nik M Sheiham A Lawson M 2003 In creasing children s ac ceptance of vegetables a randomized trial of parent led exposure Appetite 40 2 155 162 3 Wind M de Bourdeaudhui I te Velde SJ Sand vik C Due P Klepp KI Brug J 2006 Correlates of fruit and vegetable consumption among 11 year old Belgian Flemish and Dutch schoolchildren Journal of Nutrition Education and Behavior 38 4 211 221 4 Mennella JA Jagnow CP Beauchamp GK 2001 Prenatal and postnatal flavor learning by human in fants Pediatrics 107 6 E88 5 Pearson N Biddle SJH Gorely T 2009 Fami ly correlates of fruit and vegetable consumption
47. des aliments privil gi s par les enfants suffit expliquer ce constat produits laitiers c r ales et pain jus de fruit fruits et ufs figurent parmi les favoris Outre qu elles pr sen tent un meilleur bilan nutritionnel les personnes qui prennent r guli rement leur petit d jeuner affichent de nombreux comportements positifs en mati re de sant et consomment notamment plus de fruits et de l gumes chaque jour elles sont de surcro t plus ac tives physiquement 24 Bien tre et cologie Le petit d jeuner permet il d tre plus mince Il est aujourd hui prouv que les enfants qui prennent un petit d jeuner sont en g n ral plus minces Une revue syst matique r cente des r sultats de 16 tudes portant la relation entre le petit d jeuner et le contr le du poids men es aupr s de plus de 59 000 enfants et adolescents europ ens a montr que la prise du petit d jeuner tait associ e un indice de masse corpo relle mesure du poids par rapport la taille plus bas et qu elle abaissait le risque de surpoids et d ob sit D autres revues ont rapport des r sultats compa rables Comme pour toutes les tudes observation nelles il est toutefois difficile de tirer des conclusions de cause effet Performance Des tudes pr liminaires men es en laboratoire ont fait tat des effets positifs du petit d jeuner sur les indicateurs de performance cognitive comme la m mo
48. des quartiers de mineurs davantage atteints que ceux des quartiers socialement plus favoris s De m me les gar ons plus souvent l ext rieur semblent plus touch s que les filles qui pour des raisons culturelles restent davantage la maison Parall lement des chercheurs boliviens de la Univer sidad Mayor de San Andr s La Paz et des m decins pid miologistes du laboratoire Hydrosciences Mont 58 Bien tre et cologie pellier ont men dans deux h pitaux de la ville une tude sur l effet de l exposition aux polluants m tal liques sur le d veloppement de l enfant au cours de sa premi re ann e Sur le plan clinique quelques symp t mes mineurs associ s statistiquement l exposition au plomb comme l instabilit motionnelle ou l ir ritabilit ont pu tre observ s chez des nourrissons lors des premi res semaines de vie Cependant un an l examen du d veloppement des enfants est sensi blement normal Un risque non per u par les populations Pour leur part les g ographes et sociologues du La boratoire Population Environnement D veloppe ment ont mis en relation les sources potentielles de pollution la vuln rabilit des populations ainsi que leur perception du risque Cette derni re est princi palement locale et imm diate sans probl matisation g n rale de la pollution dans la ville Le probl me minier est souvent sous estim par la plupart des ac teurs y
49. ditif n est autoris en alimentation humaine que s il ne fait pas courir de risque au consommateur aux doses utilis es Mais la preuve de leur innocuit ne suffit pas pour pouvoir tre utilis e une substance doit aussi faire la preuve de son int r t Ainsi les ad ditifs alimentaires ne sont approuv s que si L effet technologique revendiqu peut tre d montr Leur emploi n est pas susceptible de tromper le consommateur 34 Bien tre et cologie Avant d tre autoris s par la Commission Europ enne les additifs sont soumis valuation de l Autorit eu rop enne de s curit des aliments EFSA Sur cette base la Commission tablit une liste positive d addi tifs autoris s indiquant les aliments dans lesquels ils peuvent tre ajout s et les doses maximales utiliser Seuls les additifs pr sents sur cette liste peuvent tre ajout s dans les denr es alimentaires Depuis 2009 la directive 95 2 CE modifi e r gu lant l autorisation des additifs a t remplac e par les r glements CE 1331 2008 et CE 1333 2008 Dans l attente de la mise en uvre effective du dernier r glement la liste des additifs autoris s par la directive reste cependant applicable Toute information scientifique et technologique nou velle relative des additifs autoris s est examin e avec une attention particuli re et leurs conditions d emploi sont reconsid r es si n cessaire Une r valuation europ enne syst
50. e cyclamens D autres plantes telles que les Anthurium ou les Spathiphyllum susci tent galement des interrogations quant leur poten tiel allergisant D autres probl mes li s la toxicit des plantes peuvent tre signal s Si ces signalements ne sont pas rares les accidents demeurent n anmoins exceptionnels La plupart des cas relev s font suite des ingestions accidentelles dues des erreurs d iden tification des esp ces concern es Les Dieffenbachia pourtant tr s communs dans les environnements int rieurs sont responsables d irritations buccales d oe d mes de g nes respiratoires et de difficult s de d glutition Plus d informations sur le site web www air interieur org Remerciements LOQAI remercie tous les participants la journ e technique du 6 mai 2010 qui ont permis par leurs in terventions de faire une analyse critique des travaux r alis s et d laborer un consensus sur le sujet de l puration de l air int rieur par les plantes L OQAI remercie en particulier les intervenants de cette jour n e Damien Cuny Facult des Sciences Pharma ceutiques et Biologiques de Lille Jean Pierre Garrec INRA Nancy Jean Bruneton Professeur des Uni versit s Suzanne D oux Professeur associ l Uni versit d Angers Fran ois Boisleux ADEME Ga lle Bulteau CSTB Benjamin Hanoune CNRS Universit Lille 1 Jean Claude Mauget Agrocam pus Ouest Centre d
51. e d une grande importance pour l tude de l im pact des pratiques agricoles sur la biodiversit Dans la plaine de Niort une quipe de l INRA install e au Centre d tudes biologiques CNRS de Chiz pose pour la premi re fois les jalons d une m thode d chantillonnage fiable et reproductible destin e estimer le nombre de criquets pr sents dans les prairies d un vaste site d tudes Gr ce cette m thode normalis e ils ont ensuite pu tudier les dynamiques saisonni res des populations de deux es p ces de criquets communes dans l Ouest de l Europe ainsi que certains d terminants de leurs abondances es criquets repr sentent un taxon cl au sein de la cha ne trophique du fait de leur herbivorie et de leur statut de proies notamment pour les oiseaux de plaine dont le d clin est attribu pour par tie une rar faction de leurs ressources alimentaires ainsi que pour les reptiles Estimer l abondance des criquets dans les milieux est donc devenu objectif de nombreuses tudes autour de la pr servation la gestion et la valorisation de la biodiversit Comme c est le cas pour de nombreux invert br s une partie du cycle biologique des criquets se passe dans le sol De ce fait les perturbations li es aux travaux agricoles et l assolement provoquent l ex tinction des populations dans les parcelles de culture annuelle Ainsi le maintien des criquets dans le pay sage ne peu
52. e et sa sp cificit 30 Bien tre et cologie Des produits conformes aux crit res de la cosm tique cologique et biologique A ce titre les produits Bio Secure B b sont 100 conformes au crit re du r f rentiel Ecocert d finis sant de fa on claire la Cosm tique Ecologique et Bio logique Ils sont aussi labellis s Cosm bio Ainsi Bio Secure B b a proscrit tous composants contenant du paraben de l aluminium ou ph noxy thanol mati re issue de la p trochimie silicone Parmi les produits de la gamme Bio Secure b b on peut trouver Le Gel Corps et cheveux nettoie la peau fragile et les cheveux fins de b b tout en nourrissant l pi derme sensible de b b gr ce aux propri t s de l alo vera Test sous contr le oculaire il ne pique pas les yeux L Eau nettoyante l alo vera elle nettoie et rafrai chit sans rin age le visage et le corps de b b Le lait de toilette sans rin age il nettoie en dou ceur le visage et le corps de b b L alo vera et le karit reconnus pour leurs propri t s nourrissantes aident a assouplir la peau Pour en savoir plus sur l esprit Bio Secure et obtenir des renseignements compl mentaires sur tous les pro duits de la gamme rendez vous sur http www bio secure fr Par Sandrine Huze Bio Secure www bio secure fr Hygi ne et cosm tique bio en pharmacie bio SECURE SEC RE LET CORPONE H
53. e gratuitement votre ancien appareil la livraison ou en magasin Celui ci sera ensuite d pollu et recycl par Eco syst mes conform ment aux normes environnementales Retrouvez tous les points de collecte sur www collectons org co systemes Eco organisme agr par les pouvoirs publics Ensemble collectons pour ne pas polluer ENVIRONNEMENT 5 S inspirer des techniques agricoles pass es exemple d un cosyst me durable en Guyane Les savanes c ti res guyanaises qui sont maill es de petites buttes viennent de livrer une par tie de leurs secrets gr ce au travail d une collaboration interdisciplinaire et europ enne sou tenue par deux programmes du CNRS Les scientifiques ont d couvert que ces vestiges d un syst me agricole pr colombien ont t construits il y a pr s de 900 ans Surtout ils ont mis en vidence que ces ilots bien drain s dans un milieu saisonni rement inond ont t investis par d autres organismes animaux et plantes qui maintiennent encore aujourd hui l difice en relief Cet exemple de paysage model par l Homme puis entretenu par la Nature pourrait servir imaginer des syst mes d agriculture cologiquement intensifs Ces r sultats sont publi s en ligne sur le site de la revue PNAS au cours de la semaine du 12 avril 2010 e littoral du plateau guyanais de l le de Ca yenne jusqu au Guyana est parsem de petites buttes que l
54. e l air int rieur Parmi les solutions existantes l une fr quemment voqu e actuellement porte sur l utilisation des vertus d polluantes de certaines plantes L Observatoire de la qualit de l air int rieur OQAIJ a souhait faire un point objectif sur l tat actuel des connaissances en r unissant les principales quipes de recherche impliqu es dans cette th ma tique Recherche plus de vingt ans d exp rimentations Depuis plus de deux d cennies des tudes sont me n es pour mettre en vidence la capacit des plantes purer l air int rieur Point sur la recherche l tranger comme en France A la demande de la NASA en qu te de solutions ef ficaces pour purer l air des vaisseaux spatiaux Bill Wolverton a t le premier tudier dans les ann es 1980 le comportement des v g taux vis a vis de cer tains polluants et notamment le formald hyde les compos s organiques volatils COV et le monoxyde de carbone CO Depuis lors les quelques recherches men es sur cette th matique se sont inscrites dans la lign e des travaux fondateurs de Wolverton Une analyse bibliographique effectu e en 2010 8 montr que ces tudes concernaient des travaux sur la bio filtration qui s int ressent l activit puratrice du complexe plante substrat micro organismes des re KENPEI s photo cherches portant sur le potentiel purateur des plantes utilis es seules ou i
55. e oubli e celle 1 Des techniques similaires sont employ es de nos jours par certaines populations africaines et d origine africaine par exemples quelques agricul teurs ha tiens install s pr s de Kourou des champs sur lev s pourrait tre source d id es afin de concevoir des syst mes d agriculture cologi quement intensifs Ces r sultats permettent d identi fier comment certains cosyst mes sont conserv s travers les si cles et de mieux comprendre l histoire de la biodiversit amazonienne Ce travail a t soutenu financi rement par le CNRS et le minist re de la Culture et de la communication Il a galement b n fici de la coop ration du Centre spatial guyanais propri taire de certains des sites tudi s Doyle McKey Larch o botaniste Jos Iriarte remonte une carotte du sol pour analyse R f rences Pre Columbian agricultural landscapes ecosystem engineers and self organized patchiness in Ama zonia Doyle McKey St phen Rostain Jos Iriarte Bruno Glaser Jago Jonathan Birk Irene Holst amp Delphine Renard Proceedings of the National Aca demy of Sciences of the USA En ligne sur le site de la revue au cours de la semaine du 12 avril 2010 Contacts Chercheur 1 Doyle McKey 1 T 04 67 61 32 321 doyle mckey cefe cnrs fr Presse CNRS Priscilla Dacher T 01 44 96 46 06 l priscilla dacher cnrs dir fr Bien tre et cologie 61 806 TECHNOLOGE
56. eauvoir sur Niort France Les for ts m lang es moins infest es par les insectes ravageurs Page 52 53 R f rence Tree diversity reduces herbivory by forest insects Ecology Letters 2007 10 835 848 Herv Jactell and Eckehard G Brockerhoff2 1 INRA UMR1202 Biodiversity Genes amp Communities Laboratory of Forest Entomology and Biodiversity 69 route d Arcachon 33612 Cestas Cedex France 2 Ensis PO box 29237 Christchurch 850 New Zealand Bien tre et cologie 67 Nouveau Nature re amp D couvertes naturectdecouvertes com Laissez vous mener par le bout du nez huite de 7 _ massage Gourmandise delane S AN 2 2 A 1 neat tulle d 7 huile de era Re F lt ee huile d massage massage ee Pons LT rautt soste VANILLE AMANDE closion courmandise arbre cr pitement phe du vege de liane mill naire de fruts y 9 Ig S B10 6 mni Gam BIO F BIO ce Br a 100 nl Ries lc Nature Une explosion de fragrances fruit es bois es sucr es pic es dans six huiles et onguents de massage bio qui laissent VW la peau d licieusement paillet e Disponibles dans tous les magasins Nature amp D couvertes et sur natureetdecouvertes com
57. egarde du manchot Des chercheurs du centre d cologie fonctionnelle et volutive CNRS Universit s Montpellier 1 2 3 Montpellier SupAgro CIRAD EPHE et de l Universit du Cap en Afrique du Sud montrent que la fermeture la p che de zones dans l oc an sont b n fiques aux manchots du Cap une esp ce end mique l Afrique australe en voie d extinction qui se nourrit exclusivement de poissons Ce constat est le r sultat d une exp rience in dite men e par ces chercheurs sur deux colonies de manchots en coordination troite avec les autorit s gouvernementales et les industries de la p che sud africaines Ces r sultats sont publi s le 10 f vrier 2010 sur le site de la revue Biology Letters e manchot du Cap Spheniscus demersus unique manchot africain est en danger d ex tinction suite au d clin de 60 de sa popula tion mondiale entre 2001 et 2009 Un d clin imputable une p nurie de nourriture due un d placement des bancs de sardines et d anchois dont se nourrissent les oiseaux La comp tition avec les p cheries qui ex ploitent les derniers poissons disponibles autour des colonies de manchots d Afrique du sud exacerbe la menace qui p se sur cette esp ce Face cette situa tion dramatique en concertation avec les chercheurs et en coordination avec les industries de la p che sud africaines l agence gouvernementale sud africaine responsable de la gestion des p cheries le Marine and Coastal Management a f
58. eill s en zinc et ap procher ainsi la limite de s curit Dans le cas de compl ments ali mentaires base de plantes l inno cuit de la pr paration ne peut tre d montr e que si les conditions de production et d utilisation sont bien d finies les sp cificit s bota niques esp ces parties de plantes le mode d extraction des subs tances actives l homog n it des lots les contaminants ventuels sont autant de facteurs qui peuvent faire varier la composition et donc les propri t s du produit final Sources Anses Bien tre et cologie 21 A Alimentation iii Etiquetage des aliments une mine d informations pour les consommateurs Garantir la s curit des aliments est une responsabilit que se partagent les gouvernements les producteurs l in dustrie et les consommateurs L tiquetage alimentaire est l un des moyens permettant aux consommateurs de se renseigner sur ce qu ils envisagent d acheter Pour viter des maladies d origine alimentaire et les r actions aller giques inutiles les consommateurs doivent respecter les indications figurant sur l tiquetage des denr es alimen taires dates de p remption allerg nes Dates de p remption Dans l Union europ enne UE un ensemble com plexe de lois et de normes ont t labor es et mises en uvre pour garantir la s curit de l ensemble de la cha ne alimentaire L emballage des denr es micro biolo
59. en vironnement et la sant des habitants 56 Bien tre et cologie r argent antimoine tain zinc cuivre bis Qe plomb le sous sol d Oruro en Bo livie au beau milieu de la Cordill re des Andes renferme quantit de m taux pr cieux et d in t r t commercial Ces gisements d argent taient d j connus des Incas Au XVI me si cle avec l arriv e des colons espagnols d marre une exploitation grande chelle Depuis lors en fonction des besoins des pays du Nord et des cours des mati res premi res les mines et les fonderies se sont d velopp es consi d rablement de m me que l agglom ration Perch e 3700 m sur l Altiplano la ville compte aujourd hui 220 000 habitants expos s aux contaminations po lym talliques g n r es par les activit s mini res et m tallurgiques actuelles et pass es En cinq si cles ces derni res ont notamment g n r au moins deux millions de tonnes de d chets miniers stock s en ter rils Pair libre au pied des collines d Oruro et donc sources de contamination L impact sanitaire et environnemental des activi t s mini res connu depuis des d cennies voire des si cles reste difficile quantifier pr cis ment du fait de la richesse naturelle en m taux des sols de la r gion et de la multiplicit des sources de contami nation mines fonderies terrils etc En ce sens le projet multidisciplinaire ToxBol lanc en 2006 par des
60. en lipides de la pomme de terre soit tr s faible sa pr paration avec des ingr dients teneur lev e en graisses augmente la valeur calorique du plat C est notamment le cas des pommes de terre frites et des gratins pr par s avec de la cr me et du fromage non all g Un petit nombre de personnes pr sente O intol rance au gluten une prot ine que l on trouve dans le bl et le seigle La pomme de terre constitue donc un aliment tr s important pour les personnes qui suivent un r gime sans gluten et qui ne peuvent pas manger de pain de p tes et la plupart des c r ales pour petit d jeuner Les pommes de terre sont d pourvues de gluten et peuvent tre consomm es en toute libert par les per sonnes qui doivent viter le gluten ou qui pr sentent une intol rance au bl R f rences 1 Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Base de donn es FAOSTAT Bilans alimentaires accessible ici consult e le 26 janvier 2010 2 Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture 2008 Ann e internationale de la pomme de terre 2008 Pommes de terre nutrition et di t tique Accessible ici 3 Site Web de l Autorit europ enne de s curit des aliments section Actualit s Accessible ici consult le 27 janvier 2010 4 Grabitske HA Slavin JL 2008 Low Digestible Carbohydrates in Practice Journal of the American Dietetic Association 108 10
61. erm la p che en jan vier 2009 une zone d oc an de 20 km de rayon autour de la plus grande colonie de manchots du Cap situ e sur l le de St Croix dans Algoa Bay Une zone t moin autour d une autre colonie de manchots Bird Island 50 km l est de St Croix dans la m me baie est rest e ouverte la p che afin de permettre aux chercheurs de comparer les comportements de nour rissage des manchots Les chercheurs ont tudi le comportement de re cherche alimentaire de 91 oiseaux sur ces 2 colonies 46 Bien tre et cologie l aide d enregistreurs GPS en 2008 avant et en 2009 apr s la fermeture la p che Ces appareils minia turis s contenus dans des bo tiers hydrodynamiques tanches ont t attach s l aide d adh sif toil aux plumes du bas du dos des oiseaux Objectif enre gistrer la latitude et la longitude chaque minute ainsi que la pression hydrostatique profondeur des plon g es chaque seconde Ces donn es leur ont permis de calculer l effort de recherche alimentaire de chaque oiseau en termes de dur e du voyage en mer de la dis tance parcourue du nombre de plong es effectu es de leur profondeur et de leur localisation Les r sultats sont frappants avant la fermeture la p che en 2008 les manchots de St Croix se nourris saient principalement 75 de leurs plong es plus de 20 km de leur colonie parcourant jusqu 150 km la nage en deux jours en qu
62. es du petit d jeuner et du nombre d enfants qui s en abstiennent chaque jour rien d tonnant ce qu une campagne Breakfast is Best ait t lanc e en 2008 pour pro mouvoir l importance du petit d jeuner L Associa tion m dicale europ enne la F d ration europ enne des associations de di t ticiens l Association euro p enne des enseignants et plusieurs autorit s de sant europ ennes appuient cette campagne financ e par la Direction g n rale sant et consommateurs de la Commission europ enne Son objectif est de promou voir le petit d jeuner et ses bienfaits aupr s des d ci deurs europ ens et d encourager l insertion de mes sages en faveur du petit d jeuner dans les campagnes de sant publique et dans les programmes d tudes des coles Donner l exemple Le petit d jeuner am liore les apports nutrition nels globaux il est associ aux performances et au contr le du poids gr ce au respect des besoins ca loriques de chacun Les enfants et les adolescents sont plus susceptibles de manger le matin si dans leur famille les adultes prennent aussi leur petit d jeuner Les parents sont donc invit s donner l exemple Si cela n est pas possible l organisation de clubs de petits d jeuners dans les coles constitue une bonne solution et permet de proposer aux enfants des petits d jeuners nutritifs assortis de nombreux b n fices so ciaux R f rences
63. et ses enjeux mobilisation qui repose sur un engagement gr ce un site Internet grand public volontaire et invite toute personne entreprise l Homme et son environnement diffus es gratuitement aupr s de 12 millions d enfants et de leurs enseignants avec le soutien des minist res de l Education nationale et du D veloppement durable collectivit ou organisme r duire de 10 ses missions de goz effet de serre sur une p riode de 12 mois d butant en 2010 contact presse B r nice Tardieu e mail berenice goodplanet org OO Cl e eor T l 01 48 42 92 42 Port 06 85 66 88 78 g www goodplanet org BBREVES La semaine Europ enne de la r duction des d chets Du 20 au 28 Novembre 2010 se tiendra la se maine europ enne de la r duction des d chets Le principe de la Semaine est de sensibi liser tout un chacun la n cessit de r duire la quantit de d chets que nous produisons et donner des cl s pour agir au quotidien Elle s adresse aussi bien aux institutions et col lectivit s qu aux sco SEMAINE EUROP ENNE DE LA REDUCTION DES DECHETS laires et au grand public Plus d informations sur le site http www reduisonsnosdechets fr Le WWF r compense Argentine pour ses efforts concernant la protection l Oc an Atlantique L Argentine t r compens durant la convention sur la Diversit Bio logique qui s est d roul fin octobre Nagoya
64. euvent procurer une sensation de sati t sans apports nerg tiques excessifs Une tude des effets de diff rents aliments sur la sensation de sati t a notamment d montr que le score de sati t d un plat de pommes de terre est trois fois sup rieur celui du pain blanc moyennant des apports caloriques quiva lents Compte tenu de la diversit des modes de pr paration des pommes de terre la valeur nu tritionnelle des plats base de pommes de terre est tr s variable Les pertes en nutriments lors de la cuisson sont fonction de la temp rature et du temps de cuisson Quand les pommes de terre sont bouillies les vitamines hydrosolubles et les min raux comme les vitamines B la vitamine C et le potassium sont perdus dans l eau de cuisson Faire bouillir les pom mes de terre dans leur peau pour ventuellement les plucher apr s la cuisson r duit consid rablement ces pertes en nutriments On observe galement des pertes de nutriments pendant la conservation l usage veut que les pommes de terre soient conserv es dans un endroit sec et frais l abri de la lumi re Toutefois les pommes de terre ne doivent pas tre conserv es a des temp ratures inf rieures 4 C car cela augmente la formation d acrylamide lors de la friture Si les pommes de terre verdissent ou germent pendant la conservation il convient de les plucher soigneuse ment ou d viter de les consommer Bien que la te neur
65. exuelles f minines et de mimer leur action dans l organisme A ce jour toutes les tudes men es pour valuer ses ef fets dans 16 corps humain ont principalement concer n la fonction de reproduction et le d veloppement du cerveau Pour la premi re fois les chercheurs du laboratoire Neurogastroent rologie et nutrition de 1 INRA de Toulouse se sont int ress s aux effets du BPA sur l in testin premier organe au contact des contaminants in g r s Pour cela ils ont administr par voie orale de faibles doses de BPA des rates apr s ablation des ovaires produisant les strog nes naturels Les cher cheurs d montrent l effet du BPA sur l intestin d s une dose dix fois inf rieure la dose journali re ad missible pourtant consid r e comme tr s s curitaire pour l homme Tout d abord ils ont constat que le BPA diminuait la perm abilit de l pith lium intestinal une voie d changes permettant la circulation d eau et de sel min raux ou ions n cessaire l quilibre de notre organisme La perm abilit de l intestin est d ter min e par des prot ines de liaison entre les cellules pith liales Les scientifiques ont montr chez le rat et sur des cellules intestinales humaines en culture que le BPA tait capable d activer des r cepteurs aux oestrog nes pr sents dans ces cellules pith liales Il en r sulte une augmentation de la synth se des pro t ines de liai
66. faible teneur en sodium en fait l aliment id al pour les personnes qui essaient de contr ler leur pression art rielle Toutefois il importe de ne pas 12 Bien tre et cologie ajouter trop de condiments ou de sauces sal es pen dant la pr paration de cet aliment Les pommes de terre peuvent jouer un r le utile dans l alimentation de ceux et celles qui essaient de perdre du poids ou d viter d en prendre Une portion moyenne de pommes de terre pluch es et bouillies 180 g contient environ 140 calories ce qui est bien inf rieur la valeur nerg tique d une quantit quivalente de p tes bouillies 286 calories ou de riz bouilli 248 calories Toutefois 1 importe de faire attention la valeur nerg tique des pommes de terre frites peut tre deux trois fois sup rieure celle des pommes de terre bouillies ou cuites au four si bien que cette forme de pommes de terre convient moins un r gime alimentaire amaigrissant Autre bonne nouvelle pour ceux et celles qui essaient de perdre du poids les pommes de terre affichent un indice de sati t lev Dans la mesure o la densit nerg tique calories par gramme d aliment des pommes de terre bouillies ou cuites au four est faible il est possible d en manger de plus grandes quantit s sans pour autant augmenter ses apports caloriques environ 140 kcal pour une portion de taille moyenne Par cons quent les pommes de terre p
67. giquement p rissables produits carn s cuits ali ments pr par s et salades comportent une date de p remption et ne devraient pas tre consomm es apr s cette date ceci pr sentant un risque pour la sant De nombreux produits alimentaires indiquent la mention consommer de pr f rence avant le accompa gn e d une date sur la durabilit minimale ou la p riode pendant laquelle ils gardent leurs propri t s sp cifiques sous des conditions de conservation ad quates si la date de la mention consommer de pr f rence avant le est d pass e le produit peut en 22 Bien tre et cologie mode d emploi et possibles core tre consomm sans danger mais sans plus de garantie sur ses propri t s sensorielles go t odeur aspect etc Selon une r cente enqu te men e au Royaume Uni 49 seulement sur plus de 3000 personnes interrog es ont correctement identifi la mention consommer de pr f rence avant le comme le meilleur indicateur de s curit et 47 ont affirm ne jamais consommer de viande cuite lorsque la date indiqu e sur l tique tage tait d pass e La plupart des personnes interro g es utilisent les dates de p remption comme point de r f rence et se fient l odeur 74 ou l aspect 65 des aliments pour d cider de leur consomma tion ou non Une autre tude men e en Irlande sur 796 participants a montr que seulement 39 des per sonne
68. i ont galement la volont d as socier la qualit pharmaceutique avec la disponibilit en grandes et moyennes surfaces afin de toucher un plus large public Devant la croissance rapide du march des cosm tiques bio et naturels et l int r t des grandes marques du secteur qui tentent d apprivoiser la tendance quitte la d voyer il est important de bien comprendre la d marche des laboratoires BIOPHA pour mieux per cevoir l tonnante performance de biopha b b Comment se rep rer entre les produits bio logiques cologiques ou encore 100 naturels Alors que l appellation 100 naturel ne r pond aucune d finition r glementaire l appellation bio logique est quant elle soumise une r glementa tion fran aise bient t europ enne A ce titre les pro duits biopha b b sont certifi s par Ecocert selon la charte Cosm bio label qui d finit de fa on claire et 28 Bien tre et cologie avec des crit res stricts la cosm tique Ecologique et Biologique Les laboratoires BIOPHA s engagent activement et concr tement dans un concept de fabrication colo gique qui int gre le tri s lectif des d chets industriels et l utilisation d emballages recyclables tout en cr ant une gamme de produits innovants partir d l ments naturels sans additifs chimiques Un produit cosm tique biologique pour les b b s une n cessit L appellation cosm
69. ides amin s provenant des prot ines ou des compos s lipidiques Les cher cheurs vont poursuivre leurs travaux pour identifier quel m lange de pollen est optimal pour d velopper l immunit des abeilles R f rences page 66 Source INRA Contacts Yves Le Conte T l 04 32 72 26 27 yves leconte avignon inra fr Unit mixte de recherche Abeilles et environne ment INRA Universit d Avignon et des Pays de Vaucluse d partement Sant des plantes et environnement centre INRA de PACA L interaction entre pathog ne et insecticide affecte la sant des abeilles Jusqu pr sent la majorit des tudes visant expliquer les mortalit s massives d abeilles se sont focalis es sur un seul facteur de stress pesticides pathog nes Plusieurs quipes de chercheurs de l INRA ont analys les effets de l interaction entre un champignon pathog ne et un insecticide sur la sant des abeilles Ils montrent pour la premi re fois que l effet combin induit un taux de mortalit plus lev que chaque agent seul les abeilles les chercheurs de l INRA ont test l hypoth se d un syndrome multifactoriel en analysant les effets interactifs entre un pathog ne et un insecticide sur la sant de ces insectes Ils ont ainsi d montr pour la premi re fois que l interaction entre ces deux agents affecte de mani re significative la sant des abeilles L imidaclopride est un insecticide usage agri
70. in e la noix le colza le soja le lin etc e les poissons gras comme le saumon le thon le maquereau le hareng la sardine et l anchois Toutefois en France ce sont les produits animaux terrestres viandes ceufs produits laitiers etc qui contribuent majoritairement aux apports car ils sont consomm s en grande quantit Quels sont leurs effets sur la sant Les donn es scientifiques d montrent que la consom mation d acides gras omega 3 peut conduire une diminution de la pression art rielle chez les personnes pr sentant une hypertension art rielle une diminution de la quantit de triglyc rides dans le sang un type de lipides qui en cas d exc s contribue au d veloppement de maladies du c ur chez les personnes 8 Bien tre et cologie pr sentant au pr alable des pathologies cardiovascu laires une r duction de la morbidit et de la mortalit cardiovasculaires Une actualisation est en cours compte tenu de l vo lution des donn es scientifiques Le travail de l Afssa Les apports nutritionnels conseill s en acides gras omega 3 sont d finis l heure actuelle pour 1 ALA et le DHA et sont variables selon les diff rents groupes de population Pour les adultes l apport nutritionnel conseill de PALA est de 2 g jour pour l homme et 1 6g j pour la femme L apport nutritionnel conseill en DHA est quant lui de 120 mg jour pour l homme et 100mg j pour la fem
71. ions sur la pr sence ventuelle d allerg nes dans les denr es alimentaires qu ils souhaiteraient consommer D apr s une tude britannique sur les attitudes des parents d enfants allergiques aux noix l gard de l tiquetage en la mati re 80 d entre eux ont d clar ne pas acheter les produits compor tant les mentions suivantes Ne convient pas aux personnes allergiques aux noix ou Peut contenir des noix Seulement 50 des parents ont indi qu viter d acheter les produits portant les mentions Ce produit ne contient aucune noix mais est fabri qu dans une usine o la pr sence de noix est pos sible L absence de noix ne peut tre garantie et Peut contenir des traces de noix Ceci prouve que l tiquetage des denr es alimentaires continue de se mer la confusion parmi les personnes pr sentant des allergies alimentaires et peut conduire des prises de risques soit parce que les consommateurs ignorent les mises en garde figurant sur l tiquetage soit parce qu ils pensent que le libell des mises en garde refl te une graduation du risque R f rences page 66 Sources Conseil Europ en de l Information sur l Alimentation EUFIC Bien tre et cologie 23 09 Alimentation aa Le petit d jeuner une bonne habitude pour toute la vie e petit d jeuner apporte l nergie et les nutri ments n cessaires pour bien d buter la jour n e
72. ique de l ordre de 40 pour ces derniers Les chercheurs impliqu s dans cette tude n ont pas d tect jusqu pr sent de foyers envahissants dont l origine serait exclusivement li e la souche de lutte biologique europ enne Ces analyses ont ainsi d montr la contribution ma jeure de la population am ricaine du Nord Est dans l historique de l invasion Ce r sultat illustre la notion de t te de pont invasive ou invasive bridgehead effect qui repose sur la mise en vidence d une popu lation envahissante particuli re se comportant comme la source de nombreuses autres invasions dans des zones loign es La mise en vidence de populations invasives t tes de pont a des implications fortes en gestion des populations en in citant une vigilance accrue envers ces populations D autre part le sc nario d in vasion d duit de cette analyse sugg re la possibilit d un changement volutif dans la population t te de pont localis e en Am rique du Nord Est pour la coccinelle asiatique Cette hypoth se fait l objet de recherches avec des approches de g n tique quantitative men es par les m mes quipes En Europe de l Ouest la question de l effet sur la ca pacit d invasion d un m lange g n tique entre les in S 0 999 VAX h g A y Ad P2001 N er ST ran 0 982 lt a JE 2 Cs ra West Voc
73. ire l attention et la cr ativit Une r cente revue syst matique des r sultats de 45 tudes conduites en laboratoire et en milieu scolaire pour d terminer si le petit d jeuner avait v ritablement un impact sur la performance scolaire des enfants donne penser que d une mani re g n rale les enfants scolaris s ont da vantage int r t prendre leur petit d jeuner qu s y soustraire Il semble par ailleurs que le seul fait de manger soit plus important que la quantit ou le type d aliments consomm s Clubs de petits d jeuners Les preuves des b n fices du petit d jeuner ont donn lieu l introduction d initiatives diverses telles que des clubs de petits d jeuners dans les coles notam ment au Royaume Uni la fin des ann es 19907 Outre leur int r t en termes de nutrition ces clubs permet tent aux enfants d changer et de d buter calmement la journ e et ont contribu am liorer leur ponctuali t leur comportement et leur assiduit autant de qua lit s qui ont un impact positif sur les apprentissages Cependant m me si la plupart des tudes men es sur ces clubs ont not une meilleure motivation et une meilleure concentration des enfants pendant les cours du matin ces b n fices ont t plus apparents chez les enfants dont le statut nutritionnel tait initialement sous optimal1 Campagne en faveur du petit d jeuner en Europe Compte tenu des nombreux b n fic
74. la tr s grande sensibilit de l intestin au Bisph nol A et ouvrent de nouvelles voies de recherches sur la caract risation et l valua tion des effets des perturbateurs endocriniens d ori gine alimentaire Ils pourront contribuer l valua tion des risques et la d finition de nouveaux seuils acceptables d exposition pour ces mol cules Le laboratoire de Neurogastroent rologie et nutri tion l origine de cette tude est situ dans le nou veau p le de recherche en Toxicologie Alimentaire TOXALIM inaugur en mars 2009 sur le site INRA de Saint Martin du Touch Toulouse Ce p le a t constitu pour renforcer et structurer les recherches d di es la toxicologie et la s curit des aliments afin de r pondre aux d fis scientifiques la crois e des domaines de la sant et de l environnement Les th mes de recherche tudi s portent plus particu li rement sur e La caract risation de l exposition de l homme aux contaminants alimentaires L effet des contaminants sur les fonctions physio logiques les organes et les tissus e La d termination des m canismes d action mo l culaire et cellulaire des contaminants et r sidus sur leurs cibles Source INRA Mathilde Maufras t l 01 42 75 91 69 presse inra fr Contact scientifique Eric Houdeau T l 05 61 28 55 57 eric houdeau toulouse inra fr Laboratoire Neurogastroent rologie et nutrition
75. land of Ireland A presentation of findings Disponible consult le 30 mai 2010 3 Verbeke W and Ward RW 2006 Consumer interest in information cues denoting quality traceability and origin An application of ordered probit models to beef labels Food Quality and Preference 17 453 467 4 Terpstra MJ et al 2005 Food storage and disposal consumer practices and knowledge British Food Jour nal 107 7 526 533 5 Eurobarom tre 2005 Les attitudes des consommateurs a l gard de l tiquetage Disponible ici consult le 30 mai 2010 6 FSAI 2009 A Research Study into Consumers Attitudes to Food Labelling 7 Disponible ici consult le 30 mai 2010 8 Directive 2007 68 CE de la Commission du 27 novembre 2007 lien 9 Cornelisse Vermaat JR et al 2005 Europrevall report on consumer preferences regarding food allergen information Projet Europrevall de l UE lien 10 Mills ENC et al 2004 Information provision for allergic consumers where are we going with food allergen labelling Allergy 59 1262 1268 11 Noimark L et al 2009 Parents attitudes when purchasing products for children with nut allergy a UK perspective Paediatric Allergy Immunology 20 500 504 Le petit d jeuner une bonne habitude pour toute la vie Page 22 23 R f rences 1 Hoyland A Dye L Lawton CL 2009 Systematic review of the effect of breakfast on the cognitive per formance of children and adolescents N
76. lques heures l eau se mit cr piter la fleur transmettant son nergie au liquide Il enleva alors les fleurs d li catement sans les toucher avec les mains l aide des feuilles de la m me plante Pour certaines plantes plus ligneuses il mit au point une autre technique porter bullition les l ments floraux 26 Bien tre et cologie Il appara t en fait que les fleurs transmettent leur vi bration l eau De la m me mani re que les hautes dilutions en Hom opathie les fleurs de Bach b n fi cient d un m canisme maintenant identifi la mati re ayant disparu de la solution il existe ce que l on a appel des trous blancs qui conservent l empreinte physique de la mati re disparue et gardent ses pro pri t s de plus une nergie r manente a t d cou verte Ces diff rentes ondes b n fiques et cr atrices ab sorb es par un organisme vivant se transforment en ondes capable d interagir au plus profond de la cellule vivante Pour obtenir ces r sultats toutes les op rations doi vent tre faites avec soin et selon un protocole tr s strict afin de ne pas d truire ou disperser cette nergie d licate Les Fleurs de Bach Original sont faites aujourd hui exactement comme le faisait le Dr Bach au m me en droit Non loin d Oxford en Angleterre C est cet en droit que sont encore pr par es les Fleurs de Bach Original par les successeurs actuel d termin s perp
77. lution de l air int rieur quel potentiel d puration par les plantes 42 Fil rouge les mat riaux BR ENVIRONNEMENT 44 45 46 50 31 cologiques 54 65 f rets m lang es moins L Isolation au naturel infest es par les insectes ravageurs 6 L impact des mines en Bolivie Biodiversit des pollens et sant des abeilles 60 S inspirer des techniques agricoles pass es exemple L int raction entre pathog ne et d un cosyst me durable insecticide affecte la sant des en Guyane abeilles Les aires marines prot g es une solution la sauvegarde du manchot TECHNOLOGIE VERTE Nouvelle invention Les criquets une valeur s re pour la biodiversit La premi re climatisation propre au monde est Les cosyst mes aquatiques francaise menac s par la taille des poissons exotiques EVENEMENTS 64 Agenda des v nements sur le bien tre et l cologie en novembre et d cembre 2010 Les routes d invasion de la coccinelle asiatique Harmonia axyridis retrac es Bien tre et cologie 5 Mettre l ecologie au coeur des consciences L association GoodPlanet a t cr e en 2005 par Yann Arthus Bertrand avec la mission de sensibiliser et duquer le public la protection de l environnement Elle est devenue fondation reconnue d utilit publique en juin 2009 une reconnaissance et une preuve de confiance qui permet d i
78. m nos produits l ex terieur Pour plus de renseignements media lamaisonpositive com ou 05 31 616 716 A propos de La Maison Positive www lamaisonpositive com propose des produits d di s aux nergies renouvelables pour les installateurs et les particuliers il s agit d un nouveau canal de distribution pour toutes les solutions d conomie d nergie Tant installateurs chauffa gistes lectriciens ou plombiers que particuliers pourront y trouver de nombreux produits r pondant aux meilleures performances du march Pour rendre le confort et les conomies accessibles tous www lamaisonpositive propose des facilit s de paiement comme le 3x sans frais Les grakes d aujourd Rut la plamete de demam Les commer ants ont l obligation de les reprendre dans la limite du 1 pour 1 eckisobar RCS Paris B 482 323 946 R gis d Audeville HABITAT O Pollution de l air int rieur quel potentiel d puration par les plantes 7 Le recours certaines plantes pour am liorer la qualit de lair int rieur fait actuellement l objet d une forte m diatisation et suscite une attente importante de la part du grand public Plusieurs programmes de recherche fran ais et trangers ont montr que les plantes poss daient la facult d liminer certains polluants pr sents dans l air Qu en est il de l efficacit et de l innocuit de ces dispositifs dans l environnement int rieur L OOAIL
79. matique les forestiers crai gnent un accroissement des probl mes phytosanitaires en for t Il convient donc d envisager des modes de gestion qui d s aujourd hui pourraient contribuer pr venir les risques sanitaires venir 54 Bien tre et cologie Depuis longtemps les forestiers consid rent de ma ni re empirique que les for ts m lang es seraient moins expos es aux risques sanitaires que les for ts pures Cependant peu de donn es quantitatives ou exp rimentales taient disponibles pour tablir la d monstration d une plus grande r sistance des for ts mixtes Dans le but de v rifier cette hypoth se les chercheurs de l INRA ont r alis une analyse des publications scientifiques sur le sujet parues entre 1966 et 2006 Cette m ta analyse s est bas e sur 119 tudes men es dans le monde dont 41 en Europe dans lesquelles les niveaux moyens de d g ts caus s pas une esp ce donn e d insecte ravageur sur une essence foresti re particuli re taient compar s dans les peuplements purs ou m lang s dans une m me r gion et pendant sy la m me p riode Cette analyse qui concerne au total 33 esp ces d insectes et 33 esp ces d arbres r v le que dans pr s de 80 des interactions arbre insecte une essence foresti re g r e en peuplements purs est significativement plus attaqu e par les insectes herbivores que lorsqu elle est g
80. matique de l en semble des additifs autoris s 8 par ailleurs t entre prise par l EFSA Elle a d but avec les colorants conform ment la demande faite par la Commission Europ enne et continuera avec les autres additifs ali mentaires Le programme d taill de r valuation europ enne pour l ensemble d additifs alimentaires autoris s a t publi r cemment Sources Afssa Additifs ar mes et auxiliaires E technologiques Les additifs les ar mes et les auxiliaires technologiques sont ajout s en petites quantit s aux aliments lors de leur fabrication ou dans le produit fini dans un but technologique am liorer leur conservation r duire les ph nom nes d oxydation colorer les denr es renforcer leur go t Pour ne pas confondre Un additif alimentaire est une substance qui n est pas habituellement consomm e comme un aliment ou utilis e comme un ingr dient dans l alimentation Ils sont ajout s aux denr es dans un but technologique au stade de la fabrication de la transformation de la pr paration du traitement du conditionnement du transport ou de l entreposage des denr es et se retrou vent dans la composition du produit fini 7 Les ar mes et substances aromatisantes naturelles d origine v g tale animale ou microbiologique ou chimiques ne sont pas consomm s en tant que tels mais ils sont introduits dans les denr es alimentaires de mani re leur conf
81. mball es Plus de 70 d entre eux consid rait les indications sur les condi tions de conservation et le mode d emploi le cas ch ant comme des informations importantes Dans une autre tude men e en Irlande 12 seulement des 796 r pondants ont indiqu suivre les instructions de cuisson figurant sur l tiquetage des produits ali mentaires et 9 les conditions de conservation Ces tudes montrent que les consommateurs ne suivent pas toujours les informations sur la conservation la pr paration et la cuisson figurant sur l tiquetage des aliments m me s ils les jugent utiles Mises en garde sur le risque d allergie Une autre information importante sur l tiquetage des aliments est l information sur la pr sence potentielle d un allerg ne ce qui permet aux consommateurs su jets certaines allergies alimentaires de les viter La l gislation europ enne impose cette mention sur l ti quetage pour 14 ingr dients alimentaires connus pour leur allerg n cit et ce s ils entrent dans la compo sition des aliments Autrement dit leur absence n est pas signal e sur l tiquetage sauf pour les produits destin s une population pr sentant une allergie ou une intol rance alimentaire sp cifique par exemple sans gluten Ces consommateurs l signalent passer beaucoup de temps lors de leurs courses chercher des pro duits adapt s et constatent parfois un manque d in format
82. me La r partition des apports entre les om ga 3 et les om ga 6 une autre famille d acides gras essentiels est galement importante Ces deux familles d acides gras sont en effet m tabo lis s par des enzymes communes aupr s desquelles ils entrent en comp tition C est dire qu un apport ex cessif en om ga 6 entra ne un m tabolisation moindre des om ga 3 Ainsi dans le cadre du r gime alimentaire global 1 est recommand que le rapport entre om ga 6 et om ga 3 tende vers 5 ce qui passe par une limitation des apports en om ga 6 et un maintien ou une augmenta tion d apports suffisants en om ga 3 En 2003 l Afssa a r alis un rapport relatif l int r t nutritionnel des acides gras de la famille om ga 3 Les graines de soja sont riches en om ga3 leur impact sur le syst me cardiovasculaire et aux al l gations qui leur sont relatives Dans ce travail Agence a valu les apports jour naliers en om ga 3 dans la population fran aise Une valuation pr cise est difficile du fait des limites des tudes de consommation Il appara t cependant que l apport en acide alpha linol nique est insuffisant et ne couvre pas les ANC En cons quence l Afssa a recommand la mise en place d une politique visant accro tre le niveau des apports en acides gras om ga 3 dans la population fran aise Dans ce but la promotion de la consomma tion des aliments naturellement riches e
83. ment en r serve Dans ce contexte la cr ation d Aires Marines Prot g es AMP permettant la conser vation des pr dateurs marins consommant des proies mobiles telles que les poissons p lagiques est une urgence Cette strat gie est n anmoins controvers e car en haute mer il est difficile de d limiter clairement des AMP vi sant la conservation d esp ces aussi mobiles que les pr dateurs sup rieurs et leurs proies On part g n ralement du principe que ces r serves doivent tre de grande taille afin d englober les vastes habitats des pr dateurs marins ce qui les rend difficiles 4 mettre en place et a g rer 3 Le plancton le phyto et zoo plancton les poissons notam ment les sardines et anchois tous les organismes vivant dans la colonne d eau entre la surface et le fond de l oc an et jouant un r le central dans l cosyst me marin CNRS I David Gr millet 1 T 04 67 61 32 10 1 david gremillet cefe cnrs fr Presse CNRS 1 Laetitia Louis 1 T 01 44 96 51 37 1 laetitia louis cnrs dir fr R f rences L Pichegru D Gr millet R JM Crawford P G Ryan a paraitre le 10 f vrier 2010 Marine no take zone rapidly benefits Endangered penguin Biology Letters Bien tre et cologie 47 Les criquets Les criquets sont la base de l alimentation de nombreuses esp ces d inver t br s et de vert br s Connaitre la dynamique de leurs populations et leur abondance se r v le donc tr
84. ment qu un premier foyer invasif a t d tect en Am rique du Nord Est en 1988 puis un second en Am rique du Nord Ouest en 1991 En 2001 deux populations invasives ont t observ es en Am rique du Sud et en Europe tandis qu un foyer tait observ en Afrique du Sud en 2004 D esp ce b n fique la coccinelle asiatique est ain si pass e au statut d insecte nuisible de par ses im pacts cologiques impact sur la biodiversit par la comp tition ou la pr dation d esp ces non cibles du type coccinelles indig nes l pidopt res etc cono miques d t rioration de la qualit des productions viticoles et sociaux agr gation en grand nombre l automne et en hiver dans les habitations entra nant diverses perturbations et quelques cas d allergies Se posent alors naturellement des questions relatives aux relations de parent entre ces diff rentes populations Coccinelle Harmonia axyridis Ombrosoparacloucycle Bien tre et cologie 51 ENVIRONNEMENT aaa envahissantes qui est la source de qui 7 et au r le relatif dans l mergence de ces populations envahis santes des introductions accidentelles et des introduc tions intentionnelles pour la lutte biologique Les analyses de g n tique des populations r alis es par les chercheurs de l INRA ont permis de reconsti tuer avec un niveau de pr cision et de confiance lev les routes et les modalit s d introduction des p
85. mentation pr voit une liste positive progres sivement tablie des ingr dients 20 Bien tre et cologie pouvant entrer dans leur composi tion actuellement cibl e sur les vi tamines et min raux au niveau eu rop en largie au niveau national par des doses journali res maxi males ne pas d passer et diverses substances telles que les plantes Il existe des compl ments alimen taires base de plantes de vita mines et min raux ou d autres substances utilis s dans des sec teurs tr s divers tels que nutri tion minceur tonique digestion beaut m nopause cardiovascu laire Cependant contrairement aux m dicaments la commercialisation des compl ments alimentaires ne n cessite pas d autorisation indivi duelle de mise sur le march fon d e sur l valuation d un dossier industriel par une instance d exper tise L industriel est responsable de 1 D cret n 2006 3524 transpo sition de la directive 2002 46 CE la conformit des mises sur le mar ch avec les normes en vigueur de la s curit et de la non tromperie du consommateur La n cessit d une consomma tion clair e Depuis quelques ann es on constate une augmentation de la consommation de compl ments ali mentaires dans la population fran aise et des aliments enrichis dans l offre alimentaire Les d ficits et a fortiori les carences en nutriments sont tr s rares en population g n rale et concerne
86. mes biologiques et physiologiques mis en jeu dans les plantes tudi es ainsi qu d ventuelles applications de biosurveillance v g tale de la qualit de l air dans les environnements int rieurs Phytair se d compose en trois phases Les phases 1 et 2 visent mettre en vidence en enceinte contr l e la capacit puratrice des plantes et les effets des fortes concentrations de polluants sur les plantes elles m mes La phase 3 venir s attachera tester la capacit puratrice des plantes en conditions r elles habitat Un outil nu m rique sera utilis pour mod liser le comportement des plantes et des polluants Des essais in situ r ali s s dans une pi ce t moin de la maison exp rimentale MARIA du CSTB compl teront les sc narios test s La fin du programme Phytair est pr vue en 2011 V g taux et polluants des propri t s puratrices prouv es en laboratoire En laboratoire sous des conditions contr l es cer tains v g taux ont montr leur capacit liminer des polluants gazeux pr sents dans l air int rieur De fa on consensuelle tous les travaux men s en la boratoire en conditions contr l es ont montr les ca pacit s intrins ques des v g taux r duire la teneur de certains polluants gazeux pr sents dans l air int rieur Ces tudes ont t conduites en enceintes ex p rimentales des concentrations de substances su p rieures celles habituellement o
87. n acides gras om ga 3 comme certains poissons et certaines huiles colza noix pourrait notamment tre envisag e L Afssa rappelle que les mesures de pr vention des maladies cardiovasculaires ne reposent pas seulement sur la consommation alimentaire d acides gras omega 3 mais sur une alimentation vari e et quilibr e et la pratique d une activit physique Au niveau domestique certaines huiles riches en acides gras omega 3 ne supportent pas la friture et le chauffage intense et doivent donc tre utilis es de pr f rence en assaisonnement Source de l information Afssa Bien tre et cologie 9 092 Alimentation aa Les bienfaits de la La pomme de terre s inscrit au centre de l alimentation de la plupart des Europ ens Pourtant la contribution nutritionnelle de cette denr e de premi re n cessit semble tre parfois n glig e La valeur nutritive de la pomme de terre d pend dans un premier temps de son mode de pr paration ce qui pourrait avoir un impact sur la mani re dont elle est percue par les consommateurs Mais l int r t de la pomme de terre tient surtout a ce qu elle combine les caract ristiques des f culents et celles des l gumes faudra attendre 150 ans avant que la pomme de terre ne devienne l une des cultures vivri res les plus importantes de l Europe Aujourd hui les Europ ens du Centre et de l Est en sont les plus grands consommateurs mais la pomme de terre joue
88. nscrire ses activit s dans la dur e La fondation GoodPlanet invite un mode de vie respectueux de la Terre et de ses habitants Elle propose des solutions r alistes et optimistes et encourage chaque individu agir pour la plan te en s appuyant sur une s rie de programmes qu elle ne cesse de d velopper et de renforcer pour mettre l cologie au c ur des consciences Son message universel invite chacun r fl chir l volution de la plan te au devenir de ses habitants et s engager NOS PUBLICATIONS avec les ditions de La Martini re 4 HODIvERS Agenda Utile Le catalogue Home La Biodiversit 6 milliards d Autres La Grande Terre pour un monde GoodPlanet durable 2011 NOS PROGRAMMES 6 milliards d Autres GoodPlanet Junior Action Carbone Des milliers de t moignages vid o qui Offrir des vacances aux enfants Calculer r duire et compenser nos apr s le succ s de l exposition au pour leur faire d couvrir la nature et missions de gaz effet de serre pour Grand Palais Paris sont pr sent s dans exp rimenter l co citoyennet au diminuer notre impact sur le climat le monde entier quotidien en collaboration avec la Ligue de l enseignement Le d veloppement GoodPlanet Info 10 10 Agir rend heureux dura ble pourq uoi Comprendre et informer sur l actualit Une campagne internationale de Des s ries cle 5 osters p dagogiques sur environnementale
89. nt gr es dans des syst mes dynamiques avec passage d air forc en chambre exp rimentale ou dans une moindre mesure en espace r el des recherches sur les risques des v g taux en tant qu metteurs de polluants COV terp noides A ce jour une centaine d esp ces ont t tudi es travers le monde Parmi elles trois familles sont prin cipalement repr sent es les Arac es les Araliac es et les Agavac es Phytair la recherche fran aise En France le vaste programme de recherche Phytair a t lanc en 2004 l initiative de ADEME et de ses d l gations r gionales Nord Pas de Calais et Pays de la Loire et des conseils r gionaux Nord Pas de Calais et Pays de la Loire qui en assurent le finan cement Les partenaires scientifiques et techniques de Phytair sont la Facult de Pharmacie de Lille l association Plant Airpur et le Centre scientifique et technique du batiment CSTB rejoints en 2006 par le laboratoire PC2A de l universit des Sciences et Technologies de Lille Phytair a pour objectif de construire un protocole scientifique d valuation ob jective de l puration de l air int rieur par les plantes Il a pour ambition de d terminer la capacit d pura tion des plantes plac es dans des conditions r alistes tant au niveau de la concentration des polluants de air int rieur que sur le plan du volume d air d pol luer Phytair s int resse galement aux m canis
90. nt majoritairement des groupes particuliers de popula tion femmes enceintes personnes g es en institution populations en situation de grande pr carit par exemple Dans ces groupes de population sp cifiques des apports suppl mentaires en vitamines mi n raux et autres nutriments par les compl ments alimentaires ou ents alimentaires 7 l alimentation enrichie peuvent pr senter un int r t mais leur in dication dans ces situations rel ve plus du conseil m dical que d une d marche alimentaire individuelle non clair e Pour la tr s grande majorit de la population une alimentation qui libr e suffit apporter tous les nu triments n cessaires la sant Il n y a donc pas de b n fice d mon tr consommer des compl ments alimentaires alors m me que l on manque d tudes qui permettraient lors de prises r guli res et prolon g es de montrer leur innocuit et que des signalement d effets ind sirables aigus ont t rapport s Dans le cas compl ments alimen taires contenant des vitamines et min raux il existe un risque de d passement des limites de s curit pour le consommateur Un message que porte l Agence au niveau europ en en travaillant sur l exposition des fran ais Dans le cas du zinc par exemple 1 suf fit de consommer des aliments riches en zinc associ s la prise d un compl ment alimentaire pour multiplier par deux les apports nu tritionnels cons
91. opu lations envahissantes d H axyridis sur l ensemble des aires envahies Am rique du Nord Am rique du Sud Afrique du Sud et Europe Des chantillons de populations r colt s dans la nature aire native et aires envahies et d autres repr sentatifs de la souche originaire d Asie utilis e pour la lutte biologique import e par INRA en 1982 et utilis e par la suite par plusieurs biofabriques europ ennes ont t carac t ris s avec des marqueurs g n tiques Gr ce ces marqueurs un grand nombre de sc narios d intro duction ont t compar s et leur probabilit relative a t estim e l aide du logiciel d analyse statistique DIYABC1 Une t te de pont invasive dans le nord est de l Am rique Les routes d invasion sont r sum es dans la Figure 1 Laire native est l origine de deux foyers principaux Bien tre et cologie en Am rique du Nord Est et du Nord Ouest Ces deux introductions sont donc ind pendantes mais il est im possible de savoir si elles sont accidentelles ou pro viennent de populations utilis es en lutte biologique Les foyers invasifs d Am rique du Sud et d Afrique du Sud proviennent de la zone envahie en Am rique du Nord Est Enfin les populations invasives en Eu rope de l Ouest sont issues d un m lange entre des individus provenant d Am rique du Nord Est et des individus utilis s en Europe pour la lutte biologique avec une contribution g n t
92. ost natale de ces animaux peut fragiliser la fonction de barri re intestinale l ge adulte Ces travaux ouvrent de nouvelles perspectives dans l valuation du risque d exposition aux perturbateurs endocriniens L ensemble de ces r sultats est publi dans l dition en ligne avanc e de PNAS du 14 18 d cembre 2009 e Bisph nol A est un contaminant alimentaire Il est largement utilis dans la fabrication in dustrielle des r cipients en plastique de types polycarbonate tels certains biberons On le retrouve galement dans les r sines des rev tements int ri eurs de bo tes de conserve pour aliments ou canettes de boissons Or le BPA est capable de s extraire de ces plastiques et r sines spontan ment tr s faibles doses et plus largement lorsque ces derniers sont chauff s Ainsi il est d tect dans les urines le sang et le liquide amniotique d une grande majorit de la population europ enne L Autorit europ enne de s curit des ali ments EFSA et l Agence fran aise de s cu rit sanitaire des aliments AFSSA ont ce propos d fini une dose journali re acceptable DJA de 0 05 milligramme kg de poids corporel Cette dose seuil 8 notamment t retenue car cette mol cule est toxique pour la reproduc tion et le d veloppement chez l animal de la 32 Bien tre et cologie boratoire En effet le BPA est capable de se lier aux r cepteurs des strog nes les hormones s
93. par le BUREAU VERITAS ont constat une purification de l air 99 99 sur les particules de 5 microns Pressentiel Sylvie Le Roux 06 28 69 05 24 syl vie leroux pressentiel fr AEREL Z A Les Chapelles 72310 Bess sur Braye 61 02 43 35 33 52 Bien tre et cologie 63 EVENEMENTS Novembre 2010 Salon Ecoplan te a Melun 77 Du 19 au 20 novembre 2010 Themes V hicules lectriques ou hybrides panneaux solaires pompes a chaleur thermographie r cup ra teurs d eau de pluie Essais de v hicules hybrides Site www ecoplanete77 fr Salon Construire Naturel Clermont Ferrand Du 19 au 21 novembre 2010 Th mes Habitat sain professionnels de la maison bois comat riaux nergies renouvelables Site www construire naturel com CONS TRUIRE Salon Viv Expo Rennes Du 19 au 21 novembre 2010 Th mes Producteurs viticulteurs cosm tiques hy gi ne nergies renouvelables habitat sain tourisme solidaire protection de l environnement Site www vivexpo com Viv exp Salon Vivez nature a Lyon Du 19 au 22 novembre 2010 Th mes Produits bio cosm tiques hygi ne arti sanat v tements m decines douces associations Conf rences ateliers espaces d tente relaxation et techniques corporelles restauration bio Tarifs 6 eu 08 Site www vivez nature com 2010 64 Bien tre et cologie SALON vivez nature
94. pompage doivent tre 3 La concentration en polluants dans l or effectu es en continu pour viter l inondation des ganisme augmente chaque maillon de la cha ne galeries de mines trophique Bien tre et cologie 57 ENVIRONNEMENT aaa t le sans faux plafond permettent la p n tration d im portantes quantit s de poussi res l int rieur des lo gements avec des risques accrus d exposition Les enfants premi re population risque La contamination n atteint pas l ensemble de la popu lation mais des groupes risques tels que les familles qui vivent proximit d une source de pollution ou qui introduisent au domicile des outils professionnels de la mine sacs de minerai ou de concentr s de m taux Les enfants en bas ge sont les plus vuln rables face ces pollutions du fait de la poussi re qu ils in g rent en portant leurs mains ou des objets la bouche et de par leur taille et leur physiologie immature Une quipe de g ochimistes a dos les m taux lourds contenus dans l air et l eau du robinet des lieux d ha IRD Eric B n fice Enqu te sanitaire dans le cadre de ToxBol bitation et de cinq coles dans diff rents quartiers d Oruro au centre en zone rurale suburbaine pr s de la mine et pr s de la fonderie Les r sultats mon trent une tr s grande h t rog n it d exposition en particulier au plomb et l arsenic entre les enfants
95. production de Fruits amp de L gumes bio et locale est bien plus qu une conviction c est un v ritable engagement aupr s des producteurs biologistes fran ais En collabora tion avec des groupements de producteurs Biocoop construit les fili res agricoles biologiques de ma ni re durable quitable et solidaire Au travers de la d marche Ensemble pour plus de sens Biocoop s curise la production les d bouch s et garantit ainsi aux producteurs une juste r mun ration Bio coop assure donc aux consom acteurs des produits bio de qualit un juste prix Et c est tout simplement bon Les fruits et les l gumes de saison sont plus savou reux plus gouteux et bien moins chers Un vrai d lice en bouche Les Fruits amp les L gumes bio et de saison sont e plus respectueux des femmes des hommes qui les produisent et qui les consomment e plus respectueux de l environnement amp de la nature e meilleurs pour la sant meilleurs en go t aussi e bien moins chers que les fruits amp l gumes hors saison Il n y aucune raison de s en priver vivons au rythme des saisons et consommons des Fruits amp des L gumes bio et de saison MDRGEF pesticides et sant 5 dition de la semaine pour les Alternatives aux Pesticides 2010 Des Gaz effet de serres dans mon assiette R seau Action Climat 2009 LES MAGASINS BIOCOOP S ENGAGENT POUR UNE JUSTE R MUN R
96. rable D couvrez le travail de certains d entre eux sur les th mes de l alimentation la sant le bien tre l habitat et l environnement Je conclurai d ailleurs sur une citation de Margaret Mead anthropologue am ricaine Ne doutez jamais du fait qu un petit nombre de gens r fl chis et engag s peuvent changer le monde En v rit c est la seule chose qui l a permis Bonne lecture Eric Lerouge Directeur de la publication Bien tre et cologie 3 8 onar DS ALIMENTATION 8 10 14 20 22 24 Les om ga 3 Les bienfaits de la pomme de terre 26 Comment faire manger des l gumes aux enfants a 30 L importance de manger des fruits et legumes bio selon Biocoop Que sont les complements 34 alimentaires Etiquetage des aliments une mine 35 d information pour les consommateurs Le petit d jeuner une bonne habitude pour toute la vie 36 38 Bien tre et cologie SANTE BIEN ETRE Les fleurs de Bach comment ca marche En cosm tique biologique et cologique Biopha chasse les id es recues Bio Secure propose une nouvelle gamme hypoallerg nique Bio s cure b b L action du bisph nol A sur l intestin pour la premi re fois d montr e Le point sur les additifs alimentaires Additifs ar mes et auxiliaires technologiques HABITAT ECOLOGIQUE Solaire Moins de soucis plus de confort Pol
97. rendement tr s faible au regard des niveaux de pollution rencontr s lorsque les plantes sont utilis es seules Ainsi l utilisation de plantes en pot n appara t pas efficace pour une puration des volumes d air dans les espaces int rieurs Les dispo sitifs dynamiques bas s sur le passage forc de l air pollu travers le substrat des plantes syst me de biofiltration semblent eux plus prometteurs De plus amples tudes sont n cessaires pour confirmer le rendement de ces syst mes en situation r elle tenant compte des expositions pendant de longues p riodes des m langes de polluants en faibles concentrations Le r le respectif des substrats et des micro organismes formant la rhizosph re essentiel la biofiltration est galement expliquer pour optimiser les dispositifs venir Enfin certaines tudes mettent en avant d autres arguments favorables la pr sence de plantes dans les espaces clos augmentation de la productivit dimi nution du stress am lioration du bien tre Mais ARAA ET z N PS S En KE REA ARIS PASS RAR G A A AS 7 gt au NAN N ces observations ne sont pas n cessairement li es une diminution des concentrations de polluants les travaux sur le sujet seraient approfondir Il appara t ainsi clairement qu en l tat actuel des connaissances la d livrance d un label capacit d puration de l air
98. rer une odeur et ou un go t particulier Les auxiliaires technologiques sont des substances non consomm es comme ingr dients alimentaires en soi qui sont volontairement utilis es au cours du trai tement ou de la transformation de mati res premi res de denr es alimentaires ou de leurs ingr dients afin de r pondre un objectif technologique donn Leur uti lisation peut avoir pour r sultat la pr sence non inten tionnelle mais techniquement in vitable de r sidus de cette substance ou de ses d riv s dans le produit fini condition que ces r sidus ne pr sentent pas de risque sanitaire et n aient pas d effets technologiques sur le produit fini Les pr parations enzymatiques sont souvent utilis es des fins technologiques au cours de la production Les additifs les ar mes alimentaires et les pr para tions enzymatiques font l objet d une proc dure d au torisation harmonis e l chelle europ enne dans le cadre d un r glement commun CE 1331 2008 et de r glements sp cifiques respectivement r glements CE 1333 2008 CE 1334 2008 CE 1332 2008 fixant les listes de substances autoris es et leurs conditions d utilisation Sources Afssa Bien tre et cologie 35 HABITAT DS Solaire moins de soucis plus de confort L nergie solaire est gratuite et disponible sans limite De nombreux produits sont l pour en profiter facilement et rapidement Bien sur c est l ext rieur que les usage
99. rs du CNRS de l Universit de Toulouse de l IRD et du Mus um national d Histoire naturelle ainsi que des universit s d Anvers Bel gique et d Ultrecht Pays Bas montre que les esp ces de poissons introduites sont en moyenne 12 cm plus grandes que celles naturellement pr sentes dans les cours d eau Le remaniement de la structure en taille des communaut s de poissons repr sente un fort risque de modification des cosyst mes aquatiques Ces travaux sont publi s dans la revue Ecology Letters d avril 2010 Depuis le n olithique l homme transporte et in troduit de nouvelles esp ces Cette tendance s est accentu e durant les 150 derni res ann es suite au d veloppement des moyens de transport et du commerce international Les poissons d eau douce n chappent pas cette r gle et plusieurs centaines d esp ces ont t introduites dans le monde que ce soit de mani re fortuite ou des fins alimen taires ou r cr atives n croisant des donn es sur les poissons pr He dans 1050 cours d eau du monde des chercheurs de l Universit de Toulouse du CNRS de l IRD et du MNHN ainsi que des universi t s d Anvers Belgique et d Ultrecht Pays Bas mon trent que les esp ces de poissons introduites sont en moyenne 12 cm plus grandes que les esp ces natives de ces rivi res Ce qui augmente la taille moyenne des communaut s de poissons d une rivi re d environ 2 cm Cette modification affecte avec mod ration mais significa
100. rtants Le folate est galement essentiel la production des globules rouges Les pommes de terre sont une bonne source de potassium min ral et contiennent galement de petites quantit s de magn sium et de fer Le po tassium exerce plusieurs fonctions dans l organisme notamment dans les muscles et la contraction muscu laire la transmission des influx nerveux et la r gula Bien tre et cologie 11 Alimentation iii tion de la pression sanguine La teneur en potassium des pommes de terre quivaut celle de la plupart des fruits et l gumes par unit de poids et puisque les pommes de terre sont g n ralement consomm es en plus grandes quantit s elles constituent une source alimentaire importante et fiable de ce nutriment Une portion moyenne de pommes de terre bouillies 180 g couvre galement environ un dixi me des be soins quotidiens en magn sium et en fer d un adulte Les pommes de terre sont pratiquement d pour vues de sodium qui avec le chlorure forme le sel Les autorit s de sant publique mettent en garde contre une consommation excessive de sel du fait du lien qui existe entre les apports en sodium et le risque d hypertension art rielle D autres f culents sont galement pauvres en sodium mais la teneur en potassium de la pomme de terre est significativement plus lev e que par exemple celle des p tes alimen taires La combinaison d une forte teneur en potas sium et d une
101. s Producteurs bio bien tre beaut aroma th rapie phytoth rapie di t tique v tements bi joux artisanat Site www goral expo com nerga a Salon International des ner gies renouvelables Montpellier Du 8 au 11 d cembre 2010 Th mes Energies renouvelables coconstruction formation sp cialis e Site www energaia expo com ener ALON INTERNATIONAL DE ala MONTPELLIER re NERGIES RENOUVELABLES 8 gt 11 D CEMBRE 2010 No l en bio Paris Du 10 au 12 d cembre 2010 Th mes La bio et les produits au naturel vous don nent rendezvous et vous attendent au centre de Paris Entr e libre et gratuite Site www vivez nature com noel 48 rue Vieille du Temple espace d animation des Blancs Manteaux P aris 4 m tro H tel de Ville du TO ou d cembre 12 2010 entr e libre obs les jours de 11h 20 h httrwwwVivez nature com A Asphod le Pau 64 Du 11 au 12 d cembre 2010 Themes L espace habitat sain et conome a connu un int r t grandissant r unissant une large palette de services mat riaux et comp tences Site www salon asphodele com Bien tre et cologie 65 BI REFERENCES a Etiquetage des aliments une mine d informations pour les consommateurs Page 20 21 R f rences 1 Food Standards Agency FSA 2009 Public attitudes to food Disponible consult le 30 mai 2010 2 safefood 2009 Safetrak 9 Is
102. s taient cultiv es l poque le ma s qui tonnamment est aujourd hui absent du panel agricole le manioc et la courge En construisant ces lots ass ch s les Am rindiens ont produit de l h t rog n it entre la plaine inond e et la partie sur lev e la composition biog ochimique de ces deux zones diff re aujourd hui encore jusqu 50 cm de profondeur Des paysages co construits par l Homme et la Nature Une fois abandonn s ces champs ont t colonis s par la Nature Fourmis termites vers de terre plantes et autres organismes se sont install s pr f rentielle ment sur ces structures bien drain es Des processus auto organis s g n r s par ces b tisseurs d co syst mes se sont alors mis en place Ces organismes y apportent de la mati re organique et min rale et en modifient la structure ainsi que la composition du sol Gr ce leurs actions sur la porosit du sol la capa cit d infiltration des eaux de pluies est neuf fois plus lev e sur les monticules que dans la plaine inond e r duisant la sensibilit des buttes l rosion Des m canismes bio g o chimiques ont ainsi permis le maintien de ces structures sur lev es o la concen tration en ressources initialement cr e par Homme a t conserv e Ces cosyst mes auto organis s sont les d positaires de l h ritage cologique des habitants pr colombiens d Amazonie Cette technique agricol
103. s interrog es consultent les indications figurant sur l tiquette des produits et que seulement la moiti d entre elles tient compte de la mention A consom mer de pr f rence avant le D autres tudes men es dans l Union europ enne ont donn des r sultats com parables Or un aliment peut tre contamin par des bact ries nocives comme Listeria et Salmonella sans d gager d odeur particuli re ou changer d aspect Information sur la conservation la pr paration et la cuisson Les conditions de conservation et la date de p remp tion doivent obligatoirement figurer sur l tiquetage de certaines denr es alimentaires pour garantir leur bon usage par les consommateurs Les bact ries ali mentaires nocives comme la Salmonella ou la Liste ria peuvent prolif rer et atteindre des concentrations susceptibles de causer des maladies si les aliments ne sont pas conserv s correctement Ces instructions peuvent aussi pr ciser comment conserver l aliment apr s ouverture par exemple R frig rer apr s ou verture Les consommateurs suivent souvent les recommandations pour la conservation et la pr pa ration l achat d un nouveau produit mais pas pour un produit qu ils ont achet ult rieurement Dans une tude quantitative r cente 1012 consommateurs irlandais ont valu l importance des informations devant figurer obligatoirement sur l tiquetage des denr es alimentaires pr e
104. s sont les plus nombreux L clairage en est un exemple Lampions solaires bornes piquer ou murales vous pouvez installer en quelques minutes sans branchement lec trique un clairage ou un balisage d coratif et moindre co t Ainsi votre terrasse jardin ou balcon se pare de nouveaux attraits et vous profitez plus longtemps de votre ext rieur votre piscine Avec le chauffage solaire pour piscine vous gagnez sans co t d lectricit les quelques degr s qui vous donne la possibilit de vous baigner plus longtemps et d utiliser ainsi votre piscine plusieurs mois par an au lieu de quelques semaines seulement Et la sortie de votre piscine pourquoi ne pas b n ficier d une eau chaude gratuite pour une douche bonne Avec de nombreux mod les de douche solaire pour jardin vous avez le choix et ce d s 150 5 minutes suffisent pour l installation P longtemps c est aussi le maitre mot pour 36 Bien tre et cologie Le solaire peut tre utilis l t mais aussi toute l an n e Avec les motorisations de portail solaires plus besoin de sortir de votre voiture pour ouvrir votre portail Sans fil et autonome du r seau lectrique ces syst mes vous permettent de ne pas faire de tran ch es En 2 heures vous quipez votre portail d une motorisation qui ne vous coutera plus un seul centime d lectricit Retrouvez nos solutions solaires sur http www lamaisonpositive co
105. son et 16 r tr cissement de l espace entre les cellules intestinales limitant les changes naturels au niveau de la paroi du tube digestif et pouvant fa voriser la r tention d eau dans le corps Les cher cheurs ont galement observ que le BPA avait un impact sur la r ponse inflammatoire dans le c lon et rendait l intestin plus sensible la douleur Chez les rats nouveau n s les chercheurs ont montr qu une exposition in utero et pendant l allaitement au BPA augmentait le risque de d velopper une inflam mation intestinale s v re l ge adulte Ces effets ont essentiellement t observ s dans la descendance femelle plus sensible naturellement aux effets des oestrog nes que les m les Cette pr disposition d velopper des maladies inflammatoires dans l intestin serait la cons quence d une maturation imparfaite du syst me immunitaire situ dans la muqueuse intesti nale En effet l intestin est pratiquement st rile la naissance puis progressivement colonis par des bac t ries d origine alimentaire et environnementale qui participent l ducation de ce syst me immunitaire Les chercheurs ont mis l hypoth se que l exposition pr et post natale au BPA pourrait freiner le d ve loppement des d fenses immunitaires intestinales al t rant ainsi leur capacit reconna tre plus tard des substances potentiellement nocives pour l organisme Ces travaux illustrent
106. t n cessaires avant qu il ne commence l appr cier si bien que renoncer apr s quelques tentatives seulement se soldera g n ralement par un chec Les parents ne doivent pas obliger leur enfant manger de grandes quantit s de nouveaux aliments mais plut t les f liciter lorsqu ils les go tent en pe tites quantit s la longue ils finiront par s y habi tuer et leur aversion se transformera en app tence L exemplarit joue aussi un r le important pour inci ter les enfants manger des l gumes Si l enfant voit que les adultes autour de lui aiment essayer de nouveaux aliments il sera plus susceptible de tenter lui aussi l exp rience De m me si les l gumes sont disponibles en abondance cela pourra am liorer sa consommation Pr senter les aliments de mani re plus attrayante en variant les couleurs et les formes peut encourager l enfant essayer de nouveaux aliments Les pa rents peuvent dessiner des visages ou des figurines sur l assiette et couper les l gumes de diff rentes formes Il est aussi possible de proposer les l gumes cuits ou crus en prenant bien soin de respecter les r gles d hygi ne De plus faire participer les enfants la pr paration des repas et si possible la culture des l gumes dans le jardin ou en pots pourra augmenter leur volont d essayer de nouveaux l gumes 16 Bien tre et cologie Les pr f rences alimentaires
107. t se faire que par l interm diaire des mi lieux p rennes ou prairies Or ces milieux sont peu nombreux et sont sujets des destructions fr quentes Ainsi les populations soumises des extinctions lo cales ne se maintiennent que si de nouveaux habitats sont disponibles et accessibles la colonisation De ce fait seules les esp ces se d pla ant suffisamment peuvent survivre Les chercheurs du CEBC s attachent tudier le fonc tionnement des communaut s de criquets pr sentes sur la Zone Atelier Plaine et Val de S vre 450 km en relation avec les pratiques agri coles et la structure des paysages Dans ce cadre valuer l effet des mesures de 20 gestion des habitats sur l abondance des criquets ou encore tablir la rela 1 tion entre l abondance des pr dateurs prot ger et la ressource en criquets x sont les objectifs g n ralement pour amp SUIVIS g Pour normaliser les tudes r alis es 8 par les chercheurs et les naturalistes Z l quipe du CEBC s est dans un pre mier temps attach e a tudier la fiabi lit de la m thode de capture des cri quets pour estimer leur abondance Ils 0 ont ainsi pu tablir que la technique consistant lancer une cage d 1 m2 de base devant soi pouvait tre utilis e dans n importe quelle condition m t orologique dans des prairies de diff rentes natures et par des observateurs multiples La taille optimale de la cage est
108. tivement la r gle empirique de Bergmann Cette r gle g n rale qui s applique la majorit des tres vivants exprime le fait que plus un organisme vit loign de l quateur plus sa masse corporelle est importante Elle est le fruit de millions d ann es d volution conjointe des esp ces et de leur envi ronnement et comme le met en vidence cet article l homme semble en passe d en modifier les contours Au del de ces consid rations historiques l introduc tion d esp ces ayant des caract ristiques cologiques diff rentes des esp ces naturellement pr sentes peut galement affecter le fonctionnement des cosys 50 Bien tre et cologie t mes En effet une partie de ces grandes esp ces largement introduites travers le monde sont des pr dateurs Truite Black Bass Silure alors que d autres sont plut t mangeurs de d tritus ou de v g taux Carpe Tilapias Ces caract ristiques co logiques sont susceptibles de modifier la cha ne ali mentaire ou le recyclage de la mati re organique Les modifications de la taille moyenne des communaut s observ es dans les cours d eau l chelle du globe pourraient donc aller de pair avec des modifications du fonctionnement des cosyst mes aquatiques R f rences page 67 Contacts Chercheurs 1 S bastien Brosse 1 T 05 61 55 67 47 1 brosse cict fr Simon Blanchet 1 T 05 61 55 85 81 1 blanchet cict fr Presse CNRS 1 C cile P rol 1 T 01
109. tuer les m thodes de pr paration et d utilisation tablies par le Dr Bach Le Dr Edward Bach Centre sert aussi de lieu de formation et d enseignement des Fleurs de Bach Tom Vermeersch psychologue et conseill de fleurs de Bach www conseilfleursdebach fr f D Puis 192 Elixirs floraux DEVA pour exprimer le meilleur de soi Fleurs de BACH Elixirs floraux DEVA Les 38 lixirs floraux du Dr Bach Les 96 lixirs floraux issus de la recherche contemporaine DEVA Compos s floraux DEVA la vie quotidienne pour accompagnel et les moments cl s de l existence Floressentiels D La cr me de premier soin Ass cr me r g n ratrice Echinaflor oral Echinaflor pour relancer la vitalit LABORATOIRE DEVA 38880 AUTRANS FRANCE T l 0476 95 35 87 BACH ORICINAL METHOD Sante amp Bien tre En cosmetique biologique et cologique les laboratoires BIOPHA chassent les id es recues Depuis plus de trente ans les Laboratoires BIOPHA ont pour vocation de d velopper des produits d hygi ne et de soin de haute tol rance et d une ex tr me douceur en parfaite affinit avec la peau d licate et fragile des nour rissons et des b b s iopha b b est une gamme de produits bio B logiques et cologiques hypoallerg niques pour l hygi ne de b b Son laboration est respectueuse de la nature imp ratif absolu des labo ratoires BIOPHA qu
110. u Gard 30 Lieu espace Paulhan face gare TVC Th mes Diversit v g tale particuli rement frui ti re Conf rences expos spectacle restauration bio Entr e 4 gratuit pour les de 12 ans Site www dimanchesverts org Salon Bien tre et m decines douces Toulon Du 27 au 29 novembre 2010 Th mes Cosm tiques naturels producteurs m de cines douces habitat sain librairie associations Conf rences restauration bio Tarif entr e 6 Euros Tarif r duit sur pr sentation d une invitation tarif r duit 3 Euros Gratuit pour les moins de 12 ans ac compagn s Site www salonbienetre fr Pollutec Lyon Du 30 novembre au 3 d cembre 2010 Th mes Salon mondial de r f rence pour les pro fessionnels de l Environnement Pollutec Lyon ras semble pendant 4 jours toutes les techniques de pr vention et de traitement des pollutions et plus g n ralement de pr servation de l environnement et de mise en oeuvre du d veloppement durable Site www pollutec com a E oe lu D cembre 2010 Salon Plan te Mode d emploi salon de l ducation au d veloppement durable Paris Du 2 au 4 d cembre 2010 Th mes M tiers formations Etat administrations entreprises innovations vie quotidienne Espace th matique conseils conf rences restauration bio Site www planetemodedemploi fr Salon Bio Harmonies a Montpellier Du 3 au 5 d cembre 2010 Th me
111. uction en adaptant leur mat riel pour r pondre aux exigences demand es dans la r alisation de produits isolants et plus particuli rement d isolants naturels Les Textiles de Garrot Garrot Lacrouzette 81210 Roquecourbe Tel 05 63 82 13 65 Fax 05 63 75 60 58 Mail contact novalaine fr www novalaine fr COPPA 6 812 VOOR Gente rene M oee masi no s se sae R duire votre consommation d nergie grace Primasolel et g n rer des revenus grace Primawatt c est Que Primagaz vous propose avec ses solutions nergie globales modernes et durables gaz propane nergie Solaire disponibles partout dans les 28 000 communes non reli es au r seau de gaz naturel De 8 5 185 du lund au vendredi Et vous Vous tes plut t Primawatt ou Primasoleil 2 1 ohne Une question 7 Un devis 1 La visite d un de nos Conseillers Energie 0970 808 708 PRIMAGAZ FR De l imagination Des solutions PRIMAGAZ 8 L nergie est notre avenir conomisons la BE ENVIRONNEMENT a Biodiversit des pollens et sant des abeilles Les colonies d abeilles souffrent d un d clin depuis plusieurs ann es et une hypoth se avanc e serait un affaiblissement de leur syst me immunitaire li notamment une alimentation appauvrie Des chercheurs de l INRA ont tudi chez ces insectes la relation entre alimentation et immunit Les r sultats de ces trava
112. uelles urgences et nouveaux d fis le monde doit il faire face SORTIE EN SALLES LE 10 NOVEMBRE Extraits du discours de Severn Cullis Suzuki ag e de 12 ans au Sommet de Rio en 1992 Je suis ici pour parler aux noms des g n rations fu tures Je ne suis qu une enfant et pourtant je sais que les probl mes environnementaux nous concernent tous et que nous devrions agir pour un seul monde dans un seul but Mon p re me disait Tu es ce que tu fais pas ce que tu dis Et bien ce que vous faites me fais pleurer la nuit En salle le 10 Novembre Bien tre et cologie 7 092 Alimentation aa Les omega 3 Les acides gras omega 3 appartiennent la famille des acides gras lipides polyinsatur s Ils sont dits essentiels car utiles au bon fonctionnement des cellules e pr curseur de cette famille l acide alpha linol nique ALA est dit indispensable car il est n cessaire au d veloppement et au bon fonctionnement du corps humain mais que notre corps ne sait pas le fabriquer Il doit donc obligatoi rement tre apport par notre alimentation A par tir de ce compos l organisme synth tise d autres acides gras omega 3 notamment les acides gras polyinsatur s longue cha ne dont l acide docosa hexa noique DHA O trouve t on les acides gras AG omega 3 Les aliments les plus riches en omega 3 proviennent des v g taux terrestres et de certains animaux mar
113. ues peuvent expliquer la relation entre la diversit biologique dans les for ts et leur plus ou moins grande r sistance vis vis des attaques des insectes Tout d abord le maintien d une grande diversit d essences foresti res pr sente l avantage de r partir le risque Puisque toutes les esp ces d arbres ne sont pas galement sensibles tous les ravageurs et pa thog nes plus le nombre de ces essences augmente dans une for t plus celle ci a des chances de contenir un grand nombre d arbres qui peuvent chapper aux attaques Si l on consid re en particulier une esp ce d arbre l int r t de la g rer en peuplements mixtes plut t qu en 1 Les insectes oligophages sont des esp ces qui se nourrissent d un petit nombre de plantes peuplements purs pour r duire le risque sanitaire peut tre expliqu par deux m canismes principaux la r duction de l accessibilit des arbres h tes et 16 renfor cement de l impact des ennemis naturels des insectes ravageurs En effet dans les peuplements m lang s la ressource exploit e par certains herbivores s av re tre d autant plus dilu e que l essence attaqu e est m lang e d autres essences En cons quence les d g ts sur l essence cible sont galement r duits De plus la pr sence d essences non consomm es par ces herbivores constitue des barri res la fois physiques ils peuvent masquer visuellement les arbres h
114. ulent consomm fr quemment ne contribue autant aux apports en vitamine C que la pomme de terre Bien que la vitamine C soit sensible la chaleur et se d grade quelque peu sous l effet de la cuisson les pommes de terre cuites en conservent suffisamment pour constituer une source utile de ce nutriment La vitamine C est essentielle pour la sant de la peau des dents des gencives des muscles et des os et con tribue l absorption du fer v g tal g n ralement mal absorb par l organisme en l absence de vitamine C Par ailleurs la vitamine C est un antioxydant pour l organisme et certaines pommes de terre chair jaune orange ou violette et plus particuli rement les pommes de terre douces contiennent d importantes quantit s d autres anti oxydants tels que des carot nes et des flavonoides Il existe plusieurs vitamines du groupe B et les pommes de terre sont une source de cer taines d entre elles Une portion moy enne de pommes de terre bouillies 180 g couvre plus d un sixi me des besoins quotidiens en vitamines B1 B6 et folate d un adulte Ces vita mines B exercent plusieurs fonctions dans l organisme notamment dans le m tabolisme des glucides source d nergie et dans la sant de la peau et du syst me nerveux Le folate est n cessaire la croissance et au d veloppement cellulaires c est pourquoi des apports ad quats avant et pendant la grossesse sont particuli rement impo
115. un r le dans l alimentation de tous les pays du continent europ en o sa consommation moy enne par habitant s est tablie 94 kg en 2005 Les caract ristiques nutritionnelles les plus int ressantes et les plus importantes de la pomme de terre sont nu m r es ci dessous Il est important d en tenir compte pour bien appr hender sa contribution dans un r gime alimentaire sain et quilibr sont pratiquement d pourvues de lipides Les hydrates de carbone ou glucides sous forme d amidon sont ses principaux nutriments nerg tiques Les glucides constituent la principale source d nergie pour l organisme et devraient repr senter peu pr s la moiti de nos apports caloriques quotidi ens L int r t de la pomme de terre tient ce qu en plus des glucides elle constitue une riche source de ES d Am rique du Sud au 16e si cle il Bouillies ou cuites au four les pommes de terre 10 Bien tre et cologie micronutriments Les pommes de terre sont pauvres en prot ines environ 3 g pour une portion moyenne de 180 g de pommes de terre bouillies Elles repr sen tent moins de 10 des besoins quotidiens d un adulte La pomme de terre reste toutefois une bonne source de lysine et de tryptophane et appr t e avec du lait ou des ufs un aliment tr s riche en prot ines de grande qualit alimentaires qui contribuent la sensation de sati t et participent au bon fonctionnement de l
116. usage de pesticides et Biocoop favorise la produc tion v g tale biologique de proximit en plein champ ou dans des abris sans moyen de for age le for age est une technique agricole qui vise a faire pousser des cultures en dehors de la saison normale par du chauf fage artificiel et des engrais chimiques En effet consommer des Fruits amp des L gumes bio en dehors de leur saison de culture locale met plus de gaz a effet de serre que les produits de saison cultiv s en pleine terre cause du transport importation par avion par exemple ou de l nergie qu il a fallu pour chauffer les serres Pour r duire les transports et le stockage en frigos e Biocoop privil gie les fruits et legumes de saison disponibles en France cultiv s en plein champ ou en serres froides e Biocoop importe par bateau uniquement les fruits et l gumes qui ne sont pas cultiv s en Eu rope bananes ananas Des exemples 1 kg de fraises d hiver peut n cessiter l quivalent de 5 litres de gasoil pour arriver dans notre assiette 18 Bien tre et cologie Les produits congel s et les plats pr par s sont tr s gourmands en nergie suremballage fabrication et conditionnement sp cifiques demandant beaucoup d nergie les gaz n cessaires fabriquer le froid ont un pouvoir de r chauffement tr s important sur notre plan te C est bon pour les producteurs biologistes Pour Biocoop favoriser la
117. utrition Research Reviews 22 2 220 243 2 Benton D Parker PY 1998 Breakfast blood glucose and cognition American Journal of Clinical Nutri tion 67 4 7725 7785 3 Rampersaud GC et al 2005 Breakfast habits nutritional status body weight and academic performance in children and adolescents Journal of the American Dietetic Association 105 5 743 760 4 Mullan BA Singh M 2010 A systematic review of the quality content and context of breakfast consump tion Nutrition and Food Science 40 1 81 114 5 Vereecken C Dupuy M Rasmussen M et al 2009 Breakfast consumption and its socio demographic and lifestyle correlates in schoolchildren in 41 countries participating in the HBSC study International Journal of Public Health 54 S180 S190 6 Szajewska H Ruszczynski M 2010 Systematic review demonstrating that breakfast consumption in fluences body weight outcomes in children and adolescents in Europe Critical Reviews in Food Science and Nutrition 50 2 113 119 66 Bien tre et cologie 7 UK School Food Trust The impact of primary school breakfast clubs in deprived areas of London Decem ber 2008 Lien consult le 11 avril 2010 8 Campagne Breakfast is Best Campaign www breakfastisbest eu 9 Pearson N Biddle SJ Gorely T 2009 Family correlates of breakfast consumption among children and adolescents A systematic review Appetite 52 1 1 7 Biodiversit des pollens et sant des abeilles Page
118. ux montrent en effet que la quantit et la diversit des ressources alimentaires pollen ont un impact direct sur la sant du pollinisateur es effets du pollen sur la capacit des abeilles r sister aux maladies ont t test s en me surant diff rents param tres concentration en h mocytes taux de graisse corporel activit de la ph noloxidase Les h mocytes sont des cellules de Vh molymphe liquide circulant chez les insectes Elles sont impliqu es dans la phagocytose et l encap sulation des parasites cette derni re n cessitant ga lement l activit de l enzyme ph noloxidase le gras corporel est le principal site de synth se de peptides antimicrobiens Comme tres sociaux les abeilles ne d pendent pas seulement d une immunit individuelle mais aussi du fonctionnement de l ensemble de la colonie Les chercheurs ont donc galement analys l activit de la glucose oxydase comme param tre de l immunit sociale Cette enzyme permet de synth tiser les pro duits antiseptiques s cr t s dans l alimentation des larves et le miel Ils contribuent ainsi la st rilisation de l alimentation de la colonie et par cons quent la pr vention de la contamination des maladies au ni veau du groupe Afin de tester l effet de la quantit de prot ines four nies par le pollen et de la diversit des pollens sur l immunit individuelle et sociale des groupes de 80 abeilles ont t

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