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pratique

1. chirurgie et d livrer l ensemble des cl s depuis la phase pr im plantaire jusqu au scellement et au suivi Ainsi m me s il pratique d j l implantologie le participant se verra proposer une d mar che globale afin de s curiser sa pratique d un point de vue cli nique et partant juridique Substituer une formation conti nue la formation initiale en implantologie ne rel ve t il pas de la gageure Cette journ e ne peut rempla cer une formation universitaire compl te Elle a pour objectif de d finir la bonne pratique implantaire pour tous les pra ticiens Ce n est pas une jour n e de techniques avanc es mais au contraire de cas clini e Faut il un bloc chirurgical pour pratiquer l implantologie e Comment r alise t on un guide radiologique e Ouest ce qu un syst me antirotationnel e Quel est le torque g n ralement pr conis pour le vissage des piliers implantaires Avec quel instrument le r alise t on ques les plus courants rencon tr s en pratique quotidienne En dressant une liste de 35 ques tions auxquelles r pondront une dizaine d intervenants vous visez l exhaustivit Mais ces questions correspondent elles vraiment aux attentes des prati ciens non sp cialis s C est en tout cas l objectif re cherch et nous proposerons des informations tr s prati ques Citons un exemple par mi d autres Que faire face un implant mobile ou d
2. acquisition de ces trois pa ram tres constitue l objectif du TP de la SOP consacr aux urgences et la r animation originalit de cet enseigne ment r side dans la mise en sc ne de cas concrets entre for mateurs et participants Gr ce des jeux de r le et la mise en sc ne de situations r alistes les participants pour ront se familiariser aux gestes de premiers secours et la conduite tenir face aux di verses d tresses Dans un premier temps lac cent sera mis sur l valuation L valuez vous e Quel est le traitement en premi re intention face un choc allergique l atropine l adr naline ou les corticoides e Face une d tresse vitale qui appelez vous le 18 le 15 ou le 17 Peut on proc der un massage cardiaque sur une femme enceinte terme sur un patient porteur d un pacemaker sur un patient op r du thorax Quand le score de Glasgow n est pas le r sultat d un match de football qu indique t il Inscrivez vous Malaise vagal hypoglyc mie allergie d faillance respiratoire ou cardiaque Gr ce des jeux de r le les participants du TP de la SOP pourront s approprier les gestes de premiers secours de l importance de la situation d urgence Il s agira de se doter d une m thode pour tablir un ventuel pronostic vital au travers de l analyse du niveau de conscience du patient et du maintien ou des alt r
3. compter de la consolidation Dans la mesure o la notion de consolidation est floue il est conseill de conserver les donn es le plus longtemps possible 15 ar opt ESS ES occasionnelles Ieper E peaasi LR nn fe Me he sut NOUVELLE FORMULE CIBLE GENCIVES GAMME AVEC DEUX DENTIFRICES Parogencyl Sensibilit Gencives Parogencyl Pr vention Gencives favorise la r duction des signes de en utilisation r guli re aide pr server l inflammation gingivale occasionnelle la sant gingivale de vos patients jour gonflement rougeur saignement apr s jour Parogencyl Sensibilit Gencives contient de la Parogencyl Pr vention Gencives contient du chlorhexidine consid r e comme un actif puissant de Chlorure de Cetylpyridinium pour limiter Paccumulation de la r f rence parmi les agents anti plaque et aide lutter plaque dentaire et favoriser la pr vention de Finflammation contre les sympt mes de l inflammation gingivale gingivale occasionnelle gonflement rougeur saignement Fluorure de Sodium pour renforcer l mail des dents et favoriser la pr vention des caries et des gingivites l Recommand pour j les inflammations Recommand TRS ACTION CONTROLE PG Professional Oral Health OSENCY isda Ter el en usage quotidien E arogencyl kb OMNIPRATIQUE E PRATIOUE Adapter un plan de traitement pluridisciplinaire au besoin du patient Un diagnostic rig
4. 3 mars 2007 Formez Vous la radio i protection 23 mai 2007 ET VALIDEZ CETTE FORMATION Le mercredi 23 mai 2007 participez la journ e SOP et mettez en mais obligatoire pour les chirurgiens dentistes La date de application votre cette formation validante la radioprotection a t fix e la formation d s le lendemain dans votre cabinet ATTENTION Nombre de places limit ze e ee e e E E E E E E wm Assistez une formation validante la radioprotection La SOP organise une formation la radioprotection d sor veille de la journ e de formation Travaux pratiques afin que les participants qui le souhaitent puissent s inscrire aux deux Journ es formation la radioprotection et l un des quatorze TP organis s le lendemain Toutes les formations en l w FORMEZ VOUS A LA RADIOPROTECTION PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES HOTEL 17 BD SAINT JACQUES 14 retourner accompagn de votre r glement la SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 NOR a aa a ares Pr NOM se Adresse nn eee eu mummecccccccmmmuumemceecccccccueceemeecccccceuceeeeeeeccecccccceuemeeeeee T l Adresse e mail Tarifs Inscription avant le 15 03 07 membres SOP et FSSOSIF 255 autres 350 Inscription apr s le 15 03 07 membres SOP et FSSOSIF 295 autres 350 JSOP0307
5. 3 mars 2007 ciers quatre ou cinq se succ dant la tribune avec chacun un th me sp cifique Parce que l enjeu ici consiste permettre aux confr res n ayant pas eu acc s cet enseignement dans le cadre de leur formation initiale de s approprier en une journ e tous les fondamentaux de l implantologie Or le d roul classique des for mations de la SOP laisse la place et c est ce qui fait souvent sa force et son int r t des appro ches diff rentes voire divergentes selon les conf renciers Ici afin que chaque participant puisse disposer des outils n cessaires la prati que de la chirurgie et ou de la proth se implan taires la SOP a souhait que la coh rence et l unit de cette journ e de formation priment sur la diversit des approches L enjeu est important pour notre profession au jourd hui tous les praticiens sans distinction de vraient pouvoir r pondre la demande implan taire de leurs patients parce qu elle est de plus en plus fr quente mais galement aux obligations l gales en termes de choix th rapeutiques lire l article p 25 Outre ce postulat touchant l environnement professionnel une autre dimension plus techni que celle l devait imp rativement tre prise en compte dans le contenu de cette journ e lim plantologie n est pas l affaire d un cercle litiste Car pour autant que le champ de cette pratique soit born par les re
6. Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction I Oui I Non I SNCF ITT Air France e ak TI e dh S P e Z Vi ZOO CC R GIME COMPL MENTAIRE Quand une mutuelle s rige en garant du tact et de la mesure La SOP a sollicit les syndicats devant la d rive d un r gime compl mentaire s immis ant dans la relation patient soignant en discutant le bien fond d un devis de traitement proth tique f apuicarion de lobliga tion d ontologique et conventionnelle du tact et de la mesure rel verait elle d sormais de la comp tence des r gimes compl mentaires C est en tout cas le raccourci juridiquement improbable et m dicalement inappropri que semble vou loir emprunter l un d entre eux Dans un courrier adress un confr re une mutuelle crit en effet que la patiente de ce pra ticien lui a transmis un devis concernant la r alisation d une proth se s levant 640 euros alors que le tarif de responsabilit de la s curit sociale est de 107 50 euros ce qui repr sente des suppl ments d honoraires quivalents six fois la base de rem boursement de la s curit sociale Et la mutuelle de pour suivre Bien qu il s agisse d entente directe nous sommes sur pris de l importance de ce d passement qui para t avoir t tabli au del de la n
7. et de comptes rendus trait s sous un angle plus journalistique La SOP investit dans le SOP afin qu il r ponde votre attente et qu ainsi il contribue renforcer le lien entre ses membres Un v hicule de l information mieux adapt qu une Smart JSOP n 3 mars 2007 5 O VA LA FORMATION CONTINUE ODONTOLOGIQUE III Formation continue obligatoire mode d emploi Les praticiens devront justifier d au moins 150 cr dits annuels de formation pour un total de 800 cr dits en cinq ans charge pour le CNFCO de mettre en musique l organisation de cette formation et pour les conseils interr gionaux de v rifier la validit de la formation de chaque chirurgien dentiste L OBLIGATION DE SE FORMER tout au long de sa vie pro fessionnelle est fond e sur la n cessit pour le pra ticien d assurer la p rennit de sa capacit professionnelle Une p rennit qui n est possible ou avec l int gration dans sa pratique des nouvelles donn es m dicales ou des tech niques mergentes reconnues et enseign es l universi t dans le cadre du cursus initial ou par le suivi d ensei gnements postuniversitaires Concr tement comment cette obligation va t elle s appliquer Tout praticien quel que soit son mode d exercice est tenu de respecter l obli gation de se former Il devra suivre des formations orga nis es par des associations ou des soci t s agr es par le Conseil national de la formation c
8. Gradia Direct LoFlo DESCRIPTIF Nouveau concept de composite de restauration fluide photopolym risable RADIA DIRECT LOFLO G constitue le premier fluide consid r comme un vrai mat riau de restauration non seulement HU pour les classes V ou comme liner mais galement pour les restaurations de classes I IT et III Gr ce la nouvelle technologie HDR charges radio opaques densit lev e H Gradia Direct LoFlo est disponible LES PLUS PRODUIT pr polym ris es avec des nanoparticules en sept teintes pour se fondre Sms R sistance l usure et la fracture de silice pour augmenter de fa on dans la structure environnante significative la durabilit au niveau des composites post rieurs la polissabilit et la radio opacit GC FRANCE SAS modernes R traction inf rieure GC pr sente un nouveau concept 9 bis avenue du Bouton d Or 55 aux fluides actuels de composite fluide aux propri t s 94380 Bonneuil sur Marne du march Mouillabilit permettant physiques in gal es T l 01 49 80 37 91 une parfaite adaptabilit sans couler JSOP n 3 mars 2007 41 Comme 3 ooo confr res au club tr s ferm de la Pour devenez membre de la SOP et b n ficiez de exclusives Une remise de pour chaque journ e de formation de la SOP Une journ e de formation par an pour la somme de r serv e aux membres jour de leur cotisatio
9. Meyer Fitoussi Directeur de la publication Philippe Chalanset Comit ditorial Yvan Bismuth Dominique Martin Philippe Safar Bernard Schweitz Conception r alisation Texto ditions Maquette Carine Montaillier Photos G Mandel Ppp I7 1921r a S Nardo p3 Fotalia pp 3 10 DR pP 0e e 22 397 3 0100 0 Internet WWW SOp asso r Secr tariat secr tariat sop asso fr Pr sidence pr sident sop asso fr ISSN 1285 3933 R gie publicitaire Philippe Chalanset La Ngampis Six 0142092913 ngampis six sop asso fr Impression ACTIS Marc Roch Tact et d mesure Les f tes de fin d ann e ont vu chacun d entre nous sacrifier au rite de l change des cadeaux Qu il vienne de ou qu il s adresse ses enfants son conjoint ses amis et ses relations professionnelles le cadeau a en commun de participer au lien social Il peut tre de circonstance mais il peut tre plus Car le cadeau constitue une forme de communication non verbale qui r sulte d un choix et suppose d licatesse tact et juste mesure Dans ce cas il aide resserrer le lien puisque en traduisant un go t commun une complicit il donne une image de soi et refl te celle que l on a de l autre A contrario mal choisi il peut g n rer d ception d sillusion voire incompr hension Pour parer ces inconv nients il a fallu inventer la lettre adress e au P re No l pour les enfants la liste de mariage pour les
10. NICE La SOP Nice pr venir et g rer les checs dans quatre disciplines Le 9 juin prochain dans le cadre des Journ es de Nice la s ance de la SOP sera consacr e aux checs en odontologie restauratrice en proth se conjointe en endodontie et en proth se adjointe compl te ES 17 JOURN ES DENTAIRES DE NICE se tiendront du 6 au 9 juin prochain Au cours de la traditionnelle s ance de la SOP qui aura lieu le samedi 9 juin 9 heures quatre conf renciers interviendront sur le th me de la Gestion des checs en pratique quotidienne Il s agira partir de situations cliniques concr tes d identifier les moyens les plus efficaces pour rem dier aux complications afin d viter qu elles ne se transforment en checs Le programme des quatre conf rences Nicolas Lehmann montrera que en odontologie restau ratrice les checs les plus fr quents dans la r alisation d une restauration directe en composite sont les sensibi lit s postop ratoires dans le secteur post rieur et la cou leur de la restauration dans le secteur ant rieur Concer nant les sensibilit s postop ratoires Nicolas Lehmann abordera l origine les m canismes et les tiologies pou vant provoquer ces sympt mes Seront abord s l int r t des agents d sensibilisants et les attitudes th rapeutiques adopter face ces sensibilit s Concernant les checs esth tiques des restaurations ant rieures l encore l ob jectif consister
11. il faut savoir consacrer du temps afin d en per dre le moins possible au final participez la journ e SOP et mettez D Philippe De Jaegher Organisation des soins aati D Nicolas Lehmann Dentisterie restauratrice S application D Jacob Amor Endodontie votre formation D Bernard Schweitz Parodontologie d s le lendemain D ric Hazan Proth se fix e dans votre cabinet T e dh S P Q Z Vi EN SAVOIR PLUS SUR LA GESTION DU TEMPS Eemer LIRE NOTRE DOSSIER DANS LE JSOP N 1 2007 SES RULCETLN E E lt ire GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMIS PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES H TEL 17 BD SAINT JACQUES 14 retourner accompagn de votre r glement la SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 Toutes les formations en ZOO TARIF SPECIAL HOTEL AN OS PDO EEN 145 A ee a en Offre r serv e aux participants 145 euros been do nr EE du 21 au 22 mars 2007 MOSS ses sssmnnna encres ATOS EE au Rive Gauche Saint Jacques H tel nombre de chambres limit Tarifs Contact service R servation pr ciser journ e SOP T l 01 40 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Inscription membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 JSOP0307 Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction Tou LI Non L SNCF L Air France 17 JOURN ES DE
12. oo rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rs rm rm rm rm rm rm rm rs rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm rm oo rm rm rm rm rm rm rm rm rm rs rm oo E rn En rm Em rn En rn wm 35 r ponses pour une pratique implantaire simple et sereine La SOP organise le 14 juin prochain une journ e ax e autour des r ponses 35 questions essentielles pr alables une pratique fiable de la chirurgie et de la proth se implantaires 24 ai S approprier en une journ e tous les fondamentaux de l implantologie QUESTIONS INCONTOURNABLES 35 r pon 3 D ses compl tes et imm diatement appli cables destin es donner les outils de la bonne pratique implantaire C est le concept qu a imagin la SOP pour sa journ e du 14 juin 2007 consacr e l implantologie En pratique une qui pe d intervenants va se succ der la tribune cha cun selon son domaine de comp tences pour d livrer une information pr cise appuy e par des cas cliniques concrets Le fil rouge de cette for mation Depuis l examen clinique jusqu aux trai tements implantaires chirurgical et proth tique et au suivi d livrer une formation la fois globale et d taill e sur l implantologie Le rythme des r ponses ces 35 questions sera videmment adapt la complexit des th mes abord s Pourquoi un mode op ratoire qui se d marque des formations classiques de la SOP habituelle ment anim es par un nombre limit de conf ren JSOP n
13. ou lec tronique Les Jocalisateurs d apex de troisi me g n ration sont tous multi fr quences et peu sensibles au milieu Attention toutefois ne pas cr er un shunt lectrique qui provoquerait irr m diablement l apparition d un faux positif Le Root ZX Morita reste lap pareil de r f rence Cette longueur est valid e par un clich per op ratoire instrument ou c ne de gutta en place 3 Chaque mergence canalaire doit tre visible en vue directe 4 et 5 Deux incidences sont n cessaires pour objectiver cette fracture du tiers apical d une incisive chez un adolescent de 13 ans LES TECHNIQUES D OBTURATION Le mat riau d obturation doit tre compactable biocompatible stable dans le temps radio opaque et exempt de m dicament La technique de choix l utilisation de gutta percha compac t e chaud et l utilisation de ciment base d eug nate comme le Pulp Ca nal Sealer Kerr Le compactage est facilit par l utilisation de sonde chauf fante type System B ou Touch n Heat SybronEndo Des syst mes avec tuteur sont galement disponibles comme le Thermafil Dentsply ainsi que des dis tributeurs de gutta chaude comme le syst me Obtura Des pointes de papier st riles ainsi que des c nes gutta cali br s diff rentes conicit s facilitent le contr le final et l ajustage Dentsply PR SERVER LES ACQUIS DU TRAITEMENT Afin de pr server les acquis d
14. pour d velopper votre activit en vous appuyant sur une m thode stimulante qui fait ses preuves Nobel Pour toute information concernant le coaching Bi 8 loCcare contactez un conseiller du service Formation au 01 53 33 89 10 Nobel Biocare France 80 avenue des Terroirs de France 75607 Paris cedex 12 T l 01 53 33 89 10 Fax 01 53 33 89 33 PRATIOUE GESTES D URGENCE Urgence r animation g rer le stress et r agir aux situations graves En th orie le praticien sait r agir une situation d urgence En pratique mieux vaut en avoir fait l apprentissage sous la forme de mises en situation proches de la r alit Un patient au fauteuil est frap p d un malaise vagal d une hypoglyc mie d un choc aller gique ou plus grave d une d faillance respiratoire ou cardio circulatoire Comment r agir efficacement au cabinet den taire face cette situation d ur gence m dicale pouvant s av rer grave et parfois lourde de cons quences pour le patient Comment pr venir une d tres se vitale ou maintenir une situa tion en attendant une r ponse m dicalis e Tout chirurgien dentiste qui a d j t confron t de telles circonstances sait le stress qu elles g n rent Ma triser ce stress analyser ra pidement la situation et r a gir de fa on adapt e sont les trois l ments essentiels de la bonne prise en charge d une urgence m dicale au cabinet dentaire
15. 00 18h00 sans interruption LES DELAIS 4 jours ouvr s gt Bon Cadeau Anniversaire 100 OFFERTS Je suis nouveau client Protilab et je souhaite b n ficier des 100 de r duction sur mes commandes pass es en Mars Pr NOM cc Code Postal fn er D coupez ce bon et joignez le une de vos commandes de Mars em wh ACTIONS SICA A australie MACSF pargne retraite Soci t Anonyme au capital de 58 737 408 e Entreprise r gie par le code des assurances 10 cours du Triangle de l Arche TSA 40100 42919 LA D FENSE CEDEX 403071 095 ACS NANTERRE SIREN n 77565569 MLULT FAO 7008 Simplicit de fonctionnement s curit du support en euros fiscalit de l assurance vie le RES MULTISUPPORT assurance groupe souscrite par AMAP a toutes les qualit s du RES son illustre pr d cesseur poss de de plus un atout qui fait toute sa force il vous laisse libre selon vos objectifs d investir une partie de votre pargne dans des fonds plus dynamiques notamment immobiliers ou actions Alors si vous souhaitez un placement qui A paranema s curit et recherche de performance appelez nous au PERTE www macsf fr
16. I RE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT 25 novembre 2004 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 23 f vrier 2006 Pour une information compl te consulter le dictionnaire VIDAL EXPLOITANT Laboratoire KREUSSLER PHARMA 18 avenue Parmentier 75011 PARIS Fax 01 43 70 21 06 a q 5 S H S C3 D L 1450 adresses de fournisseurs 2500 marques de produits 3500 produits r f renc s 2006 Ss 5380 adresses de laboratoires de proth se ANNUAIR 1 E 36500 coordonn es de chirurgiens dentistes ou stomatologues D E T A 600 associations syndicats organismes officiels B7 EDITION PRATICIENS wm LABORATOIRES DE FAROTM SE DENTAIRE MATERIEL PRODUITS ET SERVICES ORGANISMES PROFESSIONNELS IRNTERHET i waer 5HRHUSIDEDERNTAIRE AE Dr Les produits et services r pertoire alphab tique des fabricants distributeurs et soci t s de services classement par rubriques fournitures pour cabinets dentaires mat riels et quipements pour cabinets dentaires fournitures pour laboratoires de proth ses mat riels et quipements pour laboratoires de proth ses services distribution et service apr s vente Les laboratoires de proth se sp cialit s en proth ses dentaires r pertoire g ographique classement par d partement La documentation officielle MS organisation de la profession dentaire r pertoire alphab tique des praticiens ge LE Les chirurgiens dentistes r pertoire g ographique par d par
17. N 3 Mars 2007 SOCIETE ODONTOLOGIQUE DE PARIS Le journal de la LA FORMATION CONTINUE OMNIPRATIQUE Amplantologie Pourquoi faire Geptong guana on peut faire SCH Ka Derniers jours ad action Travaux pratiques pour s inscrire fer ai Je Jer udi 24 mai Quick Post POUR TRAVAILLER VITE ET BIEN N HR A 3 D i FR AD MATE ONLINE Maer USN y E L E WO EE 0140 wt cauenace er Jauge de calibrage Permet en cas de m lange de trier les Pivomatic Autoclave 135 Poupinel 180 R assort st rilisable pivots PINCE A LINGE R assort st rilisable forets TOUCHE PIANO 22 les Best Of N de Pivomatic les 4 tailles 9 4 W les plus utilis es II XXL Quick Post PIVOMATIC POUR TRAVAILLER VITE ET BIEN Des forets ultra performants dans un coffret st rilisable d une ergonomie in gal e ce jour AL SOIR DRILLER 1 20 BAGUE BLANCHE POINTE TRAVAILLANTE e il r alise en un seul temps la longueur du logement du Pivomatic et sa forme cylindro conique e il apporte une douceur et un confort de travail exceptionnel grace l absence de vibration e il ne chauffe pas e il a une long vit accrue de 100 GATES 0 70 BAGUE VIOLETTE e il facilite le passage de l Al soir Driller oe 1 20 bague blanche en pr parant le canal ou 0 70 e a une souplesse et une efficacit re
18. N DE VOTRE CABINET CNQAOS Centre National de Formation des Assistants en Odonto stomatologie 98 100 Chemin des Bourdons 93221 GAGNY CEDEX T l 01 41 53 53 53 Fax 01 41 53 89 93 infos cnqaos wanadoo fr www cnqaos asso fr Passez de la th orie aux travaux pratiques EXCLUSIF MACSF 14 travaux pratiques la carte pour vous perfectionner Au sein de chaque TP des groupes de 5 10 praticiens anim s par une quipe d enseignants Une formation compl te pour vous conduire au geste juste e ak 24 mai 2007 DS PRES EE EEE TR RE DEUN SCRI PETRON TI TRAVAUX PRATIQUES UTP 8 e Urgence r animation LI e Syst me ProTaper Responsable scientifique Th r se Arvis Responsables scientifiques Pierre Machtou TP 9 e Plan de traitement pluridisciplinaire Dominique Martin Responsables scientifiques ric Hazan LITP2 e Blanchiment et pose de digue Eric Serfaty Responsables scientifiques Jean Jacques Louis L TP 10 e Orth ses mandibulaires i NOUVEAUTE Richard Kaleka dans les ronflements et SAOS CHD LITP3 e Parodontie Responsable scientifique Fr d ric Chabolle Responsable scientifique Bernard Schweitz C1 TP 1 Occlusodontie ITP 4 Composites post rieurs et ant rieurs Responsables scientifiques Bernard Fleiter m thode directe NOUVELLE Dominique Estrade Responsable scientifique Gr goire Kuhn LI TP 12 Proth ses fix es T e dh S P e Z Vi LITP5 Facettes de c ramique coll e
19. NNEES ACQUISES Les choix th rapeutiques doivent s ins crire dans le cadre des donn es m di cales av r es selon la terminologie de la loi Kouchner du 4 mars 2002 On comprend ais ment que les praticiens auront int r t utiliser des moyens th rapeutiques ayant fait leurs preu ves et d viter tout traitement obso l te marginal ou d avant garde n ayant fait l objet d aucune tude clinique ou de publication scientifique RW JSOP n 3 mars 2007 37 Les rendez vous de la formation continue odontologique Dans un contexte o en France 80 des traitements sont inad quats dresser un tat des acquis en mati re de pronostic et de traitement se r v le incontournable 38 L identification de la dent causale re pose sur des gestes simples palpation percussion mobilisation et sondage Les tests au chaud et au froid permettent de juger de la vitalit pulpaire L utilisa tion du Vitality Scanner SybronEndo permet d attester de la n crose pul paire La radiographie reste l examen compl mentaire de choix Qu elle soit argentique ou num rique elle est r a lis e l aide d angulateurs Deux cli ch s pr op ratoires au minimum et d angulations diff rentes sont requis l endodontie est un geste chirurgical l asepsie doit tre consid r e comme le pivot du succ s en endodontie d une part et comme une cha ne qui ne peut 1 Le respect des objectifs d
20. TP organis par la SOP a pour ambition de r pon valuez vous e Avez vous actuellement au cabinet des situations cliniques complexes que vous ne savez pas comment aborder Comment et dans quel ordre devront se r aliser les tapes cliniques e Les attentes du patient vous semblent elles irr alistes ou irr alisables Inscrivez vous L optimisation des r sultats th rapeutiques pTI mps et la rationalisation de la cha ne de soins passent d abord par un diagnostic rigoureux dre cette question Gr ce la pr sentation de cas clini ques les participants r fl chiront diff rentes propo sitions de plans de traitement La pr sence de confr res sp cialis s dans plusieurs disci plines permettra de comparer les propositions et de susciter la r flexion des participants sur les implications de telle ou telle discipline dans l la boration du plan global Deuxi me l ment la com munication avec le patient et le consentement clair Au del des r gles juridiques il s agit de mesurer l importan ce dune bonne information du patient avant le traitement planifi Dernier th me voqu la no tion de travail en quipe Il est en effet d terminant de disposer d une v ritable ap proche globale pour optimi ser les r sultats th rapeuti ques et ventuellement d une quipe de soins compos e de sp cialistes de diff rentes disciplines en l
21. W WWW PE fr Sc RESPONSABILIT Ce que doit contenir le dossier m dical Outre son int r t vident d un point de vue th rapeutique le dossier m dical constitue un l ment de preuve essentiel dans le cas o la responsabilit professionnelle du praticien est recherch e UTIL D INFORMATION entre les professionnels de sant le dossier m dical est galement un support de communication des informations m dicales au patient Le praticien doit apporter au patient une information claire loyale et appropri e La communication entre le professionnel et le patient tout au long des soins sera facilit e par un dossier m dical clair et bien tenu Son support peut tre papier ou informatique Le profession nel de sant est le d positaire de ces informations Elles sont conserv es sous sa responsabilit LA COMMUNICATION DU DOSSIER En vertu de la loi du 4 mars 2002 toute personne peut acc der aux informations m dicales qui la concernent 7 Le pra ticien ne peut donc se soustraire une demande de commu nication du dossier m dical manant d un patient celui ci ayant un acc s direct son dossier m dical sans l interm diaire d un m decin comme le pr voyaient les textes pr c dents Le praticien est tenu de r pondre la demande du patient dans un d lai de 48 heures huit jours ce d lai pouvant tre port deux mois lorsque les informations datent de plus de cinq ans Le dos
22. a comprendre pourquoi l chec est sur venu et d finir l attitude th rapeutique adopter Daniel Dot tablira que la chasse aux checs en pro th se fix e consiste obtenir durablement et syst mati quement l int gration biologique fonctionnelle et esth tique de restaurations proth tiques r pondant la demande du patient Elle consiste galement pour des indications pr cises dans la possibilit de prolonger la long vit des restaurations existantes au moyen de compromis accepta bles en termes de b n fice risque Daniel Dot pr sentera les cueils majeurs jalonnant les tapes cliniques de la th rapeutique proth tique fix e et d taillera les moyens de les identifier de les viter ou de les contourner Dominique Martin mettra en vidence que l chec endo dontique se concr tise par l apparition d une l sion in flammatoire parodontale d origine endodontique LIPOE qui est associ e la contamination bact rienne du sys t me canalaire Un chec est li soit une contamination bact rienne de l endodonte lors d un traitement initial soit la persistance d une infection canalaire lors du trai tement d une dent infect e Or pour se d velopper les La traditionnelle s ance de la SOP Nice portera sur la pr vention et la gestion des checs bact ries ont besoin d un espace et d un substrat Lobjec tif du traitement consiste nettoyer et obturer l
23. a l obser vation clinique doit tre compl te Deux aspects retiendront plus parti culi rement notre attention dans la mise en vidence des facteurs de ris que l examen de l occlusion et celui du parodonte JSOP n 3 mars 2007 LES FACTEURS DE RISQUE Les risques occlusaux sont le bruxis me les parafonctions l absence d une occlusion en intercuspidie maximale OIM stable l absence de guidance ant rieure en diduction et en pro pulsion un probl me d ordre pro prioceptif du fait de labsence des dents post rieures le patient n est pas renseign sur sa position man dibulaire un plan d occlusion per turb un ventuel d calage lat ral imm diat en l absence de contact ca nin en OIM Les risques parodontaux et esth ti ques sont li s un sourire gingival et un biotype parodontal fin Ce sera l in dication d une situation supragingiva le des limites cervicales et de utilisa tion de couronnes c ramo c ramiques en fonction de l exigence esth tique du patient Il faut objectiver les d fauts d alignement des collets et appr hen der la difficult reconstituer des pa pilles interdentaires surtout au niveau des interm diaires de bridge dans le secteur ant rieur et savoir d embl e informer des solutions de chirurgie plastique parodontale greffes gingi vales greffe osseuse en onlay que certains patients acceptent Les risques parodontaux sont aussi li s l environn
24. ance les mat riaux composites et les adh sifs ac tuels permettent de r aliser en technique directe des restau rations tanches fiables et es th tiques dans un grand nom bre de situations cliniques Mais lorsque le volume de la cavit est important ou lors que plusieurs dents sont attein tes dans un m me secteur il est pr f rable de recourir une technique indirecte en faisant appel au laboratoire La m thode indirecte est indi qu e pour les cavit s volumi neuses occluso proximales dont le diam tre est sup rieur la moiti de la largeur ves 4 valuez vous tibulo linguale ou MOD Le praticien devra prendre en consid ration les normes mor phologiques de ces cavit s parois axiales de d pouille 10 plancher pulpaire plat ou arrondi cavit principale d une profondeur de 1 5 mm 2 mm soit la largeur de deux frai ses inlay isthme large de 2 mm au minimum finition cervicale cong etc La cuisson au four du compo site am liore les performances m caniques du mat riau uti lis sous forme d inlay onlay pour r tablir la fonction et es th tique Le praticien devra donc conna tre les causes d chec et les solutions clini ques qui permettent d viter e Une cavit distale d une pr molaire maxillaire s tendant sur un tiers du volume m sio distal constitue t elle l indication d une technique directe ou indirecte e L isthme d une cavit pour inlay ne do
25. ations des fonctions respiratoires et cardio vasculaires Dans un deuxi me temps un apprentissage individuel sur mannequin aura pour objec tif d initier les participants aux techniques l mentaires de r animation et aux gestes de survie comme l assistance respiratoire ou le massage car diaque externe Par ailleurs la mise disposi tion de mat riel d urgence d oxyg noth rapie de d fi brillation cardiaque ou sim plement d une trousse d ur gence m dicale au contenu adapt notre exercice per mettra aux participants den ma triser l utilisation Une uti lisation qui faut il le rappeler peut tre d cisive Ce TP r solument interactif a pour ambition de transmet tre aux participants les gestes les m thodes et les compor tements appropri s quelle que soit l urgence m dicale et de les doter des armes pour mieux ma triser leur stress dans une telle situation Il s agit galement de r pon dre l obligation juridique pour tout citoyen de porter secours une personne en d tresse obligation que des textes r cents ont renforc e pour tous les professionnels de sant RW TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 3 mars 2007 21 Peu de choses e utilisent aussi simplement G BOND rapidement que le G BOND amp GC L ASSISTANTE DENTAIRE JOUE UN R AU SEI
26. d l obligation de se former rejoint l in t r t des praticiens et de leurs patients JSOP n 3 mars 2007 dossier 27 dossier Interview Une approche globale des protocoles valid s par les r gles de l art he Patrick Missika responsable scientifique de la journ e 35 questions r ponses en implantologie quel public s adresse la jour n e de la SOP 35 questions r ponses en implantologie La SOP veut s adresser deux ca t gories d omnipraticiens et en premier lieu ceux qui n ont pas suivi de formation initiale en implantologie mais qui sou haitent la proposer en tant que choix th rapeutique leurs patients L autre public est constitu de confr res qui ont d j suivi des formations sp cifiques sur les faux moignons le transfert d empreinte etc mais qui sont demandeurs d une appro che globale proposant des pro tocoles s rs valid s par les r gles de l art Nous voulons en effet rendre la pratique implantaire accessible qu il s agisse de proth se ou de valuez vous e Combien d implants sont ils n cessaires la r alisation d un bridge sur pilotis la mandibule e Quelle est la diff rence entre la mise en place d implants en un temps et la mise en charge imm diate e Peut on solidariser des piliers sur dents naturelles avec des piliers implantaires 28 gt Inscrivez vous
27. d hui n est et ne sera jamais celui de demain de m me que l ancien ne signifie pas d pass On verra dans la synth se des quatre conf rences JSOP n 3 mars 2007 tenues lors de cette s ance l ADF que bon nombre de techniques anciennes continuent faire la preuve de leur efficacit Elles demeurent donc des acquis l inverse si certains produits ou certaines techniques apportent une r elle avanc e pour les praticiens et leurs patients d autres ne r sistent pas l preuve du temps W Ce compte rendu de la s ance de la SOP l ADF coordonn par Marc Roch a t r alis avec le concours de Dominique Martin et de Bernard Schweitz 31 PHILIPPE MONS N GO MCU PH UFR d odontologie Paris 7 Proth se fix e les conditions du meilleur rapport co t efficacit s curit Le traitement propos au patient doit tenir compte de ses attentes r elles et viter le double cueil du surtraitement et du sous traitement Une synth se de l intervention de Philippe Mons n go sur les facteurs de risque et les indications th rapeutiques en 2007 9 OBSERVATION CLINIQUE doit s atta cher mettre en vidence les at tentes r elles du patient afin de pro poser un traitement qui le satisfasse tout en vitant deux cueils le sur traitement et le sous traitement L objectif un meilleur rapport co t efficacit s curit Pour cel
28. e en col laboration avec son comit scientifique lire encadr ci contre les organismes de formation continue caract re lucratif ou non Notons que ind pendamment de son JSOP n 3 mars 2007 Pour la premi re p riode de cinq ans les praticiens doivent conserver les attestations des cr dits obtenus depuis le 2 juin 2006 Le CNFCO s est adjoint un comit scientifique compos de six experts en mati re de formation continue et dot d un r le de proposition Ce comit scientifique a d fini le cahier des charges auquel tout organisme de formation continue et ou toute formation doivent r pondre afin de se voir d livrer l agr ment du CNFCO Ce cahier des charges prend essentiellement en compte les crit res suivants e la qualit scientifique et p dagogique des programmes propos s e leur conformit aux r f rentiels et aux bonnes pratiques e la transparence des financements e l engagement relatif l absence de toute promotion d un produit Le comit scientifique tudie les demandes d agr ment des organismes de formation et soumet au CA les dossiers retenus ce jour plus de 250 associations ou soci t s ont d pos une demande d agr ment 160 d entre elles environ l ont recu Dans les prochaines semaines le comit scientifique continuera tudier les nouvelles demandes d agr ment d associations ou de soci t s et terminera ses propositions de tableaux d agr ment des formatio
29. e Schilder est essentiel pour le nettoyage du syst me candalaire et l ajustage des c nes de gutta 2 Le compactage vertical de gutta chaude permet une obturation tridimensionnelle du syst me candlaire JSOP n 3 mars 2007 tre bris e d autre part Toute dent qui doit subir un traitement endo dontique doit pr alablement tre mi se en condition l viction des l sions carieuses doit tre compl te et tou tes les obturations anciennes limi n es La dent trait e est reconstitu e avec un mat riau plastique prise rapide de type CVI par exemple afin que la cavit d acc s endodontique soit une cavit de classe I Elle sert de r servoir et ses parois constituent des rep res afin de d terminer pr cis ment la ou les longueurs de travail Cette tape incontournable facilite la pose de la digue accessoire indispen sable l isolation de la dent et sa d sinfection La solution d irrigation est l hypochlorite pour ses propri t s antiseptiques et son pouvoir de sol vant organique Les instruments uti lis s sont propres emball s et st rili s s en autoclave de classe B Une fois l isolation de la dent assur e la cavit d acc s est r alis e Les kits de type Cavity Access Set Dentsply sont compos s de fraises transm tal Endo Z boules long col et X Gates L utilisation d aide optique d un gros sissement minimum de 3 5 est indis pensable sa r alisation La ca
30. e plus compl tement possible l espace canalaire et isoler les bact ries r siduelles du substrat que repr sentent les flui des p riapicaux l obstacle majeur l anatomie complexe du syst me canalaire et la difficult technique que repr sente l acc s l ensemble des parois canalaires Une dif ficult source d erreurs op ratoires qui associ es la contamination bact rienne imm diate ou diff r e abou tissent l chec Jo l Dubreuil attestera que du point de vue du patient l chec en proth se adjointe totale se mat rialise par une ou plusieurs dol ances non satisfaites Celles ci ont tou jours pour origine soit une mauvaise valuation des atten tes du patient soit des imperfections et impr cisions cumul es durant les diff rentes tapes de la r alisation proth tique Mais cette proth se d usage peut voluer dans la grande majorit des situations cliniques il est pos sible de transformer un chec relatif en r ussite Encore convient il d valuer pr cis ment les probl mes et de leur apporter les meilleures solutions en vitant den g n rer d autres l instabilit les blessures et les d ficits fonction nels seront analys s afin de d jouer les pi ges I 175 Journ es dentaires de Nice Sous la pr sidence de Michel Burdin et sous la pr sidence scientifique de Guy Michel Kadouch CMIOM 28 bd Raimbaldi 06000 Nice 04 93 13 03 21 Www jdn congres info 10 JSOP n
31. ement biologique des proth ses le contr le de la plaque bact rienne est il bon Quelle est la motivation du patient Va t on par venir diminuer la charge bact rien ne Le patient est il fumeur Son r gime alimentaire est il tr s sucr ou tr s acide UN ARSENAL THERAPEUTIQUE ETENDU Nous disposons d un large arsenal th rapeutique mais les pr parations de recouvrement partiel de type onlays 4 5 trouvent toujours des indi cations en tant que moyen d ancrage de bridge et les implants ne consti tuent qu une extension des possibi lit s th rapeutiques mises la dis position des patients Les grands principes des pr parations sont bien d finis La r tention est li e la convergence des faces axiales des pr parations L id al une conver gence de l ordre de 7 8 qui peut aller jusqu 20 Au del il faut ajou ter des artifices de r tention de ty pe box cannelure rainure Les diff rentes tudes ont montr que les praticiens donnent une convergence moyenne d environ 22 23 Leurs pr parations sont en g n ral plus convergentes la mandibule qu au maxillaire dans les secteurs post rieurs que dans le secteur ant rieur sur les faces vestibulaires que sur les autres faces dans les cas de proth ses plurales que dans les cas de pro th ses unitaires La hauteur des pr parations doit tre au minimum de 4 mm 5 mm pour les dents post rieures 3 mm suff
32. es l ments concernant le traitement propos son co t pr cis et global et les traitements alter natifs possibles dans son cas le pa tient est en mesure de donner son consentement clair II est haute ment souhaitable de formaliser ce consentement par un document sign par le patient LE SCANNER EXAMEN OBLIGATOIRE Une question se pose souvent l ex pert le scanner est il un examen obli gatoire dans le traitement implan taire Il mest pas obligatoire dans toutes les situations o le praticien peut valuer le volume osseux dispo nible et les organes anatomiques prot ger par d autres examens En re vanche toute intervention sur une zone risque par exemple au dessus du nerf dentaire inf rieur n cessite la prescription d un scanner dans le cadre de l obligation de moyens car le risque de l sion irr versible est majeur LA QUESTION DU DEVIS ET DU DELAI DE REFLEXION Beaucoup de praticiens h sitent pro poser leurs patients un devis crit et plus encore le faire signer Pour tant le devis est une obligation in contournable d finie dans la conven tion avec les caisses d assurance maladie pour tout acte inscrit la nomencla ture mais faisant l objet d un d pas sement d honoraires Les magistrats consid rent qu un d lai de deux se maines apr s acceptation du devis est raisonnable sauf situation d urgence bien entendu QUELLE TH RAPEUTIQUE CONFORME AUX DO
33. es nouvelles obligations l gales ACTEON GROUP 6 Endodontie les acquis en 2007 dans une discipline ES S a encore mal ma tris e AMPLI encart EE LE CLUB DES PARTENAIRES p 41 BISICO FRANCE p o8 CNQAOS p 22 COLT NE LE CLUB DES PARTENAIRES WHALEDENT FRANCE p 18 DEGR K p 13 DENTSPLY FRANCE p 14 DITIONS DE CHABASSOL p 30 GC FRANCE p 22 KREUSSLER PHARMA p 30 MACSF D 44 MC CLAY p 02 NOBEL BIOCARE FRANCE p 20 PROCTER amp GAMBLE FRANCE p 16 PROTILAB D 43 SUNSTAR M DICADENT PHARMADENT p 40 Silicone power Pr cision e Rapidite e Ergonomie Hydrocompatibilite optimis e ER S g L e SS A e P TD c d A we be CERTIFICA ir L e E Og K PIERRE ROLLAN v d 5 SGS egw 0 800 30 01 29 ACTEON Pharma EC ee Ak si P 2 d f LT Produits Dentaires Pierre Rolland e 17 av Gustave Eiffel e BP 30216 33708 MERIGNAC cedex FRANCE e Tel 33 0 556 34 06 07 e Fax 33 0 556 34 92 92 E mail pierre rolland act ongroup com e WWW acteongroup com Y Fr e by eme d We G kel N 3 mars 2007 3 Va E Di AImplantologie Sa pourquoi faire complique quand on peut faire simple F EE AZ a Soci t odontologique de Paris 6 rue Jean Hugues ONG Fans T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 Tirage et diffusion 40 000 exemplaires Abonnement 1 an 10 num ros 10 euros Prix au num ro 1 55 euro R dacteurs en chef Marc Roch
34. esquels le praticien a confiance et qu il pourra associer au plan de traitement Les participants de cette s an ce interactive enrichiront leur r flexion autant sur les as pects th oriques de la cons truction du plan de traitement que sur leur mise en uvre concr te au quotidien du ca binet En fin de journ e les participants munis de radios photos ou moulages pour ront changer autour de cas cliniques personnels W TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 3 mars 2007 17 LE COMPOSITE INTELLIGENT R traction faible gr ce aux nouvelles charges pr polym ris es Simplicit 6 masses dentines Esth tique 2 teintes email Manipulation agr able Opalescence et fluorescence in gal es Pr visibilit gr ce au teintier unique en composite Colt ne Whaledent Sarl 19 boulevard Alexandre Oyon F 72058 LE MANS Cedex 02 T l 02 43 39 30 30 Fax 02 43 39 30 40 e mail cw coltenewhaledent fr Xe el e Ta HS EV O S ew Q EVY unuaq White Bleach colt enesr whaledent p PRATIOUE DENTISTERIE RESTAURATRICE Savolr recourir aux composites post rieurs en m thode indirecte La technique indirecte s impose lorsque le volume de la cavit est important De la microcavit jusqu la perte de substance de moyen ne import
35. f Implant Innovations Inc a Biomet Company BIOMET Ar and design is a trademark and BIOMET is a registered trademark of BIOMET Inc 2007 Implant Innovations Inc All rights reserved X de lautruche L implantologie Connais pas C est oublier que nos patients sont tr s bien inform s Par la presse et par le bouche oreille Ainsi les patients connaissent tous quelqu un qui l on a pos des im plants Ils sont galement inform s par leur mutuelle et ce de plus en plus syst matiquement Les r gimes compl mentaires sont en effet nom breux proposer des forfaits implantologie D autres chirurgiens dentistes plus nombreux objectent deux argu ments qu ils jugent d finitifs a co te cher c est compliqu In Un discours auquel il convient d oppo ser des r ponses rationnelles 95 DE R USSITES En premier lieu pour tre convain cant il faut tre convaincu Lors que l on explique un patient le b n fice qu il pourra tirer des implants en termes de fiabilit de p rennit du traitement de confort de pr servation des dents saines ou du capital osseux rares sont ceux qui refusent le traitement quitte en pr voir le financement Certes les r habilitations compl tes entra nent des co ts lev s Mais le rem placement d une dent unitaire est financi rement comparable la r alisation d un bridge De surcro t la stabilisation d une prot
36. faire par un pith lium qui migre le long de la racine e Les membranes Gore Tex non r sorbables ont t peu peu aban donn es en raison de leur faible pr visibilit Les membranes r sor bables montrent un taux d exposi tion moins lev mais restent diffi ciles manipuler e Les prot ines d riv es de la matrice am laire Emdogain restent le produit de r g n ration le plus uti lis actuellement associ ou non un mat riau de comblement pour soutenir les tissus Pour la reconstruction de tissus mous la greffe pith lio conjonctive reste toujours utilis e dans certaines indi cations mais les notions actuelles de chirurgie plastique parodontale qui privil gient l esth tique et le volume tissulaire plut t que la pr sence de tissu k ratinis ont fait peu peu s orienter les cliniciens vers les gref fes de tissu conjonctif enfoui I JSOP n 3 mars 2007 35 L essentiel de la s ance de la SOP l ADF Les acquis 23 novembre 2006 PATRICK MISSIKA MCU PH UFR d odontologie Paris 7 L implantologie l heure des nouvelles obligations l gales La loi Kouchner associ e une jurisprudence r cente a cr de nouvelles obligations Reste que des incertitudes demeurent propos notamment des choix th rapeutiques et de leur conformit aux donn es acquises de la science LES FONDAMENTAUX DE L IMPLANTOLOGIE Le traitement implantaire est es
37. faire remplir et signer par le patient sous le contr le du praticien les pathologies existantes les traitements suivis les probl mes rencontr s les allergies la consommation d alcool et de tabac Les alertes m dicales doivent toujours tre visibles e L historique bucco dentaire Il fait appara tre l tat initial bucco dentaire du patient l ensemble des traitements et travaux r alis s les sympt mes observ s et d crits les motifs de la consultation Il est souhaitable de noter clairement les informations et recommandations donn es au patient Les autres documents Les radiographies obligatoirement dat es et identifi es les doubles des devis et des plans de traitement dat s et sign s par le patient les analyses biologiques class es par ordre chronologique les courriers chang s entre professionnels de sant les mod les d tude identifi s dat s et archiv s JSOP n 3 mars 2007 e Le cas particulier des donn es comptables et des notes personnelles La Haute Autorit de sant HAS anciennement l Agence nationale d accr ditation et d valuation en sant ANAES recommande la s paration des donn es comptables des donn es m dicales Il est pr f rable d en faire de m me pour les notes personnelles e La conservation des donn es la loi du 4 mars 2002 d finit la dur e de prescription de l action en responsabilit civile et administrative dix ans
38. h se adjointe compl te mandibulaire par deux boutons pression appara t tout fait abordable Reste l argument de la suppos e complexit Concr tement si la chirurgie implantaire constitue aux yeux de certains un acte qui d passe leur champ de comp ten ces la r alisation proth tique est souvent plus simple que la pro th se dite conventionnelle Qu on en juge pas de pr paration pas de mise en uvre d une techni que d acc s aux lignes de finition trois tapes cliniques seulement dans la r alisation d une cou ronne scell e sur un faux moi gnon viss dans l implant Les taux de succ s rapport s dans la litt rature s l vent 95 Quelle discipline peut ac tuellement afficher de tels r sul tats Ils viennent confirmer le bien fond de cette technique dans notre arsenal th rapeutique M me s ils sont peu nombreux il convient videmment d voquer les checs Pour la plupart il s agit d checs pr coces l ost o int gra tion n a pas lieu l implant doit tre d pos Mais dans presque toutes ces situations la pose d un nouvel implant est possible et la construc tion proth tique finalis e Peut on dans ce cas parler v ritablement d checs du traitement implan taire Ils rel vent en r alit le plus souvent du domaine des compli cations transitoires Les checs esth tiques restent c est vrai les plus pr occupants Lexigence des patients p
39. i sent pour les dents ant rieures La morphologie circonf rentielle des dents a une incidence sur le niveau de r tentivit de la pr paration e Plus le diam tre vestibulo lingual d une molaire est important plus le risque de descellement est le v car le risque de bascule dans le sens transversal augmente Sur des dents larges il faut contrecarrer ce bras de bascule en faisant une rai nure verticale vestibulo occluso linguale e Pour les limites cervicales toutes les tudes ont montr que limpor tant n est pas la forme de la limite mais bien qu elle soit marqu e lisi ble et surtout continue L essentiel est que la forme de la limite laisse la place n cessaire aux mat riaux choisis m tal c ramique c ramo c ramique Seule la finition douce est exclue Id alement la situation des lignes de finition sera supragingivale ou juxta gingivale Les indications de la situa tion sous gingivale des pr parations se limitent la n cessit de recou vrir une perte de substance li e une l sion carieuse ou une fracture ou de masquer une dent dyschromi e Dans ces cas il faut toujours respec ter l espace biologique compris entre la cr te osseuse et le fond du sulcus et am nager si n cessaire par une chirurgie d longation coro no radiculaire Le non respect de l es pace biologique se paye par une migration de l attache ou la forma tion de poches parodontales W JSOP n 3 mar
40. ilat ralement l alternative th rapeutique conduisant d pulper ou pr parer des dents saines pour r aliser un bridge LA POLITIQUE DE L AUIRUCHE Face cette probl matique quelques rares praticiens adoptent la politique a 25 L Esth dique Implantaire c est Maintenant Implants Certain PREVAIL encore plus d options Le design traditionnel col largi XP et le nouveau col droit offrent plus d options chirurgicales Platform Switching int gr Aide la pr servation de l os crestal Surface Full OSSEOTITE pour accro tre le contact os implant Connexion Certain QuickSeaf un clic audible et tactile confirme assise du composant proth tique LUI Certain PREVAIL CHED A MEMBER OF THE OSSEOTITE IMPLANT FAMILY Pour toute information contactez votre Conseiller BIOMET 3i ou le Service Clients de BIOMET 3i France e 7 9 rue PV Couturier 92300 Levallois Perret Tel 01 41 05 43 43 Fax Commandes 01 41 05 43 40 marketingfrance 3implant com www i online com Barres usin es sur mesure CAM StructSURE Pr cision maximale CFAO CAD CAM Assise passive Une pi ce unique en alliage de titane R sistance sup rieure Pour des solutions fixes ou amovibles Compatible avec la majorit des syst mes implantaires ARCHITECH PSR MATE ES ARCHITECH PSR CAM StructSURE Certain OSSEOTITE PREVAIL and QuickSeat are registered trademarks and Platform Switching is a trademarks o
41. it pas d passer 1 mm de large vrai ou faux e Est il exact que l hybridation de la cavit r alis e avec un adh sif am lo dentinaire sert renforcer les propri t s m caniques e Comment polir rapidement un inlay apr s collage Inscrivez vous des complications postop ra toires mais galement ma tri ser tous les avantages et in conv nients des diff rentes colles des composites de col lage dual ou non et des ci ments de scellement Lambition du TP est de r pon dre ces l ments Toutes les tapes cliniques de r alisation d un inlay y seront d taill es e les principes de pr para tion choix d une forme de contour finition occlusale et proximale recouvrement cuspidien si n cessaire e la protection pulpaire et le fond de cavit int r t des ciments verres ionom res l hybridation qui assure l tanch it Les participants du TP de la SOP r aliseront des pr parations he e la r alisation provisoire e le collage de l inlay avec un adh sif am lo dentinaire et une colle composite e la r alisation d un inlay composite tape par tape Lors de la s ance les partici pants pourront r aliser sur dents en ivoirine mont es sur mod le en pl tre des pr parations pour un inlay proximo occlusal sur pr mo laire maxillaire puis pour un onlay avec recouvrement cuspidien sur une molaire maxillaire Ensuite ils r a liseront
42. l ge de l Ordre le coll ge de l Universit le coll ge des syndicats incluant le syndicat des chirurgiens dentistes salari s et enfin le coll ge repr sentant les organismes de formation continue En outre il compte en son sein quatre personnes qualifi es deux personnes qualifi es dans l valuation des pratiques une personne uvrant dans le domaine de la sant publique et un repr sentant des usagers Enfin deux repr sentants du ministre de la Sant si gent au CA avec une voix consultative Le bureau du CNFCO est form par les pr sidents des quatre coll ges Sa pr sidence est assur e par l un des repr sentants des quatre coll ges voqu s plus haut sur le principe d un mandat annuel tournant Quant aux 11 CIRFCO ils se composent chacun JSOP n 3 mars 2007 de dix membres d sign s pour cinq ans par le CNFCO en respectant comme pour le CA l quilibre des quatre coll ges On notera que les fonctions de membre du conseil d administration ou d un CIRFCO sont incompatibles avec celle de membre d une chambre disciplinaire de l Ordre Le CIRFCO si ge dans la r gion qui comporte le plus de chirurgiens dentistes inscrits au tableau de l Ordre Le pr fet de cette r gion ou son repr sentant assiste avec voix consultative aux s ances du conseil interr gional Le chirurgien dentiste devrait avoir suivi dans cette p riode quinquennale au moi
43. l information est r per cut e aupr s du conseil r gional de l Ordre dont il d pend Si l obligation de formation n est pas respect e par di e ni etching ni primer ni adh sif F es colle tous les substrats e nettoyage facile e paisseur id ale du film es relargage de fluor e radio opaque s utilisation Simple et rapide le chirurgien dentiste celui ci est invit se mettre en conformit avec cette obligation En cas de refus le conseil interr gional en informe le conseil r gional de l Ordre concern On rel vera que la SOP premi re soci t scientifique de formation continue en France est pr sente dans le CNFCO Des membres de son conseil d administration sont pr sents au sein du CA du CNFCO au sein du comit scientifique ainsi qu au sein des conseils interr gionaux Par ailleurs nombre de soci t s scientifiques membres de la FCL formation continue libre comme la SOP sont galement repr sent es FCO et formation continue conventionnelle Pour conclure il reste un probl me de fond r soudre avec la question pineuse de la formation continue conven tionnelle Cette derni re est elle obligatoire et fait elle partie int grante de la FCO Sera t elle limit e Tase d volu la vie professionnelle et ses contraintes Et enfin pourra t elle attribuer des cr dits lors de ses for mations De la r ponse ces questions d pendent en grande partie l efficience l ind pe
44. la protection pulpai re la couche hybride et lin lay provisoire Sur un second mod le ils colleront un inlay composite W pour inlay proximo occlusal sur pr molaire et pour onlay avec recouvrement cuspidien TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 24 mai 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 3 mars 2007 19 R ussir gr ce au Coaching b fi Step by Step Step by Step et Mentor Nobel Biocare le coaching clinique et chirurgical Vous souhaitez d marrer en implantologie ou int grer les concepts de traitement implantaire les plus r cents alors faites appel un Mentor Nobel Biocare Gr ce ses conseils et son soutien vous pourrez en peu de temps obtenir un r sultat esth tique optimal pour le b n fice de vos patients Outre les sessions de formation Step by Step le Mentor vous aidera exprimer pleinement votre potentiel Notre engagement un accompagnement et un suivi pratique vous tes encadr pendant votre formation et m me au del votre Mentor tant toujours votre coute la r alisation du traitement de votre premier cas patient vous gagnez en confiance et apprenez g rer un plan de traitement en toute s r nit une progression efficace et durable vous int grez rapidement des automatismes techniques et un savoir faire essentiels dans votre pratique quotidienne Vous n avez qu un pas faire
45. m CSL BUTLERS McCann Sant SUN Inst 07 LE Les formations du r seau Formation continue libre FCL EIl ALPHA OMEGA ADAFCOS SFBSI 13 rue de l H tel de Ville 26400 Crest Association de l Ain de formation Soci t fran aise de biomat riaux T l 04 75 25 07 78 continue en odonto stomatologie et syst mes implantaires Jeudi 19 avril2007 20h Maison dentaire de l Ain 79 rue Charles Duflos 92270 Bois Colombes Casino Le Lyon Vert Charbonni res 827 rue de la Source 01440 VIRIAT T l 01 47 85 65 12 e Diner de gala du Centenaire T l 04 74 45 31 37 Jeudi 19 vendredi 20 et samedi D BICHAO et WEISS Jeudi 8 mars 2007 8 h 30 21avril2007 degh 18h H tel Mercure Bourg en Bresse Bois Colombe e Traitement de l dent total e La proth se sur implants SO B H L des empreintes aux dol ances 2 partie Soci t odontologique du Bassin Comment viter les pi ges D Charles BELVEZE houiller lorrain de la proth se adjointe Jean Michel CLAUSS 17 rue du Schlossberg 57600 Forbach D Michel POMPIGNOLI Philippe GATEAU T l 03 87 85 15 46 D Andr Heck ancien assistant Paris V Micha l HALBERSTAM Marc LIPPERT Jeudi 26 avril 2007 de 9 h 19 h Didier RAUX proth siste Francois MOINEAU IUT de chimie de Saint Avol ancien chef de laboratoire Paris V Jean Luc PINLOCHE e Tout ce que vous devez savoir sur la nouvelle nomenclature D Philippe BESSIS CLUB DES PARTENAIRES GC FRANCE SAS
46. maines environ devra tre accord au patient avant den treprendre le traitement sauf en cas d urgence La mise en place chirurgicale des im plants doit tre effectu e avec un guide chirurgical selon le projet pro th tique e La r alisation proth tique doit res pecter les r gles d empreinte d inser L essentiel de la s ance de la SOP l ADF Les acquis 23 novembre 2006 tion passive des armatures de vissage contr l avec cl dynamom trique e Des contr les cliniques et radiogra phiques doivent tre imp rativement instaur s LA NOUVELLE DONNE DU DEVOIR D INFORMATION Le devoir d information appara t comme un l ment fondamental dans les pro c dures r centes Or depuis un arr t de la Cour de cassation de f vrier 1997 c est au praticien de faire la preuve qu il a rempli son devoir d informa tion Cette preuve peut tre apport e par plusieurs l ments et en premier lieu par les notes inscrites sur la fiche m dicale du patient lors des consul tations pr c dant la mise en uvre du traitement Un plan de traitement d taill tape par tape avec leur dur e est galement un l ment de preuve Idem pour les courriers ven tuels aux correspondants de m me que des brochures d information remi ses au patient sur les traitements envi sag s Enfin le devis clair compr hen sible constitue galement une preuve de l information Une fois en posses sion de tous c
47. marquable grace sa fabrication en acier su dois COFFRETS QUICK POST ST RIKIT Coffret A75 70 inox 45 calcinables 1 al soir Driller Blanc 1 Gate violet 3 al soirs assortis 1 cl Le coffret QuickPost A75 169 Coffret A145 140 inox 90 calcinables 1 al soir Driller Blanc 1 Gate violet 3 al soirs assortis 1 cl Le coffret QuickPost A145 299 Coffret M285 140 inox 140 calcinables 3 al soirs Driller Blanc 3 Gate violet 9 al soirs assortis 1 cl Le coffret QuickPost M285 22 22 XXL XXL 499 22 XXL 13 5 Bi 11 9 XL 5 11 55 XL 73 a 1 2 mm Blanc d elSmmiue SE Z nn Al soir Driller Blanc 13 5 mm 1 45 mm 11 55 mm 13 55 mm Pivots caleinables 15 5 mm Pivots calcinables XL 11 45 mm XL Blanc 11 55 mm XL Jaune 13 55 mm XL Rouge DAS 1 46 Clavettes inox N O N 1 N 2 longueur 22 mm 1 16 1 26 1 36 Clavettes calcinables N O N 1 ge N 3 longueur 22 mm 1 15 o 1 25 al 39 a 1 45 XXL Blanc XXL Jaune XXL Rouge XXL Bleu REMPLACENT TOUS LES PIVOTS CALCINABLES ET S UTILISENT AVEC LA DURALAY POUR LA TECHNIQUE DIRECTE DES INLAYS CORES Pivots calcinables XXL Rainur s Sp cial labo Renseignements Tel Fax 04 92 12 82 33 Brevets et marques d pos s Docteur Pierre Malek Pivomatic le seul pivot avec 30 ans de recul clinique N 3 mars 2007 ACTUALIT S p 6 13 6 Forma
48. n 2006 et 2007 et n ayant pas d j b n fici de cette offre Des promotions de nos partenaires L abonnement la Revue d odonto ztomatologie trimestriel scientifique bilingue Le pr t des cassettes vid o de la SOP Un service d t l phonique Remise applicable galement pour les formations de la F d ration des soci t s scientifiques odonto stomatologiques de l le de France FSSOSIF retourner d ment compl t et accompagn de votre ch que de r glement de 84 euros et libell l ordre de la SOP SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Renseignements 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 Nome e Pronome eE EE EE OR x EE SE KC EE s Adrosse Ke HAMELEON CONCEPT ADVERTISING Ltd T l 09 50 87 09 50 Rejoignez Protilab et plus de 3 000 praticiens satisfaits en Europe FA valoir sur les commandes pass es en Mars pour tout nouveau client Protilab www protilab com r alis s en Laboratoire certifi ISO 9001 et garantis 3 ans Tous mat riaux marqu s CE Tous travaux 1 Anniversaire de Protilab France 100 OFFERTS pour tout nouveau client LES PRIX CCM 65 Stellite 120 Offre Commande Group e gt 10 de r duction 2 travaux ou plus le m me jour sur l int gralit de la commande Prote Lab Laboratoire de Proth se Dentaire Proth ses conjointes et adjointes T l 01 53 25 03 80 ou Conseillers techniques joignables de 9h
49. n la mati re aux c t s des huiles essentielles du flurorure d amine ou du triclosan Pour le d tartrage et le surfacage deux options sont possibles une tech nique classique en quatre temps une d sinfection totale en un temps dont la description est plus r cente Pour ce faire l utilisation des ultrasons et des curettes constitue toujours la nor me Ce traitement non chirurgical est suffisant sur les poches dont la pro fondeur est de 3 mm ou 4 mm apr s th rapeutique initiale Pour les l sions profondes il consti tue le pr alable un traitement plus lourd Pourra alors faire suite la chi rurgie de d bridement qui permet un acc s visuel direct sur les racines afin de compl ter ventuellement le d tar trage surfa age radiculaire La chirur gie r sectrice corrige les architectures osseuses d favorables Moins invasive que par le pass elle fait toujours par tie des bonnes pratiques en 2007 notamment dans un cadre pr proth tique et ou en pr sence de l sions interradiculaires 3 et 4 R sultat dix ans apr s la r g n ration parodontale par membrane Gore Tex non r sorbable et r fection de la proth se Pour les l sions infra osseuses plu sieurs possibilit s sont la disposi tion du th rapeute e La technique classique de pr l ve ment d un os autog ne Ancienne mais fiable elle pr sente lavantage d un pr l vement ais Mais la cicatri sation risque de se
50. ndance la cr dibilit et la bonne marche de notre formation obligatoire I Yvan Bismuth Ciment de scellement universel auto adh sif Dual auto photo pour couronnes bridges inlays onlays tenons m talliques ou fibr s Propos en seringue auto m langeuse BisCem ne n cessite ni mordan age ni primer ni adh sif sur les surfaces de collage BP 60 L Op ra T l 04 90 42 92 92 Fax 04 90 42 92 61 Radio opaque Biscem relargue du fluor et permet un scellement efficace sur la plupart des mat riaux dentaires en toute simplicit ne VOTES AFFE Disponible en teintes Opaque et Translucide pour toutes les indications 13680 Lan on de Provence birico Et vous faites vous L des merveilles lorsque le temps vous chappe S e ak Cinq conf rences cinq domaines cl s 22 Mars 2007 de notre pratique o il est possible de r duire son temps de travail tout en maintenant une qualit des soins optimale GAG N ER DU TEM PS Une urgence int grer des actes complexes r aliser un cahier de rendez vous honorer le praticien est quotidiennement confront une lutte contre le temps Quelle organisation des SANS COM PROMIS soins rationnelle mettre en uvre pour optimiser son temps de tra vail e Quelles techniques op ratoires quel outillage quel produit faut il privil gier pour faire plus vite et mieux Quels sont les Le jeudi 22 mars 2007 domaines d cisifs o
51. nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 155 Tei Adresse e Mail i cnnnnnrnrnrrrrernrrrnrennnnnnnnnnnrrees Offre r serv e aux participants 155 euros la chambre single ou double Tarifs pour la nuit du 13 au 14 juin 2007 au Rive Gauche Saint Jacques H tel nombre de chambres limit Contact service R servation pr ciser journ e SOP T l 0140 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Inscription avant le 20 4 07 membres SOP et FSSOSIF 250 autres 310 Inscription apr s le 20 4 07 membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 Tarif sp cial 120 inscription avant le 23 mars 2007 membres jour de leurs cotisations 2006 et 2007 et n ayant pas d j utilis cette offre ZOO CC JSOP0307 Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction Tou LI Non I SNCF LL Air France Dynexan 2 cr me buccale _ Drynexan 2 Tuba de 10 g AAA AAA Chlorhydrate de lidoca ne E laure dpalruaues D NOMINATION DYNEXAN 2 cr me buccale COMPOSITION Chlorhydrate de lidocaine 20 00 mg pour 1g FORME PHARMACEUTIQUE Cr me buccale DONNEES CLINIQUES Indications th rapeutiques Traitement symptomatique de courte dur e des l sions douloureuses de la cavit buccale Anesth sie locale de contact avant explorations instrumentales en cdontostomatologie Posologie et mode d administration Adulte et enfant de plus de 6 ans Applicati
52. ns journ es ou soir es travaux pratiques revues ou ouvrages formations sur CD Rom ou en ligne des moyens d valuation de ces formations et des acquis des participants Il compl tera les bar mes d attribution d j tablis en valuant les cr dits attribuer aux formations sur supports lectroniques ve agr ment en tant qu organisme formateur la structure de formation continue devra faire agr er chacune de ses for mations Cette obligation n est certes pas dans l imm diat exig e Mais elle le sera dans les prochains mois Enfin le CNFCO value la mise en uvre du dispositif et donne son avis au ministre charg de la Sant sur toutes ces questions CIRFCO faire co ncider les besoins r gionaux mergents avec les orientations nationales l chelle r gionale les 11 CIRFCO d finissent tous les cinq ans les orientations r gionales de la formation en coh rence avec les orientations nationales en les adap tant ou les compl tant pour prendre en compte l volu tion des orientations nationales ou l apparition de besoins r gionaux Mais surtout ils v rifient toujours sur un ryth me quinquennal le respect par les chirurgiens dentistes de leur obligation de formation continue Le conseil interr gional collecte les justificatifs des for mations suivies aux fins de valider le respect de forma tion continue Pour ce faire une attestation est d livr e au praticien et parall lement
53. ns une formation dans cha cun de ces quatre axes axe odontologique axe m dical axe biologique et axe vie professionnelle Quatre missions pour le CNFCO Dans l imm diat et en pratique en attendant la mise en ligne d un portail Internet commun aux m decins phar maciens et chirurgiens dentistes comment le chirurgien dentiste justifiera t il de ses cr dits annuels obtenus Il devra adresser tous les ans ses attestations au CIRFCO dont il d pend au titre de son exercice principal Le rythme quinquennal tant celui adopt dans le cadre de la FCO pour la premi re p riode de cinq ans qui devrait d bu ter la date de la mise en place des conseils interr gio naux soit vers la mi f vrier 2007 les praticiens doivent conserver les attestations des cr dits obtenus depuis le 2 juin 2006 En effet en cas de besoin ils pourront tre comptabilis s Comment d un point de vue organisationnel la m cani que de la formation continue odontologique va t elle fonc tionner Elle est dot e d un double tage national avec le CNFCO et r gional avec les CIRFCO S agissant du CNFCO celui ci a en charge quatre missions essentiel les En premier lieu tous les cinq ans il fixe les th mes prioritaires des formations en tenant compte des objec tifs de la politique de sant publique En deuxi me lieu le CNFCO fixe les r gles de la validation de l obligation de formation continue En troisi me lieu il agr
54. on de 0 5 g de cr me 4 fois par jour maximum Contre indications Ne pas utiliser en cas d hypersensibilit l un des constituants de la formule en particulier la lidocaine ou aux anesth siques locaux en g n ral Mises en garde Ne pas utiliser chez l enfant de moins de 6 ans Interactions En principe ne concernent pas l utilisation par voie locale Grossesse Utilisation possible sur une courte p riode el sans d passer les doses pr conis es Allaitement Utilisation possible Effet sur l aptitude conduire des v hicules et utiliser des machines Pas de donn es particuli res Effets ind sirables Des r actions allergiques sont possibles Surdosage Non attendu dans les conditions normales d utilisation PROPRI T S PHARMACOLOGIQUES Propri t s pharmacodynamiques Effet rapide une minute et de longue dur e environ une heure Propri t s pharmacocin tiques M tabolisme h patique el limination urinaire S curit pr clinique Ce traitement ne doit pas tre administr sur une longue p riode et au del des doses pr conis es DONNEES PHARMACEUTIQUES Liste des excipients Chlorure de benzalkonium thanol 96 m lange aromatique Incompatibilit s sans objet Dur e de conservation 3 ans Ne pas conserver plus de 25 C Nature et contenu de l emballage ext rieur 10 g en ste tube Aluminium vernis AMM 352 798 9 LISTE IL Prix 4 58 Remb S c Soc 35 Colect DATE DE PREM
55. ontinue odontologique CNFCO et justifier de 800 cr dits de formation acquis sur cinq ans avec un nombre minimal annuel de cr dits s levant 150 On verra que c est au niveau r gional au sein des conseils interr gionaux de la formation continue odontologique CIRFCO que le respect de cette nouvelle obligation sera v rifi En pratique pour le chirurgien dentiste la participation aux formations sera objectiv e par des attestations qui lui seront remises par l organisme formateur selon les bar mes tablis par le CNFCO Ces bar mes s tablissent comme indiqu s ci apr s e Participation une journ e de conf rence 6 heures 60 cr dits e Participation une demi journ e de conf rence 30 cr dits e Participation une soir e de conf rence 20 cr dits e Participation une demi journ e de travaux pratiques 40 cr dits e Obtention d un CES ou d un DU conforme la charte de 100 300 cr dits selon la dur e de la formation Revues et ouvrages avec tests de compr hension deux abon nements annuels au minimum 10 cr dits pour quatre tests de compr hension dans la limite de 20 cr dits par an Le CNFCO comment a marche Le CNFCO tel qu il a t officialis par un d cret du 2 juin 2006 est dirig par un conseil d administration CA de 32 membres d sign s pour cinq ans par arr t minist riel Il est compos de quatre coll ges de sept membres le col
56. otion de tact et mesure conform ment aux obligations dict es au titre IV de votre convention nationale Inadmissible Logiquement indign par la teneur de ce courrier notre confr re a sollicit la SOP La SOP n est certes pas un syndicat mais elle ne peut s interdire de penser que cette affaire t moigne d une d rive dangereuse et c est pourquoi elle a d cid de solliciter les quatre syndicats repr sentatifs Dans sa r ponse la SOP la F d ration des syndicats den taires lib raux FSDL d plore ce type d actions inadmis sibles de la part d une mutuelle qui vient discr diter le praticien vis vis de sa patiente en s immis ant dans le col loque singulier n du contrat de soins existant entre eux La FSDL confirme que la mutuelle outrepasse ses droits en voquant le non respect du tact et de la mesure puisque seuls peuvent en appr cier l Ordre et la commission paritaire d partementale Elle constate une d valo risation persistante des tarifs opposables et des bases de remboursement S Se D r pour les actes cot s en S SPR valeur inchang e de puis 18 ans pouvant lais ser penser que les honorai res de proth ses puissent tre sur valu s alors qu ils sont leur juste montant compte tenu du plateau technique des obligations des charges en g n ral et du laboratoire de pro th se en particulier aboutissant ce que les prix habituellemen
57. ou loureux Toute la formation s inscrira dans la situation d un exercice non sp cialis cet gard les questions telles que Peut on poser des implants sur un patient diab tique ou encore Peut on extraire une dent et mettre en place l implant imm diatement pour ne ci ter que celles ci manent d un travail de pr paration de cette journ e en collaboration avec des g n ralistes Ajoutons que tous les interve nants sont des cliniciens confir m s C est dire si nous voulons donner des r ponses concr tes cliniques bien entendu mais galement sur le mat riel ou encore sur les types de for mations la disposition des praticiens souhaitant appro fondir leurs connaissances 35 QUESTIONS REPONSES EN IMPLANTOLOGIE Jeudi 14 juin 2007 Paris 14 Rive Gauche Saint Jacques H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 3 mars 2007 Vous n tes qu 35 questions de la bonne pratique en implantologie e ak De la phase pr implantaire au scellement 14 JUIN 2007 toutes les r ponses pour s approprier une m thodologie rigoureuse en proth se et en chirurgie implantaires Pour autant que l on se pose les bonnes questions toutes les 35 QU ESTIONS REPONSES bonnes questions et que l on se voie d livrer des r ponses fia bles imm diatement applicables la ma trise concr te des pro EN IMPLANTOLOGIE tocoles ad quats en chir
58. our les quels ce traitement constitue un investissement significatif n est rien de moins que l gitime Il ne peut donc plus tre question de se contenter de poser des implants mais bien de r aliser une proth se r pondant aux cri t res esth tiques et fonctionnels au m me titre que la proth se classique Autant d cueils qui peuvent tre vit s par une ana lyse pr implantaire rigoureuse et Les cas complexes d implantologie ne doivent pas tre per us comme le quotidien de la pratique implantaire Transfert d empreinte pour technique pick up un respect des r gles nonc es pour la chirurgie et la proth se volume osseux axe de l implant vissage etc FORMALISER LA M THODOLOGIE La journ e de la SOP aura pour principal objectif de formaliser une m thodologie rigoureuse bas e sur une solide exp rience de cliniciens L enjeu faire b n ficier d un traite ment implantaire une grande majo rit de patients avec pour corol laire la fiabilit et la s r nit Pour la SOP l implantologie int gr e dans un exercice d omniprati que est indispensable Elle renou velle une certaine vision de la dentisterie moderne La formation continue devenue r cemment obli gatoire peut tre mise profit par les omnipraticiens pour largir leur domaine de comp tences rester dans le coup aux yeux de leurs patients et se conformer aux r gles actuelles de bonne pratique Quan
59. oureux une bonne information du patient et un travail en quipe structur sont la garantie d un plan de traitement appropri Quel traitement pr coniser pour un patient dont l tat buc co dentaire implique l inter vention de sp cialistes dans plusieurs disciplines Par quels soins faut il commencer Exis te t il des r gles pour planifier l ensemble du traitement La plupart des praticiens ont d j soign des patients dont la prise en charge est complexe et implique la construction d un plan de traitement global as sociant par exemple des soins en parodontie en endodon tie en dentisterie restauratrice et en proth se Or l omnipraticien ne pourra pas toujours r aliser la totali t des soins et le travail pluri disciplinaire ne s improvise pas Un certain nombre de facteurs doit tre ma tris de mani re offrir au patient les meilleu res r ponses th rapeutiques Premier l ment le diagnos tic Il constitue une tape in contournable de la construc tion du plan de traitement Gr ce aux radiographies pho tos ou moulages il permettra d optimiser les r sultats th ra peutiques et de rationaliser la cha ne de soins Ainsi un pra ticien sp cialis en parodon tie d livrera un diagnostic compl mentaire du praticien sp cialis en orthodontie ce qui d bouchera sur des plans de traitements diff rents Comment tablir le plan de traitement global le plus co h rent Le
60. p res fixes que sont les bon nes pratiques valid es par l exp rience elle n est ni plus ni moins complexe et choisir plut t moins si l on sen tient au tr s faible taux d chec que les autres disciplines partir de ces objectifs les responsables scien tifiques de la journ e ont dress la liste des ques tions qu un praticien responsable doit imp ra tivement se poser lorsqu il re oit un patient dans son cabinet dentaire Bloc op ratoire indica tions et contre indications mise en fonction guide radiologique scanner pose chirurgicale v rification de l ost o int gration des implants implants mobiles lors de la mise en fonction types de proth ses piliers transgingivaux em preintes de repositionnement ciel ferm et ouvert type d occlusion scellement des cou ronnes sur implants suivi ce ne sont l que quelques uns des th mes qui seront interrog s et qui feront l objet d expos s pr sent s par les membres de l quipe de Patrick Missika Ils interviendront afin de parvenir au r sultat escompt faire en sorte que les praticiens tous les praticiens soient en mesure de pratiquer l implantologie chirurgicale ou proth tique d une mani re fiable d s le lendemain dans leur cabinet dentaire Omnipratique Lever les derniers freins une large diffusion de l implantologie L implantologie n est ni complexe ni co teuse Face l augmentation de la demande et l obliga
61. plus grands ou encore la solution consistant interroger directement l int ress sur ce qui lui plairait Avec pour cons quence l abandon de la part de magie li e la surprise Dans nos relations professionnelles le cadeau d un patient son praticien tombe en d su tude Ce t moignage de gratitude ne subsiste bien souvent que de la part des plus modestes ou des patients originaires de pays dans lesquels le droit la sant est loin d tre chose acquise Pour eux le paiement NOUS SOMMES PASSES des honoraires de par sa trivialit DANS LES ANN ES 1990 est insuffisant quilibrer DU VTT POUR 50 BO TES DE GANTS l change de personne personne que sous entendent des soins attentifs LA SMART POUR 17 000 EUROS D ACHATS EN 2006 Si cette forme de cadeau est en voie d extinction il en est une qui a pris de plus en plus d ampleur Nous sommes ainsi pass s dans les ann es 1990 du VTT pour so bo tes de gants la Smart pour 17 000 euros d achats en 2006 La vente par correspondance VPC a install dans la profession le cadeau bonus caract ris par un manque de tact et une d mesure propres troubler la qui tude de notre exercice Dans votre bo te aux lettres vous avez su distinguer le SOP sous les flyers de la VPC Avec sa nouvelle ligne ditoriale il continue de vous offrir gracieusement l essentiel de la formation continue dispens e par la SOP pr sent e sous forme de dossiers
62. rtir d un pr l vement de salive ce test permet d identifier les sujets r ponse inflammatoire ma Jorge par une surproduction d d Inter leukine 1 Les tudes cliniques mon trent que les individus positifs ce test ont un risque lev de d velop per une parodontite chronique s v re Les r sultats du test PST seront asso ci s aux autres facteurs de risque pour d terminer le niveau de susceptibilit du patient L valuation des facteurs de risque Ces facteurs influencent le traitement ain si que le pronostic global La consom mation de tabac multiplie par sept les risques de pathologies parodontales En ce qui concerne le diab te particu li rement de type Il le risque de d velopper une maladie parodontale est 2 6 fois plus lev que chez le non dia b tique Par ailleurs le diab te semble plus difficile traiter chez les patients atteints d une pathologie parodon tale ll est donc int ressant de contr ler l infection parodontale afin dam liorer le contr le de la glyc mie LES TECHNIQUES T MATERIAUX A L EPREUVE DU TEMPS Par le contr le du facteur bact rien la th rapeutique parodontale a pour objectif la stabilisation et l arr t de l alv olyse Une part importante de ce contr le est r alis e par le patient gr ce un brossage efficace Aujour d hui le choix des mol cules anti septiques est large la chlorhexidine constitue toujours le gold standard e
63. s 2007 L essentiel de la s ance de la SOP l ADF Les acquis 23 novembre 2006 33 Les rendez vous de la formation continue odontologique 34 N Les outils de diagnostic les plus clas siques restent le sondage parodontal et le bilan radiographique long c ne D autres outils peuvent compl ter cet examen de base Le bilan microscopique fond noir Il permet d tudier la plaque bact rienne et de v rifier la composition de la flore Rapide et ais r aliser il permet d ta blir la pr sence de bact ries motiles et constitue un levier de motivation du patient dans l adh sion au traitement 1 et 2 L sion infra osseuse en distale de la 13 JSOP n 3 mars 2007 Innovations sans lendemain vraies avanc es techniques anciennes mais toujours d actualit ce qu il faut savoir des acquis en 2007 dans le domaine de la parodontologie Le test PCR Polymerase Chain Reac tion Nouvel acquis ce test permet d identifier et parfois de quantifier les bact ries les plus pathog nes Il est ais r aliser puisque le pr l vement bact rien se fait dans les poches paro dontales au moyen d une pointe de papier st rile Le test PCR peut tre utile dans les parodontites agressives dans le contr le de l efficacit d un traitement non chirurgical dans le choix d une antibioth rapie et en cas de r cidive de l infection Le test PST Periodontal Susceptibi lity Test pa
64. s Responsables scientifiques Herv Choukroun Responsable scientifique Claude Launois Alain Tr velo TP 6 Proth se sur implants 1 TP 13 Instruments ultrasonores Responsable scientifique Corinne Touboul Responsable scientifique Gilles Gagnot LITP7 Composites post rieurs I TP 14 L aide microscopique au quotidien en m thode indirecte NOUVELLE Responsables scientifiques Franck Decup Responsable scientifique Pascal Zyman FORMULE St phane Simon PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES H TEL 17 BD SAINT JACQUES 14 N z retourner accompagn de votre r glement la SOP TARIF SPECIAL HOTEL 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 155 Q Offre r serv e aux participants 155 euros Nom SEET Pr nom dansant Ee ENEE la chambre single ou double pour la nuit OR E a A E EE P T OA A A O O du 23 au 24 mai 2007 e D NT cree enr nombre de chambres limit TO sans ATeSS6 MAILS eee res Contact service R servation pr ciser journ e SOP Tarifs N TE ETADIR ZEAE PAR U EE Inscription avant le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 290 autres 350 Inscription apr s le 16 mars membres SOP et FSSOSIF 330 autres 390 Toutes les formations en Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction J Oui L Non I SNCF L Air France JSOP0307 oo rn rm rm rm rm rm rn rm rn rm rm rm rm
65. s aidera dans la r alisation des soins de qualit conformes aux donn es actuelles honor s leur juste prix mais surtout qui leur donnera la s curit face aux injonctions d mesur es de certains organismes M Yvan Bismuth et Philippe Safar 1 Il s agit en l esp ce d une couronne SPR 50 Derni re minute A l heure o nous mettons sous presse le Conseil national de l Ordre sollicit sur cette affaire par la CNSD que nous avions interrog nous transmet copie du courrier qu il a adress la mutuelle Dans ce courrier l Ordre tient rappeler que la notion de tact et mesure dans la fixation par le chirurgien dentiste de ses honoraires a toujours exist et demeure dans notre Code de d ontologie et dans les conventions nationales fixant certains tarifs d honoraires Il rappelle en outre qu il appartient la section disciplinaire et la section des assurances sociales du Conseil de l Ordre des chirurgiens dentistes d appr cier dur e de vie illimit e des Leds pas de changement d ampoule pendant toute la dur e de vie de l appareil puissance et qualit de lumi r comparables aux meilleures lampes op ratoires halog ne lumi re du jour 6500 K avec 28500 lux l agr ment d op rer sous haute densit de lumi re blanche pas d l vation de temp rature perceptible 4 leds de 3 W seulement cologique 16 W seulement soit 10 fois moins de consommation lectnque qu
66. sen tiellement un traitement proth tique La d marche doit donc tre ax e sur ce traitement et doit associer neuf l ments fondamentaux e Une consultation et un entretien permettant de d terminer les be soins et les souhaits des patients ainsi que leur tat de sant g n ral qui pourrait constituer une contre indication aux implants e Un examen clinique pour appr hen der les facteurs li s l dentement l tat des dents bordant l dentement en cas d dentement partiel l es pace interarcade au volume osseux palpable l hygi ne buccale etc 36 JSOP n 3 mars 2007 e Des empreintes et mod les d tude permettant de r aliser une cire ajou t e de diagnostic wax up ou un mon tage directeur puis un guide radio logique Ce guide sera port pendant les diff rents examens d imagerie panoramique t l radiographique ou scanner Muni de l ensemble de ces l ments le praticien pourra tablir son plan de traitement implantaire et ta blir son devis I peut galement uti liser un logiciel de simulation im plantaire permettant de visualiser sur cran informatique la position souhait e des implants leur axe d insertion et leurs longueur et dia m tre en fonction des imp ratifs anatomiques Les autres possibilit s th rapeuti ques devront tre expliqu es au patient avec leurs avantages et leurs inconv nients Un temps de r flexion raisonnable de deux se
67. sier m dical doit tre soigneusement relu avant remise d une copie au patient afin d viter de transmettre des observations personnelles subjectives Les radiogra phies originales devront tre remises au patient apr s du plication Mais auparavant il est souhaitable de dresser une liste pr cise et d taill e des documents communiqu s en pr cisant la date et la nature du clich ainsi que les dents concern es et de faire signer un re u par le patient L enjeu est important si la responsabilit professionnelle du praticien est recherch e ce dernier doit tre en me sure de d montrer ou d apporter la preuve que l informa tion a t donn e que les documents existaient et qu ils sont en possession du patient W Marie B atrice Thibauville juriste Le Son m dical Groupe MACSF 1 Article R 4127 208 du Code de la sant publique anciennement article 5 2 du Code de d ontologie 2 Article L 1111 7 du Code de la sant publique issu de la loi du 4 mars 2004 Le contenu et les d lais de conservation Le dossier m dical permet de retracer l histoire m dicale du patient Les renseignements contenus varieront selon les sp cialit s mais il comprendra Les donn es administratives Nom pr noms date de naissance num ro de s curit sociale adresse profession nom et adresse des parents pour les enfants mineurs Le bilan de sant Il contient le questionnaire m dical qu il est souhaitable de
68. t constat s correspondent la moyenne europ enne en ce domaine Quant la Conf d ration nationale des syndicats dentai res CNSD dans sa r ponse la SOP elle indique que le comportement de la mutuelle est pour le moins surpre nant en ce qu elle se donnerait la facult de juger de la notion de tact et mesure en les rapprochant du tarif de rem boursement de la s curit sociale valeur ce jour totalement obsol te La CNSD indique la SOP avoir transmis le cour rier de la mutuelle au Conseil national de l Ordre Enfin l Union des jeunes chirurgiens dentistes UJCD juge agressive l attitude de la mutuelle consistant intervenir directement dans le contrat de soins entre le prati cien traitant et son patient au c ur m me du colloque sin gulier mettant le chirurgien dentiste quasiment en demeure tout le moins en porte faux La SOP souscrit pleinement ces prises de position qui lui semblent conformes l thique de la profession Elle attend de la part de l Ordre une action aupr s de l ensem ble des organismes compl mentaires afin que cesse cette d rive Elle conseille aux praticiens de privil gier le dia logue singulier patient soignant dans le respect des r gles d ontologiques et conventionnelles et des obligations qui d coulent du contrat m dical Elle les encourage CES 12 JSOP n 3 mars 2007 galement suivre une formation continue assidue qui le
69. t l organisme avec des cons quences possibles sur l tat de sant g n ral La pr vention joue un r le essentiel Depuis plus de 80 ans Sunstar sous les marques GUMS et BUTLER d veloppe des produits d hygi ne bucco dentaire de tr s haute qualit qui sont indispensables pour une pr vention efficace compl te et cibl e Promotion et coop ration En plus de promouvoir diff rentes initiatives d ducation sur l hygi ne bucco dentaire la Sunstar Foundation Supporting Oral Health a toujours travaill avec des chercheurs et professionnels de la sant dentaire pour le d veloppement d tudes sur les corr lations entre la sant bucco dentaire et la sant g n rale Parce que prendre soin de sa bouche c est prendre soin de sa sant The 2000 Periodontal Systemic Condition A State of the Science Symposium organized by AAP and NIDCR The 2001 Sunstar Foundation WHO Closed Symposium on Periodontal Medicine Health Policy Implications The 2004 Symposium on Contemporary Periodontology Host Pathogen Relationships in Health and Disease 1 2 3 ELIMINATION OPTIMALE DE LA PLAQUE a 1 2 70 DE LA PLAQUE ELIMINES SEULEMENT 50 DE LA PLAQUE ELIMINES Brosse dents Fil dentaire HEALTHY GUMS FOR A HEALTHIER LIFE R E F E SUNSTAR PHARMADENT Www sunstar com 16 rue Baudin www sunstarbutler com EN PHARMACIE ET PARAPHARMACIE 92593 Levallois Perret Cedex www sunstar foundation co
70. tement les SE sp cialistes qualifi s en orthop die dento faciale Les stomatologistes et D E E chirurgiens maxillo faciaux r pertoire g ographique par d partement stomatologistes qualifi s ODMF F7 d La couleur 3 L Annuaire Dentaire Les Editions de Chabassol 16 18 bd de Lagny Bussy Saint Georges 77604 MARNE LA VALL E Cedex 3 T l 01 64 76 64 90 FAX 0164 76 64 99 Email chabassol wanadoo fr www annuairedentaire com Her Cr 29 SE LES FORMATIONS SOP EN 2007 GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMIS 22 Mars 2007 Bulletin d inscription p 9 RADIOPROTECTION 23 Mai 2007 Bulletin d inscription p 11 TRAVAUX PRATIQUES 24 mai 2007 Bulletin d inscription p 23 QUESTIONS D IMPLANTOLOGIE 14 juin 2007 Bulletin d inscription p 29 gt PLAN DE TRAITEMENT 11 octobre 2007 ET AUSSI LES FORMATIONS DU R SEAU FCL Toutes les informations tous les comptes rendus in extenso sont consultables sur WWW S0p asso fr Baliser la fronti re des acquis en 2007 A S ANCE DE LA SOP organis e lors du dernier congr s de l ADF portait sur les acquis dans quatre disciplines Cette notion d acquis constitue un objet la fois pr cis et fluctuant Pr cis parce que chacun sait parfaitement ce que recouvre cette notion un acquis constitue une technique enseign e valid e par des tudes scientifiques et prouv e par l exp rience Mais l acquis d aujour
71. tion de la proposer comme alternative th rapeutique le g n raliste doit d sormais la ma triser f IMPLANTOLOGIE CONSTITUE UNE DISCIPLINE mi chemin entre l ancien et le nouveau ancien car elle a t valid e par des tudes bas es sur la preuve et ce titre elle est d sormais enseign e l universit Le nouveau car seul un infime pourcentage des praticiens en exercice b n ficie aujourd hui d un enseignement dans le cadre de la formation initiale Depuis une d cennie en effet une nouvelle g n ration de chirurgiens dentistes sort chaque ann e de l universit avec en poche une formation en implantologie Mais quid des prati ciens g s de plus de 35 ans et comptant dix ann es d exp rience professionnelle La question n est pas anodine la pratique moderne et la demande des patients imposent de proposer toutes les possibilit s de JSOP n 3 mars 2007 r habilitation y compris la proth se fixe implanto port e Car les implants font d sormais par tie des donn es acquises de la scien ce ils doivent tre propos s comme alternative th rapeutique chaque fois que l indication est pos e c est dire dans quasiment tous les cas d dentement Un praticien qui omet trait de le faire peut se voir attaquer par son patient pour d faut d infor mation ou perte de chance faute pro fessionnelle voire pour mutilation volontaire si le chirurgien dentiste choisit un
72. tion continue obligatoire mode d emploi 6 La SOP Nice pr venir et g rer les checs dans quatre disciplines 6 Quand une mutuelle s rige en garant du tact et de la mesure LES FORMATIONS SOP LE DROIT DU PRATICIEN D 15 EN 2007 6 Ce que doit contenir le dossier m dical gt GAGNER DU TEMPS PRATIQUE p 17 21 SANS COMPROMIS e Adapter un plan de traitement pluridisciplinaire au besoin du patient 22 mars 2007 degh 18h D EE Savoir recourir aux composites post rieurs en m thode indirecte Bulletin d inscription p 9 6 Urgence r animation g rer le stress et r agir aux situations graves gt RADIOPROTECTION D ek Se h 30 N JA DOSSIER p 24 28 Bulletin d inscription pm IMPLANTOLOGIE gt TRAVAUX PRATIQUES POURQUOI FAIRE COMPLIQUE 24 mai2007 deg9h 18h Wei Bulletin d inscription p 23 e 35 r ponses pour une pratique implantaire simple et sereine e Lever les derniers freins une large diffusion de l implantologie gt QUESTIONS D IMPLANTOLOGIE ER 14 juin 2007 de 9 h 18 h e Une approche globale des protocoles valid s Bulletin d inscription p 29 par les r gles de l art gt PLAN DE TRAITEMENT 11 octobre 2007 de9h 18h Baliser la fronti re des acquis en 2007 p 31 6 Proth se fix e les conditions du meilleur rapport co t efficacit s curit 6 Parodontie entre effets de mode et techniques prouv es LISTE DES ANNONCEURS L implantologie l heure d
73. un trai tement men dans les r gles de l art il convient de s assurer de la pr serva tion de l tanch it postop ratoire avec du ciment temporaire tanche base d oxyde de zinc sulfate de calcium modifi comme du Cavit ou un eug nate simple ou modifi tel que TIRMS qui assurent par leur expansion de pri se une bonne tanch it temporaire Les restaurations coronaires sont r alis es dans les meilleurs d lais et scell es dans les meilleures conditions afin de ne pas recontaminer le syst me canalaire RW JSOP n 3 mars 2007 39 SUNSTAR UNE NOUVELLE LEE DE NEE AE DENTAIRE e We e e e E ein dE A tr Ai as St 7 ca et 27 D 3 d E Ge Ki k l D eh i Aw We LG G VC SE s ER al ef A S L E EM A gf L k w Sa Ca L Ch E en el Th SA LI ec Ai Ap SCAS GC ca Vi PE i Ge A Oh F a ba i Les bact ries r siduelles pr sentes dans la bouche peuvent par l interm diaire du flux sanguin migrer dans l organisme Sunstar Foundation Conf rence internationale sur les liens entre la sant bucco dentaire et l tat g n ral Gen ve d cembre 2002 Information et sensibilisation La sant buccale a un impact majeur sur l tat de sant g n ral et la qualit de vie Des tudes internationales montrent que les bact ries parodontales ne sont pas confin es dans la bouche Au contraire elles peuvent passer dans le sang et circuler dans tou
74. une lampe op ratoire halog ne silence de fonctionnement pas de ventilateur toujours propre tanche aux sprays et la poussi re t l 33 0 3 90 208 208 ee ba Ae ER de ge nn Esser Eessen Dn g kat ZE kel ss Den Een Gees pa Deg e KE e ns 7 D r Menen Za Eine ae tegt aen et de surveiller l application du tact et de la mesure et que par ailleurs cette notion est reprise dans les conventions nationales qui pr voient des possibilit s de d passement Enfin l Ordre demande aux mutuelles de respecter les dispositions d ontologiques et les droits de la d fense et de ne pas s riger en instance ordinale ou conventionnelle ou en tribunal EAEE m dical confort et s curit des soins Les MA TRES DE LA LUMIERE MISE EN FORME ET RETRAITEMENT CANALAIRE OBTURATION CANALAIRE R PARATION CANALAIRE FRAISES RECONSTITUTION CORONO RADICULAIRE MAILLEFER INNOVE 2001 ProTaper Universal r voluti les traitements endodontiques 2006 ProTaper Universal va Vous faire aimer le retraitement avec ne s quence ZP aussi simple utiliser qu efficace m 3 instruments d di s au retraitement m Et toujours tous les avantages de la conicit variable Et la l gende continu DENTSPLY France 5AS division MAILLEFER rue Michael Faraday 78180 Monte le Bretonneux 3 T l 01 30 14 7 C Fax d 30 14 77
75. urgie et en proth se implantaires est ais e Cas cliniques l appui l quipe de Patrick Missika encha nera sur un rythme dense les r ponses aux 35 questions essen tielles que l on doit ma triser pour exercer une implantologie Le jeudi 14 juin 2007 fiable et s re en omnipratique Pour prendre le train de la participez la journ e modernit dentaire et pour r pondre une demande des patients de plus en plus nombreuse SOP et mettez en application Avec les interventions de Anne Benhamou Marc Bert Pierre votre formation Cherfane Micha l Corcos Guillaume Drouhet Georges Khoury Isabelle Kleinfinger Patrick Missika Bachir Rahal Jean Michel d s le lendemain Stroumza Herv Tarragano Bruno Tavernier Eliott Zaghroun dans votre cabinet Comit scientifique de la journ e Herv Bourlier Marc Roch et Ariel Sebban En savoir plus sur les O O laaa BULLETIN D LNSCRLBTIION 35 questions r ponses 35 QUESTIONS REPONSES EN IMPLANTOLOGIE en implantologie PARIS RIVE GAUCHE SAINT JACQUES H TEL 17 BD SAINT JACQUES 14 5 F retourner accompagn de votre r glement la SOP Lire notre dossier 6 rue Jean Hugues 75116 Paris T l 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 dans ce num ro TI e dh S P e Z Vi NOM E ONO EE z a A E EEEE EA TARIF SPECIAL HOTEL nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
76. vit d ac c s de d pouille compte quatre pa rois Chaque canal doit tre accessi ble la vue directement et sans tor sion des instruments MISE EN FORME DES OBJECTIFS INCHANGES DEPUIS 1974 Les objectifs de la mise en forme ont t d crits par H Schilder en 1974 et restent inchang s obtenir une conicit res pecter la morphologie ne pas d pla cer le foramen pr server le calibre du foramen Le principal objectif reste l ob tention d une conicit minimale de 8 10 de la zone coronaire au foramen Elle permet la circulation de la solution d irrigation l vacuation des d bris den tinaires et l acc s du mat riau d obtu ration jusqu au foramen La mise en forme est grandement facilit e par de nouveaux instruments manuels de cath t risme jusqu au calibre de 15 100 puis d instruments rotation continue en nickel titane Plusieurs syst mes sont d sormais disponibles avec chacun leur protocole propre I est recommand de bien respecter les proc dures d crites par le fabriquant et de ne pas m lan ger les s quences Seul le syst me Pro Taper Dentsply Maillefer propose des conicit s progressives Tous s utilisent soit avec un moteur sp cifique soit avec un contre angle r ducteur contr le de couple LONGUEUR DE TRAVAIL ATTENTION AUX FAUX POSITIFS La d termination de la longueur de tra vail est r alis e au terme de la mise en forme Elle peut tre manuelle

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