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1. LUN Ww 027 PNA Association G rontologique de l Essonne RAPPORT D ACTIVITE ANNUEL 2014 L quipe de l Association G rontologique de l Essonne Bernard Duportet Pr sident Delphine Guillemet Directrice St phanie Blanchard Assistante de Direction Omar Didaoui Agent d Acc s au Droit Jill Denton Comptable Yasmine Fadlallah Secr taire Belinda Infray Pilote Local MAIA Marine Laffeach Gestionnaire de cas St phanie Yilmaz Gestionnaire de cas Sylvie Loeb Gestionnaire de cas Association G rontologique de l Essonne Parc de la Julienne 26 rue des Champs 91830 LE COUDRAY MONTCEAUX T l 01 64 99 65 05 Fax 01 81 85 02 55 contact age91 org www age91 org Avec le soutien de g SOCio CD ACC S AU DROIT Assurance Co SONNE ALS Maladie X iledFrance LE CONSEIL G N RAL ESSONNE 7A SECUy XN D y STA sQge 2014 rapport annuel Sommaire SOMMAIRE GENERAL LAS SOCAU ee E E ci ce i i 1 D partement Sensibilisation 9 Service d Acc s au Droit des personnes g es n nsnnnsnnoereerrennrnrrnrrrsrrrnneene 38 D partement Formation sise 59 Rencontres professionnelles CIUD AGE 69 DIS DOS ER a a ns 73 Projet de sensibilisations dans le secteur du handicap s nnennnnnnenennsnnnnreennnne 85 PASI P le Autonomie Sant Information 97 GOSSES 103 ANNEXES en eenecmemmemecmemecnenemmemeecemecmem eee eee EAE aL eee e eee eee me
2. Groupe d analyse de pratique Z i t o t o Totli o S 7 S B 207 Les s ances ont t anim es aupr s de 3 EHPAD 1 CLIC destination des b n voles 1 CCAS et 1 soci t de services la personne gt Les conf rences Parall lement aux formations destin es aux professionnels m dico sociaux nous proposons dans le cadre de nos actions des conf rences en intra tablissement A la demande des structures et en fonction de nos possibilit s nous r alisons des conf rences tout public et notamment l attention des retrait s des r sidents et des familles d intervention participation Rester jeune apr s 60 ans 1 25 Isolement vuln rabilit d pression et suicide 1 25 Maladie d Alzheimer et troubles apparent s 1 15 Relation aidant aid et risque d puisement 1 15 L autom dication 1 44 Total 9 242 REPONSES AUX DEMANDES SPECIFIQUES Outre les formations annuelles propos es dans le cadre du catalogue de formation AGE se propose de r pondre toutes demandes ponctuelles ou sp cifiques des tablissements d h bergement associations d aide et de soins domicile ou d tablissements hospitaliers En 2014 AGE a labor des formations sur mesure soit pour r pondre aux besoins des structures soit en r ponse des appels d offre D memes abor s erintervention participation Th mes abord s d intervention participation nee 6 le psychosociale pour
3. Fax 01 81 85 02 54 maia91 hpgm fr e91 or H pitakPriv G riatrique Les Magnolias Dau AGE Paf de la Julienne 26 rue des Champs B t F du l erray 971 60 BALLAINVILLIERS 91830 LE COURDRAY MONTCEAUX ESSONNE Z Tel 06 99 16 56 79 Fax 01 60 80 60 71 maiasu ne ch sudessonne fr Centre Hospitalier Sud Essonne Do Mn Etampes Site d Etampes 26 Avenue Charles de Gaulle 91152 ETAMPES Cedex MEDECIN TRAITANT OUI NON EL Pr nom Adresse T l phone Portable Courriel R gularit du suivi m dical OUIET NON H Le m decin est il inform de cette orientation en gestion de cas OUILT NON U INTERVENANTS MIS EN PLACE CLIC CCAS Portage des repas T l assistance Service d aide domicile EMS APA SSIAD IDE HAD Accueil de jour H pital de jour A FORMULEZ VOS ATTENTES D UN ACCOMPAGNEMENT EN GESTION DE CAS RAPPEL Une situation ne correspond pas la gestion de cas si v la situation est une situation d urgence ou de crise v une entr e en h bergement d finitive est pr vue rapidement vil s agit d un simple renforcement des aides v une autre orientation est possible La gestion de cas concerne les personnes souhaitant continuer vivre dans leur domicile et qui r pondent aux crit res ci joints Nous vous rappelons qu il est n cessaire d informer pr alab
4. J y o EHPAD DU BREUIL EPINAY SUR ORGE EHPAD Pr ENTRE TEMPS RIS ORANGIS Structure de maintien domicile Priv 1 2 o o ESPACE SIMONE DUSSART SAVIGNY SUR ORGE Accueil de jour Publi 1 1 LA MAISON DE LA CHATAIGNERAIE LEUVILLE SUR ORGE EHPAD Pi o o 1 f T LE CERCLE DES AINES BRETIGNY SURORGE EHPAD _ Priv O 3 3 LE CERCLE DES AINES EPINAY SUR ORGE EHPAD Pr LE CLOS FLEURI DRAVEIL EPA Pr LE MANOIR RIS ORANGIS EPA Pr S e Sessions quipes Dm mm mm Association G rontologique de l Essonne Ann e 2014 Sensibilisations Nutrition et d nutrition des personnes g es R partition par structure Sessions EL z Sessions quipes STRUCTURE TYPE STATUT encadrants INTER Niveau 1 Niveau 2 LES TILLEULS SOISY SUR SEINE EHPAD Priv o o o MAIRIE Service Retrait s ATHIS MONS Mairie Public 1 o MAISON DE RETRAITE HAUTEFEUILLE SAINT VRAIN EHPAD Public 1 1 MAISON SAINT CHARLES VERRIERES LE BUISSON JEHPAD Priv o e o MOSAIQUES SERVICES BALLANCOURT Structure de maintien domicile Priv 1 RESIDENCE AMODRU LA FERTE ALAIS EHPAD Pie o RESIDENCE DE L ORGE ST GERMAIN LES ARPAJON EHPAD Pr S o o RESIDENCE GRANGER DRAVEIL EPA Pr o e o Sce MAINTIEN A DOM ENTRE JUINE ET RENARDE ETRECHY Mairie Public 1 SERVICE RETRAITES TEMPS LIBRE RIS ORANGIS Maire Public 1 o SERVICE SENIORS L
5. Vieillissement d mences et Maladie EHPAD d Alzheimer 2004 mars Traitement des signalements maltraitance relevant du AFBAH 2008 d partement de l Essonne 2004 2009 Sensibilisations destination des directeurs d tablissement EHPAD foyers d h bergement logement p r EHPAD SSIAD 2004 2006 Sessions d information Population g e et risques extr mes SAD CCAS 2004 2006 Ecoute t l phonique des familles concern es par l Alzheimer Alzheimer Essonne 2004 2006 Animation de groupes d aide aux aidants familiaux Alzheimer Essonne Participation la r daction du sch ma d partemental personnes LL 2005 ag es 2005 2010 Conseil g n ral 91 2008 2010 Aide analyse de pratique des situations complexes destination CLIC des professionnels sociaux NOS ACTIONS A ce jour AGE m ne des actions de sensibilisations d information et d orientation en faveur des personnes g es et des professionnels du d partement de l Essonne L association a galement pour mission de porter le dispositif MAIA Centre Est de l Essonne Nos actions ont t mises en place selon la chronologie suivante Ann e de Intitul des actions lancement Sassone de sorsbiisaton aa Prtenton des ques de mare 1 Formatore protessonnaisanes couvrant crampe rig 200 Sarve css au arot es pero ag 2 Sens de sonsbiisaton La age names mwa AGE espace d charge de pratiques es esters me 2
6. Conna tre les effets du vieillissement sur la nutrition et les cons quences de la d nutrition Savoir rep rer tre en capacit d alerter les situations risque et r fl chir sur les conduites tenir face la d nutrition gt Contenu e Sensibilisations Encadrement Le contenu des sensibilisations destination des responsables et de l quipe d encadrement des structures a t con u par l UTNc En voici le programme Probl mes li s au vieillissement de la population o La diminution de l app tit Les probl mes bucco dentaires La polym dication La perte du go t et de l odorat La douleur la d pression le changement d environnement O O O Probl mes rencontr s par les quipes Probl mes induits par la d nutrition cons quences o La sarcop nie La diminution des capacit s fonctionnelles Les infections La morbi mortalit La spirale de Monique Ferry O O O Le d pistage de la d nutrition la th orie o Signes cliniques d nutrition d shydratation o Indicateurs biologiques o D finition de la d nutrition o Epid miologie D 2 a Ze 2 FA SU sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation o Les Apports Nutritionnels Recommand s o Les chutes Solutions et prise en charge la pratique o Rappels di t tiques R gimes restrictifs Adaptation de l alimentation Bonnes pratiques soignantes Adaptation du cadre et du repas Trai
7. Edition janvier 2011 29 associations gestionnaires intervenant en Essonne ont t identifi es Etude de l offre de sensibilisation existante Une tude de la concurrence a t men e aupr s de 79 centres de formation r pertori s pour le secteur de la sant 68 d partementaux et 11 r gionaux nationaux Elle avait pour objectif de conna tre les organismes qui proposent des programmes de formation avec des l ments de sensibilisation la maltraitance et la bientraitance et l existence d offres de sensibilisation gratuites sur ce th me en Essonne II s av re qu aucune offre de sensibilisation gratuite n a t d couverte dans le cadre de cette tude D l T Xe AD UNS SAS QGe 2014 rapport annuel Projet handicap Cette tude a t r alis e par la b n vole Plam na PASHEVA Analyse des besoins Enqu te aupr s des structures Un questionnaire destination des structures du handicap a t labor pour nous permettre d analyser leurs besoins gt Objectifs Evaluer l importance du besoin d actions de sensibilisation sur le sujet de la Bientraitance Maltraitance tenter de mieux connaitre la perception d une n cessit pour une telle sensibilisation identifier les actions d j mises en place par les tablissements gt Destinataires Le questionnaire a t envoy aux directeurs d tablissement directeurs g n raux et pr sidents pour les associations selon l
8. m Niveau 2 Pratique E Enrichissante Ennuyeuse Non r ponse Les participants confirment leur vif int r t pour ce nouveau th me et confirment l enrichissement professionnel qu ils peuvent en retirer Le contenu de cette session a t il r pondu vos attentes 0 1 Niveau 1 et 2 E Oui Non m Partiellement Ne se prononcent pas Le contenu des deux programmes de sensibilisations permet de r pondre aux attentes des participants Ils semblent en ad quation avec les besoins des quipes de terrain sur ce th me D Es TT Ze 2 OF AY sQGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les exemples cit s par le formateur sont ils proches de situations que vous rencontrez dans votre pratique quotidienne 2 Niveau 1 et 2 14 E Tr s souvent E Souvent Jamais Ne se prononcent pas Le temps de parole laiss aux stagiaires vous a t il paru 6 Niveau 1 et 2 3 9 2 a Suffisant E insuffisant _ Tr s insuffisant Ne se prononcent pas Le temps de parole laiss aux participants au cours des deux niveaux de sensibilisation leur ont permis de poser les questions et d changer avec l intervenant sur leurs pratiques Quelle appr ciation portez vous sur les qualit s p dagogiques du formateur Niveau 1 et 2 2 E Tr s satisfaisant E Satisfaisant m Passable Insatisfaisant _ Ne se prononcent pas Les qualit s p dagogiques des intervenants ont t app
9. Cependant la demande d approfondissement reste tr s lev e t moignant d un r el besoin de formations compl mentaires pour les professionnels La sensibilisation sur la maladie d Alzheimer a pour objectif de permettre chacun d tre en mesure de reconna tre la maladie et d en appr hender les cons quences dans le quotidien des malades Il s agit d une premi re approche n cessaire tout professionnel accompagnant des personnes g es Il est cependant vident qu en 2 h 30 d intervention ne peuvent tre abord es les techniques de prise en charge propres cette pathologie qui doivent faire l objet de formations approfondies que nous proposons par ailleurs dans le cadre de notre d partement formation Ze es AT AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Sur quels autres th mes souhaiteriez vous une information L agressivit et le sujet g Autres pathologies Parkinson AVC Les participants confirment par ces statistiques leur besoin d information et formation sur l ensemble du champ g rontologique Le temps de parole laiss aux stagiaires vous a t il paru 4 2 1 Niveau 1 et 2 E Suffisant E insuffisant _ Tr s insuffisant Ne se prononcent pas Malgr la courte dur e des sessions l expression des participants est favoris e pour changer sur les situations v cues au quotidien Ces moments de r flexion partag s leur permettent d acqu rir une d
10. D finition des organismes acteurs B n ficiaires Facilitateurs c est dire des organisations qui peuvent conseiller ou prescrire une sensibilisation Descriptif et identification du public b n ficiaire et du type de structures concern es R union n 2 et 3 Apports du groupe pour l tat des F vrier Mars lieux des textes des r f rences et des proc dures internes Organisations qui offrent des actions de sensibilisation dans le secteur du handicap Autres structures qui peuvent trouver de l int r t R glementation r f rentiel Analyse des besoins Elaboration et diffusion d une R union n 3 aupr s de diff rentes cibles enqu te de besoin Mars Retour sur les tudes pr alables Pr sentation et discussion des R union n 4 pr sentations des r sultats r sultats de l tude Mai D 88 ne E Ze en AT AY sage 2014 rapport annuel Projet handicap En amont pr sentation des programmes AGE Participation dans l analyse en groupe R union n 5 Juin Analyse des points forts et faibles SWOT analyse de l offre et des programmes de sensibilisations Identification des l ments d encadrement du message et du R union n 5 contenu Juin Personnaliser la cible niveau dans la structure fonction D finition du style de communication envers le secteur du handicap Proposition des points am liorer qui seront la ligne conductrice pour un travail
11. VA sage 2014 rapport annuel Projet handicap XN A METHODOLOGIE gt D finition du plan d action g n ral Fin 2013 le Conseil d Administration de l association s est r uni afin de d finir la feuille de route pour la mise en uvre du projet de d veloppement des actions de sensibilisation dans le champ du handicap Celle ci s est d clin e selon les 5 tapes suivantes Les actions entreprendre Etat d avancement 1 D finition de la strat gie de mise en uvre avec la cr ation d une Commission Handicap constitu e de repr sentants du champ du handicap dont l objectif est de v rifier la faisabilit du projet de d terminer la strat gie de communication avec le secteur du handicap d finir les l ments de langage d terminer la cible prioritaire structures type de handicap type de professionnels laborer un planning d intervention pour l ann e 2014 et une politique de communication et les outils correspondants 2 Election d un vice pr sident de l association en charge du handicap En vue de d velopper ses actions dans le champ du handicap le Conseil d Administration s est enrichi de deux administrateurs issus du secteur du handicap cooptation valid e et lection d un vice pr sident en charge du handicap R alis entre janvier et juillet 2014 R alis en mai 2014 3 D signation d un ou de plusieurs charg s de mission pour la mise en
12. aupr s des personnels m dico sociaux en vue d une am lioration de leurs connaissances afin de favoriser une meilleure prise en charge des personnes g es Ces formations sont destin es un public pluridisciplinaire partir du moment o les professionnels concern s sont en relation avec les personnes g es La maladie son volution et ses traitements 6 56 Alimentation hygi ne et vie quotidienne 4 40 La maladie d Alzheimer ET a R percussions sur l entourage 3 38 L animation 2 15 Pr vention de la d nutrition et de la d shydratation 8 22 La pr vention des chutes 2 19 Le sujet g d pressif OO O7 La relation avec les familles 4 8 L agressivit du sujet g comment la g rer 2 12 De la maltraitance la bientra tance des personnes g es 88 307 La maladie de Parkinson 6 5m TH amp D A SAGE 2014 rapport annuel D partement Formation Sensibilisation l accompagnement des os personnes g es en fin de vie et de leur famille Soins palliatifs et fin Prise a psychologique du patient en de vie R alis par SOINS palliatifs les r seaux SPES La douleur Les douleurs ou NEPALE La prise en charge de la douleur chez le sujet g Droit des malades Loi L onetti Droits et devoirs des r sidents Droits et devoirs des soignants TOTAL 140 1265 Ces interventions ont touch es 32 structures associations d aide et de soins domicile pl
13. e 2014 Th matique Nombre Plaquette de pr sentation du service 724 Plaquette Les mesures de protection juridique 254 Plaquette L obligation alimentaire 185 Plaquette Comment d poser plainte Affiche A3 pr sentant le service Le droit au service des personnes g es 01 64 99 79 85 de 14 h 16 h30 r pondeur 24 h 24 Vous avez besoin d un renseignement juridique Le service s adresse aux personnes g es leurs familles et aux professionnels sociaux et m dico sociaux en r pondant toute demande juridique dans les domaines Civil P nal Social Administratif organisant des permanences juridiques destination des personnes g es et de leurs proches assurant des r unions d informations juridiques En partenariat avec QT e AN ACC S AU DROIT CF RSS pe ac En partenariat avec la Communaut d Agglom ration du Val d Yerres et le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Es sonne l Association G rontologique de l Essonne propose des PERMANENCES JURIDIQUES Epinay sous S nart A destination des personnes g es et de leurs familles de 9 h 30 12 h 30 Dans le cadre de ces permanences un juriste r pond toute demande juridique dans les domaines civil p nal social et administratif vous coute vous informe sur les droits et obligations vous aide dans l accomplissement de vo
14. gt Structure juridique e Cr ation d un Groupement de Coop ration Sociale et M dico sociale Afin de faciliter la mise en uvre de ce projet les structures l initiative du PASI ont souhait le faire porter par un groupement de coop ration sociale et m dico sociale GCSMS Un GCSMS a pour objet de favoriser la coordination la compl mentarit et garantir la continuit des prises en charge et de l accompagnement Le GCSMS peut notamment Permettre des interventions communes des professionnels des secteurs sociaux m dico sociaux et sanitaires des professionnels salari s du groupement ainsi que des professionnels associ s par convention Etre autoris ou agr la demande des membres exercer directement les missions et prestations des tablissements et services sociaux et m dico sociaux et assurer directement a la demande de l un ou plusieurs de ses membres l exploitation d autorisation ou d agr ment La convention constitutive du CGSMS a t sign e par les membres fondateurs le 11 avril 2012 Le groupement approuv par le Pr fet de l Essonne par un arr t du 15 octobre 2012 poursuit un but non lucratif est une personne morale de droit priv Les comp tences du GCSMS sont limit es la r alisation des missions qui lui sont express ment confi es e Assembl e G n rale constitutive L Assembl e G n rale constitutive a eu lieu le 29 novembre 2012 Evry gt Accompagnement La
15. liorer les conditions d accompagnement des personnes g es et s inscrit dans la continuit des actions de sensibilisation La formation des professionnels est un facteur essentiel pour la promotion de la bientraitance mais galement une ressource n cessaire pour les professionnels leur permettant d appr hender au mieux leur activit et les difficult s qu elle peut entra ner gt Modalit s d organisation Depuis 2005 nous proposons chaque ann e un catalogue de formation diffus l ensemble des partenaires de l Essonne tablissements d h bergement services d aide et de soins domicile CCAS Centres Hospitalier CLIC etc L dition 2014 de notre catalogue a t tir e 530 exemplaires Nous r pondons par ailleurs des appels d offre et des demandes de formations adapt es dans la mesure de nos comp tences La dur e des formations varie de 3 21 heures selon la th matique abord e A Le lieu des formations est fonction du type de formation organis e savoir si la formation est r alis e en intra ou en inter tablissements En effet si les formations sont majoritairement r alis es au sein de la structure qui a demand la formation nous avons d velopp depuis 2008 des formations inter tablissements r alis es au si ge de l association La mise en place des formations et leur suivi engendre une organisation pr cise suite la sollicitation d une structure pour un th me de formatio
16. ral de mener au pr alable une tude de faisabilit du projet L association tant sp cialis e en g rontologie il convenait de v rifier sa l gitimit intervenir dans le champ du handicap et l opportunit d un tel projet Ce rapport a t r alis l issue d une concertation avec les professionnels du secteur en juillet 2014 Notre tude avait pour objectif de V rifier que l offre d actions de sensibilisation propos e par AGE peut r pondre un besoin r el de la part des tablissements du secteur du handicap D KE T ASSET VA sage 2014 rapport annuel Projet handicap Identifier des l ments importants pour le secteur du handicap qui serviront de rep res l adaptation de l offre les outils p dagogiques et les outils de communication Ao A Elle est le point de d part pour la mise en uvre effective du projet gt Commission handicap Composition de la commission Suite la d finition du plan d action g n ral pour le projet l association a constitu un groupe de r flexion d nomm Commission Handicap AGE n tant ce jour pas sp cialis e dans le champ du handicap il est apparu indispensable de s entourer de professionnels et d acteurs intervenants dans ce champ pour am liorer notre connaissance du public et des sp cificit s du secteur Nous avons souhait que ce groupe de travail soit repr sentatif du secteur du handicap dans sa globalit par le
17. rapport annuel D partement sensibilisation Sensibilisation De la maltraitance la hientraitance des personnes g es PROGRAMME DE SENSIBILISATION gt Objectifs 1 Apporter des connaissances permettant de d celer les situations de maltraitance de contribuer leur r duction et leur radication en amenant chaque professionnel Ne plus passer sans voir Ne plus voir sans r agir Se d gager des d fenses corporatistes Conserver un regard personnel et un comportement citoyen 2 Apporter chacun les l ments lui permettant de ne pas devenir maltraitant par inadvertance En suscitant la prise de conscience du ph nom ne maltraitance dans les pratiques professionnelles En aidant une relecture des actes professionnels quotidiens o la technicit prend trop souvent le pas sur l attention la personne En provoquant une bauche d auto r gulation comportementale au sein des quipes Il s agit de pr venir la maltraitance en informant les professionnels en leur donnant les moyens d en parler et en les d culpabilisant La pr vention de la maltraitance est un outil primordial pour promouvoir la bientraitance 3 S approprier le concept de bientraitance et d velopper une d marche participative En menant une r flexion collective sur la bientraitance au quotidien En d clinant les recommandations pour chaque structure pour une am lioration continue des pratiques gt C
18. BOUSSY SAINT ANTOINE LES MARRONNIERS BOUSSY SAINT ANTOINE Xe 2 CA AY sage 2014 rapport annuel Introduction LE CERCLE DES AINES MAISON LA PIE VOLEUSE RESIDENCE POUR PERSONNES AGEES MSA IDF RESIDENCE DU CENTENAIRE CENTRE DESFONTAINES SSIAD UNA Essonne FASSAD 91 Ze ya OF AY sage 2014 rapport annuel Introduction gt Les partenaires EHPAD SAD SSIAD Foyers logements CCAS de l Essonne Centres Locaux d Information et de Coordination CLIC Points d acc s au droit Maisons de Justice et du Droit Comit D partemental d Acc s au Droit R seaux de sant R seaux SPES NEPALE et HIPPOCAMPES France Alzheimer Essonne ASAD de Corbeil Essonnes HAD de la Croix Saint Simon gt L quipe salari e L quipe salari e L ann e 2014 marque une nouvelle augmentation du nombre de salari s avec le recrutement de Sylvie LOEB pour le 3 poste de gestionnaire de cas Infirmi re de formation elle est arriv e le 23 juin 2014 dans le cadre du dispositif MAIA Yasmine FADLALLAH en tant que Secr taire dans le cadre d un emploi d avenir arriv e le 1 septembre 2014 L quipe salari e de AGE est donc compos e aujourd hui de 9 salari s permanents Delphine GUILLEMET Directrice 1 ETP St phanie BLANCHARD Assistante de Direction 1 ETP Yasmine FADLALLAH Secr taire 1 ETP Xe en AT AY QGe 2014 rapport annuel Introduction Omar DIDAOU
19. DE LA VIE DOMESTIQUE en raison de troubles cognitifs o faire les courses o faire le m nage o g rer les transports o g rer les m dicaments o g rer le linge o g rer le budget o pr parer le repas CRITERE 3 Instabilit persistante de l aide propos e face aux besoins O Aides humaine mat rielle et ou financi re et soins insuffisants ou inadapt s O Pas de personnes ressources ni d entourage proche en mesure de mettre en place et coordonner les r ponses aux besoins Ou moins de 60 ans atteinte d une maladie d Alzheimer ou apparent e diagnostiqu e MAIA NORD ESSONNE MAIA CENTRE EST ESSONNE T l 0169 80 4698 Fax 0169805948 JA suente T l O81 85 02 50 Fax 01 81 85 02 54 maia91 hpgm fr Ars demand e91 or H pital Priv QT Les Magnolias Sanat AGE P rc de la J lienne 26 rue des Champs B t F 77 rue d Pertay 91160 BALLAINVILLIERS 91830 LE COURDRAY MONTCEAUX DISPOSITIF MAIA CENTRE EST ESSONNE si SYNTHESE DES DECISIONS 2014 DE LA TABLE DE CONCERTATION TACTIQUE gt Belinda INFRAY Pilote 01 81 85 02 50 pilote maia age91 org Ce document a pour objectif de pr senter l ensemble des d cisions prises par la table de concertation tactique du territoire Centre Est Essonne au cours de l ann e 2014 DATE DECISION SUIVI OBSERVATIONS 10 02 2014 Synth se des d cisions prise en table de concertation Envoi en juin 2014 tactique sur l ann e 2013 faire et envoyer aux p
20. DROIT DES PERSONNES AGEES 01 64 99 79 85 Pr sentation de la situation Ecoute et analyse de la situation de l usager Questionnement de l usager pour pr cisions A N Si r ponse imm diate impossible R mm dat R ponse diff r e apr s A quelques informations g n rales Si possible R ponse et explications Besoin de recherches Besoin d tudier de compl mentaires d gt consulter les documents juriste de l usager l nvoi d une plaquette d information en compl ment des explications t l phoniques Rappel de l appelant R ponse t l phonique et explications Rencontre physique si la situation le n cessite Aide la constitution de dossiers Aide la r daction de courriers 4 1 Un suivi est assur par le juriste si besoin II reste la disposition pour toutes questions ou difficult s rencontr es D CO 8 XN ya OF SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Pr ambule Le service d acc s au droit des personnes g es est n de la convention sign e en septembre 2000 entre le Conseil g n ral de l Essonne le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne et l Association G rontologique de l Essonne Il en est aujourd hui sa quatorzi me ann e de fonctionnement Ce service d information et d orientation juridique anim par un juriste s adresse aux personnes g es leu
21. Le type de sessions Inter Intra tablissement La fr quence des interventions souhait e La cat gorie de professionnels sensibiliser La taille des groupes et personnel mobilisable La liste des th mes aborder Analyse de la d marche et de l offre de l association Avec l aide du groupe de r flexion un travail d analyse de la d marche et de l offre propos e par AGE a t r alis concernant les sensibilisations actuellement dispens es dans le champ de la g rontologie Ainsi la d marche et la proposition actuelle ont t pr sent es au groupe qui par la suite a spontan ment voqu des points forts et faibles Une telle analyse permet de mieux adapter la d marche utilis e aux sp cificit s du secteur Adaptation des outils p dagogiques Les outils p dagogiques les supports et les techniques utilis s lors du d roulement d une session de sensibilisation ont t valu s par le groupe En effet il s est av r important de pr ciser les axes essentiels du programme et avoir un contenu concret adapt la sp cificit de chaque handicap Ze ee AT AY QGe 2014 rapport annuel Projet handicap gt Les principaux r sultats de l tude _ R sultats de l enqu te d analyse des besoins Avec un taux de retour de 35 les r sultats du questionnaire de la premi re tude t moignent de l int r t des r pondants b n ficier de sensibilisations gratuites sur ce t
22. Supports d valuation de la douleur concrets adapt s faciles mettre en place d s aujourd hui notre port e Mais quelques notions sont survol es d aux nombres d heures limit es de la formation Formatrice tr s sympathique et au top Formation au contenu complet Formation claire avec des exemples L ensemble de la formation tait passionnant Formation bien pr sent e Merci la formatrice Il ma plu que l on puisse parler de nos situations Tr s interactif discussion en quipe de situations probl matiques Cette formation m a apport les r ponses sur le secret professionnel Les r ponses explications aux questions taient satisfaisantes et les convaincantes Plu le cadre l ambiance Le formateur a pu me donner les r ponses que je pouvais attendre j ai pu apprendre beaucoup de choses concernant ce que je devais pouvais et ne pouvais pas faire L ensemble des situations tudi es semble de mani re g n rale suffisant Mais plus de temps aurait permis d approfondir certains aspects psychologiques auxquels nous aurions pu tre renseign s sur les modes de d fenses ou de r gulation des probl mes Merci pour votre accueil et votre coute Le comportement de la formatrice m a beaucoup plu Elle est douce et elle nous donne le temps n cessaire de nous expliquer et de comprendre le fond du sujet Plu les jeux de r les la relaxation C tait une bonne journ e d app
23. annuel Service d Acc s au Droit Service d information et d orientation juridique Acc s au Droit des personnes g es PERMANENCE TELEPHONIQUE Le service fonctionne en outre via une permanence t l phonique gratuite tenue par un juriste accessible au 01 64 99 79 85 les lundi mardi jeudi et vendredi de 14 h 16 h 30 En dehors de ces plages horaires un r pondeur permet de laisser un message afin d tre recontact ult rieurement En fonction de la complexit de la situation et des documents compulser le juriste peut tre amen rencontrer les b n ficiaires du service personnes g es familles proches professionnels des champs sanitaires sociaux et m dico sociaux gt Evaluation quantitative e Nombre de situations Nombre de Nombre de Moyenne dossiers contacts dossier Dossiers ouverts en 2014 255 Dossiers suivis en 2014 ouverts entre 2004 et 2013 Au cours de l ann e 2014 le service a comptabilis 255 situations nouvelles ayant g n r 441 contacts et assur le suivi de 13 anciennes situations ayant g n r 38 contacts e R partition mensuelle des situations 40 30 20 10 217 Cvr ds Vrij a ih le Oy op Cto Oy Cc Q t b e e F F Mbr Mbr Mbre e Profil de l appelant Personne g e m Professionnel E Famille Autres 2e en AT TAV sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Les appels manant de la personne g e
24. cherche d terminer s il y a des difficult s pour les actes de la vie quotidienne Comment vous organiser votre journ e Est ce que vous sortez encore un peu Faites vous votre m nage vos courses Aspects familiaux et sociaux On chercher d terminer l aide existante m me professionnelle et dans ce cas faire pr ciser la ou les structures Et rep rer l isolement ventuel Qui vous aide chez vous Votre famille vous rend elle visite Tous les combiens Ils habitent loin Aspects conomiques et ou administratifs On cherche rep rer les difficult s financi res les droits non ouverts les difficult s dans la gestion administrative Avez vous des aides financi res APA PCH Est ce que vous vous en sortez comme cela Comment vous faites avec vos papiers Sant On cherche d terminer s il y a eu une volution particuli re de l tat de sant s il y a bien un suivi m dical Pour le proche rep rer un puisement ventuel Comment va la sant Comment allez vous Qu en dit votre m decin Comment s appelle t il Si tiers aidant Et vous comment allez vous Si vous ne faites pas vos courses alors qui vous aide Comment payez vous cette aide f INFORMATION compte tenu des informations que vous venez de me donner je vous propose de transmettre vos coordonn es Environnement et s curit individuelle On cherche d terminer si
25. conduites tenir envers les malades les familles et nous m mes gt Contenu Afin de faire voluer nos sensibilisations sur la maladie d Alzheimer et r pondre au plus pr s des besoins des professionnels du domicile nous avons labor en 2011 un deuxi me niveau de sensibilisation Cette volution permet de r pondre la courte dur e de la sensibilisation et d approfondir ce th me en lien avec la r alit quotidienne des intervenants domicile e Niveau 1 Vieillissement d mences et maladie d Alzheimer Les effets du vieillissement comment est il normal de vieillir Qu est ce qu une d mence La maladie d Alzheimer Les sympt mes de la maladie d Alzheimer comprendre son apparition Rappels sur la m moire Qu est ce qu un trouble du comportement l volution de la maladie et les traitements Apporter des l ments de compr hension et de r ponse quant aux attitudes et conduites tenir dans le cadre d un accompagnement m dico psychologique adapt e Niveau 2 Vie quotidienne et troubles li s la maladie d Alzheimer Mieux comprendre le malade et carter les id es re ues Les troubles cognitifs m moire d sorientation communication et non reconnaissance Les troubles de la vie quotidienne la toilette l habillage le repas Les troubles psycho comportementaux modification de l humeur et du comportement Comment faire face ces troubles et quelles strat g
26. contenus de formation contribue la qualit de la prestation Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires l issue de la session Voici quelques extraits de leurs commentaires donn s titre d illustration Qu est ce qui vous a plu et ou d plu dans cette sensibilisation Tout m a beaucoup plu une bonne ambiance d quipe de l coute et de la participation Ne pas tre sur le jugement tre l coute La maltraitance est sous plusieurs formes e Des exemples parlants pour les participants Une formatrice nergique Bonne continuation vous e Les explications sont bien expliqu es sur les diff rents sujets et le temps de parole toujours aussi court e La formation et les exemples m ont plu je trouve que a m aide communiquer avec les personnes g es NF VAA sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Sensibilisation La maladie d Alzheimer XN PROGRAMME DE SENSIBILISATION gt Objectifs Apporter aux professionnels du domicile les connaissances de bases sur le vieillissement les d mences et plus sp cifiquement sur la maladie d Alzheimer Identifier les diff rents sympt mes de la maladie d Alzheimer les troubles apparent s et leurs r percussions sur la vie quotidienne Apporter aux professionnels des l ments de compr hension et des outils pour un meilleur accompagnement au domicile R fl chir sur les
27. cr ation d un GCSMS tant un projet de grande ampleur et complexe les membres fondateurs du PASI ont souhait un accompagnement externe pour faciliter sa constitution et sa mise en uvre Dans un premier temps le PASI a b n fici d un accompagnement juridique permettant d aboutir la cr ation de la convention constitutive du GCSMS Cet accompagnement est r alis par le Cabinet HOUDARD sp cialis dans le secteur sanitaire et m dico social Par ailleurs de 2013 juillet 2014 les membres du PASI ont b n fici d un accompagnement sp cifique afin de concr tiser la mutualisation entre les structures moyens projets organisation Cet accompagnement s inscrit dans les missions DLA d Essonne Active Dispositif Local d Accompagnement Il s agit d un dispositif gratuit d appui et de conseil au service des structures employeuses qui d veloppent des activit s d utilit sociale Cet accompagnement a permis l laboration d un projet coop ratif de sant permettant d expliciter les objectifs vers lesquels le PASI s oriente ainsi qu une premi re trame sur l organisation et les axes de mutualisation entre les membres du PASI Rappel du plan d accompagnement du PASI D a Ze es AE SLA sage 2014 rapport annuel PASI Elaboration d une strat gie de d veloppement du PASI r daction d un projet coop ratif et axes de mutualisation De janvier Consultant DLA avril 2013 Essonne Activ
28. d tecter les signes et aussi les prendre en charge Il n est malheureusement pas toujours possible de mettre en pratique les informations donn es par le formateur Plu l interactivit Le m lange des m tiers soignants et personnel de cuisine serveuses cuisini res e Ce qui m a plu l aspect pratique sur des cas concrets dans le travail Ex une personne qui d ambule que faire On sait maintenant comment r agir e Les explications taient tr s claires et cela a permis tous les participants de s exprimer Cela nous a apport un plus nos connaissances sur le sujet Il y a beaucoup de d nutris pour lesquels on ne fait rien j ai donc beaucoup appris c tait tr s agr able XN DA gt QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Conclusion G n rale Ces diff rentes sensibilisations invitent les professionnels prendre du recul sur leur pratique quotidienne et prendre le temps de r fl chir en quipe aux am liorations possibles pour un meilleur accompagnement Les sensibilisations De la maltraitance la bientraitance et La Maladie d Alzheimer sont compl mentaires car une m connaissance de la maladie et de son impact sur le quotidien peut engendrer des comportements inadapt s de la part des professionnels qu il faut pr venir Nous regrettons de ne plus pouvoir proposer gratuitement ces actions aux professionnels intervenant en tablissement d h ber
29. des disponibilit s des formateurs et des possibilit s de la structure e La confirmation aupr s des formateurs e L tablissement des contrats des formateurs vacataires et la d claration URSSAF e L dition et la mise disposition des supports p dagogiques aux formateurs e L envoi des confirmations d intervention aupr s des structures e Un suivi une semaine avant la r alisation afin d obtenir la liste des participants aupr s des Structures e La r alisation de la session par le formateur vacataire e Le suivi des retours des comptes rendus et des valuations des stagiaires e La saisie des statistiques d valuation et leur analyse e L tablissement d attestations de pr sence sur demande e A six mois un entretien t l phonique avec l encadrement de la structure afin de faire le point sur la r alisation et les changements de comportements observ s calendrier tr s difficile tenir gt Profil des formateurs Les formateurs sont recrut s en fonction de leur qualification IDE cadre infirmier di t ticienne psychologue clinicien de leurs exp riences professionnelles dans le champ g rontologique et de la formation d adultes Les formateurs sont rencontr s individuellement suite leur premi re intervention dans le cadre d une sensibilisation afin de faire le point sur le contenu et le d roulement de la session Ils sont vacataires pour l association PS A Gi S AS 2014
30. des personnes g es par le biais d actions de sensibilisation de formation et du dispositif MAIA AGE m ne galement des actions destination des personnes g es et de leurs proches dans le cadre d un service d acc s au droit et d un service d accompagnement individualis des personnes g es en situations complexes g r par des gestionnaires de cas gt Historique Depuis sa cr ation AGE s est d velopp e dans la r flexion et l laboration de projets pour r pondre aux objectifs qu elle s tait fix e Si elle n a pas conserv l ensemble des projets labor s l historique ci dessous permet de retracer dans ses grandes lignes les actions men es par AGE depuis 1995 Partenaires op rationnels 1995 1996 Evaluation qualitative des institutions CODERPA 91 1997 2003 Recueil des signalements maltraitance Suivi pluridisciplinaire ALMA FRANCE Participation la r daction du sch ma d partemental personnes nn 1999 g es 1999 2004 Conseil g n ral 91 1999 2010 Sessions d information pr vention des risques de maltraitance EHPAD P riode Intitul des actions Etude de faisabilit d un dispositif d coute maltraitance r gional et 2007 2008 cr ation de l AFBAH en 2004 DRAC S Ir 2003 2006 Soutien administratif l association Alzheimer Essonne Alzheimer Essonne Xe es AT AY QGe 2014 rapport annuel Introduction 2003 2009 Sessions d information
31. e e Le b n ficiaire R partition par sexe 644 1 oE E Femme Couple Pas de personne g e concern e E Ensemble des r sidents R partition par ge Moins de 60 ans Entre 60 et 65 ans Entre 66 et 70 ans Entre 71 et 75 ans E Entre 76 et 80 ans m Plus de 80 ans Non renseign Le profil type de l usager b n ficiaire du Service d Acc s au Droit est une femme g e de plus de 80 ans e Mati res juridiques concern es Domaines Mesures de protection juridique 9 2778 Droit de la protection sociale demandes d aides informations sur l aide sociale l APA pensions de retraite Droit p nal Droit de la consommation Droit des contrats Droit du travail Droit administratif 8 amp 8 24 Droit des biens Oo 8 24 Droit des assurances Droit bancaire o 6 14185 Informations sur le service Droit des trangers Droit fiscal XN ya OF SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Une m me situation peut recouvrir plusieurs probl matiques Bien que chaque situation soit unique on constate que la probl matique sur laquelle le juriste est le plus souvent sollicit est celle relative aux mesures de protection juridique Ainsi plus d une question sur quatre concerne cette th matique Voici quelques illustrations de questionnements Probl matiques relatives aux mesures de protection v Quiet comment solliciter une demande de mesure de protection juridi
32. e Les contacts et les changes m ont beaucoup plu Les exemples cit s taient en relation avec nos exp riences v cues ASSET VA sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Sensibilisation Nutrition et d nutrition des personnes g es XN PREAMBULE gt D marche de sensibilisation Pour cette nouvelle th matique de sensibilisation nous avons voulu commencer par sensibiliser les responsables de structures du domicile et des tablissements d h bergement avant de sensibiliser de mani re plus sp cifique les quipes soignantes et d accompagnement nous semble indispensable que les responsables et l quipe d encadrement puissent tre convaincus de l int r t de cette probl matique et connaissent les solutions possibles avant de sensibiliser les intervenants de terrain Aussi nous avons organis des sessions de sensibilisation en inter tablissements c est dire regroupant les personnels encadrant de diff rentes structures de maintien domicile et d EHPAD directeur cadre de sant IDE responsable de secteur etc Un seul niveau de 2 h 30 leur est propos La seconde tape est de proposer des sessions aux quipes soignantes sur 2 niveaux 2 x 2 h 30 Les sensibilisations sont mises en place au sein des structures dont le responsable ou l quipe d encadrement a suivi au pr alable la sensibilisation dispens e par l UTNc cf ci dessous Les sessions de sensibilisat
33. es par leurs soins proximit de leur service Cette modalit permet d offrir un discours en r sonance avec les probl matiques du site et de faciliter l acc s l information l ensemble des personnels Certaines sessions peuvent tre organis es en Inter pour permettre de regrouper plusieurs structures au sein d une m me session et de constituer un groupe complet gt Organisation op rationnalit Par le biais d op rations de communication de rencontres de partenaires ou de sollicitations directes l association programme chaque ann e les sensibilisations avec les structures de l Essonne L objectif est de sensibiliser le plus de structures possibles mais galement de faire en sorte que l ensemble des professionnels d une m me structure soit int gr dans cette d marche C est pourquoi le nombre de session r alis aupr s d une structure ou d un service domicile n est pas limit Les structures doivent pouvoir sensibiliser l ensemble de leur personnel si elles le souhaitent Les contenus p dagogiques ont t labor s au cours des exercices ant rieurs et sont r actualis s chaque ann e La mise en place d un plan de sensibilisation au sein d une structure suppose e Un entretien t l phonique avec l encadrement de ladite structure afin de d finir les attentes de la direction et des personnels d identifier les ventuelles probl matiques rencontr es et de planifier les interventions en fonction
34. et continu pour les personnes en perte d autonomie avec le souci d aboutir une mutualisation importante de leurs outils de travail Afin de d velopper plus avant cette compl mentarit et p renniser nos actions les partenaires ont d cid de donner une forme officielle leur coop ration en l institutionnalisant dans le cadre d un Groupement de Coop ration Sociale et M dico Sociale d nomm P le Autonomie Sant Information PASI gt Objectifs Le PASI se veut tre l instrument du d cloisonnement favorisant une coordination et une articulation efficace entre le sanitaire le social et le m dico social dans le domaine de la prise en charge des personnes g es en situation de handicap et des personnes souffrant d une maladie grave chronique risque de d pendance Le GCSMS assurera organisera et veillera une meilleure fluidit et continuit des parcours de sant en m me temps qu il permettra une mutualisation importante des moyens techniques et humains par la r union de ses membres en un m me lieu facilement accessible Par ailleurs soucieux de compl ter l offre de soins et en r ponse aux besoins sp cifiques des personnes porteuses d une maladie grave chronique les partenaires entendent dans un cadre exp rimental porter un projet relatif la mis en place d une Maison de r pit Il s agit d un lieu d accueil temporaire et ou de r pit pour les personnes porteuses d une maladie grave qui traver
35. guichet int gr e Une r ponse compl te prenant en compte toutes les prestations et tous les services disponibles du territoire e Une r ponse adapt e aux besoins de la personne accueil information orientation mise en place de soins de services ou de prestations e Pour les personnes en situation complexe la MAIA propose un accompagnement individualis par un gestionnaire de cas afin d assurer la meilleure accessibilit et la meilleure continuit possible dans l articulation des diff rentes interventions Le dispositif MAIA ne se superpose pas aux structures de coordinations existantes il s appuie sur elles La MAIA est un dispositif g r par un pilote Ce professionnel a pour mission de faire un diagnostic organisationnel permanent Ce diagnostic permet e de rep rer et d viter les doublons e de faire remonter les besoins quantifi s de la population services non rendus ou la n cessaire r gulation d un service 1 Cahier des charges national des dispositifs MAIA a EJ TT SA 4 D S K y age 2014 rapport annuel Dispositif MAIA e de connaitre pr cis ment les missions de chaque partenaire du territoire et les modes d inclusion de la population gt Le territoire Le territoire de la MAIA Centre Est Essonne est un territoire infra d partemental qui couvre 2 CLIC C ur de l Essonne et Orgessonne 7 4 communes 17 cantons 7 communaut s d agglom ration Il couvre un secte
36. le logement est adapt aux besoins de la personne Vous habitez en appartement maison Depuis combien de temps Est ce que votre logement convient actuellement si vous ne connaissez pas la structure vers laquelle orienter pr venir qu on rappellera la personne rapidement pour lui donner le nom de la structure qui vous recontactera Cl turer l entretien au travers d une synth se reprenant les diff rents items Il est important de convenir avec l interlocuteur de ce que vous avez le droit de transmettre de retenir comme information P Aene R porale de Sarte le de France FICHE D ORIENTATION TERRITOIRE MAIA ESSONNE mea E Document rempli avec le consentement de la personne ou de son repr sentant l gal 1 ORIGINE DE LA DEMANDE 2 LA PERSONNE CONCERNEE gt Professionnels associ s la demande Nom Pr nom Fonction Structure Service Adresse Commune T l Fax Mail INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES Dispositifs en place ou en cours IAPA L AIDE SOCIALE CIPCH CIAAH CICNAV lPension d invalidit CIACTP CIASPA Intervenants en place LISSIAD CT HAD LISAD LICCAS L CLIC CICNAV R seaux de sant Accueil de jour U Accueil Poe Erone desi repas CIT l assistance EMS APA Professionnels lib raux LL Aie EEE CT pas de die en Le Protection juridique Llen place Llen cours Si protection Mandataire judiciaire d l gu la prot
37. leur est apparue majoritairement comme int ressante et enrichissante Le contenu de cette session a t il r pondu vos attentes E Oui lt Non E Partellement Le contenu et le d roulement de la formation ont largement permis de r pondre aux attentes que les professionnels avaient en amont de cette session Avez vous d j rencontr des situations semblables aux situations voqu es pendant la session E Oui la plupart E Oui quelques unes Non aucune Cette statistique nous permet de dire que les situations qui leur sont pr sent es sont en ad quation avec les situations que les professionnels rencontrent ou ont d j rencontr es dans leur quotidien La majorit d entre eux ont en effet consid r qu ils avaient d j rencontr quelques situations de maltraitance semblables dans leur pratique Il ne s agit pas ici d obtenir que la majorit des professionnels r pondent Oui la plupart ce qui laisserait entendre que la plupart des situations de D a Ze 2 FA AY sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation maltraitance qu ils ont observ s au cours de la sensibilisation sont galement observ es r guli rement sur le terrain Estimez vous que cette formation participera favoriser la bientraitance au quotidien E Oui Non m Peut tre _ Ne se prononcent pas La r flexion engag e au cours de la sensibilisation sur les attitudes adopter au quot
38. ou de son entourage familial repr sentent plus de la moiti des appels re us e Origine g ographique des b n ficiaires du service E Essonne m Hors Essonne 92 des personnes g es b n ficiaires du service r sident en Essonne ce qui d montre la forte implantation du service sur le d partement z vj i x i 1 R partition des appels essonniens en fonction des secteurs g rontologiques E Hurepoix E Plateau d Orly Val d Essonne E Val d Orge E Val d Yerres E Val d Yvette E Ville Nouvelle E Val de Juine E Non renseign gt Evaluation qualitative e Connaissance du num ro d appel Orientation par Nombre d appels Point d acc s au droit Maison de Justice et du Droit CLIC 53 20 78 France Alzheimer Essonne 82 12 55 Directeurs d tablissement MAIA Centre Est Essonne Professionnels institutionnels AGE site internet conf rence formation R seaux de sant HIPPOCAMPES SPES Essononco gt 6 2 35 Conseil G n ral EMS APA MDS CPAM CRAMIF cf Annexes partir de la page 104 Carte des secteurs g rontologiques source Conseil g n ral de l Essonne D a Xe CES AY ba sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Structure de maintien domicile y compris SSIAD UDAF Halte r pit Cette donn e nous informe des supports de communication privil gier et des acteurs aupr s desquels cette communication doit tre effectu
39. projet La mise en place d un projet T moignage de soignants utilisant ces espaces N 3 Pr sentation et changes sur les exp rimentations de t l m decine Intervenant Florence TOUDIC charg e de mission du projet Eclairage Point abord s Pr sentation du projet Eclairage o Exp rimentation d une permanence t l phonique d un g riatre destination de 5 EHPAD de l Essonne du lundi au vendredi de 9h 18h30 L objectif du projet est d viter les passages inutiles aux urgences Dossiers des r sidents mis jour disposition du g riatre de permanence Partenariat avec le SAMU et SOS m decin o Exp rimentation de septembre 2014 d cembre 2015 o Retour positif des quipes qui ont galement b n fici d une formation sur les situations d urgence Pr sentation du projet de T l m decine o Exp rimentation sur 6 EHPAD de l Essonne sur 3 ans jusqu fin 2015 o Permanence des soins en journ e puis la nuit le week end et les jours f ri s Tr s rassurant pour les quipes o T l consultation salle quip e au sein de l EHPAD pour une consultation avec un m decin sur un grand cran Capacit du r sident faire abstraction de l cran Pr sence du m decin traitant pendant la consultation Evaluation des projets CONCLUSION Le nombre de directeur inscrit en 2014 est en augmentation par rapport l ann e pr c dente 15 avec une fr quentation de 14 par
40. s D AY CK y sQGe 2014 rapport annuel PASI LES INSTANCES DU GROUPEMENT gt L Assembl e G n rale Au cours de l ann e 2014 11 Assembl es G n rales ont t tenues gt Comit Strat gique Pr vu par la convention constitutive le Comit Strat gique se substitue au Comit de pilotage institu fin 2010 Cette ann e 2 Comit s Strat giques ont t tenu le 7 avril et le 6 octobre Ce comit strat gique a pour fonction de gt Proposer les volutions en mati re de prestations et d activit s sociales m dico sociales et sanitaires du GCSMS gt D apporter l Administrateur les informations d aide la d cision gt D assister l Administrateur dans ses fonctions en tant que de besoin Le Comit peut mettre un avis sur chacune des actions d cid es par l Assembl e G n rale L Assembl e G n rale informera pour avis le Comit Strat gique des actions qu elle entend mener Le Comit strat gique se compose gt De tous les membres du Groupement gt Des partenaires du Groupement et des personnes qualifi es Les membres du Comit Strat gique d signent un Pr sident lu pour 3 ans Le Comit se r unit au moins 4 fois par an Composition du Comit Strat gique gt Les membres fondateurs o AGE o ASAD Association Sant Domicile o R seau Hippocampes o R seau SPES gt Les membres actifs o HAD Croix Saint Simon Les membres du groupement disposent
41. structure dans l Est de la France Elle me dit que son maintien au domicile est impossible J ai pu constater des demandes ambivalentes le souhait de partir avec sa fille dans une structure dans l est le souhait d tre aid e par rapport au maintien domicile de sa fille la mise en chec pour des motifs personnels de toute aide mise en place au domicile Depuis le d but de mon accompagnement les souhaits de Mme ont volu s Elle maintient vouloir partir dans l Est cependant le type de logement change En effet la demande initiale correspondait une r sidence services Le co t trop on reux de ce type de structure n a pas permis de faire aboutir le projet Mme T s oriente alors vers un foyer logement Au moment de la finalisation du projet Mme T se rend compte que ses difficult s quotidiennes actuelles seront transpos es dans ce nouvel tablissement C est alors qu elle exprime le souhait d tre totalement prise en charge avec sa fille dans une structure Il s av re que sa demande correspond un EHPAD Avec son accord les d marches de recherche d un tablissement ont d but es Relatives la situation familiale et sociale Mme est l aidante unique de sa fille Elles sont isol es Aujourd hui Mme T verbalise cet isolement Les cousins qu elles ne voient plus et le voisinage l ont beaucoup aid mais ils n interviennent plus et ont mis fin toutes relations L isolement de Mme est tel qu une dema
42. synth tique sous forme de tableau il reprend l ensemble des besoins et probl matiques de la personne et permet de visualiser ce qui est d j en cours et les besoins non couverts Cet outil est mis en place par le gestionnaire de cas avec les partenaires et peut ensuite tre transmis l ensemble des partenaires La table de concertation clinique il s agit d un temps de concertation entre les diff rents partenaires intervenants dans la situation afin que chacun puisse changer des informations et proposer une organisation la plus b n fique possible pour la personne accompagn e Ces temps de concertation permettent galement de mettre en uvre les plans de services individualis s et de r partir les missions entre les diff rents partenaires Cf annexes partir de la page 104 12 Cf annexes partir de la page 104 Compte rendu de table de concertation clinique Ze DA gt SAS QAGG 2014 rapport annuel Dispositif MAIA Le pilote a organis deux temps de r unions hebdomadaires e Le premier temps concerne les demandes d inclusion en gestion de cas Le pilote tudie toutes les demandes avec les gestionnaires de cas Cela permet de croiser les regards et d optimiser le travail d approfondissement n cessaire chaque demande e Le second temps concerne l analyse de la pratique Chaque semaine une situation est analys e en terme de d marche professionnelle Le gestionnaire de cas pr sente ce
43. tant que formateur participent la qualit des formations Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires sur la session de formation laquelle ils ont assist Nous proposons donc ici quelques extraits de leurs commentaires titre d illustration la liste n tant pas exhaustive Ze 2 FA AY AGE 2014 rapport annuel D partement Formation Qu est ce qui vous a plu ou d plu dans cette formation Plu la possibilit d changer l coute et la capacit de r ponse de la formatrice Comprendre de nombreuses situations du quotidien et mieux les aborder La formatrice sait de quoi elle parle vraiment explique super bien et prend le temps ce qui est un plaisir et est facile assimiler La formation La maladie explique vraiment bien les situations incomprises d Alzheimer S entendre dire que tout le personnel son niveau peut faire de l animation e Formatrice dynamique nous a bien expliqu par des exemples concrets pour cerner nos r sidents et mieux comprendre certains comportements pour avoir les bonnes attitudes et nous adapter eux Tr s bonne formation finalement trop courte e Plu changes coute conseils explications tr s claires pour les personnes qui ne sont pas dans le milieu soignant _ Formation int ressante enrichissante et qui a r pondu mes attentes Formation tr s enrichissante et int ressante qui va nous aider au quotidien conna
44. uvre du projet La cr ation d un poste salari avait t envisag e par l association lors de la pr sentation du projet au Conseil g n ral de l Essonne Le budget attribu ne permettant pas un tel recrutement l association s est orient e vers le recours un b n vole recrut par l interm diaire de l association Passerelles et Comp tences 4 Modification des statuts de l association AGE tant une association sp cialis e en g rontologie il est n cessaire de faire voluer l objet de l association afin d ouvrir ses activit s au secteur du handicap Les statuts r vis s seront soumis au Conseil d Administration et devront tre valid s par une Assembl e G n rale Extraordinaire 5 R alisation d un rapport pour le Conseil g n ral de l Essonne Ce rapport pr sente l tude de faisabilit pour le d veloppement du projet R alis en juillet sensibilisations maltraitance bientraitance destination des professionnels 2014 intervenant aupr s d adultes handicap s 6 Planification de la mise en uvre du projet Elle correspond une phase 2 de notre projet et d butera l issue de l tude de faisabilit et de sa validation Soutien d un b n vole de janvier juillet 2014 Valid s le 10 02 2015 De septembre d cembre 2014 gt Etude de faisabilit En proposant la mise en place d actions de sensibilisation dans le champ du handicap AGE avait propos au Conseil g n
45. v Droit des successions et conflits familiaux Droit de la consommation e Modalit s de r ponse i EEES Dossiers ouverts Type de r ponse apport e l appelant en 2014 222 T l phone Entretien 14 T l phone et courrier T l phone et entretien Courrier Entretien et courrier O T l phone courrier et visite domicile EC T l phone et r union de synth se o XN ya OF SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit La premi re tape est consacr e par le juriste l coute de l usager Ce temps permet ce dernier d exposer son probl me les difficult s personnelles rencontr es d viant souvent du cadre purement juridique mais lui permettant de pr senter sa situation dans sa globalit Ce temps n est pas suppressible il participe la mise en confiance de l usager et une meilleure compr hension de sa probl matique La seconde tape consiste pour le juriste reprendre pr cis ment avec l appelant l objet de sa demande et analyser clairement sa situation Il s agit galement de relever les faits objectifs et n cessaires l tude de la situation l appelant insistant parfois plus sur des l ments personnels qui ne sont pas en rapport avec sa probl matique juridique Le juriste peut alors demander des renseignements compl mentaires en vue d apporter une r ponse concise et adapt e la situation expos e Une r ponse n est pas toujours fournie imm diate
46. 00 Dasost A Gant Essome 2 Sens gestes l Sessions arte Ramon a G n des persane g n ama L ann e 2014 est marqu e par la g n ralisation de deux nouvelles actions cr es en fin d ann e 2013 Les sessions de sensibilisation pour la pr vention de la d nutrition des personnes g es destination des professionnels intervenant au domicile et en tablissement d h bergement Le service de gestion de cas dans le cadre du dispositif MAIA permettant sous conditions de remplir les crit res d inclusion d finis un accompagnement individualis et intensif des personnes g es en situation complexes pour favoriser leur maintien domicile Toutes les activit s r alis es par AGE sont pr sent es de mani re d taill e dans le cadre de ce rapport d activit Ze es AT AY sage 2014 rapport annuel Introduction VIE ASSOCIATIVE gt Les b n voles Un groupe de professionnels et retrait s b n voles ou d tach s de leur institution d origine apporte leurs comp tences au service de l association en tant qu administrateurs L Assembl e G n rale Ordinaire a eu lieu le 26 mars 2014 A cette occasion le Conseil d Administration a t renouvel pour un tiers Il se compose ainsi Personnes physiques Personnes morales Monsieur Francis BLEHER Monsieur Thierry de MONTGOLFIER Madame Chantal de GUILLEBON repr sentant lets de sant La Martini re Docteur Bernard DUPORTET Madame Marie France P
47. 10 20 30 40 50 60 70 80 Question n 2 Pensez vous que la maltraitance est un sujet que l on aborde facilement dans les structures m dico sociales Non Non c est toujours difficile d en parler Plut t oui pour une partie des quipes Oui les professionnels changent facilement 0 10 20 30 40 50 Ze ee AT AY sQge 2014 rapport annuel Projet handicap Question n 3 Avez vous d j observ des situations de maltraitance professionnelle au sein de votre structure Non Jamais Tr s rarement Occasionnellement Oui souvent 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Question n 4 Avez vous t amen s mettre en place des actions sp cifiques pour pr venir les situations de maltraitance NON OUI 0 10 20 30 40 50 60 70 Si oui lesquelles e Des formations e Des groupes de parole e Tables rondes r unions sur le sujet en e Plan de gestion des risques proc dure de quipe pluridisciplinaire gestion des faits av r s ou suppos s de e Des fiches de signalement maltraitance e D placement de personnel e Rappel des postures tenir aupr s des e Des r unions institutionnelles quipes e Des formations collectives en intra Question n 5 Quelles cat gories professionnelles sont les plus sensibilis es la probl matique maltraitance bientraitance dans votre structure Aucune Techniques Socio ducatif D AE DE Encadrement TE 0 10 20 30
48. 40 50 60 70 80 90 Autres Moniteurs d ateliers XN H OA nE 027 T PNA VA sage 2014 rapport annuel Projet handicap Question n 6 Comment est assur e dans votre structure la sensibilisation des professionnels sur la probl matique maltraitance bientraitance Proc dures protocoles Groupes d analyse de pratique Formations ou sensibilisations externes Formations internes 0 10 20 30 40 50 60 70 80 Autre r unions d quipe Question n 7 Pensez vous utile pour votre structure de mettre en place des actions de sensibilisation sur cette th matique NON OUI 0 20 40 60 80 100 Question n 8 Seriez vous int ress s par la participation des membres de votre quipe des actions de sensibilisations gratuites sur le th me de la pr vention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance NON OUI 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 Typologie des structures ayant r pondu au questionnaire Type de structure Taille en ETP Foyer de vie 44 44 lt 10 ETP 5 56 10 19 ETP 11 11 20 49 ETP 38 89 gt 50 ETP 44 44 ESAT 27 78 Maison d accueil Sp cialis e 27 78 XN H OA nE OET T PNA VA sage 2014 rapport annuel Projet handicap R sultats questionnaire n 2 Ce questionnaire a t envoy en juin 2014 aux tablissements m dico sociaux pour adultes handicap s en Essonne Le taux de r ponse au que
49. Ch d Ballancourt Chamarande invi Bo ray s r sur Essonne SOUS Chauffours Eoureyeu SaintGermains IES CODE Bondouftle le Coudray Montceaux Mennecy i i Champcueil Nainville RE l s Roches Baulne de ti chy la For t Soisy sur j cole Bri res les Guigneville Scell s sur Essonne Mondeville Chatignonville richarville Authon las Boutervilliers Dannemois Plessis Saint gt Morigny Benoist Saint Champigny Moigny sur cole SaintEscobille M robert Chalo Saint DA Mars Milly la leMarais Valpuiseaux Congervilles lalpor tSaintes Thionville Chalou Moulineux Me Gironville ensBauce sur Essonne SAclas lasRivi re Buno Bonnevaux Saint Cyr m Prunay sur P ssay Monnenville RM Abb villes Essonne la Rivi re D Champmotteux Roinvilliers Boigneville Bilan dy Bro y Angernville 0 5 km L Secteurs G rontologiques Zones d observation d termin es depuis 1999 A aux fins de mieux conna tre les questions li es au vieillissement VAL D ORGE Conception F MAGRI Service Gestion Ressources D cembre 2010 Reproduction interdite i VAL D ESSONNE Source IGN BD Topo CG 91 Direction Personnes Ag es Handicap es O MAIA Nord Est 91 DISPOSITIF MAIA Essonne Aur lie QUENTRIC 01 69 52 44 45 aquentric cg91 fr MAIA Centre Est 91 Belinda INFRAY 01 81 85 02 50 pilote maia age91 org MAIA Nord 91 Florence SCH
50. D ACCES AU DROIT DES PERSONNES AGEES LES LA SLI PME PR Re Ne 40 Service d information et d orientation juridique Acc s au Droit des personnes g es 41 PERMANENCE TELEPAONIQUE 0 2 ses iaaa 41 D EVv l atonguanlalVE sereis aia naiss arte REE nn cie us di editer heu 41 E ONOMDG CSSS a ae ee ne 41 e R partition mensuelle des situations 41 Proildel appela eenarmige et entend aan Dares nt een cos 41 e Origine g ographique des b n ficiaires du service sssssssssrereeessrrrtrrreesrrrrrrrrrennrrn nn 42 D EVv liatongual Alve sites erien a a a aia 42 e Connaissance du num ro d appel iii 42 LEDEN ICAS eiaa E O tra E A E E A ane tee ou 43 e Mati res juridiques concern es sise 43 e Modalit s de r ponse ii iiiieessserrrreneeneesseeennes 44 e Analyse du suivi des SIDALIONS 222 5e dance lemsne ee set nne issu eenac star ec scene certe 45 PERMANENCES PHYSIQUE Saera EE e 47 D RE E 1112 1116 EEEE A A E ER EN 47 gt Permanences sur la Communaut d Agglom ration du Val Orge a00000nnnnnaaannnnaaaaa 47 00 EE RS E 47 e Evaluation quantitative ns ns disease dnonee desde select den een uni pens en depnen disease 47 e Profil de l usager de la permanence ss 48 e Prol d la personne dg E de dns aenenaes den etes seen eue 48 e Connaissance de la permanence iii 48 e Mati res juridiques concern es sise 49 e Analyse du suivi des situations 49 gt Permanences s
51. Difficult s g rer l administratif Droits non ouverts caisses de retraite CMU aide pour le logement invalidit et incapacit pour effectuer les formalit s C1Difficult s financi res ressources insuffisantes ses COMMUNE ressentis Sant physique et psychique Mauvais tat de sant ressenti par la personne probl me de m moire d orientation dans le temps et ou l espace L d ambulation fugue agressivit repli sur soi tristesse lbaisse de la vue de l ou e du gout de l odorat Iperte de poids d app tit difficult s se nourrir perte d quilibre chutes CTRefus de soin ou mauvaise observance des soins Absence de m decin traitant Hospitalisation r p tition dont r hospitalisations de moins de 30 jours CINombre d hospitalisations Dans les 6 derniers mois Dans les 12 derniers mois __ di Environnement et s curit individuelle CILogement insalubre ou ind cent ILogement inadapt lIncapacit donner l alerte Logement inaccessible 1 Besoin d accompagnement global CLIC ou SERVICES COMMUNAUX si commune non couverte par un CLIC C R seau de sant C Gestion de cas H bergement EHPAD accueil familial foyer logement C IMDPH maison d partementale des personnes handicap es Equipe M dico sociale APA LI SSIAD Service de soins infirmiers domicile LlBilan g riatrique multidimensionnel L1HAD Hospitalisation do
52. E E E 29 e Sensibilisations Encadrement sesesssessssssrrnresrrnrserrrenrrresrrrrenrrresnrrrrnrrresarrrrerrrenrrrrenrrrene 29 e Sensibilisations destination des quipes ss 30 x Niveau 1 D tecter et agir nn nnnnnnnnnnnnsrnnnnnsrnrrenrnrrrnsrrrrrrrnrrrnsrrrrrnsnnrnsnnrrrennnrrennnnrrennnnreen enni 30 x Niveau 2 Agir face aux signes de d nutrition et de d shydratation sessesssnsseesnrrrrrreenennnn 30 EVALUATION QUANTITATIVE ss osnsnsnnssssnemerannnasanmen sonate tasnnentaee sn seranoermomemn tentes nn 31 EVALUA HON QUALITATIVE a on 32 e Evaluation sensibilisations Encadrement 32 e Evaluation sensibilisations destination des quipes sn001nnneosannneonennnnesnnnnnnnsnnnnenenne 34 Conclusion G n rale asnnnnnunnnnnnunnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn nnnm nnmnnn nnne 37 Ze A UNS SAS QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les actions de sensibilisation pr vention des risques PREAMBULE L Association G rontologique de l Essonne m ne des actions de pr vention destination des acteurs m dico sociaux du d partement dans l objectif d am liorer les conditions de vie et d accompagnement des personnes g es Ces actions de sensibilisation visent susciter la vigilance des professionnels intervenant au quotidien aupr s des personnes g es et promouvoir la bientraitance gt Pr sentation et c
53. EHPAD e Ce qui ma plu les changes avec le formateur sur le sujet et les r ponses aux questions que je me posais Ce qui m a d plu formation trop longue Droits et devoirs Formation assez compliqu e Aurait t plus facile peut tre sur plusieurs des soignants Jours e J ai d couvert des moyens pour soulever les charges que je ne connaissais pas du tout Plu le plan de glissement et les sangles pour aider les r sidents se placer La formation est tr s enrichissante Il faudra en faire encore e La partie th orique peut para tre un peu longue mais cela permet de comprendre la pratique avec un autre regard e Tout m a plu mais j aurais aim encore plus de temps pour apprendre d autres techniques Droits et devoirs des r sidents Gestes et postures La douleur les douleurs La maladie de Parkinson La relation avec les familles Le secret professionnel Pr venir l puisement professionnel gestion du stress et de l agressivit Pr vention de la d nutrition et de la d shydratation Sexualit et vieillissement La pr vention des chutes Ea 2014 rapport annuel D partement Formation IIl m a plu d avoir pris le temps de se pencher sur ce th me prise de conscience de la n cessit d valuer la douleur globale de la personne d utiliser en quipe une chelle d valuation et d en tirer des conclusions concr tes Merci pour les explications et les informations
54. ESENTA HON DUPA epaitan inai anA Eria neo es caen ist 98 CON ON E A E id ie an een ti ue 98 D e E E PANE EEEE EA A T A N EE ANAA E 98 A LeS MEMOS sirin nnna aE EE EEEE ORAA EEE TAE 98 A COR A E E A A 98 MODALITES DE MISE EN OEUVRES seann arr ri rarna L NEKANE SAE RAAEN aE AAi 99 A E AIO A E A A 99 e Cr ation d un Groupement de Coop ration Sociale et M dico sociale 99 e Assembl e G n rale constitutive an ee ee a ae a pe cn den 99 ACCOMPagne mN ed de E ee a D D en cal en non 99 OCR a a D Re A nl al ei ee 100 gt Les ressources AUMIQINOS 2 5 1 4h25 diner aaaneta ares css annees odass d tiens cine seee diese nec nsscuernceenecenne 100 A E VIS U a ea E da aa ee tt Cia Di di 100 LES INSTANCES DU GROUPEMENT SR dames ses mme asian 101 A EL ASS ONDES Generalo ne nes EE tue een dau ne nan 101 7 COME eE en E ee den DD ee eee E A 101 P COEG U PEER EA A E E EE E 102 PEE E A UE E EE E E EEE E E EE EEE E 102 D s N T SA 4 D S QGe 2014 rapport annuel PASI PRESENTATION DU PASI gt Contexte Depuis plusieurs ann es AGE et plusieurs responsables d associations de r seaux de sant et de structures m dico sociales r fl chissent ensemble l int r t d laborer un projet commun visant assurer une coordination et une articulation efficaces entre le sanitaire et le m dico social entre la ville et l h pital pour favoriser une prise en charge globale et un parcours de sant coh rent
55. En effet il a fallu d buter les premiers accompagnements en gestion de cas mais galement mener conjointement la formation et le travail individuel que cela implique et les p riodes de stage attenantes ce jour nous avons au sein de l quipe deux gestionnaires de cas dipl m s Nous sommes galement devenus lieu d accueil valid pour des stagiaires en DIU gestion de cas e Outils et m thodes de la gestion de cas Les outils utilis s sont identiques ceux de 2013 Les outils issus de la formation et du d cret ont galement t int gr s dans les pratiques professionnelles des gestionnaires de cas le GEVA A le Plan de Services individualis la synth se et la Table de Concertation Tactique Le GEVA A est l outil qui sert de guide d entretien pour l valuation multidimentionnelle Cet outil est con u comme un guide afin d valuer toutes les dimensions de la vie quotidienne de la personne accompagn e Nous avons pu constater dans la pratique que l valuation n cessitait 30 40 jours environ A l issue de l valuation le gestionnaire de cas peut utiliser en fonction des situations trois autres outils La synth se ce document est un crit synth tique qui reprend l ensemble des probl matiques de la personne accompagn e Ce document peut tre transmis l ensemble des partenaires accompagnant galement la personne Le plan de service individualis ce document est galement tr s
56. Groupe de travail L ann e 2014 est galement marqu e par le lancement d un groupe de travail Travailler ensemble dont l objectif est la mise en place d outils et de proc dures partag s pour le fonctionnement du PASI Ce groupe est compos des 5 membres du PASI repr sent s par un administratif et un soignant du r seau ESSONONCO et du CLIC C ur Essonne Le 1 axe de travail de ce groupe est de travailler une fiche commune de pr inclusion ou signalement ou pr admission pour toutes demandes d entr e dans une des structures du PASI tout en permettant d y ajouter les sp cificit s de chacune des structures Le groupe s est r uni 4 fois en 2014 et a abouti la cr ation d un document commun actuellement test par les structures nn 102 EE m Xe 2 UNS AE 027 ay d Qge 2014 rapport annuel Glossaire GLOSSAIRE DES SIGLES AFBAH Association Fran aise pour la Bientraitance des A n s et ou Handicap s AP HP Assistance Publique des H pitaux de Paris APA Allocation Personnalis e l Autonomie ARS Agences R gionales de Sant CCAS Centre Communal d Action Sociale CDAD Conseil D partemental d Acc s au Droit CESF Conseill re en Economie Sociale et Familiale CISPD Contrat Intercommunal de S curit et de Pr vention de la D linquance CG Conseil G n ral CLIC Centre Local d Information et de Coordination g rontologique CNAV Caisse N
57. I Juriste 1 ETP Jill DENTON Comptable 0 5 ETP Belinda INFRAY Pilote local MAIA 1 ETP Marine LAFFEACH Gestionnaire de cas 1 ETP St phanie YILMAZ Gestionnaire de cas 1 ETP Sylvie LOEB Gestionnaire de cas 1 ETP Cette quipe est charg e de faire vivre au quotidien les actions et les projets de l association Formateurs occasionnels L quipe est galement compos e de formateurs occasionnels salari s ou prestataires pour l animation des actions de sensibilisation et de formation En 2014 nous avons travaill avec 16 formateurs 8 psychologues cliniciens ou neuropsychologues sp cialis s en g rontologie 3 cadres infirmiers et ou IDE 2 di t ticiens 1 g riatre nutritionniste 1 masseur kKin sith rapeute 1 psychomotricien gt Formation des salari s Au cours de l ann e 2014 l quipe salari e de AGE s est engag e dans des formations professionnalisantes et ou a particip diff rents colloques et conf rences e Formation Intitul de la formation Participants Dur e DIU Gestionnaire de cas Formation de d cembre 2013 mai 2014 Gestionnaires de cas 20 jours Devenir Organisme de D veloppement Professionnel Directrice D ours Continu Mars 2014 Assistante de Direction Pratique de la paie dans une association du secteur sanitaire Comptable FUs et social Mars Avril 2014 p J Approche sociologique et juridique de la maltraitance intra familiale et instit
58. IGEON repr sentant Monsieur Marcel LEPINAY le CLIC Orgessonne Monsieur Roland LUBEIGT Madame Catherine RIQUIER repr sentant le Docteur Marie France MAUGOURD CLIC C ur Essonne Madame Simone RAGUENES Monsieur Daniel TRIBET repr sentant Les Papillons Blancs de l Essonne 5 Conseils d Administration ont eu lieu en 2014 gt Les adh rents En fin d ann e 2013 nous avons lanc un appel cotisation l ensemble de nos partenaires institutionnels En tant que personnes morales les structures adh rentes l association t moignent leur soutien aux actions propos es par AGE et nous aident favoriser l am lioration de la qualit d accompagnement des personnes g es L adh sion ouvre galement droit des r ductions sur nos prestations de formation de 5 15 Le montant de la cotisation a t r vis Il est d sormais fonction de la taille des structures adh rentes e 150 pour les personnes morales de plus 2 10 ETP e 20 pour les personnes morales lt 10 ETP e 16 pour les personnes physiques En 2014 AGE comptabilise 90 adh rents dont e 80 personnes morales e 10 personnes physiques VILLE LE VILLAGE D ANGERVILLIERS ANGERVILLIERS AGDVO ARPAION ASDVO ARPAION CCAS ARPAJON ASSOCIATION LA COUR ATHIS MONS LES MAGNOLIAS BALLAINVILLIERS RESEAU HIPPOCAMPES BALLANCOURT SUR ESSONNE RESIDENCE DE BALLANCOURT BALLANCOURT SUR ESSONNE LES JARDINS DE CYBELE BONDOUFLE LA GENTILHOMMIERE
59. Les mesures de protection i Caf M moire France juridique Alzheimer Essonne l Le droit de la sant 1 CLIC Orgessonne D marchage domicile 2 Mairie de Marolles en H i D marchage domicile 1 urepoix i 1 i 1 Foyer La Boissi re Les mesures de protection Saint Vrain CCAS de Ris Orangis Droit des successions E rogis Total S 215 Ainsi au cours de cette ann e SAINE NS ARE EG ont eu lieu r unissant AR EURE 4 2 4 5 4 62 2 0 30 COMMUNICATION Afin de faire conna tre le service d acc s au droit nous disposons de plaquettes et d affiches pr sentant le service que nous communiquons nos partenaires Au cours de cette ann e 2014 nous avons poursuivi la diffusion de ces derni res aupr s de nos partenaires Aussi nous mettons la disposition des usagers des plaquettes d information sp cifiques sur certaines probl matiques Les mesures de protection juridique L obligation alimentaire Comment d poser plainte Ces plaquettes sont remises aux usagers et aux professionnels dans le cadre de la permanence t l phonique ou physique mais galement distribu es lors des diff rents colloques et forums auxquels nous participons via la tenue d un stand L occasion pour nous de rencontrer les personnes g es et leur entourage D Ea O 4 LA 509 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Voici les diff rents documents diffus s durant l ann
60. O OE 80 ARS E E E EE O E E 80 e Le r f rentiel des missions iii 81 e Le guide d entretien ou script d analyse ss 81 e La fiche alerte orientation iii 81 e La plateforme INTOTMBL ess scsmnsasets schema atteeeau dairessse essaie enebenterincsidentitarenuis 81 S CIO MAINS nr a en See en rte 81 ER COR CO CAS E EE VEE T 82 e Les gestionnaires de cas siens 82 e Outils et m thodes de la gestion de cas n000nnnnnnooeannnnnnnosennnnnnnneosennnrrrrenssennnerrrenennnnne 82 e Les demandes d inclusion en gestion de cas 83 CONCESSION E E E E 84 I a CO SA 4 D S K y age 2014 rapport annuel Dispositif MAIA PREAMBULE Au 31 d cembre 2014 quatre dispositifs MAIA sont en activit dans l Essonne Le dispositif MAIA Nord Essonne port par l H pital G riatrique les Magnolias cr en 2012 Le dispositif MAIA Centre Est Essonne port par l Association G rontologique de l Essonne Le dispositif MAIA Nord Est Essonne port par le Conseil g n ral cr en 2013 Le dispositif MAIA Sud Essonne port par le Centre Hospitalier Sud Essonne cr en 2014 La candidature de AGE pour porter le dispositif MAIA Centre Est Essonne a t retenue en juin 2012 et le pilote a t recrut en octobre 2012 Apr s une p riode de formation stage sur le terrain et formation nationale par la CNSA le pilote a d marr le diagnostic et a pr sent le dispositif aux partenaires Le projet du dispositif d int
61. ONGPONT SUR ORGE Maire Public 1 o Structure de maintien domicile Public 1 1 Structure de maintien domicile Public 1 o o o Structure de maintien domicile Priv 1 1 A TOTAL 5 45 26 25 Oooo O Association G rontologique de l Essonne Ann e 2014 ECTEURS GERONTOLOGIQUES Bi vres i Verri res le Buisson Igny MEN rte M Massy 0 SSOUS Palaiseau o Chilly ear Champlanenilly Mazarin Morangis Orsay j 2 4 x FD Wie mear Villebon Raray Vieille Poste Crosne Yerres Athis F Mons Vigneux sur Seine Mr Brunoy BOussy Saint Yvette A JR Juvisy Le OUSSy Sain Yvette SUr gt M elbngiunes f Savigny U Orde Montgeron au Antoine An Crete ies Ulis Chartreux Sr Orge nar us Be Moll res Ch tel j y Epinay aTe Draveil TINNE Saint Jean de A sur Orge t4 A S nart la Ville Beauregard laWillez Villiers Mbrsane Soisyssur Sur Orge BOT 7 ne imours Janvry Marcoussis Sainte Genevi ve GrignviRis Oran gis Etiolles Montlh ry longpont Fleury a EVY Lines Saint Michel Courcouronnes Bains reuville O le Plessis Vaugrigneuse Courson Bigtionya Montelo p Ollainvill l s Arpajon Angenvilliers Arpajon z la Norville Egly Breuillet leudeville Do rdan Germain Saints Guib ville Warolles eri Mon Saint Fontenay Ch ron Saint Yon Cheptainville Vicente Saint Sulpice Saint Vrain Chevannes Auvernaux Briche
62. VALLINGER 01 69 80 46 98 maia91 hpam fr MAIA Sud 91 Lorette MARTINS LOPES 06 99 16 56 79 maiasudessonne ch sudessonne fr JE ESSONNE 01 69 52 44 10 Tel 06 9 16 56 79 01 60 80 60 71 maiasude hne ch s udessonne fr A NORD les Solidarit s Centre Hospitalier Sud Essonne Dourdan Etampes 230 MONTGERON Site d Etampes 26 Avenue Charles de Gaulle 91152 ETAMPES Cedex FICHE ORIENTATION EN GESTION DE CAS FICHE SIGNALETIQUE DATE DE LA DEMANDE ORIGINE DE LA DEMANDE Organisme Nom Pr nom Fonction T l phone Portable Courriel PERSONNE CONCERNEE Nom Pr nom Date de naissance Adresse T l phone Portable Courriel Situation familiale Mari e Veuf ve Divorc e C libataire Cette personne vit elle seule OUI NON Avec qui Protection juridique L OUI NON Tutelle Curatelle Mandat de protection future Sauvegarde de justice Nom et adresse du mandataire Risque ou suspicion de maltraitance MOTIF S DE LA DEMANDE Sur papier libre COORDONNEES DE L ENTOURAGE Nom Pr nom Lien avec le b n ficiaire Adresse T l phone Courriel MAIA NORD ESSONNE MAIA CENTRE EST ESSONNE T l 026980 4698 Fax 01 69 80 59 48 Avec le soutien de 85 02 50
63. a lisibilit du syst me de soins et d aides e Le guichet int gr C est un ensemble coordonn des lieux d information d analyse et d orientation qui doit faciliter le parcours des personnes en perte d autonomie fonctionnelle et de leurs aidants C est donc un mode d organisation partag e C est un processus commun aux diff rentes structures du territoire pour l analyse l orientation et le suivi des situations prises en compte L objectif est d apporter une r ponse harmonis e des besoins de la population cible quel que soit le lieu de la demande Le guichet int gr est mobilis de fait d s qu une personne ou son entourage fait une demande d aide ou qu un besoin est identifi par un professionnel Le but recherch est d identifier la probl matique qui provoque la demande et quelles en sont les cons quences afin de s assurer que la r ponse corresponde aux besoins y compris non exprim s L enjeu est que la situation de la personne soit prise en compte au bon moment au bon endroit et dans un esprit de pr vention de la perte d autonomie C est un processus long qui n cessite au pr alable plusieurs tapes une parfaite connaissance des offres de soins et de services du territoire la mise en place d un r f rentiel des missions la cr ation d un outil commun d orientation fiche d entr e en Guichet Int gr la formation des accueillants sur l ensemble des missions des partenaires du guichet int gr A
64. aire Trop courte Int ressante m Niveau 1 Trop compliqu e Niveau 2 Pratique Enrichissante Ennuyeuse Les participants confirment leur vif int r t pour le th me et confirment l enrichissement professionnel qu ils peuvent en retirer Le contenu de cette session a t il r pondu vos attentes Niveau 1 et 2 E Oui lt Non E Partiellement m Ne se prononcent pas D T Xe 2 OF AY sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les exemples cit s par le formateur sont ils proches de situations que vous rencontrez dans votre pratique quotidienne Niveau 1 Niveau 2 m Tr s souvent E Souvent m Tr s souvent E Souvent Jamais s Ne se prononcent pas Jamais m Ne se prononcent pas L exp rience professionnelle en g riatrie des formateurs permet une ad quation entre le discours et les probl matiques rencontr es par les professionnels Le th me a t abord de mani re tr s concr te en s appuyant sur les exp riences mutuelles Estimez vous souhaitable de poursuivre l tude de ce th me par une prochaine session Niveau 1 Niveau 2 5 mOui mNon Ne se prononcent pas mOui mNon Ne se prononcent pas Nous constatons une r duction de la demande d approfondissement de la th matique entre le niveau 1 et le niveau 2 de la sensibilisation Le niveau 2 permet donc de r pondre davantage aux questionnements des professionnels
65. aladie son volution et ses traitements 24 R percussions sur l entourage 24 Alimentation hygi ne et vie quotidienne 25 La communication 25 Les troubles du comportement 25 L animation 25 CHAPITRE 4 PRATIQUES PROFESSIONNELLES 26 31 Pr venir l puisement professionnel 27 Projet de soin en EHPAD 28 Connaissance du m dicament 30 Gestes et postures 31 CHAPITRE 5 CADRE LEGISLATIF 32 41 Les mesures de protection juridique 33 L obligation alimentaire 34 Le secret professionnel 35 Droits et devoirs des soignants 36 Droits et devoirs des r sidents 37 Droit au risque comment concilier libert s curit et responsabilit 38 Expression de la volont et fin de vie 39 Maltraitance et justice 40 Le cadre juridique r gissant l insalubrit 41 AUTRES INTERVENTIONS 42 44 Accompagnement du personnel 43 Conf rences la carte 44 Ze Ce AT SA sage 2014 rapport annuel D partement Formation PREAMBULE gt Pr sentation Depuis 2001 l Association G rontologique de l Essonne m ne des actions de formation au titre de la formation professionnelle continue agr ment pr fecture sous la forme de modules professionnalisant l attention des professionnels des structures m dico sociales du secteur g rontologique Dans ce cadre AGE poursuit son implication dans la formation des professionnels travaillant aupr s des personnes g es Ces actions de formation r pondent notre objectif d am
66. ants 50 des participants le reconnaissent l issue de la session contre seulement 33 en amont Quant au fait d en parler au responsable de la structure la majorit des personnels indique qu ils leur en r f reraient 92 Pour ceux qui ne souhaitent pas en r f rer l argument principal mis en avant est la peur de subir des repr sailles de la part du maltraitant Les questionnaires anonymes remis aux stagiaires l issue de la session comprennent un item sur leur appr ciation de la s ance Ces statistiques sont r alis es sur la base de 31 questionnaires exploitables renseign s par les personnels Il est demand aux participants de cocher la case devant les adjectifs qui expriment le mieux ce qu ils ont pens de la s ance 0 10 20 30 Passionnante En Pas n cessaire Trop courte EEE Int ressante Trop compliqu e Utile Pratique EEE Importante Rasante 40 50 60 10 80 Ze es AD AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires Voici quelques extraits de commentaires donn s titre d illustration Qu est ce qui vous a plu et ou d plu dans cette sensibilisation C est un th me assez tabou c est bien de pouvoir prendre connaissance et conscience de la r alit Pouvoir s exprimer par rapport ce que l on vit chaque jour La passion et le tonus de la formatrice qui n
67. artager des informations utiles Inviter des partenaires des professionnels D velopper le travail en r seau Ce Club n a pas pour objectif e de se substituer aux organisations syndicales aux f d rations nationales aux rencontres organis es par les tutelles etc e de d fendre les int r ts des directeurs dans une optique revendicative Le Club AGE 91 doit tre appr hend comme un lieu d change d exp rience et d outils pratiques destination des directeurs d tablissement qui en seront les acteurs et les animateurs AGE travers ce club a la volont de cr er du lien entre les directeurs et les structures L Association G rontologique de l Essonne intervient en tant qu initiateur du projet en r ponse une demande exprim e par un certain nombre de directeurs elle apporte un cadre d organisation et une neutralit des rencontres gt Les membres Ces rencontres sont ouvertes tout les directeurs de tout type d tablissement qu il soit public associatif ou lib ral Sont membres du CIUb AGE 91 les directeurs d tablissement d h bergement du d partement de l Essonne ayant adh r au Club inscription gratuite via un bulletin d adh sion Cette adh sion implique qu ils seront contact s par AGE pour toutes les rencontres du CIUb AGE 91 Membres du Club AGE pour l ann e 2014 D EI T amp D 4 y sage 2014 rapport annuel Rencontres professionnelles gt Modalit s d
68. artenaires 3 Validation de la lettre de missions des membres de la Envoi en juillet 2014 Toutes les lettres n ont pas encore table tactique t sign es Relance faite d but E f vrier 2015 Le taux de retour est L annuaire transmettre au groupe de travail les remarques Code d acc s indispensable Possibilit de s agr ger au d veloppeur du 93 Se rattacher au ROR D velopper un annuaire partir du site du CG 91 Proposition de remplacer alerte notion d urgence par besoin Le mot de passe ne serait il pas un l ment qui limite l utilisation de ce type d annuaire faible Relance n cessaire en 2015 amp Mise en place de l tude sur l impact de la coordination Etude r alis e entre le 1 mars et le 30 en sortie d hospitalisation sur le territoire septembre 2014 avec diff rents partenaires Pr sentation en table de concertation tactique en 2015 Re fe pour les partenaires du territoire 2 06 2014 i Sensibiliser le Conseil g n ral de l Essonne concernant Une rencontre avec les services du CG a t Pr sent en table de concertation la probl matique des d positaires de cl s et des organis e Strat gique en novembre 2014 demandes de t l assistance Poursuivre le travail engag Avec le soutien de AGE Parc de la Julienne 26 rue des Champs B t F 91830 LE COUDRAY MONTCEAUX T l 01 64 99 65 0 5 Fax 01 81 85 02 55 contact age91 org www age91 org D A
69. ateforme d associations EHPAD etc ayant regroup 1 265 participations gt Les formations r alis es en inter tablissements Parall lement aux formations r alis es en intra la demande des structures nous avons mis en place des formations inter tablissements L objectif de ce mode d organisation est de permettre aux professionnels de s inscrire individuellement un th me sp cifique Ces formations sont l occasion de rencontrer d autres professionnels et d enrichir la s ance par des changes et le partage d exp rience de professionnels de diff rentes structures Th me de la formation NOR NOM RS d intervention participation Pr venir l puisement professionnel gestion du stress et de Oo 2 l agressivit Droits et devoirs des r sidents Total S 8 37 Ces interventions ont touch es 9 structures EHPAD soci t de services la personne CCAS CLIC Foyer Logement et l Association Tut laire de l Essonne gt L accompagnement des professionnels Pour faire suite aux demandes de diff rentes structures et au regard des besoins des professionnels nous avons ajout notre Catalogue un espace consacr l accompagnement du personnel Parce que les professionnels de la relation d aide peuvent avoir besoin d un accompagnement sp cifique nous mettons en place des temps d coute d expression et d changes dans le cadre de s ances anim es par un psychologue Il s agit de tem
70. ationale d Assurance Vieillesse CPAM Caisse Primaire d Assurance Maladie CVS Conseil la Vie Sociale EHPAD Etablissement d H bergement pour Personnes Ag es D pendantes FL Foyer Logement GCSMS Groupement de Coop ration Sociale et Medico Sociale HABEO H pour handicap A pour ge B pour bientraitance E pour coute O pour orientation Anciennement AFBAH HAD Hospitalisation Domicile HPST H pital Patients Sant et Territoires HPGM H pital Priv G riatrique les Magnolias MPJ Mesures de Protection Juridique OPCA Organisme Paritaire Collecteur Agr PAD Point d Acc s au Droit PASI P le Autonomie Sant Information UTNc Unit Transversale de Nutrition clinique SAD Service d Aide Domicile SIAD Service Infirmier d Aide Domicile SFGG Soci t Fran aise de G riatrie et G rontologie SPES Soins Palliatifs Essonne Sud D 103 a m pe ae a AY K Association G rontologique de l Essonne ANNEXES Sensibilisations De la maltraitance la bientraitance des personnes g es r partition par structure et par niveau Sensibilisations Maladie d Alzheimer r partition par Structure et par niveau Sensibilisations Nutrition et d nutrition des personnes g es r partition par structure et par niveau Carte des secteurs g rontologiques Carte des dispositifs MAIA en Essonne Fiche signal tiqu
71. avail qui verra le jour en 2015 le guichet int gr via une plateforme internet La mise en place des premiers outils communs sur le territoire sont de r els leviers pour faire avancer le dispositif et son concept aupr s des partenaires CL AY s5QGE 2014 rapport annuel Projet handicap PROJET DE SENSIBILISATIONS SECTEUR DU HANDICAP PRESENTATION DU PROJET icrociidiat EAEE 86 a GO ON aar EE E TT IR EEE S E EA E EE E 86 P OD e E E EEE AEA EA EEE EA E EE A E NE 86 gt Description d PrOjol seriespsirssierisensserestisrenis eneore i eereese es osssess EESE EEn EEE Eei iD E ENEN e TEESE Eria 86 2 PUOI ElIENONG re Dee EEEE ee eee E EENES tS 86 m EET OVE an E A dit E E E E E ETO ie le 86 METROPOLO E a AAEE AAEE R 87 gt D finition du plan d action g n ral sir 87 gt r EUOC OC IAISADIIT spee EE E EE ne to nes EEO esos 87 gt GOMMS Nandi AD cerisier ins nent cadet rad en aa tenant ten ete latente dater ne spas le tes 88 Composition de la commission iii 88 Plan d action de la commission Handicap VV 88 LETOUODE E FAOABICITE ae Be een e 89 gt _ d roulement ael lUO 82 02 eines cata en teens net oc EE 89 Etat des lieux des structures du handicap VV 89 Etude de l offre de sensibilisation existante 00 nn00nnnnn1nnnnunnnnnnnnnonnrnnnnnrnonnrrnsnnrrnnnnrennne 89 Analyse SDS OS 90 Analyse de la d marche et de l offre de l association 90 Adaptation des outils p dagogiques ss 90 gt Les principa
72. chacun d un repr sentant au sein du Comit D 101 T m SA 4 D 4 QGe 2014 rapport annuel PASI gt Les partenaires institutionnels o Conseil g n ral de l Essonne eo DTARS o gt CHSF o Conseil Ordre d partemental des m decins o gt Conseil Ordre d partemental des infirmiers Chaque partenaire institutionnel dispose d un repr sentant gt Les partenaires priv s o CLIC C ur Essonne o CLIC Sud Essonne o CLIC Orgessonne France Alzheimer Essonne o R seau REVESDIAB Ils disposent ensemble de 3 repr sentants titulaires gt Comit ex cutif En compl ment de l Assembl e G n rale et du Comit strat gique le PASI se dote d une instance ex cutive compos es de directeurs ou salari s d l gu s des administrateurs des membres fondateurs et du Pr sident du Comit strat gique Cette instance assure la mise en uvre du GCSMS l laboration et l tude des projets en vue de les pr senter au Comit strat gique pour avis et l Assembl e G n rale pour approbation Cette instance fonctionnant dans le cadre d un groupe de travail s est r unit 2 3 fois par mois au cours de cette ann e L instance ex cutive a notamment travaill sur les sujets suivants La mutualisation et le mod le conomique dans le cadre du DLA La pr paration des Comit s strat giques et des Assembl es G n rales L laboration du budget pr visionnel Les locaux gt
73. cifique aux personnes g es dans un contexte de prolif ration et de complexification de la l gislation les usagers se sentant de plus en plus d munis face leurs probl matiques La poursuite du partenariat conclu en faveur de l Acc s au Droit des personnes g es avec le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne et le soutien actif du Conseil g n ral de l Essonne t moignent de l importance d un tel dispositif sur le d partement L ann e 2015 aura pour objectif le d veloppement des actions d j existantes et l intensification du partenariat avec le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne en vue d aboutir la labellisation du Service d acc s au droit des personnes g es en Point d Acc s au Droit des personnes g es Outre le fait de valoriser le service rendu au public des s niors cette labellisation apporterait sans nul doute une plus grande visibilit du service ee NO AY q QGe 2014 rapport annuel D partement Formation DEPARTEMENT FORMATION PREAMBUIERS de a ae ds eo a a le Got te 61 D E E Ernest na ne ee Dee nee De nie ed eee ee eee te te Det ee ete 61 gt Modalit s d organisation sis 61 gt Elaboration des contenus ire 62 gt Les OV OA D sa aee een be Den te 2e ele eee ca ee 62 LES PRESTATIONS PROPOSEES PAR AQE annees aemaneees ns 62 gt Les formations du catalogue en intra tablissement 62 gt Les formation
74. convenu que les professionnels des CLIC et de AGE n ont aucunement pour vocation se substituer ni aux personnes ni aux institutions existantes mais de les informer sur leurs droits et obligations de les aider dans l accomplissement de leurs d marches et de les orienter vers les services et professionnels comp tents Les modalit s de soutien et d intervention sont les suivantes La permanence t l phonique d acc s au droit des personnes g es qui permet aux repr sentants des CLIC d changer sur des situations interrogeant les pratiques professionnelles ou d obtenir des informations juridiques n cessaires la r solution des difficult s des usagers qu ils rencontrent au quotidien Pr s d une situation sur quatre provient d un CLIC ce dernier ayant soit contact directement la permanence t l phonique soit orient l usager vers le service Le nombre de situations trait es dans ce cadre au cours de cette ann e 2014 est de Des rencontres physiques sur le secteur g ographique couvert par les CLIC peuvent s av rer n cessaires au regard de la complexit de la situation et ou de la somme de documents compulser rencontres ont eu lieu cette ann e D O 4 at XN ee so TA sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Actions de formation dispens es par le juriste Parall lement la gestion de la permanence t l phonique et du partenariat avec les CLIC le juriste r ali
75. d adaptation des outils R union n 6 p dagogiques Juillet Faut il adapter les outils chaque type de handicap Adaptation des outils et de la d marche m thodologiques Travail men par AGE Pr sentation du rapport aux membres du groupe Hors r union pour validation Pr paration du rapport et feed back du groupe de r flexion L ETUDE DE FAISABILITE gt Le d roulement de l tude L ensemble de l tude a t men en lien direct avec la Commission Handicap constitu e d but 2014 La Commission a pu se r unir une fois par mois environ entre fin janvier et d but juillet permettant de respecter le plan d action pr d fini Etat des lieux des structures du handicap Les tablissements et services pour adultes handicap s en Essonne ont t r pertori s afin de dresser la liste des diff rents services existants sur le d partement Foyer d h bergement collectif FHC Foyer d h bergement appartement Foyer exp rimental Foyer d accueil m dicalis FAM Foyer de vie Service d accompagnement la vie sociale SAVS __ Service d accompagnement m dico social pour adultes handicap s SAMSAH Accueil de jour Etablissement et services d aide par le travail ESAT Maison d accueil sp cialis MAS Centre de R adaptation Professionnelle CRP Centre d Initiation au Travail et aux Loisirs CITL Par ailleurs partir du Guide pour les personnes handicap es en Essonne
76. e De juillet Cabinet juridique septembre 2013 Appui la d finition des r gles de fonctionnement et r daction du r glement int rieur hors DLA Mise en place du PASI mise en application du Consultant DLA De d cembre r glement int rieur laboration du mod le e T A 2013 juillet conomique outils et pratiques communes 2014 gt Locaux Apr s des mois de n gociation et 4 mois de travaux d am nagement les membres du PASI ont enfin emm nag en d cembre 2014 dans des locaux communs au sein d une zone d activit au Coudray Montceaux l adresse suivante Parc de la Julienne Rue des champs 91830 LE COUDRAY MONTCEAUX gt Les ressources humaines Le GCSMS est administr b n volement par un Administrateur Dr Alain JACOB galement Pr sident du r seau SPES Il assure la gestion courante du PASI la convocation aux instances l ex cution des d cisions prises par l Assembl e G n rale Il est soutenu au quotidien par les directeurs et b n voles des membres du PASI ainsi que par une Assistante de direction Florence DUSSART 0 5 ETP et une charg e de mission Fran oise ELLIEN 0 2 ETP gt L identit visuelle Les membres du PASI ont travaill avec la soci t MAINDOR sur l identit visuelle du PASI logo et signature Apr s consultation du Comit Strat gique et validation de l Assembl e G n rale le visuel retenu est le suivant D 100 T mo
77. e Conseill re en Economie Sociale et Familiale 1 1 Le t l phone reste le mode de contact utilis pr f rentiellement conform ment aux objectifs initiaux de fonctionnement du service Sur l ensemble des situations pour lesquelles nous avons t sollicit es durant cette ann e 2014 28 personnes g es b n ficiaient d une mesure de protection juridique 17 d entre elles b n ficiaient d une tutelle 3 d une curatelle 1 d une sauvegarde de justice et 7 demandes taient en cours d instruction Au cours de cette m me p riode une personne b n ficiait dun mandat sur protection future Bien souvent les personnes nous contactent en amont afin de conna tre les modalit s et la proc dure suivre en vue de demander la mesure de protection juridique Les entretiens r union de synth se visite domicile MAIA Centre Est Essonne pilote et ou gestionnaires de cas Coordinatrice CLIC et enfants R union de synth se Personne g e Mandataire judiciaire la protection des majeurs S E Total O 22 Enfants 1 D 5 O EEE TT XN ya OF SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit PERMANENCES PHYSIQUES gt Pr sentation Afin de compl ter notre offre de service et d largir notre champ d intervention nous avons depuis 2011 d velopp le service d acc s au Droit Notre objectif tait alors de diversifier l acc s ce service et permettre une meilleure connaissance e
78. e commune Synth se des d cisions prises en Table Tactique Script d analyse du guichet int gr Fiche alerte Synth se de gestion de cas Plan de service individualis Compte rendu de Table de Concertation Clinique Avec le soutien de CD ACC S AU DROIT DIRE GO ES OUUC ars A osrana LE CONSEIL G N RAL Y Sensibilisations De la maltraitance la bientraitance des personnes g es R partition par structure STRUCTURE TYPE STATUT Niveau 1 Niveau 2 AP SERVICES EPINAY SOUS SENART AGE CHAMPOUEIL CCAS MONTGERON DOMIDOM CORBEIL ESSONNES FOYER GASTON GRINBAUM VISNEUX SUR SEINE VAIA NORD EST ESSONNE MONTGERON OBLIGEANCE SERVICES SOISY SUR SEINE SERVICES ET CO VIDELLES Soci t d aide domicile Statut priv Structure de maintien domicile 1 TOTAL 8 Association G rontologique de l Essonne Ann e 2014 Sensibilisation La maladie d Alzheimer R partition par structure STRUCTURE TYPE STATUT Niveau 1 Niveau 2 CLIC ORGYVETTE BALLAINVILLIERS 1 FOYER GASTON GRINBAUM VIGNEUX SUR SEINE 1 MAIA NORD EST ESSONNE MONTGERON 1 RESIDENCE LA BOISSIERE SAINT VRAIN 1 SERVICE DES PERSONNES RETRAITEES ETAMPES 2 UNA Essonne FASSAD 91 RIS ORANGIS CEDEX 2 gt J O zZ gt lt gt ep dp lt O gt Association G rontologique de l Essonne Ann e 2014 Sensibilisations Nutrition et d nutrition des personnes g es R partition pa
79. e en deux niveaux Carte des territoires des 4 dispositifs MAIA de l Essonne en annexe partir de la page 104 Chiffres au 31 12 2014 manant du diagnostic MAIA r alis par le Pilote M E TT SA 4 D S K y age 2014 rapport annuel Dispositif MAIA x La table de concertation strat gique Elle se compose des d cideurs et des financeurs Il s agit d un partenariat formalis des d cideurs et financeurs pour la population du territoire le Directeur G n ral de ARS ou son repr sentant d ment mandat le Pr sident du Conseil g n ral ou son repr sentant d ment mandat les Professionnels de sant lib raux les Caisses de retraite les Associations d usagers et toute autre repr sentation utile de niveau strat gique Pour l Essonne la table strat gique r unit les quatre dispositifs MAIA du d partement Au niveau strat gique il s agit d analyser les m canismes de planification d valuation et de r gulation de l offre de services sur le territoire x La table de concertation tactique C est un partenariat formalis entre les directeurs et responsables d tablissements et de services sanitaires sociaux et m dico sociaux des professionnels de sant qui accompagnent ou prennent en charge les personnes g es atteintes de la maladie d Alzheimer et ou en perte d autonomie fonctionnelle sur le territoire concern Ce niveau a pour mission d harmoniser les pratiques et d am liorer l
80. e public identifi par la Commission comme b n ficiaire des actions de sensibilisation La liste de contact a t tablie en regroupant les informations de la base de donn es de AGE et le Guide du Conseil g n ral de l Essonne Au total le questionnaire a t envoy 54 structures gt Contenu Avec un nombre de questions volontairement limit 10 le questionnaire a t construit sur des questions ferm es r ponses multiples et avec la possibilit de compl ter par des commentaires libres gt D roulement Un courrier de pr sentation de l tude a t envoy au public cible pour les informer de l tude Le questionnaire a t mis en ligne sur le site Survey Monkey sp cialiste des sondages et le lien a t communiqu par mail aux structures Les structures ont dispos de 3 semaines pour compl ter le questionnaire Retour aupr s de la commission Les r sultats du questionnaire ont t pr sent s la commission la fin de la p riode de recueil A l issue des changes sur les r sultats cette premi re enqu te a t compl t e par des questions suppl mentaires l attention des structures cibl es Un questionnaire compl mentaire accompagn des r sultats de la premi re tude a donc t envoy par courrier l ensemble des structures concern es par l tude Ce questionnaire compl mentaire visait pr ciser la demande des structures concernant les l ments suivants
81. e respect des droits des usagers Les diff rentes formes de maltraitance 0 20 40 60 80 100 Autres propositions La responsabilit l gale des soignants Question n 6 Quels sont selon vous les facteurs de risque de maltraitance Autres propositions La vuln rabilit des personnes Le manque de soutien aux professionnels Le manque de formation Le cadre de vie inadapt 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 Autres propositions L anciennet des professionnels manque de recul rapports affectifs La charge de travail Question n 7 Quels sont selon vous les l ments favorisant la bientraitance au quotidien cocher et ou compl ter les propositions Autres propositions Favoriser l expression des usagers Le soutien aux professionnels Des pratiques respectueuses des droits des usagers Le bon fonctionnement institutionnel 0 20 40 60 80 100 Autres propositions Le bien tre des professionnels D marche strat gique La mise en place des sensibilisations n cessite de recueillir l adh sion des quipes de direction pour une mise en uvre adapt e aupr s des quipes de terrain Le groupe de travail a donc retenu une intervention en deux temps pour permettre une sensibilisation de l ensemble des professionnels et la rendre la plus efficiente possible Etape 1 des sessions INTER destination des responsables de structures l quipe d encadrement les repr sentants des personn
82. e un compl ment indispensable la sensibilisation sur la Bientraitance Toutefois comme pour la th matique De la maltraitance la bientraitance des personnes g es les responsables de secteur nous font r guli rement part de leurs difficult s financi res freinant la mise en place des sessions En effet m me si ces sensibilisations leurs sont dispens es gracieusement les salaires des professionnels ne sont pas rembours s pour la dur e de la formation par leur OPCA organisme de financement de la formation professionnelle continue cf Annexes partir de la page 104 tableau de r partition des sessions par structure et par niveau Ao a AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation gt Les attentes des stagiaires Les personnels ont galement pris conscience que l accompagnement des b n ficiaires demande tre professionnalis Ils attendent encore parfois des recettes notamment face aux troubles du comportement Le relationnel avec les familles est souvent abord spontan ment gt Enqu te de satisfaction Le questionnaire de satisfaction est anonyme et est distribu en fin de session puis remis au formateur Les statistiques ci dessous ont t r alis es sur la base de 69 questionnaires exploitables Quels sont les adjectifs qui correspondent votre appr ciation de la s ance plusieurs choix possibles 0 10 20 30 40 50 60 70 Passionnante Pas n cess
83. ection des Majeurs d sign a Origine de la demande de raean A Famille L Professionnel NOM PRENOM Nom de jeune fille Date de naissance Adresse Commune T l domicile Port Situation familiale EImari e c libataire L pacs e concubin LIdivorc e EL Iveuf ve M decin traitant NOM Pr nom Commune T l NOM et pr nom de l aidant principal Lien de parent Adresse Commune T l phone gt Animaux domicile R f rent s Lien av la Coordonn es Situation Inform favorable Nom pr nom personne pr sent puis loign BESOINS EXPRIMES PAR LA PERSONNE ET OU PAR LE REFERENT MAIA Centre Est Essonne t l 01 69 23 20 28 fax 01 69 23 20 29 pilote maia age91 org 1 2 Version 24 07 2014 NOM oeenn PTONO N 002 DIMENSIONS DE LA SITUATION Autonomie fonctionnelle 1Difficult effectuer les actes essentiels de la vie se v tir se nourrir se laver se transf rer Difficult effectuer les actes domestiques faire ses courses son m nage CJDifficult la mobilit hAspects familiaux et sociaux Personne isol e ClAidant absent peu pr sent d pass puis peu fiable en refus du plan d aide Probl matique familiale compromettant le maintien domicile Difficult participer la vie sociale Aspects conomiques et administratifs Difficult s d sint r t g rer son budget
84. el sur Orge Sainte Genevi ve des Bois Villemoisson sur Orge Villiers sur Orge ay gm nsure SSONE age En partenariat avec la Communaut de communes de l Etampois Sud Essonne et le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne l Association G rontologique de l Essonne propose PERMANENCES JURIDIQUES Etampes A destination des personnes g es et de leurs familles du mois de 9h 12h Dans le cadre de ces permanences un juriste r pond toute demande juridique dans les domaines civil p nal social et administratif vous coute vous informe sur les droits et obligations vous aide dans l accomplissement de vos d marches administratives et judiciaires vous oriente vers les services comp tents Modalit s Permanences libres Toutefois pour des raisons d organisation de planning et viter un d lai d attente trop long il vous est fortement pr conis de prendre rendez vous au 01 69 92 11 70 Accessibles aux habitants des villes suivantes Bn res les Scell s Congervilie Thionvill Estouches Etampes M r ville M robert pro dt Monnerville Saint Cyr la Rwi re get Escobille Saint Hilaire Valpuseaux Lieu des permanences Point d Acc s au Droit 1 rue du Coq 91150 ETAMPES XN ya FA SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Partenariat avec les CLIC Pour m moire ces partenariats font l objet d u
85. es outils Les premi res formations d buteront en mai 2015 XN ya FA STAD sage 2014 rapport annuel Dispositif MAIA gt La gestion de cas e Les gestionnaires de cas Deux gestionnaires de cas ont t embauch s en juin 2013 Le premier profil est issu du milieu sanitaire infirmier avec un parcours hospitalier et en HAD Le second profil est issu du secteur social avec un parcours dans le m dico social Conseill re en Economie Sociale et Familiale et responsable de secteur dans des structures d aide domicile Elles ont suivi la formation du Dipl me Inter Universitaire en gestion de cas au sein des universit s de Paris et de Rennes et ont brillamment obtenu leur dipl me en juin 2014 Cette formation a repr sent 5 semaines de cours et 3 semaines de stage A l issue l une d elles est partie en cong maternit et nous avons recrut une salari e en CDD pour la remplacer Dans le m me temps une troisi me gestionnaire de cas de profil kin sith rapeute a t recrut e Elle a exerc en lib rale puis dans un foyer d accueil m dicalis pour personnes handicap es vieillissantes Cette gestionnaire de cas a quitt ses fonctions en novembre 2014 La rempla ante embauch e s tant tellement investie que c est tout naturellement que le troisi me poste lui a t propos Le poste lui convenant parfaitement elle a accept L ann e 2014 a t particuli rement intense pour les gestionnaires de cas
86. es morales Ces actions peuvent tre r alis es sous la forme de s minaire pour sortir les professionnels de l autorit administrative TR pe D FA QGe 2014 rapport annuel Projet handicap Etape 2 des sessions INTRA destination des quipes en incluant les personnels administratifs et d accueil avec un programme complet Ces actions r pondent la n cessit d adapter le contenu au type de handicap et la sp cificit de la structure STRATEGIE DE MISE EN UVRE ET RETROPLANNING A partir de septembre 2014 et jusqu la fin de l ann e nous avons finalis avec la Commission Handicap les modalit s de mise en uvre du projet pour un lancement des actions envisag en janvier 2015 Les actions principales restant mener et identifi es dans le cadre de l tude de faisabilit Adapter et laborer le programme et le contenu des sensibilisations pour les responsables de structures et les quipes de terrain Recruter des formateurs pour animer les sensibilisations et participer l laboration des contenus Elaborer les outils de communication D velopper le partenariat avec les structures pouvant soutenir nos actions MDPH SAVS R troplanning de mise en uvre des actions de sensibilisation Sept oct Octobre 2014 2014 e Adaptation des Recrutement e Finalisation du Lancement de la Sessions contenus avec la des formateurs contenu communication destination des Commission e Elabora
87. estionnaires de cas En effet malgr toutes les qualit s de cet outil d j utilis par les Maisons D partementales des Personnes Handicap es cet outil n est pas valid scientifiquement au niveau international Des discussions sont actuellement en cours mais le choix s oriente vers deux autres outils le SMAF ou le RAI qui sont des outils d valuation multidimensionnelle d j valid s scientifiquement au niveau international e Le plan de services individualis Le Plan de Service Individualis PSI d coule de l valuation des besoins Il cherche rendre coh rent l ensemble des interventions assur es aupr s de la personne Cette donn e est fondamentale les diff rents professionnels doivent comprendre les objectifs et le sens de toutes les interventions Cela permettra de d terminer une orientation globale et permettra tous les intervenants professionnels de travailler dans le m me sens Le Plan de Service individualis PSI est une d marche lourde qui prend du temps et qui n est pas adapt un public ne relevant pas du public cible de la gestion de cas Le PSI n est pas un plan d intervention Le gestionnaire de cas a besoin des plans d intervention pour faire son PSI Le PSI est un outil de coordination clinique e Le syst me d information partag Le syst me d information permet la circulation optimale de l information La t che des gestionnaires de cas sera facilit e par l existence d un sys
88. f MAIA Les r unions entre pilotes essonniens et franciliens ont pour objectif de faire fonctionner les dispositifs de fa on similaires sur le d partement et sur la r gion le de France En 2014 une strat gie d partementale s est organis e entre les pilotes En effet de nombreux partenaires ont t rencontr s entre les deux ou trois pilotes MAIA de l Essonne 17 r unions de pr sentation d partementales ont t organis es Un travail d harmonisation des outils entre les dispositifs existants est galement d j bien engag L accompagnement en gestion de cas et la production des outils n cessaires sont d sormais harmonis s sur le territoire essonnien Les temps de supervision sont galement communs aux gestionnaires de cas des quatre MAIA de l Essonne Le pilotage par l Agence R gionale de Sant IDF a permis galement d engager une r flexion quant l harmonisation des outils utilis s notamment dans la communication Les premiers r sultats de ces travaux r gionaux ne seront visibles qu l aube de 2015 Les outils concern s sont le logiciel de gestion de cas un document de pr sentation de la m thode MAIA un document de pr sentation de la gestion de cas pour les personnes accompagn es gt La concertation e La table de concertation strat gique Deux Tables de Concertation Strat gique ont t organis es Un d but d analyse de l offre a t engag Les pilotes ont pr sent leur
89. fisants pour son maintien au domicile Relatives sa sant et aux soins Mme T prend rendez vous avec son m decin traitant si elle rencontre des probl mes de sant Toutefois elle ne se rend pas au rendez vous de sp cialiste m me si elle a un bon de transport elle trouve que c est compliqu Elle me dit r guli rement qu elle se sent mal chez elle et qu elle n a pas le moral Elle a refus son m decin traitant toute mise en place de traitement ou d accompagnement psychologique ce qui a g n r des tensions entre eux Il faut noter que Mme T des ant c dents de tentative de suicide Mme T me parle de difficult s d endormissement ainsi qu une mauvaise qualit de son sommeil Elle indique souffrir de douleurs chroniques au niveau d une ancienne intervention thoracique Les axes de travail propos ce jour Travailler sur une p rennit des interventions d aides domicile V rifier la faisabilit de son projet de partir dans l Est Am nager sa salle de bain Aider dans la gestion administrative Accompagner pour une prise en charge globale de ses probl mes de sant MAIA CENTRE EST ESSONNE Service de Gestion de Cas Le P S I est r dig par le gestionnaire de cas en concertation avec la personne et les diff rents intervenants et est couvert par le secret professionnel Il n a pas de r le prescripteur mais a pour objectif la planification des services le rep rage des besoins couverts et non cou
90. gement pour personnes g es tant cette probl matique demeure importante dans le quotidien des professionnels Ces sessions n tant propos es qu aux professionnels du domicile il est parfois difficile de mobiliser les quipes de ce secteur Les demandes des services d aide et de soins domicile sont moins videntes que pour les tablissements d h bergement Nos changes avec les services mettent en vidence le fait que le personnel est plus stable domicile qu en tablissement Aussi ce faible taux de turn over explique notamment le moindre besoin de sensibilisations pour les services d aide et soins domicile En effet il nest pas adapt d intervenir tous les ans sur une m me th matique aupr s des m mes quipes Les structures n ayant pas suffisamment de nouveau personnel former les demandes de sensibilisations gratuites se r duisent consid rablement Les sessions Nutrition et d nutrition des personnes g es ont suscit un r el int r t de la part des professionnels L intervention de l UTNc v ritable experte en ce domaine est un apport essentiel Les sessions propos es ont permis de nombreux changes entre les professionnels de diff rentes structures sur leur r alit quotidienne Th me sensibilisation Nombre participants De la maltraitance la bientraitance 94 T Nutrition et d nutrition LAN ya OA 7 OnT AN se 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit LE SERVICE
91. gen higoa de an le de Fance 29 09 2014 amp Validation de la fiche d orientation au sein du guichet int gr L gende d cisions r alis es 18 02 2015 Dispositifs MAIA Essonne SCRIPT D ANALYSE DU GUICHET INTEGRE Pr venir la personne que l on va pousser plus loin l investigation Pour mieux cibler la demande demander d embl e l ge et le lieu d habitation Donner la possibilit l interlocuteur d voquer d embl e ses difficult s Pr ambule Je peux vous poser quelques questions pour mieux cibler votre demande pour mieux r pondre vos besoins pour tre s r que j ai bien compris El ment d clenchant questions Que s est il pass Pourquoi faites vous cette demande Est ce qu il vous est arriv quelque chose derni rement Qu avez vous observ derni rement Ne poser qu une seule des Ne poser qu une seule des questions En fonction des r ponses aux questions pr c dentes indiquer les alertes ventuelles rep r es dans un ou plusieurs des cinq champs ci dessous Ne poser les questions ci dessous que pour les domaines qui n auront pas t voqu s spontan ment Il n y a pas de domaine prioritaire vous pouvez modifier l ordre des champs questionn s en fonction de la teneur de l entretien Toutes les questions sont compl ter par l observation si l entretien n est pas t l phonique noter toute incoh rence Autonomie fonctionnelle On
92. gration MAIA s inscrit parfaitement dans les objectifs que s tait fix e l association sa cr ation en 1995 Notre d marche portait d j sur la coordination des moyens g rontologiques et sur la n cessit d apporter une r ponse satisfaisante et coh rente aux besoins de la population g e du d partement de l Essonne De part l ensemble des actions men es depuis 1995 AGE a particip activement l volution du paysage g rontologique en Essonne Par l anciennet de son exp rience g rontologique par son r seau partenarial et ses actions AGE se situe l interface entre les secteurs social sanitaire et m dico social et dispose d un r seau partenarial important qui fait d elle un acteur l gitime pour porter ce projet PRESENTATION DU DISPOSITIF gt L objectif du dispositif L objectif des MAIA est de renforcer l articulation de l ensemble des partenaires intervenants dans les champs sanitaire social et m dico social et participants l accueil l orientation et l accompagnement des personnes ag es en perte d autonomie fonctionnelle et de ses aidants Cette nouvelle organisation vise simplifier les parcours r duire les doublons en mati re d valuation viter les ruptures de continuit dans l accompagnement des personnes Le dispositif doit proposer e Une r ponse harmonis e quelque que soit la structure laquelle la personne s adresse dans le p rim tre int gr des partenaires MAIA
93. h me En effet 100 des r pondants sont int ress s par la mise en place de telles sensibilisations Ceci conforte la pertinence du projet de AGE Le second questionnaire nous a permis de constater que pour faciliter la participation du plus grand nombre il conviendrait d organiser les sensibilisations au sein m me des structures Par ailleurs les r pondants n ont pas relev de besoins sp cifiques par rapport au handicap concernant les th mes aborder les facteurs de risque de maltraitance ou les l ments favorisant la bientraitance Nous retrouvons donc les m mes approches que pour les sensibilisations des professionnels intervenant aupr s des personnes g es Parmi les diff rents types de structures contact es celles qui ont exprim de l int r t sont ESAT Maison d accueil sp cialis e Foyer de vie Foyer d accueil m dicalis Foyer d h bergement Foyer de jour R sultats questionnaire n 1 Cette tude anonyme a t envoy e en avril 2014 aux tablissements m dico sociaux pour adultes dans le champ du handicap en Essonne Le taux de r ponse au questionnaire est de 35 Question n 1 Pensez vous qu il est important de parler de la maltraitance et de la bientraitance dans les structures m dico sociales Non Plut t non car il n y a pas de probl mes rencontr s Plut t oui car il y a d autres sujets prioritaires Oui c est une priorit politique de l tablissement 0
94. i Monsieur B n est plus agressif I faut noter deux l ments importants pour ce point il est sous traitement et aucun contexte ext rieur ne provoque son agressivit Il n y a pas d expression de tristesse de la part de Monsieur Monsieur verbalise le d sir de rentrer chez lui il fait encore de temps en temps ses valises Son MMS a t scor 15 alors qu il avait encore un MMS 27 en juin 2014 Apr s changes sur la situation les d cisions suivantes sont prises Un maintien des absences de visites de Mesdames B et V est d cid jusqu au 4 mars 2015 Il va tre propos Monsieur B une sortie au restaurant le 20 mars 2015 Un entretien bilan va tre organis par l quipe de la maison de retraite XX aupr s de Mme B afin de lui transmettre des l ments quant l int gration de son fr re dans la r sidence et une meilleure connaissance de la pathologie La premi re visite de Mme B et de sa fille devra s organiser autour de moment conviviaux Je reste votre coute pour toutes informations compl mentaires Je vous prie Madame Monsieur d agr er l expression de mes sinc res salutations St phanie YILMAZ Gestionnaire de cas P O Belinda INFRAY Pilote MAIA CENTRE EST ESSONNE
95. idien pour aller vers la bientraitance a t identifi e par les professionnels du domicile comme un l ment favorisant la d marche de bientraitance LES SUITES DONNER Estimez vous souhaitable de poursuivre l tude de ce th me par une prochaine session E Oui m Non Ne se prononcent pas LE FORMATEUR Le temps de parole laiss aux stagiaires vous a t il paru E Suffisant E insuffisant Tr s insuffisant Ne se prononcent pas Cette session devant amener le personnel verbaliser les comportements inadapt s et chercher la conduite ad quate doit aussi permettre aux professionnels de partager leurs exp riences et d changer sur les situations rencontr es Ce temps d change favoris par les formateurs est apparu suffisant pour la majorit des participants Xe ee AT h TAARI sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Quelle appr ciation portez vous sur les qualit s p dagogiques du formateur E Tr s satisfaisante E Satisfaisante Passable Insatisfaisante Ne se prononcent pas Les qualit s p dagogiques et la pr sentation du contenu de la formation ont t appr ci es par la majorit des participants L ensemble des formateurs de notre association cumule l exp rience professionnelle la pratique de la p dagogie dans le cadre de la formation continue professionnalisante Cette double comp tence alli e leur implication dans l laboration des
96. iel des missions sera li l annuaire Il s agit de mettre en place des fiches techniques pour chaque structure concernant sa mission le public cible les modalit s d inclusion Ces fiches seront faire valider par chaque structure avant leur mise en ligne Elles permettront chacun de mieux connaitre les missions de leurs partenaires e Le guide d entretien ou script d analyse Le script d analyse servira l valuation pour l orientation au sein du Guichet Int gr Il s agit d un outil simple et rapide utilis lors du premier contact d un usager afin de rep rer les besoins de la personne et de l orienter vers le bon service Il a t pr sent au groupe de travail d autres guides d entretien r alis s par des dispositifs MAIA existants Cela a permis d avancer plus rapidement sur un document abouti Le groupe de travail a rendu un document qui a t valid lors des tables de concertation tactiques L objectif a t de construire un guide d entretien type commun tous les partenaires du guichet int gr II s agit du premier document commun l ensemble de partenaires des deux territoires MAIA Centre Est Essonne et Nord Essonne C est donc le premier outil commun pour le futur Guichet Int gr e La fiche alerte orientation Ce document permettra de reporter les informations obtenues partir du guide d entretien en vue de le transmettre au bon partenaire via le guichet int gr Le gr
97. ies adopter nn 2 EEE Xe 2 OF AY sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation EVALUATION QUANTITATIVE Le nombre de sessions r alis es en 2014 est de 17 Malheureusement 5 sessions programm es ont t annul es Les sessions se sont r parties comme suit 3 2 RS nr m Niveau 1 J O OoOo m Niveau 2 Annulation 0 A D N N amp Le Q S K Q N K amp S Q x S Z Le nombre de participations 164 Le tableau de r partition des sensibilisations par structure et par niveau pr sente un total de 25 car des sessions ont t mutualis es et ont permis de toucher le personnel de plusieurs structures en m me temps 10structures touch es se r partissant ainsi Typologie des structures sensibilis es Nombre Structures de maintien domicile 3 Foyers logement 77777 2 CCS 2 Dispositif MAIA E Coordination g rontologique CLIC E Foyer de migrants RE RE TE EVALUATION QUALITATIVE gt Les attentes des structures Les responsables de structures ont pris conscience de la fr quence des pathologies de type Alzheimer ou apparent es et des difficult s rencontr es par leurs quipes dans l accompagnement au quotidien de ces usagers lls ont pris conscience de la n cessit d am liorer la connaissance de la maladie de sa d tection pour assurer un meilleur accompagnement et viter des situations de maltraitance Ces sensibilisations apparaissent comm
98. ions des adh rents e La subvention du Conseil g n ral de l Essonne pour les actions de sensibilisation et le service d acc s au droit des personnes g es e Subvention du Conseil R gional pour un poste Emploi tremplin Subvention de l ARS pour la mise place du dispositif d int gration MAIA Subvention du Comit D partemental d Acc s au Droit de l Essonne CDAD pour le service d acc s au droit e Subvention de la Caisse Primaire d Assurance Maladie de l Essonne CPAM pour le service d acc s au droit e Les actions de formation e Les permanences physiques du service d acc s au droit en collaboration avec la Communaut d agglom ration du Val d Orge Nous profitons de ce rapport d activit pour remercier vivement l ensemble de nos partenaires financiers qui nous apportent leur soutien et qui nous font confiance Nos actions peuvent se poursuivre et se d velopper gr ce leur concours COMMUNICATION Dans l optique d am liorer notre communication aupr s de nos partenaires et des usagers nous avons mis en ligne depuis 2009 un site internet www age91 orq regroupant l ensemble de nos actions Ce site regroupe l ensemble des activit s de l Association G rontologique de l Essonne et s adresse aux professionnels et aux usagers qui souhaitent d couvrir nos actions Des mises jour sont r guli rement effectu es tout au long de l ann e AGE dispose galement de plaquettes de pr sentation
99. ions r alis es aupr s des quipes soignantes et d accompagnement sont anim es par les formateurs de AGE infirmi res et di t ticiennes qui ont au pr alable assist une session dispens e par l UTNC gt Partenariats La mise en uvre de cette action a t possible gr ce aux partenariats actifs que nous avons pu cr er en quelques semaines avec les acteurs locaux e Unit Transversale de Nutrition clinique UTNc L Unit Transversale de Nutrition clinique UTNc est une quipe pluridisciplinaire au sein de l h pital Dupuytren du groupe Hospitalier Henri Mondor qui intervient dans la prise en charge des probl mes de nutrition et de d nutrition Existant depuis 2008 elle a pour mission principale la lutte contre la d nutrition avec des actions de pr vention de sensibilisation et des actions dans le secteur du soin Un programme d ducation th rapeutique du patient hospitalis a par ailleurs t valid par ARS en 2011 Elle a une activit de consultations externes d hospitalisation de jour de formation des personnels de sant d interventions nutritionnelles dans les services de l H pital Joffre Dupuytren et de formations des diff rents acteurs aupr s des personnes g es Pour ce projet AGE et lUTNc ont unis leurs comp tences et leurs moyens en vue de favoriser la sensibilisation des professionnels intervenant aupr s des personnes g es Ce partenariat s inscrit dans une d marche commune d am
100. jet depuis 3 ans Elle aborde des allergies de sa fille due son environnement Je l informe que je la contacterais pour un rendez vous Je joins le CLIC qui est intervenu dans le cadre du dossier CNAV elle me confirme que Mme T met fin aux aides mises en place et d un mal tre de Mme de vivre en Essonne J appelle le m decin traitant pour me pr senter et avoir une confirmation sur un diagnostic m dical le crit re sanitaire n tant pas clairement tablit lors du signalement il me confirme que Mme T souffre d une d pression et que le suivi m dical est compliqu Mme T ne souhaitait pas me rencontrer J ai maintenu un lien t l phonique tr s r gulier J ai ainsi pu organiser une nouvelle visite domicile un mois apr s la premi re Au cours de cette visite elle me fait part de l interruption de son aide domicile et qu elle n a plus rien dans son r frig rateur pour se nourrir Je lui propose la mise en place du portage des repas elle accepte Elle me r it re de son projet de partir dans l Est Je prends contact avec le m decin traitant Dr S en vue d organiser le r tablissement du portage des repas Mme T me donne son consentement oral pour l accompagnement en gestion de cas le 2 novembre 2013 L valuation a d but e Le consentement crit sera sign le 4 mars 2014 Probl matiques identifi es Relatives aux aspirations besoins souhaits Mme exprime le souhait de partir avec sa fille dans une
101. l issue de ce travail une labellisation Guichet Int gr sera mise en uvre pour les structures r pondant favorablement au dispositif e La gestion de cas Le gestionnaire de cas est positionn sur le suivi du parcours de vie et de soins de la personne Il s implique dans le soutien et l accompagnement des personnes et de leurs aidants et d veloppe un partenariat avec les professionnels du champ sanitaire social et m dico social Le gestionnaire de cas se situe un niveau d intervention clinique La gestion de cas est une m thode de suivi intensive du public cible Le public lui est orient au travers du guichet int gr Ze ee LA sage 2014 rapport annuel Dispositif MAIA Le gestionnaire de cas est dipl m du DU de gestionnaire de cas La gestion de cas intervient pour des personnes g es en situation complexe Il effectue un suivi intensif de la situation et travaille afin d viter toute rupture dans la prise en charge au domicile Le gestionnaire de cas a une file active qui ne peut d passer 40 situations Il a pour mission de d cortiquer la situation notamment au travers d une valuation multidimensionnelle l aide du GEVA A La coordination clinique du gestionnaire de cas a pour vis e premi re de donner un sens commun l intervention de divers professionnels collaborant sur une m me situation e L valuation multidimensionnelle des besoins L valuation multidimensionnelle des besoins est
102. lement la personne et ou son entourage de l orientation de gestion de cas MAIA NORD ESSONNE MAIA CENTRE EST ESSONNE T l 20169 804698 Fax0169805948 n en T l 081 85 02 50 Fax 01 81 85 02 54 ma a91 hpgm fr m S demande e91 or H pit lPriv G riatrique Les Magnolias aaia AGE P rc de lad lienfie 26 rue des Champs B t F P du Perray 91160 BALLAINVILLIERS 91830 LE COURDRAY MONTCEAUX ESSONNE 2 Tel 06 99 16 56 79 JF x 01 60 80 60 71 maiasu ne chsudessonne fr Centre Hospitalier Su Essonne DoUPbn Etampes Site d Etampes 26 Avenue Charles de Gaulle 91152 ETAMPES Cedex FICHE ORIENTATION EN GESTION DE CAS DEMANDE D INCLUSION SITUATION INSTABLE D UNE PERSONNE G E DE PLUS DE 60 ANS QUI COMPROMIET LE PROJET DE MAINTIEN A DOMICILE Pour qu une situation d inclusion soit tudi e il est imp ratif que les 3 crit res soient remplis CRITERE 1 La personne souffre d une ou plusieurs pathologies chroniques volutives O Soit PROBLEME DE SANTE O MALADIE diagnostiqu ou non n cessitant d tre r guli rement suivie par un m decin O Soit Affection Longue Dur e prise en charge par la s curit sociale 100 CRITERE 2 Les pathologies ont un retentissement quelle que soit l aide apport e O Soit sur LES ACTES ESSENTIELS DE LA VIE o se nourrir o se laver o se v tir o se d placer o se transf rer o aller aux toilettes O Soit sur LES ACTIVITES
103. liorer la qualit de vie des personnes g es en pr venant les risques de d nutrition par une meilleure connaissance des professionnels sur la nutrition et ses sp cificit s li es au vieillissement Sensibiliser les professionnels d encadrement et de proximit est un facteur favorisant la d tection des situations risque Le Dr BEHAR G riatre Nutritionniste de l UTNc a donc anim les sensibilisations destination des responsables de structures et de l quipe d encadrement D a Ze 2 FA SA sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation e Partenaires locaux Afin de toucher l ensemble des structures situ es sur le territoire de l Essonne nous avons sollicit diff rents partenaires pour l obtention d une salle pouvant nous accueillir au quatre coins du d partement _ L h pital Dupuytren Draveil Le service retrait temps libre Ris Orangis L h pital Georges Clemenceau Champcueil Le CLIC Orgyvette Ballainvilliers Le Centre Hospitalier Sud Essonne Etampes Tous nous ont r pondu favorablement et nous les en remercions De plus nous avons pu b n ficier de la collaboration du CLIC Orgyvette pour assurer la communication de la session d avril pour toucher les structures de maintien domicile de leur secteur PROGRAMME DE SENSIBILISATION gt Objectifs Apporter les connaissances n cessaires aux professionnels sur la d nutrition et la d shydratation
104. lub PA PH Formation inter r seaux HIPPOCAMPES SPES NEPALE ESSONNONCO Le cancer une maladie chronique quelles incidences sur les parcours de sant Rencontre d bat organis par le CRPVE Femmes de l immigration l entr e dans la vieillesse R union d information de l association Espace Vie Travail en Maison de Sant Pluri Professionnelle Demi journ e de formation propos e par le CLIC C ur Essonne Habitat indigne Journ e des partenaires CLIC C ur Essonne Inauguration Maison de Sant Pluridisciplinaire Corbeil Essonnes Soir e des Aidants MACIF G nopole Assises d partementales de la Sant G nopole Assises et salon des S niors dans le cadre de la Semaine Bleue Evry Forum National des Associations Inauguration Le Cercle des Ain s Epinays sous S nart _ Rencontre CG 93 l avanc e en ge des personnes handicap es Bobigny Journ e d changes Alt rit Tigery Journ e d tudes de l UNIOPSS les aides l autonomie des personnes g es MOYENS DE L ASSOCIATION gt Moyens et partenaires Financiers Avec le soutien de Ed forage Ar S ledeFrance LE CONSEIL G N RAL ren uggt cu Fes D ACC S AU DROIT Bl S D va Val a d Orge l Assurance Q Maladie ESSONNE Pour l ann e 2014 les ressources de l association comprennent 5 SH 5 5QGE 2014 rapport annuel Introduction e Les cotisat
105. lyse permettent aux professionnels de construire des outils de pr vention des situations sensibles et de mieux g rer les situations de crise Les attitudes positives dans le cadre des pratiques professionnelles en insistant sur le devoir citoyen au del des corporatismes L objectif est d inviter les soignants rep rer la d marche thique qui d finit leur pratique et qu elle soit non seulement un support de leur responsabilit individuelle mais aussi le support de leur identit de soignant e Niveau 2 Approfondissement Objectifs Relecture synth tique de la premi re session Que s est il pass depuis la premi re session Relecture et analyse des actes professionnels au quotidien Il s agit pour les professionnels de rep rer dans leurs pratiques quotidiennes des situations inadapt es la prise en charge d une personne g e en les aidant prendre du recul par rapport leur activit pour r fl chir au sens donn leurs pratiques Axes essentiels Analyse des situations quotidiennes v cues par les professionnels Le travail de r flexion s appuie sur des sayn tes pr sent es sous forme de bandes dessin es reprenant les diff rentes seule a l agace formes d abus possibles de n gligences et d omission LTD o9 Je sais je suis An z E 1 uand j l encontre des personnes g es Documentation et sc narios AEN AN m hatille toute Monique Zambon L objectif est d ide
106. mais une tr s bonne connaissance de l ensemble des formes de maltraitance existantes Q2 Depuis cette intervention quels comportements bientraitants observez vous Pr cautions pour la lecture des r ponses Sont valu es au travers de cette statistique les capacit s des personnels identifier des actes bientraitants il ne s agit en aucun cas d une valuation des pratiques professionnelles Il s agit simplement de mettre en avant les comportements observ s et identifi s comme des comportements bientraitants Cette statistique est un indicateur quant aux points sur lesquels nous devons insister au cours des interventions une tendance par rapport l am lioration des comportements et leur identification XN a ay pay sQge 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Am lioration des relations avec l entourage familial Am lioration des transmissions avec les autres professionnels du domicile Autres Q3 Toutefois des am liorations restent faire Il a t demand aux participants de choisir parmi la liste ci apr s les domaines dans lesquels des am liorations demandaient tre apport es Am lioration dans la connaissance des pathologies Am lioration dans la communication avec la personne aid e Am lioration dans le respect des habitudes de vie de la personne aid e Am lioration dans l organisation du service Am lioration dans la transmission avec les autres
107. marche intellectuelle par exemple de recherche de la cause d un trouble du comportement Quelle appr ciation portez vous sur les qualit s p dagogiques du formateur 1 Niveau 1 et 2 1 E Tr s satisfaisante E Satisfaisante Passable E Insatisfaisante s Ne se prononcent pas Le recrutement des formateurs s tablit sur la base d une connaissance des probl matiques li es au grand ge d une qualification d une exp rience professionnelle dans le champ g riatrique et de la formation professionnelle La participation des formateurs l laboration et l enrichissement du contenu contribue une appropriation du discours et des supports D Ea TT XN DA gt iS AGeE 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires l issue de la session Voici quelques extraits de leurs commentaires donn s titre d illustration Qu est ce qui vous a plu et ou d plu dans cette sensibilisation Plu les r ponses aux questions claires et le dialogue avec les autres personnes Bonne p dagogie de la part de la formatrice Certaines questions que je me posais ont trouv r ponses Je me sentirais mieux en face d un malade Alzheimer Merci Plu l aspect ludique de l information des divers aspects et des probl mes li s la maladie La formation tait int ressante mais trop courte quel dommage
108. mateurs qui collabore avec l association et qui met tout en uvre pour partager leurs connaissances et changer sur leurs exp riences avec les professionnels de terrain at Y Y 2014 rapport annuel Rencontres professionnelles Ze Cr A Le RENCONTRES PROFESSIONNELLES Club des directeurs d tablissement d h bergement le CIUb AGE sssssssnsnnnsnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 70 PRESENTA HONDU CLUB AGE ne aeehedeoesdee EEEa ce one 70 E E E E E EE E E E E E E EEA E T TE 70 D LOS O a a A EA EE AEE EAEE A E EA 70 gt Modalit s d organisation 71 LE RENCONTRES ae de de Din ee nee ee ie 71 PM LOBULE DADCIDO OI rie eee de Rd dd ouai 71 gt Synth se des rencontres ire 71 CONSO NE e EE E EA E 72 D e E SA 4 D 4 y sage 2014 rapport annuel Rencontres professionnelles Club des directeurs d tablissement d h bergement le Club AGE PRESENTATION DU CLUB AGE L Association G rontologique de l Essonne a d velopp depuis 2009 un club destination des directeurs d tablissement d h bergement pour personnes g es du d partement de l Essonne Le Club AGE 91 gt Les objectifs Offrir aux directeurs d tablissement un espace d change et de libre expression afin de Rompre l isolement relatif des directeurs dans leur fonction Echanger sur leurs pratiques sur les difficult s rencontr es Soumettre des cas complexes et r fl chir ensemble aux solutions P
109. me me annann nanan 104 Ze 2 SR w Sas AND lt d A D age 2014 rapport annuel Introduction L ASSOCIATION PRESENTATION DE L ASSOCIATION gt Identit L Association G rontologique de l Essonne est une association d partementale cr e en 1995 Elle est r gie par la loi du 1 juillet 1901 et le d cret du 16 ao t 1901 Notre association est constitu e de professionnels et de b n voles int ress s par les secteurs de la g rontologie et du handicap gt Objectifs Cr e pour favoriser la coordination des moyens g rontologiques de l Essonne AGE a pour objectif l am lioration de laccompagnement des personnes g es tant au domicile qu en tablissement d h bergement Par ailleurs depuis octobre 2012 AGE porte le dispositif MAIA du Centre Est Essonne visant simplifier le parcours des personnes g es en perte d autonomie Enfin l association est membre depuis octobre 2012 d un Groupement de Coop ration Sociale et M dico Sociale GCSMS le PASI P le Autonomie Sant et Information regroupant diff rentes associations dont l objectif commun est de participer un meilleur accompagnement et un parcours de sant simplifi des personnes g es gt Public concern Impliqu e dans le r seau g rontologique du d partement de l Essonne AGE m ne au quotidien des actions en vue de soutenir les professionnels des secteurs sanitaires sociaux et m dico sociaux intervenant aupr s
110. men e dans deux cadres diff rents par l utilisation de deux outils Le premier outil le script d analyse permet de rep rer rapidement les besoins de la personne pour l orienter vers le bon service au sein du guichet int gr Le second outil le GEVA A est utilis dans le cadre de la gestion de cas Il est complet et multidimensionnel car il int gre l ensemble des volets dimensions d une personne g e Les diff rentes dimensions tudi es sont la sant physique le statut fonctionnel la sant psychologique la sant cognitive l environnement social le statut conomique la situation administrative l environnement et les aspects de s curit Volet Activit s en r alisation effective l Volet Synth se L objectif du GEVA A est de mettre disposition des gestionnaires de cas un outil aidant conduire une valuation globale des besoins de la personne dans toutes les dimensions de sa situation en vue de l laboration d un plan de service individualis Le GEVA A permet une prise en compte du projet de vie dans l valuation et dans la pr conisation des r ponses XN Ga 27 AM sage 2014 rapport annuel Dispositif MAIA Le GEVA A est ainsi une source d information fiable pour la constitution de base d information populationnelle apte aider la planification des services et ressources sur un territoire L outil GEVA A ne sera pas l outil final des g
111. ment domicile des pisodes d agressivit et de violence verbale et physique ont amen la famille et l quipe de gestion de cas une hospitalisation en g rontopsychiatrie Il a s journ l H pital AA puis l H pital BB A l issue de son hospitalisation et apr s des v nements familiaux graves une mesure de sauvegarde de justice et une entr e en EHPAD la maison de retraite XX ont t mises en place Monsieur est entr la maison de retraite XX le 6 janvier 2015 Afin d accompagner au mieux Monsieur dans la vie quotidienne de l Etablissement il a t demand que Mme B son pouse et Mme V sa s ur ne viennent pas lui rendre visite pendant un certain temps Apr s un mois de vie au sein de la maison de retraite XX l quipe souhaite faire un bilan dans le cadre de son int gration dans l tablissement Il est chang les informations suivantes Monsieur B est toujours dans le d ni de sa pathologie Sa pathologie n cessite bien et justifie une prise en charge en EHPAD Monsieur est tr s attentif mais ne trouve d occupation Il ne participe que tr s exceptionnellement aux animations atelier m moire seulement Il ne participe pas la vie collective de l tablissement Avec le soutien de AGE Parc de la Julienne 26 rue des Champs 91830 LE COUDRAY MONTCEAUX 8 AR Tel 01 64 99 65 05 Fax 01 81 85 02 55 le 2e France Mail contact age91 org www age91 org Aujourd hu
112. ment soit en raison de la n cessit d effectuer des recherches soit parce que l envoi par l appelant de documents crits est indispensable l examen de la situation Les personnes sont rappel es au plus tard une semaine apr s leur premier appel Le d lai de r ponse tient compte des d lais de proc dure existants en mati re judiciaire Par ailleurs des rencontres physiques peuvent tre organis es en fonction de la complexit de la situation et ou de la somme de documents compulser e Analyse du suivi des situations moyen de communication i 479 R union de synth se Visite domicile Contacts entrants ceux re us par l association Contacts Courriers M t l phoniques Personne g e Directeur d tablissement Coordinatrice CLIC Conjoint Concubin Assistante sociale Conseill re en Economie Sociale et Familiale Beaux enfants Neveu Ni ce Ami Mandataire judiciaire la protection des majeurs M decin Petits enfants CCAS Juriste Non renseign Fr re s ur Agent administratif Salari Auxiliaire de vie SE N N N DIR 2e es AE SA sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Cousin cousine 1 Infirmi re 1 Psychologue o oS S T e Totli S S 20 326 Contacts sortants ceux mis par l association Destinataires Courriers Contacts t l phoniques Enfants Conjoint Concubin Coordinatrice CLIC 1 N N Assistante social
113. mentaires donn s titre d illustration Qu est ce qui vous a plu et ou d plu dans cette sensibilisation Rappel complet synth tique et pratique des diff rentes notions relatives la d nutrition des PA Possibilit d orienter les personnes ou leur famille vers des interlocuteurs sp cialis s Ze 2 NS 9 CAS AY si sQGE 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Tout m a beaucoup plu j ai appris des choses que je ne connaissais pas comme le MNA l chelle de Zarit Apport de formation pratique dans mon quotidien professionnel Reflet exact de la r alit en EHPAD e Formation interactive tr s claire et au proche du quotidien dans ses difficult s tr s enrichissante L aspect pratique de l intervention et la p dagogie du formateur S ance interactive enrichie d exemples concrets Intervenant l coute qui r pond bien aux questions e Evaluation sensibilisations destination des quipes Les statistiques ci dessous ont t r alis es sur la base de 301 questionnaires exploitables Ces r sultats associent les sessions de niveau 1 170 questionnaires et de niveau 2 131 questionnaires Quels sont les adjectifs qui correspondent votre appr ciation de la s ance plusieurs choix possibles 0 10 20 30 40 50 60 10 80 Passionnante Trop courte Int ressante E Niveau 1 Pas n cessaire Trop compliqu e
114. micile LICCAS ou Mairie LIMDS maison des solidarit s Equipe Sp cifique Alzheimer LIService la Personne L PACT ESSONNE CI M decin Traitant L Professionnel lib ral sn DAUTES SRE R ponse du partenaire sollicit LI Oui R orientation Partiellement APRES REPONSE DU PARTENAIRE RETOUR D UNE COPIE DE CE DOCUMENT AU PILOTE MAIA Le ANS EERTE MAIA Centre Est Essonne t l 01 69 23 20 28 fax 01 69 23 20 29 pilote maia age91 org Version 24 07 2014 2 2 Synth se MmeT est g e de 81 ans veuve vit avec sa fille de 56 ans handicap e et mal voyante elle est propri taire 40 et sa fille 60 d une maison Elle est orient e en gestion de cas le 7 octobre 2013 par le service retrait temps libre de la ville pour mise en chec des dispositifs d aide au maintien domicile service d aide domicile portage des repas Le service retrait temps libre signale un arr t r gulier des aides mises en place dans le conflit par Mme T Elle pr sente un syndrome d pressif Lors de la visite conjointe avec Mme TH service retrait temps libre au domicile de Mme T elle nous ouvre la porte mais ne nous laisse pas entrer Elle nous informe qu une personne ind pendante intervient chez elle pour les courses et qu elle se charge de la pr paration des repas Elle parle de son projet de partir en structure dans l Est car elle ne supporte pas de vivre dans l Essonne Elle a ce pro
115. mmune Les mises jour des formations se font dans le cadre de r union avec les formateurs ou par l quipe de AGE Les mises jour sont syst matiquement soumises aux formateurs intervenant sur le th me La conception et la mise jour des formations n cessitent d y consacrer un temps de travail tr s important gt Les intervenants L animation des formations est r alis e par des formateurs intervenant la mission Le choix des formateurs se fait en fonction de leur qualification et de leurs exp riences professionnelles Le profil des formateurs est aussi diversifi que les sp cificit s de nos interventions Nous travaillons ainsi avec des psychologues cliniciennes des cadres infirmiers ou IDE des di t ticiennes une psychomotricienne un masseur kin sith rapeute et un psychoth rapeute Par ailleurs un partenariat a t mis en place avec les deux r seaux de soins palliatifs de l Essonne les r seaux NEPALE et SPES sur les formations soins palliatifs et fin de vie Ainsi selon le th me choisi par la structure demandeuse le r seau concern r alise la formation et AGE en assure l organisation administrative Enfin l ensemble des formations juridiques sont assur es par le juriste de l association charg du service d acc s au droit des personnes g es LES PRESTATIONS PROPOSEES PAR AGE gt Les formations du catalogue en intra tablissement Ce dispositif privil gie les interventions en intra
116. mutualis es et ont permis de toucher le personnel de plusieurs structures en m me temps 8 structures touch es se d composant ainsi Typologie des structures sensibilis es Nombre Structures de maintien domicile Dispositif MAIA nu Foyer logement CCAS AGE Membres de la Commission Handicap Total EVALUATION QUALITATIVE gt Les attentes des structures Les responsables des services d aide ou de soins domicile rel vent un r el int r t pour cette sensibilisation Ils ont bien conscience de la n cessit de pr venir la maltraitance au domicile et de proposer des piq res de rappel aux professionnels Toutefois les demandes de sensibilisation sur cette th matique ne cessent de r duire n apparaissant plus comme une priorit Par ailleurs les responsables de secteur nous font r guli rement part de leurs difficult s financi res freinant la mise en place des sessions En effet m me si ces sensibilisations leurs sont dispens es gracieusement les salaires des professionnels ne sont pas rembours s pour la dur e de la formation par leur OPCA organisme de financement de la formation professionnelle continue cf annexes partir de la page 104 tableau de r partition des sessions par structure et par niveau ASSET VA sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation XN gt Les attentes des stagiaires Des tours de table en d but de session permettent de recueillir leur
117. n e La proposition d un devis e La planification de la date de formation avec la structure demandeuse e La confirmation aupr s des formateurs e La signature d une convention de formation entre l association et la structure demandeuse e La r ception et l encaissement d un ch que d acompte e L tablissement des contrats des formateurs vacataires et la d claration URSSAF e Un suivi une semaine avant la r alisation afin d obtenir la liste des participants aupr s des structures e L dition et la mise disposition des supports p dagogiques et de la feuille d margement aux formateurs e La r alisation de la session par le formateur vacataire e Le suivi des retours des comptes rendus et des valuations des stagiaires e La saisie des statistiques d valuation et leur analyse e L laboration d une synth se destination du directeur de la structure regroupant les valuations des participants et le compte rendu du formateur sur le d roulement de la formation e L tablissement d attestations de pr sence e L tablissement de la facture en fin de mois EF PS AY ee 2014 rapport annuel D partement Formation gt Elaboration des contenus Les contenus des formations sont labor s par AGE en collaboration avec les formateurs de l association L ensemble des formateurs intervenant sur un th me pr cis dispose donc du m me contenu leur permettant d avoir une base de travail co
118. n o Les compl ments nutritionnels o Suivi de l tat nutritionnel Les troubles de la d glutition ALIMENTATION DE f LA PERSONNE G E Un outil MobiQual de formation sensibilisation destin aux professionnels intervenant aupr s des personnes g es en tablissements de sant et m dico sociaux e be viduta mas aswata r ES E2 F Ms n def sfn Fram D CO 8 T ST 4 D S y sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les aides au quotidien L aide au repas Adaptation des textures en fonction des besoins Mat riel adapt Les ressources professionnelles O O O Analyse de cas cliniques interrogeant la pratique quotidienne o Signes de d shydratation o Signes de d nutrition EVALUATION QUANTITATIVE En 2014 53 sessions ont t r alis es tous niveaux confondus Elles se sont r parties comme suit m Niveau 1 m Niveau 2 MN A A 0 N Encadrement Le nombre de participations 422 Parmi les 7 sessions destination de l encadrement 4 ont t r alis es destination des structures de maintien domicile et 3 destination des EHPAD Le tableau de r partition des sensibilisations par structure et par niveau pr sente un total de 96 car certaines sessions ont t organis es en inter tablissements et ont permis de toucher le personnel de plusieurs structures en m me temps 51 structures touch es se d composant ainsi Typologie des st
119. n va se laver et s habiller Monsieur Martin se dit Mais on va me voir tout nu et avant j aurai pr f r prendre mon petit d jeuner Monsieur Martin r le car il a t puni Comme il n a pas mang sa viande il n a pas eu de dessert Monsieur Martin est choqu l aide soignante n a pas chang l eau de son bain pour baigner son pouse par conomie Madame Martin demande J ai besoin d aller aux toilettes L aide domicile r pond gentiment Je VOUS ai install e table c est l heure de manger et l infirmi re vient de vous mettre une couche Ao O STANDY sQQC 2014 rapport annuel D partement sensibilisation R sultats obtenus partir de 36 questionnaires exploitables Les sessions ont permis d am liorer sensiblement la repr sentation que les personnels se faisaient du ph nom ne maltraitance La prise en consid ration de l avis et des besoins de la personne g e et donc sa reconnaissance en tant qu tre vivant et d sirant a t galement une dimension nettement am lior e Prise de conscience des n gligences possibles dans l aide apport e aux personnes Cet apport th orique am ne les personnels prendre conscience qu ils ont t t moins de maltraitance dans leur lieu d exercice actuel ou ant rieur 67 des participants le reconnaissent l issue de la session contre 56 en amont et qu eux m mes ont eu des comportements maltrait
120. naires du service de gestion de cas Les demandes Les 11 demandes refus es ont b n fici de pr conisations et d une orientation vers la structure en capacit d accompagner la personne concern e Les proportions des demandes incluses et refus es restent identiques celle de 2013 L l ment nouveau concerne les sorties de l accompagnement en gestion de cas En effet au cours de l ann e 2014 6 personnes ne b n ficient plus de l accompagnement en gestion de cas e Suite une entr e en EHPAD pour 4 d entre eux e Suite un d m nagement pour 1 d entre eux e Suite un d c s pour un d entre eux Ze ee AT AY sage 2014 rapport annuel Dispositif MAIA Le profil type de la personne accompagn e en gestion de cas est e Un homme e Ag de 75 ans e Avec un entourage CONCLUSION Le dispositif se met en place sur le territoire Les groupes de travail et la gestion de cas sont le d but de la concr tisation de ce travail Le pilote a pu constater que le facteur temps est un l ment important afin d d expliciter le dispositif et ses enjeux aupr s des professionnels et de recueillir adh sion de ces derniers Apr s plus de deux ans de fonctionnement le concept de l int gration est de mieux en mieux appr hend par les partenaires Ils s en saisissent de plus en plus comprennent l int r t pour le public ainsi que sa m thodologie Les pilotes de l Essonne ont mis en uvre un tr
121. nde de t l alarme a t faite Toutefois une probl matique a merg l absence de d positaire de cl s ne permet pas d obtenir la mise en place de la t l alarme dans le d partement Relatives au logement et cadre de vie Mme vit en pavillon tage quip d un monte escalier Les chambres sont situ es au 1 tage ainsi que la salle de bain cette derni re est munit d une douche mais sans barre d appui La toilette s effectue au lavabo et Mme exprime le besoin de prendre une douche Le portage des repas a t install du lundi au vendredi et Mme doit pr parer les repas le week end Elle a besoin d une intervenante ext rieur pour effectuer les courses Depuis de nombreuses ann es Mme met en place puis interrompt dans le conflit puis redemande des interventions pour effectuer ses courses Ce fonctionnement a puis plusieurs structures d aides domicile qui ne souhaitent plus intervenir chez Mme T aujourd hui Mes premi res interventions n ont pas permis de p renniser la mise en place d un service d aide domicile Relatives l quilibre du budget et au suivi administratif Mme tient ses comptes et ses documents administratifs sont class s Elle rencontre des difficult s pour poster son courrier ou sortir pour se rendre un rendez vous caract re administratif Elle verbalise une difficult r pondre aux courriers administratifs trouvant le syst me compliqu Elle a des revenus suf
122. ne convention de fonctionnement entre AGE et chaque CLIC Un partenariat a t conclu avec les 6 CLIC du d partement Ce partenariat se d cline en deux volets des r unions d information juridique et un soutien juridique REUNIONS D INFORMATION En concertation avec les CLIC le juriste de AGE peut dispenser des informations juridiques aupr s du personnel des coordinations g rontologiques de ses principaux partenaires et des usagers Ces informations juridiques d une dur e de 2 h 30 sont dispens es aupr s des professionnels des champs sanitaires sociaux et m dico sociaux coordonnateurs de CLIC assistantes sociales CESF infirmi res directeurs d EHPAD responsables de service d aide domicile CCAS etc mais galement des agents administratifs et des juristes Au cours de cette ann e 2014 deux informations juridiques ont t r alis es aupr s des professionnels Nb d interventions Nb de participants CLIC Orgessonne juridique D marchage domicile Total 2 S O SOUTIEN JURIDIQUE Les situations qui font l objet de ce travail de collaboration sont tant celles recueillies par les CLIC que celles recueillies par AGE tant entendu qu aux probl matiques juridiques peuvent se greffer des probl matiques sociales n cessitant un accompagnement par les CLIC Chaque situation est tudi e au regard de la comp tence de chacune des structures Dans le cadre du partenariat ainsi tabli il est
123. ns e Connaissance de la permanence Orientation par d appels Point d Acc s au Droit d Etampes e Mati res juridiques concern es Domaines Nombre de RL 3 Mesures de protection RE Droit de la protection sociale 6 Proc dure civile 6 Droit de la famille 3 Droit p nal 2 Droit de la sant 1 Droit de la consommation 1 Droit des biens 1 Droit du travail 1 Une m me situation peut recouvrir plusieurs probl matiques e Analyse du suivi des situations Nombre Appels Appels Courriers d entretiens entrants sortants Sortants Personne g e 5 ll o _Conjoint J 1 S Total 23 12 3 1 Les situations trait es sont lourdes et complexes et ont n cessit des entretiens d une dur e moyenne d une heure Ces entretiens ont permis d apporter une r ponse appropri e aux probl matiques des usagers mais certaines situations ont n cessit des changes post rieurs gt Permanences sur la Communaut d Agglom ration du Val d Yerres e Modalit s Les permanences ont lieu le quatri me vendredi de chaque mois de9h30 12h 30 au Point d Acc s au Droit 8 rue Johann Strauss Epinay Sous S nart Permanences libres mais la prise d un rendez vous est pr conis e D A 51 en Xe CES AY 0ge 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit 6 villes sont concern es par cette permanence Boussy Saint Antoine Brunoy Crosnes Epinay Sous S nar
124. ntifier les actes non adapt s et d laborer des alternatives visant la bientraitance Il s agit de o D crire ce qu est la situation rep rer la pratique professionnelle voquer le ressenti de l intervenant le ressenti de la personne g e et ventuellement des autres protagonistes pr sents o Imaginer quelle serait la conduite ad quate quel am nagement de la pratique professionnelle pour une intervention correcte Quelles attitudes instaurer dans sa pratique quotidienne pour une attitude bientraitante o R flexion sur la d finition de la Bientraitance et rappel des principes de la relation d aide o La bientraitance au quotidien Que puis je am liorer dans mon approche mes gestes mes comportements pour optimiser la qualit de prise en charge de la personne aid e Xe 2 OF AY sQSE 2014 rapport annuel D partement sensibilisation o La bientraitance face lagressivit de la personne aid e aider les professionnels comprendre l agressivit et y faire face EVALUATION QUANTITATIVE Le nombre de sessions r alis es en 2014 est de 13 Elles se sont r parties comme suit 2 1 m Niveau 1 m Niveau 2 0 _ A lati E lt A p n 5 p nnulation amp ST S K O QO c L Q D gt Le nombre de participations 94 Le tableau de r partition des sensibilisations par structure et par niveau pr sente un total de 16 car certaines sessions ont t
125. ntnttntnttnnennnnnnnnne ennenen 17 x Evaluation des am liorations constat es moyen terme 17 x Evaluation de la satisfaction en fin de session 18 Sensibilisation La maladie d Alzheimer gt rnrnrnenenennenenennns 22 PROGRAMME DE SENSIBILISATIONS nantes ane abat manie 22 OCR E E E 22 A COO a E T N E E A E SE 22 e Niveau 1 Vieillissement d mences et maladie d Alzheimer gt 22 e Niveau 2 Vie quotidienne et troubles li s la maladie d Alzheimer aansssssssssessnnseennn 22 EVALUATION QUANTITATIVE nana ssmsssdmasss ss caesmendatese dass semss msi lederasmsnsernmntestnrennen 23 EVALUA TON OUR PANNE anne annee a taaa a bein ame nan ide ie tite 23 gt Lesallentes des SUCER raenustesauesccstane tes urs ee iP DEEP in admin oies bass adressant eee eo 23 gt Les attentes des stagiaires sn snsennnesnnnerecsndeenesnansreneeeseendeneeenb een seen iernse 24 gt nQu le de NS AUSIAD NOM ee ne ee 24 Sensibilisation Nutrition et d nutrition des personnes g es sassssssnnssnnnnnnnnnnnnnnnnn 28 PREAMBOUEE ea ae te a Da ee ne 28 gt D marche de sensibilisation Een aron ess encor tee en dirt eee te ca est tes red 28 P FON O a E 28 e Unit Transversale de Nutrition clinique UTNC 28 PAS OR a EE E E EA E R 29 PROGRAMME DE SENSIBILISA ION eeessseesesenseserrrneesrrrnrsrrrrrensrrrrensrrrrrenanrrrennnrrrennrnrrrennnrnrennnrnnen 29 MOD Ee i i T E E D A E E 29 D E E EE E EEE E A E NEEE
126. onn 48 entretiens sur 66 possibles soit plus de deux rendez vous par permanence montrant ainsi un r el besoin sur ce territoire La Maison de Justice et du Droit du Val d Orge est un lieu bien identifi par les usagers sur ce territoire noter que trois personnes ont pris rendez vous mais ne se sont pas pr sent es et que six personnes ont annul leur rendez vous au dernier moment Sans ces annulations le nombre maximum d entretiens possibles aurait t quasiment atteint D g N TT XN wa AT TAV sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit e Profil de l usager de la permanence m Conjoint E Personne g e m Enfants Petits enfants m Beaux enfants E Ami Neveu Ni ce Origine g ographique Br tigny sur Orge Fleury M rogis Le Plessis P t Leuville sur Orge m Morsang sur Orge E Saint Michel sur Orge E Sainte Genevi ve des Bois E Villemoissons sur Orge Hors agglom ration e Profil de la personne g e R partition par sexe E Homme E Femme Couple R partition par ge p panad Moins de 60 ans E Entre 60 et 65 ans Entre 66 et 70 ans Entre 71 et 75 ans E Entre 76 et 80 ans m Plus de 80 ans e Connaissance de la permanence Orientation par Nombre _ Maison de Justice et de Droit 2e es AE SA sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit e Mati res juridiques concern es Une m me situation peut recouvrir plusieurs p
127. ontenu Le programme de cette sensibilisation se d compose en 2 niveaux e Niveau 1 Sensibilisation a Objectifs gels __Lib rer la parole des professionnels Prendre conscience du ph nom ne de maltraitance dans les pratiques professionnelles Frapper fort pour d passer le tabou I est essentiel pour chaque professionnel de prendre Maltraitance Deri conscience qu en tant que soignant pris au sens large il y a ns parole un risque de maltraitance engendr par le fait m me d accompagner des personnes vuln rables ze fi Axes essentiels De la violence la maltraitance Etude des m canismes individuels ou de groupes qui peuvent induire la maltraitance aa PS AY 50e 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les diff rentes formes de maltraitance avec une mention particuli re pour la maltraitance par inadvertance en reprenant les moments clefs de la vie en institution ou au domicile de la personne g e La maltraitance par inadvertance est favoris e par l ignorance ou la connaissance partielle des besoins et des attentes des personnes g es et l puisement des aidants Cette maltraitance peut tre limit e d s lors qu il y a prise de conscience que l on peut tre maltraitant dans sa pratique soignante sans le vouloir Les facteurs de risque au travers des situations familiales sociales et professionnelles Le rep rage des facteurs de risque et leur meilleure ana
128. ontexte D s 1999 l association et le Conseil g n ral de l Essonne se sont engag s pour la pr vention des risques de maltraitance l encontre des personnes g es Dans cette optique l association a labor un programme de sensibilisation destination des professionnels intervenant aupr s des personnes g es Depuis 2003 AGE a compl t son programme p dagogique par des l ments concernant le vieillissement dit normal et pathologique tant la m connaissance des sp cificit s du vieillissement et ou des atteintes cognitives pouvait induire des comportements non ad quats de la part des soignants Enfin depuis novembre 2013 une nouvelle th matique de sensibilisation relative la pr vention de la d nutrition a pu tre mise en place Ce th me s inscrit dans la convention de partenariat tablie avec le Conseil g n ral de l Essonne Sa mise en uvre r sulte d une proposition de l association qui s int gre pleinement dans le sch ma g rontologique d partemental 2011 2016 puisque l un des axes retenus est l organisation de sessions de sensibilisation aupr s des professionnels autour de la probl matique de la d nutrition Les actions de sensibilisation men es par AGE avec pour objectif global de pr venir les risques de maltraitance se d clinent d sormais en trois th mes sp cifiques De la maltraitance la bientraitance des personnes g es favorisant la prise de conscience des risq
129. organisation Fr quence 3 4 rencontres par an AGE envoi par courriel aux membres du Club au moins 15 jours avant la r union une invitation rappelant la date l horaire le lieu et le th me de la rencontre Les membres sont invit s confirmer leur participation aupr s de AGE dans le d lai imparti Invitations Elles ont lieu au sein des tablissements par rotation et sur la base du volontariat des directeurs Le choix du lieu de la rencontre est d termin l issue de chaque rencontre Lieu des rencontres Chaque r union s oriente sur le th me retenu par les participants lors de la Th mes naa E r union pr c dente LES RENCONTRES gt Lieu et participation En 2014 trois rencontres du Club AGE ont t organis es regroupant 41 participants Nous pr cisons cependant que 51 participants s taient inscrits pour l ensemble de ces rencontres Echanges sur une autre approche de 1 25 03 l accompagnement des personnes malades Br tigny sur Orge maladies d Alzheimer et apparent es 19 06 Echange d exp riences sur les espaces SaimrsurSene ee SNOEZELEN en EHPAD SaimrsurSene Pr sentation et changes sur les 18 12 exp rimentations de t l m decine et de D ne nioine permanence des soins en EHPAD Le CIUb AGE est un v ritable lieu de rencontre d changes d coute et de parole o la libert d expression des membres sans contrainte ext rieure leur offre la possibilit d
130. oupe de travail a pr sent une premi re fois le r sultat de son travail en table de concertation tactique qui na pas t valid Le groupe a alors t largi puis a retravaill en fonction des demandes des membres de la table de concertation strat gique L outil pr sent en septembre 2014 a t valid en table de concertation tactique e La plateforme internet Malgr l absence des outils annuaires et r f rentiels des missions le projet de plateforme sera soumis en mars 2015 la table de concertation strat gique Elle permettra l orientation des situations de tous les professionnels vers des structures de coordination Cette plateforme devra voluer et permettre in fine tout type d orientation Elle int grera galement une rubrique MAIA permettant de rassembler toutes les informations n cessaires et de fournir les outils aux partenaires cartes coordonn es compte rendu des tables de concertation Une troisi me fonctionnalit est galement attendue l annuaire et le r f rentiel des missions e La formation Ce levier d action sera important et n cessaire pour l utilisation p renne de la plateforme et des outils qui y seront adoss s La formation sera envisag e pour tous les accueillants du territoire Un groupe de travail va tre mis en place afin de travailler le contenu et la forme de la formation Le groupe de travail s est r uni et a d fini un contenu diffuser aux professionnels qui utiliseront l
131. ous donne envie d couter Merci je ne me suis pas ennuy e e Pas assez de discussion sur nos pratiques et notre ressenti e Echanges entre les diff rents professionnels soignants analyse de cas apports cliniques essentiels pour la compr hension des situations difficiles Beaucoup d tudes de cas concrets tr s int ressant Les informations apport es par cette sensibilisation sont tr s importantes e Evaluation du niveau 2 approfondissement x Evaluation des am liorations constat es moyen terme Nous avons mis en place un questionnaire tentant de rendre compte des avanc es individuelles et collectives en mati re de bientraitance dans le laps de temps s parant les 2 interventions Un questionnaire anonyme est remis aux participants avec pour objectif de donner une tendance quant aux changements apport s Il n a pas de valeur scientifique il repose sur la repr sentation que les personnels ont de leur comportement individuel Les donn es ci dessous sont donn es titre d illustration et sont calcul es partir de 23 questionnaires exploitables Q1 Vous avez suivi il y a quelques temps une intervention sur le th me de la maltraitance la bientraitance des personnes g es Quelle s sont les formes de maltraitance expos es dont vous vous souvenez Type de maltraitance EE Maltraitance m dicamenteuse Maltraitance psychologique Ces r sultats confirment que les participants ont d sor
132. professionnels Q4 Pensez vous que ces am liorations pourront intervenir dans les mois ou semaines venir 22 oui et je le constate au quotidien 52 oui je le crois 26 peut tre 0 je crois qu il n y aura aucun changement Les personnels sont plut t confiants 74 dans les changements pouvant se mettre en place court ou moyen terme Q5 Pour favoriser la bientraitance votre structure vous propose t elle 78 des formations compl mentaires 4 des groupes de parole anim s par une psychologue 39 des r unions de synth ses 4 autre 10 ne se prononcent pas Les formations compl mentaires professionnalisantes ou dipl mantes sont consid r es par les personnels comme des leviers favorisant la bientraitance x Evaluation de la satisfaction en fin de session me A l issue de ce 2 niveau de sensibilisation un questionnaire d valuation est remis chaque participant afin d valuer la pertinence et la qualit de l intervention Xe 2 FA AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation LE CONTENU Quels adjectifs correspondent votre appr ciation de la s ance plusieurs choix possibles 0 10 20 30 40 50 60 70 80 Passionnante Pas n cessaire Trop courte Int ressante Trop compliqu e Pratique D PS aa T aa Enrichissante Ennuyeuse Les qualificatifs utilis s rendent compte d une formation tr s appr ci e par les professionnels Celle ci
133. ps de parole anim s par un tiers pour permettre la neutralit des changes Notre exp rience en mati re de formation et de sensibilisation a mis en avant un v ritable besoin de la part des quipes de professionnels de disposer d un lieu d expression et d changes sur les difficult s qu ils peuvent rencontrer dans leurs pratiques Nous proposons donc d animer des groupes de parole ou d analyse de pratique D T amp D e 50GE 2014 rapport annuel D partement Formation e Groupe de parole L objectif est de proposer un espace dans lequel l ensemble des difficult s relationnelles et ou motionnelles rencontr es dans l exercice de sa fonction pourrait tre expos et sans craindre le jugement de l autre ou la sanction en vue d en prendre conscience de les comprendre et de les d passer Ce temps doit permettre de r duire l isolement psycho social des participants souvent g n rateur de souffrance e Groupe d analyse de pratique L objectif est de proposer un espace permettant aux professionnels de r fl chir sur leurs pratiques Par l interaction entre les participants des solutions pragmatiques peuvent tre trouv es quant aux probl mes rencontr s L analyse de pratique est un lieu de partage d change et d coute r ciproque sur l activit professionnelle des participants Nombre de structures Nombre de Nombre de TS seances us n Pato panons Groupe de parole oe de parole 164
134. qu il a effectu ainsi que la potentielle difficult ou interrogation qu il peut avoir quant au d blocage ou l avanc e de l accompagnement L objectif est surtout d changer avec des regards d horizons diff rents sur les pratiques professionnelles et de permettre de proposer des pistes que le gestionnaire de cas n avait pas envisag Le Pilote fait galement r guli rement le point avec les gestionnaires de cas concernant l avanc e des accompagnements Chaque situation est tudi e globalement afin de poser les outils et de v rifier leur pertinence cet instant la synth se la pr sentation aux partenaires les tables de concertation cliniques Les gestionnaires de cas accompagnent des personnes en situation de grande pr carit isolement suivi sanitaire refus de soins et de services qui n cessitent des temps de paroles et d changes indispensables Aussi un temps de supervision et d analyse des pratiques professionnelles a t mis en place au sein de la structure avec un intervenant ext rieur sp cialis pour accompagner le groupe depuis juin 2014 Les gestionnaires de cas taient dans l attente de la mise en place de ce groupe de supervision Aujourd hui les temps de supervision sont mutualis s avec les gestionnaires de cas des dispositifs Nord et Sud 91 e Les demandes d inclusion en gestion de cas Au cours de l ann e 2014 50 demandes d inclusion en gestion de cas ont t soumises par les parte
135. que v Aqui et quand faire la demande Comment prot ger les biens et la personne d un parent qui a une alt ration de ses facult s et dont l entourage pourrait profiter de la vuln rabilit v Comment proc der la vente un bien immobilier afin de financer le co t des frais d h bergement en tablissement Probl matiques relatives au droit de la famille et la proc dure civile dont l obligation alimentaire v Que recouvre la notion d obligation alimentaire et quels sont les membres de la famille qui y sont tenus quelle est la proc dure mettre en uvre v Acte de caution v Procuration devant notaire v Proc dure de divorce Probl matiques relatives au droit de la protection sociale v Aide sociale pour le paiement des frais d h bergement v P riodes prises en compte pour le calcul des droits la retraite v Aides financi res pouvant tre accord es notamment pour les personnes ayant le minimum vieillesse v Aides pouvant donner lieu r cup ration sur succession hypoth que v Questions relatives APA pensions de r version mutuelle remboursement des soins Autres exemples de probl matiques trait es Comment d poser plainte v Abus de faiblesse escroquerie ou tentative d escroquerie l encontre d une personne g e de la part de son entourage ou d un professionnel v Proc dure de licenciement lorsque la personne g e emploie directement une aide domicile
136. r ci es par les participants Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires l issue de la session Voici quelques extraits de leurs commentaires donn s titre d illustration Qu est ce qui vous a plu et ou d plu dans cette sensibilisation Support utile Rappels n cessaires et pertinents Une formation renouveler tous les 2 ans en collaboration avec les auxiliaires de vie pour un meilleur accompagnement domicile Ze wa AT AY sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation La simplicit et les exemples donn s sont clairs et pr cis e Formation tr s int ressante dynamique et pleine de bonnes choses apprendre Parfait ce n tait pas ennuyant ce qui est rare e Formation simple et bien expliqu e La vaisselle des r sidents les bons reflexes pour les r sidents en cuisine e Les explications sont claires avec des exemples faciles comprendre Le temps est un peu court e La formation est tr s int ressante mais elle reste trop courte car elle est enrichissante e Les sujets apport s lors de cette formation m ont appris certaines choses que j ignorais aliments et leurs apports les personnes en surpoids peuvent tre d nutries e Tr s enrichissant Je pense qu il est important pour moi tant la restauration de connaitre et de savoir agir contre la d nutrition J apprends bien conseiller les personnes d nutries et bien
137. r structure Sessions STRUCTURE TYPE STATUT encadrants INTER Niveau 1 Niveau 2 AADSM MORIGNY CHAMPIGNY Structure de maintien domicile Public 1 2 J o AD SENIORS CHILLY MAZARIN Structure de maintien domicile Priv 172Z J o ADOMA MASSY Foyer de migrants Priv o o 1 e T ALLIANCE VIE LONGJUMEAU Structure de maintien domicile Priv 1 2 o o o AMADPA MONTGERON Structure de maintien domicile Public __ 1 2 J o o AP SERVICES EPINAY SOUS SENART_ Structure de maintien domicile Priv 1 1 1 ARPAGE ATHIS MONS EPA Priv 1 2 2 ASAD CORBEIL ESSONNES Structure de maintien domicile Priv 1 2 J o AUBERGERIE DU 3 me AGE QUINCY SOUS SENART_ _ EHPAD Pr BIEN A LA MAISON GIF SUR YVETTE Structure de maintien domicile Priv 1 2 J CCAS COURCOURONNES CCS Pubie o io S S CCAS ETAMPES CCS Pub S i S i y i CCAS MASSY GC Pb S CCAS NOZAY OC Pi e CCAS SAULX LES CHARTREUX CCAS Pi S S CCAS VIGNEUX SUR SEINE CCS Pubie e CRAMIF ARPAJON GRAMME Pb S S CLIC C UR ESSONNE COURCOURONNES Coordination g rontologique Priv 1 2 S o CLIC ORGYVETTE BALLAINVILLIERS Coordination g rontologique Priv 1 2 S o o CLIC SUD ESSONNE ETAMPES_ Coordination g rontologique Priv 1 2 S o COMPLICE DE VIE STE GENEVIEVE DESBOIS_ Structure de maintien domicile Priv 1 2 J o CONSEIL GENERAL EVRY _ Conseil G n ral Publice 3
138. rapport d tape et une r flexion s est engag e sur la couverture d partementale au niveau des coordinations g rontologiques Cette r flexion met l accent sur les communes non couvertes par des coordinations g rontologiques qu elles soient communales ou de l ordre d un CLIC D autres difficult s du territoire ont galement t abord es La table de concertation strat gique est pleinement dans sa mission d analyse de l offre et de r gulation sur le territoire e La table de concertation tactique En 2014 trois nouvelles Tables de Concertation Tactique ont t organis es Le travail de rencontre des partenaires permet certains partenaires qui n taient pas encore pr sents de mieux appr hender le dispositif et ainsi de participer aux r unions de la Table de Concertation lactique Le travail de la table tactique se situe deux niveaux La mise en uvre et l analyse du service rendu l harmonisation des pratiques professionnelles et l am lioration de la lisibilit du syst me d aide et de soins Au travers des remont es d informations li es la gestion de cas et aux rencontres des repr sentants des questionnements sur le territoire ont t pos s lors des Tables de Concertation Tactique La mise en uvre du processus du guichet int gr Le processus est en cours La table de concertation tactique veille la mise en uvre du processus et valide ou non les d cisions et propositions soumise
139. rentissage sur la personne g e e Sujet tr s int ressant beaucoup d changes entre nous Id es pratiques qui ont r pondu nos attentes e Ce qui m a plu beaucoup d changes et de r ponses aux questions que l on se pose au quotidien beaucoup de situations pratiques Formation tr s enrichissante m a permis de changer mon opinion plus l coute des besoins des r sidents Au d part beaucoup d appr hension cela m a permis de faire tomber les barri res tabou id es re ues Je me sens plus enrichi en la mati re moins d munie dor navant e a m a plu du fait que je ne savais pas du tout que des pathologies telles que Parkinson pouvaient avoir un rapport tr s avec le syndrome post chute On a pris connaissance certaines choses et les conduites tenir sur les chutes et l apr s chute Cette formation tait claire et enrichissante tr s satisfaisante et cela a r pondu mes attentes L agressivit du e La formatrice nous a donn beaucoup de tuyaux pour r pondre des sujet g situations pr sentes dans notre SSIAD CONCLUSION Le d partement formation est un d partement essentiel pour notre association double titre il nous permet de diversifier nos sources de financement pour la p rennit de notre association et il contribue pleinement au soutien et l accompagnement des professionnels intervenant aupr s des personnes g es Nous remercions par ailleurs notre quipe de for
140. robl matiques e Analyse du suivi des situations d entretiens entrants Sortants Sortant domicile 20 Rs RS RS RS 18 4 RS ES PS PE RS PS PE RS ES PS PS PS PS RS RS PS PS 3 1 1 Les situations trait es sont lourdes et complexes et ont n cessit des entretiens d une dur e moyenne d une heure Ces entretiens ont permis pour la majeure partie d entre eux d apporter une r ponse appropri e aux probl matiques des usagers Toutefois certaines situations ont n cessit des changes post rieurs l entretien Les usagers nous ont r guli rement indiqu tre satisfaits de pouvoir b n ficier de permanences juridiques gratuites de proximit sp cifiques aux personnes g es gt Permanences sur la Communaut de Communes de l Etampois Sud Essonne e Modalit s Les permanences ont lieu les deuxi me et quatri me lundis de chaque mois de9h 12h au Point d Acc s au Droit 1 rue du Coq Etampes Permanences libres mais la prise d un rendez vous est pr conis e 38 villes sont concern es par cette permanence Abb ville la Rivi re Angerville Arrancourt Authon la Plaine Blandy Bois Herpin Boissy la Rivi re Boissy le Sec Boutervilliers Bouville Bri res les Scell s Brouy Chal Saint Mars Chalou Moulineux Champmotteux Chatignonville Congerville Thionville Estouches Etampes Fontaine la Rivi re Guillerval La For t Sainte Croix Marolles en Beauce M r ville M robert Mesp
141. rs familles leurs proches et aux professionnels des champs sanitaires sociaux et m dico sociaux intervenant aupr s des personnes g es La particularit de ce service tient la sp cificit du public auquel il s adresse les personnes g es qui constituent une cat gorie de la population de plus en plus importante et plus vuln rable Dans le cadre de ce service le juriste a pour missions e de r pondre toute demande d information sur les droits et obligations dans les domaines civil p nal social et administratif d aider remplir les demandes administratives d orienter vers les organismes comp tents d accompagner dans l accomplissement de toute d marche administrative ou judiciaire d aider la r daction de courriers de dispenser des sessions d information et de formation destination des personnes g es de leurs proches et des professionnels sociaux et m dico sociaux notamment au travers du partenariat existant avec les centres locaux d information et de coordination g rontologique CLIC Les soutiens particuliers du Conseil g n ral de l Essonne du Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne de la Caisse Primaire d Assurance Maladie de l Essonne et de la Communaut d Agglom ration du Val d Orge au cours de cette ann e ont permis la poursuite des actions mises en place et le maintien de la gratuit de ce service de proximit 2e NF TAV sage 2014 rapport
142. ructures sensibilis es Nombre EHPAD Structure de maintien domicile SAD SSIAD soci t s de services CCAS Mairie Services retrait s Services s niors Coordination g rontologique CLIC Accueil de jour Conseil G n ral CRAMIF Foyer migrants Total Xe 2 OF AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation EVALUATION QUALITATIVE Un questionnaire de satisfaction anonyme est distribu en fin de session aux participants puis remis au formateur e Evaluation sensibilisations Encadrement Les statistiques ci dessous ont t r alis es sur la base de 73 questionnaires exploitables Ces r sultats regroupent les sessions dispens es aupr s des responsables de structure du domicile et des EHPAD les r sultats tant similaires Quels sont les adjectifs qui correspondent votre appr ciation de la s ance plusieurs choix possibles 0 10 20 30 40 50 60 10 Passionnante Pas n cessaire Trop courte Int ressante Trop compliqu e Pratique Enrichissante Ennuyeuse Les participants confirment leur vif int r t pour ce nouveau th me et confirment l enrichissement professionnel qu ils peuvent en retirer Le contenu de cette session a t il r pondu vos attentes E Oui lt Non E Partiellement Le contenu et le d roulement de ces sessions ont r pondu aux attentes des participants Ils sont repartis avec les r ponses qu ils attendaient par rapport la nutri
143. s d marches administratives et judiciaires vous oriente vers les services comp tents Modalit s Permanences libres Toutefois pour des raisons d organisation de planning et viter un d lai d attente trop long il vous est fortement pr conis de prendre rendez vous au 01 60 47 86 59 Accessibles aux habitants des villes suivantes Boussy Saint Antoine Brunoy Crosne Epinay sous S nart Quincy sous S nart Yerres Lieu des permanences Point d Acc s au Droit 8 rue Johann Strauss 91860 EPINAY SOUS SENART aS EM dr ue More En partenariat avec la Communaut d agglom ration du Val Ten d Orge l Association G rontologique de l Essonne propose des PERMANENCES JURIDIQUES la Maison de Justice et du Droit du Val d Orge 72 route de Corbeil Villemoisson sur Orge A destination des personnes g es et de leurs familles Dans le cadre de ces permanences un juriste vous coute r pond toute demande juridique dans les domaines civil p nal social et administratif vous informe sur les droits et obligations vous aide dans l accomplissement de vos d marches administratives et judiciaires vous oriente vers les services comp tents Modalit s Permanences sur rendez vous T l 01 69 46 81 50 Accessibles aux habitants des villes suivantes Br tigny sur Orge Fleury M rogis Le Plessis P t Leuville sur Orge Longpont sur Orge Morsang sur Orge Saint Mich
144. s attentes Les plus courantes La d finition de la maltraitance quelle s d finition s quelle s manifestation s Les limites de la maltraitance Les professionnels sont galement tr s souvent en attente de recettes miracles de r ponses toutes faites qu ils pourraient appliquer dans toute situation Les professionnels voquent aussi la n cessit de pouvoir parler de cette th matique avec les familles Ils rel vent enfin le manque de participation des personnels d encadrement ces sessions Il est effectivement regrettable que la participation ou la r alisation de session pour le personnel d encadrement soient encore tr s minoritaire alors que la pr vention de la maltraitance doit tre une pr occupation pour l ensemble des professionnels et qui n cessite un change pluridisciplinaire gt Evaluation des sensibilisations e Evaluation du niveau 1 sensibilisation L valuation du premier niveau de sensibilisation repose essentiellement sur l valuation de l volution de la repr sentation de la probl matique de la maltraitance chez les professionnels Dans cette optique nous proposons en d but et en fin de session un questionnaire identique nous permettant d appr hender une ventuelle volution dans la perception qu ont les professionnels de la maltraitance suite la session II nous est donc possible de rendre compte de la repr sentation individuelle du ph nom ne maltraitance en amon
145. s de maltraitance par une meilleure connaissance des signes d appel et par la mise en uvre de proc dures adapt es de traitement des cas de maltraitance et des situations risque e Sensibiliser les professionnels intervenant aupr s des personnes handicap es des risques engendr s par l accompagnement au quotidien des personnes vuln rables e Promouvoir la bientraitance au quotidien en menant une r flexion collective sur les am liorations possibles des pratiques professionnelles quotidiennes gt Description du projet D velopper une campagne de pr vention de la maltraitance envers les personnes handicap es tant au domicile qu en institution en permettant aux professionnels du d partement de l Essonne de b n ficier d actions d information et de sensibilisation la maltraitance et de promotion de la bientraitance en tablissement et au domicile gt Public et territoire L ensemble des professionnels de l Essonne intervenant en tablissement d h bergement et au domicile pour adultes en situation de handicap quel que soient leur fonction et leur niveau hi rarchique gt Les moyens Le Conseil g n ral soutien la mise en uvre de ce projet par une subvention de fonctionnement pour l ann e 2015 Seront n cessaire pour la bonne r alisation de ce projet du mat riel p dagogique ordinateur portable vid oprojecteurs le recrutement de nouveaux formateurs sp cialis s dans le champ du handicap ASSET
146. s diff rentes cat gories handicap sensoriel physique psychique et mental Apr s avoir sollicit diff rents acteurs la composition de la Commission Handicap a t la suivante Type de handicap Alt rit Sensoriel physique mental psychique polyhandicap EPS Barth l my Durand Psychique Les Papillons Blancs de L Essonne Mental et psychique UNAFAM Psychique De part leur participation les membres de la Commission ont confirm leur int r t quant la mise en uvre de ce projet sur le d partement La Commission est constitu e de 10 personnes Plan d action de la commission Handicap R unie partir de janvier 2014 la Commission Handicap avait pour objectif d accompagner AGE dans la d finition strat gique de mise en uvre du projet Le groupe de travail s est laiss 6 mois pour son laboration et pour mener l tude de faisabilit A l issue de la premi re r union de travail permettant la pr sentation des membres du groupe et la d finition des attentes nous avons labor un plan d action valid par les participants afin de guider le groupe dans son travail II s agissait d assurer un support m thodologique pour faciliter les discussions et aboutir la construction d une strat gie de mise en place des actions de sensibilisation i i Dur e Sous tapes Travail du groupe et de AGE P riode D finition des types de handicap concern s Couce de a R union n 1 par le projet p Janvier
147. s elles TABLEAU SYNTHETIQUE Le tableau synth tique ci dessous d nombre l ensemble des dossiers suivis en 2014 Nb dossiers Nb contacts Dossiers ouverts en 2014 55 Permanence t l phonique Dossiers trait s en 2014 ouverts entre 2004 et 2013 Permanences physiques R alis es en 2014 TOTAL 362 617 2e es AE SAR sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit CONFERENCES DEBATS A L ATTENTION DES PERSONNES AGEES ET LEURS PROCHES Parall lement la mise en place des permanences juridiques des conf rences d bats sur des th matiques juridiques l attention des personnes g es et de leur entourage r pondant aux probl matiques qui les pr occupent ont t r alis es au cours de cette ann e 2014 Des r unions d information ont ainsi t organis es en collaboration avec les CCAS les CLIC les services s niors etc Au del de l aspect d une information ponctuelle ces rencontres permettent d assurer une meilleure connaissance et utilisation du service en incitant les personnes qui n osent pas forc ment appeler prendre contact avec le juriste suite une premi re rencontre physique Public vis v Les personnes g es au domicile via les CCAS les CLIC les caisses de retraites v Les personnes g es en institution EHPAD foyer logement Nb d interventions Nb de participants CCAS de Saint Pierre D marchage domicile du Perray i
148. s par les diff rents groupes de travail 7 Cf annexes partir de la page 104 Fiche signal tique commune Cf annexes partir de la page 104 Synth se des d cisions prises en 2014 aa D VS A ee 2014 rapport annuel Dispositif MAIA gt Le guichet int gr Le guichet int gr est l outil de l int gration Afin de parvenir la r alisation du guichet int gr il est n cessaire de mettre en place les outils suivants 7 Outils Etat _ Ech ance Objectif Ces deux outils seront organis s de fa on R f rentiel des missions En cours r gionale L ARS IDF a souhait conduire les travaux afin quune harmonie soit mise en uvre sur les territoires Ces deux outils devraient voir le jour la fin du second semestre 2015 Guide d entretien A Fiche alerte orientation Plateforme internet En cours a a Ee IE E i les d cisions n cessaires ont t prises Le d veloppement est en cours Formation Le contenu de la Les premi res formations vont voir le jour en formation a t mai 2015 valid 3 La fiche alerte 5 Le r f rentiel des orientation groupe missions 7 La formation 1 Mise en place des de travail en cours groupes de travail bre 2014 ler trimestre 2015 LE GUICHET INTEGRE 2 me semestre 2015 Mars avril 2015 D cembre 2014 2 Le guide d entre tien outil termin et i 4 L annuaire en cours 6 La plateforme internet ac Le groupe
149. s r alis es en inter tablissements 00annnnon0annnnnnnnnnnnnnannrnnnnnnnrnnnnnnrrnnnnnrrennnnna 63 gt L accompagnement des professionnels oaaanso1annennannnnennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnrnnnnnrnnnernnnnrrnrnnrnnnnnne 63 Groupe de Daole asiain a aE E A R E nan 64 Groupe d analyse de pratique sise 64 P EPCOT S A E E A E EEE 64 REPONSES AUX DEMANDES SPECIFIQUES assassin 64 EVALUATION OA ANR ne nee sata aan oi nanees den be amet tien 65 EVALUA TON OP NE O a ea E ne 65 CONCEUSION a a an een ne 0 aa a cn dt 68 D 8 WO T Ze 2 FA AY Face 2014 rapport annuel D partement Formation a age Le catalogue des formations en g rontologie EDITION 2014 TABLE DES MATIERES VOS CONTACTS TARIFS et METHODES 4 5 CHAPITRE 1 CONNAISSANCE DE LA PERSONNE AGEE ET DE SES BESOINS 6 11 Qu est ce que le vieillissement 7 D nutrition D shydratation 8 Diab tes Hypoglyc mie Cholest rol 9 La pr vention des chutes 10 Le sujet g d pressif 11 CHAPITRE 2 ACCOMPAGNEMENT DE LA PERSONNE AGEE 12 21 La relation d aide 13 La relation avec les familles 14 L agressivit du sujet g comment la g rer 15 De la maltraitance la bientraitance 16 Les approches relationnelles du soin 18 Sexualit et vieillissement 19 Soins palliatifs et fin de vie 20 CHAPITRE 3 PATHOLOGIES DU VIEILLISSEMENT 22 25 La maladie de Parkinson 23 La maladie d Alzheimer en 6 modules 24 La m
150. se des interventions dans le cadre du d partement formation de l association Ainsi les formations juridiques sont toutes r alis es par le juriste salari de AGE Th mes des formations i OMR OTANTA de d interventions participants 7 Le secret professionnel rep res et pistes pour l action quotidienne Droit au risque D comment concilier libert s curit et responsabilit Droits et devoirs des soignants 4 Droits et devoirs des r sidents 3 La responsabilit juridique et p nale dans le cadre profes D 14 sionnel Les mesures de protection 1 Au total le juriste a anim AE ENTRE D La TT XN Ya OF SAW sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit Conclusion Au cours de cette ann e 2014 le nombre de situations trait es dans le cadre de la permanence t l phonique a augment de plus de 4 comparativement l ann e 2013 Les trois permanences physiques mises en place sur les territoires de la Communaut d Agglom ration du Val d Orge de la Communaut de Communes de l Etampois Sud Essonne et de la Communaut d Agglom ration du Val d Yerres ont permis de recevoir 94 personnes Le d veloppement des conf rences d bats a t aussi l occasion de sensibiliser et de r pondre aux attentes des usagers sur des th matiques juridiques particuli res Les usagers professionnels et particuliers t moignent r guli rement de l utilit de l existence d un service sp
151. sent une p riode difficile sur le plan m dical psychologique et ou social qui compromet leur vie au domicile sans toutefois n cessiter une hospitalisation gt Les membres Le GCSMS est constitu de 4 membres fondateurs Hippocampes R seau de sant g rontologique maladie d Alzheimer et syndromes apparent s SPES R seau de Soins palliatifs soins de support et douleur ASAD Association Sant Domicile SAD SSIAD et ESA personnes g es et handicap es l Association G rontologique de l Essonne AGE et d un membre actif _ Fondation uvre de la Croix Saint Simon Hospitalisation Domicile Le GCSMS pourra accueillir d autres membres actifs ainsi que des partenaires institutionnels et locaux Conseil g n ral CLIC Associations etc qui composeront le comit strat gique du GCSMS gt Territoire Le Groupement par l interm diaire de ses membres interviendra prioritairement sur les territoires suivants les communaut s d agglom ration Evry Centre Essonne Val d Orge Seine Essonne et le Syndicat d Agglom ration Nouvelle S nart en Essonne les communaut s de communes Vall e de l Ecole et Val d Essonne D TT SA 4 D S QGe 2014 rapport annuel PASI ainsi que les communes de Mondeville Videlles Boutigny sur Essonne Courdimanche sur Essonne Maisse Gironville sur Essonne Prunay sur Essonne Buno Bonnevaux Boigneville MODALITES DE MISE EN OEUVRE
152. services Nom du r f rent T l phone mail Date ou date de d but et de fin MmE B 01 60 89 XX XX R pond au x besoin s n 4 5 6 R pond au x besoin lt J un Cause de l cart Actions entreprendre D lai de suivi D marche effectuer Inscription Halte r pit apr s commission dossier MDPH D marche effectuer ider le couple dans les d marches financi res dettes loyers D lai de r flexion personne CR D lai de r flexion entourage D Eval compl ter EE Goncertation clinique EE Service refuse EE D marche effectuer o Attente suite d marche EEE Liste d attente D Service non disponible o Hors crit res d attribution SE Lo o E SRE N Limites financi res Titre de s jour de la famille soins remise en cause d une entr e en structure ou d une ventuelle hospitalisation de r pit pour ne pas mettre en danger la famille sur le territoire DISPOSITIF MAIA CENTRE EST ESSONNE Te gt St phanie YILMAZ LE COUDRAY MONCEAUX le 20 02 2015 Gestionnaire de cas 01 81 85 02 52 06 46 65 75 43 Objet Compte Rendu Table de Concertation Clinique n 2 du 17 02 2015 concernant M B NOM STRUCTURE roncon M M EHPAD XX M decin Pr sent coordinateur MmeB Epouse Pr sente Rappel de la situation Monsieur B est accompagn en gestion de cas depuis avril 2014 Dans le cadre de son accompagne
153. stionnaire est de 27 soit 15 r ponses Les structures taient invit es nous laisser leurs coordonn es pour que l on reprenne contact avec eux ult rieurement Question n 1 Est ce qu une session de sensibilisation sur le th me de la maltraitance bientraitance pour les membres de votre quipe serait plus facile organiser en INTER INTRA 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 Question n 2 Selon vous quelles cat gories de professionnels pourraient participer une sensibilisation sur ce th me Chauffeurs Personnel administratif Services g n raux Moniteurs d atelier Socio ducatif Soignants Encadrement 0 20 40 60 80 100 Question n 3 Combien de personnes pourraient assister en m me temps une sensibilisation r alis e en intra au sein de votre structure Plus de 10 6 10 1 5 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Question n 4 A quelle fr quence les membres de votre quipe pourraient participer une session inter tablissements avec la participation d autres structures 1 fois par trimestre 1 fois tous les 2 mois 1 fois par mois 2 fois par mois 0 10 20 30 40 50 60 70 Xe 2 FA AY QGe 2014 rapport annuel Projet handicap Question n 5 Selon vous quels seraient les th mes importants aborder au cours d une sensibilisation sur ce th me Autres propositions La d marche de bientraitance Les facteurs de risque de maltraitance L
154. sur les activit s de l association le service d acc s au droit et les sensibilisations Ze en AT AY QGe 2014 rapport annuel D partement sensibilisation DEPARTEMENT SENSIBILISATION Les actions de sensibilisation pr vention des risques 10 geler le LU LE rarae EE EU E E 10 D M POS ON AIO EL CONO O cabane an de eee or aber 10 m PUOI COR ONTE ie 10 gt Dur e et lieu des SESSIONS nn auirennusces nous danes editor nsc dela ele is aie encens ares eau 11 gt Organisation op rationnalit ss 11 PO ACSAIOIMAIQUIS sance ne sise den bebe ses SEESE eee eos 11 Sensibilisation De la maltraitance la bientraitance des personnes g es 12 PROGRAMME DE SENSIBILISATION iii ee eennnnnsececnnnnnseeecennnsececennnneeeeennnnes 12 MODS ee NE 12 2 CON OU de one ee a in ne tn a et tin 12 Niveau SenSibIIS AO hassan eannressalabes este kanai eea Aeiiaan iania 12 e Niveau 2 Approfondissement ss isessieeesrreneesereneeseeeenennne 13 EVALUA HON OO UPAN TEAM one nana te a oo nee came his oi 14 EVALUA MON OUR CRAN ES aa da aeiiaaie bites anis tete 14 gt Le esattentes deS SUUCIUI S en ne cannes anna a en de aaace EN een ie D nes dant 14 gt Les attentes des stagiaires none ns ane certe some tiens de ets sonner 15 gt Evaluation des sensibilisations is 15 e Evaluation du niveau 1 sensibilisation is 15 e Evaluation du niveau 2 approfondissement ssssssrnsssrrsrernstt
155. t Quincy Sous S nart Yerres e Evaluation quantitative Permanences programm es Permanences r alis es Personnes re ues au 31 12 2014 au 31 12 2014 au 31 12 2014 Au cours de cette ann e 2014 11 permanences ont eu lieu ayant occasionn 21 entretiens sur 33 possibles Un effort de communication sur la tenue de ces permanences tant la fois aupr s des partenaires que des usagers doit tre poursuivi afin d accro tre la fr quentation e Profil de l usager de la permanence 5 Conjoint m Personne g e E Enfants Origine g ographique 5 E Brunoy E Epinay sous S nart Yerres e Profil de la personne g e R partition par sexe m Homme E Femme Couple D ta O Xo Ya OF TAV sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit R partition par ge p parag Moins de 60 ans E Entre 60 et 65 ans _ Entre 66 et 70 ans E Entre 71 et 75 ans Entre 76 et 80 ans Plus de 80 ans e Connaissance de la permanence Orientation par Nombre d appels Point d Acc s au Droit d Epinay sous S nart e Mati res juridiques concern es Une m me situation peut recouvrir plusieurs probl matiques e Analyse du suivi des situations d entretiens entrants Sortants Sortants Enfants 8 1 o Conjoint dd y o Toal 2 5 3 2 Les situations trait es ont n cessit des entretiens d une dur e moyenne d une heure et des changes post rieurs pour certaines d entre
156. t me s curis permettant l change d information avec les professionnels concern s Le recueil de ces informations est r alis avec le consentement de la personne Le syst me d information partag doit faciliter la connaissance partag e du service rendu la population du territoire II sera un appui la modification des pratiques la simplification des parcours la planification LA MISE EN UVRE DU DISPOSITIF gt Les rencontres des partenaires La concertation et la p dagogie sont des gages n cessaires la r ussite du dispositif Le pilote rencontre de nombreux partenaires soit dans le cadre de r unions de coordination ou de r unions partenariales soit lors de rendez vous de pr sentation du dispositif En 2014 le travail de pr sentation du dispositif MAIA s est poursuivi le pilote a rencontr 40 partenaires en plus de ceux d j rencontr s en 2013 Ces rencontres permettent de pr senter le dispositif d tablir le diagnostic du territoire et de poser le r f rentiel des missions de la structure Le pilote participe aussi aux r unions organis es entre pilotes de l Essonne rencontres hebdomadaires de l Ile de France rencontres trimestrielles de France rencontres annuelles Syst me de Mesure de l Autonomie Fonctionnelle Resident Assessment Instrument Cahier des charges national des dispositifs MAIA XN Ga 27 AM QGe 2014 rapport annuel Dispositi
157. t accessibilit pour les personnes g es et leurs proches Ce d veloppement s est manifest via des permanences physiques et des conf rences d bats destination des personnes g es et de leurs proches En 2014 l association a renouvel la convention de partenariat avec la Communaut d Agglom ration du Val d Orge Par ailleurs le renouvellement du partenariat conclu avec le Conseil D partemental d Acc s au Droit de l Essonne a permis la poursuite des permanences physiques au niveau des Points d acc s au droit de la Communaut de Communes de l Etampois Sud Essonne et de la Communaut d Agglom ration du Val d Yerres gt Permanences sur la Communaut d Agglom ration du Val d Orge e Modalit s Les permanences ont lieu les deuxi me et quatri me mercredis de chaque mois deit4h i7h la Maison de Justice et du Droit du Val d Orge 72 route de Corbeil Villemoisson sur Orge Permanences libres mais la prise d un rendez vous est pr conis e 10 villes sont concern es par la permanence Sainte Genevi ve des Bois Saint Michel sur Orge Morsang sur Orge Fleury M rogis Villemoisson sur Orge Villiers sur Orge Br tigny sur Orge Le Plessis P t Leuville sur Orge Longpont sur Orge e Evaluation quantitative Permanences programm es Permanences r alis es Personnes re ues au 31 12 2014 au 31 12 2014 au 31 12 2014 D CS Lors de cette ann e 2014 22 permanences ont eu lieu ayant occasi
158. t et l issue des sessions de sensibilisation Je ne sais nN l Bientraitante Maltraitante La Comment qualifiez vous les situations suivantes pas 3 3 81 789 17 8 La fille de Madame Martin demande l aide domicile si elle peut nettoyer le sol et la v randa plut t qu aller se promener au bord du lac avec sa m re elle na pas besoin de prendre l air L aide domicile accompagnant Madame Martin en courses Il faut qu on se d p che ce matin mamie 3 3 81 297 17 je suis en retard Monsieur Martin s inqui te C est quoi cette pilule l L aide soignante lui r pond C est le m decin 36 15 28 258 31 22 qui l a prescrite vous devez la prendre 4 6 Monsieur Martin est vex Madame Martin est de retour de chez son coiffeur Le m decin lui a dit 61 9 Tu es jolie Agn s aujourd hui 0 L aide domicile Madame Martin Vous avez recu une lettre de votre fils du Canada Le timbre est joli Je 19 8 4 783 31 8 vais le d couper pour ma collection Monsieur Martin demande ses enfants d intervenir aupr s de la responsable Son pouse atteinte de d mence Alzheimer a t attach e une chaise 8 0 81 297 11 3 parce qu elle n arr tait de vider l armoire et d plier le linge D ur O7 nn Ouvrant les volets et la fen tre l aide domicile dit Allez o
159. tement de la d nutrition O O O O e Sensibilisations destination des quipes Pour les sensibilisations destination des quipes de terrain elles ont t labor es en groupe de travail constitu des formateurs de AGE intervenant sur le sujet partir du contenu dispens par PUTNc d une part et de l outil Mobiqual Nutrition d nutrition de la personne g e en EHPAD d autre part Ces sessions sont anim s par les formateurs de AGE et se dispensent en deux niveaux x Niveau 1 D tecter et agir D nutrition et d shydratation du sujet g o D finitions o Causes sp cifiques o Signes d alerte et indicateurs de la d nutrition et de la d shydratation La pr vention par une bonne alimentation o Les effets de l ge sur le statut nutritionnel Rappels di t tiques et rep res de consommation pour une alimentation quilibr e Faire du repas un moment agr able de plaisir Une alimentation adapt e chacun O O O Les r gimes restrictifs Autres actions de pr vention o Une bonne hygi ne bucco dentaire o Le maintien d une activit physique x Niveau 2 Agir face aux signes de d nutrition et de d shydratation Rappels di t tiques nutrition d nutrition Les cons quences de la d nutrition o La spirale de la d nutrition o Alerter et agir le plus t t possible La prise en charge de la d nuirition o Conseils nutritionnels o Enrichissement de l alimentatio
160. tes Hors demandes sp cifiques et formations relatives la maltraitance r pondant une valuation qualitative de l volution de la repr sentation de la maltraitance et non pas de pure satisfaction Xe 27 Se AY VA sage 2014 rapport annuel D partement Formation Le contenu de cette session a t il r pondu vos attentes 3 1 E Oui Non m Partiellement Ne se prononcent pas De mani re g n rale le d roulement et le contenu des formations ont permis de r pondre aux questionnements et aux besoins des professionnels Ils ont ainsi pu approfondir leurs connaissances et am liorer leurs pratiques professionnelles Le temps de parole laiss aux stagiaires vous a t il paru 6 E Suffisant E insuffisant Tr s insuffisant Ne se prononcent pas Les formateurs privil gient les temps d change entre les participants afin qu ils puissent partager leurs exp riences et voquer des situations quotidiennes en lien avec le th me de l intervention Les formations ont galement pour objectifs de permettre un change de pratique entre les professionnels Quelle appr ciation portez vous sur les qualit s p dagogiques du formateur 1 w3 E Tr s satisfaisante E Satisfaisante Passable E nsatisfaisante m Ne se prononcent pas Les qualit s p dagogiques des formateurs ont t appr ci es par les participants Leurs connaissances de la personne g e et leur exp rience en
161. test valid en TCT cueillant les outils Cette fl che retrace les l ments du guichet int gr e L annuaire L objectif est de partager un outil commun avec tous les lieux d accueil du futur guichet int gr Le groupe de travail mis en place vise donner les bonnes pistes pour organiser cet outil L id e est de simplifier la t che des partenaires en mutualisant l ensemble des annuaires existants terme le but est qu un seul annuaire existe et soit utilis par tous les professionnels des champs sanitaire social et m dico social via internet Ce groupe de travail s est r uni r guli rement La construction est longue car il est n cessaire d harmoniser le vocabulaire pour les trois champs sanitaire social et m dico social Le groupe de travail a d fini une architecture dans laquelle il faudra que tous les services de soins et d aide puissent tre r pertori s Cf annexes partir de la page 104 Script d analyse du guichet int gr 1 Cf annexes partir de la page 104 Fiche alerte XN ya OF STAD sage 2014 rapport annuel Dispositif MAIA Plusieurs r unions sont encore n cessaires pour finaliser le travail de l annuaire Une harmonisation r gionale demand e par ARS IDF n a pas permis au groupe de travail d aller plus loin et de voir se concr tiser son travail Toutefois le travail du d partement a t transpos au niveau r gional e Le r f rentiel des missions Le r f rent
162. ticipants en moyenne par rencontre Le nombre de participants aux r unions est suffisant pour permettre un bon change entre les directeurs Enfin certains directeurs nous ont sollicit s pour mener une action identique l attention des Infirmiers coordonnateurs de leurs structures I T XN Ga OF AI A AGE 2014 rapport annuel Dispositif MAIA DISPOSITIF D INTEGRATION MAIA PREAMBUL E ee 74 PRESENTATION DU DISPOSITIF si sssissssssssssssssneetenesescsmenenensesmn ssensannssiseneeseneenouessesan etenenness s 74 2 L ODJECU OU OIS DOS ee 74 OC OO EEEO EE NEEE EEATT 75 gt Les modalit s de fonctionnement les 6 axes 75 ES CONOCOO E e E 75 x La table de concertation strat gique ss 76 x Ha table de concertation TACHIQUE 5e dada esse detente green 76 e Leguchel Megre ianiai naie de EET ENEO nes en es ee 76 OS OS srein nea EEE E Eea EA EAEn Renn 76 e L valuation multidimensionnelle des besoins sn00nnnnnnoannnnonennnnnnsrnnnnonnnnnnessnnrnrenennerenne 77 e Le plan de services individualis ss 78 e Le syst me d information partag sis 78 LA MISE EN UVRE DU DISPOSITIF ssersonnnenesesnnnenmnennnnensecnanennennonesesennneenennoneens 78 gt Les rencontres des partenaires ss 78 P ER OCON U SR T EE EEE EAE AEAEE A EE 79 e La table de concertation strat gique ss 79 e La table de concertation tactique ss 79 A LOGU COR E EAE EOE TE
163. tion du Elaboration des aupr s du responsables Handicap contenu des outils de secteur diffusion e Rencontres e Groupe test de sensibilisations communication des programmes individuelles des sensibilisation et des outils e Planification des structures Commission p dagogiques sensibilisations Programmation Handicap Modification des des responsables des sessions pour e Plan d action de statutsde AGE e D veloppement les quipes la Commission des partenariats e Ajustement du Handicap contenu CONCLUSION Le travail r alis au cours de l ann e 2014 nous a permis de ne pas nous pr cipiter dans la mise en place du projet afin de nous entourer d acteurs du secteur du Handicap recueillir leurs attentes leur soumettre notre d marche Cette ann e de travail nous a galement permis de r aliser un tat des lieux et d tudier les besoins du secteur L tude men e nous conforte dans l int r t et la possibilit de mettre en place une telle action en 2015 Nous profitons de ce rapport d activit pour remercier chaleureusement toutes les personnes qui ont accept de prendre de leur temps pour s impliquer et nous accompagner que ce soit les membres de la Commission Handicap que Madame Plam na PASHEVA la b n vole de Passerelles et Comp tences D T Xe D gt az sQGe 2014 rapport annuel PASI PASI P le Autonomie Sant Information PASI P le autonomie sant information PR
164. tion et la d nutrition des personnes g es D CO R T Ze 2 OF AY sage 2014 rapport annuel D partement sensibilisation Les exemples cit s par le formateur sont ils proches de situations que vous rencontrez dans votre pratique quotidienne 4 E Tr s souvent E Souvent Jamais m Ne se prononcent pas L exp rience professionnelle en g riatrie de l intervenant permet une ad quation entre le discours et les probl matiques rencontr es par les professionnels Le temps de parole laiss aux stagiaires vous a t il paru 1 E Suffisant _ Insuffisant m Tr s insuffisant Les sessions sont organis es de mani re tr s interactive et une partie de la session est consacr e aux changes et aux questions des participants Quelle appr ciation portez vous sur les qualit s p dagogiques du formateur E Tr s satisfaisant m Satisfaisant Passable E Insatisfaisant Le Dr BEHAR qui a anim ces sessions est un professionnel exp riment en g riatrie et dans les probl matiques nutritionnelles Il a la facult de faire passer son message avec simplicit et conviction Sa volont d am liorer l tat nutritionnel des personnes g es et de pr venir leur d nutrition s illustre par des interventions de grandes qualit s tr s appr ci es par les participants Les participants ont galement la possibilit de laisser des commentaires l issue de la session Voici quelques extraits de leurs com
165. tre les cons quences les effets secondaires etc La connaissance du m dicament J ai eu une autre vision de la maltraitance e Echanges entre soignants et formatrice sans jugement libert d expression Le fait d exprimer ce que l on ressent m me si on est dans l erreur cela De la maltraitance nous permet de comprendre nos erreurs celles que nous ne voyons pas la bientraitance sp cialement maintenant nous pouvons les dissocier J ai appris beaucoup de choses que je ne connaissais pas La formation tait enrichissante mais il y beaucoup de choses dire en peu de temps e Malgr l exp rience et le fait d avoir suivi beaucoup de formation on apprend toujours et toujours c est une remise en question D nutrition et L ensemble de cette formation m a plu et je la trouve tr s int ressante d shydratation Formation claire et pratique adaptable sur le terrain rapidement Il m a plu de savoir qu il existe des lois dans les tablissements et que cela concerne le r sident le professionnel et la direction Plu le sujet m connu et pas souvent abord qui permet de r fl chir sur des questions thiques qui concernent le travail mais aussi la sph re priv e Le droit au risque e Les connaissances apport es m ont int ress Le temps tait un peu court par rapport aux nombreux changes que nous avons eu e a m a appris et aid mieux comprendre certaines situations que l on peut rencontrer en
166. ues de maltraitance dans le quotidien La maladie d Alzheimer informant sur les manifestations de la maladie pour am liorer la qualit d accompagnement Nutrition et d nutrition des personnes g es visant pr venir les risques de d nutrition par une meilleure alimentation et le maintien d une activit physique des personnes gt Public concern Les actions de sensibilisation gratuites conform ment au partenariat tabli avec le Conseil g n ral de l Essonne concerne les services d aides et ou de soins domicile les CCAS les CLIC les r sidences services les logement foyers et les tablissements d h bergement uniquement pour les sensibilisations de pr vention de la d nutrition Les sessions visent la sensibilisation de l ensemble des acteurs de l accompagnement sans restriction des cadres de direction et de sant aux personnels les plus proches des personnes g es Il est demand que des groupes de 12 personnes maximum soient compos s Il faut prendre toutefois en consid ration que pour certaines petites structures des groupes plus restreints sont organis s XN a awy Big sQge 2014 rapport annuel D partement sensibilisation gt Dur e et lieu des sessions Les sessions sont d une dur e de 2 h 30 Les apr s midis sont souvent privil gi s par les structures De mani re g n rale les sessions sont r alis es au sein des structures ou dans des salles r serv
167. uits Monnerville Morigny Champigny Ormoy la Rivi re Plessis St Benoist Puiselet le Marais Pussay Roinvilliers Saclas Saint Cyr la Rivi re Saint Ecobille Saint Hilaire Valpuiseaux D E O Xe CES AY sQAQe 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit e Evaluation quantitative Permanences programm es Permanences r alis es Personnes re ues au 31 12 2014 au 31 12 2014 au 31 12 2014 Au cours de cette ann e 2014 22 permanences ont eu lieu ayant occasionn 25 entretiens sur 66 possibles La mise en place assez r cente f vrier 2013 de cette nouvelle permanence et la couverture d un territoire plut t rural mal desservi par les moyens de transports en commun expliquent pour une large part la fr quentation moyenne de cette permanence malgr le besoin qui se fait ressentir Un effort de communication tant la fois aupr s des partenaires que des usagers doit tre poursuivi et amplifi e Profil de l usager de la permanence 4 Conjoint m Personne g e E Enfants Origine g ographique Abb ville la Rivi re s Angerville E Etampes m Morigny Champigny Hors agglom ration e Profil de la personne g e R partition par sexe 20 E Homme E Femme Couple o wa Fy A sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit R partition par ge Moins de 60 ans Entre 60 et 65 ans Entre 66 et 70 ans Entre 71 et 75 ans E Entre 76 et 80 ans m Plus de 80 a
168. un accompagnement adapt Xe Ce AT AY QGe 2014 rapport annuel D partement Formation La responsabilit juridique et p nale dans le cadre professionnel Risques infectieux les pr cautions standard Total 6 57 EVALUATION QUANTITATIVE Dans le cadre de son d partement formation AGE Est intervenue aupr s de 46 structures tablissement d h bergement association d aide et de soins domicile plateforme CCAS mairie foyer logement et foyer de vie occupationnel Le nombre d intervention total s l ve 193 Les formations ont permis de comptabiliser 1 808 participations EVALUATION QUALITATIVE Des questionnaires de satisfaction sont remis chaque participant la fin des sessions de formation nous permettant d valuer la qualit de la formation telle que per ue par les participants Sur 770 questionnaires exploitables les participants ont r pondu aux questions suivantes Quels adjectifs correspondent votre appr ciation de la s ance plusieurs choix possibles 0 10 20 30 40 50 60 70 Passionnante Pas n cessaire Trop courte Int ressante Trop compliqu e Pratique Enrichissante Ennuyeuse Les qualificatifs utilis s par les participants pour appr cier les formations rendent compte d une satisfaction g n rale des stagiaires En effet ils ont majoritairement qualifi s les formations d int ressantes et enrichissan
169. ur la Communaut de Communes de l Etampois Sud Essonne 49 e NGOAI e 49 Ev luat n guantitaliVe ssssrisssisskairinsk a nri Di e ar aiI EREE 50 e Profil de usager de la permanence ss 50 e Profil de la personne g e iii 50 e Connaissance de la permanence iii 51 e Mati res juridiques concern es sise 51 e Analyse du suivi des situations 51 gt Permanences sur la Communaut d Agglom ration du Val d Yerres nooaa0annanaaaannnaaaaaaa 51 e MOOG S en eee ste ee eo ee 51 e Evaluation quantitative ae nee se ess see ae te its 52 e Profil de usager de la permanence 52 e Profil de la personne g e iii 52 e Connaissance de la permanence iii 53 e Mati res juridiques concern es sise 53 e Analyse du suivi des SNUALIONS 2 28 88 detre disn esn senc aieneeteen on 53 TABLEAU SYNTRHETIOUE a TE E con ou se cons idee can 53 CONFERENCES DEBATS A L ATTENTION DES PERSONNES AGEES ET LEURS PROCHES 54 COMMUNICATION viersen EEE etes o area te ee een 54 Partenariat avec l s GLIC nn aE es tement aa a aa asie en einen 56 REUNIONS D INFORMATION iiiiiinnniissssseeeeeeecerrennennnnenn esse 56 SOU TMEN JURIDIQUE en ae nee code ce E 56 Actions de formation dispens es par le juriste nr irrrrrennnnnnnnnnnnnnnnnennnnne 57 COCO MR dada den ibnte ti tnen eta de eat id Rene one nee 58 2e es AE SAAD sage 2014 rapport annuel Service d Acc s au Droit SERVICE TELEPHONIQUE D ACCES AU
170. ur urbain un secteur rural et semi rural D un point de vue populationnel le territoire comprend 458 176 habitants e dont 79 673 habitants de de 60 ans e dont 26 263 habitants de de 75 ans e dont 2 864 b n ficiaires de APA en tablissement Au niveau de l accueil de la population g e le territoire dispose ce jour de 2 758 places en EHPAD dont e 1 197 sont habilit es l aide sociale e 264 en unit prot g e e 60 en h bergement temporaire Le territoire propose galement 64 places en Accueil de jour sachant que tous les accueils de jour du territoire sont d pendants d un EHPAD Du point de vue des mesures du plan Alzheimer 2008 2012 le territoire b n fice de la mise en place des mesures suivantes e Consultations m moires lab lis es 3 ESA Equipes Sp cialis es Alzheimer 2 SSIAD renforc 1 Plateformes de r pit 2 Dispositif MAIA 1 gt Les modalit s de fonctionnement les 6 axes Le dispositif fonctionne autour de 6 axes e la concertation le guichet int gr la gestion de cas l valuation standardis e multidimensionnelle des besoins le plan de services individualis le syst me d information partag e La concertation Ce sont de nouveaux espaces collaboratifs construits de fa on particuli re Il ne s agit pas de comit de pilotage ni de groupe de travail La concertation est fond e sur la co responsabilit des acteurs La concertation se d clin
171. utionnelle Juin 2014 Assistante de Direction Hear Formateur occasionnel concevoir et animer ses formations Jaee ours septembre 2014 Questionnement thique et prise en compte des aidants dans l accompagnement des personnes fragilis es septembre Equipe MAIA 1 jour 2014 Vieillissement de la personne polyhandicap e novembre Directrice on 2014 Assistante de Direction e Colloques conf rences rencontres professionnelles Colloque F d ration 3977 20 ans de lutte contre la maltraitance des a n s avanc es et obstacles D EE amp 4 T4 f age 2014 rapport annuel Introduction Colloque FREGIF Abus de faiblesse protection juridique mode d emploi Colloque Humanis Les ambivalences de la Bientraitance gt Inauguration de la Maison Genevi ve Laroque SEGA Morangis R union d information du CDAD La lutte contre les violences faites aux femmes _ Groupe de travail au CLIC Orgessonne Agir face aux situations d incurie Forum CNAV Bien vivre sa retraite Comit de Pilotage du Point d Acc s au Droit d Etampes 2 rencontre de la Communaut de Communes de l Arpajonnais Vieillissement de la population 6 Assises Nationale du Grand ge Les parcours de vie des personnes g es vuln rables quelles attentes pour demain en partenariat avec le Conseil g n ral de l Essonne IDEAL Connaissances et son C
172. ux r sultats de l tude VV 91 R sultats de l enqu te d analyse des besoins 91 Demarche STA QIQU nie cesser nntes ban eses tele 95 STRATEGIE DE MISE EN UVRE ET RETROPLANNING ns 96 CONSO ON E A De a nn 96 g Ol TT F PS AY sQGC 2014 rapport annuel Projet handicap PRESENTATION DU PROJET gt Contexte Depuis 1999 AGE est activement impliqu e dans la lutte contre la maltraitance des personnes g es en Essonne par un programme de sensibilisation destination des professionnels du secteur Notre politique continue de sensibilisation qui ne s est jamais interrompue depuis l origine et en constante volution avec la r alit de terrain nous am ne proposer aujourd hui une intervention similaire aupr s d une autre cat gorie vuln rable de la population les personnes en situation de handicap Cette proposition s inscrit dans le cadre d une volution de l association avec modification de son objet social et de sa structure op rationnelle qui seront propos es lors de l assembl e g n rale extraordinaire du 10 f vrier 2015 gt Objectifs Pr venir la maltraitance des personnes handicap es et favoriser la bientraitance au quotidien e Am liorer l accompagnement des personnes en situation de handicap en pr venant les risques de maltraitance des professionnels pouvant tre caus e sans le vouloir e Permettre aux professionnels d identifier de comprendre et de pr venir les situation
173. vacuer leurs difficult s leurs contraintes quotidiennes qui les loignent parfois de leur mission premi re Ce Club des directeurs permet ainsi chacun de rencontrer des interlocuteurs qui partagent leurs exp riences de se sentir moins isol s dans leur fonction et d changer des id es pratiques pour am liorer leur travail au quotidien gt Synth se des rencontres N 1 Echanges sur une autre approche de l accompagnement Intervenant Odile DAVID Directrice du R seau NEPALE Points abord s Les exp rimentations au Qu bec d un autre mode d accompagnement des personnes g es Les contraintes l gales et r glementaires fran aises et leurs impacts sur l accompagnement Exp rience de retrait des blouses de travail Echanges sur les autres approches possibles D T amp D S y QSeE 2014 rapport annuel Rencontres professionnelles N 2 Echange d exp riences sur les espaces SNOEZELEN Intervenant Christelle CHEVALIER psychologue au groupe ORPEA Points abord s Pr sentation et d finition du concept SNOEZELEN Espace d di l expression des motions la stimulation cognitive au bien tre Visite d un espace SNOEZELEN et de l installation en chambre d un chariot SNOEZELEN pour les personnes qui ne peuvent plus se d placer Pr sentation des diff rentes salles SNOEZELEN La formation du personnel l utilisation des espaces et la d finition d un
174. verts la transmission des informations et l identification des intervenants et leur action Pour une meilleure continuit merci d informer le r dacteur en cas de modifications PLAN DE SERVICES INDIVIDUALIS PSI 1 2 Personne suivie MR L N e le 09 04 19XX N dossier Adresse T l phone PSI n 1 Situation familiale Mari R dig le 16 01 14 M decin Traitant Dr D T l phone 01 Mail Par YILMAZ S R f rent familial amical T l phone Mail Contact Date de derni re synth se 14 01 2014 R valuation pr vue le Mandataire l gal T l phone Mail Consentement l change d information oral C crit C Date entr e en gestion de cas 04 11 2013 Autres informations utiles Dossier MDPH Suivi MDS AS Mme B Dossier CAF E Domaines Liste de toutes les probl matiques d taill es avec orientation des interventions 2 Fonctions Mentales Organiser le suivi l h pital Piti Salp tri re Mobilit Environnement physique onditions conomiques idants gt Hinhinr inlrlih GRR Elolmousl Personne suivie MRL N e le 09 04 19XX N dossier PLAN DE SERVICES INDIVIDUALIS PSI 2 2 1 Service au long cours Type de services Nom du r f rent T l phone mail Jours horaires fr quence de passage Dr D 01 60 88 XX XX 1XF MOIS roupe France Ambulanc SL 01 60 88 XX XX 1XF 2 3MOIS MDPH MmeT 01 60 76 XX XX 2 Service ponctuel Type de

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