IR Jean MArc ROBERT Procédures de décompression des plongé…
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1. M values pour l ensemble des compartiments p riodiques pour l h lium et l azote La s rie ZH Li2 comporte 12 pairs de coefficients pour 16 compartiments p riodiques et ses M values ont t d termin es empiriquement La s rie ZH L16A comporte 16 paires de coefficients pour 16 compartiments p riodiques et ses M values sont d termin es math matiquement Notamment la s rie pour Vh lium a t calcul e en fonction du rapport de la vitesse de diffusion He N 2 645 pour les p riodes des compartiments et en fonction du rapport de solubilit N2 He 1 383 pour les M values C est une extrapolation math matique Cette s rie a ensuite t d clin e en sous s ries B et C car l valuation empirique de la s rie A montra qu elle n tait pas assez conservatrice pour les compartiments p riodiques moyens La s rie B est pr vue pour le B hlmann Coefficient b reciprocal of slope 1 b slope Compartment Inert Gas Pressure absolute B hlmann Coefficient a intercept at zero ambient pressure absolute Ambient Pressure absolute Jean Marc ROBERT page 5 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels calcul des tables et la s rie C plus conservatrice est pr vue pour tre utilis e dans les ordinateurs immergeables qui calculent en temps r el Similaires aux M values de Workman celles de B hlmann sont repr sent es sous la for2. niveau le plus bas de Safety Margin No Symptoms risques Les concepteurs Actual en sont bien conscients Profile mais ils ne peuvent videmment pas proposer Ambii des tables pour tous les Pressure Line individus et tous les sc narios C est pourquoi les programmes de Figure 2 d compression ont introduit du conservatisme dans leurs calculs Certaines m thodologies consistent appliquer une marge de s curit en calculant plus profond que la r alit ou plus longtemps que la dur e effective de plong e ou encore en consid rant une d saturation asym trique plus lente Certains programmes utilisent ces m thodes combin es Le degr d efficacit de ces modes de conservatisme est habituellement valu par le plongeur en terme de temps et de profondeur du profil de d compression par rapport celui initial et travers l exp rience individuelle Une m thode Jean Marc ROBERT page 7 Time An M value Concept A solid line drawn through a fuzzy gray area a representative threshold beyond which a high frequency of symptoms of decompression sickness DCS can be expected in a majority of divers Risk varies according to individual disposition physical condition acceptable risk etc CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels utilis e par nombre de concepteurs dont B hlmann consiste appliquer un pourcentag
3. sentation des M values sous la forme d une quation lin aire fut une tape significative dans l volution des mod les de d compression Elle introduit le concept d une relation lin aire entre la pression ambiante et la tension tol rable de gaz inerte dans chaque compartiment tissulaire Ce concept est un l ment important des mod les actuels appliqu par une grande vari t de concepteurs Jean Marc ROBERT page 4 CTR Ile de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels Workman exprime ses M values sous la forme d une pente d une quation lin aire voir Figure 1 Sa valeur de surface est d sign e par Mo C est la valeur au croisement de l quation lin aire et de la pression au niveau de la mer La pente de l quation lin aire est d sign e par AM et repr sente le changement de M value en fonction du changement de la pression ambiante Pressure Graph Workman style M values versus Buhlmann style M values Surface Pressure at Sea Level Workman M intercept at zero depth pressure gauge Le professeur Albert A B hlmann commen a des recherches sur la d compression en 1959 dans le laboratoire de physiologie hyperbare l h pital universitaire de Z rich en Suisse B hlmann continua ses travaux durant 30 ans et apporta de nombreuses contributions l tude de la Figure d compression En 1983 il publie Decompression Dec
4. ont d existence que pour le calcul de d saturation de surface en vue de plong es successives Leur tendance l allongement r pond au principe de conservatisme impos par le besoin s curitaire des fabricants d ordinateurs immergeables dans le cadre de plong es multiples D autre part augmenter le temps total d immersion a des cons quences Exposition au froid et plus g n ralement aux dangers du milieu besoins suppl mentaires en gaz respirables La multiplicit des param tres et les possibilit s de modifications peuvent d naturer un mod le Notamment certains logiciels permettent d intervenir sur les constantes M values p riodes alors qu elles r pondent une logique d ensemble Une autre limite concerne les changements de m langes gazeux au cours de la plong e Les diff rents gaz neutres vont alors diffuser en charge ou en d charge des vitesses diff rentes selon la loi de Graham Ce ph nom ne appel contre diffusion isobarique n est pas pris en compte par les logiciels qui calculent l tat de saturation de chaque gaz de fa on ind pendante Le tableau suivant montre l effet de la contre diffusion entre diff rents gaz Changement de gaz Ratio de tension G n ration de de vers maximum bulles H lium Azote 0 861 Non Hydrog ne Azote 0 890 Non Argon Azote 1 015 Non N on Hydrog ne 0 939 Non N on H lium 0 978 Non Azote Hydrog ne 1 076 Tr s peu Hydrog ne H lium 1 080 T
5. plong es successives Bien s r il existe des tables papier pour le trimix C G Doris TDI IANTD Minist re du Travail Mais comme toutes elles sont peu flexibles dans leurs proc dures Les m langes sont d finitivement fix s tant pour la plong e que pour la d compression Ne s adaptant pas au profil le calcul sur des param tres maximums devient extr mement p nalisant pour des plong es longues et profondes mais pas forc ment carr es Il convient donc d accepter que la multiplicit des param tres am ne des proc dures de d compression variables selon les choix du plongeur On comprend d s lors la n cessit s curitaire de conna tre les mod les et leurs outils de calcul Jean Marc ROBERT page 3 CTR Ile de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 3 La th orie des M values Que sont les M values Ce terme fut utilis par Robert D Workman dans le milieu des ann es 60 alors qu il faisait des recherches pour l U S Navy Experimental Diving Unit NEDU Workman tait un m decin avec le grade de Capitaine dans le corps m dical de l arm e am ricaine Le M signifie Maximum Pour une pression ambiante donn e une M value est d finie comme la valeur maximum de la tension d un gaz inerte qu un compartiment tissulaire th orique peut tol rer sans pr senter de sympt mes d un accident de d compression Les M valu
6. 1 F d ration Fran aise d tudes et de Sports Sous Marins Qa COMITE INTER REGIO NAL Fond e en 1948 membre fondateur de la Conf d ration mondiale des activit s subaquatiques D sie ae trance Picardie ruta COMMISSION TECHNIQUE REGIONALE Proc dures de d compression des plong es Trimix Utilisation des logiciels M moire pr sent dans le cadre du stage d instructeur r gional Juin 2002 Jean Marc ROBERT Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels Sommaire 1 Introduction Page 2 2 De nombreux l ments en pr sence Page 3 3 La th orie des M values Page 4 4 La th orie du volume critique des bulles Page 9 5 Les limites des logiciels Page 11 6 Les applications Page 12 7 R f rences Page 16 Jean Marc ROBERT page 1 CTR Ile de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 1 Introduction Il suffit de prononcer le mot TEK dans une assembl e de plongeurs pour imm diatement susciter moult r actions des plus diverses De la crainte la vantardise en passant par la curiosit et le constat d ignorance ce monde trange ne laisse pas indiff rent De fait il s agit bien plus que d une simple sp cialit permettant une activit subaquatique en se suffisant d une formation classique de plongeur La formation Tek de technique mais crit de fa on stylis e se distingue par un
7. 4hr Actual Gpen Log Deco gases T Yes 7 E 393 Open Depth time mix levels 4 50 20 21 Jean Marc ROBERT Zplan 1 03 c Copyright 1997 98 William M Smithers DIVE PLAN Waypoint at 50m for 20 00 21 on Air Norm Stop at 12m for 1 00 26 on Air Norm Stop at 9m for 6 00 32 on Air Norm Stop at 6m for 8 00 40 on Air Norm Stop at 3m for 21 00 60 on Air TOTAL DECO TIME 36 minutes DIVE RUN TIME 60 minutes CNS Total 11 5 OTU s 31 PPO2 1 253 END 50 PPO2 0 460 END 12 PPO2 0 398 END 3 PPO2 0 335 END 6 PPO2 0 273 END 3 Time to Fly 3 5 Hours page 14 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels S agissant d un mod le Biihlmann je peux utiliser un ordinateur type Aladin en prenant soin de remonter lentement 10 m min d s le fond du fait de la d saturation plus rapide de l h lium Ces exemples sont repr sentatifs de la grande diversit des planifications de la plong e au trimix Les logiciels se positionnent comme une aide efficace se jouant de la variabilit des situations tant li e l environnement qu aux disponibilit s mat rielles La tendance actuelle est en faveur des mod les micro bulles Les concepteurs de versions haldaniennes commencent crire des versions VPM ou en tiennent compte en incorporant la gestion des bulles leur mod le exi
8. 77 4 4 33 9 4 6 59 4 4 43 35 5 4 p Yo JA X A a ae 75 4 5 22 6 4 53 88 3 5 65 6 5 82 2 6 42 5 5 77 0 6 22 1 6 89 8 6 67 2 6 83 2 6 45 1 6 78 2 7 249 6 17 6 7 70 7 7 24 22 4 8 707 84 2 9 47 1 8 147 78 9 9 244 9 85 8 10 51 7 10 189 81 2 11 32 6 10 62 6 12 84 9 13 466 13 fsw L La so 70 10 CE Upon Arrival at the Stop s curit initiale puisque avec un facteur de conservatisme de 0 le maximum de M value plafonne a 93 6 Ainsi les plongeurs peuvent d terminer des limites personnelles de d compression La marge de s curit d pendra des dispositions individuelles et de l exp rience avec le profil Jean Marc ROBERT page 8 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 4 La th orie du volume critique des bulles R cemment certains plongeurs ont commenc augmenter la profondeur de leur premier palier au del des indications de leurs tables ou ordinateur de plong e Dans ce cas les arr ts profonds sont typiquement utilis s pour modifier les tables conventionnelles utilisant les techniques d crites par Richard Pyle les Pyle stops Pour ces remont es sophistiqu es cette r cente adaptation des proc dures de d compression na t de la g n ration des tables personnalis e
9. Le VPM pr sume que des vides microscopiques des cavit s des noyaux existent dans l eau et les tissus qui contiennent de l eau avant le d but de la plong e Tout noyau plus gros qu une taille critique en relation avec la profondeur de la plong e pression d exposition grandira avec la d compression Le VPM aspire r duire au minimum le volume total des ces bulles grandissantes en gardant la pression ext rieure importante et la pression partielle des gaz inertes inspir s basse durant la d compression Bien que les temps totaux de d compression aient t forc s de correspondre ceux de l U S Navy beaucoup de ce temps de d compression est r alis plus profond C est un l ment consid r comme conservateur Bubble Shrinks if T lt Psusste Where Peussie Pamsient PeLasric Pskin And G T Ps lt 0 Pa Mien Ng PeLasric T N2 Equilibrium External Pressure Internal Pressure Pa Ps PE PN2 PH20 PCO PO H20 a e Pease Cependant il eut mieux valu pour Yount et Hoffman se caler sur B hlmann pour le conservatisme En effet les Bubble Skin Is Permeable to Gases ForP lt 10ATA 2 Jean Marc ROBERT param tres initiaux donnent une courbe de s curit semblable la sienne et un temps total de d compression entre lui et l U S Navy page 9 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logicie
10. de l U S Navy furent calcul es par la m thode du coefficient de sursaturation critique Cependant beaucoup de ces tables ainsi con ues se r v l rent insuffisantes pour des plong es plus longues et plus profondes Robert Workman commen a une tude syst matique des mod les de d compression incluant les pr c dentes recherches de l U S Navy Il aboutit plusieurs conclusions importantes Tout d abord il red finit le ratio original d Haldane de 2 1 bas sur l air comme tant r ellement un ratio de 1 58 1 si l on consid re seulement la pression partielle du gaz inerte l azote Dans ses recherches Workman trouva que le ratio tissulaire pour la surpression admissible variait selon les compartiments p riodiques et selon la profondeur Ses donn es montr rent que les compartiments p riodiques les plus rapides tol raient un ratio plus important que les moins rapides et que pour chaque compartiment le ratio devenait moindre en augmentant la profondeur Ainsi toujours en utilisant les ratios Workman d crit la pression partielle maximum admissible de l azote et de l h lium pour chaque compartiment chaque profondeur comme M value Ensuite il fit une projection lin aire de ses M values en fonction des profondeurs et valida les r sultats par rapport aux donn es disponibles Il observa que une projection lin aire des M values est utilisable pour un programme correcte sur ordinateur La pr
11. e la ligne des M values correspondant son positionnement dans la zone de d compression La s rie ZH L16 est la plus employ e dans les logiciels de d compression pour ordinateur de bureau Ces M values ont t d velopp es et test es tant pour des plong es en altitude que pour des plong es profondes Utilis es avec un conservatisme appropri elles ont montr leur fonctionnalit pour la plong e tek Elles sont devenues de facto une r f rence universelle pour la comparaison et l valuation des profils de d compression Il est relativement ais pour les programmeurs d inclure un pourcentage de conservatisme La table 5 est un exemple qui montre l effet du facteur de conservatisme dans un logiciel commercial disponible tournant sur un ordinateur de bureau On y remarque une marge de Table 5 Effect of Conservatism Factors in a Commercially Available Program on Decompression Profiles Referenced to B himann ZH L16 M values ZH L16A Helium ZH L16B Nitrogen 15 40 Trimix Dive 15 O2 40 He to 250 fsw for 30 min Deco mixes Nitrox 36 at 110 fsw 100 O at 20 fsw 0 Conservatism Factor 50 Conservatism Factor 100 Conservatism Factor Maximum Maximum Maximum Maximum M value Maximum M value Maximum M value M value Gradient M value Gradient i M value Gradient Cpt No Cpt No i Cpt No Cpt No sw min p i a o 76 0 4 31 0 3 120 35 816 4 470 6
12. e nombreux l ments en pr sence Il existe une grande variabilit des param tres dans la plong e trimix L arr t 2000 relatif la plong e aux m langes autres que l air impose de diminuer le taux d azote au del de 60 m et limite la profondeur 120 m Cependant un trimix convient tout fait d s 50 m et des tables existent jusqu 150 m ce qui implique des choix multiples de proportions des gaz D autre part le plongeur peut tre amen utiliser plusieurs m langes au cours de son immersion Dans le cas d une plong e profonde plus de 80 m le m lange fond est hypoxique en surface Il lui faudra donc respirer des gaz propres la descente au fond et sa d compression plus au moins optimis e Ces param tres sont pris en compte par des algorithmes diff rents selon les th ories de d compression utilis es Et dans une m me th orie des facteurs compl mentaires et la pr cision des calculs am nent des r sultats diff rents Ce ph nom ne est connu de tous les plongeurs autonomes et est accept Deux ordinateurs de plong e de marques distinctes ou de m me marque mais de mod les diff rents ne donnent pas des r sultats identiques Pour certains 1l est de plus possible de faire varier des valeurs initiales comme des chelles de conservatisme ou la quantit de micro bulles acceptables Ainsi on constate de petits carts l issue de plong es l air simples carts qui se creusent avec les
13. e offre compl te de sp cialisations permettant d appr hender des mat riels des techniques et des proc dures nouvelles dans le but de s approprier de nouveaux environnements de plong e Ainsi il est possible de rester plus longtemps dans le milieu gr ce aux v tements tanches et au nitrox de s aventurer dans des lieux clos dans des paves sous la glace ou en grotte fort des techniques sp l o d aller plus profond l aide de m langes respirables ad quats comme le trimix Il existe m me des techniques permettant de plonger seul Avec une assistance et une organisation sans faille De quoi retrouver les sensations de la d couverte et donner le go t de l aventure Dans l imaginaire du plongeur loisir les Tekkys sont r f renc s dans la cat gorie des bricoleurs t tes br l s limites suicidaires Pourtant les mat riels utilis s et les formations dispens es sont au service de la s curit et d un plus grand confort Par exemple une plong e sur pave 50 m peut se planifier avec de l air et en combinaison humide organisation presque banale ou avec un m lange ternaire plus d compression nitrox et en v tement sec C est nettement moins classique et pourtant le confort et la s curit y ont gagn Le trimix est l heure actuelle le parent pauvre de ces formations Il souffre d un probl me crucial l apport d un autre gaz neutre implique l utilisation de tables de d compress
14. ean System of Pressure Units meters of sea water msw Workman B himann ZH L DSAT RDP DCAP MM11F6 B himann ZH L16 M values 1965 M values 1983 M values 1987 M values 1988 A B C Cpt HT M AM Cpt HT M AM Cpt HT M Cpt HT M AM Cpt HT M M M AM No min msw slope No min msw slope o min msw No min msw slope No min msw msw msw slope 265 342 1 2195 J o _ 1 40 324 324 324 1 9082 5 30 42 31 90 1 30 1b 50 296 296 206 1 7928 EN 5 317 18 2 10 268 16 5 N 1 3 122 229 1 2121 3 125 225 225 225 1 3847 3 20 20 54 4 18 5 203 20 3 20 3 1 2780 5 265 193 11834 4 30 18 34 3 25 1904 108 5 270 190 190 185 1 2306 4 40 170 14 6 37 174 116281 5 40 17 11 6 383 178 175 169 1 1857 7 543 168 165 159 1 1504 5 80 164 13 8 79 158 1 1236 7 80 15 41 8 770 159 157 152 1 1223 3 20 219 a 8 100 1469 5 95 1392 104 9 109 152 152 147 1 0999 6 12018 129 1 158 14269 120 1441 1 No 7 160 15 5 1 15 10 146 153 10707 10 160 1406 6 145 1366 1 02 10 146 146 146 143 1 0844 8 200 155 1 1 11 185 15 3 10707 11 200 13 84 7 200 1353 1 01 11 187 142 142 140 1 0731 9 240 15 2 1 1 12 238 144 10593 12 240 1369 12 239 139 139 137 1 0635 113 304 129 103951 8 285 1350 10 13 305 135 134 13 4 1 0552 9 385 13 50 1 0 14 390 13 2 132 13 1 1 0478 15 503 129 1 0395 15 498 129 129 129 1 0414 16 635 129 103951 146 635 127 127 127 1 0359 pCi A670 1330 10 Compartment HT Half t
15. es repr sentent le gradient admissible entre la tension du gaz inerte et la pression ambiante dans chaque compartiment Les autres termes utilis s pour M values sont limites de surpression tol rables tensions critiques et limites de sursaturation Le terme M value est commun ment utilis par les concepteurs de mod les de d compression Dans le mod le de d compression haldanien le calcul de chargement du gaz dans chaque compartiment tissulaire th orique est compar un crit re limite de remont e Dans les premi res ann es de ce mod le initi par John S Haldane en 1908 le crit re limite de remont e tait exprim sous la forme d un ratio le coefficient de sursaturation critique Par exemple Haldane trouva que les plongeurs dont les tissus taient satur s en respirant de l air une profondeur de 33 pieds 10 m pouvaient directement rejoindre la surface en mer sans d clencher d accident de d compression Comme la pression ambiante 33 pieds est 2 fois sup rieure celle de la surface de la mer Haldane conclut qu un ratio de 2 1 de surpression pouvait tre utilis comme crit re limite de remont e Ce ratio fut employ par Haldane pour d velopper les premi res tables de d compression Plus tard et surtout partir des ann es 60 d autres ratios furent utilis s par divers concepteurs pour diff rents compartiments p riodiques La plupart des tables de d compression
16. evation p d finissant les vitesses min _ RE de remont es en jouant C 30 sec TV Extend stops Descent rate Ascent rate Printer output sur la pr cision des F QE P C 10sec for ges switch 60 150 18 plan details calculs etc selon gt 30m 2 150 300 24 C Short Run videmment le mod le 1 30 0m 3 time depth de base utilis Certains incluent des param tres Advanced ok Cancel Apply individuels comme l exp rience l ge le sexe qui influent automatiquement sur le conservatisme Le tableau du haut est bas sur le mod le de B hlmann tandis que celui en dessous est bas sur le mod le VPM Ensuite on teste on ajuste on planifie Par exemple pour une plong e particuli rement profonde je cherche optimiser mon temps de d compression Plong e 130 m tres M lange fond trimix 10 Ox 64 He 26 N3 Descente impossible avec le m lange fond il faudra donc partir avec un m lange comportant au moins 17 d oxyg ne il pourra s agir d un des m langes qui servira la d compression La remont e jusqu 6 m tres ne peut se faire avec le trimix fond Il faudra donc pr voir un ou plusieurs m langes interm diaires de plus en plus oxyg n s au fur et mesure qu on se rapproche de la surface Plus on aura de m langes plus la d compression sera raccourcie mais la logistique s alourdira Il faut galement prendre en compte le fait que n
17. ime M Surfacing M value sea level 10 msw 1 0 bar AM slope of M value line O O on Une volution et une pr cision dans les M values sont videntes entre Workmann 1965 et B hlmann 1990 La tendance g n rale a tendu vers plus de conservatisme Cette tendance est le reflet de proc dures de validations par la m thode empirique et inclut l utilisation de d tecteurs ultrason Doppler pour rep rer et quantifier la pr sence de bulles silencieuses c est dire pr sentes dans la circulation mais non associ es un accident de d compression Jean Marc ROBERT page 6 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels Cependant on constate une certaine constance entre les valeurs des diff rents mod les travers le monde C est le signe d un aboutissement de cette m thode et d une m thodologie de recherche et de compilation des sympt mes des accidents de d compression travers la population Une mauvaise conception chez les plongeurs est que les M values repr sentent une limite rigide entre avoir un accident ou ne pas en avoir Cela pourrait expliquer pourquoi certains poussent r guli rement les limites de leur table ou de leur ordinateur de plong e La m decine de plong e a montr que l tablissement de Table 4 Comparison of M values for Helium Between Various Haldanian Decompression Algorithms European S
18. ion sp cifiques Au del des probl mes techniques incidents 1l existe une vraie barri re psychologique Les sacro saintes proc dures de d co sont revoir De plus il existe plusieurs proc dures selon le format papier ou informatique et selon le mod le th orique On conna t bien sa bonne vieille table m me si on l utilise peu On ne sait pas bien comment fonctionne son ordinateur de plong e mais on en a l habitude et c est bien pratique de ne plus planifier Mais planifier sur un ordinateur de bureau avec x param tres modifiables des plong es avec un gaz bizarre En reprenant les mod les et les logiciels couramment utilis s je me propose d avoir une approche plus didactique qu un mode d emploi Le plongeur doit y trouver le moyen de d terminer les facteurs de conservatisme appropri s et la gestion des param tres en fonction des profils et des conditions particuli res Ce n est pas un cours sur le trimix Notons qu actuellement il n existe pas de cursus de formation f d ral pour l emploi de tels m langes Ces programmes ne sauraient donc servir de support pour l organisation de plong es trimix ni de formation au sein des clubs Il s agit donc plus de la d couverte et de l analyse d un nouvel outil qui sera peut tre un jour int gr a nos usages Jean Marc ROBERT page 2 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 2 D
19. ls VPM Air Diving No Stop Times Dive Depth ft 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 MERERI 76 46 32 25 20 16 14 12 10 9 8 Time min Une diff rence fondamentale entre les algorithmes VPM et de sursaturation critique est que le programme utilise un calcul it ratif A chaque tape un nouveau calcul complet de d compression est effectu Le temps total de d compression est repris dans le calcul pour r viser les gradients critiques et produire une d compression optimis e La r p tition de ce processus jusqu au temps de d compression converge vers ce qui est suppos correspondre au maximum de production de bulles de gaz neutre admissibles Les programmes VPM consid rent la charge et la d charge de gaz de mani re identique aux programmes n o haldanien Mais la d compression est dirig e par la croissance des bulles in vitablement produites Tant que le volume de ces bulles est inf rieur 4 un volume critique le corps du plongeur est suppos les tol rer En prenant le volume des bulles comme l ment directeur de la remont e les paliers commencent plus profond et le temps du dernier palier est plus court En r sum dans le mod le de sursaturation critique la proc dure consiste remonter le plus rapidement possible jusqu au premier palier d termin par le gradient maximum admissible de fa on a d charger le gaz neutre le plus pr s de la surface Ce principe impose un dernier
20. me d une pente d une quation lin aire voir Figure 1 Le coefficient a est le croisement avec le z ro de la pression ambiante pression absolue et le coefficient b est la r ciproque de la pente Bien entendu le coefficient a n implique pas que le plongeur puisse atteindre la pression absolue z ro C est simplement un param tre math matique pour l quation La limite basse de la pression absolue dans l application des M values de B hlmann est de l ordre de 0 5 bar Il existe deux autres mod les connus et bas s sur la m thode des M values La s rie 11F6 utilis e par le Dr Bill Hamilton et coll dans le cadre de ses recherches Decompression Computation and Analysis Program DCAP pour la marine su doise et la Recreational Dive Planner RDP distribu e par PADI d velopp e et test e par les Dr Raymond E Rogers Michael R Powell et coll avec la Diving Science and Technology Corp DSAT Ces mod les de d compression ont t d velopp s uniquement pour des plong es l air et pour la DSAT pour des plong es sans d compression Ils ne nous int ressent donc pas dans le cadre de la plong e trimix Les tableaux suivants pr sentent une comparaison des M values pour l azote et l h lium entre les diff rents algorithmes de d compression Toutes les M values sont pr sent es au format de Workman Table 2 Comparison of M values for Nitrogen Between Various Haldanian Decompression Algorithms Europ
21. nt Jean Marc ROBERT page 13 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels Planifions une plong e 50 m Il est encore possible de suroxyg ner le m lange En prenant une PPO2 de 1 5 bar pour ne pas tre limit par le compteur SNC on obtient 25 d oxyg ne Calculons un quivalent narcotique 30 m pour profiter d une lucidit maximum On trouve alors un m lange contenant 52 67 d azote Pour simplifier nous prendrons 50 Le trimix utilis sera donc O2 25 He 25 N2 50 2Planner g E amp Ai fi Open Log Print Config Calc Help Exit Surface Interval v 48he 24h Actual C ves 73 zj Deco gases Open Depth ti Lu Zplan v1 03 C Closed epth time mix levels c Copyright 1997 98 William M Smithers Im ID 50 20 25 25 DIVE PLAN Waypoint at 50m for 20 00 21 on Trimix 25 0 25 0 PPO2 1 491 END 28 Norm Stop at Smfor 3 00 29 on Trimix 25 0 25 0 PPO2 0 473 END 2 Norm Stop at 6m for 8 06 37 on Trimix 25 0 25 0 PPO2 0 399 END 0 Norm Stop at 3m for 17 00 55 on Trimix 25 0 25 0 PPO2 0 324 END 0 TOTAL DECO TIME 28 minutes DIVE RUN TIME 54 minutes CNS Total 17 8 OTU s 40 Time to Fly 3 5 Hours La m me plong e lair W ZPlanner _ 2 0 x gt tt S Print Nu g i Config Cale Help Exit ht M 2
22. ompression Sickness traduit en Anglais l ann e suivante Son livre fut la premi re r f rence pour les calculs de d compression accessible aux plongeurs grand public Le r sultat fut que les algorithmes de B hlmann devinrent la base de la majorit des ordinateurs de plong e et des logiciels do it yourself des ordinateurs de bureau La m thode de B hlmann pour les calculs de d compression est similaire la description de Workman Elle inclut des M values lesquelles repr sentent une relation lin aire entre la pression ambiante et la tension admissible de gaz inerte dans des tissus p riodiques La principale diff rence entre les deux approches r side dans le fait que les M values de Workman sont tablies partir du niveau de la mer tandis que B hlmann les base sur la pression absolue ce qui permet de calculer des d compressions en altitude sans extrapoler Cela prend tout son sens du fait que Workman s int ressait aux activit s de plong e de l U S Navy a priori au niveau de la mer tandis que B hlmann tait concern par les activit s de plong e dans les lacs des montagnes suisses B hlmann publia 2 s ries de M values qui sont devenues les plus connues des cercles de plongeurs La s rie ZH L 2 publication 1983 et les s ries ZH Li6 publications 1990 et suivantes La d signation ZH signifie Z rich L pour lin aire et 12 ou 16 repr sentent le nombre de paires de coefficients
23. otre trimix fond ne comporte que 26 Jean Marc ROBERT page 12 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels d azote et qu il ne faut pas que les m langes interm diaires ne fassent trop varier ce pourcentage du moins dans les zones profondes e On pourra opter pour un trimix 16 54 qu on prendra a 80 m tres dans ce cas le pourcentage d azote contenu dans les m langes respir s passera de 26 30 e a 30 m tres on passera sur un trimix 40 20 qui aura l avantage de ne pas faire trop varier la PpN lors du changement de gaz de 30 40 e Oxyg ne pur 6 m tres En augmentant et en optimisant le nombre de m langes disponible pour la d compression on raccourcit les temps de palier d environ 1h 140 20 M __ EAN50 Tx10 64 Tx40 20 Tx30740 R DELLES Dans cet exemple une grande attention est port e sur la variation de l azote pour tenir compte des risques de contre diffusion isobarique Autre exemple d application la gestion de petites plong es au trimix ce que les Anglo Saxons appellent le trimix l mentaire Il s agit de m langes normoxiques utilisables moins de 80 m Pour ces plong es on s aper oit que parfois elles occasionnent des temps de remont e plus court qu l air Il est donc possible d utiliser son ordinateur de plong e classique sachant qu il sera en fait plus p nalisa
24. our l oxyg ne et pour l azote Altitude Deco step size Conservatism 0 100 m m Fo Last deco stop fo Precision 1100 5 BottomRMY fo LE m eo A C Litres Maximum END profondeur ae Maximum END Deco RMV quivalente narcotique Cela Fresh q g s q 5 G a Pyle stop time 1 5 Max deco pp02 1 55 servira pour le choix des m langes 5 et vitera les erreurs li es la Fe Deep stops Decent rate Ascent rate F Deco Set pt toxicit de ces gaz Pour l aide au 16c None 0 100 50 1000 300 60 ide rt Jo 5 PATENT 100 200 60 300 100 50 calcul des quantit s de gaz on peut Genet C Pyle 200 1000 60 100 50 40 param trer sa consommation ve WKPP da durant la plong e et durant la pinter output z pr d compression Ce past Pinter Eont Tous les logiciels donnent la ossibilit de D ba 21x Depths Conditions Conservatism p Elevation dat r sultats de la PR z d compression en Deco step size 3 Nominal Dive elevation jo modifiant le Depth last deco stop 3 Ee 1 Hours at dive eles jo conservatisme en AMVs Max depth on 100 02 6 Fr i PS P w0 E a choisissant une s rie de Max pp02 on deco mix 1 60 Ascended om 0 M values en incluant Litres Bottom RMY a C Three Travel time hr O des paliers profonds en pStep times th m Pee Average el
25. palier long Initialement il ne tient pas compte des micro bulles Il a t montr depuis que le risque d accident s accro t avec la quantit de micro bulles produites Ainsi le mod le s est compl t avec le principe du conservatisme et plus r cemment en y adjoignant des pyle stops Le mod le VPM quant lui 20 30 40 560 peu tre assimil une Time minutes d compression en continue Finalement la succession de paliers courts d butant plus profond d crit une remont e lente et une d compression en continue De plus en s int ressant directement la cause de l accident les bulles ce mod le se targue de pouvoir g rer tout type de profils y compris invers s D amp NH o oo us e En 5 a gt a a uw G g F m 4 4 160 2 F3 V oO o Jean Marc ROBERT page 10 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 5 Les limites des logiciels Les 2 mod les semblent incompatibles Ainsi en ajoutant des paliers profonds dans un calcul de d compression haldanien le mod le continue de charger les compartiments les plus longs Le dernier palier s allonge en cons quence Pour peu que l on y introduise le principe de d saturation asym trique le temps total de d compression peut devenir extr mement long Y gagne t on en s curit Pas si s r On sait que les compartiments les plus longs n
26. r s peu Azote H lium 1 139 Oui Azote N on 1 160 Oui Argon H lium 1 123 Oui S1 l on passe d un gaz l ger un gaz lourd on se trouve en situation de contre diffusion sous saturante Dans le cas contraire on se trouve en sursaturation par le cumul des 2 gaz avec production de bulles Ainsi lors d une remont e on d laisse le trimix au b n fice d un nitrox favorisant la d saturation de l h lium et profitant des b n fices de l oxyg ne En cas de probl me durant la d compression il ne faut pas reprendre son m lange fond au risque de cr er des bulles Il existe galement un risque au niveau de l oreille dans la mesure o l oreille moyenne est riche en h lium De ce fait en changeant de gaz l h lium peut diffuser dans les liquides de l oreille interne qui eux se chargent d azote et donc cr er une sursaturation Il est donc conseill d utiliser des nitrox plut t que de l air en d compression et d effectuer des rin ages de l oreille moyenne par des d glutitions au palier Il est fort probable que dans un proche avenir les logiciels int grent ces param tres et leurs limites Jean Marc ROBERT page 11 CTR lle de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 6 Les applications Les premiers param tres CURE EU E 4 x introduire sont les constantes Conditions personnelles On y trouve notamment les limites de pression p
27. s conduites avec la mesure du temps et de la profondeur plut t qu avec un ordinateur au poignet Bien que des ordinateurs bas s sur l extension de Bruce Wienke 1991 du mod le de Yount et Hoffman Varying Permeability Model VPM 1986 soient r cemment devenus disponibles pour des calculs de d compression de plong es aux m langes en temps r el peu de plongeurs poss dent des tables ou des logiciels bas s sur le VPM galement appel le mod le hawaien de la bulle minuscule tiny bubble model Le mod le initial fut d velopp par les chercheurs de l universit de Hawa et incorporait naturellement des paliers profonds dans les profils de remont es La m thode de d compression VPM a t calibr e pour produire des temps de remont e comparables aux tables de l U S Navy des ann es 80 et sont de fait significativement acc l r s par rapport aux calculs bas s sur B hlmann Bubble Grows if T gt Pause Where Pausste PamBienT PeLasric Pskin And G T Ps gt 0 Le mod le de perm abilit variable VPM a t d velopp a partir d observations de laboratoire de formation et de croissance des bulles dans des mod les exp rimentaux g latine et in vivo Bien que le VPM original soit consid r comme ancien par les sp cialistes de la m decine hyperbare la dur e importante entre sa formulation et la sortie publique a laiss les plongeurs suivre les anciens mod les physiques TNe
28. stant Les remont es se font plus lentes et le premier arr t plus profond Le m rite des logiciels de bureau est qu ils se mettent jour rapidement et moindre frais compar s aux ordinateurs immergeables D autre part bien qu ils s adaptent diff rents profils ils obligent malgr tout une planification de la plong e et vitent la d rive comportementale qui consiste suivre aveugl ment son ordinateur en temps r el ce qui ne permet pas une bonne gestion des risques en plong e profonde Le principe du plan your dive and dive your plan est remis au go t du jour Jean Marc ROBERT page 15 CTR Ile de France Picardie Proc dure de d compression des plong es Trimix utilisation des logiciels 7 R f rences Workman RD 1965 Calculation of decompression schedules for nitrogenoxygen and helium oxygen dives Research Report 6 65 Washington Navy Experimental Diving Unit B hlmann AA 1984 Decompression Decompression Sickness Berlin Springer Verlag B hlmann AA 1995 Tauchmedizin Berlin Springer Verlag The appendix of D E Yount D C Hoffman On the Use of a Bubble Formation Model to Calculate Diving Tables Aviation Space and Environmental Medicine February 1986 Wienke BR 1991 Basic decompression theory and application Flagstaff AZ Best Pyle RL 1996 The importance of deep safety stops Rethinking ascent patterns from decompression dives DeepTech 5 64 Cave Diving Group Newsle
29. tter 121 2 5 Eric Maiken VPM Background 1994 2001 Eric Maiken The VPM algorithm 1999 Baker EC 1998 Understanding Mvalues Immersed Vol 3 No 3 Jean Marc ROBERT page 16 CTR lle de France Picardie
30. ystem of Pressure Units meters of sea water msw Workman M values 1965 Cpt HT M AM Cpt HT No min msw slope No min Mo msw Buhimann ZH Ls M values 1983 AM slope No 1 min 1 51 1 88 3 02 4 72 B hlmann ZH L16A M values 1990 Cpt H AM msw slope 41 0 2 3557 37 2 2 0964 31 2 1 7400 27 2 1 5321 M o 17 4 1 1628 6 99 14 48 24 3 1 3845 20 8 1 2568 16 2 1 1494 20 53 19 4 1 2079 10 55 10 29 11 55 19 18 2 1 1692 16 8 1 1232 170 12 11 70 159 11 70 69 16 4 1 1115 12 90 7 160 164 11 14 150 15 9 12 14 90 34 147 42 16 2 1 1022 16 1 1 0904 15 9 15 188 24 16 0 1 0850 8 200 16 1 10 15 190 9 240 16 1 10 16 240 Cpt Compartment 15 9 HT Half time 16 240 03 AM slope of M value line 15 9 1 0791 Mo Surfacing M value sea level 10 msw 1 0 bar limites est parfois inad quat Ce degr d inad quation d pend de param tres individuels et environnementaux les fameux facteurs favorisants Il est plus appropri de parler de limite trac e travers une zone de risques voir Figure 2 Puisque la limite des M values ne peut garantir elle seule qu il n y aura jamais d accident de DCS f Bubbles Symptoms d compression beaucoup de plongeurs Massive souhaiteraient obtenir des Symptoms proc dures M value Limited personnalisables offrant le Line
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