Les jardins citoyens (641 Ko)
Contents
1. LES CARNETS DU PAYSAGE N 9 10 Actes Sud ENSP juillet 2003 L UTILIT SOCIALE Hors s rie Pratiques Alternatives Economiques septembre 2003 136 pages Maillet Laurent L INT GRATION DU JARDIN FAMILIAL DANS UN PARC PUBLIC L EXEMPLE DU PARC D PARTEMENTAL DES HAUTES BRUY RES VILLEJUIF Colloque du 27 f vrier 1996 Les jardins familiaux un nouveau projet social Millon M P ESSAI DE G OGRAPHIE SOCIALE DES JARDINS OUVRIERS LYON ET SAINT ETIENNE M moire de g ographie Lyon II 1975 Les jardins citoyens Mon diaire G rard AGRICULTURES URBAINES ET VILLE DURABLE EUROP ENNE DROITS ET POLITIQUES DU JARDINAGE FAMILIAL URBAIN EN EUROPE Sous la direction de Mon diaire G rard Centre de Recherches interdisciplinaires en Droit de l Environnement de l Am nagement et de l Urbanisme Limoges Ed Pulim 1999 334 pages Noiriel G rard LES OUVRIERS DANS LA SOCI T FRAN AISE XIXE XX SI CLES Le Seuil Points Histoire 1986 317 pages Nussbaumer Gilles L VOLUTION DES ESPACES DE TRANSITION DANS LA CIT JARDIN DU PLESSIS ROBINSON Etude Ecole Nationale Sup rieure de Paysage Versailles 2001 89 pages Pasquier Elisabeth Petiteau Jean Yves LES JARDINS FAMILIAUX ENJEUX SOCIAUX ENVIRONNEMENTAUX PAYSAGERS ET FONCIERS Direction de la Nature et des Paysages Minist re de l Environnement 1995 Perrot Anne Lemahieu Mireille QUEL PAYSAGE POUR LES JAR DINS FAMILIAUX A2. M moire de DEA Jardins paysages territoire Ecole GERS DE FRANCE DU JARDIN OUVRIER AU POTAGER DE CH TEAU d Architecture de Paris la Villette 1995 Paris Somogy ditions d art 1999 Virieu Claire de Laroze Catherine UN JARDIN POUR SOI Weber Florence LES APPORTS SOCIOLOGIQUES DES JARDINS FAMI Arles Actes Sud 1996 56 pages UAUX Colloque du 27 f vrier 1996 Les jardins familiaux un nou Wheeler William Toussaint Laurence LES PLUS BEAUX POTA veau projet social
3. rale tout est question de situa tion et d opportunit Sachez que vous pourrez trouver dans le domaine grand public des abris plus faible prix mais leur qualit fait parfois d faut Ils ont une dur e de vie beaucoup moins importante L autoconstruction est un tr s bon moyen de r duire les co ts mais cette pratique est de moins en moins courante puisque les am nageurs et les collectivit s pr f rent voir des abris standards qui peuvent tre assembl s par les jardiniers Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins La biodiversit La richesse des jardins et leur int r t en ville r sident dans leurs multiples atouts cr ation de lien social ducation et sensibilisa tion des populations l environnement gestion conome et efficace des espaces non b tis pr servation de la biodiversit Ex Definition La biodiversit est la diversit du monde vivant Cette diversi t se manifeste trois niveaux celui des cosyst mes milieux celui des esp ces et celui infrasp cifique individus Elle a pour fondement la diversit g n tique li e la diversit des habitats naturels de l ensemble des plantes et des ani maux adapt un milieu E Enjeux Le maintien de la biodiversit tous les niveaux est important parce qu il permet une meilleure r sistance aux grandes attaques de ravageurs ou aux catastrophes climatiques De plus la diversit
4. Z Potager de la Cressonni re R seau des Jardins de Cocagne A D N Services 2 grande rue 9 rue Loucheur 25220 Chalezeule 69009 Lyon Te 0381212110 T l 04 78 47 78 37 Fax 03 81 47 42 58 WWw reseaucocag ne asso fr EE Autres informations sur le jardinage contacter Terre vivante Domaine de Raud 38710 Mens T l 04 76 34 80 80 Fax 04 76 34 84 02 www terrevivante org mail terrevivante wanadoo fr EN Conseil jardins citoyens Jardins Citoyens M ETHODOLOGIE Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins La m thodologie de projet 7 D finition d un projet Il est n cessaire en premier lieu d tablir les objectifs du pro jet savoir le public cibl et ou le type d am nagement sou hait afin de d terminer quel type de jardin est le mieux appropri En effet le jardin peut tre envisag comme un outil d insertion comme un outil d am nagement et de ges tion de l espace comme une forme de loisirs La d finition des diff rents principes du jardin induira donc des choix par exemple Diff rentes formes de gestion des jardins sont e Gestion communale par les services espaces verts ou insertion e Gestion associative loi 1901 e Comit local de quartier e Centres sociaux e Conventionnement office HLM e Comit d entreprise e un jardin collectif d insertion n cessite un terrain en proxi mit des centres de vie 500 m maximum du lieu
5. d esp ces et d individus permettra peut tre un jour de d couvrir parmi des plantes ou des animaux sans int r t conomique aujourd hui des l ments n cessaires la fabrication d un nouveau m dicament ou des individus adap t s d autres conditions climatiques plus sec plus chaud plus humide ou plus froid qu actuellement gg Principe de biodiversit dans le jardin D velopper la biodiversit dans le jardin permet de retrouver la richesse naturelle la base de milieux quilibr s dans les quels il existe une r elle stabilit dans la pr sence de ravageurs ou parasites et de leurs pr dateurs La lutte contre les rava geurs avec des produits chimiques radique galement leurs pr dateurs laissant le champ libre pour des ravageurs survi vants et devenus r sistants aux produits chimiques ou nou veaux venus La gestion proche de l environnement a pour but la ma trise du d veloppement des ravageurs tout en conservant et en utilisant les moyens existants dans la nature Il ne s agit pas seulement de cultiver de nombreuses esp ces diff rentes de l gumes de fruits et de plantes aromatiques mais aussi de tendre vers la r installation de milieux riches et divers Les interactions entre les diff rentes esp ces sont com plexes et les choix faits au niveau de l am nagement et de la gestion aussi anodins soient ils ont un impact direct sur la vie du jardin Les herbes sauvages sans utilit apparente pour le j
6. d habita tion du public en r insertion pour lui permettre de jouer plei nement son r le un espace naturel plus ou moins isol ne sera pas adapt EN Ftude de faisabilit e faisabilit fonci re recherche aupr s des diff rentes sources d informations des disponibilit s de terrains au regard des cri noter t res fix s pr alablement Tout engagement des partenaires doit faire l objet d un document premi re valuation du public concern par le projet situa crit ne vous contentez jamais d un engagement oral Par ailleurs tion nombre assurez vous que ensemble des responsables techniques et des lus sont bien inform s et en accord avec votre d marche e valuation des besoins ventuels en encadrement et de leurs co ts e identification et quantification des besoins en mat riels et en am nagement avec valuation des co ts en fonction des terrains e valuation des financements possibles en fonction du type de projet E Mise en uvre du projet concertation avec les diff rents partenaires N gociation et clarification des objectifs et apports de chacun Gestion des ventuels conflits d int r t ou des conflits li s aux diff rences de savoir faire La disponibilit fonci re et les financements doivent tre clai rement tablis avec les partenaires avant tout travail avec le public concern pour ne pas engendrer de d ception ou de d motivation suite des retards En revanch
7. de jardins En effet ils contribuent requalifier et r approprier les espaces ext rieurs La convivialit et les changes prennent rapidement le dessus M me si le jardin contribue am liorer la qualit de vie tra vers l autoproduction et la culture pour soi la production est surtout l occasion de dons et d changes et permet galement d organiser des festivit s autour du jardin Ce type de jardins dont le statut est associatif n cessite la pr sence d un animateur cf cahier des charge pour r guler les relations du jardin contacter Jardins d aujourd hui Le mat Dr me 42 rue Waldech Rousseau 4 all e S verine 33220 Sainte Foy la Grande 26000 Valence T l 05 54 46 04 37 T l 04 75 56 11 34 7 Les jardins communautaires Objectifs appropriation et embellissement de la commune par un groupe d habitants La r f rence dans ce domaine semble tre les jardins new yor kais des Green Gu rillas ou les jardins communautaires qu b cois Le principe de culture du jardin est r duit quelques m tres carr s de terre en milieu urbain ouverts aux habitants du quartier Ils permettent chacun de s exprimer librement travers une d marche citoyenne et collective en apportant sa contribution pour la culture et l entretien du jardin commu nautaire En France Meylan un groupe d habitants a tabli des liens troits avec la commune pour d velopper en collaboration avec les services techn
8. vu surtout s il s agit de composteurs collectifs les plus fr quents bien int Chaque structure poss de une taille approximative de 1 20mX1 20m et gr comporte en dessous du compost des drains permettant une bonne a ration indispensable la d gradation de la mati re organique par les micro orga nismes Il est n cessaire de les ensemencer dans un premier temps puis de reprendre un peu de compost matur par la suite pour s assurer de la bonne mise en uvre du processus Il faut pr voir au moins trois composteurs pour permettre une r colte tal e II ne faut pas introduire dans le composteur les mauvaises herbes les plantes malades les herbes grain es les pelures d agrumes et de pommes de terre ou autres v g taux non broy s Fiches Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins 2003 1 C Hustache L eau Cet l ment est essentiel pour la culture des l gumes et autres plantes d agr ment Sans eau il est difficile d obte nir une culture de qualit m me avec des modes de r cu p ration alternatifs Ceux ci permettent n anmoins de diminuer sensiblement les co ts d approvisionnement E Pompage dans une nappe phr atique Le pompage ne peut tre employ que si le jardin est l aplomb d une nappe phr atique situ e faible profon deur 18 m tres maximum Il existe deux types de pompage Un Syst me de puits individuels ou collectifs qu
9. 6 1983 JARDINS DU QUOTIDIEN Maison des Arts et Loisirs du Creusot janvier mars 1979 JARDINER Les carnets du Paysage N 9 10 Actes Sud ENSP juillet 2003 JARDINER LA VILLE Actes du colloque du 8 juin 2000 Printemps de l environnement 2000 CAUE du Rh ne f vrier 2001 58 pages LES CAHIERS DES JARDINS DE RH NE ALPES N 2 ET 4 URCAUE Rh ne alpes DIREN Rh ne alpes r gion Rh ne alpes 2003 32 pages Les jardins citoyens Legros Josiane et Michel PARCELLES DE CAMPAGNE ET CULTURES EN VILLE LES JARDINS D AMATEURS Urbanisme n 286 janvier f vrier 1996 pages 46 50 Le jardin dans tous ses tats CARNETS DE VOYAGE VERS LES JARDINS COM MUNAUTAIRES printemps 2003 Le jardin dans tous ses tats 8 BONNES RAISONS DE PRIVIL GIER LES JARDINS DANS L ACTIONS PUBLIQUES printemps 2003 Le jardin dans tous ses tats JARDINONS ENSEMBLE automne 2003 LE JARDIN DES POSSIBLES DU R SEAU COLE ET NATURE 2003 LE JARDIN ET LA NATURE DANS LA CIT Actes du colloque juin 2001 Saline royale d Arc et Senans Institut Claude Nicolas Ledoux f vrier 2002 121 pages Lizet B LE JARDIN LIEU DE CONFRONTATION CULTURELLE ETUDE DE CAS D UNE VALL E DE HAUTE SAVOIE Journal d Agriculture Traditionnelle de Botanique Appliqu e XXVI 1 1979 pages 9 27 LES JARDINS FAMILIAUX DES ESPACES CULTIVER Dossier p dagogique Bergerie nationale D partement p riurbain janvier 1997
10. NALYSE ET RECOMMANDATIONS Minist re de l Environnement CAUE du Communaut urbaine de Lyon 1997 52 pages Rh ne PESTICIDES LE PI GE SE REFERME Edition Terre vivante 159 pages Pluvinage Manuel et Weber Florence LES JARDINS POPULAIRES PRATIQUES CULTURALES USAGES DE L ESPACE ENJEUX CULTURELS Rapport de recherche pour la mission du Patrimoine eth nologique du Minist re de la Culture d cembre 1992 Pr dine Eric JARDINS OUVRIERS L ART ET LA MANI RE Paris Flammarion coll La Maison rustique 1998 143 pages Putegnat Ariane LES JARDINS FAMILIAUX COMMENT UNE INNO VATION SOCIALE PEUT ENGENDRER DES RISQUES POUR L HOMME ET L EN VIRONNEMENT Annales des Mines Responsabilit et Environnement n 24 octobre 2001 pages 83 90 Quenardel Antoine TERRAIN ARDINAGE TERRITOIRE PAYSAGE DES JARDINS FAMILIAUX DES ULIS AU VALLON DE LA JUSTICE PROPOSI TION DE PARC POUR UN PAYSAGE DURABLE DPLG Ecole Nationel Sup rieure du Paysage Versaille 1999 BIBLIOGRAPHIE Roland Christ le LES JARDINS FAMILIAUX D AUJOURD HUI POUR PR PARER LES JARDINS DE DEMAIN Ma trise de g ographie option am nagement Universit de Paris VII 1993 1994 Rossi Christine LES JARDINS DANS LE CHOIX DES FORMES D HABI TATS INSTITUTIONS ET DISCOURS FONDATEURS M moire de Ma trise Universit de Paris VIII 1980 Ruelle Anne PERSPECTIVES D AM NAGEMENT DE JARDINS FAMILIAUX SUR LE SECTEUR DE LA MARE AUX LOUP
11. S COMMUNE DE NEUILLY PLAISANCE Institut Fran ais d Urbanisme DESS Urbanisme Am nagement D veloppement septembre 1994 Sansot Pierre Ganzin Julie DEMANDER LA LUNE St Cl ment de Rivi re d Fata Morgana 1995 56 pages Sen Michel TERRE DE BANLIEUE CULTURE EN SEINE SAINT DENIS CAUE de Seine Saint Denis 1994 89 pages Simon Jacques L EAU DANS LE JARDIN CR ATION DE PAYSAGISTES EUROP ENS Paris La Maison Rustique 1963 80 pages Simon Jacques PERSPECTIVES DE PROJETS Turny Ed 1988 Simon Vincent L HISTOIRE DES JARDINS OUVRIERS Ma trise Histoire Contemporaine Universit Lille 111 1992 1993 Spilemaecker Chantal ENTRE HUMUS ET B TON LES JARDINS SAUVAGES DE GRENOBLE Vivre la Ville approche r gionale du champ urbain mars 1984 n 3 4 Stickland S VARI T S D HIER ET D AUJOURD HUI Edition Terre viavnte 1998 192 pages Trochet Ren T ru Jean Jacques Roy Jean Michel Jardinages en r gion parisienne XVII et XX si cles Actes du colloque Jardiner et produire organis par l Ecomus e de la Courneuve Cr aphis octobre 2000 Vant Ren CONTRIBUTION UNE G O HISOIRE DES JARDINS OUVRIERS Cahier 4 d l Herm s 1977 Viala Ilonka JARDINS FAIMLIAUX EN SEINE SAINT DEINS Bobigny Direction D partementale de l Equipement 1993 Vionnet Pierre L ORDRE ET LA VARI T LE PAYSAGE DES JARDINS OUVRIERS les jardins citoyens RBIBLIOGRAPHIE
12. S CULTIVONS LA SOLIDARIT Actes de la Journ e Nationale Besan on le 16 novembre 1993 Atelier d Etudes d Am nagement CONSID RATIONS SUR L AVE NIR DES JARDINS FAMILIAUX EN MILIEU URBAIN Villeneuve la Guyard Atelier d Etude d Am nagement 12 pages Ballang Ruth et Guy DES JARDINIERS HORS LA VILLE DANS LA CIT Paris Ed du Linteau 1999 63 pages Bonneau Michel Universit des Sciences et Techniques LA 288 Lille LES JARDINS OUVRIERS ET FAMILIAUX EN FRANCE ET DANS LE NORD DE LA PRODUCTION DES L GUMES L UTILISATION POUR LES LOISIRS DANS LES ESPACES P RIURBAINS Aspects tourisme et r cr ation en Nord Pas de Calais Europe Nord Ouest 1981 pages 73 176 Cabedoce B atrice CENT ANS D HISTOIRE DES JARDINS OUVRIERS 1896 1996 Paris Ed Cr aphis Juin 1996 CAUE de la Somme JARDINS FAMILIAUX DE LLLIERS CAHIER DE RECOMMANDATIONS ARCHITECTURALES ET PAYSAG RES Amiens CAUE 1987 17 pages C na Olivier LES JARDINS DE LA SOCIALE Paris Ed Du May 1992 C rezuelle Daniel Le Formal Yann LES JARDINS COLLECTIFS UN OUTIL D INSERTION Institut R gional du Travail Social Aquitaine juin 1990 299 pages Collaert Jean Pierre Pr dine Eric LART DU POTAGER EN CARR S Ed Les nouveaux jardiniers 1999 Corbin Alain L AV NEMENT DES LOISIRS Aubier 1995 472 pages Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins BIBLIOGRAPHIE Que
13. aide substantielle dans les quartiers class s en G PV Grand Projet de Ville en fonctionnement e D autres fondations sont susceptibles d apporter une aide fondations Vivendi Nature amp D couverte Ushua a Certaines subventions de fonctionnement beaucoup plus de France rares qu en investissement viennent alimenter le budget sous forme de financement d une quote part des co ts r els de fonctionnement ou par la prise en charge d un poste donn ex la r mun ration de l animateur D autre part les cotisations des jardiniers permettent dans cer tains cas de couvrir ces frais et de constituer une provision pour les futurs investissements en renouvellement de mat riel ou en entretien Si elles ne couvrent pas les frais elles y parti cipent Le plan de financement tablira les diff rentes ch ances pour les remboursements de la dette et l amortissement du mat riel sur une p riode adapt e Il sagit l d un v ritable plan de financement moyen ou long terme Ann e 1 Ann e 2 Ann e 3 Ann e 4 Ann e 5 Ressources eInvestissement amortissement z z e Fonctionnement z z 2 D penses eInvestissement amortissement z R e Fonctionnement E 2 L tude financi re VERRA 0 DI0 HO 1CII Eu D penses en investissement les amendements et divers apports en terre et mat riaux sable gravier L tude financi re doit comprendre le co t
14. ar les enfants Le jardin permet de d velopper de nombreux potentiels ducatifs Il sagit entre autre de promouvoir des objectifs comportemen taux des objectifs m thodologiques et des objectifs cognitifs Le jardin est un outil pour e d velopper la sensibilit des enfants la fragilit des quilibres naturels et sur le travail d autrui tout en les responsabilisant e veiller les sens des enfants pour interagir avec la nature e leur faire d couvrir la cha ne alimentaire la sensibilit d un milieu naturel et les cycles naturels Le jardinage d veloppe le savoir faire des enfants en les impli quant dans des travaux manuels et techniques Cet apprentis sage des gestes du jardinier peut en tre galement l occasion d exp rimentations Enfin il permet aux enfants de concr ti ser des connaissances scientifiques en math matiques phy sique sciences de la vie et de la terre Une co formation est organis e une fois par an par la Mission cologie du Grand Lyon et le passe jardins pour r aliser un jardin p dagogique De nombreux documents p dagogiques existent pour accom pagner l ducateur exemple guide pratique d ducation l environnement monter son projet et le Jardin des possibles du r seau cole et Nature De plus il existe un Plan National d ducation l Environ nement r alis par le Collectif Fran ais contacter Le jardin du cheminot 23 rue Yves Toudic 75481 Paris cede
15. ardin e Am nager des haies bocag res compos es d essences locales cr ant un habitat naturel pour les animaux tels que les oiseaux les insectes auxiliaires du jardin les h rissons etc Ces haies contribuent la cr ation d un microclimat dans le jar din et lui donnent un aspect plus agr able e Choisir des mat riaux et des essences adapt es aux diff rents am nagements des cheminements en prairies rustiques n cessitent peu d entretien et aucun d sherbage tout en contribuant g n rer une ambiance particuli re contraire ment au gravier des haies comportant des plants d aub pines ou de ronces dissuadent plus les intrus qu un grillage EN Ja gestion La pratique de techniques respectueuses de l environnement permet de produire des l gumes sains tout en pr servant les esp ces utiles On retiendra les principes suivants e la couverture par mulchage et paillage du sol limite l va poration de l eau et les d placements de certains ravageurs e l utilisation d engrais verts et de compost e la mise uvre de cultures associ es e l utilisation de pi ges sans produits chimiques pour les habi tants non d sir s du jardin pi ges limaces par ex e la cr ation d abris pour les animaux utiles niche pour h ris son abri pour insecte auxiliaire e la fauche tardive pour permettre la reproduction des plantes et des animaux e l utilisation de d coctions de plantes orties pr les boui
16. ardin constituent un habitat pour cette faune Elles peuvent tre des plantes vocation th rapeutiques dont les propri t s sont d crites dans des ouvrages sp cialis s connues de personnes d exp rience m connues ou d couvrir Caroline Hustache Le Passe Jardins Jardin naturel d habitants de Arnhem Pays Bas Tout est possible m me en centre ville Donnez une place aux plantes sauvages dans votre jardin et la faune s y d veloppera M sange charbonni re chacun peut trouver sa place dans le jardin La biodiversit E L am nagement L observation du jardin et de ses habitants est tr s riche d in formation sur son tat Quelques principes sont consid rer pr server des corridors naturels et des changes avec les dif f rents espaces naturels environnants en limitant la cr ation de cl tures tanches En effet la richesse et la vitalit d un lieu sont souvent li s sa situation dans un r seau d espaces naturels Pr server des espaces libres o l intervention du jardinier est parcimonieuse Cela permet aux plantes utiles de se d velop per et limite la multiplication des envahissantes Ces espaces peuvent tre d finitivement attribu s la vie sauvage ou tre constitu s des espaces d laiss s lors des rotations des cul tures La notion d espace libre se retrouve dans certaines tra ditions laissant ces lieux aux gnomes qui en change pren nent soin du j
17. contraintes En plus de la d finition des grands principes de ce projet l espace de libert ainsi m nag va permettre aux habi tants d exercer pleinement leur citoyennet Les conditions de financement la garantie du respect des r sultats de la concertation et surtout la mise disposition du foncier sont les l ments qui doivent imp rativement tre fix s avant d engager la deuxi me tape de la concertation Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins VR HR 10 1D10 NO C La concertation Avertissement La concertation est une pratique qui tend se r pandre puisque cette technique est l un des principal outil du D veloppement Social Urbain Cette concertation recouvre tr s souvent des r alit s diff rentes Lorsque le projet fini est soumis la population il s agit d une consultation La concertation implique d associer les futurs usagers la r flexion en amont du projet Les habitants participent alors dans le cadre fix par les d cideurs la d finition du cahier des charges Dans ce cas la m thode n cessite toujours une comp tence d animation particuli re qui n est pas en rapport avec la comp tence technique des urbanistes ou architecte paysagistes travaillant sur ce type de projet R union de concertation aux Aubiers Bordeaux Les Jardins d Aujourd hui Animation L intervention d un animateur en tant que m diateur et faci litateur est indispensable
18. d Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins METHODOLOGIE De multiples formes de jardins BJ Les jardins familiaux traditionnels Objectifs cr ation d un espace de loisirs et de convivialit dans des sites aux localisations tr s vari es Les jardins familiaux traditionnels avec leur parcelle individuel le et leur abri concernent un large public et comprennent des actifs des ch meurs ou des retrait s Le mode de recrute ment reste assez variable Les conditions les plus fr quem ment rencontr es sont e habiter dans la commune e habiter en immeuble ou en maison individuelle sans jardin e avoir plusieurs enfants ou tre retrait ou ch meur e avec ou sans condition de revenus Certains jardins pr sentent parfois peu de mixit sociale dans la population qui le compose Or ce type de situation renfor ce l enfermement du jardin sur lui m me et ne permet pas au jardin d exprimer toutes ses potentialit s sociales Une mixit de jardiniers est gage d une meilleure int gration et adapta tion sociale pour les publics en difficult Il convient donc de maintenir un quilibre constant dans les conditions d acc s et recrutement WJ Les jardins p dagogiques Objectifs les jardins p dagogiques constituent un lieu favo rable la d couverte de la nature et l exp rimentation du jardinage p
19. de l ensemble des les mat riels divers de jardinage mat riels n cessaires l am nagement du site e le mobilier ventuel e le terrassement e l alimentation en eau investissement raccordement au e les honoraires d un ventuel cabinet d tude r seau r cup ration d eaux pluviales e la construction d abris couverture murs dalles b ton Elle doit int grer les co ts de main d uvre et d intervention d une ouvertures entreprise sp cialis e pour la pr paration du terrain l installation e les cl tures des cl tures l adduction d eau les plantations si besoin est e les plantations am ndemernmts constructam plantations des abris mobilier terrassement cl ture en fonctionnement e engrais et amendements e amortissement des diff rentes installations e graines et autres plants remboursement des emprunts consommation d eau e paiement des frais financiers li s aux ventuels emprunts e entretien des cl tures et b timents e location du terrain e renouvellement des outils collectifs e assurances e renouvellement des plantations ornementales Jardins Citoyens VEJE n1090 KO0IC i Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins Le dossier de demande de subvention E Dossier administratif Pr sentation des porteurs de projet exp rience personnelle formations motivations r le de chacun Pr sentation du projet description de la nature du
20. e il est indispen sable de d finir les programmes et la qualit de l am nage ment avec les repr sentants des jardiniers La m thodologie de projet participation du public concern La recherche de public peut se faire gr ce l utilisation de moyens de communication tels que les journaux locaux L organisation de r unions publiques permet de mobiliser les jardiniers potentiels et ventuellement de faire conna tre le projet l ensemble des habitants du quartier Le groupe concern par le jardin devra tre structur et poss der un support juridique de m me qu une organisation inter ne sp cifique d signation de responsables II peut d pendre d une structure particuli re comme un centre social ou tre constitu en association loi 1901 d finition du programme d am nagement et de travail L investissement des futurs jardiniers dans la r alisation du jardin permet une meilleure appropriation du site En outre leur participation certains travaux permet une r duction importante des co ts assemblage des abris pr paration des tranch es d adduction en eau installation de la cl ture Ce type d intervention d pend d une part du public concern et d autre part de l encadrement ventuel dont peuvent b n fi cier les jardiniers services techniques ducateurs VR HR 101D10 N OC Pour plus d information Le jardin dans tous ses tats correspondant national C
21. e jardin permet le travail du regard des autres sur ce public en difficult La symbolique de la production l assiduit du travail et l atmosph re de convivialit permettent ces personnes de d couvrir leurs capacit s tout en les sortant de l isolement et de retrouver leur identit La mise en place de ce type de jar din n cessite d une part que celui ci soit localis dans un sec teur habit et anim et d autre part qu intervienne un anima teur sp cifiquement form aux techniques de jardinage contacter Pause jardin Jardins d AME L E rue Emile Vial 9 bis Avenue Charles de Gaulle 69500 Bron 13120 Gardanne T l 04 78 00 22 59 T l 04 42 65 98 58 Fax 04 78 00 22 95 Fax 04 42 65 93 86 mail pjardins club internet fr EE Les jardins collectifs les jardins collectifs s implantent au gr des opportunit s Objectifs offrir une activit associative d change et de travail FONCIETES SOUVENE EN SECRe ENCRES en groupe autour de l activit de jardinage Ce mode de jardinage n est pas r serv un public en diffi cult Il correspond une activit associative comme une autre Chaque membre peut ainsi trouver dans cette activit beaucoup de convivialit de partage et de travail en groupe Elle permet aux adh rents d obtenir des l gumes frais pour l ann e moyennant une cotisation et des permanences sur les jardins pour aider aux travaux d entretien aux plantations et aux r coltes Il
22. ents publics notamment dans les quartiers difficiles n est possible qu travers la mise en uvre des m canismes d appropriation La concertation permet de cr er un lieu o chacun lus tech niciens et habitants peut s exprimer et couter l autre L objectif est que toutes les pr occupations les contraintes et les d sirs puissent tre entendus et consid r s dans la r alisa tion du projet C est un v ritable exercice de citoyennet active En M thodologie 1 Premi re phase Avant de d buter le travail avec les habitants le cadre de la concertation doit tre pr alablement fix Il ne peut y avoir de concertation sans volont politique Tout d abord l implication des d cideurs et techniciens doit tre transversale Les services charg s des espaces verts de l urbanisme ou des domaines sociaux peuvent aussi tre concern s par le projet Dans ce cas il est n cessaire de les mobiliser pour que chacun s investisse dans la d finition du projet et comprenne les enjeux de cette concertation La qualit des travaux la pertinence des am na gements et le bon fonctionnement du projet sont condition n s par cette d marche Le r le de l animateur va consister favoriser l mergence de l int r t g n ral et assurer le dia logue entre les lus les techniciens et les habitants Le cadre constitue alors l ensemble des l ments non n go ciables fix s par les lus mais aussi des impossibilit s et des
23. est fr quent de trouver au sein de ces jardins un mara cher professionnel assurant le suivi de l exploitation et les travaux journaliers contacter Association Le M AT C t Jardin Hameau du Viel Audon 31 rue Gervais Bussi re 07120 Balazuc 69100 Villeurbanne T l 04 75 37 73 80 Fax 04 75 37 77 90 mail vielaudon free fr De multiples formes de jardins M ETHODOLOGIE 7 Le mara chage d insertion par l conomie solidaire dans le cas du mara chage d insertion l quilibre de l op ration et la formation des jardiniers priment sur la Objectifs il s agit principalement de former un public en dif CLSC URCS Jardin ficult aux techniques et m thodes du mara chage afin d ob tenir par une formation une r insertion professionnelle Cette action doit tre men e dans un contexte conomique particulier puisqu il ne doit pas faire concurrence aux maral chers professionnels La r insertion du public encadr doit passer par une am lioration de la confiance en soi et l ap prentissage de techniques professionnalisantes La vente des produits contribue valoriser leur travail Ce type de jardin se d marque par la production g n rale ment biologique et par la commercialisation de ces produits Celle ci passe g n ralement par un r seau d adh rents 100 300 personnes pour 10 15 jardiniers qui moyennant parti cipation b n ficie d un panier hebdomadaire de l gumes contacter
24. et au bureau du cadastre de chaque d partement cit REES bif administrative d tat La recherche d un terrain METHODOLOGIE Le Plan Local d Urbanisme PL U Le Plan Local d Urbanisme est constitu de plusieurs documents sk Le rapport de pr sentation pr sente une analyse du terri toire concern Il exprime les choix politiques de pr servation de gestion et de d veloppement du territoire justifiant les r gles d crites dans le dossier de r glement Les plan de zonage d coupent le territoire en fonction de son urbanisation actuelle et de sa vocation future A chaque zone s appliquent des r gles tr s sp cifiques de surface hau teur emprise et construction sk Tout terrain est int gr dans un zonage Tout ouvrage toute construction de tout type ou toute transformation du mode d occupation du sol abris de jardins doivent tre en coh rence avec le r glement de la zone Les principaux zonages du Plan Local d Urbanisme sont CAUE du Rh ne Les zones ND Les zones NC amp NB Les zones NA Les zones U pr serv es de toutes cons caract re agricole naturelles destin es l urba d j urbanis es Elles sont tructions en raison de leurs nisation future organis es en sous secteurs int r ts cologiques et ou en fonction de leurs caract ris paysag res tiques Dans les secteurs faiblement urbanis s il existe des communes qui ne sont pas dot es d un PLU Dans ce cas c es
25. ge et le respect mutuel entre les jardiniers et les habitants du quartier sont les meilleurs garants de cette pr servation Plus de personnes sont impli qu es plus le jardin est respect et plus il est consid r comme un espace vert communautaire et collectif Il est donc conseill de concevoir l organisation du jardin afin de favoriser les changes avec l ext rieur Les circulations doi vent permettre aux passants de profiter de celui ci sans por ter atteinte l intimit et la tranquillit des jardiniers Le positionnement des haies et leur transparence peuvent jouer un r le essentiel La prise en compte du paysage a t trait e dans un document sp cifique dit par le jardin dans tous ses tats Les jardins familiaux Appropriation et int gra tion paysag re 1990 Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins L am nagement du jardin Garden of Union Brooklyn C Hustache Sch ma des circulations du public au sein des jardins le jardin un espace transparent le jardin un itin raire de choix le jardin dans l alternance des espaces l espace public au c ur du jardin L am nagement du jardin D autre part la conception du jardin doit favoriser les changes et la convivialit entre jardiniers ce qui n est pas forc ment le cas des lotissements de jardins familiaux L appropriation et la convivialit peuvent tre favor
26. hantier Nature 76 Place Cormontaigne 59000 Lille T l 03 20 17 19 77 Fax 03 20 17 11 70 http www jardinons com correspondant r gional Rh ne Alpes le passe jardins 131 rue Challemel Lacour 69008 Lyon T l 04 78 00 22 59 Fax 04 78 00 22 95 mail pjardins club internet fr La recherche de terrain doit r pondre aux objectifs fix s dans le cadre du projet de jardin En effet sa localisation peut tre d terminante pour son r le par exemple la situation proxi mit des centres de vie Les collectivit s territoriales ont g n ralement plus facilement acc s cette connaissance fonci re puisqu elles poss dent des services charg s du patrimoine et du foncier En revanche les associations ou les porteurs de projet qui sont de simples citoyens ont beaucoup plus de mal obtenir les informations Pour trouver un terrain il est parfois plus rapide Les sources institutionnelles d informations fonci res sont assez variables d une r gion l autre mais d une mani re g n rale on retrouve les organismes suivants es communes qui dans la majorit des cas ont comp tence en mati re d urbanisme sk es directions d partementales de l quipement D D E sk les tablissements publics d am nagement sk es SAFER qui ont pour vocation acqu rir les terrains en domaine agricole pour le compte des collectivit s et qui peu vent par cons quent avoir connaissance des diff rentes o
27. ip s d une pompe main une installation plus complexe quip e d un syst me comprenant une pompe immerg e avec un surpresseur compos d un ou de plusieurs ballons Il permet d avoir une pression de distribution inf rieure la pression de pompage et un stockage en heures creuses Le syst me automatis n cessite une tude pr alable de l installateur ou d un bureau d tude afin de calculer le c fficient de simultan it en fonction du nombre de jar diniers raccord s et d optimiser la puissance de la pompe en fonction des connexions et de la profondeur de la nappe phr atique Dans le co t de revient d un pompage automatique il faut pr voir ak e forage l amortissement du mat riel sk l entretien a consommation en nergie Il est donc n cessaire d tudier s rieusement le rapport entre la proximit du r seau d eau potable la g ologie du sol et la profondeur de la nappe phr atique Ce syst me pr sente l inconv nient de ne pas fournir au jardinier une eau propre la consommation et ne limite en aucune mani re les gaspillages d eau renseignements et contacts Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins une ressource essentielle surtout si le jardin est raccord au r seau public d eau potable Dans le cas contraire s il s agit d un puits ou d un pompage direct dans un cours d eau Le co t de l eau n est pas li la qua
28. iques d autres modes d embellissement et d appropriation de l espace public que ceux pratiqu s tradi tionnellement Il s agit de permettre aux habitants d intervenir sur les plantations le choix des esp ces florales potag res utilis es pour l am nagement des espaces publics contacter Green Guerillas AJONC 625 broadway 9 th floor 13 rue Montaigne 59000 Lille New York NY 10012 T l 03 28 55 03 30 Etats Unis T l 212 674 8124 Le secret d Ir n e mail info greenguerillas org 4 rue St Ir n e 69005 Lyon web www greenguerillas org De multiples formes de jardins la proximit entre jardin et habitat est essentiel pour le bon fonctionnement du lieu le jardin communautaire est un lieu d expression de la citoyennet des habitants du quartier CE Lil ne mn on De multiples formes de jardins VERRA O DIO RO ICIIs BJ Les jardins collectifs d insertion sociale Objectifs il s agit de redynamiser les personnes en difficult le jardin doit se situer au c ur de la vie sociale et en demande d insertion Le public se compose g n ralement de Rmistes sans activit de retrait s et de ch meurs de longue dur e marginalis s de toute vie sociale Le jardin permet d agir favorablement sur la perte d identit de ces personnes compte tenu des difficult s qu elles pr sentent troubles du comportement social difficult s psychologiques handicap culturel A travers sa dimension symbolique l
29. is s par une souplesse r glementaire sur les am nagements du jardin et de l abri la cr ation d espaces ludiques pour les enfants la localisation de points de rencontre tels que les bacs compostage l alimentation en eau le stockage de fumier sk l installation d espace r cr atifs barbecue jeux de boule Une majorit de jardins privil gie la culture potag re pour lais ser une faible place aux esp ces ornementales et aux arbres Or l image du jardin et ses qualit s paysag res doivent beau coup la pr sence de ces v g taux qui contribuent renfor cer l image d espaces verts aupr s du public surtout s ils sont ouverts vers l ext rieur C est pourquoi les concepteurs ten dent imposer des am nagements paysagers Pour des ques tions d appropriation du lieu il serait souhaitable de d velop per aupr s des plus anciens jardiniers ce type de d marche plut t que de l imposer Ainsi la nouvelle demande qui mer ge des populations urbaines plus jeunes s oriente davantage Que faut il envisager dans la cadre d un am nagement de jardin la pr paration du sol es cl tures compris entre 1 20m et 1 50m k es haies de protection es plantations ornementales des parties communes es ventuels abris individuels qui sont implanter selon une orientation dominante e type d alimentation en eau Un abri ou local commun offrant plus ou moins de conf
30. le jardinier et sa famille en cas de pluie ou de les prot ger du soleil durant les journ es d t A ce sujet il existe des avis divergeants mais d une mani re g n rale c est la localisation des jardins qui d termine les besoins En effet les jardins en centre urbain ne peuvent compte tenu de la raret du terrain pr senter des surfaces trop importantes En revanche les jar dins situ s en p riph rie des centres n cessitent un am nage ment plus complet du fait de leur loignement sans toutefois devoir servir de r sidence secondaire Mat riaux utilises pour les murs e le bois le plus courant l acier galvanis e la brique le moellon peu recommand pour le toit e les t les en acier galvanis et laqu facile poser et bon march e les shingels bardeaux d asphalte e la tuile LE noter Dans les jardins familiaux comprenant autant d abris que de par La liste de ces mat riaux n est en rien exhaustive Les abris de celles il est conseill d opter pour certaines r gles pratiques jardins doivent avant tout s int grer dans un paysage urbain orientation dominante des masses b ties ou rural mais aussi dans un contexte r gional Il s agit donc adoption d une armature uniforme partir de laquelle le loca de trouver les solutions les mieux adapt es aux besoins parti taire peut difier son abri murs couvertures culiers de chaque projet an financement e
31. llie bordelaise pour lutter contre les ravageurs et les parasites du jardin e la mise en place de ruches qui favorise la pollinisation Chantier Nature L i f F UE E La prairie fleurie constitue un mode de gestion alternatif conome Quelques r f rences de livres Vari t s d hier et d aujourd hui par S Stickland 192 p d Terre Vivante 1998 Une mare naturelle dans votre jardin par H Wilke 28 p d Terre Vivante 1989 Ces herbes qu on dit mauvaises par J Readma 64p d Terre Vivante 1993 Les poireaux pr f re les fraises les meilleures associations de plantes par H Wigner 112 p d Terre Vivante 2001 Jardiner nature le guide du jardinage bio par F Couplan et P Marmy d Bordas Publications des CPN Club de Protection de la Nature La Maison des CPN 08240 Boult aux Bois T l 03 02 30 21 90 Publications LPO Ligue de Protection des Oiseaux La Corderie Royale BP 263 17305 Rochefort cedex T l 05 46 82 12 34 Fax 05 46 83 95 86 contacter Rucher cole du syndicat d apiculture du Rh ne Ecole v t rinaire 69280 M arcy l Etoile Jardins Citoyens EM Les enjeux de la concertation L enjeu premier de la concertation est de mettre en uvre une d mocratie plus participative concerne les diff rents aspects de la vie sociale qui sont le lien entre les individus le savoir tre avec les autres et le savoir faire ensemble Le respect des quipem
32. lques ouvrages feuilleter Couplan Fran ois P Marmy JARDINIER NATURE LE GUIDE DU JARDINAGE BIO Edition Bordas COURRIER DE L ENVIRONNEMENT DE L INRA N 23 novembre 1994 DES VILLES DES SOLUTIONS COMMENT REDONNER VIE AUX JARDINS FAMILIAUX Le courrier des Maires le 22 mars 1996 Devedjian Jocelyne JARDINS FAMILIAUX LA PEAU DE CHAGRIN Diagonal ao t 1986 Dubost Fran oise C T JARDINS Scarab e amp Compagnie 1984 LE L GUME PH NOM NE DANS LA TRADITION DES JARDINS OUVRIERS LE GRAND LIVRE DES FRUITS ET L GUMES HISTOIRE CULTURE USAGES sous la direction de Daniel Meyer et Paul Vannier Besan on La Manufacture 1991 pages 167 168 LES JARDINS ORDINAIRES Paris ed L Harmattan 1997 174 pages L INVIT E Urbanisme N 321 d cembre 2001 pages 69 76 Duet A et P LES JARDINS COLLECTIFS EN ZONE URBAINE Conseil G n ral du Val de Marne Direction D partementale de l Equipement G E P 94 Atelier d Etudes d Am nagement 1978 EDUCATION RELATIVE L ENVIRONNEMENT REGARDS RECHERCHES REFLEXIONS Volume 1 4 Fondation Universitaire Luxembourgeoise Belgique Fondation de France JARDINS DES ESPACES R INVENTER Presse d Aujourd hui M Paris janvier 1996 10 pages Gabriel Claire LES JARDINS FAMILIAUX DANS LES AGGLOM RATIONS URBAINES DES ESPOIRS MAIS POUR QUEL AVENIR Universit des Sciences et Technologies de Lille M moire de Dipl me d Etudes Approfo
33. ndies en G ographie Humaine le 25 octobre 1993 Gojard S verine et Weber Florence JARDINS JARDINAGE ET AUTOCONSOMMATION ALIMENTAIRE INRA Sciences Sociales Recherches en Economie et Sociologie Rurales n 2 avril 1995 BIBLIOGRAPHIE Giacometti Fr d rique ESPACES VERTS PUBLICS ET URBANISME CONTEMPORAIN DES JARDINS OUVRIERS AUX JARDINS FAMILIAUX LES JARDINS DE L SLE D ABEAU M moire de Sociologie Lyon II 1979 1980 Girardin Philippe JARDINS FAMILIAUX JARDINS PRIV S QUAND LE MIEUX EST L ENNEMI DU BIEN Courrier de l environnement de l INRA n 23 novembre 1994 Guitel S et Roumet F DE FRICHES EN JARDINS F d ration Nationale des Jardins Familiaux et le Minist re de l Agriculture mars 1995 Guide pratique d ducation l environnement MONTER SON PROJET gt DU R SEAU COLE ET NATURE 2002 Helbert Yves Bernier Sophie DES JARDINS FAMILIAUX DANS NOS VILLES JARDINS JARDINAGE ET POLITIQUES URBAINES Fondation de France 1998 63 pages Hissard J R A vouloir trop ordonner les jardins ouvriers on risque d inhiber la cr ativit Les Nouvelles du Paysage n 77 1 avril 1977 pages 16 18 L expression populaire dans le cadre de vie les jardins ouvriers de Belfort Revue des Sciences Sociales de la France de l Est n 5 1976 pages 57 76 DE LA CIT JARDIN AUX JARDINS DANS LA CIT H Revue de l Habitat Social juin 1979 JARDINS CONTRE NATURE Traverses n 5
34. ntit d eau consomm e mais l qui pement utilis Le pompage dans le milieu naturel n cessite une autorisation pr alable aupr s des services de l tat mais ga lement une v rification de la qualit de l eau qui doit tre propre l utilisation en mara chage Des analyses r guli res sont la charge des jardiniers information fournie par la soci t Petavit 69 quelques r f rences e co t moyen d un forage de moins de 7 m avec pompe manuelle environ 400 HT e co t moyen d un forage de 25 m avec pompe immerg e solaire environ 8000 HT Services sanitaires des Directions D partementales Affaires Sanitaires Sociales et de la Direction D partementale de l Agriculture et de la For t L eau une ressource essentielle 57 Raccordement au r seau public Le r seau de ville permet de disposer en tout point d une eau propre la consommation Ce mode beaucoup plus r pandu pr sente malgr les co ts de l eau potable certains avantages li s sa gestion En effet pour les jardins familiaux il est pr f rable d installer des sous compteurs individuels permettant de facturer la consommation r elle de chaque jardinier Ce dispositif limite les pertes par gaspillage ou n gligence gr ce l effet dissuasif de la facture personnelle elle poss de gale ment une valeur ducative Ce syst me est donc conomique ment rentable C Hustache L existence de deu
35. nu du prix de l eau l installation de syst me d arro sage adapt peut permettre de r aliser des conomies impor tantes Diff rentes soci t s proposent des dispositifs fonc tionnant par capillarit distribuant en surface ou en profon deur une quantit d eau optimum jusqu 60 cm Il existe galement des syst mes de goutte goutte ou d aspersion permettant d arroser en continu les plants SET avec l aimable autorisation de la soci t GRAF Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins L abri du jardinier Le jardinier quels que soient la localisation et le type de jardin a toujours besoin d un abri pour ranger outils et semences La forme et le nombre de ces abris sont bien s r directement li s au type de jardin abris collectifs des jardins de Rillieux la Pape architecte paysager Eric Pierre M nard EN les abris de jardins vocation collective Ils pr sentent une superficie g n ralement comprise entre 17 et 30 m pour une trentaine de jardiniers permettant ainsi le stockage de mat riel commun l ensemble du groupe l or ganisation de r unions et plus g n ralement les changes entre jardiniers autour d une tasse de caf EN les abris individuels Leur superficie moyenne oscille entre 2 m et 6 m Leur surfa ce est d terminante pour le r le que celui ci doit jouer S agit il de stocker uniquement le mat riel ou s agit il d abriter
36. oies et r seaux e les parcelles individuelles ou collectives e les plantations e les parkings Plan des abris au 1 50 sk Sch ma de d tail permettant de mettre en vidence les sp cificit s du jardin exemple la r cup ration des eaux pluviales utilisation de l nergie solaire MU PE FALE l am nagement du jardin doit tre con u afin de favoriser la convivialit au sein m me du jardin mais aussi avec son envi ronnement Ainsi les jardins ne sont il pas traditionnellement des espaces clos r serv s aux seuls jardiniers et leurs familles Or depuis quelques ann es la conception de nouveaux jardins s oriente vers une ouverture de ces espaces en direction du public et vers la multiplication d espaces mixtes parcs jardins familiaux L ouverture des jardins est tr s r pandue dans les pays anglo saxons germaniques ou nordiques Ainsi la notion de pro pri t n est pas la m me les espaces publics sont appropri s sans complexe ni conflit par les habitants En revanche les jardins adh rents l organisation des Green Gu rillas New York sont clos mais ils sont ouverts par prin cipe aux habitants ou toute autre personne d s qu un jar dinier se trouve dans le jardin ou des horaires fixes indiqu s l entr e du jardin Ce qui prot ge les jardins des vols et des d gradations ce n est pas sa cl ture mais la mani re dont ils s ins rent dans leur environnement L chan
37. ojet sur le terrain Le suivi du chantier doit tre assur de mani re garantir la confor mit des installations par rapport au projet initial M ET HODOLOGIE Les lus qui portent le projet doivent tre pr sents la premi re r union Leur pr sence n est pas requise pendant l ensemble du d roulement de la concertation En revanche un repr sentant des services techniques peut assister l ensemble des r unions D roulement de la concertation oN i Jad Le i WS d finition 1 k du cadre par les lus TT J Ta AEN C l i i noter Sur le territoire du Grand Lyon il a t labor une Charte de la Participation avec le Conseil de D veloppement de la Communaut urbaine de Lyon Direction Prospective et Strat gie d Agglom ration Grand Lyon 20 rue du lac 69003 Lyon T l 04 78 63 48 81 Agence d Urbanisme de l agglom ration Marseillaise LES JARDINS FAMILIAUX MARSEILLE Note de synth se octobre 1979 Agence d Urbanisme de la R gion Grenobloise LE JARDINA GE DANS LA VIE QUOTIDIENNE DES HABITANTS DE L AGGLOM RATION GRENOBLOISE Grenoble AURG 1984 Association Julienne JAVEL et EN A RS JARDINS DE COCAGNE UNE AGRICULTURE POUR CR ER DES EMPLOIS D INSERTION Actes de la Joum e Nationale Besan on le 16 novembre 1993 Association Julienne JAVEL PRESENTATION DES JARDINS DE COCAGNE LE R SEAU NATIONAL DES JARDIN
38. ort douche sanitaires sk es espaces d change et de convivialit tables barbe cue four pain en fonction des demandes des jardiniers Rillieux la Pape 69 conception Eric Pierre M enard paysagiste vers une culture mixte voire un jardin d agr ment et de d ten te De quelle mani re le jardin peut il s ouvrir vers l ext rieur et jouer un v ritable r le d espace vert public en mobilisant l ensemble d une population gr ce une participation active ou simplement par sympathie e par l introduction d un jardin dans un itin raire d espaces publics par l ouverture du jardin au public dans la journ e e par la mise en place d op rations visant impliquer les habi tants dans une d marche citoyenne de l am lioration de leur cadre de vie Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins La pr paration du sol C Hustache el La qualit du sol est l l ment fondamental pour l installation en Dans le cas d un terrain comportant trop peu de terre v g d un jardin c est pourquoi il est n cessaire de s y int resser de tr s pr s Les terrains dont peuvent disposer les porteurs de projets sont de qualit totalement in gale La diversit des jardins et leurs objectifs sociaux ou paysagers imposent parfois des choix souvent difficiles en mati re de terrain Il est donc n cessaire d effectuer un bilan des co ts et avantages de ces diff
39. pportunit s fonci res en zone PL U NC amp ND les chambres d agriculture qui poss dent une bonne connaissance du milieu rural et qui sont susceptibles de colla borer dans la recherche de terrains ou de propri taires pr ts c der ou louer sk Les directions d partementales de l agriculture et de la for t D D A F Les notaires Les documents d urbanisme Le cadastre renseigne sur l tat du foncier de la commune Il rep re au sein de la matrice cadastrale les diff rentes par W celles leur tat construction et occupation du sol le nom du Jardins Citoyens Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins VR RR 101D10 KO 1C La recherche d un terrain de s orienter vers une d marche de prospection sur place per mettant d acc der l information d tenue par les habitants ou le r seau associatif local Cette d marche n cessite par ailleurs de consulter un certain nombre de documents d ur banisme pr sent s ci dessous Il est galement possible de s adresser diff rents organismes ou institutions qui r pon dront dans des d lais plus ou moins longs La mobilisation de partenaires institutionnels notamment les communes et leur investissements dans le projet permet d ac c l rer consid rablement ce type de d marche My ci pre TEI Sap oey TS i CAUE du Rh ne propri taire Ces informations sont disponibles dans chaque IEA mairie
40. projet de la forme juridique et de ses objectifs sp cificit description de la demande et de l int r t du projet Convention avec les diff rents partenaires notam ment les communes approbation du conseil municipal k Acte de propri t et convention de mise disposi tion du terrain ou un engagement crit avec la dur e minimale et les conditions de renouvellement 10 ans minimum pour les jardins familiaux e de 2 3 ans pour des jardins d insertion Extrait du r glement d urbanisme Etude de faisabilit avec estimation financi re et plan de financement EN Pi ces techniques sk Plan de situation a 1 5000 e la localisation du terrain dans la commune on utilise un plan d orientation routier ou un plan municipal Le dossier de demande de subvention METHODOLOGIE l M n ke _ sk Etat des lieux 1 500 AF a MAT la pr sentation du site avant l am nagement pho n ENS Citer te tos photo a rienne le plan avec infrastructures et quipements environ pu nants A rL Plan d am nagement d taill ai Pimen 5 i A RS i ETTE Cine pz ET EE i 4 E FEE Fr dr ral P ci z F k Document descriptif de l insertion de cet am nagement dans le quartier e les photos du site les sch mas ou plans pr sentant l insertion paysag re et leurs relations avec les diff rents espaces publics Plan de masse au 1 500 pour les v
41. rents choix consid rant la composition du sol et la pr paration n cessaire pour rendre le terrain propre la culture potag re terrain agricole id al mais souvent trop loin des centres urbains Une premi re visite sur place pelle et pioche en main per mettra de se rendre compte rapidement de l tat approxima tif du terrain S agit il d un sol tr s compact caillouteux de terre arable S agit il d un ancien terrain cultiv ou d une friche urbaine tale indispensable la culture du jardin il n est pas n cessai re d aller plus en avant Les terrains ayant support la construction d immeubles aujourd hui d molis sont de ce type Dans ce cas il faut envisager l intervention d un profes sionnel pour nettoyer le terrain et apporter de la terre v g ta le L paisseur de terre n cessaire est au minimum de 35 cm sachant que certaines pratiques de jardinage tr s r pandues l tranger notamment aux Etats Unis pr f rent restreindre cet apport de petites structures en carr s constitu es par quatre planches solidaires friche urbaine attention aux surprises quelques r f rences e co t pour un apport de terre v g tale entre 16 et 20 HT n de terre e co t moyen d blais remblais entre 16 et 20 HT n e co t minimum pour un d capage de terre sur 40 cm entre 8 et 10 HT n Les prix peuvent tre d gressifs en fonction du volume Paradise Garden Brooklyn Plusie
42. s m thodes apportent des informations sur la composition chimique du sols e pH sols neutres acides basiques calcaires e les l ments nutritifs du sol compos s azot s phosphor s sur ses propri t s e sol compact d apr s le Soil Survey Manual Sol a r Mode d emploi porter sur chacun des trois axes les pourcen sol filtrant tages d argile de limon et de sable par chacun des points trouv s mener une parall le l axe pr c dent l intersection S o de ces trois points d signe la classe du sol gr ce une analyse de la texture et de la granulom trie du sol l paisseur e sable de terre limon cultivable e argile I est d ter minante C Hustache Les informations concernant ces laboratoires sont disponibles aupr s des chambres d agriculture du d partement Le compost Le compost est un amendement int ressant et tr s bon march Il procure la fois un support de culture riche en humus et des l ments nutritifs n ces saires la croissance des plantes Sa production base de d chets de v g taux est souvent r alis e au sein m me du jardin avec les d chets de culture ventuellement enrichi par des apports domestiques provenant soit des jardiniers soit des voisins du jardin un compos Le compostage peut se r aliser collectivement ou individuellement La concep teur astu tion des composteurs est assez simple mais leur emplacement doit tre a pr
43. si l on veut cr er une dynamique de ce type Son r le est de permettre le dialogue entre les diff rents acteurs de la concertation d assister les responsables politiques dans la cr ation d un cadre et d animer le travail avec les habitants tout en restant garant du cadre et des r gles de la d mocratie participative Compte tenu du r le que l animateur est amen exercer lors de la concertation il est pr f rable que celui ci soit ind pendant des parties concern es pour assurer la r gulation La concertation Deuxi me phase Elle a trois objectifs principaux e d finir avec les habitants les futurs usages du jardin qu il soit de culture ou d agr ment d finir le fonctionnement du jardin et de son organisation e laborer des statuts permettant son fonctionnement interne r glement La mobilisation des habitants dans le cadre d une concerta tion doit se faire travers des moyens de communication adapt s En effet dans les quartiers les plus difficiles les usa gers potentiels pour qui le jardin serait le plus utile sont g n ralement des personnes plus ou moins isol es ne b n ficiant pas toujours d une facilit d expression fran aise Les r seaux habituellement utilis s pour transmettre l information sont souvent peu adapt s pour les publics en situation de repli La technique du porte porte peut tre une solution efficace dans ce cas Le r le de l animateur est d terminan
44. t aux ressources g finition d une surface b tie maximale occuper en pr voyant et comp tences propres chaque situation l abri initial et l ajout d une tonnelle L abri du jardinier 57 Int gration paysag re des abris L impact des abris de jardin dans le paysage environnant est tr s important pour le regard ext rieur C est pourquoi le grand nombre d abris n cessaire l tablissement de jardins familiaux doit tre trait non pas forc ment dans une unit de formes mais dans une unit de couleurs La r habibilation d anciens jardins a ainsi permis de redonner une deuxi me jeunesse ces abris tout en pr servant l expression person nelle des jardiniers EN Quelques r f rences Le prix d un abri de jardin individuel varie entre 600 et 3000 HT en fonction de la qualit des mat riaux ex bois brut bois trait l au toclave la capacit n gocier les prix aupr s des fournisseurs l intervention d une entreprise l intervention des services techniques d une commune l autoconstruction par les jardi niers e r alisation d une dalle ou de quatre d s en b ton pr serve contre le ruissellement mais limite les volutions du jardin EU eT e regroupement des abris de jardins par deux ou quatre la conception par un professionnel de l am nagement Jardins de Villeurbanne quartier St Jean 69 CAUE du Rh ne Il n y a donc pas de r gle g n
45. t le Code de l urbanisme qui s applique ainsi que d autres dispositifs tels que les M ARNU Les informations sont disponibles aupr s de la D D E M ARNU Modalit s d Application du RNU RNU R glement National d Urbanisme Jardins Citoyens M ETHODOLOGIE Communaut urbaine de Lyon CAUE du Rh ne le passe jardins l tude financiere L tude financi re doit distinguer deux grands types de frais les montants n cessaires pour l investissement et ceux corres pondant au fonctionnement De la m me mani re les sub ventions seront vers es pour l un ou l autre des deux postes rarement pour les deux EN Ressources en investissement Le bilan financier doit faire appara tre le montant des diff ON E rents postes pris en charge sp cifiquement par certains parte Les aides ador d pendent principalement du type naires travers de jardin cr e Les financements communaux d pendent essentielle e des subventions directes pour des travaux clairement identifi s ment de la politique men e dans ce domaine e la r alisation en interne de certains travaux e La D ILRE N aide de fa on exceptionnelle les projets La majorit des aides au financement est vers e en fonction pilotes du montant global des travaux Elle devra donc appara tre au m me titre que les ventuels emprunts contract s pour r ali e La D D E en relation avec la sous pr fecture la ville ser le projet peut apporter une
46. t pour permettre tous de participer activement Si aux premi res r unions ce sont toujours les personnes ayant le plus de capacit s exprimer qui se manifestent l ensemble des participants doit tre en mesure de donner son avis Ce fonctionnement doit alors tre clairement expliqu l ensemble des participants Le travail produit par le groupe d habitants avec l animateur doit alimenter la conception du projet Cette conception peut tre r alis e soit par les services techniques soit par un bureau d tudes ou une association sp cialis e Ceci constitue la troi si me tape de la concertation Le r le du comit de pilotage lors de la deuxi me phase est de valider au niveau politique les orientations que va prendre le projet notamment la suite du travail effectu avec les habi tants et en collaboration avec le professionnel en charge du projet Il doit tre constitu par les lus et techniciens en char ge du suivi et s il y en a des partenaires financiers qui sont parties prenantes dans le projet La r ussite du projet est bas e sur le travail d aller retour entre les personnes charg es des propositions d am nagements services techniques et ou professionnels de l urbanisme ou du paysage et les habitants Le comit de pilotage est garant du respect du cadre fix par les lus et doit le soutenir Il doit vali der le projet d finitif Troisi me phase Elle correspond la r alisation du pr
47. urs types d analyse du sol sont possibles la recherche des polluants du sol est sp cifique elle doit tre demand e en com pl ment de l analyse des composantes agronomiques du sol Lorsqu un terrain appara t comme suspect en raison d informations sur une utilisation pass e stockage d p t ou utilisation de produits risques pour la qualit des sols il est conseill d effectuer une analyse pour rechercher les ventuels polluants du sol En effet leur concentration dans les l gumes peut entra ner des cons quences importantes sur la sant des jardiniers Dans ce cas le terrain devra tre d cap recouvert d une premi re couche d ar gile assurant l tanch it puis d une couche de terre v g tale Il faut compter environ 100 HT pour un analyse classique de terre avec commentaire de fumure et jusqu 900 HT pour une analyse des polluants potentiels du sol La pr paration du sol La reconnaissance des qualit s de la terre v g tale pr sente sur le terrain permet de d terminer avec pr cision les ven tuels travaux m caniques r aliser les amendements assu rer afin de permettre au jardin d exploiter toutes ses poten tialit s culturales Quels modes de d termination de la qualit des sol observation de la v g tation naturellement pr sente sur le site analyse pratique par tests successifs analyse p dologique par m thode physique et chimique en laboratoire Gr y Ce
48. x 10 www le jardin du cheminot asso fr mail jardinot club internet fr T l 01 42 08 78 22 Fax 01 42 45 48 54 le jardin familial peut tre aussi bien un espace de proximit qu un espace de loisir au c ur d un site naturel F d ration nationale des Jardins Familiaux 11 rue Duprez 75014 Paris www jardins familiaux asso fr T l 01 45 40 40 45 Fax 01 45 40 78 90 le jardin p dagogique na t de la symbiose entre jardin familial et cole contacter R seau Ecole et Nature Espace R publique 20 rue de la R publique 34000 Montpellier www ecole et nature org T l 04 67 06 18 70 Fax 04 67 92 02 58 mail info ecole et nature org Collectif Fran ais d ducation l Environnement CFEE Espace R publique 20 rue de la R publique 34000 Montpellier www planetere org Fiches jardinons l cole GNIS 44 rue du Louvre 75001 Paris T l 014253 51 12 VR HR 101D10 K OC WJ Les jardins familiaux d veloppement social Objectifs redynamiser la vie collective et ou associative de quartier d habitat social en difficult Le jardin vise largir la notion d habitat vers l ext rieur En effet les habitants des cit s sont g n ralement satisfaits de l int rieur de leur logement mais d noncent la qualit des espaces communs et des espaces ext rieurs Les quartiers o le vandalisme et l ins curit sont importants peuvent faire l objet de la cr ation d un groupe
49. x compteurs un pour l eau potable un autre pour les sanitaires permet l exon ration de la taxe d assainissement et de pollution pour l eau d arro Quelques r f rence sage L exon ration est totale sil s agit d un assainisse e co t moyen pour une installation eau potable 280 400 par ment autonome parcelle EN Syst mes alternatifs et syst mes d conomie d eau R cup ration de l eau de pluie Il existe sur le march de nombreux produits permettant la r cup ration d eau de pluie Ces cuves en plastiques se rac cordent la goutti re des cabanons par un syst me ing nieux en tuyaux PVC Ces kits complets sont simples et rapides ins taller Leur qualit alimentaire pr serve la sant des jardiniers En effet des tudes allemandes ont d montr que l utilisation des f ts de r cup ration ayant contenu des produits chi miques est dangereuse car le plastique relargue les toxiques dans l eau d arrosage poly thyl nes poreux L quipement syst matique des jardins avec des cuves en plastique alimen taire constitue donc une garantie pour la sant des jardiniers Il est galement possible d installer des cuves enterr es de grande capacit avec un syst me de pompe automatique o manuelle Dans ce cas il est n cessaire d obtenir l autorisation de r cup ration des eaux de toitures des b timents voisins avec l aimable autorisation de la soci t GRAF arrosage conomique fl Compte te
Download Pdf Manuals
Related Search