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1. VE LA Nald D 5 R VEILLER L ENFANT QUI HIBERNE EN VOUS V Une infirmi re au bout du fil Conseils sant aux voyageurs Votre animal domestique peut il vous L garder en sant Un projet d recherche permet de Planification urbaine et sant publique r duire la prise de m dicaments dans M decine de pointe un foyer de soins de longue dur e Acc s rapide aux dossiers m dicaux A U VIVERSITY Winnipeg Regional Office r gional de la NI YV Eol X Health Authority sant de Winnipeg W OE M AN GROR A Winnipeg Free Press Caring for Health l coute de notre sant ESF e Les S nutritifs d licieux et produits localement us brouill s la cr me 4 ufs 3 cuil soupe 45 mL de lait Sel et poivre au go t 14 tasse 50 mL de fromage la cr me aromatis 1 cuil soupe 15 mL de persil frais hach facultatif A rosol de cuisson Vaporiser une po le non adh sive avec l a rosol de cuisson Faire chauffer temp rature moyenne Dans un bol fouetter ensemble les ufs le lait le sel et le poivre Verser dans la po le Quand le m lange commence prendre remuer doucement et sans arr t avec la spatule jusqu la formation de gros grumeaux tendres Ajouter le fromage la cr me et faire cuire jusqu ce que les ufs paississent et qu il n y ait plus de liquide dans la po le Saupoudrer de persil facultatif Choix de fromage la cr me
2. par Sant re 7 ei Manitoba d Lou f A T 2 et Inforoute Sant du Canada une soci t ind pendante but non lucratif cr e en 2001 par les premiers ministres du Canada pour favoriser et acc l rer le d veloppement et l adoption de syst mes de dossiers m dicaux lectroniques fond s sur des normes ef des technologies de communication compatibles J ai particip une conf rence Montr al en novembre et nous y avons parl des dossiers m dicaux lectroniques mentionne le D Tunji Fatoye qui exerce au Centre m dical Kildonan le premier endroit o a t implant le Dossi l an dernier Nos r sultats sont bien meilleurs que dans la plupart des autres r gions du pays Parmi les difficult s li es l laboration du Dossi citons la n cessit de garantir que le syst me lectronique fournisse toujours l information concernant le bon patient ainsi que la n cessit d int grer des donn es recueillies partir de nombreux endroits l aide des diff rents syst mes en place Les diff rences entre les syst mes ont entra n des d fis techniques explique M Guerard titre d exemple certains syst mes d information identifiaient les patients l aide des num ros d identification personnelle de sant de la province alors que d autres utilisaient des num ros attribu s aux patients par les h pitaux Une autre difficult venait du fait que la terminologi
3. Apprenez en davantage sur l exercice comme m dicament en regardant 23 1 2 hours une vid o produite par D Mike Evans sur Youtube www youfube com waich v aUalinS HIGo 37 Le Courant quilibre Christine Holowick Sparkes des amis qui font du bie LES ANIMAUX DE COMPAGNIE SONT BONS POUR LA SANF uiconque a d j fait l exp rience de l amour inconditionnel que peut apporter un animal bien aim sait que cette relation est pr cieuse Cependant on oublie souvent que les animaux de compagnie en plus de nous apporter du bonheur peuvent aussi am liorer notre sant globale Une tude r cente fait ressortir ce fait Des chercheurs de la Miami University en Ohio ont conclu que les animaux de compagnie ont un effet b n fique dans la vie de leur ma tres tant sur les plans physique que psychologique car ils sont une importante source de soutien social Plus pr cis ment ces chercheurs ont observ que les personnes qui poss dent un animal sont plus consciencieuses s ennuient moins ont une meilleure estime personnelle et sont en meilleure condition physique que celles qui n en ont pas Cette conclusion n est pas tr s surprenante Les fournisseurs de soins de sant connaissent depuis longtemps les bienfaits de ce que l on appelle la zooth rapie On utilise des animaux de compagnie dans de nombreuses situations th rapeutiques y compris pour accro tre 38 Le Courant
4. l autonomie des personnes ayant une d ficience physique ou encore pour fournir de la compagnie des personnes ayant des probl mes de sant mentale Dans un grand nombre de foyers de soins de longue dur e on fait venir des animaux de compagnie pour remonter le moral des r sidents C est exactement le but vis par un programme r gional Dans le cadre du Programme d utilisation des chiens des fins th rapeutiques de l Ambulance Saint Jean des b n voles peuvent effectuer des visites avec leurs chiens dans des h pitaux des r sidences pour personnes g es et des foyers de soins de longue dur e Les visites faites par des chiens affectueux aident les r sidents parler et sourire plus participer des activit s et m me manger et dormir davantage La simple compagnie d un animal a des r percussions sur le corps humain en contribuant abaisser la tension art rielle le taux de cholest rol et les taux de triglyc rides Les risques li s divers probl mes de sant sont leur tour r duits y compris les risques li s aux maladies du c ur Pour les personnes qui ont fait une crise cardiaque la recherche indique que les personnes qui ont un chien ou un chat ont tendance afficher de meilleurs taux de r tablissement Une tude faite par des chercheurs du National Institute for Health a suivi 421 adultes qui ont fait une crise cardiaque Un an plus tard on a cons
5. Les travaux de Mme Sinclair et de M Puchniak sont d terminants pour la prestation des soins aux r sidents des maisons d accueil pour personnes g es de Winnipeg comme du pays dans son ensemble Compte tenu du vieillissement de la population canadienne le nombre de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de d mence ne cessera d augmenter Il nous incombe tous au sein du syst me de sant de voir dispenser aussi efficacement que possible des soins de qualit C est un objectif qui ne sera pas facile atteindre Cela d pendra pour une bonne part d approches du genre de celle pr conis e par Mme Sinclair et M Puchniak Apr s avoir fait les calculs requis ils ont r ussi produire une nouvelle formule de prestation plus efficace des soins Voil quoi tient le pouvoir de l innovation une puissance qu il nous faut harnacher dans tous les domaines du secteur de la sant Dans la foul e des travaux de Mme Sinclair et de M Puchniak les membres du personnel du foyer Middlechurch ont t habilit s laborer une nouvelle approche des soins destin s aux personnes souffrant de maladies d g n ratives comme la maladie d Alzheimer et la d mence d o une meilleure qualit de vie pour les r sidents Ce faisant ils ont aussi pu r pondre aux attentes des familles qui leur avaient confi leurs proches Rien n est plus gratifiant que ce sentiment d accomplissement pour ceux et celles qui trav
6. Toutefois M Puchniak mentionne que les connaissances n cessaires pour fournir des soins efficaces aux r sidents de ce milieu sont aussi en d veloppement En fait un grand nombre des solutions aux probl mes actuels et futurs sont virtuellement port e de la main L information est disponible il suffit d utiliser les donn es de fa on optimale dit il Il suffit de prendre des d cisions sens es O voulons nous mettre le temps dont nous disposons En pensant aux soins de sant on se demande souvent o il faudrait investir plus dit il Il est rare que quelqu un parle de d sinvestissement Si quelque chose n est pas efficace ou ne fonctionne pas il faut y mettre un terme Avec un syst me comme le MDS on peut voir si on fait quelque chose qui ne fonctionne pas Si c est le cas on peut y mettre fin et utiliser l nergie ailleurs Joel Schlesinger est un r dacteur de Winnipeg Photography Marianne Helm ss Len voir i an dernier un patient se pr sente aux services d urgence de l H pital Seven Oaks en se plaignant de douleurs la poitrine Apr s une br ve valuation le D Ricardo Lobato de Faria le m decin de garde ce moment et m decin chef de l H pital Seven Oaks pense que l homme a un probl me de rythme cardiaque irr gulier aussi appel arythmie cardiaque Deux raisons peuvent expliquer cette situation explique le D Lobato de Faria en parlant de ce ca
7. 3 le d veloppement de nanoparticules th rapeutiques pour combattre le cancer et les maladies pulmonaires Profil de carri re Doctorat de l Universit de la Californie Davis Engineering et San Francisco biom decine Bourse postdoctorale la Harvard Medical School et au MIT de Cambridge Massachusetts Professeur adjoint au d partement de g nie m canique et des proc d s de fabrication facult de g nie et au d partement de biochimie et de g nie biom dical facult de m decine Universit du Manitoba Prix et r alisations Titulaire de la bourse d tudes D Moore House de la Diabetes Foundation of Manitoba z a Titulaire de huit bourses pour 2 la mise sur pied du programme de g nie k tissulaire de l Universit du Manitoba oi Membre actif au sein de la Soci t canadienne des biomat riaux et membre du Tissue Engineering Group et de la Tissue Engineering and Regenerative Medicine Society i Il a crit plus de 20 articles dans des revues scientifiques avec comit de lecture notamment Biomacromolecules Nanomedicine Journal of Materials Chemistry Polymer Lab on Chip Langmuir et le Journal of Biomechanical Engineering seront les m mes sur des humains pr cise le D Halayko On peut avoir la souris la plus en sant au monde mais si on commence vous donner le m me m dicament on peut faire chou blanc Ce probl me est tr s courant On parle du
8. Badigeonner la p te avec la dorure l uf et faire deux incisions sur le dessus Placer sur une plaque cuisson et cuire au four environ 45 minutes ou jusqu ce que la p te soit dor e et que la garniture bouillonne Saumon r Ingr dients 2 gros filets de saumon 1 tasse de quinoa 1 2 tasse de bouillon de l gumes ou de poulet 2 c soupe d huile d olive 1 gousse d ail minc e 2 tasse chacun de poivron rouge et de poivron vert 6 c soupe de vinaigre balsamique 4 c soupe de miel 2 C th de poivre noir 2 C th de flocons de piment facultatifs Pr paration Faire chauffer le four 425 F Dans une casserole moyenne amener le bouillon bullition puis ajouter le quinoa Remuer et r duire le feu moyen doux Couvrir et laisser mijoter sans remuer jusqu ce que le liquide soit absorb et que le quinoa soit tendre environ 15 20 minutes Combiner le vinaigre balsamique le miel et le poivre et m langer au fouet Utiliser 3 c soupe du m lange pour enduire les filets de saumon et mettre de c t le reste pour verser sur le plat une fois termin Verser 1 c soupe d huile d olive sur le saumon et le placer dans un plat de cuisson recouvert de papier d aluminium ou parchemin Mettre au four 15 20 minutes selon l paisseur du poisson Faire chauffer le reste de l huile d olive dans une po le et faire sauter l oignon l ail et les poivrons pour
9. ajoutant que cela peut mener une d faillance cardiaque Dans le cadre de ses recherches elle tudie les m canismes qui permettent au sang de circuler dans les poumons pour assurer l oxyg nation en portant une attention particuli re des substances comme la thromboxane et la prostacycline Les cellules produisent la thromboxane en r action des l sions et s ensuit une inflammation Avant la naissance alors que le b b ne respire pas encore et est oxyg n travers le placenta la thromboxane emp che le c ur de pomper le sang vers les poumons encore inactifs Apr s la naissance toutefois les taux de thromboxane devraient diminuer alors que les taux de prostacycline devraient augmenter pour que les vaisseaux sanguins s ouvrent et que le sang atteigne les poumons Il n est pas facile d utiliser ces substances pour traiter l hypertension pulmonaire L limination pure et simple de la thromboxane n est pas une option puisqu elle joue un r le essentiel dans la coagulation Il est de plus d licat d administrer de la prostacycline un b b parce que cela diminue sa tension art rielle g n rale Au moyen d un mod le animal et de cultures cellulaires la D Dakshinamurti examine le r le d une mol cule appel e AMP cyclique qui envoie le message aux cellules de contracter les muscles cardiaques et de dilater les vaisseaux sanguins des poumons La D Dakshinamurti s est fix comme objectif d am liorer le traitement de
10. des ann es des essais cliniques sur des humains Il sera tr s difficile d obtenir une approbation pour utilisation sur des humains dit il L intervention doit tre s curitaire pour la m re et l enfant C est bien de pouvoir r parer les poumons du b b mais si la m re d veloppe un cancer du poumon ou autre chose nous avons de toute vidence un probl me Je serai heureux si ces travaux sont termin s lorsque je prendrai ma retraite propos du Groupe de biologie de la respiration Le Groupe de biologie de la respiration est relativement nouveau dans le milieu de la recherche au Manitoba Cr en 2003 et financ annuellement par le Manitoba Institute of Child Health le groupe a pour mandat de r unir sous un m me toit certains des meilleurs chercheurs au monde dans le domaine des maladies pulmonaires infantiles Actuellement le groupe compte 15 CHERC Ruben Alvaro M D re a Le D Alvaro est n onatologiste et professeur agr g en p diatrie et sant de l enfant l Universit du Manitoba Ses activit s professionnelles comprennent l ducation la recherche et les soins cliniques Ses travaux de recherche portent sur le contr le de la respiration chez les f tus et les nouveau n s et il tudie le ph nom ne de l apn e du pr matur qui am ne parfois les enfants n s avant terme cesser de respirer Ses travaux ont des r percussions cliniques car ils d montrent que l expositio
11. l hypertension pulmonaire avec des m dicaments que connaissent d j les p diatres plut t que de viser un projectile d argent qui pourrait exiger de nombreuses ann es de mise au point Un des traitements envisag s est un m dicament pour le c ur la milrinone qui aide le c ur mieux pomper le sang et contribue aussi s assurer que la prostacycline naturelle dont le b b a besoin pour garder les art res pulmonaires d gag es agit efficacement La milrinone emp che la d gradation de l AMP cyclique la mol cule sur laquelle travaille la D Dakshinamurti dans son laboratoire Fsi possible qu une chose aussi simple qu une dose de vitamine D administr e aux femmes enceintes lors d un examen m dical de routine soit un quasi gage de b b s en meilleure sant la naissance C est l la grande question laquelle veut r pondre le D Bob Schroth dans le cadre du projet de recherche qu il m ne avec l aide financi re de la Manitoba Medical Service Foundation MMSF et du Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant Les bienfaits pour la sant de l administration pr natale de vitamine D sont de plus en plus vidents et la question consiste plut t d sormais savoir comment s y prendre pour s assurer que toutes les femmes enceintes en re oivent une dose suffisante pour la sant de leur b b Les travaux de recherche du D Schroth visent d terminer si l administration de doses lev es de vitamine D
12. personnel Leurs besoins peuvent tre tr s simples Ils peuvent avoir faim ils peuvent avoir besoin d aller la toilette ou ils peuvent avoir mal ajoute M Peers Cela peut sembler l mentaire mais la prestation de soins des r sidents ayant des besoins complexes est difficile m me dans la meilleure des situations et on peut parfois ne pas voir que les besoins fondamentaux peuvent tre la source de ces comportements chez les r sidents atteints de d mence dit M Peers De plus si on ne peut pas tablir le profil comportemental au fil du temps pour ensuite analyser les donn es les fournisseurs de soins peuvent ne pas remarquer les sch mes de comportement Les comportements peuvent sembler al atoires si les donn es ne sont pas connues Cependant le syst me MDS peut r v ler qu un type de comportement est provoqu par des probl mes relativement inoffensifs et banaux qui sont souvent facilement r gl s Une fois que l on s attaque la source du comportement ce comportement diminue dit il Mais si on est incapable de voir la v ritable source du probl me on ne peut pas trouver de solution Gr ce au projet FORCES toutes les donn es recueillies sur les r sidents cibl s ont t soigneusement explor es Elles ont t class es analys es puis rendues accessibles Au fur et mesure que le projet progressait les membres du personnel et de la direction ont t tenus au cou
13. Ne pas boire d eau non trait e y compris les gla ons dans les boissons faut apporter du mat riel pour purifier l eau comme un filtre Un purificateur des comprim s de chlore ou d iode ou encore une casserole et un r chaud pour faire bouillir eau Si vous achetez un filtre ou un purificateur d eau choisissez Un appareil qui peut filtrer les organismes aussi petits que ceux qui causent le giardia le chol ra et la dysenterie amibienne Les filtres eau n liminent pas les virus comme ceux de l h patite A ou les norovirus e Transporter un litre d eau purifi e viter les aliments et les boissons vendues dans la rue e Ne manger que des aliments qui sont cuits et qui sont encore chauds ou encore des fruits et des l gumes que l on p le soi m me e Ne pas manger de poisson de mollusque ni de crustac cru ou partiellement cuit y compris du ceviche Les poissons mollusques et crustac s enti rement cuits sont s curitaires n est pas recommand de se brosser les dents avec de l eau non trait e L eau et les boissons gaz ifi es l eau embouteill e le vin et la bi re sont habituellement s curitaires sans gla on Il ne faut pas y ajouter de gla ons faits avec de l eau du robinet viter les produits laitiers crus Audra Kolesar est infirmi re autoris e et gestionnaire aupr s de Health Links Info Sant le service d information t l phonique en mati re de sant de la R gion san
14. Sis 2 DIABETES W Je Janvier f vrier 2012 7 DOSSIER SP CIAL UN INVESTISSEMENT Photography Marianne Helm K Les D Marissa Becker Bob Schroth Shyamala Dakshinamurti et Rakesh Arora ont tous t r compens s par le Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant et la Manitoba Medical Service Foundation en recevant un financement qui leur permettra de poursuivre leurs recherches dans leurs domaines respectifs A Y 4 P 5 La premi re est m decin l unit des soins intensifs de l h pital pour enfants Le second est un dentiste qui passe une partie de son temps dans une clinique o il enseigne aux enfants les bienfaits d une bonne sant buccale La troisi me est une clinicienne qui travaille la clinique de pr vention et traitement du VIH sida du Centre des sciences de la sant alors que le quatri me est chirurgien cardiologue et cofondateur d une organisation nationale dont la mission est d aider les patients cardiaques Ces professionnels ont beau uvrer dans des secteurs diff rents du syst me de sant ils sont tous les quatre habit s par cette m me volont d am liorer la prestation des soins aux Manitobains C est pourquoi entre autres choses ils ont chacun obtenu une chaire de recherche clinique gr ce la cr ation d un partenariat sp cial entre la Manitoba Medical Service Foundation MMSF et le Conseil manitobain de la recherc
15. adopter un protocole normalis de d pistage du d lire au chevet des patients hospitalis s apr s une chirurgie cardiaque Ce faisant nous pourrons non seulement constater quel point ce probl me est courant mais aussi savoir quels patients sont susceptibles d tre d lirants Depuis 2010 les quipes soignantes en chirurgie cardiaque appuient les efforts d ploy s pour valuer les patients et en apprendre plus sur le d lire dit il en pr cisant que la r ussite de ce programme d pendra en bonne partie de notre capacit y rallier nos quipes Pour amorcer ses travaux de recherche le D Arora commencera par utiliser les donn es recueillies l unit des soins intensifs cardiaques et au d partement des services postop ratoires aux patients hospitalis s depuis 2010 ann e laquelle les infirmi res ont commenc utiliser la Confusion Assessment Method ou CAM une technique permettant d valuer le niveau de confusion pour tablir le d lire Depuis l adoption d un programme de d pistage syst matique du d lire nous avons d termin que plus ou moins un patient sur cinq souffre de d lire apr s une intervention cardiochirurgicale Le D Arora pr voit tudier les diff rences entre les patients jug s d lirants au moyen de la CAM et ceux chez qui aucune forme de d lire n a t d tect e Il entend cr er l aide de cette information une fiche simple dont les m decins pourront se servir pour id
16. aromatis ciboulette et oignon l gumes du jardin fines herbes et ail poivron rouge grill saumon fum pinards to mates s ch es au soleil et basilic Les ufs que renferment ils de bon pour vous e Prot ines essentielles la formation et la r paration du tissu musculaire e Choline un l ment nutritif essentiel qui joue un r le important dans la fonction c r brale e Lut ine et z axanthine aident pr venir la d g n rescence maculaire li e l ge e Vitamine A favorise des tissus dermiques et oculaires sains e Vitamin B12 contribue prot ger des maladies cardiaques e Vitamin D pour des dents et des os forts Pour conna tre d autres d licieuses recettes base d ufs consultez le lo Manitoba EEEE site www eggs mb ca Egg Farmers WE LOVE WHAT WE DO PRE LENCDT DOUTE hr Table des mati res Actualit s M decine de pointe Des scientifiques de l Universit du Manitoba utiliseront bient t des tissus artificiels pour tester des m dicaments base de nanoparticules La cl du succ s Un projet de recherche permet de r duire la consommation de m dicaments dans un foyer de soins de longue dur e Clic Le syst me DossiE Manitoba permet d avoir acc s rapidement aux renseignements m dicaux Chroniques Une lettre de la R gion sanitaire de Winnipeg Le pouvoir de l innovation La sant coeur Une infirmi re au bout du fil En mouvement R veil
17. aux femmes enceintes lors de leurs visites chez le m decin est une fa on efficace de proc der Le projet a t mis sur pied dans la foul e du rapport du groupe de travail sur la strat gie en mati re de sant maternelle et n onatale en 2007 dans lequel on recommandait d administrer 100 000 UI de vitamine D aux femmes enceintes La vitamine D est de plus en plus reconnue comme un l ment indispensable de la sant bien des gards tant au cours de l enfance que tout au long de la vie Ses bienfaits entre autres choses vont de la robustesse des os un meilleur quilibre et une incidence moindre de la d pression en passant par une meilleure sant bucco dentaire Cet apport compl mentaire est particuli rement important pour les Canadiens indique le D Schroth Nous habitons un pays nordique o durant la moiti de l ann e l angle du soleil au dessus de l horizon nous emp che de profiter de la vitamine D du rayonnement solaire dit il Le D Schroth indique que plus de 280 femmes participent au projet Le D Schroth est professeur au d partement de p diatrie et de sant infantile de la facult de m decine de l Universit du Manitoba en plus d tre membre du d partement de prophylaxie dentaire de la facult de m decine dentaire Approch es lors d une visite au service de consultations externes de l h pital pour femmes ces participantes ont t r parties en deux groupes un groupe exp rimental et un groupe
18. avait fait de m me Nous avons eu une excellente participation de tout le monde au foyer Middlechurch affirme t elle Nous n avons pas eu tous les employ s car il est souvent difficile de le faire dans un foyer mais les r sultats ont t tr s bons Par la suite il fallait appliquer les m thodes du mod le P LE C E S aux soins fournis aux r sidents du foyer M Sinclair et Mme Puchniak ont commenc par rencontrer la direction les m decins et le personnel infirmier pour identifier les patients qui taient de bons candidats retirer graduellement de la m dication Ensemble nous avons choisi un ou deux r sidents qui pouvaient vraisemblablement cesser de prendre des antipsychotiques au fil du temps et nous avons commenc mettre en application le mod le de pens e et de soins P LE C E S mentionne M Sinclair Revenons aux caucus Les br ves r unions ont commenc en avril et taient tenues un moment opportun pour le personnel d un quart de travail Au d but M Puchniak et Mme Sinclair ont apport leur aide pour les diriger La recherche men e par Joe Puchniak et Cynthia Sinclair montre comment on peut r duire l utilisation de m dicaments dans les foyers de soins de longue dur e Pour commencer ils d terminaient les comportements des r sidents pour obtenir une base de r f rence qui leur permettrait d valuer les comportements tout au long de l tude Pour ce faire ils on
19. avec des ateliers d apprentissage et du mat riel offerts gratuitement Le 5 f vrier l activit Snow Trek aura lieu au centre r cr atif Harbourview et le 12 f vrier ce sera au Centre nordique du parc Windsor et au Mus e nature de la Prairie Pour obtenir plus d information visitez le site Web winnipeginmotion ca ou composez le 204 940 3648 Vous sortirez de votre hibernation sans trop de difficult s pour conqu rir les froides journ es hivernales et vous ne vous en porterez que mieux Amy Tibbs est coordonnatrice aupr s de Winnipeg en mouvement Trouver la parfaite activit hivernale En hiver on peut pratiquer une foule d activit s ext rieures pour avoir du plaisir et garder la forme Peu importe votre exp rience ou voire condition physique vous trouverez s rement une activit qui vous convient dans la liste de nos activit s pr f r es PATIN C est une activit cardiovasculaire qui convient parfaitement aux hivers de Winnipeg Lorsque le temps le permet vous pouvez fr quenter l une des nombreuses patinoires ext rieures des centres communautaires ou des parcs de la ville Par temps trop froid vous pouvez opter pour l une des 13 patinoires int rieures durant les heures de patinage libre Visitez le site Web www winnipeg ca cherchez pleasure rinks ou consultez la page 35 du Guide Loisirs 2012 Voici quelques autres excellentes suggestions pour le patin l tang des canards du parc Assiniboine
20. d mence Ces co ts devraient plus que doubler d ici 2018 pour atteindre les 37 milliards de dollars et on pr voit qu ils monteront en fl che pour atteindre les 153 milliards de dollars en 2038 lorsqu environ 1 1 million de Canadiens auront une maladie associ e la d mence S OCCUPER DE LA compagnie de coll gues du Programme des foyers de soins de longue dur e de la R gion notamment l ducateur r gional et le personnel infirmier sp cialis ont pr par une version condens e de la formation sur le mod le P LE C E S l intention de tous les employ s du personnel infirmier jusqu au personnel responsable de l entretien Nous voulions prendre la formation sur le mod le P LE C E S et la transformer un peu pour pouvoir la mettre en application tous les employ s du foyer dit M Sinclair Cela pouvait tre fait rapidement sans trop d ranger le d roulement des activit s au foyer En partenariat avec Joyce Klassen de la Soci t Alzheimer du Manitoba nous avons offert la formation en six modules de plus ou moins une heure Nous l avons fragment e pour r pondre leurs besoins Apr s avoir rencontr la direction en janvier dernier et avoir obtenu le feu vert M Puchniaket Me Sinclair ont commenc les s ances de formation la fin f vrier la fin mars la presque totalit des employ s temps plein avaient suivi la formation et plus de la moiti de tout le personnel
21. demande au personnel d appeler Victoria puis nous attendons Le personnel de l h pital nous transmet ensuite par t l copieur une autorisation de divulguer des renseignements que je dois signer et retourner Nous attendons ensuite de recevoir l information Entre temps le patient doit retourner dans la salle d attente Maintenant lorsque le m me patient parle de ses analyses sanguines faites l H pital Victoria le D Fatoye peut simplement y jeter un coup d il son ordinateur Ce qui prenait auparavant 30 minutes ou m me parfois une heure se fait maintenant sans tarder Parfois la recherche des r sultats de laboratoire est si longue qu une autre s rie de tests est demand e pour des patients ce qui entra ne l administration de tests inutiles et une augmentation des co ts pour tout le r seau de la sant Une autre situation courante se produit lorsqu un patient demande un renouvellement d ordonnance Un patient peut prendre 10 m dicaments Lorsque je lui demande de quel il s agit il me r pond la petite pilule bleue Avec le Dossi le D Fatoye peut voir tous les m dicaments et peut savoir quels m dicaments ont t prescrits par quels m decins Le D Lobato de Faria reconna t que l utilisation du Dossi am ne maintenant deux d fis Un de ces enjeux est d au fait que le Dossi n est pas encore int gr aux syst mes informatiques utilis s par
22. deux groupes de femmes dans la quarantaine Les femmes des deux groupes ont t encourag es manger sainement et faire de l activit physique Dans un groupe l accent a t mis sur la perte de poids L autre groupe a utilis une approche appel e Health at Every Size HAES un mouvement qui consiste accepter son corps sans essayer de perdre du poids en apprenant couter les signaux de la faim et de la sati t Apr s deux ans au moment du suivi les femmes qui taient dans le groupe la di te ne mangeaient pas mieux n taient pas plus actives physiquement et vivaient un sentiment d chec parce qu elles avaient perdu du poids qu elles ont repris par la suite En revanche les femmes qui avaient adopt l approche Health at Every Size affichaient un poids stable mangeaient mieux taient plus actives et se sentaient mieux dans leur peau En ayant une image positive de leur corps et d eux m mes les gens trouvent la motivation d adopter des habitudes saines ou d am liorer leurs habitudes De nombreuses autres tudes indiquent que la saine alimentation et la pratique d activit s physiques ont un effet positif sur la tension art rielle la glyc mie et le taux de cholest rol et r duisent les risques de cancer et de maladies du c ur m me sans perte de poids Conclusion pour tre en sant il faut faire le plein d nergie tre actif se sentir bien mentalement et avoir une vie quilibr e Les
23. deuxi me obstacle sur le plan du transfert des connaissances Voil pourquoi un si grand nombre de m dicaments qui pourraient mener des cures pour l asthme le cancer ou d autres maladies ne voient jamais le jour Les co ts pour franchir cette tape sont exorbitants C est ici qu entre en jeu l appareil d lectrospinning du D Xing Bien que cette technologie soit utilis e dans le monde entier l appareil du D Xing diff re l g rement En effet le D Xing a modifi la conception de l appareil pour cr er de petits tubes qui permettent la fabrication de voies respiratoires humaines simul es La mati re fibreuse qui est produite fait parfaitement le pont entre les essais de m dicaments sur des animaux et les essais cliniques sur des humains Cet chafaudage de tissus permettra de tester des m dicaments pour des probl mes pulmonaires pour un patient en particulier en faisant un essai sur un chafaudage cr avec les cellules des voies respiratoires de cette personne pour voir si le m dicament fonctionne sur ses tissus pulmonaires avant de lui donner le m dicament La beaut de cette technique r side dans le fait qu elle pourra ultimement tre utilis e pour tout organe tubulaire l intestin les vaisseaux sanguins etc Nous avons non seulement mis cette technique en application pour les voies respiratoires et l asthme mais aussi pour les transplantations cardiaques et les greffes de peau artificielle a
24. devraient suivre et lesquelles ignorer Our Bodies Ourselves Boston Women s Health Book Collective Ce livre est la ressource que consultent les femmes de tous les ges pour en savoir plus sur leur corps leur sexualit et leur sant g n sique Cette dition enti rement r vis e et mise jour renferme les renseignements el les outils dont les femmes ont besoin pour prendre des d cisions clair es au sujet de leur sant Ce manuel contient des donn es probantes pr cises des observations de sp cialistes r put s et des t moignages de femmes qui ont accept de partager leurs exp riences The Complete Diabetes Guide for Type 2 Diabetes Karen Graham Vous trouverez dans ce livre l information que vous recherchiez au sujet du diab te pr sent e dans une forme facile comprendre et reposant sur des donn es aussi pr cises exactes et actuelles que possible Apprenez comment pr venir ou att nuer les complications li es au diab te qui affectent votre c ur vos reins vos yeux et vos pieds Cet ouvrage offre un mode d emploi simple en sept tapes destin vous faciliter la vie et vous permettre de vivre heureux et en sant malgr le diab te Ce livre renferme de d licieuses recettes r parties selon un plan de repas hebdomadaire complet Healthy in Germ Filled World A Gue fs PARENTS MD PhD MPH THE DE TH ANG INEPININE y INPORMINE DELLE GLAR kG DL LT AN ACROSS g ENEMA INg aa
25. du 17 au 26 f vrier Pour de plus amples renseignements www festivalvoyageur mb ca D fi sportif Ice Donkey Pourquoi attendre au printemps pour aller s amuser dehors Venez profiter de la neige et de la glace l occasion du d fi sportif Ice Donkey Vous pouvez participer en solo ou en quipe de deux personnes cet v nement multisports qui mettra l preuve vos capacit s en raquettes en v lo sur glace la course et en patins Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire www swampdonkeyar com Janvier f vrier 2012 35 NI D a N y N KI N N N 5 5 E ANA TT ON Mesures de pr caution Les activit s hivernales peuvent tre tr s amusantes mais la neige et la glace peuvent accro tre les risques de glisser et de faire une chute Voici quelques conseils pour rester en s curit en pratiquant une nouvelle activit Faire une mise en train Un bon chauffement pr pare le corps l exercice et r duit les risques de blessure en augmentant le d bit sanguin dans les muscles utilis s Consacrez de 5 10 minutes l chauffement en balan ant les bras et en bougeant les jambes comme pour patiner skier ou faire de la raquette Commencer doucement Apr s un chauffement g n ral passez les 10 premi res minutes d activit sans vous presser et augmenter graduellement la cadence pour atteindre un niveau d intensit de mod r vigoureux Si vous faites l essai d
26. en ce qui concerne les osinophiles humains et leur r le dans les maladies des voies respiratoires Ses travaux portent principalement sur la compr hension du fondement immunologique et biochimique de Un jour peut tre lorsqu on racontera l histoire de la d couverte d une cure pour l inflammation asthmatique et du r le de cette inflammation dans la r gulation de la r action immunitaire Il tudie les m canismes intracellulaires qui entra nent la d granulation et la lib ration de m diateurs dans divers types de cellules immunitaires et inflammatoires apr s l activation Il tudie en outre la fa on dont les m diateurs d riv s des osinophiles affectent les cellules des poumons humains comme les cellules pith liales et les muscles lisses des voies respiratoires et contribuent la pathogen se de l asthme Hans Pasterkamp M D R sum Fa Rte Le D Pasterkamp est professeur et chef de la pneumologie p diatrique Ses recherches novatrices portent principalement sur la fa on de diagnostiquer les maladies des voies respiratoires chez les enfants Dans un domaine d investigation et avec ses associ s en recherche il a travaill l avancement des connaissances sur l acoustique respiratoire et au d veloppement d une analyse sonore informatis e de la respiration pour le diagnostic de maladies respiratoires comme l asthme la bronchiolite et la fibrose kystique Il travaille en troite collaboration avec des
27. fonctions d assureur du MMS ont perdu leur pertinence apr s la cr ation du syst me de soins de sant universel du Canada et l arriv e de la Croix bleue au Manitoba qui permettait de s assurer relativement aux services non couverts par le r gime d assurance maladie public Apr s la dissolution du MMS dans les ann es 1970 les fonds qui restaient dans ses coffres pr cis ment 455 697 au total ont permis de cr er cette fondation qui allait servir financer la recherche et l ducation en m decine au Manitoba Le portefeuille de la MMSF a pris de l ampleur et atteint approximativement 8 4 millions de dollars indique le D Hammond La Croix bleue du Manitoba continue de jouer un r le important gr ce ses pr cieux conseils d affaires et au niveau des apports en capitaux des subventions de recherche et des frais d administration Le Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant un organisme financ par le gouvernement provincial charg de favoriser la recherche fondamentale clinique et appliqu e unissait ses forces celles de la MMSF en 2009 Christina Weise la directrice g n rale du CMRS explique que ce partenariat a permis d largir le programme de chaires de recherche clinique Gr ce ce partenariat nous avons pu augmenter le nombre et l ventail de chercheurs cliniciens engag s dans des recherches m dicales de premier plan au Manitoba d clare Mme Weise Le pr sent do
28. foyer Middlechurch Il y a moins d un an tous les r sidents dont on parlait durant les caucus hebdomadaires prenaient des m dicaments antipsychotiques pour r duire l incidence de leurs comportements probl matiques Gr ce aux caucus ils n ont plus besoin de prendre ces m dicaments Il en r sulte une utilisation plus efficace des ressources et plus important encore la qualit de vie des r sidents du foyer est am lior e Ce changement ne s est pas produit accidentellement Il est plut t l aboutissement d un projet de recherche entrepris par deux membres du personnel de la R gion sanitaire de Winnipeg qui vise d montrer comment on peut utiliser des donn es pour aider am liorer les soins fournis aux patients dans les foyers de soins de longue dur e Voil un excellent exemple qui montre comment la R gion fait preuve d innovation pour am liorer la qualit des soins fournis dans la collectivit que ce soit dans ses propres tablissements ou par l entremise de partenaires comme le foyer Middlechurch Le projet de recherche a t con u et labor par Joe Puchniak et Cynthia Sinclair dans le cadre d un programme de bourses appel Formation en utilisation de la recherche pour cadres qui exercent dans le secteur de la sant FORCES M Puchniak est travailleur social de formation et g re le syst me RAI MDS et l Aide la prise de d cision pour le Programme des foyers de soins de longue
29. la gestation les f tus n utilisent pas leurs poumons La m re fournit au b b du sang oxyg n par le placenta l occasion de l chographie un examen courant fait 20 semaines de grossesse les m decins peuvent diagnostiquer ce probl me car ils peuvent voir les intestins remonter dans l ouverture pr sente dans le diaphragme Nous savons 20 semaines que le b b aura des probl mes apr s sa naissance et nous ne pouvons faire rien d autre que d attendre avant d intervenir explique le D Keijzer qui est originaire des Pays Bas L ouverture peut tre referm e chirurgicalement apr s la naissance Si les poumons ne sont pas bien d velopp s ils ne pourront pas oxyg ner suffisamment le sang et les cellules de l organisme n obtiendront pas l nergie n cessaire leur d veloppement normal Les poumons ont de la difficult se d velopper normalement et nous tentons de comprendre pourquoi ajoute t il Ce qui a commenc par un probl me in utero se transforme une d ficience permanente L autre traitement possible consiste op rer le b b dans l ut rus par une chirurgie laparoscopique pratiqu e l aide d une cam ra qui guide le chirurgien Bien que l intervention soit invasive elle est similaire la chirurgie arthroscopique Une seule petite incision est faite la m re et le chirurgien pratique ensuite une incision dans l ut rus pour avoir acc s au b b Une d
30. le personnel des services d urgence Toutefois ce sera ventuellement fait et le syst me deviendra plus facile utiliser dans ces services L autre difficult est li e au fait qu il y a encore des lacunes quant l information qui est accessible par l entremise du Dossi Beaucoup d autres choses vont ressortir au fur et mesure que le Dossi et les autres syst mes seront int gr s pr voit il Comme tous les laboratoires ne font pas partie du projet l information comportera des lacunes Plus il y aura de laboratoires moins il y aura de lacunes Pourtant le Dossi est d j tr s utile aux services d urgence un point tel que d autres coll gues l utilisent J ai deux autres coll gues qui s en servent maintenant dit il Actuellement le Dossi est disponible dans 37 services hospitaliers d urgence cabinets de m decin cliniques m dicales et centres d acc s dans tout le Manitoba D autres points d acc s seront ajout s avec le temps et d autres genres de renseignements seront aussi ajout s la base de donn es Il s agit de fournir les bons renseignements au bon endroit et au bon moment affirme Liz Loewen la directrice de la coordination des soins pour le Programme de cybersant du Manitoba Tout ce que l on peut faire pour am liorer le fonctionnement de ces syst mes pour les cliniciens est une bonne chose Lors de la plus r cente mise niveau du
31. les rendre assez tendres Ajouter le quinoa cuit et m langer ensemble Verser le reste du miel et du vinaigre balsamique et bien m langer Servir avec les filets de saumon Je pr vois prendre des vacances dans le sud cet hiver o pourrais je obtenir de l information sur la vaccination et les autres questions li es la sant La meilleure chose faire serait de communiquer avec votre m decin ou avec la Clinique sant voyage de la R gion sanitaire de Winnipeg situ au 490 rue Hargrave Voici les services offerts par la clinique selon son site Web valuation compl te des risques sanitaires pour les voyageurs e Tous les vaccins n cessaires recommand s et syst matiques et la documentation connexe e Vaccination sur place e Information sur les mesures prendre pour rester en sant et en s curit durant Un voyage y compris mais non exclusivement de l information sur la pr vention des maladies qui touchent les voyageurs comme la malaria l h patite et la diarrh e des voyageurs e Prescriptions de m dicament pour la pr vention de la malaria le mal de l altitude et la diarrh e e Vente de produits m dicaux pour les voyageurs Toutes les consultations la clinique se font sur rendez vous seulement Il est pr f rable de prendre rendez vous au moins six huit semaines avant le d part Bien que certains vaccins puissent tre administr s dans un court d lai la plupart des va
32. personnels Dans une situation d urgence si une personne ayant demand la non divulgation de ses renseignements m dicaux n est pas en mesure d autoriser l acc s son dossier un m decin a le pouvoir de d roger la directive de non divulgation si n cessaire Cependant le syst me enregistre toutes ces d rogations et Un suivi est toujours effectu Durant la planification du syst me la protection des renseignements personnels a fait l objet de discussions dans des groupes de consultation ainsi que d une analyse profonde affirme Liz Loewen directrice de la coordination des soins pour le Programme de cybersant du Manitoba Beaucoup de personnes ont affirm qu elles n avaient pas l intention d utiliser la directive de non divulgation pour interdire l acc s leurs dossiers mais disaient qu il tait bon de savoir qu elles en avaient la possibilit dit elle Le syst me Dossi enregistre toutes les consultations faites dans un dossier de patient par un utilisateur et il est donc toujours possible de savoir qui a consult un dossier Les Manitobains peuvent demander un relev des fournisseurs de soins qui ont eu acc s leur dossier Le dossier lectronique est donc plus s curitaire qu un dossier papier affirme Me Loewen Il est impossible de savoir combien de fois un dossier papier a t ouvert et consult Voici la liste des renseignements disponibles en ligne l intention des profess
33. pr sentent une forme plus grave de confusion postop ratoire appel e d lire qui peut beaucoup nuire leur r tablissement Le D Rakesh Arora le codirecteur m dical de l unit des soins intensifs cardiaques de l H pital St Boniface est le fer de lance d un effort de pr vision et de pr vention du d lire chez les patients ayant subi une chirurgie cardiaque Titulaire r cent d une bourse des CMRS et MMSF la chaire de recherche clinique F W DuVal le D Arora entend utiliser cette aide financi re pour diriger une initiative nationale qui devrait permettre de d finir les caract ristiques du d lire postop ratoire et l att nuer Gr ce sa formation et son exp rience en chirurgie cardiaque et en soins intensifs le D Arora veut mettre l accent sur l optimisation des soins aux patients afin que l tat de sant d un patient b n ficie non seulement de la chirurgie cardiaque en tant que telle mais aussi de tous les gestes pos s avant et apr s l intervention C est l que les recherches sur le d lire entrent en jeu II y a longtemps que les professionnels de la sant connaissent ce ph nom ne mais ce n est que r cemment qu ils se sont mis y voir un facteur important du pronostic apr s une chirurgie cardiaque Nous parlions par le pass du syndrome post pompe cons cutif au branchement du patient un c ur poumon artificiel une complication que nous jugions temporaire et sans importance dit il
34. r sidents de Ces foyers pouvaient r v ler de l inormation sur l utilisation d antipsychotiques chez les r sidents et d terminer si cette utilisation pouvait tre r duite Il y a plusieurs ann es les fournisseurs de soins de sant commen aient recueillir des donn es sur les r sidents des foyers de soins de longue dur e et les r sidents qui re oivent des soins prolong s chez eux ou dans la collectivit Les donn es du syst me connu sous le nom de MDS RAI Minimum Data Set Kesident Assessment instrument sont compil es quatre fois par ann e afin d valuer les besoins des personnes en mati re de sant Il s agit d une valuation en profondeur qui aborde les aspects physiques comme la fa on dont les gens s habillent et s alimentent ainsi que les aspects psychologiques comme les interactions avec les autres personnes de l tablissement les structures cognitives telles que la m moire court et long terme ainsi que la m dication explique M Puchniak M Puchniak et Mme Sinclair savaient que le syst me MDS un syst me normalis de collecte d information sur la sant utilis dans de nombreux pays industrialis s pouvait aider les travailleurs de premi re ligne et les cadres am liorer les soins fournis aux r sidents tout en utilisant les ressources efficacement Le programme FORCES leur a donc permis de faire la preuve de ses bienfaits Cynthia Sinclair mentionne que
35. t moin Les femmes du groupe exp rimental re oivent deux doses de 50 000 UI de vitamine D la premi re au second trimestre et la deuxi me au troisi me trimestre en plus de l apport habituel recommand pendant la grossesse sous forme de multivitamines avec vitamine D et d aliments sains Les femmes du groupe t moin ont droit aux m mes soins pr nataux aux m mes recommandations en termes de saines habitudes alimentaires et de multivitamines mais elles n ont pas droit aux deux fortes doses de vitamine D Les taux de vitamine D sont ensuite mesur s la naissance en analysant le sang contenu dans le cordon ombilical afin d valuer les effets de l apport compl mentaire en vitamine D On examine par la suite les b b s un an pour valuer leur sant buccale comme leur tat de sant g n ral et v rifier leur d veloppement Selon le D Schroth parce que ce ne sont pas toutes les futures mamans qui ont acc s aux aliments sant l administration de ces deux fortes doses suppl mentaires de vitamine D para t justifi e De plus certaines femmes enceintes peuvent parfois avoir de la difficult ing rer leurs comprim s en raison des vomissements de la grossesse et puis tout le monde peut oublier de prendre ses vitamines l occasion Moi y compris dit il Je garde mes comprim s de vitamine D c t de ma brosse dents pour tre certain de les voir et pourtant il m arrive d oublier Les r sultats
36. traitement antibiotique les voyageurs infect s peuvent d velopper des sympt mes plus graves tels qu une forte fi vre une diminution de la fr quence cardiaque et une augmentation du volume du foie et de la rate La vaccination peut r duire le risque de d velopper la fi vre typhoi de sans toutefois l liminer Ainsi les voyageurs doivent prendre des pr cautions lorsqu ils mangent et boivent de l eau durant Un s jour au Mexique en Am rique centrale ef dans les Cara bes H patite A Selon le site de Sant Canada l h patite A est courante au Mexique et en Am rique centrale et peut toucher le foie avec un niveau de gravit variable Les sympt mes comprennent la fi vre la fatigue des douleurs abdominales et des urines fonc es Les voyageurs contractent g n ralement l h patite A en buvant de l eau non trait e ou en mangeant des aliments qui n ont pas t pr par s ad quatement La maladie peut tre transmise sexuellement Les gla ons faits partir de l eau du robinet peuvent repr senter un risque de transmission de la maladie dans certains pays H patite B Ce virus se transmet souvent par voie sexuelle ou par l utilisation de mat riel d injection non st rilis que ce soit dans le domaine des services personnels tatouage per age corporel acupuncture ou le milieu des soins de sant Le virus infecte le foie et peut entra ner une maladie h patique chronique Une cirrhose ou Un ca
37. utilis es de diverses fa ons titre d exemple un cran solaire est compos de nanoparticules qui contiennent du dioxyde de titane l ingr dient actif qui prot ge la peau contre les effets nocifs du soleil Au cours des derni res ann es on s est int ress de plus en plus l utilisation des nanoparticules pour l administration des m dicaments d ordonnance On pense que ces petites entit s pourraient tre le v hicule id al pour acheminer les m dicaments car elles sont minuscules se dissolvent facilement et peuvent aller partout dans l organisme Maintenant qu il est possible de cr er des tissus artificiels le D Halayko explique que son groupe esp re pouvoir tester des m dicaments base de nanoparticules d ici trois ans Si tout se d roule comme pr vu le Groupe de biologie de la respiration jouera un r le de premier plan dans le domaine en mettant l essai et en d veloppant des m dicaments qui pourraient un jour servir traiter des maladies allant de l asthme au cancer du poumon Les r percussions sont tr s nombreuses ajoute le D Halayko On pourrait ouvrir la porte une toute nouvelle m decine personnalis e qui nous permettrait de tester des m dicaments sur les tissus des patients avant m me de faire des tests sur les patients eux m mes Les recherches men es Winnipeg pourraient contribuer acc l rer de plusieurs ann es le d veloppement de nouveaux m dicaments sal
38. 204 784 7000 s St John s Ambulance Therapy Dog i PA li i d 1 j A Er d mn f ee F l T j ET p iy y Te ta j sa DI t E ba d af 1 J i r pa GE meilleures relations avec leurs amis et leur famille et continuent de recevoir du soutien de ces personnes Les animaux peuvent m me nous aider tablir des liens avec d autres personnes car ils peuvent nous aider briser la glace et de faire la conversation avec de nouveaux amis O VOISINS Vous n avez pas d animal de compagnie Des allergies votre situation financi re le manque de temps ou une incapacit vous occuper ad quatement d un animal peuvent faire en sorte que vous n tes pas en mesure d avoir un animal de compagnie Il est toutefois possible de passer gratuitement du temps de qualit avec des animaux en devenant b n vole un refuge pour animaux Ces refuges ont toujours besoin de l aide de b n voles La Winnipeg Humane Society et D Arcy s ARC sont deux des refuges de la r gion qui font appel des b n voles Vous pouvez aussi passer du temps avec des animaux en offrant un voisin d aller promener son chien ce service pourrait lui tre bien utile ou en prenant quelques minutes pour caresser le chat d un voisin que vous croisez sur le trottoir Partez la d couverte du Services Website www sja ca Manitoba CommunityServices Programs Pages TherapyD
39. Canada en biologie mol culaire et cellulaire des voies respiratoires mandat de 5 ans renouvel en 2011 1111 tre Membre d conseil d administration Conseil manifobain de la recherche en mati re de sant 2006 aujourd hui gt du Integrated and Mentored Pulmonary and Cardiovascular Training IMPACT Program IRSC 2008 aujourd hui gt conseil d administration Association pulmonaire du Manitoba pr sident comit de la recherche Membre du conseil d administration Soci t canadienne de thoracologie pr sident comit de la recherche 2010 aujourd hui gt conseil d administration de l American Thoracic Society pr sident lu Respiratory Structure amp Function Assembly BIO D Malcolm Xing Le D Malcolm Mengaiu Xing est professeur adjoint au d partement de g nie m canique et des proc d s de fabrication de la facult de g nie et au d partement de biochimie et de g nie biom dical de la facult de m decine de l Universit du Manitoba Les recherches du D Xing portent sur le d veloppement de la nanotechnologie et de biomat riaux pour l ing nierie tissulaire et la nanom decine Ses projets de recherche en cours comprennent 1 la cr ation de nano chafaudages 3D et de cellules souches pour la reconstruction de voies respiratoires de greffons vasculaires d os et de peau 2 la conception d hydrogel injectable pour les maladies cardiovasculaires et orfhop diques
40. Ce n est toutefois pas le cas car on constate qu il s ensuit divers probl mes graves dont une hospitalisation prolong e une diminution de l autonomie et une hausse des taux de mortalit Bien que de nombreux patients prouvent un certain de degr de confusion apr s une anesth sie le d lire est une forme plus grave de dysfonctionnement c r bral qui survient habituellement un cinq jours apr s l op ration Un des probl mes qui entrave le processus d laboration de strat gies de traitement appropri es tient au fait qu un tat d lirant n est pas aussi vident qu on pourrait le croire Alors que certains patients entrent dans un d lire hyperactif qui les rend tr s agit s et perturbateurs de nombreux autres pr sentent un d lire hypoactif Ces patients sont tr s apathiques et l thargiques c est une forme de d lire qui passe souvent inaper ue mais qui peut avoir des effets tout aussi n fastes que le d lire avec agitation explique le D Arora On ne saisit par cons quent pas tr s bien l ampleur du ph nom ne du d lire chez les gens qui ont subi une intervention cardiochirurgicale les estimations variant de trois soixante dix pour cent Un autre des d fis que pose le d lire c est l absence d analyse sanguine qui permettrait de d terminer qu il y a un probl me au niveau du cerveau comme on peut le faire dans le cas du foie et des reins par exemple La premi re tape selon le D Arora sera d
41. a Sinclair et Joe Puchniak ne se sont pas montr s particuli rement pr occup s En fait ils s attendaient d s le d part ce r sultat Nous avions dit que les choses ne changeraient probablement pas car nos donn es indiquent que chez les r sidents des foyers qui prennent 28 Le Courant On fait une planification cr ative des soins et on labore une strat gie de prestation des soins qui favorise les comportements positifs chez les r sidents plut t que de mettre l accent sur les comportements n gatifs qui pourraient faire en sorte que le personnel r agisse en prescrivant des m dicaments antipsychotiques explique Joe Puchniak administrateur du syst me RAI MDS et de l Aide la prise de d cision pour le Programme des foyers de soins de longue dur e de la R gion sanitaire de Winnipeg de faibles doses d antipsychotiques les comportements ne diminuent pas vraiment mais ils n augmentent pas non plus M me sans une r duction des comportements probl matiques chez les r sidents qui participent au projet la qualit de vie de ces personnes s est am lior e simplement parce qu elles avaient cess de prendre des m dicaments qui sont associ s de nombreux risques et effets secondaires De plus ce qui est tout aussi important la diminution de la consommation de m dicaments se traduit par une r duction des co ts Les m dicaments antipsychotiques co tent cher Par exemple l olanz
42. aillent sur la ligne de front des soins de sant Janvier f vrier 2012 5 AS lt A Vt LA EN s Blo s Par Liz Kafynski ATIY 74 ans Gail Martin se dit plus en forme qu elle ne l a t depuis bien longtemps Mme Martin indique avoir perdu 70 livres au cours des quelques derni res ann es abaiss sa tension art rielle et appris comment contr ler sa glyc mie Je me sens mieux que je ne me suis pas sentie depuis des ann es affirme la grand m re de Winnipeg Et quand les gens me voient m me en comparaison de l ann e derni re seulement ils n en reviennent pas Demandez Mme Martin de vous r v ler le secret de sa sant retrouv e et elle vous r pondra par un seul mot T l Soins Cr il y a plusieurs ann es le service T l Soins emploie des infirmi res autoris es pour aider les clients cardiaques ou diab tiques non insulino d pendants mieux g rer leur tat Outre le suivi des patients les infirmi res aident les clients se fixer des objectifs comme diminuer leur hypertension contr ler leur glyc mie mieux manger et faire plus d activit physique Le programme dont le fonctionnement repose sur une troite collaboration avec 6 Le Courant les prestataires de soins de sant a t con u pour enseigner aux clients g rer eux m mes leur maladie indique Audra Kolesar la chef de projet clinique au Centre provincial de c
43. aiment l air bizarre ajoute le D Halayko On peut faire tourner encore et encore les nanofibres autour d un tube en rotation pour ventuellement obtenir une matrice de nanofibres qui accueillera des cellules Voil ce qui rend la chose si sp ciale Une fois le tube termin on peut y faire cro tre des cellules d un poumon humain Avec le temps ces cellules transformeront le tube en quelque chose qui ressemble des voies respiratoires humaines qui pourront servir la recherche Voil ce qui emballe le D Halayko et son quipe Gr ce l appareil du D Xing le Groupe de biologie de la respiration form et financ par le Manitoba Institute of Child Health et la Fondation de l H pital pour enfants se trouvera sous peu la jonction de deux tr s importantes tendances en recherche soit l utilisation de nanoparticules pour l administration de m dicaments d ordonnance qui suscite de plus en plus d int r t et la n cessit de TTL ST M Les D Richard Keijzer Malcolm Xing et Andrew Halayko du Groupe de biologie de la respiration devant une image fluorescente amplifi e d un m dicament li des nanoparticules administr une cellule pith liale d un poumon humain en culture mettre l essai ces m dicaments moins de frais en utilisant des tissus artificiels durant la phase de d veloppement Les nanoparticules sont essentiellement un assemblage de minuscules mol cules qui peuvent tre
44. ans affirme Joe Puchniak administrateur du syst me RAI MDS et de l Aide la prise de d cision pour le Programme des foyers de soins de longue dur e de la R gion sanitaire de Winnipeg M me s il n y a aucune augmentation de la proportion de la population atteinte de d mence le nombre de personnes dans ce groupe d ge augmentera et le syst me de soins de longue dur e devra faire face un afflux de personnes ayant besoin d aide Alors que les chiffres augmenteront il sera n cessaire de g rer efficacement les ressources pour fournir des soins aux personnes touch es par la d mence L utilisation d information comme les donn es du syst me MDS Minimal Data Set jouera un r le d terminant pour offrir des soins efficaces et de qualit Voici quelques chiffres prendre en consid ration 500 000 Nombre de Canadiens qui ont re u un diagnostic pour une maladie entra nant la d mence 103 700 Nombre de Canadiens qui re oivent chaque ann e un diagnostic de d mence Ce Chiffre quivaut une personne toutes les cinq minutes D ici 2038 on pr voit que ce sera une personne toutes les deux minutes ou 257 800 nouveaux cas chaque ann e 18 808 Nombre de Manitobains qui ont la maladie d Alzheimer ou une autre forme de d mence Environ 2 426 d entre eux ont moins de 65an 15 Montant en milliards de dollars d pens par le syst me de sant du Canada pour fournir des soins aux personnes souffrant de
45. apine co te environ 5 le comprim et peut tre pris jusqu trois fois par jour La somme de quinze dollars peut ne pas sembler importante mais si on la multiplie par des centaines de patients dans des dizaines de foyers pendant des jours des semaines et des ann es on obtient un montant d argent consid rable Cet argent pourrait tre utilis pour d autres initiatives visant am liorer le sort des r sidents atteints de d mence Toutefois pour les membres du personnel soignant et de la direction les changements apport s ont eu un autre effet encore vident aujourd hui Les membres du personnel se sentent maintenant en contr le et ont une meilleure impression face aux soins qu ils offrent affirme M Peers Si une personne est mise sous s datifs puissants sa qualit de vie est vraiment m diocre dit il en ajoutant que toutes les personnes qui travaillent au foyer taient au fait de cette situation Lorsque nous r duisons les antipsychotiques nous r duisons par le fait m me les chutes les blessures et les maladies et en bout de ligne les r sidents ont une meilleure qualit de vie Maintenant le foyer Middlechurch doit tenter de rendre permanents ces changements Les caucus hebdomadaires continueront de jouer un r le crucial Pour cela il faudra la participation soutenue de tout le personnel Ce ne sera pas facile affirme M Bender mais le jeu en vaut la chandelle Nous ajoutons u
46. atients Ainsi AU Cours ces deux derni res ann es il a travaill au sein du Groupe de biologie de la respiration pour former une unit de recherche et de d veloppement qui permettra de produire des voies respiratoires et des vaisseaux sanguins humains par g nie g n tique pour combler les lacunes entre les tudes effectu es sur des souris et des humains Il a publi plus de 130 articles valu s par des pairs et occupe des responsabilit s administratives importantes l chelle provinciale nationale et internationale occupant les fonctions d administrateur et de titulaire d une chaire de recherche aupr s de l Association pulmonaire du Manitoba et de la Soci t canadienne de fhoracologjie Il est en outre membre du conseil d administration de l American Thoracic Society Profil de carri re Doctorat en physiologie de l Universit du Manitoba Il TL l SPBoureposcdociorl e soins pulmonaires et intensifs Universit de Chicago Professeur adjoint d partements de physiologie et de m decine interne Universit du Manitoba 2003 aujourd hui gt biologie de la respiration Manitoba Institute of Child Health Professeur adjoint physiologie m decine interne p diatrie et sant de l enfant Universit du Manitoba __ Professeur physiologie m decine interne p diatrie et sant de l enfant Universit du Manitoba Prix et r alisations Titulaire de la Chaire de recherche du
47. atio commencer le traitement le plus t t possible explique la D Becker C est important tant pour la personne concern e que du point de vue de la sant publique Au cours de cette tude tous les adultes qui se pr sentaient l urgence du CSS pouvaient y prendre part Plus de 500 patients ont accept de subir un test de d pistage du VIH en fournissant un chantillon sanguin par piq re du doigt L avantage du d pistage l urgence c est que le r sultat est imm diat ce qui nous permet d viter le d lai habituel associ aux tests de d pistage en laboratoire De plus un test de d pistage effectu l urgence rejoint des gens qui n ont pas de m decin de famille ou pour qui la notion d examen de routine chez le m decin n est pas une r alit Cette tude a pu tre associ e un taux de d pistage lev des nouveaux cas de VIH ce qui laisse supposer que l urgence du CSS est un bon endroit pour administrer ce test La grande diligence des soins s est av r e tre une autre dimension importante de l tude tous les patients chez qui le VIH venait d tre d pist ont rencontr un membre de l quipe du programme de lutte contre le VIH au Manitoba dans les 48 heures Les gens viennent se faire traiter contre le VIH sida alors que la maladie a d j passablement progress dit elle ce qui les expose eux et leurs partenaires un risque accru Une personne qui ignore qu elle est infect e parce
48. base la couche interm diaire et la couche ext rieure La couche de base s agit de la couche qui va directement sur la peau Elle a pour but de vous garder au sec en tenant l humidit loign e de la peau et en l envoyant vers les couches ext rieures o elle pourra s vaporer Vous pouvez choisir une mati re synth tique coutures plates qui est bien ajust e sans tre serr e ni g nante vitez les mati res comme le coton qui a tendance conserver l humidit et rester mouill ce qui refroidira votre corps Selon votre niveau d activit et les conditions m t orologiques vous pouvez choisir une couche de base l g re moyenne ou dense La couche interm diaire Cette couche a deux principales fonctions continuer loigner l humidit du corps et retenir la chaleur La couche interm diaire doit tre plus ample que la couche de base tout en tant quand m me bien ajust e La laine le molleton et les m langes de fibres synth tiques sont souvent utilis s pour cette couche On trouve souvent des caract ristiques sp ciales comme des trappes d a ration refermables sous les bras La couche ext rieure s agit de la couche qui vous prot ge des l ments comme le vent et la neige Recherchez un manteau qui permettra l humidit de s chapper et l air de circuler Selon les conditions d utilisation choisissez des mat riaux r sistants au vent O l eau Pour le choix d un chapeau et de
49. ccins sont plus efficaces s ils sont re us l avance De plus certains vaccins doivent tre administr s des intervalles pouvant aller jusqu quatre semaines Les services de sant voyage ne sont pas gratuits qu ils soient offerts par la clinique ou par votre m decin Pour plus d information composez le 940 8747 o consultez le site wWwWw wrha mb ca community travel index php Que faut il savoir en mati re de sant 46 Le Courant Cela d pend de votre destination Si vous allez aux tats Unis Vous devrez principalement vous assurer que vos vaccins de base sont jour y compris les vaccins pour pr venir certaines maladies comme la grippe la pneumonie la dipht rie le t tanos la rougeole les oreillons et la rub ole Vous devez aussi VOUS assurer d avoir une assurance sant ad quate comme celle de la Croix Bleue du Manitoba Si VOUS vous rendez au Mexique en Am rique centrale ou dans les Cara bes VOUS devriez VOUS assurer que vos vaccins de base sont jour et envisager de vous faire vacciner contre les infections les plus courantes dans ces r gions notamment Fi vre typho de La maladie est g n ralement transmise par une bact rie pr sente dans l eau ou la nourriture Le site Web de Sant Canada indique que les sympt mes peuvent prendre jusqu trois semaines avant de se manifester et comprennent habituellement de la fi vre des maux de t te et une perte d app tit Sans
50. ce qu elle est d sormais en meilleure sant peut maintenant faire certaines petites choses qui lui taient devenues difficiles comme simplement grimper la colline qui m ne au chalet familial avec les autres membres de sa famille sans tre bout de souffle a m a vraiment aid transformer ma vie dit elle L exp rience de Mme Martin en a faite une adepte convaincue de T l Soins C est un programme fantastique Les infirmi res sont gentilles et sont notre coute dit elle en ajoutant qu elle s entend particuli rement bien avec deux des infirmi res avec qui elle parle chez T l Soins Elles donnent des conseils sans en avoir l air J ai obtenu des d pliants que je distribue autour de moi Je partage mes nouvelles connaissances avec mes enfants et je les encourage faire eux aussi plus attention leur sant Selon Mme Kolesar l histoire de Mme Martin n est pas exceptionnelle Nous savons bien que T l Soins est une r ussite sur toute la ligne Nous entrons en relation avec les clients explique Mme Kolesar Les membres de notre programme ne doutent pas un instant de ses avantages C est un programme qui leur apprend mieux g rer leur sant et se faire confiance propos de T l Soins Lectures de choix Les titres que voici ont t s lectionn s parmi des milliers d autres livres sur la sant Pour d autres recommandations de lecture sur
51. ces sympt mes comportementaux et se demander si on peut faire quelque chose pour les aider dit M Puchniak Dans bien des cas en y r fl chissant bien on peut trouver de nombreuses fa ons de r pondre leurs besoins Il s agit peut tre de certaines choses qu ils demandent mais comme ils ont des probl mes de communication et qu ils sont incapables de faire une demande directe nous pouvons peut tre nous occuper d eux sans nous tourner imm diatement vers les m dicaments Donc Joe Puchniak et Cynthia Sinclair savaient quels foyers pouvaient avoir des probl mes et ils savaient aussi qu il existait un moyen de les aider Toutefois cela ne repr sentait que la moiti du combat mener Leur projet d intervention tait ax sur l utilisation des donn es du syst me MDS pour apporter des changements concrets La prochaine tape consistait donc collaborer avec un foyer de soins de longue dur e Nous avons invit des foyers participer volontairement en demandant comme connexe taux inf rieurs 15 Certains tablissements affichent des taux d utilisation de plus de 40 D autres tablissements affichent des taux d utilisation de moins de 40 crit re des foyers ayant un taux d utilisation sup rieur la moyenne de 30 explique Mre Sinclair Nous devions trouver une quipe de gestion qui tait pr te collaborer avec nous et une quipe m dicale qui nous donnait aussi son ap
52. corps en beaut et en sant existent dans toutes les tailles et silhouettes Cette ann e prenez comme r solution d arr ter de penser votre poids et de prendre plut t soin de vous d s maintenant Efforcez vous d tre une personne plus saine sous tous les aspects saine de corps comme d esprit Genereuse soupe at J gumes Ingr dients 4 c soupe d huile d olive 1 tasse de poireaux en tranches fines 1 tasse d oignons hach s finement 2 gousses d ail minc es 2 c th de sel de mer bo te de tomates 798 ml 2 tasses de carottes pel es et hach es 2 tasses de pommes de terre jaunes pel es et coup es en cubes 1 tasse de navet en cubes 2 litres de bouillon de l gumes de b uf ou de poulet 2 branches de c leri hach es 2 c th de poivre noir fra chement moulu 2 tasse d pinards hach s 1 4 tasse de feuilles de persil frais bien tass es et hach es 2 c soupe de p te de tomates 42 Le Courant Pr paration Faire chauffer l huile d olive dans une grande casserole feu moyen doux Une fois l huile chaude ajouter les poireaux l ail les oignons le c leri et une pinc e de sel et cuire jusqu ce que les l gumes commencent ramollir environ 7 ou 8 minutes Ajouter le bouillon augmenter la chaleur pour porter faible bullition Ajouter les carottes les pommes de terre et le navet et poursuivre la cuisson pendant 10 autres minutes en brassant occasio
53. dans la plupart des pontages effectu s dans le monde La technique a d j t ex cut e dans d autres centres Cependant les essais ont chou parce que l art re se referme trop rapidement apr s son implantation durant le pontage Le concept que nous pratiquons consiste inclure les nanoparticules dans la paroi de l art re pour qu elles lib rent des compos s biologiques ou des facteurs de croissance qui emp cheraient l occlusion C est un peu comme si un engrais lib ration lente tait enfoui dans l chafaudage qui recevra les cellules Le D Xing affirme avoir d j trouv une m thode pour contr ler la d gradation des nanoparticules afin de cr er un effet de lib ration graduelle Normalement nous savons que lorsque nous injectons un m dicament il peut tre lib r rapidement dans l organisme mais nous aurons alors r p ter l injection apr s une certaine p riode dit le D Xing qui a aussi tudi au Massachusetts Institute of Technology Cambridge L utilisation de nanoparticules nous permet de modifier les propri t s des polym res pour que la d gradation se fasse un rythme diff rent Cependant la recherche en est encore ses d buts et il faudra beaucoup de temps avant que les r sultats de ces travaux puissent servir en pratique clinique M me les travaux du D Keijzer qui sont maintenant presque l tape de la mise l essai sur des animaux sont
54. dur e de la R gion Mre Sinclair est infirmi re autoris e et g re les Initiatives pour le Programme des foyers de soins de longue dur e actuellement en d tachement tire de directrice des soins au foyer Fred Douglas Lodge Financ par Sant Canada et administr par la Fondation canadienne de la recherche sur les services de sant le programme FORCES a pour but de promouvoir l utilisation de pratiques de gestion fond es sur des l ments probants dans le domaine de la sant Chaque ann e le programme accueille 24 boursiers dans tout le Canada Ce programme de deux ans permet des cadres du domaine de la sant de partout au Canada d acqu rir les comp tences n cessaires pour mieux utiliser la recherche et l information dans leurs t ches quotidiennes en vue de prendre davantage de d cisions fond es sur des donn es probantes Comme pour les tudes universitaires sup rieures le programme d tudes met l accent sur un projet d intervention permettant de faire appel des m thodes et une gestion ax es sur des donn es probantes pour am liorer concr tement les soins Lorsqu ils ont pr par leur proposition pour le programme FORCES M Puchniak et Mre Sinclair ont d cid de mettre l accent sur des fa ons d am liorer la prestation des soins dans les foyers de soins de longue dur e Plus pr cis ment ils souhaitaient savoir si les donn es recueillies sur les
55. e utilis e pour les tests conventionnels pouvait varier d un syst me un autre certains syst mes utilisant par exemple le terme num ration formule sanguine alors que d autres parlaient plut t de formule sanguine ou de NFS I ne faut pas oublier non plus l importante quantit de renseignements concernant les quelques 1 2 million de Manitobains Un an apr s la mise en service du Dossi la base de donn es comptait d j de nombreux t raoctets de donn es un t raoctet quivaut un billion d octets ou 1 000 gigaoctets D autres conditions concernaient la vitesse et la fiabilit Avec les nombreux syst mes de secours en place ajoute M Guerard nous avions peu pr s tout en double Le syst me a atteint les objectifs vis s et la majeure partie des recherches courantes qui y sont effectu es donnent des r sultats en trois secondes En ce qui concerne la protection des renseignements personnels on offre aux Manitobains la possibilit de bloquer l acc s leurs renseignements m dicaux personnels dans le syst me On trouve des formulaires lectroniques dans le site Web du syst me Dossi www connectedcare ca echartmanitoba mbAccessToForms_fr himl qui permettent quiconque de demander une copie de son propre dossier lectronique d obtenir un relev des personnes qui l ont consult ou d ajouter une directive de non divulgation pour interdire l acc s aux renseignements cliniques
56. ements qui utilisaient moins de m dicaments antipsychotiques taient souvent ceux qui utilisaient un mod le de soins pour les r sidents atteints de d mence qui porte le nom de P LE C E S Le programme con u en Ontario tient compte des aptitudes physiques intellectuelles et motives de l environnement et des capacit s sociales Il nous permet d valuer les r sidents par rapport des crit res afin de tenter de comprendre les comportements observ s mentionne Mme Sinclair Avec le mod le P LE C ES les fournisseurs de soins qui s occupent de r sidents atteints de d mence peuvent trouver des m thodes cr atives adapt es aux besoins et aux comportements de chaque r sident Les m dicaments ne sont utilis s qu en dernier recours Essentiellement le programme incite les fournisseurs de soins envisager la situation des patients dans son ensemble pas seulement leurs ant c dents m dicaux mais aussi leurs ant c dents personnels LISATION D R sidents des tablissements de SLD qui re oivent des m dicaments antipsychotiques M DICAMENTS Il les encourage aussi tenir compte du m tier que les r sidents ont exerc de leur vie familiale et de nombreux autres renseignements qui peuvent sembler intangibles mais qui jouent un r le dans ce que cette personne a t et ce qu elle est devenue Il faut regarder la situation dans son ensemble et comprendre pourquoi ils ont
57. entifier clairement avant m me qu ils ne passent sous le bistouri les patients les plus risque de souffrir de d lire et ainsi concevoir un programme sur mesure de soins chirurgicaux et hospitaliers plus apte viter cette complication parfois mortelle Le programme de cardiologie de l H pital St Boniface fera office de projet pilote pour les recherches men es par des cardiologues un peu partout au Canada qui communiquent entre eux par le truchement de la Canadian Critical Care Cardiovascular Society CANCARE Society www cancaresociety com une organisation fond e et actuellement pr sid e par le D Arora Outre l laboration l chelle nationale d un programme de d pistage normalis du d lire postop ratoire chez les patients cardiaques le D Arora value galement la possibilit que ce trouble soit d clench par certains facteurs environnementaux comme le bruit dans la chambre d un patient science et recherche Des scientifiques des facult s de m decine et de g nie de PUM utiliseront bient t des tissus artificiels pour tester un ventail de nouveaux m dicaments qui pourraient un jour servir traiter des maladies allant de l asthme au cancer du poumon Par JOEL SC HEESINGER MEDECINE Tout a commenc avec un petit appareil d lectrospinning L appareil a t con u par le D Malcolm Xing un ing nieur biom dical chinois ayant tudi Harvard qui travaille au sein du G
58. er m dical Pour plus d information visitez le site www connectedcare ca echartmanitoba index_fr html en mouvement Comment r veiller l enfant ui hiberne en vous une certaine poque j tais folle de l hiver l cole primaire j tais impatiente de sortir pour jouer dans la neige faire des boules de neige construire des forts et tout simplement m amuser En grandissant mon amour de la neige a commenc s att nuer Pour une raison ou une autre l hiver est pass de la saison propice pour aller glisser et faire des bonshommes de neige la saison des batteries de voiture mortes et des fins de semaine d hibernation Sans activit agr able l hiver tait devenu pour moi synonyme de trois longs mois de temps froid et j tais impatiente de voir arriver le printemps Puis il y a quelques ann es j ai d couvert le Snow Trek Le Snow Trek est une initiative communautaire con ue pour aider les gens retrouver l enfant qui se cache en eux en hiver en permettant tout le monde d essayer le ski de fond et la raquette gr ce des ateliers d apprentissage gratuits et l utilisation gratuite du mat riel Mon ami Cam et moi avons particip l activit Snow Trek de FortWhyte Alive Nous avons ainsi pu faire de la raquette Apr s avoir re u des instructions de base donn es par un sympathique instructeur nous avons pass l apr s midi parcourir l un des nombreux sentie
59. er un chantillon d urine pour analyse Lorsque le r sultat de l analyse revient trois jours plus tard le m decin doit r examiner le dossier du patient pour v rifier s il a prescrit le bon antibiotique Avec le Dossi le m decin dispose de cette information au bout des doigts Je peux faire une v rification sur le champ sans devoir aller chercher un dossier Auparavant il fallait demander quelqu un de sortir le dossier et a prenait du temps En r duisant le temps d attente les choses sont plus s curitaires pour le patient ajoute t il Les dossiers papier entra nent aussi un autre probl me bien connu de toute personne qui a un jour tent de d chiffrer une ordonnance l criture des m decins L acc s imm diat aux dossiers d immunisation dans les services d urgence apporte un autre avantage car les patients n auront pas recevoir inutilement de vaccin contre le t tanos lorsqu ils se pr sentent avec une plaie soigner Le D Tunji Fatoye un m decin du centre m dical Kildonan l un des tablissements ayant particip aux essais pilotes du Dossi Planifier l avenir des soins de sant LE SYST ME DE DOSSIERS LECTRONIQUES AM LIORE LES SOINS ET PROT GE LA CONFIDENTIALIT L laboration d un syst me informatique pour r unir tous les renseignements m dicaux concernant un patient l intention des m decins est un concept facile expliquer mais loin d tre simple mettre en app
60. ertains des plus grands experts au monde en mati re de recherche sur les poumons et qu il a h te de voir ce qui adviendra Jusqu ici les r sultats ont t prometteurs une maladie il se pourrait que le r le cl qu aura jou le Groupe de biologie de la respiration soit reconnu L histoire pourrait dire que tout a commenc ici et que les choses n auraient pas pu d buter ailleurs Je ne pourrais jamais faire le travail sur les nanoparticules seul car je ne poss de pas l exp rience ni les connaissances n cessaires et le D Xing ne pourrait jamais faire les traitements pr natals explique le D Keijzer Ensemble nous pouvons maintenant accomplir quelque chose que personne d autre au monde ne peut faire m me toit au Manitoba Institute of Child Health et la facult de m decine de CHERCHEUR Abdel Soussi Gounni Ph D R sum des travaux Le D Soussi Gounni est professeur adjoint en immunologie et il est titulaire d une chaire de recherche en immunologie du Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant Il tudie l importance des anticorps IgE et des cytokines qui sont li s l inflammation allergique dans l asthme ainsi que la r gulation des cellules comme les neutrophiles et les muscles lisses des voies respiratoires plus particuli rement le r le jou dans le d veloppement de l asthme les sympt mes et la r action th rapeutique Ses travaux ont permis de d couvrir l existence de p
61. es choses que l on fait d j consiste placer un bouchon dans la trach e du b b la pression qui est exerc e durant le d veloppement entra ne la croissance des poumons explique le D Keijzer qui a fait ses tudes postdoctorales en chirurgie laparoscopique Birmingham en Alabama avant de venir Winnipeg il y a deux ans pour travailler avec le D Xing et les autres membres du groupe Le probl me avec cette intervention est qu elle aide les poumons grossir mais est peu utile pour leur d veloppement Les poumons ne fonctionnent pas mieux ils sont simplement plus gros dit il Si on pouvait bonifier le traitement pour am liorer le d veloppement des poumons on pourrait peut tre r parer la situation Le D Keijzer s est joint au groupe il y a deux ans parce qu il voulait avoir la chance de faire de la recherche et des travaux cliniques dans un seul et m me endroit En travaillant Winnipeg il peut chercher de nouveaux traitements pour le d veloppement des poumons des nouveau n s Cependant l poque il ne se doutait pas qu il travaillerait avec la nanotechnologie en vue d ventuellement traiter ce probl me pulmonaire chez les f tus Tout a chang lorsqu il a rencontr le D Xing et qu il a pris connaissance de ses travaux sur les nanoparticules Il m a parl de ses travaux et j ai toujours voulu savoir si nous pouvions am liorer le d veloppement pr natal des poumons ca
62. et de m decine exp rimentale de l Hospital for Sick Children de Toronto Ses int r ts cliniques portent principalement sur la chirurgie g n rale p diatrique endoscopique et ses recherches sont ax es sur les anomalies cong nitales li es aux hernies diaphragmatiques g n rales et cong nitales et sur l hypoplasie pulmonaire en particulier Il poss de une expertise sur les m canismes de d veloppement normaux et anormaux des poumons li s aux hernies diaphragmatiques cong nitales HDC Actuellement son quipe de laboratoire se concentre sur le r le jou par deux micro ARN miR 10a et miR 200b durant le d veloppement pulmonaire normal et anormal caus par les HDC Dans un proche avenir il souhaite explorer des m thodes d intervention th rapeutique pr natale en vue de moduler le cours naturel de l hypoplasie pulmonaire et des HDC pour am liorer le sort des b b s n s avec cette anomalie Dipl me en m decine Erasmus MC Sophia Rotterdam M Sc et Ph D des d partements de chirurgie p diatrique de biologie cellulaire et de g n tique de l h pital Erasmus MC de Rotterdam et du d partement de recherche en biologie cellulaire de l Hospital for Sick Children de Toronto Chirurgien g n raliste Erasmus MC Rotterdam Chirurgien p diatrique Erasmus MC Sophia et tudes postdoctorales au Children s Hospital of Alabama Birmingham en Alabama Chirurgien p diatrique chercheur professeur adjoint d partemen
63. et le Sentier d hiver Assiniboine Credit Union La Fourche Visitez les sites www assiniboinepark ca ou www fheforks com pour obtenir plus d information On peut louer des patins Iceland Skate Rentals dans l atrium du March de La Fourche y S S S S S S j CL r RAQUETTES Si vous aimez marcher vous prendrez peut tre plaisir sortir des sentiers battus en raquettes En adoptant un rythme mod r vous profiterez des bienfaits de cette activit sur la sant tout en admirant la beaut tranquille de la nature Allez FortWhyte Alive et louez des raquettes pour les 5 ans et plus Pour plus d information visitez le site www fortwhyte org TOBOGGAN Le toboggan est une activit hivernale classique et est parfaite pour toute la famille En plus de descendre les pentes vive allure sur votre toboggan essayez de remonter la pente le plus rapidement possible pour rester au chaud et faire travailler votre c ur Visitez Winnipeg ca chercher hills and slides pour obtenir une liste des endroits o aller glisser Winnipeg SKI ATTEL Si vous recherchez une activit sportive faire avec votre chien essayez le ski attel ou ski joering terme d riv du norv gien qui signifie conduite en ski Le ski attel est parfait pour les amateurs de ski de fond qui poss dent un ou deux chiens En gros vous faites du ski de fond et vos chiens vous donnent un lan suppl mentaire en vous tirant la c
64. fection se produit elle Comme dans le cas des autres maladies mentionn es la diarrh e des voyageurs survient lorsqu on consomme de l eau ou des aliments contamin s qui n ont pas t ad quatement trait s L infection peut tre caus e par Un virus Un parasite ou une bact rie La bact rie Escherichia coli E coli est souvent l origine de la diarrh e des voyageurs La bact rie E coli est habituellement pr sente dans l intestin humain ef il existe de nombreuses vari t s de bact ries E coli En g n ral l organisme s habitue la bact rie E coli pr sente dans l environnement et elle ne cause alors aucun probl me intestinal Toutefois l exposition de nouvelles vari t s d E coli peut entra ner de la diarrh e La diarrh e des voyageurs est parfois caus e par le stress li au voyage le d calage horaire les changements alimentaires ou d autres facteurs Les sympt mes comprennent des selles liquides pouvant aller jusqu 10 par jour des crampes abdominales des ballonnements et des gaz des naus es des vomissements occasionnels de la fi vre de la faiblesse et des maux de t te parfois Quel est le traitement La diarrh e peut entra ner la d shydratation La d shydratation survient lorsque le corps perd plus de liquide et de sels min raux que ce qu il re oit La d shydratation cause de graves probl mes et il est donc important de tout faire pour l viter Pour re
65. gants n oubliez pas que le molleton est chaud mais qu il ne vous prot gera pas du vent Recherchez une mati re qui coupera le vent et vous pourrez profiter de vos activit s de plein air tout l hiver Pour plus d information sur la fa on de s habiller en fonction du temps visitez le site Web WWW MEcC cCT 36 Le Courant questions de sant D Michael Routledge ox 7 AA On a souvent dit que l activit tait le meilleur m dicament et juste titre En r duisant le risque de maladie cardiaque d hypertension art rielle de cancer du c lon et de diab te l activit physique r duit le risque de mort pr matur e L activit physique am liore aussi la sant mentale et la qualit de vie en g n ral Or on estime que plus de la moiti des Canadiens adultes ne sont pas aussi actifs qu ils le devraient faisant de la s dentarit le facteur de risque modifiable le plus courant de contracter une maladie chronique Heureusement il ne faut pas grand chose pour ponctuer votre quotidien d un peu plus d exercice physique On note en effet que m me une pratique mod r e peut se traduire en bienfaits importants pour la sant p ex 30 minutes de marche rapide pouvant m me se faire en 3 fois 10 minutes chaque jour de la semaine ou presque Comme pour nombre d habitudes de vie il vous sera plus facile de devenir plus actif en introduisant d abord de petits changements dans votre quotidien que
66. gule pas le g ne en soi mais plut t la mani re dont les cellules traitent ce qui est encod par les g nes Gr ce cette technologie on esp re am liorer le d veloppement des poumons d un b b chez qui on a diagnostiqu une perforation du diaphragme 20 semaines de gestation Pour l instant le D Keijzer explique qu ils ont appliqu les nanoparticules enrichies de micro ARN des cellules de tissus pulmonaires dans une bo te de P tri Pour l instant on peut en mettre sur les cellules et voir que les nanoparticules p n trent facilement dans les cellules sans causer de dommage ajoute le D Keijzer La prochaine tape consiste faire des tests sur des poumons de f tus de souris retir s de l ut rus et mis en culture Les poumons continuent de se d velopper en milieu de culture Le compos sera donc appliqu aux poumons pour voir s il am liore le d veloppement Ensuite il faudra tester les m dicaments sur des souris vivantes mais il nous faudra encore attendre quelques mois pour en arriver l Le D Keijzer indique que les nanoparticules offrent beaucoup de potentiel pour faire avancer les pharmacoth rapies car elles permettent d administrer une dose concentr e d un m dicament une zone tr s pr cise La difficult de cibler pr cis ment la zone du corps qui a besoin d tre trait e a toujours t l une des emb ches de toutes les pharmacoth rapies Le D Halayko exp
67. he en mati re de sant CMRS Les bourses qui leur ont t accord es prennent la forme de subventions de recherche tal es sur trois ans totalisant 170 000 Le but est ici de lib rer ces cliniciens afin qu ils puissent faire de la recherche explique le D Greg Hammond le directeur g n ral de la MMSF La bourse donne l occasion ces chercheurs cliniciens de d laisser leur travail clinique pour consacrer plus de temps une probl matique scientifique majeure Le plus souvent les titulaires des bourses des CMRS et MMSF en sont un point ou un autre des sept premi res ann es de leur carri re et ont tabli leur discipline de recherche selon le D Hammond en soulignant que l obtention d une telle bourse cette tape de leur vie professionnelle peut se r v ler particuli rement fructueux De nombreux boursiers des CMRS et MMSF ont ainsi pu toffer leurs d couvertes et ensuite d crocher de prestigieuses bourses de recherche sur la sc ne nationale Selon certains ces bourses ont vraiment fait toute la diff rence pour leur carri re ajoute le D Hammond en pr cisant que l existence d un tel programme de financement de la recherche permet au Manitoba d attirer plus de scientifiques talentueux et novateurs Les bourses sont connues sous le nom de chaires de recherche clinique F W DuVal en l honneur d un membre de longue date du CA de la MMSF et de chaires de recherche clinique John Henson en m dec
68. ine des populations en l honneur d un ancien vice pr sident de la Croix bleue du Manitoba Des sp cialistes de tous les horizons se sont vus octroyer ces bourses au fil des ans et en ont profit pour approfondir toutes sortes de questions de nature m dicale Les bourses r serv es la m decine des populations permettent de plus de financer les travaux de recherche portant sur la pr vention des maladies et les d terminants de la sant II arrive fr quemment qu un clinicien d veloppe un int r t non seulement l endroit de son patient mais envers la population qu il repr sente fait remarquer le D Hammond selon qui le Manitoba est particuli rement propice la recherche dans le domaine de la sant des populations Les bourses sont profitables tant pour l Universit du Manitoba o les boursiers enseignent aux professionnels de la sant de la g n ration venir que pour les h pitaux manitobains et leurs patients qui b n ficient de nouvelles approches et de nouvelles connaissances plus pointues Bon nombre de leurs meilleurs chercheurs sont aussi d excellents cliniciens Il arrive que ces sp cialistes soient uniques en leur genre en raison du cr neau tr s troit qu ils occupent dit il La MMSF est issue du Manitoba Medical Service MMS un organisme sans but lucratif fond dans les ann es 1940 dans le but de donner acc s l assurance maladie aux Manitobains Au bout d un certain temps les
69. ing nieurs informaticiens et lectriciens et fait partie des chercheurs de pointe dans cette sp cialit l chelle mondiale Dans un autre domaine de recherche il dirige des travaux pour d terminer l impact des services de sant au chapitre de la prestation et des r sultats pour les patients dans le cadre d un programme de d pistage pr coce de la fibrose kystique chez les nouveau n s du Manitoba ERCHEUR Zhikang Peng Ph D re de te La D Peng est professeure en p diatrie et en immunologie et ses travaux de recherche consistent d velopper des th rapies novatrices base de vaccins pour pr venir et renverser l inflammation allergique pulmonaire caus e par l asthme Dans des tudes pr cliniques elle a d velopp de nombreux vaccins qui ont r duit les taux d anticorps IgE associ s aux allergies et l inflammation pulmonaire ce qui a permis d am liorer la fonction pulmonaire et de faire dispara tre des sympt mes d asthme Ses travaux se sont sold s par de nombreux brevets et elle amorce la pr paration de vaccins qui seront administr s chez des humains Janvier f vrier 2012 21 innovation S CC Un projet de recherche permet de r duire la consommation de m dicaments dans un foyer de soins de longue dur e Par Joel Schlesinger On l appelle le caucus Chaque semaine une quipe d infirmi res d aides soignants et d autres employ s du foyer Middlechurch de Winnipeg se r un
70. ins dans un milieu peut s appliquer dans un autre J ai toujours voulu tablir des liens entre mon travail en Inde et au Canada Elle a l intention l an prochain de r aliser une tude sur les occasions manqu es de diagnostiquer les patients atteints du VIH sida Dans le cadre de son travail aupr s de patients diagnostiqu s depuis peu elle pr voit utiliser la base de donn es de Sant Manitoba pour voir si ces gens avaient auparavant souffert d infections comme la tuberculose souvent associ e la pr sence du VIH L objet de cette tude s inspire d un patient qui avait consult des professionnels de la sant plusieurs reprises pour des probl mes de sant caract ristiques du VIH et ce durant six douze mois avant de finalement subir un test de d pistage L aide financi re qui lui a t accord e par le CMRS et la MMSF permet la D Becker de diminuer sa pr sence clinique au CSS au niveau du programme de lutte contre le VIH au Manitoba et au Centre de sant communautaire des neuf cercles Elle consid re cependant que son travail aupr s des patients claire son travail de recherche J aime pouvoir conjuguer ces deux volets de ma profession car le travail clinique me permet d envisager mes recherches sous un autre angle alors que mon travail de chercheuse m ouvre de nouvelles perspectives cliniques n peut se sentir un peu perdu en reprenant conscience apr s une op ration mais certains patients
71. ionnels de la sant Dossiers d immunisations enregistr s dans le syst me manitobain de traitement des donn es pour le contr le de limmunisation Les renseignements proviennent des demandes de remboursement des m decins et des programmes d immunisation publics Les ordonnances ex cut es dans les pharmacies de d tail par l interm diaire du R seau pharmaceutique informatis du R gime d assurance m dicaments Les r sultats d analyse du laboratoire Services diagnostiques du Manitoba SDM de Winnipeg Les r sultats d analyse du laboratoire SDM de Brandon r gion de l Ouest Les r sultats d analyse du laboratoire Unicity de Kingsford Les r sultats d analyse du laboratoire m dical Gamma EVnaeore Les rapports d imagerie diagnostique des principaux syst mes RIS et PACS du Manitoba notamment les rapports d imagerie diagnostique des h pitaux et des autres tablissements financ s par la Province relevant de 8 des 11 offices r gionaux de la sant Les consultations l H pital Saint Boniface Le syst me fournit des renseignements administratifs relatifs aux consultations faites l H pital Saint Boniface p ex date d admission type de consultation date de sortie de l h pital LE Dossi EN CHIFFRES 37 Nombre d h pitaux et de centres m dicaux qui ont acc s au Dossi 17 Pourcentage d tablissements de sant manitobains qui ont acc s au Dossi 15 980 Nombre de consulta
72. ir de l information sous chaque onglet le syst me permet aux utilisateurs de voir les tendances concernant Questions fr quentes En quoi consiste le syst me Dossi Manitoba les r sultats d examens de laboratoire Sous l onglet laboratoire on peut consulter les examens pass s au fil du temps sous forme de graphique Au fur et mesure que plus d information sera ajout e au Dossi et que plus d tablissements y auront acc s les Manitobains verront que leurs renseignements m dicaux seront disponibles peu importe o ils se trouvent dans la province Nous avons beaucoup de patients qui doivent venir Winnipeg pour recevoir des soins tertiaires Maintenant leurs renseignements peuvent les suivre partout mentionne Liz Loewen plus long terme l objectif national consiste relier ensemble les syst mes provinciaux qui sont les quivalents du syst me Dossi Avec le temps les renseignements m dicaux des Canadiens pourraient tre accessibles aux professionnels de la sant du Canada peu importe l endroit o ils s installent ou voyagent au pays Il est parfois facile d oublier quel point ce syst me changera la donne ajoute Mme Loewen Bob Armstrong est un r dacteur de Winnipeg Comment puis je savoir si mes renseignements personnels sont bien prot g s Quels sont les avantages du syst me pour les Manitobains Qui a acc s au syst me Puis je savoir qui a consult mon dossi
73. it pour une discussion de 20 minutes concernant les soins fournis aux r sidents Les employ s du foyer de soins de longue dur e situ pr s de la rue Main au nord de la route p riph rique font alors une s ance de remue m ninges Bien que cette rencontre ne prenne que quelques minutes elle permet tous les employ s y compris le personnel responsable de l entretien et des loisirs de trouver des moyens cr atifs de fournir des soins une poign e de r sidents ayant des besoins complexes La plupart de ces r sidents souffrent de d mence ou de la maladie d Alzheimer et ont tous des comportements que les fournisseurs de soins de longue dur e peuvent qualifier de probl matiques Ils peuvent avoir tendance se perdre presque quotidiennement ou ils peuvent appeler pendant des heures en demandant r p tition o ils se trouvent et pourquoi ils ne peuvent pas rentrer chez eux Ces personnes sont souvent confuses d sorient es et anxieuses Certains r sidents peuvent m me avoir des comportements agressifs et repr senter un risque pour eux m mes le personnel et les autres r sidents tout moment l occasion des rencontres hebdomadaires une responsable de l entretien peut diriger la discussion en parlant de son exp rience avec une r sidente une enseignante la retraite connue pour faire les cent pas dans les couloirs toute la journ e et pour essayer l occasion de s enfuir du foyer On pour
74. itaire de Winnipeg Janvier f vrier 2012 47
75. iver en mangeant suffisamment tout au long de la journ e et en se donnant la permission de manger des aliments de tous ES CANNES Avoir du plaisir aux repas Manger en compagnie d autres personnes favorise les relations la conversation les changes et le soutien Il faut r gler les m sententes une autre occasion Reconna tre les signaux internes de faim et de sati t Il faut commencer par reconnaitre les premiers signes de la faim et manger lorsqu on est moyennement affam Il sera alors plus facile de savoir lorsqu on a assez mang Prendre le temps de savourez la nourriture faut porter attention ce que l on mange prendre son temps respirer se d tendre se donner la permission de manger ce dont on a envie que ce soit Un repas complet une collation des croustilles du chocolat ou des biscuits Se tenir loin du p se personne faut se dire que le corps aura le poids qui lui convient Il faut prendre soin du corps que l on a actuellement Les corps sains et en beaut viennent dans toutes les tailles et silhouettes Soyez indulgent e envers voire COS avez actuellement cet gard la premi re chose dont il faut se rappeler est que les r gimes amaigrissants ne sont pas la solution Non seulement ils ne fonctionnent pas ils peuvent plut t tre n fastes pour la sant et le bien tre Il est vrai que les di tes peuvent faire perdre du poids court terme mais de nombreuses tude
76. joute le D Xing Pour l instant cependant l accent est mis sur la cr ation de voies respiratoires simul es l aide de cellules souches de patients pour peupler l chafaudage avec des cellules de muscle lisse et de membrane pith liale Le D Halayko esp re que les recherches du groupe dans ce domaine seront enti rement financ es long terme Le D Malcolm Xing devant l appareil d lectrospinning et tenant un tube blanc pr t tre transform en voie respiratoire artificielle Le D Richard Keijzer est chirurgien p diatre chercheur professeur adjoint en chirurgie p diatrie sant de l enfant et physiologie professeur auxiliaire et chercheur aupr s du Groupe de biologie de la respiration du Manitoba Institute of Child Health Il est n et a grandi aux Pays Bas et a fait sa formation clinique chirurgie g n rale et chirurgie p diatrique l h pital Erasmus MC Sophia Rotterdam et a re u une bourse d tudes en chirurgie endoscopique p diatrique du Children s Hospital of Alabama de Birmingham en Alabama Sa formation en recherche consiste en une M Sc et un doctorat faits dans les d partements de chirurgie p diatrique de biologie cellulaire et de g n tique de l h pital Erasmus MC et au d partement de recherche en biologie pulmonaire de l Hospital for Sick Children de Toronto Apr s sa formation en chirurgie g n rale il a fait des tudes postdoctorales au d partement de physiologie
77. la sant n h sitez pas visiter la communaut virtuelle www mcnallyrobinson com ou rendez vous la librairie McNally Robinson du centre commercial Grant My Child Is Sick Barton D Schmitt Ce livre offre des r ponses concises des questions portant sur Une cinquantaine de malaises et sympt mes courants et d finit avec pr cision si les sympt mes peuvent tre trait s la maison ou si des soins d urgence sont n cessaires R dig partir des protocoles cliniques et des conseils que donnent les infirmi res des services d information t l phoniques du Canada et des tats Unis ce guide met l accent sur les maux les plus caract ristiques des enfants de la naissance l adolescence Keeping Your Child Healthy in a Germ Filled World Athen Kourtis MD Park Fin Be Expert Advice for Commor lanaging i Mines an Injuries t MD q Americin Acidemy o F H Pediatrics eS a P Les infections sont n fastes mais les microorganismes ne sont Keding og Skila pas tous nocifs La D Kourtis qui est p diatre so cialiste des maladies infectieuses et m re montre aux parents comment prot ger leurs enfants sans les garder sous globe Athena P Kourtis Elle aide les parents faire la part des choses dans la masse d information qui ne cesse de nous parvenir sur les antibiotiques les vaccins les mesures d hygi ne les aliments sant et les rem des maison elle leur dit quelles r gles ils
78. le m dicament pourrait tre inject par l entremise de la m re et ne toucherait que les cellules vis es Une de ces astuces consiste concevoir une nanoparticule m dicamenteuse qui r agirait seulement la valeur de pH pr cise ou au niveau d acidit des cellules cibl es comme les cellules canc reuses C est une mati re tr s astucieuse que l on peut rendre sensible au pH car nous savons qu une partie des organites sous unit s des cellules de notre corps ont une valeur de pH d peu pr s 5 mentionne le D Xing Lorsque les nanoparticules rencontrent ces cellules il se produit une r action et elles sont absorb es par les cellules Comme elles sont aussi biod gradables elles se d composent et lib rent le m dicament l int rieur de la cellule en dose tr s concentr e Ce traitement biotechnologique se trouve aussi en phase initiale dans un autre projet men par le Groupe de biologie de la respiration explique le D Halayko travaille avec une quipe du Programme des sciences cardiaques de la R gion sanitaire de Winnipeg l H pital Saint Boniface afin de fabriquer de nouvelles art res coronaires l aide de l chafaudage de mati re cr par le D Xing pour y d velopper les cellules d un patient Cette technique pourrait tre utilis e pour remplacer le pr l vement d une partie d un vaisseau sanguin dans une jambe du patient comme c est actuellement le cas
79. lective et rehausser notre qualit de vie Les principes de planification qui favorisent une vie active peuvent s appliquer n importe quelle collectivit Il suffit de trouver des fa ons de faciliter l int gration de l activit physique dans la vie quotidienne Voici quelques politiques publiques susceptibles de contribuer un mode de vie plus actif dans votre quartier e R duire les limites de vitesse en zone r sidentielle de fa on que les rues soient plus s res pour les pi tons et les cyclistes e Cr er des pistes cyclables et des all es pi tonni res ainsi que des syst mes de transport public qui soient accessibles et pratiques e Concevoir des quartiers r sidentiels qui offrent un m lange de magasins de d tail et d immeubles commerciaux et faciliter le recours des formes actives de transport En fin de compte vous pouvez am liorer votre propre sant en introduisant de petits changements dans votre vie quotidienne qui favorisent l int gration de plus d activit physique En outre vous pouvez aussi parler avec les habitants de votre collectivit de la mani re de cr er des environnements b tis qui font des choix sant les choix faciles Ce faisant vous cr ez un environnement pour vous m me et tous ceux qui vous entourent qui incite devenir plus actif et en d finitive avoir une meilleure sant D Michael Routledge est m decin hygi niste pour la R gion sanitaire de Winnipeg
80. ler l enfant qui hiberne en vous Questions de sant Planification urbaine et sant publique quilibre Des amis qui font du bien Manger sainement Bien dans sa peau Recette Plats chauds et r confortants Conseils d une infirmi re Conseils sant aux voyageurs 14 22 30 34 37 38 40 42 46 POUR RESTER AU COURANT EN MATI RE DE SANT ET DE MIEUX TRE Le Courant Janvier f vrier 2012 volume 4 num ro 1 diteur Office r gional de la sant de Winnipeg Pr sident et directeur g n ral Arlene Wilgosh Directeur r gional Communications m dias Relations publiques et gouvernementales Jonathan Hilderbrand R dacteur en chef Brian Cole R dacteurs collaborateurs Joel Schlesinger Bob Armstrong Liz Katynski Chroniqueurs Amy Tibbs Ann McConkey Audra Kolesar D Michael Routledge Christine Holowick Sparkes Directrice artistique Krista Lawson Photographie Marianne Helm Illustratrice Krista Lawson Sur la couverture De gauche Lynn Munilla avec sa fille Solaine son fils Maxim et son mari Francisco au parc Assiniboine photographi s par Marianne Helm Comit consultatif ditorial R al J Cloutier D Wayne Hildahl D Michael Routledge D Peter Nickerson Lori Lamont D Michael Moffatt D Cheryl Rockman Greenberg Lynda Tjaden llana Simon Le Courant est publi six fois l an par l Office r gional de la sant de Winnipeg en collaboration avec le Winnipeg Free Pre
81. lication Avec plus de 500 exigences sur le plan technique le projet du syst me Dossi a n cessit un grand nombre de solutions technologiques explique Rick Guerard directeur de projet du Dossi pour le Programme de cybersant du Manitoba Pour concr tiser cet objectif le Programme de cybersant du Manitoba a s lectionn un consortium de fournisseurs dans le domaine de la technologie de l information dirig par IBM L annonce initiale du projet a t faite en 2007 mais les 18 premiers mois ont servi d finir les objectifs et choisir les fournisseurs qui pr sentaient le juste quilibre de comp tences et d expertise pour laborer et mettre en uvre le syst me IBM a fourni des services de gestion de projet et des ressources techniques et a jou le r le de ma tre d uvre en coordonnont les travaux effectu s par les autres membres du consortium qui proposaient des solutions pour les diff rents volets du projet mentionne M Guerard L approche adopt e par le gouvernement manitobain contrastait avec celle retenue par certains gouvernements qui ont plut t choisi d tre les ma tres d uvre qui dirigeaient tous les membres du consortium et assumaient la responsabilit des retards et des d passements de co ts L approche du Manitoba a permis au Programme de cybersant d introduire le Dossi bien avant la plupart des autres provinces un co t de 40 millions de dollars Le projet a t cofinanc
82. lique que l un des exemples les plus vidents de ce probl me est la chimioth rapie pour les canc reux Prenons la doxorubicine par exemple Ce m dicament est couramment utilis pour combattre le cancer mais bien qu il attaque les cellules canc reuses il s en prend aussi aux autres cellules et peut causer des dommages au c ur Beaucoup de patients qui re oivent de la doxorubicine en chimioth rapie se retrouvent avec des probl mes d insuffisance cardiaque parce que le m dicament endommage les tissus du c ur ajoute le D Halayko Les chercheurs d autres centres travaillent avec des nanoparticules pour apporter les produits chimioth rapeutiques seulement aux cellules canc reuses tout en vitant de toucher les cellules saines Cependant il est difficile de trouver comment y arriver Au sein du Groupe de biologie de la respiration le D Xing s attaque ce probl me mais en ce qui concerne les recherches du D Keijzer sur le d veloppement cong nital des poumons Si on utilise la th rapie des micro ARN les compos s peuvent tre absorb s par les mauvaises cellules Comme cette pharmacoth rapie est une sorte de th rapie g nique le fait de l administrer la mauvaise partie du corps pourrait ventuellement entra ner des cons quences d sastreuses Cependant le D Xing a quelques astuces dans son sac pour s assurer que les nanoparticules trouveront le bon endroit dans l organisme Ainsi
83. lusieurs m diateurs de l inflammation allergique par exemple la pentraxine 3 et la TSLP qui n taient pas connues comme facteurs intervenant dans l asthme CHERCHEUR Kent HayGlass Ph D eE des travaux Le D HayGlass est professeur et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en r gulation immunitaire Ses travaux de recherche portent sur les r les jou s par les cytokines et les chimiokines dans l tablissement d une hom ostasie du syst me immunitaire saine et normale par opposition une immunit inadapt e Les travaux de son quipe portent principalement sur le probl me chronique le plus courant touchant le syst me immunitaire les affections allergiques Il utilise des syst mes humains exp rimentaux pour comprendre comment le syst me immunitaire des personnes allergiques aux arachides diff re de celui des personnes qui ne le sont pas et il tudie la relation entre l exposition aux allerg nes aux virus et aux toxines et le d veloppement de probl mes de sant et d allergies Dans l ensemble ses travaux permettent de mieux comprendre la biologie fondamentale de la r gulation immunitaire et ouvrent la porte l utilisation de ces connaissances des fins prophylactiques et th rapeutiques CHERCHEUR Redwan Moqbel Ph D R sum des travaux Le D Moqbel est professeur et chef de l Immunologie et est une sommit internationale en mati re d immunobiologie de l asthme plus particuli rement
84. ments ne sont pas la solution que faire Comment pouvons nous dans la RSW aider les soignants des tablissements de soins de longue dur e mieux soigner les r sidents atteints de la maladie d Alzheimer ou de d mence Je crois que nous d tenons heureusement une partie de la r ponse ici m me Winnipeg gr ce aux recherches de Cynthia Sinclair et Joe Puchniak titre de dirigeants du Programme de maison d accueil pour personnes g es il y a longtemps que M Sinclair et M Puchniak cherchent des moyens d am liorer les soins prodigu s aux r sidents des maisons d accueil pour personnes g es C est pourquoi il y a un peu plus d un an ils ont entrepris un projet de recherche pour tudier l administration des m dicaments dans les tablissements de soins de longue dur e et voir comment il serait possible d en r duire l utilisation La possibilit qu ils ont eue de puiser dans l ensemble minimal de donn es EMD de la RSW a t un facteur cl de leur projet Mise jour quatre fois l an cette base de donn es contient de l information sur les r sidents qui va de leur m dication leur capacit cognitive En analysant ces donn es Sinclair et Puchniak ont constat que certains foyers de soins de longue dur e de la RSW affichaient une proportion plus lev e de r sidents prenant des m dicaments que d autres tablissements Leurs recherches ont galement r v l que certains programmes do
85. mplacer les liquides et les sels perdus on peut pr parer une solution orale de r hydratation avec des produits achet s en pharmacie On peut aussi pr parer sa propre solution de r hydratation en m langeant les ingr dients suivants 1 litre d eau potable faire bouillir l eau pour obtenir un gros bouillon en cas de doute 2 c table de sucre 4 C th de sel A4 C th de bicarbonate de sodium On peut aussi boire d autres boissons non alcoolis es pr par es avec de l eau purifi e pour pr venir la d shydratation mais ces boissons pourraient ne pas fournir tous les sels n cessaires On doit essayer de boire au moins huit onces de liquide pour chaque selle liquide faite AU besoin on peut prendre des m dicaments antidiarrh iques en vente libre comme lop ramide Kaopectate ou Imodium Le m dicament sur ordonnance Lomotil n est pas recommand Il faut demander des soins d urgence si les selles contiennent du sang ou si la fi vre d passe les 38 5 Celsius On ne doit pas abuser des m dicaments contre la diarrh e car ils peuvent facilement provoquer la constipation On ne doit jamais donner de m dicaments antidiarrh iques de jeunes enfants sans obtenir l avis d un m decin Comment peut on se prot ger contre les infections transmises par l eau et la nourriture comme la typho de l h patite A et la diarrh e des voyageurs On doit suivre les directives suivantes e
86. n des niveaux lev s de CO pendant de courtes p riodes peut pr venir les interruptions de la respiration jusqu au d veloppement plus complet des b b s HERCHEUR Allan Becker M D T z ETA Le D Becker est allergologue p diatrique et professeur aux d partements de p diatrie et d immunologie de l Universit du Manitoba Ses recherches portent principalement sur les origines des allergies et de l asthme plus particuli rement sur la fa on dont l exposition dans l environnement peut avoir des r percussions diverses sur les personnes en raison de leurs diff rences g n tiques Il dirige un projet du Groupe de biologie de la respiration auquel participent les D Andrew Halayko et Kent HayGlass titulaire de la Chaire de recherche du Canada en immunor gulation l Universit du Manitoba afin d valuer les r percussions de l exposition au perfluorcarbone 20 Le Courant chercheurs principaux Ces chercheurs dirigent des recherches allant des tudes cohortes aupr s d enfants asthmatiques aux traitements cliniques de nouveau n s pr matur s ayant des probl mes respiratoires En quelques ann es seulement le groupe a fait plusieurs tudes et d couvertes prometteuses et potentiellement novatrices Install au Manitoba Institute of Child Health le groupe est devenu l un des plus importants groupes de recherche au Canada dans le domaine des maladies pulmonaires Nos quipes poursuivent de nombreux projets t
87. n l ment une charge de travail d j tr s lourde mais je pense que a en vaut la peine L quipe du foyer Middlechurch l arri re et partir de la gauche Rosie Tavares Sandy Peers Bogda Baran et Jennie Waldner l avant et partir de la gauche Mary Ann Frost la r sidente Pauline Honke et Pat Shankaruk Photographie Marianne Helm Heureusement dans le cadre du projet FORCES et encore aujourd hui le personnel a t soutenu par les m decins du foyer ce qui facilite les changements durables Nos m decins ont fait un excellent travail d clare M Bender Ils taient favorables d s le d part et nous en sommes tr s heureux Pour M Puchniak et M Sinclair qui doivent maintenant rassembler toutes les donn es et pr senter leurs conclusions en f vrier lorsqu ils rencontreront les autres boursiers du projet FORCES une re nouvelle vient probablement de commencer en ce qui concerne la gestion et les soins fond s sur des l ments probants dans le secteur des soins de longue dur e dans la R gion Il pourrait s agir d un pr c dent l chelle nationale et d un exemple suivre pour l utilisation efficace des donn es du syst me MDS pour les autres r gions et provinces du pays Il s agit en fait d utiliser le syst me MDS qui est d j en place pour g rer nos pr cieuses ressources le plus efficacement et le plus intelligemment possible affirme M Puch
88. ncer du foie Sant Canada indique que les sympt mes peuvent prendre jusqu six mois pour se manifester et consistent habituellement en une perte d app tit une jaunisse et de la fatigue Beaucoup de personnes n auront aucun sympt me mais d autres d velopperont une h patite B chronique et resteront contagieuses toute leur vie Quelles sont les autres importantes questions relatives la sant Il faut faire attention aux maladies transmises par les moustiques notamment Dengue La dengue est une maladie virale transmise par la piq re de moustiques et provoque habituellement des sympt mes d allure grippale et peut entrainer une fi vre h morragique potentiellement mortelle II n existe aucun vaccin contre la dengue il est donc tr s important de prendre des pr cautions pour vous prot ger des piq res de moustiques par exemple en utilisant un insectifuge qui contient du DEET Selon Sant Canada on trouve des moustiques infect s par la dengue au Mexique et en R publique dominicaine ainsi que dans d autres r gions de l Am rique centrale et des Cara bes Malaria Maladie grave et potentiellement mortelle la malaria est transmise par les moustiques et est habituellement associ e des sympt mes d allure grippale y compris la fi vre et les maux de t te L information contenue dans cette chronique est fournie par Health Links Info Sant en consultation avec la Clinique sant voyage de la R gi
89. nfarmday ofd_home fr himl Ambulance Saint Jean Programme d utilisation des chiens des fins th rapeutiques site Web http wwWw sja ca Fra Canada CommunityServices Programs Pages TherapyDogServices aspx physique 5 IIS VOUS permettent de ralentir le rythme et de profiter de la vie stress le cortisol Il s agit de l l ment chimique produit par les glandes surr nales qui est responsable du contr le de l app tit et des envies de consommer des glucides Toutes ces tudes nous rappellent que les animaux de compagnie sont effectivement de tr s bons amis Les bienfaits apport s par les animaux ne se limitent pas la sant motionnelle ou la r adaptation Ils peuvent aussi aider garder la forme Les activit s comme la marche avec un chien l quitation ou le jeu avec un chaton sont des moyens agr ables de rester actif au quotidien Les animaux peuvent aussi aider adopter un horaire structur Peu importe comment vous vous sentez que vous soyez d prim anxieux ou stress vous devez sortir du lit pour nourrir votre animal le faire bouger et vous en occuper Toutefois m me si les animaux sont de merveilleux compagnons ils ne comblent pas tous les besoins en mati re d amiti et de relations humaines L tude faite par la Miami University indique que les personnes qui profitent le plus des bienfaits apport s par les animaux de compagnie entretiennent de t l phone
90. niak Compte tenu du vieillissement de la population et des besoins en sant et en services sociaux de plus en plus complexes dans le domaine des soins de longue dur e nous devons utiliser de fa on optimale tous les outils dont nous disposons afin de r pondre efficacement aux besoins de notre client le aujourd hui et dans l avenir R al Cloutier chef des op rations et vice pr sident aux Soins de longue dur e aupr s de la R gion est du m me avis On peut ventuellement utiliser de nombreuses fa ons cette information pour faciliter la planification strat gique la gestion op rationnelle et l am lioration de la qualit dans les tablissements de soins de longue dur e de la R gion dit M Cloutier Ce projet repr sente un premier pas marquant vers la r alisation de ces possibilit s II permet en outre de mobiliser le personnel et les familles pour les faire participer l am lioration des soins fournis aux personnes g es dans nos tablissements de soins de longue dur e Le projet ne pouvait pas arriver un meilleur moment Au cours des dix prochaines ann es la population vieillissante du Manitoba conna tra une augmentation du nombre de personnes ayant des besoins plus complexes en mati re de sant et de services sociaux dans le milieu des soins de longue dur e Les ressources seront sans aucun doute mises rude preuve car elles sont d j utilis es pleine capacit
91. nnellement Ajouter les tomates la p te de tomates et les pinards R duire feu doux couvrir et poursuivre la cuisson jusqu ce que les l gumes soient cuits environ 20 minutes Retirer du feu ajouter le persil et assaisonner au go t Nota on peut utiliser une vari t d assaisonnements et de l gumes selon les go ts de chacun comme des haricots verts du chou du chou fris ou du brocoli Des p tes ou des restes de viande en morceaux comme du poulet de la dinde ou m me des petites boulettes peuvent tre ajout s la soupe pour en faire un plat principal savoureux et r confortant Chili diSud Ouest Ingr dients 1 livre de b uf de dinde ou de poulet hach extra maigre 1 gros oignon hach 1 gousse d ail hach e finement 1 poivron vert hach 1 fasse de ma s en conserve goutt ou de ma s surgel 2 tasse de coriandre fra che hach e 1 bo te de haricots noirs goutt s et rinc s 398 ml on peut utiliser d autres haricots bo te de tomates en d s 398 ml 1 bo te de p te de tomates 156 ml 4 8 tasses d eau 1 ou 2 c soupe de chili en poudre au go t 1 c th de cumin facultatif 2 ou 3 c soupe d huile d olive 1 c soupe de vinaigre 2 C th de sel 2 C th de poivre noir 1 tasse de cheddar l ger r p facultatif Pr paration Faire sauter l oignon et l ail dans l huile d olive pendant quelques minutes puis ajouter le poivron vert e
92. nt constat que l utilisation des m dicaments antipsychotiques n tait par uniforme entre les foyers de soins de longue dur e de la R gion Nous avons examin les donn es et nous avons constat une utilisation moyenne de 30 dans les foyers de la R gion Lorsque nous avons regard de plus pr s certains foyers nous avons vu une grande diversit explique M Puchniak Certains foyers de la ville donnaient ces m dicaments seulement quelques r sidents soit moins de 20 de leurs r sidents on a m me vu moins de 10 des r sidents dans d autres foyers Par contre des foyers d passaient les 40 et un foyer obtenait un r sultat aussi bas que 6 dit il Compte tenu du fait que la population est peu pr s la m me d un foyer l autre sur le plan d mographique il semblait y avoir place l am lioration l aide des donn es du syst me MDS Joe Puchniak et Cynthia Sinclair ont r ussi d terminer que les diff rents degr s d utilisation de ces m dicaments d un foyer l autre avaient peu voir avec des variations du nombre de r sidents atteints de d mence On pouvait voir une importante variation Pourtant g n ralement parlant les populations sont assez similaires dans toute la R gion ajoute M Puchniak Fait int ressant les donn es r v laient en outre une ventuelle solution au probl me Elles indiquaient que les tabliss
93. nt le programme P LE C E S permettent de diminuer le recours aux m dicaments chez les r sidents des maisons d accueil pour personnes g es Le programme P LE C E S qui int gre les aspects Physiques Intellectuels motionnels les Capacit s l Environnement et la dimension Sociale est un mod le relativement nouveau de prestation des soins en cours de d ploiement dans la RSW Il ne rend pas les m dicaments enti rement superflus mais il permet aux soignants de faire preuve de plus Le pouvoir de l innovation cr ativit dans le cadre de leur travail aupr s des r sidents transformant du m me coup la prise de m dicaments en solution de dernier recours Comme indiqu dans l article Mme Sinclair et M Puchniak ont tenu confirmer les conclusions de leur tude au foyer pour personnes g es Middlechurch Home of Winnipeg dont la direction souhaitait administrer moins de m dicaments ses r sidents En collaboration avec les principaux membres du personnel de l tablissement Mme Sinclair et M Puchniak ont mis au point une variante du mod le P LE C ESS afin de l adapter Middlechurch et ont pr par des ateliers de formation l intention du personnel de l tablissement Les r sultats obtenus ont t tr s positifs Au bout de six mois l administration d antipsychotiques avait diminu de plus de 20 p 100 parmi les r sidents de Middlechurch soumis une telle m dication au d but du projet
94. nts qui prennent des antipsychotiques n ont pas de trouble psychotique ni d affection On note d importantes variations entre les foyers de soins de longue dur e de Winnipeg en ce qui concerne les taux d utilisation Dans certains tablissements les taux d utilisation d passent les 40 alors que d autres foyers affichent des Par cons quent il est possible d atteindre des taux d utilisation moins lev s Selon les donn es du syst me MDS les taux inf rieurs touchent des populations similaires et ne semblent pas se traduire par une augmentation des sympt mes comportementaux lorsque l utilisation des m dicaments est moins fr quente ou est interrompue chez les r sidents de ces tablissements L information contenue dans ce tableau est bas e sur les donn es de 2010 du syst me MDS en mati re de soins de longue dur e Chaque ann e la R gion consacre 348 millions de dollars l exploitation de 39 tablissements de soins de longue dur e qui fournissent des soins quelque 5 900 r sidents Pr s de 80 de ces r sidents auront des troubles cognitifs allant de l gers s v res la vaste majorit ayant une forme de d mence notamment la maladie d Alzheimer S Les co ts actuels sont consid rables et conna tront une augmentation importante dans l avenir Si on regarde les donn es d mographiques 2021 sera une ann e charni re car une importante partie de la population sera g e de plus de 65
95. ocs lectriques pour r tablir le rythme cardiaque du patient l arythmie aurait tr s bien pu revenir car le probl me sous jacent tait de dosage de la m dication Le D Lobato de Faria explique que cet exemple de probl me cardiaque met en lumi re l importance du nouveau syst me de dossiers lectroniques L utilisation du Dossi a modifi le cours de l intervention dit il Gr ce au Dossi des m decins comme le D Lobato de Faria peuvent rapidement trouver r ponse une question qui aurait n cessit par le pass de faire un appel dans un laboratoire d aller chercher un dossier dans un classeur ou d attendre que le personnel d bord puisse envoyer et recevoir des t l copies En deux mots l acc s imm diat l information conserv e dans une base de donn es s curitaire fait en sorte que le Dossi permet d am liorer les soins Il s agit de fournir les bons renseignements au bon endroit et au bon moment N aux patients de r duire le temps d attente pour les patients et de r duire les co ts et les temps morts pour le syst me de soins de sant Le D Lobato de Faria affirme que le syst me qui a t lanc Seven Oaks la fin 2010 et qui est actuellement mis en uvre dans divers endroits au Manitoba constitue une importante am lioration par rapport l ancien syst me de dossiers papier Il cite le cas d un patient ayant une infection de la vessie et pour qui il faut envoy
96. ofitable pour tous Cependant il est important de ne pas sombrer dans les malentendus concernant le poids sant Trop souvent les gens sont convaincus qu ils seront en meilleure sant seulement s ils atteignent un certain poids ou une certaine silhouette Ce probl me est aggrav par les croyances voulant que ces objectifs pourront tre atteints plus efficacement en suivant un quelconque programme de perte de poids Pourtant rien ne pourrait tre plus loin de la v rit En fait aucun poids n est universellement bon pour la sant Les gens en sant affichent diverses silhouettes et ont un poids diversifi M me si tout le monde Winnipeg tait actif et mangeait raisonnablement bien il y aurait encore des personnes de fortes tailles des personnes menues et des personnes de tous les gabarits Une r cente tude canadienne met en vidence ce point Dans le cadre de cette tude les donn es concernant plus de 11 000 adultes canadiens ont t examin es sur une p riode de 12 ans Les auteurs de l tude ont d termin que les personnes plut t corpulentes ayant une ob sit de classe 1 n avaient pas plus de risque de mourir que les personnes ayant un indice de masse corporelle IMC normal En fait un l ger embonpoint IMC de 25 29 a t associ un risque consid rablement r duit de mortalit La vraie question consiste d terminer comment tre en sant dans le corps que vous Le fait de mange
97. ogServices aspx Phone 204 784 7000 monde des animaux de ferme en visitant une mini ferme comme le centre Deer Meadow Farms ou en participant la Journ e portes ouvertes sur les fermes organis e par Agriculture Alimentation et Initiatives rurales Manitoba Ce ne sont pas uniquement les chiens et les chats qui procurent des bienfaits pour la sant mais tout animal qui correspond votre style de vie Il peut s agir de cochons d Inde d oiseaux de poissons rouges de lapins etc C est votre exp rience personnelle et votre relation avec votre animal comme source de soutien social qui compte l est vident que les animaux qui partagent nos vies nous font beaucoup de bien nous aident am liorer notre r silience et sont b n fiques pour notre sant et notre bien tre Dites donc un gros merci votre ami fourrure ou cailles et faites lui un gros c lin Ce geste vous fera le plus grand bien et votre animal l appr ciera Christine Holowick Sparkes est coordonnatrice en sant mentale aupr s de la R gion sanitaire de Winnipeg Comment d terminer son poids sante gt A i inn e e W p riode une Aus 2 N MINIME NA r Cana dar es ef de Drennent une sant Certaines personnes apportent des changements leur mode de vie en mangeant plus sainement ou en devenant plus actives Cette d marche peut tre une bonne chose L adoption d un mode de vie est pr
98. ommunication en mati re de sant L am lioration de l tat de sant de Mme Martin d montre l utilit d un tel programme C est son m decin de famille qui l a dirig e vers ce programme en 2006 apr s qu elle ait t hospitalis e pour d faillance cardiaque Apr s voir re u son cong de l h pital et tre rentr e la maison les infirmi res de T l Soins ont commenc l appeler pour faire le suivi de son tat de sant global et v rifier sa m dication Elles l ont de plus amen e prendre sa propre tension art rielle se peser r guli rement et leur transmettre ces donn es Elles lui ont galement inculqu l importance d adopter de saines habitudes alimentaires et de diminuer son apport en sel Elle a appris que beaucoup d aliments Gail Martin avec sa fille Michelle Martin Strong et sa petite fille Danika Martin Strong P en conserve et de mets pr par s dont une foule d aliments de r gime et faible teneur en gras sont tr s sal s et devraient tre vit s Elles l ont aussi encourag e faire plus d exercice en s inscrivant des cours d aquaforme Quand Mme Martin a re u son diagnostic de diab te de type 2 peu de temps apr s avoir adh r au programme T l Soins les infirmi res du service t l phonique l ont de plus aid e g rer sa maladie en lui apprenant contr ler sa glyc mie et en r duisant sa d pendance aux m dicaments Mme Martin par
99. on sanitaire de Winnipeg Ces renseignements se veulent informatifs et ducatifs et ne remplacent en rien l valuation les conseils le diagnostic ou les traitements d un professionnel de la sant Vous pouvez obtenir de l information sur la sant aupr s de notre personnel infirmier autoris 24 heures sur 24 sept jours sur sept en communiquant avec Health Links Info Sant Pour ce faire composez le 788 8200 ou appelez sans frais au 1 888 315 9257 On peut aussi avoir des naus es des vomissements de la diarrh e ainsi que des douleurs articulaires et musculaires I n y a pas de vaccin contre la malaria mais il existe un m dicament qui peut r duire les risques de la contracter Il faut alors obtenir une ordonnance d un m decin ou d une clinique sant voyage Il est tout de m me important de prendre des pr cautions pour se prot ger des piq res d insectes Quel est le probl me de sant le plus important pour les Canadiens qui partent vers le sud Le probl me le plus fr quent est probablement la diarrh e des voyageurs une infection intestinale brutale On utilise aussi d autres noms pour cette infection notamment la gastroent rite la revanche de Montezuma ou la tourista De 20 50 des voyageurs internationaux contractent la diarrh e des voyageurs Les destinations risques lev s comprennent les pays faible revenu de l Am rique latine de l Afrique du Moyen Orient et de l Asie Comment l in
100. ourse Pour plus d information sur le ski attel visitez le site Web www snowmotion ca Si vous voulez parcourir les pistes de ski sans votre toutou consultez le site www ccsam ca where to ski whereto ski winnipeg ms uset sas Snow Trek Horaires et lieux Snow Trek Joignez vous Winnipeg en mouvement pour un apr s midi de ski de fond et de raquette l occasion des activit s gratuites de Snow Trek Vous n en avez jamais fait Des ateliers d apprentissage gratuits sont offerts chaque endroit et du mat riel est pr t gratuitement Toutes les activit s ont lieu de 12h l6h Le 5 f vrier Centre r cr atif Harbourview Le 12 f vrier Centre nordique du parc Windsor et MUs e nature de la Prairie Pour plus d information visitez le site Web www winnipeginmotion ca Ce ne sont pas les activit s hivernales qui manquent Winnipeg Jetez un coup d il tout ce qui se passe dans la r gion pour trouver l activit qui vous convient Festival du Voyageur Pour un vaste choix d activit s en plein air pour toute la famille rendez vous au Parc du Voyageur Faites de l escalade allez glisser ou traversez le labyrinthe de neige Pour ceux et celles qui veulent faire l exp rience du mode de vie des voyageurs faites un arr t au Camp d entra nement du Voyageur pour tenter votre chance aux activit s sportives et aux d fis qui y sont pratiqu s Le Festival se d roule
101. pr liminaires sont encourageants Les b b s dont la m re avait re u les deux doses additionnelles avaient deux fois plus de chances d atteindre le taux souhait de vitamine D de 75 nmol par litre Dans l ensemble le taux moyen de vitamine D du groupe exp rimental tait sup rieur celui du groupe t moin m me s il est demeur sous la barre des 75 nmol par litre On constate donc une l g re hausse des taux de vitamine D du sang ombilical la naissance indique le D Schroth On ne pr tend pas remplacer les multivitamines et de bonnes habitudes alimentaires par un apport compl mentaire lev en vitamine D souligne le D Schroth C est un ajout utile aux soins pr nataux existants dit il Le projet d pend du travail de toute une quipe compos e de la D Cheryl Rockman Greenberg directrice m dicale du programme de p diatrie et de sant de l enfant de la R gion sanitaire de Winnipeg RSW de la D Margaret Morris chef du d partement d obst trique et de gyn cologie de la facult de m decine de l Universit du Manitoba et de M Pat Gregory directrice du programme de sant des femmes de la RSW La bourse de recherche qui lui a t octroy e par la MMSF permet au D Schroth de se lib rer de ses t ches la clinique du mont Carmel et au bureau Acc s centre ville de la RSW au 640 rue Main Son travail clinique comme ses travaux de recherche ont pour but d am liorer la sant dentaire dans les populations le
102. pui Le foyer Middlechurch correspondait parfaitement au profil recherch En effet 79 des 197 r sidents du foyer prenaient des antipsychotiques Le foyer Middlechurch affichait l un des taux d utilisation de m dicaments antipsychotiques les plus lev s dans la R gion soit un taux de 40 Autre donn e tout aussi importante la direction et le personnel de l tablissement taient pr ts participer au projet de recherche Les repr sentants du foyer Middlechurch nous ont dit qu ils aimeraient collaborer avec nous mentionne Me Sinclair Le personnel du foyer recueillait des donn es MDS depuis quelques ann es et tait conscient que l utilisation d antipsychotiques tait lev e Le projet FORCES a permis de passer en revue les pratiques et de chercher am liorer les soins Ils nous ont propos comme incitatif d offrir notre personnel une mini s ance de formation sur le mod le P I E C E S explique Betty Bender directrice de l administration des soins infirmiers au foyer Middlechurch Voil ce qui m a int ress e car cette formation est inestimable Joe Puchniak et Cynthia Sinclair en Les donn es r gionales du syst me MDS en mati re de soins de longue dur e indiquent que quelque 30 de tous les r sidents des tablissements de soins de longue dur e re oivent des m dicaments antipsychotiques Les donn es du syst me MDS montrent en outre qu approximativement 93 des r side
103. qu elle n a pas encore t diagnostiqu e pourrait ne pas prendre les mesures requises pour prot ger ses partenaires et freiner la propagation de la maladie La D Becker s int resse galement l ducation et la pr vention parmi les populations vuln rables de l tat indien du Karnataka et au traitement des malades du VIH sida Elle a pass trois ans dans cette r gion de l Inde alors qu elle tait encore une jeune chercheuse Au Karnataka elle s est int ress e aux travailleuses du sexe surtout les plus jeunes d entre elles afin d valuer leur acc s aux soins de sant aux services et l information en mati re de pr vention du VIH sida Dans le cadre de ses recherches en Inde 1 500 prostitu es ont rempli un questionnaire et ont t interview es en ciblant particuli rement les principales p riodes de transition qu elles avaient travers es comme les d buts de leur vie de travailleuse du sexe Nous sommes persuad s que la p riode o le risque est le plus grand se situe au d but de leur nouvelle vie de travailleuse du sexe affirme la D Becker Elles ne sont alors pas encore sensibilis es au sujet de l utilisation du condom des centres de soins et de l ducation offerte Bien que le sud de l Inde et la r gion de Winnipeg semblent appartenir des univers parall les la D Becker aimerait savoir comment la compr hension que l on a des principes en jeu en mati re de pr vention et de so
104. r viter les comportements probl matiques Pendant quelques semaines M Puchniak et Mme Sinclair se sont rendus au foyer Middlechurch pour rencontrer le personnel l occasion des caucus Chaque semaine nous parlions de ce r sident Comment va t il Qu est ce qui s est pass diff remment Qu est ce qui a t am lior et qu est ce qui ne l a pas t pr cise Me Sinclair Nous pouvions alors adapter le plan en cons quence puis en l espace de six semaines le r sident cessait compl tement de prendre des m dicaments antipsychotiques Durant cette p riode l accent a aussi t mis diff remment sur les soins affirme Sandy Peers coordonnateur des soins infirmiers au foyer Middlechurch La m dication des r sidents a t r duite alors que le personnel y compris les employ s d entretien et les aides en di t tique a collabor pour comprendre ce qui motivait les comportements des r sidents afin de trouver des moyens cr atifs de r gler les causes sous jacentes Dans certains cas on peut fournir aux r sidents du mat riel qui a un lien avec leur ancienne vie comme donner une ancienne enseignante des devoirs corriger ou remettre une bo te outils modifi s un ancien m canicien Dans d autres cas il suffit simplement de prendre le temps de parler r guli rement aux r sidents et de les couter avant qu ils manifestent des comportements probl matiques pour attirer l attention du
105. r s int ressants dans le domaine de la sant pulmonaire affirme le D Andrew Halayko chef du groupe Voici quelques exemples des travaux men s par le groupe sur le d veloppement des poumons de souris et les risques de d velopper de l asthme allergique Il dirige en outre des projets nationaux touchant les enfants notamment l tude intitul e Study of Asthma Genes and the Environment SAGE et il dirige l tude Canadian Healthy Infant Longitudinal Development CHILD Dans le cadre de ces importants projets des cohortes de naissances ont t cr es et seront suivies pendant des ann es dans le but d tudier en profondeur les facteurs environnementaux et g n tiques qui pourraient entra ner l apparition des allergies et de l asthme CHERCHE Shyamala Dakshinamurti M D R sum re La D Dakshinamurti est n onatologiste et professeure adjointe en p diatrie l Universit du Manitoba et ses travaux de recherche portent sur la biologie des b b s bleus une maladie caus e par une hypertension pulmonaire persistante chez le nouveau n qui compromet les modifications du d bit sanguin habituelles la naissance Elle tudie en profondeur la fa on dont la croissance et la r action contractile des cellules des muscles lisses des art res pulmonaires sont affect es lorsque les b b s bleus obtiennent des niveaux d oxyg nation insuffisants Ses travaux pourraient permettre de d couvrir des traitemen
106. r apr s la naissance on fait d assez bonnes interventions mais les b b s souffrent beaucoup en raison de tout ce qu il faut faire pour les garder en vie ajoute le D Keijzer Comme c est le cas bien souvent avec les id es derri re les recherches les discussions se sont encha n es et les Drs Xing et Keijzer se sont mis au travail pour d terminer comment une nouvelle cat gorie de m dicaments pourrait tre administr e aux b b s ayant ce probl me pendant la grossesse L expertise du D Xing concernant les mati res synth tiques joue un r le d terminant Dans le cas qui nous int resse le D Xing a cr une mati re de type polym re qui est essentiellement une forme d hydrate de carbone pouvant se fixer un m dicament base de nanoparticules le transporter aux cellules cibles et le lib rer dans ces cellules La mati re est synth tique mais est aussi biod gradable et biocompatible explique le D Xing C est tr s novateur Nous avons d velopp cette mati re nous m mes en laboratoire mais l id e est inspir e de la nature Nous utilisons les m canismes de la nature pour d velopper ces nouvelles mati res Le m dicament est une sorte de th rapie des micro ARN Lorsqu il est envoy dans les poumons du f tus il peut les aider se d velopper plus rapidement les micro ARN permettent de r guler les l ments produits par les g nes mentionne le D Halayko On ne r
107. r r guli rement durant la journ e permet de fournir votre corps et votre cerveau les nutriments n cessaires pour bien fonctionner Voici quelques conseils pour prendre de bonnes habitudes alimentaires Prendre des repas et des collations r guli rement En faisant r guli rement le plein d nergie notre corps aura l nergie n cessaire pour travailler et tre actifs Voil un des moyens de base pour rester en sant Prendre un petit d jeuner nourrissant Ce repas fournit l nergie n cessaire pour d marrer la journ e Manger une vari t d aliments On peut prendre plaisir manger tous les aliments y compris les g teries Manger une vari t quilibr e d aliments aux repas et aux collations La vari t favorise la stabilit de la glyc mie et de l humeur Il est bon d avoir une consommation r guli re des l ments suivants Les glucides fournissent de l nergie au cerveau et au corps choisir souvent les grains entiers Les prot ines favorisent l endurance Le lait est les produits laitiers renforcent les os et les dents Les fruits et les l gumes fournissent des fibres des vitamines et des min raux choisir des fruits et des l gumes de couleurs vari es chaque jour Les mati res grasses am liorent le go t de la nourriture transportent les vitamines liposolubles et favorisent la sensation de sati t Avoir une attitude calme et d tendue face la nourriture On peut y arr
108. rait peut tre lui donner quelque chose corriger comme si elle continuait d enseigner dans une cole propose une aide soignante a pourrait l aider s orienter et lui donner quelque chose faire Les employ s peuvent continuer de s interroger sur les soins lui apporter pour ventuellement laborer un plan qui consistera lui fournir du mat riel scolaire peut tre des anciens examens de math matiques sur lesquels elle pourrait travailler durant la journ e La prochaine tape consistera mettre le plan en uvre On dressera le portrait du comportement de la r sidente au cours des semaines qui suivront On prend en note dans son dossier son humeur ses activit s et surtout ses comportements probl matiques Plus souvent qu autrement durant un caucus l quipe parlera de quelques cas Une infirmi re peut faire le point sur les progr s d un r sident qui a t m canicien pendant 40 ans On peut lui avoir remis un coffre outils modifi s pour lui permettre de bricoler sans danger Il s agit d une d marche simple et facile mais les avantages qu en retire le r sident et le personnel sont concrets Le r sident se tient occup pendant quelques heures chaque jour ce qui r duit ses comportements probl matiques Autre r sultat non n gligeable le personnel passe ainsi moins de temps faire face ces comportements Cette fa on de traiter les r sidents repr sente un changement majeur au
109. rant des donn es recueillies Les choses sont plus motivantes ajoute M Peers Le personnel se sent plus en contr le de ce qu il fait car il voit des r sultats Au d but certains membres du personnel avaient des doutes concernant l efficacit du mod le P LE C E S mais apr s quelques semaines les donn es ont r v l une d couverte fascinante Nous avions d j commenc voir des manifestations d enthousiasme chez le personnel en ce qui concerne les changements mais lorsque les donn es du syst me MDS ont d montr que le mod le P LE C E S apportait une r elle am lioration au chapitre des soins aux patients les gens ont t emball s mentionne M Puchniak Sur le plan statistique il y a eu au foyer une r duction de 20 des antipsychotiques sur une p riode de six mois pour les r sidents qui prenaient ces m dicaments lorsque le projet a commenc Globalement au d but du projet 40 des r sidents du foyer Middlechurch prenaient des antipsychotiques Six mois plus tard ces m dicaments taient prescrits seulement 30 des r sidents C est une r duction norme affirme Betty Bender C est une chose de constater une diff rence chez les r sidents mais le fait d avoir des r sultats concrets prouve tout le monde que la d marche donne r ellement des r sultats Bien que l incidence des comportements probl matiques n ait pas vraiment diminu e avec le temps Cynthi
110. roupe de biologie de la respiration de la facult de m decine de l Universit du Manitoba Cet appareil est des plus ing nieux D En termes simples l appareil qui mesure environ un pied sur quatre pieds combine l lectricit lepolyhydroxybutyrate PHB et la g latine pour fabriquer un tube blanc qui ressemble de la gaze On branche l appareil on le met en marche et on le regarde l uvre En quelques secondes l appareil commence lib rer un fil si mince qu il est peine visible l il nu Alors qu il s enroule autour d un tube sur l appareil le fil prend la forme d une petite paille Aux yeux du commun des mortels la mati re qui sort de cet appareil ne 14 Le Courant semble pas particuli rement sp ciale on peut facilement la confondre avec un fil provenant de la doublure d un manteau ou penser que c est un nouveau mat riau isolant Cependant cette cellulose n a rien de commun selon le D Andrew Halayko titulaire de la chaire de recherche du Canadaen biologie mol culaire etcellulaire des voies respiratoires l Universit du Manitoba et chef du Groupe de biologie de la respiration Comme il l explique cette mati re partage des caract ristiques uniques avec le collag ne et l lastine qui se trouvent dans les tissus humains Ainsi elle se pr te certaines utilisations m dicales notamment la cr ation de tissus artificiels ce qui n est pas banal Cette chose a vr
111. rs Nous avons eu beaucoup de plaisir La raquette est un exercice exigeant sur le plan cardiovasculaire Peu apr s notre d part je pouvais sentir mon c ur battre tout rompre J ai vite compris qu il tait important de m nager mes forces pour pouvoir discuter avec mon ami pendant que nous d valions les sentiers enneig s Nous avons vite remarqu que la raquette est une activit accessible qui peut tre pratiqu e peu pr s n importe o Il suffit d un peu de neige Pour les d butants il est plus facile d emprunter les sentiers pr par s que de marcher hors piste Le ski de fond est une autre activit amusante que l on peut pratiquer l occasion du Snow Trek C est un exercice faible impact qui fait travailler tout le corps et qui active la circulation sanguine tout en faisant 34 Le Courant S travailler les muscles des parties inf rieure et sup rieure du corps On peut faire du ski tout ge et cette activit apporte de nombreux bienfaits tous les membres de la famille D La pratique r guli re d une activit comme le ski de fond ou la raquette peut favoriser le maintien d un poids sant procurer une bonne estime personnelle et am liorer le niveau d nergie Si vous avez envie de red couvrir l hiver pourquoi ne pas participer aux activit s de Snow Trek 20122 Il reste encore deux journ es durant lesquelles il sera possible d apprendre faire de la raquette et du ski de fond
112. s L homme avait soit une trop faible quantit de m dicament anti arhythmisant dans son organisme ou encore une trop grande quantit Bien entendu le probl me venait du fait que le D Lobato de Faria ne connaissait pas la r ponse exacte Dans de pareilles situations la meilleure option consiste pr sumer que le patient a trop pris de m dicament Le traitement d urgence habituel dans un tel cas serait d utiliser des chocs lectriques pour r tablir le rythme cardiaque Heureusement le D Lobato de Faria n a pas eu faire de suppositions pour poser un diagnostic et traiter son patient car Seven Oaks participe l initiative Dossi Il s agit d un tout nouveau syst me d enregistrement des renseignements m dicaux qui permet aux professionnels de la sant d acc der lectroniquement certains dossiers en un simple clic Dans le cas qui nous int resse le D Lobato de Faria savait que le patient avait r cemment consult son m decin de famille Il a donc jet 30 Le Courant un coup d il au dossier du patient dans le syst me Dossi Manitoba Un examen du dossier a r v l que la m dication du patient n tait pas assez forte Par cons quent il a t possible de traiter son arythmie simplement en augmentant la dose du m dicament et les chocs lectriques n ont pas t n cessaires Les avantages conf r s par le Dossi ne s arr tent toutefois pas l M me si on avait utilis les ch
113. s indiquent que la plupart des gens reprennent le poids perdu Les gens qui perdent et qui reprennent du poids plusieurs reprises ont tendance avoir une pression art rielle un poids et un taux de cholest rol plus lev s avoir une plus faible estime personnelle et tre moins actifs physiquement Les gens qui suivent des r gimes amaigrissants ont tendance penser la nourriture en termes d aliments autoris s ou non par leur r gime La nourriture devient un enjeu moral et est per ue comme quelque chose de bon ou de mauvais ou encore de sain ou de n faste Une alimentation restrictive peut entra ner un sentiment de privation qui peut son tour mener des choix alimentaires moins bons pour la sant La nourriture n est pas bonne ou mauvaise ce n est que de la nourriture Les r gimes amaigrissants repr sentent l un des plus grands facteurs de risque pour les troubles de l alimentation Donc si les r gimes amaigrissants ne repr sentent pas l approche souhait e que faut il faire Assez trangement la r ponse cette question est en fait plut t simple Si une personne mange raisonnablement bien ce qui veut dire manger une vari t d aliments y compris des g teries et des desserts et pratique r guli rement des activit s physiques le poids de cette personne se stabilisera un niveau convenable pour elle Il a t tabli que cette approche fonctionne Dans une tude r cente on a examin
114. s plus vuln rables et il insiste sur l importance de prendre un bon d part dans la vie en ce sens Souvent on ne commence se soucier de la sant dentaire d un enfant qu une fois ses dents apparues dit il II faudrait peut tre commencer s en pr occuper d s la grossesse Les dents commencent se solidifier d s le second trimestre C est le moment id al pour s assurer que les composants de base sont disponibles pour l enfant en gestation et sa future sant dentaire population vuln rable la plus susceptible de fr quenter les urgences des h pitaux pour obtenir des soins primaires est INTERVENIR R API D EM E NT aussi celle l plus risque d tre infect e au VIH Cela dit la D Marissa Becker qui est directrice adjointe du programme de lutte contre le I H VIH au Manitoba du Centre des sciences de la sant CSS et membre de l quipe du Centre for eux traiter les Global Public Health l Universit du Manitoba tudie l efficacit d un d pistage rapide du VIH Je d l urgence S a d IES nfect u SES La D Becker entame la derni re ann e de la chaire de recherche que lui ont confi e le Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant CMRS et la Manitoba Medical Service Foundation MMSF pour appuyer ses recherches sur la pr vention et le traitement du VIH sida dans la r gion de Winnipeg et en Inde La meilleure fa on de soigner le VIH consiste les popul
115. son coll gue et elle ont mis l accent sur l utilisation de m dicaments antipsychotiques parce qu il s agit d un aspect important des soins Nous voulions choisir un indicateur pour lequel nous pouvions disposer de donn es fiables et nous voulions en choisir un qui offrait des possibilit s d am liorations Les m dicaments antipsychotiques sont utilis s dans les foyers de soins personnels du Canada et dans la plupart des pays industrialis s afin d aider g rer les comportements probl matiques des r sidents des foyers de soins de longue dur e qui souffrent de d mence N anmoins la recherche indique que bien souvent les m dicaments de premi re et de deuxi me g n rations comme la risp ridone ou la qu tiapine procurent bien peu de soulagement car ils n ont pas t con us pr cis ment pour traiter la d mence Il s agit d une cat gorie de m dicaments cr s initialement pour les probl mes psychotiques comme la schizophr nie et d autres maladies mentales provoquant des sympt mes de d lire et d hallucinations explique M Puchniak Chez les schizophr nes les m dicaments sont cens s agir en r duisant l anxi t les hallucinations les d lires et les autres comportements antisociaux Toutefois ces m dicaments posent probl me lorsqu ils sont utilis s par des personnes atteintes de d mence En fait ils pourraient ne pas r duire les comportemen
116. ss Le magazine est disponible dans les kiosques journaux les h pitaux et les cliniques de la r gion de Winnipeg et chez McNally Robinson Books Winnipeg Free Press R dacteur en chef Bob Cox V p Ventes et marketing Laurie Finley Publicit marketing Winnipeg Free Press Gestionnaire de Niche Products Edith Bonner T l phone 204 697 7389 Courriel edith bonner freepress mb ca Abonnements Le Courant est aussi disponible sous forme d abonnement Un an six num ros 12 60 12 TPS Ces frais sont payables par ch que mandat poste ou carte de cr dit Visa ou MasterCard Pour s abonner composer le 204 697 7389 ou envoyer un courriel edithbonner freepress mb ca Bureau du r dacteur en chef Office r gional de la sant de Winnipeg 650 rue Main Winnipeg Man R3B 1E2 T l phone 204 926 8144 courriel wave mits net L information pr sent e dans cette publication ne vise pas rem placer l avis des professionnels de la sant Pour toute condition m dicale ou th rapie veuillez communiquer avec votre m decin ou un autre professionnel de la sant Les opinions et points de vue exprim s dans cette publication ne correspondent pas toujours ceux des responsables de l Office r gional de la sant de Win nipeg Cette publication ne peut tre r imprim e ou reproduite en totalit ou en partie sans le consentement de l Office r gional de la sant de Winnipeg 4 Le Courant est
117. ssier sp cial commandit par le Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant braque les projecteurs sur les travaux de quatre boursiers qui ont obtenu une chaire de recherche clinique du CMRS et de la MMSF LA LES B B S BLEUS Une chercheuse s attaque l hypertension art rielle ulmonaire chez le 4 Fra I y ne naissance n aboutit pas toujours ce moment magique o le b b commence respirer perd sa teinte bleut e et vire un beau rose p tant de sant Il arrive que le nouveau n souffre d hypertension art rielle pulmonaire un trouble potentiellement mortel qui fait que le b b a de la difficult respirer La D Shyamala Dakshinamurti cherche savoir ce qui cause ce probl me chez certains nouveau n s et ce qui pourrait tre fait pour l viter Depuis 2010 la Manitoba Medical Services Foundation et le Conseil manitobain de la recherche en mati re de sant lui accordent une aide financi re pour appuyer ses travaux L hypertension pulmonaire r sulte de complications d un accouchement difficile comme une compression du cordon ombilical ou une selle au moment de la naissance qui font que le m conium f tal la substance expuls e des intestins du b b avant le premier allaitement n obstrue les voies a riennes Quand une telle chose se produit le nouveau n est incapable de s oxyg ner correctement Bien que l hypertension pulmonaire n affecte qu un si
118. syst me l automne dernier l information sur les consultations m dicales des patients l H pital Saint Boniface a t ajout e Ainsi chaque fois qu un patient voit un m decin Saint Boniface la visite et la raison de la consultation sont inscrites au dossier D autres h pitaux seront ajout s dans le cadre de la Il est parfois facile d oublier quel point ce syst me changera la donne mise niveau des syst mes Rick Guerard directeur de projet du Dossi pour le Programme de cybersant du Manitoba affirme que le programme est con u pour garantir une am lioration des soins gr ce un meilleur partage de l information L objectif consiste donner l acc s aux renseignements toute personne qui en a besoin pour faire son travail explique M Guerard On a aussi int gr de nombreux outils au syst me pour prot ger les renseignements personnels La base de donn es et la plateforme ont t con ues pour pr senter les renseignements m dicaux dans un format clair et convivial Les utilisateurs autoris s peuvent faire une recherche en utilisant le num ro d identification personnel du patient le num ro du dossier hospitalier ou le nom et la date de naissance du patient Le syst me affiche ensuite un cran pour la personne concern e et pr sente une s rie d onglets consultations tat m dication laboratoire immunisation rapports d imagerie et documents cliniques En plus de fourn
119. t fond s sur une formation en biologie mol culaire et cellulaire dans des domaines aussi vari s que la phytologie et l agriculture Aujourd hui il se concentre sur la biologie des maladies pulmonaires Depuis qu il a termin son doctorat l Universit du Manitoba il a labor des concepts fondamentaux concernant le r le fonctionnel des muscles lisses des voies respiratoires dans la pathog nie de l asthme Sa formation l a men diriger un vaste programme de recherche bas sur la biologie cellulaire la physiologie et l utilisation de mod les souris pour tester des m dicaments et pour investiguer l inflammation des voies respiratoires la gu rison des blessures ainsi que le fonctionnement Il s int resse actuellement des m diateurs appel s alarmines et leur contribution dans le d veloppement de l asthme s v re une condition r fractaire aux habituelles st roidoth rapies Ses recherches sont de nature translationnelle et mettent l accent sur les nouvelles avenues pour le traitement des maladies obsiructives des voies respiratoires et les essais pr cliniques Actuellement il value si les statines largement utilis es pour faire baisser le cholest rol s rique et les inhibiteurs pharmacologiques associ s peuvent pr venir et neutraliser l asthme allergique Ses travaux ont fait ressortir des lacunes au chapitre du d veloppement des m dicaments et des tapes permettant de les offrir aux p
120. t la viande Cuire pour faire dispara tre la coloration ros e de la viande Ajouter le sel le vinaigre le chili en poudre et le cumin et faire cuire pendant deux minutes Ajouter les tomates et laisser mijoter 10 minutes Ajouter ensuite la p te de tomates et l eau Ajouter les haricots rinc s la coriandre hach e et laisser mijoter 20 minutes Servir accompagn de fromage r p si d sir Ingr dients 3 grosses poitrines de poulet ou une quantit de poulet quivalente 4 6 fasses 6 c soupe d huile d olive Poivre noir fraichement moulu au go t 6 tasses de bouillon de poulet faible teneur en sodium 2 cubes de bouillon de poulet 2 tasses d oignons hach s 2 oignons 1 4 tasse de f cule de ma s pour paissir on peut aussi utiliser de la farine 2 tasse de demi cr me ou de lait 2 tasses de carottes hach es 1 fasse de navet en cubes 2 tasses de pois surgel s 1 tasse de c leri 1 2 tasse de feuilles de persil frais hach es On peut utiliser de la p te feuillet e du commerce ou une p te tarte maison 1 uf m lang 1 c soupe d eau pour la dorure l uf Pour remplacer la cro te traditionnelle de cette tourte vous pouvez essayer une cro te faite en p te biscuit du commerce que vous pr parerez selon les instructions de l emballage 44 Le Courant Pr paration Faire chauffer le four 375 F Mettre le poulet sur une plaque cuisson et l enduire d h
121. t le risque d ob sit de 35 pour cent Les utilisateurs des transports en commun ont trois fois plus de chances de suivre la recommandation quotidienne d activit physique Heureusement on fait de plus en plus le lien entre planification urbaine et sant publique Au cours des derni res ann es le secteur de l urbanisme a mis l accent sur l importance de collectivit s o les gens peuvent vivre travailler et se divertir sans avoir n cessairement prendre la voiture La strat gie de la Ville de Winnipeg pour des collectivit s compl tes va dans ce sens Elle pr conise des corridors certains tron ons de l avenue Corydon ou de la rue Marion ou des centres centre ville de Transconna ou quartier d Osborne Village usage mixte On y trouve en effet des r sidences des commerces de d tail des centres de loisirs et des lieux de travail Et les avantages sont clairs Les r sidants de collectivit s qui font une large place au transport actif pied bicyclette ou par les transports en commun ressentent des bienfaits pour la sant importants En facilitant les choses pour que les gens puissent se d placer et tre actifs en m me temps nous favorisons pour tout le monde l int gration de plus d activit physique dans la vie quotidienne Et ce n est pas banal Les environnements b tis qui EF 27 favorisent un mode de vie actif contribuent am liorer notre sant physique et mentale col
122. t utilis les donn es existantes du syst me MDS qui documentaient les comportements et l utilisation des m dicaments Nous avons ensuite labor un plan en nous servant de la formation suivie pour fournir des soins d une mani re diff rente Autrement dit ii fallait sortir des sentiers battus et se montrer cr atif La mise en uvre du mod le P 1 E C E S est exigeante car il faut coordonner de nombreux l ments changeants Le mod le de soins de sant int gr s P LE C E S devient efficace une fois que les fournisseurs de soins arrivent tablir des liens entre les probl mes de comportement inscrits aux dossiers sur une certaine p riode de temps ventuellement un sch me de comportement se d gage et facilite la compr hension des causes sous jacentes Une fois les causes connues les solutions apporter peuvent tre relativement simples Dans certains cas les changements apporter aux soins peuvent tre aussi simples que de demander un membre du personnel en service de prendre cinq minutes pour interagir avec un r sident Certains comportements probl matiques sont r gl s tr s efficacement par ce que nous appelons un plan pro attention qui consiste consacrer quelques minutes par heure un r sident pour qu il ne se sente pas seul explique Betty Bender Le temps consacr par le personnel est minime mais le r sident obtient l attention dont il a besoin pou
123. tat que les personnes qui avaient un chien avaient beaucoup plus de chances d tre encore en vie que celles qui n avaient pas de chien peu importe la gravit de la crise cardiaque Une tude de la University of Missouri Columbia indique que l interaction humain chien aide les personnes faire face la d pression et aux maladies caus es par le stress Quelques minutes pass es caresser un chien suffisent pour lib rer plusieurs hormones de bien tre chez les humains y compris la s rotonine la prolactine et l oxytocine Ces hormones favorisent le calme et la relaxation Ces caresses entra nent aussi une diminution du taux de la principale hormone li e au Les 5 principales raisons qui font que les animaux sont bons pour la sant 1 Ils vous rendent plus heureux et am liorent votre estime personnelle 2 Ils sont une excellente source de soutien social 3 Ils vous poussent faire de l exercice en marchant 4 Ils contribuent am lioration de votre sant Laloldaalo lilon Winnipeg Humane Society site Web www winnipeghumanesociety ca volunteer t l phone 204 982 2021 D Arcy s A R C site Web www darcysarc ca how to help volunteer t l phone 204 888 2266 Deer Meadow Farms site Web www deermeadowfarms com t l phone 204 222 1824 Journ e portes ouvertes sur les fermes site Web htip Www gov mb ca agriculture financial ope
124. tions du Dossi par des professionnels de la sant Tous les chiffres taient valides en date du 15 d cembre 2011 32 Le Courant a constat d autres situations dans lesquelles un acc s plus rapide l information a pu avoir des r percussions importantes sur la sant des patients Il pense en outre au cas d un nouveau n qui a t amen un jeudi de l automne dernier l H pital pour enfants avec une infection la vessie Un chantillon d urine a t pr lev et envoy pour tre mis en culture Comme il faut quelques jours pour laisser la culture se d velopper afin de prescrire le bon antibiotique le D Fatoye a v rifi le Dossi durant la fin de semaine pour voir si les r sultats taient arriv s D s que le laboratoire a envoy les r sultats le lundi matin il a t en mesure de prescrire l antibiotique ad quat Avant l arriv e du Dossi lorsque les renseignements taient communiqu s par t l phone et par t l copieur il aurait fallu une journ e de plus pour obtenir l information L enfant a pu tre trait une journ e plus t t ce qui deux semaines ou deux semaines et demie repr sente une diff rence norme pr cise t il Le D Fatoye fait une comparaison de l acc s l information avant et apr s l arriv e du Dossi Si un patient se pr sente en disant qu il est all l H pital g n ral Victoria la veille et qu on a fait des analyses de sang je
125. toujours Une histoire d chirante Un membre de la famille la m re ou le p re peut tre re oit un diagnostic de maladie d Alzheimer o de d mence pr s nile Au d but ses proches en prennent soin la maison convaincus que la personne atteinte se sentira mieux dans un d cor familier ventuellement toutefois on se rend bien compte que l tre cher a besoin du genre de soins qui souvent ne sont prodigu s que dans un foyer de soins de longue dur e C est une histoire de plus en plus courante dans la r gion sanitaire de Winnipeg RSW Les 39 foyers de soins personnels de la ville h bergent plus ou moins 6 000 personnes Bon nombre des r sidents de ces tablissements souffrent d Alzheimer ou de d mence Les familles des r sidents comptent sur le personnel de ces tablissements qu ils soient d tenus et g r s par la RSW ou par un partenaire du secteur priv pour prendre soin de leurs proches videmment s occuper de gens aussi vuln rables est une norme responsabilit une t che difficile bien s r mais qui r serve aussi son lot de r compenses Il y a quelques ann es j ai eu l occasion de d couvrir tous les d fis li s un tel travail en tant que directrice des services de soins aux patients du Centre de soins Kildonan l poque un certain nombre de nos r sidents n cessitaient une attention particuli re en raison de la maladie d Alzheimer ou d une forme de d mence Comme on pe
126. ts de chirurgie de p diatrie et sant de l enfant et de physiologie Prix du jeune chercheur Congr s europ en de chirurgie p diatrique Bourses d tudes postdoctorales Erasmus MC 18 Le Courant nous aimerions trouver une fa on d amener une entreprise pharmaceutique venir nous en disant nous avons un compos X et nous pensons qu il pourrait donner naissance un m dicament pour combattre le cancer mais nous ne sommes pas certains que tout le monde y r agira positivement dit il Nous pourrions d velopper plus de m dicaments plus efficacement plut t que de nous arr ter au premier obstacle alors que les entreprises pharmaceutiques h sitent investir 750 millions de dollars pour effectuer les premiers essais cliniques Certains des m dicaments qui pourraient finir par tre test s sur cette plateforme biom dicale pourraient en fait tre d velopp s par le Groupe de biologie de la respiration Par exemple le D Xing travaille avec un chirurgien p diatre du groupe le D Richard Keijzer pour d velopper une application m dicamenteuse nanotechnologique pour les f tus chez qui on diagnostique un probl me pulmonaire cong nital l chographie les m decins peuvent diagnostiquer une hernie diaphragmatique une ouverture dans le diaphragme chez les f tus d environ 20 semaines Le diaphragme est le muscle dans le bas de la cavit thoracique qui se dilate et se contracte avec la respiration Pendant
127. ts n gatifs et en doses plus importantes pourraient avoir un effet s datif att nuant pratiquement tous les comportements bons comme mauvais De plus ils peuvent provoquer des effets secondaires Nous savons que de nombreux effets secondaires n gatifs peuvent tre associ s aux m dicaments antipsychotiques notamment un risque accru d AVC de crise cardiaque et de mortalit chez les patients g s mentionne Mme Sinclair en ajoutant qu il peut aussi y avoir d autres effets secondaires moins graves et moins courants comme des sympt mes parkinsoniens tremblements de l apathie des probl mes de sommeil une perte d app tit ou un gain de poids Cela tant dit il reste tout de m me une petite partie des personnes atteintes de d mence pour qui ces m dicaments peuvent tre b n fiques particuli rement les personnes extr mement agressives et anxieuses Nous ne cherchons pas liminer compl tement l utilisation des antipsychotiques dans les foyers mais faire appel ce moyen th rapeutique de fa on judicieuse et appropri e en faisant preuve de prudence ajoute Mme Sinclair La R gion sanitaire de Winnipeg soutient que les m dicaments antipsychotiques ne doivent tre utilis s qu en dernier recours pour soulager certains sympt mes d coulant de la d mence Cependant il est difficile de d finir quels sont ces sympt mes Dans le cadre de leur recherche Joe Puchniak et Cynthia Sinclair o
128. ts pour accro tre l oxyg nation et pr venir le dysfonctionnement pulmonaire ajoute le D Xing Sur le chemin menant l atteinte de cet objectif il se pourrait que les recherches du D Halayko sur la culture de tissus pour tester de nouveaux m dicaments recoupent les travaux du D Keijzer lorsque le moment de faire des essais cliniques sur des humains approchera Cependant le Groupe de biologie de la respiration est d j une r ussite m me si ces deux projets pourraient ne jamais mener directement des applications utilisables sur des humains Il est plus que probable qu ils m nent indirectement d autres r ussites au centre ou dans d autres laboratoires de recherche situ s l autre bout du monde Rien de tout a n aurait t possible cependant sans cette id e unificatrice r unir un large ventail d experts sous un l Universit du Manitoba Il s agit de m langer ensemble les ingr dients n cessaires pour trouver de nouvelles id es souligne le D Keijzer Avec le Groupe de biologie de la respiration j ai ajout le d veloppement des poumons au m lange Le D Xing ajoute la nanotechnologie explique le D Keijzer Maintenant nous travaillons ensemble et nos tables de travail sont voisines dans le laboratoire Nous pouvons discuter et trouver de nouvelles id es Il ajoute qu il est reconnaissant envers le D Halayko pour avoir pris l initiative de faciliter le recrutement de c
129. uile d olive Saler et poivrer Faire r tir pendant 30 minutes ou jusqu ce que la viande soit compl tement cuite Laisser refroidir la viande puis la couper en gros cubes On devrait obtenir de 4 6 tasses de cubes de poulet Dans une grande casserole faire sauter l oignon dans l huile d olive pour le rendre translucide puis ajouter le bouillon de poulet et les cubes de bouillon en brassant pour faire dissoudre les cubes Ajouter les carottes le navet et le c leri et laisser mijoter environ 15 minutes jusqu ce que les l gumes deviennent tendres sans tre trop cuits Dans un petit bol ajouter un liquide froid la f cule et m langer pour obtenir Une p te sans grumeau Ajouter ensuite aux l gumes et faire cuire feu moyen en brassant continuellement pendant 2 minutes Faire mijoter feu doux pendant 1 minute de plus en brassant pour faire paissir Ajouter le reste du sel du poivre et la cr me ou le lait Ajouter les cubes de poulet les pois et le persil Bien m langer R partir la garniture galement dans 4 plats allant au four pour obtenir des tourtes individuelles ou dans un seul grand plat Abaisser la p te au rouleau pour pouvoir recouvrir le ou les plats Badigeonner le rebord du ou des plats avec la dorure l uf puis placer la p te sur le ou les plats Couper la p te 2 pouce du bord du ou des plats Pincer la p te de fa on la replier sur le rebord en la pressant pour la faire coller
130. une nouvelle activit peu importe votre condition physique VOUS Utiliserez vos muscles d une mani re inhabituelle pour vous Vous devez donc faire des p riodes plus courtes d activit au d but et augmenter la dur e graduellement Porter un casque Lorsque vous allez patiner ou glisser prot gez vous et les membres de votre famille en portant un casque bien ajust et ad quat pour l activit pratiqu e N oubliez pas de respecter les r glements de la patinoire ou du site de glisse pour viter les collisions Pour obtenir des conseils sur la s curit et l ajustement des casques et de l aide pour choisir le bon casque pour les activit s hivernales comme le patin glace le hockey la glissade le ski la planche neige et la motoneige visitez le site Web www fhinkfirst ca fr index aspx Dispositifs d adh rence En hiver la neige et la glace font augmenter les risques de glisser et de tomber Lorsque vous marchez dehors en hiver vous pouvez ajouter un dispositif d adh rence sur la semelle de vos chaussures ou de vos bottes pour viter de glisser et de tomber Vous pouvez aussi essayer des b tons de marche nordique pour augmenter l intensit de votre marche et pour am liorer votre quilibre S habiller en fonction du temps Le secret pour appr cier les activit s de plein air consiste rester au sec et au chaud Lorsque vous choisissez vos v tements vous devez pr voir trois couches de v tements la couche de
131. ut le constater en lisant l article pr sent la page 24 du pr sent num ro du Courant il n est pas toujours facile de dispenser des soins ces r sidents De nombreux r sidents ont des comportements difficiles pour reprendre la terminologie des fournisseurs de soins de sant Comme on le lit dans ce reportage Ils sont souvent confus d sorient s et anxieux Certains r sidents peuvent se montrer agressifs ce qui peut tre dangereux pour eux m mes le personnel et les autres Les membres du personnel soignant des tablissements de soins de longue dur e nord am ricains emploient diff rentes approches pour s occuper de leurs r sidents Ils recourent parfois aux antipsychotiques comme la risp ridone et la qu tiapine pour calmer un r sident agit Ce n est pas la meilleure fa on de faire M me si une ordonnance d un m decin est obligatoire pour Une lettre de la R gion sanitaire de Winnipeg Arlene Wilgosh pr sidente directrice g n rale administrer des m dicaments dans les foyers de soins personnels les professionnels de la sant savent bien qu il existe un probl me cet gard D abord les antipsychotiques peuvent avoir des effets secondaires dont un risque accru de crise cardiaque et d accident c r brovasculaire Cela n est assur ment pas une bonne chose pour les r sidents concern s Nous nous devons donc de r pondre cette importante interrogation Si les m dica
132. vateurs ou m me fournir un nouveau moyen pour mettre l essai des m dicaments qui ne seraient autrement jamais d velopp s en raison des co ts trop lev s Nous voulons en bout de ligne d velopper de meilleurs m dicaments mentionne le D Halayko Voil pourquoi nous mettons sur pied une unit de g nie biom dical pour effectuer ce genre de tests Bien que d autres centres dans le monde puissent utiliser des m thodes similaires le D Halayko affirme qu une grande partie du travail effectu Winnipeg est unique et est bas sur une nouvelle utilisation de la technologie dans le but de faire des d couvertes On peut citer comme exemple le partenariat Bio airway Research Offering New Concepts in Health BRONCH Financ par la National Sanatorium Association ce partenariat r unit le Groupe de biologie de la respiration du Manitoba Institute of Child Health la facult de m decine de l Universit du Manitoba et l Universit de la Colombie Britannique Ce projet dirig dans la Janvier f vrier 2012 15 0 JE O O O Le Q z 34 Le A BIO D Andrew Halayko Le D Andrew Halayko qui est n et a grandi Winnipeg est professeur de physiologie et de m decine titulaire de la Chaire de recherche du Canada en biologie mol culaire et cellulaire des voies respiratoires ef chef du Groupe de biologie de la respiration Ses travaux de recherche son
133. vous serez capable de tenir long terme Les raisons pour lesquelles les Canadiens ne sont pas aussi actifs qu ils le devraient sont nombreuses allant d horaires de travail charg s trop de temps pass devant la t l vision ou l ordinateur Mais notre s dentarit collective tient aussi un facteur dont on ne tient pas assez souvent compte il s agit de notre environnement b ti La majorit des facteurs influen ant notre sant se trouvent l ext rieur du syst me de sant et l activit physique n y fait pas exception Notre environnement b ti dicte la fa on dont nous vivons et les environnements dans lesquels nous vivons ne nous incitent pas tre actifs Telles qu elles sont con ues nos villes ne nous donnent pas l occasion d tre actifs Nous allons souvent au travail l cole sur nos lieux de loisirs et l picerie en voiture au lieu d y aller pied ou de prendre les transports en commun Nous prenons l ascenseur au lieu d emprunter les escaliers Et nous sommes assis la majeure partie de la journ e Ainsi nous ratons des occasions d tre plus actifs et ces occasions s accumulent Prenons le temps de r fl chir ce qui suit e Le nombre d l ves qui vont pied ou bicyclette l cole est pass de 42 pour cent en 1969 13 pour cent en 2001 e Vivre dans un quartier o les magasins et les entreprises se situent une distance de marche raisonnable r dui
134. x b b s sur 1 000 ces poupons repr sentent jusqu dix pour cent des petits patients de l unit n onatale des soins intensifs de l h pital pour enfants explique la D Dakshinamurti Ce sont les b b s les plus gravement malades de l unit n onatale des soins intensifs ajoute la D Dakshinamurti qui est membre des d partements de p diatrie et de physiologie de la facult de m decine de l Universit du Manitoba et du groupe de la biologie de la respiration La D Dakshinamurti qui est clinicienne de garde l unit n onatale des soins intensifs de l h pital pour enfants rappelle que le corps humain subit une profonde transformation la naissance et les b b s dont elle s occupe sont ceux qui ont davantage besoin d aide pour accomplir cette transition C est un ph nom ne que nous tenons pour acquis lorsque le b b prend sa premi re inspiration le c ur dirige le sang vers les poumons dit elle ce moment l oxyg ne qui provenait du placenta se met tre achemin par les poumons Le d bit cardiaque passe de cinq cent pour cent au niveau des poumons L hypertension pulmonaire cause la constriction des art res pulmonaires du b b le c ur a alors de la peine y pomper suffisamment de sang ce qui l ve la tension art rielle et diminue l apport en oxyg ne au niveau cellulaire Le c ur n est pas fait pour pomper en force ce qui le soumet un stress important explique t elle

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