des compléments alimentaires
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1. l approche de l hypertension art rielle DIAGNOSTIC Ila t expliqu plusieurs reprises que le diagnostic repose toujours sur la prise de la tension art rielle clinique classique avec la valeur limite arbitrairement choisie de 140 90 mmHg Dans les d bats on entend parfois sugg rer qu il faudrait pr f rer la m thode classique les techniques plus modernes de mesure de la tension ou les techniques connexes Il n en a manifestement pas t tenu compte dans les recommandations actuelles qui s en tiennent la m thode et la limite fixes appliqu es depuis de nombreuses ann es La valeur des donn es obtenues de cette mani re est certes relativis e dans des cas sp cifiques a fortiori lorsqu il s agit des cons quences th rapeutiques Ce qui importe c est que toutes les pr cautions soient prises pour am liorer la m thode classique Ainsi il est tr s utile de prendre la tension art rielle plusieurs reprises par ex trois fois avec un intervalle d une minute de pr f rence en position assise et chez les nouveaux patients de mesurer la tension art rielle au moins une fois aux deux bras et surtout chez les sujets plus ag s de la prendre galement en station debout La mesure de la tension art rielle en ambulatoire et a domicile nous a beaucoup appris ll ne fait plus de doute que la tension art rielle ambulatoire pr sente une forte corr lation avec les accidents cardiovascu2. taient plus fr quemment trait s par acide ac tyl salicylique antidiab tique ou antihypertenseur C ur et Arteres Venons en l essentiel Quel a t l impact de la levure rouge de riz sur le taux de LDL cholest rol 0 Descamps Chez les patients na fs le taux de cholest rol LDL a diminu de 161 mg dL 126 mg dL ce qui repr sente une r duction significative de 21 Le taux de cholest rol HDL et celui des triglyc rides n ont pas vari de mani re significative Le pourcentage de patients ayant un taux de cholest rol LDL sup rieur 115 mg dl cette valeur constituant la valeur cible pour les sujets faible risque 7 a fortement diminu puisqu il est pass de 97 60 Chez les sujets avec ant c dents d intol rance aux statines le taux de cholest rol LDL a diminu de 19 Certains patients taient toujours sous statine au moment de l inclusion et malgr cela la concentration moyenne en cholest rol LDL est pass e de 156 mg dl 122 mg dl une diff rence significative Comme pour le sous groupe des patients na fs aucune diff rence n est apparue pour les concentrations en cholest rol HDL et triglyc rides Le pourcentage de patients ayant un taux de cholest rol LDL sup rieur a 100 mg dl valeur cible pour les sujets a risque lev 5 est pass de 92 76 C ur et Art res ll nous reste parler de la tol rance O Descamps Les sujets trait s en pre
3. manifeste la hausse en Europe orientale Par ailleurs la tension art rielle systolique lev e bien connue chez les seniors constitue un grand probl me eu gard au vieillissement de la population Le risque engendr par l hypertension art rielle ne d coule pas seulement de l l vation de La tension proprement dite mais galement de son association avec d autres facteurs de risque Cela tait d ja mentionne dans les recommandations pr c dentes La pr valence croissante de l ob sit et du diab te joue un r le tres important en la mati re Une hypertension l gere peut ainsi devenir un probleme majeur si celle ci est associ e a un diab te ou une surcharge pond rale cet aspect est souvent sous estim aussi les recommandations insistent elles toujours sur l tablissement d un profil de risque total chez tout patient hypertendu BILAN DE ROUTINE CHEZ LE NOUVEAU PATIENT HYPERTENDU La liste des param tres qu il est pr f rable de d terminer en routine chez tout nouveau patient hypertendu est pr sent e ll s agit en premier lieu de la mesure de la tension art rielle simple mais r p t e qui continue d occuper une place centrale dans le diagnostic La liste des facteurs de risque classiques cholest rol glyc mie tabagisme poids doit tre tablie conjointement avec les informations concernant la fonction r nale HE JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE IX gt mic
4. nombreux patients mais pas chez tous Cela a t confirm par de grandes tudes bien contr l es Il faut toutefois encore attendre pour disposer des r sultats long terme Les recommandations confirment les r sultats prometteurs de cette technique mais sugg rent toutefois d attendre les r sultats long terme sachant que l activit orthosympathique peut parfois r cup rer apr s un certain temps En tout tat de cause l ex cution de la technique doit rester limit e des centres poss dant l environnement et l expertise technique n cessaires pour ex cuter toute l intervention dans de bonnes conditions de s curit tout en tant pr par faire face des cons quences impr vues LE PROBL ME NON R SOLU Dans les milieux scientifiques on affirme maintes reprises que l approche de l hypertension art rielle ne devrait plus constituer un probl me La r alit en Europe et dans le monde montre toutefois tr s clairement que l hypertension art rielle est encore loin d tre suffisamment contr l e dans la population L observance th rapeutique est souvent d ficiente et Le manque de compr hension du probl me de l hypertension art rielle et la n cessit d un suivi a vie constituent des points tr s importants cet gard Le corps m dical ne s int resse certainement pas non plus suffisamment au probl me entre autres la n cessit d une surveillance permanente des ch
5. polycosanols 10 mg riz ferment par Monascus purpureus riz rouge ferment 200 mg quivalent 3 mg de monacoline acide folique 0 2 mg coenzyme Q10 2 0 mg et astaxanthine 0 5 mg Indications d Armolipid Armolipid est un compl ment alimentaire naturel compos de polycosanols de riz rouge ferment d acide folique de coenzyme Q10 et d astaxanthine Les ingr dients d Armolipid sont des compl ments utiles au r gime occidental type Mode d emploi La dose habituelle est de 1 comprim par jour ou selon l avis du m decin Pr cautions Ne pas utiliser pendant la grossesse l allaitement ou en combinaison avec un m dicament hypolip miant Tenir hors de port e des enfants de moins de 3 ans Ne pas d passer la dose quotidienne recommand e Le produit doit tre utilis avec une alimentation vari e et quilibr e et un mode de vie sain Des tudes sur le profil de s curit ont montr que lors de l utilisation d Armolipid il peut se produire de la dyspepsie et des myalgies celles ci en particulier chez les patients qui ne tol rent pas les statines Ces inconv nients conduisent rarement l arr t de l utilisation du produit Sans gluten MADAUS Rottapharm Madaus Group HE JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE A posologie et surtout le type des diur tiques ont fait l objet de vives discussions les auteurs de ces recommandations trouvent peu d arguments solides cet effet mais ici aussi s applique le princi
6. tude chinoise randomis e de nombreux auteurs taient significative men e en double aveugle l a persuad s que le risque d effets le taux de compar e un placebo chez 79 ind sirables musculaires serait cholesterol identique celui rapporte pour a sujets ayant un taux moyen de E LDL chez des patients na fs ou cholest rol LDL de 203 9 mg les statines Pourtant plusieurs intolerants aux statines KE etudes men es chez l homme ae dl 1 A l issue d un traitement Les explications du Professeur font tat d une bonne tol rance SO e de 8 semaines les auteurs ont b Olivier Descamps H pital de dre de la monacoline K m me chez Jolimont Haine Saint Paul GEZA diei edale les sujets qui pr sentent des dn du cholesterol dd ant c dents d intol rance aux 15 8 des triglyc rides et de 26 C ur et Art res Utiliser de A statines 2 la levure rouge de riz dans de l apolipoproteine B dans le l hypercholest rol mie L id e a groupe recevant la monacoline C ur et Art res C est donc sur de quoi tonner K La dur e de l tude n tait cette toile de fond que se dessine 0 Descamps La levure rouge que de 8 semaines mais il l tude Mona Lisa de riz ou Monascus purpureus convient d ajouter qu aucun effet 0 Descamps Cette tude a eu contient une statine naturelle ind sirable majeur n a t observ pour objectif d valuer l efficacit en l occurrence la monacoline en termes d augmentatio
7. 03 2013 COEUR SEPTEMBRE 2013 Exemplaire r serv au CORPS M DICAL A R R E S P 206097 D P T BRUXELLES X JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE Prof Em Pierre Block exemple en om ga 6 au d triment des om gas 3 S ilest vrai qu ils sont soumis une s rie de contr les la plupart ne r pondent pour autant pas aux crit res s v res d innocuit et surtout d efficacit exig s actuellement pour tout m dicament ce qui n a pas emp ch reconnaissons le quelques rarissimes mais graves probl mes D s lors que ce soit sous l influence des m dias d une publicit insistante ou de son entourage comme dans les salles de remise en forme et surtout de musculation chacun est la recherche de son cocktail revigorant Certains peuvent m me s av rer toxiques surtout en cas de surdosage Evoquons aussi les risques encourus avec les compl ments directement achet s sur internet et pour lesquels comme pour beaucoup de m dicaments fournis librement sur la toile il n existe aucune garantie de conformit et encore moins d efficacit ou d innocuit car non contr l s par un organisme officiel Par ailleurs certains sont relativement mal absorb s au niveau du tube digestif Citons les phytostanol et st rol produisant une r duction l g re mod r e en cas d hypercholest rol mie composante alimentaire Il en est de m me pour le riz rouge qui diminue de mani re significa
8. Ingelheim F ambon En Ee PROGRAMME 8h30 8h45 8h45 9hoo 9hoo 9h20 9h20 9h4o 9h40 10h00 10h00 10h15 10h15 10h30 11h00 11h20 11h20 11h40 11h40 12h00 12hoo 12h15 12h15 12h30 12h30 12h40 12h40 13h00 Accueil Introduction A Persu Hypertension art rielle N Godefroid A Persu Hypercholest rol mie X Stephenne et O Descamps Ob sit V Beauloye Les secrets d une alimentation saine D Hermans et M Hermans Activit physique et sport S Moniotte Tabagisme actif et passif V Godding Traitement antithrombotique chez l adolescent C Hermans Risques cardiovasculaires des contraceptifs P Jadoul et A Pasquet Importance de l histoire familiale A Persu De la p diatrie la m decine adulte I Aujoulat Synth se A Persu T Sluysmans Panel discussion Pradaxa dablgatran etexllate JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE VII 2013 NOUVELLES RECOMMANDATIONS Prof Em Denis L Cl ment urru Les soci t s europ ennes de cardiologie et d hypertension ont nouveau uni leurs efforts pour publier les nouvelles recommandations 2013 1 2 adapt es aux conceptions r centes et aux exp riences relat es La force scientifique des recommandations prodigu es a de nouveau t indiqu e de sorte que le clinicien puisse facilement se rendre compte dans quelle mesure il doit adapter son comportement quotidien dans
9. ardine Par ailleurs l alimentation artificielle re ue dans les levages de ces poissons peut modifier leur composition en acides gras comme par ARTICLE M DICAL La dyslipid mie mesures hygi no di t tiques nutraceutiques et pharmacoth rapie De l utilit ou de la futilit des compl ments alimentaires IV INTERVIEW VI ECHO CONGRES Olivier Descamps Hypertension art rielle 2013 SOMMAIRE JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE m LA DYSLIPIDEMIE MESURES HYGI NO DI T TIQUES NUTRACEUTIQUES ET PHARMACOTH RAPIE Dr Luc Missault Cardiologue Sint Jan Ziekenhuis Bruges Pr sident du Comit Scientifique de la Ligue Cardiologique Peine Les recommandations relatives l hypercholest rol mie sont claires Elles distinguent plusieurs groupes a risque et proposent ensuite des valeurs cibles en fonction du degr de risque Le risque tr s lev concerne les patients ayant un risque SCORE systematic coronary risk evaluation sup rieur 10 Les diab tiques les patients souffrant d insuffisance r nale et enfin les patients ayant d j pr sent un v nement cardiovasculaire coronaire p riph rique ou c r brovasculaire Chez ces patients a tres haut risque on propose une valeur cible de 70 mg dl pour le cholest rol LDL et ou au moins une diminution de 50 du LDL Les patients haut risque sont les personnes qui ont au moins un facteur de risqu
10. avec plus ou moins d efficacit en tant qu alternative aux statines classiques chez les patients pr sentant diverses formes d intol rance aux statines Les levures de riz rouge se situent v ritablement la fronti re entre les nutraceutiques et les agents pharmaceutiques et il n est donc pas surprenant de rencontrer autant de partisans que de d tracteurs de ces produits Ces derni res ann es bon nombre de firmes actives dans la vente de ces produits s orientent galement vers la distribution de nutraceutiques mixtes par exemple en combinant une levure de riz rouge et des st rols v g taux conform ment au fameux principe de double Inhibition Enfin dans ce bref aper u nous nous devons de mentionner deux publications r centes 2013 au sujet des mesures hygi no di t tiques en l occurrence l tude PREDIMED et l tude Intensive lifestyle intervention dans le diab te de type 2 conduite par le Groupe de Recherche LOOK AHEAD Dans l tude espagnole PREDIMED PREvencion con Dleta MEDiterranea les participants ont t r partis en trois groupes dans le cadre d une pr vention primaire alimentation normale alimentation enrichie en huile d olive premi re pression froid ou huile d olive extra vierge et alimentation enrichie en noix On a effectivement constat que ces deux compl ments alimentaires entra naient une r duction significative du risque cardiovasculai
11. ds doit faire l objet de toute l attention a fortiori l poque actuelle qui se caract rise par une pid mie mondiale d ob sit La baisse des boissons sucr es et La diminution de La teneur en acides gras satur s et trans doivent faire l objet de toute l attention De l exercice physique en suffisance est fortement pr conis il a t d montr que m me des efforts limit s 30 minutes de marche o de bicyclette par jour font baisser la tension art rielle Les r sultats d une adaptation du style de vie et des habitudes alimentaires ne sont pas fort loign s de ceux obtenus par une monoth rapie m dicamenteuse Traitement m dicamenteux Le plus gros chapitre des nouvelles recommandations est consacr aux conceptions actuelles en mati re de traitement m dicamenteux Le principe g n ral consiste en une adaptation rapide du style vie parall lement l instauration d un traitement m dicamenteux C est certainement le cas en cas de risque total lev m me tel que mentionn ci dessus lorsque les chiffres tensionnels ne sont pas particuli rement lev s Que faire en pr sence d une l vation l g re mod r e de la tension art rielle et d un risque total faible Cette situation est consid r e comme une indication d une mesure ambulatoire de la tension si celle ci s av re normale il faut mettre l accent sur l adaptation du style de vie et une restriction sod e tout e
12. e isol tr s lev par exemple un cholest rol LDL tres lev ou une tension art rielle tres lev e ainsi que les patients ayant un risque SCORE de 5 10 Ici la valeur cible du cholest rol COEUR amp ARTERES Journal de la Ligue Cardiologique Belge Comit scientifique Brugge pr sident Prof G De Backer UGent Pr sident d honneur M Jean Pierre Willaert Dr J De Smedt Prof L Pierard UL g de i AE Prof D Schoors VUB President Directeur G n ral Dr Freddy Van de Casseye Prof F Van de Werf KUL Administrateur D l gu M Thierry Pierard Prof C Vrints UA Dr Luc Missault AZ Sint Jan Prof J L Vandenbossche ULB Prof J L Vanoverschelde UCL LDL un peu moins stricte atteint 100 mg dl On parle de risque mod r en cas d antec dents familiaux de maladies coronariennes pr matur es ainsi que lors de valeurs SCORE comprises entre 1 et 5 Chez ces personnes on pr conise une valeur de cholest rol LDL gale 115 mg dl Les autres personnes appartiennent plut t au groupe faible risque et aucune mesure particuli re n est n cessaire en ce qui concerne le cholest rol Lorsqu on parle de la prise en charge de la dyslipid mie de Uhypercholest rol mie on fait en r alit r f rence deux choses le vaste concept des mesures hygi no di t tiques d une part et les m dicaments hypolip miants d autre part La Soci t europ en
13. eur 200 mg dl La pr sence d ant c dents cardiovasculaires constituait un crit re d exclusion La cohorte tait initialement constitu e de 142 patients inclus par 18 m decins g n ralistes Dix neuf sujets ont t exclus en raison de donn es manquantes d un taux de triglyc rides sup rieur 400 mg dl ou d un manque dobservance Parmi les 123 patients restants 86 n avaient jamais t trait s par statine et 37 l avaient t mais de mani re irr guli re en raison d une intol rance L analyse des r sultats a t men e de mani re distincte pour ces deux sous groupes C ur et Art res Quelles taient les caract ristiques des sujets effectivement inclus O Descamps L ge moyen des patients na fs tait de 54 ans celui des sujets qui avaient d j recu une statine de 63 ans Le premier sous groupe comprenait 44 d hommes et le second 35 Les taux de cholest rol LDL taient respectivement de 161 mg dl et de 156 mg dl les taux de triglyc rides de 142 mg dl et 156 mg dl Dans le second sous groupe l intol rance aux statines avalt pris la forme de myalgies 60 de faiblesse musculaire 41 et de sympt mes gastro intestinaux 35 Ce sous groupe tait constitu de patients dont le risque cardiovasculaire tait plus lev que celui des sujets sans ant c dents de traitement par statine les patients taient plus g s avaient un taux de cholest rol HDL plus bas et
14. iffres tensionnels avec des techniques objectives en cours de traitement ll est esp rer que les responsables politiques puissent galement tre sensibilis s ce probl me qui peut avoir des r percussions m dicales sociales et financi res tendues CONCLUSION Les recommandations 2013 replacent le probl me de l hypertension art rielle au centre de l attention Un contr le objectif et r p t des chiffres tensionnels ainsi qu une surveillance des facteurs de risque sont essentiels en l esp ce L adaptation du style de vie et de l alimentation doit tre am lior e d urgence S agissant du traitement m dicamenteux il est de plus en plus recommand d utiliser une JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE BRO XII gt association d antihypertenseurs L interruption de la conduction sympathique r nale donne des r sultats prometteurs Toutefois il faut surtout trouver des moyens d am liorer significativement le SUIVI R f rences 2013 ESH ESC Guidelines for the management of Hypertension J Hypertension 2013 317 1281 1357 2013 ESH ESC Guidelines for the management of Hypertension European Heart de 2013934 28 2189 2219 Clement DL De Buyzere ML et al Prognostic value of ambulatory blood pressure recordings in treated hypertensive patients New England J Medicine 2003 348 2407 2415 Reappraisal of European Guidelines on hypertension management J Hypertension 2009 27 2121 2158
15. iminue les triglyc rides de 25 30 Toutefois l acide alpha linol nique issu des l gumes de certaines noix et de certaines huiles de graines s av re moins efficace Il faut signaler que dans une tude randomis e incluant 4 837 patients ayant souffert d un infarctus myocardique des suppl ments d acides gras polyinsatur s faible dose 400 mg incorpor s dans une margarine n ont pas entrain de diminution des triglyc rides pas plus qu ils n taient associ s une diminution de la morbidit cardiovasculaire Ces derni res ann es les levures de riz rouge inondent le march Ces pr parations a base de levure de riz rouge contiennent une certaine quantit de monacolines qui varie d un produit l autre Ces monacolines constituent l important ingr dient bioactif La monacoline K est une version naturelle de la lovastatine ll est certain que les levures de riz rouge diminuent tant le cholest rol total que le LDL Ces produits ne sont pas aussi purs ni aussi bien document s que les statines pharmaceutiques classiques mais il existe au moins une vaste tude randomis e publi e dans la litt rature am ricaine qui atteste de l effet b n fique de ces produits sur les v nements cardiovasculaires chez des patients coronariens D apr s une tude belge conduite par Olivier Descamps les levures de riz rouge permettent de r duire le cholest rol de 20 environ Ces produits sont utilis s
16. laires aussi bien chez le patient non trait que chez le sujet trait 3 La valeur pronostique de la tension art rielle nocturne s avere au moins aussi grande et m me plus importante que celle de la tension art rielle diurne L hypertension due a la blouse blanche est souvent plus spectaculaire qu importante bien que le ph nom ne ne doive tout de m me pas tre trop sous estim l hypertension cach e masked est consid r e par tous les chercheurs comme d cisive dans l valuation du pronostic Les mesures ambulatoires sont souvent tendues ou m me remplac es par des mesures a domicile Ces derni res pr sentent le grand avantage d tre r alis es dans le milieu normal du patient et durant une p riode plus longue g n ralement une semaine Elles ont pour inconv nients l absence de mesures nocturnes et parfois le d clenchement de ph nom nes de panique chez les patients PREVALENCE DE L HYPERTENSION DANS LA POPULATION ASSOCIATION AVEC LES FACTEURS DE RISQUE La pr valence de l hypertension art rielle continue d tre sous estim e Dans la population occidentale on mentionne toujours un pourcentage de 35 de la population adulte Ce pourcentage provient surtout de sondages effectu s dans de petits groupes mais rarement de groupes plus importants Curieusement cette pr valence pr sente une l g re tendance la baisse en Europe occidentale mais une tendance
17. lit Les composants d Armolipid sont les polycosanols le riz rouge ferment l acide folique le coenzyme Q10 et l astaxanthine Polycosanols Les polycosanols sont un m lange d alcools gras naturels pr sents dans la matrice cireuse de la canne sucre Saccharum officinarum le son de riz Oryza sativa et la cire d abeille Apis mellifera Dans Armolipid les polycosanols sont obtenus de la canne sucre Riz rouge ferment Le riz rouge ferment d Armolipid est obtenu dans des conditions normalis es et est produite par la fermentation du riz Oryza sativa par une souche particuli re de Monascus purpureus s lectionn e pour un rendement optimal en monacoline K Acide folique Armolipid contient la quantit physiologique quotidienne recommand e en acide folique soit 0 2 mg pour compenser d ventuelles carences en acide folique li es une alimentation d s quilibr e associ e au mode de vie moderne l acide folique contribue une synth se normale d acides amin s une formation normale du sang et un m tabolisme normal de l homocyst ine Coenzyme Q10 CoQ10 Le CoQ10 est un constituant physiologique de toutes les cellules du corps Astaxanthine L astaxanthine est un pigment rouge rose qui est pr sent entre autres dans le saumon la truite le homard le krill et les micro algues L astaxanthine d Armolipid est produite par la micro algue Haematococcus pluvialis Composition d Armolipid Un comprim d Armolipid contient
18. mi re intention n ont pas pr sent d augmentation significative des CPK de myalgies ou de manifestations gastro intestinales La tol rance a galement t tres satisfaisante chez les patients intol rants aux statines OS JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE puisque seulement quatre des 37 sujets de ce sous groupe soit un pourcentage de 11 se sont plaints de lombalgies Une discrete augmentation des CPK a t observ e mais elle n tait pas significative C ur et Arteres Vos commentaires propos de ces r sultats O Descamps Ils sont prometteurs puisqu une r duction de 34 mg dl du cholest rol LDL pourrait th oriquement conduire une r duction de 20 du risque d atteinte cardiovasculaire 5 C ur et Art res Disposons nous dans la litt rature de donn es d v nements 0 Descamps La China Coronary Secondary Prevention Study d une dur e de quatre ans et demi a compar un produit base de levure de riz un placebo chez des sujets ayant des ant c dents cardiovasculaires 6 Ses r sultats montrent que la levure de riz est associ e a une reduction significative de 45 des v nements coronariens majeurs crit re principal d valuation Ils font galement tat d une r duction significative de la mortalit globale et de la mortalit cardiovasculaire L tude a t men e au sein d une population asiatique et l impact de facteurs raciauxne peut tre
19. n surveillant attentivement le poids Cette m me approche est valable chez les personnes g es la prise d antihypertenseurs est jug e utile si la tension art rielle systolique est gale ou sup rieure 160 mmHg de facon r p t e les produits pharmaceutiques entrent en ligne de compte considered si La restriction sod e et Le contr le des facteurs de risque ne donnent pas le r sultat voulu en pr sence de chiffres inf rieurs 140 mmHg la consigne est de ne pas instaurer de traitement m dicamenteux Chiffre cible du traitement de la tension art rielle Le chiffre de 140 90 mmHg est a nouveau mentionn avec insistance comme la r f rence Ces derni res ann es suite l article publi en 2009 4 il a t sugg r qu en cas de diab te le chiffre cible devrait tre de 130 80 mmHg les donn es permettant de valider ces affirmations font toutefois d faut en grande partie ou ne sont que tr s incompl tes Les chiffres inf rieurs s inscrivent dans l opinion actuelle selon laquelle the lower the better mais les preuves a cet gard font largement d faut il en va de m me en ce qui concerne la J curve fort d battue dont l existence a t contest e avec vigueur l poque mais qui revient actuellement l avant plan raison pour laquelle on craint de faire trop baisser la tension art rielle Ce raisonnement pourrait toutefois sugg rer que la baisse de la
20. n des et la tol rance de la levure rouge K dont la structure s apparente ALT ou des CPK de riz chez des sujets souffrant CHOLEST ROL Ar TECHOL Standardis 3 en Monacoline K 12mg g l Forme acide Forme lactone aeb ds de de ei Monacoline K Forme acide Forme lactone 3 12mg g l Maintient l quilibre du taux de cholest rol oo Contribue a un bon fonctionnement du systeme cardio vasculaire e ARTECHOL EES a 0 aka CHOLEST ROL da ere Sa EON ARTECHOL est compos d une poudre de riz ferment par de la levure rouge Monascus purpureus la Monacoline K standardis e 3 soit 12mg g l ARTECHOL contient galement la souche L rhamnosus Lipo6710 ederrae kea A EE Conseil d utilisation Phacobel 1 g l j au coucher www phacobel be www artechol be V gt d hypercholest rol mie avec ou sans ant c dents de myalgies durant un traitement ant rieur par statine Elle a t men e par des m decins g n ralistes dans des conditions de pratique quotidienne Coeur et Arteres Pourriez vous nous en d crire la m thodologie O Descamps Les patients ont recu de la levure rouge de riz Artechol raison de deux g lules chaque soir ce qui correspond 12 mg de monacoline K La dur e du traitement a t de six semaines Les participants taient g s de plus de 18 ans et avaient un taux de cholest rol total sup ri
21. ne de Cardiologie et La Soci t europ enne d Ath roscl rose ont statu via un groupe de travail en rapport avec l utilisation de compl ments alimentaires nutraceutiques et de l alimentation dite fonctionnelle saine ainsi que de leur influence sur les valeurs lipidiques plasmatiques Ces d cisions qui datent d j de 2011 sont reprises dans la litt rature sp cialis e ainsi que sur les sites Internet des associations Dans l intervalle depuis le d but de l ann e 2013 quelques nouveaux l ments issus d observations scientifiques ou d tudes ont t Comit de r daction Dr Jean Claude Lemaire Dr Luc Missault Prof Christian Brohet Prof Em Pierre Block Prof Em Denis Cl ment Dr Freddy Van de Casseye C cile Gasparri Editeur responsable Dr Freddy Van de Casseye Rue des Champs Elys es 43 1050 Bruxelles Abonnement Annuel 15 BE25 001 2637824 82 Dons d ductibles fiscalement partir de 40 BE77 001 0249547 42 Dit tijdschrift verschijnt eveneens in het Nederlands Hart amp Slagaders La Ligue Cardiologique Belge n engage aucune responsabilit quant aux publicit s Article m dical ajout s en ce qui concerne la nutrition et plus sp cifiquement l utilisation d huile d olive ou l ajout de noix l alimentation Enfin une tude tr s d cevante a t publi e dans le New England Journal of Medicine en rapport avec les effets d efforts d amaigrissement i
22. ntensif qui font galement partie des mesures hygi no di t tiques sur la sant de diab tiques ob ses Les recommandations consacrent un paragraphe entier aux compl ments alimentaires et l alimentation fonctionnelle ainsi qu a leurs effets sur les lipides plasmatiques Si les niveaux de preuve et les classes de recommandation ne sont pas toujours tr s lev s ils sont cependant mentionn s Les st rols v g taux modulent les taux de cholest rol total en entrant en comp tition pour l absorption intestinale du cholest rol Les prot ines de soja ont un effet limit sur la diminution du LDL La consommation accrue d aliments riches en fibres entra ne une diminution du cholest rol total et du LDL La consommation d aliments enrichis en fibres par exemple galement via des fibres de bl commerciales du b ta glucane ou du psyllium est le plus souvent bien tol r e et efficace en termes de r duction du cholest rol et est pr conis e une dose de 5 15 g de fibres solubles par jour Les acides gras polyinsatur s n3 PUFA acides gras om ga 3 peuvent diminuer D LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE Rue des Champs Elys es 43 1050 Bruxelles T l 02 649 85 37 Fax 02 649 28 28 info liguecardioliga be www liguecardiologique be Tous droits de reproduction r serv s HE JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE gt les taux de triglyc rides Une dose de 2 3 grammes d huiles de poisson d
23. pe qui vient d tre mentionn savoir que la r ponse individuelle de la tension art rielle et le sentiment subjectif correspondant des patients individuels peuvent fortement varier entre eux Quelques autres concepts sont fortement soulign s il n existe aucun argument pour affirmer que l un des antihypertenseurs serait canc rog ne ce qui est encore affirm de temps a autre Les b ta bloquants ont toujours leur place surtout chez les hypertendus souffrant de maladie coronarienne Chez les patients a haut risque le traitement d association s indique comme premier choix Un sch ma adapt pour l utilisation des antihypertenseurs individuels et de leurs associations mutuelles peut tre trouv dans les publications 1 2 La plupart des associations font l objet d une valuation favorable une petite r serve tant toutefois mise en ce qui concerne l association d un b ta bloquant et d un diur tique en raison de la possibilit d un effet diab tog ne Il existe une limitation bien plus importante pour l association d un inhibiteur de U ECA et d un sartan il semble se produire plus d effets ind sirables avec une telle association qu en cas de traitement avec les produits pharmaceutiques individuels en monoth rapie voir tude Ontarget Apr s un accident vasculaire c r bral il est indiqu de surveiller attentivement la tension art rielle les inhibiteurs calciques ont peut tre un effet
24. re relatif de l ordre de 30 On ne notait pas de diff rences sur le plan de la mortalit mais bien une tendance potentielle en faveur d une diminution de la mortalit dans le groupe recevant l huile d olive IC 0 63 1 05 Toutefois ceci contraste fortement avec le r sultat nul absolument d cevant des mesures hygi no di t tiques intensives cibl es sur la r duction pond rale chez des diab tiques de type 2 ob ses Dans cette tude conduite par le Groupe de Recherche LOOK AHEAD on a constat que si ces patients maigrissent effectivement lors de la phase initiale de l intervention intensive et d veloppent une meilleure condition physique ces effets disparaissent tr s rapidement et ne sont pas du tout associ s une diminution du nombre d v nements cardiovasculaires R f rences disponibles sur demande JOURNAL DE LA LIGUE CARDIOLOGIQUE BELGE mOLIVIER DESCAMPS nrervew DE LA LEVURE ROUGE DE RIZ POUR CONTR LER L HYPERCHOLEST ROL MIE L tude la lovastatine une statine C ur et Art res Ce profil de Mona Lisa commercialis e aux Etats Unis tol rance est un peu surprenant Artechol Des donn es ant rieures ont vous nous disiez l instant que montre en tout montr que la monacoline la structure de la monacoline K cas quelle K avait un effet b n fique s apparente celle d une statine diminue de sur le profil lipidique Une 0 Descamps C est vrai et mani re
25. roalbuminurie et les lectrolytes sodium potassium Un lectrocardiogramme est tres utile pour valuer l impact cardiaque de l hypertension art rielle un chocardiogramme n est indiqu que si des informations concernant la visualisation et la fonction du c ur sont indispensables Les mesures de la tension art rielle en ambulatoire sont surtout recommand es en cas de forte variation des chiffres tensionnels et en outre en cas d absence apparente de r action au traitement antihypertenseur classique en cas de contradiction entre la prise simple de la tension art rielle et les observations cliniques telles qu une tension art rielle lev e la consultation et l absence d hypertrophie l ECG ou inversement en pr sence d une hypertension art rielle l g re et tout de m me d une hypertrophie ventriculaire gauche TRAITEMENT DE LHYPERTENSION ARTERIELLE Adaptation du style de vie et des habitudes alimentaires Les auteurs des nouvelles recommandations attachent une grande importance aux moyens non m dicamenteux entre autres pour le contr le du profil de risque L alimentation y compris une diminution de la teneur en sel joue un grand r le en la mati re On observe des tendances la diminution de la teneur en sel du pain voir galement l volution en Belgique mais celles ci sont encore souvent bien trop limit es voire absentes dans de nombreux pays europ ens Le contr le du poi
26. tension art rielle n est pas si importante en soi bien au contraire La tension art rielle doit tre stabilis e a tout prix avec pour chiffre cible 140 90 mmHg l exp rience de la pratique nous apprend toutefois que celui ci est loin d tre atteint chez un grand nombre de patients voir fin de cet article Quels antihypertenseurs Il appara t de plus en plus que la diff rence entre l effet hypotenseur des diff rents antihypertenseurs est limit e on instaure d ailleurs de plus en plus vite un traitement d association en d butant de pr f rence par une dose faible Le choix entre les produits pharmaceutiques est plut t fond sur le type de patient et peut tre encore plus sur la r ponse obtenue en termes de chiffres tensionnels chez le patient individuel Un tel d bat devient d ailleurs largement sans objet en cas de recours un traitement d association Ces derni res ann es la Formule innovante Effets positifs scientifiquement GATE prouv s par des tudes effectu es de avec ArmoLIPID GEO A R sultats rapides appr ciables GE et quantifiables Excellente tol rance et profil de s curit optimal A Composition standardis e Produit selon les Good Manufacturing Practices GMP 1 comprim fl e a par jour pa ArmoLiPID EK Ke ue EO en Ne eek E Armolipid est un compl ment alimentaire naturel contenant des ingr dients naturels de haute qua
27. tive le cholest rol d origine endog ne et dont la composante active est la monacoline qui a toutes les propri t s des statines mais avec apparemment moins d effets secondaires musculaires raison pour laquelle certains le pr conisent en cas d intol rances aux statines Mais on n associera jamais les deux Mentionnons encore que les prot ines de soja et les fibres solubles d avoine diminuent l g rement le LDL cholest rol ces derni res abaissant en outre les Ces restrictions ne s appliquent pas la prescription de vitamines et autres l ments essentiels chez des personnes carenc es ventuellement apr s confirmation par une analyse sanguine appropri e Ces remarques valent entre autres pour les multiples complexes vitamin s souvent sous dos s Leur efficacit ne fut que rarement d montr e en pr sence d une alimentation saine vari e riche en vitamines naturelles oligo l ments acides amin s essentiels et certains min raux indispensables notre m tabolisme Les partisans de ces complexes r torqueront que notre alimentation est de plus en plus contamin e par des insecticides pesticides m taux lourds et autres substances toxiques lui faisant perdre certaines des vertus voqu es que certains poissons gras comme le thon et le saumon riches en om ga 3 peuvent gite accumuler au cours de leur relative longue vie de triglycerides grandes quantit s de m taux lourds moins le cas pour le hareng ou la s
28. totalement exclu Mona Lisa sugg re en tout cas que la levure rouge de riz Artechol est susceptible de conduire un b n fice clinique significatif chez les patients europ ens R f rences 1 Lin CC et al Eur J Endocrinol 2005 153 679 86 2 Becker DJ et al Ann Intern Med 2009 150 830 9 3 Halbert SC et al Am J Cardiol 2010 105 198 204 4 Venero CV et al Am J Cardiol 2010 105 664 6 9 Descamps O et al Louvain Med 2012 131 166 176 6 LuZetal Am J Cardiol 2008 101 1689 93 Descamps 0 Louvain med 2013 132 4 149 154 RA N EZ SAINT LUC lin Pipetas Pur Ea Le GRAPA Groupe de R flexion consacr A la Pr vention de l Ath rothrombose a le plaisir de vous inviter la r union dentaire y A M decine PREVENTION CARDIOVASCULAIRE CHEZ L ADOLESCENT ET LE JEUNE ADULTE UN DEFI DE SANTE PUBLIQUE Auditoires Roi Baudouin Cliniques Fe pn universitaires e Biblioth que Saint Luc Es i E Auditoires n M 2 uni ZE a E ce pl t pau X er VANDERVELDE Pour toute information concernant la r union scientifique e mail alexandre persu uclouvain be Une accr ditation en thique et conomie a t demand e Cette r union ducative est organis e avec le soutien de B A BAYER E E Bristol Myers Squibb P frer Gn Boehringer ill
29. un peu meilleur dans ce cas mais on ne peut pas y accorder beaucoup d importance L hypertension rebelle Ces derni res ann es le probl me de l hypertension art rielle ne r pondant pas au traitement classique a suscit beaucoup d attention La d finition de l hypertension rebelle reste inchang e chiffres de 140 90 mmHg confirm s de facon r p t e et ce sous une trith rapie comprenant un diur tique Chez ce genre de patients il est recommand de commencer par contr ler l observance m dicamenteuse et d terminer les chiffres tensionnels par des mesures ambulatoires Un contr le strict des facteurs de risque est absolument indispensable Chez une grande majorit des patients ces mesures permettent de constater qu ils ne sont en fait pas r sistants au traitement et ou ne pr sentent des chiffres tensionnels lev s que lors de la consultation Seulement 10 19 des cas peuvent tre consid r s comme vraiment r sistants Si l hypertension art rielle s av re tout de m me rebelle il est conseill d essayer un inhibiteur de l aldost rone faible dose tant donn que certains patients y r agissent tr s fortement En l absence d effet on peut envisager d interrompre la conduction nerveuse sympathique par d nervation des nerfs r naux qui cheminent tout autour de l art re r nale La technique donne de bons r sultats avec seulement des effets ind sirables limit s chez de
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