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appui à la professionnalisation des opérateurs culturels du continent

1. 690 cT 6v0 AVISVOVAVW IOV AVOSVOVAVN IOV VNVL V ALLITANA LA OAWOA ELASf T 1007 0 98t C IVDdNHS MAV HONVAA IVOANAS ANA MAV NVOTOA NIdzIV ALOI LTIASf v TOOT 0 TLT TI IVDHNHS MAV HONVAA IVOANAS ANA MAV AVAYA LNATIOT SHONVHOH AALNOOVA HS SOLASf v TOOT 0 SLL I OSVA VNDTI 3D8 AV HONV AA OSVA VNDININ AE HUNA MAY NaJ HINDVdIWOO N L NOLLVH39IO HONVHOH Sc Last v TOOT 066 9c OSV4 VNDTANA MAV HONV34 OSV4 VNDTIMWOH O8 MAV 1000 H8 VNDI3n8 OIN VAA JOVA V HOVH OLASf v TOOT 0 v6T 8I NINd8 MAV HONV3AH NINHg AN4 MAV H LLVHH L JASSAAO LAJA H2LLVHH L HLIIV LNHIAH IdINOO TILASf 4 TOOT 060 6 cv HONV AA ANA AVISVOVAVW OONO NINHg IOV OdV MdV NONDIAV HNHOS NA S HNALLAN HONAGISTA 6ELAST v TOOT 0 TCO f HONV AA ana VONVASI NINHS JHIOAI ALOI DAV MAV NONDIAV d IVALLSHJ ANAIS NH SANALLAN AINAAIS AA TOLASf v TOOT 96T ST SYO L ODOL MAV ODOL MAV JHH ILSHH YILOSI t TOOT 0 II8 HONV3Id ana TVOANAS MAV ONV YOS H3LIVHH L ANVG dOId V HONHGIS3I OCIGSf v TOOT 0 L9S T TIVW MAV IYN MAV SALILIVH3 SHG JALVAHL NA IVALLSHA OLLOSf t TOOT 0 98v LT TIVW MAV TIVN MAV TANOL ASION SANJOS SANTT LA SHNNHAORLL SAT 6S LIST T TOOT 0 HONVAA ANA 4AIIOALA ALOI MAV IVAdATIOS Hd H3IOLSIIH rLasf v TOOT S66 LE SvL V HONV3lH ana TOALLA ALOI MAV ATIASAVN H2IOALG ALOI HNVHOd SrLasf v TOOT LS6 TI 1619 IIYWAMOALA ALOI MAV TAOALA ALOI MAV TALVAHL OAVWA VAN dd AALLNVHO TINOOS OSSNON LELAST T TOOT 0 L6T
2. 3897178 2 Icvelv EVS IS oda IAV HONVl4 ana 1000 VSVHSNDI V 4N9NOqd44 AAA TAasf T TOOT 0 00S v AVISVOVAVW IOV AVOSVOVAVN IOV VALODNOL NOLLVH3IO VT V HdlV AAVA L QOS t TOOT 0 6TL L AOINV A AIA DANAS NOUVD OSVA VNDRINEAE OdV MAV SANIOV A NOLLVH2O HONHGIS3I osaasf v TOOT 0 961 CI IVDHNHS MAV VANDA VNVHO VAV AHV 1007 ANDOOV HNIVIASIHO OTIVIG 8V800L S0dast 4 007 000 7 00 T HONV AA ana TVOANAS AV VA HIT IVS VdVd NOLLVIN2IO4 ASNOTNOL ASANO coddsr v TOOT 0 69 TV94NAS MAV TV94NAS MAV OHHJ AV V3 HSNVd HG TVALLSAA NV INddV 80CAdAST v 007 vc9 99 STO 9 oda DAV HONV3lH MAV VSVHSNDI V d 15NOdd8 AJAA TAasf T 007 0 OIT OS V4 VNDTANA fH IOALG ALOI MAV OSVd VNDRIN E 32IIOALG ALOI MAV VH8ODNOS HHOLHHOL NOLLVEAND Sraasf T TOOT 0 9tt OS V4 VNDT208 MAV OSV4 VNDTANA MAV f10GAHS IN VITVS SdO9 HG SANDOTVIA 8TAAST v 007 0 SHS v OSVA VNDTANA AV OSV4 VNIHANA AV NOGATS IN VI IVS IGHNH3A NOLLVH3O 9 qqsr T TOOT 661 IT 008 ANOVNATTIV ana OSVA VNDI AIN E MAV euseurey TVALLSAA TVAOTO NV f10dAGS IN VTIVS SSAasf T TOOT 0 SYT 9 LSAT AA AN NAV HdV OSVA VNDI IQd MAV ISH IHG HV NH HANANOL NOCAAS IN VITVS HINDVdWOO vr aast 4 TOOT TOS IT L8T T INN AWNVAOA ana OSVA VNIHANA AV FAAALI TONY NA HHN20O L I Qasf T 00T 0 LOO 91 VSA AWV OSV4 VNDI AN E MAV VORIAV SYAO VSN XAV TANANOL 0GAHS IN VITVS AID coaasr T 00 0 LETS OSVA VNDT3408 MAV OSV4 VNID1408 MAV SDOIHdV3DHOHO TALNAO IYWAOA NOUS IN VIT
3. 4 Arts de la sc ne composante 9 3 composante 3 5 composante 4 6 Total des lt aides la cr ation gt sur l ann e 9009 19 Total g n ral sur les 9 ann es 49 projets Les aides la cr ation donn es dans le cadre de la composante 3 concernent 1 les 10 compagnies de danse s lectionn es pour le Concours chor graphique Antananarivo Chacune de ces 10 compagnies a b n fici d une aide la cr ation de 1 594 pour se pr parer 2 Deux festivals le FITHEB et le Festival du Th tre des R alit s ont obtenu chacun 2 aides la cr ation sur projets Les aides la cr ation donn es dans le cadre de la composante 4 concernent des projets d change formation d bouchant sur une cr ation ces projets taient mi chemin entre la composante 2 et la composante 4 Source AFAA Programme Afrique en cr ations
4. Liban Territoires autonomes palestiniens Y men depuis le 14 02 02 Afrique du Nord Alg rie Maroc Tunisie Afrique sub saharienne et Oc an indien Afrique du Sud Angola B nin Burkina Faso Burundi Cameroun Cap Vert Centrafrique Comores Congo C te d Ivoire Djibouti Erythr e Ethiopie Gabon Ghana Gambie Guin e Guin e Bissao Guin e Equatoriale Kenya Lib ria Madagascar Mali Mauritanie Mozambique Namibie Niger Nig ria Ouganda R publique D mocratique du Congo Rwanda Sao Tom et Principe S n gal Sierra L one Soudan depuis le 14 09 09 Tanzanie Tchad Togo Zimbabwe Maurice et les Seychelles ne font plus partie ce jour de la ZSP P ninsule indochinoise Cambodge Laos Vi tnam Cara bes Cuba Haiti R publique Dominicaine Les Petites Antilles ne font plus partie ce jour de la ZSP Am rique latine Surinam Pacifique Vanuatu Source minist re des Affaires trang res 91 92 ANNEXE A12 Aides la cr ation e Nombre de projets aides la cr ation sur 2001 Arts visuels composante 2 1 composante 3 composante 4 4 Arts de la sc ne composante 9 7 composante 3 10 composante 4 1 Total des aides la cr ation sur l ann e 2001 23 e Nombre de projets aides la cr ation sur 2002 Arts visuels composante 2 1 composante 3 composante 4
5. Avignon par exemple la sollicitation ponctuelle de personnalit s ext rieures au continent aux qualit s d expert reconnues ou dans l intention de favoriser des partenariats nord sud Dans le cadre de la mise en uvre de la composante 2 Pour cette composante le croisement r p t de plusieurs outils a permis de r pondre aux objectifs Ainsi le Programme favorise l aide la cr ation les r sidences d artistes le soutien la r alisation de rencontres cr atrices nord sud et sud sud l aide la participation des biennales l aide la cr ation en vue d une participation des biennales internationales le soutien des formations des techniques nouvelles ou des formations en vue du renforcement des structures 43 44 Dans le cadre de la mise en uvre de la composante 3 Pour les deux grandes manifestations structurantes de la danse et de la photographie d Antananarivo et de Bamako des moyens importants et pertinents ont t d ploy s la volont d amener les Etats accueillant ces manifestations contribuer substantiellement au financement l engagement tr s fort de la responsable du p le danse de l AFAA dans l organisation de la manifestation d Antananarivo a notamment permis d enrichir l expertise artistique d anticiper la diffusion et de concr tiser la diffusion hors des lieux sp cifiquement tourn s vers la cr ation africaine les artistes prim s ont par e
6. En revanche de nombreuses propositions ne sont pas r ellement suivies de fait ou tout au moins manquent de lisibilit dans leur application concr te Ce constat est bien entendu conditionn par la forme des compte rendus mais il semble qu il soit souvent proche de la r alit Par exemple le conseil d orientation a demand diverses reprises la cr ation de commissions de travail sur les domaines de la cr ation artistique ou sur des questions trans versales laboration de documents de suivi fiches projet grilles d analyse des requ tes de finan cement qui s appuient sur des crit res partag s etc Ces commissions n ont jamais vu le jour Les objectifs du Programme Afrique en cr ations Les objectifs de d part du Programme Afrique en cr ations habituellement pr sent s correspondent aux finalit s d crites dans le rapport de pr sentation du FSP savoir concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent africain renforcer la professionnalisation des fili res artistiques en Afrique renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels africains en particulier en prenant appui sur les manifestations artistiques structurantes en Afrique Ces buts se d composent dans l expression des composantes 1 2 3 et 4 du projet H para t utile de d crire plus pr cis ment ces buts en s appuyant sur le texte du rapport de pr sentation du FSP Le tableau
7. la cr ation l aide la diffusion Par ailleurs O C RE et donc la globalit de la composante 1 s appuie aussi sur un travail amorc par l association Afrique en cr ations au regard de l volution de l environnement de la cr ation africaine et d une volont plus forte de concourir un d veloppement culturel qui ne s appuie pas exclusivement sur de l aide la cr ation Les objectifs prennent fortement en compte la nouvelle approche propos e par les FSP mobi lisateurs Ces FSP mobilisateurs doivent contribuer la mise en uvre de politiques sectoriel les de d veloppement d veloppement culturel pour ce qui concerne le FSP valu Ils permettent en outre l appui aux organisations non gouvernementales op rateurs ou entre preneurs culturels Ils b n ficient aux pays de la Zone de Solidarit Prioritaire qui comprend entre autre la totalit du continent africain cf annexe A11 Le partenariat est pos comme principe de base dans les diff rents objectifs par exemple pour les manifestations structurantes o il est n cessaire que e mode de coop ration traduise bien une relation de transfert de responsabilit s et de comp tences et non de substitution L mergence d acteurs structur s de la soci t civile est recherch e ainsi que le soutien l autonomisation et la responsabilisation des acteurs concern s Les objectifs visent aussi le d senclavement des op rateurs culturels du cont
8. La fusion de l association Afrique en cr ations et de l AFAA a t pens e en m me temps que le montage du FSP mobilisateur Le FSP permettait ainsi de garantir pour l essentiel la conti nuit des missions d velopp es par l association mais surtout ouvrait de nouvelles perspecti ves au vu de l volution de l environnement de la cr ation africaine au regard du contexte social et politique du continent TROISI ME PARTIE LE PROGRAMME AFRIQUE EN CR ATIONS DESCRIPTIF ET TAT DES LIEUX 3 1 Le projet FSP et son calendrier d ex cution La DCCF a labor un projet mobilisateur d Appui la professionnalisation des op rateurs culturels du continent africain dans le cadre du Fonds de Solidarit Prioritaire Ce FSP s arti cule autour de cinq composantes Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent 2 2 MF 335 387 84 Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques 3 5 MF 533 571 56 Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique 4 7 MF 716 510 38 Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepre neurs culturels 4 MF 609 796 07 Composante 5 Evaluation et management du projet 0 6 MF 91 469 41 Le projet FSP n 2000 152 convention n 2001 00337 sign e avec l AFAA d un montant de 14 400 000 FRF 2 195 265 80 tait
9. LddS ALOV LOXVSf 320 1007 0 9L HHNIOD AV HHNIQD MAV NOILYWYAOH ISSNV dVa 47 NOILONAOANd LNIOd TIA TTXVSI 4490 c00c 0 89S HANINO MAV HAININO MAV ISSNV dVa HT I NOILONAO d LNIOd TIA TTXVSI 4320 c00c 0 ctv HONV lH ana OSV4 VNDTANA MAV J9NVYA NH S IVALLSHH NOLLVIA IOH SYAO SIXVSf 320 c00c 0 S6c S OSVJ VNDTANA AV OSV4 VNIHANA MAV AN NAV NA S IVALLSHJ NOIIVIW YHOA SVGO LIXVSf 4490 c00c 0 coL OSVA VNDT408 MAV OSVA VNDI IQd MAV VINOONSANAA SSV OIXVSf HOO 1007 0 TES T HONV3lH ana AN RHV dv HdO3 1H TADO SHALNOINAA VIXVSI 320 c00c 0 SOT 9 HONV AA ana AN NAV LENS ASVHd o S TVAILSHA NOLLVIA IOH 9CcXVSf 4490 T007 0 6ST TE HONV3lH ana HN RAV AV XNVNOLLVNYHALNI SLHOASNVAL TADO STALNOONTA 60XVSf 4320 T1007 0 S6E 8C HONV3lH ana AN NAV AV TADO SHALNOONAA NOLLVSINVD3IO TIVN LdAS ALOV S0XVSf 320 1007 0 88t L HONV3ld ana AN NAV AV TADO AGI 1007 LATINS 61 NV LI NA NONDIAV V IOXVSf 4490 1007 0 TE6 v TIVIN MAV AN NAV AV SALOV OXVIWVH TADO STALNOONTA TIXVSI H32O c00c 0 008 It aas nd AN NAV VIV AN NHAV dv VII VIA LTXVSI 320 c00c 0 L9L TE ans nd ANONY VAV AN NAV LENS NV8IQG TADO SHALNOONTA STXVSI 4490 T007 0 O 8T AN NHAVALNAD JAV VANVMA JAV SLAV SAC HSIIVLISSHAINO H2LLNHO SIXVSf A400 c00c 0 619 v VANVMA DAV VANVMA IIV SLAV SHG HSIVLISSHAINO H LLNHO SIXVSf 320 T007 0 II8 oqa DAV oda OEN TALVAHL WVL WYL 6IXVSf 4490 c00c 0 LVI 6 ICA JAV ICA JAV V8O IVIN d4NMNDI4 VOXVSI HOO 1007 0 TOL JO IIV ICA IIV SHDANOSSAA HG H LLNHO VHO IVIN IANA vVOXVSI
10. Valises OCRE sont confront es aux r alit s diff rentes d une r gion l autre qui ne favorisent pas la cr ation d outil uniforme pour les op rateurs Elles n ont pas t assez aliment es en contenu et en fr quence 3 Deux rencontres OCRE ont t organis es au Mali Bamako et en Afrique du Sud Durban ainsi que plusieurs rencontres professionnelles comme la formation r gionale Afrique de l Ouest pour les administrateurs de festivals Ces diff rentes actions ont t organis es par des op rateurs africains 4 La rencontre de Durban est une tape importante du travail d identification des op rateurs en zone anglophone m me si aucune autre convention que celle qui a permis sa r alisation n a t sign e avec des op rateurs anglophones Des questions mergent aujourd hui apr s deux ann es de pratiques la difficult de mettre en ad quation les contraintes induites par l environnement difficile de la culture et de l Afrique mais aussi des contraintes li es au fonctionnement de l AFAA par rapport aux actions soutenues la question du temps la pr carit conomique les changements d chelles dimension continentale et internationale d un c t dimension locale de l autre parfois difficile concilier dans le travail d appui la difficult d terminer des crit res des m thodes et des outils qui permettent de mesurer l impact du Programme sur le renforcement des op
11. changes de m thodologie Favoriser le partage des comp tences 1 Les bases de donn es culturelles d AeC constitueront le c ur des informations qui seront mises jour et diffus es par les NTIC 2 D veloppement de trousses outils pour l aide au fonctionnement interne des op rateurs culturels et pour offrir des services aux adh rents 3 Organisation de rencontres professionnelles dans chaque r gion afin de concr tiser des projets mutuels ventuellement avec des op rateurs europ ens 4 Int grer les op rateurs culturels de la zone anglophone Au total 16 conventions de partenariat ont t sign es avec des op rateurs culturels Les rencontres OCRE de Bamako et de Durban ont r uni environ 70 op rateurs culturels En terme de circulation de l information une liste de diffusion lectronique fonctionne entre tous les op rateurs Les op rateurs concern s travaillent maintenant entre eux hors du cadre AFAA MAE Des op rateurs ont pu faire voluer ou ont confirm leurs offres de service comme ODAS AFRICA organisation de formation ou l association MEKA expertise danse en Afrique Centrale 1 Le site internet de l AFAA a permis de mettre en ligne un chapitre consacr la cr ation africaine contemporaine qui offre un acc s trois bases de donn es danse photographie arts visuels et bient t les v nements Afrique en arts visuels et en arts de la sc ne 2 Les
12. ej inod s231An2e p s ed ied vvv S212DULUIJ sapie 32 suoneiado p 21QUON tV IXINNY 80 83 S Tr s THO anms piso 3v gulbwaH DLOHd SHY z nz LO0Z COE kDOZ ZO0z LO E zDOZ joi OIE LOJE 2002 LODZ CCE LME im 430 s DOO OOL 4 3 000 00Z 3 000 00 7499 seisod 92v IYN m B anbuyy aming AYSUN jT 2 000 00F sorqnd syuourooueurj sogny ir S9ALId sjuouo2ueur E 000 00S 3 000 00L N 1d19S10 H Yd SLN3W399NYN14 S30 348n12n91s STO SLE S 8L8 OEV SPPLSEI 91 99 269 380605 3911909 268 896 S TS LOT SHTA SET IS TETI SEE 199 SILLES S GE Ghr 9106801 SISETSL 2189621 S0L9TTI 306019 SEQ STE SLT SET TVIOL S8EBE SESTOE 35589 STI 30 Z HS 1 SILRSLT SL9ICOCI 31009r SLESIET 319916 99LI0Or SEL SELTbr 130 2019 SIITSI 3HE80 STE6H61 1360EH91 SET 0E saud syuourooueurq SELST SE6SHOT 999061 39168 30 S9I6S SS6LEH 3999101 S6c1 Tr S001695 2 06 SSITEST 2661 SIG IST 90 S HIE68I SOUL SVvIO0CSI 306811 3 HSS9 SES sorqnd sjuourooueurj sany 3 619 ET 3 666 L BELS 30 30 30 SBIH 3H081 3891 S 130 SL 3118 Z 118 30 36916 20 269 16 2067 206r 20 enbryy mn SAYS STIS TOE S E00 LET 3656601 SLT ET 2629 SLT 28 L STET OO 99t1901 SELS S0cLOCC St IC8SCE STSLLSE SSHE GT 210F901 SET OI SILT POI STSE90E SBLLOST
13. 0 9v1 AN IINYZON HdV AN NHAV AV OLNdVW V ONVINVd TTOISI t TOOT 0 Sr S ITVW AV AN NAV LENS OLOHd V I Hd AN VT 610DSf TOOT 0 SVO L TIVIN MAV AN NAV dv 007 ONXVINV8 SIVISVSSIIWINOO TODSf TOOT 0 8ET L TIVW MAV AN NHAV AV HHONVAL oT 007 OMVWVE HG STALNOONTA SHGELV IVdH ld STOOSf t TOOT 0 VES L ITVW AV AN NAV AV 4N9OTVIVO ANALNAV A SLIOSG cIOOSf TOOT 0 ker II IYN MAV AN NAV AV 00c OXVNVA INV IN NONIS IVTIVSSINNOD TIOOSf TOOT 0 EOE 6 TIVN MAV AN RHV AV SYAIINVNIA SIV 41 LA SSHAId ANALAV A SLIOAA 6009 Sf t TOOT 0 TES LI ITVW MAV AN NAV AV SIHIASELLOO NATE NOISDHJIG LVALNOD SOODST t TOOT 8E9 TL8 VT TIVIN MAV 3DnOnHV dv SNOLLISOdX4 SAA NOIS JJIG LA STAAND SAA ANOLTA TOOIST TOOT 0 TET TIVN MAV AN NAV AV 1007 NANWNOO LHDGf18 OXNVIAV8 8G STHALNOONAA SAT c0OOSf t TOOT 0 989 ITVW AV AN NAV LENS 1007 NOWINOO LADANEI OXNVINVS8 Hd STALNOONAX SAT 0OOSf TOOT 69v 16 TIVIN MAV AN NAV dv OXVIAV8 V HOIAMAS HG NOLLVLSH Id 0O0OSf t TOOT VIO T TIVW MAV AN NAYV Udy HIV 0O9Sf t TOOT Sve SI ITVW AV AN NAV LENS LOTMA ANALIAAT V HSIHA IVIVO AT ANOd S 1V ID ZNI2Id 0OOSf t 100 0 TIVN MAV AN NHAV dv SHLSOd SAT Avd STAd NOIAV d SLATI 4A 0O0OSf t TOOT 000 OST TIVW MAV AN NHAV dv OXVIAVH V HHS IHA ANNAHHdOUNA NOINN 0O9Sf t TOOT 68S LT ITVW AV AN NAV LENS IAA HSIONVHO3VIN HONVHOH 0OOSf 1007 EIP cc TIVIN MAV AN NAV AV VVAV OHVNVA NOLIVNIQ3OOO 0O0OSf t TOOT 0 6 6 E8T TIVW MAV AN NHAV AV NNWWO9 1490N4 OHVNVA HG SRALNOONAA
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15. 30 2 SOP LT 2 S68 6 9 STAASIA SLAV TVLOL 2 060 t9t 2 VOE TIT S TE6 v6I 20 20 2 06v 2 068 II 20 20 20 2 T66 t 2 98L IST S THOSIA SLAY 2 E97 8TE TF ETL TLI 2 60 v9I 20 20 2 06t 2 VSS 9 20 20 20 S OLE S OvL SSI T0OT STANSIA SLAY S LT9 SET 2 I9 6 gt ETI 0 20 20 20 2 9tt 20 20 20 STE 2 9v0 96 1007 STANSIA SLAY 2 8LY 8TL 2 69 Ov 2 VES Th 20 20 2 69v 16 2 8E9 T 2 000 OSI S VIO TE 20 2 tlv lt SOIT 88 OLOHd 2 608 SOI 2 8 9 I 20 20 20 20 2 8t 9 20 20 20 20 ZF ILI VOI TOOT OLOHd 2 0L9 TT9 2 TEL 8EE 2 vt8 TY 20 20 2 69v 16 20 2 000 OST 2 vIOct 20 2 tlv cc 2 6t6 E8T 1007 OLOHd 86 SLYT SSILSSST 2 SOS ESE Z EI 2 9t6 L9 2 8TL 9 S TOI EST 2 VSE v6v 2 8vS 911 2 c 6 91 2 998 067 2 E8T LI6 HNHOS VI Hd SLAV TVIOL 2 911 909 2 106 0F 2 148 SLI 20 2 TT6 SE 2 T81 HI 20 2 LOT ST 2 vr6 L9 2 TCL VI 2 TS0 OL 2 9Ic TOT ANOISNN 2 68S 86 2 6L8 8LC 2 LOT 6cI 20 TF TT6 SE 2 YTS 20 S T L 2 00v t S TTL tl 2 tcv 9v 2 60L 611 TOOT Hn0OISQN 2 8TS LOC 2 Ic0 STI 2 v09 9r 20 20 2 899 I 20 2 S8S LI S VHS vc 20 2 0t9 ET 2 90 c8 1007 AN ISAWN 2 688 VST 289v v8 S LES TET 20 20 Z SEL Sv 2 0SS 9r S STL SSY SOIT 9c 30 S TIS SET S Icr ET HSNVG 2 ISS L8 gt cct Svv 2 199 16 20 20 20 2 Str vC 2 STL OST 30 30 gt I6t 8L 2 8cc cvT c00c ASNVA 2 8tt L99 T SvI 96 2 9LT Ob 30 30 SEL SY gt SOT cc 2 000 SOT SOIT 9c 30 2 070 LS 6T ILT 1007 ASNVA 2 9 LES 2 90 S8T 2 ELT rr 2 EH 2 VIO TE 2 II8 2 6c6 96 2 TT ET 2 00 v SZ
16. 320 1007 L98 CC T9L ODNOO DAV ODNOO DAV O3IVA TAANLINI HOVdSH IIXVSf 4490 1007 0 ETL L AN NHAVALNAD JAV AN NAVALNAI JAV TOTA NOLLVINQIOH TAAL VONTT HOVdSH OCcXVSf H32O c00c 9LL T TOL AN INAVALNAO IAV AN NIAVALNAI IIV ANAL VONTT HOVdSH OTXVS 320 c00c 0 19 O HDOTHHVLNSO DAV HDORIHV3LNHO DAV SRL VONIT HOVdSH S0XVSf 4490 1007 L9t OT ST6 AN NHAVALNAD JAV AN NAVALNAD JAV TAAL VONTT HOVdSH S0XVSf 4320 T1007 0 TOL AN NHVALNAI DAV AN NAVALNAI IAV LATIN NIN HID3JTHNAS HV AVASTA AIAL VONIT HOVdSH S0XVSf 320 1007 0 TEE T NNOAAWVI DAV NNOYANVI DAV VINODON I HO4V STALNOONJA V HAN NOLLVIDOSSV 9IXVSf 4490 c00c 0 GTI NNOAAWVI JAV NNOAAWVI JAV TAANONI NOILLVIDOSSV Tcxvst H32O c00c 0 ETL L NAOXANVI DAV NNOAAWVI IIV LAV NIINd4 6cXVSf 320 T007 8cv SE LSTT HIVSINHO AN NAV DAV NNOYANVI DAV TIVNOIOS3I HANANOL VAAN NOLLVIDOSSV 9IXVSf 4490 c00c 0 Itc T NNOAAWVI JAV NNOAAWVI JAV TAANONI NOILVIDOSSV Tcxvst HOO c00c 0 8vO NOOSSHNVO DAV NNOYANVI DAV ASNVA SHO3DOSSH3I Hd TALNAI V HAN NOLLVIDOSSV 9IXVSf A490 c00c FUMA Pp 9uIsLHO p sony VVAV 9PIV NAP p S t4 uoz JUI8LIO p SABA uoz spin sin93e19d0 9f041d n nur anbnApjeuy urzuroq uuy ANNEXE A2 Liste des personnes rencontr es Florence ALEXIS Charg de mission Bureau de la Politique Culturelle et Artistique DCCF DGCID minist re Charg e de mission arts visuels AFAA Programme Afrique en cr ations des Affaires trang res Bernard BANOS ROBLES Membre du conseil d orie
17. 5 5 Quelle pertinence du Programme Afrique en cr ations seen 57 5 5 1 Le soutien du minist re des Affaires trang res est il en ad quation avec ses missions 57 5 5 9 Les modalit s et le niveau de ce soutien sont ils adapt s sss 57 SIXIEME PARTIE RECOMMANDATIONS TT pasasaq R PET ut ANNEXES A UE ERE 1 Annexe 1 Termes de r f rence de expertise evalUatiVe u papas e uyu u uma E nn en nn e 63 Annexe 9 Liste des personnes rencontr es pour la pr sente expertise ValUatIVE sies eie AO AIRAS AIR MR Et eee bt ANR 66 Annexe 3 Listes des op rations soutenues par le Programme ann es 2001 9009 pr sent es selon la composante sous tris par disciplines r gion et pays d origine ou selon la discipline sous tris par r gion par pays d origine et composante 67 Annexe 4 Cartes des pays touch s directement par le Programme Afrique 2 Mes zn 0020000020002026 2220202020002020 aaa 2020 10002020 aaa 4445 2455 78 Annexe 5 Tableau g n ral des fonds mis en oeuvres en 2001 et 2002 par le Programme Afrique en cr ations engag s au 31 12 2002 et mobilisation locale disponible au 07 02 2003 Analyse par composante et par discipline 81 Annexe 6 Structure des financements par composante ann e 2001 2009 89 Annexe 7 Structure des financements par discipline ann es 2001 9009 iii 83 Annexe 8 Exemple de fiche d clarative des aides ext rieures r
18. ATVANOX Ovaasf T TOOT 0 000 t NINA4 MAV NINJE MAY SH3IA 1 D SAA ANOLAA ASSNOUA IXVL 8vaasf T TOOT T8E L 61L t NINd8 MAV NINd8 MAV TOOT TOOT ASSNOAE IX VL Tcdast T TOOT Or L ETI L HONV3lH OH NINJd MAV STAVd OASIOL SIV IVd VHVD IVHSAW 9cHdst T TOOT 0 SYO 8I IVDHNHS AV AN NAV LENS TOOT NINE 0I NV IVIN OI LAV Ava dd TIVNNHdIq LOHDST t TOOT 0 060 CI HONV AA ana AN RAV AV ANNALLA LNIVS HG TIVNNHId 9HdSf T TOOT 0 LL9 9 HHORLLOV ana AN NAYV Udy HNNHIA AN NA4V HSY TA 8TAAST T TOOT 0 000 OT VANTA EEN VANTA 44V INOOI2HV SHHS IA SAA SAOd SAA H4IV INHANI codast T TOOT 0 910 T HIdOIH IH EC HIdOIH LH 44V STIAAND SAA ANOLAA NASTNOd VINWId HALLA TEAAST v TOOT 0 09 AIdOIH LA HdV HIdOIH IH AV TO0C HIdOIH LH NH HONAGISAA NASTNOd VWWICA HALLH TTAAST v TOOT 0 IT6 T HIdOIH IH 44V HIdOIH I 44V HIdOIH LH NH NHS 1 1Od VININIG SAILA ETAAST v 00 0 ooe I ans NA AN NAV VIV ODNOO JAV TOOT SAVN NMOLAdVOI V V II Y IIHSL H VHS 60AAST v TOOT 9cc OI 860 9 HNDVINTIV ana ODNOO IIV DANOAWVH V ZATAONDI JASSI SAGOH OCAAST T 007 0 6S HONV AA ana AN NAVALNAI DAV STIAND SAC ANOLAA ATATIVA VA F 6vrddsf T TOOT SSS T HONV3lH ana AN NAVALNAD JAV VVAV AHAITIO IVIN NOLLISOdX8 G ADV HIOLS T 007 0 L AN NAV Udy NNOAAWVI IAV HHONWVLL oc ATITAANLINID AIHdVADOLAVI 8EAAST v TOOT 0 9 0 IT Od NDOSIHIAVO IAV NNOYANVI DAV SANIVAAN SHIHdV3DONHOS vaqasf v TOOT 0 000 I Sv8g SAVd ana VIHOIN G0S NA d ORV MAV VdV 4AdOANA DNDIOVdN LcHdSf T 007 06 Ote I TS4YAI AWV V IODNV VIV V
19. France et l tranger de la cr ation africaine Les contributions des membres du conseil d orientation soit pour enrichir la r flexion g n rale du Programme soit sur le plan technique exemples de monsieur Simon NJAMI qui a assur le commissariat de la biennale de Bamako l aide la mise en coh rence ou au montage de projets avec l AIF gr ce en particulier une commission ad hoc les collectivit s territoriales ou l UE L utilisation importante des comp tences des op rateurs culturels africains qui chaque fois que cela tait possible ont t sollicit s et mis en situation de forte responsabilit Les sollicitations ponctuelles d experts frangais ou europ ens qui apportent une comp tence sp cifique non disponible par ailleurs recrutement d un journaliste fran ais comme attach de presse de la biennale de Bamako par exemple La gestion financi re du FSP a amen l AFAA mettre en place des modalit s de gestion sp cifiques Un p le gestion du Titre VI a permis de d velopper des outils adapt s aux exigences du bailleur de fonds La conception d une fiche d clarative des contributions ext rieures remplir par les op rateurs culturels et les artistes soutenus par le Programme permet aujourd hui d avoir une visibilit correcte de ces aides ext rieures La quantit des retours et la qualit des informations communiqu es par les partenaires du Programme t moignent de la grande confiance et
20. Le montant total de la contribution du minist re des Affaires trang res pour les ann es 2001 et 2002 s l ve 2 158 013 ce qui repr sente au final 50 1 96 de l ensemble des fonds mobi lis s pour les op rations du Programme Celui ci aura donc mobilis au 31 d cembre 2002 la somme de 2 493 289 l ambition du Programme ne d passant pas 1 478 755 Un investissement de 1 par le minist re des Affaires trang res aura permis d en mobiliser 1 36 A c t des deux principaux contributeurs Union Europ enne et minist res de la Culture des pays africains du minist re fran ais de la Culture et de l AIF plus de 40 donateurs sont d nombr s La compl mentarit de l appui financier du Programme et de l appui m thodolo gique apport par les charg s de mission aux op rateurs culturels a contribu de facon d cisive la mobilisation des fonds par ces m mes op rateurs Ind niablement les aides financi res apport es aux op rateurs ont eu un effet levier sur la mobilisation d autres financements a fortiori lorsque le montage financier a t sous la responsabilit d op rateurs culturels ou d artistes Le Programme Afrique en cr ations donne donc une r elle cr dibilit aux projets culturels ou artistiques Il permet aussi de garantir le montage des grandes manifestations de Bamako pour la photographie et d Antananarivo pour la danse La strat gie de recherche d autonomie financi re des b n f
21. MAV VSA XAV ANV4 MVA AHANS LOWEST AN ISAW 1007 0 SHS 6T ANMTIV ALSOV ISV ITVW MAV ddIV TJQV d TVALLSH JAOVAL VDIOSI IOINSSf HnOISQW 100 ST8 9T 009 HONV3lH ana LAHA dVO MAV VAHAVN H3HI321VO LNHAWAddOTAA AA ESWASLT AN ISIW Z007 9VO TL TTI L OS V4 VNDT1208 MAV OSVA VNDHANA MAV 1007 XVN NOLLIG IVALLSHA YTNasf AN ISIW 1002 IMAYW p umsuo p s nny VVAV 9PIV NAP p S t4 uoz 9uiSLI0 p SABA uoz span sin93e19d0 9f041d Immu nby jeuy uewoq uuy ains Z 2 yuesoduio2 suonei2do sap 23511 V EV IXINNY 6ct VI 911 6 HONVl4 ana NNOAAWVI IIV ASVOVN NHNAATV OIANLS TINEST AN ISAW Z007 0 L8T T ans nd AN NAV VAV ans na AN NAV VAV AONAN TV LIDICA LAAINOI 8STNaSf HnOISQW 100 0 L98 TT ans NA AN NAV VIV ans na AN NAV VIV WHVGNI DISAW MAN IVALLSHA LNVSIHNILI TIVASIHSNOO T 8S0INgSf HN ISNN 100 EVS IS 3A IAV HONV3lH ana 1000 VSVHSNDI V H0DNOG38 AAA Idast ASNVA c00c 0 961 CI IVDHNHS AV VANSM VNVHO VHV MAV 100 ANDOOV HNIVIN345 OTIVId 4VANOL S0dast ASNVA 1007 vc9 99 STO 9 S da JAV HONV3lH MAV VSVHSNDI V d15NOdd8 AAAA TAaSf HSNVG 1007 0 OIT OSV4 VNDRINAE amp 3IIOAIG 4109 MAV OSV4 VNDRIN E TMOA ALOI AV VH8ODNOS HHOLHHOL NOLLV3IO sraasr ASNVA z007 0 SYS v OS V4 VNDT208 MAV OSV4 VNDI AN E MAV AOGAIS IN VITVS IQANAAA NOLLVH3IO 8ssaasf ASNVA c00c 661 IT 008 ANOVNATTIV ana OSV4 VNDTANA MAV euseurey TVALLSAA TV8O15 NV NOCTAAS IN VITYS SSAaSf ASNVA c00c 0 Svo 9 LSA4 T AA AN NAV 44V OSV4 VNIHANA MAV LSH I Hd V
22. SAT 0O9Sf t TOOT 0 889 T HONV AA ana ans na AN NAV VAV daN VT V GIHHLDIVdV T V HHATANS 0908Sf lt TOOT IMAN P SUHIIO P s nny VVAV 9PIV 311Anoe p S t4 uoz IMZO p SABA uoz spann snaze do od o nyug nby jeuy 9ureuro qq 39uuy aigdei5o3oug suoneiado sap 23511 9 V 3X3NNY 74 77 2 Ir LT 2 L61 6c 0 00 T NINHH MAV NINd8 MAV IISH9IH NINH8 NOLLV3232 HONVHOH 8SIAST v TOOT 0 6c0 V HANINO MAY 44NIND MAV gaygoyg SNIUII STASI r TOOT Ivv Lc L98 TT HdO3 4 ana HAININO MAV 1007 AdOUNA TANANOL A VAOVE SNIUII 6094Sf lt 1007 9MADO E D umiuo p sony VVAV 9PIV IMAN p s amp eq uoz IMZO p sed uoz spn sin e odo foaid Immur nby jeuy 9ureuro qq uuy anbur suorje12do sop 23511 2106 07 S 917 TOC p8I OT 6v6 T OS V4 VNDI AN AE AV HONV Id ana VOVNO dOH dIH TVAILSH4 LYIWGS v TOOT 098 6 000 9 HONV3l4 ana AVOSVOVAVN IOV AVISVOVAVNW 3G dVA AHL dN JANANOL SINASI T TOOT LTT LCI 009 L vsn AWV AVOSVOVAVN IOV AIAL VA AdNOUO TVNOLLVNAALNI IVALLSHH NOLSNOH SENESI T TOOT 0 SvT SI HONV3ld ana ICY HANINO _ DAV MAV NOISNAHIG SASSILAW SHN ISNN 9YTNasf T TOOT 0 SvI 9 IVDdNHS MAV IVDHNHS MAV TOOT AVAVA SANHLAX ANATINVA TEWAST v TOOT 9L6 TS VVL T IVDHNHS MAV TV94NAS MAV 1007 AVAYA SAWHLAY ANATINVA LOINGSf r TOOT 0 SYI 9 adOHNA ANA TVOANAS MAV HON HHN3IDOT ALLHH VIRIAV ISIWqSr T TOOT 0 009 t HINHAO IS ana NINH8 IVIN MAV Va4O9 VINAA TVALLSAA LYy
23. STOOSf OLOHd _ 00 0 VES L ITVW AV AN NAV LENS H090 IVIVO ANALNV A SLONA cIOOSf OLIOHd c00c 0 ytv II TIVIN MAV AN NAV dv 00c OXVIAV8 INV IN NONIS IVTIVSSINNOD TIOOSf OIOHd 007 0 EOE 6 TIVN MAV AN NHV dv SSIHIONVNIH SIV 41 LA S IHAIG ANALAV A SLIOAA 6000Sf OIOHd Z007 0 TES LI ITVW AV AN NAV AV YAWAALNO NATE NOISNAAICA LVALNOQ SOODST OILOHd c00c 8t9 T TL8 VT TIVW MAV AN NAV dv SNOLLISOdX4 SAA NOIS JJIG LA STAAND SAA HANOLAHA TOOIST OLOHd c00c 0 TET TIVN MAV AN NAV AV T00c NANWMNOO LHDGf18 OXNVIAV8 8G SHALNOONAA SAT c0OOSf OLOHd _ 00 0 989 ITVW AV AN NAV LENS 1007 NOWINOO LADANEI OHVNVA 3G STALNOONAX SAT 0OOSf OLIOHd c00c 69v I6 TIVIN MAV AN NAV AV OHVNVA V HOIAMAS Hd NOLLVLSH Id 0O0OSf OIOHd 1007 VIO TE TIVN MAV AN NHAV AV HIV 0O9Sf OIOHd 1007 Svo SI TIVN MAHV AN NAV LENS LOTA ANALIAAT V HSSHA IVIVO AT ANOd SNVTI ZNIHd 0OOSf OILOHd 1007 0 TIVIN MAV AN NAV AV SALSOd SAT Avd STAd NOIAV G SLATTIA 0O0OSf OLOHd 1007 000 OST TIVN MAV AN NHAV AV OXVIAVH V HHS IHA ANNAHHdOUNA NOINN 0O9Sf OLOHd 1007 68S LT ITVW AV AN NAV AV IAA HSIONVHO 3VIN HONVHOH 0OOSf OLOHd 1007 ETH cc TIVIN MAV AN NAV AV VVAV ONVINV8 NOLIVNIQ3OOO 0O0OSf OIOHd 1007 0 6 6 E8T TIVW MAV AN NHAV dv NNWWO9 1490N4 OHVNVA HG SRALNOONAA SAT 0O9Sf OIOHd 1007 TTI TS 160 L HOORIHV3LNSO DAV AN NAVALNAI DAV TVAILLS44 IINOON IINOS HnOISQW Z007 0 00S t AVISVOVAVW IOV AVOSVOVAVN IOV VaLOONOL NOLLVH30O VT V HdIV AAVA LToSf ASNVA z007 0 Ive I AVISVOVAVW IOV AN NHAV AV STALNOON
24. TIITT 2 EOE S8 2 0Sv TLT JALVJHL 2 6t ovv 2 LET ELT 2 ELT vv cri 2 VIO T 2 118 2 6c6 86 STI ET 2 00c v SZ Ilcc 2 VET EL 2 TIT 9LI Toot H3LLVHH L 2 LOr 801 ZF 690 cI 30 20 20 20 20 20 20 20 S 690 TI 8tt 96 1007 HALVAHL LE9 96 2 Irrt Lc 2 t lt 20 20 20 2 T9 L 20 2 v6c SI 20 20 L6I 6c S003 2 6ct 9 20 20 20 20 20 20 20 20 20 20 2 6ct 9 TOOT AN ONIO 2 80 0 2 Irv LT S t lt 20 20 20 TFT L 20 TF v6c 81 20 20 2 L98 TT 1002 AN UYII 2 98v 899 2 cst OLE S EITT EL 3 EPI 2 9 v IF Z TII 8 S 618 011 2 cr ET 2 8176 LE 30 2 LST v8 S VEI 86T Y TLNVSOdINOO 2 9vt 0 S II 66c 2 TOO Ir TF EPI I 2 9E7 IF 206r 2 E8 SOI S ccr EI 2 009 ST 20 2 LES OL 2 EET YOT TOOTH LLNVSOdINOO 2 OvI S91 2 6tc IL 2 TIT TE 20 20 2 T L 2 9EE 20 2 8t CI 20 2 OcL I 2 106 6 T007 HLNVSOdWOI SVITOLET S I6S STL 2 119 89 20 2 00 9c 2 8CL 8ET 2 8 9I 2 000 SSE 2 VT oL 2 Ic c 2 08L 9 2 TT9 0S9 ALNVSOdNWOD 2 00 L6T 2 9 0 6L S c90 01 20 2 00 9c 2 VOS I 2 8E9 I 20 2 000 8I Z Ilcc S TTI 61 trc BIT c00c H LNVSOdWOO SVI6 8 0 2S SES 9v9 2 6vS 8S 20 20 2 voc LEI 20 2 000 SSE 2 vcl 8S 20 859 LE 2 6LE TEY 1007 SLNVSOdINOO 3 LOT ETOT S Sv8 PIO 2 8vv GP 30 30 S Lr8 8 S ELI tS 2 ct6 SLT 2 06v pE S TTL VI TF VET LLI S ccv 809 T amp LNVSOdWOO S Err SLOT S I 9 6L 2 Lry 8LE 20 20 218 2 Str vc 2 LVE 8ST 2 000 r S TTL tIl 2 6S8 601 S T18 I8C c00c c amp LNVSOdWOO 2 vc8 LYS S VIT Icc 2 100 IZ 20 20 2 9 0 S 2 8TL 6c 2
25. affirm e d accompagner une professionnalisation des op rateurs et des pratiques des artistes Ces objectifs novateurs font explicitement cho l volution des contextes socio conomiques du continent et ainsi l environnement de la cr ation africaine L enjeu est ici de r ellement contribuer au d veloppement culturel de l Afrique Les objectifs de la composante 1 qui devait se d ployer avec l outil O C RE posent aussi une d finition des b n ficiaires que sont les op rateurs culturels et les crit res de s lection qui doivent leur tre appliqu s Ainsi les op rateurs culturels sont d finis comme des structures culturelles manant de la soci t civile africaine associations groupements d int r t conomique agences ou ONG culturelles Les crit res de s lectivit ou pr requis sont tr s exigeants Ils permettent aux op rateurs de montrer leur engagement dans un processus de d veloppement existence l gale de la structure statut juridique et compte bancaire existence lt physique gt si ge lieu de cr ation ou de diffusion durabilit de la structure capacit d gager des financements capacit avec une quipe de collaborateurs capacit travailler en partenariat capacit initier ou int grer un r seau capacit communiquer concr tement Les objectifs mettent en avant la soci t civile qu elle soit repr sent e par des op rate
26. ations 5 9 1 La quantit et la qualit des actions entreprises correspondent elles aux attentes En terme quantitatif un total de 184 actions dont les biennales de Bamako et de Tana a t soutenu depuis 2 ann es Ces actions ont concern directement 25 pays et plus encore lors d v nements ouverts sur l ensemble du continent africain Le soutien la diffusion a permis des artistes ou des op rateurs culturels de travailler ou de pr senter leurs cr ations pour l essentiel en Europe dont principalement en France Nombre Volume Nombre de pays Diffusion hors Composantes Disciplines d actions financier concern s hors de l Afrique soutenues mobilis rencontres sub saharienne continentales 2 Arts Visuels 19 152 331 11 France Allemagne Italie Pays Bas Br sil 3 Arts Visuels 2 38 200 2 4 Arts Visuels 18 61255 10 France Br sil USA Sous Total Arts Visuels 39 251 786 2 Photographie 1 2 688 1 France 3 Photographie 9 385 422 1 Chine Sous Total Photographie 10 388 110 TOTAL ARTS VISUELS 49 639 896 2 Cirque 1 22 867 1 Europe 4 Cirque 2 6 329 2 TOTAL CIRQUE 3 29 196 2 Danse 20 192 965 11 France 3 Danse 4 158 714 2 Maroc 4 Danse 12 61 742 9 France TOTAL DANSE 36 413 421 2 Musique 15 144 895 8 France Slov nie Mexique USA Australie 3 Musique 1 7091 1 4 Musique 9 50 230 5 France TOTAL MUSIQUE 25 2
27. de ces missions posent d ailleurs question puisqu il s agit de financements ventuels manant du Titre IV et donc conditionn s par la gestion globale des activit s de l AFAA 5 4 Quels impacts directs et indirects a eu le Programme Afrique en cr ations 5 4 1 Le programme Afrique en cr ations contribue t il renforcer la pr sence des artistes et des op rateurs l international Qu apporte le Programme Afrique en cr ations au d veloppement culturel Cette expertise a montr plus haut que la diffusion des cr ations des artistes des artistes eux m mes et des op rateurs culturels a augment tr s sensiblement depuis le lancement du Programme Afrique en cr ations Les deux exemples embl matiques sont bien entendu les biennales de Bamako et d Antananarivo pour lesquelles un travail de diffusion remarquable a t r alis Une strat gie en trois temps a t mise en place Lors des v nements et manifestations structurantes AFAA a favoris la pr sence d experts internationaux des disciplines concern es photographie et danse en tant qu observateurs membres des jurys L effort de m diatisation des v nements a t tr s important 119 articles de presse ont rendu compte des Rencontres de la Photographie Africaine 65 articles pour les Rencontres chor graphiques en Afrique et dans l Oc an Indien Le site Internet de l AFAA a en outre donn une grande visibilit tant aux v nements
28. de l association Afrique en cr ations mais aussi la difficult d un r el largissement la zone anglophone Dans le cadre de la mise en uvre de la composante 4 Le Programme s est beaucoup appuy sur l expertise d op rateurs culturels africains Cette approche r ellement novatrice est un excellent moyen pour agir au plus pr s des besoins des structures locales 5 1 3 Qualit s du suivi et du pilotage par l AFAA et le minist re des Affaires trang res Les modalit s d animation et de suivi de la mise en ceuvre du Programme ont t voqu es plus haut en lien notamment avec le travail du conseil d orientation L AFAA est troitement li e au minist re des Affaires trang res par ses instances statutaires Le directeur de la DCCF est membre de droit de son conseil d administration Des r unions r guli res entre la DCCF ou la DGCID et l AFAA sont organis es dans ce contexte et ont particuli rement contribu au suivi du Programme Les r unions pluriannuelles du conseil d orientation ont compl t cette mission La pr sence tr s active lors de ses r unions d un repr sentant de la DCCF du directeur et du vice pr sident de l AFAA du responsable du Programme et d acteurs clefs repr sentants de l AIF ou de l Union Europ enne ont t des l ments essentiels du suivi Le fait que le comit de pilotage pr vu dans le rapport de pr sentation n ait pas t mis en place a pour cons quence l absenc
29. de la forte transparence qui qualifient la relation Ce constat est un bon indicateur du niveau de partenariat et de la maturit institutionnelle de la plupart des structures b n ficiaires La rigueur du suivi permet que les compte rendus d ex cution soient remis dans des d lais tout fait corrects Toutefois des manques peuvent apparaitre Le report de la cr ation des commissions techniques par discipline peut apparaitre comme un handicap la transparence de l instruction des demandes et une r flexion pouss e et coll giale autour des enjeux et des strat gies propres chacune des disciplines artistiques La proc dure d instruction des dossiers de demande de financement n a pas r ellement fait l objet d un travail coll gial structur mais plut t d un fonctionnement trois niveaux dans lequel les charg s de mission le coordinateur du Programme et la direction de l AFAA valident ou non successivement les demandes L loignement des terrains de la cr ation contemporaine africaine Les charg s de mission ne font que marginalement des missions de terrain importantes non pour mener en direct des actions mais pour tre toujours en phase avec la cr ation et les r alit s locales La n cessit dans le travail des charg s de mission est de croiser une approche artistique et les conditions concr tes d un d veloppement culturel ce dernier tant conditionn par l environnement Les modalit s de financement
30. des appr ciations des conclusions ou tout le moins des questionnements lorsque certaines situations ou solutions font d bat 13 14 Les observations et analyses effectu es am nent des appr ciations au regard des six crit res majeurs de l valuation la pertinence la coh rence l impact l efficacit et l efficience a viabilit Ces crit res sont appliqu s en r f rence constante aux objectifs fix s au programme valu et au contexte dans lequel il est mis en uvre DEUXI ME PARTIE LES PRINCIPALES CARACT RISTIQUES DU PROGRAMME 2 1 Une histoire riche de dix ann es l association Afrique en cr ations En janvier 1990 le ministre de la Coop ration confie la Soci t de productions Eur kam la conception et la r alisation d une mission de t l vision de 90 minutes sur Antenne 2 consacr e la cr ation contemporaine en Afrique lt Afrique passion gt A cette occasion le minist re suscite galement l organisation de rencontres entre artistes cr ateurs frangais et africains Ces rencontres intitul es Afrique en cr ations ouvertes par le Premier Ministre r unissent pendant trois jours au Th tre National de Chaillot au Conseil d tat et sous la Pyramide du Louvre quelques 250 cr ateurs La Fondation Afrique en cr ations transform e ensuite en association nait en janvier 1991 dans la continuit des rencontres et de leur r ussite L associ
31. en uvre n alt re son affectation Autre caract ristique des fonds sur Titre VI les marges de man uvres l int rieur du cadre des objectifs fix s par le rapport de pr sentation du Programme sont grandes d autant plus gran des que l AFAA et la DCCF sont tr s proches ce qui peut favoriser les n gociations sur des am nagements de strat gie et d utilisation des fonds Par contre le financement du fonction nement et des salaires n cessaires pour le d veloppement du Programme est subventionn sur 57 58 Titre IV l AFAA Ce financement cons cutif la fusion des deux associations est int gr au budget g n ral de l AFAA Celle ci peut tre amen e en fonction des priorit s faire des choix d affectation bude taire difficile Citons simplement la gestion des saisons culturelles celle de l Alg rie en 2003 qui n cessite des engagements financiers pris sur l enveloppe globale de l AFAA et ce malgr des compl ments budg taires manant des minist res Le niveau de soutien du minist re des Affaires trang res est globalement comparable celui fourni l poque l association Afrique en cr ations Il ne paraissait pas envisageable de faire le choix d investir des moyens financiers plus cons quents sur FSP si les ressources humaines et les moyens de fonctionnement n taient pas en rapport avec cette augmentation Les appro ches novatrices propos es dans le cadre du FSP n cessitaient de plus une p
32. en avant d s la d finition des objectifs du Programme permettant ainsi aux charg s de mission de se positionner dans une d marche de recherche action assum e ou de favoriser une phase initiale d identification 5 1 2 Les moyens utilis s qualit des intervenants diversit s des manifestations sont ils adapt s aux objectifs Dans le cadre de la mise en uvre de la composante 1 La dynamique O C RE a mis en uvre diff rents outils particuli rement adapt s les conventions de partenariat avec les op rateurs culturels la confiance donn e aux op rateurs culturels africains pour organiser g rer expertiser ou former la qualit de l identification qui s est appuy e sur le croisement d informations issues des postes du colloque de Lille et de la connaissance ant rieure de l association Afrique en cr ations la diversit des op rateurs culturels impliqu s la r alisation de seconde rencontre O C RE en Afrique du Sud pays phare de l Afrique australe forte capacit de rayonnement sur l ensemble du continent pour accompagner la strat gie d ouverture du Programme vers les pays anglophones l utilisation de diff rents moyens au gr des besoins et des situations pour favoriser la mise en r seau les NTIC les stages les missions d expertise ou d observation les formations les rencontres O C RE et des invitations de plusieurs op rateurs lors d v nements ext rieurs rencontres AFAA
33. fran ais ou europ ens ont t invit s Points qui m ritent une attention particuli re Les manifestations structurantes soutenues sont toutes implant es en zone francophone L enjeu majeur pour 2003 que repr sente le transfert de responsabilit beaucoup plus fort des manifestations de Bamako et de Tana La visibilit de la strat gie de choix des disciplines et des manifestations structurantes pour lesquels le Programme se positionne prioritairement Une approche strictement financi re du rapport co ts avantages r v le des r sultats tr s positifs En effet un investissement de 1 par le minist re des Affaires trang res a permis de mobi liser au moins 1 36 Si les co ts salariaux sont int gr s Titre IV le retour sur investisse ment est de 1 045 Ind niablement les aides financi res apport es aux op rateurs ont dans la grande majorit des cas un effet levier sur la mobilisation d autres financements manant d institutions publiques comme l Union Europ enne ou l Agence Intergouvernementale de la Francophonie mais aussi de grands organismes priv s trangers comme la Fondation Prince Claus Cet effet levier est une r alit lorsque le montage financier est sous la responsabilit des op rateurs culturels ou des artistes Le Programme Afrique en cr ations donne par l aide financi re et technique une r elle cr dibilit aux projets culturels ou artistiques Les comp tences et la cau
34. les march s internationaux de la culture afin d intensifier l offre de production culturelle africaine 4 Augmenter la diffusion internationale des cr ations africaines Multiplier les rencontres entre cr ateurs appuyer les changes Nord Sud pour favoriser des projets de coproductions co r alisations avec des lieux europ ens fort potentiel de visibilit 1 C est une tendance lourde m me si le Programme a fait appel des op rateurs francais plusieurs v nements ou formations ont t assur s par des op rateurs culturels africains ODAS Africa Burkina Faso Toubab Diallaw S n gal Espace Linga T r Centrafrique Centre Universitaire des Arts Rwanda ou Centre for Creative Arts Afrique du Sud En fait ces formations ont t r alis es sur la Composante 1 On citera la formation pour les administrateurs de festival pour l Afrique de l Ouest au Burkina Faso L expertise de l AFAA dans ce domaine a t une contribution d cisive au d veloppement du Programme et tout particuli rement dans le cadre de la diffusion des cr ations 1ssues de Bamako ou de Tana 5 3 Quelle efficience dans la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations Les ressources humaines et financi res ont elles t bien mobilis es Le rapport co ts avantages est il satisfaisant 5 Ce n est pas encore le cas formellement m me si sur certaines op rations des op rateurs
35. nom Fonction Signature ANNEXE A8 Exemple de fiche d clarative des aides ext rieures 2002 drreciotion Frangusse d Action Artistique E s Minist re des Affaires trang res BILAN DES AIDES EXTERIEURES RECUES 2002 L AFAA Programita Afrique an cr ations sur san financement FSP n 2000 B5 2002 a accord votre structure SSDC TIC K MY Eye fs un aide d un montant ce A Pd iN paur la projet eode analytique E BCEA SI appui la Mobilit Afin de nous permetine de justifier gu Minist re des Affaires Elrang ras as autres aides qua vous avez neues nous vos demandons de bign vouloir compl ter le tableau suivent et cert lier sur l honneur ke sommes indiqu es SOURCES DE FINANCEMENT D ESIGNATION MONTANT RECU MONTANT ATTENDU EN 2003 AJDES FRANCAISES MINISTERE DE LA CULTURE CCF 8CAC FONDS PUBLICS BILATERAUX QU MULTILATERAUX UNION EUROPEENNE ALF AFRICALIA Belgique AUTRES AIDES MECENAT SPONSOR COMPAGNIE Marci da renvoyer ces informations Corinna Master da Parajd par t l copie au num ro D1 53 59 22 40 ik E PEUR roro iro UM bE o 18 04 02 S x ju Jn A NN ss JA nd kd THE SOT Paris TE ghene 33 15 53 69 45 b EAS le q33 3F 53 d 13 30 7 Hifi waa dla aiis Pi 65 86 ANNEXE A9 Exemple de diffusion Afrique du Sud Tourn e en France du 3 f vrier au 30 mars 2002 Eclatement de la compagnie en 2 compagnies I
36. octobre au 15 novembre 2001 Ces rencontres auront permis deux avanc es majeures la rencon tre r elle et concr te des cr ations des artistes africains de cette discipline avec la popula tion tant Bamako que dans les municipalit s des grandes villes du pays l effort consid rable lors de l v nement m me et apr s celui ci pour favoriser une diffusion importante et surtout internationale des photographes et de leurs oeuvres L enjeu 40 CINQUI ME PARTIE CONCLUSIONS D VALUATION 5 1 Cette partie vise r pondre dans la mesure des observations effectu es aux questions pos es dans le cadre des termes de r f rence de l expertise valuative D autres observations seront propos es m me si elles n avaient pas t explicitement voqu es dans les termes de r f rence le cas notamment pour des actions financ es sur Titre IV La coh rence du Programme Afrique en cr ations 5 1 1 Les objectifs ont ils t bien d finis Comme voqu pr c demment les objectifs ont t formul s au regard de la riche exp rience de l association Afrique en cr ations La conception du FSP par la DCCF a intimement asso ci les postes et les charg s de mission d Afrique en cr ations Quatre approches fondatrices sont ainsi reprises explicitement dans les objectifs du Programme l appui aux manifestations structurantes dont Bamako et Antananarivo le d veloppement d un centre de ressources l appui
37. qualifi es de deux ex administrateurs de l association Afrique en cr ations messieurs Ibrahim LOUTOU pr sident et Bernard MOUNIER vice pr sident Le conseil d administration a d ailleurs affirm cette fusion en choisissant comme vice pr sident monsieur Ibrahim LOUTOU Le conseil d administration doit en effet choisir trois vice pr sidents dont un issu du coll ge des personnalit s qualifi es C est la premi re fois qu une personnalit trang re Niger assume cette fonction l AFAA On peut rappeler ici que d s 1994 des contacts avaient t pris entre l AFAA et l association Afrique en cr ations pour favoriser la diffusion des cr ations contemporaines africaines Ce rapprochement verra ainsi un repr sentant de l AFAA devenir membre du conseil d admi nistration de l association Afrique en cr ations et la participation titre d observateur de monsieur Bernard MOUNIER celui de l AFAA 2 3 La fusion questions soulev es par l association Afrique en cr ations La fusion de l association Afrique en cr ations avec l AFAA a g n r des craintes de la part de certains de ses anciens dirigeants craintes li es la sp cificit fondatrice de l association Afrique en cr ations autour de l appui la cr ation contemporaine africaine et sa diffusion sp cificit qui pouvait s affaiblir en intensit et en proximit au fonctionnement de l AFAA associ e institutionnellement et structurell
38. ressant d analyser les r sultats de la composante 1 L approche d velopp e par O C RE a t pens e comme tr s structurante En outre elle s est prioritairement int ress e des op rateurs culturels d j bien install s et stabilis s Ce renforcement des op rateurs est d ailleurs un enjeu important pour l AFAA la mise en uvre de ses missions traditionnelles n cessite effective ment l existence d op rateurs culturels solides en Afrique Les exemples de l association MEKA et d ODAS AFRICA sont tr s significatifs ce sujet Ils t moignent que le Programme Afrique en cr ations permet d am liorer l efficacit engendre un professionnalisme dans les pratiques pose des exigences a initi une mise en r seau intra continentale qui n existait que peu auparavant a contribu la cr dibilit institutionnelle des op rateurs par exemple vis vis des postes et des centres culturels Fran ais a contribu la reconnaissance de l expertise artistique des op rateurs a introduit le partenariat et la d marche du projet comme outils de d veloppement culturel Ces diff rents points ont t possible gr ce la mise en r seau La mise en r seau reste tr s souple dans son d veloppement elle structure sans enfermer elle ne hi rarchise pas les op ra teurs Des formes de solidarit et d changes de pratiques sont initi es hors du cadre des actions soutenues par le Programme Ces con
39. une totale autonomie financi re e Appuyer la cr ation e Appuyer la diffusion Sous objectifs ou outils d crits e Favoriser la vente des uvres e Aides la cr ation en priorit dirig es vers des artistes dont la reconnaissance artistique est acquise mais sur des fondements conomiques fragiles R pondre la demande des nouveaux publics jeunes chercher sa reconnaissance encourager les formes d expression arts de la rue spectacles co t modeste de production et ne n cessitant pas d quipements culturels lourds Confronter r guli rement les cr ations des artistes avec les tendances internationales du genre acc der la connaissance Communiquer aupr s des structures de diffusion en France et l tranger Appuyer ponctuellement les artistes ou les compagnies pr s lectionn es par les programmateurs trangers e Prise en charge du transport a rien Multiplication des points de diffusion Enjeux Objectifs Mode d Emploi du Programme Afrique en cr ations Appui la professionnalisation des fili res artistiques promotion diffusion participation des cr ateurs aux grands rendez vous internationaux Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique Buts et objectifs de chaque composante Apporter un appui financier technique et organisationnel en veillant ce que le mode de coop ration traduis
40. 00 Jones OD O Cjeikere D Zonga Simon 13 100 13 100 1 30 Basto K B Khelifa D H Kasco E 40 BA Okoya H Benohoud Lamia Maji B A nid m p em ben Be 45 photographes NB Les expositions ayant accueilli dans leur programmation uniquement les prajechons moctr es Bamako me Agurens pas sur ce tableau 89 ANNEXE A10 Exemple de diffusion suite IE UNE zp Des SAN SRU R A inds haya Ru Arau P Tracy Derrik RU kiosa ddrond n es Fokhir Arined Lebekk rai Ooeborai A Aires bith eroh Calcarea 5 Tibo H Parera wao orga El Akes Dirie Abdou Fari Fave pergen Aindecu 13k Ban Chase Brama Beut jelal r bete Aluka Fary Fapa Ras Cholb sc Bran Baud ull Cosi Branar Feat Fakbie Bode bed br Arraba A Chruibi Tseraba Hadai Ts i d fie bdii firi phai aha A d fini A d finir E phosagragher Bill Akma B tat Luir bertz Karim Ras nalla P OL T 14 pnoiograpi D phatca li HE M HE 3 HT iod liii Li LLL A bd 1 01 2603 ANNEXE A11 la Zone de Solidarit Prioritaire La Zone de solidarit prioritaire ZSP dont les contours peuvent voluer sur d cision du Comit interminist riel de la coop ration internationale et du d veloppement CICID a t d termin e lors de la demi re r union de cette instance le 14 f vrier 2002 Elle regroupe d sormais les pays suivants Proche Orient
41. 000 auront enrichi substantiellement la conception du FSP mobilisateur Une convergence de deux associations la faveur de la r forme du dispositif de coop ration internationale francais la fusion de l AFAA et d Afrique en cr ations En 1999 a r forme du dispositif de la coop ration internationale de la France se traduit par la cr ation de la Direction G n rale de la Coop ration Internationale et du D veloppement DGCID et du Fond de Solidarit Prioritaire FSP On peut rappeler les principes qui avaient guid la d marche de la r forme renforcer l unit de conception et de coordination de l action de la France en mati re d aide au d veloppement am liorer son efficacit et moderniser ses proc dures promouvoir le partenariat et valoriser les compl mentarit s donner une meilleure lisibilit aux actions de l Etat et largir la participation de la soci t civile Ainsi le rapprochement entre le secr tariat d Etat la Coop ration et la Francophonie et le minist re des Affaires trang res s est poursuivi par le rapprochement de leurs op rateurs culturels A la faveur de cette fusion le ler janvier 2000 l AFAA red finit ses missions et ses instances D s le 10 janvier 2000 l AFAA et l association Afrique en cr ations signent un trait de fusion dont les motifs sont exprim s de la mani re suivante Dans l esprit de la r forme du dispositif de la coop ration du minist re d
42. 02 216 2 Th tre 7 92 675 7 France 3 Th tre 3 61 196 3 4 Th tre 20 118 578 10 France Japon TOTAL TH TRE 30 272 449 TOTAL ARTS DE LA SC NE 94 917 282 TOTAL O C RE 41 267 728 12 France TOTAL 184 1 824 907 26 En annexe A3 est pr sent l ensemble des op rations soutenues pendant les ann es 2001 et 2002 Ces op rations sont pr sent es par regroupements successifs selon la composante sous tris par disciplines r gion et pays d origine selon la discipline sous tris par composante r gion et par pays d origine On peut souligner en terme qualitatif quelques actions et r ussites phares du Programme le rayonnement d j voqu des manifestations structurantes de Bamako pour la photo graphie et d Antananarivo pour la danse la diversit des op rateurs culturels et des artistes soutenues depuis deux ann es la concr tisation de la dynamique O C RE avec notamment l mergence de r seaux r gionaux ou panafricains d op rateurs culturels la richesse de la seconde rencontre O C RE Durban qui a favoris le rapprochement de l Afrique francophone et anglophone la reconnaissance internationale du dynamisme cr atif des arts visuels africains dans le cadre entre autres de la biennale de Venise o un Pavillon Africain est pr sent l instar des pavillons pays a visibilit du Programme Afrique en cr ations sur les outils
43. 21n32nns 9v 3X3NNV 82 84 ANNEXE A8 Mod le de fiche d clarative pour les aides ext rieures 2003 BILAN DES AIDES EXTERIEURES RECUES 2003 L AFAA Programme Afrique en cr ations sur son financement FSP n 2000 152 a accord votre structure une aide d un montant de pour le projet code analytique N intitul Afin de nous permettre de justifier au Minist re des Affaires trang res les autres aides que vous avez re ues nous vous demandons de bien vouloir compl ter le tableau suivant et certifier sur l honneur les sommes indiqu es et nous le faire parvenir en m me temps que la demande de votre derni re tranche d aide SOURCES DE FINANCEMENT DESCRIPTION MONTANT RECU MONTANT ATTENDU EN 2003 EN 2004 EN EUROS EN EUROS AUTRES AIDES FRANCAISES AMBASSADE et SCAC CCF MINISTERE DE LA CULTURE FONDS PUBLICS BILATERAUX OU MULTILATERAU AIF UNION EUROPEENNE PSIC AFRICALIA Belgique AUTRES FONDS PUBLICS DE VOTRE PAYS AUTRES AIDES COLLECTIVITES LOCALES France MECENAT SPONSOR COMPAGNIE PARTICIPATION DE LA STRUCTURE D ACCUEIL Merci de renvoyer ces informations Corinne Mester de Parajd par t l copie au num ro 01 53 69 32 40 En cas de probl me vous pourrez la joindre sur sa ligne t l phonique 01 53 69 83 60 Je soussign certifie sur l honneur exactes Fait les informations communiqu es Le Nom Pr
44. 510 38 Le Programme a principalement assur la co organisation de deux grandes manifestations structurantes les IV me s Rencontres de la Photographie de Bamako en 2001 qui ont favoris la rencontre des artistes africains avec la population et la diffusion internationale des photo graphes et de leurs uvres et les Rencontres Chor graphiques de l Afrique et de l Oc an Indien d Antananarivo en 2001 qui ont mobilis 63 compagnies avec un effort de diffusion tr s important Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepre neurs culturels 4 MF 609 796 07 Les actions men es pour le volet arts visuels se sont organis es autour d changes forma tions en direction des artistes nouvelles pratiques connaissance des mat riaux mais aussi vers les m tiers qui permettent le d veloppement de ce secteur culturel Un travail de rep rage des professionnels a aussi t mis en uvre Pour les arts de la sc ne le soutien des ateliers de formation plut t tourn s vers les artistes a t privil gi en s appuyant sur des principes de r sidences de conservatoires ou de stages de formation L organisation du Programme Le Programme Afrique en cr ations a t int gr dans le d partement de la coop ration de l ing nierie et du d veloppement culturels de l AFAA qui a cherch pr server l h ritage de l association Afrique en cr ations tout en r ussissant
45. 58 013 ce chiffre ne tient pas compte par exem ple du financement par les postes de billets d avion pour la biennale de la danse Antananarivo Cette somme repr sente ce jour 50 1 de l ensemble des fonds mobilis s pour les op rations du Programme sur les ann es 2001 et 2002 On se reportera utilement l annexe A5 Les diff rents tableaux et graphiques qui suivent donnent une vision tr s pr cise des fonds engag s ou mobilis s par le Programme Afrique en cr ations On rel vera ici la tr s grande capacit du Programme favoriser la lev e de fonds par les op rateurs et les artistes mais aussi sa capacit propre Le Programme aura directement ou indirectement mobilis au minimum et ce jour 6 mois d activit s restent venir la somme de 2 493 289 L ambition du Programme ne d passait pas 1 478 755 Ce qui veut dire qu un investissement de 1 par le minist re des Affaires trang res aura permis d en mobiliser 1 36 Dans la somme totale mobilis e 192 764 ont transit par l AFAA en tant directement mobilis par le Programme Afrique en cr ations en compl ment des fonds FSP attribu s sur des op rations sp cifiques dont la diffusion des cr ations prim es ou pr sent es Bamako et Antananarivo et des op rations dans le cadre de la dynamique O C RE autour du th tre tude sur les festivals de th tre en Afrique Les tableaux montrent que deux principaux contributeurs av
46. 9899 S DSL BGE JOB VB L SHE Tom 3689 LEL Ta 808 ese gt 052 LEl 306p Fil 3 EBD SE Bug SE 3EBFELL EXT d amp d J y M xnEJuE sipag publics BIMAE AeC postes CCF publics STRUCTURE DES FINANCEMENTS 2001 35 STRUCTURE DES FINANCEMENTS 2002 publics H MAE AeC postes CCF BIMAE AeC postes CCF OFinancements priv s E m lt T B OFinancements priv s Bl Autres financements O Financements priv s H Autres financements STRUCTURE GLOBALE DES FINANCEMENTS 15 amp t E F Financements priv s Structures des financements selon convention 26 28 Structure d taill e des fonds mis en ozuvre cumul s 2001 2002 Mobilisation locale et mobilisation AFAA STRUCTURE DETAILLEE DES FONDS MIS EN UVRE CUMULE 2001 2002 BFrogramme Afrique n cr ations H Cr dits d concantr s Postes CCF H kGnist re Cullure France RFI 42 AF R ir H Collectivit s France BI Ministres Culture Afrique H Africaka H Mustilat raux UNESCO OFris s Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent O C RE Buts et objectifs de chaque composante Afin de contribuer p renniser les entreprises culturelles existantes ont agira pour e Renforcer leur capacit de travail e Elargir leurs offres de service Elaborer leur commu
47. AA SANIVHIOUd SAA NOLLV IVdH lId LA ALINS 90GOSf ASNVA c00c 0 LL9 T AVISVOVAVW IOV AN NAV LENS IO TI TI 9 HATAVNVNVL Hd SHALNOONAA SAT c0GOSf dSNVGd z007 SYT SI AVISVOVAVW IOV AN NAV AV HATSIVNVNVL V TA2OLEIOQO AALNAI NA AVAAN c0GOSf HSNVG 1007 SEL Sr SVOSVDVGVIN IOV AN NHAV AV HATAVNVNVL V HOIASIHS Hd NOLLVLLSH 2Id c0GOSf HSNVG 1007 000 SOT AVISVOVAVW IOV AN NAV LENS AVISVOVAVN V HAS AAA HNNHHdO3ICH NOINN c0GOSf dSNVG 1007 SILSI AVISVOVAVW IOV AN NHAV AV IAA HSIONVHO8VIA HONVHOH c0GOSf 4SNVG 1007 OIT 9c AVOSVOVAVN IOV AN NHAV AV IV HARIVNVNV V NOLLVIASIOd c0GOSf HSNVG 1007 0 Ort 8v AVISVOVAVW IOV AN NAV LENS SHADIVNVNVL Hd STALNOONAX SAT c0GOSf ASNVA I00c 0 968 C DJOHVN NAV AVHOL JAV 2OXVN NV AVHIL NA XNVALAAL 80 Sf ASNVA c00c 0 SST OC ODOL MAV ODOL MAV NOISAdOAAV 7007 TOMA 0HOSf S TANSIASLAV TOOT 0 SrO 8I IVDHNHS MAY AN NAV AV TOOT NINE 0I NV IVIN OI LAV AV Hd T IVNNHdIq LOHOSf _ STANSIASLAV c00C IMAN p SUHIIO P sony VVAV 9PIV 311Anoe p S t4 uoz IMZO p sed uoz spann snaze do od 971301 nby jeuy uewoq uuy ajuesoduio suore12do sap 231511 V IXINNY 70 Z3 Z VOE TIT 298LISC 0 SST OC ODOL MAV ODOL MAV NOISHGO LHIV 7007 TOMA 0HOSf t TOOT L90 TL9 OT DANAS IHDIN NINJE MAV SIHDIN NINd8 TVOANAS MAV ASSNOUE IXVL IT4asf 4 007 0 Lc6 T HONVAA ANA TVOANAS
48. AALVAHL 1007 690 cT 6v0 AVOSVOVAVN IOV AVOSVOVAVN IOV VNV L V LLdI Ir1 LA OAWOA ELASf AILVAHL 1007 0 v6T 8I NINA4 AV weI NINAE 30H MAV IV HAL HHSSAGO LYAA S2LEVHHL ALNMVLILNAWATIWNOD TILasf AULVAHL 1007 0 98v LT TIVIN MAV IYN MAV AANOL ASIOW SANAOS SANAT LA SANNAAOAL SAT 6S LAST AALVAHL c00c LS6 TI 1619 FIVW d3IOAIG 8 100 MAV H8IOALG ALOI MAV TALVAHL OAVWA LLV8IO Hd YAILNVHO INO IOM OSSNOW LELAST AILVAHL _ 00 0 606 6 OSV4 VNID212089 MAV OSV4 VNIHANA AV 47S V T SNVG IXH I NH IH8H HIO LL IdSf AULVAHL 1007 0 TSY 6 ans nq anonidv VIV ans na AN NAV VAV TAIVAHL AO238XAGNIA AHID ONA NOILV AANO VT V HdIV O LaSf AALVAHL 1007 0 889 T HONV lH ana das NA AN NAV VAV daN VI V QAHLAVAV T V HAAIAUNS 0908Sf OIOHd 007 098 6 000 9 HONV AA ana AVOSVOVAVN IOV AVISVOVAVN 3G dV3l AHL dN AANANOL S9IW8S AN ISIW Z007 LIT LCI 009 L VSA aNv AVOSVOVAVN IOV ASIHfV3I AdNOUO TVNOLLVNYHALNI TVALLSHA NOLSNOH SENAST AN ISIW Z007 0 SYT SI HONV3lH ana ICY HANINO DAV MdV NOISNAAIA SASSILAW SAN ISAW 9vrINaSt AN ISAW Z007 0 ShI 9 4AdOANA ana IVDHNHS AV YAAN HHN3IDOT ALLHH VOLIHV ISIWgSr AN ISIW Z007 0 009 t HINHAO TS ana NINH8 IVIN MAV V880D VINAA TVALLSAA LrNASf HN ISNN __ TOT 0 9 L TIVW MAV TIVW MAV TVOISAN LNHINHddO THAHG VCAVW AV TNASf AN ISAW 1007 000 OT YOT 9 AN IXAN av TIVN AV OOIXAN V ALVAVIA AGVN dSSV3 GCNAST HN ISNN Z007 000 t S616 ANIIVT AN NAWY AWV IYN MAV HNIIV I HnORISIAV NH ALION 8I8VH TSNASf HN ISNN __ TOT 0 SYT SI vsn AWV TIVW
49. AV H ITHHOO2 VI V HA405 VAVNVO SSAAST v TOOT 0 O8L S NNOYAIN VI JAV TV94NAS MAV SNIVEAN SAATTALV SAT LAV TVNOA aasi v TOOT 00 LT HONV lH ana IVDHNHS MAV 1007 ATIHHOON VT V OHAVS VSSNON OIHdS v TOOT 0 L98 TT TVOANAS AV IVDHNHS MAV SNIV820 SSH IALV SAT LAV IV1OGg TIAASf v 00T 908 LI 96 v AOINV A ana TV94NAS MAV 4ATIAHIOA VT HINAAS A OHAVS VSSNOW O0Tradst v ooz 9F86 1 VOTI TIVN MAV IVDHNHS MAV NONDIAV V LINAN Hd SINVANA OSHqS 4 TOOT 0 000 0c SNOVNWATIV ana TVOANAS AV T007 S0 87 VLNAWNAOA IVAASS T TOOT 0 001 T IVODHNdHS MAV VI3HOIN MAV NOIAV G SLHTIIH ATTAANLINI AIHdVADOLAVI 8EAAST v TOOT 0 9 L TIVW MAV SIHDIN MAV 1007 01 07 HT OHVNVA V IGVHd IV 47144A TTAAST T 007 0 8rc I ans nd AN NAV VAV TIVN AV TOOC EO 81 ST NAO LddVO V ALVNOY V4NOIDVA 8TAAST v TOOT 0 80S I VSA AWV IYN MAV SATAONV SOT V HgIdIS 3IOTIVIN Taqasf v TOOT 0 vve HONV lH ana TIVW MAV ZLISIVIS HOVIALG TAAAL V TIVIN NA SHHAVAOOLOHd C rOqS 4 TOOT 0 199 T AITVLI ANA ODOL OdNHS TIVW HSIOAI ALOI MAV AWON LA HNDO IO8 NIYAL V ANTVIRIAV 4NOO VT OHaSf T 00T 0 UEA HONV3lH ana TOALLA ALOI MAV NOISAQ 3IHI THIV HONHdISH2I NAIWVIN LNAONIA 60HdS v TOOT 0 VSS I HINV HA MAV TAOALA ALOI MAV OOSV I STXAOQ SIAYd NVfGISV NOISSIW TAAST r 007 LSY 106 HONV AA ana H4IIDALG ALOI MAV NDISHG IHI TALV ADNAAS TA NAIWVIN LNHONIA 604AAST v 00 0 000 HONV3lH ana NINd8 MAV IWVOTIV85 Id 449 HII TV9 VT V SSVNOY AN INIWOA 9SAASf v TOOT 0 000 ATTVLI ana NINd8 MAV TOOT SAYIN NIJAL V AWNOZVH
50. DIRECTION G N RALE DE LA COOP RATION INTERNATIONALE ET DU D VELOPPEMENT APPUI LA PROFESSIONNALISATION DES OP RATEURS CULTURELS DU CONTINENT AFRICAIN Programme Afrique en cr ations TUDE R ALIS E PAR Jean Marie MONTEL amp Jean Daniel BALME MINIST RE DES AFFAIRES TRANG RES Cette valuation est un document interne r alis la demande du minist re fran ais des Affaires trang res Les commentaires et analyses d velopp s n engagent que leurs auteurs et ne constituent pas une position officielle Tous droits d adaptation de traduction et de reproduction par tous proc d s y compris la photocopie et le microfilm r serv s pour tous les pays Photo de couverture Marc Coudrais Minist re des Affaires trang res Juin 2003 ISSN 12 49 4844 IBSN 2 11 093555 3 TABLE DES MATI RES z SIGLES UTILISES RNC EUREN C SYNTH SE DU RAPPORT D VALUATION M Mn Le Programme Afrique en cr atiONS 0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 7 Conclusions d valuation et recommandations ss 9 PREMI RE PARTIE PRINCIPAUX ASPECTS DE L APPROCHE M THODOLOGIQUE 13 DEUXI ME PARTIE LES PRINCIPALES CARACT RISTIQUES 9 1 Une histoire riche de dix ann es l association Afrique en cr ations 15 2 2 Une convergence de deux associations la faveur de la r forme du dispositif de coo
51. IHVH Hd 830GVWIVS V HONAGISAA H IO OINOLNV TSAAST v TOOT 0 9L9 HONV AA ana ans na AN NAV VAV DIVI ANS LVNAALNI IN 1231O4 IHISEIHd HIHdOS NOISSIN LEAAST v TOOT 000 8 SpO ST Tsa HNV ans na AN NAV VIV TO0C IPIAV SAVN O I 1Vd OVS HG YIVNNHId ScHgsSr T TOOT 0 09T 9I ATTVLI ana das NA d 0ODRNHNV VAV anas NA AN NAV ATAVAS INAI SNIVOBIHV SALSILAV C VITAASS T 007 IMAYW D umsuo p s nny VVAV 9PIV NAP p sed uoz JUI8LIO p SABA uoz spin sin93e19d0 9f041d opnynug anbnApjeuy 9ureuro qq uuy S nSIA SHY suoneiado sap 23511 S EY 3X3NNV STSEOLE S PET 86C 0 98t C IVDHNHS MAV HONVAA IVOANAS ANA MAV NV2 IOA NIG3IV ALOI LTIAST AILVAHL _ 00 0 TLT CI IVDHNHS AV HONVAA TVOANAS AN4 MAV SIV3IVG LNATIOT SHONVHOH AALNOOV A HS SOLASf AALVAHL 1007 0 SLL T OSVA VNDI AN AE MAV HONV AA OSVA VNDININAE S0H MAY NHIHHH HINDVdIWOO N L NOLLVHzID HONVHOH SELAST AALVAHL 7007 066 9c OSV4 VNDT208 MAV HONViH OSVd VNDTANY ANA MAV 1000 H8VND12408 OONVAA JOVA V HOVH TOIGSf AALVAHL c00C 060 6 cv HONV AA ANA AVOSVOVAVN ODNOO NINHg IOV OHV MAV NONDIAV ANS NA S HNALLAN HONAGISTA 6 ELAST HWIVHHI T007 0 TCO v HONV lH ana VONVASI ANINHS THIOAI ALOI __ 2HV MAV NONDIAV d IVALLSHH ANAIS NH SANALLAN HONSGISHSI TOLASf AALVAHL 1007 0 ITS HONV lH ana IVDHNHS MAV ONVAOS H LLVHH L ANVG dOId V HONHGISSI OTLASf AILVAHL TOOT 0 HONVAA ANA 4HI0ALA ALOI AV LV 1OS Hd H3IOLSIIH VHLASS HWIVHHI T007
52. IONS D VALUATION 41 5 1 La coh rence du Programme Afrique en cr ations esee 41 5 1 1 Les objectifs ont ils t bien d finis sse 41 5 1 2 Les moyens utilis s qualit des intervenants diversit s des manifestations sont ils adapt s aux objectifs d sostener Miri e a Rute tute d ll iu 43 5 1 3 Qualit s du suivi et du pilotage par l AFAA et le minist re des Affaires trang res 44 5 9 L efficacit dans la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations 46 5 9 1 La quantit et la qualit des actions entreprises correspondent elles aux attentes 46 5 9 9 Le Programme Afrique en cr ations a t il atteint ses objectifs 0 48 5 3 Quelle efficience dans la mise en oeuvre du Programme Afrique en cr ations Les ressources humaines et financi res ont elles t bien mobilis es Le rapport co ts avantages est il satisfaisant r rr 53 5 4 Quels impacts directs et indirects a eu le Programme Afrique en cr ations c000000000000000000000000000000000000000000000 55 5 4 1 Le programme Afrique en cr ations contribue til renforcer la pr sence des artistes et des op rateurs l international 2 tiec aste ire ER RE e Die ee en EP P erdaun 55 5 4 9 Contribue til leur renforcement dans leur pays d origine sss 56
53. MAV SNIVEAN SAANMTALV SAT LAV TVNAOQ TIAASI STANSIASLAV TOOC 00 LI HONV AA ana IVDHNHS MAV 1000 ATTAHIJOA VT V OHAYS VSSNON OTAASS _ STANSIASLAV T007 0 L98 TT IVODHNHS MAV IVDHNdS MAV SNIVEAN SAATTALV SAT LAV TVNOA TTAASS _ STANSIASLAV 1007 908 LI 96 v HONV lH ana IVDHNHS MAV HTIHIHOOq VT HINAAS AA OH3IVS VSSNOW OIHdSf S IHNSIASLAV 1007 0 001 c TVOANAS AV VTAHOIN AV NOIAV d SIAI HTISSALLIOO AIHdVADOLAVI 8 HdSf _ STANSIASLAV 7007 0 8rc T ans nq anonidv VIV IYN MAV TOOC EO0 81 ST NAO LddVO V ALVNOY VEANOIVA 8cHdSf _ STANSIASLAV TOOT 0 80S I vsn AWV TIVW MAV STTAONV SOT V HgIdIS 3OTIVIN ETIASI _ STANSIASIAV 00 0 WERA HONV AA ana 4AIIOALA ALOI MAY NOISAQ AATTALV HONHGISSI NHIIAVIN LNHONIA 60HdSf STANSIASLAV TOOT 0 VSS I HONV3lH MAV TOALLA ALOI MAV OOSV I SIAAOA STAvd NV dI8V NOISSIN IIHdSf _ STANSIASLAV 1007 LSY 106 HONV3lH ana AXIOALG ALOI MAV NOISAQ HI ILLV JONAAISTA NHIINVIN LNHONIA 60HdSf STANSIASLAV 1007 0 000 HONV AA ana NINJE MAV NVOIIVA9 LH 449V HIITTVD VT V SSVNOY AN INIWOA 9sSAASf _ STANSIASLAV T007 0 910 T AIdOIHLA 44V HIdOIHLA EC STIAND SAA ANOLAA NASTNOd VINWId HALLA T HdSf _ STANSIASLAV 7007 0 09 HIdOIHILA HdV HIdOIH IH 44V TO0C HIdOIH LH NH HONAGISAA NASTNOd VWWICA HALLH TTAASI S IANSIASLAV 00 0 IT6 T HIdOIH IH EEN HIdOIH I 44V HIdOIH IH NH NISTNOd VINWId AAILA IHdSf _ STANSIASLIAV 1007 0 ooe I ans nq AN NAV VIV ODNOO JAV TOOT SAVN NMOLSdVO V V INTIHSL AL VHS 6cHdSf _ STANSIASLAV 7007 0 L AN NAV AV N
54. N NINJE AV AJDIN NINd8 TVOANAS MAV ASSNOUE IXVL TCAASS _ STANSIASLAV 00T 8v8 6 T vo CI TIVN MAV TV94NAS MAV NONDIAV V LIAN HG SLNVANA OSHHSf S THNSIASLAV T007 0 000 0c HNDVWATIV ana IVDHNHS MAV TO0C S0 8T VLNANNHOG IvHHSf S THNSIASLAV T007 0 TTI L ITVW MAV SIHDIN AV 1007 01 07 TI OAVWVE V IGVHd IV dT IIHHG CCHHSf _ STANSIASLAV 00T 0 vre HONV3lH ana TIVW MAV ZLISIVId AOVUWILA S PTHLL V F IVIN NA SAHdVADOLOH C tvOdSf _ STANSIASLAV TOOT 0 99 T ATTVLI AIA OOOL DAINAS TTVW AAHIOAI ALOI MAV ANO LA HNDO IO8 NIYAL V ANTVINIAV I10D VT 0HHS S THNSIASLAV 007 OL L ETI L HONVAA ana NINHGd AV STAVd OAYOL SIV IVd VH VD OVHSHIN 9cHHSf _ STANSIASLAV 00T 0 000 J3TIVLI ana NINd8 MAV TOOT SAVIN NTANL V ANNOZVH TIVANOX OPHgS S THNSIASLAV T007 0 000 t NINH MAV NINd8 MAV SH3A Y D SAA ANOLTA ASSNOAE IXV L SyHdSf STANSIASLAV Z007 T8E L 61L t NINHd MAV NINJE MAV TOOT 1007 ASSNOUE IXVL ICHHSf _ STANSIASLAV TOOT 0 060 T HONV3lH ana AN NAV Av ANNAILA LNIVS AQ HT IVNNdI8 9HgqS _ STANSIASIAV COOT 0 LL9 9 HHORLLOV ana AN NAV AV HNNHIA AN NAV HSV TH SIHdSf STANSIASLAV _ TOOT 0 000 0 VANTA div VANTA div INOOI2HV SHASNN SAA SAOd SAA H4IV INHANI TOHASf _ STANSIASLIAV TOOT 9cc OI 860 9 HNOVNWHTIV ana ODNOO JAV Dn OgNWVH V ZATAONDI JASSI SAGO4 OcHHSf S THNSIASLAV 1007 SSS T HONV3lH ana ANONY ALNAO IIV V VAV 3IHIATTIO IVN NOLLISOdX8 d ADV HIOLS STANSIASIAV 1007 0 6S I HONV AA ana AN NAVALNAI DAV STIAND SHd ANOLAA ATATIVA VA F 6rddSf S IHNSIASLAV COOC 0
55. NH AANANOL NOUS IN VI TVS HINDVdINOO raasf ASNVA z007 TOS II L8T T INN AWNVAOA ana OSVA VNDT3018 MAV TAIALATONV NH JANANOL I aasf ASNVA 007 0 L00 91 vsn AWV OSV4 VNDTANA MAV VORHV SYAO VSN XNV HAANANOL 0GAHS IN VITVS JIO coqasr ASNVA 007 0 LETI S OS V4 VNDI AN E MAV OSV4 VNIHANA AdV SDOIHdV3DHHOHO H2LLNHO TVWAOA 1OGASS IN VITVS HIO SIaast dSNVG 007 0 SSL Ov HONV lH ana AN NHAV AV HONV IJ LA IOTIIVHO HATIVNVNVL SIVH3OQV I HIANHNOL 6caasr HSNVG z007 STL OST 9tt ST IVDHNHS MAV AN NHV AV TOOT SHHd VHIDHIOHO SAT ANOd OTIVIG AVANOL HDVLS eaasf ASNVA _ 00 0 OTL ET AMAVANIZ JAY AMAVANIZ 44V AN HdVADTAOHO NOLIVH3O VT V IVIASIOH VANIWNL AIO 6Iaasf ASNVA 00T 0 917 I VANTA EC VANJA EC HDOIHd V3DH30HO IdO THASG Ad VILA HOVNO OAIdO oaasf ASNVa 007 100 VIT HIdOIHILA HdV HIdOIH IH CCM 1000 VNONGV HINDVdWOO NOLLVSTIVNNOISSHHO ld OTaasf ASNVA c00c tor 9 6 9 IT HIdOIH IH div HIdOIH I 44V IJIANANNAd VNDNAV HINOVANO9N NOILLVSITYNNOISSHAOHd oraasr ASNVA 00T TI8 6v0 dA JAV ICA JAV OOV8VO AINDVdWOI NOILLVAND Scaast HSNVG 007 0 906 9 TIVN MAV NNOAAWVI IIV NNOYAWVI XINTHd SALITVEA SAA AALVAHL L ALOV 99dAd9qSf ASNVA c00c SS8 ST ISS ans nd AN NAV VAV NNOYANVI DAV V8INOf IVALLSHJ NV XINHOHd 419 LSaasf ASNVA z007 0 TST ET 4AIIOAILA ALOI MAV ans na AN NAV VIV 1007 NIN LS300 1 Hd HV AANANOL LOHfO ld DNILVO IH c aast HSNVG 007 Irt LT L98 TT AdOANA ana HHNI05 MAV 1007 440414 TANANOL 8VS8OV8 SNOMO 6008Sf AN UII 007 L90 129 OT DANES YADI
56. NOAAWVI IIV HHONWVLL oC HTIH4 1LI0O AIHdVADOLAVI 8 HQSf S IANSIASLAV TOOT 0 9 0 IT dA NDOSIHIAVO DAV NNOYANVI DAV SANIVAAN SHIHdV3DONHOS tVHdSf S TANSIASLAV TOOT 06r Ote I ISA AWV V IOONV VIV VIHVH Hd AAOGVATVS V HONAGISAA H IO OINOLNV ISHdSf _ STANSIASLAV c00C 0 9L9 HONV lH ana das NA AN NHAV VAV LAV T ANS IVNAALNI IW 121O4 AAA HIHdOS NOISSIIN LEHGSf _ STANSIASLAV TOOT IMAY D 9uIsLHO p s nny VVAV 9PIV NAP p S t4 uoz 9uiSLI0 p SABA uoz span sin93e19d0 9f041d Immur nby jeuy uewoq uuy y 2yuesodulo2 suone do sap 23511 t V 3X3NNV 216 STL SZ 90S9 96T ST SVO L ODOL AV ODOL AV THHILSHJ YILOST HWIVHHI T007 0 L9S T TIVW MAV ITVN MAV SAILIVH3 SAC JALVAHL NA TVALLSAA OLLOS AALVAHL TOOT 0 p8S 0 NINd8 MAV NINd8 MAV SHH LI VOLISI AILVAHL _ 00 0 9 9 ISANOM Hd HV MAV OSVJ VNDRIN E TMOA ALOI MAHV NVIGISV LA O4O4 VOVNO V ONXNVIAVH ITOIST OILOHd c00c 0 006 TIVHLNSO dV JAV 3nOnHVv AV JAV NH OHVNVA 9cOOSf OILOHd c00c 0 008 ISH IHG HV CCM AN RHV AV 44V NH OXVNVA STOISI OLOHd _ 00 0 T90 HNIHO ISV AN NAV LENS HNIHO NH OHXVNVA 0cOOSf OLIOHd c00c 0 L6S HIN VAOIS ana AN NAV dv VAV ISILVA4 V OXNVIAVd 81OOSf OIOHd 007 0 9v1 AN IINYZON HdV AN NHAV AV OLNdVW V ONVINVd TTOISI OLOHd 007 0 Sr S ITVW AV AN NAV AV OLOHd V I 3d ANA VT 6100Sf OLOHd 007 0 SVO L TIVIN MAV AN NHAV AV 007 ONXVINV8 SIVISVSSIIWINOO cOOSf OLOHd c00c 0 8ET L TIVW MAV AN NHV AV HHONV3LL oT 007 OMVWVE HG SH LLNOONSPI SHOLLV2IVdH Hd
57. NZALO dirig par Moketsi Koena et Sello Pesa dance company Sello Pesa Dance Company Tourn e en Afrique centrale l automne 2003 Tourn e du plateau des laur ats de tana 2001 aux Etats Unis en f vrier 2004 12 repr sentations pr vues Inzalo Dance Company Pr sentation la plate forme de danse Africalia Bruxelles du 12 au 15 mars 2003 sans Afaa Mise en uvre d une cr ation avec la chor graphe malgache gaby Saranouffi l automne 2002 qui sera pr sent au festival dance umbrella Johannesbourg en f vrier 2003 RARY Madagascar E E Tourn e en France et Espagne du 3 f vrier au 5 avril 2002 Tourn e en Europe en juin et juillet 2002 Amsterdam Berlin Vienne Stockholm sans Afaa R sidence de cr ation au grand bleu Lille en novembre 2002 Tourn e en Afrique de l ouest en f vrier mars 2003 Pr sentation la plate forme de danse Africalia Bruxelles du 12 au 15 mars 2003 sans Afaa Aide la cr ation AFAA de 3500 euros pour le prochain projet lt Tongotra gt R sidence de cr ation pour lt Tongotra gt du 23 juin au 22 juillet 2003 l OARA de Bordeaux Tourn e du plateau des laur ats de tana 2001 aux Etats Unis en f vrier 2004 12 repr sentations pr vues ANNEXE A9 Exemple de diffusion suite Tourn e en France et Espagne du 3 f vrier au 5 avril 2002 Pr sentation la plate forme de danse Africalia Bruxelles du 12 au 15 mars 2003 sans Afaa Tourn e du platea
58. Qui est responsable des choix strat giques ou artistiques L organigramme mis en place pour r pondre l int gration du Programme Afrique en cr ations dans les missions g n rales de l AFAA laisse appara tre une chaine de responsabilit s et de d ci sions crois es Maintenir en l tat les missions traditionnelles de l AFAA en y int grant une nouvelle approche programmatique de nouveaux territoires et une dimension culturelle nouvelle n cessite sans doute une r flexion plus approfondie sur l organisation interne de la structure Ci dessous sont pr sent s l organigramme de l AFAA tel qu il tait en janvier 2000 lors de la fusion et en octobre 2002 apr s pr s de deux ann es d activit Ainsi il faut rappeler ici que l essentiel de la mise en uvre du Programme a t assur par les charg s de missions identifi s dans l organigramme de janvier 2000 Organigramme de l AFAA Organigramme de FAFARBS janvier 2000 iure dy Los Diracilom gt ARTS VISUELS Baer lurat G n ral ARCHITECTURE ET PATRIMOINE ja 1 Adrian du Propra L mas P le Danse A20 1 i Pies Musique P le Th Pola Artz Visuels P le Arcitieciurne ej Petmone ARTS DE LA SCENE ASC 1 Caminita al Partenariat COOPERATION INGEHNIERIE Programme DEVELOPPEMENT CULTUREL Afrique en Carre DEDE i ie f PU File Cab AFAd Corinne Bicher gallanib C
59. S66 LE SvL V HONV AA ana 3IOALG ALOI MAV ATIASAVN H2IIOALG ALOI AONVHIAH SrLasf AALVAHL TOOT 0 L6T OSVA VNDTANA MAV OSV4 VNDTANA MAV IVdda1d NOISSIN TV ALVAHL HONVHOH G ANAOHALV Id 61 LAST AAILVAHL TOOT 0 69L 91 ans nd AN NAV VAV OSV4 VNIHANA MAHV OTIVIG ITV LOHVHO AQXT TV ALVAHL HOVH V HOV4 OLaSf AULVAHL 1007 0 697 OSV4 VNDT208 MAV OSVA VNDT3018 MAV HVN3HO HN3OS NH ASIN NOLLVINSIOH OLaSf HHIVHHI 1007 YOT 96 00r 9 HONV3lH ana NINd8 MAV ATOWANIAONOTV VTON HONHGISS I VHLASS AILVAHL _ 00 66 09 987 CI OS V4 VNDI AN AE AV AN NAV MAV SATV ALVANIAA 9E LAST HWIVHHI T007 0 601 S NINd8 MAV AN NAV AV SHDOMIT NOLLVIAIOH IHI ILLV T9LAST AALVAHL 7007 0 00 L SIHOIN MAV AN RHV AV SIHOIN NA SH IV LLVHH L SHALNOONTA 9TLASf AAILVAHL TOOT 0 0 6 HONV AA ana AN NAV LENS SHDONTI NOLLVIASIOH Hd IHI TH LV ITIASf dWIVHHI TOOT 0 LSLT NOdVf ISV NOOHINVO JAV OXHOL 4NOd NILNV SNOO VMVL WVOYH HDVAOA LSIAST AALVAHL c00c ITS 00L6 NNOAAWVI IIV NNOAAWVI IAV AHANNOVA VH4OLHV TAIVAHL Hd IHE TALV 9 LaASf AILVAHL _ 00 0 009 L AWOL OVS VAV AWOL OVS VAV AWOL OVS 2VIO NOLVNAOA HONVHOH LILASf AALVAHL T007 HAN p umiro p s nny VVAV 9PIV 311Anoe p S t4 uoz IMZO p sed uoz spann snaze do od o nyug nby jeuy uewoq uuy uns y 233uesoduio suore12do sap 23511 t V 3X3NNV 72 F5
60. S8S LI 2 06v 0 20 SLE L9 2 019 97 1007 7 ALNVSOdWO9 299r Ltt 2 8EL 6LI 2 LL9 I 2 VS S L6E I S ELS CT 20 2 THO L 2 069 16 30 S vt8 VE 2 8cL LOC T HINVSOdWOO 2 ccL TIE S VOS 9vI Z I T 20 2 L6t ET 2 666 L 20 Z cvOL S 6ST vL 20 2 S8L TE 2 8Ic S91 T007 1 H LNVSOdIWOO 2 vvLStI 2 VET EE 2 SSS 9 2 VS T 20 Z ELS v 20 20 2 TES LI 20 2 670 S amp OIS TOI 1007 1 HLNVSO4NWOIN S 1I878I c Sv0Ot SICI 2 TE9 Itt 2 EH 2 ttt I8 2 vc8 El 2 99 TEI 2 ITS 8LT 2 6SL ITI 2 tt69I EOE TET 2 LOS 698 Toot JANNY 2 TTI Lc6 I S lt lt lt TL6 2 LIE 89I 2 VTS 20 2 9 t YSI 2 90 SE 2 S8S TLE 2 6v SII 30 2 08 ICI 2 00v SS6 100c HANNV SEE SIT SICS 06cc 2 0S6 609 2 8997 2 EEE 18 2 097 891 2 6T9 991 2 96 IS9 2 TST Orc 2 6 91 2 901 ESE 2 L06 v78 I TV4OTO TVLOL 9 e o uonsst IqolAr anbuyy imm SUBIT SIULA ong 99V IVLOL IVLOL SIALIA xne13 8 nn A UV S2 I9 SIUI JA SIAOD an AIV 9 13JSTUIMI s soq ourure130 1q ulldi5sip 1ed 23uesoduioo ied s jeuy 005 60 L0 ne 2 q uodsip 2 e5o uonesipiqow 60095 6L L ne soSeSu2 suone215 ua 2nbujv 2awwe150o1d 2 1ed 21An2O uo SIU spuoj Gv 3X3NNV Sojouonoui s pd sinoje1odo sop ouuo P s eq p X 00LSC00ST ub 0 009L800LS 1 or p 008 01 009 L m o e 00t Lv 008 OI E s ed med suone i2do p oquioN 00666 00t LP m ayouen v op sKed op aiquiou s oulu md anuq 2 U9 VVAV 9PIV Sja1nyn2 sinajeiado sap auiSuo p s ed 32 23uesoduio
61. SHJO3ld oraasr T TOOT Or 9 6 9 IT HIdOIH1d AV HIdOIH IH HdV IJIANANNAd VN9NAV JIO NOLLVSTIVNNOISSHHO ld OTaasf 4 007 0 Str v NNOAAWVI DAV HONV1H AN NIAV ana JAV VINODNDIOSV aasf v TOOT 0 9S8 C DOAVW NAV AVHOL JAV DJOAVNW NV AVHIL nd XNVALAAL 80 Sf TOOT 0 086 HONVlH ana 2AA IAV YAI TTAdLNOW HOVLS NHNNN HSTITI Traasf r TOOT II8 6v0 oqa DAV oda DAV OOV8VO HINDVdIWOO NOLLVH3O Scaast 4 007 0 SIEL NNOAAWVI JAV NNOYAAWVI JAV OOV8VO HINOVANO9 ALTA NV INddV Sraasr v 007 0 906 9 TIVN MAV NNOAAWVI IIV NNOYAWVI XINHHA SSL LEIVH2I SAA AALVAHL L ALIV 99d8 sf T TOOT SS8 SI ISS 6 ans nd AN NAV VAV NNOYANVI DAV V8INOf IVALLSH4 NV XINHOHd AID LSaasf T TOOT 0 TO T anas NA AN NAV VAV daas nq AN NAV VAV LOHfO ld ONILVOTA ZAHI V LLHNOIINVO VT HO NHdISH2I 9IGGS v 007 0 TST ET AHIOAIG ALOI MAV aas ad AN NAV VIV 1007 NIOQf LSHNO T HG V HANANOL LOH O ld ONLLVO TH lt ceqqsr lt 00 9nmanoe p vuro p sony VVAV 9DIV IUNE P sKEd UOZ ur tto p s eq uoz span sin93e19d0 9f041d Immu nby jeuy 9ureuro qq uuy 2sueq suoneiado sap 23511 L EV 3X3NNV 29 690t0r S OTI 88 0 9 9 I ISANOM Hd HV MAY OSVJ VNDTIOS HHIOAILG ALOI AV NVIGISV LA O4O4 VOVNO V OAVWVEAE IcOOSf t TOOT 0 006 H IV3LLNHO dV JAV AN NAV dv JAV NH OHVNVA 9cOOSf t TOOT 0 008 ISH IHG HV HdV AN NHAV AV 44V NH OXVNVA STOISI t TOOT 0 T90 I HNIHO ISV AN NAV LENS HNIHO NH OXVIAVd 0cOOSf TOOT 0 L6S HIN VAOIS ana AN NAV AV VAV ISLLV IH V OHVNVA 81OOSf t TOOT
62. SOIT LST amp 899 66 400 sasod 5oy AV TVLOL 7007 1007 TVIOL TOOT 1007 TVLOL TOOT 1007 TVIOL TOOT 1007 TVIOL TOOT 1007 TVLOL TOOT 1007 TVIOL TOOT 1007 3800 INDAD AN ISAW ASNVA SWIVHHL OLOHd STANSIA SINY ulldi5sIp 1ed syu oui 35ueulj sap 21N 2N1S LY 3X3NNV apyugsaduraz ejuesoduim z ayesodiuo L ejuesodiua Z00Z LOOZ CO T LOU coge LOOZ CO E LOCZ ES 3000 001 3 000 QE 3 000 DOE 490 seisod Dev IVN Fl 3 000 j t 3 000 005 anbuyy ammo Agsu F 3 000 009 sorqnd sjueurooueur s nnv M 3 000 00t syad sjuourooueurg J 3 000 008 3 000 O0 3 000 000 L s 000 QOL L 3 987 899 3 9vt EOS S O I S9T Z TT8 Ov I S 806 19 pI68LOI 919c CO 1 Stvr SLOT S vC8 LYS S 179 SLS S LL8 6 t S VHL SET IVLOL 3 EITT tL 2 W0 Ip Z TIT TE 2 TT8 98 S TLT 8T S 6vS 8S S 8rv Grr S Lrv SLE S 100 IL 3 8t8 9 S E8T OE 2 6669 S9ALIC sjuouroouvumg Z II 8 3 06r Z T9 L S STI SSI 3 176 LF S OT LEI 3 9It 6LE S vIS I0 2 C08 LL S 699 ETT S 6S FOT S 960 6I sorqnd sjuourooueug senny S 69L YOT S S80 L8I S v89 LI S Lt 197 S 6vt 8t S vcl clr 3 Lr8 8 SIISE 2 9 0 S S ELS CI 2666 L TZ ELS t SNbLyy omn SSN S c6t T8E S OLL VLT S TT9 LOI S 0t LOL S 99 LET S LEO OLY S 969 68 S 149 16 3 S86 6 S T9S TOE S 00 61 2 6SS SOI C HOO seisod 5oy HVIW TVLOL TOOT TOOT TVLOL TOOT TOOT TVLOL TOOT TOOT TVLOL TOOT T007 p uesoduroo ejuesoduio T e1uesoduio T ejuesoduioj 2juesoduioo ied syuaui2 ueuy sap
63. T OSVA VNDTI 3D8 AV OSV4 VNIHANA AV TV3IVdH ld NOISSIN IVXIVHHI HONVHOHG HIN3IOTHIV Id 61 LAST v TOOT 0 69L 91 ans nd AN NIAV VIV OSVJ VNDI AIN E MAV OTTVIA ITV LOHVHO Hd I TV ALVAHL HOVH V HOVH OLASf v TOOT 0 697 v OS V4 VNDT208 MAV OSVA VNDTANA MAV HYNA HN3OS NH ASIN NOLLVIA IOH OLASf r TOOT 0 606 6 OSVA VNDTI ID8 AV OSVA VNDHANA MAV 47S V T SNVG IXH I NHIHHH HIO LTLAST T 1007 YOT 96 00v 9 HONV AA ana NINA4 MAV AION ANIHONOTV VTON HONHGISSI VHLASS v TOOT 0 Y8S 0 NINd8 MAV NINd8 MAV gaH LIA VOLISI t TOOT 66 09 98C CI OSVA VNDTI 3D8 AV AN NAV MAV SATV ALVANIAAU 9ELAST v TOOT 0 601 S NINd8 MAV AN NAV AV SHDOMTIT NOLLVIAIOH AATTALV T9LAST v TOOT 0 00 L SIHOIN MAV AN NAYV ddv SIHODIN NA SH IV LLVHH L SHALNOONTA 9TLASf r TOOT 0 0 6 HONV AA ana AN NAV LENS SHDONTT NOLLVIA IOH HG AATTALV ICIASf v TOOT 0 v6c 8I HONV lH ana VANVMA JAV SAWOZIHA ST IO Vd JANANOL 9TLaSf lt TOOT 0 LSL T NOdVf ISV NNOAAWVI IIV OXHOL ANOd NILLNVLSNOO VMVL WVOH HDVAOA LSIASf r TOOT II8 00L 6 NNOYANVI DAV NNOYANVI DAV AANNOVA VS8OTDBIAV S2LIVHH IL HG AATTALV 9Y LAST v TOOT 0 009 L HINOL OVS VIV AWOL OVS VIV AWOL OVS OVID NOILLVNAOH HONVHOH LTIAST v TOOT 0 TSY 6 anas nd AN NAV VIV das NA AN NAV VAV HH IVHHI MOAIAANIA AYIN NA NOLLVH3O VT V HGIV OE LAST T TOOT IMAN p umiro p s nny VVAV 9PIV 311Anoe p s amp ed uoz IMZO p sed uoz spann snaze do od n pur nby jeuy 9ureuro qq 39uuy 21322UL suonei2do S P 23511 8 EV 3X3NNYV 76 Soyo
64. VS dIO STAaSf 4 007 0 16S L OSVA VND13408 AV DJOAVN AN NIAV AV Sd310D Hd SHNNDOTVIA STALNOONAA 09dGdSsf v TOOT 0 000 OT IVODHNdHS MAV AN NAV AV 00c HANA TA IN V NOLLVIAIOH Id LNVS HOVLS roaasf v TOOT 0 Ive I AVISVOVAVW IOV AN NAV AV STALNOONAA SHNIVHOO lId SAA NOLLV IVdH lId LA ALINS 90GOSf t TOOT 0 LL9 AVISVOVAVW IOV AN NAV LENS TO TT TT 9 HATAVNVNVL Hd SHALNOONAA SAT c0GOSf t TOOT Svo SI AVOSVOVAVN IOV gnontv dv HATAVNVNVL V IHE IOO TALNAI NA QVasina c0GOSf t 00 SEL Sv AVOSVOVAVN IOV AN NHV AV HATAVNVNVL V HOIASHS Hd NOLLV SHzId c0GOSf t 007 000 SOT AVISVOVAVN IOV AN NAV EGNA AVISVOVAVN V HAS AAA ANNAHAdOHNA NOINN c0GOSf 00 STL ST AVISVOVAVW IOV AN NAV AV IAA HSIONVHO38VIA HONVHOH c0GOSf t 007 OIT 9c AVOSVOVAVN IOV AN NHAV AV IV HARIVNVNV V NOILYWAOA c0GOSf t 007 0 Ort 8v AVISVOVAVN IOV AN NAV LENS HATIVNVNVL Hd STALNOONAX SAT c0GOSf t 00c 0 SSL Ov HONV AA ana AN NAV AV HONV AA LH LOTIVHO HATIVNVNVL SIVIANVT HIANHNOL 6Taasf T TOOT STL OST 9EE SI IVDHNHS MAV AN NAYV Udy T007 SHHdV IDH3IOHO SAT ANOd OTIVIG AVANOL H5V LS veaasr T TOOT 0 OTL ET AMAVANIZ Av AMAVANIZ 44V HDOIHdV3DHHOHO VAN VT V NOLLVIW3O4 VANIWNL AIO 6Iaasf T 007 0 006 I HONV3lH ana VANJA 44V HOVLS VAV VO HIO Orddst v TOOT 0 TOL OT VANDA HdV VANJA 44V VANJA V24IVVOD NOILVJAO NOLLVIN2IOH Taasf v TOOT 0 9Iv I VANTA div VANTA div AN IHAVHOHNOH dOTHAHG Hd VIA o HOVMO OAIdO oqaasf T 007 100 VII J3IdOIH1d EC HIdOIH LH 44V 1007 VNO0GV dIO NOIIVSTIVNNOIS
65. WAST HnOISQW Z007 0 ELS ans NA AN NAV VAV aas NA AN NAV VIV I00c VAVS SLdHO NOLLVINSIOH 90INGSf HN ISNN 100 0 6CL L HONV AA ANA CIVOHNHS NOHVD OSVd HAN OHV MAV SHNIOV3I NOLLVH3IO HONHGISI 0sqqsr ASNVA c00c 000 T 00 T HONV AA ana IVDHNHS AV VA HI IVS VdVd NOLLVIN2IO4 ASNOTNOL ASANO lt 9qdSr ASNVA z007 0 69 IVODHNHS MAV IVDHNdS MAV OHHJ AV V3 HSNVd HG TVALLSAHA NV INddV 8soaasf ASNVA 1007 0 9tt OSVA VNDRINA MAV OSVA VNDTANA MAV f10GAHS IN VITVS SAOD HG SANDOTVIA 8TAAST HSNVG 1007 0 16S L OSVA VNDTANA AV DOAVN ANONY LENS Sd30D Hd SHNNDOTVIA STALNOONAA 09dGdSsf ASNVA z007 0 000 OT IVOdNHS MAV AN NAV AV 007 UAA AA IN V NOLLVIAIOH I8 LNVI HOVLS oaasf ASNVA z007 0 006 I HONV3lH ana VANJA 44V HOVLS VIV VD HIO 0raasf ASNVA c00c 0 T9L OL VANTA div VANTA div VANJA VAVVO NOLLV32IO NOILYWAOA Taqasf ASNVA z007 0 Sr V NNOAAWVI JAV HONV11H ANONAV ANA JAV VIWODONDIOSV rcadst HSNVG z007 0 086 HONV lH ana oda IIV YAI TTAdLNOW HOVLS NHNNN HSIqIq Traasf ASNVA c00c 0 SIEL NNOAAWVI O4V NNOYANVI DAV OOV8VO HINDVdNWOO OLLAA NV INddV STaqasf ASNVA 1007 0 TOT ans nq AN NAV VIV ans NA AN NAV VAV LOHfOd DNLLVO IH ZAHI V LLHNOIINVO VT HONHGQISH3 9IGdS ASNVA 1007 0 6c0 v HANINO MAV HHNI05 MAV 8VHOV8 SNIAIDI STOaSf 4nOWIO 00 0 00 T NINH amp MAY NINHGd AV HSH238 NINHS NOLLVH IO HONVHOH 8 0GdSf ANOA Z007 0 Lc6 T HONV lH ana TV94NAS MAV 4ATIAHIOA VT V AA4NO VAVNVO SSHOS STAASIASLAYV TOOT 0 08L S NNOAAWVI DAV IVDHNHS
66. WaST T TOOT 000 01 YOT 9 AN IXANW AWV TIVW MAV OOIXHI V HIV8qVId AQVW HSSV3M 6EWUIAST T TOOT 000 t S616 ANIIVT AN NANWY AWV ITVW AV ANILVT HDOBISIAV NH ALION SI8VH lt SIWdS f T TOOT 0 TTI L TIVIN MAV TIVW MAV TVOISAN LNHINHddO THAHG VAVW V ETWAS T TOOT 0 SYT ST vsn AWV TIVW MAV V SN XAV ANVA TVA AHANS LOWEST T T007 0 SYS 6I ATIVALSNOV ISV TIVN MAV HQIV IHJV G TVALSJA JAOVAL VDIOSI TOINSS T 1007 0 SvL S AXIOAIG ALOI MAV TIIOAIA ALOI MAV dOLS NON VINIAV 6vINGSf v TOOT TLI 61 ELS Y HONV AA ana TAOALA ALOI MAV DANOASVALS NOISNAAICA SMASSINAA SAT IVIWGS r TOOT ST8 91 009 HONV AA ana TAAA dVO MAHV VSHAVIA JAINA AVO LNAWAddOTAAAA ESWAST T TOOT 9v0 TL TTI L OS V4 VNDT208 MAV OSV4 VNDI AIN E MAV 1007 XVN NOLLICA IVALLSHA YTNasf lt TOOT 0 SI 9 HANINO MAV AN NAYV Udy A2DIVNOO V dV3l dd IVALLSHA ENaSf v TOOT TTI TS 160 L HDORIHV3LNSO O4V AN NAVALNAI DAV IVALLSHH IINOON IINOS t TOOT 0 99L T ans nd gnonidv VIV NNOYANVI JAV NVeANIA AWOSAMV IVALLSHH VONIAV 8rNasf v TOOT 6CE VI 911 6 HINV HA ana NNOAAWVI IIV ASVOVN NNAATV OIANLS TONASf T TOOT 08c S 88S ans nd AN NAV VAV ans na AN NAV VAV TOOT VAYS SLd19 NOLLVW HO4A TSWAST v TOOT 0 ELS Y ans nd AN NAV VIV ans na AN NAV VIV I00c VAVS S1ddO NOLLVIASIOH 90INGSf v TOOT FUMA D umsuo p sony VVAV 9PIV NAP p S t4 uoz JUI8LIO p SABA uoz span sin93e9d0 9f041d Immu onbn q euy 9ureuro qq uuy anbisnw suonei2do sap 2351 6 V 2x2uuv 290 S8T 20k
67. a cr ation des entrepreneurs culturels avec des structures aux changes et des artistes dans de formation implant es et la formation le domaine de l conomie en Afrique de la culture et de Module de formation l ing nierie culturelle de formateurs pour l Afrique centrale est et ouest pour les administrateurs e Conna tre les march s internationaux de la culture afin d intensifier l offre de production culturelle africaine e Augmenter la diffusion internationale des cr ations africaines Multiplier les rencontres entre cr ateurs appuyer les changes nord sud pour favoriser des projets de coproductions co r alisations avec des lieux europ ens fort potentiel de visibilit Les approches qui consistent promouvoir et appuyer de grandes manifestations structurantes dans les diverses disciplines artistiques ou favoriser la diffusion des cr ations contemporaines africaines en Afrique en Europe et l international reprennent exactement la mission de l association Afrique en cr ations On peut constater ce stade que l appui la cr ation n apparait qu en filigrane dans ces objectifs alors qu il tait un axe fort de l ancienne association la suite du rapport analysera ce point Les objectifs du programme sont aussi tr s novateurs gr ce une approche tr s structurante des op rations envisag es en direction des op ra teurs culturels africains par la volont
68. aient t identifi s dans le rapport de pr sentation l Union Europ enne les minist res de la Culture des pays africains Une rubrique compl mentaire mais non moins importante incluait tous les autres partenaires financiers institutionnels possibles dont le minist re fran ais de la Culture l agence intergouvernementale de la Francophonie les bailleurs de fonds de la soci t civile ONG fondations L tude de ces diff rentes contributions laissent apparaitre deux constats importants Les contributions attendues des minist res africains de la Culture en particulier sur le financement des manifestations structurantes restent relativement faibles avec un total de 152 616 pour 266 786 pr vu La structure de financement des deux principales biennales de Bamako et d Antananarivo montrent des contributions respectives des minis teres de 14 5 et 10 0 Le minist re fran ais des Affaires trang res Programme Afrique en cr ations et postes contribue hauteur de 49 7 96 et 36 1 96 Ces contributions locales n incluent pas les prestations valoris es fournitures d espaces culturels par exem ple qui peuvent tre substantielles Plus de 40 donateurs sont d nombr s de cat gories tr s diverses e fondations Fondation de France Fondation Prince Claus e festivals Festival de Montpellier biennale de Sao Paolo e associations culturelles de plusieurs pays non a
69. aires trang res trois repr sentants du ministre charg de la Culture Habituellement les repr sentants du ministre des Affaires trang res sont le Secr taire g n ral le Directeur g n ral de la DGCID le Directeur g n ral de l Administration le Directeur de la Coop ration Europ enne et le Directeur de la Coop ration Culturelle et du Fran ais DCCF Le Pr sident de l AFAA donne d l gation un directeur qui en assure l animation et la gestion La nomination du directeur par le Conseil d administration est soumise l agr ment des ministres des Affaires trang res et de la Culture L actuel directeur monsieur Olivier POIVRE d ARVOR a pris ses fonctions en f vrier 1999 A ce titre il a eu en charge de mener bien la fusion avec Afrique en cr ations et plus largement la r organisation de l AFAA Dans le cadre du Trait de fusion entre les deux associations il tait convenu de cr er un Programme Afrique en cr ations au sein de l AFAA afin d accueillir les activit s de l association Afrique en cr ations et terme de mettre en ceuvre le FSP Appui la profes sionnalisation des op rateurs culturels du continent africain Le Programme Afrique en cr ations a donc t int gr dans le d partement de la coop ration de l ing nierie et du d ve loppement culturels de l AFAA Le Programme tait pilot initialement par un administrateur associ au p le de la direction de l AFAA Le dern
70. amme a des enjeux importants dans le domaine du d veloppe ment culturel et d mocratique Evaluer et expertiser dans une dynamique positive de meilleure efficacit de l outil ce que tente de faire ce pr sent rapport peut permettre au final de contri buer garantir une efficience et une meilleure efficacit des actions men es Cette valuation peut servir notamment partir des indicateurs qu elle a d tablir pour pouvoir analyser de la facon la plus correcte les actions entreprises par le Programme d outil d aide la d cision et la d finition des objectifs d un ventuel prochain FSP 11 12 PREMI RE PARTIE PRINCIPAUX ASPECTS DE L APPROCHE M THODOLOGIQUE L valuation s est appuy e sur deux principales sources d information et d observation les documents crits tr s nombreux labor s avant ou pendant le d veloppement de la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations notes d orientation comptes rendus du comit d orientation rapports des projets soutenus rapports d activit pages web plaquet tes revues de presse documents financiers Ces diff rents documents manent pour l es sentiel de l AFAA mais aussi de diff rents services du minist re des Affaires trang res et des op rateurs culturels acteurs ou b n ficiaires du Programme Afrique en cr ations Les entretiens avec des acteurs du Programme Afrique en cr ations cf liste en annexe A2 personnels de l AFAA cha
71. ance en Europe et l international leur service commencer par les CCF et les Alliances Le site internet de l AFAA ici encore concourt cet objectif Dans le domaine des arts visuels ou des arts de la sc ne le Programme est per u aujourd hui comme une interface entre les artistes les op rateurs et diff rentes institutions fran aises ou trang res Il est fait r guli rement appel son expertise et sa connaissance de la produc tion artistique et des acteurs du terrain Malgr des d buts difficiles dans la qualification de ce qui pouvait ou non tre financ le Programme s est adapt et a pu proposer dans la plupart des cas des r ponses ad quates Pour ce qui concerne le domaine des arts visuels il semble que la faiblesse des moyens et des outils relatifs l dition soit un vrai handicap dans le d veloppement de la strat gie La d finition tr s restreinte des op rateurs culturels comme principaux b n ficiaires a pos des probl mes dans le cas des artistes qui dans certaines disciplines fonctionnent de fa on solitaire et isol e Le programme Villa M dicis Hors les Murs propos par l AFAA n a b n fici qu peu d artistes africains n ayant t mis en place que courant 2001 Cependant les cr ateurs afri cains concern s ont d j marqu la dynamique de ce programme sp cifique en 2002 avec un laur at pour la danse 51 52 Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manif
72. ation Afrique en cr ations est ainsi n e en janvier 1991 dans la continuit l inspiration du colloque Afrique en cr ations qui s est tenu Paris en 1990 et qui a r uni des dizaines d artistes africains Son objet statutaire tait de favoriser les expressions culturelles africaines contemporaines en soutenant ou en mettant en ceuvre toutes les actions visant leur d veloppement leur promotion et leur diffusion de susciter une politique de l excellence en mati re de cr ation dans tous les domaines artistiques de rassembler et de diffuser par son centre de ressources toutes les informations utiles son projet de recevoir et mettre en commun des ressources financi res en provenance de fonds publics ou priv s qui souhaitaient s associer des projets de production de formation ou de promotion des expressions culturelles africaines contemporaines L association fut ainsi investie d un r le d interface entre les cr ateurs africains en mergence et les milieux culturels frangais et internationaux Son action s est structur e autour de trois outils l accompagnement formalis des cr ateurs la cr ation d outils documentaires originaux centre de ressources l mergence en Afrique de p les d excellence de la cr ation contemporaine En effet partir de 1994 l association Afrique en cr ations s est lanc e dans des op rations th matiques afin de mettre en valeur dans chacune de
73. ations ou sur les projets soutenus par le Programme En outre l obligation qu ont les charg s de mission de pr senter leur travail en s ance les am ne formuler leur strat gie et les raisons des choix tant artistiques que techniques pos s Apparaissent ainsi au cours des diff rents conseils d orientation diff rentes r flexions autour de la question de la professionnalisation des artistes et des op rateurs culturels africains de l laboration de crit res de s lection des projets de la recherche de compl mentarit des aides entre les diff rentes institutions Union Europ enne AIF collectivit s territoriales Etats africains des enjeux de l aide la cr ation de l outil FSP et de son avenir en lien avec l engagement de la tutelle des enjeux et des strat gies du soutien aux manifestations structurantes des domaines artistiques privil gier par exemple l mergence d une r flexion appro 23 24 3 4 fondie sur le th tre en Afrique le lien entre les artistes et les op rateurs culturels du sud et du nord du Sahara les enjeux de la cr ation en arts visuels le r le de Dak Art des conditions d une ouverture r elle la ZSP et aux pays historiquement hors champs de la coop ration fran aise Le Programme reprend nombre de r flexions issues des diff rents conseils d orientation au sujet de cr ation th trale ou sur le projet des transsahariennes par exemple
74. atrimoine DAS D partement des Arts de la Sc ne DAAG 3 3 D partement de l Administration et des Affaires G n rales Le pilotage du Programme Afrique en cr ations Le rapport de pr sentation du projet pr voyait la cr ation d un comit de pilotage restreint compos des principaux bailleurs de fonds concern par Programme et de personnalit s directeur de la DCCF et repr sentants de ce m me d partement repr sentants du minist re de la Culture repr sentants de l Union Europ enne de personnalit s qualifi es africaines En outre un comit consultatif tait pr vu compos d experts amen s donner des avis sur les options pos es par le Programme et sur la pertinence du choix des op rateurs ou des artistes associ s Le comit de pilotage n a jamais vu le jour cependant des r unions informelles ont t r gu li rement men es entre l AFAA et la DCCF Le comit consultatif sera nomm conseil d orientation d s sa premi re r union en date du 31 janvier 2001 Cette terminologie reprend celle envisag e dans le Trait de fusion des deux associations Le conseil d orientation a un r le consultatif et r fl chit aux grandes orientations du Programme Afrique en cr ations Il rassemble 17 personnalit s qualifi es connaisseurs de l histoire d Afrique en cr ations experts des arts contemporains africains repr sentants des minist res de tutelle dont un membre d
75. concernant au moins 25 pays Le soutien la diffusion a permis des artistes ou des op rateurs culturels de pr senter leurs cr ations pour l essentiel en Europe dont principalement en France Quelques r ussites phares du Programme peuvent tre soulign es comme le rayonnement des manifestations structurantes de Bamako pour la photographie et d Antananarivo pour la danse la diversit des op rateurs culturels et des artistes soutenues depuis deux ann es la concr tisation de la dynamique O C RE avec l mergence de r seaux d op rateurs culturels et la reconnaissance internatio nale du dynamisme cr atif des arts visuels africains D une mani re g n rale et compte tenu du texte initial la quantit et la qualit des activit s men es r pondent donc largement aux attentes des concepteurs du Programme La diffusion des cr ations des artistes des artistes eux m mes et des op rateurs culturels a augment tr s sensiblement depuis le lancement du Programme Afrique en cr ations M me s il est difficile de mesurer de fa on globale au vu des donn es disponibles l impact r el 10 du Programme sur le renforcement des acteurs dans les pays d origine il faut toutefois souli gner l int r t de l approche d velopp e par O C RE pens e comme tr s structurante et compl mentaire de l appui direct aux op rateurs culturels ou aux artistes Les modalit s du soutien du minist re des Affaires trang res ont intelligemme
76. dans ce domaine 2 La n cessit pour le Programme de formaliser et de partager ses choix strat giques en terme de disciplines artistiques mais aussi en terme de prospection pays le Programme viterait le risque dispersion qui ne concourrait pas durablement au d veloppement culturel des pays africains et plus largement de la ZSP ANNEXES 61 62 ANNEXE A1 Termes de r f rence de l expertise valuative Al Termes de r f rence de l expert ise valuative EXPERTISE EVALUATIVE DU FSP 2000 152 it Appui la praofessionnalisation des op rateurs culturels du continent africain x TERMES DE R F RENCE L DESCRIPTIF DU FSP N92000 152 Le dispositif de coop ration culturelle mis en place dans la d cennie 1990 2000 Fondation puis association Afrique en Cr ations w a t relay en 2000 par le programme AAFAA A igue en Cr ations qui b n fici sur la p riode 2001 2002 d un projet FSP mabilisateur de 2 3 ME 15ME intitul Appui de professianrafisation des op rateurs du continent africain w Ce projet sera cl tur le 15 juillet 2003 apres une prolongation de 6 mois En accompagnement et en prolongement des politiques de d veloppement culturel des Etats ce projet mobilisateur vise accro tre la pr sence des cr ateurs acteurs et entrepreneurs culturels d Afrique dans les changes internationaux de la culture Il a pour but de concourir la mise en r seau des op rateurs cul
77. de pr sentation de l AFAA magazine R zo international site Internet rapport d activit D une mani re g n rale et compte tenu du texte initial la quantit et la qualit des activit s men es r pondent largement aux attentes des concepteurs du Programme Les rencontres organis es dans le cadre de l expertise valuative avec deux op rateurs culturels ODAS AFRICA du Burkina Faso et association MEKA du Cameroun montrent que leurs attentes sont pleinement satisfaites De plus les quelques t l grammes diplomatiques qui ont pu tre lus font tat de ce m me sentiment g n ral 47 48 5 2 2 Le Programme Afrique en cr ations a t il atteint ses objectifs Le tableau suivant reprend les objectifs d taill s plus haut en faisant appara tre de fa on tr s synth tique les r sultats associ s identifi s Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent O C RE Objectifs de chaque composante et outils d crits R alisation des objectifs fin 2002 Afin de contribuer p renniser les entreprises culturelles existantes on agira pour Renforcer leur capacit de travail Elargir leurs offres de service Elaborer leur communication Mobiliser leur capacit d accueil Diffuser des cr ations culturelles Afin de faciliter le d senclavement des op rateurs culturels on cherchera Favoriser la circulation de l information Encourager les
78. e une relation de transfert de responsabilit s et de comp tences et non de substitution Diversifier les activit s des op rateurs culturels organisateurs entre deux rendez vous Sous objectifs ou outils d crits Participer au financement des manifestations diminuer progressivement nos apports mobiliser des fonds multilat raux Contribuer une meilleure maitrise de l organisation Organiser en liaison avec les postes et les autres bailleurs des s minaires de formation et des rencontres professionnelles de haut niveau Favoriser la pr sence des cultures africaines sur l ensemble du champ g ographique du continent ouverture progressive en direction de l Afrique du Nord D velopper des partenariats avec des manifestations de m me nature en France et en Europe Enjeux Objectifs Mode d Emploi du Programme Afrique en cr ations Coordination des rencontres de la photographie africaine de bamako et des rencontres chor graphiques de l Afrique et de l Oc an Indien Antananarivo et appui aux grandes manifestations de la cr ation en Afrique Dak Art 31 32 Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels Enjeux Objectifs Mode d Emploi du Programme Afrique en cr ations Buts et objectifs Sous objectifs de chaque composante ou outils d crits Agir aux profits Agir en partenariat Soutien l
79. e d une structure interm diaire d animation et de d cision Le conseil d orientation a plut t t un comit d experts de sachants ou de militants au service de l laboration d une politique g n rale du Programme La plupart des choix d actions concr tes est r alis e l int rieur de l AFAA voire au seul niveau des charg s de mission sans qu il y ait un espace formel pour enrichir valider ou ventuellement r orienter les actions L quipe professionnelle charg e du suivi du Programme et l AFAA s est malgr ce manque de structure interm diaire tr s bien acquitt e de cette mission avec les contradictions que peut comporter un cumul des diff rents chelons de responsabilit s laboration d une strat gie r ception et instruction des projets d finition de crit res suivi et valuation des actions r alis es En outre l absence d valuation mi parcours pr vue dans le budget de la composante 5 au m me titre que la pr sente est dommageable pour la qualit du suivi du programme De plus le rapport de pr sentation du FSP voque l absence d valuation formelle depuis le d but d Afrique en cr ations en 1990 Deux conseils d orientation poseront la question de la mise en ceuvre de n cessaires valuations Dans la gestion et le suivi du Programme l valuation aurait pu tre un v ritable outil d aide la d cision 45 46 5 2 Lefficacit dans la mise en ozuvre du Programme Afrique en cr
80. e financement doit faire l objet d un travail de clarification afin de garantir une transparence dans les choix tant institutionnelle qu artistique 4 Il ne parait plus n cessaire de maintenir en l tat le conseil d orientation S agissant de sa fonction de garant de l h ritage de l association Afrique en cr ations d autres lieux institutionnels existent au sein de l AFAA 5 La r flexion autour de la mise en uvre d un FSP prenant le relais de celui valu par le pr sent rapport et ce afin de conforter et d velopper le travail effectu ces derniers 30 mois en d finissant de mani re plus pr cise les objectifs attendus Les indicateurs construits pour la r alisation du pr sent rapport pourront tre utilis s dans le suivi du Programme Concernant la mise en ceuvre g n rale du Programme est recommand 1 Qu une r flexion concert e doit tre men e entre l AFAA et les services du minist re des Affaires trang res afin de favoriser efficacement la mise en coh rence des FSP Etats qui s int ressent au d veloppement culturel Le Programme Afrique en cr ations pourrait avoir une vocation de programme de r f rence dans ce domaine 2 La n cessit pour le Programme de formaliser et de partager ses choix strat giques en terme de disciplines artistiques mais aussi en terme de prospection pays Le Programme viterait le risque dispersion qui ne concourrait pas durablement au d veloppement culturel des pays africains
81. e la DCCF personnalit s du monde artistique personnalit s qualifi es permettant une ouverture sur l Europe et les collectivit s territoriales Y participent en outre des repr sentants de l AFAA directeur et quipe professionnelle du Programme Le conseil d orientation s est r uni cinq fois depuis le lancement du Programme les 31 janvier 21 mai et 11 d cembre 2001 les 21 mai et 09 d cembre 2002 Les compte rendus des r unions du conseil d orientation particuli rement ceux ayant eu lieu durant la premi re ann e montrent que de multiples difficult s de positionnement se sont exprim es le conseil doit il instruire ou simplement valider les projets doit il travailler en terme de formulation d une philosophie et d axes prioritaires d intervention a t il vocation pr server l h ritage de l association Afrique en cr ations et notamment le volet Appui la cr ation par rapport au Programme et l AFAA contribue t il une meilleure d finition des termes de r f rence du Programme sugg re t 1l de nouvelles approches avec quelles marges de man uvre par rapport l outil FSP Au final on observe toutefois que le conseil d orientation aura jou un r le consultatif r el aupr s de l AFAA et des charg s de mission du Programme notamment gr ce l expertise crois e de ces membres sur les domaines d activit s artistiques sur des approches sp cifiques issues d autres organis
82. e mission DCIDC AeC AFAA pour la Biennale de Bamako Muriel AZZARETTI Charg de la diffusion DAVAP Charg de mission AFAA pour la Biennale de Bamako Florence ALEXIS Charg de mission Arts visuels AVAP P le Arts Visuels Association Afrique en cr ations Michelle ROBERT Charg de mission Arts de la sc ne DAS P le Th tre Association Afrique en cr ations Cirque et Arts de la Rue Sophie RENAUD Charg de mission Danse DAS P le Danse Responsable du p le Danse AFAA Didier VUILLECOT Charg de mission Musique actuelle DAS P le Musique Charg de mission Musique AFAA Val rie THFOIN Charg de mission OCRE DCIDC AeC Association Afrique en cr ations H l ne MAZA Charg de mission Centre de ressource Centre de ressources Charg de mission Association Afrique en cr ations Centre de ressource Corinne de MESTER PARAJD Charg de mission gestion FSP DAAG Bureau des affaires Gestion des ressources financi res et Ressources humaines communication Association Afrique en cr ations humaines g n rale et saisons Anabela FERREIRA Comptabilit DAAG Bureau des affaires Assistante au Bureau AFAA financi res et Ressources des affaires financi res humaines Marie Jos MAKAYA Secr taire assistante DCIDC AeC Association Afrique en cr ations DGIDC D partement de la Coop ration de l Ing nierie et du D veloppement Culturel DAVAP D partement des Arts Visuels de l Architecture et du P
83. ement au r seau culturel du minist re des Affaires trang res DGCID DCCF attach s culturels des Ambassades CCF ce lien pouvait laisser imaginer une approche moins ouverte sur la soci t civile africaine peut tre moins accessible aux artistes La fusion a n anmoins ouvert des perspectives tr s encourageantes pour Afrique en cr ations qui pour l essentiel se sont largement confirm es dans la pratique autour de la diffusion des productions culturelles africaines hors des p rim tres traditionnels de l Europe occidentale et particuli rement de la France l AFAA dispose d un r seau mondial du fait de son lien organique avec le minist re des Affaires trang res et du r seau des centres culturels frangais l analyse des r sultats du Programme Afrique en cr ations montrera combien cet l ment a compt la connaissance par l AFAA des r seaux culturels et artistiques de production comme de diffusion en France et dans le monde qui a permis aux artistes africains d en b n ficier l expertise artistique de l AFAA dans certaines des disciplines des arts contemporains 17 18 qui a enrichi l identification et le suivi des artistes africains par une lecture crois e et compl mentaire En outre sur le plan financier l association Afrique en cr ations a vu l int gralit de son budget de fonctionnement salaires inclus int gr par le budget de l AFAA celle ci tant financ e sur Titre IV
84. emplir par les structures b n ficiaires et mod le pr vu pour 2003 84 Annexe 9 Exemple de diffusion Suivi des compagnies pr sent es aux IV Rencontres Chor graphiques de l Afrique et de l Oc an Indien en novembre 2001 86 Annexe 10 Exemple de diffusion Circulation des uvres produites lors des 4 Rencontres de Bamako 2009 et Circulation Bamako 9003 sse enne 89 4 Annexe 11 Liste des pays de la Zone de Solidarit Prioritaire 4 90 Annexe 19 Projets d aides la cr ation soutenues par le Programme sss eee eene 91 AeC AFAA AIF CCF CPA DCCF DGCID FAC FPC FSP MCC O C RE UE ZSP SIGLES UTILIS S Afrique en cr ations Association Francaise d Action Artistique Agence Intersouvernementale de la Francophonie Centre Culturel Fran ais Bureau de la politique culturelle et artistique Direction de la Coop ration Culturelle et du Fran ais Direction G n rale de la Coop ration Internationale et du D veloppement Fonds d Aide la Coop ration Fiche de Prise en Consid ration Fonds de Solidarit Prioritaire Minist re des Affaires trang res Minist re de la Culture et de la Communication Op rateurs Culturels en REseaux Union Europ enne Zone de Solidarit Prioritaire SYNTH SE DU RAPPORT D VALUATION Le pr sent rapport d valuation vise porter un regard sur le Programme Afrique en cr ations de l AFAA et plus particul
85. en r seaux des op rateurs 42 structures culturelles r parties dans 22 pays de l ensemble du continent africain ont t associ es au Programme Ces op rateurs sont majoritairement implant s dans des pays fran cophones et sont g n ralement issus des arts de la sc ne Ont t aussi associ es directement ou contact es de nombreuses structures non africaines en Europe notamment AIF Proculture Fondation Ford Programme MacNet au Caire AFVP Unesco FIPC UEMOA Visiting Arts Culture et D veloppement Wesleyan University Les actions appuy es ont t la cr ation de centres de ressources l appui la mobilit des op rateurs les projets de formation les rencontres professionnelles les formations d administrateurs de festivals Une formation sous r gionale pour l Afrique de l Ouest a t organis e au Burkina Faso pour une vingtaine d administrateurs de festival Enfin deux rencontres O C RE ont t co organi s es l une en collaboration avec Acte Sept au Mali Bamako qui a r uni 25 structures l autre avec Centre for Creative Arts en Afrique du Sud Durban regroupant pr s de 40 structures 37 Projets 2001 Projets 2002 Total des prochaines rencontres se situera dans un transfert de responsabilit s encore plus 1 centre de ressources 4 9 13 important pour leurs organisations aux op rateurs culturels et l Etat malien 2 appui la mobilit 5 3 8 p I 3
86. es Affaires tran g res V AFAA et l association Afrique en cr ations ont convenu d engager un processus de rapprochement Il appara t que les deux associations ont des activit s compl mentai res ou similaires et qu outre l int r t fonctionnel ces associations pourraient mettre en commun leurs moyens et leurs savoir faire en vue de d velopper leurs orientations sp cifiques tout en pr servant leurs acquis et la p rennit des missions qui leur sont confi es Pour faciliter la p riode de transition il a alors t cr un Programme Afrique en cr ations au sein de l AFAA destin accueillir les activit s de l association Afrique en cr ations pour favoriser le d veloppement des expressions culturelles africaines contemporaines Un conseil d orientation a aussi t pr vu l instar des comit s techniques de l AFAA pour l appuyer dans la conduite des actions en faveur de la cr ation africaine Enfin les statuts de l AFAA ont t modifi s le 14 d cembre 2000 On rel ve dans ses buts une nouvelle mission cons quence directe de la fusion le soutien la cr ation et au d ve loppement des expressions artistiques africaines et francophones contemporaines ainsi que leur promotion et leur diffusion en Afrique en France et dans le monde Cette volution statutaire a t accompagn e par l lection au sein du conseil d administration de l AFAA au titre du coll ge des personnalit s
87. es professionnels charg s du Programme qui ont l exp rience de ce type de comit Leur composition favorisera la pr sence de personnalit s reconnues dans chaque discipline 3 L instruction des requ tes de financement doit faire l objet d un travail de clarification afin de garantir une transparence dans les choix tant institutionnelle qu artistique 4 Il ne para t plus n cessaire de maintenir en l tat le conseil d orientation S agissant de sa fonction de garant de l h ritage de l association Afrique en cr ations d autres lieux institutionnels existent au sein de l AFAA 5 La r flexion autour de la mise en uvre d un FSP prenant le relais de celui valu par le pr sent rapport et ce afin de conforter et d velopper le travail effectu ces derniers 30 mois en d finissant de mani re plus pr cise les objectifs attendus Les indicateurs construits pour la r alisation du pr sent rapport pourront tre utilis s dans le suivi du Programme 59 60 Concernant la mise en uvre g n rale du Programme sont recommand s 1 Qu une r flexion concert e doit tre men e entre l AFAA et les services du minist re des Affaires trang res dont les postes afin de favoriser efficacement la mise en coh rence des FSP Etats qui s int ressent au d veloppement culturel lorsqu ils existent ou lorsqu ils sont en cours de conception Le Programme Afrique en cr ations pourrait avoir une vocation de programme de r f rence
88. estations structurantes de la cr ation en Afrique Objectifs de chaque composante et outils d crits R alisation des objectifs fin 2002 Apporter un appui financier technique et organisationnel en veillant ce que le mode de coop ration traduise une relation de transfert de responsabilit s et de comp tences et non de substitution 1 Participer au financement des manifestations diminuer progressivement nos apports mobiliser des fonds multilat raux 2 Contribuer une meilleure ma trise de l organisation 3 Organiser en liaison avec les postes et les autres bailleurs des s minaires de formation et des rencontres professionnelles de haut niveau 4 Favoriser la pr sence des cultures africaines sur l ensemble du champ g ographique du continent ouverture progressive en direction de l Afrique du Nord 5 D velopper des partenariats avec des manifestations de m me nature en France et en Europe Diversifier les activit s des op rateurs culturels organisateurs entre deux rendez vous Il faut retenir qu il y a coorganisation des deux grandes manifestations Pour Bamako l essentiel de la mise en uvre est assur localement par les op rateurs ou les minist res de la culture pour Tana la situation certes marqu e par la crise politique est plus pr occupante 1 Pour les deux manifestations phares de Bamako et de Tana la contribution financi re reste substantielle Pour Tana les contributions
89. et plus largement de la ZSP INTRODUCTION Le pr sent rapport d valuation vise porter un regard sur le Programme Afrique en cr ations de l AFAA et plus particuli rement sur le Fonds de Solidarit Prioritaire qui lui permet de prendre corps Le FSP mobilisateur projet FSP n 2000 152 d appui la professionnali sation des op rateurs culturels du continent africain qu il entend analyser est un outil central dont la France s est dot e pour son action dans le domaine du d veloppement culturel l tran ger et singuli rement en Afrique La r forme du dispositif de coop ration internationale de la France qui s est traduite dans le domaine de l action culturelle par la fusion de l association Afrique en cr ations et l association Fran aise d Action Artistique a permis de relayer le dispositif mis en place dans la d cennie 1990 2000 pour l Afrique sub saharienne avec l association Afrique en cr ations La conception de ce FSP mobilisateur est intervenue ce moment cl et a rendu n cessaire une r flexion sur les objectifs et les modalit s de l action internationale de la France dans le domaine culturel Le Programme Afrique en cr ations a des objectifs ambitieux importants dans l action cultu relle de la France l tranger et dans la structuration de la soci t civile africaine Au del de la cr ation contemporaine africaine de sa diffusion et de l organisation des r seaux des op rateurs culturels ce Progr
90. ext rieures repr sentent environ 36 dont 10 par le minist re malgache de la Culture pour Bamako elles repr sentent 50 dont 14 par le minist re malien de la Culture pour la premi re fois 2 L organisation de Bamako et bien s r des plus petits v nements soutenus est totalement prise en charge par les op rateurs locaux Sur les petits v nements il semble que le travail de formation et de transfert de comp tence demande un effort encore important 3 Seuls les festivals Dak Art et les Rencontres de Bamako et de Tana ont vu la r alisation de s minaire de formation 4 C est aujourd hui une r alit que l ensemble des pays du continent aient pu prendre une part r elle aux deux principales manifestations gr ce notamment une large invitation aux concours il reste cependant que la participation de l Afrique du Nord mais aussi des pays anglophones devrait pouvoir progresser Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels Objectifs de chaque composante et outils d crits R alisation des objectifs fin 2002 Agir aux profits des entrepreneurs culturels et des artistes dans le domaine de l conomie de la culture et de l ing nierie culturelle 1 Agir en partenariat avec des structures de formation implant es en Afrique 2 Module de formation de formateurs pour l Afrique Centrale Est et Ouest pour les administrateurs 3 Connaitre
91. festations artistiques en Afrique Les diff rentes actions du Programme se sont d compos es comme suit Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent 2 2 MF 335 387 84 Cette composante s est d velopp e autour de l accompagnement dans le domaine de l ing nierie culturelle et de l instauration d une dynamique de mise en r seaux des op rateurs 42 structures culturelles r parties dans 22 pays de l ensemble du continent africain ont t ainsi associ es au Programme majoritairement implant es dans des pays francophones et g n ralement issues des arts de la sc ne Les actions d velopp es dans cette composante ont t diverses cr ation de centres de ressources appui la mobilit des op rateurs projets de formation rencontres professionnelles et formations d administrateurs de festivals Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques 3 5 MF 533 571 56 Cette composante a t d clin e autour des arts de la sc ne danse th tre musique par de l aide la cr ation et la circulation des artistes et des arts visuels design amp mode peinture sculpture installations photographie nouvelles images par des r sidences de cr ation de l appui l organisation d exposition et des changes formations Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique 4 7 MF 716
92. fricains e collectivit s territoriales frangaises Ville de Nimes de Buc e agence intergouvernementale de la Francophonie e Radio France Internationale e ambassades de diff rents pays Pays Bas e m c nes d entreprises Caisse des D p ts et Consignations Cr dit Mutuel FNAC Il est important de souligner ici que c est la compl mentarit de l appui financier du Programme et de l appui m thodologique apport par les charg s de mission aux op rateurs culturels qui a contribu de facon d cisive la mobilisation des fonds par ces m mes op rateurs 35 36 QUATRI ME PARTIE PR SENTATION SUCCINCTE 4 1 DES R ALISATIONS DU PROGRAMME AFRIQUE EN CR ATIONS Une pr sentation exhaustive de l ensemble des op rations soutenues ou initi es par le Programme Afrique en cr ations est pr sent e sous la forme de tableaux figurant en annexe n A3 Quelques exemples de projets phares sont d crits dans ce chapitre afin de rendre compte concr tement de la richesse du Programme La Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent Les deux ann es de mise en uvre du Programme auront permis d exp rimenter une action sp cifique en direction des structures culturelles africaines non tatiques La strat gie s est d velopp e autour de deux axes d interventions l accompagnement dans le domaine de l ing nierie culturelle l instauration d une dynamique de mise
93. horus Organkjraname de P AF AA ccicbre 2002 Bureau du Conseil d Adminictragon cirecton ass J Carine d Resscim ia Aa 4k l anrai L DAAG iAantal ARTS VIEUELE ARCHITECTURE ET FATRIMCHHE Aat 1 Pole Arte visuels A 1 Pn Miossec Pia Arcitiariargm er i abrimoinar ARTS DE LA SCENE P le Dansa SGC 41 Fol Musique ec 1 P la Th tre AnC 1 COOPERATION ISKSENIERIE DEVELOPPEMENT CULTUREL PAa Dollectvibis Saisons Programma Afrique Ele Culturales an Cr ations Rsikn es aec N En caract re gras sont surlign s les d partements qui h bergent des charg s de mission en lien direct avec le Programme et entre parenth ses le nombre de ces charg s de mission 21 22 Concr tement le Programme mobilise aujourd hui treize professionnels plus ou moins direc tement Le tableau qui suit d crit les missions et le positionnement de chacun des acteurs de la mise en uvre du Programme Equipe des professionnels de l AFAA en responsabilit sur la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations Noms Missions dans le Programme AeC Rattachement AFAA Autres missions AFAA Origine rofessionnelle Jo l DECHEZLEPRETRE Responsable du Programme DCIDC AeC Directeur CCF Abidjan Marie Charlotte BOLOT Responsable adjointe du Programme DCIDC AeC Directrice CCF Brazzaville V ronique JOO AISENBERG Charg d
94. i rement les cr ations des artistes avec les tendances internationales du genre acc der la connaissance des standards internationaux professionnels du moment 5 Communiquer aupr s des structures de diffusion en France et l tranger 1 Un tr s important travail de diffusion des uvres a t r alis l international et ce gr ce aux r seaux de l AFAA en particulier mais aussi la participation des festivals en Afrique ou en Europe qui a potentiellement facilit la vente des ceuvres On peut le v rifier par exemple pour la diffusion des ceuvres pr sent es Bamako et Tana 2 Toutes les r sidences d artistes soutenues les cr ations deux mains d artistes africains europ ens ou am ricains 3 Cet axe de travail ne semble pas avoir t privil gi On note toutefois plusieurs r sidences expositions ou ateliers qui ont d bouch sur des actions vers des publics jeunes et dans des villes ou des quartiers sous quip s culturellement Taxi Brousse Ewol ou les Sc nographies urbaines de Douala 4 Une aide dans toutes les disciplines la participation des salons des festivals de biennales hors d Afrique a t apport e plusieurs artistes 5 Le magazine R zo international de l AFAA donne une part importante au Programme et donc aux artistes et op rateurs culturels africains Les experts de l AFAA ont mis leur connaissance des r seaux de diffusion en Fr
95. i rement sur le Fonds de Solidarit Prioritaire qui lui permet de prendre corps Le FSP mobilisateur projet FSP n 2000 152 d Appui la professionnalisation des op rateurs culturels du continent africain qu il analyse est un outil central dont la France s est dot e pour son action dans le domaine du d veloppement culturel en Afrique La r forme du dispositif de coop ration internationale de la France qui s est traduite dans le domaine de l action culturelle par la fusion de l association Afrique en cr ations et l association Frangaise d Action Artistique en 2000 a permis de relayer le dispositif mis en place dans la d cennie 1990 2000 pour l Afrique sub saharienne avec l association Afrique en cr ations Le Programme Afrique en cr ations La DCCF a labor un projet mobilisateur d Appui la professionnalisation des op rateurs culturels du continent africain dans le cadre du Fonds de Solidarit Prioritaire Ce FSP d un montant de 14 400 000 FRF 2 195 265 80 tait pr vu pour une p riode de 24 mois comp ter du 1 janvier 2001 sur l ensemble des pays du continent africain mais il s talera en fait sur une p riode de 30 mois Le FSP visait concourir la mise en r seau des op rateurs cultu rels du continent africain renforcer la professionnalisation des fili res artistiques en Afrique am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels africains et poursuivre l ap pui des mani
96. iciaires et de mobi lisation de fonds est sur ce plan tr s efficace Conclusions d valuation et recommandations Les objectifs du Programme ont t formul s au regard de l exp rience de l association Afrique en cr ations appui aux manifestations structurantes d veloppement d un centre de ressources accompagnement des op rateurs appui la cr ation et aide la diffusion Quelques l ments liminaires doivent tre signal s Les r sultats atteindre n ayant pas t clairement formul s l valuation de leur degr de r alisation est rendue difficile La dur e du Programme deux ann es aurait sans doute n cessit une adaptation de certains objectifs par exemple pour l mergence d une autonomie forte de l organisation des grandes manifestations et pour l ouverture l Afrique anglophone et l Afrique du nord La sp cificit d Afrique en cr ations portait principalement sur la capacit d velopper la cr ation contemporaine africaine sp cificit n apparaissant plus au premier plan des objectifs du Programme repositionn e du fait de l approche lt O C RE professionnali sation qui a marqu fortement la r daction de l ensemble du rapport de pr sentation Force est de constater que ces l ments n ont pas emp ch l AFAA de s adapter et de pr ciser les strat gies et la compr hension des objectifs sp cifiques Un total de 184 actions a t soutenu pendant les deux ann es
97. ier organigramme de l AFAA octobre 2002 clarifie le positionnement du responsable du Programme au niveau des responsables des diff rents p les du d partement La volont d int grer le personnel issu de l association Afrique en cr ations dans l organisa tion g n rale de l AFAA aboutit ce que la plupart des charg s de mission du Programme soient rattach s aux d partements th matiques administration et affaires g n rales arts visuels architecture et patrimoine arts de la sc ne centre de ressources L organigramme simplifi de l AFAA avec un focus sur le positionnement du Programme Afrique en cr ations montre bien la double logique une approche sectorielle une approche transversale programmatique D une mani re g n rale l AFAA a cherch pr server autant que possible l h ritage de l association Afrique en cr ations tout en r ussissant la fusion Ce mode d organisation privil gi pour le Programme Afrique en cr ations a largement contri bu d velopper une approche programme des objectifs pour un territoire qui s inscrivent dans une pluriannualit que l AFAA ne maitrisait pas amp 5 Cependant cette organisation oblige les responsables des p les int grer formellement la dimension nouvelle qu apporte le Programme Afrique en cr ations aux missions de l AFAA Qu en est il ce stade de la question de l instruction des projets des artistes et des op rateurs culturels
98. inent frein majeur de nombreux domaines du d veloppement Cet enclavement est une r alit pour l Afrique vis vis des autres continents mais reste un enjeu sous r gional au sein m me du continent Les objectifs des composantes 1 et 4 du Programme les prennent clairement en compte 41 42 Toutefois quatre l ments importants en amenuisent la coh rence Les r sultats atteindre n ayant pas t clairement formul s l valuation de leur degr de r alisation est rendue difficile Certains items auraient pu tre pr cis s Par exemple les objectifs de la composante 2 indiquent que lt les artistes doivent acqu rir une totale autonomie financi re Auraient pu tre pr cis s le nombre d artistes concern s et la signi fication de l expression lt totale autonomie financi re gt Ce type de formulation ne facilite pas la mise en uvre du Programme ni son valuation pr cise Ceci est d autant plus d li cat que les indicateurs d valuation pr sent s en fin de rapport de pr sentation n ont pas t r dig s en ad quation avec les objectifs d taill s des composantes Globalement les outils de mesure de ces indicateurs n ont pas t mis en place pour ce Programme La dur e du Programme deux ann es aurait sans doute n cessit une adaptation de certains objectifs C est le cas pour l mergence d une autonomie forte par exemple sur le montage financier de l organisation des grandes biennale
99. la fusion Ceci dit on note que l organigramme mis en place pour r pondre l int gration du Programme dans les missions de l AFAA laisse appara tre une cha ne de responsabilit s et de d cisions crois es Maintenir en l tat les missions traditionnelles de l AFAA en y int grant une nouvelle approche program matique de nouveaux territoires et une dimension culturelle nouvelle n cessite sans doute une r flexion plus approfondie sur l organisation interne de la structure Sur le plan structurel le Rapport de pr sentation du projet pr voyait la cr ation d un comit de pilotage restreint compos des principaux bailleurs de fonds concern s par le Programme et de personnalit s Ce Comit n a jamais vu le jour mais des r unions de suivi ont t men es r guli rement entre AFAA et la DCCF Malgr ce manque de structure interm diaire l quipe professionnelle charg e du suivi du Programme et l AFAA s est tr s bien acquitt e de sa mission d animation du Programme m me si l on a pu noter un cumul des diff rents chelons de responsabilit s Un comit consultatif tait en outre pr vu compos d experts amen s donner des avis sur les options pos es par le Programme et sur la pertinence du choix des op rateurs ou des artistes associ s il a t cr et nomm conseil d orientation avec un r le consultatif et de r flexion sur les orientations du Programme Afrique en cr ations Description des fonds
100. nera l expert l issue d une consultation restreinte L expert devra rassembler les comp tences suivante connaissance et ou pratique des politiques publiques en mati re culturelle connaissance des enjeux objectifs et moyens de la coop ration internationale fran aise notamment dans le domaine culturel L expert ne devra pas avoir t ou tre actuellement partic prenante de l objet amp value Approuv par le Comit de pilotage le 26 novembre 20072 h ia Fie sir Sk ir sha 65 67 SZ 8 LGLT 2 8CL LOT 0 9 8 OSV4 VNDT3OS MAV AVOSVOVAVN IOV VORHIV SVGO V HDVIS VNVAOH TXVSI H32O c00c 0 69V L ODOL MVA ODOL MAV NDISHG OXAV SHALNOINAA HLLSILAV ETXVSI 320 T007 8ct 9r L89 C ODOL AV ODOL AV SHDANOSSAA Hd H3LLNHO HILSILAV IXVSf 4490 c00c 0 TOE ODOL MAV ODOL MAV JAH LSA 90XVSf HOO I00c 0 OLL OT LLOOGI G LSHnO JV AV MAV IVDHNHS MAV VONTAL ALNVAANILI NOLLVIA IOH ALAA VINIAV 8TXVSI 320 c00c 0 E18 IVDHNHS AV TVOANAS MAV ANHLAX ANATINVA STALNOONAHA ININOO VIDLLV3I FTXVSI H4O2O TOOT TL6 I coL IVDOdNHS MAV IVOdNHS MAV WOD VAVIILVA VOXVSI HW49O c00c 0 ITS IVDHNHS MAV IVDHNHS MAV ININOO VAVIOILVA TOXVSI 320 1007 0 TOL I VDHNHS MAY TVOANAS AV WOD VAVIDILVA cOXVSf 4490 1007 0 L8T T TIVIN MAV TIVW MAV Id4S ALIV LOXVSf 4320 1007 0 YTS I TIVN MAV TIVN MAV SHDANOSSAA HG TALNAI
101. nication e Mobiliser leur capacit d accueil e Diffuser des cr ations culturelles Afin de faciliter le d senclavement des op rateurs culturels ont cherchera e Favoriser la circulation de l information Encourager les changes de m thodologie Favoriser le partage des comp tences Sous objectifs ou outils d crits Les bases de donn es culturelles d AeC constitueront le c ur des informations qui seront mises jour et diffus es par les NTIC D veloppement de trousses outils pour l aide au fonctionnement interne des op rateurs culturels et pour offrir des services aux adh rents Organisation de rencontres professionnelles dans chaque r gion afin de concr tiser des projets mutuels ventuellement avec des op rateurs europ ens nt grer les op rateurs culturels de la zone anglophone Enjeux Objectifs Mode d Emploi du Programme Afrique en cr ations Soutien aux op rateurs culturels et leur mise en r seau dynamique Accompagnement et professionnalisation des op rateurs Mise en r seau pour une meilleure diffusion en Afrique Appui au d veloppement de centres de ressources locaux sp cialis s e Soutien la mobilit interafricaine et aux rencontres professionnelles 29 30 Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques Buts et objectifs de chaque composante Les artistes acqui rent
102. nt permis de faire voluer la mission de l AFAA mais aussi de garantir une part de l h ritage de l association Afrique en cr ations L valuation confirme que les r sultats du Programme Afrique en cr ations mis en uvre par l AFAA sont de tr s bon niveau La fusion de l association Afrique en cr ations et de l AFAA a globalement eu des effets positifs tant sur les modalit s de fonctionnement de l AFAA et de son engagement dans le d veloppement culturel en Afrique que pour la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations Concernant les modalit s d animation du Programme Afrique en cr ations au sein de l AFAA est recommand 1 La cr ation d un comit de pilotage restreint associant la direction de P AFAA la DGCID le minist re charg de la Culture et ventuellement un repr sentant d un organisme partenaire Ce comit de pilotage devrait se r unir au moins deux fois par an pour valider formellement les choix strat giques ou les orientations du Programme Une r flexion g n rale sur le posi tionnement du Programme dans l organigramme g n ral de l AFAA pourra y tre men e 2 Des comit s de consultants par discipline devraient tre mis en place afin de soutenir effi cacement les charg s de mission pour la conception de crit res de choix des projets et l aide la d cision Leur composition favorisera la pr sence de personnalit s reconnues dans chaque discipline 3 L instruction des requ tes d
103. ntation du Programme Afrique en cr ations 20 L 21uesoduio suonei2do sap 23511 L EY IXINNY 2 c Y O c Q lt E E S o EX gt TD C L c O TD Y V O O 2 TD 9 O E gt Jo l DECHEZLEPRETRE Responsable du Programme Afrique en cr ations AFAA Vincent KOALA Directeur de ODAS AFRICA Burkina Faso Ibrahim LOUTOU Vice pr sident de l AFAA Claude MATHIS Secr taire g n ral de l AFAA Elise MBALLA Directrice de l association MEKA Cameroun Charg e de mission arts de la sc ne AFAA Programme Afrique en cr ations Charg e de mission gestion AFAA Programme Afrique en cr ations Membre du conseil d orientation du Programme Afrique en cr ations e amp Q 9 lt Z 95 YY LE z Mec UB 5 w W Z V 25 g ca O LL O gt vd O Z O T Y D Q c x Yv Q Y ES EEE EU 6 Y T lt On zx S Charg e de mission O C RE AFAA Programme Afrique en cr ations Gabrielle VON BROCHOWSKI Membre du conseil d orientation du Programme Afrique en cr ations 66 69 Z SH8 VIO gt ccr 809 0 v6c 8I HONV lH ana VANVMA SAWOZIHA SATOA Vd AANANOL 9TLaSf
104. ntribue t il leur renforcement dans leurs paya d origine s pertinence caract re d une action r pondant aux attentes de tout ou partie des acteurs concern s de notre soutien le soutien du MAE est il en ad quation avec ses missions les modalit s et le niveau de ce soutien sont ils adapt s L valuateur est invit prendre connaissance des indicateurs d valuation pr vus l article 6 2 5 2 du projet valu pages 25 28 II 3 Recommander Sur les bases de aes conclusions l expert formulera des recommandations au minist re des Affames etrani res M ORGANISATION ET CALENDRIER DE L EVALUATICON III 1 Le comit de pilotage L expertise valuative du programme AFAA Afrique en cr ations est conduite par un comit de pilotage Celui ci comprend des agents du minist re des Affaires trang res un repr sentant de l AFAA et un repr sentant du minist re de la Culture et de la Communication Ce comit eat successivement charg d laborer les termes de r f rence de l expertise valuative d adentifier et s lectionner l expert auquel sera confi e a r alisation de l expertise amp vnluative de dialoguer avec cet expert sur le d roulement et l orientation de son tude ANNEXE A1 Termes de r f rence de l expertise valuative suite de lire son rapport et de le valider de faire des propositions au minist re des Affaires trang res sur les suites donner aux c
105. onclusions de l expert III 2 L expert charg de r aliser l valuation Le travail de l expert se d roulera en trois phases collecte d informations Paris sous forme d entretiens de consultations de documents voire de questionnaires postaux analyse de l information valuation et r daction d un rapport provisoire ce rapport sera pr sent au comit de pilotage qui fera part l expert de ses observations r daction et pr sentation de la version d finitive du rapport TII 3 Calendrier pr visionnel Sur In bose d une consultation restreinte l expert sera d sign au plus tard le 20 d cembre 2002 l valuation sera conduite en janvier 2003 phase 1 du travail de l expert ressources documentaires 2 au 8 janvier 2003 phase 2 du travail de l expert tude et valuation 9 au 22 janvier 2003 phase 3 du travail de l expert r daction du rapport final et pr sentation 23 au 29 janvier 2003 Solt 24 jours ouvrables d expertise valuative Lecture et analyse par le comit de potage entre le 0 et le 31 janvier 2003 Remise au Minist re des Affaires trang res de l expertise valuative finale apr s avis du comit de pilotage le jeudi 6 f vrier 24413 au plus tard Sur la hase des termes de r f rence l expert pourra proposer tout compl ment de m thodologie susceptible d enrichir l expertise valuative IV MODALITES DE SELECTION DE L EXPERT Le comit de pilotage a lection
106. oppement de ce secteur culturel les conservateurs les critiques d arts Un travail d identification et de rep rage des professionnels a aussi t favoris par le rep rage artistique 4 9 La Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques Pour les arts de la sc ne le soutien des ateliers de formation plut t tourn s vers les artistes a t privil gi en s appuyant sur des principes de r sidences de conservatoires itin rants Cette composante est d clin e selon les grandes disciplines artistiques les arts de la sc ne ou de stages de formation danse th tre musique et les arts visuels design amp mode peinture sculpture installations photographie nouvelles images Dans le domaine des arts visuels les r sidences parfois itin rantes de cr ation l appui l organisation d exposition et les changes formations sont les trois principaux axes stra t giques d velopp s Dans le domaine des arts de la sc ne la strat gie s organise autour de l aide la cr ation et la circulation des artistes 4 3 La Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique Le Programme a principalement assur la coorganisation des deux grandes manifestations structurantes h rit es du travail de l association Afrique en cr ations Les IV mes Rencontres de la photographie de Bamako qui se sont d roul es du 15
107. p ration internationale fran ais la fusion de l AFAA et d Afrique en cr ations 16 9 3 La fusion questions soulev es par l association Afrique en cr ations 17 TROISI ME PARTIE LE PROGRAMME AFRIQUE EN CR ATIONS DESCRIPTIF ET TAT DES LIEUX 19 3 1 Le projet FSP et son calendrier d ex cution 19 3 2 L organisation interne de l Association Francaise d Action Artistique et le positionnement du Programme Afrique en cr ations 20 3 3 Le pilotage du Programme Afrique en cr ations 000000000000000000000000000000000 99 3 4 Les objectifs du Programme Afrique en cr ations 0000000000000000000000000000 94 3 5 Description des fonds engag s et contribution du minist re des Affaires trang res 34 QUATRI ME PARTIE PR SENTATION SUCCINCTE DES R ALISATIONS DU PROGRAMME AFRIQUE EN CR ATIONS 37 4 1 La Composante 1 Concourir la mise en r seau des op rateurs culturels du continent ss 37 4 9 La Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques en LV FESSES UAR dass 38 4 3 La Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique 38 4 4 La Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels 2 39 CINQUI ME PARTIE CONCLUS
108. pr sent sur les deux pages suivantes permet de pr ciser les objectifs mais aussi les outils envisag s alors pour le d veloppement du Programme Comparaison financements pr vus r els cumul s 2001 2002 Trest pem prm Sources de financement convention ie R er 2007 maar 2002 IM A E Titre VI F S P Union Europ enne 1 637 ara Minist res de la culture Afrique j 435 046 Autres ressources fran rU n E 1 A 27 lt 3765 481 el 4308 196 _ 542 706 sar 622 2 380 574 COMPARAISON FINANCEMENTS PREVUS REELS CUMULES 2001 2002 LH Autres ressources fran aises gt europ ennes H Minist res de la culture Afrique BUnion Europ enne EMA E Titre VI F S P Pr vu total conventii R el botal date FINANCEMENTS MIS EN OEUVRE 2001 2002 El Autres ressources 5 En aon 2 500 000 francaises et europ ennes BIMinist res de la culture 2 000 000 Afrique 1 500 000 H Linion Europ enne 1 000 000 m h A E Titre VI F S P 500 QUO Feel 2001 R el 2002 25 27 4654 3 ww xngJjusa ERSO p 490 59804 Bguugsucd9p spar SEULE d ainina augisiumy i e Tw1O 1 coz Logg dva anm FAUM Es Amnaspoz m anbupy ang seg te uper ag xnedapegn m EL LOL 13 gouz ooz SNOLLY32 NI anonidv AMNVHOOUd nd SHAIONYNIA SINIVNALH VE SIN3 344i0 830 NOLLTIBIHINOS TAC i 3 893 25 3 159 E8L Z a z9z orz
109. pr vu pour une p riode de 24 mois compter du 1 janvier 2001 sur l ensemble des pays du continent africain Cette convention couvre les composantes 1 2 3 et 4 du projet La composante 5 devait tre g r e par la DCCF Au final une partie de la composante 5 78 226 57 est revers e l AFAA par avenant la convention dat du 7 janvier 2003 Le calendrier d ex cution de ce FSP mobilisateur s talera en fait sur pr s de deux ans et demi Approbation FPC d cembre 1999 Signature de la convention par le MAE 21 d cembre 2000 D marrage 1er janvier 2001 R ception tranche 1 1317 159 51 16 novembre 2001 Compte rendu d ex cution ann e 2001 19 mars 2009 R ception tranche 2 658 579 75 29 mai 2009 Avenant la convention 07 juillet 2003 Compte rendu d ex cution ann e 2009 Fin f vrier 2003 R ception tranche 3 997 753 11 En attente Date limite d engagement des d penses 15 juillet 9003 Les premi res d penses ont t engag es en avril 2001 LD AFAA gr ce sa tr sorerie a permis de pr financer les op rations en attendant que la premi re tranche ait t r ceptionn e 19 20 3 2 L organisation interne de l association francaise d Action Artistique et le positionnement du Programme Afrique en cr ations L AFAA est administr e par 18 membres dont dix personnalit s qualifi es lues en son sein par l assembl e g n rale cinq repr sentants du ministre des Aff
110. pui est employ pour les autres manifestations Ces formulations n voquent pas vraiment les enjeux d autonomie propos s dans la composante 3 La composante 1 qui concerne la mise en r seau des op rateurs culturels O C RE est devenue la composante structurante de l ensemble du Programme tant dans l approche que dans le discours L aide la cr ation objectif secondaire dans le texte initial a b n fici pourtant d un engage ment de fond tr s important cf annexe A12 33 34 3 5 Description des fonds engag s et contribution du minist re des Affaires trang res Cette expertise s appuie sur les actions dont les financements ont t engag s avant le 31 d cembre 2002 le Programme Afrique en cr ations sera cl tur mi juillet 2003 Malgr les efforts r alis s par l AFAA pour assurer un suivi pr cis et autonome du FSP il rel ve du Titre VI et ce titre sa contribution est affect e dans le budget global de l AFAA il a t difficile d avoir des donn es exhaustives et fiables sur les contributions ext rieures dont celles des postes En outre l valuation se d roulant simultan ment l arr t des comptes pour l exer cice 2002 l arr t des d penses engag es n tait pas totalement finalis et fiable Les contributions ext rieures ont t consid r es par l AFAA selon deux cat gories contributions mobilis es et engag es directement par l AFAA c est le cas par exemple de l t
111. qu aux artistes qui y ont pris part L appui la diffusion des cr ations pr sent es et prim es aux deux biennales a t con ue en amont lors de leur pr paration Pour la biennale de danse les laur ats ont pris part une tourn e en France Pour ce qui concerne la photographie aujourd hui encore des demandes sont formul es afin de pr senter des photos dans diff rents pays Deux documents joints en annexe montrent ce travail de diffusion men par le Programme suivi des compagnies pr sent es la biennale de la danse et Circulation Bamako 2003 Pour les autres op rations men es le Programme a dans la mesure du possible favoris une diffusion de dimension r ellement internationale la France et l Europe auront t les zones les plus concern es Des op rations en Am rique Br sil Mexique USA et en Asie Pacifique Australie Chine Japon ont t soutenues La dynamique men e pour les arts visuels avec en particulier l implantation donc la recon naissance d un Pavillon Africain la biennale de Venise a contribu incontestablement donner une place importante la cr ation contemporaine africaine sur le plan international 55 56 5 4 2 Contribue t il leur renforcement dans leur pays d origine M me s il est difficile de mesurer de fa on globale au vu des donn es disponibles l impact r el du Programme sur le renforcement des acteurs dans les pays d origine il est toutefois int
112. rateurs le d ficit de conception dans les projets et la difficult des op rateurs anticiper leur d ve loppement la grande fragilit de la plupart des op rateurs qui reposent souvent sur une seule personne le manque d articulation des op rateurs avec les CCF ou les Alliances dans de nombreux pays le manque de visibilit des centres de ressources quant leur fonctionnement et leur impact sur le milieu la lt tra abilit gt de la mise en r seaux des op rateurs au del des actions soutenues par le Programme les contenus l organisation et les rendus des rencontres professionnelles restent en g n ral faibles il y a une tendance la logique du guichet 49 50 Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques Objectifs de chaque composante et outils d crits R alisation des objectifs fin 2002 Les artistes acqui rent une totale autonomie financi re Appuyer la cr ation Appuyer la diffusion 1 Favoriser la vente des uvres 2 Aides la cr ation en priorit dirig es vers des artistes dont la reconnaissance artistique est acquise mais sur des fondements conomiques fragiles 3 R pondre la demande des nouveaux publics jeunes chercher sa reconnaissance encourager les formes d expression arts de la rue spectacles co t modeste de production et ne n cessitant pas d quipements culturels lourds 4 Confronter r gul
113. re des Affaires trang res est il en ad quation avec ses missions Le minist re des Affaires trang res attache une importance particuli re au fondement cultu rel du d veloppement Le rapport de pr sentation du projet pr cise d ailleurs que l approche fran aise a toujours consid r que la culture a intimement partie li e avec le d veloppement dans la mesure o celle ci joue un r le primordial dans la capacit des groupes humains adapter leurs comportements des situations nouvelles disposition qui s av re indispensable toute soci t en transformation C est dans cet esprit que le minist re a tr s t t renforc le soutien la cr ation artistique et la mise en valeur du patrimoine culturel des pays partenaires pr cisant alors sa volont de favoriser la prise en charge de la coop ration culturelle par les Etats et par la soci t civile Cette approche n a jamais t d mentie Apr s la r forme du dispositif de la coop ration le minist re des Affaires trang res a confirm cette politique Par ailleurs ce FSP mobilisateur entre dans le champ des missions du minist re les pays du continent africain qui font presque tous partie ce jour de la ZSP restent pour la France une priorit en terme de coop ration et de partenariat le Programme s adresse aux acteurs de la soci t civile il cherche associer les collectivit s territoriales fran aises il contribue effecti
114. rg s de la mise en uvre du programme acteurs publics charg s du suivi du programme ou int ress s ses r alisations artistes et op rateurs culturels africains b n ficiaires du programme A travers ces rencontres l valuation a t une occasion pour tous ces interlocuteurs de s exprimer sur leur exp rience de pr ciser leurs r flexions et de contribuer ainsi efficacement l laboration de pistes de travail pour l avenir du Programme Afrique en cr ations Le travail d analyse a port notamment sur l ensemble des op rations qui ont t soutenues sur la p riode de janvier 2001 d cem bre 2002 notamment des points de vue de la r partition g ographique et budg taire l exploitation approfondie des projets et des documents concernant O C RE l analyse plus fine de deux projets soutenus pour lesquels un entretien avec les op rateurs culturels b n ficiaires a t possible ODAS AFRICA du Burkina Faso et association MEKA du Cameroun les deux principales manifestations structurantes Bamako pour la photographie et Antananarivo pour la danse les documents institutionnels de l AFAA et du Programme Afrique en cr ations Le pr sent rapport tente de rendre compte de l ensemble du travail effectu dans le respect de l esprit de l valuation externe savoir faire un tat des lieux de la fagon la plus significative possible analyser des donn es factuelles et en d gager
115. riode de rodage ce d autant plus que pour P AFAA l int gration du Programme Afrique en cr ations tait une mission r ellement nouvelle Le financement sur Titre VI pour le financement d op rations en partenariat et au b n fices directs d acteurs de la soci t civile africaine de pays de la Zone de Solidarit Prioritaire assure une tr s bonne visibilit institutionnelle de l engagement du minist re dans le domaine du d veloppement culturel en g n ral et en Afrique en particulier le Titre VI est inclus au calcul de l Aide Publique au D veloppement SIXI ME PARTIE RECOMMANDATIONS L valuation confirme que les r sultats du Programme Afrique en cr ations mis en uvre par l AFAA sont de tr s bon niveau En outre la fusion de l association Afrique en cr ations et de l AFAA a globalement eu des effets positifs tant sur les modalit s de fonctionnement de l AFAA et de son engagement dans le d veloppement culturel en Afrique que pour la mise en uvre du Programme Afrique en cr ations L hypoth se de la poursuite du FSP mobilisateur voire du renforcement des moyens mis en uvre se doit aujourd hui d tre concr tis e rapidement au risque de perdre les acquis de ces deux riches ann es de travail Le dynamisme des op rateurs culturels soutenus par le Programme est fragile au vu de la situation socio conomique des pays concern s Cette concr tisation ne doit pourtant pas perdre de vue les points am liorer
116. s de Bamako et de Tana qui n ont qu un peu plus d un cycle d activit s dans le cadre de la dur e du Programme C est le cas aussi pour ce qui concerne l ouverture g ographique l Afrique anglophone et l Afrique du Nord r gions aux r alit s et aux histoires si diff rentes Le manque d identification en amont des disciplines privil gier dans le cadre du Programme Il aurait t important de formuler des objectifs clairs sur la n cessit d un travail d identification dans le cadre du Programme Le conseil d orientation a eu un r le important dans ce domaine L tude sur les festivals de th tre en Afrique en est une illustration Plusieurs items d velopp s dans les objectifs des composantes 2 et 4 se recoupent en partie autour de la question de la professionnalisation ainsi qu entre les composantes 1 et 4 autour de la question de la mise en r seau Ces recoupements ne rendent pas suffi samment lisible le Programme dans sa mise en uvre et dans les choix des imputations budg taires des diff rents projets l approche lt O C RE professionnalisation gt a marqu fortement la r daction de l ensemble du rapport de pr sentation L appui la cr ation a donc t repositionn au second plan et n apparait que faiblement dans les objectifs du Programme au niveau de la composante 2 sous la formulation suivante Aides la cr ation en priorit dirig es vers des artis tes dont la reconnaissance artis
117. s disciplines les meilleures productions du continent africain Ces op rations des biennales ont progressivement vu le jour Les rencontres de la photographie africaine de Bamako la faveur de l lection de monsieur Alpha Oumar KONARE pr sident du Mali et alors membre du Conseil d administration de l association Les rencontres de la cr ation chor graphique de l Afrique et de l Oc an Indien de Luanda en 1995 puis d Antananarivo partir de 1999 15 16 9 9 Enfin l effort de diffusion de l association Afrique en cr ations s est notamment exprim par des actions de promotion en France L exposition en 1999 sur le pont des Arts Paris des derni res uvres d Ousmane Sow fr quent e par plus d un million de personnes en est un exemple embl matique Pour son fonctionnement l association Afrique en cr ations a b n fici de financement du minist re de la Coop ration sur Titre IV tant pour son fonctionnement que pour des op rations particuli res Les subventions publiques repr sentent plus de 85 de son budget en 1998 provenant pour l essentiel du minist re de la Coop ration sur Titre IV et sur FAC La fusion avec l AFAA en 2000 intervient une p riode cl de la vie de l association lui permettant de poursuivre sa mission tout en optimisant son fonctionnement L v nement Territoires de la cr ation Lille et l ensemble des manifestations artistiques organis es dans la m me dynamique en 2
118. se valuative suite HI 2 Evaluer L expert portera une appr ciation sur le programme AFAA Afrique en cr ations en utilisant les crit res en vigueur dans le domaine de l valuation des politiques publiques Ainsi i s interragera sur sa coh rence caract re d une action dont les objectifs om t d finis et dont les moyens sont ad quats ces derniers et ad quats entre eux les objectifs ont ils t bien d finis lt bes moyens utilis s qualit des intervenants diversit des manifestations sont ils adapt s aux abjectifs lt Qualit s du suivi et du pilotage par AeC et le MAE son efficacit caract re d une action produisant les effets attendus Y le programme lt AFAA Afrique en cr ations remplit il ses objectifs v la quantit et la qualit des actions entreprises correspandent elles aux attentes son elTicience caract re d une action dont les effets sont la mesure des sommes d pens es los ressources humaines et financi res ont elles t bien mebilisees Le rapport colite avantages est il satisfaisant T aon impact caract re d une action qui au del de ses effets attendus a une influence dana d autres domaines ou aur un autre plan Y qu apporte le programme AFAA Afrique en cr ations au d veloppement culturel le programme lt AFAA Afrique en cr ations contribue t il renforcer la pr sence des artistes et op rateurs l international w co
119. tant dans la formulation des objectifs et des r sultats atteindre sur un prochain FSP mobilisateur que des modalit s techniques d animation de ce Programme Au del des l ments not s dans la partie conclusion d valuation de la pr sente valua tion quelques recommandations compl mentaires peuvent tre pos es Concernant les modalit s d animation du Programme Afrique en cr ations au sein de l AFAA sont recommand s 1 La cr ation d un comit de pilotage restreint associant la direction de l AFAA un repr sentant du conseil d administration un de la direction ainsi que la coordination du Programme la DGCID dont un repr sentant de la DCCF un repr sentant du minist re charg de la Culture et ventuellement un repr sentant d un organisme partenaire comme l AIF ce comit de pilotage devrait formellement valider les choix strat giques ou les orientations du Programme En outre une r flexion g n rale sur le positionnement du Programme dans l organigramme g n ral de l AFAA pourra y tre men e Ce comit devrait se r unir au moins une fois tous les 6 mois 2 Des comit s de consultants par discipline devraient tre mis en place afin de soutenir effi cacement les charg s de mission pour la conception de crit res de choix des projets et l aide la d cision La composition et les modalit s d animation de ces comit s doivent privil gier la souplesse L initiative doit avant tout venir d
120. tion du Programme permettent ainsi de garantir le montage des grandes manifestations de Bamako et de Antananarivo La strat gie de recherche d autonomie financi re des b n ficiaires est sur ce plan tr s efficace 53 54 A l inverse le Programme pourrait sans doute mobiliser beaucoup plus de financement direc tement l instar des 110 000 vers s par l Union Europ enne pour l tude sur les festivals de th tre en Afrique Ces financements repr sentent seulement 7 7 des ressources ext rieures mobilis es globalement Ce travail de mobilisation qui d apr s les diff rents charg s de mission est tout fait envisageable et m me souhaitable n cessiterait un investissement en terme de ressource humaine sup rieur ce qui l est aujourd hui La mobilisation des ressources humaines quant elle a repos principalement sur cinq piliers L exp rience des charg s de mission issus de l association Afrique en cr ations qui ont apport leur savoir faire dans la r alisation du Programme leur connaissance des milieux culturels et artistiques africains leur approche fond e sur un travail en partenariat avec la soci t civile La mobilisation du personnel de l AFAA qui aura permis d enrichir dans certaines disci plines les pratiques et l expertise c est le cas pour la danse par le P le danse de l AFAA Cette mobilisation concourt entre autre directement l largissement du champ de la diffusion en
121. tique est acquise mais sur des fondements conomiques fragiles La sp cificit d Afrique en cr ations portait principalement sur la capacit d velopper la cr ation contemporaine africaine sp cificit n apparaissant plus au premier plan des objectifs du Programme Cette question revient souvent dans le cadre du conseil d orientation Une note sera m me r dig e en d cembre 2001 par deux anciens administrateurs de l association pour interpeller P AFAA sur le lien entre professionnali sation et aide la cr ation notamment dans le d veloppement d O C RE Ces l ments sont prendre en compte dans l valuation puisqu ils rendent plus difficile une appr ciation objective des r alisations du Programme Force est de constater qu ils n ont pas emp ch l AFAA de s adapter et de pr ciser au fil du temps les strat gies et la compr hension des objectifs sp cifiques Le conseil d orientation au del des questions li es son r le interpelle r guli rement les charg s de mission sur les enjeux du Programme et sur les axes privil gier par exemple sur les d bats li s la professionnalisation l appui la cr ation ou sur les enjeux de chaque discipline th tre musique actuelle arts plastiques Finalement le caract re exp rimental d une part importante du Programme O C RE l appui l autonomisation des op rateurs culturels et la professionnalisation des artistes aurait m rit d tre mis
122. tributions n cessaires ne suffisent pourtant pas aboutir m caniquement au renforce ment durable des op rateurs Ils interpellent ainsi l AFAA sur la n cessit de favoriser une convergence d objectifs entre les Etats et les op rateurs afin de favoriser la d finition de politiques culturelles sur le d ficit de comp tences prouv es en Afrique dans le management des structures et la conception r alisation de projets culturels sur les enjeux d un conventionnement pluriannuel Apr s un projet l exp rience reste mais elle ne contribue que marginalement consolider les structures sur les difficult s souvent difficilement surmontables dans l obtention des visas pour la mobilit des personnes alors m me que le soutien la mobilit des uvres est assur e par le Programme sur le principe des budgets fl ch s outils d velopp s par la presque totalit des bailleurs de fonds qui obligent les op rateurs cloisonner leurs propres projets Pour les artistes appuy s dans le cadre du Programme il parait difficile de porter un jugement argument sur leur renforcement Pour la majorit d entre eux m me s ils sont d j reconnus le financement d un projet sur une p riode de deux ans ne suffit sans doute pas noter claire ment un effet d cisif sur leur renforcement dans leur pays d origine 5 5 Quelle pertinence du Programme Afrique en cr ations 5 5 1 Le soutien du minist
123. turels du continent africain de renforcer la professionnalisation des fili res artistiques en Afrique de renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels africains en particulier en prenant appui sur des manifestations artistiques structurantes en Afrique Ce FSP s articule autour de cinq composantes Composante Concourir a mise en r seau des op rateurs culturels du continent 2 2 MF Composante 2 Appuyer la professionnalisation des fili res artistiques 3 5 MF Composante 3 Conforter les dynamiques autour des manifestations structurantes de la cr ation en Afrique 4 7 MF Composante d Renforcer les savoirs et am liorer lex savoir faire des artistes et entrepreneurs culturels 4 MF Composante 5 Evaluation et management du projet 0 6 MF I OBJECTIFS DE L EVALUATICON 4 Dimi w Evaluer Recommander II 1 D crire L expert pr sentera un tableau descriptif du programme AFAA Afrique en cr ations faisant apparaitre 5a structure juridique et organisationnelle ses objectifs de d part et ventuellement leur volution le montant de la contribution du minist re des Affaires trang res cr dits centraux et cr dits des postes sa part dans le budget global du programme AF AA Afrique en cr ations et les moyens mobilis s par d autres contributeurs institutionnels et priv s 63 ANNEXE A1 Termes de r f rence de l experti
124. u des laur ats de tana 2001 aux Etats Unis en f vrier 2004 12 repr sentations pr vues LES JEUNES TRETEAUX Tchad Participation du Chor graphe au stage international de Germaine Acogny Toubab Dialow de mars juin Repr sentations au festival Mawasine de Rabat le 21 mai Repr sentations aux Rencontres chor graphiques internationales de Scine Saint Denis les 25 et 26 mai 2002 Repr sentations au Global Dance festival Dusseldorf le 31 ao t 2002 Participation du chor graphe l academie de l interpr te organis par Bernardo Montet et Frederic Fisbach au Quartz de Brest en Novembre 2002 sans Afua Audition Paris au CND pour engager 2 danseurs francais en vu de Ia prochaine cr ation de la compagnie qui sera cr e en septembre 2003 N jamena Repr sentations au festival madrid en Danza en avril 2003 RALZ DI POLON Vert La compagnie est tr s soutenu par des partenaires comme dancad na Cidad au Portugal qui leur permet de circuler dans un r seau lusophone Pr sentation la plate forme de danse Africalia Bruxelles du 12 au 15 mars 2003 sans Ajaa LA JEUNE COMPAGNIE MALIENNE i lp PX MM Repr sentations au festival du th tre des r alit s a Bamako du 14 au 18 d cembre 2003 sans Afaa Repr sentations de 2 spectacles au SAREV Marseille en f vrier 2003 sans Afaa Repr sentations pr vues Paris au Mus e Dapper en Mars avril 2003 sans Afaa 87 88 ANNEXE A9 Exemple de diffusion s
125. ude sur les festivals de th tre financ e par l Union Europ enne Ces contributions apparaissent dans un tableau annexe ces donn es sont fiables et exhaustives contributions mobilis es par les op rateurs culturels ou les artistes b n ficiaires d un financement du Programme Les informations sont collect es par d claration libre fax mail ou partir de fiches d claratives cf annexe A8 remplies par les b n ficiaires Les donn es sont ici plus fragmentaires Les d clarations des op rateurs arrivent souvent tardivement par rapport la date de r alisation des op rations En outre la forme des fiches d claratives ne permet pas un traitement transversal totalement fiable m me si le taux de retour est tr s lev Rappelons ici que les modalit s de mise en ceuvre des financements du Programme passent par le transfert de fonds vers les op rateurs Les contributions ext rieures sur les op rations soutenues leur sont donc elles aussi vers es directement Au 31 d cembre 2002 et selon les documents exploitables 1 824 907 11 970 603 FRF ont t engag s soit 80 d un total de 2 273 492 disponibles apr s l avenant n 2 la convention sign en janvier 2003 Le montant total de la contribution du minist re des Affaires trang res pour les ann es 2001 et 2002 cr dits centraux hors Titre IV et cr dits d concentr s des postes ambassades SCAC et CCF au 31 d cembre 2002 s l ve 2 1
126. uite COMPAGNIE P Senegal _ Participation du chor graphe au stage international de Germaine Acogny Toubab Dialow de mars juin 2002 Invitation du chor graphe a l Atelier du monde Montpellier en juimfjuillet 2002 Repr sentations au festival Dance meets Dance au Nigeria en f vrier mars 2003 Mozambique La chor graphe et le directeur artistique en r sidence en France Paris pour un DESS danse de septembre 2002 mars 2003 Repr sntations aux prochaines rencontres protographiques d Arles en juillet 2003 SIWELA SONKE DANCE Afrique du Sud Participation a un projet territoires et mouvements avec la plasticienne Anne de Beaufort pr sent au festival Dance umbrella de Johannesbourg en mars 2002 et au mus e de Grenoble le13 d cembre Participation au festival Dance Umbrella de Johannesbourg en f vrier 2003 ANNEXE A10 Exemple de diffusion Circulation des uvres produibes lors des de Rencontres en Bamako 2002 K Amadi Obi O Nkamga A Chra bi EA 23 05 au 3008200 Lamia Naji R Assubuji Ben Chadbane 15 100 D Brazier L Ch rinet AE Essamha T Hadehe P Men E Perrier Mohamed Romine H Waters B T Mandamory Zineb Sedira Hicham Benbaud Tides Adeniyi ones Youssouf Sagedoga w rr 15 07 2002 Abdou Fari Faye A2 F 5 I P M rmv A E Estamba Luis Basto Biarritz gt 05 05 au 10 05 2002 M md Churgibi N Madanui J Adeniyi 13 1
127. uonoui sked sinoje1odo sop ur8uo p S eq s 21n3 n2 sinajeiado sap auiSuo p s ed 32 3 ayuesodwo ej inod 9 000 L 000 T p 00 STB000L 9 000 67 amp 000 SI E p 000 6 000 6c E c 000 OZI amp 000 6 m ayqouen er op s amp ed op arquiou asaujuared nuq 2 U9 VVAV PIV s23IAn2e p s ed ied yV3V S212DULUIJ sapie 32 suonerado p 21QUON Gb V 3X3NNV s l uonour sked sinoje1odo sop ouuo p s eq 90 cp sKed xed suonei9do p o1quioN s 21n3 n2 sinajeiado sap auiSuo p sed 32 L ayuesodwo ej inod s231An2e p s ed ied vvv s2121 2ueuy sapie 32 suoner2do p 21qUION Lp Y IXINNY p 001 6 00L 00 ET 001 6 T 008 0c 00S ET 00 9 008 OT aysuen p op s amp ed op aiquou osoqjuored nuq Z U9 VVAV PIY MHIL I 79 78 CO 2 99v Ltr 2 8tL 6LI 2 LL9 8I 2 vcS 2 L6E ET 2 ELS CI 20 2 TVO L 2 069 16 20 2 vt8 vt 2 8TL LOT AIO STILIIE 2 VOS 9vI 2 TTI T 20 2 L6t I 2 666 L 20 2 cvOL S 6ST vL 20 2 S8L IE 2 8Ic SOI c00c TADO 2 vvL SCT 2 VET EE 2 SSS 9 2 VTS 20 S ELS v 20 20 2 TES LI 20 23 670 SOIS TOI 1007 190 S 89S T61 I 3 EL9 TSS 2 LOL LET 30 30 2 656 16 2 8TS EI 2 000 OST 2S VIO T
128. urs culturels ou par les artistes individuellement ou en groupes organis s ceux ci sont b n fi claires mais aussi acteurs et auteurs du d veloppement culturel en Afrique Les objectifs n en d laissent pas moins les Etats qui restent des interlocuteurs de premier ordre afin de les accompagner dans l mergence ou dans l volution de leur politique culturelle Ces l ments constitutifs des objectifs du Programme en font potentiellement une force en terme de d veloppement culturel Aucune volution significative des objectifs n a t constat Leurs formulations successives dans des documents large diffusion reprennent les intitul s des objectifs g n raux Les deux documents de r f rence sont la plaquette Mode d emploi du Programme Afrique en cr ations mise d ailleurs en ligne sur le site internet de l AFAA et le fascicule AFAA Mode d emploi Il est cependant notable que la zone d intervention du Programme pr vue pour couvrir l ensemble du continent africain est intervenu principalement sur l Afrique sub saharienne en s ouvrant tr s progressivement vers l Afrique du Nord On observe aussi des modulations sur l implication dans l appui aux grandes manifestations structurantes pr vu dans la composante 3 Les deux manifestations de r f rence Bamako pour la photographie et Antananarivo pour la danse sont mises fortement en avant en terme de coordination ou de co organisation tandis que le terme d ap
129. vement au renforcement des politiques culturelles des Etats africains plus particuli rement pour les pays accueillant les biennales Toutefois l aide la cr ation qui reste un axe fondamental dans le Programme Afrique en cr ations et essentiel dans la dynamique du d veloppement culturel souffre de ne pas clairement tre reconnue comme de l aide publique au d veloppement dans le cadre de la mise en uvre d un FSP mobilisateur financ sur Titre VI Pourtant l AFAA dans le montage et la s lection des projets du Programme a garanti tout en aidant la cr ation que l approche professionnalisante du Programme soit totalement respect e Il y a ici une n cessaire clarifi cation faire pour la suite de ce Programme sur la place que peut prendre l aide la cr ation dans une approche professionnalisante Ce point a ralenti le d marrage du Programme l AFAA ne connaissant pas tr s pr cis ment la marge de man uvre dont elle disposait 5 5 2 Les modalit s et le niveau de ce soutien sont ils adapt s Les modalit s du soutien du minist re des Affaires trang res ont intelligemment permis de faire voluer la mission de l AFAA mais aussi de garantir une part de l h ritage de l associa tion Afrique en cr ations La mise en uvre sur Titre VI d un FSP mobilisateur a garanti le p rim tre d activit du Programme Les fonds sont affect s et vitent que l volution de la conjoncture de l organisation responsable de la mise
130. w y B Les Rencontres Chor graphiques de l Afrique et de l Oc an Indien d Antananarivo 3 projets de formation 3 4 7 CP es none oio A 3 6 9 ansa II organis es sur 5 au ll novembre 2001 Ces rencontres auront mobilisces pour E Ron administateurside festival z 1 1 les pr selections 63 compagnies L effort de diffusion tr s important a abouti l organi 15 23 38 sation d une tourn e en France pour les compagnies laur ates tourn e qui a commenc par une pr sentation au Palais de Chaillot Paris et s est poursuivie par 21 repr senta tions dans 12 lieux en France et un en Espagne Total projets Nombre de structures aid es 7 12 19 Au del du financement des projets cette composante a mis en uvre des modalit s d appui compl mentaires par la m diation avec d autres composantes du Programme avec les postes ou des parte 4 4 La Composante 4 Renforcer les savoirs et am liorer les savoir faire Hades SS onn des artistes et entrepreneurs culturels C li C 2 l li 2 g Ji li par l assistance conseil m artistiques les arts de la sc ne et les arts visuels par l utilisation des NTIC liste de diffusion mail O C RE site internet Les actions men es pour le volet arts visuels s organisent autour d changes formations en direction des artistes nouvelles pratiques connaissance des mat riaux mais aussi vers les m tiers qui permettent le d vel
131. xemple b n fici d une pr sentation au Palais de Chaillot l investissement d une personne temps plein pour assurer le suivi de la diffusion le choix d une attach e de presse fran aise sur la biennale de Bamako qui a garanti une couverture m diatique sans pr c dent Dans les points restant d velopper il est noter que l AFAA a d encore se mobiliser forte ment sur le montage financier des manifestations en particulier la biennale de la danse Cette mobilisation bien que salutaire est malheureusement proche de la substitution A la d charge de l AFAA Madagascar connaissait alors une grave crise politique Enfin les conditions de la pr paration de la biennale de 2003 semble voluer dans le bon sens Pour les autres manifestations structurantes soutenues les financements sont modestes mais concentr s surtout sur le th tre et les arts visuels Festival Disciplines Pays du festival Aide AeC EWOLE 2002 AFRODESIGN Arts visuels Design Togo 20155 BIENNALE DE DARK ART Arts visuels Design S n gal 18 045 FESTHEF Th tre Togo 7 045 FITHEB Th tre B nin 30 584 FESTIVAL DU THEATRE DES REALITES Th tre Mali 23 567 NGOMBI FESTIVAL Musique Centrafrique 7 091 Il faut noter que tous les festivals soutenus se d roulent en pays d Afrique francophone Afrique de l Ouest et Afrique Centrale pour l un d entre eux Cela montre lt l h ritage gt

appui à la professionnalisation des opérateurs culturels du continent

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