Conseil du 19 octobre 2012 (pdf - 350,15 ko) - Ballan-Miré
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1. 132. la Maison des Jeunes et de la Culture M SAUTEJEAN indique que la M J C a accept en lien avec la Municipalit d accompagner une nouvelle fois le Village de No l pour l dition 2012 sur le th me Calendrier de l avent Cette manifestation qui se d roulera les 1 et 2 d cembre dans le centre ville proposera une animation continue et des animations ponctuelles tant pour les enfants que pour les parents La MJC contribuera pour une large part la dimension conviviale du village par l organisation du march la gestion de la restauration la cr ation des d cors et la sonorisation Elle apporte galement certaines animations ponctuelles Pour conduire l ensemble de cette action la Maison des Jeunes et de la Culture sollicite une subvention d un montant de 4 000 Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r accorde une subvention d un montant de 4 000 la Maison des Jeunes et de la Culture pour l animation du March de No l 2012 Mme RIBETTE s interroge que le fait que cette subvention rel ve une nouvelle fois d un FARPA 10 M SAUTEJEAN confirme que la prochaine fois la demande ne rel vera pas d un FARPA et que le partenariat sera consolid dans une convention M le Maire souligne que les FARPA sont une construction locale et qu ils n ont pas d existence juridique Un FARPA c est une subvention La d lib ration est adopt e l unanimit 12 Fonds d aide
3. diffus e car elle comportait des propositions sur la pi tonisation du centre ville avec lesquelles la Municipalit n tait pas d accord et qu il ne souhaitait pas qu il y ait une confusion au niveau de la population que M BEGAUD lui ou d autres n aurait sans doute pas manqu d exploiter entre les conclusions d une tude et les choix de la Municipalit M le Maire se dit suffisamment instruit dans des contextes de relative adversit o la bonne fois n est pas toujours pr sente de la manipulation qui peut tre faite par certains des conclusions d une tude qui n est pas endoss e par l ex cutif mais auquel on pr te des intentions qu il n a pas Cette tude comportait une pr conisation que la Municipalit n tait pas pr te mettre en uvre c est la raison pour laquelle elle n a pas t publi e pas rendue publique pour alimenter une confusion qui n aurait eu lieu d tre M BEGAUD demande qu on cesse de lui faire des proc s d intention Il demande une r ponse sur les tudes sur le quartier de la gare Il constate un d calage entre le discours du Maire d accueil de nouvelle population de jeunes couples de logement social et les faits Il rappelle que la Commune de BALLAN MIR a t class e par un grand quotidien national comme cancre du logement social car aucun logement social n a t construit entre 2008 et 2010 M BEGAUD indique qu il sera ravi lorsque des log
4. Droit de Pr emption Urbain D P U Monsieur SAUTEJEAN expose que les dispositions du Code de l Urbanisme notamment de l article L 211 1 permettent aux Communes de cr er un ou plusieurs p rim tres de droit de pr emption urbain D P U sur tout ou partie des zones urbaines ou des zones d urbanisation future d un Plan Local d Urbanisme Consid rant que par d lib ration du Conseil Municipal du 29 avril 1994 le droit de pr emption urbain a t institu sur toutes les zones urbaines U et d urbanisation future NA du Plan d Occupation des Sols de la Commune de BALLAN MIR Consid rant l approbation du Plan Local d Urbanisme en date du 19 octobre 2012 Il est propos au Conseil Municipal d instituer le droit de pr emption urbain sur le nouveau p rim tre des zones urbaines U et des zones urbaniser AU du Plan Local d Urbanisme de la Commune M FORTIN indique que l opposition votera contre cette d lib ration au regard des questions de densit voqu es dans la question pr c dente Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r d cide de cr er un droit de pr emption urbain sur toutes les zones urbaines U et les zones urbaniser AU du territoire communal La d lib ration est adopt e par 22 voix pour et 7 contre opposition 4 Demande de subvention au SIEIL pour le programme de travaux d clairage public 2013 Monsieur LE GURUN rappelle au Conseil Municipal q
5. la r alisation de projets associatifs Subvention l association Ballan Mir Twirling B ton M LE GURUN dit que l association Ballan Mir Twirling B ton a pr sent une demande dans le cadre du Fonds d Aide pour la R alisation de Projets Associatifs FARPA Ce club souhaite d velopper une nouvelle activit avec un label Baby Twirl Baby Gym attribu par la f d ration fran aise de Twirling B ton Pour r pondre cette ambition le club engage une formation d instructeur de club pour deux jeunes 16 et 18 ans et une formation d animateur Mini Twirl Les formations en Ile de France se d rouleront d octobre 2012 janvier 2013 et dans l association jusqu en juin 2013 Pour conduire l ensemble de cette action le Ballan Mir Twirling B ton sollicite une subvention d un montant de 1 300 Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r accorde une subvention d un montant de 1 300 l association Ballan Mir Twirling B ton La d lib ration est adopt e l unanimit 13 Subvention l association EKIDEN Mme BOUDESSEUL expose que dans le cadre du soutien des actions des associations en faveur du d veloppement durable la Municipalit a propos de subventionner depuis 2011 les associations qui utilisent lors de leur manifestation des gobelets r utilisables et non jetables Cette action a pour but de diminuer la quantit de d chets produits lors d une manifestati
6. urbaniser seront soit proximit d une gare ce qui signifie que si on habite ce quartier il n est pas n cessaire de disposer d une voiture pour aller travailler soit proche du centre ville et ou desservies par les transports en commun Enfin elle consid re que BALLAN MIR est assez exemplaire en mati re d environnement et renvoie au d bat sur la coupure de l clairage nocturne pour laquelle il n y a pas eu unanimit M SAUTEJEAN pr cise que seule la zone de la Savatterie est ouverte la construction par le PLU pour un nombre de 19 logements Les zones AUH devront comme l a soulign M le Maire faire l objet d tudes et d une enqu te publique dans le cadre d une modification du PLU qui permettra tous les citoyens de s exprimer sur le projet d am nagement Il ajoute que sur le plan d mographique rien que pour maintenir la population il est n cessaire de construire au minimum 30 logements par an M FORTIN confirme avoir fait une d claration en Conseil Municipal car la Commission Cadre de vie et d veloppement durable avait commenc travailler sur le projet de la 3 tranche de la Pasqueraie et que du jour au lendemain ce projet a t abandonn Il dit ne pas avoir voqu un manque de courage Il ajoute que M le Maire a annonc un PLU pour les 10 15 ans venir or il y a un ch ancier page 5 de la note de pr sentation qui fixe une densit et un calendrier de r alisation y
7. arr t municipal n S3 2012 du 8 mars 2012 relative au projet de Plan Local d Urbanisme et la modification du P rim tre de Protection des Monuments Historiques s est d roul e du 16 avril 2012 au 21 mai 2012 Elle ajoute que Monsieur Michel HERV Commissaire Enqu teur a exprim un avis favorable sur la modification du P rim tre de Protection des Monuments Historiques sachant qu aucune observation n a t mentionn e sur le registre d enqu te M FORTIN indique que l opposition municipale votera contre la modification relative au ch teau de Rochefuret en raison de la sortie des friches de la Pasqueraie du p rim tre sur lesquelles il sera possible de construire 84 logements Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r approuve le P rim tre de Protection Modifi des Monuments Historiques de l Eglise paroissiale Saint Venant et du Ch teau de Rochefuret La d lib ration est adopt e par 22 voix pour et 7 contre opposition 2 Approbation du Plan Local d Urbanisme Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal l importance de ce dossier Le PLU c est la fois le Plan d Am nagement et de D veloppement Durable PADD adopt le 1 avril 2010 et un ensemble de r gles d urbanisme qui sont la traduction concr te de ce PADD Le PLU avait t arr t en d cembre dernier la suite de cet arr t du projet une enqu te publique a t ouverte et les Ballanais ont ainsi pu rencontrer le co
8. avec l augmentation beaucoup trop rapide et trop lourde que le PLU laisse supposer Si notre Commune est aujourd hui une ville recherch e c est gr ce au souci qui a toujours t le n tre d une volution raisonn e et raisonnable Au contraire ce PLU ne fait aucune place la limitation des pollutions dues la sur densification de la ville entra nant une augmentation du parc automobile accroissement de la production de dioxyde de carbone CO et de particules une augmentation de la consommation nerg tique lectricit et gaz de ville la disparition des arbres processus d j entam partiellement compens par la plantation de tr s jeunes plants des espaces publics et surtout priv s qui sont le gage d une meilleure qualit de l air absorption du CO par les arbres adultes une augmentation de la pollution sonore car la densification de l habitat et des quipements l accompagnant engendrent forc ment du bruit fl au de nos soci t s Ce PLU tait nous semble t il le document o ces pollutions auraient dues tre prises en compte afin de les supprimer sinon de les minimiser par exemple comme la pollution sonore mais rien Pour le bien tre de ses habitants la mixit sociale n cessaire n exclut pas la mixit environnementale De plus ce PLU avec son projet d augmenter massivement la population en trop peu de temps remettra en cause l quilibre de notre Commune En effet vou
9. compris pour les zones AUH II dit qu il n invente rien les 1 800 logements qu il a voqu s correspondent l addition des diff rents programmes M BEGAUD redemande une communication rapide des tudes du centre ville et de la zone de la Gare la premi re ayant maintenant plus de deux ans pour un co t de 20 000 la seconde pour un co t de 100 000 Il reproche M le Maire de faire de la r tention d information M le Maire r pond M FORTIN qui fait remarquer juste titre que le document pr sente un ch ancier des zones urbaniser Ce tableau pr sente gros traits le nombre de logements susceptibles d tre r alis s dans ces secteurs Il ajoute que ce qui compte c est la parole politique de cette Municipalit il ne s engage pas pour les Municipalit s suivantes c est la volont de poursuivre les constructions pour autant qu elles sont n cessaires la diversification et au maintien de la population Ballanaise Il n est en effet pas souhaitable de geler toute perspective de construction dans la Commune au risque de se retrouver dans quelques ann es avec des classes ou des commerces qui ferment Face une population qui vieillit il faut offrir la possibilit des jeunes couples de s installer BALLAN MIR au travers d op rations publiques car le march seul ne le permettra pas Il y a besoin d une strat gie publique du logement il faut identifier des zones et en m me te
10. e au PLU Le Conseil G n ral qui a financ l acquisition d espaces verts bois des Touches le aux castors et Beauverger a rappel que ces espaces devaient tre pr serv s ce qui sera le cas dans le PLU Mme BOUDESSEUL indique qu elle per oit ces r serves comme des points de vigilance qui ne remettent pas en cause la qualit du PLU L attention port e sur la qualit et l int gration des constructions neuves sera renforc e par le recours un architecte conseil qui accompagnera la ville et les p titionnaires dans leur demande de permis M FORTIN lit la d claration suivante Vous pr voyez plus de 1 800 logements dans votre PLU sans compter les r alisations individuelles De plus toutes les r serves fonci res de notre Commune vont tre utilis es Si l on estime une moyenne de 3 personnes par logement cela conduira une augmentation de plus de 5 000 habitants en quelques ann es Or les structures communales actuelles ne suffiront pas pour rendre un service public satisfaisant aux Ballana s Nous tenons vous rappeler que BALLAN MIR s est d velopp e doucement un rythme qui a globalement permis d avoir une bonne ad quation entre les infrastructures coles gymnases centre social et les besoins de la population Pour m moire BALLAN MIR est pass e de 4 200 habitants en 1982 8 300 en 2012 Cette volution s est donc faite sur 30 ans De notre point de vue cela n a donc rien voir
11. logique que le Maire de BALLAN MIR pr side le syndicat En effet la ville structure le SIGEC en lui offrant l essentiel de ses moyens financiers et humains pour la gestion quotidienne A partir du moment o il a d cid de quitter la pr sidence du SIGEC il consid re logique institutionnellement par sa premi re adjointe Mais il est effectivement d accord pour dire que se sont les lecteurs du SIGEC qui feront leur choix le 19 novembre prochain gt M BEGAUD pose la question suivante Monsieur le Maire vous avez r cemment chang de collaborateur de cabinet Je vous demande donc les informations suivantes salaire mensuel net de l ancien et du nouveau collaborateur de cabinet co t total mensuel employeur de l ancien et du nouveau collaborateur de cabinet M le Maire r pond que la jurisprudence administrative et les recommandations de la Commission d Acc s aux Documents Administratifs CADA prot gent ces informations caract re personnel et a fortiori d une diffusion publique en Conseil Municipal Toutefois il pr cise que le co t du poste de Collaborateur de Cabinet pour la Ville est rest globalement identique Le co t mensuel charges comprises est m me inf rieur de 504 par mois soit une conomie de 6 000 sur l ann e M le Maire annonce les dates pr visionnelles des prochaines s ances du Conseil municipal les vendredi 23 novembre et 14 d cembre 2012 Fin de la s ance 21 heures
12. 0 en un pr t taux fixe classique pour un capital restant d s levant 1 485 399 90 au 25 08 2012 Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r autorise le Maire proc der la r alisation des emprunts destin s au refinancement du pr t BONIFIX EURO II n 0800800 conform ment l article L 2122 22 du CGCT La d lib ration est adopt e l unanimit 10 Saison culturelle 2013 Demande de subvention la DRAC M SAUTEJEAN rappelle que l animation culturelle n cessite un engagement financier des Collectivit s publiques indispensable pour offrir au public des Communes p riurbaines et rurales l acc s des spectacles vari s et de qualit Depuis juin 2012 la Direction R gionale des Affaires Culturelles soutient le projet communal par l attribution de la licence entrepreneur de spectacles Ainsi pour valoriser davantage l action culturelle notamment caract re ducatif et afin d tre soutenu pour la saison 2013 il convient de solliciter le concours de la DRAC Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r autorise Monsieur le Maire solliciter une subvention aupr s de la DRAC Centre pour l organisation de la saison culturelle 2013 et autorise Monsieur le Maire ou l adjoint d l gu signer les documents relatifs cette demande de subvention La d lib ration est adopt e l unanimit 11 Fonds d aide la r alisation de projets associatifs Subvention
13. M le Maire affirme qu il n y a donc absolument aucun risque dans le monde r el pas dans le monde imaginaire dress par M FORTIN de voir la population Ballanaise gagner 5 000 habitants dans les cinq ou dix ans qui viennent Concernant les logements sociaux M le Maire dit avoir en m moire le d bat en Conseil Municipal propos du PLH de Tour s plus Tout tait crit dans ce contrat moral et politique avec la Communaut d Agglom ration L objectif fix BALLAN MIR est d atteindre un niveau de logements sociaux compatibles avec la loi SRU et le taux en la mati re a t fix 24 en moyenne dans les futures op rations d am nagement L objectif assign la ZAC de la Gare sera de 30 de logements sociaux Les chiffres sont annonc s il n y a aucune dissimulation M le Maire rappelle que 66 de la population fran aise est ligible au logement social R pondant M BEGAUD et M FORTIN qui disent que ce n est pas clair on ne sait pas o on va construire M le Maire dit qu au contraire la strat gie est tout fait claire La Municipalit a renonc la troisi me tranche de la Pasqueraie et annonce que le d veloppement urbain de la ville se concentrera autour de la gare zone d j urbanis e desservie par les transports en commun et qui sera rattach e au centre ville via l am nagement du boulevard Il indique que le Conseil Municipal sera saisi prochainement d une d lib ration de lancement d
14. REPUBLIQUE FRANCAISE Mairie de BALLAN MIR 37510 Ballan Mir le 5 novembre 2012 Canton de BALLAN Visa Secr taires T 02 47 80 10 00 Proc s Verbal du Conseil Municipal du 19 octobre 2012 Etaient pr sents BAUMEL BOUDESSEUL DESCROIX ROUSSEAU KOENIG RAGUIN LABES SAUTEJEAN TRANCHET DOUARD LE GURUN MORLAT MONTOYA MURILLO PEINEAU YVENAT BEGAUD GOUJON RIBETTE LACORDAIS FORTIN Etaient excus s MM BEAUCHER ROCHER URVOY PROUTEAU CARRENO NOWAK MARTIN CABANNE Ces Conseillers avaient donn respectivement pouvoir MM ROUSSEAU MONTOYA SAUTEJEAN PEINEAU MURILLO FORTIN LACORDAIS RIBETTE Secr taires de s ance M LABES et M FORTIN M le Maire ouvre la s ance et soumet l approbation les comptes rendus des s ances des 1 juin 6 juillet et 17 septembre 2012 Les comptes rendus sont approuv s l unanimit 1 Modification des p rim tres de protection des monuments historiques de l glise paroissiale Saint Venant et du Ch teau de Rochefuret Mme BOUDESSEUL rappelle que le Conseil Municipal par d lib ration en date du 15 d cembre 2011 a donn un avis favorable la proposition de modification du P rim tre de Protection autour des deux Monuments Historiques Eglise paroissiale Saint Venant arr t minist riel du 12 avril 1944 Ch teau de Rochefuret arr t minist riel du 1 juin 1948 Elle indique que l enqu te publique conjointe prescrite par
15. ainsi que toutes les pi ces et documents relatifs cette vente La d lib ration est adopt e l unanimit 7 Carrefour en Touraine Lotissement n 1 Budget suppl mentaire Exercice 2012 Mme BOUDESSEUL pr sente au Conseil Municipal le Budget Suppl mentaire 2012 de Carrefour en Touraine Lotissement n 1 et le soumet au vote Elle pr cise notamment que les terrains qui avaient fait l objet de compromis de vente qui ne se sont pas concr tis s et entra nent aujourd hui des annulations de cr dits sont de nouveau convoit s et des compromis sont en cours de signature Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r approuve chapitre par chapitre le Budget Suppl mentaire 2012 d un montant total de 76 282 64 uros r parti pour 95 046 18 uros en Section de Fonctionnement et 171 328 82 uros en Section d Investissement Le budget suppl mentaire 2012 de Carrefour en Touraine Lotissement n 1 est approuv l unanimit 8 Approbation de la charte de d ontologie relative au fichier partag de la demande locative sociale M LABES rappelle que la Communaut d Agglom ration le Conseil G n ral l Union Sociale pour l Habitat de la R gion Centre et les bailleurs sociaux ont constitu un groupement de commandes pour la mise en place d un fichier partag de la demande locative sociale en Indre et Loire La solution informatique est op rationnelle depuis le 12 d cembre 2011 et s
16. e la proc dure de cr ation d une ZAC de la Gare A cette occasion seront pr sent es la probl matique d am nagement et la typologie des logements A ce jour le dossier est en phase de finalisation des discussions financi res avec les partenaires M le Maire poursuit en disant qu il reste effectivement des zones urbaniser AUH Il demande ce qu on se mette d accord honn tement une bonne fois pour toute sur le mode d emploi des zones AUH Si un jour la d cision est prise d urbaniser cette zone le Conseil Municipal sera de nouveau saisi sur un projet d am nagement indiquant de fa on pr cise le nombre de logements les densit s les hauteurs tout ce qui fera le contenu de cette zone Classer une zone AUH cela signifie que le Conseil Municipal garde la main sur le devenir de cette zone Mme BOUDESSEUL se d clare ravie que tout le monde s empare du d veloppement durable l occasion du PLU Concernant les nuisances sonores elle indique que la Municipalit a eu connaissance d une cartographie du bruit dans la Commune r alis e par Tour s plus qui montre que la Commune est de ce point de vue privil gi e La zone la plus impact e du point de vue du bruit est le secteur du lac par ailleurs tr s localis e Cette cartographie d montre que les constructions r centes n ont pas entra n de nuisances sonores Par rapport l usage de la voiture et aux missions de CO2 elle rappelle que les zones
17. ements sociaux sortiront de terre M le Maire r pond que sur l tude de la Gare il est tout fait normal qu il ne l ait pas Il demande M BEGAUD de souffrir que l ex cutif municipal finisse d tudier une situation avant de la pr senter l opposition Il ajoute qu il ne conna t pas le bouclage financier exact de cette op ration et ne va pas venir pr senter un dossier dont beaucoup de param tres sont encore en suspens Il est de la responsabilit de l ex cutif de mener terme la r flexion avant de diffuser les l ments l ensemble des lus et de la population Il lui demande d tre patient d ici quelques semaines il aura toutes les informations attendues sur le projet de la Gare M le Maire dit qu il ne sait pas s il fait des proc s d intention mais il est s r que M BEGAUD ne l coute pas Il lui dit avoir assum ce soir le fait que la Municipalit a fait une pause dans les constructions entre 2008 et 2012 Car avant de faire du logement l quipe municipale voulait tre s re de l endroit o il fallait le faire de la logique g n rale dans laquelle cela s inscrivait avoir commenc la mise niveau des quipements Donc la strat gie est totalement assum e et il n y a pas de double langage M le Maire dit qu il assumera le moment venu devant les lecteurs le fait d avoir pris ce temps de pause qui avait t annonc Bien s r la contrepartie c est que le retard qui p
18. ence avait t act soit pour une r gie ou une d l gation de service public Compte tenu de la fin de la DSP en fin d ann e 2012 la question s est pos e du mode de gestion de l eau D autant plus que le Pr fet dans le cadre du sch ma d partemental de coop ration intercommunal avait voqu un district de l eau sur l agglom ration tourangelle Elle ajoute que la Municipalit a poursuivi cette r flexion et que la r ponse faite au journaliste qui l a interrog e tait que la ville prenait un an de r flexion suppl mentaire avant de partir soit sur une d cision de DSP classique ou sur une r gie Elle ajoute que la r flexion en cours permet de constater que le syst me actuel fonctionne plut t bien mais il est souhaitable de conna tre les avantages et inconv nients d une r gie Le CTP qui se r unit prochainement se prononcera sur un renouvellement de la DSP pour une dur e de 8 ans Mais avec la possibilit de sortir de cette DSP de mani re anticip e dans le cas ou une r flexion collective aboutirait Elle ajoute que cette r flexion est partag e par beaucoup de Collectivit s Le CTP est effectivement sollicit conform ment la proc dure de d l gation de service public pour formuler un avis sur la gestion du service de l eau Cette consultation obligatoire pr c de la saisine du Conseil Municipal Ce dernier aura se prononcer sur ce dossier le 23 novembre prochain gt M FORTIN formule la qu
19. estion suivante Suite des am nagements dans le centre bourg LE BALLATEDO des riverains nous signalent toujours des probl mes de s curit pour acc der la voirie entre autre et surtout pour des personnes mobilit r duite Nous esp rons que cette extension sur le domaine public est r glementaire Mme BOUDESSEUL conc de qu il y a eu un petit d calage entre la r alisation de cette extension et les am nagements n cessaires pour garantir la bonne circulation des pi tons Toutefois tout est rentr dans l ordre rapidement Elle ajoute que les d marches d autorisation ont t r alis es par le propri taire et qu elle rencontrera l architecte des b timents de France dans les jours qui viennent pour aborder les ventuelles questions Elle compl te sa r ponse en disant que la Municipalit aborde ce dossier et les autres avec le souci du maintien de l activit et du commerce local dans un contexte marqu par plusieurs fermetures en centre ville M FORTIN souligne qu il sollicitait une r ponse sur l accessibilit le reste constitue l affaire des services de l Etat gt M FORTIN demande qui est actuellement le pr sident du SIGEC M le Maire r pond que le Comit syndical ne s est pas r uni depuis le dernier Conseil Municipal Il pr cise que le r gime de la d mission des Maires est celui qu il convient d appliquer la d mission ou au renouvellement d un pr sident d EPCI aucun dispos
20. itif sp cifique diff rent n tant dict concernant l autorit ex cutive intercommunale Ainsi conform ment l article L5211 2 du CGCT le Maire continue l exercice de ses fonctions jusqu l installation de son successeur Dans le cas pr sent le Pr sident sortant assure la fonction de Pr sident du SIGEC dans l attente d une nouvelle d signation par le Comit syndical le 19 novembre prochain assurant ainsi la continuit de l action du syndicat M LABES d clare en tant qu lu de la majorit souhaiter que Mme BOUDESSEUL succ de M le Maire la t te du SIGEC compte tenu du fait qu elle est la premi re adjointe de la Commune la plus importante de ce syndicat Il souhaite donc avec d autres que le Comit syndical la porte sa pr sidence M FORTIN pense que c est l le r le du Comit syndical 12 Mme RAGUIN d clare qu elle pr sente galement sa candidature la pr sidence du SIGEC en souhaitant que la d mocratie passe Elle d sapprouve la d claration de M LABES en disant qu elle aurait pr f r que cette lection soit neutre M le Maire dit que M FORTIN a raison de rappeler que c est le Comit syndical du SIGEC qui lira le moment venu son Pr sident ou sa Pr sidente Cela n emp che pas un lu du Conseil Municipal d exprimer une pr f rence En ce qui le concerne il consid re qu il y a un accord tacite avec les Communes partenaires du SIGEC pour dire qu il est
21. ixe les limites de la ville qui conservera un visage p riurbain La question des terres agricoles a t une question importante car l activit agricole peut favoriser les circuits courts avec des produits de qualit En la mati re la politique municipale rejoint les orientations communautaires avec un d veloppement venir des activit s de mara chage dans la vall e du Cher Ces limites pr servent galement la trame verte et bleue La deuxi me garantie consiste pouvoir accueillir de nouveaux habitants sans talement Elle se concr tisera avec la priorit accord e au quartier Gare qui offre la fois des espaces en centre ville et une gare et avec la fin de la taille minimum des parcelles pour construire Enfin la troisi me garantie vise mettre tout en uvre pour une ville anim e et de qualit Cela se traduit par la valorisation des zones d activit s la mise en uvre du centre ville pour tous le d veloppement des transports en commun dessertes Pasqueraie route de Savonni res et Mir la conservation des poumons verts au c ur de la ville Mme RIBETTE voque les avis avec r serves du Service d partemental de l architecture et du patrimoine ainsi que celui du Conseil G n ral et demande des pr cisions M SAUTEJEAN pr cise que ces deux institutions ont mis un avis favorable sur le PLU et qu il a t r pondu aux r serves formul es Pour le SDAP la r gle de recul des constructions a t int gr
22. l Il souligne qu il existait dans les cartons la possibilit d aller assez vite sur le projet de la 3 tranche de la Pasqueraie des logements seraient en train de sortir de terre et la Municipalit ne l a pas fait Et c est un fait Il est donc difficile de dire que l quipe municipale se rue corps perdu dans une croissance forcen e de population C est tr s exactement le contraire M le Maire ajoute qu en la mati re M FORTIN avait lors d un pr c dent Conseil reproch de ne pas avoir le courage de poursuivre la Pasqueraie de construire BALLAN MIR M le Maire dit M FORTIN qu hier il craignait une Mairie immobile incapable de prendre en compte les n cessit s d mographiques et aujourd hui il dresse le tableau inverse d une Mairie qui va noyer BALLAN MIR sous un afflux incontr l de population M le Maire poursuit en expliquant que la ville aurait beaucoup de mal gagner 5 000 habitants en quelques ann es car malgr la croissance soutenue des zones pavillonnaires dans les ann es 1980 2000 la population n a pas augment dans des proportions quivalentes Il ajoute qu entre le recensement de 1999 et de 2006 la ville a gagn 700 habitants alors qu il y a eu la r alisation de la Pasqueraie Cette situation s explique par la diminution constante du nombre moyen d habitants par foyer en raison des d cohabitations et de la r alit conomique du prix des terrains BALLAN MIR
23. mmissaire enqu teur Il s agit l d une d marche citoyenne qui correspond la ma trise collective du sol Le PLU revient donc devant le Conseil municipal avec les l ments de cette enqu te publique pour adoption d finitive M le Maire indique qu il va pr senter le PLU avec M SAUTEJEAN et Mme BOUDESEUL qui ont t les chevilles ouvri res de ce dossier ainsi que Mme JAVELOT et tous les lus qui ont contribu la r flexion dans les groupes de travail et commissions qui ont rythm ces 4 ann es de travail Il ajoute que la pr sentation s appuiera davantage sur les valeurs sous jacentes au PLU que sur la dimension technique du dossier M le Maire rappelle que lors de la campagne lectorale des municipales de 2008 lui m me et son quipe avait pos et partag avec les Ballanais un diagnostic sur la situation urbaine de la Commune Ce diagnostic actait que BALLAN MIR avait connu une progression assez soutenue des constructions au cours des deux d cennies pr c dentes qui avaient fait passer BALLAN MIR d un village d un gros bourg une ville moyenne de 8000 habitants Que cette progression s tait r alis e au travers d une s rie de lotissements mais d une fa on insuffisamment ma tris e et contr l e Il avait donc t mis l id e dans cette campagne qu il serait important de se poser et d inscrire le visage futur de la Commune dans un sch ma d ensemble qui permette de penser la pours
24. mps l quipe municipale veut pr server l quilibre qui est l origine de la raison pour laquelle la plupart des conseillers municipaux sont venus habiter BALLAN MIR c est dire un bon quilibre entre les avantages de la ville et la pr sence de la nature Cet quilibre se traduit dans une d cision tr s simple qui est de dire que la priorit strat gique des ann es qui viennent c est la ZAC de la Gare Si cette derni re peut tre lanc e rapidement ces 400 logements r pondront pour l essentiel aux objectifs du PLH Il sera possible c t d ouvrir partiellement d autres zones pour des petites op rations si cela s av re n cessaire La Municipalit n a aucunement l intention de produire ces 1 800 logements dans les ann es venir M le Maire r pond M BEGAUD sur l tude de centralit qu il ne s agit pas d une tude qui dit o il faut construire Il s agit d une tude command e pr alablement au PLU et sur le positionnement d quipement de centralit Il s agit plut t d une r flexion architecturale paysag e environnementale au sens de l esth tique et de l identit du centre ville Par exemple dans ce rapport il y avait des l ments sur le mobilier urbain sur l am nagement et la circulation dans le centre bourg Certaines pr conisations ont t reprises dans le projet Un centre ville pour tous M le Maire explique que cette tude n a pas t
25. ocuments n cessaires aux op rations et d poser et d livrer le permis de construire La d lib ration est adopt e l unanimit 6 Acquisition de la parcelle cadastr e D n 1 026 au lieu dit la Fosse Miolet Mme BOUDESSEUL rapporte que lors de la construction de l autoroute A85 la soci t COFIROUTE a acquis des parcelles de terre de culture sur le territoire de la Commune de BALLAN MIR pour la r alisation de cet ouvrage ainsi que pour les r tablissements de voiries qui le franchissent La parcelle cadastr e section D n 1 026 d une contenance de 250m situ e au lieu dit La fosse Miolet au droit du carrefour du CR n 74 et de la RDS reste l issue de la livraison et mise en service de l autoroute hors des emprises fonci res de COFIROUTE De ce fait la soci t COFIROUTE propose de c der cette parcelle la Collectivit au prix de l uro symbolique les frais relatifs cette vente tant support s par l acqu reur Cette acquisition permettant la Collectivit d am liorer la visibilit et le d boucher du CR n 74 sur la RD8 il est propos au Conseil Municipal de r pondre favorablement la proposition de la soci t COFIROUTE Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r autorise l acquisition l uro symbolique de la parcelle cadastr e section D n 1 026 d sign e ci dessus et autorise Monsieur le Maire ou l Adjoint D l gu signer l acte notari
26. on tant au niveau du nombre de gobelets que du nombre de canettes qui sont remplac es par des bouteilles au format familial A compter de 2013 Tour s plus dans le cadre du plan climat d agglom ration se substituera la Commune en fournissant les gobelets aux associations qui en feront la demande Dans l imm diat et pour 2012 il est propos d accompagner l association EKIDEN dans son effort de protection de l environnement l occasion de l Ekiden 2012 hauteur de 50 du montant d achat des gobelets soit 1 375 M BEGAUD demande combien de gobelets Mme BOUDESSEUL r pond 3 000 Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r d cide d accorder l association EKIDEN une subvention d un montant de 1 375 La d lib ration est adopt e l unanimit D cisions du Maire Pas d observation Questions diverses gt M FORTIN pose la question suivante Nous d couvrons par la presse locale un projet de r gie sur l eau alors que la veille nous tions en r union de commission et pas un mot sur le sujet S il y a une v ritable id e de la Municipalit pourquoi ne pas en discuter en commission alors 11 que le sujet est abord au comit technique paritaire du 22 10 avec un choix bien dirig vers une d l gation de service public S agit il d un effet d annonce Mme BOUDESSEUL explique qu elle ne s est pas exprim e en indiquant qu un choix ou une pr f r
27. r existait avant 2008 n a pas t combl et il le regrette Mais on ne peut pas tout vouloir la fois Et aujourd hui il y a des perspectives pour tendre vers les objectifs fix s par la loi et que la Municipalit souhaite bien videmment remplir M BEGAUD fait r f rence l op ration des Petites H rissi res dans laquelle il aurait pu tre int gr des logements sociaux M le Maire constate que M BEGAUD non seulement n coute pas mais ne supporte pas de ne pas avoir le dernier mot Il lui r pond qu il ne peut ignorer le contexte de cette op ration puisqu l poque il tait premier adjoint Il lui rappelle que la recette li e la vente de l ancien terrain de football tait inscrite au budget 2008 pour 2 millions d Euros et que le montage financier de cette op ration tait finalis Ce projet a t sign dans la continuit de l action municipale pr c dente sans qu on puisse lui attribu la paternit de ce projet Il ajoute qu il n a pas souvenir l poque de la force et de la qualit de son intervention pour exiger du promoteur des logements sociaux M le Maire clos le d bat et propose passer au vote Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r d cide d adopter les modifications propos es et d approuver le Plan Local d Urbanisme tel qu il est annex la d lib ration La d lib ration est adopt e par 21 voix pour et 8 contre opposition M BEGAUD 3
28. re 20 53 logements l hectare avec les am nagements non inclus C est pour ces raisons que notre groupe ne votera pas votre PLU M BEGAUD souhaite revenir sur la d claration de Mme BOUDESSEUL concernant la r duction de la taille des parcelles et la densification sur les terrains existants et indique qu il ne s agit l que de la mise en uvre dans notre PLU des mesures du Grenelle de l environnement Il cite l article 7 du Grenelle Il regrette que le PLU n voque pas le lien entre densit et niveau de desserte des transports en commun M BEGAUD dit regretter galement l opacit qui entoure les futures d cisions qui seront prises sur la zone de la gare du centre ville en raison de la r tention d informations Il constate que la vision voqu e par M le Maire n est pas partag e par tout le monde Pour cette raison M BEGAUD indique qu il votera contre ce PLU M le Maire fait observer M FORTIN qu il combat un PLU imaginaire car s il y a un message politique central que l quipe municipale essaye de faire passer travers ce PLU c est pr cis ment celui d une ma trise du d veloppement de BALLAN MIR et le refus de partir dans une croissance de population non maitris e Il rappelle que c est le diagnostic pos en 2008 et qu un soin particulier a t mis ne lancer aucune op ration d urbanisme alors m me que comme M FORTIN l a rappel la pression importante des promoteurs est
29. s savez tr s bien que beaucoup de lotisseurs et promoteurs attendent d un il int ress le nouveau PLU de BALLAN MIR Les constructions pourraient donc se r aliser tr s rapidement sauf peut tre pour l op ration de ZAC pour laquelle il faudra un financement important de l tat Et ceci sans se soucier de la p nurie qui se fera tr s vite sentir des structures communales suppl mentaires n cessaires un bon fonctionnement de la ville Dans l ancien POS les terrains de la Salle taient gard s comme r serve fonci re avec pour projet la r alisation d quipements publics en pr vision d une extension de la Commune Or vous voulez r aliser 348 logements dans cette zone class e AUZ zone d ailleurs o les hauteurs ne sont pas d finies dans votre PLU O pourront donc se r aliser les nouveaux quipements publics qui s av reront indispensables De plus rien n est dit sur le pourcentage de logements sociaux envisag s Sur les 1 800 logements s agira t il de 30 ou plus Nous savons que BALLAN MIR affiche un l ger retard par rapport au quota de logements sociaux 18 pour 20 exig et il est question d augmenter ce quota Comptez vous taler dans le temps cette mise en conformit ou atteindre ou d passer les 30 dans les futures constructions En conclusion si le PLU permet de sauvegarder les terres agricoles ce qui est une bonne chose c est la densit des r alisations qui nous inqui te puisqu elle repr sente ent
30. ue le Syndicat Intercommunal d Energie d Indre et Loire apporte une contribution financi re pour l extension l am lioration et la mise en conformit du r seau d clairage public aux Communes membres qui ont r alis un audit de leur patrimoine La Ville a proc d en 2010 par une prestation confi e la soci t SOGREAH la r alisation de cet audit sur l ensemble du territoire de la Commune Il est donc possible d s pr sent de d poser une demande de subvention aupr s du SIEIL pour le programme de travaux de l ann e 2013 d un montant de 70 000 HT Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r autorise Monsieur le Maire ou l Adjoint d l gu signer tous les documents n cessaires la demande et au versement d une subvention relative au programme de travaux d clairage public 2013 La d lib ration est adopt e l unanimit 5 Autorisation M le Maire signer tous les documents relatifs la construction du Centre Social Monsieur LABES rappelle au Conseil Municipal qu il a t d cid de proc der la construction d un nouveau Centre Social sur le site de Bois Brul Monsieur le Maire sollicite l autorisation du Conseil Municipal pour signer tous les documents n cessaires l op ration et pour d poser et d livrer le permis de construire Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r autorise Monsieur le Maire ou l Adjoint d l gu signer tous les d
31. uite aux premiers mois d exploitation il convient d tablir dans une charte de d ontologie les r gles d utilisation du fichier L Etat souhaite s assurer de l approbation par l ensemble des partenaires de la charte de d ontologie ce qui a t valid par le comit de pilotage d partemental relatif au fichier partag qui a t install le 4 juillet 2012 Le Conseil Municipal apr s en avoir d lib r approuve la charte de d ontologie relative au fichier partag de la demande locative sociale en Indre et Loire et autorise M le Maire ou son repr sentant signer tout document relatif la pr sente d cision La d lib ration est adopt e l unanimit 9 Autorisation M le Maire pour signer le refinancement du pr t Caisse d Epargne BONIFIX EURO II n 0800800 M le Maire expose qu en 2003 la Ville de BALLAN MIR a contract un emprunt BONIMIX de 2 750 000 aupr s de la Caisse d Epargne r parti en 2 tranches une tranche A de 900 000 dont le taux d int r t correspondait l Euribor 6 mois assorti d une marge de 0 07 une tranche B de 1 850 000 dont le taux d int r t pouvait tre o un taux fixe de 4 si le taux de r f rence Euribor 12 mois tait inf rieur 4 50 o un taux correspondant l Euribor 6 mois dans l hypoth se o cet index serait sup rieur 4 50 La Caisse d Epargne propose de ren gocier le pr t BONIFIX EURO II n 080080
32. uite des futures constructions mais aussi l id e de la 2 mise niveau pr alable des quipements culturels sportifs d accueil de la petite enfance n cessaires l accueil d une population nouvelle Enfin d inscrire cette d marche dans le respect de l identit ballanaise fond e sur un quilibre entre espaces construits et espaces naturels et bois s M le Maire en revenant pour la troisi me fois devant le Conseil Municipal apr s le PADD et l arr t du PLU pour voquer ce document souhaite faire partager les trois engagements majeurs qui ont t tenus Le premier c est la pause Elle a t tenue hors bien s r quelques constructions individuelles autoris es par le POS Aucune op ration d am nagement n a t conduite dans cette p riode La troisi me tranche de la Pasqueraie n a pas t r alis e dans le respect de cet engagement Le deuxi me c est la mise niveau pr alable des quipements Depuis 2008 la Municipalit a r alis le multi accueil le restaurant de l cole maternelle le city stade la construction d un nouveau centre social est engag e et l entr e dans Tour s plus permettra la r alisation d un espace culturel qui comprendra une m diath que et une salle de spectacle Le troisi me c est travers pr cis ment la r alisation de PLU de s tre dot d un sch ma d une vision qui permet d inscrire le d veloppement de BALLAN MIR po
33. ur les 10 ou 15 ans qui viennent Les futures zones de construction sont identifi es dans quels quilibres avec quels quilibres strat giques nature commerces emplois habitat transports M le Maire compl te en disant qu il tenait r affirmer ces convictions car parfois les d bats peuvent tre tr s techniques mais il ne faut pas oublier que le PLU est un exercice de ma trise collective du sol M SAUTEJEAN se dit satisfait de voir l ach vement de ce travail de longue haleine Il rappelle les principales tapes du PLU et souligne la derni re qui consistait en une derni re phase de concertation articul e autour d une part l enqu te publique et d autre part l avis des personnes publiques associ es Concernant ces derni res 19 avis positifs ont t rendus sur 22 exprim s Pour ce qui concerne l enqu te publique l ensemble des requ tes des Ballanais ayant re ues un avis favorable du commissaire enqu teur a t int gr au document final M SAUTEJEAN rappelle que le PLU est un outil qui permet la pr servation de l identit Ballanaise voqu e par M le Maire ainsi que la trame verte et bleue Il souligne par ailleurs la d marche de protection du patrimoine local avec 46 sites ou propri t s qui sont identifi s et qui seront pr serv s Mme BOUDESSEUL veut insister sur le visage de la Commune dans les ann es venir et sur trois garanties apport es par le PLU La premi re est que le PLU f
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