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La lettre des CCATM - Inter

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1. Les mots utilis s pour qualifier ces beaux paysages font r guli re ment r f rence au bien tre au res sourcement et au r ve s r nit qui tude naturel nostalgie paisible calme retraite etc Des lieux l cart de la comp tition des conflits de l agitation du brou haha de la vie sociale D ailleurs la vie est peu pr sente sur les photos pas d humains pas d animaux ou tr s peu pas de v hicules C est comme si d s qu on parlait de beau paysage il fallait qu on se retrouve en face de quelque chose de vierge de presque irr el La lettre de CCATM 9 Terrain de r flexion Paysages ne pas toucher Cet Observatoire lieu d expression citoyenne t moigne de l inqui tude exprim e par de nombreux Wallons face aux mutations paysag res dont ils sont les t moins Beaucoup de participants adoptent des paysages qui Selon eux subissent une pression d origine anthropique ou naturelle per ue le plus souvent comme une menace mais parfois aussi comme une opportunit Parmi les pressions les plus souvent cit es on retrouve l extension de l habitat en zone rurale lotissements le d veloppement des infrastructures routi res et les projets de l industrie extractive Certains sites pr sentant une valeur patrimoniale culturelle ou cologique certaines m ritent effectivement d tre mis sous cloche Mais dans d autres cas est c
2. ch ant l mergence d une critique constructive sur la dimension paysa g re de diff rents projets Quand on parle de paysage on voque souvent le beau Sur le site internet de l Observatoire citoyen du paysage on observe que la majorit des participants ont choisi de suivre des paysages qu ils consid rent comme beaux Et dans la plupart des Cas ces paysages se caract risent par des vues ouvertes d gag es sur la nature et les champs sans pr sence humaine Ces choix t moignent d une vision esth tisante empreinte de ro mantisme Les codes utilis s sont ceux d une peinture r ussie harmonie va ri t quilibre entre les l ments b tis et v g taux etc Quand on voque avec lui la notion de paysage le public se repr sente en effet rarement des vues ferm es ou des tendues urbanis es industrielles Et encore moins des ensembles caco phoniques peu structur s consid r s comme laids Et pourtant les pay sages industriels ne peuvent ils pas tre beaux eux aussi Beau dans le sens de captivant impression nant Les friches et autres sites d int r t conomique d saffect s ne rem portent pas davantage de succ s Peu de citoyens semblent s int resser l volution de ces paysages d gra d s qui pr sentent pourtant dans de nombreux cas un haut potentiel de re valorisation de restauration ou m me de cr ation d un nouveau cadre de vie
3. avec son paysage un rapport sur le mode de l appartenance Difficile donc d accepter et d admettre que celui ci puisse un jour changer Sortir des oppositions de principe pas accepter n importe quoi L Observatoire citoyen du paysage est un outil qui assure une certaine vigilance par rapport ce que le paysage traduit comme vision soci tale la mani re dont les rapports de pouvoir sont appliqu s dans l espace L objectif est bien de partir d une d marche subjective indivi duelle accessible tous une veille photographique saisonni re pour passer une vision citoyenne inciter le public se poser des questions et passer l action Par le suivi photographique et les activit s organis es dans le cadre de ce projet l id e est d amener chaque participant renforcer sa compr hen sion du paysage prendre conscience de la dynamique constante de celui ci Une telle lecture permet de se projeter plus facilement dans le futur et d anticiper les changements ve nir coupant court au leitmotiv cela a toujours t ainsi En repla ant le paysage dans un continuum histo rique on invite les citoyens sortir des r flexes conservateurs et des oppositions de principe qui appa raissent souvent au niveau local Un constat merge de ces ren contres si la premi re perception individuelle du paysage est souvent conservatrice et esth tisante la deu xi me perception qui survient
4. lev es pour exprimer le besoin d un vocabulaire plus concret et plus pr cis avec ces lignes de force linten tion du l gislateur se perd dans le loin tain Ligne de force arrive tout droit du vocabulaire des ann es 70 et 80 qui nous a aussi l gu vecteur flux ou facteur Dans les paysages ne per oit on pas plut t des lignes de mollesse Des lignes de douceur Les lignes et les masses visibles se composent de mil lions d l ments disparates loign s les uns des autres r assembl s par l il humain en voyageant d un point un autre Notre il aime se poser sur ce genre de multi profondeur tel lement plus confortable qu un plan unique Avec la distance la nettet se perd Les c bles lignes haute ten sion arr tes de b timents rails pan neaux publicitaires m ts de signalisa tion m ts oliens sillons de labour se brouillent et se fondent Vouloir qu au del des lignes visibles dissoutes par effet optique d autres lignes fassent la loi c est forcer la r alit dans un moule c est ramener la multiplicit des points de vue un sch ma g om trique Tant qu on y est pourquoi ne pas remplacer les vues ext rieures par des posters mir L h 2 T amp Bau den PERLE Cat L acc s aux paysages Le proc d de r duction aux deux dimensions est d j entam le long de la ligne du futur RER reliant Bruxel
5. te publique sur le SDER Mercredi 20 Novembre Le permis d urbanisation Mardis du territoire 21 7 Un mardi sur deux de septembre novembre nous vous invitons entre 12 et 14h pour couter et questionner des sp cialistes de l am nagement du territoire En ces temps de r vision du CWATUPE et du SDER trois mardis s int resseront des enjeux transversaux les cir cuits courts le financement des communes les noyaux d habitat Deux autres rendez vous seront consacr s des outils cruciaux de notre am nagement la CCATM et le SDER Ces conf rences sont gratuites et ont lieu Namur dans les locaux de Mundo Namur la maison des associations Mardi 17 Septembre Noyaux d habitat e Mardi 1e Octobre La CCATM Mardi 15 Octobre Les circuits courts Mardi 5 Novembre Le financement des communes Mardi 19 Novembre Le SDER vu depuis Bruxelles S inscrire aux formations courrier lectronique s rouard iew be Formation longue repas compris 50 tarif de base courrier postal F d ration IEW Mundo Namur 30 pour les membres des associations d IEW Rue Nanon 98 5000 Namur 10 pour les allocataires sociaux fax 081 390 751 Paiement sur place uniquement Informations compl mentaires 081 390 750 D bats en Am nagement du Territoire 10 ou s rouard iew be Paiement sur place uniquement www iew be Mardis du territoire Entr e libre La lettre de CCATM 1
6. La lettre de CCATM 5 H l ne Ancion voies anciennes l int rieur de nos paysages conf re notre r gion une structure unique riche de significa tions humaines et historiques Lors de l tablissement d un p rim tre de site r habiliter ou de remembre ment urbain SAR et PRU ainsi que dans le cadre d un permis d urbani sation la petite voirie doit tre vue comme l assise des trajets de mobi lit douce qui prendront place dans le site r am nag Elle permet de faire le lien entre le futur du site et son pass Elle permet d effectuer des d placements directs efficaces en lien avec la nature Elle conf re un caract re paysager puissant et authentique au projet Une derni re r flexion pour la route le paysage n est il pas l une des seules choses qui se retrouve dans toutes les zones du plan de secteur Alors plut t que de classer toutes les prairies en pente pour pouvoir encore les montrer des petits ne veux dans quinze ans mieux vaut apprendre faire des projets au trement des projets qui travaillent avec et pour les paysages H l ne Ancion 1 Diorama d apr s le Petit Larousse Au XIXe si cle grande peinture sur toile pr sen t e dans une salle obscure avec des jeux de lumi re afin de donner l illusion de la r alit et du mouvement Le XXe si cle a vu se prolonger l art populaire du diorama tra vers les expositions de mod les r duits les
7. apr s une r flexion en groupe est souvent plus construite La question centrale devient alors la suivante comment nous citoyens pouvons nous agir au niveau local en faveur d une ges tion appropri e de notre cadre de vie appel de toute mani re vo luer qui tienne compte tant des int r ts collectifs et individuels que des sp cificit s paysag res locales Etre acteur de son paysage c est donc faire preuve de vigilance au niveau local tout en privil giant une approche constructive et soucieuse de la collectivit M Virginie Hess Paysage sous pression naturelle Les changements saisonniers obser v s dans ce site forestier situ Bo vigny dans la commune de Gouvy en sont une belle illustration Depuis quelques ann es des castors ont colonis les lieux et sont les artisans de spectaculaires modifications du paysage construction de barrage inondation de la clairi re arbres printemps 2010 printemps 2011 abattus etc t 2010 t 2011 Dave le long des voies de chemin de fer de la ligne reliant Dinant Namur linvasive renou e du Japon Fallopia japonica prend le dessus sur la ges tion de la SNCB phagocyte l espace aux d triments des autres esp ces et s impose dans le paysage t 2010 t 2011 printemps 2011 hiver 2011 re Annonce Formations en am nagement du territoire Formation longue en Am nagement du Territoire R partie su
8. dans une d marche constructive en propo sant des pistes de solution durables qui tiennent compte des int r ts des diff rents acteurs impliqu s dans le projet Chaque v cu nous lie diff remment au paysage Dans un paysage quel est le r le de celui qui regarde Prenons l exemple des oliennes pour certains celles ci n ont la plupart du temps pas leur place dans le paysage wallon Pour d autres elles sont plus d rangeantes que les pyl nes lectriques parce que d une part le mouvement des pales attire plus l attention et d autre part l il est plus habitu la pr sence des pyl nes Pour d autres encore les oliennes n crasent pas le paysage environnant quand on les voit avec un peu de recul Enfin certains pensent aussi que les oliennes peuvent s int grer merveille dans un paysage agri cole sans relief Nous attribuons aux paysages des sens diff rents en fonction de notre condition notre histoire notre position sociale et notre syst me de valeur De nombreux participants l Obser vatoire t moignent de leur attache ment l un ou l autre paysage parce que celui ci rev t une s rie de signi fications relatives leur v cu leur histoire Il s agit g n ralement de paysages v cus quotidiennement ou associ s des tranches de vie Ce paysage est en moi c est chez moi je baigne dedans il fait partie de mon quotidien l observateur entretient
9. de r f rence du paysage ce n est pas uniquement en raison de sa taille Une autre mutation claire qu elle imprime est son mouvement Presque instincti vement notre attention est capt e Ce qui augmente la place qu on leur ac corde dans le paysage L ultime aspect qui fait de l olienne une structure l impact paysager tr s important c est son esth tique Sa structure lanc e et ses pales en rotation lui conf rent une modernit totale ce qui rend son implantation dans des sites naturels ou des ensembles patrimoniaux parfois d concertante pour certains Inscrire le projet olien dans le paysage plut t que l y int grer Chaque jour davantage on cherche int grer les nouveaux projets dans le paysage Si cette pr occupation per cole partout c est dans le monde rural qu elle est suivie le plus scrupuleuse ment Il faut dire que l imaginaire col lectif continue de voir en la ruralit un espace naturel et sauvage qu elle n est en rien Le monde rural autant sinon davantage que les espaces urbani s s est le produit spatial des activit s des hommes Des champs aux haies des pessi res aux pelouses calcaires quasiment rien de ce qui constitue la campagne aujourd hui ne peut reven diquer un quelconque caract re au thentiquement naturel En tout cas en Belgique Pourtant au nom de cette vraie fausse raison on devrait figer les paysages ruraux actuels et ne plus y toucher On s interro
10. des pay sages de wallonie e La fiche Paysage dans le SDER de 1999 http sder wallonie be Dwnld Fiches Fiche 2012 pdf e www naturalengland org uk vous d voile ce qui se fait du c t de l adminis tration anglaise R flexion de terrain aia Le parc olien d Estinnes en train de se d velopper Comment dire que la paysage ne change pas Les paysages des acc l rateurs de participation contre l olien Souvent on se lamente sur l utilisation effective des proc dures de participation en Wallonie On trouve que l am nagement du territoire et l environnement m riteraient plus d int r t on d sesp re devant une implication citoyenne qu on r verait plus forte Autant d actes manqu s qui c est l que le b t blesse ne refl tent pas l assentiment v ritable de la population sur des projets mais plut t sa difficult s exprimer t t dans le processus afin d am liorer lesdits projets et peut tre viter le clash ult rieur lors que des g n rations se battues pour d mo cratiser les proc dures de remise de permis et d adoption de plan que le Droit leur a finale ment donn raison il est frustrant de constater l insucc s g n ralis des proc dures Mais s arr ter ce constat serait partiellement incom plet Dans la foultitude des types de projets wallons certains suscitent en effet un int r t remarquable de la population porcheries industrie
11. diam tralement oppos es ancienne carri re du Rocher Lombot Mont Sur Marchienne photographi e par un certain Pascal passionn de paysages qui poste ses magnifiques images en acc s public sur https picasaweb google com 101195241239635894319 Le site est r pertori pour son grand int r t biologique SGIB n 2129 http biodiversite wallonie be Le lieu se confond avec le paysage S habituer penser que le paysage est partout et constitue bien plus qu une belle image voil qui ne sera pas facile certains Cela s av re pourtant indispensable si l on veut aller vers une meilleure prise en compte des paysages dans tous les projets d am nagement ontempler un panorama ex ceptionnel en se juchant sur un mirador de chasse ou sur une aire d autoroute quoi de plus pratique Lorsque cet angle de vue est le seul qui subsiste parce que le site est cern d environs b tonn s asphalt s ratibois s par des coupes blanc ou d nud s coup d herbi cides le pratique et l exceptionnel virent toutefois au cynique du c t obscur de la r gle du Tout ou rien Pareille situation reste heureusement exceptionnelle mais il est temps d ouvrir les yeux si on souhaite viter qu elle ne devienne banale Un paysage est un lieu composite en constante volution y compris quant ses limites g ographiques C est une vue ample et profonde en plein air avec des plans successifs Le paysage
12. s appr cie depuis de multiples points de vue y compris et peut tre surtout en bougeant D cider que les paysages sont des unit s finies hi rarchiser entre elles conduit in vitablement consid rer qu un pan de ce corpus pr sente moins d int r t Choisir quelques paysages exceptionnels pour les placer sous cloche cela a le m rite de d signer des lieux peut tre m connus mais n am liore pas leur gestion pour autant Cela conduit surtout juger le restant du territoire comme n gligeable voire inutile Dans cette logique la nature dite ordinaire et les vues moins spectaculaires se ront t t ou tard liquid es au profit du plus offrant Les paysages excep tionnels perdront de ce fait le contact avec ce qui les fait vivre c est dire avec les esp ces qui les rechargent en biodiversit et les lieux naturels qui leur donnent acc s Si vous tiez un de ces fameux sanctuaires comment entretiendriez vous un cosyst me riche en biodiversit en tant priv de votre voisinage moins extraordinaire Comment feriez vous pour maintenir au fil des ans votre int r t paysager A vouloir pr server sur notre territoire des sites d exception nous travaillons leur perte Mettez vous la place des d cideurs cette s gr gation n est elle pas bienvenue ne vous autorise t elle pas de facto laisser faire peu pr s n importe quoi jusqu au bord de l crin de ces bijoux Faute d
13. 2
14. BELGIQUE BELGIE PP 5000 NAMUR 1 P 904 156 Les Paysages Les lecteurs fid les de La Lettre des CCATM se souviendront qu un jour d automne 2009 ils virent arriver le n 53 consacr au paysage Un sujet au singulier qui quatre ans plus tard devient pluriel SE Nous vous proposons cette fois de r fl chir ces lieux d inte raction entre projet et environnement capables de bien plus de choses que de jouer les d cors Fa onn s par les interventions humaines et la nature les paysages se transforment jour apr s Jour et n existent que parce qu ils sont regard s Mais disposons nous des bonnes cl s de lecture La Lettre des CCATM Nouvelles de l urbanisme de l am nagement du territoire et de la mobilit est une publication de la F d ration Inter Environnement Wallonie qui f d re les associations environnementales actives en R gion Wallonne Les r dacteurs Abonnez vous La Lettre Prix 10 l abonnement annuel frais d envoi pour 6 num ros verser au compte d IEW 523 0802024 06 avec la r f rence Lettre CCATM F d ration Inter Environnement Wallonie Tel 081 390 750 Fax 081 390 751 e www iew be Coordination Pierre TITEUX R daction H l ne ANCION Benjamin ASSOUAD Virginie HESS Celine TELLIER Comit de r daction Xavier DE BUE Direction de l urbanisme et de l architecture de la DGO4 Charlotte DEMULDER prospectiviste et am nagiste Mich
15. ande soit pr alablement soumise aux mesures particuli res de publicit d termi n es par le Gouvernement ainsi qu la consultation obligatoire vis e l article 4 alin a 1er 3 lorsqu il s agit d actes et travaux vis s au 1er alin a 1er 1 2 4 5 7 et 8 et qui soit respectent soit struc turent soit recomposent les lignes de force du paysage le permis peut tre accord en s cartant du plan de secteur d un plan communal d am nagement d un r glement communal d urbanisme ou d un plan d alignement Cet article 127 fait de tout lieu situ sur le sol wallon un paysage De quelle mani re y parvient il En dic tant une r gle relative au paysage sans pr ciser les endroits o elle s appliquerait ou ne s appliquerait pas Cette r gle c est la condition visant le respect la structuration et la recomposition des lignes de force du paysage gt Pour le l gisla teur il y a du paysage partout sinon il aurait crit a condition qu il y ait un paysage et pr vu une liste consulter pour v rifier si l endroit o l on se trouve est bien un paysage Il y aurait alors une condition dans la condition M ditons quelques instants sur ce mantra fascinant les lignes de force du paysage Le code ne d fi nit pas cette expression Lors de la consultation de 2011 12 pr parant l valuation et la r vision du CWA TUPE de nombreuses voix se sont
16. e label de qualit v ye les paysages secondaires Rien ne vous emp che de transformer la Wallonie en diorama o le paysage exceptionnel est un d cor fig un joli fond pour vos projets Au del aucune r flexion n est exig e dans la proc dure Pensez ces vues que vous aperce vez par vos fen tres aux paysages que vous traversez lors de vos d pla cements une telle hi rarchisation les classerait probablement comme banals Pourtant vous y puisez chaque jour de l entrain du ressour cement et votre appartenance un lieu Quelles grilles de lecture sont dis position des autorit s pour appr cier ces r alit s La Convention de Florence Visionnaire la Convention de Florence a pressenti d s l an 2000 que l avenir des paysages tait en jeu et que leur futur ne passait plus par la sanc tuarisation ou le classement Elle a pos de nouveaux param tres Elle promeut la n cessit de nommer et d identifier tous les paysages sans tablir de comparaison de valeur entre eux Elle introduit la notion de Landscape Character qui peut se traduire par caract re du paysage nature du paysage caract ris tique du paysage ou trait parti culier du paysage Ces variations renvoient une relation forte entre le paysage sa nature intrins que et ses traits marquants La lettre de CCATM 3 Selon la Convention chaque pay sage est un tout qui d passe laddi tion de s
17. e d une de nos associations membres et vous souhaitez vous joindre au conseil associatif qui participera l laboration de cette position d IEW Signalez vous Virginie Hess v hess iew be sans attendre Qu est ce qu un paysage La notion de paysage recouvre de nombreuses significations r sultat de l action conjointe de l homme et de la nature perception visuelle qu un observateur a de son environnement vue d ensemble que l on a d un point donn etc Une d finition aujourd hui largement partag e semble regrouper ces diff rentes acceptions Il s agit de celle contenue dans la Convention europ enne du pay sage ou Convention de Florence adopt e par le Conseil de l Europe en 2000 Selon cette d finition le terme paysage d signe une partie de territoire telle que per ue par les populations dont le caract re r sulte de l action de facteurs naturels et ou humains et de leurs interrelations Prochaines activit s autour de l Observatoire citoyen du paysage Exposition Arr ts sur paysages 2 ans de regards citoyens sur le cadre de vie Tournai Espace Wallonie Rue de la Wallonie 19 du 3 avril au 16 mai Li ge Espace Wallonie Place Saint Michel 86 du 22 mai au 20 juin Caf citoyen Les paysages du Tournaisis Tournai Espace Wallonie Rue de Wallonie 19 Mai 2013 date pr ciser Conf rence d bat avec Dimitri Belayew Evolution des territoire
18. e r ellement une solution que de vouloir tout prix conserver l existant alors que le changement est terme in vitable Si certaines craintes et ou opposi tions sont argument es et r fl chies d autres r actions manent d une vi sion quelque peu conservatrice voire sanctuarisante du paysage Cela a toujours t ainsi il n y a donc au cune raison pour que a change Or le paysage dont on a h rit est il un paysage ternel Le paysage n est il pas par excellence en mou vement perp tuel Un paysage c est l ge du pays quand nous y sommes dit Jean Royer essayiste po te et romancier qu b cois Si l on prend conscience des facteurs mat riels et culturels qui marquent cette volution constante moyens de transports et de communication enjeux nerg tiques rapports de force valeurs soci tales dominantes etc on ne consid re plus le pay sage comme un donn naturel a priori mais bien comme quelque chose de La lettre de CCATM 10 construit Ce qui permet de passer du cela a toujours t ainsi le pay sage est le r sultat de et donc nous citoyens avons une capacit Certains citoyens privil gient cette at titude proactive et positive par rapport l volution de leur cadre de vie Au lieu de s opposer par principe tout projet d am nagement qui porterait atteinte leur environnement ils es saient au contraire de s inscrire
19. es parties Bien s r il r sulte de la combinaison de types de sol de la g ologie la p dologie Il se construit partir de la v g tation du relief de cours d eau et d l ments d origine humaine tels que l affecta tion des terrains le mod le agricole les agglom rations habit es les b timents isol s les structures mises en place pour permettre le transport de personnes de mati re d nergie ou d informations voies ferr es py l nes conduites canaux etc Mais l num ration de micro l ments n est qu un pr alable que la Convention subordonne aux motifs composites Ces assemblages uniques sont ce qui doit permettre de distinguer les paysages les uns des autres Malgr sa transcription en 2001 cette convention europ enne tarde se faire une place dans la r glementa tion wallonne et l on peut se deman der quelle politique d am nagement elle oriente aujourd hui L Atlas des paysages de la CPDT Assumant le devoir d inventaire avec le menton relev la Conf rence per manente de d veloppement terri torial r gion wallonne publie l Atlas des paysages une vaste campagne mise sur pied en 2007 par la Wal lonie qui s appelait encore R gion wallonne Le produit palpable ce sont les volumes publi s con us comme des outils d aide la d ci sion dont le contenu la fois acces sible et plaisant s appuie sur une so lide base documentaire de plus en plus participati
20. ge Par ailleurs la prise en compte des paysages devrait tre davantage fonc tion de l enjeu Toute modification du paysage ne doit pas tre appr hend e avec la m me s v rit Quand ces modifications sont dict es dans l int r t g n ral il faut savoir les accepter plus facilement L olien est clairement dans ce cas eu gard les enjeux ner g tique et climatique La question qu il faut se poser n est donc pas Doit on accepter l olien sur le territoire mais bien Comment l olien doit il venir se placer sur le territoire C est tout le sens d ailleurs du package olien que le Gouvernement wallon est en train de r actualiser cadre de r f rence cartographie d cret Les mutations non int grables qu apporte un projet olien au paysage rendent inadapt e la notion d int gration dans le paysage L expression l inscription d un projet olien dans le paysage semble plus appropri e Il faut cesser l hypocrisie Le ph no m ne olien change le paysage Mais est ce un mal pour autant que cette inscription soit faite le mieux possible Inscrire les oliennes dans le paysage c est faire en sorte qu elles dialoguent harmonieusement avec le paysage existant en soulignant par exemple distance tel trait de caract re ou telle ligne de force En tout cas c est la conviction qu en tant qu observateur attentif du d ve loppement du territoire wall
21. il y a du paysage partout a va tre le d sordre le plus total Je m en vais voir mon petit CWATUPE on verra bien ce qu il en dit Notre Code wallon de l am nage ment du territoire de l urbanisme du patrimoine et de l nergie tou jours en attente de r vision an nonce en son article premier para graphe premier que le territoire de la R gion wallonne est un patrimoine commun de ses habitants La R gion et les autres autorit s publiques rencontrent de mani re durable les besoins sociaux conomiques ner g tiques de mobilit patrimoniaux et environnementaux de la collectivit par la gestion qualitative du cadre de vie par l utilisation parcimonieuse du sol et de ses ressources par la perfor mance nerg tique de l urbanisation et des b timents et par la conservation et le d veloppement du patrimoine culturel naturel et paysager Dans cet article le patrimoine paysa ger ressemble un secteur choyer dont la protection et la fructification permettraient toutes nos autori t s de rencontrer durablement les besoins divers et vari s de la collec tivit Mais le texte se r serve quant la m thode observer On remar quera encore que le Code distingue le naturel et le culturel du paysager Au paragraphe 3 de Particle 127 du Code r serv aux autorisations rele vant de la comp tence du Gouver nement ou du fonctionnaire d l gu pour autant que la dem
22. iques nettement d finissables A me ner une analyse paysag re objective c est bien l dessus qu il s agit d op rer Les facteurs qui font le paysage sont les suivants Les lignes de force Elles constituent lossature d un paysage S imposant l il elles donnent au paysage son dynamisme lignes verticales bris es ou sa tranquillit lignes horizontales continues Les points d appel Des l ments par leur chelle ou leur verticalit se d tachent de l arri re plan De nature diverse arbre clocher pyl ne ils sont visibles de loin et sous diff rents angles Les pleins et les vides Ils donnent Corps au paysage par leur succes sion qui rythme l espace Les pleins donnent des espaces ferm s pro curant un sentiment d intimit Les vides provoquent des ouvertures Les textures Les mati res conf rent au paysage une composante pal pable Du granuleux au velout du stri au moutonn les l ments du paysage pr sentent tr s diff rem ment La lumi re et les couleurs Chan geant selon la temporalit la lumi re et les couleurs renforcent les lignes de force et mettent plus en vidence l un ou l autre d tail La distinction entre perception du paysage et r alit physique du ter ritoire est donc forte Des r alit s structurelles essentielles du territoire peuvent para tre quasi invisibles au niveau paysager Des l ments insi gnifiants du territoire pe
23. le FOURNY Environnement Dyle Benoit GERVASONI juriste DGO4 Bertrand IPPERSIEL Responsable de projet Am nagement du Territoire Mobilit et SIG de l Institut de Conseil et d tudes en D veloppement durable G rard JADOUL Solon ancien pr sident d IEW Luc MAR CHAL ancien inspecteur g n ral de la DGO4 ex DGATLP Dani le SARLET Secr taire g n rale m rite du Service Public de Wallonie Pierre VANDERSTRAETEN sociologue urbaniste et architecte Chantal VINCENT architecte urbaniste Mise en page Isabelle Gillard Photos Fotolia sauf cr dit La copie est autoris e et encourag e moyennant mention de la source Photocopi sur papier recycl Avec le soutien de Wallonie Editeur responsable Christophe Schoune Rue Nanon 98 5000 Namur K Br ves Bient t une position Paysages d IEW Partant du constat que d une part les diff rentes approches techniques scien tifiques ou participatives appellent des r sultats plus concrets sur le terrain et que d autre part les nombreux citoyens impliqu s dans l Observatoire du Paysage s interrogent sur les relations entre paysages et temporalit et donc sur le c t dynamique de la notion de paysage la F d ration Inter Environnement Wallonie souhaite amener les responsables politiques repenser la mani re dont ils int grent les paysages dans leurs d cisions Une position sur la question va donc tre prochainement d finie Vous faites parti
24. les Namur voir encadr Pourtant le train est un moyen de d couvrir les paysages de s en sentir partie prenante En plusieurs endroits de Wallonie il n y a que lui qui passe Sur le trajet le long de la Vesdre entre Angleur et Pepinster chaque sortie de tunnel c est un merveillement pour les passagers exp rimenter tant que la ligne existe Autre exemple de d cou verte de paysages imprenables sur la ligne de l Ambl ve le lieu dit Congo dans la commune de Stou mont Selon la l gende il devrait son nom au fait que les l ments de la voie ferr e ont t achemin s pied sur la t te de porteurs travers la for t Les sentiers et chemins vicinaux permettent une fr quentation in time des paysages Ils procurent la sensation in gal e d tre dans le paysage et m me de se confondre avec lui Entretenir le r seau public de petite voirie rend chaque ci toyen un service aujourd hui bien trop sous estim Outre la capacit de se d placer la pr sence de ces Ta LES z a e T o do et A Le paysage urbain ne manque pas toujours de profondeur ni de verdure ni d esp ces indig nes Les frondaisons abondantes du Square L opold Namur en septembre 2012 avec l arri re plan le long b timent de la gare des bus et sur la droite l dicule du tourisme En avant plan la voirie carrossable tr s fr quent e Dans le plan interm diaire du parking sauvage
25. lles centres commerciaux et oliennes Pour ces projets l utilisation des proc dures formelles de participa tion est totale On y adjoint m me dans une optique maximaliste de contestation tout va de l agitation avant le lancement de toute proc dure formelle des rencontres avec les politiques et le cas ch ant dans une phase ultime des recours en justice Sans ouvrir le d bat sur le bien fond de l olien comme source d nergie renouvelable propre et ma tris e d bat qui a t tranch dans un sens tr s clair par les pouvoirs publics lors de leurs choix nerg tiques fai sons plut t un peu d am nagement du territoire et int ressons nous l argument essentiel des anti oliens le paysage Car soyons honn tes si cet argument n existait pas un peu d imagination le ministre Henry et le Conseil d Etat passeraient ils autant de temps plucher des dossiers o liens en recours On peut en douter Le paysage semble en effet souvent l l ment central sinon des arguments anti oliens du moins de l intensit de l Opposition De quoi parle t on Et en parle t on bien Alors que le terme de territoire se rap porte l existant de mani re neutre ce lui de paysage est li la perception que nous en avons Si cette perception est aussi affaire de repr sentations ancr es dans la culture locale sp cifique elle d pend la base de facteurs morpho log
26. maquettes s accompagnent de personnages en trois dimensions et d l ments en relief le tout coll sur un d cor plan de fond et de sol pour entretenir l illusion d une vie en mi niature Les mille pattes les mouches et les moustiques seraient ils les derni res esp ces libres de ce grand zoo 2 Par opposition il est fait mention d une liste dans les articles 182 et 183 relatifs aux sites de r habilitation paysag re et environnemen tale d int r t r gional et de la conservation de la beaut des paysages Le Gouvernement adopte la liste des sites dont la r habilitation aux niveaux paysager et environnemental est d int r t r gional et dont il peut d cr ter d uti lit publique l expropriation vis e l article 181 3 Le photographe de Google Streetview ne se d place que sur les voies carrossables Il n a pas pu pousser son exploration photogra phique le long des voies ferr es La lettre de CCATM 6 En savoir plus e Convention de Florence texte int gral accessible sur le site du Conseil de l Europe http www coe int en cliquant successivement les onglets D mocratie Culture patrimoine et diversit La Convention europ enne du paysage e Parmi les volumes de l Atlas des paysages de Wallonie n h sitez pas com pulser le dernier n La Haine et la Sambre Il peut tre t l charg gratuite ment sur le site de la CPDT http cpdt wallonie be fr content atlas
27. on et en particulier de son quipement olien j ai pu acqu rir Benjamin Assouad Terrain de r flexion Un paysage est le fond du tableau de la vie humaine Bernardin de Saint Pierre Les grands projets d am nagement placent r guli rement la question de la pr servation des paysages au c ur des d bats Dans la plupart des cas on peut m me dire qu ils am nent au sein de la population concern e une prise de conscience du capital paysager qui l entoure Car nombreux sont les citoyens qui devant l arriv e de projets de ce type se pr occupent soudainement de leur cadre de vie consid rant le plus souvent toute modification de leur environnement comme une menace combattre Dents les citoyens wallons vivent ils ressentent ils effec tivement ces mutations paysa g res parfois l g res parfois brutales qui bouleversent la signification des lieux de vie en modifiant leur mat ria lit leurs fonctions leur identit L Observatoire citoyen du paysage mis sur pied en 2009 par la F d ra tion Inter Environnement Wallonie IEW apporte quelques pistes de r ponse ces questions Ce projet a pour objectif d inviter le public observer comprendre et analyser l volution des paysages via une veille photographique saisonni re Une mani re de prendre conscience des facteurs sociaux naturels co nomiques qui marquent cette dyna mique constante et de favoriser le cas
28. percep tible dans chaque volume Les impatients se disent que lire tout un bouquin nos autorit s ne le feront jamais Une bonne carte serait plus appropri e Mais quelle carte pro duire Maniable exhaustive lisible avec une l gende qui parvienne montrer la multitude des faci s du territoire Replongera t on dans les conflits absurdes entre usage du sol prescrit et d crit englu s entre situation de droit et de fait Se sen tira t on oblig d encore apposer des toiles hauteur des lieux dits les plus remarquables Aplatir et sch matiser une r alit minemment tri dimension nelle et mouvante ce n est pas simple titre d illustration des chercheurs flamands ont r cemment su sang et eau pour parvenir cartographier et localiser les types de paysages r gio naux lls ont leur grand tonnement trouv 39 de zones reliquats et 16 de places d ancrage Les politiques ont choisi d accorder une attention particuli re aux permis sol licit s dans les 16 trop heureux d viter par cette entourloupe de s oc cuper des 39 de zones reliquats Les restes parpill s de paysages anciens sont ainsi ramen s dans une cat gorie identique aux 45 de territoire d finitivement banalis La mise en place de cat gories bas e au d part sur une bonne intention aura fait pire que bien pour la gestion des paysages Patrimoine paysager et lignes de force Si je dois consid rer qu
29. r deux journ es cette formation longue entend accueillir la plus grande vari t de participants qu ils soient amateurs ou professionnels Le fil rouge de cette formation est le passage entre la 2 et la 3 dimension et retour De la photo au vrai paysage de la crois e de chemins empierr s au carrefour trac sur la carte Les exercices et mises en situation s attache ront d couvrir comment les images parviennent restituer la multiplicit des impressions et le mouvement Sur le plan th orique nous aborderons la participation largement tributaire de l information visuelle Qu est ce qui est r ellement pr vu dans les proc dures Nous d crypterons ensemble ce qui vous intimide ou rebute le plus le document administratif Qu est ce que ce myst rieux consid rant toujours accompagn d un obscur vu Rejoignez nous pour y voir plus clair Jeudi 2 et vendredi 3 Mai La Louvi re Jeudi 23 et vendredi 24 Mai Marche en Famenne Jeudi 27 et vendredi 28 Juin Enghien D bats en Am nagement du Territoire L am nagement du territoire est vu comme un domaine tr s complexe Ces formations de trois heures organis es en journ e Namur cherchent r pondre la demande des citoyens avides de discernement et de m thodologie Expos et d bat se succ dents avec pour objectif de mettre la port e de tous cette r glementation que nul n est cens ignorer Mercredi 11 Septembre Enqu
30. s du Condroz du 18 me si cle nos jours Fala n Ferme de Foy Rue de Foy 24 le 4 juin 19h30 une soir e orga nis e par l ADSVN en collaboration avec IEW Informations par t l phone 081 390 778 ou par e mail v hess lew be www paysages citoyens be Observatoire citoyen du paysage O La lettre en image L gerde C3 Champs cliens existante ga Umites de iots B Zore imonbe sans contrainte Texckison LA Zone bone avec Gr sence d au mins une Contraint partiala ation des 15 jomaa 2013 Concerne le nealetons er clone en canot en priae Qu en rera qu Corse Et nege valiu pergiwa Leg song foraliecs cos pet ua hiie Al empane pas T ventilation du productible par lot en G Ahian z PESE A eE Elabwation d une carte positive tr duisant ia cadre de r f rence gben actualis Estimation gun E aducible minine par tot Philippe Leune Cave Feliz Daria Agra Bar Tesh Liversi de Liga Fintor 02 5 10 15 20 aum RE a 28 f vrier 4013 SOUTC S SPA Carte des lots crois e avec la carte des zones favorables publi e le 28 f vrier 2013 La cartographie olienne vient compl ter le dispositif l gal d ve lopp par le Gouvernement Wallon pour encadrer et soutenir le d veloppement olien en Wallonie La dimension paysag re fait partie des questions de base sur lesquelles la cartographie a t labor e La lettre de CCATM 2 Le m me lieu deux vues
31. uvent l in verse par un habillage particulier to talement s imposer dans le paysage La lettre de CCATM 7 http vision large skynetblogs be general Google Earth Benjamin Assouad Le fl au de l talement urbain Waterloo B catastrophique environnementalement Le fait olien permet de saisir ais ment cette nuance entre paysage et territoire Alors que le r sidentiel wallon continue s tendre dans l indiff rence g n ralis e pr s de 1 000 km sont aujourd hui recou verts de maisons la plantation de quelques m ts oliens sur des socles artificialisant quelques dizaines de m suscite une opposition farouche L essentiel des l ments qui com posent les paysages ruraux sont d chelle humaine maisons che mins arbres Mais avec les oliennes il en est autrement Dans un environ nement rural assez homog ne une olienne cr e par rapport aux autres l ments paysagers des ruptures d chelle consid rables Il faut dire que mis part les lignes haute ten Une belle fleur Couillet Charleroi Les oliennes ne sont pas les premi res structures crever le plafond construit traditionne La lettre de CCATM 8 terrain rabant Wallon aussi imp PE N nn s erceptible au sol que sion les pyl nes relais ou les grands ponts les structures de plus de 100m de haut sont rares dans le paysage Si l olienne devient un l ment
32. ve Le mat riel tu dier extr mement riche comprend la fois les tats actuels du territoire et ses tats ant rieurs La t che d identification des pay sages est lourde et ardue car elle implique de tomber d accord Se r fugier dans les zones agraires de Christiaens e t t simpliste les artisans du SDER Sch ma de d ve loppement de l espace r gional de 1999 consid raient d j ces zones comme inad quates par rapport la pratique agricole du temps que dire alors de leur pertinence actuelle vis a vis des paysages L intelligence de l Atlas a t de repartir de z ro La lettre de CCATM 4 CL es Ci FAYS DE TERVE La caract risation des paysages identifi s est d velopp e non seulement au travers de textes mais aussi au moyen de blocs diagrammes didactiques gui en offrent une vision sch matique Une bonne simplification peut servir de point de d part pour ouvrir la discussion Ici exemple du choix fait par la CPDT de mixer la vue perspective avec l apparence na ve et sympathique d une case de BD Vous aurez reconnu le paysage bocager fortement urbanis du Plateau de Herve Cette vue est disponible sur R flexions le site de vulgarisation scientifique de l Universit de Li ge http reflexions ulg ac be cms c_15841 atlas des paysages de wallonie part 2 Sa foi dans la capacit d une r gion produire de nouvelles mani res de vivre avec les paysages est

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