Lettre n°104 (pdf, 416ko) - Service documentation
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1. lodysplasiques Acc der l tude sur le site de l Institut de veille sanitaire 2013 10 08 92p L aide humaine apport e aux b n ficiaires d une allocation de compensation du handicap L enqu te sur les b n ficiaires de l Allocation Compensatrice pour Tierce Personne ACTP et de la Prestation de Compensation du Handicap PCH permet de mieux conna tre leurs aidants qu ils soient professionnels ou non Si 88 des allocataires qui ont une aide ont recours un aidant non professionnel moins de la moiti ont recours un aidant professionnel pour les aider dans les actes de la vie quotidienne Parmi les personnes qui se font aider par un professionnel plus des trois quarts re oivent une aide domicile qu il s agisse d auxiliaires de vie ou d aides m nag res et 43 une aide par du personnel de sant Etudes et r sultats de la Drees n 855 2013 10 6p EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 3 Hospitalisation de court s jour volution des parts de march entre 2003 et 2011 La p riode tudi e 2003 2011 recouvre la fois l avant T2A son instauration progressive et une troisi me sous p riode au cours de laquelle elle est en r gime de croisi re La part de march des h pitaux publics en nombre de s jours valoris s ou non par les tarifs s est d velopp e sur la p riode au d triment des cliniques priv es Les bonnes performances du secteur publi2. ehesp fr Vous abonner Vous d sabonner a Consulter les archives de la Lettre sur le site de EHESP Pour vos recherches d information consulter le site du Service Documentation de EHESP Note pour les sources cit es Cette lettre d information a notamment pour objectif de signaler l information produite par d autres sites que celui de l EHESP Si une information de votre site a t mentionn e et que cela ne vous convient pas contactez nous par mail Bibliotheque ehesp fr EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 9
3. saisi Pierre Louis Bras inspecteur g n ral des Affaires sociales d une mission sur l utilisation des donn es de sant et plus particuli rement sur celles issues du Syst me national d information inter r gime de l assurance maladie SNIIRAM qui d crivent l offre et la consommation de soins ainsi que l tat de sant des fran ais Dans un rapport remis le 7 octobre Pierre Louis Bras rappelle les finalit s des bases SNIIRAM et PMSI et expose les difficult s actuelles juridiques et pratiques d acc s aux donn es Puis soulignant les b n fices potentiels d mocratique sanitaire conomique que l on peut attendre d un acc s au SI mais aussi les risques de m susage il revient sur les principes respecter et pr sente des propositions concr tes Acc der au rapport sur le site du Minist re des Affaires sociales et de la Sant 2013 10 07 128p La gestion du patrimoine immobilier des CHU affect aux soins La Cour des comptes a remis la commission des finances du S nat une enqu te sur le patrimoine immobilier affect aux soins des centres hospitaliers universitaires CHU en application de l article 58 2 de la LOLF Le rapport fond sur une enqu te de terrain constate que les op rations immobili res de la derni re d cennie n ont pas permis autant qu il aurait t possible la rationalisation et la r organisation de l offre de soins et le d gagement de gains d efficience au sein des tablissem
4. urgence et de ses principaux services d aval dans un m me p le valoriser en termes financiers l aval des urgences etc Acc der au rapport sur le site du Minist re des Affaires sociales et de la Sant 2013 09 30 17p Les m dicaments g n riques Les m dicaments g n riques font l objet en France de pol miques r currentes d amalgames ou de faux d bats qui sont inconnus l tranger Qu est ce qu un m dicament g n rique Pourquoi les Fran ais sont ils m fiants Comment expliquer un d veloppement qui reste nettement inf rieur en France Pour r pondre ces interrogations la mission d valuation et de contr le de la s curit sociale du S nat a organis le 19 juin 2013 deux tables rondes r unissant de nombreux acteurs concern s la premi re pour r pondre effectivement la question lancinante de l quivalence entre le m dicament d origine et ses g n riques la seconde pour valuer la politique publique poursuivie depuis quelques ann es en la mati re EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 Le pr sent rapport retrace ces d bats et pr sente des propositions afin de restaurer la confiance dans les m dicaments g n riques Acc der au rapport sur le site du S nat 2013 09 26 44p La prise en charge m dicale des personnes vivant avec le VIH Elabor par des professionnels de sant experts dans le champ du VIH avec la contribution des repr sentant
5. 009 Puis il se livre une exploration du secteur soulignant ses forces mais aussi les faiblesses les fragmentations cloisonnements et autres obstacles la continuit des accompagnements et des parcours les distorsions des politiques conduites dans la perte d autonomie ainsi qu une d centralisation mal pens e pr judiciable la coh rence des actions d ploy es sur le terrain En dernier point il ouvre des perspectives en tra ant six principales voies d am lioration toutes de nature favoriser les divers versants de l am lioration de la qualit BAUDURET Jean Fran ois GAUTHIER Pierre pr f Paris Dunod 2013 276p cote HY10 303 EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 Ma triser sa gestion du temps de direction Pour les directeurs d tablissements ou services sociaux et m dico sociaux bien g rer son temps de direction est devenu un vrai sujet de tension Aux prises avec de multiples t ches comment r pondre toutes les sollicitations et les challenges Comment ma triser son temps Ancr dans les probl matiques du secteur social et m dico social cet ouvrage propose des outils et des m thodes travers cinq chapitres Inclure le temps comme l ment cl d une direction strat gique Savoir construire et g rer son agenda Int grer la gestion des al as Mieux g rer les r unions Chasser le gaspillage Organiser son espace de travail et ses dossi
6. 012 plus de 7 500 demandes ont t trait es et la majorit des questions 85 ont t concentr es autour des th matiques suivantes Droits en tant qu usagers du syst me de sant Acc s et prise en charge des soins Situations li es au travail ou aux revenus de remplacement Acc s l emprunt et l assurance Acc der au rapport sur le site du CISS 2013 09 30 138p Quel mod le social dans 10 ans l issue du s minaire gouvernemental du 19 ao t le Commissariat g n ral la strat gie et la prospective CGSP a t charg de pr parer pour la fin de l ann e une strat gie nationale pour les dix prochaines ann es Dans le cadre de ce projet Il vient de publier 5 notes d introduction dans une d di au devenir du mod le social fran ais Apr s avoir compar ce mod le avec ceux en vigueur dans trois pays europ ens Royaume Uni Allemagne Su de il examine les pressions qui p sent sur lui et revient sur trois questions essentielles du d bat li es la solidarit au financement et l quilibre entre curatif et pr ventif Acc der la note sur le site du CGSP 2013 09 26 16p Guides Recommandations Plans Guides recommandations R f rences et recommandations pour les logements foyers Elabor et diffus conjointement par la direction g n rale de la coh sion sociale DGCS la Direction de l habitat de l urbanisme et des paysages DHUP et la Caisse nationale d assurance vieille
7. 2013 10 01 25p e Lire galement le Volume 1 Climate Change 2013 The Physical Science Basis du 5e Rapport d valuation du Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC pr sent le 27 septembre Nouvelle France industrielle 34 plans de reconqu te Au terme d un an de travail conduit au sein du Conseil national de l industrie le Pr sident de la R publique a pr sent les priorit s de la politique industrielle de la France le 12 septembre 2013 Ces priorit s prennent la forme de 34 plans dont trois concernent la sant H pital num rique Dispositifs m dicaux et nouveaux quipements de sant Biotechnologies m dicales Chaque plan est anim par un chef de projet Par ailleurs la commission Innovation 2030 a identifi dans un rapport remis le 11 octobre sept priorit s dont la m decine individualis e et la Silver Economy e Acc der la pr sentation des plans 2013 09 40p e Acc der la pr sentation et biographies des chefs de projet 2013 10 07 25p e Acc der au rapport de la commission Innovation 2030 2013 10 11 60p Livres re us en biblioth que Institutions sociales et m dico sociales de l esprit des lois la transformation des pratiques Cet ouvrage retrace tout d abord quelques points d histoire du secteur social et m dico social revenant sur les grandes volutions l gislatives et r glementaires de la loi du 30 juin 1975 la loi dite HPST du 21 juillet 2
8. E RICCARDIS Nicolas GONZALEZ Lucie Dossiers solidarit et sant n 45 2013 10 36p Plus de 700 m decins imposent aux plus pauvres des d passements d honoraires Imposer des d passements d honoraires aux plus pauvres la pratique ill gale est marginale mais bien r elle Un des volets de l accord de l Assurance maladie sur les d passements d honoraires de fin 2012 a cr une proc dure contre les pratiques excessives montants abusifs mais aussi d passements appliqu s aux b n ficiaires de la CMU C ou ceux qui ont une aide la compl mentaire sant accessible si l on gagne moins de 966 euros par mois Le Monde fr 5 octobre 2013 Pour une strat gie nationale de sant qui ne se limite pas l optimisation des parcours de soins individuels L auteur de cet article regrette que l essentiel des recommandations de la Strat gie nationale de sant SNS porte sur le syst me de soins et de protection sociale alors qu une seule m me si c est la premi re nomme en propre l objectif de promotion de la sant et de pr vention et qu aucune n est consacr e aux enjeux de sant et d environnement cinq lignes sont consacr es la sant au travail par exemple LOMBRAIL Pierre Sant publique Vol 25 n 4 2013 pp 385 388 Acc s r serv EHESP Am liorer les conditions de travail l h pital ORSOSA de la d marche de recherche l action de pr vention La qualit de vie et la sant au travail
9. Lettre d information ra in s Service documentation aucas n 104 15 octobre 2013 Articles Congr s Enqu tes tudes Guides plans Livres Rapports Zoom Chercher Le principe de pr caution quelques r flexions sur sa mise en oeuvre Un peu plus de huit ans apr s son inscription dans la Constitution quelles sont les premi res applications du principe de pr caution dont l utilisation pourrait cro tre dans le futur Ce document rappelle tout d abord que ce principe existe depuis longtemps dans le droit international sauf l OMC et figure dans le Trait de Maastricht Il voque un certain nombre d exemples d utilisation et examine ses implications juridiques notamment dans le domaine de la sant AUVERLOT Dominique HAMELIN Jo l PUJOL Jean Luc Document de travail du Commissariat g n ral la strat gie et la prospective n 2013 05 2013 09 22 p Trajectoires professionnelles et de sant et sorties d finitives de l emploi avant 60 ans L tude vise comparer les caract ristiques des personnes sorties d finitivement de l emploi avant 60 ans celles des autres personnes g es de 60 ans ou plus au moment de l enqu te Elle analyse leurs trajectoires professionnelles notamment les expositions aux p nibilit s physiques et leur dur e en portant une attention particuli re au dernier emploi exerc ainsi que les v nements de sant ayant perturb leur itin raire professionnel COLLET Marc D
10. VG L ouverture de ce site est l une des r ponses la croissance du nombre de sites internet diffusant des informations mensong res ou orient es susceptibles de compromettre l exercice du droit l IVG Il propose des informations pratiques et r glementaires co t d une IVG droit l anonymat etc et r pertorie travers un annuaire r gional les structures utiles e Acc der au site internet sur l IVG Chercher Trouver La BIU Sant adopte la Licence ouverte La Biblioth que Interuniversitaire de Sant de Paris le mus e de l cole v t rinaire de Maisons Alfort et le mus e de l AP HP placent d sormais sous licence ouverte les documents du domaine public qu ils diffusent dans la biblioth que num rique Medic et dans la banque d images et portraits Medic offre 12 500 documents en texte int gral plus de 3 millions de pages et la banque d images et de portraits 150 000 illustrations La collection Medic difuse des documents anciens monographies th ses articles p riodiques manuscrits qui sont r partis selon huit th matiques Corpus des m decins de l Antiquit M decine du Moyen Age M decins et savants Epid mies maux et maladies Histoire de la m decine et des institutions Varia R f rences Pharmacie e Acc der l article sur le blog de la BIU Sant e Acc der Medic et la banque d images et de portraits Pour toute information concernant cette lettre Bibliotheque
11. apport sur le site de l Inspection G n rale des Affaires sociales 2013 04 mis en ligne le 2 octobre 115p Zoom Lancement de deux sites internet M dicament Une base de donn es publique sur les m dicaments est accessible depuis le 1er octobre Pilot par la Direction g n rale de la sant cette base regroupe des donn es issues de l Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant ANSM de la Haute autorit de sant HAS et de l Assurance maladie CNAMTS Elle fournit des informations sur l int gralit des sp cialit s pharmaceutiques commercialis es sur le march fran ais ou dont l arr t de commercialisation date de moins de deux ans Sont pr sent s pour chaque m dicament les caract ristiques du produit le service EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 8 m dical rendu le prix et le taux de remboursement ainsi que les pr cautions d emploi e Acc der la base de donn es publiques sur les m dicaments e Mode d emploi en images de la base de donn es publique des m dicaments Interruption volontaire de grossesse A l occasion de la Journ e de mobilisation internationale des associations pour le droit un avortement l gal et s r le 27 septembre 2013 la ministre des Affaires sociales et de la Sant et la ministre des Droits des femmes ont lanc un site internet d information des femmes sur l interruption volontaire de grossesse I
12. c sont surtout dues la chirurgie et l obst trique Par ailleurs sur la p riode 2003 2011 le nombre global de s jours a augment en lien avec l accroissement et le vieillissement de la population tudes et r sultats de la Drees n 854 2013 10 8p Les comptes de la S curit sociale R sultats 2012 pr visions 2013 et 2014 Le d ficit de l ensemble des r gimes de base de s curit Sociale et du fonds de solidarit vieillesse FSV devrait s tablir 17 3 Md en 2013 apr s 19 2 Md en 2012 Le d ficit de 2013 reste tr s lev puisqu il repr sente encore pr s du double de celui de 2008 La r duction du d ficit du r gime g n ral amorc e en 2011 et 2012 conna t un coup d arr t en 2013 les recettes tant affect es par le ralentissement tr s sensible de la masse salariale Le FSV dont la situation est profond ment d ficitaire depuis 2009 verrait son solde s am liorer de 1 4Md en 2013 gr ce l apport de recettes nouvelles CSG forfait social C3S Acc der au rapport sur le portail de la s curit sociale 2013 09 376p Observatoire 2012 du CISS sur les droits des malades Cr en novembre 2006 par le Collectif Interassociatif Sur la Sant CISS Sant Info Droits est une ligne d informations juridiques et sociales disposition des personnes malades ou en situation de handicap Son gme rapport recense et analyse les interrogations et pr occupations exprim es au cours de l ann e 2
13. d Diffus par une circulaire interminist rielle 2013 351 du 26 septembre ce guide a pour objectifs de d finir les actions 2013 2014 mettre en oeuvre aux niveaux local et national pour d tecter pr venir et limiter les effets sanitaires et sociaux li s aux temp ratures de l hiver et ses aspects collat raux en portant une attention particuli re aux populations vuln rables Il prend en compte notamment les probl matiques inh rentes l acc s aux soins au logement aux intoxications par le monoxyde de carbone ou aux maladies infectieuses Acc der la circulaire sur le site L gifrance 2013 09 26 67p Plans politiques publiques Deuxi me feuille de route pour la transition cologique 50 mesures pour l cologie La deuxi me conf rence environnementale s est tenue les 20 et 21 septembre 2013 au Conseil conomique social et environnemental Elle a rassembl les parties prenantes de la transition cologique autour de cinq tables rondes Les 50 mesures de la feuille de route 2013 sont issues des travaux pr paratoires et des d bats men s au sein de ces tables rondes Une nouvelle priorit a t annonc e l efficacit nerg tique et des priorit s ont t d finies notamment dans le domaine de la politique de l eau lutte contre les pollutions nouveau plan national zones humides en 2014 et de la gestion des d chets Acc der la feuille de route sur le site du Minist re du D veloppement durable
14. des soignants en tablissements de soin est une pr occupation grandissante tandis qu ils sont confront s une intensification du travail en rapport avec les exigences de productivit le respect de proc dures et auxquels s ajoutent le vieillissement des effectifs et un risque de p nurie La premi re question est celle de la pr servation de la sant des soignants face un environnement de travail qui peut tre pathog ne LAMY S bastien Sant publique Vol 25 n 4 2013 pp 389 397 Acc s r serv EHESP EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 1 Les Agences R gionales de Sant deux ans apr s Une autonomie de fa ade Les tendances observ es dans les ARS la centralisation d cisionnelle la r duction des marges de man uvre effectives des quipes de direction la reproduction des cloisonnements au sein des organisations sont les cons quences logiques d une r forme qui est le r sultat d un compromis entre institutions nationales rivales et plus fondamentalement encore entre deux conceptions concurrentes de la gouvernance sectorielle ROLLAND Christine PIERRU Fr d ric Sant publique Vol 25 n 4 2013 n 411 419 Acc s r serv EHESP D pistage des cancers du poumon Trop d incertitudes m me chez les fumeurs Faux positifs explorations invasives diagnostics par exc s irradiations r p t es des scanners faible dose le d pista
15. ents Le d veloppement des prises en charge ambulatoires la mutualisation des plateaux m dico techniques le regroupement des fonctions logistiques la densification des surfaces existantes n ont pas t suffisamment recherch s en contrepartie des financements apport s dans le cadre des plans H pital 2007 et 2012 Il recommande donc un pilotage plus ferme de la part des instances r gionales et nationales Acc der au rapport sur le site de la Cour des Comptes 2013 10 02 115p Propositions de recommandations de bonne pratique facilitant l hospitalisation des patients en provenance des services d urgences En juin 2013 la ministre des Affaires sociales et de la Sant a confi une mission au Pr Pierre Carli Pr sident du Conseil national de l urgence hospitali re CNUH afin de formuler des recommandations de bonnes pratiques facilitant l hospitalisation en provenance des services d urgence S appuyant sur les donn es de la litt rature internationale ainsi que les travaux et r flexions nationales disponibles notamment les actes des l res assises de l urgence de SUDF et les exp riences expos es au cours du s minaire de la FHF sur Faval des urgences le Pr Carli a remis son rapport le 30 septembre dans lequel il pr sente une douzaine de mesures rendre obligatoire dans les tablissements la commission de l admission et des soins non programm s ainsi que le plan h pital en tension favoriser l int gration du service d
16. ents instruments et objectifs en insistant sur les volutions les plus r centes Probl mes conomiques hors s rie n 4 2013 09 128p Acc der au sommaire Management de la qualit de la prise en charge m dicamenteuse dans les tablissements de sant Ce hors s rie publie les interventions et changes de la journ e organis e le 27 juin 2012 conjointement avec la Direction G n rale de l Offre de Soins et la Facult des Sciences pharmaceutiques et biologiques de l Universit Paris Descartes La premi re table ronde de la journ e a t consacr e aux r les des pr sidents des commissions m dicales d tablissement dans le management de la qualit La seconde table ronde a permis des centres hospitaliers de pr senter leurs retours d exp riences LAGRANGE F AIACH M PAUBEL P et al Pharmacien hospitalier et clinicien Le Hors s rie n 1 2013 09 80p Acc der au sommaire L adolescence l entre deux de tous les paradoxes L adolescence est rupture elle d poss de le jeune pr pub re de l innocence du corps elle est un temps d adieux l enfance qui se vit dans la peur et la passion de grandir Cette rencontre avec l alt rit la g nitalit en soi et en l autre travers ce corps devenu diff rent cr e un effet d tranget Cet article pr sente les grands traits de la construction adolescente en s appuyant sur son exp rience de m diation DELAFRAYE Jocelyne Le Coq H r
17. ers GACOIN Daniel Paris ESF diteur 2013 142 p cote HY10 302 L preuve de sant publique Directement issu de l exp rience d une quipe investie depuis plusieurs ann es dans les cycles de pr paration aux concours de l cole des hautes tudes en sant publique directeurs d tablissements de caisse de s curit sociale m decins pharmaciens ce manuel est un support de pr paration l preuve de sant publique Il rassemble les connaissances de base n cessaires pour analyser les grandes probl matiques de ce secteur le syst me de sant et son conomie la protection sociale l administration sanitaire fran aise la pr vention l pid miologie etc les d finitions essentielles des notions fondamentales les chiffres cl s actualis s de la sant des Fran ais un index permettant aux candidats de s orienter rapidement dans l ouvrage 50 questions pour s entra ner RAIMONDEAU Jacques coor Rennes Presses de l EHESP 2013 204p cote QB00 396 et 397 R ussir l investissement hospitalier Au c ur de l offre de soins les investissements tiennent une place pr pond rante dans la strat gie des tablissements de sant Ce guide m thodologique est construit autour de trois approches compl mentaires Il propose tout d abord une m thode pour identifier les opportunit s d investissement et comprendre le d roulement de la construction d un programme d investissement Puis il expose en d tail l
18. es aspects comptables budg taires et financiers des investissements avec de nombreuses illustrations pratiques Enfin il d crit un mod le d velopp sp cifiquement pour les tablissements de sant afin de construire un programme d investissement SOMMER Alain GROLIER Jacques DAVID Vincent DE KERVASDOUE Jean pr f Paris Infodium Editions 2012 215p cote HK10 518 La maltraitance en institution Les repr sentations comme moyen de pr vention Les institutions m dico sociales ou socio ducatives ont pour mission l accompagnement et le d veloppement de l autonomie et du bien tre de leurs r sidants Comment expliquer d s lors les diverses formes d abus n gligences violences psychologiques morales ou physiques se produisant parfois dans certains tablissements Cet ouvrage a pour objectif de pr senter une recherche action entrant dans le cadre d une action de pr vention de la maltraitance men e entre 2006 et 2008 en Suisse L originalit du travail r side dans sa m thodologie participative qui implique trois types d acteurs concern s au premier plan par la th matique savoir des personnes adultes avec une d ficience intellectuelle des parents ou tuteurs des professionnels de l ducation sociale MASSE Manon PETITPIERRE Genevi ve DELESSERT Yves collab MARTINI WILLEMIN Britt Marie collab Gen ve IES ditions 2011 303p cote FJ11 162 Rapports Pr vention du suicide chez le
19. et l exercice physique r duction de la perception de l intoxication alcoolique augmentation des troubles cardiovasculaires etc Elle d conseille donc leur consommation aux femmes enceintes et aux enfants adolescents ainsi que leur association avec de l alcool ou une activit physique Acc der au rapport sur le site de l ANSES 2013 09 195p Evaluation de la prise en charge des aides techniques pour les personnes g es d pendantes et les personnes handicap es Dans ce rapport Philippe Blanchard H l ne Strohl Maffesoli et Bruno Vincent membres de l Inspection G n rale des Affaires sociales se sont pench s sur les modalit s de prise en charge et d acqauisition des aides techniques fauteuil roulant audioproth se si ge de douche canne t l agrandisseur o encore loupe pour les personnes handicap es et les personnes g es d pendantes qui vivent leur domicile Pour la mission le dispositif fran ais se distingue de celui des autres pays europ ens par la triple distinction qu il op re entre maladie handicap vieillesse avec pour principales cons quences une complexit consid rable dans la mise en uvre des d lais de prise en charge particuli rement longs et des in galit s de traitement injustifiables pour les utilisateurs Face cela la mission souligne la n cessit d une professionnalisation et d une simplification de la prise en charge et propose deux sc narii d volution Acc der au r
20. ge par radiographie du thorax en population g n rale ne diminue pas la mortalit par cancer du poumon alors qu il expose un risque lev de faux positifs Mieux vaut se concentrer sur les mesures contre le tabagisme Revue Prescrire Vol 33 n 360 2013 10 pp 754 759 Scolarisation handicap psychique s v re et h pital de jour cinq ans apr s la loi de 2005 Les auteurs comparent la scolarisation de tous les enfants de Haute Garonne accueillis en h pital de jour de psychiatrie avant la loi de 2005 et cinq ans apr s en 2010 Le pourcentage d enfants non scolaris s reste stable 6 5 pr s des trois quarts des enfants b n ficient d une scolarisation individuelle en classe ordinaire souvent avec auxiliaire de vie scolaire le temps de scolarisation l cole de l h pital diminue au profit d une scolarisation partag e avec l cole ordinaire la coordination s am liore entre partenaires du soin et de l enseignement PANIS V ronique L Information psychiatrique Vol 89 n 7 2013 09 pp 549 557 Acc s r serv EHESP Comprendre les politiques conomiques La crise a jet un nouveau regard sur les politiques conomiques Elle a notamment remis en question le consensus d aspiration lib rale qui guidait l action publique depuis une trentaine d ann es Une r orientation est elle l oeuvre depuis 2008 Ce hors s rie rappelle les fondements des politiques conomiques et passe en revue les diff r
21. on n 201 2013 3 pp 131 142 acc s r serv EHESP EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 2 Congr s Ecohealth 2014 Montr al 11 au 15 ao t 2014 L cosant est un domaine qui vise la sant durable pour les personnes la faune et les cosyst mes par le biais de la promotion de la d couverte de la compr hension et de la transdisciplinarit Co organis par la Communaut de pratique canadienne en approches cosyst miques de la sant CoPEH Canada et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la biologie la sant la soci t et l environnement Cinbiose de l Universit du Qu bec UQAM EcoHealth 2014 aura pour th me Tisser des liens pour la sant les cosyst mes et la soci t Aller sur le site d di Pr venir la violence au travail et cr er les conditions du bien tre Diapason Universit de rennes 1 29 novembre 2013 Comment d velopper le bien tre au travail sans renoncer son emploi ou aux valeurs fondatrices de l identit professionnelle de chacun Autrement dit comment chacun peut il promouvoir la sant au travail commencer par soi m me et par ses coll gues et vivre au mieux son exercice professionnel Cette journ e s articule autour de deux grands axes 1 comprendre la diversit des situations de violence 2 promouvoir le bien tre au travail quelles pistes pour l action Consulter le programme Enqu tes
22. s associatifs des personnes vivant avec le VIH ce rapport pr sente un tat des lieux pid miologique de l infection du VIH en France des recommandations pr cises relatives aux indications et modalit s de prescription des antir troviraux des orientations claires de prise en charge des personnes vivant avec le VIH pour l ensemble des probl mes de sant auxquels ils peuvent tre confront s dans le nouveau cadre que constitue la chronicit de l infection chez la majorit des personnes trait s des recommandations pour l organisation des soins et l am lioration des conditions de vie des PVVIH souvent touch es par la pr carit une synth se sur les strat gies de d pistage et de pr vention Acc der au rapport sur le site du Minist re des Affaires sociales et de la sant 2013 10 09 478p valuation des risques li s la consommation de boissons dites nergisantes Le terme boissons nergisantes regroupe des boissons cens es mobiliser l nergie en stimulant le syst me nerveux et contenant g n ralement des ingr dients suppos s stimulants tels que taurine caf ine guarana ginseng vitamines Saisie pour valuer l innocuit et l int r t nutritionnel de ces boissons l Agence nationale de s curit sanitaire ANSES pointe leurs fortes concentrations en caf ine et souligne les risques d accidents parfois graves li s notamment des situations risque comme la co consommation d alcool
23. s personnes g es Malgr plusieurs plans nationaux successifs de pr vention le taux de suicide des personnes g es reste tr s lev en France sur pr s de 10 400 suicides survenus en 2010 28 ont concern des personnes g es de 65 ans et plus Mis en place par Mme Mich le Delaunay ministre d l gu e charg e des personnes g es et EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 6 de l autonomie le Comit National pour la Bientraitance et les Droits des personnes g es et des personnes handicap es CNBD a remis le 8 octobre un rapport dans lequel il analyse les facteurs de risques et pr sente une s rie de propositions Celles ci sont relatives l information et la communication destination du grand public sensibiliser au concept de Bien vieillir d termination d une charte m dias l am lioration de la formation de tous les intervenants l tablissement d un tat des lieux des dispositifs de pr vention mis en place sur le territoire et la diffusion des actions les plus pertinentes Acc der au rapport sur le site du Minist re des Affaires sociales et de la Sant 2013 10 08 74p La gouvernance et l utilisation des donn es de sant D but 2013 des tribunes dans la presse et une p tition demandant de lib rer les donn es de sant ont suscit un vif d bat En cons quence le 16 avril 2013 la Ministre des Affaires sociales et de la Sant a
24. sse Cnav ce guide est un recueil de r f rences et de recommandations applicables aux logements foyers et aux tablissements d h bergement pour personnes g es non m dicalis s A destination des directeurs d tablissement et des f d rations gestionnaires il rappelle la r glementation existante tr s in galement appliqu e et l assortit de recommandations de bonnes pratiques Acc der au guide sur le site du Minist re de la sant 2013 09 27 20p D velopper l ducation th rapeutique du patient dans les appartements de coordination th rapeutique Publi par La F d ration Nationale d H bergement VIH et autres pathologies ce guide a trois objectifs Mieux comprendre l ducation th rapeutique du patient ETP et ses concepts de r f rence Appr hender EHESP Lettre d Information du Service documentation n 104 du 15 octobre 2013 les comp tences ou activit s des appartements de coordination th rapeutique ACT qui peuvent contribuer une d marche ETP Favoriser la formalisation des d marches en lien avec les partenaires du territoire choisir un mod le de mise en oeuvre d une d marche ETP correspondant aux possibilit s et besoins de l tablissement identifier les comp tences et activit s pouvant contribuer une d marche ETP formalis e Acc der au guide sur le site de la FNH VIH 2013 07 47p Guide national de pr vention et de gestion des impacts sanitaires et sociaux li s aux vagues de froi
25. tudes Surveillance de la mortalit par suicide des agriculteurs exploitants Selon une enqu te men e par l Institut de veille sanitaire InVS et la Caisse centrale de la mutualit sociale agricole CCMSA les suicides repr sentent sur la p riode 2007 2008 2009 la troisi me cause de d c s chez les agriculteurs La comparaison de la mortalit par suicide des agriculteurs celle des hommes du m me ge dans la population fran aise montre un exc s de suicides de 28 en 2008 et de 22 en 2009 Cet exc s est surtout marqu dans les classes d ge de 45 64 ans et dans certains secteurs levage bovins lait et bovins viande Acc der l tude sur le site de l Institut de veille sanitaire 2013 10 29p Estimation nationale de l incidence et de la mortalit par cancer en France entre 1980 et 2012 Partie 2 H mopathies malignes L tude porte sur les nouveaux cas d h mopathies malignes diagnostiqu s entre 1975 et 2009 enregistr s par 14 registres ayant au moins cinq ann es d enregistrement cons cutives Quinze entit s d h mopathies malignes sont tudi es En 2012 le nombre de nouveaux cas d h mopathies malignes en France m tropolitaine est estim 35 000 19 400 chez l homme et 15 600 chez la femme Les quatre localisations les plus fr quentes sont le my lome multiple plasmocytome la leuc mie lympho de chronique lymphome lymphocytique le lymphome diffus grandes cellules B et les syndromes my
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