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1. ion f LE JOURNAL ane DES M DECINS LIB RAUX 11 Juillet 2012 le s M DECINS ana LIB RAUX o9 EDITORIAL Gardes dans les tablissements de sant les LES RENCONTRES DE La BAULE D m decins lib raux cart s 14 et 15 septembre 2012 La Baule Nous avons pris connaissance lors d une r union dite de B ae du sch ma cible de la cb paltatu permanence des soins en tablissements de sant Pointa CV rA PDSES dans les Pays de la Loire propos par Agence r gionale de sant ARS Nous avons t surpris de d couvrir Vendredi 19H00 un sch ma excluant dans la plus grande majorit des cas les m decins sp cialistes de hospitalisation priv e qui depuis Samedi de 09H00 plusieurs ann es r pondent une demande de soins sans au cune reconnaissance Plut t que d adopter une concertation large des acteurs et une m thode transparente PARS des Pays de Loire a de nouveau privil gi le passage en force et d montr une fois de plus que la m decine lib rale reste la variable d ajustement du syst me de soin Les missions de sant sont les m mes dans les tablissements publics et priv s mais re oivent des traitements diff rents L ARS par son refus de reconna tre les astreintes des m decins LES R UNIONS DE L URPS ML lib raux de la r gion donne un coup de frein la dynamique d tail en p 2 partenariale entre le secteur lib ral et le secteur public Bul2. 500 000 DMP la fin 2011 L agence a revu ses chiffres et vise d sormais les 300 000 ouvertures de dossiers la fin 2012 Raison of ficielle de ce retard l quipement des m decins lib raux notamment et plus largement l incompatibilit du parc logiciel en place avec le DMP En d autres termes les lo oiciels de gestion des cabinets ne parlent encore pas le m me langage que le DMP L ASIP annonce compter sur un cahier des charges et sur la labellisation des diteurs DMP compatible pour infl chir l offre industrielle La t che n est pas simple il s agit de reconqu rir la confiance des futurs utilisateurs de ce DMP avec pru dence p dagogie et s duction Sur le terrain les acteurs en charge de l accompagnement sont en ordre de marche e DARS des Pays de la Loire a inscrit le DMP comme objectif au sein du projet r gional de sant elle an nonce l adaptation du cahier des charges national au r gional ainsi que le fl chage de cr dits r gionaux sur les syst mes d information e Le GCS e sant se charge de la coordination et du d ploiement du DMP par territoires exp rimentaux Deux territoires pilotes ont ainsi t propos s dans le cadre d un appel projet le nord ouest de la Vend e Challans et le sud Mayenne L URPS ML des Pays de la Loire a eu Poccasion il y a quelques mois de faire part PASIP des besoins priori taires des m decins lib raux ce tit
3. aux probl mes conomiques d mographiques et territoriaux et de suivre les lignes directrices du plan r gional de sant PRS ont conduit ladministration r gionale solliciter l aide de la communaut radiologique pour la construction de cette nouvelle organisation de prise en charge des urgences en imagerie Celle ci s appuie sur de nouveaux sch mas d organisation de la perma nence des soins en tablissement et PERMANENCE DES SOINS DES RADIOLOGUES E sur les possibilit s que doivent offrir les nouvelles techniques de transfert d image Les r ponses globales taient dis cut es par les radiologues regroup s sous l gide du G4 r unissant les syndicats lib raux et hospitaliers la soci t fran aise de radiologie et les enseignants Pour pallier les insuffisances territo riales et d mographiques la cr ation d un ou deux groupements radiolo giques de permanence des soins en t l imagerie est en cours de discussion son initiative au cours de plu sieurs r unions avec la direction de l agence r gionale de sant ARS PURPS ML repr sent e par son pr sident le Dr Patrick GASSER a de mand plus de visibilit sur les lignes de permanence des soins et une r ponse adapt e aux besoins dans le respect de la loi et de la convention articul e avec les autres sp cialit s loire com ors O va t on La participation directe sur des lignes d astreinte en tablis
4. des tudes et actions Vous pourrez travers ce nouvel outil consulter en d tails la liste des projets de PURPS ML e Agenda publications actualit s Les actualit s les r unions organis es par votre URPS ML les publications retrouvez l ensemble des services qui vous sont offerts par votre URPS ML D COUVRIR M REUNIONS COOPERATIONS INTERPROFESSIONNELLES h tel MERCURE Angers Lac de Maine 20H30 Jeudi 30 ao t 2012 R union d bat avec les lus de PURPS ML pour les m decins lib raux ayant des interrogations r flexions et projets sur les coop rations professionnelles LES RENCONTRES DE LA BAULE h tel HERMITAGE La Baule Vendredi 14 et samedi 15 septembre 2012 TELEMEDECINE h tel MERCURE Angers Lac de Maine 20H30 Jeudi 11 octobre 2012 R union d bat avec les lus de lURPS ML pour les m decins lib raux faites nous part de vos questions et ou projets POLES ET MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES MODE D EMPLOI 2EME PARTIE en partenariat avec l APMSL Mercredi 17 octobre 2012 URPS ML St S bastien sur Loire 20H30 Mercredi 24 octobre 2012 h tel MERCURE Angers Lac de Maine 20H30 Programme D marche projet et management les tapes indispensables la mise en uvre de votre projet de p le ou MSP CESSATION D ACTIVITE URPS ML St S bastien sur Loire 20H30 Jeudi 15 Novembre 2012 Programme fiscalit et aspects juridiques et sociaux r uni
5. e patient a toute libert de mas quer son m decin certaines informations m dicales le concernant Enfin cette p e de Damocl s consacr e par Particle L162 1 14 alin a 8 du code de la s curit sociale qui pr voit des sanctions financi res l encontre du m decin traitant s il ne renseigne pas le DMP ouvert par son pa tient finalise les ressentis bien naturels observ s du c t de la m decine lib rale Anne Sophie LE BONNIEC Charg e de mission T moignage Dr Pascal Gendry m decin g n raliste sur le P le Sant du Sud Ouest Mayennais site propos pour l exp rimentation du DMP Le d ploiement d un sys a parma t me d information partag les 0 NDE E changes par messagerie s curi s e entre professionnels la com m munication avec les sp cialistes ES du second recours et les tablis W sements de sant sont des prio M rtit s de notre projet de sant La E5 sollicitation de PARS et le GCS mu e sant pour exp rimenter le DMP nous a donc paru tre une opportunit importante pour faciliter les changes et le parcours des patients Cependant devant l absence d avanc es sur le financement int gral de l exp rimentation financement de la DMP compatibilit de notre logiciel et l absence de garanties quant la participation des h pitaux et des sp cialistes lib raux de second recours ce projet le p le sant du sud ouest mayennais a jug que toute
6. ens et aux apprentis filles et gar ons scolaris s dans la r gion Il prend la forme d un ch quier de huit coupons qui sera remis la demande par le personnel de sant scolaire ou ducatif r f rent de l tablis sement Il sera galement progressivement diffus dans les Centres de planification et d ducation familiale de la r gion Ce ch quier permet sans avance de frais et de ma ni re anonyme un acc s la contraception et au d pistage des infections sexuellement transmissibles Les coupons ouvrent droit deux consul tations m dicales des pr l vements et analyses ainsi qu la d livrance de produits contraceptifs en pharmacie pour une dur e moyenne d un an Le lyc en ou appren ti remettra un des coupons du ch quier aux professionnels qui se feront ensuite directe ment rembourser par la r gion des Pays de la Loire Les m decins lib raux concern s par le Pass sont les m decins g n ralistes gyn cologues p diatres et biolo gistes lib raux la demande de PURPS ML les tarifs de remboursement qui sont les m me que ceux du secteur 1 ont t r valu s de 10 afin de compenser en partie les cotisations sociales habituel lement prises en charge en secteur 1 Les autres profes sionnels de sant concern s sont les sages femmes infir mi res et pharmaciens Ce dispositif qui sera com pl t par une politique de pr vention accrue dans les tablis
7. es probl matiques d exercice au sein de leur tablissement mais aussi et surtout sur la difficult de recruter de nouveaux praticiens et d attirer les jeunes dipl m s Les particularit s g ographiques de la ville de Fontenay le Comte proche de Niort en Poitou Charentes l attrait de la c te vend enne au d triment des zones ru rales constituent des freins importants au maillage du ter ritoire Les praticiens de la clinique sont v ritablement in quiets quant au devenir de la prise en charge en m decine sp cialis e de leurs patients et de l avenir de leur structure En Mayenne lURPS ML et le CDOM53 proposeront une premi re r union des m decins sp cialistes de Mayenne fin octobre Sur le territoire de Fontenay le Comte l URPS ML rencontrera dans un premier temps les m decins du territoire et la direction de la Clinique Sud Vend e auquel s y adjoindra PARS Pays de la Loire L objectif sera d changer sur l existant de l offre de second recours lib rale sp cialit par sp cialit mais aussi de recenser les projets et les solutions que PURPS ML pourrait aider et promouvoir aupr s des pouvoirs publics 4 Le Journal des M decins Lib raux Juillet 2012 Actualit s PASS CONTRACEPTION W Bient t un PASS pr vention contraception pour les lyc ens lig riens Le Conseil R gional des Pays de la Loire lancera le Pass pr vention contraception en septembre 2012 Ce Pass s adresse aux lyc
8. eudi 13 d cembre 2012 mettre un frein puissant la r flexion sur le maillage du terri CESSATION D ACTIVIT R GIME DE RETRAITE ORDRE CUMUL toire par les m decins sp cialistes et d entrainer une d mobili EMPLOI RETRAITE sation importante de leur part dommageable pour les patients dans une r gion pourtant historiquement vertueuse en termes de d penses de sant Patrick GASSER Pr sident Alzheimer DMP L avenir des tablis sements priv s en Europe D veloppe ment de la chirurgie ambulatoire SISA net de l URPS ML R unions P les et maisons de sant Zones fragiles cond recours PASS Contraception Permanence des soins des radiologues 9 Zoom sur Nouveau site Inter 1 Actualit s Les territoires du se 6 Exercice professionnel Zoom sur E NOUVEAU SITE INTERNET DE L URPS ML Le nouveau site internet de L URPS ML fait peau neuve Mis en ligne dans les prochaines semaines le site pr sentera une interface et un design nouveaux Vous y retrouvez toutes les informations et outils disponibles pr c demment accompagn s de plusieurs nouveaut s e Une structure claire Dans le souci de r pondre aux attentes des visiteurs nous avons enti rement revu la structure du site afin de vous offrir une navigation facilit e et plus intuitive e L exercice professionnel De l installation la cessation d activit retrouvez toutes les informations utiles e L annuaire
9. ialis s et autoris s r alisent depuis longtemps des tests de d pistage et de suivi des patients pr sentants une maladie non r mun r Aucun financement n est pr vu ni aujourd hui ni terme La seule aide pourrait venir de la BNA en proposant une int gration de leur logiciel de recueil de donn es aux logiciels m tiers des m decins labellis s Dans un souci de coh sion l URPS ML va mettre en place une commission sp cifique consultations m moire lib rale afin de recueillir et d unifier les d Alzheimer Dr Laurent PONS M decin g n raliste 4 technique ALQP006 pour les tests Secr taire adj URPS ML Cahier des charges des consultations m moire lib rales identifi es Les m decins qui souhaitent tre identifi s devront r pondre des crit res de sp cialisation ou de qualification de file active et de formation L s devront obligatoirement participer l am lioration des conna ssances pid miologiques sur la maladie d Alzheimer en alimentant la banque nationale Alzheimer BNA Cette proc dure d identification permettra en outre de faciliter l acc s des patients aux consultations m moire lib rales et aux bilans neuropsychologiques directement sans repasser par la consultation m moire hospitali re Crit res d identification 1 1 Crit re de sp cialisation et de qualification Pourront demander tre identifi s au titre des consultations m moire lib rales e le
10. letin d inscription en pi ce jointe Les services d urgence des tablissements priv s peu nom breux dans les Pays de la Loire sont reconnus par l ensemble des acteurs du soin de la r gion Ils r pondent une vraie de mande Or les m decins sp cialistes lib raux qui assurent la PDSES sont ignor s par les pouvoirs publics des Pays de la gt Vendredi 14 et samedi 15 septembre 2012 Loire En effet peu de lignes de gardes et d astreintes lib rales LES RENCONTRES DE LA BAULE aussi bien en chirurgie qu en m decine ont t retenues dans le sch ma cible de LARS gt Jeudi 11 octobre 2012 T L M DECINE gt Jeudi 30 ao t 2012 COOP RATIONS INTERPROFESSIONNELLES Les cons quences sont de deux ordres un risque de perte de chance pour les patients et un surco t pour la soci t li aux gt Mercredi 17 amp 24 octobre 2012 transferts sanitaires que ces d cisions engendreront P LES ET MAISONS DE SANT PLURIDISCIPLINAIRES MODE La d cision de PARS des Pays de la Loire donne entendre que D EMPLOI EN PARTENARIAT AVEC L APMSL les patients accueillis dans les services d urgences des tablis sements priv s ont nul besoin d une prise en charge sp cialis e gt Jeudi 15 Novembre 2012 CESSATION D ACTIVIT FISCALIT ASPECTS JURIDIQUES ET SO en urgence CIAUX Au del de la seule probl matique de la prise en charge des patients dans les services d urgence ces d cisions risquent de gt J
11. ojet de maison de sant pluri disciplinaire ou pour plus d information sut les facili tateurs vous pouvez nous contacter Zoom sur POLES ET MAISONS DE SANTE W M decins facilitateurs difficile avec les pouvoirs publics En devenant facilitateurs ils ont accept le principe de donner un peu de temps leurs confr res et autres profes sionnels de sant pour apporter des informations des conseils pragmatiques un appui m thodolo gique et partager leur exp rience Le groupe des facilitateurs a t mis en place dans le cadre d un partenariat entre l URPS ML et l agence r gionale de sant ARS Les m decins facilitateurs interviendront en bin me avec un technicien de PARS Ce bin me technicien pro fessionnel sera mobilis sur demande du guichet d partemental le comit d accompagnement des territoires de sant CATS comit g r par la d l gation d partementale de PARS qui r unit no tamment l Assurance maladie le Conseil g n ral les URPS et les Ordres ZONES FRAGILES W Publication de la version finale Dans notre pr c dente dition nous vous informions de la parution imminente des zones fragiles en Pays de la Loire c est chose faite La carte source ARS Pays de la Loire a t quelque peu modifi e par rapport celle de notre pr c dente di tion Vous trouverez la liste pr cise des communes sur le site de PARS rubrique concerta
12. on anim e par les experts fiscalistes de l as sociation de gestion agr e des professions de sant AGAPS CESSATION D ACTIVITE URPS ML St S bastien sur Loire 20H30 D Jeudi 13 d cembre 2012 Programme r gime de retraite Ordre cumul emploi retraite r union anim e par les experts de l Ordre et de la caisse autonome de retraite des m decins de France CARMEF 2 Le Journal des M decins Lib raux Juillet 2012 20 m decins ont particip la formation dispens e dans nos locaux le jeudi 14 juin 2012 Les projets de regroupements pluridisciplinaires et maisons de sant sont de plus en plus nom breux L laboration de tels projets exige un peu de m thode et beaucoup de patience pour les professionnels Il faut surtout respecter les tapes du projet professionnel bien d finir lor ganisation m dicale avant de parler des murs ou du juridique respecter l existant faciliter le consensus veiller la faisabilit Les profession nels de sant lib raux qui se lancent dans ces projets ont besoin d information de conseils de soutien Pour les aider lURPS ML a sollicit un groupe de m decins lib raux volontaires appel s facili tateurs de projets de p les et maisons de sant Ces derniers sont eux m me lib raux de ter rain confront s aux tapes du montage de leur propre maison de sant et parfois au dialogue E Communes class es en zone fragiles S 1 VOUS avez un pr
13. pr sident de lURPS ML intervenait autour des acteurs publics priv s et des usa gers afin de partager l exp rience et le point de vue du m de cin lib ral sur les pratiques de la chirurgie ambulatoire d ij s EN 4 A K SOCI T INTERPROFESSIONNELLE DE SOINS AMBULATOIRES SISA UNE NOUVELLE SOCI T EN SOINS DE VILLE Les soci t s interprofessionnelles de soins ambulatoires arrivent le d cret a t publi en mars Ces soci t s sont une sorte de SCM particuli re pouvant recevoir des subventions externes et redistribuer des honoraires en vitant certaines taxations Il convient d avoir lap pui d un juriste et d un comptable afin de les mettre en place Les premi res maisons de sant qui exp rimenteront les SISA seront celles qui ont re u de PARS des forfaits col lectifs dans le cadre de l exp rimentation des nouveaux modes de r mun ration L URPS ML vous proposera prochainement une note juridique sur les SISA LE JOURNAL DES MEDECINS LIBERAUX Directeur de la Publication Dr Patrick GASSER Secr taire de r daction Isabelle RIOU URPS M decins lib raux des Pays de la Loire Parc de la Gibraye 13 rue de la Loire B t C2 44 230 ST S BASTIEN SUR LOIRE T l 02 51 82 23 01 Fax 02 51 82 23 15 Courriel contact urps ml paysdelaloire fr site internet wwwurps ml paysdelaloire fr Impression Imprimerie Allais Imprim sur papier 60 recycl 40 issu de p te papier cologiq
14. r alis e par PARS Deux cas de figure doivent tre envisag s 2 1 Les m decins qui remplissent d j les crit res d identification C est le cas des praticiens lib raux qui alimentent d j la BNA et qui remplissent les crit res de sp cialisation et de qualification de file active et de formation Ils devront adresser PARS un dossier de demande d identification comportant e une attestation d inscription l Ordre des m decins mentionnant leur qualification ou leur sp cialisation et leur lieu d exercice un justificatif de la BNA mentionnant leur file active de patients pr sentant une plainte relative des troubles cognitifs ou du comportement un engagement participer r guli rement des formations sp cifiques Ils fourniront leurs attestations de pr sence aux r unions auxquelles ils ont assist au cours de l ann e coul e une copie de la convention le cas ch ant liant le m decin sp cialiste lib ral et tablissement de sant Apr s r ception du dossier complet PARS dispose d un d lai de 30 jours pour se prononcer sur la demande d identification Chaque identification d une consultation m moire lib rale donne lieu une information du CMRR local et du minist re de la sant par PARS 2 2 Les m decins qui souhaitent s engager dans le processus L alimentation de la BNA constitue un pr alable la demande d identification Les m decins qui souhaitent tre identifi
15. re a t voqu e la grande valeur ajout e que peut constituer simplement sur le terrain un volet m dical de synth se notamment dans les territoires o se met en place un regroupement pluri professionnel pour faciliter la coordination des soins et une messagerie s curis e Un certain nombre d interrogations apparaissent de notre point de vue comme autant de freins aujourd hui au d ploiement du DMP en secteur lib ral L URPS ML des Pays de la Loire a eu l occasion il y a quelques mois de faire part l ASIP des besoins prio ritaires des m decins lib raux La premi re inconnue est celle du soutien financier envi sag pour les m decins lib raux alors que les moyens hu mains et financiers en faveur des tablissements de soins pour d ployer le DMP sont eux bien connus e quelle aide pour le temps pass par le m decin traitant sur sa consultation pour louverture du DMP de ses patients e quelle prise en charge du passage la DMP compati bilit des logiciels existants Un certain nombre d interrogations apparaissent de notre point de vue comme autant de freins aujourd hui au d ploiement du DMP en secteur lib ral La seconde interrogation est celle de l information par tager e que renseigner dans le DMP pour qu il soit utile la fois au patient et aux professionnels e quelle assurance pour la qualit et la s curit des soins quand l on sait que l
16. s les conditions favorables cette exp rimentation n taient pas r unies Nous avons donc pour l instant interrompu les travaux sur la mise en place du DMP Nous esp rons que la signature prochaine d un contrat local de sant permettra l obtention de moyens per mettant cette exp rimentation Nous restons convaincus que le DMP et un syst me d information partag sont indispensables pour am liorer la coordination entre les professionnels et le parcours des patients condition que l on nous en donne les moyens Juillet 2012 Le Journal des M decins Lib raux 7 Exercice professionnel M L AVENIR DES ETABLISSEMENTS PRIVES EN EUROPE Dans l Union Europ enne 27 riche de sa diversit chaque tat membre reste par subsidiatit responsable de son syst me de sant L Europe de la sant n est encore qu un concept M D VELOPPEMENT DE LA CHIRURGIE AMBULATOIRE Un s minaire sur la chirurgie am bulatoire organis pat la f d ration hospitali re de France FHF s est tenu le 15 Juin der nier Nantes Au couts de ce s mi naire la FHF invi tait les participants s interroger sur les enjeux m dico conomiques et les perspectives de d veloppement de la chirurgie ambulatoire Au del des freins et leviers pr sents actuellement dans les structures la r flexion s est port e sur les pistes de solutions et de facteurs favorisants C est dans ce cadre que le Dr Gasser
17. s prendront contact avec la BNA qui leur donnera des informations sur les logiciels et les formations n cessaires pour alimenter la BNA La demande d identification pourra tre adress e PARS d s le d but de Pexportation de donn es vers la BNA Elle comportera les l ments relatifs la qualification ou la sp cialisation et l engagement de formation d crits en 2 1 et un justificatif de la BNA relatif au d but d alimentation de la base L ARS pourra alors d livrer une identification provisoire dans les conditions de d lais pos es en 2 1 La confirmation de l identification sera r alis e par PARS dans ces m mes conditions d s que le praticien aura atteint le seuil de 50 patients Le praticien adressera cet effet une demande de confirmation accompagn e d un justificatif de la BNA Exercice professionnel DOSSIER MEDICAL PERSONNEL W Vers un nouveau DMP Cr par la loi de 2004 r it r dans la loi HPST de 2009 le dossier m dical personnel DMP refait parler de lui apr s les vicissitudes de ses longs et co teux d buts L agence nationale des syst mes d information partag s ASIP consolide depuis 1 an son op ra tion marketing et promet un DMP reposant sur des bases enti rement revisit es La t che n est pas simple il s agit de reconqu rir la confiance des fu turs utilisateurs de ce DMP avec prudence p dago gie et s duction LASIP tablait sur la cr ation de
18. s sp cialistes en neurologie e les sp cialistes en g riatrie e les sp cialistes en psychiatrie e les m decins sp cialistes ou qualifi s en m decine g n rale titulaires de la capacit de g rontologie 1 2 Crit re d activit Pour tre identifi s ces praticiens devront avoir une file active d au moins 50 patients pr sentant une plainte relative des troubles cognitifs ou du comportement Cette file active sera valu e partir des donn es fournies la BNA 1 3 Crit re de formation Les praticiens souhaitant tre identifi s devront s engager participer r guli rement des formations en lien avec la maladie d Alzheimer et maladies apparent es journ es de neurologie de langue fran aise r unions r gionales ou nationales organis es par l association des neurologues lib raux de langue fran aise ANLLEF r unions organis es par les Centres M moire de Ressources et de Recherche CMRR r unions organis es par des r seaux Alzheimer Sur demande de PARS ils fourniront leurs attestations de pr sence ces r unions 6 Le Journal des M decins Lib raux Juillet 2012 Les m decins lib raux pourront utiliser lacte Le principal frein est l alimentation de la banque nationale Alzheimer BNA travail chronophage projets SI VOUS SOUHAITEZ PARTICIPER CETTE COMMISSION VEUILLEZ PRENDRE CONTACT AVEC L URPS MIL Proc dure d identification L identification sera
19. sement devrait tre subordonn e au paie ment de indemnit forfaitaire et au paiement Pacte selon la classifica tion commune des actes m dicaux CCAM Pour pallier les insuffisances territo riales et d mographiques la cr ation d un ou deux groupements radiolo giques de permanence des soins en t l imagerie est en cours de discus sion avec ARS et son partenaire le groupe d int r t conomique GIE E SANTE M me si des cueils persistent ce jour mode de r mun ration des actes de t l m decine nul doute que ce projet tr s technique soit ra pidement effectif la finalisation po sant les bases d un partenariat effi cace public priv ouvrant la voie la reconnaissance de exercice lib ral Dr Jacques MAINFRAY M decin radiologue 44 Juillet 2012 Le Journal des M decins Lib raux 5 Exercice professionnel M ALZHEIMER Consultations m moire lib rales circulaire du 20 11 12 Alors que le plan Alzheimer voit venir son dernier semestre PARS sollicite les URPS ML pour identifier les consultations m moire lib rales existantes ou natives en vue d une labellisation partir d octobre 2012 Certains interlocuteurs sont surpris de la capacit des m decins lib raux r aliser les tests cognitifs Afin de nous aider dans notre t che quotidienne la atelie a bicn voulu nous adresset son cahier des charges seul s same pour un label Les m decins lib raux sp c
20. sements s inscrit dans un objectif d ducation la sant au moment le plus appropri de la vie des ado lescents Il va dans le sens d une responsabilisation des jeunes sur la question de leur sexualit Il compl te ainsi la politique r gionale en faveur de l autonomie des jeunes aux c t s notamment du Pass culture sport du Pass compl mentaire sant du Pass Logement et du Pass Transport Au total 180 000 jeunes lig riens pourraient tre concern s par ce Pass pr vention contraception En savoir plus partir du 4 septembre ADP www pack15 30 fr Posez vos questions la R gion sur le Pass pr vention contraception preventioncontraception pack15 30 fr INFORMATION Barom tre sant jeunes 15 25 ans Vie affective et sexuelle contraception et pr vention des infections sexuellement transmissibles SOMMAIRE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES 9 Pr servali au premier rapport Vie affective ct sexuelle contraception et pr vention des infections sexuellement transmissibles Le barom tre sant jeunes Pays de la Loire 2010 est t l chargeable sur le site de PORS P adresse sui vante http www santepaysdela Les autorisa tions de mat riel lourd taient d j subordon n es la par ticipation des structures ra diologiques la permanence de soins La volont d organisation r gionale sous tendue par la n cessit de faire face
21. tion r gionale puis projet r gional de sant ou sur le site de PURPS ML Pour pouvoir b n ficier des aides financi res relatives ces zones cf le d tail dans notre dernier journal nous vous invitons contacter votre CPAM Juillet 2012 Le Journal des M decins Lib raux 3 Actualit s M LES TERRITOIRES DU SECOND RECOURS Une nouvelle priorit pour l URPS ML Apr s le premier recours PURPS ML a d cid de fixer comme nouvelle priorit organisation du second recours Pour commencer cette r flexion elle a choisi de faire un focus sur deux territoires le sud est vend en et la Mayenne et souhaite reproduire ensuite les m thodes sur d autres territoires de la r gion Au cours des cinq derni res ann es les m decins g n ralistes se sont organis s et la permanence des soins est pr sent lisible et structur e Les p les de sant les maisons de sant mais aussi les groupes qualit se sont r pandus en Mayenne plus que dans les autres d partements de la r gion Les m de cins g n ralistes mayennais restent vigilants sur la d mogra phie m dicale de leur territoire mais ont anticip les volu tions avec des mod les d organisation N anmoins aujourd hui l acc s aux soins sp cialis s de se cond recours devient la pr occupation tant de la population que des m decins de premiers recours Les m decins sp cialistes de la Clinique Sud Vend e nous ont alert sur l
22. ue avec encres v g tales Mise sous pli ActiCom Distribution La Poste Tirage 6 500 exemplaires D p t l gal juillet 2012 ISSN 2106 8232 e S uen te agit pouf N
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