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Volume 1, numéro 2, mai 2005 - geirso

1. LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS L information la publicit et les pratiques commerciales sur les m dicaments Le droit civil CAP du 1 CCPP CCNP c du NCP CPC du Rx amp D ss Application Principales normes Principes Partenariat Concernant une Concernant un i i t organisme directeurs soci t membre de Rx amp D m dical Ind pendance et But d sint ressement Mode de fonctionnement But des activit s et Activit s sociales programmes O Octrois et honoraires Contenu des activit s valuation Objectif des intervenants Amende max de Lettre de mise en 15 000 garde de Appel conseil r primande ou de d arbitrage recommandation visant le retrait d agr ment Appel conseil d arbitrage LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS Les conditions de mise en La qualit et la s curit L information la publicit et les pratiques march des m dicaments des m dicaments Le droit p nal f d ral Faits qui d passent la connaissance g n rale Ex cigarette et alcool tiquette compl te non quivoque et claire Mise jour des informations Ex explication des ruptures d implants Hollis Transmission des informations Qualit de l acheteur Ex v t rinaires et Telmin B Mowrey Gravit fr quence et contexte du risque Ex mort Hollis implants paralysie Davidson vaccin Nature du produit Hollis
2. Normes particuli res certaines cr er une fausse impression cat gories de m dicaments O0 Protection assum e par le priv D Action en commercialisation Radiooh ti sl Medicameme ordonnance li trompeuse Ex Ciba et li adiopharmaceutiques LmEN Limite la publicit aupr s du grand public Lilly aux nom prix et quantit 0 Pseudog n riques Ex 0 D r glementation envisag e Nupharm et Apotex k p Accessibilit de la publicit des U Biopharmaceutiques Transformation d une information en publicit Surexploitation des marques V rifier impact sur le consommateur et les r gimes d assurance LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS l ar E E A Les conditions de mise e a qualit et la s curit L information la publicit et les pratiques march des m dicaments des m dicaments commerciales sur les m dicaments Dee labieau 3 lt lt bleau 4 s D D u 3 L autor gulation Le droit civil q 4 v Application Principales normes Proc dure de soumission des SSP et plaintes D SSP destin aux professionnels de DOS APE CORE des SOUMISSION AU COMMISSAIRE DU CCPP la aani allegations 0 D lai d examen 30 jours Annonces publicitaires envois All gations citations et O Frais en vertu du tarif postam ne promotionnels rercrences PLAINTES AU COMMISSAIRE DU CCPP materiel andioviSuel CAE Normes de publicit 0 D pos es par un membre un b
3. q 0 Services pharmaceutiques et co t des m dicaments O0 M dicaments inscrits la liste de la RAMQ O0 M dicaments d exception cond Ex Jevity alimentation orale totale Ex Eprex cond Transfusion Charte A Professionnels W Le prix de vente des m dicaments LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS Les actes professionnels I La prescription et l administration de m dicaments La pr paration et la vente des m dicaments IE M decins Dentistes M decins v t rinaires Podiatres Sage femmes Optom tristes Pharmaciens initi s ajuster th rapie m dicamenteuse prescrire COU Infirmi res pratique avanc e prescription Infirmi res CO ALLE TS Technologues en radiologie Technologistes m dicales Inhaloth rapeutes Y Premiers r pondants Techniciens ambulanciers Parents aidants naturels et gardiens d enfants Ressources interm diaires ou de type familial ou programme de soutien domicile coles ou autres milieux de vie substitut pour enfants garderies camps de vacances etc Autres Forme et contenu a O0 E crite Q Verbale Manque de soin dans la r daction O Hisible Ex ordonnance pr tant interpr tation P pin incompl te Ex posologie quantit Circonstances de communication Ex r daction par ordinateur Les obligations Suivre 0 Champign
4. l autre g n ration R Il y avait 1 5 d v nements associ s des probl mes cardiaques qui ont t rapport s pas des crises cardiaques des v nements a peut tre un pisode d arythmie a peut tre toutes sortes de choses Alors je termine l dessus juste pour vous donner une id e dans une tasse de th dans le polyph nol il y a 25 fois plus d anti oxydant que dans la vitamine e et 100 fois plus que dans la vitamine c Il y a une tude sortie aujourd hui qui vient de montrer que la consommation de vitamine c augmente votre mortalit En somme en nutra pr vention en nutraceutique l id e c est d augmenter la consommation globale de fruits et l gumes on sugg re pr s de 10 portions par jour 36 Q Qu est ce que vous appeler 10 portions R Une pomme ou une orange L important c est de diversifier Par exemple le matin je change mes jus chaque semaine Une semaine c est un jus de pamplemousse une autre c est un jus de pruneau Je varie Je mets des canneberges et des graines de lin broy es dans mes c r ales puis de prends une tasse de th vert et un fruit Le matin j ai 3 4 portions de fruits Si je prends 3 4 portions le midi 3 portions le soir a va vite Il faut s habituer l apr s midi plut t que de manger une barre de chocolat de manger des pruneaux par exemple Les aliments industriels sont fantastiques vous avez des pruneaux l ann e maintenant sem
5. Et sur les 80 80 de ces 80 l ou 90 c est des m dicaments pour la digestion Le sublime de tout a c est que celle qui annonce Pepto Bismol elle est dans sa cuisine et dit Mon mari souffre de diarrh e ma fille a n e de la constipation mon fils de maux de ventre et moi de reflux gastriques quoi je pense pour tout a Pepto Bismol Moi je me dirais que je devrais peut tre 35 changer ma fa on de cuisiner Donc on sort la bouteille de Pepto Bismol C est a le probl me des m dicaments on ne veut pas changer notre style de vie on veut avoir une pilule miracle En bout de ligne si elle n est pas vraiment miraculeuse plut t que de changer nos habitudes de vie on double les risques de probl mes cardiaques On a donn 900 millions de prescriptions de Vioxx 98 5 des gens taient bien on leur a donn un m dicament qui les a gu ri On en a vendu 900 millions C tait un m dicament qui se vendait bien parce que a fonctionnait Puis on a eu un sous groupe de patients qui avait des r actions secondaires Est ce que c taient des consommateurs de hamburger ou de cr me glac e est ce que c taient des gens qui ont un polymorphisme On ne le saura jamais parce que Merck a retir le m dicament par peur des poursuites Moi c est contre les avocats que j en ai puis contre l attitude des individus qui veulent qu on ait une pilule miracle Avec Vioxx 98 5 des gens taient soulag s Maint
6. les Cahiers du GEIRSO Volume 1 num ro 2 Mai 2005 Les pratiques li es la conception du m dicament aspects scientifiques et juridiques Le programme de recherche concert e sur la cha ne des m dicaments est subventionn par le CRSH Conseil de recherche en sciences humaines du Canada 412 2003 1005 Garnier Catherine Marinacci Lynn Patenaude Judith Rolland Louise les Cahiers du GEIRSO Direction de l dition Organisation de l dition Conception des textes de pr sentation et r vision linguistique Conception de la page couverture et mise en page Directrice du GEIRSO et directrice du programme CRSH Grands Travaux recherche concert e sur la cha ne des m dicaments UQ M Agente de recherche au programme CRSHI Grands Travaux recherche concert e sur la chaine des m dicaments GEIRSO UQAM tudiante la ma trise en tudes litt raires et assistante de recherche GEIRSO UQAM Secr taire de direction GEIRSO UQ M Tous droits de reproduction et d adaptation r serv s Copyright Montr al 2005 GEIRSO Universit du Qu bec Montr al Publi par Les ditions du Geirso Universit du Qu bec Montr al C P 8888 Succ Centre ville Montr al Qu bec H3C 3P8 T l Louise Rolland 514 987 0379 1 impression ISSN 1718 1887 D p t l gal Biblioth que nationale du Qu bec 2005 D p t l gal Biblioth que nationale du
7. 30 fois plus lev au Zimbabwe qu en Italie et ainsi de suite Il y a des variations normes Le taux de cancer de la prostate aux tats Unis est encore plus frappant il est 80 fois plus lev qu en Inde Ce sont les statistiques de l organisation mondiale de la sant Il doit y avoir quelque chose dans la cuisine indienne faisant que les indiens sont davantage prot g s que nous le sommes Ce n est pas parce qu ils prennent plus de m dicaments S il y a un peuple sur la plan te qui prend des m dicaments c est bien les am ricains Cependant leur taux de cancer part quelques cancers comme celui de la t te et du cou de l endom tre et de l estomac c est 3 fois plus lev Le cancer du foie y est 80 fois plus lev Ce sont des statistiques normes Cela veut dire qu il y a norm ment de facteurs 25 autres que la g n tique qui sont associ s la maladie Je le donne avec l exemple du cancer mais Vous pouvez extrapoler ces donn es toutes les maladies chroniques et vous retrouverez la m me chose Ce qu il faut comprendre c est ce qu est l alimentation au d part Rappelons nous que les dinosaures sont disparus il y a 65 millions d ann es et qu l poque des dinosaures les mammif res que nous sommes d rivons d un rat Le rat est alors le seul mammif re et il s agit de rats qui vivaient dans les caves pour chapper aux pr dateurs et aux dinosaures qui taient beaucou
8. Effet cumulatif de l utilisation Ex antibiotique Gburek Risques technologiques LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS w commerciales sur les m dicaments Le droit civil Destinataire de l information R gle de l interm diaire comp tent USA e e O0 Reconnu depuis 1966 4 O LAD pour les m dicaments 0 Tribunaux d ordonnance O0 Reconnu implicitement Ex Lapierre CND 0 Doctrine favorable O Reconnu depuis 1980 O Voir toutefois contraceptifs Le prix de vente des me Les assurances Les actes professionnels m dicaments Un prix non excessif LB Un prix de vente garanti Un prix conforme la soumission LAM d accept e par les tablissements LSSSS Guerre commerciale Liste RAMQ origine vs g n rique m dicaments assur s Abolition du r gime de licence obligatoire 1993 Engagement du PVG OBJECTIFS S assurer que le prix n est pas excessif JURIDICTION O0 Brevet lien brevet invention vente au Canada FACTEURS CONSID R S POUR PRIX O0 Prix l tranger 0 Prix m dicaments de m me cat gorie 0 IPC O0 Autres Reconnaissance du fabricant Liste d tablissements Regroupement pour Prix des autres programmes DE prog approvisionnement provinciaux Ex Nupharm supra g n riques Cadeaux et r duction Ex Novopharm Pr l vements Autres LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS Les services m dicaux Les services de sant
9. Exactement et c est en m me temps qu on a commenc mal manger et qu on a produit effectivement d une certaine fa on l industrie des m dicaments de synth se C est compl mentaire Q Mais Serge et vous sur le plan la fois historique et philosophique a sera int ressant de voir qu il y a un esp ce de divorce un moment donn C est dire qu il a fallu que la m decine quand elle s est scientificis e qu elle crase totalement tout ce qui tait phyto tout ce qui tait reli justement toutes ces connaissances qui s taient construites au fil du temps Puis c est int ressant parce que son histoire d borde sur l humanit comme si on avait dit non a il ne faut plus le regarder parce que c est un savoir qui a t accumul donc qui n a aucune valeur C est un peu a la crise elle part de l R Je pense que la transition s est faite avec le d veloppement de la chimie au milieu du vingti me si cle Moi je vis dans un d partement de chimie les chimistes sont des gens tr s tr s arrogants J ai toujours trouv les chimistes arrogants Parce que le chimiste a l illusion de comprendre Il comprend une mol cule il comprend le proton du glucide de benz ne gauche puis 1l est capable de le d crire dans l espace avec des quations tr s complexes Puis il arrive au niveau des mol cules biologiques et il pense qu il peut appliquer la m me chose C est des milliards de prod
10. LAM tablissements Les m dicaments fournis en pharmacie Loi ass m d Consultation et H pr paration des Les m dicaments ordonnances qui peuvent tre fournis en tablissement Gratuit LAH Services hospitaliers et professionnels EURE pharmaciens HORS LISTE O0 N cessit m dicale A C d livr Traitement d exception M dicaments A C non d livr administr s sur Urgence pas place d autorisation pr alable du CMDP Exp rimentation CH Inst Un CR reconnu par le FRSQ LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS Les services m dicaux Les services de sant LAM tablissements Les m dicaments fournis en pharmacie Loi ass m d R gime g n ral d assurance m dicaments Couverture assum e Couverture assum e par la RAMQ par le priv PERSONNES ADMISSIBLES L O R sidents inscrits la RAMG Couverture Remboursement par la Acc s un r gime r siduelle RAMQ au pharmacien collectif LES GARANTIES 0 Lien d emploi rofession ou autre M thodes de P 0 65 ans et plus occupation PRA O0 Prestataires Pee habituelle Ex d assurance emploi exclu hobby ou et autres O0 Entente de la champ d int r t en d tenteurs d un RAMQ avec l AQPP affaires carnet de D A ELEIER L Excellence r clamation cadeaux ou Eoo FONE MEA J J n ont pas acc s consentis au du R gime g n ral 5 pharamacien un r gime collectif RAMQ c AQPP
11. rimentale de th rapie du cancer partir de ce qu on va avoir 37 trouv On a achet un extracteur jus on a commenc la semaine pass e je suis all dans des restaurants grecs je suis revenu avec une sorte de racine que les grecs utilisent Vous voyez on est entre le pharma et puis le nutra C est l qu on veut aller C est pas juste de comprendre Le plan de match c est a On veut les extraire on a commenc on en a une dizaine de faits On les extrait on les clarifie on les st rilise on fait des tests d anti oxydation d inhibition de cellule canc reuse d inhibition migration d induction d aporthose puis d inhibition des facteurs de croissance C est pour a qu on avait demand 10 millions Chagnon On a eu 62 milles jusqu pr sent Ce projet l il n y a personne qui l a fait sur la plan te on est les world leaders Q Tr s int ressant je pense que c est vraiment tr s bien de pouvoir isoler les choses J esp re que vous trouverez de l argent un moment donn pour le faire R On veut le faire grande chelle Q Oui pour que ce soit accept de fa on tr s claire parce que je sais qu Laval il y a aussi de la recherche sur les nutraceutiques R Je les connais tr s bien on est en contact avec eux Ils m ont invit comme conf rencier pour le congr s qu ils ont organis l t dernier C est diff rent ce qu ils font Ils n ont pas d
12. Canada 2005 SOMMAIRE l Larecuaniondes M dICAMENtS ds are lier trie diese Me Mathieu Gagn Il tat de la recherche sur la nutraceutique arenaene Dr Richard B liveau Pr sentation Les pratiques li es la conception du m dicament aspects scientifiques et juridiques Les Cahiers du Geirso Groupe d tude sur l interdisciplinarit et les repr sentations sociales se veulent un espace de diffusion visant faire conna tre le plus largement possible les travaux du groupe de recherche ainsi que les r sultats des travaux effectu s dans le cadre du programme de recherche concert e sur la cha ne des m dicaments ainsi que les r flexions qui y ont cours Les Cahiers du Geirso Sont publi s en version lectronique sur le site http chaine ugam ca index htm et en version papier disponible pour consultation au centre de documentation du Geirso Ce deuxi me num ro pr sente dans un premier temps un expos de Me Mathieu Gagn sur l tat du droit qu b cois en ce qui a trait aux m dicaments Docteur en droit de l Universit Laval Me Gagn fait ici tat des grandes lignes de sa th se de doctorat portant sur la r gulation des m dicaments Il tudie le contr le qu exerce l tat sur les m dicaments de leur conception leur fabrication et analyse la dynamique normative qui merge des syst mes r gulatoires identifi s Le deuxi me article pr sente une conf rence prono
13. Je pense que tout le monde prend trop de vitamines on a pas besoin de tant de vitamines que a Il y a aussi les fibres que vous connaissez et la classe qui est la moins connu mais qui est la plus importante est celle des mol cules qu on appelle l ments phytochimiques C est ce dont je vais vous parler aujourd hui Qu est qui est essentiel pour la vie C est ce qui va nous amener au m dicament C est pas beaucoup de choses c est l eau 11 acides amin s essentiels chez l homme 2 acides gras l acide linol ique et l acide linol nique 14 vitamines 13 min raux et 8 10 000 l ments phytochimiques Ceux ci sont tr s important on les appelle aussi l ments phytoprotecteurs Phyto c est pour plante car ils sont originaires des plantes L organisation mondiale de la sant a r alis un tableau tr s grossier de l incidence d un cancer en fonction de la consommation individuelle en gramme de fruits et l gumes chaque jour Il s agit d une recherche pid miologique Ce n est pas trop compliqu calculer C est facile comprendre Vous pouvez voir la diminution de l incidence des cancers Au niveau des fruits et l gumes on per oit une r duction de l incidence de tous les cancers Il y a des variations normes dans les cancers selon les populations que vous observez Le taux de leuc mie est 20 fois plus lev en Italie qu en Ouganda Le cancer de l sophage est de 20
14. L tat d quilibre sant Je vais donc vous donner un exemple concret on parlait du cancer du sein tout l heure Le cancer du sein est associ hormonod pendant une mol cule qui s appelle l extasia 1729 qui est le principal estrog ne associ chez les femmes qui ont le cancer du sein Ces deux mol cules l sans tre biochimiste sans avoir fait un doctorat 29 en chimie organique vous voyez tr s bien qu elles ont des structures tr s semblables l extasia 1729 Voyez les noyaux ici les noyaux l il y a un petit lien l il y a un autre noyau Sans aller tr s loin vous tes capable de voir que ces mol cules se ressemblent On les appelle des phytoestrog nes et elles ne sont pas produites par Berck elles ne sont pas produites par Norvats elles sont synth tis es par une f ve qui s appelle la f ve soya Et la raison pour laquelle les chinoises les japonaises les tha landaises et les vietnamiennes ont beaucoup moins de cancer du sein que les occidentales c est cause que ces mol cules sont pr sentes dans le lait de soya et viennent Ce que fait l isoflavone ou le phytoestrog ne c est que comme sa structure est tellement semblable elle occupe le r cepteur et lorsque qu il y a de l extasia 1729 qui essaie de venir activer la cellule du sein le r cepteur est d j occup Vous arrivez pour aller aux toilettes puis la porte est d j barr e il y a d j quelqu un dans la salle de toile
15. La plupart des tres humains adultes ont des tumeurs des micros tumeurs dormantes qui proviennent de la formation spontan e al atoire de ces mutations qu on a dans nos cellules et qui sont localis es partout Si vous avez de mauvaises habitudes alimentaires en consommant des aliments qui favorisent le cancer ces tumeurs vont prendre de l ampleur et vous aurez des tumeurs d tectables cliniquement o le taux de prolif ration est plus grand que le taux de mort cellulaire ou d apoptose Si vous avez des conditions de nutritions ad quates vous exposez tous les jours vos tissus un cocktail de chimioth rapie d origine nutraceutique Ces tumeurs l ne peuvent pas cro tre au contraire elle r gressent le taux d apoptose est plus lev que le taux de prolif ration et vous tes en sant C est un concept fondamental qui est apparu dans les derni res ann es en m decine partir de la recherche dans le secteur de l angiogen se o nous tions impliqu s cause de donn es de pathologies ou on avait autopsi des gens qui taient morts de causes non canc reuses Il s agissait de gens morts d accident de la route d accident c r bro vasculaires de diab te et ainsi de suite Mais quand on a fait les autopsies 33 de ces gens l avaient des tumeurs du sein et ne le savaient pas 40 avaient des tumeurs de la prostate et ne le savaient pas et 98 avaient des micros tumeurs de la tyro de sans le savoir a
16. On a gu ri les gens avec du clostridium difficile en leur faisant prendre un pot de lait ferment qui s appelle Bio K que vous pouvez acheter chez Provigo et qui a 50 milliards de lacto Les gens sont pas conscients qu ils ont des bact ries et qu on vit en symbiose avec a On est n le 7 jour puis on peut faire ce qu on veut sur le restant de la plan te c est a que la bible dit C est pas comme a dans la tradition orientale C est pour a que les taux de cancer sont beaucoup plus faibles en Asie qu ils le sont en Occident Parce qu on est pas conscients de a Q C est l id e aussi que notre science pour notre propre survie il faut qu elle se transforme non plus en quelque chose qui tend s opposer ou supplanter la nature mais en quelque chose qui est comme une d couverte des m canismes inh rents au processus naturels dont l histoire r volutionnaire d montre l efficacit R Fondamentalement c est le rapport au corps qui est en jeu Quand on regarde toute la litt rature jud o chr tienne c est le rejet du corps qu on remarque bien qu ils sont bien contents de le trouver pour arriver expliquer ce qui parle de leur religion Donc le probl me il est fondamentalement justement ancr dans cette vision dualiste du corps Moi j ai t saisie quand J ai commenc tre dans les universit s je pensais que les gens savaient beaucoup de choses J arrivais des terrains de s
17. a pris les cellules canc reuses et on est all les irradier l h pital Notre Dame L unit de radiation c est le gray si vous tes trait pour un cancer on va vous donner entre 10 et 100 gray de traitement d pendant du temps pendant lequel vous allez tre trait et d pendant du type de tumeur Pour tuer 50 des cellules J ai besoin de 10 gray Mais si je prends ces cellules l puis que je les pr traite avec l extrait du th vert je diminue la dose de 9 7 Si je le traite avec un extrait de soya de turmeric puis de th vert ma dose est alors rendue 1 gray pour avoir 50 de mort de mes cellules canc reuses a veut dire que si je donne ces patients l une di te qui va tre riche dans ces l ments l on peut r duire les doses de radioth rapie d un facteur 10 a non plus ce n est pas publi Ce n est pas juste de dire on va bien manger on va manger des carottes c est bon pour la vue C est pas a on est dans des actions intrins ques au niveau th rapeutique mais synergique au niveau radio th rapeutique Et a c est tr s important Je vais vous donner un autre exemple de synergie Le turmeric l pice indienne tout le monde devrait en manger commencez manger a achetez vous des capsules si vous avez de la mis re avec le go t Achetez a chez Provigo n importe o mettez a dans vos vinaigrettes dans votre huile d olive mettez a dans vos soupes partout Les indiens
18. am ricaine Quand on regarde la t l vision am ricaine on a l impression que les attaques terroristes c est terrible En fait le risque de mourir d une attaque terroriste est trop petit pour tre calcul statistiquement les attaques de requins dont les journaux nous parlent abondamment chaque printemps c est une chance sur 280 millions une attaque d anthrax c est une chance sur 57 millions et si vous fumez vous avez une probabilit sur 2 de mourir d une maladie associ e la consommation de tabac M me chose si vous tes ob se c est 1 chance sur 4 L ob sit est en progression fulgurante aux tats Unis J tais un congr s international la semaine derni re le taux d ob sit a doubl dans les 10 derni res ann es Le tiers de la population am ricaine souffre d embonpoint ou d ob sit et l ob sit est maintenant reconnu comme un facteur de risque associ au cancer Classiquement lorsqu on traite le cancer les traitements classiques c est la chirurgie la radioth rapie la chimioth rapie La recherche a amen des nouvelles th rapies o on module le syst me immunitaire c est dire l immunoth rapie o on attaque les vaisseaux sanguins des tumeurs Nous on a introduit dans notre laboratoire un nouveau concept qu on appelle nutri ou nitrath rapie Et l id e est celle que je vais d velopper dans les prochaines minutes et qui va lancer le d bat Qu est ce que c est
19. dicament chimique et les m decines traditionnelles nutritionnelles C est que dans la m decine nutritionnelle traditionnelle il y a norm ment de choses qui ne sont pas bonnes qui sont mythiques qui sont des rem des toxiques Quand je vois les gens qui prennent des suppl ments pour moi c est comme acheter une drogue sur la rue vendue par les motards le LDS ou la coca ne ne sont pas purifi s Celui qui a fait a l a m lang dans un vieux tonneau rouill avec des solvants industriels C est comme les gens qui ach tent des extraits d herbe chinoise Quand vous regardez la propret des restaurants chinois qui sont condamn s Moi J adore la cuisine chinoise mais imaginez les conditions de pr paration C est des conditions hallucinantes avec des herbicides des pesticides Il y a norm ment de toxicit associ a Le probl me que j ai dans ce secteur l c est de me retirer a c est pas un m dicament Il n y a personne qui 44 consomme de la val riane tous les jours depuis 10 ans et qui n a pas d effets secondaires Les herbes les infusions les d coctions les extraits de biloba c est pas des aliments a ne correspond pas ce que je vous ai d cris tout l heure Pour moi un aliment c est quelque chose qui est consomm de fa on quotidienne par une large population pendant une longue p riode de temps sans pr senter d effets toxiques mais des effets b n fiques pour l volution de
20. la science qui tudie l impact physiologique et pathologique des mol cules pr sentes dans les aliments C est pas toutes des carottes et des patates Au contraire moi je pense que c est plus agr able de manger sainement En chimioth rapie le principe c est qu on donne des doses lev es espacer Comme Je l ai dit le principe de la nutrath rapie c est que comme a vient des aliments on peut en consommer tous les jours et la maintenir dans le sang C est ce qu on vise en pharmacologie lorsqu on design un m dicament on souhaite une vie plasmatique longue On souhaite qu un m dicament reste le plus longtemps possible pour qu il tue les cellules canc reuses quand ils sont l et non pas une mol cule qui une dur e de vie de 30 secondes puis qui dispara t apr s Il faut que la mol cule ait le temps d agir Et le 28 concept fondamental de la nutrath rapie c est qu il y a des inhibiteurs naturels pr sents dans les aliments qui remplacent des d ficits qui proviennent de votre g n tique ou qui proviennent de votre environnement du fait que vous ne vous alimentez pas bien que vous avez une mauvaise alimentation que vous vivez trop au soleil vous vivez pr s d une centrale nucl aire ou ainsi de suite Un m dicament qu est ce que c est dans son essence La majorit 95 des m dicaments ont les enzymes comme cible Leur code g n tique le g nome humain maintenant s quenc ont une fonct
21. la soci t Donc toutes les infusions les d coctions si on peut pas en consommer tous les jours pour moi c est pas un aliment Q Mais c tait pas administr comme a d ailleurs d coction infusion etc C tait sp cifiquement justement en cas de maladie R Oui mais vu que ce n tait pas r glement que c tait mal document et que ce n est pas dans un r gime prescrit les gens s improvisent m decins Q Mais les gens qui avaient soit disant le don c tait un savoir qui tait effectivement ancestral a se passait souvent de femme en femme mais a se passait aussi de p re en fils C est assez complexe et a sera int ressant d tudier cette question l Par exemple dans le sud les enfants ne mangeaient pas de tablettes de chocolat ils mangeaient un pignon de pain sur lequel ils avaient frott de l ail Le chou 1l tait utilis dans les soupes avec plein d herbes ils le faisaient mijoter pendant une journ e enti re et a servait de soupe et d aliment La cuisine de base de ces gens l est compl tement d valoris e R Quand les gens me demandent mais finalement qu est ce qu on doit manger je r pond que si vous ne savez pas quoi manger regardez ce que les indiens mangent ce que les chinois mangent ce que les grecs mangent ce que les arabes mangent regardez le bassin m diterran en des cuisines sant peaufin es sur des milliers d ann es Vous savez le taboul il y
22. on va le pr senter en premi re ligne ce dont je vous parle aujourd hui C est dire que les enfants qui vont arriver l h pital avec un diagnostique de leuc mie obligatoirement on va les mettre sur le r gime C est pour vous dire comment a va vite Q ce moment l ils vont tre trait s quand m me R Ils vont tre trait s quand m me videmment on leur donne a en plus Dans la feuille que je donne au patient la premi re chose que je dis c est que la nutrath rapie ne remplace pas le traitement Q Y a t il un groupe qui n en aura pas R Non on ne fait pas une tude clinique Q Il n y a pas d essai clinique du tout R Non c est pas un essai clinique Un essai clinique a co te 200 millions Q Justement 34 R Mais c est pas a qu on veut faire Les donn es qu on a sont assez convaincantes pour que tout de suite on le mette Alors s il y a quelqu un qui veut faire une tude clinique Nous ce qu on veut c est gu rir nos enfants On peut pas faire une tude clinique valid e On veut voir si on va avoir un impact On a des courbes de survie pour tous ces enfants l On a des courbe de demi vie on sait qu un enfant de tel grade la survit moyenne la m diane c est 7 mois et 15 jours Donc on va comparer par rapport ces donn es l On veut justement pas avoir de groupe placebo au cas o a fonctionne Je vais finir avec les suppl ments parce qu
23. risques bienfaits l ments susceptibles de compromettre la discr tion du ministre 0 PAS 5 fois plus d autorisations mises en 10 ans 0 Mariage LAD avec LB O0 Les interventions des fabricants concurrents Proc dure 0 PDN Inspections IDGPSA Proc dure 0 DEC LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS al L information la publicit et les pratiques commerciales sur les m dicaments La qualit et la s curit des m dicaments Les conditions de mise en march des m dicaments Le droit p nal Puret i sn ralit O0 Hygi ne BPF SENS a 0 Falsification Ex Chine bE O0 Normes l gard des drogues Normes de diligence Les garanties l gales lev es Fab Recours collectif Tableau 5 Assouplissement des r gles de droit par les tribunaux Ex n Lapierre La responsabilit de d 0 Radiopharm l tat O Biopharm 4 0 Deux recours pendants 0 M dicaments faute dans ordonnanc s l administration de la LAD Doyer et Luther Hd O Locaux quipements personnel etc EN 0 Vice cach et d faut de s curit C c Q et E s L p c Normes particuli res certaines cat gories de Contr le des r actions ne m dicaments ind sirables O0 OMS SCRI 1968 O0 Au Canada d claration volontaire Ind prof cons Licence z d tablissement PRINCIPAUX RECOURS COLLECTIFS DEPOSES AU CANADA PONDERAL 2000 2002
24. un serpent une femelle enceinte L le avait pas de serpent a t document La femelle est descendu du train d atterrissage elle s est reproduit sur l le puis 3 6 mois apr s il n y avait plus un oiseau sur l le L le o les oiseaux ne chantent pas Une esp ce C est un autre secteur mais pour moi c est le reflet de la m me arrogance r ductionniste des scientifiques C est les m mes qui d pensent des dizaines de milliards pour aller sur les lunes d Uranus On est pas capables de gu rir le cancer l Alzheimer qu est ce qu on va foutre sur les lunes d Uranus Moi J ai de la mis re humainement comme professeur d universit concevoir qu en tant 42 que soci t on d pense des milliards pour une recherche qui ne donne absolument rien Il y a un lobby effrayant de la d fense nationale puis des militaires parce que c est les militaires qui sont en arri re de a Puis en m me temps on est pas capables de gu rir des enfants qui meurent de leuc mie qui meurent avec les m mes pronostiques qu il y a 50 ans Cherchez l erreur Q Et l argent qu on met dans les essais cliniques justement qu est ce que vous en pensez 2 R Par rapport quoi Q Qu est ce que vous pensez d une fa on g n rale des essais cliniques dans l industrie pharmaceutique R Il faut les faire on a pas le choix il faut des essais cliniques Je disais a aux journalistes ce matin il fau
25. ECTIVE TITRE 1 Le prix de vente des m dicaments TITRE 2 Les assurances TITRE 3 Les actes professionnels LA NORME AUTOR GULATOIRE Normes volontaires d velopp es et accept es par l Industrie C Mod le des professions Ex CDM 07 1 0K 010 ad NCP du CCNP CPC du Rx amp D D claration d Helsinki nonc de politique des trois Conseils LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES M DICAMENTS L information la publicit et les pratiques commerciales sur les m dicaments Les conditions de mise en march des m dicaments La qualit et la s curit des m dicaments Le droit civil et l autor gulation La drogue destin e aux essais cliniques La drogue nouvelle L Normes g n rales Mineur et majeur inapte x D livrance de l avis de conformit innocuit efficacit Discr tion du ministre O0 Circonscrite par les tribunaux consid rations de sant publique Les BPC O Qualit des essais et du protocole CER consentement clair tiquetage registre rapports etc O Consentement libre et clair ERACE des risques potentiels m me si rares ou loign s Weiss c Solomon O0 Normes g n rales 0 Absence de risque s rieux O0 CER O0 Consentement substitu 0 Exp rimentation sur un seul sujet 0 Bienfait pour le sujet 0 Exp rimentation sur un groupe 0 Bienfait pour le groupe Majeur apte 0 Proportionnalit
26. M dicament utilis pour la perte de poids All gation hypertension pulmonaire cardiopathie valvulaire et r gurgitation valvulaire Retir du march en 1997 PREPULSID 2001 M dicament contre le reflux gastro esto phagien All gation d c s par l arythmie cardiaque ou crise cardiaque soudaine BAYCOL 2001 M dicament pour r duire le taux de cholest rol All gation rhabdomyolise n vrose des tissus musculaires THIM ROSAL 2002 Produit contenant du mercure pour la conservation des vaccins All gation d faut d aviser que le vaccin contenait du mercure particuli rement nocif pour les b b s PAXIL 2002 Antid presseur All gation effets ind sirables non d clar s C L BREX 2002 M dicament pour soulager les signes et sympt mes de l arthrose et de la polyarthrite rnumato de All gation effets ind sirables non d clar s LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES M DICAMENTS Le Les conditions de mise en La qualit et la s curit L information la publicit et les pratiques march des m dicaments des m dicaments commerciales sur les m dicaments Le droit p nal f d ral L autor gulation Publicit information O0 Probl mes des cas fronti res et Association du m dicament au traitement d une de l information promotionnelle M d maladie mentionn e l annexe A LAD publicit grand public Message faux trompeur mensonger ou susceptible de
27. a a dans des textes datant de 200 ans avant J sus Christ Le poulet de la cuisine indienne c tait dans des textes de 1500 ans avant J sus Christ Je pense que la recette est pas pire Quand je vois des gens modifier un poulet korma j ai envie de l trangler puis de le noyer dans la sauce korma 3500 ans que cette recette l est au point puis on a l arrogance puis la pr tention de dire on va mettre des carottes plut t que du navet Q Ou par opposition au fast food qui existe depuis 50 ans le 2 3 de la population est ob se ils meurent de crises cardiaques de cancers etc R C est a que je voulais dire tout l heure au congr s des m decins les gens c est des statistiques qui les frappent C est la premi re fois dans l histoire de l humanit et a c est les donn es de l organisation mondiale de la sant qu on estime que la g n ration pr sente va avoir une esp rance de vie plus faible que la g n ration pr c dente Q Alors qu on a subi la guerre La g n ration en question a t dans la guerre R Et qu on a la m decine la plus avanc e de l histoire de l humanit qu on vit dans les conditions les plus stables socialement 45 Q Mais a c est la cons quence de la m decine chimique dont on parlait tant t R C est la cons quence de la malbouf fe Q Et de la m decine chimique qui va avec Q Le tort de cette m decine c est d avoir supprim les au
28. a plus rien Quand vous consommez de la viande ce que vous consommez c est des prot ines des glucides vous consommez des macro nutriments pas des micro nutriments Les macro nutriments c est toujours au niveau des plantes Mais l je vais vous donner un exemple de cette grande famille qui nous am ne l origine de la pharmaceutique des m dicaments Les grandes familles c est a les botaniques les hydrates les additifs les l ments les lipides et ainsi de suite les d riv s J irai pas dans le d tail de a mais je veux juste donner les grandes familles Dans Nature la revue scientifique la plus prestigieuse au monde il y a un article sur la pr vention du cancer On a trouv document dans des tudes tr s s rieuses qui ont t faites dans des laboratoires comme le mien puis d autres que les poivrons le gingembre taient associ s des actions anticanc reuses Et ce n est pas de la poudre de perlimpinpin c est pas de dire que du jus de carotte c est bon pour la sant Se sont des mol cules identifi es et caract ris es se sont des mol cules de type flavono de En pratique c est un message qui est difficile passer en Occident On est ce qu on mange Lorsque nous consommons des produits nous exposons nos liquides intestinaux nos cellules une densit tr s tr s tr s lev e on estime aujourd hui entre 8 et 15 000 l ments phytochimiques qui proviennent de la nature Uniquement des p
29. anadiens qui mange chez McDonald par ann e est de 950 millions Le nombre de hot dogs consomm s par les am ricains par ann e est de 20 milliards Pas des millons des milliards La quantit de sucre consomm e par canadien est de 38 kilogrammes et les boissons gazeuses c est 147 litres Moi je consomme 1 litre de boisson gazeuse par ann e Je vous rappelle que c est peu pr s 6 cuiller es table de sucre blanc dans une liqueur C est norme La vision culturelle de l alimentation c est la survie Je mange des calorie puis des vitamines puis a me fais vivre En occident on a un tube de t flon entre la bouche puis l anus puis on consomme n importe quoi c est pas grave Il y a un principe qui s appelle les calories personnes sait ce que sait c est absorb puis a me permet de fonctionner Puis oui il faut aussi des vitamines c est comme l huile entre les jointures Hors on consomme des calories puis des vitamines Puis faut consommer des vitamines puis pas trop de calories puis l on joue l dessus puis a fait 50 ans qu on tient ce discours l en nutrition a n a jamais rien donn En Orient la vision de l alimentation est associ e la pr vention de la maladie la promotion de la sant C est la tradition culturelle C est en train de changer avec l am ricanisation partout mais traditionnellement c tait a Et la nutraceutique dont on parlait tout l heure c est justement
30. ances un co t moyen de 42 09 IMS 2003 En fait il ne s agit plus de d montrer l ampleur du march tellement elle para t vidente Cette r alit confronte l tat des enjeux sociaux politiques et conomiques de taille Ex promouvoir le march des m dicaments tout en assurant la s curit des consommateurs et ce des co ts raisonnables La r gulation des m dicaments constitue un moyen d organiser ce march TH SE DE DOCTORAT Notre th se vise valuer le contr le qu exerce l tat sur les m dicaments et ce de leur conception leur fabrication Dans cette perspective nous analysons la dynamique normative qui merge des trois syst mes r gulatoires que nous avons identifi s L gislation Administration et Autor gulation Nous proposons que ces trois syst mes concourent au fonctionnement d un ensemble qui pr sente des propri t s dynamiques et cycliques SUJET DE PR SENTATION Expos sommaire des principales normes l gislatives administratives et autor gulatoires auxquelles les acteurs sont assujettis de la conception du m dicament sa consommation Parcours du m dicament tat du droit La r gulation des m dicaments LA R GULATION DES M DICAMENTS TITRE PR LIMINAIRE Les sources de r gulation PARTIE 1 La mise en march et la fabrication PARTIE 2 La distribution des m dicaments des m dicaments CHAPITRE 1 La norme l gi
31. anger apr s un certain temps S il y a un b n fice court terme vous le gardez On a galement un filtre long terme Par exemple une drogue comme l h ro ne la morphine ou le pavot va tre s lectionn e court terme Elle pr sente un avantage Vous vous sentez dr lement bien si vous bouffez du pavot quand vous tes bless parce que vous tes anesth si Les 26 animaux consomment des produits hallucinog nes Les l muriens consomment des drogues psychotropes On a film il y a 2 ans la premi re intoxication volontaire de mammif re Sauf qu long terme la soci t va le rejeter parce qu une soci t toxicomane ne peut pas fonctionner Le chef du village va l interdire et on va l liminer long terme Et ce qu on a s lectionn travers tout a c est ce qu on appelle les aliments Donc 1l y a donc un effet b n fique pour la sant si un aliment est s lectionn Tout a c est des millions d ann es d volution d observation des animaux et de transmission par les parents par les femmes surtout qui faisaient la cueillette Si on tait juste des hommes on ne mangerait que de la viande parce que c est ce que les hommes prenaient Les femmes exp rimentaient elles taient les premi res herboristes Toutes ces mol cules l viennent des plantes On ne parle que des plantes du premier niveau C est au deuxi me niveau des carnivores qui consomment des herbivores que l on n
32. ce prononc e par le Docteur Richard B liveau dans le cadre des activit s du programme de recherche concert e sur La cha ne des m dicaments le 12 novembre 2004 Lors de la derni re r union nous parlions de lancer le d bat sur le changement de la notion de m dicament dans la soci t Puis 1l y a aussi tout le d bat sur le retrait du Vioxx Je donnais un interview ce matin au journal Les Affaires au r dacteur en chef qui m a appel personnellement pour commenter le retrait du Vioxx Donc je pense qu on est en train de se positionner autour du m dicament de fa on tr s importante C est ce qu on visait avec Catherine au d part d tre un point de r f rence dans la soci t J ai pr par quelque chose d une quarantaine de minutes L id e c est de lancer le d bat Moi videmment je vais parler du cancer parce que c est le mod le avec lequel nous travaillons Juste pour donner des chiffres de fa on voir comment le d bat est fauss 10 millions de nord am ricains ont le cancer 600 000 personnes par ann e en meurt En termes d incidence sociale c est l quivalent de 4 Boeing 747 qui s crasent On fait des gros d bats on fait des entrevues de 20 minutes la t l vision parce qu il y a eu un accident d auto mais chaque jour c est 4 Boeing 747 Les taux de survie en 5 ans ne sont que de 60 Les co ts du cancer sont de 180 milliards de dollars par ann e pour la soci t nord
33. confirme notre hypoth se de d part C est partir de donn es comme celles l qu on peut affirmer qu on a tous des tumeurs La pr vention rejoint donc la th rapie Dans une th rapie classique on traite avec des hautes doses mais c est tellement toxique qu on laisse le patient r cup rer Pendant que le patient r cup re sa tumeur r cup re aussi se revascularise et c est l chec th rapeutique L id e c est qu avec l approche nutraceutique m tronomique ou antigiog nique qui sont Synonymes on des doses beaucoup plus faibles de telle sorte qu on a pas de toxicit on ne laisse pas le patient r cup rer parce qu il est pas intoxiqu La tumeur r gresse plus lentement et la tumeur va ventuellement dispara tre C est le principe de la nutrath rapie Il faut voir le cancer de la m me mani re qu une maladie chronique comme on voit l hypercholest rol mie le diab te ou l hypertension comme une maladie qui prend des ann es se d velopper C est l qu on a trouv le concept de la nutrath rapie pour la pr vention du cancer Hors la premi re cause de tous les cancers c est le tabagisme Vous fumez c est un suicide assur La meilleure fa on de mourir c est de fumer Le tiers de tous les cancers 24 est associ au tabagisme pas du cancer du poumon de tous les cancers La majorit des gens sont sensibles a Ce que vous ignorez probablement c est que le tiers au
34. dur aller p cher a vit dans la vase c est repoussant c est sale c est dur ouvrir c est visqueux l int rieur Il y a des gens qui m me si on leur dit que c est bon ne sont pas capables de manger des hu tres C est pas vident qu on mange des hu tres Pourtant on mange des hu tre et on ne mange pas de pivoine La pivoine c est beau a pousse facile c est une belle fleur c est juste la bonne hauteur a sent bon a serait pas dur manger Personne ne mange de pivoine mais on mange des hu tres On a fait un cheminement qui nous a amen faire ces choix l Je distingue 3 sources d aliments qui nous am nent choisir un l ment comme tant nutraceutique Il y a d abord l valuation auto empirique Tous les enfants font a manger des verres de terre manger de la terre c est toxique Si c est pas toxique on le garde En plus il y a l ducation des parents C est comme a qu on apprend Il y a aussi l observation des animaux et l exemple des hu tres que nous avons d j mentionn On observe ce que les animaux mangent et on se dit que si le chimpanz le mange a ne devrait pas tre trop mal On se ressemble pas mal on est des tres de m me type Et on s lectionne Si a pr sente une toxicit ou aucun b n fice court terme on le jette Par exemple manger de l herbe a ne nourrir pas a ne donne pas d nergie vous aller donc arr ter d en m
35. e a c est un secteur dont vous allez obligatoirement entendre parler Moi je suis contre les suppl ments La raison est tr s simple si vous consommez du brocoli vous consommez des centaines des milliers de mol cules phyto chimiques diff rentes Si vous consommez un suppl ment de sulfuratane vous consommez des mol cules de sulfuratane Il faut penser surtout pour le cancer cocktail de mol cules Je dis toujours que le cancer c est comme un seau qui est perc s il y a 15 trous m me si vous bloquez 8 ou 5 des trous le seau va continuer de couler L id e de la chimioth rapie et de la nutrath rapie c est d avoir dans le sang dans nos tissus un cocktail de mol cules actives Et c est l que la nutrath rapie se distingue de la pharmacoth rapie De plus il n y a pas de contr le de la qualit Il n y a aucune r glementation sur les suppl ments Il peut y avoir 1 milligramme ou 10 grammes personne ne contr le a Il n y a pas de contr le de quantit dans ces produits ils sont souvent instables On vend des mol cules de nicopen c est ultra instable On essai de travailler avec a on s est arrach les cheveux pendant 3 mois puis on a d arr ter le brevet Pour le cancer de la prostate Nicopen c est une des mol cule les plus fortes C tait intravaillable c tait hydroforme c tait instable chimiquement pourtant il y a plein de compagnie qui vendent a sous forme de capsules sans aucun co
36. e comp tences du c t m dical ils ont des comp tences mol culaires Donc nous ce qu on veut faire partir du moment o on va avoir identifi cela on va leur envoyer notre extrait de jus et ils vont isoler les mol cules C est le r seau qu on a form On veut faire un m ga r seau Q En fait on va r ussir voir quand m me quelque chose qui nous prouve vraiment l incidence sur le traitement des leuc miques R On les a d j pour beaucoup d aliments Q Ca a doit tre publi Moi je ne suis pas tellement bien cette litt rature l R Ah c est publi On a publi une trentaine d articles d j Lancet qui est l une des plus grandes revues m dicales au monde nous a invit l t dernier a crire un ditorial sur un groupe en Angleterre qui avait trait des leuc mies avec un extrait de th vert partir de nos tudes publi es dans Cancer Research la meilleure revue d oncologie Ce n est pas publi dans le Journal de Montr al ces tudes l ni dans les meilleures revues m dicales de la plan te Dans le Lancet on a publi un ditorial sur le th vert Les m decins sont fous de joie de voir que quelqu un qui apporte des bases scientifiques l dessus Dans tout le cours de m decine 1l n y a qu une heure de pr vention Et on parle d ducation physique et de tout ce que vous voulez On va parler 10 minutes de nutrition dans tout le cours de m decine Tout le monde es
37. en consomment des grammes par jour et tout le monde est heureux Ce que je veux vous montrer ici c est que si vous faites prendre des patients du tumeric puis que vous mesurez dans le sang l apparition du turmeric videmment la courbe est aplatie mais c est a qui appara t dans le sang Hors ce qui appara t c est la petite ce qu on mesure on appelle a en pharmacologie the area under the curve la surface sous la courbe Voyez que vous en absorbez mais pas beaucoup videmment si j agrandi a vous allez voir o vous en absorbez Hors ces m mes patients quand vous leur donnez une cuill r e th de turmeric dans l huile d olive avec 4 5 coups de moulin poivre c est l qu on a du turmeric dans le sang Il y a une mol cule dans le poivre noir qui s appelle la pip rine qui bloque la glucuronidation intestinale et lorsque le curcuma est glocuronid dans l intestin 1l est limin par voie naturelle il n est pas absorb Donc l indien du sud de l Inde qui mange plus pic et qui prend beaucoup de poivre a dans son sang une dose de chimioth rapie de curcumino de 400 fois 2000 fois plus lev e Quand on pense que l Am rique du Nord a t d couvert cause de la course au poivre c est vous dire 33 l importance historique du poivre Aujourd hui les gens regardent a comme n importe quoi R gle de base il faut arr ter de saler mais poivrer poivrez tout ce que vous
38. enant on va revenir aux anciens anti inflammatoires qui causaient des saignements gastriques On meurt d une perforation de l estomac d une h morragie interne a c est pas grave a veut dire que le lobby des cardiologues est plus fort que celui des gastro ent rologues Si vous allez manger de la restauration rapide vous savez que vous cultivez une crise cardiaque de l hypertension du diab te etc Quand vous mangez de la cr me glac e que vous prenez des boissons gazeuses vous savez que vous allez devenir diab tique Pourtant personne ne poursuit ces compagnies l Q Vous voulez dire qu il faudrait garder le Vioxx R C est s r qu il faut le garder Il faut dire aux gens qu il y a un risque associ a Si vous prenez votre voiture vous pouvez avoir un accident si vous allez faire du ski vous pouvez vous casser la jambe Il va toujours arriver des accidents mais on ne veut plus qu il y ait d accident on veut tre prot g s on veut avoir des assurances pour tout a ne se peut pas Le cas du Vioxx je trouve a tragique pas pour Merck pour les 98 de patients qui souffraient de douleurs inflammatoires chroniques qui vont tre oblig s si Celebrex est retir de retourner des m dicaments qui ne sont pas bons qui ont 10 fois plus d effets secondaires des effets gastro intestinaux pouvantables Personne ne parle de a personne ne d nonce a Q Le double d effets secondaires par rapport
39. es st riles On prend a dans les p tris on les expose ces agents l et on a des tests de mesure d activit micro condriale par exemple une activit de la division cellulaire l activit de la mort cellulaire qu on mesure avec des specto photom tres 32 Un autre exemple encore plus frappant c est le fr re d un oncologue l h pital Sainte Justice qui tait venu me voir parce que son fr re souffrait de psoriasis avanc videmment on travaille ensemble et il savait ce que je faisais Or le psoriasis c est pas le cancer mais c est une maladie tr s pr s du cancer C est une maladie inflammatoire o il y a norm ment de vascularisation Les patients psoriasiques se sont des monstres quand a atteint le visage et les bras puis qu ils sont couverts de cro tes blanches et qu ils sont ostracis s c est des douleurs psychologiques physiques intenses Ce patient l tait trait depuis 1 an et demi avec un m dicament de chimioth rapie le m thotrexate et ne r pondait pas Apr s 1 an et demi de m thotrexate on l a mis sur un cocktail qui s appelle le phytostatin qui est essentiellement du soya un extrait de soya de th vert et de curcuma en capsule et apr s simplement 4 semaines les l sions sont disparues C est m me pas un cancer c est une maladie pour laquelle on a aucun traitement Hors c est une premi re r ponse clinique qu on a eue Je vais vous donner un autre exemple On
40. est que vous parliez vous m me enfin du gaspillage dans le la phase avant R C est pas l que l argent passe Q Voil on aurait peut tre depuis longtemps un nutri m dicament qui nous co terait beaucoup moins cher et qui permettrait m me de faire l conomie des essais cliniques R Qui va le d velopper Si vous voulez convaincre tout le monde de le faire il va falloir quelque part faire une tude clinique pas juste une m thode d analyse Q Non mais parce que vous pouvez mettre a sur le march R a prend un groupe placebo c est quoi votre groupe placebo 43 Q Justement je n en veux pas R Moi non plus j en veux pas mais si vous voulez faire une tude clinique Q Je veux pas la faire justement mais je crois que vous pouvez on peut le faire mais dans la promotion R C est a c est ce qu on fait on est sur la m me longueur d ondes on dit la m me chose Je pense exactement comme vous Moi ce que je dit c est que j ai pas besoin d tudes cliniques c est pas toxique On fait des tests cliniques pour viter la toxicit Le premier but d une tude clinique c est d viter la toxicit J avais le choix de rester dans mon laboratoire l h pital puis de dire dans 10 ans on a un rem de miracle suivez cette di te l et vous n aurez pas le cancer Les gens nous auraient demand pourquoi on n en a pas parl avant Donc j ai d cid d en parler to
41. i s ch s extraordinaires Quand vous regardez la composition de a si vous mangez 3 pruneaux l apr s midi c est 95 calories c est plein de fibres Il y a peu pr s 15 grammes de fibres dans 3 pruneaux C est super bon avec une tasse de th plut t que de manger une barre de chocolat avec un coke Surtout 1l faut en faire une habitude r guli re Hors la famille chou chou fleur navet brocoli c est tr s important Et le chocolat noir est ultra anti canc reux la f ve de cacao au moins 70 c est tr s anticanc reux Tous les petits fruits bleuets framboises Voyez en occident le soya le curcuma le th vert on n en mange pas beaucoup mais pourtant c est parmi les plus actifs C est probablement la di te m diterran enne L ail les oignons les chalotes sont aussi tr s importants La grande carence des nord am ricains c est toutes les l gumineuses f ves noires f ves rouges 1l y en a 70 sortes Ici on reste avec les f ves blanches c est bon mais il faut varier Allons dans les soupes de f ves noires br siliennes les salades de pois chiches berb res avec de l huile d olive du cumin de l ail Ici les gens vont s acheter une bo te de pois chiches ils mettent a dans l assiette et puis ils mangent a la cuiller L id e c est de manger des plats de cultures traditionnelles et d aller chercher dans la richesse culturelle de l humanit ce qui a gard l homme e
42. ion qui est comme un blue print C est une matrice qui sert produire des enzymes Quand vous pensez quand vous marchez quand vous dig rez quand vous faites n importe quelle activit biologique c est la r sultante de micro machines qui ont des structures tr s complexes dans l espace qu on appelle des enzymes et qui sont des prot ines Ces enzymes sont catalyseurs du vivant la fonction biologique est toujours enzymatique Elles sont tellement actives qu il faut les contr ler dans le sang les cellules les tissus avec des inhibiteurs naturels partir de ces enzymes d autres g nes sont produits Exemple la trypsine Quand vous dig rez un steak dans votre tube digestif votre tank gaz produit de la trypsine et vous avez dans votre sang une anti trypsine Pourquoi Parce que quand vous consommez un steak vous avez envie d avoir des enzymes qui viennent bouffer votre steak Vous prenez une pi ce de steak sur la table vous prenez une biopsie de pancr as quelqu un vous prenez de trypsine synth tique vous mettez une goutte dessus 15 minutes apr s le steak est dig r vous allez avoir du jus de viande C est a qui se passe dans votre tube digestif Seriez vous int ress s ce que cette trypsine l soit en action 24 heures par jour dans votre tube digestif quand vous avez pas de viande Qu est ce qui se passerait Vous vous dig reriez vous m me Donc on produit un anti trypsine et cette anti trypsine agit c
43. lantes C est donc pour a que c est surtout des l gumes et des fruits Si vous mangez du fast food si vous ne mangez pas de l gumes ou de fruits vous vous privez de ce coktail l Hors pour vous donner une id e il y a plus de mille aliments phytochimiques qui ont d j prouv leur activit anticanc reuse sur les 10 000 Un simple service de l gumes dans un repas peut contenir un cocktail de 10 mol cules phytochimiques Est ce qu on consid re a lorsqu on traite des patients Personne sur la plan te a jamais consid r la coadministration d aliments lorsqu on donne de la chimioth rapie des gens Et le NCI National Cancer Institute a un programme de pr vention Il y a 400 l ments phytochimiques et 65 essais qui sont en phase clinique Je pense que c est important que notre groupe ne fasse pas juste le classique phase 1 phase 2 phase 3 de la recherche C est l l avenir de la m decine Il n y a pas une compagnie pharmaceutique sur la plan te qui a une banque de 10 000 compos s dans le pipeline on appelle a un pipeline de production Les grosses pharma l ils en ont 5 6 et ils sont bien contents Une petite biotech elle en a un puis un autre dans le pipeline a c est une grosse biotech Une biotech qui commence en a une puis elle vit l dessus L vous avez une banque de 10 000 Mais a ne c est pas fait en vingt ans de recherche de chimie organique puis de 21 synth se La nature a essay de s
44. mangez parce que l acup rine va augmenter l absorption de la majorit des flavono des que vous consommez dans les fruits et l gumes Il y a une clinique de malformation vasculaire dont je fais parti et on a identifi dans l urine de ces enfants l un enzyme associ la coagulation On avait rien pour ces enfants l hors j ai d cid de les traiter simplement avec du th vert 3 tasses de th vert par jour et notre grande surprise en 3 semaines on observe une disparition du marqueur de cette maladie l dans le sang On a un groupe qui traite ces enfants l simplement en monoth rapie en leur donnant du th vert C est un r sultat clinique a Q Est ce que a veut dire que quand vous testez ces choses l vous n tes plus oblig s de fonctionner suivant les r gles de tous les essais cliniques et autres sur le plan de la d ontologie puisque c est alimentaire R On est pas oblig de le faire Q Vous n y tes pas contraints R Non on impose pas aux gens de faire a C est les gens qui viennent me voir et qui disent Docteur mon ami m a parl de a et a m int resserait tant qu manger n importe quoi On ne force personne Si on voulait engager de force des gens qui ont t diagnostiqu s avec une leuc mie chronique on pourrait passer par la clinique On en discute avec tous les oncologues du service Ce qu on veut faire c est plut t que de le faire sur des cas anecdotiques
45. me niveau que vitamine a veut ne rien dire un anti oxydant on fait 250 types de r actions chimiques dans le corps humain minimum juste par les enzymes pourquoi est ce qu on focalise sur une r action d oxydo r duction c est un non sens a fait scientifique les gens aiment a ils ont l air savants quand ils disent a a ne veut rien dire se sont toutes des enzymes des inhibiteurs qui visent tous a Et l je veux montrer que ces mol cules l d origine nutraceutique elles ont des cibles pharmaceutiques et si vous voulez inhiber le cancer a correspond peut pr s aux classes de tous les m dicaments qui sont en essai clinique et qui sont utilis s en clinique lorsqu on veut traiter un patient qui a un probl me de cancer Il y a n cessairement la combinaison de m dicaments qu on va lui donner Cito toxique a veut dire que a d truit les cellules canc reuses un anti imunosupresseur va activer votre syst me immunitaire pour que vous puissiez vous d fendre davantage Un anti m tastase va emp cher les m tastases Un anti inflammatoire va r duire l inflammation associ e au cancer Tous les m dicaments de chimioth rapie tombent ces cat gories Pour chacune de cat gories il y a plusieurs mol cules d origine nutraceutique qui ont t identifi es et caract ris es ce Jour Ce sont les m mes cibles J y reviendrai plus loin Si on distingue nutraceutique et pharmaceutique ce qu il y a de co
46. mmun entre les 2 c est que se sont des mol cules avec des structures chimiques connues Les 2 ont galement ce que je viens de vous montrer des cibles mol culaires et cellulaires qui sont valid es Donc sur ce point l les 2 se ressemblent O est ce que a diff re C est qu un produit pharmaceutique est synth tique un produit nutraceutique est d origine naturelle produite par les cellules Lui est s lectionn par l volution il a surv cu c est parce que l volution sur 3 8 milliards d ann es l a s lectionn Si vous mettez l histoire de la vie sur la terre la hauteur de la place Ville Marie vous mettez la naissance de la vie en haut au plafond du dernier tage de la place Ville Marie les dinosaures apparaissent peu pr s au 2 tage Jusqu au 3 tage la vie c est juste des uni cellulaires Au 2 tage les dinosaures apparaissent Ils meurent peu pr s 2 m tres du rez de chauss e Les grands singes apparaissent 20 cm du sol et l histoire de l homme de l homme des cavernes aujourd hui c est l paisseur de la couche de peinture du plancher du rez de chauss e Q Donc c est pas la peine de s nerver R C est pas la peine de s nerver Puis on va dispara tre parce qu on est trop stupides On est l paisseur d une couche de peinture sur un difice de 40 tages C est a l histoire de l homme Pas des gyptiens de l homme des cave
47. n sant depuis des milliers d ann es La cuisine indienne la cuisine chinoise ont 4000 ans d ge On est en train d tablir une quantification pharmacologique de a Parlons du raisin Hors le raisin vous pouvez en avoir qui va vous donner du Cabernet Sauvignon ou du Merlot Quand vous buvez un verre de Merlot ou un verre de Cabernet Sauvignon a ne go te pas la m me chose Pourtant c est un l ment qui s appelle le raisin Allons plus loin Supposons que vous choisissez le Cabernet Sauvignon vous buvez un Cabernet Sauvignon fran ais ou un Cabernet Sauvignon californien a ne go te pas la m me chose pourtant c est le m me raisin la m me vari t L effet du sol y est pour quelque chose Et dans le Ch teau Latour vous avez un 61 qui est une grande ann e et un 87 qui est une ann e pourrie a n a pas le m me go t Donc si vous regardez a c est tr s complexe l alimentation comparativement la pharmaceutique Pour la nutraceutique on est juste aux balbutiements au tout d but C est le d but d une grande aventure Le projet qu on veut faire le projet de la chaire de pr vention du cancer dont je suis titulaire c est un projet que J appelle le projet du nutrinome comme le projet g nome comme le projet prot nome On veut tablir une cartographie de l alimentation humaine Je rencontre la ministre de l agriculture dans 2 semaines Je veux lui proposer qu on cr e au Qu bec une ferme exp
48. nc e par le Docteur Richard B liveau sur l tat de la recherche en nutraceutique prononc e dans le cadre des activit s du programme de recherche concert e sur La cha ne des m dicaments le 12 novembre 2004 Le Dr B liveau revisite les r les du m dicament et de la pr vention En analysant notre conception de l aliment il montre galement comment la pr vention tend rejoindre aujourd hui la th rapie Cette pr sentation constitue un sommaire sch matique du volume de Me Mathieu Gagn intitul Le droit des m dicaments publi aux ditions Yvon Blais Il s agit d un expos de l tat du droit qu b cois et canadien de la conception du m dicament sa consommation L approche emprunte le parcours du m dicament et pr sente les principales normes auxquelles les chercheurs les comit s d thique de la recherche les fabricants les grossistes les distributeurs les professionnels de la sant les consommateurs les gouvernements et les autres intervenants du parcours des m dicaments sont assujettis LA R GULATION DES M DICAMENTS Par Mathieu Gagn avocat Docteur en droit Universit Laval 14 mai 2004 CONSTAT G N RAL Le march des m dicaments conna t un important essor Valeur totale des m dicaments achet s par les pharmacies et les h pitaux 11 2 milliards IMS 2003 En 2002 les pharmacies canadiennes ont d livr pr s de 340 millions d ordonn
49. nt le r ductionnisme il vient pas du jud o chr tien Il vient effectivement de la chimie R La chimie qui tait tr s bonne en industrie qui produisait des polym res d riv s du p trole le probl me c est que rendue en biologie pour traiter l Alzheimer a n a aucun sens J ai parl des chimistes quand je leur demandais quel tait leur back ground ils me disaient j tais dans les polym res Le gars qui pass sa vie faire des polym res de tapis puis qui est engag par Novaris pour travailler sur l Alzheimer c est a la r alit C est a le probl me le cancer c est beaucoup plus complexe que a Il y a des gens qui survivent au cancer 1l y a des groupes qui n ont pas de cancer on serait peut tre mieux de regarder qu est ce qu ils ont dans les mol cules de leur sang voir ce qui leur emp che de d velopper le cancer On va aller pas mal plus vite que d essayer toutes les millions de mol cules que vous pouvez synth tiser en chimie L approche pharmaceutique pr sentement c est des banques de chimie combinatoire C est des banques de 200 300 400 500 milles bouteilles Le matin on prend celle l puis cette rang e l puis on la met dans un appareil et il y a des syst mes robots qui prennent a le diluent et le mettent en contact avec des cellules Ensuite on en s lectionne 50 sur 500 000 puis l on passe un 2 tour C est comme a que a marche Pourquoi est ce qu on fai
50. ntr le de la qualit C est aberrant quand on pense a D un point de vue pharmaceutique on est tellement surveill s Vous tes poursuivis pour des centaines de millions s il y a une erreur sur un lot de quantit de mol cule que vous avez mis dans la capsule C est quelque chose comme 25 des patients qui prennent syst matiquement des suppl ments de toutes sortes Tout le monde prend des suppl ments Vous demandez un patient Prenez vous des suppl ments et ils disent Non non je ne prends pas de suppl ment Vous leur demandez Prenez vous des vitamines et ils r pondent Ah bien oui je prends des vitamines Vous ne prenez pas de suppl ment de fer Ah bien oui je prends des suppl ments de fer Vous ne prenez pas de M tamusil Ah bien oui je prends du M tamusil Et l on a une liste de 15 suppl ments que la personne prend Mais en pratique elle ne prend pas de suppl ments tellement c est devenu une habitude C est a que je disais aux journalistes du journal Les Affaires on veut pas changer nos habitudes de vie J appelle a l effet Pepto Bismol Vous avez vu cette publicit l Pour moi c est tr s repr sentatif de la soci t Nord Am ricaine coutez les nouvelles ABC NBC ou CBS prenez le pouls de la soci t Nord Am ricaine coutez les nouvelles entre 6 heures et 7 heures et demi 80 des messages sont des messages de m dicaments 80
51. omme une clef dans une serrure inactive C est pas une clef serrure C est un poign e de main J ai une configuration et quand on donne une poign e de main qu est ce qui se passe entre nous deux La main change de configuration C est pas une clef dans une serrure C est un changement de configuration induit de structure dans l espace qui fait que ce complexe l va tre inactiv C est a la base de la vie Quand on donne un m dicament c est un analogue structural de l inhibiteur endog ne C est aussi simple que a un m dicament On essaie de l imiter 1l y a d autres types mais l essence c est a c est un analogue structural qui inhibe l enzyme ou qui remplie la fonction d inhibiteur naturel Le concept que je veux amener c est qu on a une classe de mol cules dans les aliments qui S appellent non pas des aliments pharmaceutiques mais nutraceutiques qui eux galement ont des structures semblables et qui se lient au r cepteur et modulent l activit des r cepteurs de la m me fa on Donc le concept de la sant si vous tes en sant vous avez une balance entre vos inhibiteurs puis vos enzymes Si vous tes malade vous avez trop d enzymes par rapport vos inhibiteurs et le principe de la nutrath rapie ou de la pharmacoth rapie c est de prendre des mol cules qui ressemblent aux inhibiteurs et qui viennent r tablir la balance c est ce qu on appelle en m decine l hom ostasie
52. on jud o chr tienne cette id e que l esprit humain est capable de transcender la nature et de faire mieux que la nature dont il est le produit ce moment l un aliment industriel est n cessairement meilleur qu un aliment naturel C est de faire fi de l histoire r volutionnaire dont tu parlais c est de consid rer que s il y a un suppl ment de vitamines pr par en laboratoire c est n cessairement mieux que les vitamines que la nature produit elle m me Et ainsi de suite Et ce moment l c est beaucoup li une id ologie aussi qui consiste penser qu on est capable par ce rationalisme l de vivre sans la mort sans danger de vivre sans le risque et ce moment l a fait un monde o les pharmaceutiques les avocats les compagnies d assurances deviennent des multimilliardaires et que notre mani re de vivre les nourrit et nous tue Au fond c est a R C est la tradition jud o chr tienne pour moi qui est l origine On a t cr le 7 jour de la cr ation on est au dessus de la cr ation donc c est impossible pour un occidental de penser qu il est un cosyst me qui vit L exemple des probiotiques on a plus de bact ries dans le tube digestif que de cellules dans le corps humain Les gens se font faire des lavages d intestin et c est bien populaire coutez on a fait une tude clinique ici sur ces bact ries l J tais sur le comit l h pital Maisonneuve
53. ontenant des curcumino des il y a une petite induction de mort d peu pr s 20 Qu est ce que a veut dire a veut dire que si vous avez un indien Delhi qui prend son curry il y a son aporthose dans le sang Si vous avez un japonais Tokyo qui prend son th vert il a son d aporthose Mais si vous avez un chinois Singapour qui a une culture la fois indienne et chinoise qui prend son curry avec son th vert il a un cocktail de chimioth rapie dans le sang qui est tr s bon On ne parle pas d effets marginaux se sont ces essais l qu on utilise en clinique et en pharmacologie J ai fais ces tests l pas des centaines des milliers de fois pour toutes sortes de formats et toutes sortes de biotech pour savoir si leur m dicament tait actif Q Comment vous faites vos tests R On a des cellules en culture qui proviennent de patients qui sont d c d s d un cancer du sein de la prostate une biopsie Moi je re oit chaque semaine les chirurgiens m appellent Notre Dame il y a un infirmier qui vient me porter a on va chercher la biopsie sous glace st rile on l am ne en salle des cultures on la dig re on disperse les cellules canc reuses on leur donne du s rum on les fait pousser on les s lectionne et on a les p tris des cellules d a peu pr s tous les cancers humains La signature d une cellule canc reuse c est d tre ternelle donc on peut la repiquer la rediviser dans des hott
54. p plus gros qu eux Et nous d rivons tous les mammif res de ce rat l Il y a 15 millions d ann es les singes commencent appara tre C est l tape de la chasse et de la cueillette et c est l qu on s lectionne les aliments qu on va consid rer Je vous rappelle que les grands singes partagent 98 5 de notre g nome Et pour certains chimpanz s on est rendus 99 Nous sommes tous identiques g n tiquement au niveau g nomique 99 99 hors c est norme Donc ce n est pas n gligeable ce 15 millions d ann es l Et 200 000 ans l homme appara t La cuisson commence appara tre cette poque C est quand m me r cent sur 15 millions d ann es La naissance de l agriculture se situe environ 7 000 10 000 ans L industrialisation de la nourriture est apparue dans les 80 derni res ann es En 80 ans on a chang 15 millions d ann es de s lection Il faut voir l tre humain comme un tre un microcosme en quilibre avec son environnement comme un cosyst me C est l la question qu on doit observer avant d arriver au m dicament parce qu autant Hippocrate que la m decine v dique en Inde ou la m decine tao ste en Chine disaient Que l aliment soit ton m dicament Hors qu est ce que l aliment Qu est ce qui fait qu on consomme certains produits mais pas d autres Pourquoi est ce qu on consomme les hu tres mais pas les pivoines Les hu tres c est
55. port et quand j ai vu qu ils ne savaient pas ce que c tait que leur corps Litt ralement c taient des gens sans corps pour moi Ils disaient qu ils avaient mal l estomac et ils me montraient le ventre alors je me disais mais c est pas croyable l estomac il n est pas l a ne marche pas leur truc Et J ai t sid r e de l incapacit d identifier sur soi m me des choses qui sont fondamentales d identifier la douleur par exemple Et quelle douleur et quoi ils 40 l associe Donc ils ont aucun v cu fondamental du corps Et j tais avec des gens qui taient soi disant en ducation physique qui ne savaient m me pas le b a ba de sauter d un pied sur l autre ou des choses de ce genre Q Faudrait pas faire un raccourci trop rapide du point de vue historique je suis absolument d accord pour la p riode actuelle mais parce que avec la tradition jud o chr tienne Hippocrate enfin que ton m dicament soit ton aliment a a continu dans toute la tradition de la m decine tant que la m decine est rest e hippocratique hell nique etc Et je dirais que tout l art de manger de consommer des produits naturels comme m dicaments justement c est toute la pharmacop e traditionnelle La pharmacop e gal nique elle est principalement uniquement bas e sur la phyto Bon ensuite on a introduit autre chose Q C est un peu la r volution galil enne de la m decine apr s elle devient science Q
56. que le cancer au d part C est une cellule sur 60 mille milliards qui mute pour toutes sortes de raisons cause des mutag nes des ultra violets o simplement dans la division cellulaire Le taux de division cellulaire comme je le disais est norme Vous perdez chaque jour des milliers de milliards de cellules normales Et lorsque l une de ces cellules l se divise mal les chromosomes sont mal align s il y a 23 des bris de chromosomes Cette cellule l 99 99 du temps heureusement elle va mourir et une fois sur 1 milliard elle va devenir mutante Elle va survivre et c est la premi re cellule mut e qui va donner naissance une micro micro tumeur de quelques centaines de quelques milliers de cellules ventuellement si vous l alimentez parce que vous mangez mal vous lui permettez de se d velopper Elle va g n rer une premi re tumeur qui est d tect e uniquement lorsqu elle atteint un volume de 1 cm cube Ca c est 1 milliard de cellules canc reuses Ce milliard ce cellules l rel chent 1 million de cellules canc reuses par jour dans votre sang et de ces millions de cellules l sur des ann es certaines vont coloniser vos tissus C est ce qu on appelle des m tastases Donc globalement a c est la probl matique Avec le concept de la nutrath rapie on veut r viser les r les du m dicament et de la pr vention C est qu aujourd hui on sait que nous avons tous des tumeurs ici dans la salle
57. ques de fa on al atoire Et c est la raison pour laquelle on fait des essais cliniques pour d terminer s il y a des antagonismes ou des synergies Juste pour comparer J ai fais une recherche sur les 10 derni res ann es dans Medline et dans une autre banque de donn es si vous tapez le mot cito toxic agent il y a 12 000 r f rences qui sortent Si vous tapez inhibiteur de cox 2 2 000 r f rences qui sortent Vous tapez blueberry 142 sulfuratane dans le brocoli 120 r f rences Faites le ratio a vous donne l intensit de la recherche qu il y a en pharma versus l intensit de la recherche qu il y a en nutra Pourquoi Parce que a a ne se prot ge pas Il n y a pas de propri t intellectuelle associ e a Amener un m dicament en phase clinique co te entre 500 et 800 millions de dollars am ricains donc c est vident que les pharma veulent se prot ger Il y a norm ment plus de recherches l dessus On fonctionne peu pr s 2 millions de subventions par ann e dans mon labo 90 des subventions viennent de l industrie pharmaceutique L autre point important avec le nutraceutique par rapport au pharmaceutique c est qu il y a une composante importante Si vous prenez des cellules canc reuses en laboratoire que vous les observez pendant 24 heures les cellules ne meurent pas parce qu elles sont en division Vous les traitez avec une pice indienne qui s appelle le turmeric ou le curcuma c
58. rations de Bvision ge consommateur un groupe minist res et les soci t s de professionnels ou de l ApprpustIOR qg ta d int r t particulier ou intra i scientifiques imitations publicit des NCP i a Couronne 7 7 industrie ns s curit superstitions et Publicit faite par les frayeurs publicit destin e Sanctions entreprises organismes ou aux enfants publicit D Modification de la publicit institutions d sireux destin e aux mineurs O0 Retrait de la publicit d am liorer leur image descriptions et publique ou de mettre de repr sentations l avant un point de vue inacceptables Soumission au Plaintes au conseil des NCP conseil des NCP LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS Les Se de mise en La qualit e et ia s curit L information la publicit et les pratiques march des m dicaments des haakse commerciales sur les m dicaments le L autor gulation au 6 4 CAP du 1 CCPP CCNP du NCP CPC du Rx amp D Table Application Plaintes au Comit des pratiques du Rx amp D Principes Lancement de nouveau m dicaments pratiques sur la Distribution d chantillons Sanctions commercialisation L EMC O0 Amendes max 15 000 Exposition dans les congr s et cliniques Radiation de la Rx amp D Cadeaux Accueil Visiteurs m dicaux repr sentants pharmaceutiques tudes de phase IV Appel au Comit Objets caract re promotionnel d arbitrage tudes de march etc
59. re on pourrait peut tre avoir une br che R C est a qu on veut faire Je veux rapprocher les 2 mondes Pour moi c est un projet qui est tr s porteur d un point de vue politique J ai d j rencontr un ministre de la culture qui tait venu visiter mon laboratoire Amener la m decine l agriculture c est pas vident Ce sont 2 traditions tr s fortes au Qu bec On une grande tradition agricole on est parmi les meilleures terres de culture en Am rique du Nord Puis on a une grande tradition de recherche m dicale Je me dis que si on tait capable de fusionner les 2 a donnerait quelque chose d unique a fait 2 ans que j attends ma subvention Pourtant on publie on publie on publie on a publi 20 articles scientifiques dans des revues internationales cette ann e 20 Q On fait du progr s quand m me R On fait du progr s mais on est loin quand m me Q Je pense qu il y a aussi un probl me avec le poids de la culture c est dire que comme vous dites la nourriture est justement secondaire depuis longtemps dans nos pays enfin surtout en Am rique du Nord C est pas vrai que du jour au lendemain les gens 39 vont admettre a C est dire qu on l admet verbalement mais on ne change pas les habitudes Q la suite de ce que dit Catherine je vais tre le philosophe qui va parler ce quoi tu t attaques en derni re instance c est le rationalisme dualisme de la traditi
60. res et registres accessible au Etiquetage public ANNEXE 3 O0 Vendus sous surveillance pharmaceutique Vendus par un membre de l OPQ dans une pharmacie Peuvent tre conserv s dans une section accessible au public pourvu qu elle soit sous le contr le et la surveillance du pharmacien ANNEXE 2 O0 Vendus sous contr le pharmaceutique Vendus par un membre de OPQ dans une pharmacie Conserv s dans une section non accessible au public Tout m dicament non inscrit dans l une de ces trois annexes peut tre vendu par quiconque sans restriction LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS La prescription et l administration de m dicaments La pr paration et la vente des m dicaments Normes relatives la pharmacie et aux pratiques commerciales Conditions et modalit s de vente Personne physique Ex centre d h bergement Jolicoeur Autorisation de fournir un m dicament Ex cution erron e d une ordonnance Ex confondu acide hydrochloryque avec acide hydrocyanique Stretton Respect de la teneur int grale L acte de substitution Conditions d exercice Teneur int grale M me d nomination commune Avis au client Inscription au dossier Absence d interdiction par le prescripteur Ex substitution d un m dicament 5 fois plus puissant Brochu Ex substituer un m dicament contenant de la p nicilline Thomassin tat de la recherche sur la nutraceutique Conf ren
61. rnes nous autres Donc toutes ces mol cules l quand je parle de l volution par s lection c est pas des gyptiens aujourd hui c est 3 8 milliards d ann es Si une mol cules a t retenue c est que quelque part dans le m tabolisme elle est importante Alors qu en pharmaceutique avec la s lection empirique on teste 10 000 compos s on en a 10 qui fonctionnent et on les retient Pas d effet si c est s lectionn comme aliment dans le tableau que je vous ai montr La signature d un aliment c est qu il n y a pas d effet si vous consommez quelque chose qui vous rend malade que vous tes dans la jungle et que vous avez la diarrh e vous ne reprendrez pas ce fruit l de si t t Vous allez dire votre fils votre chef de village qui lui la r union annuelle des chefs de village va dire aux autres que ce fruit l n est pas bon Et c est comme a que le monde va arr ter d en manger C est 31 comme a qu on ne mange pas de racine d pinette ni de racine d rable mais qu on consomme des patates Donc c est capital pour un nutraceutique qu il n y pas d effet secondaire alors que la signature d un m dicament c est qu il y a toujours des effets secondaires qu on a pas pr vu Il y a une synergie ou un antagonisme qui est culturellement s lectionn avec les aliments alors que en pharmaceutique les synergies et les antagonismes apparaissent dans les essais clini
62. rochures d pliants feuillets de comparatives professionnel de la sant ou un tiers renseignements mat riel l o T payeur de m dicaments d exposition outils ducatifs Interdiction de publicit Sanctions planches anatomiques tableaux alarmiste et de l emploi de Retrait de la publicit diagnostics diagrammes mod les superlatifs O Publication d un avis tableaux scientifiques Normes de pr sentation des 0 Transmission d une lettre d excuses CCCP traite 3000 dossiers par ann e donn es diagrammes 0 Mesures correctives 45 d argumentaires et 23 graphiques tableaux statistiques d envois postaux Divulgation des renseignements posologiques LA MISE EN MARCH ET LA FABRICATION DES MEDICAMENTS Les conditions de mise en La qualit et la s curit L information la publicit et les pratiques march des m dicaments des m dicaments commerciales sur les m dicaments Tabhlea 3 laDpieau 5 Le droit p nal f d ral Le droit civil ST ms LE CAP du CCPP CCNP du NCP HN PE Tableau 7 ca r _ Application Principales normes Publicit destin e aux consommateurs V racit clart exactitude techniques publicitaires Publicit faite par les d guis es indications de annonceurs pour la promotion prix app t et substitution d un produit ou d un service garanties publicit Publicit faite par les comparative t moignages N D pos es par le gouvernements les d cla
63. s d organes un des m dicaments les plus prescrits c tait un immunosuppresseur On s est aper u qu il y avait des patients impossible stabiliser avec des taux de ciclosporine dans le sang Puis avec une analyse fine de tout ce qu ils faisaient on s est aper u que ces gens l consommaient du jus de pamplemousse Le jus de pamplemousse contient une mol cule qui a des effets toxiques associ s a On a t oblig de dire aux patients de pas consommer de jus de pamplemousse C est le premier exemple associ une action pharmacologique mais c est juste le d but Vous avez vu la liste des mol cules Je ne suis pas all dans le d tail mais je voulais juste vous montrer que ce sont toutes des entit s chimiques Le groupe qui a fait sortir le Vioxx ils consommaient quelque chose qui interf rait avec a et maintenant on prive 990 millions de personnes qui avaient des effets positifs avec ce m dicament cause du fait qu on a pas fait le lien entre ce qu on mange et les m dicaments Q En tout cas c tait pas de la poutine parce qu il y en aurait eu plus que a 46
64. s que ces mol cules l sont connues puis les nutritionnistes ont jamais tenu ce discours l Elles ne sont jamais all au front pour parler de a a fait 50 ans que les nutritionnistes parlent des calories des lipides et des prot ines Elles m lent tout le monde avec des tudes grossi res des m ta analyses en r tro action et les gens ne savent plus quoi manger Trop gras pas assez gras trop de prot ines puis l 1l y a des farfelus gauche droite les r gimes avec les groupes sanguins les r gimes Montignac L le monde ne sait plus quoi manger Les gens ne savent plus quoi manger en termes de glucides de prot ines parce qu il y a un farfelu quelque part qui chaque ann e met une nouvelle hypoth se Alors que ces mol cules pour moi sont les mol cules les plus importantes L c est actif on est capable de tuer des cellules canc reuses en laboratoire des cancers tr s agressifs des cancers du cerveau qui ne r pondent rien aucun m dicament de chimioth rapie Q Avec des concentrations comparables l alimentation R Oui comparable ce qu on trouve dans l alimentation Personne parle de a Pourtant quand vous consommez des fruits et l gumes Ce n est pas des calories ce n est pas des vitamines que vous consommez ce n est pas les foutus anti oxydants Je vais 30 aller Radio Canada la semaine prochaine pour d molir le mythe des anti oxydants c est un mot qui est rendu au m
65. slative CHAPITRE 2 La norme administrative CHAPITRE 3 La norme autor gulatoire TITRE 1 Les conditions de mise en march des m dicaments TITRE 2 La qualit et la s curit des m dicaments TITRE 3 L information la publicit et les pratiques commerciales sur les m dicaments LES SOURCES DE R GULATION LA NORME L GISLATIVE LE DROIT P NAL F D RAL C LAD et ses r glements 0 RAD 0 RPSN 0 LAD O0 Substance ou m lange de substances O0 Pr sent comme tant d usage th rapeutique pr sentation O0 Vendu comme poss dant des propri t s th rapeutiques fonction O0 Affectant des fonctions organiques C LRCDAS 0 Drogues pouvant faire l objet d abus C Linfraction p nale f d rale O0 D fense sociale O0 R pression 0 Exemplarit 0 Amende max LAD 5 000 LE DROIT CIVIL C Droit commun C C Q Ex poursuites en dommages int r ts compensation LE DROIT DISCIPLINAIRE C Application et sanction des normes professionnelles Ex comit de discipline LA NORMEADMINISTRATIVE LES ORGANISMES ADMINISTRATIFS C IDGPSA Inspection enqu tes surveillance et application de la loi quant la fabrication l emballage l tiquetage l analyse l importation la distribution et la vente en gros DPT valuation et surveillance de la s ret l efficacit et la qualit des m dicaments DPSC Coordonner les activit s de surveillance post approbation L NONC DE POLITIQUE LA DIR
66. t a plut t que de regarder ce que la nature elle fait pendant 3 8 milliards d ann es a c est pas une culture d entreprise Personne ne fait a C est l tout le probl me La science du vingti me si cle a t d abord physique et ensuite chimique l elle est rendue biologique On ne s est jamais adapt la r alit de la complexit biologique C est pour a qu on a des OGM L imb cile qui cr e des OGM il n a aucune id e de l cologie Il a jamais eu un cours d cologie de sa vie Le probl me des OGM c est pas un probl me de sant les prot ines produites par les OGM vous les dig rez dans le tube digestif a va vous donnez de la leucine le probl me des OGM c est pas la sant c est environnement On modifie un cosyst me de fa on draconienne sans le conna tre puis c est pas des biologistes qui font a c est des chimistes des ing nieurs chimistes de l ADN qui s amusent tout trimballer d une prot ine l autre On le sait toutes les fois qu on a fait a dans l histoire de l humanit d placer une esp ce d un cosyst me l autre a a toujours t la catastrophe Toujours Parce que l cosyst me est en quilibre depuis des centaines de millions d ann es et on arrive avec une nouvelle esp ce un pr dateur Il y a une le autour d Hawa qui s appelle l le d o les oiseaux ne chantent pas C est un avion qui est arriv avec
67. t arr ter de tirer boulets blanc sur l industrie pharmaceutique c est l industrie la plus r glement e au monde Il y a pas un secteur de l industrie qui est plus s curitaire que a Il y a pas un industriel en pharma qui va laisser passer une drogue si elle a des effets secondaires parce que a co te des milliards apr s en poursuites la compagnie a c est un mythe urbain de dire qu il y a des chercheurs qui travaillent en secret et 1l y a des r sultats de cach s C est des milliers de chercheurs partout sur la plan te S il y a un effet secondaire au Zimbabwe vous pouvez tre s r qu en Californie puis Montr al on va le voir sur nos patients Vous ne pouvez pas donner des pots de vin 2000 m decins puis 2000 scientifiques pour cacher des effets secondaires C est un mythe a n existe pas ces choses l S il y a des effets secondaires les compagnies veulent arr ter tout de suite en phase 1 ou en phase 2 quand a a co t 25 millions Vioxx tait en phase 4 il tait approuv Si vous faites le tour des universit s 1l y a des milliers de personnes dans ces universit s l qui ont achet du Vioxx puis qui n ont pas eu de probl mes Imaginez ils lont retir c tait le tiers de leurs profits Pensez vous qu ils auraient fait a s ils avaient eu ces donn es l de fa on claire Moi je crois que les tudes cliniques sont correctes dans la fa on qu on les fait Q Mais la question c
68. t tr s enthousiaste avec a c est maintenant juste une question de financement Q Justement sur ce plan est ce qu on ne pourrait pas concevoir que cette forme de la recherche entre guillemets pharmaceutique ou sur les m dicaments sorte du circuit ou 38 du syst me priv par les compagnies actuelles et quelle soit subventionn e principalement partir de fonds publics ou bien en bonne partie R Le pharma ne supportera jamais a Q Mais justement puisqu il y a pas d essais cliniques avec tout ce que a implique comme financement et comme frais on pourrait concevoir que ce soit financ en bonne partie D ailleurs vous avez parl de votre ferme exp rimentale de th rapie du cancer c est subventionn R Oui sauf que quand vous tes pionniers il faut que vous fassiez tout Moi ma place c est au laboratoire avec des gens l je suis oblig de rencontrer les m dias les ministres Je suis oblig de tout faire Q Oui je demandais justement comment a se fait que dans le domaine pharmacologique 1l n y ait pas de laboratoire exp rimental public gouvernemental des essais R C est parce qu il y en a pas de laboratoires gouvernemental Q C est a il n y en a pas dans ce domaine R La recherche subventionn e par l tat se fait dans les universit s Q Mais il y a de la recherche par contre en agriculture dans des laboratoires gouvernementaux mais pas de pharma L par cont
69. tant que le tabagisme est associ l alimentation Le reste la g n tique dont tout le monde parle est l un des points les plus forts 2 des cancers du sein sont d origine g n tique Une tude r alis e sur 44 mille jumelles et jumeaux su dois a mesur le facteur d impact le g nome humain identique Des jumeaux identiques c est comme des clones donc c est le m me g ne Si une des s urs a une tumeur du sein l impact est de 12 sur sa s ur pas de 100 Si c tait g n tique a serait 100 Toutes les s urs qui ont un cancer du sein verraient leur s ur jumelle en d velopper un L impact g n tique est donc beaucoup plus faible que ce que l on avait estim Et les autres facteurs comme l ob sit le manque d exercice c est loin d tre n gligeable c est 5 et a augmente de plus en plus Le reste les facteurs dont on parle comme par exemple la pollution c est 2 de tous les cancers a va monter mais pr sentement ce n est qu une fraction de tous les cancers qui sont associ s la population Hors qu est ce que l aliment Un aliment est divis en 2 classes de mol cules Il y a les macros nutriments que vous connaissez les lipides les graisses les prot ines et les sucres C est ce dont tout le monde parle Mais ce dont on devrait parler davantage c est les micro nutriments Les micro nutriments que tout le monde conna t c est les vitamines Je n en parlerai pas
70. tres mais ce n est pas elle qui est en cause au d part parce qu elle peut contribuer C est qu elle a fait un blocage syst matique pour tout le reste la nourriture Il y a 5 ans avec Martine et Coll ge des m decins on a pr sent un questionnaire pour les m decins avec lequel on a eu beaucoup de succ s On leur posait des questions sur les vitamines et la nutrition On nous a dit qu il fallait retirer a que a n avait aucun int r t et que les m decins ne sont pas int ress s par a C tait il y a 5 ans Mais ils ont dit vous pouvez mettre la vitamine c parce que la vitamine c quelque fois on la prescrit en tant que m decin Mais c est tout Je suppose que maintenant ils n auraient pas la m me position parce qu ils assistent vos conf rences Ma r action avait t de dire que ce qu on mange est chimique au m me titre que les m dicaments donc que a a forc ment des effets Comment un m decin peut ignorer des effets de la nourriture Moi je me souviens que les m decins de campagne auxquels j ai eu affaire quand j tais enfant sortaient de la guerre donc ils avaient s rement pas fait des tudes comme on les pousse maintenant Avant la guerre 1ls avaient r fl chi parce qu ils avaient t en face de situations dramatiques Quand ils arrivaient ils nous disaient vous allez prendre ce m dicament mais vous mangerez du yaourt Ce que vous avez dit tout l heure R Pour les greffe
71. tte C est a le principe C est le principe de base d un m dicament illustr au niveau d un extrasia Je l ai volontairement illustr au niveau d un phytoestrog ne d origine nutritionnelle plut t que d un m dicament synth tique Mais ce que le Vioxx fait ce que n importe quel inhibiteur pharmacologique fait en prenant un anti inflammatoire non st ro dien c est de limiter le ligan La mol cule qui lie qui re oit s appelle le r cepteur ou l enzyme On appelle a des r cepteurs comp titifs Quelques fois ils sont non comp titifs parce qu ils peuvent se lier un site autre mais changent l orientation du site de fa on ce que le r cepteur ne puisse pas se lier Si vous prenez une hache puis que vous donnez un coup de hache juste c t de la serrure puis vous allez arriver avec votre clef l la clef peut avoir de la mis re entrer m me si Vous n avez pas touch la serrure elle m me a se serait un autre type de m dicament C est un exemple stupide mais c est pour 1llustrer que ce n est pas n cessairement dans le site o p n tre la mol cule Donc le principe c est que si vous tes en sant vous avez un quilibre entre vos inhibiteurs endog nes les m dicaments et une classe de mol cules qui proviennent de l alimentation qui sont des l ments chimiques Et a se sont des l ments chimiques Moi j ai une dent contre les nutritionnistes parce que a fait 50 an
72. uits complexes puis g n ralement 1l n y a rien en chimie traditionnelle qui marche en biochimie c est ce que vit Et a Je pense que je le vit avec les pharma J ai eu des r unions comme a c taient juste des chimistes et puis moi je pr sentais des choses Mes tudiants de premi re ann e de bac en biochimie ont plus de culture que ces gens l parce qu eux ils ont une vision tr s r ductionniste Jamais un biochimiste Les biologistes ne sont pas r ducteurs parce que la cellule leur impose toujours de dire que c est bien plus complexe qu on ne le pensait Un chimiste va tre r ductionniste Leur arrogance a nuit au d veloppement de mol cules de plus en plus sophistiqu es sans tenir compte du fait que s il y a un hydroxyl sur une mol cule d riv e d un plan de concombre en position 7 c est probablement que la nature a essay toutes les autres positions Moi j ai eu des discussions aussi tranch es avec des groupes de chimistes au quartier g n ral de la plus grosse pharma l poque puis je leur disais comment les cellules sont complexes Les discussions sont cors es au moment de 41 d cider si tu donnes la suite une projet de 250 millions enferm pendant 3 jours On est avec des gens qui d cident si un m dicament va se rendre en essais cliniques pour gu rir le Parkingson les tumeurs c r brales C est a le probl me des pharma des gens qui ont aucune vision de la biologie Q Justeme
73. ut de suite en mettant ma t te sur le billot et en disant qu il y a assez de donn es in vitro puis de donn es pid miologiques parce que c est de l que a part a part de l pid miologie 80 fois plus de m lanomes aux tats Unis Q Mais ne pensez vous pas que vous aurez progressivement davantage de financement publique Q Je voudrais dire quelque chose ce propos l parce qu effectivement c est plus qu un contre courrant mon avis il y a eu une rupture un moment donn quand on est pass justement la dictature des chimistes et la position par rapport la phytoth rapie Il ne faut pas oublier qu il y avait une connaissance des herbes etc mais un moment donn dans la soci t il y a eu un revers total c est dire que plus personne n a pu vendre des herbes pour des raisons m dicinales et ceci par l ordre des m decins Moi je me souviens de comment on a pourchass cet homme qui avait h rit de ses parents des enseignements li s la phytoth rapie Il parle du chou dans tous ses bouquins 1l fait la cuisine avec 1l dit au Moyen ge on faisait ceci avec etc C est un homme du Sud il subit au moins 30 ou 40 proc s de l Ordre des m decins pour pratique ill gale Tous les grands quand ils taient malades ils faisaient appel lui Et toute sa vie 1l a eu des proc s R Le probl me qu on a eu je pense vous le dites tr s bien c est quand on a fait la transition entre le m
74. y observation suite l administration d un produit de contraste O0 Deslauriers extraction d une dent Renseigner et obtenir le consentement libre et 4 clair du patient Dalacin diarrh e 0 Dangers et effets ind sirables Soigner O0 Situation m dicale d urgence B rub 0 Interactions et contre indications Schiez anovulant trombophl bite Bernard l ritine thylisme Roy Ph nol br lure Tabac D m rol d tresse respiratoire Mayonay sr ro de glaucome 1 Confusion entre deux m dicaments 0 Telmin Telmin B Mowrey EN Dosage excessif 0 Gburek antibiotique LA DISTRIBUTION DES M DICAMENTS Le prix de vente des RF Les assurances m dicaments z S Tableau 129 2 t Tableaux 1 La pr paration et la vente des m dicaments La prescription et l administration de m dicaments Normes relatives la pharmacie et aux pratiques commerciales Conditions et modalit s de vente La propri t d une pharmacie Le contr le et la surveillance d une pharmacie Ex cha nette et cordes ne suffisent pas Cadrin ANNEXE 1 Biens que Pon peut d tenir D Vendus sous D limitation physique et ordonnance am nagement ne D Vendus par un Conservation des m dicaments membre de l OPQ M dicaments p rim s inutilis s ou dans une contrefaits pharmacie Affichage Ex Code M dicament Conserv s dans de l OPQ une section non Dossiers liv
75. ynth tiser des mol cules diff rentes et a s est c est fait sur 15 millions d ann es puis 3 8 milliards d ann es d volution Je vais vous donner des r sultats tr s r cents de la semaine derni re C tait un congr s a Londres o J ai pr sent des r sultats en oncologie Ici mes coll gues qui sont tomb s en bas de leur chaise Il y a des groupes d pid miologistes qui ont montr que la consommation de hot dog augmentait les tumeurs chez les enfants et que le jus d orange diminuait ce facteur mais le plus important et c tait une grosse surprise parce qu on avait Jamais vu ces donn es l il y a un groupe de Barclay qui vient de montrer que sur 328 cas la consommation d oranges et de bananes dans les 2 premi res ann es de l enfance r duit de 50 le risque de leuc mie infantile chez les enfants 50 Quand on a un m dicament de chimioth rapie et qu on augmente la survie de 3 le m dicament est approuv Quand on augmente la survie de 1 mois et demi l Avastin c est approuv et a a co t 500 millions On augmente la survie de 37 jours avec l Avastin chez les gens qui ont des cancers du colon L on consomme 2 bananes et 2 oranges par semaine puis on diminue le risque de leuc mie de 50 Q C est vrai chez les adultes aussi a R a t fait chez les enfant Mais a vous donne une id e de l impact que a a Pour vous donner une id e l oppos le nombre de c

Volume 1, numéro 2, mai 2005 - geirso

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