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P 46 L`Office d`évaluation des choix scientifiques et technologiques

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1. a plus aucun sens lt CEEEDETIE TE CLIMATIOULS LES MEMBRES DU CONSEIL SCIENTIFIQUE Les 210 essais nucl aires r alis s entre 1960 et 1996 en Alg rie puis en Polyn sie ne se sont pas r alis s sans alt rer l environnement des sites et sans prendre de risques humains S il ne dissimule pas cette v rit le rapport de l Opecst sur les essais nucl aires fran ais dissipe en revanche bien des mythes s appuyant sur des mesures objectives extr mement nombreuses et compl tes il conclut sans ambiguit au caract re limit de ces effets LARMES
2. J Va 4 IN Mur nt AAT dh L CN VO VYN nf OFFICE D VALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES Un office pour maitriser es risques scientifiques Cr en 1983 par un vote unanime du Parlement l Opecst a pour mission d informer le Parlement des cons quences des choix de caract re scienti fique et technologique afin d clairer ses d cisions Il est compos de 18 d put s et 18 s nateurs et ses membres sont d sign s de fa on assurer une repr sentation proportionnelle des groupes politiques Il est assist d un conseil scientifique constitu de personnalit s de haut niveau Sa saisine est exclusivement parlementaire g n ralement par le Bureau d une des deux assembl es Ses rapporteurs disposent de pouvoirs identiques ceux des rapporteurs budg taires En 2002 l Opecst a notamment publi des rapports sur l ampleur des changements climatiques sur l impact des drogues sur la sant mentale et sur la t l phonie mobile et la sant Dangerosit des portables comprendre et agir Le d veloppement de la t l phonie mobile soul ve de multiples probl mes La D l gation pour l am nagement et le d ve loppement durable du territoire s est ainsi cette ann e pench e sur la desserte du territoire en t l phonie mobile et Internet haut d bit et a produit d importantes recommandations afin que l galit entre r gions soit d sormais plus effective e
3. es craintes Si le rapport de l Opecst consacr aux changements climatiques n omet pas bien au contraire de faire un point complet sur les donn es disponibles quant l ampleur plan taire du ph nom ne il offre parall lement une d marche originale en se concentrant sur les retomb es possibles de l effet de serre sur le territoire de la France impacts naturels conomiques humains Ce faisant le rapport peut insister sur la n cessit de ne pas r duire le d bat public sur le sujet de simples appels en faveur de trait s internationaux plus contraignants trait s certes n cessaires mais dont les difficult s de n gociation et d application sont patentes Dans cet esprit le rapport offre aux d cideurs publics nationaux une premi re s rie d outils leur permettant de r fl chir d s aujourd hui aux politiques mettre en place pour pr venir autant que faire se peut l effet de serre et parer ses effets n fastes les plus pr visibles diff rentes substances Au terme de cette synth se le rapporteur insiste sur le n cessaire travail d interpr tation de ces donn es selon les situations L effet de certaines drogues varie en effet consid rablement en fonction des individus et de leur mode de consommation et s il existe des drogues dures nocives dans tous les cas telle l h ro ne il existe aujourd hui une fa on dure de consommer des drogues douces ce qui signifie que cette notion n
4. n ce domaine Parall lement l Opecst a produit une pr cieuse synth se de toutes les informations disponibles en Europe concernant l exposition du public aux champs lectromagn tiques et leur ventuelle dangero sit Sur cette base il a sugg r trois axes d actions un soutien plus r solu la recherche sur l incidences de ces champs sur la sant une obligation d information des acheteurs de t l phones mobiles concernant notamment leur puissance et les moyens d en parer les effets charge pour les fabricants et op rateurs priv s d organiser cette d marche de transparence la cr ation enfin d une Fondation T l phonie Mobile Sant plac e sous l gide de l Institut de France charg e d orienter les recherches scientifiques et d en communiquer les r sultats Informer et contr ler et technologiques Les progr s de la m decine dans des domaines comme l imagerie m dicale ou la neurobiologie permettent aujourd hui de mieux Christian Cabal gt Dures v rit s sur les drogues douces saisir les effets des drogues sur le cerveau Le rapport pr sent par Christian Cabal sur l impact ventuel de la consommation des drogues sur la sant mentale de leurs consommateurs rassemble ainsi les acquis de la recherche concernant la nocivit des Effet de serre du monde la France L effet de serre et son intensifi cation nourrissent toutes l

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