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1. ime de Stage ET TS LL F4 a fonc cr a Valoriser IMMERSION LINGUISTIQUE r Po pilotage efficace pour une LeLEULE renforc e ve COCER TA elations familles cole Z re entr es libres n 90 juin 2014 PAL r Mensuel ne parait pas en juillet aout p igri Bureau de d p t 1099 Bruxelles X f s Li L AN N d agr ation P302221 p na Photo Marie No lle LOVENFOSSE sommaire dito Quel r le pour les parents f des soucis et des hommes G n raliser les bonnes pratiques Fondamental Nouveau programme de langue fran aise s approprier avant d appliquer universit d t Entre cercle familial et cadre scolaire Voyage au c ur des relations familles cole ils en parlent encore Paul GALAND Mon plus bel enseignant Mon p re F4 entrez c est ouvert E Quand des ma ons construisent des po mes Pa a A B Nouvel envol pour le Centre de technologies avanc es Un robot qui rend confiance Ceci n est pas un tableau de Magritte l acteur Le M diateur un cr ateur de confiance zoom Immersion linguistique Un pilotage efficace pour une qualit renforc e avis de recherche Une fonction valoriser i F2 r troviseur 7 Le Moyen ge des TIC R as de entr es livres recherche Un libraire un livre m Concours Va quitte ton pays apr s la campagne le livre service compris Notre quipe aux 20km de Bru
2. album photo sur Ren Magritte Photo Brigitte GERARD Le M diateur l acteur un cr ateur de confiance Un souci avec une Administration au niveau de la F d ration Wallonie Bruxelles ou de la R gion wallonne Une solution faire appel au M diateur qui examinera la situation Parmi les nombreux domaines dont il s occupe l enseignement figure en bonne position au nombre de plaintes d pos es y enseignement occupe 90 K B de notre travail au niveau de la F d ration Wallonie Bruxelles constate Marc BERTRAND M diateur de la R gion wallonne RW et de la F d ration Wallonie Bruxelles FWB depuis septembre 2012 On traite surtout des probl mes de statuts li s la carri re de l enseignant nomi nations salaires DPPR pensions mais aussi de relations scolaires d al locations d tude d quivalences de dipl me d inscriptions Le M diateur peut galement inter venir dans d autres domaines li s la RW fiscalit taxe de circulation primes l nergie logement social et la FWB aide la jeunesse audio visuel culture sport Le Service du M diateur est une institution ind pen dante r sultat dun accord de coop ration entre la FWB et la RW approuv par les deux Parlements NE PAS TRANCHER Avant d tre nomm cette fonction Marc BERTRAND juriste de formation a effectu un parcours dans la fonction publique travaillant au Minist re
3. explique Olivier PLANCKAERT professeur de fran ais et religion Mais quand l ensei gnant a propos de d laisser provi soirement la truelle pour la plume et d crire un recueil de po sie ils l ont regard comme un extraterrestre Certains trouvaient l id e originale d autres n imaginaient pas un instant pouvoir se mettre l criture lex t rieur on me disait que c tait com pl tement irr aliste Mais j avais vrai ment envie de donner l occasion ces jeunes de sortir de leur quotidien et de prouver tout le monde y compris eux m mes qu ils taient capables d entrer dans lunivers po tique gt Et qui d autre qu Arthur RIMBAUD pour les accompagner sur ce chemin hasardeux Je leur ai parl de sa personnalit de sa vie pr cise l ensei gnant a leur a plu parce que c est un po te rebelle qui a crit la majorit de ses uvres leur ge entre 17 et 21 ans Nous sommes aussi all s sur ses entr es libres lt N 90 lt juin 2014 traces Charleville M zi res sa ville natale Mais ce n est pas tout Pour donner toutes ses chances au projet le pro fesseur s est adjoint un alli de taille en la personne de Gilles SIMON po te fran ais amoureux fou de RIMBAUD Il n a pas h sit venir plusieurs fois d Orl ans pour nous aider s enthour siasme O PLANCKAERT L id e de casser l image du ma on inculte et incapable de cr ativit artist
4. 1 Sobres clairs et concis 2 Vous sugg rez aux responsables d agrandir la case qui leur est r serv e 3 C est comme les plaisanteries les plus courts sont les meilleurs 4 No comment I Un GSM sonne en classe 1 Vous tancez l l ve en lui deman dant d teindre son transistor 2 Vous faites semblant que vous avez entendu la sonnerie 3 Vous confisquez ledit GSM 4 Ah zut c est le mien J Vous avez rendez vous avec la di rection 1 Tant mieux vous avez quelques remarques lui adresser concernant l achalandage de la biblioth que 2 Vous mettez un cierge sainte Rita 3 Normal il a besoin de vos conseils pour d cider 4 Il vous pr vient qu il est supprim il a renonc vous changer po J R sultats m Vous avez une majorit de r ponses 1 vous tes assez classique Laissez vous conseiller un plan de formation qui vous permettra d entrer enfin au 21 si cle Vous avez une majorit de r ponses 2 vous tes sans doute assez novice Laissez vous coacher par les ensei gnants qui ont une majorit de r ponses 3 surtout pas par ceux qui ont une majorit de r ponses 4 O G Vous avez une majorit de r ponses 3 vous tes un enseignant aguerri qui on ne la fait plus Soyez indulgent avec vos coll gues qui n ont pas la chance de vous ressembler m Vous avez une majorit de r ponses 4 baba cool depuis toujours vous ne vous
5. degr du secondaire ayant approuv le nouveau programme de langue fran aise il a t distribu dans les coles fin mars Outre sa pr sentation aux directeurs dans les dioc ses des formations sont ga lement propos es aux enseignants par la FOCEFS Et les conseillers p dagogiques restent en contact avec les quipes ducatives sur le terrain pour les aider en cas de besoin Le travail de r criture des pro grammes sera poursuivi avec les disciplines d veil historique g o graphique scientifique ducation aux m dias et ducation technolo gique l ducation artistique l du cation physique et les langues pour septembre 2015 Nous ne manque rons pas de vous en reparler MNL 1 Lire entr es libres n 86 f vrier 2014 pp 12 13 2 F d ration de l Enseignement fondamental catholique 3 Formation continu e des enseignants du fondamental 4 Des pr sentations ont galement eu lieu Wavre et Beauraing o les directions taient pr sentes en tr s grand nombre entr es libres lt N 90 lt juin 2014 5 universit d t 6 ENTRE CERCLE FAMILIAL ET CADRE SCOLAIRE Voyage au c ur des relations familles cole Le 22 aout prochain se tiendra Louvain la Neuve la dixi me Universit d t organis e par le Secr tariat g n ral de l Enseignement catholique Cette ann e ce sont les relations entre familles et cole qui seront mises l honneur Apr s une p
6. i A ki hs iar is ESA S A ka PR 7 ce Fo w E e a Fe pe 2 S ar i e ot DR 277 er _ 7 Pi p p RE E rk o rates LE a 2 shi il EN a E Fil pt i A M LE TR e ag anme e Muri e Jcr aa a kT F Mps i e p re NE LT _ m pa rt es Je a _ a aa a Fr x pis us P a S de E a a g Fos f p F a A afr ai F ne x D A e F nu i e a Fa ets ar w 3 NAME A re 3 i D e Age POLE L i ee JEA i CE PET F o e CU ee ste date E Ma PRAT a rE Tr 3 a a i k TA E TT S j T Fr Ea s 4 M EF L ta h E RE e e F M TEN j ee pe i k ir t 3 ne LE Fe A y AART F p F i et i de p ar a Se re PRE ry _ 4 Ce p dr E 7 F de E t y ar Fy Le PART CR fai A PTE pr de Hi Cor ner F gp E iey L JA i a e E E z lt SU Er E ro LT LL F me s dE A jh TE ss Lr NE iri L e a T 2 IP PR VAT ce LISE 4 NORMES de F8 PTE Lac Ca FAE a r hot TT 2 VE Le D AL hf Jis Le 2 sd 5 Pe 7 a r 5 p sE yr i l 0 CEE siy s CU et Mort VE PURE A P ES T e A 10 CET TS Ter Sn nr NS Ta L a hiia p ae d ha i J J E Gi mi CI vi aa aF a pe z Typa n rE H gP D F i aN Tr j se FR Me dar Un B Del ee E E a u pF E a FNL po m Sie E UE F LA E 228 Es eee A is y ra 4 z gt ist p fa e zr A Ena a Apip tio Fa DE E am a Ti LR r Que retenez vous de votre parcours scolaire Des enseignants vous ont i
7. principalement aux postes fran ais C est l occasion de donner aux l ves une vue un peu plus vaste de leur cours de fran ais en leur pr sentant parfois d autres sons de cloches Le magn tophone peut galement tre utilis dans les exercices de diction et d orthophonie Dans ce domaine les ser vices qu il peut rendre sont assez specta culaires Pour qu un l ve se corrige d un d faut de prononciation qui sera g n ra lement un accent de terroir il faut d abord qu il se rende compte de ce d faut Aussi longtemps qu il naura pas saisi en quoi il consiste il progressera fort p niblement Il faut voir l tonnement un peu scandalis de beaucoup d l ves devant leur propre voix et ses d fauts Ce n est qu au moment o ils entendent cette voix hors d eux qu ils prennent conscience de fa on presque bru tale des progr s r aliser dans leur diction Le professeur sera souvent le premier profiter de la m thode gt re L Ro 2 Le ex e nn A 00 C Q 6b qu es eh a O Q 0 e A FR RE REN LES MOYENS AUDIO VISUELS DANS L ENSEIGNEMENT DE LA LANGUE MATERNELLE IN HUMANIT S CHR TIENNES N 4 SEPT OCT 1958 PP 53 56 18 entr es libres lt N 90 lt juin 2014 Jacqueline KELLY Calpurnia Traduit de l anglais USA par Diane M NARD AM cole des loisirs 2013 UN U BRAIRE UN LIVRE alpurnia Virginia TATE a onz
8. concours Gagnez un exemplaire du livre ci dessus en participant en ligne avant le 25 aout sur www entrees libres be gt concours Les gagnants du mois d avril sont Nathalie DASNOY Andr SCHOBYN Anne VERWAERDE entr es livres VA QUITTETON PAYS APR S LA CAMPAGNE LE LIVRE haque ann e la CIPS Commission interdioc saine de pastorale sco laire demande une cole d Arts graphiques d imaginer la s rie d affiches de pastorale scolaire qui seront distribu es dans les coles En 2012 2013 Marc BOURGOIS responsable de l animation pastorale pour les coles de Bruxelles Brabant wallon a fait le pari de confier cette mission l Institut technique Don Bosco de Woluwe Saint Pierre Le th me retenu tait Va quitte ton pays Par cette phrase tir e de l Ancien Testament Dieu ordonne Abraham de partir pour la Terre promise et Abraham se met en route vers l inconnu Les professeurs de religion et d atelier de Don Bosco ont largement explor avec leurs l ves les diff rents aspects du th me qui claire les d fis rencon tr s sur les plans personnel et collectif Les professeurs de cours techniques ont pris le relai pour transformer les messages retenus en objets visuels Mais une fois la campagne termin e l envie d aller plus loin se manifeste et l id e d diter un livre de t moignages en lien avec le th me fait bient t son chemin Quitter son pays partir vers l inconnu
9. de garder des duos identiques m CONRAD VAN DE WERVE 1 F d ration de l enseignement secondaire catholique difficult tait la crainte pour em ploi Il a fallu en discuter longuement avec les enseignants et avoir une perspective sur le moyen terme Je m y suis pris 2 ou 3 ans l avance L immersion tant d j implant e l cole primaire c tait une pro longation Le deuxi me probl me important c est le recrutement des enseignants Il faut amener Char leroi des enseignants de Gand ou Anvers qui ne comptent pas n ces sairement rester Chaque ann e je dois en recruter de nouveaux gt Quelles difficult s rencontrent les enseignants en immersion au quotidien Marie Aline MARCHAL Les diffi cult s sont surtout pr sentes au d but de la 1 ann e quand les l ves ne comprennent rien l faut utiliser le mime le dessin etc partir de janvier a s am liore on peut don ner cours presque normalement en anglais et les l ves suivent La dif ficult principale ne se trouve pas en classe mais dans les pr parations Il ny a pas de livres pas de docu ments il faut tout faire soi m me J ai la chance d avoir une conseill re p dagogique fantastique mais a de mande quand m me norm ment de travail domicile Il faut s approprier le programme comprendre puis pr parer son cours C est tr s exigeant INTERVIEWS CHRISTOPHE CAVILLOT TEXTE MARIE NO
10. peuvent acqu rir de nouvelles com p tences s investir et en fonction de cela voir leur r mun ration voluer Il y a aussi la possibilit d changer avec le monde des entreprises de faire en sorte qu il y ait une plus grande mobilit des enseignants Dans les fili res qualifiantes c est tr s impor tant d avoir des acteurs de terrain qui peuvent partager leur exp rience pro fessionnelle Enfin les enseignants doivent tre bien accompagn s quand ils entrent dans le m tier Il faut aussi mettre l accent sur le tutorat le mentorat et sur les changes entre les classes et entre les enseignants Vous insistez sur l change de bonnes pratiques Vous pouvez pr ciser Il faut une meilleure connaissance du monde socio conomique par les enseignants pour leur permettre de jouer davantage un r le d informa tion et plus tard d orientation aupr s de leurs l ves L veil aux techno logies par exemple est quelque chose de tr s important pour que ces mati res ne soient plus asso ci es des voies de rel gation II faut en changer radicalement l image et amener l veil ces mati res l beaucoup plus t t chaque ge Photos Conrad van de WERVE videmment ses priorit s il ne s agit pas d orienter des l ves dans le fon damental mais d j ce stade l il est important d amener une s rie d informations qui permettront d ou vrir plus tard les esprits toute une s rie
11. sultats des l ves issus de limmi gration Pourtant tout le monde le re connait tre bilingue c est un atout Que se passe t il entre l cole et ces familles pour que la maitrise de la langue d enseignement pose un pro bl me sp cifique ces enfants Dany CRUTZEN responsable de projet au Dispositif de concertation et d appui aux Centres r gionaux din t gration DISCRI 7 Nous parents l cole dont nous r vons Tout parent souhaite le meilleur pour son enfant Toute quipe ducative souhaite le meilleur pour ses l ves Mais entre l affirmation du singulier et le n cessaire fonctionnement du col lectif les acteurs peuvent parfois se sentir frustr s Comment les parents vivent ils le fonctionnement sco laire Comment viter les malenten dus entre l cole et les parents La parole est ici donn e aux parents afin qu ils expriment leurs r ves d cole pour leur enfant Panel de parents 8 L accrochage scolaire une responsabilit partag e Faire l cole buissonni re L ex pression tait jolie et avait un brin de po sie Aujourd hui on parle d ab sent isme de d crochage scolaire de sortie sans certification et des cons quences n fastes pour l avenir des l ves Entre ceux qui accusent les parents d missionnaires et ceux qui excusent les parents d sempa r s comment faire retrouver ces l ves le chemin de l cole Quels sont les leviers qui favoris
12. LLE LOVENFOSSE entr es libres lt N 90 lt juin 2014 15 16 situation r elle dans la vraie vie de vraies classes odeste ambition dESFFIM NA Oui r pond Jean Benoit CUVELLIER son pr sident dans son discours d accueil de la derni re matin e d tude de la plate forme Mais tenace est son projet En effet il y a plus de dix ans que cette plateforme d change et de rencontre poursuit son chemin celui d explorer les diff rentes facettes de la formation initiale des maitres sur tout celles qui sont un peu oubli es Ainsi en f vrier 2010 le colloque organis par ESFFIM sur les ensei gnants d butants attirait l attention sur une probl matique largement d velopp e depuis lors Le 7 mai 2014 ESFFIM r cidive Cette fois la plate forme braquait son projecteur sur les maitres de stage UNE FONCTION N GLIG E La preuve que cette fonction de maitre de stage est n glig e le peu de ressources r pertori es par les organisateurs pour construire ce s minaire Ressources peu nom breuses mais de grande qualit entr es libres lt N 90 lt juin 2014 Claire MIEUSSET d une part Cathe rine VAN NIEUWENHOVEN et Rudy WATTIEZ d autre part Expertises compl t es par analyse de Ghislain CARLIER et Philippe VERHELST En guise de mise en bouche Ghislain CARLIER pr sente aux participants les r sultats d une enqu te en ligne r alis e l inscription Elle donne des
13. c est aussi sortir de son cadre de r f rence pour d couvrir celui des autres dans un monde multiculturel et multire ligieux Le livre propose de multiples textes voquant ce que peut signifier le d part pour un ailleurs au sens propre ou m taphorique Pour St phane ALLARD directeur adjoint de l Institut au del de la fiert du travail technique r alis il convient de mettre en avant toute la r flexion qui l a port Le th me de la campagne renvoie beaucoup de choses particuli rement dans une cole o de nombreux jeunes savent ce que c est de quitter le pays d origine explique t il Certains t moignages repris dans le livre sont tr s mouvants l ves enseignants de Don Bosco et d autres coles intervenants ext rieurs racontent leur propre histoire lls s expriment sans tabou parfois de mani re un peu provocante mais rien n a t censur Nous sommes une cole libre catholique avec une vocation d ducation et d encadrement spirituel avec la volont de former de jeunes adultes la fois responsables et poss dant des comp tences techniques pointues Ce projet nous a vraiment permis de mettre en uvre ces deux aspects L exp rience a t tr s enrichissante Le pire qu on puisse faire avec des jeunes c est leur mentir Il faut tre vrai et partir de l beaucoup de choses sont possibles Ce livre est un v ritable espace d expression avec des textes qui touchent parce qu ils sont vr
14. complicit du professeur d veil artistique Ce concours in cite les enseignants choisir un livre de la s lection et le prolonger par une r alisation artistique explique A COLIGNON Nous avons travaill sur Le petit Magritte gt de Catherine de DUVE avec la particularit que nous scolarisons un public qui n est pas du tout familiaris avec la culture belge L cole compte en effet plusieurs classes passerelles une par cycle organis es pour les l ves primo ar rivants Ils sont int gr s mi temps dans les classes correspondant leur ge et ils apprennent le fran ais le reste du temps dans la classe passe relle Certains d entre eux sont arriv s en 4 primaire sans jamais avoir t scolaris s de leur vie IIs ont beau coup de probl mes en maths et en fran ais constate l enseignante et les entr es libres lt N 90 lt juin 2014 cours d veil artistique ou de gymnas tique sont d autant plus pr cieux qu ils leur offrent une autre mani re de s ex primer D s que nous avons l occasion de participer des concours par ce biais nous n h sitons pas Voil donc ces l ves de 4 tous d ori gine trang re appel s donner libre cours leur cr ativit pour plonger lit t ralement dans les tableaux de MA GRITTE se les approprier et les pro longer par le biais de photographies r alis es l aide d un appareil argen tique Nous avons beauc
15. d approches plus orientantes Outre ces recommandations vous allez mettre des projets sur les rails Nous pr parons un plan d actions qui sera d taill en septembre Il pr sente ra diff rents projets pour les deux ans venir en proposant entre autres une offre de stages pour les enseignants en entreprise en bonne intelligence avec les acteurs du terrain Nous tra Vaillons aussi d autres aspects comme le support aux directions d cole no tamment au travers de m c nats de comp tences en mettant disposition toute une s rie de comp tences tech niques qui n existent pas dans l cole mais bien dans les entreprises Nous voulons jouer effet de levier pour mieux faire connaitre les nombreuses initiatives visant informer et orienter les l ves Nous mesurons l impact et les r sultats de nos projets puis en proposerons l extension l int rieur des f d rations de PO et vers les entre prises Ces bonnes pratiques av r es sont bien s r aussi des perches ten dues aux responsables politiques INTERVIEW CONRAD VAN DE WERVE 1 L Enseignement officiel organis par la Communaut fran aise le Conseil de l Ensei gnement des Communes et des Provinces le Conseil des Pouvoirs organisateurs de l Enseignement officiel neutre subventionn le Secr tariat g n ral de l Enseignement ca tholique et la F d ration des tablissements libres subventionn s ind pendants 2 Disp
16. dans mon casse croute Peinant chasser l importune visiblement bien d cid e obtenir sa part du g teau j opte en d sespoir de cause pour une strat gie radicale je d cide de c der l insecte t m raire et n anmoins carnivore un modeste morceau de jambon que je place bien en vidence sur la soucoupe pos e sur la table Transmission de pens e entre esp ces ou instinct bien affut de la z br e b b te Allez savoir Toujours est il que la gu pe ne fait ni une ni deux et se dirige droit sur le morceau en question Et l c est l enchantement observer de plus pr s son man ge on remarque bien vite un travail de d coupage d une pr cision inou e Avec une minutie que ne d mentirait pas un chirurgien plastique californien ou plus pr s de chez nous le charcutier d un village ardennais elle pr l ve de minuscules morceaux de viande qu elle sempresse d emporter un un dans les airs entre ses pattes Toutes les trois minutes montre en main elle r it re son fructueux va et vient C est r ellement fascinant Et voil une banale promenade dominicale clabouss e d inattendu enlumin e d une parcelle de merveilleux Et je ne vous parle pas de mon chien Vous connaissez mon chien Mais si cette petite femelle beagle qui n ob it qu elle m me v ri table obs d e de la croquette dot e d une nergie faire p lir d envie une centrale nucl aire de la derni re g n ration Eh bien voir cette
17. de l Emploi la Chancellerie du Premier Marc BERTRAND ministre et au Conseil sup rieur de la Justice Je suis ici en place pour un mandat de 6 ans renouvelable une fois pr cise t il C tait un beau d fi relever pour la derni re partie de ma carri re d autant plus que j ai toujours occup des fonctions ou je devais ar ranger les choses gt Il est entour d une quipe de 23 colla borateurs dont 11 qui traitent les dos siers En 2013 le service a t contac t dans le cadre de 3600 dossiers dont environ 3200 taient recevables Nous traitons toutes les plaintes qui nous sont adress es par des citoyens lorsqu ils ont une difficult ou un litige avec une Administration Si celle ci constate qu il y a bien eu un probl me ou un dysfonctionnement le dossier se conclut vite Si par contre elle avance des arguments nous les examinons demandons l avis du r clamant et for mulons une proposition l Adminis tration qui garde toujours le dernier mot Nous ne tranchons pas Nous es sayons de convaincre nous coutons analysons nous permettons parfois de restaurer le dialogue Pour l enseignement la situation est diff rente selon les r seaux En ce qui concerne les relations scolaires par exemple dans les cas d exclusion d l ve le M diateur est comp tent pour les tablissements du r seau de la FWB En revanche il n est pas comp tent pour ceux ci en ce qui
18. enrag e bestiole se lover dans son panier capitonn et c der peu peu au sommeil avec un soupir d aise et la conscience f rocement tranquille me fait fondre telle une petite motte de beurre sal oubli e sous un soleil breton Voil c est a C est vraiment a que je vous souhaite Non pas de finir en flaque d huile sur le carrelage mais de vous laisser envahir d s que possible par une flop e d instants de pur merveillement qui vous mettent l me en vacance et vous requinquent le quotidien A z J Lh SSE A yi M ME PE STAGE AVIS DE RECHERCHE PP 10 17
19. inaugurer la deuxi me partie de son Centre de technologies avanc es CTA en pr sence notamment de Rudy DEMOTTE Ministre Pr sident de la FWB et d tienne MICHEL Directeur g n ral du SeGEC La phase 1 du CTA avait permis l acquisition d un quipement lectro Piloter un robot fabriqu de ses propres mains et lui faire r ussir un maximum de missions tel tait le d fi propos la centaine d l ves qui ont particip le 8 mai dernier au concours Robotice organis l Institut des Arts et M tiers Pierrard de Virton par le CTN Centre de technologies nouvelles de Namur Luxembourg Les grands gagnants de cette dition les l ves de l cole secondaire libre Saint Hubert n objectif faire gagner son robot U un maximum de points en ex cutant neuf missions impos es en 2 minutes 30 Un th me le folklore pr senter d une mani re vivante et originale au jury Des acteurs des l ves de 1 et 2 secondaires volontaires concentr s et tr s motiv s Le concours Robo tice demande un r el investissement technique de pointe Cette phase 2 propose un quipement d di aux nergies renouvelables aux tech niques du froid du chaud ainsi qu au traitement de l air pour un investis sement total de 580 000 EUR Des l ves de l ITL ont particip aux tra vaux d am nagement Pour rappel les CTA mettent des quipements de pointe la disposition de tous les acteurs d
20. l ves sortis de rh to ont effectu tout leur par cours en immersion lls ont pass un examen externe de n erlandais Les r sultats sont tout fait corrects et leur permettent de S inscrire dans une natifs ne ma trisant pas le fran ais on a un risque qu ils S isolent et qu ils ne travaillent qu entre eux Mary CHOPEY PAQUET chercheuse l Universit d Aberdeen et l Univer sit de Namur insiste pour sa part sur la formation Nos professeurs doivent avant tout tre bien pr par s Il y a plein de ressources qui ne sont pas suffisamment exploit es Je me r jouis tr s fort qu on r fl chisse la formation initiale tout en restant atten tif la formation continue gt EN DUO Les choses bougent lentement mais elles bougent tout de m me estime M CHOPEY PAQUET pour avoir suivi le programme d immersion chez nous depuis la fin des ann es universit n erlandophone s ils le souhaitent Il est dommage qu il ne soit pas indiqu sur le dipl me des l ves qu ils ont suivi une fili re en immer sion IIS ont tout de m me produit un effort suppl mentaire pour r ussir gt Didier LORGE directeur adijoint de l Institut Saint Andr Charleroi Nous en attendons un changement p dagogique dans l cole L immer sion fait appel de nouveaux pro cessus cognitifs La relation p dago gique est diff rente La peur de poser une question n existe pratiquement plus La di
21. que celle ci fonctionne mieux m BRIGITTE GERARD 1 Voir www le mediateur be gt Communica tion gt Rapports annuels Pour toute info www le mediateur be num ro vert 0800 19 199 courrier le mediateur be entr es libres lt N 90 lt juin 2014 13 zoom Illustration Anne HOOGSTOEL IMMERSION LINGUISTIQUE Un pilotage efficace pour une qualit renforc e E L immersion linguistique connait un r el succ s en F d ration Wallonie Bruxelles Derni rement la FESeC a organis une journ e l intention des chefs d tablissements organisant de l apprentissage par immersion Ind niablement l am lioration de la qualit d un projet en immersion passe par un pilotage efficace EXP RIENCE n tant que manageur et amp dirigeant de votre cole vous devez pouvoir ex primer votre vision des choses r gu li rement explique d embl e Peeter MEHISTO consultant internatio nal pour le d veloppement de pro grammes d enseignement bilingue et leur gestion strat gique Vous ne devez pas seulement exprimer des valeurs mais aussi cr er des struc tures qui permettent aux personnes de collaborer P MEHISTO estime que les direc tions peuvent s appuyer utilement sur le comit local d accompagne ment tel que pr vu par le d cret de 2007 organisant l enseignement en immersion II faut rechercher des m thodes qui permettent d aller jusqu au translanguaging g
22. r aliser un maximum de mis sions li es aux diff rentes villes pour Binche il fallait mettre des petites boules symbolisant des oranges dans un pot de yaourt pour le Meyboom Bruxelles il fallait d poser une paille dans un verre Malgr une pr paration pointue et acharn e le stress tait l ennemi nu m ro un des l ves d A MARTIN Lors de la premi re joute on a fait 3 points sur 100 On a ensuite chan g un des deux pilotes du robot mais le rempla ant tait tout aussi f brile Finalement lors de la troisi me joute une fille a pris le relai elle est rest e tr s calme et on a gagn Dans l ensemble ils ont r ussi bien g rer le stress galement pour lexpos Premiers au classement g n ral et l preuve robot seconde place pour l expos scientifique Le concours a tout d une r ussite pour les l ves de l cole Saint Hubert C est la premi re fois qu on rem porte la partie robot se r jouit le pro fesseur En neuf participations on a en revanche r guli rement gagn la partie scientifique On prend ce concours tr s c ur Cela prend beaucoup de temps aux l ves mais ils ne rechignent pas ils sont tr s moti v s ils s investissent beaucoup lIs vont m me essayer de poursuivre leur confr rie Les Compagnons de Re dout qui rassemblera des jeunes de l cole ayant particip Robotice gt Outre un investissement sans f
23. t re formatif ce qui lib re la relation maitre de stage stagiaire Ainsi partir d un tat des lieux relat en direct ou travers les re cherches pr sent es se manifeste la n cessit d une double action d une part former les personnes qui en formation initiale des maitres accompagnent les maitres de stage d autre part former les maitres de stage eux m mes Tout cela en vue de ce sur quoi tous les participants et intervenants sont d accord valoriser cette fonction de maitre de stage dont chacune reconnait l importance dans la forma tion initiale des maitres JEAN PIERRE DEGIVES 1 ESFFIM pour Enseignements secondaire et fondamental Formation initiale des maitres Les num ros 29 47 et 68 d entr es libres ont d j fait cho ses travaux 2 Elle tait intitul e Les maitres de stage portrait analyse des pratiques et formation gt 3 Ghislain CARLIER est professeur ordinaire la Facult des Sciences de la motricit de l UCL 4 Claire MIEUSSET de l Universit de Reims Champagne Ardenne La th se qu elle a d fendue r cemment et dont elle a expos les l ments principaux s intitule Les di lemmes d une pratique d accompagnement et de conseil en formation Analyse de l activit r elle du maitre de stage dans l enseigne ment secondaire 5 Catherine VAN NIEUWENHOVEN de l UCL et Rudy WATTIEZ de l cole nor male catholique du Brabant wa
24. 1 syst me de mesure europ en abr viation h12 sans la marche un la fois v12 Bologne l introduit en Belgique h13 indispensable pour avancer v13 association libre abr viation LES RE RSR LS RS RE RC RE RU ER Re RS RS EL RE RSS RC v4 c k i gt EE ve D On h2 v1 v2 v3 J A E 7 RE 7 E s s NN v9 v11 n12 M a e M A A A A A A AE A RE AE RE ve E no RS o RER vo a a v12 v13 CG 3 Od LA 1 JSeW ZLA SLOG LLA SOANISOd QOLA Sino9Jed 6A 2eq gA onbi ouje9 ZA UE199 9A 1N9 98 GA JISSN9I pYA S JA I EA Sioloid ZA S 9147U LA 1850 LU sed Z y 19N 2e49 LLY SSO OLY 429 64 uo BUILUHOSIP 8U 9914 Z4 JVA 9Y JUSWISIpEOUS Sy Sd ty SIOJY EU UONNIOAS Zy JUeWEUBISSUS py suonnjos roo Fr B ac Poo Fo ro ro ro Poo roo Poo r es r o fe oo W Fr ds FF E AVEZ VOUS BIEN LU 1 Que faisaient les l ves de Sainte Chr tienne Chimay dans les Abruzzes la Toussaint 2013 A IIS apprenaient cuire les p tes al dente B lls apprenaient le cycle de production de l huile d olive C Ils rencontraient l quipe de foot de Villafonsina 2 Qui avait mal mis ses bretelles le 26 novembre Champion A Francis LITTR B Thierry HUL HOVEN C Un participant 3 Tous sur l
25. 3 42 36 02 Tra LESSER M ENTE LA 100 Oxford Intensive School of English ge 6 9 s jours linguistiques d exception Oxford Cambridge Londres Bristol Sherbourne Priors Boston Heidelberg scolaire Madrid Sydney P l Montr al tudiant OISE Benelux O ne prepa 475 Avenue Louise 1050 Bruxelles T l 0032 0 2 770 99 20 belgique oise be oise be profe ssionnel detente DUSJOUEZ avec nous Le Comit de r daction d entr es libres vous a concoct quelques jeux pour cet t O que vous vous rendiez la mer la montagne la campagne ou que vous restiez chez vous emportez votre magazine pr f r pour de bons moments de d tente assur s Bonnes vacances tous QUELS MOTS DERRI RE CES D FINITIONS h1 antidote l ignorance v1 ouvertures h2 changement v2 avant les plans d actions h3 pour la qualit abr viation v3 le sommes nous oui ou non Grande question h4 pour adultes abr viation v4 atteindre son objectif h5 aide la r ussite v5 vous ici et maintenant h6 int ressant si vous avez de l exp rience v6 support ou masque abr viation V7 enseignement libre confessionnel h7 au service de la carri re abr viation v8 preuve en France h8 peut tre positive v9 chemin individuel ais ou chaotique h9 premi re certification abr viation viO remarques et pens es devraient l tre h10 largement exig abr viation plus souvent h11 appr cier v1
26. IN LA NEUVE INVIT S MARIE CLAUDE BLAIS ABOUD ADHAMI INFOS r AA E enseignement c holique be universit d t 02 2560 J monde qui s est initialement construit dans son cercle familial Comment le v cu des tudiants qui se destinent l enseignement a t il influenc leur choix de carri re Quelle perception ont ils de leur pr paration au contact avec les familles Panel compos d tudiants de cat gorie p dagogique 3 cole tous parents admis Une r cente publication de la Fon dation Roi Baudouin constate que les familles d favoris es prouvent des difficult s occuper une position active dans la relation cole familles Les parents ne s autorisent que ra rement poser des questions sur les apprentissages gt D s lors que mettre en place l cole et dans les classes Comment am liorer la rela tion de confiance avec les familles Comment aider celles ci entrer dans la question des apprentissages Luc MICHIELS conseiller p dago gique coordonnateur F dEFoC une direction de l enseignement fondamental 4 Participer mode d embploi Participer prendre part activement a quelque chose En vertu de cette d finition les membres du Conseil de participation d une cole se r u nissent pour prendre la part de res ponsabilit s qui leur incombe afin que l action de l cole soit fid le son projet ducatif Partage de responsa bilit s bie
27. aille cette exp rience apprend solidarit tol rance esprit d quipe cr ativit Et les l ves prennent confiance en eux L un d eux qui a beaucoup de difficult s l cole a r ussi un peu par hasard faire en sorte qu une mission du robot soit inratable Il tait super fier Au niveau technique les l ves am liorent leur dext rit la pr cision le self control le sens de la program mation informatique et pour la partie expos ils d veloppent la prise de contact la recherche documentaire Ces jeunes qui rencontrent parfois des difficult s dans leur parcours scolaire ou qui sont en d crochage prennent conscience qu ils sont capables de r ussir quelque chose gt BRIGITTE GERARD 1 http libresthubert be N 90 entr es libres juin 2014 entrez c estouvert 12 CECI EST PAS UNTABLEAU D Er His hor ae D couvre la cl pour comprendre les uvres du peintre Ren MAGRITTE Comme lui cr e des images surprenantes Oiseau nuage grelot bouquet pomme visage Cette invitation de l diteur du livre Le petit Magritte a v ritablement t prise au pied de la lettre par deux institutrices de 4 ann e primaire de l Institut Champagnat implant au c ur de Schaerbeek ans le cadre du concours La petite Fureur de Lire Alice COLIGNON et Myriam AMEELS ont imagin et mis sur pied un projet photo inspir des uvres de MAGRITTE avec la
28. ais gt a MNL Int ress stephane allard idbbxl com quitte pays uire aillturs Ouvrage collectif Va quitte ton pays Ose un autre ailleurs Pr texte Don Bosco 2014 entr es libres lt N 90 lt juin 2014 19 Photo Conrad van de WERVE 20 km DE BRUXELLES E COR BRUSSEL e 18 mai dernier 44 O00 coureurs taient au d part des 20km de Bruxelles Parmi eux la valeureuse quipe del Enseignement catholique Le plus rapide de ses 14 joggeurs a boucl le parcours en une heure et trente neuf minutes L Gr ce au beau temps et aux encou ragements des supporters l v ne ment fut sportif et festif Si cet v nement vous int resse n h sitez pas vous manifester en utilisant l adresse 20km segec be Que faire si je suis confront un risque de maltraitance d enfants Dr M de WVasseige C Foidart Pr H Hainaut 5 Lachauss e l Maleux FL Menville E Wicvrouw edipro A agendas L Enseignement catholique sera pr sent la Foire agricole de Libramont du 25 au 28 juillet Le secteur Agronomie de la F d ration de l Enseignement secondaire vous propose de d cou Journ e Inter Internats a eu lieu le 7 mai der nier au Coll ge de Godinne Burnot 1600 jeunes repr sentant 22 internats se sont affront s dans des preuves sportives encadr es par 90 duca a traditionnelle teurs Quatorze disciplines taient propos es ru
29. besoin un mo ment o je suis seul en comp tition avec moi m me Je crois que tout le monde a dans la vie quelque chose qu il doit absolument exprimer La vie est comme un jeu dit on J ai longtemps cherch lequel la symbolise le mieux Je pense que ce serait le bridge Comme dans ce jeu on re oit en naissant des cartes ici g n tiques culturelles sociales qu il faut jouer du mieux qu on peut pour faire au moins les points qu elles per mettent de faire Et quand je consid re ma vie ce que j en ai fait mon uvre scientifique je me dis que je n ai pas trop mal jou mes cartes m PROPOS RECUEILLIS PAR BRIGITTE GERARD DERNI RES PUBLICATIONS Les jeux de l amour du hasard et de la mort Comportement animal et volution Racine 2011 L humain comme avenir de l homme Racines 2013 entr es libres lt N 90 lt juin 2014 9 Irpa A es extraits de po mes sont sign s C par Niko et Brandon l ves de 6 professionnelle Ouvrier qualifi en construction gros uvre l Insti tut technique libre d Ath ITL Avec douze autres l ves de leur section ils viennent de prouver de fa on re marquable qu il tait possible de faire rimer ma on avec motion et manuel avec culturel Tout cela a d marr avec leur envie de laisser une trace d eux comme l avaient fait leurs pr d cesseurs il y a deux ans en construisant une cha pelle dans l cole
30. concerne les enseignants le Minist re de la FWB tant leur em ployeur Au niveau de l enseigne ment subventionn le service est comp tent pour les enseignants quand ils ont un souci avec le Minist re mais pas pour les relations scolaires Tout cela est compliqu constate M BERTRAND Dans mon rapport annuel 2013 je formule une recommandation ne pourrait on pas dire que le M diateur est comp tent pour tous les tablisse ments d enseignement tant du sub ventionn que de l organis pour tel tel et tel domaine DES RECOMMANDATIONS Le r le du M diateur est de trouver des solutions aux probl mes mais aussi de formuler des propositions structu relles des recommandations Par exemple on rappelle aux Administra tions qu elles sont oblig es d informer de la possibilit d avoir recours au M diateur Je souhaiterais aussi pou voir aller de mani re approfondie dans l audit de certains services administra tifs afin de les aider am liorer leur fonctionnement force de r gler les probl mes ou de tenter de le faire ce m tier apporte son lot de satisfactions Je suis surtout satisfait quand il y a des am liorations au sein d une Administration suite une de mes recommandations conclut M BERTRAND Notre devise est Le M diateur cr ateur de confiance gt Finalement ma mission est surtout de renforcer la confiance des gens en l Administration qu ils se disent
31. e un sentiment d admiration et d empathie pour l tre humain pour son courage son ing niosit Dans des pays o les gens n ont rien de ce que nous tendons consid rer comme le minimum de biens mat riels ils ne se sentent pas aussi malheureux qu on pourrait le croire Des syst mes de relations humaines sont possibles et plus vraies sans tablette nu m rique Cela ne veut pas dire qu il faille les jeter mais il faut se souvenir que ce n est pas a le bonheur Et avec tout a vous avez aussi une certaine fibre artistique PG Oui aujourd hui je peins lhuile partir de mes photos de voyages En fait j ai dessin beaucoup quand j tais jeune puis j ai arr t et j ai repris sporadiquement Je n ai pas suivi de cours mais mon papa tait un vrai g ment pour voter en noircissant sa maison ce jour l on vote pour un changement Et les gens le font par millions Le consu m risme n est pas possible ternelle ment Nous pou Nom GALAND nie Finalement le plus bel enseignant Pr nom Paul r J que j ai eu c est lui Il avait une for mation scientifique il tait intelligent il dessinait comme un dieu et poss dait un incroyable sens de l humour Nous tions cinq enfants n s entre la crise et le d but de la guerre ce qui ne l a pas emp ch de faire de la r sistance Jamais je ne lai vu d courag il tait Profession chercheur de 1961 2000 dans le do
32. e C ans et de la suite dans les id es Dans la chaleur de l t texan de 1899 elle d veloppe une curiosit insatiable pour l observation des pe tites b tes des plantes et de tout ce qui l entoure dans cette nature luxu riante Elle consigne ses d couvertes dans son pr cieux carnet de natu raliste en herbe en se posant mille questions pourquoi les chiens ont ils des sourcils quel ge acquiert on la notion du temps Cet engouement pour l observation scientifique est nourri par son grand p re un type farfelu et attachant passionn par les sciences la nature et le progr s en g n ral Tous deux nouent une re lation forte et complice en partageant leurs passions et curiosit Mais dans la grande maison d bor dante de vie Calpurnia doit aussi se faire une place parmi ses six fr res et lutter contre les difficult s d tre une jeune fille l aube du 20 si cle Quand sa m re d sire tout prix lui apprendre cuisiner et coudre Calpurnia ne r ve que d aller un jour l universit Et franchement c est tout ce qu on lui souhaite Ce roman est une merveille on y glisse comme dans une prairie de hautes herbes pour y faire une sieste la chaleur du soleil avec une petite brise qui chatouille et rafraichit juste ce qu il faut D s 10 11 ans et bien au del on aurait tort de se priver Julie Librairie La Parenth se Rue des Carmes 24 4000 Li ge www laparenthese be 04 222 42 66
33. e la formation sans distinction de r seaux Chaque CTA accueille donc des l ves du qualifiant du 3 degr des tudiants de promotion sociale ou de lensei gnement sup rieur des demandeurs d emploi MT raconte Aurore MARTIN professeur de sciences l cole secondaire libre Saint Hubert qui a accompagn une quipe de 11 l ves de 2 ann e dans la pr paration des preuves Les jeunes y ont en effet beaucoup travaill en de hors des heures de cours surtout entre janvier et mai Et pour cause le programme tait alors charg Ils devaient r aliser un robot en Lego Technique l aide de pi ces traditionnelles et de trois moteurs et le programmer pour les missions remplir sur une grande aire de jeu repr sentant la Wallonie et son folklore Mais le concours ne se limite pas cette partie technique Les l ves devaient aussi pr parer un expos scientifique sur le th me choisi Cette ann e on a cherch quelque chose qui repr sentait Saint Hubert et on a pens aux confr ries raconte l enseignante Les l ves se sont rendu compte que le simple fait de travailler ensemble sur ce concours faisait aussi d eux des membres d une confr rie lIs ont donc d cid de cr er la leur et de la pr senter au jury Le Jour J les 13 quipes inscrites ve nant des quatre coins de Wallonie de vaient s affronter en plusieurs joutes chacune pouvant passer quatre fois pour
34. e qui pourrait arriver sous peu O tre son forma teur aujourd hui et maintenant inter venir dans les situations de classes d licates O laisser le stagiaire se d brouiller pour apprendre etc VERS UNE FORMATION Claire MIEUSSET conclut de cette analyse qu une formation de maitre de stage est essentielle C est la conviction qui a amen Catherine VAN NIEUWENHOVEN et Rudy WATTIEZS conduire une recherche collaborative visant mettre en place une formation l accompagnement des maitres de stage avant de for mer les maitres de stage il faut for mer celles et ceux qui les formeront Dans un premier temps il s agissait de rassembler des connaissances sur l accompagnement et le d ve loppement professionnel pour mettre en place dans un deuxi me temps une formation l accompagnement et l valuation des maitres de stage L origine de cette recherche est un constat il existe peu de balises per mettant une pratique d accompagne ment et d valuation des maitres de stage D s le d part le choix fut fait de chercher avec les acteurs et dans leur contexte comprendre la ma ni re dont ils fonctionnent L objectif avis de recherche LA FONCTION DE MAITRE DE STAGE EST TR S EXIGEANTE PUISQU ELLE CON UGUE UNE DIMENSION OP RA TIONNELLE AVEC UNE DIMENSION RELATIONNELLE COMPLEXE coll gialement d termin identifier les besoins des accompagnateurs et les actions prioritaires mettre e
35. e terril est le titre A de l interview d Anne DUBRAY de Saint Vaast B du dernier film de Benoit MARIAGE avec Benoit POELVOORDE C d une BD de CLARKE 4 O Bernard YERL S a t il suivi sa formation d acteur A IAD B au Conservatoire de Bruxelles C l INSAS 5 Des genres et des couleurs est le titre A d une petite BD d Anne HOOGSTOEL B d un article sur une exp rience men e l IATA C d un article dY RAUCHEZ sur les produits cosm tiques utilis s dans la section coiffure du CEFA d Ixelles 6 La p dagogie Steiner Waldorf est exp riment e en 1 C A l Institut Saint Ulrich de Butgenbach B FIATA de Namur C l cole primaire libre Rudolf Steiner de Court Saint tienne 7 Comment j ai d test les maths est le titre A d une interview de C line VAN DAMME conseill re p dagogique maths la FESecC B d un film d Olivier PEYON C d un bil let d humeur de notre r dacteur en chef 8 Le titre de la 10 dition de lUni versit d t du SeGEC est A Voyage au c ur des relations familles cole B Entre cercle familial et cadre scolaire C Familles cole quel dia logue possible 9 Conrad van de WERVE coute les conversations t l phoniques de ses voisins au Quick B dans le m tro C dans un tablissement de restauration rapide 10 Anne LEBLANC s nerve pro pos de A son mari ses enfants et se
36. ec la mention entr es libres Les articles paraissent sous la respon sabilit de leurs auteurs Les titres intertitres et chapeaux sont de la r daction Textes conformes aux recomman dations orthographiques de 1990 entr es libres est imprim sur papier FSC Quel r le pour les parents EER Poer EE _ TIENNE MICHEL DIRECTEUR G N RAL DU SEGEC 5 JUIN 2014 l heure des r visions des examens et des r sultats Dans ces moments importants les enfants et les adolescents ont besoin de leurs parents et les coles comptent aussi sur l investissement de ces derniers Qu attend on des parents Surement pas de tout porter sur leurs paules mais bien de cr er des conditions opti males d tude Les parents ont s assurer que l enfant a planifi son travail et ensuite qu il a les bons r flexes en termes de m thodologie qu il comprend ce qu il lit qu il s approprie la mati re intelligemment qu il anticipe les questions du professeur qu il refait des exercices sans se contenter de lire son cours Et si la chambre ou la table est envahie par les gsm ordi et autres appareils les parents veillent une petite mise au point on vacue le tout momentan ment car m me les meilleurs ne peuvent faire convenablement qu une chose la fois Bref les parents doivent s assurer du suivi quantitatif et qualitatif de l tude Et le tout si possible dans la bonne humeur D ans les coles et au sei
37. en faites pour rien Tout va bien mais votre directeur se demande quand vous prenez votre DPPR Un merci tout particulier Fran coise MIN BOL Thierry HULHOVEN et Jean Pierre DEGIVES pour la r a lisation de ces jeux CPAS PACE Tous les membres du Comit de r daction vous souhaitent d excel lentes vacances j j J j j j j j j j j j j Ra KG eu VOLAMI 2 A Er EJZ ue Lnumeur de Marie No lle LOVENFOSSE MERVEILLEMENT EN VENTE LIBRE e vous souhaite des vraies vacances Comprenez moi bien je ne vous parle pas seulement de ces voyages peut tre exotiques que vous allez entreprendre de ces plages immenses invitant un farniente de bon aloi ou de ces montagnes propices aux crapahutages multiples dont regorgent juillet ou aout Non je pense moi des moments inattendus pr ts clore n importe quel mois de l ann e ces instants privil gi s o soudain le temps s arr te ces petites parenth ses magiques que la vie vous offre sans crier gare t comme hiver Un exemple L an dernier lors d une halte bienvenue la terrasse d un caf apr s une longue balade sur une brocante cras e de soleil je tente de neutraliser une faim galopante l aide d un sandwich au jambon qui a connu des jours meil leurs Tout coup une gu pe s approche toutes ailes dehors et je la vois du coin de l il qui tente subrepticement de s introduire
38. ent de ne pas se rendre Les 3 serments un docu fiction r alis par Jacques DONJEAN propose de faire un bout de chemin en compagnie d un jeune soldat et de revivre tra vers ses yeux les moments forts de la Premi re Guerre mondiale et en parti culier l occupation de la Province de Li ge par les Allemands jusqu en 1918 Le r cit est illustr par des archives d poque des interviews d historiens de diff rentes nationalit s et des images des lieux de m moire aujourd hui De nombreuses th matiques historiques sont d velopp es entrelac es avec la trame fictionnelle mais respectant l historiographie la plus pointue d au jourd hui les combats d aout 1914 les massacres de civils les villes mar tyres la guerre des tranch es la vie quotidienne dans la Belgique occup e la R sistance l apr s guerre les trait s de paix et leurs cons quences le suffrage universel etc Tn sc nario de Un Tin ot une s rie da Fhilippe RAXHON Jacques DONJEAN Haa prunes des FEES EE Li ris DES are p mien se baiam Ce film organis en trois s quences de 26 minutes est pens pour offrir un support aux enseignants qui voqueront avec leurs l ves la Comm mora tion du Centenaire de la Premi re Guerre mondiale MALA L TELLE mi du CENTRE SICTITIEL 1m CIDRE Bn T L TATADNIEE PARLE RTE yg gi LA j mss Fa a EE Contact les Films de la Passerelle films passerelle be www passerelle be t l 04
39. ent l accro chage scolaire Benoit GALAND professeur la Fa cult de Psychologie et des Sciences de l ducation l UCL Jean Luc PIECZYNSKI directeur du Centre scolaire Saint Fran ois d Assise et Sainte Th r se Ans 9 Adultes en reprise d tudes et la famille Nombreux sont ces adultes qui d cident de reprendre des tudes C est alors toute la vie de famille qui est r organis e pour pouvoir s adap ter aux horaires d cal s de ces for mations Comment la famille de ces adultes r agit elle Comment ces tudiants parviennent ils trouver un quilibre et un panouissement entre vie priv e vie scolaire et vie profes sionnelle Comment les quipes ducatives envisagent elles les rela tions avec ces adultes en formation Panel de t moins issus de la sph re de l enseignement de pro motion sociale L QUIPE DU SERVICE D TUDE Infos et inscriptions http enseignement catholique be gt Universit d t universit d t POUR RECEVOIR TOUTES NOS ACTUALIT S ABONNEZ VOUS AUX FLUX RSS DU SITE http enseignement catholique be FACILE COMMENT A MARCHE VOIR entr es libres N 80 JUIN 2013 P 20 ARCHIVES DISPONIBLES SUR www entrees libres be entr es libres lt N 90 lt juin 2014 r W ST ie r di 2 08 k i 4 r j aig ti r E P F L a m m i al gt E Ta k P f u S D e e i
40. er logiquement cor rectement formuler une id e claire Associ s une bonne m moire ils m ont donn une facult d expression tr s utile dans les d bats pour crire ou corriger les articles de mes docto rants Et comment se sont d roul es vos tudes sup rieures PG Je me suis inscrit en biologie l ULB Je n avais pas une vocation particuli re de biologiste mais mes parents n taient pas riches et ces tudes ne duraient que quatre ans l universit je suis tomb sur quelques professeurs qui ont chang ma vie Paul BRIEN biologiste de renom qui m a communiqu sa passion pour la zoologie Jean BRACHET le p re de la biologie mol culaire Chaim PE RELMAN qui enseignait la logique for melle Et un moment j ai mordu et d couvert que je voulais faire de la re cherche C est Lucien LEDOUX alors assistant de BRACHET qui a veill en moi cette vocation Et plus tard c est lui qui m a pris comme collabora teur quand il a t nomm responsable d une unit de recherche en radiobiolo gie au Centre nucl aire de Mol Comment vos diff rentes activit s professionnelles se sont elles emboit es PG J ai commenc par r aliser une th se de biochimie Ensuite j ai quitt Mol pour la Facult de m decine de l ULB J y ai fait toute ma carri re en dirigeant d abord une petite unit de recherche puis en h ritant de la direc tion du Laboratoire de Cyto
41. est aussi une question culturelle Dans la presse derni rement un p dagogue sp cialiste de la rem diation racon tait qu en 37 ans de m tier il navait jamais rencontr un jeune incapable et b te mais beaucoup de milieux familiaux d sastreux Les enfants qui s en sortent le mieux l cole ne sont pas n cessairement les enfants les plus riches mais bien ceux dont la culture familiale est en coh rence avec la culture scolaire II est important que dans les deux sph res on enseigne l autonomie et le dialogue Une autonomie qui ne consiste pas faire tout ce qu on veut mais bien apprendre petit petit se donner soi m me des r gles de jugement Et un dialogue pour l exp rience de l alt rit et la confrontation avec une culture qui se transmet et s invente de g n ration en g n ration m 1 Florent CHENU chercheur en ducation ULg 2 Myriam TONUS l ve moi d Couleurs livres entr es libres lt N 90 lt juin 2014 RECHTS 3 des soucis 4 j is Se h P E G n raliser Re Cr e il y a un an la Fondation pour l enseignement a pr sent il y a quelques semaines ses grandes priorit s pour la l gislature 2014 2019 La Fondation rassemble les cinq f d rations de Pouvoirs organisateurs en FWB et les f d rations d entreprise wallonne UWE et bruxelloise BECI out le monde est d accord l enseignement en Belgique francophone peine atteindre le nivea
42. et PSE psychop dagogues membres de SOS Enfants a labor un outil p dagogique qui sera utile aussi bien aux professeurs de psychop dagogie et formateurs d tudiants qu aux enseignants et directeurs en fonction L ouvrage compile une s rie d informations pratiques les diff rents types de maltraitance et les signaux d alerte auxquels chacun peut tre attentif Il donne des conseils et des suggestions de d marches suivre comment recevoir la parole d un enfant comment parler aux parents quels partenaires contacter Des vignettes cliniques pr sentant des situations types per mettent de faire des exercices sur les hypoth ses formuler les pistes suivre et les pi ges viter Enfin un DVD reprend une s rie d interviews clairantes www maltraite emoi be entr es libres lt N 90 lt juin 2014 Photo Coll ge de Godinne Burnot rejoint son unit Loncin Un mois plus tard la Belgique pays neutre LES 3 S FRM ENTS L e 31 juillet 1914 Fran ois un jeune boulanger de Li ge est mobilis et BP TENN est envahie par 800 000 soldats allemands sans d claration de guerre Le TE RERENTE ei A RTC TTIE l premier tu de la Premi re Guerre mondiale tombe en province de Li ge LES 3 SERMENTS Fran ois participe la d fense du fort de Loncin Rassembl e dans la cour Ia Premi re Guerre mondiale en Belgique Guerre mondiale en Belgique du fort la garnison de 550 hommes pr te serm
43. fficult c est de la formuler en anglais mais les l ves passent cette barri re tr s vite et ils s attachent la compr hension du cours Nous voudrions tendre cette d marche l ensemble des cours car elle favo rise la communication entre l l ve la mati re et le professeur Quelles sont les difficult s vaincre pour mettre en place un projet d immersion Benoit FOUARGE sous directeur au Coll ge Saint Fran ois Xavier Verviers La principale difficult c est l indispensable concertation avec les membres du personnel In vitablement l immersion d place l emploi m me si l enveloppe glo bale reste la m me La deuxi me c est d avoir un vrai projet par rap port l immersion Nous mettons un point d honneur v rifier cela avec les parents et les l ves Baudouin JOACHIM La premi re zoom 90 De leur c t les conseillers p da gogiques qui interviennent en sou tien aux tablissements se sont eux aussi adapt s Ils ont revu leur m thode de travail Nous intervenons aussi souvent que possible en duo explique Nicole BYA responsable du secteur Langues modernes de la FESeC Un CP en g ographie ne peut pas maitriser parfaitement lan glais le n erlandais allemand et le fran ais Nous travaillons donc aussi souvent que possible en duo un CP de la discipline concern e et un CP langue Nous essayons dans la me sure de la stabilit de nos quipes
44. gby mini foot volley ball baseball vtt natation etc Dans l apr s midi quatre repr sentants par internat ont pr par une chor graphie qui a t pr sent e aux autres internes avant que ces derniers n emboitent leurs pas comme dans un flash mob gt Un spectacle rassemblant tous les internes a cl tur la journ e dans une ambiance conviviale et festive Voir le reportage photo sur http enseignement catholique be Internats gt Activit s gt Inter Internats vrir les options organis es par nos coles tant pour le plein exercice l alternance que pour le sp cialis Ci dessus le croquis du stand ima gin par des l ves de l Institut Saint Joseph de Carlsbourg en collabora tion avec le secteur Arts appliqu s de la FESec Localisation du stand Walexpo en mezzanine our les enfants en ge scolaire c est bien souvent l cole que des P inqui tudes concernant leur bien tre se r v lent Or lorsqu un ensei gnant pense qu un de ses l ves pourrait tre victime de maltraitance il se sent d muni sentiment d impuissance peur de mal interpr ter la situation peur de troubler gravement la vie familiale de l enfant ou de laisser l enfant dans une situation haut risque etc Partant du constat qu l heure actuelle les acteurs de l enseignement ne re oivent aucune formation en la mati re une quipe pluridisciplinaire m decins et psychologues en centres PMS
45. indications int ressantes sur leurs repr sentations de la fonction Notam ment en ce qui concerne les trois facettes du maitre de stage que les r ponses jugent incontournables al der le stagiaire construire un savoir faire ou un savoir tre en collaboration avec un enseignant exp riment encourager le stagiaire innover et faire ses propres exp riences aider le stagiaire cr er son identit professionnelle partir d une exp rience concr te Tr s logiquement celles et ceux qui ont r pondu cette enqu te estiment d s lors qu il faut valoriser cette fonction non seulement par une r mun ration ou un bar me sp cifique mais aussi par une forma tion voire m me un statut particulier 1 valoriser de maitre de stage entre peu dans les pr occupations A autorit s es rganisateursa enseignement Or c est ce devrait tre une fonction ntrale dans la dimension pratique de la formation initiale des maitres Somme toute ce sont bien eux qui mettent le pied l trier des futurs enseignants en mm UNE FONCTION EXIGEANTE Dans un deuxi me temps Claire MIEUSSET documente ces pre mi res approches intuitives en expo sant le travail d analyse de l activit r elle qui lui a permis de comprendre la singularit des profils des maitres de stage On peut situer cette fonc tion dans le cadre des pratiques d accompagnement qui pr sente g n ralement les c
46. inq caract ristiques suivantes 1 celui qui accompagne est second il nest pas suivi mais suit Il soutient au sens de valoriser celui qui est ac compagn 2 l accompagnement renvoie l id e d un trajet d un d placement mais dont le but n est pas toujours objecti vable d s le d part 3 les deux personnes sont impli qu es quelle que soit la dissym trie qui existe dans la relation entre elles 4 un accompagnement se d roule dans un temps qui est born il est obligatoirement temporaire 5 dans tout accompagnement se joue la transformation d une per sonne laccompagn un change ment d tat li la construction de comp tences Envisag e de la sorte la fonction de maitre de stage est donc tr s exigeante puisqu elle conjugue une dimension op rationnelle initier le stagiaire au m tier avec une dimen sion relationnelle complexe chaque rencontre chaque coop ration est diff rente et la dimension humaine est fondamentale La qualit de la relation humaine la prise en compte de la personne accompagn e dans son histoire et sa singularit sont d terminantes Comment les maitres de stage s arrangent ils avec ces contraintes Comme ils le peuvent En fait ils sont tous confront s des dilemmes Par exemple imposer un cadre pour le rassurer O lais ser le stagiaire libre de ses choix de m thode pour qu il s aguerrisse tre coll gue du stagiaire c
47. ique lui a beaucoup plu Mais a n a pas t une mince affaire de guider nos gaillards Il y a eu des moments o ils voulaient tout laisser tomber Il a fallu reprendre les textes encore et encore affiner les id es travailler le vocabulaire amen der toujours avec beaucoup de res pect sans rien r crire nous m mes a a t un travail de longue haleine d inciter ces jeunes exprimer ce qu ils ressentent et qu ils ont souvent du mal mettre en mots par pudeur ou par fier t Mais a a march Certains textes sont dr les d autres particuli rement mouvants ou percutants lls voquent des sujets aussi divers que la mort ou la maladie d un proche les sentiments amoureux un pass chaotique les r ves les peurs la nature etc Et quelle fiert quand le recueil est sorti et qu ils ont tous pu avoir l objet en main Il a fait sensation lors de la journ e Portes ouvertes en mai der nier en pr sence de Gilles SIMON et du po te national belge Charles DUCAL De nombreux m dias ont manifest leur int r t pour le projet les articles et interventions en radio se succ dent et plusieurs centaines d exemplaires ont d j t vendus Ce succ s est incroyable s exclame O PLANCKAERT C est pour nos l ves une magnifique valorisation de ce qu ils sont et de ce qu ils font gt MARIE NO LLE LOVENFOSSE 1 http www itlath info 3 Institut technique libre d Ath vient d
48. llon Cette recherche est n e de la collaboration de l UCL avec les Hautes coles Vinci et Galil e associ es dans le Groupe de recherche sur l accompagnement des pratiques profession nelles enseignantes GRAPPE 6 Plus d infos l adresse www formation accompagnement stagiaires be 7 Philippe VERHELST est maitre de stage et superviseur aupr s de la Facult des Sciences de la motricit de UCL entr es libres lt N 90 lt juin 2014 17 Le Moyen ge des TIC importance qu ont pris les K moyens audio visuels ne per met plus au professeur de fran ais d ignorer ce moyen didactique Le magn tophone estun instrument tr s souple et riche de ressources qui peut tre mis la disposition du professeur de fran ais Il est d un encombrement r duit et d un manie ment ais Supposons que plusieurs textes doivent tre pr sent s au cours d une m me le on ils peuvent ais ment tre mis bout bout sur une bande et dans l ordre voulu Cela vite les d rangements qui peuvent tre occasionn s par les changements de disques et les recherches des pistes vou lues sur ces disques avec les erreurs que cela comporte facilement pour le plus grand plaisir des l ves Un peu d habitude rem die vite ces inconv nients de d but Certaines missions radiophoniques de haute qualit litt raire peuvent tre cap t es et pr sent es la classe au moment opportun Chaque semaine en pr sente
49. logie et Canc rologie exp rimentale jusqu en 2000 sous mandat de directeur de recherches du FNRS Et comme jeune mari et p re d une petite fille je ne gagnais pas assez Mol j avais commenc faire de la t l vision d abord au Monde des animaux puis d s 1964 au Jardin extraordinaire Via cette activit de conseiller scienti fique j ai t recrut par le WWF Bel gique dont je suis aujourd hui vice pr sident ce qui m a permis de rester en contact avec la zoologie Garder ce lien avec la r alit vivante m a sans doute conduit exercer une biologie diff rente Et cela m a aid vivre Comme disait une de mes doctorantes chercher la v rit dans un tube es sai n est pas toujours excitant CARTE D IDENTIT sordide va devoir s incliner devant la n cessit de changer les choses Non par g n rosit mais par un sens bien compris de son propre int r t Les d cideurs vont se rendre compte qu on est arriv une impossibilit biolo gique La science nous enseigne que la croissance exponentielle ne peut tre illimit e dans un syst me fini Et nous notre niveau que peut on faire PG Le WWF souscrit l op ration Earth hour qui consiste teindre la lumi re pendant une heure partout dans le monde au m me moment Certains ont cru qu il s agissait d co nomiser l ner gie Mais non C est un mouve ils en parlent encor
50. ls marqu Paul GALAND tant bruxellois j ai effectu ma scolarit Saint Gilles En secondaire j tais en latin grec On m a fait sauter une classe en pri maire ce que l on ne devrait jamais faire selon moi Cela m a un temps fait perdre le plaisir de l cole En pri maire un instituteur m a marqu un jour il a voulu offrir un planisph re un l ve qui en ferait bon usage gt Et il a pens moi Est ce que cela a eu un r le d terminant sur la suite En tout cas j ai eu l impression d tre quelqu un et que je devais devenir ce quelqu un Cela m a donn confiance en moi Ensuite j ai r ussi m en sortir en secondaire sans faire grand chose sans casse ni clat Certains profes seurs taient bons mais je n ai gard qu une impression assez m diocre de la plupart J avais cependant un pro fesseur de dessin qui tait un g nie de la culture qui on pouvait tout deman der quel que soit le domaine artistique Jai aussi eu un prof de morale qui entr es libres lt N 90 juin 2014 nous donnait un cours sur les religions ce qui tait une tr s bonne id e car cela enseigne la tol rance Y avait il des branches que vous pr f riez malgr tout PG Les seules qui m int ressaient taient avec le fran ais le latin et le grec Je suis persuad que ma carri re a t ce qu elle fut en grande partie gr ce ces deux cours lls apprennent la rigueur pens
51. maine de la biologie cellulaire de l endocrinologie et de la can c rologie conseiller scientifique au Jardin extraordinaire sur la RTBF Signe particulier infatigable globetrotteur qui fait preuve d une insatiable curiosit et d une envie irr sistible de par tager ses d couvertes Et que vous apportait la dimen sion p dagogique de votre activit m diatique notamment PG Le Jardin extraordinaire m a per mis de donner libre cours ma voca tion pour la vulgarisation scientifique et cela a eu un impact positif sur mon m tier de chercheur Je pense que si vous n tes pas capable de faire de la vulgarisation sur votre sujet de pr di lection c est que vous ne le comprenez pas pleinement C est un bon exercice pour remettre en question vos propres connaissances Sinon j ai donn un cours l ULB avec plaisir pendant un temps mais je pr f re donner des conf rences sur divers sujets scienti fiques ou de soci t En tant que vice pr sident du WWF et voyant l tat de notre environne ment le nombre d esp ces en voie de disparition comment gardez vous l espoir d un changement PG C est vrai que c est terrifiant En Afrique il reste 10 de la population des esp ces pr sentes au d but du si cle pass Mais je garde espoir Nous sommes arriv s un stade o les contraintes vont nous imposer les bonnes solutions L goiste le plus vons lutter contre la consomma
52. n place pour d velopper davantage de professionnalisme Deux ann es d intenses travaux ont port sur le cadre th orique et m thodologique mais surtout sur un long travail d enqu te en deux volets Le premier fond sur une en qu te par questionnaire pour tablir un tat des lieux Le second repo sant sur des focus groups cherchant d terminer le mod le souhait Cet ensemble de travaux d bouche sur une proposition de Certificat en accompagnement des pratiques professionnelles d veloppant sept th matiques accompagnement et postures valuation r flexivit dimension psychop dagogique dimensions psychologique et rela tionnelle dimension institutionnelle partenariat Ce certificat est desti n entre autres aux formateurs de maitres de stage et aux superviseurs de stages 90 heures de formation correspondant 10 ECTS S LE MAITRE DE STAGE UN ACTEUR CENTRAL Enfin pour ne pas en rester l ana lyse Philippe VERHELST t moigne de son exp rience Pour lui le maitre de stage est un acteur central du dispositif des 60 heures de stage en Master 2 Il accompagne les sta giaires auxquels il confie sa classe durant une vingtaine de s ances II remet une valuation formative en fin d unit Coach formateur de terrain et compagnon r flexif il a un r le de formation S il participe au jury d va luation certificative il r dige un rap port qui est une valuation carac
53. n des familles le mois de juin n est certainement pas la p riode la plus relax C est Bien s r une fois les examens achev s on re oit les r sultats Comment les accueillir S ils sont bons c est le bonheur partag Il n y a plus qu f liciter Mais si ce sont de mauvaises nouvelles Des motions m lang es enva hissent les parents inqui tude col re d couragement Ils peuvent tre d us que de bons r sultats ne viennent pas r compenser leur investissement Et pourtant Myriam TONUS rappelle qu tre parent ne conf re aucun droit une quelconque reconnaissance Les parents ne doivent pas nourrir d attente par rapport leurs enfants ne doivent pas chercher toucher des b n fices de leur investissement bien r el C est une inversion des r les trop fr quente aujourd hui Ce qui est donn est donn sans retour n cessaire Elle cite Khalil GIBRAN qui disait que nos enfants ne sont pas nos enfants que nous sommes les arcs et eux les fl ches En cas d chec il faudra donc tenter d avoir une parole bienveillante et structurante Le r le des parents dans la mission d ducation ce sera la question de l Universit d t du SeGEC le 22 aout pro chain Cette question on en sous estime nettement l importance en Communaut fran aise En effet trop souvent on impute les difficult s scolaires une situation socio conomique d favorable Or la question de l chec scolaire c
54. n pr ciser pour viter de tomber dans l activisme confus o l on ne sait plus qui est responsable de quoi Un mode d emploi d licat tablir Bernard HUBIEN secr taire g n ral de l UFAPEC St phane VREUX pr sident du Coll ge des directeurs de l Enseignement fondamental ca tholique Alain KOEUNE pr sident de la F d ration des associations de directeurs de l Enseignement secon daire catholique F ADi 5 Quand l interlocuteur n est plus la famille comment faire R union de parents autorisation parentale rapports de l association de parents Des expressions com munes de la vie scolaire Mais les quipes ducatives accueillent aussi des enfants en foyer des mineurs non accompagn s ou des jeunes man cip s de l autorit parentale Dans ces situations l interlocuteur est sou vent le repr sentant d une institution Quels sont les champs de responsabi lit de chaque intervenant Comment s y retrouver dans la constellation des structures prenant les enfants en charge quand il convient pour l cole de passer la main Didier DILLIE directeur du Campus Saint Jean Molenbeek Marianne LETERME directrice du Centre PMS libre de Comines des acteurs du monde de Aide la Jeunesse 6 Chez moi on parle une autre langue Les analyses des r sultats des enqu tes PISA consid rent que la langue parl e la maison est un des facteurs explicatifs des moins bons r
55. onible ainsi que le communi qu de presse sur htitp enseigne ment catholique be gt Services du SeGEC gt Commu nication gt Commu niqu s HELS SII EM TRAVAILLANT TOWS ENSEMELE SUR LE TERRAIN FONDAMENTAL Avant l entr e en vigueur le 1 septembre prochain du nouveau programme de langue fran aise des s ances d information ont t organis es pour les directeurs d cole dioc se par dioc se Ils taient plusieurs centaines avoir r pondu Photo Carole HACCOUR m i Photo Laurent NICKS Photo Fran ois GUILBERT T Mons les directions sont venues accompagn es d un ou deux membres du corps enseignant Li ge gauche Godefroid CARTUYVELS Secr taire g n ral de la F dEFoC et son adjointe Anne WILMOT au micro l invitation Vous en trouverez ci dessous un aper u en quelques photos pr s les maths le programme de langue fran aise a fait lob jet d une refonte compl te Suite une large enqu te men e aupr s des instituteurs directeurs et quipes ducatives la F dEFoC s tait en effet engag e r crire l ensemble des programmes du fondamental La nouvelle mouture vise permettre une identification plus claire de ce qui est attendu des enfants et des enseignants tel mo ment et des savoirs et savoir faire en lien avec les comp tences La Commission des Programmes de l enseignement fondamental et du 1
56. ostiquer que c est un oi seau pour le chat lan prochain 4 Vous tes d avis de la le laisser pas ser pour viter la correction de ses tra vaux de vacances D Un nouveau programme est distribu 1 Vous conservez celui de 1984 2 Vous l appliquez la lettre 3 Vous ne changerez pas votre cours de toute fa on vous faisiez d j ce qu il pr voit 4 Vous n avez jamais suivi aucun pro gramme ATATIA E Une journ e p dagogique est orga nis e un mercredi apr s midi 1 Vous irez si le th me est en rapport avec le projet ducatif de l cole 2 Vous vous proposez pour en faire le rapport 3 Vous n y participez pas il y a 30 ans que vous tes dans l cole et on n a jamais fait cela un mercredi apr s midi 4 Vous proposez de la remplacer par un team building sous forme d un bar becue d enfer F F te de l cole ce week end 1 Vous animerez le cabaret litt raire 2 Vous vous partagez entre le match de foot le bar la tombola et le r le de DJ 3 Vous arbitrez le match de foot l ves professeurs 4 Vous avez oubli de vous inscrire sur la fiche des t ches assurer G Quelle destination pour le voyage scolaire 1 Un circuit en Gr ce pr hell nis tique ou sur les traces des trusques en ltalie 2 Ce sont les l ves qui choisissent 3 Rando hard dans les C vennes 4 Middelkerke Nieuport en cuistax puis visite libre de Pairi Daiza H Les commentaires du bulletin
57. oup travaill la lecture du livre dans les ateliers de fran ais reprend A COLIGNON Nous avons fait connaissance avec l artiste notamment en visitant le mus e qui lui est consacr Bruxelles Pour r aliser les photos les enfants se sont inspir s de tout ce qu on avait vu en classe ou au mus e lls ont choisi un tableau recr er en photographie ou imagin une photo originale la mani re de MAGRITTE Ils ont tout fait seuls lls installaient leur d cor prenaient les photos et ils se sont m me initi s au d veloppement avec l aide d une per sonne qui a fait des tudes de photo graphie Nous avions install un labo dans la cuisine de l cole et les l ves ont d velopp les clich s en dehors des heures scolaires lls ont t par ticuli rement d brouillards et cr atifs IIS sont vraiment sortis de leur coquille Et le r sultat est bluffant Nous avons constitu un album regroupant toutes leurs r alisations et il a t prim par les organisateurs du concours Ce pro jet a apport beaucoup aux enfants en termes d veil artistique et culturel llIs en ont parl la maison et presque toutes les familles taient pr sentes la c r monie de remise de prix pour leur plus grande fiert MARIE NO LLE LOVENFOSSE 1 Catherine de DUVE Le petit Magritte Kate art 2008 2 www fureurdelire cfwb be gt Fureur la petite 3 http msieureric blogspot be gt recher cher
58. passent l examen qui s investissent et qui un moment donn vont peut tre rencontrer quelques difficult s au niveau de la langue sont vraisem blablement plus conseiller que des locuteurs natifs qui n auraient aucune ou que peu de p dagogie gt Pour O MEINGUET il faut tout prix viter de cr er une cole dans l cole Quand on n a que des locuteurs CE QU ILS EN DISENT L immersion est elle adapt e tous les l ves Marie Aline MARCHAL professeur d EDM et d histoire GPH Gosse lies On demande qu un l ve ait d abord de bonnes connaissances en fran ais En dehors de a un l ve moyen peut tr s bien r ussir en immersion Il faut surtout de la motivation la volont de travailler et de enthousiasme pour l anglais Eddy LEMAIRE travaille pour l ensei gnement distance L immersion peut tre une opportunit aussi pour les l ves qui s orientent vers des tudes professionnelles On va vers de plus en plus de mobilit pour le travail Mais il faudrait vraiment adap ter l immersion tous les publics Quel est l apport de ce genre de dispositif Eddy LEMAIRE L apport princi pal c est le fait d aller vers lautre C est tr s important de sensibiliser les l ves ne pas avoir peur d aller vers l autre m me si on ne com prend pas tout Baudouin JOACHIM directeur du Coll ge du Sacr C ur de Charle roi Certains de nos
59. r sentation dans notre pr c dent num ro des conf rences pl ni res ani m es par Marie Claude BLAIS et Aboud ADHAMI voici le moment de vous pr senter le contenu des neuf ateliers auxquels nous vous proposons de prendre part au cours de la journ e 1 Co duquer pour viter de se confronter Entre l cole et la famille d finir les r les c est possible m me si ne pas empi ter sur celui de l autre est parfois difficile Au del du res pect mutuel des zones d action de chacun comment trouver une zone commune un espace o la rencontre sereine et le dialogue sont possibles sur base d un corpus de valeurs par tag es Comment la co ducation peut elle se d ployer partir d un projet clairement expos par l cole UNIVERSI D T entr es libres lt N 90 lt juin 2014 et loyalement accept par la famille Bruno HUMBEECK chercheur pour l Unit Sciences de la famille gt l Universit de Mons 2 Ma famille mon cole et moi Regards de futurs enseignants sur les relations familles cole Se destiner une carri re d ensei gnant c est choisir un m tier o l on veut faire de l enfant de l adolescent un l ve L lever en le faisant entrer dans la connaissance des mati res l acquisition des comp tences Cet enfant a un rapport au ENTRE CERCLE FAMILIAL CADRE SCOLAIRE VOYAGE AU COEUR DES RELATIONS FAMILLES ECOLE 22 AO T 2014 LOUVA
60. s deux chats B la prononciation de l accent aigu C l accession au tr ne du Roi Philippe va d 98 U g OH rc d r8 u viuewusjqeqoud sen siew 9 6 GL d 8g u enn snos 3 158 Y 189 g 8 ez d eg u g 2 91L d 88 U 9 48 g 9 OZ d 28 u v s 6 8 dd og u 9 r 8 d G8 U V S 81 d r8 u 9 x 6 d g u g L suonnios QUEL ENSEIGNANT TES VOUS Voici dix situations probl mes r soudre pour laborer le profil d enseignant que vous pr sentez A Un e l ve entre en classe en re tard sous un pr texte visiblement bidon 1 Vous linvitez sortir aussit t et frapper la porte avant d entrer 2 Vous faites semblant de croire son histoire pour viter les conflits 3 Vous l envoyez chez les autorit s comp tentes qui aviseront 4 Pas de probl me cela vous arrive aussi B Salle des profs le d l gu syndical vous invite participer la gr ve 1 Vous refusez c est contre vos prin cipes 2 Vous vous inqui tez de savoir si le directeur est d accord 3 Depuis 1996 vous ne faites plus gr ve 4 Vous acceptez et sugg rez de la faire longue AD C L quipe est partag e propos de la r ussite d d un e l ve AD 1 Vous vous en tenez aux r gles strictes du r glement des tudes 2 Vous h sitez et attendez que les autres d cident 3 Votre longue exp rience vous per met de pron
61. t au sens o une mati re enseign e en histoire dans une langue puisse tre discut e de mani re plus approfon die dans une autre langue a c est le sens de la coop ration gt Il recom mande que les enseignants des deux groupes langues puissent se former au m me moment II faut veiller ce qu ils puissent vraiment acqu rir des comp tences lev es et les meilleures pratiques Les en seignants doivent tre encourag s et avoir des moments pour changer P MEHISTO recommande aux direc tions de laisser les enseignants me ner librement leurs r unions de tra vail tout en leur demandant de leur faire rapport Pour Do COYLE professeure Uni versit d Aberdeen en cosse et sp cialiste de l immersion linguistique la collaboration doit se centrer sur faire quelque chose ensemble lire ci dessous Nous perdons trop de temps discuter et nous ne consa crons pas assez de temps transf rer nos r flexions dans nos actions LOCUTEURS NATIFS J tais peut tre un jusqu au boutiste de l immersion au d but explique Olivier MEINGUET actuel Secr taire g n ral adjoint de la FESecC au moment de mettre en place un projet d immersion dans son cole Je me disais qu il fallait absolument des locuteurs natifs que seuls ceux ci pouvaient travailler en immersion Force est de constater que d autres pistes existent Des enseignants francophones bons p dagogues qui
62. tion imb cile refuser d acheter n importe quoi de suivre toutes les modes Ceux qui veulent quand m me consommer n en auront de toute fa on bient t plus les moyens Quel serait le r le de l cole dans ce contexte PG Les enfants apprennent au jourd hui jouer avec ce qui constitue l arme de la civilisation de demain l informatique La future g n ration va devoir la g rer de fa on intelli gente L cole doit donc en apprendre les dangers les limites et les risques ceux de Wikip dia Facebook Twit ter notamment la d personnalisa tion et la perte de sens du r el que cela peut cr er Il y a un combat mener contre une sorte de pollution intellec tuelle grave tout message est consi d r comme un signifiant ce qui est faux L cole doit apprendre faire la diff rence entre le bruit et le message Que retenez vous de vos diff rentes exp riences Que vous inspirent elles pour l avenir PG Gr ce mes m tiers et activit s connexes j ai eu la chance de beaucoup voyager de voir le monde de discuter avec des gens un peu partout J en ai tir d une bonne humeur inoxydable Pour nous distraire il fabriquait un petit th tre de marionnettes avec une caisse en carton Pour en r aliser les d cors il ma enseign l art de rendre les mati res et la distance Et 16 ans j ai gagn un concours de tableaux avec un de mes fonds de th tre Dessiner est pour moi un
63. u escompt de qualit et r pondre aux attentes en mati re d quit et aux d fis de la croissance d mographique Les propositions reprises dans le M morandum de la Fondation pour l enseignement visent am liorer la situation Elles s appuient sur les forces vives de l enseignement et de l entreprise pour travailler ensemble la r alisation d objectifs communs Comment En appliquant les bonnes pratiques qui ont fait leurs preuves dans des sys t mes d enseignement ayant forte ment progress en quelques ann es directement dans chaque tablisse ment scolaire sans r f rer des r formes de structures Dans son M morandum la Fonda tion a retenu quatre grands axes inciter les personnes de qualit devenir rester enseignantes am liorer les pratiques et les changes sur le terrain mettre en place et valoriser la direction des coles viser la r ussite de chaque l ve via des strat gies adapt es TROIS QUESTIONS OLIVIER REMELS SECR TAIRE G N RAL DE LA FONDATION POUR L ENSEIGNEMENT Concr tement comment inciter des personnes de qualit rejoindre et surtout rester dans l enseignement On doit notamment proposer aux enseignants une perspective d vo lution dans leur carri re Dans les coles une s rie de fonctions se d veloppent coaching encadrement entr es libres lt N 90 lt juin 2014 p dagogique pour lesquelles ils
64. xelles Rendez vous Libramont m Inter Internats 2014 Un outil pour faire face la maltraitance des enfants Les 3 serments d tente Vous jouez avec nous hume o ur L humeur de Marie No lle LOVENFOSSE Le CLOU de l actualit entr es libres lt N 90 lt juin 2014 ENSEIGNEMENT CATHOLIGUE entr es libres Juin 2014 N 90 9 ann e P riodique mensuel sauf juillet et aout ISSN 1782 4346 entr es libres est la revue de l Enseignement catholique en Communaut s francophone et germanophone de Belgique 1 www entrees libres be redaction entrees libres be R dacteur en chef et diteur responsable Conrad van de WERVE 02 256 70 30 avenue E Mounier 100 1200 Bruxelles Secr tariat et abonnements Nadine VAN DAMME 02 256 70 37 Cr ation graphique Anne HOOGSTOEL Membres du comit de r daction Anne COLLET Andr COUDYZER Jean Pierre DEGIVES Vinciane DE KEYSER Benoit DE WAELE H l ne GENEVROIS Brigitte GERARD Thierry HULHOVEN Anne LEBLANC Patrick LENAERTS Marie No lle LOVENFOSSE Bruno MATHELART Luc MICHIELS Fran oise MIN BOL Guy SELDERSLAGH Marie TAYMANS Publicit 02 256 70 30 Impression IPM Printing SA Ganshoren Tarifs abonnements 1 an Belgique 16 Europe 26 Hors Europe 30 2 ans Belgique 30 M Europe 50 Hors Europe 58 verser sur le compte n BE74 1910 5131 7107 du SeGEC avenue E Mounier 100 1200 Bruxelles av

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