Home

N°120 - Elections municipales : l`intercommunalité clandestine

Contents

1. Vers le renouvellement int gral des organes de l intercommunalit et des syndicats mixtes Les 9 et 16 mars les Fran ais vont se rendre aux urnes pour lire leur conseil municipal Un choix d mocratique qui entra ne de multiples autres d signations notamment celles des lus communautaires et des repr sentants intercommunaux au sein des syndicats mixtes Si les r gles sont clairement tablies certaines n cessitent une interpr tation Quelques rappels juridiques Damien Christiany Charg de mission aux affaires juridiques AdCF Les prochaines lections municipales verront le renou vellement int gral des quipes actuellement en poste dans les structures intercommunales et dans les syndi cats mixtes Ces lections concerneront pr s de 75 000 lus intercommunaux Pour de nombreuses commu naut s ayant t cr es apr s 2002 il s agira du premier renouvellement int gral de l organe d lib rant qui fera suite des lections g n rales lections municipales et organes communautaires Les modalit s de constitution du nouvel organe d lib rant gt La composition de l organe d lib rant et la r partition des si ges gt Les d lais pour d signer les d l gu s communautaires gt La d signation des membres de l organe d lib rant La d signation des organes internes gt La premi re r union de l organe d lib rant gt L lection du pr sident gt L lection des
2. Communaut de communes Erdre amp Gesvres Salon du livre Les 5 et 6 avril prochains la communaut donne le coup d envoi du 4 me Salon du Livre Jeunesse Cette rencontre est organis e autour du th me de la Diff rence Diff rences culturelles identit s plurielles respect de Pautre seront le leitmotiv de cette nouvelle dition qui fera cho la campagne du Conseil de l Europe tous diff rents tous gaux Contact contact cceg fr Nantes M tropole Adoption d un plan Climat Apr s avoir adopt en 2006 son Agenda 21 la communaut urbaine de Nantes M tropole vient de se doter d un Plan Climat 2008 2010 et lance 15 actions concr tes pour infl chir la courbe des missions de gaz effet de serre de son territoire et lutter contre le r chauffement climatique plantation de 100 hectares de for ts nouvelles places de stationnement co conception appliqu e aux logements sociaux am lioration des performances nerg tiques et thermiques des logements et bureaux du d veloppement photovolta que et du v lo en ville de l autopartage cr ation d une p pini re cotech L objectif conomiser 45 000 tonnes de CO d s 2010 puis 50000 tonnes chaque ann e Cet effort consid rable n cessitera la mobilisation de tous habitants entreprises et collectivit s locales Contact 02 40 99 48 48 Communaut de communes de la Vall e de Clisson Rep res to
3. de l Internet politique 2002 2007 il tait une fois la rencontre du Net et du politique 2002 pass des municipales o seuls quelques pion niers avaient mis en avant l enjeu du d veloppement des nouvelles technologies pour leur territoire les pr sidentielles marqu es par le s isme politique du premier tour n accordent qu une place marginale Internet m dia mergent l audience confidentielle On ne sait alors trop quel usage en tirer si ce n est v hiculer une image de modernit Et puis l heure n est plus l invocation b ate de la r volution num rique Mirages et promesses de la fin des ann es 90 se sont brutalement vanouis avec l explosion de la bulle Net conomie qui a entra n vers des abysses boursi res plusieurs fleurons de l conomie fran aise tels Vivendi ou dans une moindre mesure France T l com Pour le politique l heure est au d veloppement des infrastructures d abord de t l phonie mobile ensuite d acc s Internet Et m me si se mettent en place au nom de la proximit conseils de d veloppement et de quartiers l e d mocratie la mani re d Issy les Moulineaux ou de Parthenay n est pas lagenda D ailleurs le maire embl matique de cette derni re PLN TELI RSR E 4 Faits divers Le pla ond s eflondre ET miu Roussel Puteaux Le Parisen 7 PUTEAUX te a ct IETLONE EEE A LE ir miee vallon s commune qui en avait fait le
4. travail de travail priorit d acc s aux actions Maintien de la Allocation de formation quivalentes r mun ration de formation organis es par le CNFPT AP 50 du traitement horaire Apr s avis du comit technique paritaire CTP l administration d termine si le DIF peut s exercer en tout ou partie pendant le temps de travail Frais de formation la charge de l administration qu apr s signature d une convention entre le fonction naire et l autorit territoriale Cette convention stipule la dur e de l obligation de servir laquelle s astreint l agent int ress dur e qui correspond au temps de service requis pour l obtention du DIF ayant fait l objet d une utilisation anticip e D La fonction publique territoriale le DIF et les textes Loi n 2007 209 du 19 2 07 relative la FPT JO du 31 2 07 D cret no 2007 1845 du 26 d cembre 2007 JO du 29 12 07 Circulaire du 16 avril 2007 Le gouvernement continue de faire pression sur la Commission europ enne Mich le Alliot Marie ministre de l Int rieur de l Outre mer et des Collectivit s territoriales a r cemment eu l occasion de pr senter les arguments que le gouvernement fait valoir aupr s de la Commission europ enne pour d fendre la mise disposition des services communaux au profit des communaut s Emmanuel Duru Interrog e sur ce point par le d put Marc le Fur la ministre a confirm que po
5. 27 juillet 2005 Commune d Herry n 274315 gt Apr s les lections la d signation des organes internes La premi re r union de l organe d lib rant L organe d lib rant nouvellement constitu doit se r unir au plus tard le vendredi de la quatri me semaine qui suit l lection des maires Ce principe fix l article L 5211 8 du CGCT signifie que la premi re s ance de l organe d lib rant doit se tenir en th orie au plus tard le vendredi 18 avril 2008 Pour l lection du pr sident de la structure inter communale la convocation adress e aux d l gu s communautaires doit faire mention sp ciale de l lec tion laquelle il doit tre proc d La convocation est tablie par le pr sident sortant CE 9 novembre 1984 Giret et autres n 53072 Elle est adress e par crit sous quelque forme que ce soit au domicile des d l gu s communautaires sauf si ces derniers font le choix d une autre adresse comme leur mairie de rattachement par exemple Les d lais de convocation pour l lection du pr sident et des vice pr sidents sont identiques ceux de droit commun Dans les structures intercommunales qui ne sont com pos es d aucune commune de plus de 3 500 habitants la convocation est adress e trois jours francs au moins avant celui de la r union Ce d lai est port cinq jours pour les structures intercommunales compos es d au moins une commune de plus de 3 500 habita
6. de 18 ans r volus Le pr sident est lu au scrutin secret L absence d isoloir ou d urne ne constitue pas une atteinte au secret du vote Le juge administratif v rifie seulement que l absence de tels quipements ne vient pas alt rer le secret du vote en permettant la mise en vidence du sens du vote par les d l gu s communautaires CE 10 janvier 1990 lections municipales de Charleville n 108849 Enfin les textes imposent aucun acte de candidature Aussi il n est pas n cessaire d avoir t candidat aux deux premiers tours pour l tre au troisi me CE janvier 1984 lection du maire et des adjoints de Chapdeuil e La composition de l organe d lib rant lors de l lection du pr sident Lorgane d lib rant doit il tre r put au complet lors de l lection du pr sident cette question r cur rente le juge administratif est venu r pondre pour un contentieux communal qu il n est pas n cessaire que tous les conseillers en exercice si gent effectivement lors de la s ance d installation du maire et des adjoints Cette situation para t transposable l lection du pr sident de communaut L lection des vice pr sidents En vertu de l article L 5211 10 du CGCT le nombre de vice pr sidents est librement d termin par l organe d lib rant sans que ce nombre puisse exc der 30 de l effectif de celui ci Ce principe se calque sur l article L 2122 2 du CGCT qui pr c
7. lus dont l AdCE des directeurs g n raux des services des communaut s ADGCE et des profession nels du DSU L ensemble de ces donn es sera agr g et consolid au niveau national afin que le Parlement en soit saisi l occasion du d bat budg taire D 1 CUCS contrats urbains de coh sion sociale 2 DSUCS dotation de solidarit urbaine et de coh sion sociale Le poids des groupements intercommunaux Les groupements intercommunaux repr sentent d sormais un quart des d penses du secteur communal et leur volume budg taire d passe celui des r gions Cette situation confirme le r le incontournable des groupements dans le d veloppement de la gestion locale L Annuaire financier et fiscal 2008 de l Assembl e des Communaut s de France confirme cette tendance tude de la DGCL Le poids croissant de l intercommunalit Si les d penses du secteur communal ont peu progress en dix ans au sein de l ensemble de la d pense publique locale la part qu occupe l intercommunalit est croissante Claire Delpech Ainsi qu en t moigne une tude de la DGCL le pay sage des finances locales a t profond ment boulever s au cours des vingt derni res ann es L augmentation du nombre de groupements et l importance des trans ferts intervenus ont entra n une forte progression de leur budget dont le volume 27 3 milliards d euros d passe aujourd hui celui des r gions 19 3 milliards d euros Dans le m m
8. www espaces transfrontaliers org YVES Communaut urbaine de Bordeaux Retard sur le projet du Z nith Pour s tre impliqu fortement dans le projet de r alisation d un quipement culturel de grande capacit d s son accession la pr sidence de la communaut urbaine Vincent Feltesse souhaite anticiper un ventuel retard en la mati re Le 6 f vrier il a rencontr le conseiller au minist re de la Culture afin de rappeler le n cessaire consensus autour de ce projet Il souhaite galement rappeler que la candidature de Bordeaux comme capitale europ enne de la culture en 2013 n en rend que plus urgente la r alisation d un grand quipement de spectacle vivant www bordeaux metropole com forums contact asp Communaut de communes de Montesquieu 33 Le cheval pour l entretien des cours d eau Avec plusieurs kilom tres de cours d eau entretenir la communaut de communes de Montesquieu canton de La Br de effectue fr quemment des travaux permettant d am liorer de la qualit des rivi res Le d bardage du bois en for t avec des chevaux est par nature une d marche de d veloppement durable efficacit conomique pr servation de l environnement La m thode de d bardage par les chevaux est pratiquement invisible pas de sentier disgracieux pas d orni re pas de tassement des sols pas de d gradation des arbres rest s sur pied Sur ce type de
9. image de monputeaux com dont le cr ateur Christophe Gr bert analyse et commente la vie municipale et quotidienne de la cit des Hauts de Seine Ces premiers blogueurs feront rapidement des mules Pl biscit par une cr me d internautes qui constituent encore une sorte de m ritocratie d cortiqu par une escouade de sociologues ethnologues et analystes en communication en qu te de communaut s et de r seaux de socialisation relay par les quotidiens et hebdos nationaux aux rubriques alternatif culture urbaine ou technologies le ph nom ne n en demeure pas moins un temps cantonn au statut d objet branch m diatis OBM et ce jusqu au 29 mai 2005 Mai 2005 l lectrochoc Lintrusion d Internet au c ur du d bat sur l adop tion d une Constitution europ enne de 2005 restera dans la m moire collective comme le fait marquant de l pisode r f rendaire S il ne faut pas en fantasmer une influence directe sur le verdict des urnes il y avait aussi un contexte une exposition m diatique classique une campagne physique avec tracts meetings cette premi re Net campagne a agi comme un r v lateur Elle a tout d abord mis en lumi re la d fiance d une partie de l opinion vis vis des m dias traditionnels soup onn s par elle de v hiculer le message uniformis des partis de gouvernement C est sur ce th me de la fronde contre la pens e unique que se sont
10. lais pour d signer les d l gu s communautaires gt La d signation des membres de l organe d lib rant La d signation des organes internes gt La premi re r union de l organe d lib rant gt L lection du pr sident gt L lection des vice pr sidents gt L lection des membres du bureau Les garanties accord es l issue du mandat gt Plan banlieue un changement de logiciel Finances 3 gt tude DGCL le poids croissant des groupements intercommunaux gt Annuaire financier et fiscal des agglos L ancrage local se poursuit Territoires 15 gt Caux vall e de Seine l mergence d un v ritable prototype communautaire gt Se dessiner un territoire d avenir Droit 20 gt Le droit individuel la formation rappel des r gles gt Commission europ enne et mutualisation des services gt Les outils de la comp tence fonctionnement des coles Partie II gt Meilleurs v ux des territoires 2008 deux communaut s membres de l AdCF prim es Castres Mazamet et Romans gt Marco P riode lectorale et outils de communication institutionnelle gt Les municipales S entre parenth ses RQ Si un mois du scrutin le pouls gt Actualit Plan banlieue est encore faible gageons qu il va consid rablement s acc l rer d ici au 16 mars et demeurer lev au sein des communaut s dans les jours qui vont Suivre Car l
11. les nouveaut s pour la coop ration transfrontali re p 2 3 L actualit La MOT a 10 ans p 4 national qu europ en La qualit de son expertise a t relev e tout au long de cette d cennie mais il est vrai que la cr ation du Groupement europ en de coop ration territoriale GECT repr sente une forme de reconnais sance de notre action Cette structure ouvre en effet de nouvelles perspectives pour la coop ration transfron tali re et peut en acc l rer le mouvement Le GECT dont nous suivons activement la transposition dans la loi fran aise est l outil de gouvernance europ en qui manquait Il offre aux tats la possibilit de prendre part la gouvernance de projets de territoires transfrontaliers aux c t s des collectivit s locales Cela va ainsi faciliter la mutualisation d un certain nombre de moyens et d qui pements et la d finition de programmes d actions qui puissent bien r pondre aux besoins des habitants Les projets transfrontaliers repr sentent un moyen de relancer l Europe de fa on tr s concr te au sein de territoires transfrontaliers qui sont autant de creusets de citoyennet europ enne travers la cr ation de lEUROMOT regroupant trois r seaux europ ens nous souhaitons d fendre maintenant cette strat gie au niveau de toutes les instances communautaires Une tude de la MOT r alis e en 2004 a mis en videnc
12. rance maladie et collectivit s f L implication attendue de l intercommunalit l chelle des communaut s ou des territoires de projets pays PNR conduit AdCF se saisir de ce sujet essentiel depuis plusieurs mois et de souscrire cette approche territoriale et contractuelle LAdCF pr pare un document de synth se et d ana lyse des territoires les plus concern s par ces enjeux de d mographie m dicale mais aussi par les risques de fermetures d h pitaux D LAWRENCE_WHITTEMORE CYBERBILL gt Politique et TIC Municipales la guerre des blogs La cit judiciaire dans la campagne on z are r ai D but d cembre le d bat de pl ni re des INTERCOnnect s r unissait Lyon un plateau de haut vol Ef Les communistes contre le _ mandem sans tre pour Fs 5 LE Feb z lieu oan mg T TI LI F TTL HS Lu associant spin doctors de la strat gie Internet des candidats finalistes l lection pr sidentielle et deux des plus c l bres blogueurs citoyens L enjeu du d bat R pondre une s rie de questions telles quel a t l apport r el d Internet dans la s quence lectorale de 2007 Les scrutins de 2008 marqueront ils l intrusion du Web dans les joutes locales Faut il s approprier l outil Quel risque le n gliger D couvrez les conseils trucs et astuces de ceux qui impulsent accompagnent et analysent l mergence
13. 53794 hab et du Val d Orge ou bimensuels pour la communaut de Sarreguemines Confluences ou la com munaut de communes de Lacq 16780 hab les journaux ou magazines d infor mation restent des outils de r f rence Ils sont en g n ral compl t s tout au long de l ann e par un assortiment de guides lettres ou de bulletins d informa tion sur des sujets d actualit tels que le compostage individuel communaut d agglom ration du Bassin d Aurillac le r sultat d une enqu te sur les usa ges des habitants en mati re de d chets auss communaut s de Lacq ou l Agenda 21 communaut d agglom ration du Val d Orge En cette p riode pr lectorale les com munaut s qui n ont pas encore cr leur journal h sitent le faire reportant leur projet au 1 semestre 2008 comme c est le cas de la communaut Seine Eure 58062 hab Elles ont g n ralement opt pour la diffusion au cours de l an n e 2007 d un bilan annuel d activit intercommunale D autres n ont pas h sit a lan cer leur nouveau support commu naut d agglom ration P le Azur Provence 66657 hab Un plus l v nementiel L v nementiel vient galement compl ter cette batterie d outils de communication Les initiatives sont nombreuses Rete nons en deux suffisamment diff rentes pour tre repr sentatives de la diversit des actions des communaut s dans ce E Ch que bancaire ou postal
14. TA Nancy 10 mars 2003 Mazet n 020764 La mise en uvre du droit de rappel pourrait m me aller selon le minist re de l Int rieur jusqu au rem placement du pr sident en tant que d l gu de la commune Une r ponse minist rielle du 26 avril 2005 a en effet reconnu cette possibilit aussi tonnante soit elle En cours de mandat il peut tre mis fin aux fonctions du pr sident par une d mission pr sent e par celui ci ou par son remplacement pr sent en tant que d l gu par le conseil municipal qui l a lu pour repr senter sa commune comme l autorise l article L 2121 33 question n 58747 JO AN 26 avril 2005 Une situation qu il serait utile de clarifier par le recours le cas ch ant un texte l gislatif seul susceptible d vacuer tout risque de recours contentieux Les d lais de d signation des d l gu s Le d cret n 2007 1468 du 15 octobre 2007 JORF du 16 octobre 2007 pr voit que les prochaines muni cipales se d rouleront les 9 et 16 mars 2008 Apr s le renouvellement int gral des conseils municipaux la premi re s ance du conseil municipal nouvellement install est traditionnellement consacr e l lection du maire et des adjoints En vertu de l article L 2121 7 du CGCT l lection doit se d rouler au plus t t le vendredi et au plus tard le dimanche suivant le tour de scrutin l issue duquel le conseil a t lu Aussi maires et adjoint
15. avant sur papier 100 recycl avec des encres v g tales Contact 04 67 83 87 00 gt Droit gt Le droit individuel la formation Paul de Vaublanc charg d tudes la direction juridique observatoire Centre Inffo Un agent temps complet peut depuis le 21 f vrier demander b n ficier du droit individuel la forma tion DIF la condition d avoir une anciennet d au moins une ann e temps n cessaire pour acqu rir 20 heures de DIF Les droits acquis annuellement peu vent tre cumul s sur une dur e de six ans Au terme de cette dur e et d faut de son utilisation en tout ou partie le DIF reste plafonn 120 heures Les formations envisageables Afin que l agent puisse faire valoir son droit individuel la formation les actions de formation qu il se propose de suivre doivent tre inscrites au plan de formation et rele ver soit d une formation de perfectionnement soit d une formation de pr paration aux concours et examens profes sionnels de la fonction publique Le l gislateur a en effet souhait limiter le DIF aux seules formations pr sentant une utilit professionnelle directe pour les collectivit s DIF FPT les principes e Tout agent titulaire ou non 20 h an cumulable sur six ans limite 120 h e actions inscrites au plan et relatives aux gt Formations de perfectionnement d veloppement ou acquisition de comp tences gt Formation
16. comp tences transf r es la communaut d agglom ration et la communaut urbaine ne font pas mention de fa on expresse de la possi bilit pour ces structures d exercer une comp tence en mati re d quipements scolaires En l absence de toute r f rence l gale la prise de comp tence s tablira n cessairement par la proc dure d ex tension des comp tences fix e lar ticle L 5211 17 du CGCT et rev tira alors la qualification de comp tence suppl mentaire consid r e comme telle dans les statuts de la communaut Larticle L 5215 20 du CGCT dispose que l entit intercommunale doit inter venir en mati re de lyc es et coll ges dans les conditions fix es par le Code de l ducation ainsi qu en mati re de construction d am nagement de gestion et d entretien de b timents socio ducatifs reconnus d int r t communautaire La communaut urbaine pourra aussi inter venir en mati re d quipements scolaires pr l mentaires et primaires au titre de ses comp tences suppl mentaires Investissement et fonctionnement La d clinaison des actions en mati re de gestion des b timents scolaires d une part et de fonctionnement des coles d autre part ne sous entend pas que le l gislateur a autoris la scission entre d penses d inves tissement et d penses de fonctionnement S agissant de comp tences distinctes ces deux actions lorsqu elles sont transf r es l chel
17. de TGV et 2 a roports Directeur g n ral de la Mission op rationnelle transfrontali re Nous avons toujours conseill de structurer an ais sur des bases ires afin de cr er une forme d quilibre avec les collectivit s trang res et de faciliter l organisation la coop ration du c t intercommunales soli de r ponses concr tes l heure de l largissement europ en la coop ration territoriale transfrontali re va jouer de fa on tr s l gitime un r le de plus en plus important De quelle fa on la Mission op rationnelle transfrontali re MOT appuie t elle cette territorialisation de l action europ enne La coop ration transfrontali re se d finit comme des relations de voisinage qui se d veloppent sur des terri toires le plus souvent contigus entre collectivit s locales de part et d autre des fronti res terrestres ou maritimes Sur la base de l exp rience de la reconversion indus trielle de la sid rurgie lorraine Longwy et l initia tive de la DATAR l tat fran ais a cr en 1997 la Mission op rationnelle transfrontali re MOT qui est pr sid e aujourd hui par Pierre Mauroy Son r le est de mettre en r seau les porteurs de projet pr sents sur l ensemble des territoires frontaliers fran ais et d organiser l interface avec les autorit s nationales et europ ennes pour aider les collectivit s locales r aliser leurs projets op rationnels transfronta
18. des enjeux d aujourd hui et par ailleurs s immis ant de mani re tatillonne dans la vie quotidienne des gens On comprend pourquoi certains citoyens quand on les consulte ne veulent pas de cette Europe l Il faut donc rapprocher l Europe des citoyens et pour cela la coop ration transfrontali re est une chance extraordinaire donn e aux collectivit s locales de b tir des projets de territoires transfrontaliers pour apporter des r ponses concr tes aux besoins des habitants facilitant ainsi la naissance d une v ritable citoyennet europ enne C est tout l le sens de mon engagement en tant que Pr sident de la Mission Op rationnelle Transfrontali re MOT Encore faut il maintenant convaincre les Etats et l Union europ enne de soutenir fortement l avenir ce mouvement C est ce que nous nous efforcerons de faire lors de notre colloque de Lille des 8 et 9 novembre 2007 auquel je vous convie aujourd hui Un message politique porter Les territoires transfrontaliers territoires v cus et bassins de vie qui g n rent chaque jour des flux importants sont des lieux privil gi s de convergence des politiques nationales et de l apprentissage d une citoyennet europ enne lls constituent galement des vec teurs puissants d int gration des fronti res internes et de pacification des fronti res externes de l Europe Pour favoriser leur d veloppement dans une approche territoriale int gr e
19. exprim s les potentiels jusqu alors n glig s du m dia Internet renvoyant en miroir de la Toile la contre image de par tis dominants id ologiquement convergents fig s dans leur gouvernance et par le jeu de leurs alternances Elle a ensuite marqu l apparition d un citoyen pro t iforme tour tour acteur et consommateur jouant de la multiplicit des metteurs et r cepteurs d une information dont les flux sont d sormais transver saux et ascendants C est sur ce th me de la fronde contre la pens e unique que se sont exprim s les potentiels jusqu alors n glig s du m dia Internet Pour la classe politique la prise de conscience du fait que quelque chose avait chang s est achev e lors des d bats parlementaires sur l conomie num rique et l pineuse question du t l chargement cette occasion d put s et s nateurs constat rent que leurs prises de parole dans l h micycle suivies de pr s par de nombreux internautes sur les cha nes Pourquoi et comment cr er un blog candidat quoi a sert gagner en sympathie pas gagner des voix Les acteurs et observateurs de la campagne pr sidentielle sont formels les retomb es Profil Qui sont les blogueurs citoyens Les gens de droite me placent gauche et ceux de gauche droite J ai un esprit de contradiction tr s d velopp qui m interdit de me placer dans le m me camp que celui de la perso
20. g om trie variable ainsi que les nou velles obligations issues des lois sur la parit vont avoir pour effet ici et l de complexifier les quations et les n gociations locales Dans bien des cas il est possible d augurer de compromis partageant les r les entre la magistrature de la ville centre et la pr sidence de communaut D j pr sente en 2001 l image de Lille de Strasbourg ou d Orl ans l option du ticket sera t elle conduite se diffuser plus largement au vu du nouveau contexte Autre param tre d importance nombre de communau t s de communes ou d agglom ration ont vu le jour la fin des ann es 1990 ou au d but des ann es 2000 sur le fondement de compromis et d accords susceptibles d tre r interrog s voire remis en question Dans de tr s nombreux cas les villes centres ont par exemple accept au regard de leur poids d mographique une sous repr sentation relative au sein du conseil commu nautaire d s lors que leur tait garantie en contrepartie la pr sidence de l intercommunalit De fait en 2005 les villes centres repr sentaient en moyenne 49 de la population de leur agglom ration mais ne disposaient que de 31 des si ges dans les assembl es Ce pacte fondateur sera t il partout pr serv Les nouvelles qui pes municipales se sentiront elles tenues par les enga gements moraux de leurs pr d cesseurs Des ruptures N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit
21. joint l ordre de Rive M dia E Mandat administratif E Je d sire recevoir une facture administrative ILAN S PHOTOS domaine Chaque ann e en mars loc casion de la foire annuelle de la ville de Mourenx la communaut de communes de Lacq dresse un chapiteau th mati que qui lui permet de mettre en exergue un sujet intercommunal apr s le sport en 2006 la communaut a en 2007 voqu les conomies d nergie De son c t la communaut d agglom ration du Val d Orge a pr f r organiser sur les neuf communes membres de l agglom ration une l exposition itin rante sur l ann e afin de pr senter les diff rentes comp tences de la communaut ainsi que ses projets l issue de chaque exposition un d bat public est organis Relations avec la presse Enfin toutes ces communaut s tra vaillent avec la presse locale pour diffuser un maximum d informations suscepti bles d int resser le grand public Dans cet esprit la communaut d agglom ration de Sarreguemines Confluences a lanc en novembre 2005 Mosa k une t l vision sans fronti re www mosaik tv g r e de mani re ind pendante qui relaie information locale et informations intercommunales M 1 Barom tre INTERconnect s 2007 AdCF et e Conception net d c 2007 Pour conna tre les conditions d abonnement MARCO et consulter l enqu te n 344 Outils de communications institutionnels co
22. la politique de coh sion 2007 2013 voit 75 de ses moyens d di s la coo p ration transfrontali re DS gt Communaut urbaine de Lille M tropole Une vision transfrontali re du projet intercommunal Les acteurs de l Eurom tropole Lille Kortrijk Tournai ont voulu construire un espace commun au service des citoyens du territoire et de l int gration europ enne Retour sur plus de quinze ans de coop rations transfrontali re F B Une fronti re intimiste telle est l ex pression utilis e par Pierre Mauroy pr sident de la communaut urbaine de Lille pour d finir la fronti re franco belge En effet la fronti re qui traverse l agglom ration ma jamais t un obs tacle aux changes ce qui suffit pour certains valider son caract re obsol te Cependant pour tout lu local en charge de la gestion d un territoire frontalier les l gislations nationales ne manquent pas de lui rappeler les limites de son champ d action Or m me si la coop ration transfrontali re est parfois loign e des priorit s des gouvernements nationaux cet espace franco belge a su d velopper avec succ s des partenariats et coop ra tions depuis plus de quinze ans Une relation inventer Au del de l appropriation de l espace frontalier par ses habitants la commu naut urbaine a t l l ment moteur de la coop ration avec la Belgique En effet Pierre Mauroy ancien Premier ministre e
23. lection municipale est sans conteste avec la pr sidentielle le rendez vous d mocratique le plus attendu le plus charg d affects Local par excellence mais toujours interpr t au national municipal par essence mais dont l enjeu est si souvent intercommunal C est l ar ne premi re des symboliques et rites r publicains mais aussi de bien des paradoxes Ce sont en quelques sortes 36782 matchs qui vont se jouer les 9 et 16 mars en terres de France Ici la m taphore sportive n est pas clause de style Ce sont bien des quipes qui saffrontent au contact direct dans des joutes dont l issue est souvent incertaine panachage fusions de listes o les petits poucets peuvent faire chuter les favoris Le r sultat de ces confrontations qui passionnent les Fran ais sera amplement comment Intercommunalit s 4 donc fait le choix de s int resser ce mois ci l avant et l apr s ces l ments qui font le sel parfois l enjeu m me de la rencontre Lavant match o comment est abord e la probl matique intercommunale l mergence des campagnes sur le web le maintien d une communication institutionnelle sous contrainte la troisi me mi temps o cette phase clef qui imposera une paix des braves des d l gu s issus de sensibilit s diff rentes pour d finir une nouvelle gouvernance communautaire La R daction r Ce Li pe Ce LI lt
24. lt se a Un changement de logiciel C est au palais de l lys e devant un parterre rassemblant un millier d acteurs locaux et en pr sence de nombreux membres du gouvernement dont Christine Boutin ministre du Logement et de la Ville et Fadela Amara secr taire d Etat la Ville que Nicolas Sarkozy a d taill le 8 f vrier dernier le plan baptis Espoir banlieue une dynamique pour la France D cryptage David Le Bras d faut du plan Marshall annonc le Pr sident de la R publique s est efforc d inscrire l action du gouvernement en faveur des banlieues dans le cadre d un enjeu de civi lisation rappelant lors de son propos introductif qu il y avait des quartiers dans notre pays dans notre d mocratie dans notre R publique o l on a moins de droits moins de chances que les autres Nous allons r inventer la ville a poursuivi Nicolas Sarkozy qui apr s avoir tabli un bilan plus que mitig de vingt ann es de politique de la ville a appel l ensemble des acteurs de terrain et notamment les entreprises soutenir l tat et se re mobiliser autour des probl matiques de coh sion urbaine et sociale Si le plan banlieue semble annonciateur d une nouvelle philosophie de la politique de la ville l absence de moyens financiers sp cifiquement d di s et de dispositifs r ellement novateurs a sans surprise suscit des r actions assez critiques d un cer
25. ment de cette analyse le gou vernement a galement tenu souligner que l enjeu de ce dossier d passait large ment la simple application de la r glemen tation communautaire de la commande publique Ainsi consid re t il que la remise en cause de ce m canisme affecte rait profond ment l quilibre institution nel de l intercommunalit en France et partant l un des axes majeurs de la politi que d organisation et d am nagement du territoire depuis trois d cennies Reste d sormais conna tre les sui tes que le coll ge des infractions de la Commission europ enne entend don ner ce dossier D gt Les outils de la comp tence fonctionnement des coles De quelques m andres juridiques partie m Le mois dernier ntercommunalit s a publi la premi re partie de l analyse juridique de la comp tence Fonctionnement des coles une comp tence distincte de celle relative la gestion des b timents scolaires et dont l exercice par la collectivit impacte galement les tablissements priv s Ce deuxi me volet porte sur l impact du transfert aux communaut s du fonctionnement des coles publiques Le transfert du fonctionnement des coles publiques l chelon communautaire se distingue de celle relative la gestion des b timents scolaires Damien Christiany Le transfert du fonctionnement des co les publiques l chelon communautaire s tablit sur le fondement de l art
26. propre de celle applicable aux communaut s gt Pour l lection des d l gu s des communes et des intercommunalit s non dot es d une fiscalit propre au comit syndical le choix de l organe d lib rant peut porter sur tout citoyen r unissant les conditions requises pour faire partie d un conseil municipal sous r serve des dispositions de l article L 5211 7 II alin a 2 du CGCT FIMIPCIETAN TE va cimae di polar cle in bire dl herti PEARL Kj W Aabi il Wal eei a I a tiigi 9 2 AVR 2007 06 MAT 2007 RITES Pet S RLITI N SCRUTIN M P RSR TE Las di a Per A pme Curie Fi e Eagle erer G iSi mpka E Ea cip puit Hi cur Gtne eiui lie Cod cie ioare pahi Fesur iau i r ception une Haee car Cette r serve a trait l incapacit de d signer un agent salari du syndicat mixte par ailleurs lu de Pune des communes adh rentes pour si ger au sein du comit syndical gt Pour l lection des d l gu s des communaut s le choix du conseil de communaut peut porter sur l un des conseillers communautaires ou sur tout conseiller munici pal d une commune membre En tout tat de cause le ou les repr sentants de la communaut au comit du syndicat mixte ferm doivent avoir t au moins lus au sein du conseil municipal de l une des communes membres Il n est donc pas obligatoire que la communaut soit repr sent e par certains des membres de son organe d lib rant Par re
27. prototype de la cit num rique fran aise m a t il pas t remerci par ses a j si ma ae on te on ru rase concitoyens sans autre forme de proc s ts RE IS br mama r es des Sn Initiatives citoyennes po ZA Towi l becil rcipusie 28 Alors que des publications d crivent d j les oppor Pulsar par de niia tunit s techniques et politiques offertes par Internet pesses nsss ven i pour r activer r inventer ou susciter le d bat public nous 5 local la quasi totalit des diles et de leurs conseils en communication n gligent cette piste C est pour tant ce moment l issue de la s quence lectorale dans le local commentaires de la vie municipale et quotidienne Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 i gt Actualit c gt gt our un d bat LIBRE et NON FAUSSE LEE EEE LE OR C0 OC OU ON ON ON OU ON ON ON ON ON IN LR ose Ds Bonn Le Femme Dies LUTTER EEE EE E bem j es us Rs EEE mue 2 F pF hi Le r f rendum sur la Constitution europ enne a passionn les blogueurs et relay les craintes des citoyens mieux que les m dias traditionnels 2001 2002 qu apparaissent sur la Toile les premiers blogs citoyens Certains sont vocation nationale comme celui de Versac o l on d bat d conomie de politique et de d mocratie mergente d autres s ancrent dans le local l
28. que le conseil interminist riel des Politique de la ville villes deviendra sous l autorit du Premier ministre le lieu de d cision et de suivi des r sultats obtenus Si ce discours n a pu que r jouir les tenants d une action globalisante de la politique de la ville la localisation du plan banlieue au sein d une centaine de quartiers est cependant venue temp rer les ardeurs des partisans du retour au droit commun le Pr sident n voquant d ailleurs que du bout des l vres une ventuelle r forme de la g ographie prioritaire Il y a quatre ans Jean Louis Borloo alors ministre d l gu la Ville cr ait l Agence nationale pour la r novation urbaine ANRU l Observatoire national des zones urbaines sensibles ON ZUS tout en doublant le nombre des zones franches urbaines ZFU tandis qu en 2005 tait promulgu e la loi de programmation pour la coh sion sociale articul e aussi autour de trois piliers l emploi le logement et l galit des chances Au final le plan Espoir Banlieue Une dynamique pour la France semble ajouter une nouvelle strate au mille feuille des dispositifs de coh sion sociale et urbaine dont le plus r cent n a pas encore t valu D 1 Rappelons que les 4 milliards attribu s au financement des TCSP dans le cadre du Grenelle de l environnement taient exclusivement destin s aux agglom rations hors Ile de France cet gard il semble n cessaire de veiller ce
29. recomman dations mises par les sages de la rue Cambon le ministre de l Int rieur avait transmis chacun de ses pr fets le jour m me de la pr sentation officielle du rapport une circulaire dite de relance de la coop ration intercommunale encourageant vivement les fusions de communaut s la suppression des syn dicats et toute autre mesure utile pour favoriser des cadres de coop ration ren forc s et coh rents Esp rons que ces encouragements auxquels ont r pondu jusqu pr sent favorablement les lus locaux puissent tre l avenir accompagn s des moyens n cessaires la mise en uvre d une v ritable gouvernance intercommunale et un exercice effectif des comp ten ces Car y regarder de plus pr s il semblerait bien que la communaut de communes Caux vall e de Seine v rita ble prototype communautaire rev te bien des gards les caract ristiques essentielles de la fameuse communaut territoriale parangon de l intercommu nalit pour les prochaines ann es DS CVS EANA Caux vall e de Seine Se dessiner EEE n territoire d avenir En fusionnant trois communaut s Caux vall e de Seine atteint la taille critique Mais pour quoi faire Philippe Schmit N e en janvier dernier de la fusion des communaut s de communes de la r gion de Caudebec en Caux Brotonne de Port J r me et du canton de Bolbec la communaut de communes C
30. travaux d entretien la communaut a confi la r alisation l association Arcins Environnement Services B gles qui aide les personnes loign es de l emploi se r ins rer Contact 05 57 96 01 20 www cc montesquieu fr Source Newspress pour l AdCF Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 gt Territoires Fusion d intercommunalit s Caux vall e de Seine ou l mergence un v ritable prototype communautaire N e le 1 janvier 2008 de la fusion de trois communaut s de communes Port J r me Caudebec en Caux Brotonne et du Canton de Bolbec la communaut de communes Caux vall e de Seine permet de faire merger un nouveau type de communaut Un mod le Emmanuel Duru 67 000 habitants 47 communes mem bres 74 conseillers communautaires 262 agents pr s de 15 comp tences inscrites aux statuts Au del des chif fres les qualificatifs ne manquent pas face la naissance de la nouvelle com munaut de communes Caux vall e de Seine un exemple un mod le de l avis de tous une v ritable Ferrari intercommunale ont m me os cer tains observateurs avis s des questions territoriales Quoi qu il en soit c est bien d intercommunalit dont il s agit et d une intercommunalit la pointe des derni res recommandations gouver nementales en termes de rationalisation et de renforcement de la coh rence des structures de coo
31. 0 lyc ens et coll giens qui connais sent des difficult s dans leur vie familiale ou leurs conditions de logement Exp rimentation du busing transport scolaire en autobus pour permettre des enfants des quartiers d favoris s de fr quenter des tablissements scolaires d autres quartiers ou des centres ville Cr ation de 30 sites d excellence scolaire dont au moins six lyc es des m tiers Ces tablissements seront jumel s avec des tablissements d enseignement sup rieur ou des entreprises et recruteront dans des classes d lite les meilleurs l ves de chaque niveau e Mise en place d un plan en faveur de l accession sociale la propri t s exercent des mesures d rogatoires qui leur conf rent des avantages sp cifiques par rapport au monde ext rieur De l autre ceux qui estiment que le d veloppement des poli tiques publiques in situ au sein des quartiers sensibles a suscit des isolats territoriaux et contrari les possibilit s de parcours r sidentiels et pr conisent un retour aux politiques de droit commun Force est de constater que le nouveau dispositif propos par le gouvernement h site entre les deux options Je demande aux ministres responsables de politiques touchant la vie des habitants des quartiers de me pr senter chacun un programme sur trois ans de mobilisation de leurs services sur les quartiers qui sont vraiment en difficult a ainsi indiqu Nicolas Sarkozy ajoutant
32. 5 GRANDS PRIX Meilleurs v ux 2008 Prix d excellence ville de Bondy Meilleurs v ux 2008 Prix du jury Ville de Lannion Meilleurs v ux 2008 Prix coup de c ur F deration nationale des CAUE Meilleurs v ux 2008 Prix multim dia Conseil g n ral du Val de Marne Meilleurs v ux 2008 Prix photo Ville de Gif sur Yvette 1 Coorganisateurs Territoires publics La Gazette des Communes le Forum pour la gestion des villes Partenaire institutionnel l Adcf Partenaires entreprises Sofres Ch que d jeuner Bouygues T l com Photononstop Partenaires m dia les chos r gion Strat gie La Gazette des Communes Courrier des maires Intercommunalit s Et les autres IDCommunes Association des communicants territoriaux 2 publi dans Intercommunalit s du mois de janvier 2008 et sur www adcf org N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s gt MAr lt Q l extranet des communaut s P riode lectorale Marco et les outils de communication institutionnelle AT approche des lections municipales la communication institutionnelle des communaut s est un exercice d licat puisque strictement r glement par le Code lectoral Sur la plateforme d changes d exp riences entre adh rents de l AdCE Marco plusieurs communaut s ont voqu les outils de communication qu elles utilisaient durant cette p riode pour diffuser l information institutionn
33. L lection des membres du bureau L article L 5211 10 du CGCT pr cise bri vement que le bureau est compos du pr sident d un ou de plusieurs vice pr sidents et ventuellement d un ou de plusieurs autres membres Si le pr sident et les vice pr sidents composent le bureau communautaire d autres personnalit s peu vent y si ger Le plus souvent il s agit des maires d l gu s communautaires qui ne d tiennent pas de vice pr sidence Si initialement l lection du pr sident et des mem bres du bureau tait fond e sur les prescriptions de l article L 2122 4 du CGCT CE 9 novembre 1984 Griet n 53072 relatives l lection du maire et des adjoints la loi du 12 juillet 1999 en int grant l article L 5211 10 du CGCT a seulement fait Dossier lections kse s se al i a mention de la composition du bureau Ainsi aucune disposition ne pr cise le mode de d signation des autres membres du bureau La communaut peut donc en principe d terminer librement les condi tions dans lesquelles les autres membres du bureau sont d sign s La doctrine consid re que si les statuts ne d terminent pas les modalit s de d signation des membres du bureau le proc d de lection s appliquera alors La question de la d signation des membres du bureau ne doit pas occulter celle relative la repr sentativit des communes Le droit de l intercommunalit est silencieux quant aux co
34. LAIN DORANGE En cas de vacance le candidat venant sur une liste imm diatement apr s le dernier lu est appel rem placer le d l gu lu sur cette liste e D signation des suppl ants et remplacement des titulaires Afin de permettre aux membres titulaires de l organe d lib rant de la communaut de concilier leur man dat de conseiller municipal avec celui de conseiller communautaire la loi a institu un dispositif de sup pl ance permettant ces lus d tre repr sent s en cas d emp chement art L 5214 7 du CGCT pour la communaut de communes art L 5216 3 pour la communaut d agglom ration La d cision institutive ou une d cision modificative peut pr voir la d signation d un ou de plusieurs d l gu s suppl ants appel s si ger au sein de l organe d lib rant avec voix d lib rative en cas d emp chement du ou des titulaires La loi n impose pas le cas ch ant la d signation d un nombre identique de suppl ants celui de d l gu s titulaires Les dispositions g n rales relatives l organisation interne du conseil municipal ne sont pas directement opposables aux modalit s de remplacement des mem bres titulaires des communaut s En effet l article L 2121 20 du CGCT th oriquement applicable aux structures intercommunales par le jeu du renvoi de l article L 5211 1 pr cise qu un conseiller municipal emp ch d assister une s ance peut donner un co
35. aux vall e de Seine CVS entend jouer une carte nouvelle dans le paysage institutionnel de la Haute Normandie tre assez grand Jean Claude Weiss qui pr side aux destin es de cette nouvelle communaut donne le ton La commu naut 67 000 habitants pour 47 communes g n r e par la fusion p se plus que Dieppe ou Elbeuf Son poids d mographique est d sormais comparable celui de l agglom ration d vreux Or demain l tat ne contractualisera plus qu avec les entit s d envergure Si on veut attirer un certain nombre de financements on doit atteindre cette taille mi chemin entre Rouen et Le Havre le territoire a des atouts faire valoir dans ce concert r gional et souhaite tre reconnu comme un p le d quilibre interm diaire et compl mentaire entre ces deux m tropoles portuaires Le tr sor du foncier Entre les ponts de Tancarville et de Brotonne la plaine alluviale de Port J r me est un site conomi que majeur de la Basse Seine Sur un millier d hec tares s tend le vaste complexe p trochimique de 5 000 emplois poumon de ce bassin de vie dont la nouvelle communaut pouse d sormais harmo nieusement et judicieusement les limites Il revient la CVS de relever un double d fi Il lui faudra d une part accompagner la lointaine mais in luctable reconversion de ce p le qui accueille des entreprises aujourd hui sp cialis es dans les activit s de raffinage et de production d huiles
36. c s la communaut urbaine de Lille M tropole a engag des projets d int r ts transfrontaliers sur l ensemble de ses comp tences Cette volont politique d int grer la composante trans frontali re se d cline d s aujourd hui au travers d un ensemble d actions Ainsi dans le cadre du projet de r seau intercom munal de piscines la communaut urbaine a fait le choix pour l un de ses quipements d agrandir une piscine situ e c t belge plut t que de cr er un nou veau bassin en France Cette mutualisation l chelle transfrontali re va permettre de passer de 40 000 100 000 coliers fran ais allant apprendre nager en Belgique Cette option qui n est pas sans poser un certain nombre de questions de ma trise d ouvrage ou de fonctionnement est r v latrice de la volont politique de la communaut urbaine d avancer dans le sens transfrontalier Fin 2008 c est une passerelle entre la France et la Bel gique qui sera r alis e afin de mieux mailler les r seaux de randonn e entre les deux pays D autres d initiatives sont en cours comme des changes de bonnes pratiques pour la r duction des d chets la source ou la concer tation pour la r alisation de ZAC frontali res N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s Flandre 37 communes 1 553 8 km Wallonie ae 1307 1 m 330 965 uym Cette volont d int gration est tr s importante et elle se d cline dans tous le
37. ce b timents scolaires pour les communaut s de communes dotation d intercommunalit bonifi e Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 gt AdCF gt Meilleurs v ux des territoires 2008 L affirmation du d veloppement durable Pour leur 4 dition les Meilleurs v ux des territoires ont distingu deux communaut s en raison de la qualit et de la cr ativit de leur carte de v ux la communaut de communes du Pays de Romans et la communaut d agglom ration de Castres Mazamet F licitations ces deux membres historiques de l AdCE L il intercommunal du jury Si les cartes de v ux des diff rentes cat gories de collectivit s refl tent les tendances du moment du monde de la communication et du graphisme orang dominant il y a deux ans le d veloppe ment durable et le retour au naturel cette ann e les communaut s proposent selon les mill simes des facteurs dominants qui leur sont propres La figuration du p rim tre communautaire et des communes qui le composent a progressivement laiss place la mise en sc ne des comp tences Bettina Gillet Comme chaque ann e g n ralement l automne le pr sident de l ex cutif local commande son directeur de communication ou ses collaborateurs de cabinet une bonne id e pour la carte de v ux Exer cice p rilleux pour ces derniers puisque la carte de veux doit permettre d adresser aux citoyens e
38. d agglom ration en 2006 constitue un second t moignage Cette croissance significative 6 2 est principale ment li e des extensions de p rim tre L augmentation du poids financier des agglom rations est ainsi largement en relation avec leur propre d veloppement passant d une phase purement quan titative une phase plus qualitative de l intercommunalit urbaine Les principales tendances observ es en 2006 Globalement on observe en 2006 une volution des ressources moins impor tante que celles enregistr es les ann es pr c dentes 4 3 en 2006 contre 5 en 2005 et 7 en 2004 C est essentiellement le produit de la taxe pro fessionnelle qui est le moteur du dyna misme de cette croissance en 2006 avec un effet base important Les recettes d di es versement transport TEOM recettes tarifaires connaissent galement une vo lution significative bien que leur poids soit B tat et TIC Nouvelles concentrations moins significatif Ainsi la fiscalit directe ou indirecte appara t comme le principal moteur de la croissance des budgets des communaut s d agglom ration la pro gression des dotations de l tat dotation d intercommunalit et compensation de la part salaire tant tr s faible Cette volution des ressources s accom pagne d une stagnation des reversements de fiscalit permettant aux groupements de disposer de la croissance du produit fiscal pour financer les transf
39. dant les environnements conomiques et fiscaux diff rent de part et d autre des fronti res Dans un contexte de croissance des flux transfrontaliers notamment de tra vailleurs journaliers ces territoires connaissent une dis sociation croissante entre les zones d emplois localis es du c t de la fronti re o les conditions conomiques sont les plus favorables l implantation d entreprises et les zones r sidentielles de l autre c t de celle ci Cette situation g n re des besoins sp cifiques en mati re de services la population offre de transport accueil de la petite enfance et d quipements publics mise niveau des infrastructures La France m tropolitaine avec ses 2900 kilom tres de fronti res communes avec huit pays a t le terreau de nombreuses coop rations plus ou moins formelles visant r gler ces probl matiques la cr ation des groupements intercommunaux acc l rant cette dynamique En effet les communaut s sont des partenaires incontournables gt Territoires l chelle des tats riverains dans la mesure o elles disposent des comp tences structurantes susceptibles de mettre en coh rence les politiques territoriales L Union europ enne consciente de l importance des d marches de coop ration transfrontali re a sou hait soutenir ces initiatives Dans le cadre de sa poli tique r gionale la coop ration territoriale d sormais Pun des trois objectifs de
40. de remplacer l crit par un CD Interco dit par l AdCF 191 rue Saint Honor 75001 Paris T l 0155048900 Fax 0155048901 Directeur de la publication Marc Censi R daction T l 0149297566 interco intercommunalites com Directeurs de la r daction Olivier Abuli et David Le Bras R dacteur en chef Bettina Gillet Secr taire de r daction Mireille Meissel Ont collabor ce num ro Olivier Abuli Fabienne Boucher Damien Christiany lise Couchouron Benjamin Decausse Claire Delpech Emmanuel Duru Bettina Gillet David Le Bras Nicolas Portier Philippe Schmit Paul de Vaublanc Direction artistique Saxo R alisation communes 01 49 29 75 66 Mise en page RG Solutions Abonnements Intercommunalit s Service abonnement BP 1121 31036 Toulouse Cedex 1 T l 08251501 18 0 15 euro mn Fax 0561 727650 R gie publicit et petites annonces Rive M dia Directeur de la publicit Bernard Lechevalier Chef de publicit Carine Reininger c reininger rive media fr T l 0142218802 Fax 0142218844 So ou un DVD s tait pos e mais que les lus ont consid r juste titre d ailleurs que l crit restait un vec teur de communication irrempla able qu il tait compl mentaire des autres supports de communication malgr son co t plus lev et la difficult li e sa distribution Trimestriels pour les communaut s d agglom ration du Bassin d Aurillac
41. disent de vous soit on ne parle pas du tout de vous donner une coh rence sa campagne La grande nouveaut de la campagne de 2007 c est l utilisation massive de la vid o affirment en c ur Vincent Ducrey pour Nicolas Sarkozy et Beno t Thieulin pour S gol ne Royal Gr ce la photographie et la vid o num ri que la personne qui vous a physiquement crois une fois sur un march prend conscience que vous faites une campagne de terrain avec douze rendez vous N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s argumentaires et en vous appuyant sur les sites et outils gratuits sur le Net YouTube et Dailymotion pour la vid o Flickr pour les photos Bloglog enquiquiner l adversaire Marseille Beno t Thieulin directeur de la Netscouade a dot le site du socialiste Jean No l Gu rini d une carte de g olocalisation interactive de la ville permettant aux Marseillais de pointer les dysfonctionnements de leur vie quotidienne salet transports voirie La population s en donne c ur joie et l outil a d j t copi ailleurs par des candidats de droite comme de gauche A Eu NICOLAS SARKOZY Le blog sarkozy fr une machine de guerre pour optimiser la mobilisation des militants et la diffusion des messages de campagne 2002 2005 L achat de liens r f renc s d tournant le sympathisant adverse vers un autre site appartient d sormais au pass
42. e 14 janvier dernier dans un entretien au quotidien La Croix Les propos de la ministre du Logement et de la Ville au del de leur caract re pol mique avaient permis de mettre en lumi re quelques semaines de l in tervention du pr sident de la R publique les deux visions distinctes qui r gissent la politique de la ville D un c t les tenants de la g ographie prioritaire qui consid rent que les quartiers doivent demeurer des p rim tres au sein desquels Les principales annonces du plan banlieue e Inscription de la diversit dans le pr ambule de la Constitution e Un repr sentant de l tat temps plein dans chacun des 350 quartiers en difficult partir du 1 septembre e Un nouveau partenariat de l tat avec les associations l tat s engageant r gler les petites d penses en 48 heures avec un simple ch quier e Lancement d une r flexion sur la r partition des dota tions aux collectivit s Nicolas Sarkozy a demand au Premier ministre et la ministre de l Int rieur de r fl chir avec les lus locaux une meilleure r parti tion des dotations de l tat aux collectivit s locales Un projet de r forme devrait tre pr par d ici l t pour tre introduit dans la loi de finances 2009 Ce principe devrait tre appliqu aux contrats urbains de coh sion sociale Une enveloppe de 500 millions d euros pr lev s sur les financements du Grenelle de l env
43. e de son N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s mandat a cess d exercer son activit professionnelle per oit sur sa demande une allocation diff rentielle de fin de mandat s il se trouve dans l une des situations suivantes e tre inscrit l ANPE conform ment aux dispositions de l article L 311 2 du code du travail e Avoir repris une activit professionnelle lui procurant des revenus inf rieurs aux indemnit s de fonction qu il percevait au titre de sa derni re fonction lective Le montant de l allocation est au plus gal 80 de la diff rence entre le montant de l indemnit brute men suelle per ue par l lu pour l exercice de ses fonctions et l ensemble des ressources qu il per oit l issue du mandat Cette allocation est vers e pendant une dur e de six mois au plus Coop ration transfrontali re L intercommunalit toutes les chelles Les limites politiques et administratives correspondent de moins en moins aux fonctionnements socio conomiques r els des territoires notamment en zone transfrontali re Si le mouvement intercommunal est apparu en France comme l espace de projet adapt au bassin de vie des Fran ais peut il devenir l un des moteurs de la coop ration ETAT Fabienne Boucher Les zones transfrontali res sont des territoires sou mis des interd pendances g ographiques urbaines d mographiques et cologiques fortes o cepen
44. e pouvait que s attendre ce que les bilans et programmes municipaux fassent largement r f rence des r alisations projets ou services communautaires Au vu des th matiques abord es l analyse des campagnes blogs conf rences de presse programmes confirme cet attendu La tendance esquiss e en 2001 s amplifie m me fortement l occasion du nouveau scrutin Pour autant cet tat de fait ne se suffit pas lui seul pour extraire l intercommunalit de son statut d impens politique local Car si leurs comp tences et projets sont au c ur des d bats les vocations institutionnelles des structures intercommunales restent quant elles laconiques l implicite l emportant largement sur l explicite Une institution euph mis e Certes le crit re d anciennet des communaut s discrimine les r alit s locales les r f rences la communaut s accroissant en nombre avec l ge du groupement et son degr d int gra tion Les mentions de l institution intercommunale sont ainsi devenues des figures impos es dans les communaut s urbaines de premi re g n ration Lille Bordeaux Lyon Strasbourg dans les agglom rations issues d une longue histoire de district ou dans nombre de communaut s de communes constitu es l or e des ann es 1990 Pour autant peu nombreuses sont 77 fine les situations o la communaut est pr sent e en amont des scrutins comme l un d
45. e temps la mutualisation des D penses du secteur communal Communes groupements M Communes de plus de 10000 hab Mi Communes de moins de 10000 hab 1 Groupements 0 1993 2005 Un quart de la d pense locale est aujourd hui assur par les groupements d penses des communes au sein des budgets inter communaux a profond ment modifi l quilibre de la r partition des poids financiers au sein du secteur communal D sormais un quart de la d pense com munale est assur par les groupements La progression des d penses du secteur local est avant tout li e au d veloppement de l intercommunalit qui a frein la tendance la hausse des budgets commu naux Ainsi la DGCL note dans son rapport sur les finances des groupements de juin 2007 que lorsqu une commune fait partie d un groupement ses charges en personnel et en investissement sont plus faibles le bud get intercommunal prenant progressivement le relais Cette ma trise des d penses de gestion se v rifie en particulier au sein des budgets des communes de 10 000 habitants et plus 198 communes dont les d penses totales connaissent entre 1993 et 2005 une volution moyenne annuelle inf rieure celle des com munes de moins de 10000 habitants 35 763 commu nes Les disparit s sont n anmoins tr s marqu es Au sein des groupements la part des communaut s d agglom ration domine concentrant pr s de la moiti des d penses de l e
46. e texte pr voit qu d faut pour une commune d avoir d sign ses d l gu s cette derni re est repr sent e au sein de l organe d lib rant par le maire si elle ne compte qu un d l gu par le maire et le premier adjoint si elle compte au mois deux d l gu s En cons quence si les statuts de la communaut pr voient la d signation de plus de deux d l gu s les communes silencieuses seront repr sent es au maxi mum par deux membres e Dur e du mandat et droit de rappel La dur e du mandat communautaire est li e celle du mandat municipal Il expire lors de l installation de l organe d lib rant de la structure intercommunale Par cons quent il est impossible d instituer formelle ment un syst me de pr sidence tournante qui aurait pour effet de r duire la dur e du mandat du pr sident CE 10 juillet 1995 Dumaire n 121275 Toutefois le respect de la dur e du mandat intercom munal n interdit pas aux conseils municipaux d user tout moment et pour le reste de la dur e du mandat d un droit de rappel de leurs d l gu s et ce par lap plication de l article L 2121 33 du CGCT Le juge administratif consid re que le recours au droit de rappel en d signant de nouveaux repr sentants ne doit pas tre motiv par des motifs trangers au bon fonction nement de l administration communale ou aux condi tions de l exercice de la mission confi e ses repr sentants
47. e une corr lation entre dynamisme transfrontalier et intercommunalit Comment l expliquez vous Le mouvement intercommunal fran ais s est av r fon damental dans la coop ration transfrontali re laquelle est un mode d exercice des comp tences des collecti vit s et non pas de comp tences propres Nous avons toujours conseill de structurer la coop ration du c t fran ais sur des bases intercommunales solidaires afin de cr er une forme d quilibre avec les collectivit s trang res et de faciliter l organisation de r ponses concr tes Par exemple face au canton de Gen ve la MOT a encourag les collectivit s fran aises de la cou ronne genevoise se structurer pour porter les besoins et les int r ts des communaut s fran aises dans l aire d influence de Gen ve Neuf communaut s et deux d partements se sont alors regroup s en une associa tion unique l Association r gionale de coop ration ARC pour laborer avec les Suisses et en lien avec l tat fran ais le projet d agglom ration franco valdo genevois C est chaque fois cet quilibre qu il faut trouver sur la base d une intercommunalit solidaire du c t fran ais pour b tir une inter collectivit transfrontali re quilibr e qui puisse r pondre aux objectifs fix s DS Propos recueillis par Fabienne Boucher 1 D centralisation et intercommunalit transfrontali re MOT 2004 Pour plus d informations http
48. eil municipal qui les a d sign s Ce mandat expire lors de l installation de l organe d lib rant de l tablissement public de coop ration inter communale suivant le renouvellement g n ral des conseils municipaux la lumi re de cette disposition il appara t que le mandat des d l gu s sortants s teindra au plus tard le 17 avril prochain Cependant il est n cessaire que les communaut s comme l ensemble des collectivit s locales assure la continuit des services publics au cours de ce temps de transition On doit reconna tre qu aucune disposition ne vient contredire l id e que durant cette p riode les d l gu s d tiennent des pouvoirs analogues ceux des commu nes dans le cadre du mandat Comme le souligne la circulaire de mars 2001 la loi n apporte aucune restriction l exercice de ces pouvoirs et ne les a pas limit s aux mesures conservatoires et urgentes Le Conseil d tat a ainsi consid r par le pass avant l introduction du nouvel article L 5211 8 du CGCT que le comit d un syndicat de communes ou son pr sident avaient la capacit de prendre jusqu la d signation du nouvel organe d lib rant les mesures n cessaires pour assurer la continuit du service CE 1986 Schlumberger Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 Dossier lections conseil municipal d une commune membre de l tablis sement public qui les emploie L Assembl e nati
49. elle lise Couchouron Avec sa diffusion large et son co t r duit le site Web est le concurrent direct du support papier Les communaut s d agglom ration et de communes ayant r pondu l enqu te Marco d clarent d ailleurs le privil gier pour diffuser lin formation vocation institutionnelle Cette pr f rence est confirm e par le Barom tre 2007 de l AdCE qui souligne que 80 des communaut s devraient s quiper d un tel site d ici la fin 20081 Si le site web est un outil de commu nication d sormais banalis au sein des communaut s le contenu diff re profond ment d une collectivit une autre Au d part vocation plut t ins titutionnelle pr sentation du territoire intercommunal pr sentation des com p tences de la communaut etc le site Internet abrite d sormais les infor mations pratiques de la communaut Ainsi par exemple le site de la commu naut d agglom ration du Val d Orge 119877 hab propose toutes les publi cations en t l chargement Son service communication constate d ailleurs que les guides et les plaquettes d information sur les quipements de l agglom ration sont les documents les plus t l charg s Coexistence avec les magazines et plaquettes Si le succ s du Web est ind niable le papier est loin pour autant d tre sup prim La communaut d agglom ra tion de Sarreguemines Confluences 52 000 hab explique que la ques tion
50. en lice le lien direct tabli avec militants et supporters a servi l organisation des d placements des r unions publi ques des meetings C t UMP Vincent Ducrey charg de la coordi nation de la f d ration num rique du parti confie volontiers qu une grande partie des moyens a t consacr e la diffusion des argumentaires et la mise en sc ne soigneusement orchestr e de la campagne Si Nicolas Sarkozy b n ficiait des services d une soci t de production pour disposer d images et en contr ler l utilisation c tait aussi pour que 500 000 relais re oivent quotidiennement une synth se sp cifique proposant infos photos et vid os Autant de journalistes embarqu s amateurs gr ce cette r invention du bouche oreille avec effet multi plicateur garanti Enfin les deux hommes s accordent sur l importance de la fonction de veille Toute exposition m diatique d clenchant d bats et commentaires sur la Toile Inter net fournit selon ces experts un important mat riau qualitatif exploiter au fil de l eau qui se r v lerait aussi fiable qu un sondage traditionnel L id al pour tester des propositions 2008 le choc des blogs l occasion du d bat organis Lyon d but d cembre lors des INTERCOnnect s Vincent Ducrey annon ait que la f d ration num rique de PUMP visait aussi mettre disposition de l ensemble des candidats aux municipales et cantonal
51. erts de comp tences et pourvoir la solidarit communautaire au travers de la DSC par exemple Vers une meilleure ma trise des d penses de gestion Le mouvement d ajustement des char ges de gestion amorc en 2005 se poursuit en 2006 tout en restant de faible ampleur sur certains territoires Il r sulte de diff rentes strat gies li es l anciennet du groupement ses relations avec les communes membres au contenu du projet communautaire L analyse des situations individuelles t moigne du ralentissement des trans ferts de comp tences des premiers effets de la rationalisation dans l organisation des services de la r organisation des comp tences au sein de la communaut d op rations d externalisation de presta tions vers un prestataire ou un budget annexe ou encore d une restitution de comp tences vers une commune Les situations sont tr s diversifi es d une communaut l autre Ainsi en 2006 21 communaut s ont vu leurs charges B Sant voluer entre 0 et 10 tandis que pour 69 communaut s l volution des charges est sup rieure 20 Une structure des charges de gestion tr s diff rente entre communes et communaut s La structure des d penses de gestion des communaut s d agglom ration est bien diff rente de celle des communes Une large part des d penses est consacr e des fonctions redistributives et la mise en uvre des comp tences communau taires s
52. ervice En effet ces personnels peuvent occuper au sein des communes d autres t ches que celles ayant trait l entretien des b timents scolaires Dans cette hypoth se communes et intercommunalit s peuvent s engager dans la voie de la mise disposition de services par la conclusion d une conven tion de mise disposition qui ob it aux prescriptions de l article L 5211 4 1 I du CGCT Les biens mobiliers fournitures n ces saires l exercice de la comp tence sont quant eux mis disposition de la com munaut sur le fondement des articles L 1321 1 ets du CGCT L impact de l intercommunalit ducative La substitution des communes mem bres par l intercommunalit dans le cadre de la mise en uvre de la com p tence transf r e se traduit par une La substitution des communaut s aux communes dans les droits et obligations l gard des tablissements priv s sous contrat L exercice de la comp tence en mati re de fonctionnement des coles publiques induit pour les intercom munalit s directement concern es de se substituer galement aux commu nes membres dans leurs droits et obli gations l gard des tablissements d enseignement priv s ayant pass avec l tat l un des contrats pr vus aux articles L 442 5 et L 442 12 du Code de l ducation Cette dispo sition introduite par l article 87 II de la loi n 2004 809 du 13 ao t 2004 est venue cr er un n
53. es enjeux forts des rendez vous des 9 et 16 mars prochains Un compromis tacite semble s tre install pour relocaliser l essentiel des enjeux dans le strict cadre munici pal malgr la mont e en puissance clatante du fait intercom munal depuis 2001 traduite sous une forme aussi extensive cf son largissement 10000 communes et 14 millions de Fran ais qu intensive travers les importantes d volutions de comp tences op r es en sept ans Dans de nombreux cas l intercommunalit semble confin e dans un r le d instrument technique r sum e une sorte d agence voire de banque mise au service des projets municipaux Un gentleman agreement permet chaque quipe sortante de se r approprier localement les r alisations communautaires dans des domaines essentiels omnipr sents dans les argumentaires tels que l habitat social les services publics environnementaux et le d ve loppement durable les transports voire l action conomique Outre la volont de prot ger l intercommunalit de toute poli tisation en la tenant la plus grande distance possible du jeu lectoral et partisan la re municipalisation des bilans et projets est surtout dict e par le choix de ne pas entamer le cr dit accord par l opinion au magist re mayoral Lire la suite page 8 Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 fl i gt La composition de l organe d lib rant et la r partition gt Les d
54. es l exp rience acquise et les m thodologies d velopp es pour la pr sidentielle et les l gislatives Promesse tenue avec l apparition r cente d une g n ration spontan e de blogs portant la patte du savoir faire de l UMP Au menu proximit tra abilit et mise en coh rence de l ensemble des actions de campagne par un recours massif aux photos et vid os Les candidats des autres grands partis ne sont pas en reste mais il semble que leur pr sence sur le Net soit moins syst matiquement organis e Enfin toutes sensibilit s confondues les personnalit s politiques de quelque notori t se font un devoir d appara tre sur le dernier nec plus ultra le r seau de socialisation Facebook Cette irruption massive de sites argumentaires et r seaux militants structur s voire format s pour le combat lectoral va t elle heurter le mod le du Net citoyen tel qu il s est constitu depuis cinq ans Certains blogueurs vont ils d laisser leur neutralit ou leur anonymat pour s lancer l instar d un Christophe Gr bert la conqu te d une mairie L exercice critique des programmes lectoraux locaux deviendra t il le nouvel hobby passager des internautes Ech ances 2008 l il de l expert Le ressenti de Nicolas Voisin blog reporter Nicolas Voisin est ce jeune publicitaire qui s est fait conna tre en 2007 pour avoir tout plaqu afin de couvrir la campagne pr sidentielle sur interne
55. es scrutins l inter communalit le sera t elle tout autant en aval Nos concitoyens d couvriront ils apr s coup l ampleur des reconfigurations institutionnelles intervenues ces Une progression des tickets En 2005 une enqu te conduite par l AdCF sur les mandats et profils politiques des pr sidents d agglom ration montrait que 79 d entre eux taient issus de la ville centre Si 59 taient maires de cette derni re 20 d entre eux n taient qu adjoints ou conseillers municipaux Cette proportion des tickets tait en progression de 8 points par rapport 2001 derni res ann es C est la question majeure qui peut aujourd hui se poser compte tenu de l importance prise par les renouvellements des conseils communautaires et des d signations des ex cutifs D une part ce v ritable troisi me tour des lections locales atteindra cette ann e une intensit in dite en termes d enjeux pour l exercice des mandats 2008 2014 Mais surtout les recompositions des assembl es et des ex cutifs commu nautaires sont susceptibles de donner lieu des d bats plus m diatiques et plus passionn s qu en 2001 En premier lieu ce sont les fusions de listes entre les deux tours de scrutin qui peuvent modifier les sc narii initialement pr vus par les candidats Le poids nouveau atteint par les listes ind pendantes les recompositions politiques r centes MODEM Nouveau centre les coalitions
56. femmes et rendent en cons quence impossible application de l article L 2122 7 1 du CGCT L lection majoritaire trois tours reste donc applicable pour l lection du pr sident et des membres du bureau des EPCI mais n est pas soumise la r gle de la composition des assembl es en cause SCALINO gt Renouvellement des organes communautaires d cision sur le nombre des adjoints doit pr c der l lec tion mais peut ne pas faire l objet d un vote formel Le juge veille au moins l assentiment de la majorit des conseillers pr sents CE 16 d cembre 1983 lection des adjoints au maire de la Baume de Transit n 51417 Cette position du juge tend naturellement s appliquer aux modalit s de d signation des vice pr sidents L lection des vice pr sidents se calque sur celle du pr sident Par application de l article L 2122 7 du CGCT l lection des vice pr sidents a lieu au scrutin secret et la majorit absolue Si apr s deux tours de scrutin aucun candidat n a obtenu la majorit absolue il est proc d un troisi me tour la majorit relative Par ailleurs le renvoi op r par l article L 5211 2 du CGCT aux dispositions g n rales notamment appli cables l lection du maire et celle des adjoints ne joue selon l article qu en tant qu elles ne sont pas contraires aux dispositions du pr sent titre Deux dispositions rentrent en conflit avec l appl
57. gane d lib rant de l tablissement public contrario l article L 5211 7 laisse sous entendre que les agents de la communaut peuvent tre membres du conseil municipal Cette analyse se trouve confort e par Le contentieux de la d signation des d l gu s communautaires La d signation des repr sentants de la commune qui si geront au sein de l organe d lib rant de la structure intercommunale peut tre sujette contestation Saisi d un recours contentieux le juge administratif consid re qu un litige relatif la d signation par un conseil municipal de ses repr sentants une structure intercommunale rel ve du contentieux de l lection des conseillers municipaux et de l lection du maire et des adjoints CE 16 juin 2003 Commune de Longuyon n 247294 CE 5 octobre 2005 Communaut de communes de Val Drouette n 280149 CE 13 juillet 2007 M Voisin et M Bolot n 295360 Par cons quent les dispositions de l article R 119 du code lectoral seront applicables Les r clamations n es de la contestation de l lection des repr sentants communaux la communaut doivent tre d pos es dans les cinq jours qui suivent le jour de l lection au secr tariat de la mairie la sous pr fecture ou la pr fecture ou encore d pos es au bureau central du greffe du tribunal administratif Le recours form par le pr fet doit tre exerc dans le d lai de quinzaine dater de la r cep
58. ica tion de l article L 2122 7 1 du CGCT aux structures intercommunales L article L 5211 7 du CGCT pr voit la d signation des d l gu s communaux au scrutin secret la majo rit absolue Le recours au scrutin uninominal pour la d signation des d l gu s communaux exclut de fait les prescriptions pos es par l article L 2122 7 1 du CGCT L article L 5215 10 du CGCT fixe la d signation des d l gu s communaux appel s si ger au sein de l organe d lib rant de la communaut urbaine par le recours au scrutin de liste sans prendre en compte l hypoth se de la parit Les d l gations accord es aux vice pr sidents Le renouvellement des ex cutifs communautaires posera la question de l attribution d ventuelles d l ga tions aux vice pr sidents ou du renouvellement desdites Far Nr F art T Wor i E s Las a Er oc LE BUREAU LE VOTE rag d l gations Il est n cessaire de distinguer la d l gation de fonction de la d l gation de comp tence Ces d l gations de fonction et ou de comp tence consenties aux vice pr sidents prennent n cessairement fin au moment de P lection et de l installation des nouveaux vice pr sidents CE 27 mars 1992 Commune de Saint Paul de la R union n 101933 e La d l gation de fonction du pr sident Au terme de l article L 5211 9 du CGCT le pr sident de communaut est seul charg de l administration g n ra
59. icle L 5211 17 du Code g n ral des collec tivit s territoriales CGCT Il s agit d une comp tence facultative des communaut s qui peuvent lexer cer de mani re partag e ou de mani re exclusive Le choix est offert puisque la gestion d une comp tence facultative est consid r e comme plus souple en raison notamment de l absence de d finition de l int r t communautaire Le transfert du fonctionnement des co les publiques entra ne les cons quen ces traditionnelles que l on conna t sur la gestion juridique et financi re des moyens humains et mat riels n cessai res l exercice de la comp tence mais galement sur la gestion administrative qui encadre notamment l obligation de scolarit des coliers et leur affectation au sein des tablissements scolaires de premier degr Il faut galement indiquer que cette comp tence se distingue de celle relative la gestion des b timents scolaires Selon les communaut s L article L 5214 16 du CGCT pr cise que la communaut de communes peut exercer une comp tence optionnelle en mati re de construction entre tien et fonctionnement d quipements culturels et sportifs et d quipements de l enseignement pr l mentaire et l mentaire Cette comp tence est ainsi exerc e au titre des comp ten ces optionnelles de la communaut de communes En revanche les articles L 5216 5 et L 5215 20 du CGCT relatifs respec tivement aux
60. il est important que les Etats et l Union europ enne renforcent leurs politiques leur gard L EUROMOT La capitalisation et l change de pratiques entre autorit s locales sont galement primordiaux pour soutenir les territoires engag s dans la coop ration transfronta li re Dans ce cadre l objectif de l EUROMOT est de constituer un r seau europ en solide pour r unir les autorit s locales et collaborer de mani re plus efficace avec les insti tutions nationales et europ ennes Ses activit s seront l assistance op rationnelle aux projets les tudes la formation et la recherche en mati re de coop ration transfronta li re la mise en r seau et l interface la fois politique et technique du niveau local au niveau europ en L alliance strat gique avec l ARFE Une alliance strat gique sera galement sign e le 8 novembre 2007 entre la MOT dans la pers pective de l EUROMOT et l Asso ciation des r gions frontali res europ ennes ARFE Cette alliance vise couvrir les diff rentes chelles g ographiques locales r gionales pour peser plus efficacement sur les orienta tions nationales et communau taires en mati re de coop ration transfrontali re 1 Eixo Atl ntico fe villes froni oiaro pu nt le ou et la Galice 4 eau de villes jumelles impli quai s 1a Foleg Tesen ie ettonii le la Finlande et la R projet hter or Dossier Programmation europ enne 2007 2013
61. ilibr e du territoire De tr s nombreuses r unions publiques sur des th mes vari s des rencontres d tudiants des rendez vous sur les march s ont permis de mobiliser bien au del de la sph re des lus et des acteurs institutionnels pour construire cette nouvelle communaut rurale et indus trielle sur la base d un projet partag Il lui assure une base solide Gagnera t elle avec ces atouts ses lettres de noblesse dans la cour r gionale ou le statut de com munaut de communes qu elle conserve malgr ses 67 000 habitants lui restera t il pr judiciable BB 1 rpmmunalit s 9 AdCF N 120 f vrier 2008 i Communaut de communes D de Freyming Merlebach Tous v lo O Un sch ma de 14 pistes cyclables vient d tre vot par la communaut de communes il s inscrit dans le projet transfrontalier VELO VISAVIS Il contribuera la r alisation d une tr s grande boucle entre la Moselle Est et la Sarre Contact 03 87 00 21 50 ccfm cc freyming merlebach fr en Communaut d agclom ration de Montpellier Red couverte d une cit de l Afrique romaine Le mus e arch ologique de Montpellier Agglom ration s est associ l Institut national du patrimoine l Agence de mise en valeur et de protection du patrimoine de Tunis et l Institut national d histoire de Part Paris pour pr parer cette exposition temporaire pr sentant 129 objets en provenance du s
62. interco F vrier 2008 n 120 mensuel dit par lAdCF www adcf org Dossier Elections Intercommunalit s et syndicats mixtes vers le renouvellement int gral des organes d lib rants Les modalit s de constitution du nouvel organe d lib rant lections muni clandestine aM Lors de la 18 convention manone de AdCE le 3 octobre dernier pr s de quatre i n ee l a b Pa PP D A a z pT 2 ne K Pi E _ OR f m i 4 h CE 7y A lt D 4 5 A i l intercommu des si ges er a T M a N amn n s 2 ss ne N T r L i na s i i z Em 3 P LE E a ER ee er F z 2 maii URBA IMAG PSN pr sidents de communaut sur n consid raient que l action les comp tences et les projets de leur intercommunalit occuperaient une place importante voire tr s importante respectivement 63 et 16 dans les d bats des re come de mars 2008 Etaient ils trop optimistes Surestimaient ils la lisibilit de action communautaire quelques jours des scrutins le traitement qui est r serv l intercommunalit dans les campagnes laisse voir des r alit s beaucoup plus nuanc es AdCF Compte tenu des responsabilit s d sormais confi es aux grou pements de communes dans des domaines clefs de la gestion publique locale on n
63. ipales scrutin ou listes et programmes ne sont stabilis s qu un mois de l lection se pr tent moins l exercice du blog que les campagnes natio nales Il note galement que le d bat reste mou sur le trait simplifi europ en Cela fait un an et demie que nous sommes en campagne Je crois qu il y a tout simplement un essoufflement que les gens en ont un peu marre tranche t il Comment va se d rouler cette coexistence entre blogs candidats et blogs citoyens Les deux logi ques vont elles s ignorer se heurter ou se nourrir pour largir le d bat Il faudra patienter quelques semaines pour en savoir plus D 1 Pour m moire TIC l intercommunalit pour d velopper les usages Franck Burdeyron et Bernard Giry contributions d Olivier Abuli Collection pratiques de l intercommunalit AdCF ao t 2003 2 blog de versac http vanb typepad com Wersac 2006 02 cartographie_de html Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 ILLUSTRATION ANA S BERNAB gt Actualit s lections municipales l intercommunalit clandestine Sans constituer une surprise radicale l lection muni cipale de 2008 tend de fait replacer le fait inter communal en hibernation momentan e et partielle Contrairement ce qui pouvait tre esp r elle ne constitue pas pleinement en dehors de quelques exceptions territoriales qui confirment la r gle le grand rendez vous
64. ironnement sera mobilis e pour d velopper les transports en commun dans les quartiers sensibles 4000 nouveaux policiers suppl mentaires d ploy s d ici trois ans dans les quartiers Ces policiers seront affect s par des red ploiements de postes existants dans 200 unit s territoriales de quartier charg es d y maintenir l ordre et dans des compagnies de s curisa tion sp cialis es contre les violences urbaines e Exp rimentation d un contrat d autonomie pour offrir un soutien renforc et personnalis aux jeunes de moins de 26 ans vivant en zone urbaine sensible ZUS a N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s e Soutien la cr ation de 20 000 entreprises en quatre ans Ce dispositif sera confi des op rateurs profes sionnels choisis sur la base d un cahier des charges G n ralisation des coles de la deuxi me chance sur l ensemble du territoire Le chef de l tat veut faire passer les effectifs de ces coles qui accueillent environ 4000 jeunes de 18 26 ans aujourd hui 20 000 d ici 2012 avec une cole par r gion et un site par d partement Les ressources de ces coles seront accrues par une extension de la possi bilit faite aux entreprises de les financer par la taxe d apprentissage Cr ation d au moins 4000 places dans des inter nats de r ussite ducative proximit des quartiers sensibles d ici trois ans Ces structures accueillent aujourd hui 68
65. ise que le nombre des adjoints au maire ne peut tre sup rieur 30 de l effectif global du conseil municipal Par ailleurs aucun texte ne vient pr ciser de quelle mani re l organe d lib rant doit d terminer le nombre d adjoints ou de vice pr sidents avant de proc der leur lection Le juge administratif consid re que la La non applicabilit de la parit La loi n 2007 128 du 31 janvier 2007 tendant promouvoir l gal acc s des hommes et des femmes aux mandats lectoraux et fonctions lectives a ins r dans le CGCT un article L 2122 7 1 dont l alin a 1 dispose Dans les communes de 3 500 habitants et plus les adjoints sont lus au scrutin de liste la majorit absolue sans panachage ni vote pr f rentiel Sur chacune des listes l cart entre le nombre des candidats de chaque sexe ne peut tre sup rieur un Par le jeu du renvoi de l article L 5211 2 du CGCT la disposition susmentionn e devrait tre d applicabilit directe pour les structures intercommunales dont l une des communes membres d tiendrait une population totale de plus de 3500 habitants Saisie par l Assembl e des Communaut s de France sur cette question la Direction g n rale des collectivit s locales a r pondu dans un courrier adress au cours du premier semestre 2007 que les modalit s de d signation des d l gu s communautaires ne permettent pas d assurer la parit entre hommes et
66. ite arch ologique d Oudhna et du mus e national du Bardo Tunis D s la fin du XIX si cle de grands travaux arch ologiques r v lent peu peu l importance de la ville d Oudhna Uthina durant l Antiquit temple monuments de spectacles citernes et aqueducs somptueuses maisons priv es richement d cor es Le but de l exposition est d voquer le r sultat des fouilles gr ce la pr sentation d une s lection de 129 objets le confort de la maison la gestion de l eau la religion le th tre les gladiateurs et les chasses mais galement de montrer l apport des archives la connaissance scientifique du site Contact 04 67 13 60 00 www montpellier agglo com Communaut de communes du Sud Est du Pays Manceau Enfance et jeunesse Apr s plus de trois ann es d un travail collaboratif qui a mobilis lus associations parents et professionnels la communaut de communes est aujourd hui responsable des activit s Temps Libre des 3 17 ans sur son territoire Tous les enfants ont ainsi acc s au service Enfance Jeunesse proposant un ensemble d activit s sportives et culturelles Le dispositif est op rationnel depuis le 1 janvier Contact communaut communes sudestmanceau com Communaut de communes du pays de Lunel Recyclage Soucieuse de la pr servation de lenvironnement la communaut de communes imprime son mensuel intercommunal 13 en
67. l s payants tendance 2008 l impressionnante quantit de cartes de v ux LUS Re Le Par Comptons sur les communaut s pour relever le gant en 2009 et peut tre investir massivement le champ encore d laiss de la cr ation d une car te de v ux lectronique originale compl ment et non simple d clinaison de la version papier Olivier Abuli secr taire g n ral de LAdCF et membre du jury qui ont affich une photographie originale ce qui a incit les organisateurs cr er un prix autour de ces photos enfin la carte de v ux multim dia progresse Il est vrai que cette croissance accompagne celle de l quipement des collectivit s en TIC Selon le barom tre 2007 AdCF E conception 80 des communaut s devraient en effet tre quip es de sites Internet d ici fin 2008 M PE Tu MEILLEURS V UX DES TERRITOIRES 2008 Meilleurs v ux 2008 Prix petites villes Ville de Claye Souilly Meilleurs v ux 2008 Prix villes moyennes Ville d Issy les Moulineaux x Meilleurs v ux 2008 Prix grandes villes B A Ville de Montreuil 5 Meilleurs v ux 2008 Prix r gions Conseil r gional des Pays de la Loire Meilleurs v ux 2008 Prix d partements Conseil g n ral du Cantal Meilleurs v ux 2008 Prix communaut de communes Pays de romans Meilleurs v ux 2008 Prix communaut d agglom rations Communaut s d agglom rations Castres Mazamet
68. le mais peut d l guer par arr t sous sa sur veillance et sa responsabilit l exercice d une partie de ses fonctions aux vice pr sidents et en cas d emp che ment de ces derniers ou lorsque ces derniers sont tous titulaires d une d l gation de comp tence d autres membres du bureau e La d l gation de comp tence du conseil de communaut La d l gation de comp tence du conseil de communaut aux vice pr sidents est pr vue l article L 5211 10 du CGCT Ce r gime de d l gation est commun aux vice pr sidents au pr sident et au bureau dans son ensemble Ces organes peuvent recevoir d l gation d une partie des attributions du conseil de communaut l exception des domaines express ment vis s par la loi e Le vote du budget l institution et la fixation des taux ou tarifs des taxes ou redevances e L approbation du compte administratif e Les dispositions caract re budg taire prises la suite d une mise en demeure intervenue en application de l article L 1612 15 du CGCT e L adh sion de la communaut un autre tablisse ment public ex un syndicat mixte e La d l gation de la gestion d un service public e Les dispositions portant orientation en mati re d am nagement de l espace communautaire d quilibre social de l habitat et de politique de la ville Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 O CATHOU CATHARE LCOLAS SARAT sarkozy fi
69. liers et mieux articuler notre territoire national avec ceux des pays voisins 2007 a marqu les dix ans de la MOT ainsi qu une nouvelle tape dans la coop ration transfrontali re Simple coincidence La MOT a toujours uvr l mergence de solutions r glementaires et institutionnelles tant au niveau Ni 2 Epag Aef frontaliers Tla lettre de la mission op rationnelle transfrontali re Pour une Europe La cr ation de l EUROMOT proche des citoyens Le 8 novembre 2007 Lille lors du colloque europ en Les territoires transfrontaliers Europe au quotidien la Mission Op rationnelle Transfrontali re MOT Eixo Atl ntico et City Twins signent une convention de coop ration marquant leur d cision commune de constituer un r seau europ en d autorit s locales transfrontali res l EUROMOT DIACT CDC MEDAD MAEE INT RIEUR Pierre Mauroy ancien Premier ministre pr sident de la MOT Dans une Europe la recherche de ses rep res et d une bonne gouvernance face aux d fis de la mondialisation il convient Entretien Jacques Houbart de revenir au sens m me de la construction europ enne voulue par ses p res fondateurs faire de l Europe un espace int gr de prosp rit et de paix pour tous ses cifoyens L Europe est encore trop souvent per ue comme un conglom rat d Etats nations ayant du mal mettre en uvre des politiques communes la hauteur
70. ligatoire de d finition de l int r t communau taire impose pour un grand nombre des comp tences transf r es un passage syst matique devant les conseils munici paux Or ainsi que le souligne Vincent Pierrard charg de mission aupr s de la direction g n rale en charge des relations avec les communes la mobilisation renouvel e des 47 conseils municipaux dans ce cadre pourrait conduire un cer tain essoufflement de ces derniers Elle engendre de surcro t une certaine lour deur de gestion administrative et une perte de temps importante les conseils municipaux des petites communes sont souvent assez espac s leur date n est pas toujours connue l avance CVS Les membres du bureau de Caux vall e de Seine En second lieu la sortie des syndicats ant rieurement pr sents sur le territoire ne va pas sans poser un certain nom bre de questions En effet la CVS s est donn pour objectif la constitution d un service intercommunal d eau potable et d assainissement unique et harmonis sur l ensemble de son territoire Ainsi la prise de comp tence eau et assainis sement s est faite de mani re concomi tante la fusion des trois communaut s Cette d marche doit lui permettre de rationaliser et d optimiser le service rendu en termes de qualit et de co t par le biais de la r alisation d conomies d chelle et de l acquisition d un v rita ble pouvoir de n gociation avec le
71. litaires Une confirmation d annonces r centes des ministres de la Sant et de la D fense qui pourrait peser sur le d but de mandat notamment pour les quipes des villes petites et moyennes et de leurs communaut s Dans le cadre des tats g n raux de la sant Roselyne Bachelot Narquin ministre de la Sant de la Jeunesse et des Sports a annonc un v ritable changement d ap proche pour r pondre aux probl mes croissants de d mographie m dicale et d acc s aux soins La ministre souhaite assurer une prise en charge glo bale de la population dans un bassin de vie et mettre en place une ing nierie d di e au sein des missions r gionales de sant afin de tendre vers de v ritables projets locaux tablis en partenariat avec les collec tivit s Sous l gide des agences r gionales un sch ma r gional de l offre de soins de premier recours sur le territoire serait tabli appuy sur un zonage natio nal et sur la base de projets locaux de sant r alis s par les professionnels de sant et les lus au niveau des bassins de vie ou des pays Par ailleurs une centaine de maisons de sant pluridisciplinaires N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s sera accompagn e hauteur de 50 000 euros dans les zones m dicalement les plus d favoris es Des contrats territoriaux d installation S j pourront tre sign s entre professionnels de sant assu
72. ll gue de son choix pouvoir crit de voter en son nom Rapport e au contexte intercommunal cette disposi tion semble induire que ind pendamment de la d si gnation d lus appel s suppl er les d l gu s titulaires ces derniers peuvent donner un pouvoir crit leurs gt Renouvellement des organes communautaires coll gues en cas d emp chement La r alit est plus complexe et a t rappel e par une r ponse minist rielle L institution des d l gu s suppl ants r sulte de la d cision des conseils municipaux des communes membres appel s se prononcer sur le nombre et la r partition des si ges D s lors que les conseils muni cipaux ont d cid soit l unanimit soit la majo rit qualifi e la d signation de d l gu s suppl ants il appara t que les d l gu s titulaires ventuellement emp ch s d assister une s ance de l organe d lib rant de PEPCI en cause ne peuvent m conna tre la volont des conseils municipaux d assurer chaque commune membre sa repr sentation par un d l gu suppl ant si n cessaire La possibilit de donner pouvoir un coll gue de voter en son nom ne pourrait tre utilis e sous r serve de l appr ciation souveraine des tribunaux administratifs que dans le cas o le titulaire et le suppl ant sont emp ch s simultan ment d assurer la repr sentation de leur commune au sein de l organe d lib rant de PEPCI Ai
73. nditions de repr sentation des communes au sein du bureau La jurisprudence laisse ainsi le soin au r glement int rieur au moins pour les communaut s dont l une des communes d tient une population sup rieure 3 500 habitants de fixer la repr sentation des communes au sein du bureau CE Fran ois ayrou www bayro i j T i 9 f vrier 1979 Elections des membres du bureau du SI d am nagement de l agglom ration nouvelle d Evry rec CE p 48 Le droit accorde galement une libert d action l gard de la r partition des si ges au sein du bureau celle ci pouvant tre fond e soit sur le principe de la pond ration en fonction de l importance d mographique des communes soit sur le principe d une r partition galitaire des communes Assez r guli rement ce sont les statuts qui fixent la composition du bureau quand bien m me l article L 5211 5 1 du CGCT n en impose pas une r f rence obligatoire Par ailleurs le minist re de l Int rieur reconna t que les communes membres peuvent pr voir lors de l laboration des statuts de la communaut la repr sentation au sein du bureau de chaque commune sans en d terminer par avance le nombre de vice pr sidents R ponse n 08357 JO S nat du 10 10 2003 gt Les garanties accord es l issue du mandat Le droit des collectivit s territoriales pr voit une s rie de mesures d accompagnement professionnel l issue du mandat de ce
74. nne avec laquelle je discute Je suis un farouche d mocrate anti totalitaire tr s attach une modernisation de notre vie publique d faut de l tre de fa on excessive l id e de nation Je suis en effet un europhile d finitif et un d centralisateur La modernisation de l tat la revitalisation de notre d mocratie le passage l conomie de la connaissance la coh sion sociale voil les sujets qui me semblent cruciaux pour notre pays et tristement peu explor s dans des cercles vastes Ainsi se d finit sur son site Versac figure de la blogosph re Dans les grandes lignes cet autoportrait esquisse un profil commun l ensemble de ces anima teurs du d bat citoyen sur Internet Technophiles issus de professions intellectuelles journalistes enseignants communicants publicitaires nos blogueurs ont entre la trentaine et la petite qua rantaine Passionn s par la politique et les enjeux de soci t leur ind pendance et leur esprit de contradiction ont pu constituer un obstacle la discipline que requiert un engagement militant Fluctuant entre d mocratie chr tienne et social d mocratie avec une sensibilit environnementale beaucoup s admettent la recherche de cette troi si me voie autour de laquelle tourne une partie O de la classe politique depuis dix ans parlementaires gr ce au r cent d ploiement de la TNT leur valaient sans d lai un abonda
75. nsemble des groupements En forte croissance au cours des derni res ann es les budgets des communaut s d agglom ration devraient continuer Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 K D penses totales des groupements CU CA SAN CC TPU et fiscalit 4 taxes W casan M CC TPU W cc ra Bi cc progresser mais un rythme plus lent du fait du d veloppement de leurs comp tences et des op rations de fusion en progression D 1 DGCL Finances des groupements intercommunaux Juin 2007 gt Actualit gt Annuaire financier et fiscal des agglos L ancrage local se poursuit R alis e en partenariat avec Dexia Cr dit Local et PLC Demeter la version 2008 de l Annuaire financier et fiscal de V AdCE qui pr sente les r sultats des comptes administratifs 2006 sera bient t disponible Les premiers enseignements t moignent de l ancrage des budgets des groupements dans le paysage financier local C D Le volume financier des budgets des communaut s d agglom ration et sur tout leur progression au regard de 2005 13 5 en est un premier t moi gnage En 2006 le budget global bud get principal et budgets annexes des 164 communaut s d agglom ration exis tantes s l ve 16 5 milliards d euros dont 4 6 milliards d euros de reverse ments aux communes La croissance d mographique des com munaut s alors que l on enregistre peu de cr ations de nouvelles communaut s
76. nsi de cette interpr tation des services centraux de l tat il convient d indiquer que les dispositions applicables aux structures intercommunales pren nent le pas sur celles qui encadrent l organisation du conseil municipal Par voie de cons quence ce n est que dans le cas o les communes membres n ont pas d sign de suppl ants que l article L 2121 20 est applicable ou lorsque les d l gu s titulaires et leurs suppl ants sont emp ch s d assister la s ance de l organe d lib rant Aucune disposition n interdit un d l gu titulaire de donner pouvoir un coll gue d une autre commune membre Enfin les conseils municipaux peuvent d cider que le nombre de suppl ants sera inf rieur au nombre de d l gu s titulaires Par exemple les statuts d une com munaut de communes peuvent pr voir que chaque commune est repr sent e par trois titulaires et deux suppl ants Si les trois titulaires sont absents deux d en tre eux pourront accorder leur pouvoir aux suppl ants le troisi me donnera un pouvoir crit un autre col l gue titulaire d une autre commune art L 5214 7 du CGCT pour la communaut de communes art L 5216 3 pour la communaut d agglom ration e Le cas particulier des agents employ s par les communaut s L article L 5211 7 du CGCT interdit aux agents employ s par une communaut d tre d sign s par une des communes membres pour la repr senter au sein de l or
77. nt courrier lectronique de soutien ou de d saveu 2007 les machines de campagne investissent le Web Cinq ans plus tard une ternit dans l univers des technologies de l information le Net n est plus cet espace mi potache mi far west des campagnes de par jour Chaque acte de campagne doit tre pens en termes de valorisation en bulletins de vote sont marginales L outil sert d abord v hiculer une image positive de proximit f d rer ses supporters sentir l air du temps gr ce aux remont es y compris n gatives ou agressives exister gagner en visibilit Selon Christophe Gr bert blogueur citoyen mais aussi journaliste c est presque indispensable y compris en zones rurales Et d expliciter Avec un blog une pr sence sur Internet vous touchez le journaliste Les r dactions ont fondu et le loca m dia souligne encore Vincent Ducrey conomiser de l argent Avec 200 euros soit un acc s Internet et une petite cam ra num rique vous vous dotez d un outil de campagne performant Comment En utilisant le mail pour inviter mobiliser vos supporters et diffuser vos lier n existe plus ils ont en charge 50 communes ils ne se d placent plus Beaucoup travaillent derri re leur bureau et vont chercher l info l o on la trouve rapidement c est dire sur Internet Soit on parle en bien de vous vous tes l metteur soit du mal que les gens
78. ntactez Conjuguer au 01 56 54 14 40 ou info conjuguer fr d couper et retourner ntercommunalit s PEN l Service abonnement AF 1n erco BP 1121 31036 Toulouse Cedex 1 AGCF sise T l 08251501 18 Fax 0561 727650 lt D L Abonnement 1 an 11 num ros 1X30 S man Abonnement suppl mentaire aan MATE a _ O L Abonnement tudiant gt gt n AE Joindre la copie de la carte d tudiant Total a0 gQ Aele E E E E E a E E Qualite a a E E m Collectivit s a A E E A E E E Code postal a Vile EE E A 3 O TESTAN BEL Date pee ERA Cachet et signature Commission paritaire n 0509 G 85995 D p t l gal f vrier 2008 Impression SIB 47 bd Liane 62360 St L onard ISSN 1253 5230 Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008
79. nterc der aupr s d elle sans en dire n anmoins beaucoup plus M me s il est trop t t pour pr tendre des conclusions d finitives les premi res tendances des campagnes municipales laissent donc plut t sur leur faim ceux qui voyaient en elles une occasion majeure de pr ciser le mode d emploi de l intercommunalit et de r pondre au besoin d information exprim par les administr s de ces institutions souvent Jeunes Paradoxalement c est peut tre dans les territoires situ s encore l cart de la coop ration intercommu nale que celle ci a pu tre pr sent e comme un enjeu et un projet politique l image des d bats actuels sur le Grand Paris mais galement de nombreux terri toires ruraux au sein desquels des candidats font de la Barom tre IFOP AdCF 2007 la question Pensez vous qu il est tr s important important ou peu important que les grands projets et les domaines de comp tence de votre Structure intercommunale soient plac s au c ur des d bats et des programmes des candidats lors des lections municipales de mars 2008 sur un chantillon de 960 personnes interrog es choisis avec les crit res habituels de repr sentativit 43 r pondaient tr s important et 49 important soit un total de 92 constitution d une communaut de communes l un de leurs axes programmatiques privil gi s Quel troisi me tour intercommunal Demeur e discr te en amont d
80. nts En vertu de l article L 2122 8 du CGCT la s ance au cours de laquelle il est proc d l lection du pr sident de la structure intercommunale est pr sid e par le plus g des membres de l organe d lib rant L lection du pr sident Comme le pr cise l article L 5211 2 du CGCT les r gles applicables l lection du maire sont transposa bles l lection du pr sident de la communaut Selon la jurisprudence du Conseil d tat la participation l lection du maire d un conseiller municipal qui se N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s trouve dans un cas d in ligibilit est de nature justi fier l annulation de l lection de ce maire CE 22 ao t 2007 Mme C n 299761 Par analogie on peut consid rer qu une personne si geant irr guli rement en qualit de d l gu com munautaire ne peut participer l lection du pr sident sous peine d entacher cette lection d irr gularit e Les principes qui encadrent l lection du pr sident Par renvoi aux articles L 2122 4 et L 2122 7 du CGCT le pr sident est lu au scrutin secret la majo rit absolue Si apr s deux tours de scrutin aucun candidat n a obtenu la majorit absolue il est proc d un troisi me tour de scrutin et l lection a lieu la majorit relative En cas d galit de suffrages le plus g est d clar lu Nul ne peut tre lu pr sident s il n est g
81. nvoi aux dispositions g n rales relatives la d si gnation des d l gu s communautaires par les conseils municipaux les membres du syndicat mixte sont lus au scrutin secret la majorit absolue Si apr s deux tours de scrutin aucun candidat ra obtenu la majorit absolue il est galement proc d un troisi me tour et l lection a lieu la majorit simple VOTER EST UN DROIT C EST AUSSI UN DEVOIR CIVIQUE Libert Egalit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE CANIE LECTORALE MINISTERE DE L INT RIEUR e Syndicat mixte ouvert Les dispositions qui encadrent les modalit s de fonc tionnement du syndicat mixte ouvert ne pr voient pas de proc dure de d signation de ses d l gu s En l absence de texte de renvoi il faut en conclure qu il appartient aux statuts du syndicat mixte ouvert de fixer les modalit s de d signation de ses d l gu s Cette interpr tation a t r cemment confirm e par le Conseil d tat Il ne r sulte ni des articles L 5721 1 et suivants du CGCT applicables aux syndicats mixtes associant des collectivit s territoria les des groupements de collectivit s territoriales et d autres personnes morales de droit public ni d aucun autre texte que les d l gu s des communes d un tel syndicat mixte doivent tre choisis au sein du conseil municipal que les conditions de ce choix sont enti rement r gies par les statuts du syndicat CE
82. on communautaire ne peuvent faire l objet d une gestion s cable Il s agit en r alit de l application tout fait tradi tionnelle du principe d exclusivit Les transferts li s Le transfert de la comp tence relative au fonctionnement des coles publi ques fond e sur l article 87 de la loi du 13 ao t 2004 et rattach e aux comp tences facultatives des structures inter communales emporte galement de notables cons quences notamment en ce qui concerne les personnels scolaires communaux et les moyens mat riels affect s l exercice de la comp tence Le fonctionnement des coles publiques peut s apparenter au service des coles Il concerne notamment l acquisition du mobilier et des fournitures et surtout la gestion des personnels de service et des agents territoriaux sp cialis s des coles primaires ATSEM Concernant la situation des ATSEM ces derniers ont vocation faire l objet d un transfert l chelon intercommunal Ce transfert s tablit sur le fondement de l article L 5211 4 1 du CGCT en vertu duquel les fonctionnaires territo riaux et agents territoriaux non titulaires qui remplissent leurs fonctions dans un service ou une partie de service trans f r sont transf r s dans l EPCI Ils rel vent de cet tablissement dans les conditions de statut et d emploi qui sont les leurs La situation peut appara tre plus d licate pour les personnels de s
83. onale avait dans un premier temps limit cette disposition aux seules fonctions de directeur g n ral de directeur de service ou de directeur de cabinet du pr sident de communaut avant d abroger compl tement le principe introduit par la Chambre Haute D signation des membres des syndicats mixtes Le droit de l intercommunalit distingue deux cat go ries de syndicat mixte le syndicat mixte ferm com pos de communes et de structures intercommunales ou exclusivement compos de ces derni res et le syn dicat mixte ouvert auquel peuvent adh rer diff rentes cat gories de collectivit s territoriales des structures intercommunales ou encore des chambres consulaires e Syndicat mixte ferm Sauf textes contraires les modalit s d organisation interne du syndicat mixte ferm sont encadr es par les dispositions g n rales fix es aux articles L 5211 1 et suivants du CGCT et celles qui organisent aux articles L 5212 1 et suivants les modalit s de fonctionnement du syndicat de communes La d signation des repr sentants des communes et des communaut s au sein du syndicat mixte ferm s ta blit dans les conditions fix es par l article L 5711 1 du CGCT en partie toilett par l article 22 de la loi n 2002 276 du 27 f vrier 2002 relative la d mocra tie de proximit Aux termes de cette disposition il est n cessaire de distinguer la situation des groupements non dot s d une fiscalit
84. ou autres polym res et que les enjeux p troliers mondiaux ne manqueront pas d affecter Il lui revient d autre part la charge d am nager et de valoriser un v ritable tr sor foncier Caux vall e de Seine est en effet la premi re r serve fonci re de la r gion Les extensions du site sont d j pr vues l ouest Port J r me II une ZAC de 350 hectares est d j lanc pour un co t de 30 millions d euros plus long terme Port J r me III devrait nat tre l est sur quelque 200 hectares La CVS devient ainsi un territoire capable d offrir des parcelles de tr s grande taille b n ficiant d une desserte trimodale le fer le fleuve la route une richesse d une valeur ines timable que la nouvelle communaut entend pr server organiser et valoriser tre le nouveau p le conomique entre Le Havre et Rouen L enjeu est le positionnement strat gique Il faut tre compl mentaire de Rouen qui conna t des restructura tions urbaines importantes les installations portuaires de Port J r me sont g r es par le port autonome de Rouen Mais il convient aussi de s inscrire dans la dynamique havraise de Port 2000 sans pour autant voir les dispo nibilit s fonci res absorb es par des activit s logistiques davantage cr atrices de flux que d emplois Les lus de la CVS entendent faire de leur territoire industriel un p le r gional des nergies renouvelables et des comat riaux R unis dans ce
85. ous forme de prestations de servi ces aupr s d op rateurs priv s ou aupr s des communes Les charges de personnel ne repr sentent qu un tiers des d penses de gestion nettes des reversements alors qu elles repr sentent la moiti des budgets des communes Au total la capacit d autofinancement d gag e sur les recettes de fonctionnement s l ve 1 3 milliard d euros en 2006 Elle est en augmentation de 8 3 un rythme de progression similaire celui de 2005 L effort d quipement poursuit sa forte progression Les bons r sultats de l autofinancement viennent alimenter la politique d in vestissement tr s dynamique des com munaut s Les comptes administratifs pour 2006 des communaut s d agglo m ration traduisent un maintien de lef fort d quipement engag au cours des ann es pr c dentes Leffort d quipement global c est dire budget principal budgets annexes mais aussi subventions et fonds de concours volution des politiques d acc s aux soins PS des agglos Annuaire financier amp fiscal des agglom rations Communaut s d Cr e Lee pa pe ile tr PE COMHUNTU E Le FRE PA pf RETTE N TF aik I p FA f atteint 3 9 milliards d euros en 2006 contre 3 4 milliards d euros en 2005 soit une moyenne de 203 euros par habitant Au total la situation financi re des com munaut s d agglom ration en 2006 est globalement satisfaisante m me si des tensions apparaissen
86. ouvel arti cle L 442 13 1 red finition du territoire d accueil et de r sidence des enfants scolaris s En vertu de l article L 212 8 du Code de l ducation le territoire de l intercom munalit est assimil au territoire de la commune d accueil ou de la commune de r sidence des l ves scolaris s Tout d abord pour les communes qui ont plusieurs coles publiques le ressort de chacune d elles est d termin par d lib ration du conseil municipal Dans la situation o le fonctionnement des coles est assur l chelon intercom munal la fixation de la carte scolaire pour les l ves des classes maternelles et primaires est tablie par l organe d lib rant de la structure intercommunale Le r le du pr sident de l intercommunalit s tablit par analogie avec les dispositions applicables aux maires des communes concern es Aussi chaque ann e chaque rentr e scolaire le pr sident doit dresser la liste de tous les enfants r sidant sur le terri toire intercommunal qui sont soumis l obligation scolaire Cette liste scolaire permet d tablir le certificat d inscrip tion des l ves n cessaire leur inscrip tion d finitive qui pr cise l cole qu ils doivent fr quenter M 1 Loi n 2004 809 du 13 ao t 2004 1 R ponse n 21478 JO S nat du 4 mai 2006 2 I faut cependant indiquer que l article L 5214 23 1 du CGCT ne pr voit pas l exercice de la comp ten
87. p dagogique que beaucoup appe laient de leurs voeux d explication au grand public des d placements de responsabilit s op r s dans les territoires des formes coll giales de gouvernance qui l chelle intercommunale substituent d sormais la co d cision et la gestion en commun l ancienne auto nomie d action municipale Par del ce d ficit d efforts p dagogiques c est l entretien d lib r d un certain flou sur le partage institutionnel des responsabilit s qui soul ve de fortes questions Une analyse s man tique m riterait d tre conduite pour tudier dans les programmes et les propos des candidats les multiples euph mismes utilis s pour faire r f rence l chelle intercommunale mais sans en dessiner avec pr cision les contours les pouvoirs et les enjeux Dans les espaces urbains le recours la notion g n ri que de ville permet par exemple de se r f rer indis tinctement la commune centre et l agglom ration en vitant de s appesantir sur les diff rences des proces sus et instances de d cision L institution communau taire fait ainsi souvent figure de simple prolongement organique de la ville centre voire de satellite technique Les vocations nominatives de la communaut sont parfois plus fr quentes dans les communes p riph riques au sein desquelles de nombreux programmes mentionnent la n cessit de peser davantage au sein de la communaut voire d i
88. p ration N e de la fusion le 26 novembre dernier de trois communaut s de communes Caux vall e de Seine CVS a r uni son premier conseil communautaire le 4 d cembre 2007 pour un exercice effectif des comp tences fix au 1 janvier 2008 Si l habillage institutionnel de ce projet de territoire impressionne par sa solidit et son caract re novateur et que l expression d intercommunalit par le haut s adapte parfaitement l hypoth se de la CVS tant il est vrai que ses statuts illustrent son caract re particuli rement int gr la nouvelle entit se trouve confront e en pratique un certain nombre de difficul t s En effet une telle ambition en termes Vue a rienne du futur parc Eana de p rim tre et de comp tences s accorde parfois difficilement avec des cadres juri wp 2 2 diques h rit s pour l essentiel de la loi relative l administration territoriale de la R publique de 1992 Les limites de la loi ATR En premier lieu la proc dure de fusion a n cessit l harmonisation des statuts des trois communaut s De nombreuses r u nions de travail ont t organis es cette fin mais compte tenu de la complexit de l op ration les statuts de la CVS qui en ont r sult ne sont que des statuts de cr ation destin s tre r vis s plusieurs reprises dans les ann es venir afin de les affiner au regard de leur appli cation De plus l exercice ob
89. que les 500 millions mobilis s par le Plan Banlieue ne servent pas financer le d senclavement des quartiers fragiles en Ile de France ceux ci appelant la mise en uvre de cr dits idoines 2 Depuis 1976 751 quartiers prioritaires ont t class s en ZUS S y ajoutent les 202 quartiers prioritaires couverts par la politique de la ville Quand tout le monde est prioritaire qui peut l tre r ellement Le d bat d orientation budg taire simplifi Le s nateur de Seine Saint Denis Philippe Dallier a r cemment fait adopter un amendement permettant de fusionner en un seul document les trois rapports relatifs la politique de la ville aux CUCS et l utilisation de la DSUCS que les communes ou les communaut s ont parfois produire au moment du d bat d orientation budg taire L article 139 de la loi de finances initiale pour 2008 simplifie en effet les choses dans la mesure gt Finances locales o il autorise la fusion des trois documents en un rap port unique cet effet la DIV a install un groupe de travail qui rendra ses conclusions au mois d avril assorties d une circulaire et d un rapport type mod lis Celui ci pourra tre rempli en ligne ce qui facilitera le traitement et la collecte de ces donn es pour les porter la connaissance de leur assembl e d lib rante l occasion de l adoption du compte administratif Ce groupe de travail est constitu de pr fets des associa tions d
90. re de d l gu s par commune sans r f rence une quelconque strate d mographique Dans cette hypoth se toute modification ult rieure du nombre de d l gu s est soumise une r vision statutaire conform ment l article L 5211 20 1 du CGCT Soit les statuts distinguent simplement les communes par r f rence une strate d mographique exemple communes dont la population est comprise entre 1 500 et 3000 habitants 2 si ges Le juge administratif admet en effet que les statuts ne pr cisent pas le nom bre de d l gu s par commune d s lors que les modalit s de r partition entre les communes permettent d en d terminer le nombre pour chacune d entre elles CE 10 octobre 2003 Commune des Angles n 255354 Dans cette seconde hypoth se la modulation de la composition de l organe d lib rant en fonction notamment de la publication de recensements com pl mentaires est directement li e aux variations d mographiques du territoire Cette possibilit peut pr senter l avantage de ne pas recourir le cas ch ant une modification des statuts en cas de recensement compl mentaire mais l inverse elle ne permet pas d encadrer statutairement le nombre total de d l gu s communautaires e Le cas de non d signation des d l gu s par les conseils municipaux Cette situation aussi tonnante soit elle est expres s ment pr vue au cinqui me alin a de l article L 5211 8 du CGCT C
91. rs 2008 2 tour le cas ch ant dimanche 16 mars 2008 lection du maire et des adjoints Du vendredi 21 mars au dimanche 23 mars 2008 Premi re r union de l organe d lib rant Au plus tard le vendredi 18 avril 2008 semaine 16 Attention le principe pos par l article L 5211 8 du CGCT s applique aux syndicats mixtes ferm s compos s de communes et de communaut s ou exclusivement de communaut s Aussi la premi re r union du comit syndical du syndicat mixte ferm pourrait logiquement tre organis e au plus tard le 16 mai 2008 noter un conseiller municipal ressortissant de l un des pays membres de l Union europ enne peut tre pay P P d sign s il est lu conseiller municipal au sein de Por gane d lib rant communautaire mais il ne pourra en revanche pr tendre l exercice d une fonction ex cutive CE 8 juillet 2002 Pr fet du Cher n 240269 e Modalit s diff rentes selon la communaut Ce principe pos il convient de distinguer la situation des d l gu s communautaires selon qu ils sont appe l s si ger dans une communaut de communes ou d agglom ration d une part ou d une communaut urbaine d autre part Dans le premier cas CC et CA les modalit s de d signation des membres de l organe d lib rant sont fix es l article L 5211 7 du CGCT Les d l gu s sont lus par les conseils municipaux des communes int ress es parmi leurs membres au scru
92. rtains lus locaux Les garanties accor d es l issue du mandat sont encadr es par les articles L 2123 11 L 2123 11 2 du CGCT et R 2123 11 1 R 2123 11 6 du CGCT Elles sont applicables certains lus de la communaut d agglom ration sur renvoi de l article L 5216 4 du CGCT et de la communaut de communes sur renvoi de l article L 5214 8 du CGCT l issue de son mandat le pr sident ou dans les struc tures intercommunales de plus de 20 000 habitants tout vice pr sident qui pour l exercice de son mandat a cess son activit professionnelle salari e a droit sur sa demande une formation professionnelle et a un bilan de comp tences dans les conditions fix es par le titre IX du code du travail Lorsque le pr sident ou le vice pr sident demandent b n ficier du cong de formation pr vu l article L 931 1 du code du travail et du bilan de comp ten ces fix l article L 931 21 du m me code le temps pass au titre du mandat local est assimil aux dur es d activit exig es pour l acc s ces cong s Par ailleurs l occasion du renouvellement g n ral des membres de l organe d lib rant faisant suite au renouvellement g n ral des membres du conseil muni cipal tout pr sident de communaut de plus de 1 000 habitants au moins ou tout vice pr sident de com munaut de 20000 habitants ayant re u d l gation de fonction du pr sident qui pour l exercic
93. s URBA IMAGES ZOLADZ M suite de la page 1 sont elles envisageables Des coalitions des p riph ries contre les centres sont elles envisageables Si des pr c dents nous en ont d j t donn s durant le mandat qui s ach ve l instar de Rouen Evry Tarbes P rigueux Bordeaux les situations de cohabita tion entre un maire de ville centre et un pr sident de communaut de sensibilit s politiques oppos es sont en mesure de se diffuser plus largement Faut il redouter des situations de paralysie institutionnelle Assistera t on lors du troisi me tour une politisation accrue des sc nes intercommunales notamment dans les grou pements urbains L ensemble de ces interrogations sont de nature placer l intercommunalit sous le feu des medias et ce d s la fin des lections Ce d voilement apr s coup de l enjeu communautaire ne risque t il pas de laisser les citoyens quelque peu amers E Quelle place pour l intercommunalit dans la campagne municipale 2008 L AdCF a pris l initiative de confier une quipe pluridisciplinaire d universitaires et de chercheurs une enqu te consacr e cette th matique partir d un chantillon d une quinzaine de sites t moins Coordination de l quipe par R my Le Saout Universit de Nantes Premiers r sultats de ce travail communiqu s partir du printemps 2008 URBA IMAGES NICOLAS J gt
94. s d l gataires Or si la fusion a effectivement produit des effets b n fiques en termes d efficience de l action publique locale en rendant possible la disparition de huit syndicats devenus sans objet le r gime juridique propre aux communaut s de communes emp che toutefois la CVS d aller au bout de son ambition En effet la mise en uvre du m canisme de repr sentation substitution applicable l ensemble des comp tences aboutit au maintien de la pr sence de la CVS au sein de cinq structures de coop ration sans fiscalit propre l observation de ces contraintes juridico institutionnelles on ne peut s emp cher d tablir un lien avec les r centes conclusions du 20 rapport rela tif au contr le de l galit remis en d but d ann e au Parlement Le gouvernement auteur du rapport n h site pas recon na tre que les difficult s rencontr es par les communaut s reposent toutes sur le souci de pouvoir introduire plus de souplesse dans le fonctionnement de ces structures La situation dans laquelle se trouve plac e la CVS illustre parfaitement ces propos D passer le cadre des v ux Ce constat est d autant plus domma geable que la CVS sur le plan insti tutionnel s inscrit pleinement dans la r alisation des objectifs fix s aux acteurs locaux par l tat la suite du rapport de la Cour des comptes de novembre 2005 L intercommunalit en France Dans la droite ligne des
95. s de pr paration aux concours gt Actions de lutte contre l illettrisme si pr vues dans une de ces deux formations Formation pr sentant une utilit directe pour l administration territoriale Les actions de lutte contre lillettrisme et pour l ap prentissage de la langue fran aise peuvent galement tre suivies dans le cadre du DI dans la mesure o elles sont pr vues dans le plan de formation au titre de la formation de perfectionnement ou de la formation de pr paration aux concours et examens professionnels de la fonction publique B Mutualisation des services Il appartient donc lagent de faire une demande de DIF L administration dispose d un d lai de deux mois pour r pondre son silence vaut acceptation Le refus de administration ne peut donc tre qw explicite En cas accord le choix de l action de formation envisag e est arr t par convention conclue entre le fonctionnaire et l autorit territoriale Cette derni re est transmise par l autorit territoriale au Centre national de la fonction publique territoriale CNFPT En cas de d saccord pendant deux ann es cons cutives l agent b n ficiera d une priorit d acc s aux actions de formation quivalentes organis es par le CNFPT Pendant ou hors temps de travail L autorit territoriale d termine apr s avis du comit technique paritaire si et dans quelles conditions le droit individuel la formation peut s exercer en to
96. s services Ainsi y compris dans le domaine des cr matoriums un groupement de com mandes transfrontalier a permis lachat en commun de quatre fours et d quipements de filtration Au del de l conomie r alis e l utilisation d un mat riel identique ouvre la porte une mutualisation de la maintenance De fa on plus g n rale l chelle de l Eurom tropole des r flexions sont en cours pour favoriser la mobilit transfrontali re des agents l aune de la mise en place du GECT outil de gou vernance et de mise en coh rence qui manquait une coop ration transfrontali re efficace il est important de noter que la communaut urbaine de Lille M tropole n a pas seulement ax son action sur la promotion de cet outil institutionnel mais que parall lement elle n a pas cess et continue d organiser un travail concret et quotidien sur l ensemble de ses comp tences BE L Eurom tropole Lille Kortrijk Tournai e Installation officielle de l Eurom tropole Lille Kortrijk Tournai 21 janvier 2008 e 14 partenaires 145 communes communaut urbaine de Lille M tropole 4 arrondissements flamands Kortrijk leper Roeselare et Tielt et 3 arrondissements wallons Mouscron Tournai et Ath e Organe de gouvernance GECT e Pr sident Pierre Mauroy e Si ge Lille et services op rationnels en Belgique e Budget 2008 1 million d euros e Plus de 2 millions d habitants e 10 routes 2 lignes
97. s sont en principe lus entre le 14 et 16 mars pour ceux dont la liste a t lue d s le premier tour du 9 mars et entre le 21 et 23 mars pour ceux dont la liste n cessit un second tour Les textes ne fixent aucun d lai pour la d signation des repr sentants de la commune dans les organismes ext rieurs Toutefois l alin a 2 de l article L 5211 8 du CGCT dispose qu apr s le renouvellement g n ral des conseils municipaux l organe d lib rant se r unit au plus tard le vendredi de la quatri me semaine qui suit l lection des maires la lecture des principes fix s par les textes il est vivement recommand que les nouvelles quipes municipales proc dent la d signation de leurs d l gu s au sein des instances intercommunales au cours de la premi re r union du conseil municipal condition de faire mention de cette d signation dans l ordre du jour La d signation des membres de l organe d lib rant Les conditions d ligibilit les in ligibilit s et les incompatibilit s applicables aux membres des organes d lib rants communautaires sont identiques celles applicables aux membres du conseil municipal La r gle est rappel e l article L 5211 7 H du CGCT qui renvoie aux articles du code lectoral L 44 L 46 L226 a L 237 t L239 N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s Calendrier de mise en uvre Elections municipales 2008 1 tour dimanche 9 ma
98. t Le maintien et la progression de l par gne sont rendus possible par une bonne croissance du produit de la fiscalit dont la majeure partie est conserv e et par un ajustement minutieux des postes de d penses de fonctionnement la veille des renouvellements lecto raux cette position peut para tre fra gile Elle cr e une d pendance forte au regard de la fiscalit uniquement tourn e vers l volution des bases fisca les de taxe professionnelle l effet taux tant tr s limit du fait de la r forme de la TP Elle devrait moyen terme conduire les communaut s remettre en chantier le contenu du pacte de sta bilit conclu avec les communes pour en d gager des marges de man uvre nouvelles et identifier les priorit s pour le territoire communautaire Enfin elle va dans le sens d une mise plat du syst me fiscal et financier local tel que le pr conise l AdCE D d emplois et de services publics en vue voquant dans l hebdomadaire l Express un probable remaniement minist riel apr s les lections le secr taire g n ral de l lys e Claude Gu ant a estim qu il faudra inscrire de nouvelles fonctions dans la composition du prochain gouvernement par exemple dans les domaines de l conomie num rique ou de l am nagement du territoire Sur ce dernier point il s agira d accompagner certaines volutions comme celles de l h pital ou de l implanta tion des bases mi
99. t lu la pr sidence de Lille M tropole en 1989 a toujours t convaincu que le d veloppement du territoire ne pouvait se baser uniquement sur celui de l inter communalit D ailleurs le percement du tunnel sous la Manche et l arriv e du TGV ont plac Lille au c ur du triangle Paris Bruxelles Londres En parall le la perspective du march unique et le d marrage des programmes INTER REG encourageant financi rement pour la premi re fois la coop ration trans frontali re ont amen les acteurs locaux poser la question de l organisation de l espace l chelle europ enne C est dans ce contexte que la Conf rence permanente intercommunale transfron tali re COPIT a t mise en place en 1991 Cette association sans cadre juridique tait un espace de dialogue qui a permis dans un premier temps de mettre en place un corpus partag de donn es et dans un second temps de faciliter le montage et la r alisation de projets cet gard r pondant aux besoins concrets des habitants cinq sta tions d puration franco belges ont t r alis es partir de 1990 pour am lio rer la qualit des eaux de la Lys et de l Escaut fortement pollu es suite un pass industriel Dans le m me temps une nouvelle ligne de bus transfrontali re reliant Wattrelos France et Mouscron Belgique a permis aux 6 500 usagers hebdomadaires de ne plus subir la rup ture de charge qui les obligeait tra
100. t notamment en produisant et diffusant de longues interviews des candidats jusqu cinq heures pour Fran ois Bayrou leur permettant d expliciter en d tail leur programme Depuis il a cr nuesblog com qu il d finit comme plus tout fait un blog pas encore un m dia et sur lequel il propose un journal t l vis quotidien mais galement un accompagnement formation des lus pour la cr ation de leur blog personnel Ayant r pondu la demande d accompagnement de nombreux lus Nicolas Voisin confirme le fort int r t des candidats pour les blogs de campagne Il met tout de m me en garde sur les limites de cet engouement Cr er un blog c est accepter la transparence le d bat contradictoire C est aussi se d voiler parler de soi explique t il Selon lui cela n a de sens que si le politique qui franchit le pas s inscrit dans la dur e au del de la campagne Il cite volontiers l exemple d lus ayant ferm leur blog quelques semaines seulement apr s l avoir lanc en d couvrant des interpellations parfois d sa gr ables Id alement souligne cet expert il faudrait pouvoir se doter d un blog journal de campagne et parall lement d un blog personnel au sens strict c est dire moins politique destin tablir le lien avec la population sur le long terme C t citoyens par contre il constate que cela ne d colle pas On peut penser que les campagnes munic
101. t aux partenaires un message fort de la collectivit tout en restant festive Mais comment innover dans le cadre d un espace de communication aussi restreint C est en raison de cette difficult que Territoires publics et ses partenaires ont puis la d clinaison de l id e de mutualisation d cid de cr er il y a maintenant quatre ans le concours Histoire institutionnelle courte une re de dixi me Meilleurs v ux des territoires afin de r compenser les anniversaire se cl t pour les communaut s de collectivit s qui ont fait preuve d originalit et d imagina communes mais s ouvre de 2009 2012 pour les tion pour cet exercice de fin d ann e m agglom rations S agissant du cru 2008 tout en f licitant les laur ats Les tendances 2008 et les nomin s nous devons constater par comparai Si les collectivit s font montre chaque ann e dans ce son avec les autres cat gories de collectivit s en com domaine d un professionnalisme croissant leur cr ativit pra p tition une moindre cr ativit des communaut s suit lair du temps Or cette ann e contexte plan taire l occasion de La nouvelle ann De les communes priv es du recours paresseux oblige le d veloppement durable a t l honneur et les car aux r alisations de ape municipale PRESSE tes se sont majoritairement par es de bleu et de vert Autre de renouvellement ont d ploy des efforts d imagi i 4 nation qui se sont r v
102. tain nombre d lus et de responsables associatifs Revoir le partenariat avec les collectivit s Articul autour de trois piliers l emploi l ducation et le d senclavement le nouveau dispositif comprend de multi ples mesures susceptibles d impacter directement les collectivi t s Parmi celles ci on retiendra la volont du chef de l tat de conduire comme l avait souhait Fadela Amara une r flexion sur la r partition des dotations aux collectivit s en partenariat avec les lus locaux Si la r forme de la dotation de solidarit urbaine ne sera de fait pas au rendez vous avant les muni cipales Nicolas Sarkozy promet un projet de r forme d ici l t destin tre traduit dans la loi de finances de 2009 Par ailleurs le plan banlieue enjoint les collectivit s cofinancer les projets de transports collectifs permettant de d senclaver les quartiers et ce d autant plus qu avec seulement 500 mil lions d euros promis par l tat le pr sident de la R publique a revu la baisse l annonce de la secr taire d tat la politique de la ville qui pr voyait d apporter un milliard d euros pr lev sur les financements du Grenelle de l environnement Un retour aux politiques de droit commun Le plan galit des chances de Fadela Amara est centr sur les banlieues Moi je crois en la r ponse beaucoup plus globale d une nouvelle politique de la ville avait d clar Christine Boutin l
103. tin secret la majorit absolue Si apr s deux tours de scrutin aucun candidat n a obtenu la majorit absolue il est proc d un troisi me tour et l lection a lieu la majorit relative En cas d galit des suffrages le plus g est d clar lu De ces l ments on doit donc retenir e que les d l gu s communaux sont n cessairement mem bres du conseil municipal contrairement la possibilit offerte aux communes d lire un citoyen de la commune pour si ger au comit syndical du syndicat de communes comme l autorise l article L 5212 7 du CGCT e que tous les d l gu s communaux sont d sign s au scrutin uninominal majoritaire trois tours Dans le cadre de la communaut urbaine il convient de faire application des dispositions de l article L 5215 10 du CGCT qui pr voit deux hypoth ses e sil ny a pour certaines communes qu un d l gu d signer ces derni res doivent faire application de l article L 2121 21 du CGCT le d l gu est d sign la majorit absolue au premier ou au deuxi me tour de scrutin il est proc d le cas ch ant un troisi me tour de scrutin et l lection a lieu la majorit relative e dans les autres cas les d l gu s des communes sont lus au scrutin de liste bloqu e un tour La r partition des si ges entre les listes est op r e selon les r gles de la repr sentation proportionnelle la plus forte moyenne PIERRE A
104. tion du proc s verbal de l lection Saisi d une r clamation en ce sens le tribunal administratif territorialement comp tent doit prononcer sa d cision dans un d lai de deux mois compter de l enregistrement du recours au greffe La comp tence d appel appartient au Conseil d tat une jurisprudence constante qui consid re qu aucune disposition n interdit aux salari s d un syndicat inter communal d tre ligibles aux fonctions de conseiller municipal de l une des communes adh rant ce syn dicat CE 4 f vrier 1978 lections municipales de Meyronnes n 07946 C est ainsi qu un agent recrut par une communaut urbaine a pu tre lu au conseil municipal d une commune membre de la communaut m me si le maire tait pr sident de la communaut urbaine CE 29 juillet 2002 lections municipales de Dunkerque N 239142 Au cours de la discussion parlementaire qui a pr c d l adoption de la loi du 19 f vrier 2007 relative la fonction publique territoriale le S nat avait introduit en premi re lecture un amendement qui devait modi fier l article L 231 du code lectoral au terme duquel les agents salari s d un EPCI ne peuvent tre lus au Comment assurer la transition entre le deuxi me tour des lections municipales et la premi re r union de l organe d lib rant Larticle L 5211 8 du CGCT pr cise que le mandat des d l gu s communautaires est li celui du cons
105. tout comme la r servation des noms de domaine potentiellement utilisables par le concurrent Les sites parodiques l instar de celui ressemblant sy m prendre au portail officiel de Anecdote Deux faux Alain c est trop Vous tes d j ou vous serez sur Internet m me si ce n est pas de votre fait pr venait Lyon le 3 d cembre dernier le blogueur Nicolas Voisin Et d ajouter tre pr sent ne rapporte pas forc ment de bulletins ou alors la marge par contre tre absent peut co ter tr s cher car ce sont les autres qui vont parler de vous votre place Un exemple celui d une usurpation d identit sur facebook Facebook la coqueluche actuelle sur internet est un site de socialisation et d changes lanc l t 2007 50 000 fran ais y taient inscrits ses d buts six mois plus tard ils atteignaient le million En novembre un tudiant Burd d cide d usurper l identit des deux principaux candidats la mairie de Bordeaux en cr ant partir de photos et renseignements col lect s en quelques minutes sur internet le profil des deux Alain Alain Rousset et Alain Jupp sur le site Il se fait ensuite passer pour les deux politiques L entourage d Alain Rousset r agira plus vite que celui d Alain Jupp dont le profil restera en ligne plusieurs semaines le temps de f d rer 120 amis et de donner un exemple de la limite de ce type de rapprochement virt
106. tte nouvelle communaut de projet ils esp rent peser plus efficacement contre une orientation logistique excessive Pourtant l tat travers la Directive Territoriale d Am nagement DTA de la Basse Seine approuv e en juillet 2006 la pr conise clairement L en jeu est donc de se placer comme un acteur majeur dans le cadre de l laboration du sch ma r gional d am nage ment et de d veloppement territorial SRADT et des n gociations des politiques contractuelles tre suffisamment petit Si la CVS atteint la taille critique le territoire reste assez petit pour qu il touche tout le monde On peut encore jouer la proximit en comptant moins de 70000 habi tants souligne Jean Claude Weiss Les comp tences de proximit petite enfance action sociale insertion culture s inscrivent pleinement dans le projet du terri toire et b n ficient d sormais pour leur mise en uvre de comp tences et d atouts capitalis s sur chacune des communaut s pr existantes Caux vall e de Seine entend articuler harmonieusement qualit de vie et d veloppe ment et conjuguer ambition et solidarit Elle souhaite d ailleurs promouvoir ses atouts non industriels et r habili ter son image Eana le parc de loisirs sur le d veloppement durable qui ouvrira ses portes en juillet 2008 apr s un investissement de 27 millions d euros sera la locomotive touristique aupr s de laquelle s engagera plus fortement la diversification qu
107. uel Que penser de cette deman de de mise en relation de Dominique Perben Alain Jupp avec petit mot courtois et complice l appui La r a lit nous montrera que cette demande est envoy e par un militant g rant sur FaceBook le profil de campagne de Dominique Perben Un faux Perben crivant amicalement un faux Jupp Schizophr nie virtuelle quand tu nous tiens conclut Burd l lys e en 2002 ont disparu Et si Fran ois Mit terrand opportun ment surgi d outre tombe se m la de la campagne interne au parti socialiste la dur e de vie de ce blog fut ph m re Tirant les le ons de 2005 ce sont de v ritables machi nes de guerre dot es de plusieurs millions d euros de budget que les trois candidats arriv s en t te du premier tour de l lection pr sidentielle avaient mis en branle Leur principale fonction optimiser la mobilisation militante et la diffusion des argumen taires des candidats l heure du bilan les responsables de ces Net campa gnes estiment avoir pleinement rempli leurs objectifs Internet s est d abord r v l tre un outil logistique extr mement puissant moindre co t Selon Beno t Thieulin qui officiait pour S gol ne Royal jamais la candidate n aurait pu remporter la course l investiture socialiste sans l apport d un impressionnant r seau de sympathisants tiss en quelques mois seulement via D sirs d avenir Pour chacun des partis
108. ur les autorit s fran aises ces conven tions de mise disposition n entrent pas dans le champ d application des directives 2004 17 CE et 2004 18 CE relatives aux proc dures de passation des march s publics Q 10389 rep min 08 01 2008 p 203 Dans sa r ponse du 8 janvier dernier la ministre rappelle que lors des changes pr alables l avis motiv que la Commis sion a adress la France le 27 juin 2007 le gouvernement s est efforc de d mon trer que la mise disposition de services d une commune membre au profit d une communaut n est qu une modalit d or ganisation interne de l administration locale Destin e optimiser la mise en in N 120 f vrier 2008 AdCF Intercommunalit s uvre des transferts de comp tences au profit des organismes de coop ration locale elle est sans incidence sur le fonc tionnement du march int rieur dans la mesure m me o cette r organisation administrative est effectu e hors march En effet dans ce cas de figure il ne s agit pas pour les communes d intervenir en qualit de prestataires de services d une communaut mais de formaliser un mode d organisation interne de l admi nistration locale par mutualisation des moyens et d en d finir les modalit s de fonctionnement Le gouvernement entend continuer de d fendre ce point de vue Il a ainsi offi ciellement r pondu en ce sens le 30 ao t 2007 l avis motiv de la Commission En compl
109. uristiques Un an apr s la mise en place des parcours d interpr tation du patrimoine dans le centre historique de Clisson la communaut de communes poursuit son action en dotant chaque commune d une ou deux bornes d interpr tation de leur patrimoine Contact c communes clisson com Communaut de communes de Cognac Un portail conomique Souhaitant dynamiser le d veloppement conomique la communaut a mis en place via son site internet un Portail d Accueil des Entreprises afin de faciliter l implantation de celles ci et la mise en r seau des entrepreneurs En pr sence des lus de la communaut des r unions rassembleront r guli rement les acteurs locaux du d veloppement conomique WWW CC COgNac com France 85 612 km Communaut Urbaine de Lille M tropole Pr sident Pierre Mauroy Nombre de Communes 85 1063498 Nord Pas de Calais 31 12 1966 Nom Nombre d habitants Situation g ographique Date de cr ation a cr officiellement le GECT de l Eurom tropole premier en Europe devenant ainsi la structure de gouvernance Une organisation op rationnelle et opti male est en cours de mise en place afin de permettre le d veloppement de projets Penser et agir transfrontalier La rapidit de cr ation du GECT s explique par la grande maturit de la coop ration transfrontali re sur ce territoire qui a b n fici de l organisation intercom munale Preuve de ce suc
110. ut ou partie pendant le temps de travail Lorsque la formation est dispens e hors temps de tra vail l autorit territoriale verse l agent une allocation de formation AF gale la moiti du traitement horaire pour la dur e de la formation Caract ristiques du DIF e La transf rabilit Le DIF ant rieurement acquis par un fonctionnaire reste invocable devant toute personne morale de droit public aupr s de laquelle il vient d tre affect e L anticipation des droits Les fonctionnaires peuvent avec l accord de leur administration utiliser par anticipation un nombre d heures suppl mentaires au plus gal la dur e acqui se La dur e totale utilis e gr ce cette disposition ne peut d passer 120 heures Lutilisation par anticipation du DIF ne peut intervenir Une avanc e de taille pour les agents territoriaux D j inscrit dans le code du travail pour les salari s depuis la loi du 4 mai 2004 un DIF est instaur pour les agents de la fonction publique territoriale Un sujet d actualit puisque l utilisation de ce nouveau moyen d acc der une formation pr vue dans le plan de z l administration territoriale est possible depuis le 21 f vrier Demande d utilisation du droit au DIF par l agent territorial necc Refus Ann e N explicite ou implicite car deux mois de silence de Refus Ann e N 1 l administration accord m a Sur temps de Hors temps L agent b n ficie d une
111. ver ser pied la fronti re pour passer d un bus l autre Cette recherche de mutualisation et de r ponses appropri es aux attentes de la population a toutefois rapidement r v l ses limites du fait de comp tences r parties diff remment selon les pays En effet absence d une gouvernance r u nissant l ensemble des autorit s publi ques est apparue comme un obstacle la coop ration transfrontali re Il fallait un cadre juridique L accord de Bruxelles Pierre Mauroy pr sident de l Eurom tropole Lille Kortrijk Tournai sign par le gouvernement fran ais et par les gouvernements belges en 2002 puis le r glement relatif au Groupe ment europ en de coop ration territo riale GECT adopt en juillet 2006 par l Union europ enne ont cr le syst me de gouvernance permettant de r unir les chelons administratifs n cessaires couvrir l ensemble des probl mati ques transfrontali res soit les tats les R gions les Provinces le d partement et les intercommunalit s D s juillet 2006 les repr sentants poli tiques de ces 14 autorit s publiques bel ges et fran aises sous l impulsion du pr sident de Lille M tropole ont mis en place un comit constitutif afin de pr parer les textes de convention et de statuts de la future Eurom tropole Le 21 janvier 2008 un arr t pr fectoral Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 gt Territoires en bref
112. vice pr sidents gt L lection des membres du bureau Les garanties accord es l issue du mandat Par ailleurs la d signation des repr sentants des communes ne doit pas occulter celle des syndicats mixtes auxquels peuvent adh rer les communaut s Intercommunalit s AdCF N 120 f vrier 2008 A N URBA IMAGES GILE M DR MAIRIE DE VIC pour l exercice de certaines de leurs comp tences Ces derni res seront galement appel es lire leurs d l gu s dans les diff rents comit s syndicaux Quelles sont les r gles de droit prendre compte lors du prochain renouvellement des organes de Pin tercommunalit et des syndicats mixtes Nombreuses sont les communaut s qui interrogent l Assembl e des Communaut s de France ce propos Pour les aider mieux s orienter travers les textes ntercommunalit s publie une tude compl te sur ce sujet Dossier lections gt Modalit s de constitution du nouvel organe d lib rant Composition et nombre de si ges Conform ment l article L 5211 5 1 du Code g n ral des collectivit s territoriales CGCT modifi par la loi n 2004 169 du 13 ao t 2004 la composition de Por gane d lib rant est fix e dans les statuts de la structure intercommunale Ces statuts pr cisent le nombre de si ges attribu s chaque commune membre Toutefois deux hypoth ses sont envisageables Soit les statuts fixent le nomb

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Diapositive 1  (xbis). - Bank of Baroda  DPP-EX5  Image-based Depression Storage Computation – IDS Tool  TAFCO WINDOWS NU2-015S-I Installation Guide    

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file