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Journal officiel du lundi 1 er octobre 1990

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1. Retraites g n ralit s politique l gard des retrait s 27196 16 avril 1990 M Francisque Perrut appelle l at tention de M le ministre de ia solidarit de la sant et de la protection sociale sur l inqui tude ressentie par les retrait s sur un certain nombre de points lo Les retrait s sont absents des conseils d administration et des commissions paritaires de l Unedic et des Assedic de la C N A M et de la C N A V des C R A M et des C P A M ainsi que des caisses de retraite com pl mentaire Ce sont les syndicats d actifs qui ont le monopole de la repr sentativit et les int r ts des retrait s qui sont actuel lement 10 millions ne peuvent tre correctement d fendus 29 L indexation des pensions est calcul e sur la base de la plus faible augmentation constat e dans l volution des salaires ou dans celle des prix Ce syst me prive alors les retrait s de gains de productivit c est pourquoi les irt ress s demandent que leurs revalorisations de pensions soient gales celles des salaires bruts 39 Les pensions d apr s les propositions du Xe plan seraient calcul es partir du salaire mensuel moyen S M M des vingt cinq meilleures ann es au lieu de dix D autre part la dur e d assurance pour obtenir une retraite taux plein passerait de 150 160 trinestres ce qui quivaut une remise en cause de la retraite soixante ans Les retrait s on peut le com prendre refusent de tel
2. ne permettent cependant pas d ouvrir l allocation de logement aux personnes vivant en caravane Le Gouvernement est conscient que les populations d favoris es prouvent des diffi cult s faire face leur d pense de logement lorsqu elles sont contraintes de secourir ce mode d h bergement Des tudes sont engag es afin d explorer les solutions envisageables dans ces situations EEE me ee Femmes m res de famille 32202 30 juillet 1990 M Heari Cuq appelle l attention de Mme ie secr tcire d Etat aupr s du ministre de is solidarit de ia saat et de ia protection sociaie charge de ia famiiie sus le statut social de la femme restant au foyer pour lever ses ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1994 enfants li d piore que ces m res de famille qui consacrent leur nombreuses activit l ducation de leurs enfants ne soient pas reconnues pour le travail qu elles ont accompli et qui justifierait une retraite personnelle Ces femmes sont en effet les oubli es du syst me alors que les r alit s conomiques qu elles repr sentent si elles ont lev de nombreux enfants sont videntes Aussi il lui demande de lui faire connaltre son sentiment quant l octroi d une retraite d cente en fonction du nombre d enfants et du nombre d ann es d activit au foyer et de lui indiquer si de telles mesures sont actuellement envisag es R ponse Plusieurs dispositions sont d j intervenues p
3. 28719 21 mai 1990 M Francisque Ferrut attire l atten tion de M ie secr taire d Etat aupr s du ministre de l iat rieur charg des collectivit s territoriales sur la situation des secr taires de mairie et assimil s et sur les probl mes se rappor tant leur profession depuis notamment la parution du d cret d application du 30 d cembre 1987 de la loi du 26 janvier 1984 Ceux ci constatent en effet que les choses n ont pas volu avec la parution de ces textes et que malheureusement on se trouve encore en face de situations tr s compliqu es voire incoh rentes et des interpr tations totalement oppos es des textes par les centres d partementaux de gestion ou les pr fectures En effet en ce qui concerne les secr taires de mairie non int gr s effec tuant moins de trente et une heures trente de travail hebdoma daire la situation est particuli rement critique et risque de ne pas tre trait e dans le d cret en pr paration Certains par exemple voient le d roulement de leur carri re bloqu parce que les centres de gestion apparemment re oivent des consignes Ainsi des secr taires de mairie des premiers deuxi mes et troi si mes niveaux se voient refuser la possibilit d acc der un emploi l E sur une autre commune sous pr texte qu ils doivent r pondre aux conditions fix es par le d cret n 88 240 du 14 mars 1988 Cependant d autres coll gues sont recrut s sans difficult
4. 33209 3 septembre 1990 M Serge Charies se fait l inter pr te du l gitime et profond m contentement des personnels enseignants des tablissements techniques priv s sous contrat d association qui sont encore r mun r s et pour certains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires H demande M le ministre d Etat ministre de l ducation nationaie de ia jeunesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement semblables celles de la loi n 83 481 du 11 juin 1983 art 9 11 14 et 16 la stricte parit des mesures sociales tant impliqu e par l article 15 de la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 Enseignement priv personnel 33283 3 septembre 1990 M G rard L onard se fait l in terpr te du l gitime et profond m contentement des personnels enseignants des tablissements techniques priv s sous contrat d association qui sont encore r mun r s et pour certains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires H demande M le ministre d Etat ministre de l ducation aationale de la jeunesse ct des sports quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement n a 4588 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 semblables celles de la loi n 83 481 du 11 juin 1983 art 9 11 et 16 En effet la stricte parit des mesure
5. 34030 ler octobre 1990 M L oace Deprez appelle l at tention de M le mlaictre de la solidarit de in sant et de la protection sociale sur la situation des infirmiers lib raux Jl lui propose d organiser une table ronde permettant d appr cier avec exactitude la situation de ces infirmiers et de d finir notamment dans le cadre de l volution de la situation m dicale en France de l allongement de la dur e de la vie des nouvelles r gles de d ontologie une politique de progr s leur gard comme ils l ont propos notamment par la voix de l Organisation nationale des syndicats d infirmiers lib raux Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34031 ler octobre 1990 M Claude Birraux attire de nou veau l attention de M le mlaiatre de la solidarit de In sant et de la protection sociale sur la situation des masseurs kin sith rapeutes r ducateurs de France et plus particuli re ment de Haute Savoie Ceux ci aimeraient en effet obtenir de la part du minist re une r ponse claire et Concr te aux trois ques tions suivantes lo quelle date vont tre tudi es les proposi tions tarifaires conjointes pr sent es par les masseurs kin sith rapeutes et les caisses d assurance maladie 2 quand le minist re va t il prendre position sur la r forme de la Nomencla ture des actes professionnels 3 enfin quelle session parle mentaire sera pr sent le projet de juridiction
6. celui de la m decine lib rale Le r le social des centres de sant est largement reconnu et un r cent rapport de l inspection g n rale des affaires sociales confirme l int r t et la sp cificit de ces structures de soins C est pourquoi ii lui demande de bien vouloir lui indiquer les suites qu il entend donner ce rapport et selon quels d lais R ponse Les difficult s que rencontrent actuellement les centres de soins m dicaux infirmiers dentaires notamment celles concernant leur situation financi re ne sont pas m connues du ministre de la solidarit de la sant et de la pro tection sociale Ainsi un groupe de travail a t constitu r cem ment afin d examiner la modification des normes techniques d agr ment de ces centres actuellement fix es par le d cret n 56 284 du 9 mars 1956 annexes XXVIII XXVIII bis et XXIX Le projet de d cret en question pr cisera galement la d finition des centres de soins et les missions qui leur sont confi es Depuis l intervention de la loi n 85 10 du 3 jar vier 1985 la situation tarifaire des centres de soins est d sormais align e sur celle des professionuels de sant d exercice lib ral Une ventuelle r forme du financement des centres de sant appelle au pr alable une analyse approfondie de la formation de leurs d penses du service rendu et des causes des d s qui libres ventuellement constat s A cet effet une mission a t confi e
7. par la loi du 16 juillet 1971 selon lequel l allocation de ogerment social doit tre affect e au paiement d un loyer C est pourquoi la loi du 31 mai 1990 comporte un article qui donne une nouvelle r daction de l article L 835 2 du code de la s curit socizie selon laquelle l allocation de logement est vers e au bail leur ou au pr teur avec l accord de l ailocataire 11 lui demande si ces nouvelles disposiiions sont susceptibles de fonder un paie ment direct de l allocation de logement social aux responsables des tablissements h bergeant des personnes g es et dans quel d lai il compte prendre ivs dispositions r glemertaires n cessaires l application effective de cette mesure P ET T ET ESPACE D 0 M T C M R union t l phone 33895 14 octobre 1990 M Jean Paui Virapoull attire l attention de M le ministre des postes des t l communica tions et de l espace sur l cart tr s sensible existant entre la tari fication des communications t l phoniques au d part de l le Maurice et de la R union en direction de la C E E et des pays trangers Les tudes men es par le Conseil r gional de la R u nion dans le cadre du programme de d veloppement Ges t l commvnications avanc es montre en particulier un creusement sensible de cet cart au cours des deux derni res ann es TARIFS 1980 en francs REUNION H T MAURICE VOS mme Vers tranger TROT scores sas
8. 24832 solidarit sant et protection sociale K Raoult Eric 24398 transports routiers t fluviaux Reltzer Jean Luc 30702 agriculture et for t 31231 ducation nationale jeunesse et sports Richard Alala 32516 famille 32518 famille Richard Lucien 31905 solidarit sant et protection sociale Rigal Jeaa 31471 solidarit sant et protection sociale Rimbault Jacques 26315 solidarit sart et protection sociale 29656 ducation nationale jeunesse et sports 30059 agriculture et for t Riachet Roger 31182 int rieur Rocheblolne Fran ola 14463 travail emploi et formaion profes sionnelle 32550 solidarit sant et protection sociale Royal S gol ne Mme 20830 int rieur S Sapla Michel 31408 solidarit sant et protection sociale Schrelner Bernard Bas Rhin 14482 int rieur Schwartzenberg Roger G rard 9470 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs T Terrot Michel 32342 solidarit sant et protection sociale Thi m Fabien 26460 ducation nationale jeunesse et sports 28202 solidarit sant et protection sociale Thiea Ah Koon Andr 4629 d partements et territoires d outre mer 27333 ducation nationale jeunesse et sports 32632 postes t l communications et cspace Tib rl Jeaa 30919 solidarit sant et protection sociale U Ucberschiag J
9. 27818 30 avril 1990 M Emile Koth rappelle M le ministre de Ja solidarit de la sante et de la protection soclale que la France est en t des pays europtens pour ses d penses de sant et leur consacre environ 9 p 100 de sa richesse nationale Contrairement aux autres pays d velopp s elle n a pas r ussi contr ler leur croissance qui est deux fois sup neure l enrichissement du pays Malgr ce co t la sant des Fran ais n est gu re meilleure que celle de nos partenaires europ ens En Allemagne f d rale la discipline est assur e par les m decins eux m mes qui v rifient l ad quation des prescriptions et des hospitalisations l tat des malades et demandent une justifica tion du nombre d actes Le remboursement au tarif normal n est accord qu en de d un certain volume d actes Au del la r mun ration est d gressive Notre pays n a pas encore d mettre en place un syst me de justifications des d penses pour viter notamment ordonnances fleuves hospitalisations abusives et examens compl mentaires injustifi s alors que d autres ont depuis plusieurs ann es des m canismes op rationnels efficaces et librement consentis Il lui demande ce qu il compte faire pour distinguer les demandes importantes des demandes contingentes des cotisants de mani re mieux r pondre aux premi res R ponse De f vrier 1989 avril 1990 les organisations syn dicales repr sentatives des m dec
10. B Bachelet Pierre 33947 conomie finances et budget Berate Claude 33924 handicap s et accident s de la vie 33948 personnes g es Barnier Michel 33935 quipement logement transports et mer 33936 quipement logement transports et mer 33937 quipe ment logement transports et mer Bayard Heuri 33990 handicap s et accident s de la vie 33891 anciens combattants et victimes de guerre 33892 agricul ture et for t 33895 d fense 33897 aifaires trang res 33995 ducation nationale jeunesse et sports 34021 handicap s et acci dent s de la vie Boca Jacques 23875 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 33876 solidarit sant et pro tection sociale h Berthelot Marcelia 33980 solidarit sant et protection sociale 33981 solidarit sant et protection sociale 33982 solidarit sant et protection sociale 33983 solidarit sant et protection sociale 32984 solidarit sant et protection sociale 33988 soli darit sant et protection sociale 33986 solidarit sant et pro tection sociale 33987 solidarit sant et protection sociale 33988 solidarit sant et protection sociale 33989 solidarit sant et protection sociale Berthol Andr 33991 solidarit sant et protection sociale Birraax Clauds 34002 agriculture et for amp 34003 agriculture et for t 34004 log
11. Mme Elisabeth Hubert s tonne aupr s de M ie ministre d Etat ministre de l ducation natio naie de ia jeunesse et des sports de certaines modalit s de fonctionnement du syst me dit licences mixtes pour l acquisi tion de logiciels usage p dagogique Est il vrai que l enseigne ment technique priv sous contrat d association n a pas pu b n ficier de ces conditions Sur quel fondement Qu est ce qui emp che un fournisseur de logiciels de faire b n ficier les lyc es professionnels et technologiques priv s sous contrat d association des m mes conditions Son ventuel refus ne pourrait il pas tre analys juridiquement en refus de vente injustifi Enseignement priv fonctionnement 32650 6 ao t 1990 M Bernard Debre s tonne aupr s de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports de certaines modalit s de fonctionnement du syst me dit licences mixtes pour l acquisition de logiciels usage p dagogique Est il vrai que l enseignement technique priv sous contrat d association n a pas pu b n ficier de ces conditions Sur que fondement Qu est ce qui emp che un fournisseur de logiciels de faire b n ficier les lyc es profes sionnels et technologiques priv s sous contrat d association des m mes conditions Son ventuel refus ne pourrait il pas tre analys juridiquement en refus de vente injustifi H lui demande de bien vouloir lui
12. ler octobre 1990 ann es et sous r serve de condition de ressources la famille ne touche qu une A P J E La cons quence est la suivante une famille de jumeaux perd 20 376 francs une famille de tripl s perd 40 752 francs une famille de quadruples perd 61 128 francs une famille de quintupl s perd 81 504 francs une famille de sextupl s perd 101880 francs sur ces deux ans bar me au ier janvier 1990 De plus l allocation parentale d du cation n est pas cumulable avec l A P J E La famille doit choisir la plus int ressante des deux Dans tous les cas lu famille de multiples per oit de ces deux prestations la meme somme qu une famille naissance unique On ne 1ient pas compte du nombre des enfants lever ce qui est pour le moins un paradoxe en pleine p riode de r cession GE Elle lui demande s il envisage une modification de l application de ces deux presta tions familiales afin que les familles naissances multiples ne soient plus p nalis es Prestations familiales alloca ion pour jeune enfant et allocation pare tale d ducation 32689 6 ao t 1990 M Herv de Charette appelle l atten tion de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de ia protection sociale charg de la famille sur la situation de plus en plus difficile des failles o surviennert des naissances multiples et qui rend uigente ci indis pensible la mise en place d un dispositif leur permettant
13. prenant en compte les cons quences sur l environnement de toutes les phases de la vie des produits Les organismes certificateurs sont ue par le ministre de l environnement et du cadre de vie 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend iui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique e r glementation 31977 23 juillet 1990 M Michel Bar ler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Asserabl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un fonds de soutien l innovation dans le domaine des techno logies propres est institu par le minist re de l environnement et du tadre de vie L Agence nationale pour la valorisation de la recherche A N V A R est charg e de l instruction des demandes d intervention pr sent es ce fonds 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autr
14. une sur quatre Enfin ces agents b n ficieront comme l ensemble des sapeurs pompiers professionnels de l int gration de leur prime de feu compter du 1 janvier 1991 Mort cimeti res 28633 21 mai 1990 M Jecn Marle Demsage indique M le ministre de l int rieur que certaines communes conti nuent d accorder des concessions centenaires alors que celles ci ont t supprim es par l ordonnance du 6 janvier 1959 II souhai terait savoir dans quelles conditions les communes concern es peuvent r gulanser cette situation Dans le cas o la commune a supprim la cat gorie des concessions perp tuelles peut elle obliger les titulaires de concessions centenaires accord es depuis 1959 les lui r troc der en change de l octroi d une concession de quinze trente ou cinquante ans l souhaiterait en outre que M le ministre lui pr cise quelles seraient les conditions financi res de cette op ration tant pour la commune que pour le titulaire de la concession centenaire qui a t ind ment accord e R ponse L article 12 de l ordonnance n 59 33 du 5 jan vier 1959 a suppnm la cat gorie des concessions centenaires dans les cimeti res D sormais l article L 361 13 du code des communes modifi dispose que les communes peuvent sans toutefols tre tenues d instituer l ensemble des cat gories ci apr s num r es accorder dans leurs cimeti res des concessions tem poraires accord es pour
15. 19 juin 1989 M Bernard Schreiner Bas Rhin rappelle M le ministre de l int rieur que dans sa question no 9364 du 13 f vrier 1989 it attirait son attention sur le pro bl me de la protection sociale des sapeurs pompiers volontaires non salari s Malheureusement lors de sa publication le texte de cette question a t amput d un paragraphe essentiel ce qui parait avoir alt r ld port e de la r ponse publi e au Journal offi ciel du 17 avril p 1806 Aussi croit il n cessaire de renouveler cette question de mani re cette fois compl te En cas d incapacit de travail temporaire la suite d un accident ou d une maladie survenus en service command un sapeur pompier volontaire non salari l ensemble des d penses est la charge des collecti vit s territoriales En effet elles versent au sapeur pompier volon taire non salari une indemnit journali re fix e au montant de huit vacations par jour avec un maximum de quarante huit vaca tions par semaine Elle prend galenient en charge la totalit de frais m dicaux chirurgicaux pharmaceutiques et d hospitalisa tion Les caisses d assurances sociales des sapeurs pompiers volontaires non salari s n interviennent donc pas contrairement ce qui se passe pour les sapeurs pompiers volontaires salari s depuis le d cret n 85 327 du 12 mars 1985 1I en r sulte une in galit de traitement entre les sapeurs pompiers volontaires non salan s et les s
16. 31979 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31989 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31981 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31982 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31983 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31934 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31988 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31986 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31987 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31988 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31989 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31990 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31991 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31992 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31993 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31994 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31995 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31996
17. Beaumont Ren 32217 solidarit sant et protection sociale Becq Jacques 31569 solidarit sant et protection sociale ler octobre 1990 Bequet Jean Pierre 25118 ducation nationale jeunesse et sports Bertho Andr 31892 int rieur Birraux Claude 26844 solidarit sant et protection sociale Bols Jean Ciaude 28766 solidarit sant et protection sociale Bonrepaux Augustia 28133 ducation nationale jeunesse et sports 29392 solidarit sant et protection sociale 29 412 soli darit sant et protection sociale 30828 education nationale jeu nesse et sports Bosson Beraard 19405 solidarit sant et protection sociale Boucheron Jeaa Michel l1le et Viialne 30923 solidant sant et protection sociale Bouquet Jean Pierre 17159 int rieur ministre d l gu Bourg Broc Bruno 23648 francophonie 32325 ducation natio nale jeunesse et sports Brana Pierre 29585 int rieur ministre d l gu 31408 solidarit sant et protection sociale Rranger Jean Guy 27385 solidarit sant et protection sociale Brard Jean Pierre 24883 solidarit sant et protection sociale Broissia Louls de 31061 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs Brune Alain 31203 solidarit sant et protection sociale Brunhes Jacques 29536 int rieur C Calioud Jean Faul 29478 in
18. CONOMIE FINANCES ET BUDGET Nos 32662 Andr Durom a 32091 L once Deprez AFFAIRES TRANG RES 32095 Jean Rigaud 32161 Georges Chavanes 32133 Eric Raouit 32183 Mme Elisabeth Hubert 32190 Alain Bonnet Nos 32074 Th o Vial Massat 32105 Fran ois L otard 32235 Christian Pierret 32236 Charles Pistre 32280 G rard 32134 Arthur Paecht 32284 Jean Claude Gayssot L orard 32287 Charles Metzinger 32291 Jean Louis Masson 32360 Fran ois L otard 32361 Jacques Godfrain 32295 Michel P ricard 32299 Michel Jacquemin 32307 L once Deprez 32310 Alain Rodet 32343 Bernard Pons 32346 Jacques Godfrain 32352 Jean Louis Masson 32370 Jean AFFAIRES EUROP ENNES Fran ois Mancel 32374 Bernard Bosson 32379 Rudy Salles No 32096 Pierre Micaux DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Nos 32064 Georges Hage 32071 Louis Pierna 32080 Henri Bayard 32094 L once Deprez 32108 ean Desanlis 32109 Jean Desanlis 32111 Jean Desanlis 32112 Jean Desanlis 32120 Alain Bocquet 32122 Jean Pierre Brard 32127 Xavier Dugoin 32129 Daniel Gouiet 32139 Georges Hage 32147 Elie Castor 32192 Xavier Dugoin 32193 Fran ois L otard 32194 Xavier Dugoin 32195 Alfred Recours 32240 Philippe Bassinet 32242 Jean Claude Boulard 32259 Jean de Gaulle 32260 Mme Elisabeth Hubert 32262 Mme Elisabeth Hubert 32263 Mme Elisabeth Hubert 32264 Mme Elisabeth Hubert 32266 Mme Elisabeth Hubert 32267 Mme Elisabe
19. La revalorisation de ia iettre ci A M M qui r mu n re l activit des masseurs kin sith rapeutes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de ia profes sion n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist rieis Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par lzs parties conventionnelles Professions param aicaies orthophonistes 33000 20 ao t 1990 M L o Gr zard demande M le ministre de las solidarit de la sant et de la protection sociale quei est l tat d avancement des arbitrages concernant l avenant tarifaire pour la revalorisation des actes d orthophonie Un accord cadre a en effet t tabli par la Caisse nationale d as surance maladie d but mars 1990 Professions param dicales orthophonistes 33001 20 ao t 1990 M Jean Yves Gateaud attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de la sant et de la sociale sur la situation conventionnelle des orthopho nistes En effet cette profession est inqui te face aux ajourne ments successifs des agr ments de la nomenclature des actes de l orthophoniste et de l avenant tarifaire ia Convention nationale des orthophonistes En cons quence il souhaiterait savoir quand ces textea seront effectivement appliqu s l obtention d une reva lorisation tarifaire et la parution d un
20. et consener teurs Cadres Il lui demande donc d envisager une remise niveau du statut du technicien territorial par leur int gration au ciassement indiciaire interm diaire Question Irans mise M Le ministre d l gu aupr s Zu ministre de l int rieur Foncrion publique territoriale statuts 31523 16 juillet 1990 Ni Guy Chanfrauit attire l atten tion de M ie secr taire d Etat aupres du ministre de l Inte rieur charge des collectivit s territoriales sur le mode de recrutement et le statul des techniciens territoriaux Bien que le statut de ces fonctionnaires permette un recruteinent au niveau du traccalaureat celui c s effectue aupr s de techniciens titulaires de dinl mes n cessitant une formation de deux ann es sup neures iEn effet 75 p 100 des laur ats du dernier concours organise par le C N F P T sont titulaires d un dipl me de niveau bac 2 La non reconnaissance par le statut du recrutement bac conduit une r mun ration peu attractive ce qui n in cite gu re les jeunes dipl m s se tourner vers ce secteur et les collectivit s ont de plus en plus de difficult s pourvoir les emplois d encadrement technique En cons quence il lui demande quelles mesures l compte prendre pour rem dier cette situation Quesricr rrensmise M le ministre d l gu aup s du ministre de l interieur Fonction publique territoriale statuts 31524 16 juitlet 1990 M Philippe Mes
21. et de la protection soclale charg de la famille sur les revendications exprim es par l Association natio nale d entraide des parents naissances multiples et qui portent rincipalement sur es trels points suivants le non cumul de l al ocatlon pour jeune enfant A P J E selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du premier anniversaire des ASSEMBL E NATIONALE 4605 enfants leurs trois ans et sur le non cumul de l A P J E avec l allocation parentale d ducation A P E le probl me de l aide domicile le probl me de la simultan i des frais d ducation En ccns quence il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu elle envisage de prendre en faveur de ce familles R ponse La politique familiale est une priorit du Gouverne ment et est n cessairement globale La politique familiale prend en compte de fa on tout fait favorable les charges des families nombreuses Aussi les textes en vigueur ont pr vu des disposi tions particuli res en faveur des familles connaissant des nais sances multiples En effet des possibilit s de cumul des alloca tions pour jeune enfant ont t pr vues dans ce cas Ainsi une allocation pour jeune enfant est elle vers e pour chaque enfant issu de ces naissances jusqu leur premier anniversaire rappel sur les mensualit s ant rieures la naissance et versement ensuitc de trois mensualit s sans condition de ressources et de neu
22. la forme de ces chevrons ainsi que leur interdistance varient pour donner aux conducteurs l impression d une augmentation de la vitesse ceci devant l amener ralentir Dans le cas de la ville d Aigrefeuille les premi res constatations ont fait ressorti les points suivants il ny a plus de d passement dans la section marqu e lus usagers ralentissent plus t t mais pas plus iln ya Fe de tentative d vitement du marquage ou de freinage rusque pour les habitu s l effet de ralentissement est net mais h las de courte dur e les observations r alis es font ressortir que les usagers ayant ralenti abordent la section urbaine dans des conditions de conduite plus adapt es et avec une attention plus soutenue Des variantes sont tudi es en vue de renforcer l im pression d augmentation de la vitesse et ainsi maintenir les conducteurs dans les vitesses r glementaires TRAVAIL EMPLOI ET FORMATION PROFESSIONNELLE Ch mage indemnisation allocations 14463 19 juin 1989 M Fran cis Rochebloine attire Pat tention de M ie ministre d i gu aupr s du ministre de la solidarit de ia sant et de la protection sociale charg de la sant sur le cas d une personne ayant travaill jusqu en 1980 en tant que femme de m nage dans l administration territoriale et ce titre n a pas cctis aux Assedic qui se retrouve aujourd hui au ch mage sans indemnit En cons quence il lui demande de bien vouloir lui indi
23. pr vue en ce qui les concerne Force est d ad mettre que les services que ces femmes r ndent ia population en secondant leu mari justifient au titre de l quit octro d ure cr ance successorale El lui demande en cons quence de bien vouloir lui faire connaitre son sentiment et les mesures qu il entend prendre pour rem dier cette carence Professions m dicales m decins 30919 2 juillet 1990 M Jean Tib ri appelie l attention de M le ministre de la solidarit de la sant t de la protection sociale sur la loi n 89 1002 du 31 d cembre 1989 relative au d veloppement des entreprises commerciales et artisanales et l am lioration de leur environnement iconomique juridique et social Cette loi comporte un certain nombre de mesures cn faveur du chef d entreprise et de son conjoint L article 14 accorde en particulier au conjoint coiladorateur non salari sur er 4830 ASSEMBL E NATIONALE le octobre 1990 vivant du chef d entreprise artisanale et commerciale un droit de cr ance tenant compte de sa collaboration droit qui s ajoute sa ae de CE survivant En ce qui eoncerne les conjoints colla rateurs de m decins il lu fait observer que leur situation devrait tre la m me que celle faite aux conjoints collaborateurs d artisans ou de commer ants puisqu ils contribuent eux aussi l activit et la prosp rit du cabinet de leur poux Ces conjoints collaborateurs pourraient
24. putlique ne comporte aucune disposition les concernant Toutefois la jurisprudence du Conseil d Etat a permis de d limiter les champs de comp tences respectifs des chirurgiens dentistes et des proth sistes dentaires La d finition de l art dentaire est donn e par l article L 373 du ASSEMBL E NATIONALE 4575 code de la sant publique diagnosiic et traitement des maladies de la bouche des dents et des maxillaires Un arr t du 14 mars 1973 a pr cis que la fabrication du dispositif de pro th se ne rel ve pas de cet art dentaire et peut en cons quence tre r alis e par des personnes qui ne sont pas titulaires du dipl me de chirurgien dentiste mais ont re u ure formation appropri e Deux arr ts du Conseil d Etat du 7 novemore 1986 ont pr cis que si la profession de proth siste est compl men taire de celle de chirurgien dentiste elle en est n anmoins dis tincte Les proth sistes n entendent pas se voir doter d un statut de profession para m dicale ou d auxiliaire m dical leur conf rant une comp tence dans le domaine de ja sant publique La revalorisation des conditions d exercice de la profession passe n cessairement par l am lioration de la qualification profession nelle des proth sistes dentaires Cette d marche s est d j concr tis e en 1987 par l homologation au niveau III quivalent deux ans d tudes apr s le baccalaur at du brevet de maitrise d livr par les chamb
25. quiva ASSEMBL E NATIONALE de mme aar Mapa mas 0 rte lentes d finies l article R 351 4 du code de la s curit sociale et parmi lesquelles figurent les ann es d activit salari e exerc es tranger ant rieurement au l avril 1983 sans avoir donn lieu au paiement de cotisations au r gime fran ais Ces p rioces reconnues quivalentes sont toutefois susceptibles de faire l objet d un rachat de cotisations et dans ce cas se trouvent alors r mu n r es dans la pension de vieillesse Dans le cas d activit s sala r es exerc es dans l2s pays anciennrment plac s sous la souve rainet le protectorat ou la tutele de la France les personnes int ress es peuvent b nificier pour ce rachat d une aide tinan ci re de l Etat dans les conditions pr vues par la loi n 85 1274 du 4 d cembre 198 si elles justifient de la qualit de rapatri Il est rappel par ailleurs qu une compensation peut intervenir entre les arr r ges de la pension d coulant du rachat et tout o partie des cotisations verser en application de la circulaire minist rielle n 43 SS du 27 mars 162 Tout modification de la l gisla tion actuelle dans le sens souhait par l honorable par zmentaire entrainerait des incidences financi res importarites imm diates pour les r gimes d assurance ch mage et terme pour les r gimes de retraite incidences qui doivent tre appr ci es au jt Le de la situation financi re des r
26. tabli un rapport sur la politique Je l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e n tio nale ei contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une responsabilit p nale d ordre d lictuel est introduite pour les atteintes graves aux cosyst mes et aux milieux naturels Le d lit de pollution vise Quiconque commet directement ou indirectement par imprudence n gligence ou dans un but lucratif en l absence d autorisation administrative une action ayant pour effet soit de modifier de mani re substantielle ou irr versible l quilibre colo gique soit de porter atteinte directement la sant de l homme ou aux possibilit s de vie animale ou v g tale en provoquant une alt ration essentielle du sol de l eau ou de l air 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31950 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il tab
27. tarification Etat d partement s curit sociale mis en place pour r pondre aux besoins d adultes lourdement handicap s Risques professionrels accident s du travail 34001 1er octobre 1990 M Jean Luc Pr el atire l atten tion du M le ministre de la solldarit de la sant et de la protection sociale sur le paiement des rentes d accident du tra vail En r gle g n rale le paiement de ces rentes est trimestriel En revanche il peut tre mensuel si le titulaire de la rente justifie d un taux d incapacit permanente gal ou sup rieur 65 66 p 100 ou encore s il a recours l assistance d une tierce ersonne Une mensualisation g n ralis e para t souhaitable dans a mesure o elle permettrait aux familles concern es et dispo sant de faibles revenus de g rer plus facilement leur budget il lui demande en cons quence de prendre des mesures en ce sens Professions m dicales sp cialit s m dicales 34006 le octobre 1990 M Jean Fran ols Mattei attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection soclale sur les conditions d exercice de cytog n tique Le d cret n 90 810 du 10 septembre 1990 fixant la r gie mentation du dipl me d tudes sp cialis es de biologie m dicale mentionne dans son article 5 l ensemble des disciplines consti tuant la formation g n rale La cytog n tique ne figure pas parmi celles ci Cette absence peut se comprendre da
28. tions et l quilibre des march s d levage et de prot ger efficace ment le consommateur europ en ne COMMERCE ET ARTISANAT Mat riel m dico chirurgical proth sistes 28864 12 mars 1990 M Jean Laurain appelle l attention de M le ministre d l gu azpr s du ministre de j industrie et de l am nagement du territoire charg du commerce et de l artisanat sur la situation professionnelle des proth sistes den taires La fabrication des proth ses dentaires pose le probl me de sa r glementation et de son co t tant pour les consommateurs que pour la s curit sociale Ainsi l obligation n est pas faite actuellement aux dentistes et chirurgiens dentistes de remettre aux assur s apr s soins une facture distinguant les honoraires et le co t de la proth se dentaire Il lui demande de bien vouloir lui indiquer la r glementation applicable en mati re de produc tion et de commercialisation des proth ses dentaires et de lui pr ciser s 1l compte cr er un statut de i amp profession de proth siste dentaire garantissant l ind pendance de celle ci et assurant la transparence tarifaire sur le march concern R ponse La situation professionnelle des proth sistes den taires continue de retenir l attention du ministre du commerce et _de l artisanat La profession de proih siste dentaire n est pas actuellement r glement e Les proth sistes ne sont pas des auxi liaires m dicaux et le code de la sant
29. traiter de leurs probl mes C est ainsi que les retrait s et personnes Ag es si gent au sein des comit s conomiques et sociaux r gionaux et du Conseil national de la vie associative De plus le Conseil conomique et social assure la repr sentation d associations dont les centres d int r t englobent des activit s qui int ressent plus particuli rement les retrait s et les personnes g es comme l action sanitaire et sociale la vie associative le sport etc La repr sentation des personnes g es au sein d organismes tels que l Unedic et les Assedic est assur e par l interm diaire des organisations repr sentatives de salari s qui si gent aux conseils d administration de ces instances En effei bien souvent ces organisations poss dent une union de retrait s et par cons quent sont m me de d fendre leurs int r ts En outre des instances de coordination sp cifiques ont t mises en place telles que le Comit national des retrait s et personnes g es et les comit s d partementaux et r gionaux des retrait s et personnes g es cet gard le d cret n 88 160 du 17 f vrier 1988 modifiant le d cret n 82 697 du 4 ao t 1982 ins tituant un Comit national et des comit s d partementaux des retrait s et personnes g es a accru la repr sentation des retrait s au sein de ces instances par souci de ne pas la r duire celle des seuls salcri s Par silleurs les principes g n raux du droit de la
30. une est ainsi r dig e Chaque d partement dresse un inventaire du patrimoine naturel sur la base des crit res d finis par le Museum national d Histoire naturelle dans le cadre de son programme de recensement des zones naturelles d int r t cologique faunistique et floristique Cet inven taire fait l objet de documents comportant des obligations et servi tudes opposables aux tiers Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d au res d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32016 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technoiogiques et satureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement tablit une liste d partementale des esp ces pro t g es de la faune et de la flore en compl ment de la liste nationale Cette liste sert de base des mesures sp cifiques de protection prises par
31. une est sinsi r dig e Une loi organique compl te l article 34 de la Co stitution pour faire entrer l environnement dans le domaine l gislatif WU lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet d2 la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son f tur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31947 23 juillet 1390 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupres du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technoiogiques et nacurels majeurs qu en application du mandat qui lui a t ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un code de l environnement est tabli par regroupement et harmo nisation des textes l gislatifs ei r glementaires actuellement dis ers s 11 lui demande de quetles tudes cette proposition a fait objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnem
32. 11 s agit d une formation de haut niveau en psychologie offrant toutes les garanties universitaires dans le respect de la sp cificit du domaine d application Ce n est que lorsque cette formation initiale sera bien d termin e que la formation continue des personnels pr vue par la circu laire no 90 083 du 10 svril 1990 relative aux missions des psycho logues scolsires pourra tre mise l tude Par dilleurs la titula riaation des Instituteurs faisant actuellement fonction de Pre e scolaire et justifiant de la possession d un D E S S ou d un D E A en psychologie et de trois ans d exercice dans ces fonctions associ e ls repnse du recrutement des psychologues scolaires compter de la prochaine rentr e devrait permettre de faire face aux besoins constat s dans certains d partements Enseignement comit s et conseils 25118 5 mars 1990 M Jeanu Plerre Bequet appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation sationale de la jeunesse et des sports sur la mise en uvre de l article 10 de la loi n 89 486 du 10 juillet 1989 loi d orientation sur l ducation instaurant un conseil des d l gu s des l ves Il souhaite connaltre le bilan des exp riencea men es comme il tait pr vu pr c demment une g n ralisation de l instauration de ces organismes ainsi que l ch ancier les installant effectivement dans l enaemble dea tablissements scolaires R ponse L art
33. 2 Les graves difficult s financi res que connaissent nos r gimes de retraite appellent notamment des mesures de financement et de maitrise des d penses moyen terme Aussi le Gouvernement entend il sou mettre au d bat du Parlement les perspectives des r gimes d assu rance vieillesse et les voies et moyens de consolider leur avenir Le choix d un mode de revalorisation des pensions stables au long du temps fera partie des questions qui y seront examin es Dans cette attente le Gouvernement soucieux de conserver le pouvoir d achat des pensionn s et autres titulaires d avantages de s curit sociale a propos au Parlement de fixer la revalorisation de ces par selon l volution pr visible des prix Ainsi l ar ticle 14 de la loi n 90 86 du 23 janvier 1990 portant diverses ASSEMBL E NATIONALE 4635 dispositions relatives la s curit sociale et la sant a t il fix la revalorisation au ler janvier 1990 2 15 p 100 dont 0 9 p 100 de rattrapage au titre de 1989 et 1 3 p 00 au ler juillet 1990 30 Les r flexions sur l avenir des retraites ont donn lieu en par ticulier aux tats g n raux de la s curit sociale lau tonine 1987 et se sont poursuivies dans le cadre de ia pr para tion du Xe Plan adopt le 10 juillet 1939 par le Parlement puis de la mission de concertation confi e au professeur Dupeyroux Parmi les orientations possibles figurent en effet celles indiqu es par l honorable parlem
34. 32128 Jean Louis Goas duff 32131 Michel Terrot 32137 Danie Le Mevr 32138 Mme Muguette Jacquaint 32149 Andr Santini 32151 Jean Yves Gateaud 32153 Jean Lacombe 32155 Miche Lambert 32211 Henri Cug 32212 Henn Cuq 32214 Gilbert Millet 32215 Gilbert Millet 32216 Gilbert Millet 32218 Charles Ehrmann 32219 Alain Bocquet 32220 Edmond Vacant 32222 Jean Paul Planchou 32232 Thierry Mandon 32245 Andr Delchedde 32251 Serge Charles 32256 Bernard Debr 32258 Jean Michel Dubernard 32285 Gilbert Millet 32297 Jacques Barrot 32298 Jacques Rimbault 232 Joseph Henri Maujo an du Gasset 32329 Richard Cazenave 32332 Richard Cazenave 32333 Richard Cazenave 32353 Tean Louis Masson 32357 Bruno Bourg B oc mann 32386 Bruno Bourg Broc 32391 Alain Lamassoure 32392 L once Deprez 32393 L once Deprez 32394 Henn Cuq 32396 Lucien Guichon 32092 L once Ardr Rossinot TRANSPORTS ROUTIERS ET FLUVIAUX Nos 32226 Julien Dray 32227 Andr Delehedde 32243 Andr Delehedde 32246 Andr Delehedde 32247 Joseph Henn Mau jo an du Gasset TRAVAIL EMPLOI ET FORMATION PROFESSIONNELLE Nos 32072 Fabien Thi m 32228 Jean Yves Gateaud 32233 Gilbert Mitterrand 32315 Bernard Bosson 32398 Alain Lamassoure 32385 Alain Jone DES a t 4542 i Res ASSEMBL E NATIONALE ier octobre 1990 INDEX ALPHAB TIQUE DES AUTEURS DE QUESTIONS
35. Delehedde 32180 Arthur Paecht 32181 Pierre Lagorce 32182 Thierry Mandon 32250 Jean Guy Branger 32257 Bernard Debr 32335 Jean Fran ois Mancel 32368 Henri Cuq 32371 Robert Poujade ENVIRONNEMENT PR VENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES ET NATURELS MAJEURS Nos 32098 Jean Desanlis 32150 Jean Yves Gateaud 32197 Jean Paul Planchou 32244 Andr Delehedde 32282 Jean Louis Masson 32305 L once Deprez COMMERCE ET ARTISANAT Nos 32089 L once Deprez 32183 Alain Rodet 32238 Jacques LS anan 32261 Mme Elisabeth Hubert 32294 Henri uq QUIPEMENT LOGEMENT TRANSPORTS ET MER Nos 32090 L once Deprez 32097 Jean Claude Peyronnet 32118 Fran ois Asensi 32142 Julien Dray 32161 Guy Len gagne 32198 Mme Martine Daugreilh 32199 Georges Cha vanes 32200 Henri d Attilio 32237 Jean Proveux 32290 Jean Louis Masson 32302 Pierre Andr Wiltzer 32304 L once Deprez 32328 Richard Cazenave 32345 Philippe Auberger 32377 Philippe Auberger 32378 Richard Cazenave COMMUNICATION Ne 32156 Jean Laurain CONSOMMATION Nos 32159 Guy Lengagne 32160 Guy Lengagne 32253 Serge Charles FAMILLE Nos 32201 Maurice Ligot 32330 Michel Pelchat 32381 Alain Moyne Bressand e a 0 PP a a a aa n e aaa a a a a g CULTURE COMMUNICATION GRANDS TRAVAUX ET BICENTENAIRE FONCTION PUBLIQUE ET R FORMES ADMINISTRATIVES Nos 32087 Andr Thien Ah Koon 32099 Jean Desar is 32119 Fran ois Asensi No 3223
36. Il lui demande de pr ciser la politique qu il pr voit de mettre en place cet gard Hresiations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32516 6 ao t 1990 M Alain Richard attiie l attention de Mme ie secr taire d Etat apr s du ministre de la solidarit de la saat et de la protection sociale charg de la familie sur des probl mes issus de la simultan it des co ts d ducation des enfants issus d un accouchement multiple de la petite enfance aux tudes sup rieures Cette simultan it pose de graves probl mes d ducation qui pourraient tre compens s par une adaptation des allocations familiales des prestations familiales Ceci dans le but de donner ces enfants d accouchements mul tiples les m mes chances qu ceux des naissances uniques Ainsi des possibilit s accrues d acc s et une certaine priorit aux modes collectifs de garde des enfants haltes garderies cr ches centre a r s Il attend qu elle pr cise ses intentions dans ce domaine Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32517 6 ao t 1990 Mme Christiane Mora attire l atten ion de Mme ie secr taire d Etat aupr s du ministre de ia solidarit de la sant et de la protections sociale charge de la famille sur la simultan it des co ts d ducation des enfants issus d un accouchement multiple de la petite enfance aux tudes
37. M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports pour savoir si les lyc es professionnels et technologiques priv s sous contrat d association peuvent utiliser les quivalents emplois nouveaux cr s par la loi de finances bien entendu en compatibilit avec le sch ma r gional des forma tions et pour r pondre un besoin scolaire reconnu selon leur propre plan de d veloppement et non en parall lisme ou autre proportionnalit stricts avec l enseignement public qui a ses propres erspectives de d veloppement de couverture du terri toire et d utilisation des personnels existanis Enseignement priv financement 32437 6 ao t 1990 M Ren Couanau appelle l attention de M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationaie de in jeunesse et des sports sur la question de savoir si les lyc es professionnels technologiques priv s sous contrat d association euvent utiliser les quivalents emplois nouveaux cr s par la oi de finances bien entendu en compatibilit avec le sch ma r gional des formations et pour r pondre un besoin scolaire reconnu selon leur propre plan de d veloppeinent et non en parall lisme ou autre proportionnalit stricts avec l enseignement public qui a ses propres perspectives de d veloppement de cou verture du territoire et d utilisation des personnels existants Enseignement priv financement 32685 6 ao t 1990 M Bernard Deb
38. Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cert propositions dont l une est ainsi r dig e Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 4594 Le permis de construire d une installation class e soumise auto risation ne peut tre d livr e qu apr s avis motiv du pr fet dans le cadre de l instruction pr alable l autorisation d exploiter 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites ie Gouvernement entend iui donner en particulier de le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31975 23 juitiet 1990 M Michel Barnler rappelie M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs que en application du mandat qui lui a t confi par la commission des ances de l conomie g n rale et d
39. R ponse Les bourses dites de licence sont attribu es aux tu diants admissibles aux concours d entr e aux coles normales sup rieures pour la pr paration en universit et au titre de leurs tudes principales d une licence puis l ann e suivante d une maltrise ou d une maitrise seulement s ils sont d j titulaires d une licence Ainsi les int ress s peuvent ensuite et comme ils en ont manifest la vocation se pr senter dans de bonnes condi tions au concours de l agr gation Les tudiants qui souhaitent ce repr senter l ann e suivante un concours d entr e une cole normale sup rieure peuvent solliciter le report d un an de cette bourse Durant l ann e de pr paration ces concours les int ress s comme tous Ceux qui souhaitent int grer une grande cole peuvent b n ficier de bourses d enseignement sup rieur sur crit res sociaux Parlement relations entre le Parlemen et le Gouvernement 32668 6 ao t 1990 M Jean Louis Masson attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio naie de ia jeunesse et des sports sur le fait qu de nom breuses reprises le Pr sident de la R publique a demand aux membres du Gouvernement de respecter les pr rogatives du Par lement En l esp ce le r glement de l Assembl e nationale pr voit que les questions crites doivent b n ficier d une r ponse dans un d lai d un mois renouvelable une fois 11 lui rapelle
40. appara t polr le moins ambigu Et l on peut s tonner que dans un contexte d j tr s tendu des institutions publiques cautionnent des initiatives qui ne peuvent que contribuer au renforcement des sentiments existants d antis mitisme et de racisme I souhaite donc savoir quelles dispositions il a l intention de prendre pour que de telles enqu tes ne se renouvellent pas R ponse ll ressort des renseignements rassembl s par le minist re de la recherche et de la technologie quz l enqu te vo qu e par l honorable parlementaire avait t con ue avec la fois un aspect p dagogique de formation pratique des tudiants et un objectif de fond ge connaitre la perception de sujets d licats de la r alit sociale lran aise et en particulier tablir des relations entre des frustations v cues individuellement des juge ments sur la soci t et des proximit s politiques Le questionnaire de cette enqu te comportait suixante douze questions Construit par un chercheur du C N RS ce questionnaire a t confi des btudiants en maitrise des sciences et techniques des universit s Paris IV et Paris V dans le domaine des math matiques appli qu es aux science sociales L enqu te a t effectu e avec les garanties d anonymat des r ponses impos es par la loi du 6 jan vier 1978 relative l informatique et aux libert s Les r ponses ont t exploit es dans un laboratoire de l universit Paris tV associ au CNRS
41. ayant le quasi monopole de la production de l impor tation de l exportation et de la distribution du gaz et de l lectri cit deviennent un obstacle la r alisation de cet objectif Aucune consultation des collectivit s locales t des syndicats de communes accordant la concession de distnbution nublique de l lectricit et du gaz E D F G D F des lus d partementaux et r gionaux des syndicats repr sentatifs du personnel n a eu lieu avant la prise de ces d cisions qui mettent en cause le ser vice public II lui demande donc quelles mesures urgentes il compte prendre pour s opposer cette r forme de structure Il lui demande galement d engager sans d lai une large consulta tion avec les lus au plan local r gional et national en y asso ciant les usagers et les repr sentants du personnel d E D F G D F afin de d finir les conditions du maintien et du renforcement ainsi que de la qualit du service public d E D F et de G D F Il lui demande de prendre toute disposition de nature annuler la d cision de fermeture du district de Duni res R cup ration papier et carton 34023 ler octobre 1990 M L once Deprez appelle lat tention de M ie ministre de l industrie et de l am nagement du territoire sur le livre blanc pr sent par l conf d ration fran aise de l industrie des papiers cartons et cellulose Il appa ra t que si la France occup la premi re place du recyclage
42. d cid en accord avec le haut comit m dical de is s curit sociale d autoriser l extension de la prise n charge 100 p i00 aux sujets s ropositifs trait s par AZT ou dont le taux de lymphocytes CD4 est inf rieur 350 mm3 lors de deux examens successifs un mois d intervalle he mm Pr retraites allocation de garantis de ressources et retraites compl mentaires 24888 26 f vrier 1990 M Charles Miossec appelle l at tention de M le miaistre de la solidarit de la sante et de la sociale sur l inqui tude des pr retruit s concernant le devenir des r gimes compl mentaires de retraite et de garantie de ressources Sans la participation financi re de l Etat ces r gimes risques d tre contraints d appliquer des coefficients r ducteurs aux retraites qui seralent servies avant l ge de soixante cinq ans SI les actifs auront peut trs ia possibilit de continuer leur acti vit jusqu cet ge il n en ire pas de m me pour les pr retrait s Les obliger prendre leur retraite soixante ans avec en cons quence la liquidation de leur retraite compl mentaire taux r duit entra nerait une diminution sensible de leurs revenus Se pose par ailleurs le probl ine des pr retrait s qui ont adh r avant le 31 mars 1983 un contrat de solidarit et qui sont ce titre indemnis s par les Assedic Seont ils priv s de ressources compter du le r avril prochain ou auront ils eux
43. ducation nationale jeunesse et sports 33086 ducation nationale jeunesse et sports 33887 fonction publique et r formes administratives 33888 justice 33889 qui pement logement transports et mer 33908 agriculture et for t 33909 agricul ure et for t 33910 commerce ext rieur 33911 conomie finances et budget 33912 ducation nationale jeunesse et sports 33913 justice 33914 travail emploi et forma tion professionnelle 33918 solidarit sant et protectiun sociale 33926 int rieur ministre d l gu 34014 communication 34023 industrie et am nagement du territoire 34028 logement 34030 solidarit sant et protection sociale 34033 transports routiers et fluviaux E Ehrmana Charles 33932 agriculture et for t Estrosi Christian 33927 d fense F Ferrand Jean Michel 33856 conomie finances et budget Fr d ric Dapont Edouard 33901 quipement logement transports et mer x aii G Giraud Michel 33920 handicap s et accident s de la vie Go frala Jacques 33952 budget 33953 budget 39954 affaires europ ennes Gonanot Frsa ols Michel 33975 handicap s et accident s de la vie Goulet Daalel 34011 handicap s et accident s de la vie H Harcourt Fran ois d 33923 handicap s et accident s de la vie J Jacqualat Muguette Mme 33965 solidarit sant et protection sociale x Jacquat D
44. e d examiner lcs demandes de constatation de l tat de catastrophe naturelle d tablir nn lien de causalit entre les d sordres constat s et un v nement naturel d intensit anormale Cette tude peut tre financ e par le d partement par la com mune concern e par les mouvements du sol ou encore par les sinistr s eux m mes Il est bien vident que si plusieurs sinistr s sont recens s sur lc territoire d une m me commune une seule tude de sols peut tre produite portant sur la ou les zones sinis tr es de la commune en cause Dans ce cas les int ress s peu vent partager les frais occasionn s par cette expertise g ologique Fonction publique territoriale formation professionnelle 30288 18 juin 1990 M Michei P ricard attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de ia fonction pubiique et des r formes administratives sur la formation initiale des attach s territoriaux fix e par d crets des 30 d cembre 1987 et 14 mars 1988 Une fois re us au concours les candidats sont recrut s par une collectivit territoriale et sont nomm s attach s stagitires pour une dur e de dix huit mois Pendant ceite p riode de dix huit mois les attach s stagiaires doivent suivre une forma tion qui comporte plusieurs volets 1 un tronc commun de dix huit semaines l Ecole nationale d application des cadres territo riaux d Angers 2 quatre semaines de sp cialit qui consistent en des stages propos s
45. es en fran ais par des enseignants les uns Fran ais les autres nationaux mais francophones l autre moiti est enseign e en langue locale A la rentr e 1990 quatre lyc es bilingues d marreront en Tch coslovaquie un en Rou manie et des projets finalit voisine au profit d tablissements fran ais renforc sont pr vus en Pologne et en U R S S selon les pays l enseignement en fran ais commence plus ou moins t t des exp riences d enseignement pr coce seront de plus en plus possibles par exemple en Roumanie b Au niveau univer sitaire les l ves issus de semblables fili res doivent pouvoir continuer sur place leurs tudes en fran ais au moins en partie et dans un certain nombre de disciplines jug es prioritaires Le syst me dit de double chaire doit permettre des universi taires fran ais de renom de se d tacher r guli rement dans une universit locale pour y assurer un enseignement de haut niveau 30 Les m dias en aval des efforts d ploy s tant par la profes sion que par le d partement pour favoriser la r ception des cha nes ou des programmes fran ais de radio et de t l vision un plan d quipement en mat riel de r ception antennes parabo liques et d codeurs est men bien cette ann e au profit non seulement des emprises fran aises centres culturels Alliance fran aise etc mais aussi G institutions locales universit s ins tituts sup rieurs tablissements
46. est r serv des d penses d acquisitions de terrains et d investissements dans un but de protection de l environnement au del des possibi lit s actuellement ouvertes par la l gislation Son taux peut tre modul en fonction de la destination des constructions et son assiette peut tre tendue aux surfaces imperm abilis es au sol Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32009 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Prenler ministre charg de l environsement et de ia pr vention des risques techuoiogiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les d charges de classes I et Il sont consid r es comme des acti vit s industrielles et commerciales soumises taxe professionnelle et donc susceptibles d apporter des ressources la collectivit d ac cueil 1l lui demande de quelles tudes cette proposition a
47. et dirig par un sociologue internationale ment connu pour la qualit et la rigueur scientifique de ses tra vaux ne parait ni possible ni souhaitable d un point de vue scientifique de s interdire l tude des opinions sur des sujets de soci t s m mes sensibles tels que le S 1 D A les armes nuc aires ou l exp rimentation animale Ces ih mes doivent au contraire faire l objet d tudes la m thodologie incontestable permettant de comprendre comment se forment et se corr lent les opinions Les enqu tes du tyne ce celle imentionnie ci dessus sont un moyen d atteindre cette compr hension Un paint bien uvquis en sciences sociales est que les opinions font syst me La r ponse d un chantillon d endividus use seule question n est pas inter pr table En revanche la construction de tynes de r ponses partir de la sonimation de r ponses l mentuss 4 diff rentes question pres son sens La proposition consid r e comme ambigu faut partie l int rieur d une m me question d un ensemble de phrases par exeniple sur l cole priv e ou la pe ne de mort pouvant galement susciter des r ponses passiennelles Pisc e dans cet ensemble elle ne peut tre consid r e comme portant en soi des ferments particuliers de diffusion de racisme et de l antis mitisme SOLIDARIT SANT IT PROTECTION SOCIALE S curit sociale conventions avec les praticiens 19405 39 octobre 1989 M Bernard Bosson appell
48. et protection sociale 31945 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31946 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31947 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majcurs 31948 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31949 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31950 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31951 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31952 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31953 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31954 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31955 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31956 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31947 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31958 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31959 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31960 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31961 environnement et pr vention des risques techno logiques et nature
49. g n ralit s pensions de r version 30924 2 juillet 390 M Dominique Dupilet attire l atten tion de M le mir e de ia soli erit de ia sant et de la protection saciaic ur le taux des pensions de r version vers es auyx conjoints survivants De nombreuses associations de veuves font observer que le taux actuel ne prend pas en compte le fait que les charges fixes qui incombent une personne seule sont identiques celles support es par un m nage C est pourquoi il lui demande s il envisage de prendre des dispositions qui permet tralent de porter le taux de la pension de r version 60 p 100 Retraites g n ralit s pensions de r version 30915 2 juillet 1990 M Gabriel Mostcharmont appelle l attention de M is miaistre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la situation souvent tr s difficile des femmes veuves en particulier pour celles qui sont sans emploi Il parait aujourd hui n cessaire de revoir les conditions d attnbu tion de la pension de r versici en augmentant le taux et en autorisant le cumul retraite personnelle pension de r version jusqu au montant maximum de la s curit sociale Dans le m me souci et compte tenu des difficult s particuli res rencontr es par les veuves trouver un zmaloi ns serait il pas souhaitable d en visager l attribution du Fonds national de solidarit d s l ge de cinquante cinq ans pour les titulaires de la seule pension de r
50. gimes de proiection sociale on tm ee re mp mp mom Retraites compl mentaires rcrante lt 36288 18 juin 1990 M Michel Pelkat attire attention de M le ministre de ia solidarit ce la sant et de ia protec tioa socisle s ia situation de l Ircartec caisse d affiliation des personnels m dicaux des h pitaux publics H souhaiterait connaltre les mesures que le Gouvernement compte prendre pour all ger lca difficult s qui traversent actuellement cet organisme li le remercie de hien vouloir l en informer 4629 R ponse Un groupe de travail charg d tudier l avenir de l institution de retraite compl mentaire des agents non titulaires de i Eiat et des collectivit s publiques Ircantec compos des organisations C G T C F D T F O C F T C C F E C G C F G A F et F E N et des quatre minist res com p tents au regard ge l Ircantec minist res charg r de la s curit sociale du budget de la fonction publique et de l int rieur a t mis en place en novembre 1989 l a achev en avril 1990 la premi re phase technique de ses tudes au cours desquelles les causes des difficult s de l Ircantec ont t tr s pr cis ment ana lys es Les s ances du groupe de travail sont suspendues afin de permettre chacune des d l gations de se d terminer face aux diverses solutions techniquement ibles sur la ou les solutions politiquement souhaitables qui feront l objet de la phrase sui v
51. gradations et dommages Seine Saint Denis 33868 14 octobre 1990 M Eric Raoult attire l attention de M le ministre de l iat rieur sur les suites de l enqu te sur la rofanation du cimeti re de Clichy sous Bois Seine Saint Denis n effet cet profanation de la partie isra lite du cimeti re de cette ville de Seine Saint Denis dans la nuit du 13 au 14 mai a suscit une tr s vive motion dans la population de Clichy et de _tout le d partement Cet acte odieux contre des tombes avait d clench une enqu te qui semble ne pas avoir d bouch Des rumeurs persistantes font trt de grandes pr somptions de d cou verte dans cette affaire d une provocation manant de milieux politiques que l on n aurait pas soup onn s tre d ventuels auteurs de tels actes l lui demande de bien vouloir lui pr ciser l tat de l enqu te dans cette affaire nr qd op mt ler octobre 1990 lt Police fonctionnemerk 33878 ler octobre 1990 M Fraacis Delattre attire latten tion de M le ministre de l int rieur sur les op rations dites t chaud organis es grands frais publicitaires et visant assurer pendant la p riode des vacances une meilleure s cunit notamment dans les communes de la r gion parisienne Or nous constatons en r alit qu en juillet ao t les fonctionnaires de police prennent leurs cong s e qu au surplus nombre d entre eux sont provisoirement affect s des t ches de ren
52. l institution de retraite compl mentaire des agents non titulaires de l Etat et des collectivit s publiques ircantec compos des sept organisations CGT CFDT F0 aC E TC C F E C G C F G A F et F E N et des quatre minist res com p tents au regard de l Ircantec minist res charg s de la s curit sociale du budget de la fonction publique et de l int rieur a t mis en place en novembre 1989 Il a achev en avril 1990 la premi re phase technique de ses tudes au cours desquelles les causes des difficult s de l ircantec ont t tr s pr cis ment ana lys es Les s ances du groupe de travail sont suspendues afin de permettre chacune des d l gations de se d terminer face aux diverses solutions techniquement possibles sur la ou les solutions politiquement souhaitables qui feront l objet de la phase suivante de la n gociation Ces solutions sont en cours d laboration Retraites g n ralit s politique l gard des retrait s 32850 6 ao t 1990 M Fran ois Rochebioine attire lat tention de M le ministre de ia solidarit de ia sant et de ia protection sociale sur les revendications actuelles des ressortis sants du gme g n ral Il lui indique ainsi que ces derniers esti ment insuffisante leur repr sentation sp cifique dans les institu tions sociales et qu un grand nombre d entre eux jugent tout fait insatisfaisante l volution de leurs pensions 1l lui fait remar quer galeme
53. nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La loi d finir les conditions dans lesquelles peut tre autoris e la pratique des v hicules motoris s tout terrain Dans ce cadre le pr fet repr sentant l Etat peut interdire ou restreindre cette pra tique dans l ensemble du d partement apr s avis de la commission d partementale de l environnement Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 4596 Environnement politique et r glementation 31990 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan it a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le It avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Des garanties suppl mentaires de respect de l environnement sont introduites dans le cadre des proc dures de modific
54. notam ment en langue vivante L V 2 Pour la rentr e scolaire de 1990 aucune ouverture de l enseignement du russe n a t sol licit e par allleurs les moyers acad miques sont r serv s en riorit l accueil des effectifs suppl mentaires attendus dans les yc es ainsi qu l all gement du nombre d l ves par division Enseignement secondaire tablissements Cher 29656 11 juin 1990 M Jacques Rimbauit attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de f ducation natio naile de ia jeunesse et des sports sur la situation du coll ge d Avord Celui ci situ dans une zone d activit s militaires accueille des enfants qui sont soumis au mouvement de muta tions source de difficult s particuli res dans le suivi p dago gique A la rentw e scolaire prochaine un poste sera supprim affectant le fonctionnement d j fragilis de l tablissement en effet deux professeurs actuellement en cong de maladiec ne sont pas remplac s Se faisant l cho de l inqui tude des parents des enseignants de la municipalit il lui demande de bien vouloir rendre les mesures n cessaires pour le maintien des postes indispensables la mise en application de la loi d orientation de l ducation nationale R ponse La pr paration de la rentr e scolaire 1990 a com menc d s la rentr e 1989 les mesures de carte scolaire concer nant chaque acad mie ont t d cid es dans le cadre d une
55. partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32005 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une incitation fiscaie est instaur e T V A taux r duit pour les produits in grant un taux minimum de mati res premi res recy cl es 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites te Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32006 23 juillet 1990 M Michel Barner rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commiss
56. ponse L honorable parlementaire a appel l attention sur la situation des gens du voyage De fait les transformations soclales conduisent les int ress s prouver un sentiment d in qui tude sur la possibilit de mener durablement un mode de vie non s dentaire Pour d terminer avec pr cision les causes de cette inqui tude et appr cier la part que les pouvoirs publics pourraient prendre la solution des difficult s recens es une mission d tude et de proposition a t confi e au pr fet Delamon Celle ci consiste examiner les probl mes d ordre juri dique administratif ducatif concmique social et culturel aux quels les populations nomades sont confront es en portant une articuli re attention aux difficult s relatives leur mobilit et eur insertion sociale la scolarisation de leurs enfants et aux conditions d exercice de leurs activit s professionnelles M Delamon remettra son rapport la fin de ce mois Ses recom mandations seront examin es avec le plus grand soin et les mesures qui s imposent seront mises en uvre dans les meilleurs d lais possibles En tout tat de cause les solutions m ritant d tre apport es aux probl mes voqu s demeurent subordonn es une troite concertation entre l Etat les collectivit s territoriales et les repr sentants des gens du voyage Elles supposent gale ment que les Initiatives n cessaires s int grent dans le cadre de politiques plus global
57. quelquefois ne peuvent tre pr vus suffi samment t t Les d lais pour obtenir les autorisations n cessaires sont beaucous trop importants En cons quence il lui demande s il est dans ses intentions d assouplir les conditions de d place ment au sein de la C E E particuli rement 11 lui demande s il est possible de d l guer aux responsables des tablissements sup rieurs le pouvoir d accorder les autorisations de d placement R ponse Par une note en date du 16 mai 990 la d livrance des autorisations d absence des personnels enseignants de l ensei gnement sup rieur pour les d placements effectu s dans le cadre de leur activit scientifique ou universitaire a t d concentr e et rel ve des pr sidents d universit et chefs d tablissement Par ail leurs la m me note indique que les d placements accomplis au sein des Etats membres de la communaut conomique euro p enne ne sont plus soumis l avis minist riel pr alable ne ns qe Imp ts et taxes taxe d apprentissage 18791 16 octobre 1989 M Jean Louis Masson rappelle M le ministre d Etat ministre de l ducatlon natlonale de la jeunesse et des sports que dans les trois d partements d Alsace Lorraine les I U T ne peuvent pas b n ticier des revenus de la taxe d apprentissage il souhaiterait donc qu il lui indique quelles sont les mesures qu il envisage de prendre pour compenser la perte qui en r sulte pour ces tablissem
58. quent sont m me de d fendre leurs int r ts En outre des instances de coordination sp cifiques ont t mises en place telles que le Comit national des retrait s et personnes g es et les comit s d partementaux et r gionaux des retrait s et des personnes g es cet gard le d cret n 88 160 du 17 f vrier 1988 modifiant le d cret n 82 697 du 4 ao t 1982 iustituant un Comit national et des comit s d partementaux des retrait s et personnes g es 2 accru la repr sentation des reirait s au sein de ces instances par souci de ne pas la r duire celle des seuls salari s Par ailleurs les principes g n raux du droit de ia s curit sociale conduisent ce que les caisses de retraite de base ou compl mentaires soient g r es par les partenaires sociaux leurs textes constitutifs m nagent toujours ia repr senta tion certes minoritaire des retrait s mais il convient de rappeler que le financement des retraites et leurs r formes ventuelles tou chent exclusivement les salari s actifs les droits des retrait s actuels tant acquis 20 Les difficult s financi res que connais sent nos r gim s de retraite appellent notamment des mesures de financement et de maitrise des d penses moyen terme Aussi le Gouvernement entend il soumettre au d bat du Parlement les perspectives des r gimes d assurance vieillesse et les voies et moyens de consolider leur avenir Le choix d un mode de revalo risati
59. s curit sociale conduisent ce que les caisses de retraite de base ou compl mentaires soient g r es par les partenaires sociaux leurs textes constitutifs m nagent toujours la repr senta tion certes minoritaire des retrait s mais il convient de rappeler que le financement des retraites et leurs r formes ventuelles tou chent exclusivement les salari s actifs les droits des retrait s actuels tant acquis 2 Les r flexions sur l avenir des retraites ont donn lieu en particulier aux tats g n raux de la s curit sociale l automne 1987 et se sont poursuivies dans le cadre de la pr paration du X Pian adopt le 10 juillet 1989 par le Parle ment puis de la mission de concertation confi e au professeur Dupeyroux Parmi les orientations possibles figurent en effet celles ndiqu es par l honorable parlementaire D autre parti des mesures de financement pourraient moyen terme tre gale ment d cid es Aucune d cision n a cependant encore t prise pe le Gouvernement qui souhaite au pr alable organiser sur ensemble de ces questions un d bat parlementaire Dans ce contexte l honorable parlementaire comprendra qu il est difficile de pr juger la nature exacte des mesures qui pourraient ult rieu rement tre retenues leur champ d application et leur date d effet Elles seraient en tout tat de cause extr mement progres sives Jo L largissement des conditions d ouverture du droit pension
60. s les pr fets se r f rant aux dispositions du chapitre XI de la loi du 26 janvier 1984 relative aux fonctionnaires territo riaux nomm s dans des emplois permanents temps non com lets C est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui pr ciser es raisons de cette situation et de bien vouloir lui indiquer com ment il compte fairr pour que ces confusions et ces injustices schent r sorb es Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur C munes personnel 28915 21 mai 1990 M Jean Jacques Weber attire latten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l int rieur charg des coiiectivit s territoriaies sur la situation des secr taires de mairie et assimil s et sur les probl mes se rappor tant leur profession depuis notamment la parution du d cret d application du 30 d cembre 1987 de la loi du 26 janvier 1984 Ceux ci consiatent en effet que les choses n ont pas volu avec la parution de ces textes et que malheureusement on se trouve encore en face de situations tr s compliqu es voire incoh rentes et des interpr tations totalement oppos es des textes par les centres d partementaux de gestion ou les pr fectures En effet en ce qui concerne les secr taires de mairie non ini gr s effec tuant moins de trente et une heures trente de travail hebdoma daire la situation est particuli rement critique et risque de ne pas tre trait e sans
61. si oui si ces perzonnels sont destin s compl ter et renforcer ti brigades de gendar merie de la m tropole o les besoins se font sentir de plus en pius Gendarmerie fonctionnement Alpes Maritimes 33927 ler octobre 1990 M Christian Estrosi attire l at tention de M le ministre de la d fense sur le manque d ef fectifs dont souffrent les brigades de gendarmerie dans le d par tement des Alpes Maritimes Certaines brigades notamment celle de Villars sur Var n ont compt au cours de l t qu au plus trois gendarmes en permanence la brigade il est tout fait inconcevable que les missions assign es aux forces de gendar merie puissent s exercer efficacement dans de telles conditions La gendarmerie accomplit pourtant un r le essentiel au service de la s curit des personnes et des biens Elle doit faire face de plus de nombreuses t ches administratives qui rendent de fait particuli rement difficile une pr sence constante sur le terrain Cette carence ne peut manquer d entra ner d s lors une d gra dation des conditions de s curit des Fran aises et des Fran ais en zone rural I l lui demande donc de bien vouloir prendre toutes mesures pour que les effectifs des brigades de gendarmerie soient m me de r pondre aux t ches nombreuses et mper tantes qui leur sont confi es notamment lors de la p riode d t dans les petites communes des Alpes Maritimes qui connaissent une affiuence tounsti
62. silien Ell demande don quelles sont les mesures de protection qui sont envisag s pour la sauvegarde de l quilibre cologique Risques naturels calamit s agricoles 33883 ler octobre 1990 M Clnude 7 ar al attire l atten tion de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la longueur des proc dures administratives pcur le r glement des calamit s agricoles et en particulier pour la s cheresse J lui E h a 4546 demande si la loi de 1964 qui r git ces proc dures peut tre modifi e pou raccourcir les d lais de mani re tr s significative it lui demande galement si la r vision de cette loi peut tre envisag e au cours de la prochaine session parlementaire Risques nature s s cheresse 33892 1er octobre 1990 M Henri Bayard s tonne aupr s de M le ministre de l agriculture et de la for t qu la suite des diff rentes manifestations d agriculteurs qui t moignent de leur tragique situation il ait t annonc parmi quelques mesures u on allait acc l rer le r glement des indemnit s s cheresse e 1989 il est parfaitement inconcevable qu en ao t 1990 ei au del ces versements ne soient pas encore effectu s Il convien drait bien entendu que non seulement cette affaire soit r gi e rapidement mais que si par maiheur d autres indemnisations devaient intervenir des d lais aussi inadmissibles ne se reprodui seni pas C est pourquoi il lui demande
63. solidarit sant et protec tion sociale 30151 ducation nationale jeunesse et sports Dapilet Dominique 30924 solidant sant et protection sociale 31800 famille Darieux Jean Paa 32988 solidarit sant et protection sociale Durom a Andr 32089 famille ASSEMBL E NATIONALE E Ehrmann Charles 27686 ducation nationale jeunesse et sports Estros Christian 27054 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs F Facon Aibert 28047 ducation nationale jeunesse et sports Falco Hubert 26935 int rieur Farraa Jacques 31226 int rieur ministre d l gu 325 4 int neur F vre Charies 26320 solidarit sant et protection sociale 29507 solidarit sant et protection sociale Forgues Pierre 31225 int neur ministre d l gu Fr vilie Yves 30401 personnes g es G Gambler Domiaique 8855 ducation nationale jeunesse et sports 31224 int rieur ministre d l gu 32469 ducation nationale jeunesse et sports 32471 ducation nationale jeunesse et sports 32592 ducation nationale jeunesse et sports Gateaud Jean Yves 33001 solidarit sant et protection sociale Gengenwia Germaia 24833 solidarit sant et protection sociale 30751 personnes g es Godfraia Jecques 33530 Premier ministre Gouiet Daalel 30945 solidarit sant et protecti
64. terminant la constitution initiale du cadre d emploi que le texte est cr ateur d in quit En effet en consid rant comme crit re priori taire et obligatoire le seul indice terminal de carri re des agents recrut s sur des emplols sp cifiques et rel guant le niveau de for mation de recrutement ainsi que l ancisnnet au second plan bor nombre d agents se retrouvent bloqu s dans leur grace sans espoir de carri re ni de r valuation indiciaire possible alors que cela tait autoris auparavant Recrut s par voie de Concours sur des postes sp cifiques avec des missions qui ne pouvaient tre assum es par d autres ces agents titulaires ont donn et donnent toujours satisfaction 1l est regrettable et injuste de les p naliser Il lui demande s il ne serait pas plus logique et quitable d tendre les conditions automatiques d int gration au cadre d emploi dans lequel ont t 1ecrut s ces ugents ou leur niveau de formation ou de recrutement qui sont sans conteste des l ments beaucoup plus repr sentatifs et objectifs de leur valeur et de leurs aptitudes que l indice terminal de leur carri re Modifier le libell du texte r glerait leur situation e autoriserait leur int gration au niveau r el de leur foncuion et de leurs comp tences De nombreuses injustices seraient alors vit es car le texte inilial a autoris l int gration au plus haut niveau d agents sans forma tion sup rieure et ce gr ce l in
65. tion d un statut particulier pour ces personnels et si d ores et d j des mesures peuvent tre envisag es en matl re de recrute ment de m decins scolaires compte tenu de ce qu il y aurait actuellement plus de 1 000 postes vacants Enseignement sup rieur uvres universitaires Rh ne Alpes 34607 1e octobre 1990 Au moment o le minist re de l ducation nationale lance une concertation sur le d veloppe ment de l enseignement sup rieur M Claude Birraux attire l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur la situation des centres r gionaux des uvres universitaires et scolaires de la r gion Rh ne Alpes en mati re d aide indirecte aux tudiants restaurant et r sider ce En effet concernant tout d abord la res tauration il lui demande qu un plan d urgence de construction de restaurants universitaires soit programm afin de r pondre la demande des directeurs de C R O U S et surtout d accompa gner la hausse des effectifs des tudiants Concernant l h berge ment sachant galement que le d s quilibre entre l offre et la demande s accro t d ann e en ann e il lui demande si un effort d investissement va tre entrepris afin d viter une aggravation de la situation et d am liorer le taux actuel d offre de logements sociaux en vue plus particuli rement du d veloppement des changes internationaux d tudiants europ ens
66. troite avec les repr sentants des tablissements priv s de r partir les moyens nouveaux en tenant compte de l ensemble de ces crit res Enseignement fonctionnement 32325 30 juillet 1990 M Bruno Bourg Broc demande M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationaie de ia jeunesse et des sports quelle est actuellement l ampleur des changes culturels entre la France et le Canada tant en ce qui concerne les changes d l ves que les changes d enseignants ou d autres fonctionnaires de son minist re R ponse Le minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports encourage activement les changes scolaires avec le Canada Pendant l ann e civile 1989 32 changes de classes ont eu lieu subventionn s gr ce aux cr dits r serv s cet effet dans le cadre de 6i appariements d tablissements Ces changes ont concern 92 l ves de l enseignement primaire 615 des coll ges et 125 des lyc es Ces 832 l ves ont t accompagn s par 78 enseignants D autres changes scolaires ont galement lieu dans le cadre des activit s de l Office franco qu b cois pour la jeunesse au financement duquel la France participe Par ailleurs Chaque ann e environ 55 assistants de langue vivante de part et d autre sont chang s entre le Canada et notre pays En outre un projet d change de professeurs de langue vivante qui concerne rait environ 10 enseignants est en ce moment l tude S ag
67. 111 de l accord C E E Etats Unis qui cl turait les n gociations autour de l article XX1V 6 suite l largis sement de la communaut l Espagne et au Portugal pr voit qu en juillet 1990 soit engag un r examen de la situation Cet article pr voit galement que ce i examen devra se faire en pre nant compte les r sultats de l Uruguay round Aussi le Gouver nement fran ais a t il soutenu la commission lorsque en r ponse la demande des Etats Unis de r ouvrir la question d s le mois de juillet 1990 celle ci a clairement fait savoir qu il fallait pour ce faire attendre le d but de l ann e 1992 c est dire l issue finale de AU ne Par ailleurs il faut souligner que cet accord a t conclu sans pr juger de l interpr tation l gale de l article XXIV pour chacune des parties C est donc l ensemble des droits et obligations des deux parties suite l largissement qui doit tre examun et non le seul dossier ma s Agroalimentaire ma s 30059 18 juin 1990 M Jacques Rimbault attire l atten tion de M le ministre de l agriculture et de la for t sur le fait que l accord C E E U S A sur les importations de ma s arrive ch ance et sur le risque que comporte sa reconduction notam ment pour les producteurs du d partement du Cher Leur inqui tude est ee face aux importations am ricaines de corn gluten feed en Europe En effet ce sous produit de l industrie du mals subventio
68. 1990 ne pourra tre communiqu e qu apr s que les r sultats d taill s dudit recensement auront t authentifi s et publi s Cette publi cation interviendra en principe la fin du mois de d cembre 1990 INT RIEUR ministre d l gu Communes finances locales 17139 4 septembre 1989 M Jean Plerre Bouquet attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l Int rieur charge des collectivit s territoriales sur les moyens qu il compte mettre en uvre pour dynamiser la coop ration intercommunale Le fait d avoir 36 000 communes plus que tous les autres pays de la Communaut r unis constitue un atout sur le plan de la d mocratie locale Mais cette situation ne va pas sans poser de probl mes au niveau de l am nagsment et du n cessaire d veloppement local En milieu rural Tes communes ont une existence administrative laquelie nous somines tous tr s attach s mais bien souvent elles ont des probl mes de res sources Dans ces conditions il vous est demand de pr ciser si le Gouvernement envisage d abonder les dotations vers es par l Etat en faveur des communes qui coop reront Question trans mise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse Le d veloppement de la coop ration intercominu nale est l une des pr occupations majeures du Gouvernement En effet comme le rappelle l honorable parlementaire si le fait d avoir 36 000 communes constitu
69. 1e octobre 1990 M Ciaude Birraux attire l atten tion de M le ministre d l gn aupr s du ministre de l equipe ment du logement des transports et de ia mer charg du logement sur l insuffisance de la dotation annuelle accord e au d partement de la Haute Savoie par l Agence nationale pour l am lioration de l habitat En effet dans le cadre du plan triennal de d veloppement du parc locatif social qui vient d tre mis en place dans le d partement de la Haute Savoie le P A C T centre d am lioration du logement de la Haute Savoie qui uvre depuis de nombreuses ann es en faveur du logement es plus modestes est pr t d velopper son action Toutefois l enveloppe d partementale mise la disposition de la d l gation locale de l A N A H en 1990 soit 6 7 MF pour les O P A H et le secteur diffus est manifestement insuffisante pour permettre l engagement d une action significative L ann e 1990 ne connaltra la r alisation que de dix logements environ dans ce cadre Pour les ann es ult rieures l objectif vis est la production de 120 logements en trois ans ce qui correspond un nouveau besoin de financement d environ 2 4 MF par an C est pourquoi ASSEMBL E NATIONALE ier octobre 1990 il lui demande que le d partement de la Haute Savoie puisse b n ficier d s 1991 d une dotation annuelle la hauteur des objectifs propos s ce qui permettrait au P A C T de la Haute Savoie de remplir le r le
70. 59 1557 du 31 d cembre 1959 article 15 Enseignement priv personne 32268 30 juillet 1990 Mme Ellsabeth Hubert se fait l in terpr te du l gitime et profond m contentement des personnels enseignants des tablissements techniques priv s sous contrat d association qui sont encore r mun r s et pour certains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires Elle demande M le ministre d Etat ministre de l ducation natlonale de in jeunesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement semblables celles de la loi n 83 481 du 11 juin 1983 art 9 11 14 et 16 En effet la stricte pant des mesures sociales est impliqu e par la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 article 15 Enseignement priv personnel 32438 6 ao t 1990 M Ren Couamau appelle l attention de M le ministre Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur le m contentement des personnels enseignants des tablissements techniques priv s sous contrat d association Ces personnels sont encore r mun r s et pour cer tains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires Il lui demande quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement sem blables celles de la loi n 83 481 du 11 juin 1983 art 9 11 14 et 16 puisque la stricte parit des
71. 71 lui cite le cas du coll ge Watteau Valenciennes 59 o l tablissement Invite tous les l ves des d bats sur des questions reli gieuses et des parrainages sous en t te commune l aum nerie et au coll ge et sous signature de l abb responsable 1 lui signale aussi l ouverture d aum nerie dans des tablissements sans que les conditions de fonds d finies par le d cret cu 22 avril 1960 et l arr t du 8 ao t 1960 soient remplies Consta tant que la multiplication inhabituelle de ces incidents qui soul vent de vives r actions de la part des enseignants et de nombreux parents d l ves n est pas sans rapport avec le contenu de la cir culaire du 22 avril 1988 susceptible d interpr tations diverses souvent contraires au contenu du d cret du 22 avril 1960 il lui demande s il entend abroger cette circulaire du 22 avril 1988 ou proposer les modifications qui s imposent pour un retour des pratiques conformes aux principes de la la cit R ponse La circulaire n 88 112 du 22 avril 1988 relative l enseignement religieux et aux aum neries dans l enseignement publie n a pas apport de modification au droit en vigueur qui r sulte des lois du 9 d cembre 1905 et du 31 d cembre 1959 du d cret no 60 391 du 22 avril 1960 et de l arr t du 8 ao t 1960 La circulaire a eu pour objet d une part de rassembler en un document unique les commentaires des textes applicables qui taient
72. Alain Jacq d l gu adjoint au secr tariat d Etat charg de l environnement et des risques naturels majeurs qui font appara tre que la ville de Nice ferait partie des 52 cit s vuln rables aux pr cipitations intenses et donc potentiellement menac es par une catastrophe comparable celle survenue le 3 octobre 1988 Nimes La ville de Nice situ e en aval du Paillon torrent m diterran en pour rait subir les cons quences de pluies diluviennes malgr les normes pr cautions prises voie sous berge inondable et syst me sophistiqu d annonces de crues La municipalit ni oise a tou jours pns au s rieux ce probl me De plus tant donn que la ville n est pas ma tresse de ce qui se passe en amont entre autres l urbanisation croissante le d boisement intense souvent h las cause des incendies les d versements divers dans le lit du Paillon et de ses diff rents affluents la propret de ce lit les risques en cas de pluies ne peuvent tre totalement occult s Il lui demande donc si une tude g n rale pr ventive plus appro fondie est envisag e par les services du secr tariat d Etat charg de l environnement et des risques naturels majeurs afin d ap porter tout apaisement l inqui tude l gitime de la population ni oise R ponse L ing nieur g n ral des ponts et chauss es Ponton a re u la mission du secr tariat d Etat charg de la pr vention des risques technologiques et natur
73. Conseil d Etat pr vu par l article 104 de la loi pr cit e il convient donc d appliquer les dispositians de l arr t du 8 f vrier 1971 qui pr voit dans son article 3 gue les conditions de recrutement des emplois temps non complet sont identiques celies pr vues pour les emplois homologues temps complet Fonction publique ierritoriale statuts 30230 i8 juin 1990 Mme Jacqueline Alquier attire l at tention de M le secr taire d Etat supr s du mlaistre de l Iat rieur charge des collectivit s territoriales sur le statut des techniciens territoriaux Les lois de d centralisation ont donn lus de comp tence aux collectivit s territoriales Cela am ne les lus s entourer de personnels de plus de plus qualifi s poss dant des connaissances techniques tendues ainsi qu un savoir juridico administratif et des qualit s de gestionnaire Bien que le statut des techniciens permeite le recrutement au niveau du bac Calaurtat celui ci s effectue en g n ral bac 2 ans selon le C N F PT 75 p 100 des laur ats sont titulaires d un dipl me de niveau bac 2 La r mun ration peu attractive pour ce niveau d tudes entraine pour les collectivit s territonales des difficult s pourvoir les emplois d encadrement technique On assiste de plus des d parts de fonctionnaires vers le secteur priv Elle dem que soit tudi e une remise niveau du statut de tech nicien territorial par un recru
74. Enseignement sup rieur uvres universitaires Rh ne Alpes 34008 i octobre 1990 Au moment o le minist re de l ducation nationale lancs une concertation sur le d veloppe ment de l enseignement sup rieur M Claude Birraax attire l at tention de M le miaistre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur la situation des C R O U S de la r gion Rh ne Alpes en mati re d aide directe aux tudiants bourses pour les trangers fonds d action sociale En effet compte tenu de la nouvelle carte universitaire et de l augmentation du nombre des tudiants il lui demande s il compte doter les C R O U S de moyens correspondants tant humains que financiers afin de leur permettre d accomplir plei nement leur mission sociale et d accueil ASSEMBL E NATIONALE ter octobre 1990 Li Bourses d tudes conditions d attribution 34816 1er octobre 1990 M Alain Madeiia appelle l atten tion de M le miristre d Etat ministre de l ducation natio nale de ia et des sur les conditions d attnbu tions des bourses nationales d tudes aux enfants d agriculteurs Les services des inspections acad miques ont re u comme ins tructions de r int grer dans le montant des ressources des familles d agriculteurs les dotations aux amortissements pratiqu s au cours de l exercice Ce m canisme a pour effet de priver un certain nombre de familles pourtant modestes du b n fice d une
75. G D F la mise en uvre de la r forme de la distribution de r lectricit et du gaz en Auvergne qui supprime rait dix huit districts dont celui de Duni res Haute Loire Ce projet de fermeture est particuli rement condamn par la popula tion et les lus qui soutiennent la lutte du personnel en gr ve Ce projet s il tait mis en application aurait pour cons quence de d structurer les services qui sont en liaison avec les usagers Il conduit la suppression des directions r gionales r duit neuf seulement le nombre de circonscriptions territoriales de regroupe ment de centres de distribution L ex cution de ce projet transfor me t les centres de distribution actuels en centres de r sultat dont le seul objectif de gestion serait le profit Ainsi serait abon donn s les crit res de qualit et continuit du service d galit de traitement des abonn s qui caract risent cette entreprise natio nale Un v ritable service public deux vitesses se mettrait ainsi en place Cette r organisation s accompagne d une r duction massive des emplois d unc mise en cause du statut des per sonnels Elle s inscrit dans la perspective de privatisation de la distribution pour l adapter aux conditions requises par le march unique de 1993 impliquant une politique de concurrence dans le domaine de l nergie Dans ce cadre n faste pour notre pays l existence d entreprises nationalistes fran aises telles qu E D F et G D F
76. Marie Demange demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui indiquer si les dispositions du d cret imp rial du 23 prairial an Xii confiant aux tablissements cultuels d Alsace Moselle l exclusivit du monopale des pompes fun bres a t tendu ar culte isra lite R ponse Les articles 22 et 23 du d cret du 23 prairial an X11 12 juin 1804 r servent aux fabriques des glises catholiques et aux consistoires protestants le monopole des pompes fun bres ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Le d cret du 10 f vrier 1806 d clare ces articles non applicables aux personnes qui professent en France la religion juive Dans les d partements du Bas Rhin du Haut Rhin et de la Moselle le service des fun railles juives est donc librement exerc par les consistoires d partementaux et les communaut s isra lites fonctionnant sos leur autorit Mort pompes fun bres 32602 6 ao t 1990 M Jean Marie Demange demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui pr ciser quelle autorit conseil de fabrique ou conseil municipal est comp tente pour fixer en Alsace Moselle les tarifs des prestations des services int rieurs et ext rieurs du monopole des pompes fun bres R ponse En application des anicles 7 et 11 du d cret du 18 mai 1806 tels qu ils ont t interpr t s par le Conseil d Etat dans un arr t du 10 avril 1967 fabrique de Toulon le tarif des fournitures du s
77. aboutiraient l entr e des artisans et commer ants dans le r gime g n ral et dans l affirmative quel serait le d roulement d un tel processus Imp ts et taxes politique fiscale 33939 Le octobre 1990 Mme Martine Daugreilk appelle l attention de M le ministre d aupr s du ministre de l industrie et de l am nagement du territoire charg da com merce et de l artisasat sur le m contentement exprim par la f d ration fran aise des taxis de province quant aux directives europ ennes qui pr voient la disparition du r gime forfaitaire d imposition qui demeure pourtant la proc dure la plus simple De plus le blocage du plafond de 150000 francs au dessus duquel la d cote ne sera pius applicable va se traduire par une augmentation de la T V A support s par les taxis Elle lui demande de bien vouloir lui pr ciser les mesures qu il entend pps pour que soient respect es les dispositions qui pr voient a d cote sp ciale pour les chiffres d affaires modestes et ce en relevant le plafond 300 000 francs Taxis chauffeurs 33946 ler octobre 1990 Mme Martine Daugreilh appelle l attention de ME le ministre d l gu aupr s du ministre de l ixdustrie et de l du territoire charg de cem pr vue tion fran aise des taxis de province en ce qui concerne les pro bl mes de formation Les int ress s demandent le plus grand respect de la loi du 22 d cembre 1983 relative au F A F Fonds d ass
78. apporter des pr cisions ce sujet 7 e e e a 4586 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 oo ee A a e A a A AREA R ponse Selon la note de service n 87 308 du 5 octobre 1987 publi e au Bulletin officiel n 35 du 8 octobre 1987 seuls les lyc es les coll ges et les tablissements de formation relevant de la direction des lyc es et coll ges c est dire les tablissements publics peuvent b n ficier des condi tions privil gi es d acquisition de logiciels usage p dagogique d termin es dans les march s en contrepartie du paiement au niveau national de la licence par le minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports En effet les cr dits d achat de logiciels ducatifs rel vent des cr dits p dagogiques de droit commun destin s aux tablissements d enseignement public Ils ne peuvent ouvrir droit aucune dotation exception nelle en faveur des tablissements d enseignement priv s sous contrat en sus du forfait d externat En ce qui concerne les conditions d acquisition dont un fournisseur de logiciels pourrait faire b n ficier les Iyc es professionnels et technologiques priv s il n appartient pas au ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports de d finir le r gime juri dique applicable en mati re de relations commerciales priv es Enseignement priv financement 32274 30 juillet 1990 Mme Elisabeth Hubert interroge
79. au m me titre que les autres partenaires sociaux 2 la commission des affaires sociales du X Plen propose de modifier le calcul du salaire annuel moyen et d augmenter la dur e d assurance pour obtenir une retraite taux plein ce qui remettrait en cause la retraite soixante ans les retrait s souhai tent l abandon de telles mesures 35 en ce qui concerns les pen sions de version les int ress s demandent l application d un taux unique de 60 p 100 4 enfin l accord pass entre l Etat et les partenaires sociaux pour la gestion de la structure financi re tant arriv expiration les retrait s pr vetrait s et futurs retrait s sont inquiets sur leur avenir devant l impr cision de la 4826 politique du Gouvernement qu ils souhaiteraient connaitre En cons quence il lui demande de tien vouloir faire le point sur ces diff rentes questions R ponse Les questions voqu es par l honorable parlemen taire appellent les r ponses suivantes lo Les probl mes li s au vicillissement et l importance croissante des populations g es n cessitent une repr sentation des retrait s et des personnes g es dans les diff rentes organisations nationales et locales afin qu elles puissent prendre une part plus compl te aux d cisions Pour concr tiser cet objectif il a t d cid d am liorer la repr sentation de l ensemble des retrait s et personnes g es au sein des instances destin es
80. aussi liquider leurs retraites compl mentaires taux minor Il lui demande quelles mesures il entend prendre pour que ces personnes ne soient pas l s es notamment au plan financier et pour que les droits des retrait s et pr retrait s soient maintenus Retraites compl mentaires politique l gard des retrait s 27385 16 avril 1990 M Jean Guy Branger appelle l at tention de M ie ministre de ia solidarit de la sant et de la protection soclale sur les inqui tudes exprim es par les retrait s et pr retraii s au sujet de l ventuelle remise en cause du finan cement de la retraite soixante ans apr s le 31 mars 1990 En effet il apparait que l Etat ne participera plus au del de cette date la structure financi re cr en 1983 lors de l abaissement de l ge de la retraite soixante ans Dans cette hypoth se il semble que les r gimes compl mentaires sppliqueront un coeffi cient d abattement pour les retraites prises avant soixante cinq ans Aussi il lui demande de bien vouloir lui faire connsltre ses intentions concernant l ouverture de n gociations entre les parte naires sociaux afin que les salari s ayant opt pour la retraite soixante ans b n ficient malgr le d sengagement de l Etat d une retraite totale taux plein le 31 mars 1990 et qu ainsi soient respect s leur gard les engagements pris 1 lui rappelle ue le budget pour 1990 n ayant pr vu aucune subvention
81. autres corps issus de l E N A soul ve des difficult s dont celles voqu es par l huno rable parlementaire tant pour le recrutement la sortie de l E N A que en cours de carri re pour les d tachements et mobilit s 1 a donc commenc tre port rem de cette situa uon par l augmentation de la prime forfaitaire sp ciale dont le taux a t relev de 25 p 100 en 1989 30 p 100 en 1990 Cet effort zst encore insuffisant Une nouvelle augmentation est actueliement envisag e L augmentction des frais de repr senta tion des chefs de juridiction judiciaire pourra lournir une r f rence utile pour la d termination des indemnit s servir leurs homo ogues de l ordre administratif L honorable parlementaire trouvera prochainement lors de l examen de projet de loi de finances pour 1991 la traduction de ses pr occupations qui sont aussi celles du Gouvernement qui a fait de la justice une de ses priorit s pour l ann e prochaine Magistrature magistrats 29932 11 juin 1990 M L once Deprez demande M le garde des sceaux ministre de la justice la suite qu il envisage de r server la protestation de l association professionnelle des magistrats A P M l gard des propos lui apparaissant infa mants tenus per un anclen ministre de la coop ration L A P M estime qu il lui appartient d entreprendre des poursuites imm diates faute de quo il apparaltrait cautionner de telles injures au c
82. avec 3 100 000 tonnes de papiers et cartons recycl s en 1989 des pro bl mes nouveaux li s la gesti n des d chets ont entra n une transformation profonde et rapide du syst me de r cup ration et de recyclage dans le monde Notre pays semble rester l cart de cette volution et ce retard constitue une menace pour la r cup ration et le recyclage des papiers et cartons Il lui demande donc la suite qu il envisage de r server aux propositions contenues dans ce livre blanc et concernant notamment la r vision des modalit s de gestion des d charges la r vision des modalit s du contrat G enl vement et de traitement des d chets les mesures incitatives pour le recyclage des caisses en carton et des embal lages en papier carton du commerce et de l industrie a r vision du r gime dont rel vent les d chets des commerces et des bureaux la r vision des modalit s de calcul des taxes et des redevances d enl vement des ordures m nag res afin d inciter au recyclage la d finition claire des mati res premi res secon daires la prise en compte par la collectivit de l limination des d chets parasites non fibreux Textile et habillement emploi et activit 34024 per octobre 1990 M Michel Noir attire l attention de M ie ministre de l iadustrie et de l am nagement du terri toire sur la situation de l industrie textile fran aise et sa cpmp ti tivit sur les march s ext rieurs L indu
83. avec celle des professionnels constituent un ensemble de contraintes qui posent de la mani re la plus cruciale le probl me de la disponibilit du sapeur pompier volontaire et engage le principe de son avenir Nul ne peut contester la place pr pond rante tenue par les sapeurs pompiers volontaires dans l organisation du secours aux ae sonnes et de la lutte contre les incendies en France Leur be n volat est irrempla able dans l organisation de pr vention et de d fense contre le risque feu de for t Il lui demande donc quelles mesures sont envisag es pour assurer aux sapeurs pompiers volontaires une disponibilit compatible avec leurs obligations op rationnelles sans qu ils ne soient l s s dans leurs activit s nrofessionnelles S curit civile sapeurs pompiers 29774 11 juin 1990 M Joseph Henri Maujoian du Gasset expose M ie ministre de l iat rieur que r cemment Blain en Loire Atlantique s est tenu le 92 congr s d partemental des sapeurs pompiers b n voles congr s r unissant pr s de 500 sapeurs Parmi les sujets abord s se trouve le probl me de statut des volontaires Ce n est du reste pas la premi re fois que ce probl me est abord Soulignant la disponibilit et le courage de ces hemmes il lui demande de bien vouloir lui indiquer o en est l heure actuelle le dossier de statut des sapeurs pompiers volontaires R ponse Les sapeurs pompiers volontaires au nombre de 208 000 tie
84. avec difficult une activit profession nelle cinquante ans pour b n ficier de la prolongation de l as surance veuvage de trois cing ans au maximuin quarante cinq ans lorsque le conjoint a trois enfants charge pour une cou verture maladie gratuite sans limite dans ce cas L asso plisse ment de l ensemble des conditions d ouverture du droit aux diverses prestations relev es pr c demment pose le probl me de la sp cificit du veuvage Le parent abandonn ou s par avec les m mes charges d enfant et sans emploi se trouve dans la m me situation qu une personne veuve Fl en est de m me pour le coupie dont les deux membres se trouvent au ch mage Aussi il apparait n ct ire tout en maintenant les dispositions sociales actuelies et sp cifiques aux seuls parents veufs de d fini une politique d am lioration de leur situation fond e sur les actions g n raies d insextion ou de r insertion professionnelle et de retour la croissance de l emploi que permet la politique cono mique men t par le Gouvernement 2 La situation des conjoints survivants les plus g s b n ficiaires d une pension de r version pose d autres ass Certes les conditions actuelles de service des pensions de r version sont parfois strictes notamment dans le r gime g n ral conditions d ge et de ressources taux de 52 p 100 limitation de leur cumul avec des droits personnels Ces conditions sont souvent plus g n reuses
85. bilingues Ces quipements per mettent la r ception des chaines fran aises relay es par leurs divers satellites ainsi que des programmes fran ais transmis par le satellite Olympus Des actions de valorisation sont pr vues autour de la r ception et de l utilisation p dagogique de ces pro grammes 4 Enseignement du fran ais au niveau scolaire il s agit ici de moderniser et de dynamiser un secteur classique d intervention a Formation initiale la modernisation des cursus de formation initiale au sein des d partements universi taires de fran ais est propos e Certains cursus sont largement reconstruire b Formation continue des professeurs un effort particulier a t consenti d s l t 1990 au profit de plusieurs centaines d enseignants l uvre est ici de longue hafeine vi demment pluriannuelle elle sera men e en liaison avec la publi cation de nouveaux manuels c Une mention sp ciale doit tre faite du brobl me sp cifique des enseignants de russe recycler dans d autres langues dont le fran ais nos interlocuteurs offi ciels qui s taient d abord beaucoup avanc s ce sujet obser vent pr sent une certaine prudence d Manuels de fran ais tous nos interlocuteurs d clarent que leurs manuels de fran ais sont devenus inutilisables tant par leurs contenus id ologiques que par leur m thodologie Leur out d clar est de disposer d s que possible d une gamme de nouveaux manuels nat
86. c de il lui demande quelles sont les mesures qu il envi sage de prendre en la mati re pour rem dier cette situation R ponse Dans le cadre des dispositions r gissant la fonction publique territoriale is sttut des sapeurs pompiers rofes sionnels fait l objet d une r forme A cette occasion la situation des sergents et sergents chefs a t r valu e afin de mieux tenir compte des responsabilit s qui sont ies leurs Ainsi au niveau indiciaire ils ne rel veront plus de l chelle 5 comme ies caporaux chefs mais de la grille des agents de ma trise qualifi s ce qui leur permettra un gain indiciaire terminal de quarante nuit points Par ailleurs les adjudants et adjudants chefs seront class s sur une m me grille indiciaire et b n ficieront compter du ler ao t 1993 d une revalorisation de vingt cinq points En outre ils pourront acc der plus ais ment au grade de lieutenant tant par concours interne que par la voie de la promotion sociale S curit civile sapeurs pompiers 26935 9 avril 1990 M Hubert Faico attire l attention de M le ininistre de l int rieur sur la condition de sapeur pompier volontaire En effet les contraintes op rationnelles li es lac croissement consjant des interventions de toutes natures le d ve loppement de la mobilisation pr ventive contre le risque feu de for t dans les d partements du Sud Est la n cessaire harmonisa tion de la formation des volontaires
87. ce qui concerne la troisi me tranche entre Marthod et Ugine et la travers e d Ugine Or les jeux Olympiques de 1992 approchent l inqui tude des habitants et des lus de la r gion est justifi e concernant le trafic sur cet axe tr s fr quent Les accidents r cents mettent nou veau en vidence le caract re dingereux de cette route Par ail leurs sur le plan conomique les six communes riveraines dans l Ariy envisagent ia mise en place d un syndicat intercommunal qui am nagera une zone desservie par un des ponts de la future route deux fois deux voies Si l instruction rappel e pa f le pr fet de terminer l extension de cette route est confirm e en revanche l ch ance n tant pas pr cis e rien ne permet aujour d hui d affirmer que la tranche entre Th n sol et Marthod sera op rationnelle en f vrief 1992 pour les jeux Olympiques L int r t conomique et touristique de cet axe trait d union entre Albert ville et Annecy art re essentielle pour irriguer le Val d Arly n est pourtant plus d montrer Li e cete question l annonce par la direction de la S N C F de supprimer la permanence journali re d un cheminot Ugine signifie la disparition de la kare et l abandon de toute perspective de liaison ferroviaire voyageurs entre Ugine et Albertville On voudrait enclaver Ugine et sa Me qu on ne x prenga pas autrement Les 80 MF de its pr vus dans le Xe Plan dont 40 MF la charge de l Etat ne sembla
88. ci par les services d pendant des conseils g n raux les dispositions pr vues par les textes notam ment la loi d orientation du 30 juin 975 en faveur des personnes hangican os afin que cessent ces entorses inadmissibles l Etat e droit Handicap s C D E S et COTOREP 34012 l r octobre 1990 M Jean Marie Dailiet fait part M le secr taire d Etat aupr s du ministre de ia solidarit de ia sant et de ia protection sociale charg des handicap s ct des accident s de ix vie de son inqui tude quant aux d cisions ill gales ou arbitraires prises par certaines Cotorep ou certains services d partementaux d aide sociale aux personnes handi cap es r v l es notamment par le Livre blanc publi par l Association des paralys s de France Ce document montre preuves l appui une d iive dans l application de la i et lut m me a constat dans l exercice de son mandat parlementaire une tendance regrettable l interpr tation restrictive des textes notaminent en ce qui concerne l allocation compensatrice pour tierce personne dont d pend si souvent bien tre des int ress s Sans mettre en cause ia bonne volont des personnels de ces administrations mais les directives qui leur sont ventuelle ment donn es il lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont il assure la tutelle et par les services d pendant des conseils g n raux les disp
89. ciaires et financ s par la branche famille La technique fiscale de l imp i sur le revenu va dans le m me sens que la l gislation des prestations familiales Le m canisme du quotient familial constitue en effet un instrument important de prise en consid ra tion des charges des familles nombreuses Ainsi depuis 1980 le troisi me enfant charge compte pour une part enti re dans le calcul du quotient familial Cet avantage a t tendu en 1987 chaque enfant de rang au moins gal trois Pour les families dont les enfants poursuivent des tudes la l gislation fiscale pr voit des dispositions particuli res en faveur de celles qui ont de grands enfants charge et ce jusqu vingt cinq ans Les caisses d allocations familiales b n ficieut d une autonomie dans ia ges tion de leur action sociale familiale et peuvent ainsi l adapter en faveur des familles concern es Un certain nombre d organismes pr voient notamment des prestations accord es au del des limites d ge exemple prestations suppl mentaires pour tu diant En mati re de s curit sociale les contraintes budg taires imposent n anmoins des choix au Gouvernement dans le domaine de la politique familiale choix d termin par des objectifs sociaux pr cis qui doivent rester compatibles avec l ef fort de maitrise des grands quilibres nationaux A cet effet il est pr cis i honorable parlementaire que le Gouvernement a arr t en 1990 un c
90. compl mentaire qu il peut jouer dans le cadre du plan d partemental triennal de d veloppement du parc locatif social Logement politique et r glementation 34028 ier octobre 1990 M L once Deprez demande M le ministre d l gu aupr s du ministre de l quipement du logement des transports et de la mer charg du logement de lui pr ciser les perspectives d finies par le groupe de travail mis en place au sein du Conseil national de l habitat propos des h tels meut s dont les travaux devaient aboutir l elabo ration de propositions d ici la fin du mois de juin J O Assembl e nationale 16 avril 1990 p 1879 PERSONNES G ES Personnes g es politique de la vieillesse 33948 lee octobre 1990 M Claude Barate appelle l atten tion de M le ministre d l gu aupres du ministre de a soli darit de la sant et de la protection sociaie charg des per sonnes g es sur les difficult s que rencontrent les families confront es la prise en charge des frais d h bergement de leurs parents g s d pendants plac s dans des tablissements de long s jour L obligation alimentaire laquelle sont soumis les conjoints enfants ou petits enfants conduit des situations tr s difficiles et il est urgent de modifier le syst me de tarification Il lui demande de bien vouloir lui pr ciser ses intentions ce sujet Personnes g es tablissements d accueil 34010
91. comptabilit publique par les fonctionnaires de la direction de l action sociale qui pr parent les textes et les r glements int ressant le secteur social L approbation situation du fait est ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 contradictoire avec le contr le de l galit situation de droit La comptabilit publique le partage des comp tences entre le conseil d administration l ordonnateur ct le receveur sont autant de facteurs de rigueur de transparence et de maitrise des d penses Plusieurs fois Ics services du minist re de la solidarit de la sant et de la riotection sociale et certains collaborateurs de M le ministre cnt promis aux repr sentants de l E P T H de prendre dans le cadre d une D M O S des mesures pour sup primer l approbation de la tarification pour les tablissements sociaux et m dico sociaux Il lui demande donc s il envisage l abrogation de l approbation de la tarification pour les tablisse men s publics sociaux et m dico sociaux Assurance maladie maternit prestations frais de transpori 33994 ler octobre 1990 M Eric Raoult attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protec tlon soclale sur les difficult s que connaissent de nombreux malades par l application du d cret du 6 mai 1988 relatif au remboursement des frais de transport art R 322 10 deuxi me paragraphe En effet les malades cardiaques qui rel vent de
92. cours de laquelle ils ont cess leur activit soit dans l ann e suivante doi vent acquitter une cotisation d assurance maladie sur leurs revenus d activit de l ann e pr c dente conform ment l ar ticle D 612 2 du code de la s curit sociale Ces r gles fix es par le deuxi me alin a de l article D 612 6 du code de la s cunt sociale ont d abord pour objet d viter qu un simple changement de raison sociale ou une suspension d activit permettent cer tains travailleurs ind pendants de b n ficier de la cotisation minimale alors que leurs revenus justifieraient une cotisation plus importante Elles sont en outre coh rentes avec la d finition de l assiette des cotisations qui fond e sur les revenus de l ann e ant rieure ne permet la prise en compte des modifications inter venues dans les revenus des cotisants qu au moment o les revenus entrent dans l assiette des cotisations c est dire avec un an de d calage Outre les pertes financi res qu elle induirait pour le r gime ia modification de ces r gles dans le sens propos par J honorable parlementaire pourrait tre source d i quit Ind pendamment du cas des personnes en d but d activit la cotisa tion minimale s applique lorsque les revenus assujettis sont inf rieurs 40 p 100 du plafond de la s curit sociale Admettre que cette cotisation forfaitaire soit applicable dans tous les cas de modification ou de suspension de l activit co
93. cr ance suctessorale ne repr senteraii pas un juste d dommagement pour les services que ces femmes rendent la population en 2econdant leurs poux m decins R ponse Les conjoints collaborateurs des professionnels lib raux notamment des m decins peuvent conform ment l articie D 742 36 du code 4o la s curii sociale adh rer volontairement au r gime de l allocation de vieillesse des professions lib rales Les its propres ainsi acquis sont cumulables au d c s du s decn avec l allocation de s verston pr vue l article i 643 9 dans la limite u piafond fix ser l axicle D 643 5 dudit code ainsi qu avec la pension de r version du r gime compi mentaire et du r gime des prestations suppl mentaires de vieillesse cit A S V des m decins convention La reconnaissance de nou veaux droits ressort de la comp ience du gardc des sceaux ministre de la justice rarm Retraites g r rchres Fonds ratiore de so0iidariid 30948 2 juillet 1990 M Damisi Gosiet appelle l attention MA le miaistre de la soilazit de ln sant et de la protec wtiale iur le d cret n 89 921 du 2 d cembre 1989 modi ant jee articles KR 821 4 et R 821 11 du code de la s curit i Ne Es i 4 sociale et relatif aux condotions de versement de l allocation aux adultes handicap s et particuli re nent les prestations fami liales la retraite du combattant ies pensions attach es aux dis
94. d clarer leur assureur de responsabilit il s tonne de constater que cette instruction int gre les travaux pris en sous traitance par les entreprises du secteur consid r alors que ces derniers ne paraissent pas relever de l obligation d assurance Il lui demande par cons quent de bien vouloir lui pr ciser la suite qu ii envisage de pr server aux pr occupations exprim es par cette profession et notamment s il entre dans les intentions du Gouvernement de revenir sur ce projet particuli rement contro vers de moment de l examen du projet de loi de finances pour ASSEMBL E NATIONALE ler ociobre 1990 Imp ts locaux taxes fonci res 33942 ler octobre 1990 M Charies Moissec demande M le ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget de bien vouloir lui pr ciser les raisons pour les quelles ia date limite de paiement des taxes fonci res a t avanc e du 15 novembre au 15 octobre Cette d cision provoque une g ne certaine chez bon nombre de nos concitoyens qui n avaient pas pr vu cet appel anticip dans leur budget H tellerie et restauration d bits de boissons 33947 i r octobre 1990 M Pierre Bacheiet attire latten tion de M le mialstre d Etat ministre de l conomie des fiaances et du budget sur la proc dure de d livrance des licences de d bits de boissons L obtention d une licence de 2e ou 3 cat gorie par un commer ant constitue un l ment es
95. d augmenter l accise faible de la rance A pius long terme c est dire au cours d une p riode ind termin e au del de 1993 il est pr vu des taux objectifs qui ne sont pas des taux communs obligatoires s agit de simples incitations envers les Etats membres pour indiquer la direction dans laquelle devra s op rer le rapprochement Mais dans ce cas ASSEMBL E NATIONALE PSE om ml O a a tte nn 4545 encore il n apparait pas que les pays taux lev s devront abaisser leurs accises par contre les Etats accise faible devront s orienter vers des taux sup rieurs aux taux uniques qui avaient t propos s en 1987 c est dire des taux sup rieurs 18 7 ECU soit pour la France la multiplication par six du taux actuel du droit de circulation Cette progression des taux d ac cises tant justifi e par la n cessit d une coh rence avec la lutte contre l alcoolisme Alors qu il y a peu d ann es la commission tait pr occup e de l largissement des d bouch s pour le vin et de l augmentation du nombre des conscmmateurs gr ce une diminution des entraves la libre circulation notamment par la diminution des accises lev es aujourd hui la tendance est totale ment invers e au nom de la sant publique la commission marque sa faveur pour les accises lev es que les Etat pourront maintenir et ob ige les Etats pratiquant des accises nulles ou faibles instaurer des taux minim
96. d orientation sur l ducation Les moyens consacr s aux enseignements artistiques recouvrent la r mun ra tion des instituteurs et des 15879 professeurs sp cialis s dans l enseignement d s disciplines artistiques soit 3605 MF ainsi que celle des heures suppl mentaires que ces derniers effectuent soit 297 MF Celles ci ont d ailleurs t abond es d un cr dit nouveau de MF en 1989 et de 3 MF en 1990 Ces moyens recouvrent en outre des d penses caract re p dagogique pour 5 MF le financement de la formation continue des personnels concern s pour 28 MF soit une augmentation de 2 5 MF en 1989 le co t d interventions diverses notamment sous la forme de subventions 32 MF ainsi que des cr dits destin s aux outils p dagogiques 3 MF Ces mesures ains que la cr ation de 100 postes de certifi s en arts plastiques en 1988 ont permis de poursuivre l effort de r sorption des heures d enseignement non assur es au coll ge ce d ficit est pass en arts plastiques de 5 71 p 100 en 1986 1987 3 86 p 100 en 1989 1990 en musique de 13 74 p 100 en 1986 1987 10 41 p 100 en 1989 1990 D autre part ces dispositions contribuent mettre en uvre la politique de diversification des pratiques artistiques en milieu scolaire laquelle est associ le minist re de la culture pour diverses actions men es en partenariat Pour le nremier degr en 1989 1990 ont fonctionn 600 classes culturelles initiation artis t
97. dans li e r gimes 4028 EE sp ciaux de salari s et les r gimes compl mentaires que f d rent l AR R C O et 1 A G IR C Mais ces diff rences trouvent directe ment leur origine dans le contexte conomique et socioculturel de l poque laquelle ces r gimes ont t eux m mes institu s L largissement des conditions G ouverture du droit pension de r version est ici intimement li uns r flexion sur les pensions de droit direct C est ainsi que dans le cadre d une approche globale des retraites une am lioration des pensions de r version pourra tre envisag e Le souvernement a d cid d ouvrir un d bat au Parlement sur l avenir des retraites la situation des conjoints survivants y sera examin e Le Gouvernement entend ue soit prise en en ee la situation de personnes qui en raison un drame personnel et de ses cons querzsss sociales doivent b n ficier de la solidarit nationale S curit sociale frontaliers Moselle 28202 7 mai 1990 M Fabien Thl m attire l attention de M la miaistre de ia solidarit de la sante et de In protection sociale sur un probl me de carte d assur social permettant de b n ficier du tiers payant pharmaceutique Alors que la C P A M de Sarreguemines d livre aux travailleurs frontaliers occup s en R F A une carte sp cifique de couleur verte accordant ainsi le tiers payant pharmaceutique cette carte d assur social n est pas remise aux
98. de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document semble montrer preuves l appui une d rive inqui tante dans l application de la loi 11 lui demande quelles mesures il en isage de prendre pour faire respecter par ves structures dont il assure la tutelle et par lez services d pendant des conseils ggn raux les dispositions nr vuss par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des personnes handicap es afin que cessent ces entorses inadmissibles l Etat de droit Handicap s C D E S 1 COTOREP 33976 1e octobre 1990 M Alain Rodet attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la saat et de ic pro xtion sociale charg des handicap s et des accident s de la vie sur le Livre blanc publi par l Asso ciation des paralys s de France concernant les d cisions pris2s par les Cotorep et les services d partementaux d aide sociale l gard des personnes handicap es 11 lui demande quelle suite le Gouvernement envisage de donner aux revendications exprim es dans cette enqu te Handicap s C D E S et COTOREP 32977 ler octobre 1990 M Jacques Rimbault fait part M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection socizle charg des handicap s et des accideat s de la vie de sa stup faction apr s avoir piis connaissance du Livre blanc publi par l Association
99. de lutte pr vu pour 1990 assure l enga gement de trente deux a ronefs vingt sept avions et cinq h licop t res bombardiers d eau de la s curit civile ainsi que neuf h li copt res de commandement auxquels s ajoutent quatorze autres a ronefs bombardiers d eau de location Dans le cadre du d ve loppement et de la modernisation de cette flotte la direction de la s curit civile recherche la participation active de l industrie a ronautique fran aise pour la d finition et a production de mat riels a ronautiques destin s la lutte contfe les feux de for ts C est ainsi que cette ann e sera exp riment un nouveau type d a ronei bombardier d eau Super Puma produit par l A rospatiale et qu il a t proc de l acquisition aupr s de la soci t S E C A d un avion bombardier d eau Par ailleurs des tudes sont actuellement conduites avec des entreprises sp cia lis es pour la mise au point de syst mes de largages h licopt res enti rement con us et r alis s par des soci t s fran aises Dans le m me esprit des synergies sont constamment recherch es afin que les programines ne pouvant tre r alis s de mani re pure ment nationale associent au moins nos industries la r alisation de certains travaux Il convient n anmoins de souligner le carac t re troit du march des a ronefs bombardiers d eau qui n appa rait pas toujours attractif l industrie a ronautique fran aise dont les plans de
100. de sant b n ficiait jadis d un statut semblable celsi des pharmaciens inspccteurs Or un premier d crochage a eu lieu il y a quelques ann es et aujourd hui les m decins inspecteurs sont d ores et d j assur s d une revalorisa tion compter du ler janvier 1991 alors que le sort des pharma ciens inspecteurs est toujours en discussion Cette s gr gation ne lui semble pas justifi e S curit sociale cotisations 33915 ler octobre 1990 M L once Deprez appelle l at tention de M le micistre de la solidarit de la sant et de 2 protection sociale sur la situation des clubs sportifs qui organi sent des comp titions pour amateurs Il se trouve que les diverses et modestes primes attribu es lors de ces comp titions sont sus ceptibles la diligence de contr leurs de l U R S S A F en l tat actuel de la jurisprudence Cass soc 7 f vrier 1974 U R S S A F de l Eure Anquetil cour s april de Caen 14 novembre 1988 v lo club Le Voxien c U RS S A F du Calvados d tre assu jetties aux diverses cotisations sociales Cette situation est regret table pour le bon fonctionnement et l mulation de ces clubs HOT amateurs qui ont d j suffisamment de charges il lui demande donc ia nature les perspectives et les ch ances de l tude entreprise depuis plusieurs mois son minist re tendant mieux d finir le statut social Ce ces r mun rations et pr ciser clairement le droit dans une pers
101. decins une convention sp cifique la m decine g n rale pr voyant la maintien des d passements de tarifs conventionn s ou leur g n ralisation L instauration du sec teur II qui a l galis les d passements d honoraires a d j abouti faire payer par les malades la r valuation des r mun rations des m decins que les caisses de s curit sociale n ont pas voulu prendre en charge contraignant ainsi ceux qui ne peuvent pas payer ce suppl ment se soigner moins et moins bien Son extension la m decine lib rale qui dissocie le prix r ellement Sasnand par s m decins aux assur s sociaux du tarif de rem b u sement risqu aujourd hui d entrainer un dysfonctionnement des caisses nationales et d imposer un v ritable rationnement des soins pour les patients qui ne disposeraient pe de moyens finan ciers suffisants Aussi il lui demande de bien voutoir pr ciser quelles dispositions il entend mettre en uvre afin dz rem dier cette injustice et de garantir pour tous l acc s des sains de qua lit et au libre choix de leur m decin S curit sociale conventions avec les prutiriens 26315 26 mars 1990 M Jacques Rimbault attire latten tion de M ie ministre de la solidarit de ig sante et de la teciion sociale sur les dangers pour le syst me de soins ran ais et ia population que repr senierait un accord conven tionnel entre syndicats de m de ins et Caisse nation le d assu rance maladie pr
102. des fonctionnaires affili s la C N R A C L Le d cret n 89 131 du ler mars 1989 pr voit que les r gles d assimi lation applicables aux retrait s sont d finies par les statuts parti culiers des cadres d emplois Sur cette base un projet de jrs modifiant chaque statut particulier a t labor pour que soient pr cis es les r gles applicables aux retrait s Le Conseil sup rieur de la fonction publique territoriale s est prononc sur ce projet de d cret dars sa s ance du 12 juillet 1990 II vient d tre exa main par le Conseil d Etat et sera publi prochainement Risques naturels s cheresse Pyr n es Atlantiques 30083 18 juin 1990 Mme Mich ie A iiot Marie appelle l attention de M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et natureis majeurs sur les d g ts subis par de nombreuses habitations particuli res en raison de la s cheresse qui s vit actuellement dans les Pyr n es Atlantiques Les dossiers individuels de sinistre demandes par la pr fec ture doivent comporter entre autres l ments une tude g olo gique dont le co t est d environ 4 009 francs De nombreux parti culiers renoncent de ce fait constituer un dossier Elle lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour que sans pr juger des conditions d indemnisation les frais de constitution de dossier des personnes sinistr e
103. des pr cisions sur ce pro me Viandes commerce M le ministre de l agricuiture et de la for t au sujet de l identification des viandes par le consommateur L levage fran ais est de qualit et il est pnontaire que le consommateur puisse reconnaitre l origine de la viande qu il ach te Le d cret n 84 1147 du 7 d cembre 1984 ne rend pas obligatoire l indica tion de l origine en particulier pour les denr es pr embail es Cela est tr s pr judiciable pour les leveurs fran ais surtout actuellement o de la viande provenant de nombreux pays et ne respectant pas toujours nos normes circule en France Il est donc urgent que le minist re de l agriculture impose l Ofival Office de ia viande de se pencher sur cette question afin de lui trouver une solution efficace et rapide li aimerait conna tre les inten tions du ministre ce sujet Lait et produits laitiers cessation d activit 33902 1er octobre 1990 M Pascal Cl ment demande M le ministre de l agriculture et de la for t s il envisage de reprendre un programme d aide la cessation laiti re seule solu tion qui puisse permettre de continuer ia n cessaire installation des jeunes la modernisation des exploitations d avenir et viter le march des quotas qui aiourdirait consid rablement les charges d installation et rendrait tr s difficile la ma trise d une restr ctu ration laiti re Mutualit sociale agricole retraite
104. des r gles tenant la dur e et la nature de la formation d finies par les d crets por tant statuts particuliers des cadres d emplois mais dont les modalit s concr tes d organisation peuvent tre arr t es en concertation avec les autorit s territoriales Ainsi dars la pra tique rien ne s oppose ce que la collectivit choisisse en accord avec le Centre national de la fonction publique territoriale et dans les d lais pr vus par les textes l s p riodes pendant les quelle l agent se trouve en stage en tenant compte des besoins u service et du bon d roulement des stages L ensemble de ces dispositions tend garantir un niveau de formation satisfaisant pour les fonctionnaires territoriaux et permettre par l m me la mise en place d une fonction publique territoriale de qualit Ind pendamment des dispositions pr cit es un accord cadre por tant sur la formation des fonctionnaires territoriaux a t r cem ment sign dans le cadre de la mise en uvre de la circulaire du Premie ministre du 23 f vrier 1989 relative au renouveau du service public Cet accord cadre a notamment pour objet d indi Et les points sur lesquels le Gouvernement s engage apporter es am nagements au dispositif actuel de la formation initiale Une am lioration de celui ci sera recherch e afin de faciliter la formation post recrutement des fonctionnaires territoriaux En contre partie il sera propos de pr voir dans les statuts p
105. du 10 mars 1964 modifi article 5 pour ouvrir tous les maitres des classes sous contrat et non aux seuls ma tres contractuels les examens et concours de recrtte ment de l enseignement du second degr et de l enseignement technique Il souhaite galement savoir si une disposition pour rait tre prise pour qu un candidat un concours externe de recrutement de l enseignement du second degr et de l enseigne ment technique priv puisse opter apr s proclamation des r sultats pour exercer dans un tablissement priv sous contrat d association avec l accord du chef d tablissement Enseignement priv personnel 32647 6 ao t 1990 M Bernard Debr s tonne aupr s de M le ministre d Etat ministre de i ducation nationaie de la Jeunesse et des sports que les lyc es professionnels et technolo giques priv s sous contrat d association ne puissent recruter des professeurs que comme ma tres auxillaires Il souhaiterait savoir quels motifs emp chent de modifier les textes r glementaires ur qu un candidat un concours externe de recrutement de enseignement du second degr et de l enseignement technique priv puisse opter apr s proclamation des r sultats pour exercer dans un tablissement priv sous contrat d association avec l ac cord du chef d tablissement R ponse Pour exerce en qualit de contractuel dans un ta blissement d enseignement priv il suffit aux ma tres de justifier des
106. e qu temps incomplet je vous indique qu un d cret r glant les conditions dans lesquelles sont recrut s les agents temps non complet sera prochainement publi Retraites r gimes autonomes et sp ciaux collectivit s locales calcul des pensions 29900 11 juin 1990 M Pierre Mazeaud appelle l atten tion de M le ministre d Etat ministre de ia fonction pubiique et des r formes administratives sur les d crets n 87 1097 87 1111 du 30 d cembre 1987 relatifs au reclassement des per sonnels en activit des collectivit s locales Ce r am nagement des carri res devrait se poursuivre en 1990 notamment nar l ex tension aux retrait s des mesures prises en faveur des agents en activit A ce jour les agents retrait s des collectivit s locals s ASSEMBL E NATIONALE 4611 attendent toujours la modification du d cret n 65 773 du 9 sep tembre 1965 qui permettra leur int gration dans les cadres d em plois et la r vision des pensions 11 lui demande donc si cette modification est actuellement envisag e Question transmise M le ministre de l int rieur R ponse En vue de permettre la caisse nationale de retraites des agents des collectivit s territoriales C N R A C L d appliquer aux retrait s les assimilations des anciens emplois d tenus par les retrait s aux cadres d empiois il a fallu modifier dans un premier temps le d cret du 9 septembre 1965 relatif au r gime de retraite
107. et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement est charg de l laboration d un sch ma d parte mental des risques naturels et du suivi des plans d exposition aux risques Le sch ma d partemental des risques naturels est labor conform ment un cahier des charges national Il est approuv par le Pr fet Le minist re de l environnement et ses services d con centr s ont la responsabilit de la pr vention des risques technolo giques majeurs l iui demande de quelies tudes cette proposi tion a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend tui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32034 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secretaire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et satureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de t environne ment d pos te ti avrit 1990 sur le bureau de t Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement est charg de l tablissement d un sch ma d par temenial des points noirs du bruit l lui demand
108. et de la pr veation des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le avrii sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent prpesipens dont l une est ainsi r dig e Le d partement est charg de mettre en place une infornation r guli re sur le suivi des installations class es fonctionnant sur son territoire cet gard il d veloppe tous moyens pour assurer la col lecte de donn es objectives es et pour les porter la connaissance du public Les services de l Etat ont l obligation de lui pr ter le concours n cessaire 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32032 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M ie secr tuire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l eaviroanemenat et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment
109. europ enne des droits de l homme Ce texte garantit en effet dans son article 14 la jouissance des droits reconnus dans la convention sans distinction aucune fond e notamment sur l origine nationale la naissance nu tout autre situation Or en vertu de l article 7 de la m me convention nul ne peut tre condamn pour une action qui ne constituait pas une infraction En l tat actuel de la r glementation le conducteur d ure voiture immatri cul e l tranger est autoris rouler en France avec des phares blancs Mais peui on alors sanctionner dans les m mes circons tances le conducteur d une voiture immatricul e en France sans introduire une distinction fond e sur l origine nationale la nais sance ou une autre situation l immatriculation l tranger c est dire sans enfreindre l article 14 cit ci dessus Au del des textes le fait devant deux comportements exactement iden tiques de sanctionner iun dont la voiture est immatricul e en France et non l autre dont la voiture est immatricul e ailleurs est il compatible avec le principe d galit devant la loi p nale et plus g n ralement encore avec la notion m me de justice Justice fonctionnement 33913 1er octobre 1990 M L once Deprez appelle lat tention de M le garde des sceaux ministre de la justice sur les litiges entre presse crite et justice Il lui fait part des inqui tudes des diteurs de
110. exer ant deux activit s non salari es peuvent rattaclier aux recettes tir es de l activit principale dans certaines limites les recettes provenant de l activit secondaire et tre ainsi soumises un seul r gime Spanon fiscale Le d cret pr vu pour l application dudit article 69 actuellement en cours d examen par les instances concern es doit notamment tixer les modalit s de rattachement des recettes tir es de l activit accessoire celles de l activit principale telles qu elles r sultent des crit res fiscaux actuels il ne peut en cons quence tre tenu compte d autres crit res tels que g ographiques pour l application de cette disposition comme le souhaiterait l honorable parlementaire ee a o M Agroalimentaire ma s 31066 2 juillet 1990 M Arnaud Lepercq attire l attention de Mme le mixistre des affaires europ ennes sur la plainte anti subventions concernant les importations am ricaines de corn gluten feed en Europe d pos e par la C E P M aupr s de la CEE En effet ce sous produit de l industrie du ma s sub ventionn aux Etats Unis entre sans droit dans la Communaut europ enne Ces importations qui ont augment de 200 p 100 en dix ans repr sentent aujourd hui 35 p 100 de la production fran aise de ma s et causent un grave pr judice aux producteurs qui perdent ainsi une large part de leurs bouches De plus si dans un premier temps la C E ouvre une enqu te afin de d t
111. fonctionnaires des agents titulaires des h pitaux de cat gorie C ou B ont t mis dans un premier temps la disposition des collectivit s locales puis titularis s par ces m mes collectivit s 11 semblerait que dans leur cas contraire ment ce qui se passe pour les agents d2 l Etat ayant opt pour la fonction publique territoriale aucune disposition n ait permis la prise en compte de services civils accomplis ant rieurement dans un emploi de niveau quivalent aussi ces agents ont ils perdu les b n fices de leur anciennet tant au niveau de leurs perspectives de carri re qu celui de leurs futurs droits la retraite 11 lui demande d apporter des l ments pr cis d informa tion sur ces situations qui d couragent la mobilit professionnelle et d indiquer si le statut de la fonction publique Hosmtali re ne pourra pas contenir des dispositions qui r gleraient ces in ga it s de d roulement de carri re Question transmise M le ministre de l int rieur R ponse La prise en compte des services accomplis dans la fonction publique hospitali re lors d une titularisation dans la fonction publique territoriale d pend des dispositions portant statut de l emploi ou du grade dans lequel est intervenu le recru tement Lorsque le recrutement est intervenu dans un emploi r gi par des dispositions ant rieures la loi du 26 janvier 1984 ces dispositions ne permettent g n ralement pas de prendre en compte des
112. futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31970 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappel M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t ASSEMBLEE NATIONALE 4593 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rappoit sur la politique de l enviroune ment d pos le Il avril 1996 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un grand programme prioritaire de recherche d veloppement sur les nergies renouvelables solaire olien g othermie est mis en uvre 1l lui demande de queiles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernernent entend lui denner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 31971 23 juillet 1990 M Michel Barnier ranpelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ninlstre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confit par ia commission des finances de l conomie g n rale et d Plan il a tabli un r
113. handicap seul Pa D peut b n ficier d une r duction en fonc tion du deg invalidit du handicap Cette disposition a t prise apr s une large concertation notamment avec les associa tions de handicap s qui ont consid r qu en mati re de frais de transport seul devait tre pris en compte le surco t entrain par ie ipese La S N C F tudie actuellement pour l ho rizon 1991 1992 la mise au point d une formule commerciale tarifaire qui s appliquerait aux accompagnateurs mais galement la personne handicap e FAMILLE Prestations famitiales allocation de parent isol 31500 16 juillet 1990 M Dominique Dupilet attire l at tention de M le ministre de la solidarite de la sante et de iz protection sociaie sur le fait que pour le calcul de l allocation aux parents isol s l allocation logement est reprise dans le mon tant des ressources du demandeur alors que l aide personnalis e au logement ne l est pas Cela cr e d importantes disparit s et oblige parfois les b n ficiaires de cette prestation tamiliale trouver un logement H L M conventionn pour pouvoir disposer de moyens d existence suffisants En cons quence il lui demande s il compte prendre des mesures pour rem dier ce pro bl me Question transmise Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charg de la famille R ponse L allocation de parent isol a p
114. ia mer sur l assujettissement la T V A des parcs d partementaux de l quipement Cette mesure serait posi tive dans la mesure o elle rapprocherait les parcs des conditions des autres entreprises et prestataires de service et permettrait ainsi des choix conomiques rationnels Cependant si sa mise en application serait profitable pour l Etat qui paierait ainsi ses prestations plus cher mais percevrait par ailleurs le produit de cette taxe elle s av rerait d favorable pour les d partements qui par rapport la situation ant rieure verraient ieurs prestations Cette cons quence serait apparemment contraire l esprit de la loi de d centralisation du 2 mars 1982 gi dans son article 30 pr voit que chaque partenaire l Etat et le partement jusqu au partage effectif total des moyens per sonnels et humains continue d assurer les prestations de toute nature qu il fournissait l autre nartenaire Il lui demande uelles sont les intentions du Gouvernement en mati re d assujet tissement la T V A des parcs d partementaux de l quipement et quelles mesures le cas ch ant le Gouvernement envisagerait de prendre pour compenser la perte financi re correspondante oaea de la dotation globale de d centralisation ou autre mesure ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Minist res et secr tariats d Etat quipement logement transports et m r services ext rieurs 33937 1e octobre 1990 M Mi
115. ie aseesees 04000430 CPTILEIEIEELENETTIETEITELIET 1 lui demande par cons quent de lui faire connaitre les raisons qui justifient un tel cart ainsi que les mesures qu il entend mettre en uvre rapidement afin d y rem dier 1 iui para t en effet que ce handicap d un part p nalise nettement le d velop pemen d activit s europ ennes concurrentielles dans la perspec tive du grand march de 1993 tout es freinant d autre part la mir en uvre d une coop ration r gionale forte partir de la union T l phone tarifs 33900 1er octobre 1990 M Adrien Zeller souhaite attirer une nouvelle fois l attention de M le ministre des postes des t l communications et de l espace sur la g ographie tarifaire des t l communications en France En effet tout en reconnais sant que le syst me des zones locales largies Z_L E est un sys t me plus quitable que les zones tarifaires actuelles mais entra ne une baisse substantielle des recettes M le ministre a r pondu la pr c dente question du 5 mars 1990 n 25333 qu il n est pas dans lss intentions du minist re de proc der une telie introduction progressive du syst m des Z L E Or avec la loi du 2 juillet 1990 portant sur la r forme des P et T l Etat n est plus maltre des tarifications et ne peut qu influencer les choix de France T l com au moyen des contrats de plan Dans ces conditions le syst me des Z L E a t il encore une ch
116. il a tabli un rapport sur la politique de l environse ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Est introduite dans les proc dures de cl ture d activit artisanale ou commerciale l obligation de se s parer des stocks de produits toxiques qu ils soient commercialisables ou constitu s de r sidus p rim s ou inutilisables soit par transfert de propri t soit par li mination dans des conditions agr es avec fourniture de preuves Est modifi e dans ie m me esprit la disposition qui fait obligation tout g rant d officine de garder en stock les m dicaments invendus p rim s d clar s comme tels dans les inventaires annuels notam ment lors de la cessation d activit er de la revente du fonds 11 lui dzmande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 ler octobre 1990 Environnement politique et r glementation 31982 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels ma
117. il atteint dans le corps des ma tres de conf rences un indice au moins gal Des mesures de reclasse ment particuli res ont par ailleurs t prises en faveur des ensei gnants titulaires du second degr agr g s et ceitifi s Ceux ci peuvent en effet tre class s directement la premi re classe du corps des maltres de conf rences s ils ont atteint dans leur corps d origine un indice de traitement sup rieur l indice correspon dant au dernier chelon de la deuxi me classe du corps des maitres de conf rences Bourses d tudes bourses d enseignement sup rieur 325912 6 ao t 1990 M Dominique Gambier attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio naie de ia jeunesse et des sports sur certains aspects de l aide sociale aux tudiants Actuellement un admissible au concours aux coles normales sup rieures a droit une bourse de licence Cette admissibilit donne droit en effet dans la plupart des uni versit s l quivsient du D E U G Toutefois il est fait obliga tion l tudiant pour b n ficier de cette aide financi re de ne as se repr senter au concours alors m me que son admissibilit indique que ses chances sont r elles Cette disposition p nalise bien s r les tudiants issus des milieux les moins ais s 1 lui demande ce qui justifie cette r glementation et s il est envisag l modifier pour accroltre fe nombre de candidats ces coles
118. incitations financi res la coop ration inter communale figure parmi les hypoth ses de r forme en cours d examen Le projet de loi contien par ailleurs une disposition importante Qui pr voit de faire b n ficier les communaut s de villes et les communaut s de communes titre exceptionnel du fonds de comnensation pour la taxe sur la valeur ajout e l ann e m me de r alisation des d penses ligibles Cette disposition d roge au droit commun qui pr voit que les d penses r elles d investissement prendre en consid ration pour la r partition du fonds de compensation pour la T V A au titre d une ann e d termin e sont celles aff rentes la p nulti me ann e En d fi nitive l ensemble de ces mesures d incitation financi re doit favo riser la cr ation de communaut s de villes et de communaut s de communes r pondant ainsi aux pr occupations de l honorable parlementaire Fonction publique territoriale limite d ge 24178 12 f vrier 1990 M Jean Marie Demange demande VIDE en r serve M ie secr taire d Etat aupr s du ministre de l int rieur charg des coilectivites territo Haies de bien vouloir lui pr ciser pour chaque cat gorie les limites d ge sup rieures au del desquelles les agents de la fonc tion publique territoriale ne peuvent tre maintenus en acti vit Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse L article 92
119. int rieur sur les orientations du futur projet de r forme des diff rents cadres d emplois de la fili re sportive Les personnels actuelle ment en poste vont faire l objet d une int gration selan l indice brut terminal Or il semble que certains agents en fonction du projet se voient int gr s dans un cadre d emploi inf rieur celui occup aujourd hui il lui cite le cas particulier du chef du ser vice des sports indice 580 dont la mission est actuellement administrative et technique qui sera int g au grade ducateur principal indice 579 avec une mission strictement technique d adjoint au professeur de sport D autre part ces personnes assumer la responsabilit du fonctionnement des quipements de ia commune Or il est pr vu au niveau direction de confier ce poste des petsonneis administratifs d cadre d emploi des attach s territoriaux En cons quence il lui demande si des pos sibilit s d adaptation du projet pour les anciens chefs Ge ser vices sont pr vues ainsi que pour tout cadre d emploi et s il existera un syst me de formation Communes personnel 32875 5 ao t 1999 M Didier Migaud appelle l attention de M le miristre d i gx aupr s du ministre de l int rieur sur la situation des moniteurs d ducation physique lt sportive ME P S et des maltres nageurs sauveteurs M N S de colle cti vit s territoriales Un r cent conflit dans une collectivit locale du d partement
120. l environnement Environnement politique et r glementation 31992 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques techaoiogiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 1t avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e De nouvelles formes et proc dures de coop ration intercommunale sont institu es pour favoriser la mise en place de plans d urbanisme intercommunaux en particulier en zone rurale 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31993 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l enviroanement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l eu
121. l attention de M le ministre de l int rieur sur la destination des sommes allou es par les conseils r gionaux lors de l attribu tion des bourses doctorales Ces fonds que les conseils r gionaux destinent aux tudiants font en effet l objet de pr l vements de la part des services fiscaux T V A ou des organismes sociaux URSS AF J1 s ensuit que ces bourses partir du moment o elles sont appel es allocations de recherche sont pour la partie vers e aux int ress s amput es de pr s de 50 p 100 de leur montant 1 para t y avoir l un d tournement de destination et il semble souhaitable qu en sa qualit de ministre de tutelle des ler octobre 1997 ASSEMBL E NATIONALE 4699 collectivit s locales il accepte d intervenir aupr s de ses coll gues du Gouvernement savoir les ministres du budget et des affaires sociales pour qu il soit rem di une telle situation R ponse Les sommes vers es en contrepartie de l ex cution de travaux d tudes et de recherche effectu s titre ind pendant sont imposables la T V A au taux de 18 60 p 100 quels que soient leur objet le statut de la personne qui les ex cute et la qualit de la personne qui en b n ficiz Ce principe est notam ment applicable aux travaux d tudes r alis s par les tablisse ments d enseignement dans le cidre de po re ou de conventions de recherche sign s avec des collectivit s publiques En outre les allocations
122. la question n 29735 de M Jean Miche Gonnot M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipement du logement des transports et de la mer charg des transports routiers et fluviaux Au lieu de l estimation des fonds n est plus fond e Lire l estimation des fonds n est plus bas e II Au Journal officiel Assembi e nationale questions crites n 38 A N Q du 24 septembre 1990 QUESTIONS CRITES lo Page 4436 2 colonne la question de M Richard Cazenave M le ministre de l int rieur porte ie num ro 33801 29 Page 4438 ire colonne 4 ligne de la question n 33798 de M Jean Desanlis M le garde des sceaux ministre de la justice Au lieu de des propos antiracistes Lire des propos racistes
123. le d cret en pr paration Certains par exemple voient le d roulement de leur carri re bloqu parce que les centres de gestion apparemment re oivent des consignes Ainsi des secr taires de mairie des premier deuxi me et troi si me niveaux se voient refuser la possibilit d acc der un emploi indentique sur une autre commune sous pr texte qu ils doivent r pondre aux conditions fix es par le d cret n 88 240 du 14 mars 1968 Cependant d autres coll gues sont recrut s sans difficult s les pr fets se r f rant aux dispositions du chapitre XI de la loi du 26 janvier 1984 relative aux fonctionnaires territo riaux nomm s dans des emplois permanents temps non com plet C est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui pr ciser les raisons de cette situation et de bien vouloir lui indiquer com ment il compte faire pour que ces confusions et ces injustices soient r sorb es bis transmie M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur ler octobre 1990 Communes personnel 29485 4 juin 1990 M Plerre Brana attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l lat rieur Charg des collectivit s territoriales sur les probl mes que ren contrent actuellement les secr taires de mairie Ceux ci se irou vent en effet dans une situation qui aggrav e encore par la paru tion du d cret du 30 d cembre 1987 er applica on de la ioi du 26 janvier 1984 pose d i
124. les plans de revalorisation de 1989 justifiaient une certaine harmorisation des dispositions prises en avril 1988 l gard des personnels de direction Un certain nombre de mesures ont d ores et d j t arr t es C est ainsi que pour tenir compte des dispositions pr vues l gard des corps enseignants d ducation d information et d orientation il a t d cid de supprimer terme la 3 classe du corps des personnels de direction de 2 cat gorie La transformation des emplois correspondants sera achev e d ici au 31 d cembrer 1995 Par voie de cons quence le pourcentage statutaire des emplois de 1re classe de 2 cat gorie sera au cours de la m me p node port de 15 20 p 100 Le pourcentge statutaire des emplois de Ire classe de lre cat gorie 30 p 100 sera quant lui atteint d s 1992 Ces dispositions permettent en particulier de garantir aux personnels de direction un avancement de classe dans le cadre d un d roulement normal de carri re Par ailleurs comme il en a t pour les personnels enseignants dans le cadre du plan de revalorisation un certain nombre de mesures indemnitaires ont t arr t es A compter de la rentr e 1990 les indemnit s des rincipaux de coll ge seront align es sur celles des proviseurs de yc e et des proviseurs de lyc e professionnel exception faite de l indemnit de suj tions sp ciales des proviseurs des lyc es de cat gorie A compter de la m me date afin
125. maladie pr voyant le maintien des d passements de tarifs ou teur g n ralisation et s oppose la mise en place d un texte conventionnel dissociant le prix r ellement demand par les m decins aux assur s sociaux du tarif de remboursement S curit sociale conventions avec les praticiens 24592 19 l vrier 1990 M Yves Coussaln demande M le ministre de la solidarit de la sante et de la protection sociale de bien vouloir lui pr ciser la suite que le Gouvernement envisage de r server aux craintes exprim es par la section du Cantal de la m ituelle g n rale de l ducation ratiosale qui favo rable un ritahie syst me conventionne comportant une r elle opposabilit des tarifs conventionnels est hostile tous projets d accord entre syndicats de i decins et caisses nationales d assu ance maladie pr voyant le maintien des a passernents de tarifs ou leur gen ralisation ei s oppose la mise en place ventuelle d un tezte conventiennel dissociant le prix r ellement demand par s medecins aux assur s sociaux du tarif de remboursement ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4823 S curit sociale conventions avec les praticiens 24832 26 f vrier 1990 M Jean Prorlol demande M le ministre de la solidarit de la saat et de la protection sociale de bien vouloir lui pr ciser la suite que le Gouvernement envisage de r server aux pr occupations exprim es par la mutuel
126. maximal d heures de travail n exc dant pas celui fix par d lib ration de ia caisse nationale de retralte TAA agents des collectivit s locales trente et une heures trente L interdiction dict e par l article 25 de la loi du 13 juillet 1963 ne s applique alors pas en l esp ce Elections et r f rendums cumul des mandats 32856 20 ao t 1990 M Henri Bayard demande M ie ministre de l int rieur si la suite de la mise en application des textes sur le cumul des mandats il est possible de dresser un bilan indiquant quels sont les mandats et leur nombre qui ont t abandonn s par leurs titulaires parlementaires conseillers r gio naux conseillers g n raux maires R ponse La loi organique n 85 1405 et la loi n 85 1406 du 30 d cembre 1985 relatives la limitation du cumul des mandats lectoraux et des fonctions lectives ont donn lieu depuis leur entr e en application 2 9 d missions de la part G elus auxquels leurs dispositions taient opposables deux d missions ont concern un mandat de d put dix un mandat de membre du Parlement europ en 158 un nmiandat de conseiller r gional 104 un mandat de conseiller g n ral une un mandat de conseiller de Paris quatre la fonction de maire d une commune de 20 000 habitants ou plus et vingt la fonction d adjoint au maire d une commune de 100 000 habitants ou plus Pour tre complet on notera qu l heure actuelle cinq lus seulement b n
127. me particulier de la nouvelle couverture du Paillon destin e supporter notamment la future cit judiciaire Le rapport a t adress au pr fet du d partement des Alpes Maritimes pour sa mise en uvre Parall lement ces mesures ponctuelles mais importantes les probl mes de l ensemble du bassin sont exa min s dans le cadre du plan d exposition aux risques inondation en cours d laboration par le pr fet Cette proc dure devra notamment prendre en compte effectivement et r solument la conservation des coulements de crue et des champs d inondation et limiter de fa on efficace les transports solides en interdisant les d p ts et stationnement de v hicules dans les zones inon dables Enfin il appara t souhaitable de poursuivre les efforts en vue de la cr ation d un syndicat intercommunal groupant les communes du bassin les actions des communes situ es l amont de Nice ayant des cons quences notoires sur Cette derni re Ces diff rentes actions si elles sont mises en uvre devraient avoir ppur cons quei ce de r duire tr s sensiblement la vuln rabilit de ice aux pr cipitations exceptionnelles ASSEMBL E NATIONALE 4589 Pollution et nuisances lutte et pr vention 30077 18 juin 1990 M Denis Jacquat s inqui te aupr s de M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques techsolo giques et naturels majeurs dc l augmentation sen
128. minor e Ce d cret pr voit qu un arr t du ministre charg du budget fixe la liste des d partements dans lesquels les amendes forfaitaires minor es peuvent tre acquiti es au moyen d un ch que libell l ordre du Tr sor public Un li ent d cret ne 86 1044 du IR septembre 1986 qui zvait d j inclus de telles dispositions concernant tes amendes forfaitaires et amendes forfaitaires major es a fait l objet d un arr t du 20 juillet 1989 pr voyant que ce syst me tait applicable partir du ler janvier 1990 mais ne concernait que les infractions commises Paris Il lui demande que le nouvel arr t intervienne dans les meilleurs d lais et qu il pr voie l extension du dispositif de paiement des amendes forfaitaires par ch que l ensemble des d partements COMMERCE ET ARTISAMAT Assurance maladie maternit prestations indemnit s journali res 33918 1er octobre 1990 M Ren Couansa appelle l atten tion de M le ministre d legui aupr s du ministre de l indes trie et de l am nagement du territoire charg du commerce et de l artisanat sur la protection sociale des artisans et commer ants Alors que depuis 1345 la plupart des cat gories profes sionnelles sont entr es dans le r gime g n ral d assurance maladie les artisans et commer ants ae sont pss encore suscep tibles de toucher des indemnit s en cas de maladie il iui demande donc s il a l intention d engager des n gociations qui
129. national du M rite 11 lui demande s il ne serait pas possible l instar de la gendarmerie d obtenir pour la police nationale un contingent national INT RIEUR ministre d l gu Etrangers immigration 33884 le octobre 1990 M L cace Deprez demande M le miaistre d l gu nupr s dn miaistre de l int rieur s il ne lui semble pas opportun d associer les maires de France la d finition d une politique coh rente d accueil de l immigration compte tenu du fait que c est notamment dans les communes que se posent les probl mes d accueil et d insertion des immigr s ce qui devrait donner au maire un n cessaire pouvoir d intervention et de coordination ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4559 Transports routiers transports scolaires 33926 1er octobre 1990 M L once Deprez attire l atten tion de M le ministre de l int rieur sur la discrimination op r e entre les enfants scolaris s dans les tablissements publics et ceux scolaris s dans les tablissements priv s quant aux parti cipations financi res demand es aux familles pour les transports scolaires Certains d partements demandent en effet une parnici pation des familles parfois d favoris es repr sentant 35 p 100 du co t du transport lorsque les enfants sont scolaris s dans des coles priv es Cette discrimination est aggrav e par le fait aune participation financi re n est pas demand e aux parents l ve
130. nationaux et r serves naturelles ainsi que les gardes rivi res et gardes champe ires vocction intercommunale Ce corps de gardes nature est g r par un tablissement public d partemental reunissant au sein de son conseil d administration les repr sentants du conseil g n ral de l as sociation des maires de la f d ration des chasseurs de la f d ra tion des p cheurs des instances de gestion des parcs nationaux des parcs naturels r gionaux et des r serves naturelles des associations de protection de la nature ainsi que le pr fet Il coordonnera son action avec celie de l Office national des for ts et de la gendar merie Les gardes nature seront nomm s par les maires asserment s aupr s des tribunaux d instance et commissionn s par le minist re de l environnement et du cadre de vie au titre des lois sur la protec tion de la nature 1l lui demande de quelles tudes cette propo sion a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelle suite le Gouvernement entend lvi donner en particulier dans le cadre d2 son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32024 23 juillet 1990 M Michel Baraier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l enviroanemenat et de ia pr vention des risques technologiques et maturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par ia commission
131. notamment de rendre plus attractifs les d buts de carri re des personnels de direction les indemnit s des chefs d tablissement seront port es 60 p 100 de celles des chefs d tablissement En outre les indemnit s de l ensemble des personnels de direction seront major es d un montant uniforme de 4300 francs par an dont une moiti au titre du budget de 1991 l autre au titre du budget de 1992 D autre part l indemnit de suj tions particuli res 6 200 francs pr vue pour les enseignants exer ant dans des conditions difficiles sera atiribu e aux personnels de direction des tablissements concern s compter du l r janvier 1991 L en semble de ces mesures repr sente un co t suppl mentaire d en viron 177 millions de francs Enfin il est envisag de nouvelles mesures dans le cadre du protocole d accord sur la r novation de la grille de la fonction publique Ainsi des dispositions relatives la modification du classement des lyc es seront prises rapide ment D autre part les bonifications indiciaires attach es aux emplois de direction implant s dans les tablissements de ire cat gorie seront am lior es compte tenu de la r partition de l enveloppe qui sera allou e au minist re de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports au titre des nouvelles bonifica tions indiciaires Les perspectives de carri re des personnels de direction de la l et de la 2e classes de la 2 cat gorie seront examin e
132. nt Retroitex gen ralites Fonds national de solidarit 31147 9 juillet 1990 M Jean Luc Pr el ature f attenuon de M le ministre de la solidarite de ia sant et de la protec tioa sociale sur les conditions de versement du Fonds national de sohdant En etfet te d vret n 39 921 du 22 d cembre 1989 modifiant les articles R 821 4 et R 3821 11 du code de la s curit sociale ne concerne que l allocation aux adultes handicap s alors qu ii aurait t souhaitable de l tendre au Fonds national de tOhdarit puisque c est cette cu Qui remplace AAH soitante ans li lui demande donc s il pense tendres ce d cret au Fonds national de solidant et queile date Retraites ge neralit es i Fonds nanonal de solidarnite 31405 9 juillet 1990 M Pierre Brasa ature i attention de V1 le winistre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le d cret n 89 921 du 22 d cembre 193Y modifiant les anticles R 821 4 et R 821 11 du code de ia s cunt scciaie relatif aux conditions de versement de l allocation aux adultes handicap s Ce d crer pr cise que n entrent en comme pour l at inbution de cette 2llocation ni les prestations familiales ni ia retraite du combattant ni es pensions attach es aux distinctions honorifiques ni l aftoca on de logement N entrent pas non plus en compte les rentes viag re mentionn es au 2 de lar ticle 199 septies du code g n ral xs imp ts lorsq
133. ou qu il envisage de prendre pour m itre fin ces d tournements financiers Le Point 4 juin 1990 R ponse Le tarif interminist riel des prestations sanitaires pr voit la prise en charge des proth ses internes inertes sur fac ture par les organismes d assurance maladie L absence de tarifi cation de la majorit de ces produits pose des probl mes li s l impossibilit de contr ler d une part la qualit des proth ses implant es et d autre part l ad quation du niveau des prix fac tur s aux organismes sociaux aux performances techniques et th rapeutiques des appareils En cons quence certains de ces roduits font actuellement l objet d une tude en vue d appr cier opportunit d une modification des modalit s de leur prise en charge par l assurance maladie a Etablissements sociaux et de soins centres de conseils e de soins Ile de France 31473 16 juillet 1990 M Jean Yves Autexler attire l at tention de M le ralsistre de la solidarit de la sant et de la ection sociale sur la situation des centres de sant sociaux ut non lucratif Depuis cing ans cinquante scpt de ces centres dont dix sept en 1989 ont t ferm s en Ile de France Les diffi Cult s de telles institutions dont l utilit est reconnue semblent provenir selon les associations du monde mutualiste en grande partie de la diff rence existant entre leur r gime social et fiscal et ASSEMBL E NATIONALE 4633
134. participation s l ve milliard de francs soit un gain effectif moyen par m decin concern d environ 1 009 francs par mois Les m decins concern s acquitteront des cotisations hauteur de 2 p 100 de la totalit de icurs revenus alors que les taux normalement appliqu s s tablissent 7 7 100 sous plafond et 4 9 p 100 au del Par ailleurs les tarifs des principales lettres cl s ont t revaloris s D s la signature de la convention une revalorisation de 5 francs des consultations et des visites est intervenue Le Gouvernement s est galement engag porter le C 100 francs en octobre 1991 au vu d un bilan de la mise en application de l ensemble de l accord conventionnel Le tarif de la consultation du g n raliste serait ainsi revaloris de 17 p 100 sur la p riode Pour autant la nouvelle convention ne traite pas de l ensemble des probl mes auxquels est confront e la m decine ambulatoire La n gociation conventionnelle qui se borne organiser les rap ports entre la s curit sociale et le corps m dical ne pouvait pas aborder ces probl mes dans leur globalit Aussi la fin de la p riode de la n gociation conventionnelle ne marque t elle qu une tape Le Gouvernement a confi M Lazar directeur gtn ral de l I N S E R M une mission d tude de concertation et de proposition afin que s engage un dialogue constructif entre l ensemble des acteurs concern s syndicats m dicaux organisa ti
135. patrimoine public et priv est l objet depuis plu sieurs ann es de d pr dations de plus en plus fr quentes qui prennent notamment la forme de bombages la peinture sur les murs des villes Ce ph nom ne pr occupant touche aussi bien des difices b n ficiant d une protection juridique au titre de loi du 31 d cembre 1913 sur les monuments historiques en raison de leur int r t historique ou architectural que le patrimoine immo bilier le plus ordinaire Le laboratoire de recherche sur les monu ments historiques a inscrit son programme les recherches sur les produits antigraffiti I travaille en particulier sur les applica tions protectrices et sur le nettoyage des salissures Par ailieurs il convient d indiquer que les immeubles qui sont soit class s soit inscnts sur l inventaire suppl mentaire au titre de cette Joi peu vent se voir attribuer une aide financi re du minist re de la culture de la communication des grands travaux et du Bicente naire pour des travaux de restauration ou d entretien Les di fices situ s aux abords de ces monuments historiques pe ivent aussi b n ficier de subventions pour leur mise en valeur Eufin le minist re de la culture de la communication des grands travaux et du Bicentenaire apporte une contribution financi re la d l gation interminist rielle la ville et au d veloppement urbain pour des actions de pr vention et d int gration aupr s des milieux sociaux d favor
136. pension de r version est intimement li la r flexion sur les pensions de droit direct C est ainsi que daus le cadre d une approche globale des retraites une am lioration des pen sions de r version pourra tre envisag e 5 Enfin le relev de discussion sign le 25 juin 1990 par le Gouvernement et les par tenaires sociaux pr voit que jusqu au 31 d cembre 1993 le finan cemcnt des d penses de garanties de ressources et d abaissement de l ge de ia retraite soixante ans dans les r gimes compl mentaires de retraite des salari s restera assur par l association pour la gestion de la structure financi re A S F avec une parti cipation financi re de l Etat ms 0 40 rm pt ane ma ji Retraites g n ralit s politique l zard des retrait s 27486 23 avril 1990 M Yves Coussin attire l attention de M le ministre de la soiidxrit de la saat et de la protec tlon soclale sur le m contentement exprim par les retrait s du Cantal sur les points suivants 19 absents des conseils d adminis tiation et des commissioris paritaires de l Unedic des Assedic de la C N A M de la C N A V des C R A M et des C P A M ainsi ue des caisses de retraites compl mentaires les int r ts des dix millions de retrait s ne peuvent tre correctement d fendus ue des d l gu s d sign s par les grandes lib ratrice dans ces ils souhaitent donc f d rations de retrait s si gent avec voix organismes
137. personnes ayant comme r sidence principale une caravane pouvant justifier d une quittance de loyer et qui ne peuvent actuellement pr tendre une aide au logement Nombre de ces personnes sont b n fi ciaires du R M Elles devraient avoi droit l allocation loge ment caract re familial ou caract re social tel que pr vu par les textes sur le R M I publi s au Journal officiel du 17 d cembre 1988 page 15803 Or lorsqu un dossier de demande d allocation logement est d pos la Caisse d allocation familiale refuse syst matiquement arguant du fait que vivant en caravane ils ne peuvent pr tendre cette allocation 1l lui demande donc ce qu il compte faire pour que les personnes habitant en cara vane puissent b n ficier d une aide au logement Question trans mise Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charg de la famille R ponse En application des articles L 542 2 L 831 2 et L 831 3 du code de la s curit sociale le droit l allocation de logement est ouvert aux personnes payant un minimum de loyer ou s acquittant de mensualit s d accession la propri t et habi tant un logement r pondant des normes minimales de salubrit et de peuplement L objectif vis par le l gislateur a t de per mettre aux m nages de se loger dans des conditions de confort et d ind pendance satisfaisants Ces conditions peu contiraignantes
138. pr s du centre de gestion et le conseil d administration s tonnent de la prise en charge par le centre d partemental de gestion des agents de cat gories B C et D dont les emplois ont t supprim s par des Collectivit s ou tablissements non affili s Malgr la contribution plus lev e des collectivit s et tablissements non affili s au moment de la prise en charge le centre de gestion terme fera appene par le biais des cotisations aux seules collectivit s affili es le poids financier de ces suppressions d emplois Consi d rant la prise en charge financi re il pourrait tre envisag d instaurer un droit de recours qui serait ventuellement exerc ar le centre de gestion d partemental envers la collectivit ou tablissement qui a d cid la suppression d emploi Dans le cadre des missions correspondant leur grade confi es aux agents pris en charge il conviendrait d accorder au centre de gestion d partemental la possibilit d offrir aux collectivit s affili es ou non l emploi d agents pensionnaires sous contrat dur e d termin e sous r serve d une contribution financi re Cette dis position permettrait aux collectivit s de faire face des besoins urgents et temporaires en employant du personnel d j qualifi et sans risque de versement ult rieur d allocations de ch mage Il lui demande donc s il envisage une modification des textes concern s 4814 R ponse La loi n 84 5
139. pr sence d un accident de la circulation et fait r f rence notamment au balisage et aux gestes qui doivent tre ex cut s imm diatement L enseignement dispens dans les autos coles devra tre conforme ce programme C est pourquoi l ensemble des 20 000 enseignants de la conduite sera recycl parur de cet automne et sur une p riode de trois ans sous la responsabilit de la direction de la s curit et de la circulation routi res Circulation routi re signalisarion Loire Atlantique 32657 6 ao t 1990 M Joseph Hesri Maujo an du Gasset expoie M le secr taire d Etat aupr s du misistre de ma D du iogement des transports et de ia mer charg des transports routiers et fluviaux qu ont t peints sur la R N 137 dans sa travers e d A grefeuille en Loire Atlantique des V en vue de limiter la vitesse des automobiles 1l semble qu il s agit d un prototype de ralentisseur Il lui demande quelles conclusions on peut l heure actuelle tirer de cet essai R ponse Le dispositif remarqu par l honorable parlemen taire fait partie de ce qui est d nomm avertisseur visuel de danger ou A V D Plusieurs sont en cours d exp rimentation dont celui de la commune d Aigrefeuille Ce dispositif est ur marquage au sol qui vise faire ralentir les v hicules lap proche d ur point dangereux Ce marquage la peinture est constitu de treize chevrons sur 140 m tres de longucur La tailic
140. prises a ronautiques fran aises sont m me de concevoir et de roduire un appareil polyvalent pouvant rempiir la mission de ombardier d eau Hispano Suiza a la capacit en coop ration avec Turbom ca de mettre en chantier un moteur r pondant aux sp cifications requises La connaissance industrielle le savoir faire des salari s d Hispano Suiza li s la gamme de turbines de 1 800 2000 CV de Turbom ca doivent permettre de produire ise octobre 1990 un moteur dans un d lai rapproch au m me titre que la soci t Atrospatiale a les comp tences pour d finir et produire un avion de type copeur comme les professionnels de la lutte anti incendie le r clament Cette soci t a d j tudi un tel appareil et un projet existe dans les cartons D autre part la soci t Das sault con u un syst me de largage d eau pour le Br guet Atlan tique Tenant compte de ces tudes et mat riets en d veloppe meni l industrie fran aise es en avance l s agit de profiter de cette avance sur la concurrence trang re De plus cette coop ra tion franco fran aise aurait le double avantage de pr server et de d velopper notre industrie et nos emplois ainsi que de soulager le d fici du commerce ext rieur 1 lui demande quelles mesures il compte prendre afin de permettre ces projets de voir le jour le plus rapidement possible Question transmis M le ministre de l Int rieur R ponse Le dispositif
141. production au sein de la communaut Le ministre dc l agriculture et de la for t s est per sonnellement engag sur ces dossiers plusieurs reprises devant le conseil des ministres des coinmunaut s ainsi qu en crivant au Commissaire des communaut s europ ennes charg de l agricul ture et ses homologues europ ens Les positions tr s r s prises par les repr sentants fran ais ont permis d obtenir peu peu des r sultats tangibles comme la prise en compte des b ta agonistes dans les plans de surveillance harmonis s d s 1989 ou la diffusion et l harmonisation de m thodes d analyse Aux Pays Bas les autorisations de mise sur le march es m dicaments v t rinaires contenant ces subs ances n ont pas t renouvel es en mars 1990 Enfin la commission des communaut s a compris la n cessit de diligenter une mission d inspection sur l usage ill gal des substances arabolisantes laquelle proc de actuellement des enqu tes tr s compl tes dans les diff rents Etats membres concern s Ces mesures n cessaires ne sauraient cependant tre consid r es comme suffisantes et il convient de rester vigilant sur un dossier complexe en volution constante Les pouvoirs publics poursuivent leur action pour une harmonisation des mesures mises en uvre au sein de la Communaut conomique euro ptenne afin d viter toute distorsion de concurrence entre les leveurs des diff rents Etats de maintenir la qualit des produc
142. qu elles puissent b n ficier de la pr retraite R ponse Les assur s du r gime g n ral de la s curit sociale g s de moins de soixante ans qui pr sentent une invalidit r duisant au moins des deux tiers leur capacit de travail ou de gain peuvent percevoir une pension d invalidit calcul e selon la capacit de travail restante sur la base de 30 ou 50 p 100 du salaire annuel moyen des dix meilleures ann s A soixante ans cette pension d invalidit est transform e d office en pension de vieillesse Il n est pas envisag par ailleurs d abaisser l ge minimal l gal de soixante ans auquel les assur s de ce r gime et des r gimes align s sur lui artisans commer ants salari s agri coles peuvent b n ficier de la pension de vieillesse au taux plein de 50 p 100 lorsqu ils totalisent trente sept an7 et demi d assu rance tous r gimes de retraite de base confondus En effet la situation financi re difficile laquelle doivent faire face nos r gimes de retraite ne permet pas de prendre une telle mesure m me au profit de cat gones particuli res aussi dignes d int r t soient elles Re raites compl mentaires politique l gard des retrait s 31705 23 juillet 1990 M Serge Charles attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protec tion sociale sur le financement de la retraite compl mentaire soixante ans Devant l urgence qu il y avait r soudr
143. quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son lutur plan national pour l environnement ASSEMBL E NATIONALE oo a a 1 0 0 A DA AT n e e A a 4595 Environnement politique et r glementation 31986 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupres du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Il est fait obligation au maitre d ouvrage des travaux publics d in s rer dans le cahier des charges une variante permettant de valo riser les mat riaux issus du recyclage pneus m chefers st riles d activit s industrielles gravats lorsque la nature des travaux l autorise 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnemen
144. qui soient galement d excellents gestionnaires Cela conduit recruter dans une tr s large proportion des techniciens territoriaux titulaires d une for mation sup rieure de niveau Bac 2 Or il se trouve que le statut particulier de ces agents pr voit un recrutement au niveau du bac il y a l un d calage entre le texte et la r alit des besoins qui se traduit par une difficult croissante recruter des techniciens comp tents compte tenu de la r mun ration qui leur est offerte 11 apparait donc n cessaire de proc der une r vision du statut du technicien territorial en pr voyant un recrutement externe de titulaires de dipl mes homologu s au niveau ll bac 2 ce qui est le cas dans la pratique Cela permettrait compte tenu du r cent accord sur la grille de la fonction publique L api ce cadre d emploi au classement indiciaire interm diaire M Jean Paul Bachy souhaite connaltre ses inten tions sur cette proposition Fonction publique territoriale statuts 32046 23 juillet 1990 M Aisin Madelin attire l attention de M le ministre de l iat rieur sur les conditions de recrute ment des techniciens des collectivit s locales Les techniques vo luent rapidement et n cessitent pour leur mise en uvre la pr sence de cadres comp tents qui soient gaiement d excellents gestionnaires Cela conduit recruter dans une tr s large propor tion des techniciens territoriaux titulaires d une formation s
145. r e sans qu aucun calendrier d application ne soit par ailleurs donn Il lui demande donc quelles mesures il envisage de prendre pour l application de cette d cision Professions param dicales infirmiers et infirni res 32998 20 ao t 1990 M Michei Voisin appelle l attention de M ie ministre de ia soiidarit de la sant et de ia protec tion sociale sur les interrogations et le m contentement exprim s par les infirmi res lib rales Dans le cadre conventionnel des n gociations ont eu lieu retznant semble t il l avis favorable de son minist re Mais plusieurs mnis apr s ces propositions aucun arb trage n a pu intervenir pour revaloriser 23 francs la valeur des lettres de l A M I et de l L F D rest es 14 30 francs et 7 80 F depuis le ler juillet 1988 malgr uue augmentation r gu li re des charges des professionnels concern s ce retard s ajoute celui concernant la nomenclature des actes profes sionnels qui ne prend nullement en compte le r le prone de l infirmi re lib rale tel qu il est d crit dans le d cret de comp tence du 17 juillet 1984 Ces constats et consid rations semblent en totale contradiction avec l objectif de la sant pour tous en kJ E S 4636 l an 2000 d fini par l organisation mondiale de ia sam qui fait de l infirmi re l l ment fondamental de ce d fi En cons quence ii lui demande de bien vouloir ivi pr ciser le calendrier des mesures q
146. r sultats g n ralis e nu plan national ler octobre 1990 R ponse Le bilan tabli au 31 d cembre 1989 permet de d nombrer 324 593 b n ficiaires du revenu minimum d insertion en m tropole et 71567 dans les d partements d outre mer La d pense pour cette allocation toujours au 31 d cembre 1989 s l ve 4913 348 179 francs pour la m tropole et 1 020 906 679 francs pour les d partements d outre mer sachant que le montant moyen servi aux allocataires se situait entre 1 750 francs et 2 000 francs en m tropole et entre 1 250 francs et 1 500 francs dans les d partements d outre mer Au co t de la prestation proprement dite il Convient d ajouter les frais de ges tion la charge des organismes instructeurs et payeurs ainsi que les d penses mises la charge des d partements par la loi d penses qui compte tenu de leur caract re et du peu de recul dans le temps ne sont pas encore actuellement connues Par ail leurs le nombre de b n ficiaires du revenu minimum d insertion ayant sign un contrat d insertion est gal 30 p 100 du total des b n ficiaires En ce qui concerne le d partement de la Haute Marne le nombre r el de b n ficiaires couverts actuellement par un contrat est gal 50 p 100 du total des b n ficiaires ce qui place ce d partement dans une position honorable mais ne sau rait lui Conf rer un caract re exemplaire certains d partements ayant un taux nettement sup rieur
147. rapport ces l ments et notamment s il est pr t prendre les mesures l gales et r glementaires qui permet traient de corriger ces ysfonctionnements ou bien s il pense que c est uniquement par la voie judiciaire que ces probl mes doivent tre r gl s M Claude Barate est d avis que dans cette affaire il vau mieux pr venir en assurant un meilleur fonctionnement qu intervenir post riori par le recours contentieux Handicap s C D E S et COTOREP 33928 ler octobre 1990 M Pierre Andr Wlltzer appelle l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la soll arit de ia sant et de la protzction sociale charg des handicap s et des accideat s de la vle sur la r cente publica tion per l Association des paralys s de France d un livre blanc intitul Arbitraire et ill galit s et recensant les obstacles constat s ar les Intervenants sociaux dans l application des textes l gis atifs et r glementaires prot geant les personnes handicap es 11 lui demande de bien vouloir faire proc der une enqu te pour v rifier l exactitude des faits d nonc s et si ceux ci sont av r s d intervenir aupr s des structures plac es sous sa tutelle et des services sociaux d partementaux pour que leur soit rappel e l obligation d appliquer en faveur des handicap s comme de tous re du service public de protection sociale les r gles de roit Handicap s C D E S et COTOREP 33974 ler
148. re accord e avec beaucoup de rigueur et selon les besoins du moment Ensuite c est un v ritable barrage pour la poursuite de la carri re l antorisation de servir jusqu la limite d ge dite sup rieure savoir cinquante cinq ans pour un adjudant chef de l arm e de terre auquel il se voit confront Ainsi si le sous officier n a pas eu la chance de franchir cette derni re barri re il se verra contraint de quitter l arm e l ge de trente sept ans pour un sergent chef trente neuf ans pour un adjudant quarante deux ani pour un adjudant chef Or il est probable qu cet ge il aura des charges de famille et comme dans beau coup d autres foyers fran ais des dettes rembourser Loin de la 4560 garantie de l empioi et de l avantage d tre fonctionnaire b n fi ciaire alors d une modeste retraite appel e improprement avan tage vieillesse il va chercher un emploi dans ie secteur priv Malheureusement bon nombre de conventions collectives interdi sent l embauche d un ancien militaire sous le pr texte qu il b n ficie d une pension de retraite m me si celle ci ne r mun re que quinze ans de service et que son montant n est gu re sup rieur au minimum vieillesse Depuis longtemps les militaires en retraite demandent qu un texte de loi soit So ou qu un r giement soit ris Concernant le croit au travail des militaires retrait s Aussi ui demande t il de bien vouloir lui pr ciser ses i
149. recrut s en qualit d d l gu s auxiliaires et ne peuvent pas pr tendre un reclasse ment Il n est pas actuellement envisag de reconsid rer la r gle mentation en vigueur Enseignement sup rieur D E A Bouches du Rh ne 30438 25 juin 1990 M Fran ois L otard attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur l ventuelle suppression du D E A Environnement marin cr e en octobre 1988 et d livr par l universit d Aix Marseille 111 11 lui indique que son programme sp cifique ne fait en aucun cas double emploi avec les forma tions d j existantes 1 soutient en tous points ce cursus qui a non seulement une ambition interr gionale neuf universit s repr sent es sur la fa ade m diterran enne ont manifest leur int r t mais galement une vocation europ enne et afncaine Ce D E A qui participe un programme Eramus regroupant vingt universit s europ ennes int resse vivement les autont s locales et r gionales qui per oivent un int r t pour le d veloppement socio conomique de la frange littorale m diterran enne dans le cadre de l ouverture europ enne de 1993 C est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer les intentions de son admi nistration sur ce dossier R ponse Le D E A Environnement marin connaissance valorisation et adaptations pr sent par M Vicente professeur l uni
150. sident de la commission administra tive du service Eoen d incendie et de secours conform ment au d cret no 89 229 gu 17 avril 1989 Pour ce qui a trait la commission de r form d partementale il souhaiterait plus particuli rement savoir s il lui appartient comme pr sident du conseil g n ral de d signer les deux repr sentants du personnel syndicat lus la C A P d partem ntale cat gorie C pour si ger la commission de r forme d partementale D autre part il aimerait savoir quel niveau se fera la d signation des repr sentants du perscnnel des cat gories A et B R ponse La composition de la commission d partementale de r forme est fix e par les articles 3 5 de l arr t du 28 octobre 1958 fixant la constitution le r le et le fonctionne ment de cette commission La mise en application des disposi tions de cet arr t doit toutefois tenir compte de l intervention du d cret du 17 avril 1989 relatif aux commissions administratives paritaires Ces commissions ont en effet remplac les conseils d administration pour leurs attributions relatives la gestion des sapeurs pompiers professionnels En ce qui concerne la d signa tion des repr sentants des communes et des tablissements publics intercommunaux il n existe plus de commissions pari taires communales ou intercommunales comp tentes l gard des sapeurs pompiers professionnels 11 convient donc de d signer les repr sentants de l
151. sont charg s de collecter et faire liminer les d thets toxiques en quantit s dispers es des particuliers Le financement de cette disposition est imput aux redevances d enl vement et de trai Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE tement des ordures m nag res Les m mes coliectivit s sont charg es d offrir un service de ce type aux artisans et commer ants titre payant Compte tenu de la sp cificit de ces produits et du co t de collecte et d limination le d partement zeut tre d l gu comme ma tre d ouvrage Pour mettre en uvre cette collecte de la fa on la plus rationnelle et la plus conome le d partement labore en outre un sch ma d partemental de collecte et d limination des d chets toxiques en quantit s dispers es des artisans et commer ants ll lui demande de quelles tudes cette proposition a tait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans ie cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32043 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et uatureis majeurs qu en applicatio
152. syst me que de fa on temporaire Aussi souhaite t 1l savoir ce qu il compte entre prendre pour calmer l inqui tude des m decins hospitaliers Retraites compl mentaires Ircantec 32544 6 ao t 1990 Mme Yann Piat attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection soclale sur les probl mes de retraite qui irniqui tent actuellement les m decins des h pitaux publics En effet ceux ci b n ficient d une retraite compl mentaire de la s curit sociale tant affili s l Ircantec Or il s av re que cet organisme conna t une grave crise financi re qui tient la progression de ses charges plus rapide que celle de ses recettes Le rel veinent des taux de cotisa tions des b n ficiaires et des employeurs qui a t institu compter du ler janvier 1989 par le d cret du 30 d cembre 1988 ne permettra de restituer l quilibre du syst me que de fa on temporaire En cons quence elle lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour soit maintenir le r gime soit le ratta cher d autres Retraites compl mentaires Ircantec 32545 6 ao t 1990 Mme Ellsabeth Hubert appelle l at tention de M le ministre de la soll arit de ia sant et de la protection soclale sur la crise financi re que traverse actuelle ment l Institution de retraite compl mentaire des agents non titu laires de l Etat et des collectivit s publiques En effet l Ircantec voit ses Ch
153. t sur une disposition de la loi du 23 janvier 1990 compl mentaire la loi n 88 1202 du 30 d cembre 1988 relative l adaptation de l exploitation agricole son environnement conomique et social en l occurrence l article 69 En effet cet article traite des per sonnes ayant la fois une activit non salari e agricole et une activit non salari e non agricole et stipule qu un d cret d ter mine les conditions d application de cet article Or ce d cret n est toujours pas paru Les agriculteurs ayant donc une pluri activit ne savent pas dans quelles conditions ils doivent d clarer leur activit 11 lui demande de bien vouloir lui apporter des informa tions sur cette question R ponse En mati re de protection social la loi du 23 jan vier 1990 compl mentaire la loi n 88 1202 du 30 d cembre 1988 relative l adaptation de l exploitation agricole son environnement conomique et social comporte deux dispo sitions tendant faciliter le maintien un seul r gime social en cas d extension ou de diversification d activit s La premi re permet de rattacher au seul r gime agricole sans qu il soit besoin de fixer un seuil les activit s d accueil touristique ayant pour support l exploitation celles ci tant d sormais assimil es des activit s agricoles Par ailleurs une deuxi me mesure pr vue l article 69 de ladite loi vise permettre aux personnes exer ant deux activit s non salan es de rele
154. tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La l gislation relative aux tudes d impact est renforc e notam ment pour dissocier la ma trise d ouvrage de l analyse de l tat ini tial de celle des tudes de l impact proprement dit et des mesures compensatoires et pour pr voir le financement et la r alisation d un bilan a posteriori des effets r els des am nagements ex cut s L obligation de l tude dut esi largie notaniment aux pians d occupation des sols 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pou l environnement Environnement politique et r glementaticn 31968 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques tecinologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e
155. taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui iui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Asseribl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un label national silence est accord aux communes ayant consenti un effort particulier er mati re de lutte contre les nuisances sonores Le minist re de l environnement assure la publicit n ces saire au soutien de cet effort 11 lui emande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31989 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mardat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio
156. titres requis des candidats aux concours de recrutement de l enseignement public Le dispositif l gislatif r gissant les rap rts entre l Etat t les tablissements d enseignement priv s a instaur pour ces ma tres un r gime de parit avec ceux du sec teur public mais ne pr voit pas pour autant un syst me de recru ternent direct par voie de concours externe Seuls les candidats ui au moment de leur inscription au concours avaient la qua lit de ma tre contractuel ou agr d un tablissement d enseigne ment priv sous contrat peuvent lorsqu ils sont re us demander leur maintien dans un tablissement d enseignement priv sous contrat d association Cependant les possibilit s pour les ma tres contractuels r mun r s dans une chelle d auxiliaires d acc der une chelle de titulaires se sont tr s largement am lior es avec l augmentation constante du nombre de promotions offertes aux concours d acc s et pour les listes d aptitude D O M T O M Guyane enseignement sup rieur 32148 30 juillet 1990 M Elie Castor salue l initiative de M ie miaistre d Etat ministre de l ducation nationaie de la Jeunesse et des sports qui a voulu en int grant la dimension r gionale faire des assises nationales Universit 2000 un haut lieu de r flexion et d changes dans le cadre d une large concer tation entre les responsables universitaires politiques et cono miques ll lui demande de bi
157. travailleurs frontaliers ressortissants de la C P A M de Thionville La C P A M de Thionville fait valoir l argument suivant que la r glementation actuellement en vigueur ne permet pas de faire b n ficier cette cat gone de travailleurs d une carte d assur social comportant une p riode de maintien du droit aux prestations tant donn que leur caisse d affiliation trang re respective peut tout moment nous signifier une date de fin de droits aux prestations Il faut noter que si le travail leur frontalier perd ses droits de l institution allemande cela veut dire qu il a t licenci Dans ce cas le travailleur frontalier rel ve nouveau de plein droit du r gime local de la s curit soclale Donc il y a prise en charge imm diate de la C P A M dont il sst ressortissant Pourtant la mise en place de cette carte d j depuis quatre ans pez la C P A M de Sarreguemines s est d roul e dans les meilleures conditions et ne pose aujourd hui aucun probl me 11 lui demande donc les mesures qu il compte prendre au niveau de la C P A M de Thionville pour qu il n y ait lus de discnminations en la mati re entre les travailleurs fronta 1ers R ponse Le r glement CEE no 1408 71 pr voit dans son articie 19 que le travailleur qui r side sur le terntoire d un Etat membre autre que celui sur le territoire duquel il est employ re oit les prestations en nature de l assurance maladie de l insti tution de son lie
158. version Il lui demande quelles initiatives il compte prendre ur poursuivre l am lioration de la situation mat rielle des emmes veuves R ponse Notre syst me de protection sociale doit traiter les cons quences du veuvage de fa on diff rente selon l ge du conjoint survivant 1 Pour ce qui concerne les conjoints survi vants les plus jeunes tout doit tre mis en uvre pour que ceux ci prennent ou reprennent une activit professionnelle qui seule leur permettra d assumer leurs charges notamment leurs charges d ducation des enfants Le sysi me de protection sociale doit dans ce cas ssurer au conjoint survivant a Pendant un temps minimum d une part un revenu garanti c est t objet de l allocation de parent isol de assurance veuvage des alloca tions d insertion montant major et le cas ch ant du revenu minimum d insertion d autre part une couverture maladie l ar icie L 161 15 du code de la s curit sociale pr voit ainsi un maintien de la couverture acquise en tant qu ayant droit du d funt pendant un an ou jusqu au troisi me anniversaire du der nier enfant charge b Pendant l ducation des enfants une prestation compensant les charges dues leur ducation par un parent seul c est l objet de l allocation de soutien familial La situation du march de l emploi a conduit r cemment abaisser l ge auquel le conjoint survivant est consid r comme ne pou vant plus reprendre qu
159. veuves sans enfant It lui demande s il ne serait pas possible de revoir le bar me du taux en ati nuant son caract re d gressif Retraites g n ralit s allocation de veuvage 29322 4 juin 1990 M Jeaa Luc Preel attire l attention de M ie ministre de la solidarit de la saat et de la protection sociale sur la r elle destination des fonds collect s pour l assu rance veuvage Les fonds sont en principe r serv s aux veufs et veuves La gestion est assur e par la Caisse nationale d assurance maiadie Le fonds de roulement au 31 d cembre 1989 se monte 8 534 milliards de francs 11 iui demande quoi sert ce fonds de roulement pl thorique de l assurance veuvage Retraites g n ralit s pensions de r version 29392 4 juin 1990 M Augustia Bonrepaux attire l atten tion de M le miaistre de la soiidarit de ia sant et de la protection sociale sur la situation de nombre de veuis et de veuves lors du d c s de leur conjoint lorsque ce dernier tait ler octobre 1990 titulaire d une pension modeste Ceux ci se trouvent souvent dans une situation difficile car la plupart des charges logement Chauffage clairage taxes locales etc restent inchang es alors que les ressources sont diminu es de moiti Il lui fait remarquer que dans ce domaine la l gislation fran aise paralt moins avanc e que dans la plupart des pays europ ens et lui demande en cons quence s il envisage de porter le ta
160. vision du statut des techniciens territoriaux 4618 2 en pr voyant un recrutement externe de titulaires de dipl mes homologu s au niveau III Ceci permettrait compte tenu du r cent accord sur la grille de la fonction publique d int grer ce cadre d emploi au classement indiciaire intermediaire 11 s agirait i d une remise niveau statutaire dont le linantement est prevu dans l accord du 9 f vner 1990 Question transmise M le ministre d legue aupr s du ministre de l interieur Fonction publique territoriale statuts 31226 9 juillet 1990 M Jacques Farran attire l attention de Mi le secretaire d Etat aupres du ministre de l int rieur charge des collectivit s territoriales sur le statut des techni ciens terntueriaux Les lois de decentralisation en accordant de larges competences aux coilectivit s territoriales ont amen les lus s entourer de techniciens de pius en plus qualifi s ayant en outre des connaissances jundiques administratives et de gestion Aussi bien que le statut de ces fonctionnaires permette un recru tement au niveau baccalaur at aujourd hui 75 p 100 des laur ats re us au conitiurs sont titulaires du dipl me de niveau Bac 2 Les r mun rations ne tenant pas compte de cette volutior on assiste de nombreux d parts de ces fonctionnaires vers le sec teur prive Les collectivit s rencontrent de plus en plus de diffi cult s pour oir les emplois d encadrement technique
161. volutions sont li es la mise en place dans tous les grands pays industrialis s de normes lev es dans le domaine de la recherche pharm eutique d la fabrica tion et du contr le Les pays d sirant s assurer de la qualit des m dicamerts consomm s sur leur territoire ou export s dans les pays tiers ce qui constitue le cas de la France qui est 4 exporta teur au clan mondial doivent obligatoirement suivre cette volu tion En 1976 le pharmacien inspecteur de la sant tait essen tiellement l inspecteur des officines en 1990 il est d abord celui de l industrie pharmaceutique valuation et fabrication Si ce corps de fonctionnaires scientifiques a jusqu pr sent su voluer parall iement l industrie pharmaceutique et acqu rir un haut niveau scientifique son actuel statut est si peu attractif que les postes mis au concours ne sont pas tous pourvus et que le nombre de d missions augmente Cette situation tr s inqui tante pourrait nuire la qualit du m dicament mis au point fabriqu et utilis en France mais aussi la position de notre industrie pharmaceutique face la concurrence internationale C est pour quoi il para t urgent de revaloriser le statut des pharmaciens ins pecteurs de la sant en particulier par des am liorations sala riales afin que ce corps conserve et m me am liore son niveau H faut en outre observer qu un corps scientifique comparable celui des m decins inspectsurs
162. voyant le maintien dcs d passements de tarifs ou leur gen rvlisation En effet un tel accord cntrainerai une augmentation des d penses la charge des familles et constitue rait in vitablement une atteinte au droit la sa i pour tous S il est vrai que la revalorisation des honoraire des m decins sp cia listes et g n ralistes s impose elle doit se r aliser dans le cadre d un accord favorisant le droit la sant de tous Cet imp ratif impose de prendre des mesures nouvelles pour le financement de la s curit sociale Aussi it lui demande quelles mesures il entend prendre pour permettre un nouveau d veloppement du HER de soins fran ais prenant eu compte ie droit la sant e tors S curit sociale conventions avec les praticiens 2684 9 avril 1990 M Claude Birraux demande M le mis stre de la solidarit de ix sari et de la protection sociale de bisn vouloir lui pr ciser la suite que le Gouvernement a donn e aux pr occupations exprim es entre autres par la mutualit de Haute Savoie concernant son hosiilit tout projet d accord entre les syndicats de m decins et les caisses nationales d assurance maladie pr voyant le maintien des d passements de tarifs ou leur g n ralisation et son opposition la mise en place d un texte conventionnel dissociant le prix r ellement deman par les m decins aux assur s sociaux du tanf de remboursement Sant pubiique politique de la sant
163. 0 M Bruno Bourg Broc demande M ie ministre d l gu aupr s du ministre d Etat ministre des affaires trang res charg de la francophonie quelles sont ses Intentions pour assurer le d veloppement de l enseigne ment du fran ais dans les pays de l Est il lui demande quelles sont les mesures envisag es tant sur le plan quantitatif que sur le plan qualitatif Sur ce plan il suffit de parcourir le contenu des manvels de fran ais qui servent de support cet enseignement dans les pays de l Est pour se rendre compte de l ampleur de l effort faire pour viter que l enseignement de notre langue ne soit le pr texte la diffusion d une id ologie que la France pays des droits de l homme ne saurait partager R ponse Le d veloppement du fran ais dans les pays de l Est appelle des mesures d une ampleur videmment variable selon les pays en fonction d2 leur taille des caract ristiques de leurs structures ducatives et de la piace qu y occupait tradition nellement notre langue Le d partement travaille pour l ensemble de ces pays sur une probl matique commune visant la fois r pondre des priorit s toutes nouvelles qui n taient pas cou vertes par notre coop ration classique et r clament des solutions neuves et la modernisation des r seaux traditionnels d ensei gnement Voici les axes principaux de ce sch ma 1 Cr ation d un dispositif de mise niveau linguistique des cadres destin s r
164. 0 Thierry Mandon ler octobre 1990 HANDICAP S ET ACCIDENT S DE LA VIE Nos 32063 Georges Hage 32158 Mme Marie No lle Liene mann 32204 Edmond Herv 32205 Andr Delehedde 32206 Robert Poujade 32207 Jean Marie Bockel 32223 Jean Yves Le Drian 32224 Roger Leron Las Thierry Mandon 32384 Henri Bayard INDUSTRIE ET i ni DU TERRITOIRE No 32067 Daniel Le Meur 32121 Alain Bocquet 32135 Jean Desanlis 32323 Georges Chavanes INT RIEUR Nos 32114 Charles Ehrmann 32126 Henri Cuq 32208 Fran ois L otard 32279 Philippe Legras 32322 Michel Pelchat 32336 Jean Fran ois Mance 32337 Jean Fran ois Mance 32342 Charles Miossec INT RIEUR ministre d l gu Ns 32347 Andr Lejeune 32387 Pierre Andr Wiltzer JUSTICE Nos 32076 Jean Louis Masson 32281 G rard L onard 32293 Andr Berthol 32306 L once Deprez 32324 Bruno Bourg Rroc 32354 Jean Louis Masson 32355 Jean Louis Masson 32389 Francis Geng LOGEMENT Nos 32117 Fran ois Asensi 32143 Jean Louis Dumont 32209 Henri Bayard 32296 Charles F vre 32309 L once Deprez 32314 Bernard Bosson 32317 L once Deprez 32334 Serge Charles ASSEMBL E NATIONALE e Nos 32060 Andr Durome a 32390 L once Deprez 32123 Andr Durom a SOLIDARIT SANT ET PROTECTION SOCIALE Nos 32065 Georges Hage 32069 Gilbert Millet Deprez 32093 L once Deprez 32106 32115 Alain Bonnet 32125 Eric Raoult
165. 09 16 juillet 1990 Mme Marie France Lecuir attire l attention de M le ministre de l int rieur sur le fait qu aucune donn e relative l emploi des handicap s au sein de la fonction panique territoriale ne soit fournie dans le rapport 1988 sur ex cution de la loi du 10 juillet 1987 en faveur de l emploi des travailleurs handicap s Elle lui demande de bien vouloir envi sager un compl ment ce rapport d s qu il sere en possession de ces donn es K ponse Dans leur ensemble les r sultats de l enqu te lanc s aupr s des collectivit s locales et de leurs tablissements publics en vue de faire apparaitre les efforts faits en 1988 pour accueillir les travailleurs handicap s dans la fonction publique territoriale sont arriv s trop tardivement pour tre joints au rap rt peer au Parlement sur l ex cution de la loi n 87 517 du Q juillet 1987 Les informations disponibles au ler janvier 1988 et au ler janvier 1989 devraient n anmoins pouvoir tre ins r es dans le mes qui sera pr sent au Parlement au cours de l au tomne prochain Cultes Aisace Lorraine 31892 23 juillet 1990 M Andr Berthol demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui indiquer les r gles que doivent respecter les conseils de fabrique d Alsace Moselle pour proc der la location des biens de la fabrique Il souhaiterait notamment qu il lui soit pr cis si les locations de plus de neuf ans sont soumises un forma
166. 15 mai 1986 fixan sur tout ou partie du territoire national des niesures de protection des oiseaux repr sent s dans le d partement de la Guyane interdit en tous temps et sur tout le territoire national la destruction ou l enl vement des ufs et des nids la destruction la mutilation la capture ou l enl vement la naturalisation ou qu ils soient vivants ou morts le transport le colportage l utilisatior la mise en vente la vente ou l achat On sait que les articles L 211 1 et L 211 2 du code rural mentionnent au niveau de l es ce ia distinction entre animaux domestiques et animaux non domestiques ce qui correspond bien par exemple au cas de nos bovins dont la souche sauvage semble avoir disparu Toutefois lorsque dans une m me esp ce subsistent simultan ment souches sauvages et domestiques comme c est le cas pour le canard de Barbarie les dispositions prises pour l application des articles L 211 1 et L 211 2 du code rural ne s appliquent qu aux seuls souches non domestiques C est ce qu explique le deuxi me alin a de l ar ticle R 213 5 du code rural sont sonsid r s comme appartenant des esp ces non domestiques les animaux n ayant pas subi de modification par s lection de la part de l homme En accord avec le bon sens la r glementation carte donc le risque illusoire de confusion juridique entre un canard de Barbarie et un oiseau sauvage appartenant la m me esp ce Environnement politique et r gl
167. 16 juillet 1990 M Jean Vallelx appelie l attention de M le milalstre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur de r centes nominations d inspec teurs g n raux de l ducation nationale 11 y a un an en juillet 1989 vingt postes d inspection g n rale de l ducation nationale auraient d tre pr vus avec pnse de fonction normale la rentr e d octobre 1989 1 lui rappelle qu l poque il s est content de faire savoir qu il modifiait les attributions des inspec teurs NS les d chargeant notamment de toute mission de contr le Finalement pour la rentr e 1989 aucune nomination n tait intervenue Curieusement ce n est qu au printemps 1990 et d ailleurs apr s le congr s de Rennes du parti socialiste qu il a proc d ces nominations non pas pour vingt postes d ailleurs mais pour vingt deux car deux postes suppl mentaires ont t cr s 11 lui demande dans ces conditions s il faut voir dans ces nominations des d cisions politiques et un renforcement du cabinet minist riel plut t que des mesures int ressant le service normal de l ducation nationale Il souhaiterait savoir l ap proche des nominations pour la rentr e 1990 s il pense user des m mes m thodes dangereuses pour la d mocratie et d testables pour l ducation nationale R ponse ll n est de critiques acceptables et constructives que celles qui reposent sur la connaissance exacte des dossiers et res pe
168. 3 du 26 janvier 1984 portant disposi tions statutaires relatives la fonction publique territoriale a mis en place en ses articles 97 et 97 bis un dispositif de prise en charge des fonctionnaires territoriaux touch s par un incident de carri re qui constitue la traduction concr te du principe de la garantie d emploi Afin de pr ciser les droits des fonctionnaires territoriaux et de ne pas cr er de rupture face au principe d ga lit ce dispositif vaut pour toutes les collectivit s locales et ta blissements employeurs qu ils soient ou non affili s au centre de gestion il est donc logique qu un centre d partemental de ges tion prenne en charge des agents de cat gorie C et D et ven tueller ent B dont les emplois ont t supprim s par des collec tivit s ou tablissements non affili s Cependant afin d op rer une r partition des charges satisfaisante une diff renciation tr s nette est instaur e entre les cotisations vers es par les collectivit s et les tablissements affili s et celies que doivent supporter les autres collectivit s pour ces derni res en effet la contribution est au del de la premi re ann e suivant la suppression de l emploi au moins double de celle des collectivit s et tablisse ments affili s qui ne sont donc pas les seuls supporter le poids de la pnse en charge En tout tat de cause la mise en uvre du dispositif de prise en charge des fonctionnaires touch s par un
169. 7 p 100 des oinnipraticiens et 56 p 100 des sp cialistes La convention pr c dente ne comportait pas de limites au d veloppement du secteur Il et dans certaines zones g ographiques il devenait diffcile d acc der des soins correcte ment rembours s Les compromis auxquels sont parvenus les n gociateurs apportent cet gard certaines garanties aux ssur s les m decins ayant opt pour les honoraires diff rents devront effectuer 25 p 100 de leurs actes aux tarifs conven tionnels des limites ont t tablies aux possibisit s d option 4024 ASSEMPBLEE NATIONALE IT octoore 1770 pour les honoraires diff rents Celle ci n est d sormais ouverte qu aux chefs de cliniques et anciens assistants des h pitaux s ins tallant pour la premi re fois Toutefois cette derni re disposition valable pe au plus deux ans figure sans justification des diff rences les conditions d exercice des m decins C est pour quoi elle ne peut tre que transitoire Le Gouvernement souhaite qu une solution durable protectrice pour les assur s et quitable pour l ensemble des m d tins puisse tre rapidement mise ne place 4 Les conditions d exercice des m decins Les conditions d exercice des m decir s qui respectent les tarifs conventionnels o qui sont titulaires du droit d passement sont am lior es par la prise en charge d une partie des cotisations d allocations fami liales par les caisses d assurance maladie Cette
170. 991 de nouvelles mesures devraient permettre de pour suivre cet effort et notamment d am liorer encore le niveau de qualit du repas offert l tudiant le prix du ticket subissant par ailleurs une augmentation raisonnable compatible avec le budget moyen de l tudiant Enseignement fonctionnement Midi Pyr n es 28133 7 mai 1990 M Augustin Bonrepaux attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports sur les fermetures et suppres sion d enseignement de Russe dans l Acad mie de Toulouse C est ainsi que ces derni res ann es des enseignements ont t supprim s aux coll ge et lyc e Fermat de Toulouse russe langue 2 aux coll ge et lyc e Bellevue d Albi russe langue 2 au lyc e Marie Curis de Tarbes russe langue et 2 et au lyc e Th ophile Gauthier de Tarbes russe langue 2 La fermeture de ces enseignements galement conduit la suppression de quatre postes d enseignants dont les titulaires n ont pas pu retrouver Pr D autre part on peut noter que dans l Acad mie de Toulouse l enseignement du Russe est sous repr sent puisqu il n est assur que dans quatre d partements sur huit L volution que connaissent les pays dits de l Est et l ouverture que manifeste l Union Sovi tique rendant d autant plus n cessaire la promotion de l enseignement du Russe et son d veloppeinert il lui demande quelles mesures il entend prendre non se
171. Ann e 1990 No 39 A N Q ISSN 242 6757 Lundi 1er octobre 1990 a ee gt M CAA EAA A Lo st m er m o Tie fes mma a m iege rio PRESS cp vd SS A Je E 16 Fa at ba Ns amp da r Ee 1 ME 3 puan F ES p Eu vor Lin Un sie LT Les Ke CN 2e La Me TE iT a e 2 s 2 amp Tia RER FE gt s z gt P 3 1 D dr si rea gare 4 es Ge 3 o s Es F7 Ye pi Ge L s Pa Er 7 u i af u Si ai St d ig apea Le HE ee CE A GO DE LA R PUBLIQUE FRAN AISE K DEB l LS gt I LE Thed et tie ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 9e L gislature QUESTIONS CRITES REMISES A LA PR SIDENCE DE L ASSEMBL E NATIONALE ET R PONSES DES MINISTRES 453 ASSEMBL E NATIONALE ler actobre 1990 SOMMAIRE 1 Liste de rappe dos questions crites auxquelles ii n a pas 6t6 r pondu dans le d lai de deux MOSS eee cesse esse esreessrenenssessessesenses 4528 2 Questions crites du n 33855 au n 34033 inclus Index alphab tique des auteurs de questions mt 4542 Promier MISE series cesser mie MERS O pt a te ne are St ane 4544 Afaires trang res nqma E a erenneren eser AA Affaires europ ennes umo medio cod e senc scsononocsnoncnoonvenec00e 00608 00 88088 o0 eea IOT AN _ 4545 Agriculture ot for t sense 0e ee 00808 00 0 IERE o IENEI NN ES 4545 Anciens combattants et victimes de guerre se es sesesssssssssnnessessen
172. ES TRANG RES Politique ext rieure Pakistan 33861 1 octobre 1990 M Robert Pandran demande M ie ministre d Etat ministre des affaires trang res si compte tenu de l volution de la politique int rieure au Pakistan et de la se du Moyen Oirent le Gouvernement fran ais entend toujours honorer les promesses nucl aires faites par le Pr sident de la R publique Karachi Politique ext rieure Tunisie 33871 l octobre 1990 M L once Deprez demande M ie ministre d Etat ministre des affaires trang res de lui faire conna tre les r sultats des centres d examen du baccalaur at fran ais en Tunisie pour la derni re session comparativement aux sessions pr c dentes Institutions europ ennes Parlement europ en 33897 ler octobre 1990 En rappelant qu au Parlement europ en quatre pays ont chacun une repr sentation de quatre vinatun d put s M Henri Bayard demande M ie miaistre d Etat ministre des affaires trang res s il estime qu en raison de la r unification de l Allemagne et apr s les lections l gisla tives qui auront lieu dans quelques semaines cet Etat pourrait juger n cessaire de solliciter l augmentation de sa repr sentation parlementaire Entreprises P M E 33917 ler octobre 1990 M Denis Jacquat attire latten tion de M le ministre d Etat ministre des affairez tran g res sur la situation de certaines P M E P M I qui sous trait
173. Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et aaturois majeurs qu en ARLES du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Pian il a tabli un Apport sur la politique de l environne ment d pos le il avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Il est cr sur le p rim tre d intervention de chaque agence de bassin une agence interr gionale des d chets fonctionnant selon les m mes principes et assurant par un syst me mutualiste de m me type sous le contr le effectif des collectivit s locales et des usagers un soutien financier pour la collecte le traitement et l limination de tous les d chets Son champ d intervention est le suivant contri buer au financement au contr le et la mise en uvre des diff rents sch mas r gionaux et d partementaux de peser des d chets participer au financement et au contr le des decharges de classe I a mer rer om clement 4 end e eme mt coma ane A mega douanes mme dudit PR me ee a et ll ainsi que des centres de traitement des d chets d veiopper la recherche sur es technologies propres de stockage et d limination des d chets Les interventions de l agence interr gionale des d chets sont financ es par des redevances assises sur les d chets 1oxiqu
174. Etat engcge un Ro de collecte et d limination par des entreprises agr es des r sidus toxiques et de leurs contenants pro duits ou d tenus par ses services ou ceux des tablissements public dont il exerce lu tutelle Les collectivit s locales sont charg es de proc der de la m me fa on avec les services et les organismes d pendant de leur autorit en particulier les tablissements d ensei gnentent fl lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envircnnement Environnenent politique et r glementation 31984 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia prevention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le minist re de l environnement est charg d tudier en liaison avec les branches professionnelles concern es les modes de r cup ration par les r seaux de distribution puis par les producteurs d
175. IQUES ET NATURELS MAJEURS Politique ext rieure environnement 9470 13 f vrier 1989 M Roger Gerard Schwartzenberg appelle l attention de M le secr taire d Etat aupr s du Pre mier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs sur le fait que les menaces qui p sent sur l environnement d passent souvent le cadre national pollution des fleuves ou des mers pluies acides d chirure de la couche d ozone etc Pour pr venir et combattre ces nuissances il importe donc souvent d exercer une action coordonn e entre plusieurs Etats voisins voire au plan mondial L O N U est d j relay e par diverses institutions sp cialis es qui se consacrent la sant O M S l alimentation et l agri culture F A O etc Sans aller dans l imm diat jusqu ce degr d organisation il lui demande s il ne serait pas extr mement utile qu l initiative de la France soit maintenant cr e une haute autorit internationale de l environnement ayant pour mission de coordonner au plan international l action des Etats en faveur de la protection de l environnement et du milieu naturel R ponse Il existe d j une institution mondiaie dont la voca tion est l environnement c est le programme des Nations Unies pour l environnement La France participe au P N U E depuis sa cr ation apr s la conf rence internationale sur l environnement tenue Stockhol
176. La d cision portant approbation de tout projet soumis une enqu te pubiique comporte obligatoirement une r ponse explicite toute objection ou contre projet ayant fait valoir des pr occupations d environnement au cours de l enqu te 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son frur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31969 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention jes risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui 2 t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique ce l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi 1 dig e Dans chaque d partement le pr fet et pr sident du conseil g n rai mettent en place une formation sp cifique l intention des commis saires enqu teurs l lui demande de quelles tudes cette propo sition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son
177. M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l canomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un droit d expropriation est cr dans la l gislation au b n fice des collectivit s territoriales et de l Etat aux fins de protection de la nature de l environnement et du patrimoine rural non prot g Les objets ou espaces expropri s dans ce cadre sont soumis des obliga tions et servitudes pouvant comporter notamment l inali nabilit et l inconstructibilit 11 iui demande de quelles tudes cette propo sition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32021 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie
178. NT LOGEMENT TRANSPORTS ET MER Circulation routi re r glementation et s curit 33889 1er octobre 1990 M L once Deprez attire l atten tion de M le ministre de l quipement du iogement des transports et de la mer sur la situation cr e en France par la pi tence sur le r seau routier d automobiles immatricul es tranger et dont les conducteurs sont autoris s dans notre ys faire usage de phares blancs A cet gard de deux choses une ou les phares blancs sont dangereux iors des croisements et on ne devrait us permettre f t ce des trangers de mettre ainsi en p ril la s curit des citoyens fran ais ou le fait pour les Fran ais de croiser des v hicules quip s de lumi re blanche ne leur fait pas courir de danger particulier et il n y a pas lleu dans ce cas d interdire ces m mes Fran ais l usage de la lumi re blanche 11 lui demande donc dans l hypoth se o les phares blancs seraient plus dangereux que les jaunes lors des croise ments quelles mesures l compte prendre pour prot ger nos citoyens contre ce danger et dans ypo o ils ne seraient pas plus dangereux quelles mesures il compte prendre pour de nos citoyens b n ficient en France des m mes droits que les trangers c est dire puissent eux aussi utiliser des phares blancs sur leur v hicule automobile Produits d eau douce et de la mer marins p cheurs 33899 ler octobre 1990 M Philippe Vas
179. a commune ou de l tablissement public par tirage au sort parmi les membres de l organe d lib rant concern Pour ce qui est de la d signation des repr sentants du service d partemental d incendie et de secours le tirage au sort devra avoir lieu parmi les membres non fonctionnaires de la commis sion administrative du service d partemental d incendie et de secours En outre la commission administrative paritaire d parte mentale ayant remplac le conseil d administration la d signa tion des repr sentants du personnel non officier se fera par tirage au sort parmi les repr sentants titulaires du geroan cette m me commission administrative paritaire Ces repr sentants pourront le cas ch ant se faire remplacer par leur suppl ant En ce qui concerne enfin la d signation des repr sentants du personnel officier l absence d une commission administrative paritaire au plan d partemental oblige les d signer par voie de tirage au sort parmi l ensemble des officiers de cat gorie ou B du d partement selon le grade du fonctionnaire concern Fonction publique territoriale statuts 17118 4 septembre 1989 M Michel Jacquemin appelle l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le probl me pos par la titularisation d anciens fonctionnaires publics hospitaliers dans la fonction publique territoriale Depuis les lois de d centralisation et la r forme du statut des
180. a consid rables La fiscalit indirecte devient un moyen de lutte ccatre l alcoolisme C est pourquoi il apparalt que la communaut inspir e non pas par un souci d harmonisation mais comme un moyen de d courager la consommation du vin ne sont pas acceptables l avenir de notre production viticole tant de nouveau en danger Il lui demande donc de bien vouloir intervenir aupr s de la cominission afin que la proposition initiale qui pr voyait une harmonisstion des accises un taux moyen combin e avec une harmonisation de la T V A taux r duit soit reprise comme base pr alable de n go ciation pour une v ritable harmonisation des accises entre pays membres de la C E E _ AGRICULTURE ET FOR T Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 21434 Guy Chanfrault Mutualit sociale agricole cotisations 33872 ler octobre 1990 M Pierre Andr Wi itzer attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur les difficult s d application de la loi n 90 85 du 23 janvier 1990 compl mentaire la loi d adaptation de l exploitation agricole son environnement conomique et social Cette loi pr voit que les cotisations sociales des personnes non salari es agricoles seront progressivement assises sur les revenus professionnels des int ress s et non plus sur le revenu cadastral des propri t s Con uc dans le double obje
181. a rendre plus attrac tive il lui demande s il n estime pas que le moment est enfin venu d offrir cette cat gorie d enseignants vou s de fa on chro nique recevoir des affectations temporaires parfois loign es de leur domicile la perspective au moins au bout de quelques ann es de voir leur situation professionnelle stabilis e ENVIRONNEMENT ET PR VENTION DES RISQUES T CHNOLOGIQUES ET NATURELS MAJEURS Question demeur e sans plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 23402 Guy Chanfrault t Chasse et p che politique et r glementation 33875 ler octobre 1990 M Jacques Becg attire l attention de M le secr taire d Etat aapr s da Premier miaistre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technolo iques et naturels majeurs sur les cons quences de la modifica tion du d cret n 79 1101 du 20 d cembre 1979 La mise en application du plan de chasse grand gibier pose chaque ann e de d licats probl mes concernant les recours gracieux La f d ration d partementale des chasseurs de la Somme s tonne que l arr t du 19 juillet 1989 supprime la commission consultative de recours gracieux au profit de la seule autorit pr fectorale et rac courcit le d lai pour d cider de la suite donner quinze jours l lui demande s il envisage de revenir la pratique initiale qui semblait donner satisfaction l ensemble des parties Environnemen
182. age de r server aux propositions de n gociations avec les organisations syndicales repr sentatives afin de donner un contenu concret la politique contractuelle au sein de la fonc tion publique HANDICAP S ET ACCIDENT S DE LA VIE Handicap s COTOREP 33867 1 octobre 1990 M L on Vachet fait part M le secr taire d Etat aupr s du miaistre de la solidarit de is saat et de la protection sociaie charg des handicap s et des accident s de la vie de sa stup faction apr s avoir pris connais sance du Livre blanc publi par l Association des paralys s de France concernant les d cisions ill gales ou arbitraires prises par les COTOREP ou les services RRemenanx de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l applica tion de la loi 11 lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont ll assume la tutelle et par les services d pendant des conseils g n raux les dispositions preues par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des personnes handicap es afin que cessent ces entorses inadmissibles l tat de droit Handicap s COTOREP 33890 l r octobre 1990 M Heari Bayard appelle l atten tion de M le secr taire d Etat aapr s du ministre de la soli darit de la sant et de la protection sociaie charg des haa dicap s et des acciden
183. agit donc d un m tier sp cifique gui exige un traitement sp cifique et la cr ation d une rille indiciaire la gendarmerie devient donc n cessaire Aussi ui demande t il de bien vouloir lui pr ciser s il envisage d en gager des n gociations et ce dans quels d lais R ponse Tous les grad s de la gendarmerie ont une grille correspondant celle des sous officiers class s l chelle de solde n 4 Les sous officiers de la gendarmerie ont la possibilit Tu ler octobre 1990 d acc der rapidement l chelon de solde maximal Les adju dants et adjudants chefs peuvent b n ficier d une progression de solde cn acc dant par concours ou au choix au corps des majors qui offre des d bouch s pour les int ress s d sireux d oc cuper des postes d encadrement sup rieur L indice terminal de major correspund celui du troisi me grade de la cat gorie B type de la fonction publique Enfin les militaires de i gendar merie b n ficient titre sp cifique de l indemnit de suj tions sp ciales d police qui fait l objet depuis 1984 d une int gration progressive dans le calcul de la pension En tout tat de cause ja grille indiciaire des personnels non officiers de ia gendarmerie est beuucoup plus avantageuse que la grille 1G en vigusur jus qu en 1975 Par ailleurs conform ment au principe pos dans l article 19 11 du statut g n ral des militaires qui pr voit que toute mesure de m g n rale affec
184. ais ment justifier de leur participation effective au fonctionnement du cabinet m dical depuis 1979 par une d claration au Conseil de l ordre de participation du conjoint collaborateur non salari su fonctionnement du cabinet m dical une adh sion volontaire au r gime d assurance vieillesse loi n 87 588 du 30 juillet 1987 et d cret n 89 526 du 24 juillet 1989 incluant une d claration sur l honneur de partici tion effective au cabinet m dical sign e par les deux conjoints ne telle mesure concerne videmment plusieurs membres du Gouvernement le ministre de la solidarit puisqu il s agit de conjoints de m decins et le garde des sceaux puisqu il s agit d un l me de succession et d une ventuelle modification du code civil 11 lui demande s il n estime pas que le Gouvernement devrait prendre l initiative de faire b n ficier les conjoints non salari s des m decins de mesures analogues celles pr vues en faveur des conjoints non salari s d artisans et de commer ants Professions m dicales m decins 30923 2 juillet 1990 M Jean Michel Boucheron Ille et Vilaine attire l attention de M le ministre de la solidarit de la saut et de a protection sociale sur l article 14 de la loi no 89 1008 relative au d veloppement des entreprises artisanales et commerciales L article 14 de ce texte pr voit des avantages en faveur des conjoints survivants qui ont particip pendant dix ans l activit du p
185. ale des vouves civiles chef de famille de la Moselle ainsi que la f d ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 ration nationale ont attir son attention sur la n cessaire actuali sation des conditions d octroi de l assurance veuvage Il souhaite rait qu il lui indique ses intentions en la mati re Retraites g n ralit s pensions de r version 28180 7 mai 1990 Mme Elisabeth Hubert demande M ie ministre de ia soiidarit de ia sant e de la protection sociaie d eutoriser le cumul retraite personnelle pension de r ver sion jusqu au montant maximum de la s curit sociale Ce cumul entre droits propres et droits d riv s pourr it tre consid r comme la marque d une solidarit dans un couple o l un et l autre des menbres ont accompli un effort contributif qu il s agisse des cotisations vers es ou de l ducation des enfants qui constituent les cotisants de l avenir plus que jamais n cessaires Elle souhaiterait connaltre l avis du Gouvernement sur ce point Retraites g n ralit s pensions de r version 28766 21 mai 1990 M Jean Ciaude Bois attire l utten tion de M le ministre de ia solidarit de in saat et de la rotection sociaie sur la situation des veuves civiles chefs de amille La f d ration des veuves civiles met des souhaits au sujet des pensions de r version selon quatre priorit s la sup pression du plafond de ressources pour attribution l augmenta tion du t
186. ale des agriculteurs avec celles des autres cat gories professionnelles tant en ce qui concerne l assiette que le taux L assiette revenu cadastral en d pit des corrections apport es par les r sultats conomiques d partementaux R B E et R N E demeure en effet un indicateur imparfait des facult s contributives des agri culteurs Afin d viter les transferts de charges qui pourraient r sulter pour les agriculteurs du nouveau syst me s il s appliquait 4572 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 imm diatement dans toutes les branches il a t d cid de mettre en place la r forme de mani re prudente tr s progressivement Ainsi les charges sociales de 1990 seront calcul es pour une frac tion de la cotisation Amexa et une part limit e de la cotisation d assurance vicillesse sur les derniers revenus professionnels connus des agriculteurs c est dire ceux de 1988 la part la plus importante des cotisations restant d termin e en fonction du revenu cadastral des exploitations Par ailleurs la loi fixe au 31 d cembre 1999 au plus tard la date laquelle la totalit des cotisations seront calcul es sur les revenus professionnels des exploitants De surcroit sus proposition des deux Assembl es le Gouvernement a accept de pr senter un rapport d tape au pnn temps 1991 retra ant les carts de cotisations r sultant au plan national du changement d assiette Les conclusions de ce apport urr
187. ales la retraite du combattant les pen sions attach es aux distinctions hononfiques et l allocation de logement n entrent pas en compte pour l attribution de l alloca tion aux adultes handicro s N entrent pas non plus en compte pour l a tribution de cette allocation les rentes viag res men uonn es au 2 de l article 199 septies du code g n ral des imp ts lorsqu elles ont t constitu es en faveur d une personne handi cap e ou dans la limite d un montant fix par d cret lorsqu elles ont amp constitu es par une personne handicap e pour elle m me Les associations de handicap s sont satisfaites des mesures en cause mais rappellent que le ministre de la solidari i de la sant et de la protection sociale par lettre du 10 mars 19 adress e des parlementaires faisait savoir qu un texte r visant le versement de l allocation aux adultes handitap s et du Fonds national de solidarit tait l tude Cr le d cret pr cit ne concerne que l allocation aux adultes handicap s C est pourquoi il lui demande que les mesures qu il pr voit soient tendues au Fonds national de solidarit puisque cette prestation remplace l A AH partir de soixante ans e Retraiies g n ralit s Fonds national de solidarit 31041 2 juillet 1995 M Arnaud Lepercg attire l attention de M le ministre de la solidarit de in sante et de la protez tion sociale sur le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 m
188. alon Guy 32770 fonction publique et r formes administra tives re rs Gabriel 30928 solidarit sant et protection sociale Mora Christiane Mme 32517 famille 32519 famille Moyne Bressand Alaia 32382 famille 32383 famille solidarit sant et protection N Nayral Bersard 32234 ducation nationale jeunesse et sports N ri Alain 30842 solidarit sant et protectton sociale P Pandraud Robert 31042 solidarit sant et protection sociale Pelchat Michel 30285 solidarit sant et protection sociale P ricar Michel 30288 int rieur Perrut Francisque 22447 solidarit sant et protection sociale 27198 solidarit sant et protection sociale 28710 int rieur ministre d l gu Piat Yaaa Mme 28354 quipement logement transports et mer 31146 solidarit sant et protection sociale 32844 solidarit sant et protection sociale Pierns Louis 24568 solidarit sant et protection sociale Piate Eticaa 31043 solidarit sant et protection sociale Planchou Jean Paul 31559 solidarit sant et protection sociale Poas Bernard 30946 solidarit sant et protection sociale Pr el Jean Luc 29314 solidarit sant et protection sociale 29322 solidarit sant et protection sociale 29398 solidarit sant et protection sociale 31147 solidarit sant et protection sociale Proriol Jean
189. an qui tout en obtenant la meilleure efficacit op rationnelle recherche toutes les conomies de gestion possibles La suppression d une vingtaine d tats majors en est l illustratiou Ce remodelage g n ral de nos forces en coh rence avec l volution g ostrat gique pr visible a permis au ministre de la d fense de proposer un certain resserrement du format de nos arm xs moins 35 000 hommes Les tudes sur la mise en uvre de ce nouveau format sont en vours elles prendront notamment en compte les effectifs des unit s actuellement stationn es sur le territoire alle mand et qui doivent tre rapatri es partir de 1991 e eera Retraites g n ralit s calcul des pensions 30314 18 juin 1990 M G rard L onard appelle l atten tion de M le ministre de l2 d fense sur les garanties offertes aux retrait s militaires en mati re de d roulement d une rarri re dans la vie civile La possibilit d effectuer une seconde carri re dans le secteur civil doit en effet tre la contrepartie des carri res militaires courtes rendues n cessaires par le souci exprim par les ain s de pouvoir disposer de cadres jeunes adapt s aux besoins militaires L acquisition de nouveaux droits pension de retraite et l obtention de la totalit des prestations servies en cas de licen ciement apparaissent ainsi l gitimes aux yeux des personnels concern s Pour r pondre en partie ces souhaits la proposition d
190. ance d tre appliqu un jour en France Le dernier recensement de la population a PA im une fois de plus le d veloppement des zones urbaines et p ri urbaines des grandes agglom rations Dans ce contexte et apr s les tr s nombreuses questions des parlemen taires ce sujet M le ministre peut il indiquer dans quelles conditions il veillera ce que France T l com remplisse sa n cessaire fonction d am nagement du territoire en assurant une situation quitable tous les abonn s quelle que soit leur situa tion g ographique Postes et t l communications courrier 33930 1 octobre 1999 M Roland Nungesser attire l at tention de M le miaistre des postes des t l commuaications et de l espace sur le fait que les institutions et grands services publics attendent la p riode des vacances pour diffuser les revues brochures et rapports concernant leurs activit s Non seu lement celles ci n arrivent pas facilement leurs destinataires souvent en d placement mais surtout elles aggravent les diffi cult s de l administration des P T T qui est d j surcharg e cette p riode de l ann e 11 lui demande s il ne serait pas possible d inviter les organismes int ress s diffuser leurs publications en dehors des p riodes de cong s Minist res et secr tariats d Etat postes t l communicanions et espace personnel 33973 ler octobre 1930 M Fabien Thi m attire l atten tion de M le m
191. ant en compte ies voiu tions intervenues depuis 1972 date de la mise en piace de la nomenclature g n rale des actes professionnels des orthopho nistes Or ce jour cet avenant n est toujours pas appliqu C est pourquoi i ivi demande quelles dispositions il compte prendre afin que l accord intervenu entre son minist re et ies orthophonistes prenne effet dans ies meilleurs d lais R ponse La revalorisation de la lettre cl AMO qui r mun re l activit des orthophonistes est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de fa profession n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Cependant les propositions rela tives aux actes d orthophonie que ia Commission permanente de la nomenciature g n rale de actes professionnels a fait parvenir l administration ont t int gralement accept es par ies pou voirs publics conform ment au contenu de l arr t du 27 juin 1990 paru au Journal officiel du 6 juillet 1990 TRANSPORTS ROUTIERS ET FLUVIAUX 4 Circulation routi re accidents 24398 19 f vrier 1990 M Eric Raoult attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipement du logement des transports et de la mer charg des trans ports rou
192. ante de la n gociation Ces solutions sont en cours d labora tion Retraites r gime g n ral pensions de r version 30842 2 juillet 1990 M Alain N ri attire l attention de M le misistre de ia solida it de ia sant et de la protection sociale sur le fait que dans le cadre actuel du r gime g n ral de la s curit sociale a C N A V TS ne verse pas de pension de r version aux veuves et aux veufs de concubins 1l faut en effet tre mari depuis deux ans pour pr tendre une pension de r version Il lui demande si l heure actuelle et dans la soci t o nous vivons cette r gie ne lui parait pas obsol te et si les survivants de concubins ne pourraient pas pr tendre une pen sion de r version au bout de deux quatre ans de vie commune par exemple R ponse est confirme qu en l tat actuel des textes qui r gissent le r gime g n ral de s curit sociale la pension de r version ne peut tre attribu e qu au conjoint survivant ou au conjoint divorc de l assur d c d s il remplit notamment la condition de dur e de maringe requise La loi du 17 juillet 1980 a toutefois sasoupli cette condition puisque la dur e du mariage d j r duits deux ans n est plus exig e lorsqu un enfant est issu du mariage Mais la condition du mariage elle m me n a pas t supprim e l apparait cependant que si des droits identiques ceux des conjoints devaient tre reconnus tout
193. ap s C D E S et COTOREP 33979 ler octobre 1990 M Plerre Brana attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charg des handicap s et des accideat s de la vie sur les pr occupations de l Associa tion des paralys s de France concernant les d cisions arbitraires ou ill gales prises par de nombreuses COTOREP ou services d partementaux de l aide sociale i encontre des personnes han dicap es 11 lui demande les mesures qu il compte prendre pour que la r glementation en vigueur soit appliqu e par ces orga nismes Handicap s C D E S et COTOREP 34011 1er cctoore 1990 M Daniel Goulet appelle l atten tion de M le secritaire d Etat aupr s du ministre de la soll darit de la sant 4t de la protection sociale charg des han dicap s et des accident s de Ia vle et lui fait part de sa stuptfaction apr s avoir pris connaissance du Livre blanc publi par l Association des paralys s de France concemant les d ci sions ill gales ou arbitraires prises par les COTOREP ou les ser vices d partementaux de l aide sociale l gard des personnes ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4557 handicap es Ce document montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l application de la loi H lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces struc tures dont il assure ja tutelle
194. apeurs pompiers volontaires salari s que nen ne justifie C est pourquoi il lui semble souhaitable d tendre le r gime institu par le d cret n 85 327 du 12 mars 1985 aux sapeurs pompiers volontaires non salari s Il lui demande de bien vouloir faire conna tre son avis ce sujet ainsi que les mesures qu il compte prendre R ponse La modification du r gime de protection sociale introduite par le d cret du 12 mars 1985 concerne les sapeurs pompiers volontaires affili s un r gime obligatoire de s cunt sociale de salari Elle a conduit faire prendre en charge les indemnit s journali res vers es aux sapeurs pompiers volontaires salari s par les caisses primaires d assurance maladie Les collec tivit s territoriales assument toujours quant elles la prse en charge des soins m dicaux chirurgicaux ou pharmaceutiques et les frais d hospitalisation non co iverts par la s curit sociale L Etat participe pour moiti au r glement de ces d penses L in tervention de la s curit sociale dans le r gime de base obliga toire s effectue sans contrepartie C est dire sans cotisation nou velle la charge des collectivit s territoriales Pour les non salari s en revanche la collectivit ten itonale continue prendre en charge les indemnit s journali res et la totalit des frais m dicaux chirurgicaux pharmaceutiques et les frais d hos pitalisation r sultant de l accident ou de la maladie survenus
195. apport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le service central de s ret des installations nucl aires S CS LN est plac sous l autorit du ministre C Etat charge de l environnement et du cadre de vie de m me que le conseil sup rieur de s ret et d information sur le nucl aire C S S I N dont ie r le est renforc notamment en mati re d information du public Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services cu des services d autres d partements ct quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31972 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a t tabli un rapport politique de l environnement d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e nationale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les moyens budg taires et en personnei affect s la recherche sur le traitement et la gestion des d chets ra
196. araisor avte it gain indiciaire de la derni re promotica d chelon dans l ancien grade R ponse L article 22 du decret ne 87 1099 tu 30 d cembre 1987 portant statut particulier du cadre d em nlois des attach s territoriaux pr voit en effet que les fonction naires promus dans le cadre des r gles d avancement conservent leur anciennet cnelon dans ia limite de l anciennet x 1imale exig e pour une promation l chelon sup rieur lorsque lavan age qui r suli de leur nomin rion est inf rieur celui qu ils auraient retir d un avancement d chelon dans leur ancier grade Toutefois lorsqu l int ress tait pr alablement sa pro motion parvenu l ch n terminal de son grade le b n fice retir de la nomination au grade sup rieur doit tre compar l aigmentation de traitement obtenue lors du dernier avancement d echelon en l occurrence lors du passage du 8e au 9s chelon JUSTICE Juridictio s administratives personnel 22917 15 janvier 1990 M P amp ilipps Auberger attire j at tention de M le garde des sceaux ministre de ax justice sur la situation ir ea nitaire des c lt eiliers des tr buraux 1pinis trs Le Selor 4 ch ffres connus pour lann 1988 i apparalt en ee en on ban o o ll mr LA 4820 ASSEMBL E NATIONALE Oo mmm cmt Re effe que le taux moyen de primes et indemnit s qui leur est appliqu est de 26 2 p 100 du montan
197. ard rappelle M ie garde des sceaux ministre de la justice que des textes r gle mertent l affichage de publications pornographiques en vue de la protection morale des mineurs On pense plus particuli rement aux kiosques journaux librairies etc 11 lui demande si ces textes visent galement l affichage et la vente dans d autres points recevant du public tels que stations service et si dans ces cas pr cis des contr les sont op r s R ponse Les ispositions de l artic e i4 de la loi n 49 956 du 16 juillet 1949 modifi e sur les publications destin es la jeunesse permettent de prendre des mesures d interdiction admi nistrative l encontre de publications de toutes natures consi d r es comme pr sentant un danger pour la jeunesse Le minisire de l int rieur st notamment habilit interdire d exposer iis publications la vue du public en quelque lieu que ce soit et notamment l ext rieur ou l int rienr des niagatins ou des kiosques et de faire pour elles de la publicit par voie d al fiche Ce teste s applique tous les points de vente recevant du public La circulaire conjointe du ministre de la justice et du ministre dv i int rieur n 440 du 7 ao t 1961 et celle du ministre a ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4621 de l int rieur n 362 du 7 ao t 1967 rappellent ces dispositions et instaurent des contr les p riodiques effeciu s par les services de po
198. ardie qui forme un nombre de candidats insuffisant risque de limiter l efficacit des actions men es par les collectivit s de la E iij qui d montrent leur volont de faire de l enseignement une de leurs priorit s par les moyens financiers importants qu elles lui consacrent Il lui demande donc de bien vouloir lui faire part de son avis sur ce robl me dont la situation est une des conditions essentielles de a r ussite des jeunes picards et de lui indiquer les mesures qu il envisage de prendre Enseignement maternel et priinaire fonctionnement 33946 1er octobre 1990 M L on Vachet attire l attention de M le ministre d Etat miaistre de j decation nationale de la jeunesse et des sur l un des aspects du projet de r forme de l enseignement primaire propos par ses services concernant l enseignement des langues vivantes dans les coles primaires 11 semble au vu des documents publi s que la prise en charge de cet enseignement soit assur e d un point de vue financier par les communes Cela risque bien de poser un pro bl me notamment dans les communes rurales qui ne disposant pas de budget important ne pourront assurer le fonctionnement de ces enseignements Cette situation p nalisera donc fortement les enfants de ces communes et pourra entra ner comme cons as indirecte des fermetures de classes dans les zones rurales les parents pr f rant inscrire leurs enfants dans les villes voiaines o les langu
199. arges progresser plus rapidement que ses recettes Le rel vement des taux de cotisations des b n liciaires et des employeurs institu par le d cret du 30 d cembre 1988 ne devrait permettre de r duire le d ficit que de fa on temporaire Elle lui demande quel est selon lui l avenir de ce r gime et gueie solutions il envisage pour le maintenir ou le rattacher autres r gimes de retraite compl mentaire Retraites compl mentaires Ircantec 32693 6 ao t 1990 M Jean Ueberschlag attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protec tion sociale sur les inqui tudes des m decins des h pitaux publics quant leur affiliation l Institution de la retraite com pl mentaire des agents non titulaires de l Etat et des collectivit s publiques licantec Cette institution cr e par le d cret n 70 1277 du 23 d cembre 1970 conna t actuellement une crise financi re qui tient la progression trop importante de scs charges Le probl me a pu tre momentan ment enray par une augmentation d s le ler janvier 1989 du taux des cotisations des b n ficiaires et des employeurs Cette solution ne permettant le octobre 1990 wun quilibre temporaire des finances de l ircantec il lui emande s il envisage pour pr server l existence de ce r gime de retraite compl mentaire ur rattachement d autres r gimes R ponse Un groupe de travail charg d tudier lavenir de
200. arit 31826 23 juillet 1990 M Maurice Ligot rappelle M le miaistre de la solidarit de la sante et de la protection sociale qu il avait inform es parlementaires par un Courrier qu il leur avait adress le 10 mars 1989 qu un texte r visant le sersement de l allocation aux adultes handicap s et du fonds national de solidant tait l tude Un d cret n 89 921 a t publi le 22 d cembre 1989 modifiant les conditions de verse ment de l alloxation aux aduites handicap s sans mentionner le fonds national de solidant Or c est ce fonds qui remplace A A H soixante ans il lui demande donc de corriger cet oubli et de bien vouioir tendre ce nouveau d cret du fonds de solidarit ainsi que cela entrait initialement dans ses intentions Retraites gen ralit s Fonds national de sclidarit 31833 23 juillet 1990 M Henri Bayard appelle Vatten tion de M le ministre de la solidarit dv An sante et de la fon sociale sur le contenu du d sret n 89 921 du 22 d cembre i989 concernant les conditions de versement de l al location aux a u tss handicap s Dans la mesure o cette alloca tion est remplac e l ge de soixante ans par le Fonds national de solidant il lui demande s il ne serait pas n cessaire d tendre au F N S les ispositions pr vues par le d cret pr cit Retraites g n ralit s Fonds nationa de solidarit 31905 23 juillet 1990 M Lucien Richard app
201. arr t du Pr sident du Conseil g n ral l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32017 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement re oit la responsabilit des sites inscrits en appli cation de la loi de 1930 ainsi que des sites d limit s selon les arr t s de protection de biotopes et des r serves naturelles volon taires ll peut en outre cr er des espaces naturels d int r t d parte mental b n ficlans des m mes protections il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national
202. articu liers un engagement individuel de service du fonctionnaire dans la collectivit de recrutement dont la dur e sera proportionnelle la dur e de formation initiale Transports maritimes personnei 30644 25 juin 1990 M Guy Hermier attire l attention de M ie ministre de l int rieur sur les cons quences de sa propo sion d instituer avec l ex cutif de la nouvelle assembl e de Corse une sorte de gouvernement de la Corse disposant de nouvelles comp tences notamment dans le domaine des liaisons avec le continent Au del de l appr ciation d ensemble qu on peut porter sur res dispositions institutionnelles et le fait qu elles ne s accompagneraisnt manifestement pas de moyens nouveaux pour lutter contre les In galit s le ch mage et pour le d veloppe ment de la Corse la question des comp tences en mati re de transpo ts suscite une vive inqui tude parmi les travailleurs des ports les dockers et les marins L actuelle assembl e de Corse a en effet formul en mai 1990 des propositions en ce domaine qui aboutiraient remettre en cause le statut des ports maritimes la loi du 6 septembre 1947 concernant les dockers le droit de gr ve du personnel assurant les signes entre le continent et la Corse ainsi que le pavillon fran ais sur ces lignes Une telle r gression serait inacceptable C est pourquoi il lui demande qu il prenne l engagement formel qu en aucun cas les acquis essentiels rap sel s ci de
203. articulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementaiion 32011 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M 2 secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg d2 l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n raie et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement affecte 20 p 100 au moins du produit de la taxe d partementale sur l lectricit un programme de mise en souter rain des lignes lectriques et t i phoniques E D F et France T l com ont l obligation de participer la d finition et au finance ment de ce programme 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner er particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32012 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturel
204. at l A S F ces r gimes se verraient dans l obligation de r tablir des coefficients r ducteurs des retraites pour toutes celles qui seront liquid es avant l ge de soixante cinq ans Aussi afin d viter que les futurs retrait s et pr retrait s ne soient p nalis s par ce fait il lui demande quelles mesures et directives il compte prendre pour maintenir a partici pation de l Etat au financement de l AS F Retraites compl mentaires cadres 29807 4 juin 1990 M Charies F vre attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de ia protection sociale sur l inqui tude l gitime des cadres au sujet de leur retraite compl mentaire Aucun nouvel accord n ayant pu tre conclu au del du ler avril 1990 avec l aide financi re de Etat il pus que l Arcco et l AG I R C ne seront pas en mesure d quilibrer leur budget avant 1993 si elles doivent continuer payer les retraites soixante ans notamment par suit des garanties de ressources et des points gratuits accord s aux pr re trait s d avant avril 1984 C est pourquoi il lui demande qu une nouvelle convention tripartite Etat patronat salariat soit mise l tude rapidement afin d aboutir une solution satisfaisante au plan du financement des r gimes de retraites compl mentaires ler octobre 1999 R ponse Le relev de discussion sign le 25 juin 1990 par le Gouvernement et les partenaires sociaux pr voit que ju
205. at attire l atten tion de M le mialsire du travail de l emplol et de la forma tion professionnelle sur le d lai dont disposent les employeurs pour adresser la direction d partementale du travail et de l em ploi et l union de recouvrement dont ils rel vent la d claration d embauche du premier salari dans le cadre d une demande d exon ration des charges patronales Il lui demande de porter un mois le d lai l gal de quinze jours initialement fix par la loi no 89 18 du 13 janvier 1989 afin de permettre aux employeurs d effectuer les d marches administratives n cessaires 3 R PONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS CRITES 4588 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 INDEX ALPHAB TIQUE DES D PUT S AYANT OBTENU UNE OU PLUSIEURS R PONSES Adevuh Poeuf Maurice 32987 solidarit sant et protection sociale 32993 solidarit sant et protection sociale Alilot Marle Mich ie Mme 30083 int rieur Alquier Jacqueline Mme 30230 int rieur minist re d l gu Auberger Philippe 22917 justice 30244 ducation nationale jeu nesse et sports Aatexier Jean Yves 30228 solidarit sant et protection sociale 31473 solidarit sant et protection sociale Bachy Jean Paul 32044 int neur Bacumier Jean Pierre 31785 agriculture et for t Relkaay Patrick 31145 solidarit sant et protection sociale Bariler Michel 31711 solidarit sant
206. at s inqui te aupr s de M le miaistre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports de la r duction du nombre de postes d instituteurs en Moselle pr vue pour la prochaine rentr e En effet aiors que ies effectifs d enfants scolaris s en primaire et maternelle sont en hausse depuis 1987 la Moselle aura perdu la rentr e 1990 1991 204 de ses postes depuis 1983 Il lui demande en cons quence de quelle mani re il entend agir afin que la prochaine rentr e se fasse au mieux et s il entend r tablir ge aiue entre postes offerts et nombre d enfants prendre en charge R ponse La politique de r quilibrage de la r partition natio naie des moyens api s est poursuivie l occasion de la pr para tlon de la rentr e 1990 repose sur une m thode qui comporte les Indicateurs essentiels suivants le pourcentage d coles de une deux classes afin de prendre en compte la ruralit le ratio postes effectifs c est dire le nombre de postes d institnteurs pour cent l ves la variation des effectifs entre 1990 et i989 1 convient toutefois de pr ciser que le souci de r duire les carts entre les dotations acad miques a conduit privil gier le rapport postes effectifs C est dans ce cadre que l acad mie de Nancy Metz a d rendre 70 emplois d instituteurs que le rec teur d acad mie a d cid de pr lever 29 emplois dans le d parte ment de la Moselle S agissant de l volut
207. ation des P O S pr vues par l article L 123 4 du code de l urbanisme Un cahier des prescriptions environnementales et paysag res est adjoint au P O S 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 31991 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le II avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Toute modification ei r vision des P O S est interdite dans les deux ans qui suivent leur approbation et dans les deux ans qui pr c dent le renouvellement des mandats coinmunaux sur l ensemble du territoire 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son utur plan national pour
208. ationale hormis pour les attach s d administra tion Pourtant cet acte du Conseil d Etat l ve toutes forclusions qui pourraient tre oppos es aux int ress s pour la prise en compte des services militaires obligatoires ou des p riodes de maintien obligatoire sous les drapeaux Le caract re interminist riel des textes et de cette jurisprudence tant ind niable il sou haite connaitre les principes de l galit en l esp ce et les causes de la distorsion constat e En date du 15 juin dernier le pr si dent national d une f d ration d anciens combattants comptant 400 000 adh rents a d ailleurs appel son attention sur cette dis torsion Cette letxre est ce jour sans r ponse Juridiciions administratives Conseil d Etat 33870 1e octobre 1990 M Jean Rige appelle l attention de M le Premier miaistre sur l avis du 9 d cembre 1986 de la section des finances du Conseil d Etat concernant la jurispru dence Koenig Pour la premi re fois dans l histoire des R pu bliques un avis ne concernant pas la pr paration d un texte mais A d une jurisprudence n est pas publi dans le registre officiel des lois et r glements du minist re concern ducation nationale ex l esp ce Or il est oppus aux fonctionnaires et par ce fait devient un acte administratif unilat ral En pareil cas les int ress s sont fond s conna tre les motifs de droit et de fait qui leur sont oppos s loi sur la motivation des acte
209. ats ou communaut s d agglom ration nouvelle b n fi cient de la D G F Toutefois les modalit s de calcul de la D G F ne permettent pas d attribuer l heure actuelle de la D G F aux groupements d s leur premi re ann e de fonctionnement Le projet de loi relatif l administration territoriale de la R pu blique propose des mesures permettant d une part que l attnibu tion de D G F soit tendue aux nouveaux organismes de coop ration et d autre part que les groupements puissent d s leur remi re ann e de fonctionnement b n ficier d une dotation for aitaire En ce qui concerne la fixation de la masse affect e la D G F des groupements l article L 234 17 du code des com munes pr voit que la D G F des groupements dot s d une fisca lit propre est pr lev e sur les sommes affect es la D G F des communes apr s d duction des sommes pr vues pour les concours particuliers et pour la garantie d volution minimale sans que la D G F des groupements puisse exc der en 1986 202 MF Pour les ann es uli rieures ce plafond volue comme la D G F La loi pr voit par ailleurs que le comit des finances locales doit d terminer le montant total des sommes affect es la D G F des groupements de communes Afin de doter les com munes de ressources compl tan leur fiscalit propre le projet de 4616 loi propose de substituer au plafond initial un seuil minimal s levant 2 S00 MF C est au comit d
210. atut de pro fession m dicale comp tence limit e 11 lui demande en cons quence les d cisions qu il entend prendre su ce point Tourisme et loisirs centres de vacances et de loisirs Ile de France 33965 1er octobre 1990 Mme Muguette Jacquaint attire l attention de M le ministre de la soiidarit de la sant et de n protec ion sociale sur la d cision prise par la caisse d alloca tion familiale de la r gion parisienne C A F R P En effet les modifications des modalit s de calculs et d ch ances des presta tions de service qui sont attribu es aux centres de loisirs sous pr texte de diminuer les d lais de r glement et d apporter aux gestionnaires d tablissements les moyens en tr sorerie n ces salres leur fonctionneincat entra nent des difficult s La C A F prepose que les acomptes pr visionnels soient d sormais tablis sur la base de 50 p 100 ds actes r alis s au cours du Gernier exercice civil connu Ainsi en application de cette disposition l avance pour 1990 ne sera gale qu 50 p 100 des bases de r f rence de l exercice 1988 ce qui traduit en r alit une perte d environ 20 p 100 de cette prestation sur tes budgets des centres de loisirs alors m me que ceux ci connaissent une progression r guli re de leur fr quentation En cons quence elle lui demande de prendre les dispositions n cessaires pour rem dier ce d sen gagement financier pr judiciable au d veloppemen
211. auparavant dispers s dans des circulaires anciennes d autre part de permettre la prise en compte de dispositions nou velles telles que le statut des coll ges et lyc es r sultant de la d centralisation l obligatior de motiver les d cisions administra tives ou les prescriptions de la Commission nationale Informa tique et Libert s En ce qui concerne les falts cit s il appartient ASSEMBL E NATIONALE 4579 aux chefs d tablissement sous le contr le des autorit s acad miques de veiller l exacte application de la r glementation et au respect des principes g n raur de la cit et de pluralisme D O M T O M R union enseignement sup rieur 27333 16 avril 1990 M Andre Thien Ah Koon appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation aationale de la jeunesse et des sports sur le retard pris dans la r alisation des op rations de construction et d quipement pr vues au droit de l universit de la R union Malgr les inscrip tions budg taires pr vues dans ou hors contrat de plan Etat r gion ainsi que la mise en place d un ch ancier pr visionnel aucun commencement de travaux n est enregristr 1 est indubi table que dans ces conditions les retards cumul s seront l ori gine de difficult s tr s graves susceptibles de d boucher sur des manifestations d tudiants de parents et d enseignants qui ne comprendraient pas les lenteurs de l administration alors que l
212. aux 60 100 l attribution d un fonds national de solidarit d s l ge de cinquante cinq ans pour tes titulaires de la seule pension de r version le cumul de la retraite personnelle et de la pension de r version jusqu au montant maximum de la s curit socisle 1 souhaite savoir quelles mesures peuvent tre envisag es pour r por dre ces v ux Retraites g n ralit s allocation de veuvage 28791 21 mai 1999 M Jean Louls Masson rappelle M ie ministre de la solidarit de ia saat et de la protection sociale que le fonds de l assurance veuvage est actuellement exc dent ire Cet exc dent devrait permettre le rel vement de l allocation en i ann e et celui du taux de d gressivit en 2 ann e 34 p 100 et en 3 ann e 15 p 100 ainsi que la couverture gratuite pour l assurance maladie aux allocataires en 2 et 3 ann es 11 souhaiterait qu il lui indique quelles sont ses intentions en la mati re Retraites g n ralit s allocation de veuvage 29190 28 mai 1990 M Jacques Barrot attire l attention de M ie ministre de la solidarit de ia sant et de ia protec tlou socinie sur le fonds d assurance veuvage 11 lui demande si la situation tr s exc dentaire du fonds de l assurance veuvage ne justifie pas aujourd hui des am liorations dans les conditions d attribution de l allocation 11 lui demange notamment s il n en tend pas tendre le b n fice de cette assurance veuvage aux
213. aux veuves de fonctionnaires d ex cution Celles ci n ont bien souvent pour seule ressource que la demi pension de leur mari d c d Le mininum de pension de r version est reconnu comme insuffisant Il Jui demande en cons quence de bien vouloir lui faire conna tre ses intentions ce sujet R ponse Une nouvelle mesure de revalorisation du minimum des pensions vers aux veuves de fonctionnaires ainsi que le souhaite honorable parlementaire provoquerait une charge sup pl mentaire pour les ifances publiques et conduirait accentuer les avantages du r gime de retralte des fonctionnaires de l Etat dont le r gime de r version est dans l ensemble plus favorable que celui du r gime g n ral de la s curit sociale En effet la r version des pensions de l Etat n est assujettie aucune condi tion d ge de la veuve qui peut en outre cumuler sans limita tion une pension de r version avec ses propres ressources de surcro t le taux actuel 50 p 100 de la r version s applique une pension liquid e sur la base de 75 p 100 des traitements des six derniers mois d activit de l agent apr s trente sept annuit s et demie de services aiors que la r version du r gime g n ral 52 p 100 s applique une pension liquid e sur la base de 50 p 100 du salaire moyen des dix meilleures ann es et ce dans la limite d un plafond FRANCOPHONIE Politique ext rieure Europe de l Est 23648 5 f vrier 199
214. bl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La taxe sur la valeur cologique T V E est insti e taxe additionnelle la T V A un taux moyen de 0 5 1 p 100 modu lable selon l impact rologique des produits et services Le produit national de cette taxe est valu dans une fourchette allant de 15 30 rnillards de francs 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur pian national pour l environnement Environnernent politique et r glementation 31999 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le Parlement approuve dans le cadre des lois de finances et apr s avis des Comit s de Bassin les redevances des Agences financi res de Bassin 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses ser
215. blics de coo p ration intercommunale re oivent une dotation globale d environne ment principalement financ e par le produit de la T V E Cette dotatin est r partie en tenant compte notamment de la population de la superficie de l importance et de la nature des sites inscrits l inventaire du patrimuine naturel du kilom trage de routes et de leur EA 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan nationai pour l environnement Environnement politique et r glementation 32014 23 juillet 1990 M Mich Barnier rappeile M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et uatureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t e Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question no 32043 ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4599 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e ll est cr dens chaque d partement une commission d parte mentale de l environnement r
216. bourse scolaire Contrairement ce que soutient le minist re les dotations aux amortissements constituent bien une charge de l entreprise agricole qui diminue le niveau de ressources des familles et ne repr sentent pas simplement une op ration comp table 11 parait d ailleurs tonnant de supposer a priori qu elles sont un artifice fiscal et que la r alisation des d penses corres pes aux amortissements n est pas certaine Il lui demande de ien vouloir lui communiquer sa position sur ce probl me et d apporter les modifications souhait es pour faciliter l acc s des enfants d agriculteurs aux bourses d tudes Enseignement secondaire personnel R adjoints d enseignement 34017 ler octobre 1990 Rappelant sa question crite no 18069 du 2 octobre 1989 laquelle il n a pas re u de r ponse au bout d un an d attente M Pierre Andr Wiitzer attire nouveau l attention de M le ministre d Etat miaistre de l du cation nationale de la jeunesse et des sports sur la n cessit de sortir les adjoints d enseignement titulaires de la situation d instabilit et de nomadisme professionnels dans laquelle les enferme leur statut en les int grant dans les corps d enseignants correspondant leur qualification respective Au moment o l occasion de la rentr e le ministre insiste sur les difficult s de recrutement dont souffre le corps enseignant et sur la n cessit de revaloriser la condition enseignante pour l
217. bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e a Les r gions ou les groupements de r gions re oivent comp tence pour mettre en place et g rer les r seaux de mesure de la pollution atmosph rique de surveillence de la sismicit et de mesure de la radioactivit 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites te Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur pian national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32029 23 juillet 1990 M Mlchei Barnier rappeiie M le secretaire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnemeat et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Pian it a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les d partements re oivent comp tence pour mettre en place et g rer en liaison avec les agences winand nes de bassin les r seaux de surveillance et d annonce des crues d observation de la qualit des eaux et de contr le sanitaire de la qualit de l eau potable lui demande de qu
218. caisses e ne peut en cons quence les modifier La repr sentation de retriit s au sein des organes d lib rants de Unedic et des Asredic est de la corip tence du ministre du travaii de l emploi et de la formation professionnelle r eae Retraites g n ralit s politique l gard des retrait s 30751 25 juin 1990 M Germain Gengenwin appelle lat tention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de ia solidarit de la sant et de la protection sociale charg des personses g es sur le probl me de la repr sentativit des asso ciations de d fense des retrait s au sein d instances telles que C N AM C NA V C R AM et C P AM Il lui demande s il envisage de modifier la circulaire Parodi du 28 juin 1945 de fa on permetire aux associations repr sentatives de si ger avec les m mes pr rogatives que les partenaires sociaux dans les ins tances pr cit es R ponse La repr sentation des retrait s est pr vue dans les organismes sociaux assurant une protection l galement obliga toire Ainsi la participation directe d administrateurs repr sentant les retrait s est organis e par les articles L 215 2 L 215 7 L 222 5 et L 752 6 du code de la s curit sociale dans les caisses r gionales d assurance maladie l exception des caisses d Ile de France et de Strasbourg qui ne g rent pas l assurance vieillesse la Caisse nationale d assurance vieillesse des travailleurs salari s
219. ce de gestionnaires comp tents qui sont recrut s dans une large proportion un niveau Bac 2 Or le statut de ces cadres pr voit un recrutement au niveau du Bac Le d calage entre ies iextes et la r alit est d im portance Dans ces conditions il lu demande s il envisage de proc der une r vision du statut du technicien territorial en pr voyant un recrutement externe de titulaires de dipl mes reconnus au niveau IIl Bac 2 et par voie de cons quence une int gra ton au classement indiciaire interm diaire de la grille de la fonc tion publique Question transmise le miristre d l gu aupr s du minisrre de l int rieur Fonction publique territonale statuts 31228 9 juillet 1990 M Pierre Forgues attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l Int rieur charg des coilectivii s territoriales sur la situation des techni ciens territoriaux En raison de l volution des techniques et de la n cessit pour leur mise en uvre de cadres comp tents les tech niciens territonaux sont recrut s dans une tr s large proportion parmi les titulaires d une formation suptrieure de niveau Bac 2 Or le statut particulier de ces agents pr voit un recrute ment de niveau baccalaur at Ceci se traduit par une difficult croissante recruter des techniciens comp tents vu la r mun ra tion qui peut leur tre offerte li tui demande donc s il envisage de proc der une r
220. ces trois sp cialit s constituait une conditiou remplir pour s acquitter efficacement des missions confi es un agent de maltrise au sein d une collec tivit territoriale En cas de r ussite aux preuves du concours pr cit les candidats sont inscnts sur une liste d aptitude dress e par ordre alphab tique Rien ne s oppose dans ces conditians ce qu une collectivit rec ute parmi les personnes inscrites sur cette liste l agent qui er fonction de ses comp tences propres ou de son exp rience professionnelle sera le plus apte s acquitter des t ches qu elle souhaite lui confier Fonction publique territoriale carrigre 32349 30 juillet 1990 M Pierre M tals demande M ie ministre d l gu aupr s du mimistre de l int rieur de iui pr ciser comment reclasser un attach territorial de 2 classe 9e chelon avec une anciennet de deux ans et six mois promu la Ir classe de son grade Doit on lui maintenir son ancien net dans la limite d un avancement d chelon comme le pr voit l article 22 du d cret n 87 1099 a 30 d cembre 1987 Mais alors sous quelies conditions En effet l int ress tait parvenu l chelon terminal de sa classe et la comparaison du gain indi cia avec celui qui aurait r sult d un avancement d chelon dans son ancienne situation est impossible Ou alors comme cela se pratique lors d avancement de grade dans d autres cadres d emplois doit on faire la comp
221. charge sont actuellement lev s en raison du fort d veloppement du transport a rien et du succ s rencontr pur certaines de nos productlons nationales se qe aa Cin ma salles de cin ma 29704 11 juin 1990 M L o Gr zard rappelle M le ministre de l int rieur le d veloppement rapide de la prise en charge par les commi 3 souvent en gestion directe des salles de projection de cin ma Il lui demande en cons quence quelles dispositions il compte prendre pour permettre le classement des personnels techniques sp cifiques projectionniste notamment dans le cadre de la fonction publique territoriale R ponse Un cadre d emplois regroupe zs fonctionnaires soumis au m me statut particulier titulaires d un grade leur don nant vocation occuper un ensemble d emplois Le faible nombre et la sp cialisation des personnes charg es des fonctions de projectionniste dans le cadre de la prise en charge des salles de projection de cin ma par les communes n ont pas justifi la cr ation d un cadre d emplois propre ces agents En revanche la totalit des d crets portant statuts particuliers pour la fili re technique ont t DU Dies l est donc possivle aux autorit s terri toriales si les conditions pr vues par les d crets statutaires de la fili re technique sont remplies de recruter des agents qui cette fonction peut tre confi e Dans le cas plus vraisemblable o une telle fonction ne serait occup
222. chel Baruier attire l atten tion de M le ministre de l quipement du logement des transports et de ia mer sur le pgrc d partemental de l quipe ment de la S voie qui depuis cette ann e est assujetti la prise en compte des charges patronales dans le cadre de l instauration exp rimentale du compte de commerce Cette innovation est positive dans la mesure o elle rapproche le parc des conditions des autres entreprises et prestataires de service permettant ainsi des choix conomiques rationnels Cependant si sa mise en appli cation est profitable pour l Etat qui paie ses prestations plus cher mais se voit rembourser ces charges patronales elle s av re d fa vorable pour les d partements qui par rapport la situation ant rieure voient leurs prestations augmenter d autant Il lui demande si cette cons quence ne serait pas contraire l esprit de la loi de d centralisation du 2 marz 1982 qui dans son article 30 pr voit que chaque partenaire l Etat et ie d partement jusqu au partage effectif total des moyens personnels et humains continue d as surer les prestations de toute nature qu il fournissait l autre partenaire Et si cette mesure appliqu e sans contrepartie ne d montrerait elle pas un d sengagement financier de l Etat au d triment des d partements 11 lui demande galement de quelle fa on le Gouvernement envisage de compenser ce pr l vement augmentation de la dotation globale de d central
223. connu en 1989 une hausse semblable celle des missions de dioxyde de soufre et celles du secteur des transports continuent de croi tre avec la circulation automobile C est ainsi que les pisodes de pollution dus la pr sence persistante d un anticyclone en f vner et en d cembre 1989 ont rappel l importance de la pollution autemo bile L instauration par le secr taire d Etat l environnement d une cellulee de suivi a permis l information rapide et fr quente des m dias et du public L av nement de la voiture propre europ enne d cid par les Douze en juin 1989 per mettra de r duire progressivement la pollution automobile parti culi rement en zone urbaine partir du 31 d cembre 1992 toutes les voitures neuves devront r pondre des normes s v res imposant dans l tat actuel des techniques l utilisation d un pot d chappement catalytique Mais ces mesures n atteindront leur plein effet qu avec le renouvellement du parc au bout d une dizaine d ann es 1 convient donc que soian engag es d s que possible des actions permettant la limitation iemporaire des mis sions d origine automobile en cas d l vation des niveaux de pol lution ou de conditions m t orologiques d favorables C est pourquoi le secr taire d Etat l environnement a engag une concertation avec les responsables municipaux sur les probl me de pollution automobile li s l augmentation permanente de la circulation D
224. ctent les r gles de la probit intellectuelle Or la question qui a t adress e m le une m connaissance de la situation actuelle de l inspection g n rale de l ducation nationale une insinuation proprement calomnieuse et sans les moindres fondements sur les conditions de nomination des inspecteurs g n raux La r forme de l inspection g n rale de l ducation nationale ne la prive pas de toute mission de contr le S il est exact que l inspection indi viduelle des professeurs est d volue d sormais pour l essentiel aux corps r gionaux d inspection et en particulier aux inspecteurs p dagogiques r gionaux n anmoins l inspection g n rale pourra intervenir en appel dans les cas litigieux et dans tous ceux o elle le jugera n cessaire en particulier lorsqu il s agira de pro mouvoir des professeurs en classes pr paratoires S agissant du nombre de postes qui ont t pourvus au recrutement au prin temps dernier c est bien vingt nominations et non pus vingt deux qui ont t prononc es au tour dit int rieur en conformit avec les articles 7 8 et 9 du d cret statutaire du 9 novembre 1989 m nominations ayant eu lieu au tour dit ext rieur comme le pr voit l article 10 du m me d cret Aucune cr ation suppl mentaire de poste n est intervenue apr s la publication des profils au Bulletin officiel Enseignement maternel et primaire fonctionnement Moselle 31731 23 juillet 1990 M Denis Jacqu
225. ctif de rapprocher le statut des agri culteurs du droit commun des assurances sociales et d harmo niser notre syst me aux normes europ ennes cette r forme tal e sur dix ans suppose une r volution de m urs qui ne va pas sans poser un certain nombre de probl mes en ce qui concerne notamment le syst me de la moyenne triennale En effet ce prin cipe de r f rence est susceptible de p naliser ceux des exploitants agricoles qui pour des raisons diverses expropriation par la puissance publique reprise d une partie des biens afferm s par le propri taire cessation volontaire partielle ou totale de l activit enregistrent au cours de la derni re ann e au titre de laquelle les cotisations sont dues une diminution de surface d exploitation donc de revenus C est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer si les situations ci dessus voqu es ont t suffisam ment prises en compte dans la r daction des textes d application de la lo du 23 janvier 1990 de fa on r duire au minimum le d calage entre le b n fice r el et le b n fice suppos des int ress s D O M T O M Guyane environnement 33874 1er octobre 1990 Mme Yann Piat attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur le projet d am nagement d infrastructures lourdes par la Communaut europ enne en for t amazonienne fran aise Un tel projet risque de d truire celle ci l exemple br
226. d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e ASSEMBL E NATIONALE 4601 L institution d une commission de surveillance et d information est rendue obligatoire aupr s de tous les sites nucl aires existants ou en projet centrales centres de recherche nucl aire sites de traitement ou de stockage de d chets radioactifs Cette commission est pr sid e par le pr sident du conseil g n ral Elle peut s entourer d experts ind pendants reconnus par les autorit s de s ret des installations op en Elle a acc s toutes les informations relatives aux ins tallations concern es 11 lui demande de quelles tudes cette pro position a fait t objet de ta part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites te Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32033 23 juillet 1990 M Michel Baraier rappelle M le secr taire d tat aupr s du Premier ministre charg de l environsemeat et de la pr veatloa des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur ta politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale
227. d aider ce secteur surmonte ces difficult s en facilitant la reconstitution du potentiel de production des groupements de producteurs et en accordant des pr ts aux entreprises de commercialisation L Of fice national interprofessionnel des fruits des l gumes et de l horticulture Onifihor a t charg de mettre en uvre ces mesures et de d terminer les crit res pr cis d attribution des aides Ces dispositions devraient permettre ce secteur de sur monter les difficult s pass es et de reconqu rir toute sa place dans le cadre d une organisation conomique dynamique 11 faut par ailleurs rappeler que les dispositions relatives aux calamit s agricoles et l aide en faveur des agriculteurs en difficult peu vi s appliquer aux producteurs concern s Politiques communautaires politique agricole commune 28685 21 mai 1990 M G rard Gouzes attire l attention de M le ruiaistre de l agriculture et de la for t sur lc fait que l accord C E E U S A sign en 1986 par M le ministre Guil laume et qui autorise les Etats Unis exporter bas prix leur ma s en Espagne vient ch ance cette ann e comme les n go ciations commerciales multilat rales qui se d roulent au sein du G A T T Conaaissant l int r t que constitue pour de nombreux producteurs le march espagnol il lui demande s il compte remettre en cause cet accord dans le cadre de la politique agr cole commune R ponse L article
228. d as surer leurs tr s lourdes responsabilit s parentales et ducatives Dans cet esprit il attire son attention sur la simuitar it des co ts d ducation des enfants issus d un accouchement multiple de la petite enfancz aux tudes sup rieures Il serait quitable ue cette simultan it des frais d ducation auxquels doivent aire face ces familles naissences multiples srit compens e par une adaptation des allc lt ations familiales des prestations fami liales et du quotient familial des parts fiscales et des abattements ar enfant charge ainsi que des points pris en compte lors de laboration d ua dossier de bourse scolaire Afin de donner aux enfants issus d un accouchement multiple comme leurs fr res et s urs n s lors d un naissance unique les m s chances que dans les autres familles nombreuses 1 est n sssaire de tenir compte de la sp cificit de ces familles en adaptant la l gislation en place Il lui demande de bien vouloir lui faire conna tre la position de son administration sur cette question Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32582 6 ao t 1990 M Herv de Charette appelle l atten tion de Mme le secr taire d Eta aupres du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charge de la famille sur la situation de plus en plus difficile des familles o surviennent des naissances multiples et qui rend urgente
229. d autres u bartements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32038 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l eavironnement ei de ia pr vention des risques technoiogiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur le politique de l environne ment d pos le avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Afin d accro tre l autonomie des agences financi res de bassin par rapport l Etat le Comite de bassin re oit comp tence pour d si gner directement les repr sentants des collectivit s locales et des usagers au conseil d administration des agences Le conseil d admi nistration de l agence lit librement en son sein son pr sident 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement fpolinque et r glementation 32039 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d
230. de l is re a fait appara tre un vide juridique pour ces agents Sont noter les condi ions sp cifiques de travail de ces agents qui assument la fois les fonctions d enscignem uit en collatoration troite avec les instituteurs et des fonctions d ani mation et d interventions dar s les clubs sportifs Leur statut peut varier d une commune l autre Aussi ii lui demande o n est la d finition officielle des grades de moniteurs d ducation phy sique et sportive zi maitres nageuls sauveteur municipaux rt quels en est son avplicatio pour l exercice de ces fonctions R ponse Le Gouvernement s attache dorer l ensemble des onCt onnaires territoriaux de statuts particuliers notamment dans ies fili res sanitaire et sociale culturelle et sportive En ce qui concerne la fil re sportive les tudes engag es avec les minist res ini ress s sont n voie d ach vement Les otes d orientation devraient Ce distribu es prochainement aux membres du Conseil su ievr de la fonction publicve territoris les projets pr cis d crets a r t si feront ensuite l objet e discussions sein de zs c rscil D ee ee RG es A qq D 0 qq A si emme omnea mamanpa mpn ma pa D E or GA A A E en D ASSEMBLEE NATIONALE 4019 Fonction publique territoriale recrutement 32348 30 juillet 1990 M Jacques Mah as appelle l atten tion de M ie ministre d i gu aupr s du ministre de j int rieur sur les texte
231. de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 modifi e pr voit que e fonctionnaire ne peut tre niaintenu en fonctions au del de la limitation d ge de son emploi sous r serve des exceptions pr vues par les textes en vigueur En l ab sence de r gles particuli res un emploi l article 2 du d cret du 9 septembre 1965 relatif la C N R AC L pr cise que la limite d ge est fix e par r f rence celle qui est applicable dans la fonction publique de l Etat Le fonctionnaire territorial doit donc sauf s il peut b n ficier des dispositions vis es par l ar ticle 92 pr cit qui pr voient des reculs de limite d ge notam ment pour enfants cesser son activit soixan e cinq ans S il occupe un emploi s dentaire ou soixante ans dans le cas contrairs Communes fonctionnement 24192 12 l vrier 1990 M G rard L onard expose VIDE ea r serve M le secr taire d Etat aupr s du ministre de j iat rieur charge des collectivit s territoriales le cas d une commune de 500 habitants qui envoie hebdomadairement un groupe d l ves de ses classes primaires se familiariser avec les pratiques de la natation dans une piscine municipale d une ville distante de 15 kilom tres l aimerait tre inform des pro dbl mes de responsabilit qui s attachent cette initiative et cela par r f rence soit la r glementation soit la jurisprudence administrative H lui demande de bien vouloir lui pr ciser quelle co
232. de r version est intimement li la r flexion sur les pen sions de droit direct C est ainsi que dans le cadre d une approche globale des retraites une am lioration des pensions de version Fort tre envisag e 4 Enfin le relev de discussions sign le 25 juin 1990 par le Gouvernement et les partenaires sociaux pr voit que jusqu au 31 d cembre 1993 le financement des d penses de garanties de ressources et d abaissement de l ge de la ietraitc soixante ans dans les r gimes compl mentaires de retraite des salari s restera assur par l Association pour la ges tion de la struciure financi re A S F avec une participation financi re de l Etat ne ere Pensions de r version conditions d attribution 28004 7 mai 1990 Mme Elisabeth Hubert appelle l atten tion de M ie miaistre de ia solidarit de ia sant et de ls protection sociale sur la requ te de nombreuses associations repr sentantes des veuves civiles concernant la pension de r ver sion Celles ci s interrogent sur ia l gitimit du plafond de res sources pour l attribution de ladite pension et en attendant sa suppression Elle souhaiterait obtenir des pr cisions sur les objectifs du Gouvernement co sujet Retraites g n ralit s allocation de veuvage 28178 7 mai 1990 M Jean Louis Masson attire l atten tion de M le miaistre de ia solidarit de la sant et de in protection sociaie sur le fait que l association d partement
233. des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 1 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Dans chaque d partement le Conseil g n ral et les organisations professionnelles agricoles vent avec le soutien de l Etat mettre en place des contrats Agriculture Environnement ayant pour objet de promouvoir de mani re durable des pratiques agricoles res pectueuses de l environnement et des milieux Ces contrats sont n goci s pour chaque exploitation et ouvrent droit une allocation compensant les co ts li s aux contraintes accept es par l exploltant Une loi cadre d termine les modallt s de certe politique et veille son harmonisation avec la l gislation communautaire Il est ouvert la possibilit d inscrire dans les baux ruraux des clauses librement consenlies a les parties et favorables la gestion cologique des milieux il lui demande de quelles tudes cette proposition a ler octobie 1290 fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32025 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre char
234. des marquages au sol et de la signalisation et l extension de l utilisation des d lin ateurs L clairage lorsque c est le parti retenu doit soit couvrir les seules zones les plus critiques soit concerner la totalit d un sxe ler octobre 1900 I r est donc pas exclu que les tudes engag es dans cet esprit d ouchent sur des ditisions d clairage si c est la solution qui apparait la meilleure Se Transports routiers personiel 31857 23 juillet 1990 M Ren Drouin demande M ie secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipement du ioge ment des transports et de la mer charg des transports rou tiers et fluviaux dans quels d lals le minist re compte proc der aux am nagements n cessuires dans la r giementation des trans ports routiers En effet d apr s les informations qui lui sont par venues il a pu constater les faits suivants Actuellement les chauffeurs routiers font un nombre tr s lev d heures par mois 250 300 heures Cres izures suppl mentaires ne sort souvent pas port es sur le bulletin de salaire en tant que telles mais dans une rubrique attente roulage De plus et compte tenu des relations sp cifiques patrons employ s dans le monde du transport les contestations au sujet des heures suppl mentaires ne se produi sent souvent qu apr s rupture Ju contrat de travail Or si un employ peut ester dans un maximum de cinq ans apr s rupture la preuve irr futable des heu
235. des para lys s de France concernant iss d cisions ill gales ou arbitraires prises par les COTOREP ou les services d partementaux d aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l applica tion de la loi Il lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces struct res dont il assure la tutelle et par les services d pendant des onseils g n raux les dispositions pr vues par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des personnes handicap es afin que cessent ces entorses inadmissibles l Etat de droit Handicap s C D E S et COTOREP 33978 ler octobre 1990 M Jean Plerre Philibert attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charg des handicap st des accident s de la vie sur l importance du document rsa is par l Association des paralys s de France recensant les d cisions arbitraires ou ill gales prises par de nom breuses COTOREP ou des services d partementaux de l aide sociale l encontre des personnes handicap es Les faits d nonc s par ce livre blanc lui paraissent m riter une enqu te de ses services et devraient provoquer un rappel aux organismes concern s de la r glementation en vig eur afin que de telles entorses la r glementation existante ne se perp tuent pas Handic
236. dice terminal de leur carri re Dans le m me temps il bloque de nombreux agents titulaires de dipl mes du 2 et 3t cycles universitaire ou de dipl mes de randes coles qui n avaient pas pu b n ficier de ces indices Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse Les emplois sp cifiques cr s en application des articles L 412 2 et L 413 10 du code des communes ne devaient pas tre assortis de conditions de recrutement notablement inf rieures celles normalement exig es des cancidats des emplois b n ficiant d une chelle indiciaire de r mun ration semblable En tout stat de cause l int gration dans un cadre d emplois ne peut prendre en compte que fa situation atteinte par un fonction naire et non la situation qu il aurait pu avoir en fonction de ses dipl mes Cela est vrai aussi bien pour les titulaires d emplois sp cifiques que pour les autres fonctionnaires E atiae ie octobre 1990 Communes ersonnel 31421 16 juillet 1990 M Jeaa Picrre Luppi attire l atten ticn de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l int rieur charg des collectivit s territoriales sur la situation des moniteurs municipaux d ducation physique et sportive et des maltres nageurs sauveteurs employ s d une collectivit territo riale A ce jour les agents des services des sports des communes se trouvent dans ure position inconfortable mi chemin entr
237. die jus qu l ge de la retraite Retraites g n ralit s allocation de veuvage et pensions de r version 2 29412 4 juin 1990 M Augustin Boarepaux attire l atten tion de M le ministre de ia solidarit de P saat et de la protection sociale sur la situation du veuvagc particuii rement quand il touche des veuves de moins de quara te cinq ans qui ont souvent des enfants charge des emprunts rembourser et vont b n ficier de retraites tr s faibies Il lui fait remarquer que la l gislation fran aise est bien en retrait par rapport la Com munaut europ enne notamment en mati re de pension de rever sion et lui demande s il peut envisager des am liorations en leur faveur 1 le b n fice d une formation r mun r e et d une prio rit d embauche pour les veuves qui sont en ge d activit 2 une am lioration des conditions d attnbution de allocation veuvage Jo l augmentation progressive 60 p 100 du vaux de reversion fix actuellement 32 p 100 Rutraites r gime g n ral montant des pensions alta 29420 4 juin 1990 Mme Bernadette Iz azc Slbllle app e l attention de M le ministre de la solidarit de la zaat et de ia protectia soclaie sur le montant des pensions de retraite Elle lui pr cise que dans le cas o une veuve qui a travaill et per oit de ce fait une retraite souvent mudeste au demeurant celle ci ne peut pr tendre la penslon de r version de
238. dioactifs sont renforc s Prio rit est donn e aux solutions r versibles stockage plut t qu enfouis sement Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement 3 Environnement politique et r glementation 31973 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premics ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technoiogiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e L articie L 122 16 du code de la construction et de l habitation qui interdit l action en responsabilit contre le pollueur pr occupanr est supprim Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31974 23 juillet 1990 M
239. dispens s de l examen d aptitude pour le recrutement en qualit de sapeur pompier professionnel non officier Les collectivit s territoriales et leurs tablissements publics demeuraient donc libres de recruter ou dc ne pas recruter ces candidats et exigeaient en g n ral de ces derniers qu ils se soumettent l examen d apti tude Dans le cadre du nouveau statut des sapeurs pompiers pro fessionnels non officiers des dispositions sont pr vues en faveur de ces personnels La dispense d examen sera remplac e par des points de majoration qui permettront aux int ress s de faire valoir leurs services ant rieurs au moment du concours Industrie a ronautique entreprises 29536 4 juin 1990 M Jacques Brunhes attire l attention de M le ministre de l Industrie et de l am nagement du terri toire sur la proposition manant Ges travailleurs d Hispano Suiza Bois Colombes concernant la fabrication d un bombardier d eau typiquement fran ais En effet une question pos e par un parlementaire le 11 avril 1990 propos de la protection des for ts et des moyens mettre en place M le ministre de l int rieur a r pondu Voudrais je aujourd hui acheter des Canadair nouveaux que je ne le pourrais pas Car le nouveau mod le n existe pas En effet un appareil pr vu d origine canadienne ne pourra voir le jour que dans plusieurs ann es au m me titre qu un appareil typiquement fran ais Or il s av re que des entre
240. donner aux suggestions qu il vient de lui pr senter R ponse L accomplissemert des missions des psychologues scolaires qui s exercent en troite collaboration avec les ensei gnants du premier degr n cessite une connaissance approfondie de l institution scolaire Il est donc apparu indispensable que les psychologues scolaires atent exerc des fonctions d instituteurs avant d aborder leur sp cialisation et qu ils continuent d appar tenir ce corps de fonctionnaires C est pourquoi un recrute ment de psychologues scolaires externe l ducation nationale hors du corps des instituteurs ou de celui des professeurs des coles n est gt envisag Le d cret n 90 255 du 22 mars 1990 pris en application de l article 44 de la loi no 85 772 du 25 juillet 1985 et apr s avis du Conseil d Etat pr cise que les personnels titulaires du dipl me d Etat de psychologie scolaire pourront faire usage professionnel du titre de psychologue ll en r sulte que ce dipl me doit tre consid r comme un dipl me sanctionnant une formation universitaire de haut niveau et que sa cr ation est conforme aux dispositions de la loi du 25 juillet 1985 Dor navant le recrutement des psychologues sco ler octobre 1990 laires sera effectu au niveau de la licence de psychologie et la formation durera un an Le dipl me d livr correspondra au niveau Bac 4 Les contenus de cette formation sont actuelle ment en cours d laboration
241. du Premier ministre charg de l envircnnement et de la pr vention des risques technologiques Et naturels majcurs se propose de pr senter son point de vue sur les suggestions pr sent es par l honorable parlementaire et de recueillis le sentiment de l Assembl e Nationale aeea QUIPEMENT LOGEMENY TRANSPORTS ET MER S N C F tarifs voyageurs 28354 14 mai 1999 Mme Yann Piat attire l attention de M ie ministre de l quipement du jiogement des transports et de ia mer sur les pratiques discriminatoires de la S N C F n mati re de r ductions tarifaires En effet il s av re que ies inva lides civils ne b n ficient d aucune r duction dans les transports ferroviaires la diff rence des militaires titulaires d une carte d invalidit En cons quence eile lui demande s il envisage d modifier cet tat de fait afin que les handicap s civils puissent obtenir des avantages similaires R ponse En l tat actuel de la l gislation seules les victimes de guerre et d v nements en rapport avec l activit militaire sont admis b n ficier de facilit s tanfaires sur certains r seaux de transports publics une aide particuli re devant tre apport e ccs cat gories d invalides envers lesquels la reconnaissance de la nation se trouvait engag e Les invalides civils y compris les aveugles ne disposent pour leurs propres d placements d aucune tarification sp cifique ayant trait leur situation de
242. ducation nationale jeunesse et sports 33864 commerce ext rieur 33868 int rieur 33866 ducation nationale jeunesse et sports 33958 d fense 339 solidarit sant et protection sociale Reitzer Jean Luc 3395 tudget 33957 solidarit sant et protec tion sociale 33988 budget Rae ita 3306 Premier ministre 33870 Premier ministre ducation nationale jeunesse et sports Rigaud Jean 34010 personnes g es Rimbauit Jacques 33964 ducation nationale jeunesse et sports 33977 handicap s et accident s de la vie Rodet Alain 33976 handicap s et accident s de la vie S Santini Andr 33559 culture communication grands travaux et Bicentenaire T Tard to Jean 33972 agriculture et for t Terrot Michei 33931 conomie finances et budget 34632 soli darit sant et protection sociale Thi m Fabien 33973 postes t l communications et espace U Ueberschiag Jean 54027 int rieur ministre d l gu V Vachet L on 33867 handicap s et accident s de la vie 33945 agriculture et for t 33946 ducation nationale jeunesse et sports Vasseur Philippe 33899 quipement logement transports et rier Virapouil Jean Paul 33894 ducation nationale jeunesse et sports 33898 postes t l comniunications et espace W Weber Jean Jacques 34029 personnes g es Wiitzer Pierre Andr 33872 agricu
243. dultes handicap s partir ce soixante ans Retraites g n ralit s Fonds nationa de solidarit 31410 9 jsiiiet 1990 M Jean Yves Coran attire l atten tion de M le ministre de ia solidarit de in sant et de la ection sociale sur les dispositions du d cret n 89 921 du 2 d cembre 1989 relatif aux conditions de versement de lallo cation pour adultes hrndicap s C2 d cret pr cise qu n entreni pas en compte pour l attribution de cette allocation les presta tions familiales la retraite du combattant ies pensions altach es aux distinctions honorifiques et l allocation de logement ce dont se r jouissent les personnes concern es Mais l atinbutio des allocations du Fonds national de solidarit n est pas soumise pour l instant aux m mes conditions alors qe pour les D r fi ciaires g s de plus de soixante ans elle remplace l allocation aux adultes handicap s il lui demande en cons quence dans quelle mesure il envisage de soumettre ces deux prestations aux m mes conditions de calcul et d attribution Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31587 16 juillet 1990 M Julien Dray attire l atention de M le ministre de la solidarit de la saate et de la protection sociale sur les conditions de versement de l allocation aux ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 les mesures qu il pr voit solen tendues au fonds national de adultes handicap s Par le d cret n 89 921 d
244. e Cette situation qui p nalise es usagers et le d veloppement conomique de cette r gion en Bour bonnais est intol rable car Vichy Saint Germain des Foss s et Moulins ont un besoin urgent de transport ferr plus rapide en direction de Paris comme de Clermont Ferrand Des am nage ments pourraient tre r alis s pour porter la vitesse du train 220 kilom tres par heure ou en faisant partir le train qui arrive 8 heures 30 minutes Paris gare de Lyon non plus de Nevers mais de Vichy Ces propositions faites par les lus communistes visant am liorer la desserte ferroviaire du val d Allier qui ren contrent un large cho chez les cheminots et les papules concern es doivent tre prises en consid ration par la S N C F ui avec la participation de l Etat doit poursuivre son effort investissement et de modernisation de la ligne Le Gouverne ment doit faire face ses responsabilit s pour acc l rer le d sen clavement par rail du val d Allier et r pondre pleinement l at tente des usagers Il lui demande de l informer des mesures qui seront prises en ce sens FAMILLE Famille politique familiale 33971 ler octobre 1990 M Louis Pierna a pris connais sance de la r ponse de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de Ia solidarit de Ia sant et de la protection sociale charg de la famille la question crite de M Paul Lombard parue au Journal officiel du 3 septembre 1990 ag
245. e associative le sport La repr sentation des personnes g es au sein d organismes tels que l U N E D I C et les A S S E D 1 C est assur e par l interm disire des organisations repr sentatives de salari s qui si gent aux conseils d administration de ces ins tances En effet bien souvent ces organisations poss dent une union de retrait s et par cons quent sont m me de d fendre leurs int r ts En outre des instances de coordination sp cifiques ont t mises en place telles que le Comit national des retrait s et personnes g es t les comit s d partementaux et r gionaux des retrait s et des personnes g es A cet gard le d cret n 88 160 du 17 f vrier 1988 modifiant le d cret n 82 697 du 4 ao t 1982 instituant un comit national et des comit s d parte mentaux des retrait s et personnes g es a accru la repr sentation des retrait s au sein de ces instances par souci de ne pas la r duire celle des seuls retrait s Par ailleurs les principes g n raux du droit de la s curit sociale conduisent ce que les caisses de retraite de Fase ou compl mentaires soient g r es par les partenaires sociaux leurs textes constitutifs m nagent tou jours la repr sentation certes minoritaire des retrait s mais il convient de rappeler que le financement des retraites et leurs r formes ventuelles touchent exclusivement les salari s actifs les droits des retrait s actuels tant acquis
246. e centre pour adapter au mieux de chaque esp ce des dispositions parfois absconses et sybiilines il s agit parfois voire souvent d une mise en cause des dispositions arr t es en faveur des d n ficisires des d cision Cotorep Cette mise en cause aboutit une V ritable violation de la r gle du droit Par del le caract re inad missibie que rev t toute violation d une norme juridique il faut gslement remarquer que en l esp ce elle porte pr judice grave ment des personnes qui sont d j dans un tat affaibli et dont souvent les ressources sont modestes il lui demande quelles mesures il ss envisager de prendre pour permettre un meil leur contr le de la l galit des d cisions prises par la Cotorep et aisurer au b n fice des prestataires une application stricte des tixtes qui leur sont destin s et dont ils sont b n ficiaires Handicap s C D E S et COTOREP 3924 1er octobre 1990 M Claude Barate appelle l atten tion de M le secr tnl e d Etat aupr s du ministre de la soll darit de la saat et de la protection soclale charg des han dicap s et des accident s de la vie sur les r sultats d une enqu te r alis e par l association des paralys s de France concernant l arbitraire et les ill galit s des decisions prises par les services de l aide sociale et les Cotorep prepos des droits des personnes handicap es Il souhaiterait savcir quelle sera la r ac tion du ministre par
247. e l agricuiture en Haute Savoie En effet cette situation est particu li rement catastrophique pour plusieurs cat gories de pr ts et notamment les pr ts sp ciaux de modernisation P S M qu ali menteni les plans d am lioration mat rielle P A M que les agri culteurs d posent r guli rement en Haute Savoie Ainsi selon un constat r cent plus de soixante dossiers atiendraien une autori sation de financement soit un totel de vingt millions de francs ui ramen l envelcppe quota P S M 74 1990 entralnerait un lai d attente de l ordre de trente trente et un mois soit dix trimestres Devant cette situation difficilement tol rable que ren force l attitude du comit permanent du finan ement de l egricul ture envers la Harte Savois il lui demandz d intervenir afin qu avant la fin de l ann e ou au moins pour la campagne 1991 le d partement de la Hsute Savoie puisse envisager d apurer cette liste d attente de pr ts sp ciaux de mo ernisation Elevage politique et r glementation Haute Savoie 34003 I octobre 1999 M Claude Birraux attire latten tion de M le ministre de l agriculture et de Ia for t sur l vo lution dramatique de la situation agricole dans le d partement de la Haute Savoie comme dans d autres d partements fran ais En effet apr s deux ann es de s cheresse aux cons quences d sas treuses se superpose une grave crise du march des viandes rendue plus aigu par des importat
248. e les collectivit s territoriales et l ducation nationale et sont soumis au statut g n ral de la fonction publique territoriale Or ce statut actuel ne tient pas compte de la mission sp cifique d enseignement mission dans laquelle s investit l crasante majo rit des moniteurs municipaux d E P S Iis interviennent en coila Dorativn avec les enseignants du primaire pour les aider la pra tique et au d veloppement des activit s physiques et sportives mais aussi dans le cadre des activit s rythines de vie des enfanis La charge de travail hebdomadaire de ce personnel reste au bon vouloir des communes et on constate des horaires variant de 21 heures 39 heures d une commune l autre De plus certains maires accordent les cong s scolaires d autres pas Ces agents terntoriaux semblent donc aujourd hui se trouver face un vide juridique C est pourquoi il demande o eu est a d finition offi cielle des grades de moniteurs municipaux quelle en est son application ur l exercice de ces fonctions quelles sont les directions prises pour laborer le statut et le cadre d emploi de la fili re sportive mais surtout si des directives pr cises pouvaient tre donn es avant la rentr e de septembre 1990 Question trans mise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Communes personnel 32388 30 juillet 1990 M Pierre Dacout attire l attention de M le ministre d l gu aupr s du ministr de l
249. e que tout ou partie des tablissements scolaires d une commune soient autoris s inter rompre leur activit lorsque les circonstances le justifient Les recteurs d acad mie en application de l article 9 de la loi d orientation ont re u par d cret du 14 mars 1990 comp tence pour proc der des am nagements du calendrier national des vacances scolaires Ce d cret compl tera le dispositif r glemen taire existant d finissant les comp tences en mati re d am nage ment du temps scolaire respectivement des inspecteurs d aca d mie directeurs des services d partementaux de l ducation ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4583 ur les coles des chefs d tablissement pour les coll ges et les nee Une meilleure prise en compte de la situation particuli re une commune sera ainsi rendue possible Il est par ailleurs sou haitable dans le cadre des relations de coop ration qui se d ve loppent entre la commune et l cole que la journ e du maire soit con ue d sormais non comme une simple journ e de vacance des classes mais comme une journ e particuli re dont le pro gramme ducatif et la date auront t arr t s de fa on concert e ar le maire et les tablissements scolaires int ress s notamment l occasion d une manifestation ou d un v nement importants de la vie communale Minist res et secr tariats d Etat ducation nationale jeunesse et sports personnel 31682
250. e 160 millions de francs aux recettes r ellement encaiss es en raison du manque gagner du loto sportif Les recettes recou vr es au titre de ce dernier tant depuis 1388 en baisse d une ann e sur l autre et toujours inf rieures aux valuations initiales il lui demande en cons quence de bien vouloir pr ciser s il envi sage des mesures permettant de consacrer au Fonds national pour le d veloppement du sport un financement caract re moins al atoire JUSTICE Circulation routi re r glementation et s curit 33888 ic ocicbre 1990 M L once Deprez appelle l at tention de M ie garde des sceaux ministre de la jestice sur la situation cr te n France par la pr sence d automobiles imma tricul es l tranger dont les conducteurs sont autoris s dans a 4560 notre pays contrairement nos compatriotes faire usage de phares blancs 11 lui demande si la situation qui reviendrait sanctionner le conducteur d une voiture immatricul e en France et quip e de phares blancs alors qu une autre personne conduisaut un identique v hicule sur la m me route la m me heure la m me vitesse avec les m mes phares blancs ne serait pas sanctionn e pour la seule raison que sa voitu e serait imma tricul e dans un autre pays lui parait compatible avec les dis positions de la Convention de sauvegarde des droits de l homme et des libert s fondamentales dite Convention
251. e 4195 I a pris bonne note des dispositions existantes pour es familles naissances multiples tant en mati re d allocations familiales que de fiscalit ou d aide domicile Toutefois il appelle l attention de Mme le secr taire d Etat charg de la famille sur le fait que les familles concern es jugent insuffisantes les mesures actuelles prises par le Gouvernement Ainsi les allo cations familiales comme les mesures fiscales actuelles sont estim es comme ne permettant pas de r pordre aux nombreux pores auxquels les familles naissances multiples doivent aire face les conditions du b n fice de l aide domicile non plus L arriv e simultan e de plusieurs b b s si elle constitue cer tainement beaucoup de bonheur est galement un handicap pour les familles n cessitant des moments sp cifiques des aides par t ler octobre 1990 ticuli res pour le soutien des parents et prenant en compte leur tat de fatigue Aussi il lui demande quelles dispositions elle entad PE pour r pondre aux revendications des parents concern s regroup s dans l Association nationale d entraide des parents naissances multiples A N E P N M Presiations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 34020 1er octobre 1990 M Jesa Pierre Worms attire l at tention de Mme ie secr taire d Etat aupr s du miaistre de ia solidarit de la sent et de la protection sociale charg de ia
252. e Deprez appelle l at tention F le a io ministre de j education nationale de la jeunesse et des mora sur les sept propositions des assises Universit 2000 de la r gion Nord Pas de Calais 1 lui demande notamment de lui pr ciser la auite qu il envisage de r server la proposition tendant d finir les chartes de d ve loppement entre l Etat les villes et l Universit ASSEMBL E NATIONALE D O M T O M R union bourses d tudes 33894 1l octobre 1990 M Jean Paul Virapoull demande M le ministre d Etat ministre de l ducction aationale de la jeunesse et des sports de lui faire connaltre le nombre d allocations d enseignement attribu es compter du ler sentembre 1990 dans l acad mie de la Reunion L arr t du 17 novembre 1989 avait fix leur r partition comme suit 45 allo cations en vue de la pr paration du concours de recrutement d l ves instituteurs et 100 allocations en vue de la pr paration d un concours de recrutement de professeurs du second degr Il lui rappelle notamment que ce dispositif s est substitu en partie celui des bourses de pr paraiion au concours de recrutement d l ves instituteurs et que le montant annuel de l allocation d enseignement est dans les D O M identique celui de la m tropole en d pit d un co t de la vie plus lev Or compte tenu du nombre tr s important d enseignants qu il convient de recruter dans les ann es venir et de le
253. e ces directives aura pour Le ne de transf rer vers les d partements des charges incombant l Etat car il est exclu qu une onentation vers une structure de travail prot g puisse s accompagner d une orienta tion M A S qui n accueille que des personnes gravement handi cap es n ayant pu acqu nr un minimum d autonomie Il lui demande les mesures qu il entend mettre en uvre pour respecter dans leur application les dispositions l gislatives et r giemen taires Handicap s C D E S et COTOREP 33921 1er octobre 1990 M Maurice Ligot attire l atten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de ia solli darit de ia sant et de ia protection sociaie charg des han dicap s et des accident s de ia vie sur l importance du document r alis par i association des paralys s de France recen sant les d cisions arbitraires ou ill gales prises par de nom breuses Cotorep ou les services d partementaux de l aide sociale l encontre des personnes handicap es Les faits d nonc s par ce livre blanc m ritent une enqu te de ses services et devraient provoquer un rappel aux organismes concern s de la r glementa tion en vigueur afin que de telles entorses la r glementation existante ne se perp tuent pas Handicap s C D E S et COTOREP 33922 ler octobre 1990 M Aiaia Boanet demande M le secr taire d Etat aupr s da ministre de la soiidarit de la saat et de la protection s
254. e d Etat ministre de l ducation natio naie de ia jeunesse et des sports sur la suppression de la journ e du maire compter de l ann e scolaire 1990 1991 Cette journ e de vacances sunpl mentaire laiss e l initiative du maire permettait de r pondre des situations particuli res li es des manifestations ou des v nements de la vie locale 11 souhai terait conna tre le dispositif pr vu pour remplacer le syst ine de la journ e du maire qui semblait donner satisfaction dans les communes concern es R ponse Depuis l ann e scolaire 1977 1978 l arr t fixant chaque ann e le calendrier des vacances scolaires pr voit qu une journ e de vacances suppl mentaire est accord e par l inspecteur d acad mie directeur des services d partementaux de l ducation aux l ves d une commune lorsque le maire en fait la demande pour r pondre un int r t local Au fil des ans les conditions d application de cette disposition ont fait l objet de contestations croissantes C est pourquoi apr s consultation des diff rents par tenaires concern s et en accord avec l Association des maires de France il a t d cid que la journ e du maire en tant que journ e de vacances suppl mentaire ne serait pas reconduite partir de l ann e scolaire 1990 1991 11 n en demeure pas moins possible sous r serve que la dur e effective totale de l ann e de travail des l ves n en soit pas diminu
255. e dans des organismes vocation sociale ou humanitaire assurant une mis sion d int r t g n ral D PARTEMENTS ET TERRITOIRES D OUTRE MER D O M T O M Mayotte 4629 24 octobre 1988 M Andr Thien Ah Koon expose M le ministre des d partements et te ritoires d outre mer ce qui suit le 6 novembre 1988 le peuple fran ais se pronom cera par voie r f rendaire sur le projet de loi portant diverses dispositions statutaires et pr paratoires l autod termination de la Nouvelle Cal donie en 1998 Les Mahorais comme tous les citoyens fran ais participeront cette consultation qui cr e une situation sans pr c dent dans la mesure o plusieurs textes de loi pr voyaient l organisation d une consultation sur le statut de ce territoire et que cette proc dure n a jamais t mise en uvre malgr les revendications de ia nopulation mahoraise et les enga gements de l Etat De ce fait Mayotte reste sur le plan adminis tratif r gi par le statut 6e Collectivit territoriale de la R pu blique fran aise conf r titre provisoire par la loi n 76 1212 du 24 d cembre 1976 relative l organisation de Mayotte et pro rog par la loi neo 79 1113 du 22 d cembre 1979 relative Mayotte Il lui rappelle que l article 2 de la loi du 22 d cembre 1979 pr voyait Dans un d lai de cinq ans compter de la promulgation de la pr sente loi la population de Mayotte sera consult e apr s avis du Co
256. e dans le secteur lib ral et les postes hospitaliers sont tr s insuffisants li y a donc peu de g n ticiens form s et il devient impossible de satisfaire les demandes Cette situation a parfois m me des aspects d concer tants puisque les textes officiels organisant ie diagnostic pr natai font r f rence l intervention du g n ticien sans que l on sache tr s exactement quel statut lui reconna tre Avec l ouverture de l Europe en 1993 comment concevoir que la France qui a tou jours t la pointe en ce domaine soit un des rares pays ne pas reconnaltre ses g n ticiens sp cialistes Li en va d ailleurs de m me des activit s de laboratoire directement li es la g n tique telles que les tudes chromosomiques et la biologie mol culaire dont on attend tout sans en avoir d fini ni le champ ni les moda lit s d exercice La France a les atouts et les comp tences cli niques et biologiques pour donner l exemple dans une sp cialit difficile o se rejoignent tous les probl mes fondan entanx de l homme face sa vie et son devenir l serait incumpr kensible qu elle ne reconnaisse pas cette discipline qui repose aujourd hui en tout et pour tout sur un enseignement universitaire th orique et la timide reconnaissance d une comp tence qui ne suffisent videmment pas il lui demande donc s ii ne consid re pas comme urgent de r unir les experts comp tents et les autorit s concern es avec pour t che d organi
257. e de quelles tudes cette proposition a fait l objet de ta part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32035 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l eavironnement et de ia pr vention des risques technologiques et saturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos te 11 avril 1990 sur te bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement a l obligation d tablir le sch ma d partemental des carri res d finissant des zones d exploitation et de r am nage ment coordonn Z E R C Il est cr une taxe d partementale sur l extraction des granulats Son produit est affect aux d penses d laboration et de mise en uvre de ce sch ma d partemental des carri res 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environne
258. e la garde journalitre Cette situa tion correspond des fonctions d officier de sapeurs pompiers Or le projet de d cret pr voit la r valuation des grades de ser gent et d adjudant en supprimant la grille indiciaire des adjudants chefs ce qui est consid r par ceux ci comme une interruption de carri re 1 lui demande s i ne serait pas souhai table d envisager que soit int gr e dans le d cret une disposition permettant aux adjudants chefs titulaires d un monitorat de secourisme ou d un brevet pr vention ou autre professionnel d tre int gr s en cat gorie B de la fonction publique avec l chelle indiciaire correspondant celle de lieutenant de deuxi me classe R ponse Dans le cadre des dispositions r gissant la fonction publique territoriale le statut des sapeurs pompiers profes sionnels fait l objet d une r forme Le statut es sapeurs pompiers professionnels non officiers labor cette occasion pr voit une am iioration progressive des carri res de ces agents Dans l imm diat les adjudants chefs conservent la grille indi ciaire qui est la leur Celle ci sera r valu e compter du ler ao t 1993 permettant aux int ress s un gain indiciaire de vingt cinq points en fin de carri re Par ailleurs les modalit s d acc s de ces personnels au grade de lieutenant par concours interne sont largies l nombre de nominations effectu es au titre de la promotion sociale tant port de une sur cinq
259. e lat tention de M le ministre de la solidari de ia sant et de la protection sociale sur l volution du nombre des m decins soumis au tarif conventionnel du secteur pass s en secteur H en 1980 on comptait 6 99 p 100 de m decins en secteur 11 pour 26 03 p 100 en 1989 Il lui demande s il ne pense pas que les honoraires du secteur 1l bloqu s depuis deux ans om entrain cette situation qui p nalise les plus modestes et qu ils devraient tre revaloris s Parall lement le r gime de protection sociale de ces m decins ne devrait 1l pas tre adapi Sant publique politique de la sant 10478 20 novembre 1989 M Roland Vuillaume zrppelle l attention de M lo ministre de la solidarit de la sante et de la protection sociale sur la crise que connait acluellement le secteur de la sant Malaise dans les h pitaux publics menace ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 gui pese sur les cliniques priv es remise en question des effors es biologistes recul r gulier de l industrie pharmaceutique impasse dans la n gociation du renouvellement de la convention m dicale toui cela inqui te juste titre les professionnels de la sant Ceux ci s interrogent sur la finalit d une telle politique qui risque d aboutir une m decine de caisse limitant les soins aux seules possibilit s financi res de l assurance maladie Il jui demande de bien vouloir lui pr ciser s il entend assurer la p ren
260. e le pro bl me du financement des retraites compl mentaires les parte naires sociaux et l Etat sont parvenus se mettre d accord pour renouveler la convention tablie en 1983 L Association pour la structure financi re A S F garantir2 donc jusqu en 1993 le ver sement des retraites compl mentaires pour les personnes g es de soixante soixante cinq ans S il est satisfaisant qu il y ait eu accord il irnporte cependant de conna tre les mesures que le Gouvernement entend prendre d s pr sent pour pargner aux 4634 futurs retrait s l inqui tude que viennent de ressentir profond ment toutes les personnes cc icern e par ce probl me face aux incertitudes qu elles viennent de vivre R ponse La situation financi re difficile que connaissent et vont conna tre dans l avenir nos r gimes de retraite et notamment le r gime g n ral d assurance vieillesse conduit le Gouvernement tudier au cours des prochaines ann es les volutions n ces saires de la l gislation Les r flexions sur ce sujet qui ont donn lieu en particulier aux sts g n raux de la s curit sociale l au tomne 1987 se sont poursuivies dans le cadre de la pr paration du X Plan adopt le 10 juillet 1989 par le Parlement puis de la mission de concertation confi e au professeur Dupeyroux Aucune d cision n a cependant encore t prise par le Gouverne ment qui souhaite au pr alable organiser sur l ensemble de ce
261. e loi adopt e par le S nat le 23 juin 1982 pr cisait que les mili taires ne peuvent subir de d duction du chef de leur pension sur les avantages lt ociaux qui r sultent de l exercice du droit au tra vail Ce texte n a pas t soumis l Assembl e nationale et reste donc lettre morte 11 lui demande en cons quence s il envisage une modification des r gles actuellement applicables en la mati re R ponse La r insertion professionnelle des militaires dans la vie civile int resse tous les militaires et plus particuli rement les sous officiers qui quittent l arm e avec des limites d ge tr s basses et qui doivent de ce fait entreprendre une deuxi me car ri re Le ministre de la d fense est tr s attentif ce qu aucune discrimination tenant la qualit de retrait n intervienne dans le d roulement de la seconde carri re des militaires Actuellement aucune disposition l gislative ou r glementaire n interdit ou ne limite le droit au travail des militaires Certaines dispositions ins r es dans des conventions collectives ont pu restreindre l em bauch des salari s jouissant d une pension de retraite ce qui est le cas des militaires qui ont accompli quinze ans de service C est pourquoi le ministre des affaires sociales et de l emploi a rap pel la demande du ministre de la d fense que de telles clauses taient ill gales comme contraires au principe d galit Le ministre de la d fense estim
262. e lui demande de bien vouloir lui faire conna tre son avis sur le probl me qu elle vient de lui soumettre Assurance maladie maternit prestrtions frais m dicaux et chirurgicaux 33957 ler cctobre 1990 M Jean Luc Re itzer attire l at tention de M le ministre de la solidarit dz ia sante et de la protection sociaie sur la r glementation relative la dispense du port de la ceinture de s curit L arr t du 14 d cembre 1989 pr voit qu une commission m dicale d partementale d livre le certi ficat m dical autorisant la dispense de la ceinture de s curit Les conducteurs doivent s acquitter d honoraires fix s conjointement par le ministre des transports et de la sant Il lui demand que les personnes handicap es ou invalides puissent b n ficier du d remboursement par la s cunt sociale de ces honoraires Professions param dicales p dicures 33963 ler octobre 1990 M Jean Plerre Philibert attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le souhait formul par les p dicures odologues de se voir reconnaltre la cr ation d un ord e sp ci ique leur profession En effet le Conseil sup ricur des profes sions param dicales leur propose l laboration de r gles professionnelles communes tous les auxiliaires m dicaux Or le code de la sant publique de 1946 et le d cret d application d fi nissant leurs Are en 1985 leur donnent la st
263. e nomenclature r nov e et l instauration d une d ontologie professionnelle afin que cette profession puisse faire face la fois l augmentation de la demande des soins et la qualit des soins Professions param dicales orthophonistes 33003 20 ao t 1990 M Jean Fran ois Mattei attire l at tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la sociale sur ls situation des onhophonistes En effet aucune modification de la nomenclature g n rale des actes pro fessionnels n a eu lieu depuis 1972 la refonte engag e en 1979 n ayant ce jour pas abouti La derni re augmentation de la icttre cl AMO date en outre du 18 juin 1988 l avenant portant L AMO 13 70 francs du 5 f vrier dernier puis 14 francs au 15 juin n ayant toujours pas re u l agr ment minist riel Il lui rappelle l augmentation consid rable des charges sociales pesant sur cette profession et ivi demande donc quelles mesures il entend prendre afin que soit rapidement trait ce dossier ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Professions param dicales orthophonistes 33004 20 ao 1990 M Paul Lombard attire l attention de M le ministre de ia solidarit de la sant et de la protec tion sociale sur la situation conventionnelle des orthophonistes Apr s des discussions entre les repr sentants de ia profession ct le ministre un accord est intervenu sur un avenant tarifaire et une r novation de la nomenclature pren
264. e personne ayant v cu maritalement il en r sulterait un certain nombre de difficult s et un alourdissement de la r glementation existante La situation des concubins s av re en effet en mati re d assurance vieillesse tr s diff rente de celle rencontr e dans le cadre de l as surance maladie ou des prestations familiales puisqu il s agit en l esp ce d appr cier une situation pass e et non actuelle Professions m dicales m decins 30918 2 juillet 1990 M Jean Charles Cavaill aitire l at tention de Mi le miaistre de la solidarit de la sant et de la ioa sociale sur la situation des conjointes collaborateurs de m decins qui en l tat actuel des textes r b n ficient d av cune reconnaissance de statut C est ainsi qu elles ne peuvent ni succ der aux m decins ni vendre te cabinet pas plus qu elles ne peuvent avoir acc s au statu dy conjoint associ il lui fait remapguer que la loi du 31 d cembre 1989 relaive au d veloppe ment des entreprises artisanales et commerciales pr voit dans son article 14 des avantages scus forme de cr ance en faveur des conjoints survivants qu ont particip pendant dix ans l acti vit du professionnel Les diff rentes lois d orientation de l agri culture ont pr vu des ava tages tr s simailrires pour les agricul trices sous forrae de salaire diff r C est donc bon droit que les conjoints de m decins s tonnent qu aucune dispositica l gale n ait t
265. e points d cart ci dessus mentionn s Actuellement la refonte de la grille indiciaire dans la fonction publique semble indiquer qu une carri re lin aire des fonctionnaires de la cat gorie B serait acquise avec un indice termina majore ds 483 Aussi lui demande t il de bien vouloir lu pr ciser si les sous officiers seront associ s comme ils le r clament ses nouvelles mesures Arm e arm e de terre Moselle 33880 1 octobre 1990 M Denis Jacquat appelle l atten tion de M le ministre dc la d fense sur le plan d resserrement des effectifs de l arm e de terre qui pr voit pour l ann e 1991 la suppression de 1 500 emplois de personnels civils Sachant que la 6e pon militaire conigte environ 1800 personnels civils en Moselle dont 1 450 Metz il souhaiterait connaltre d une par le nombre d emplois civils qu il est pr vu de amp pprimer respecti vement cn Moselle et Metz et d autre part quelle ventilation de ces suppression genpions est pr vue entre les diff rentes unit s stationn es en Moseil et Metz Gendarmerie fonctionnement 33893 1er octobre 1990 Sachar t que parmi les forces fran aises stationn es en R F A la gendarmerie compte environ 800 personnes M Hegri Bayard demande M le ministre de la d fense s il pense qu une partie de cet effectif sera rapatri e en Frence parmi la moiti environ des forces actuelles dont on vient d annoncer le retour terme et
266. e que le dispositif l gislatif et r giementaire en vigueur permet la reconversion des militaires dans les meilleures conditions possibles 11 appara t qu une nou velle loi n est pas n cessaire car elle ne pourrait que reprendre des disprsitions d j inscrites dans la Constitution Il reste que les conditions dans lesquelles les militaires entreprenant une seconde carri re b n ficient de l assurance ch mage pourraient tre am lior es C est ainsi que les demandes se sont multipli es pour obtenir la modification des dispositions de l article 20 alin a 2 du r glement annex la convention relative l assu rance ch mage qui refuse aux militaires d n ficiaires d une pen sion de retraite le versement des allocations de ch mage par les Assedic apr s cinquante sept ans et demi Le Gouvernement s ef force d obtenir des partenaires sociaux ia modification de cette disposition Gendarmerie personnel 32737 20 ao t 1990 M JeasJacques Weber attire lat tention de M le ministre de la d fense sur les personnels de la gendarmerie qui souhaitent l tablissement d une grille indiciaire sp ciale la gendarmerie En effet avant 1976 la gendarmerie b n ficiait d une chelle indiciaire propre appel e chelle 10 Celle ci tait indiciairement sup rieure celle des autres mili taires et il tait tenu compte de la sp cificit du m tier de gen darme c est dire notamment de la disponibilit pe
267. e revalorisation de la fonc tion enseignante en faveur des maitres des tablissements d ensei ement priv s sous contrat un d cret en cours de pr paration oit prochainement permettre la mise en uvre de modalit s exceptionnelles d acc s aux chelles de r mun ration de certifi et de professeur de lyc e professionnel du deuxi me grade en faveur des maitres contractuels et agr s des tablissements d en seignement priv s sous contrat assimil s pour leur r tribution aux adjoints d enseignement charg s d enseignement aux charg s d enseignement et aux charg s d enseignement d ducation phy sique et sportive Cette mesure qui concernera un nombre non n gligeable de maitres de ces cat gories de l ordre de 2 000 au titre de l ann e 1990 et autant au titre de l ann e 1991 concer nera toutes les disciplines et devrait donc permettre la promotion d adjoints d enseignement et de charg s d enseignement des ta blissements d enseignement techniques priv s sous contrat a Enseignement priv personnel 32113 30 juillet 1990 M Jean Desanlis s tonne aupr s de M ie ministre d Etat ministre de ducation nationale de ia jeunesse et des sports que les lyc es professionnels et tech nologiques priv s sous contrat d associations ne puissent recruter des professeurs que comme maitres auxiliaires Il souhaite conna tre les raisons imp rieuses qui s opposent une modifica tion du d cret n 64 217
268. e sans aucun doute un atout sur le plan de la d mocratie locale cela ne va pas sans poser de probl mes au niveau de l am nagement et du d veloppement local En m eu rural notamment le d veloppement local n est ossible que si les communes peuvent efficacement coordonner eurs moyens Conscient de cette r alit le Gouvernement sou haite promouvoir de nouvelles possibilit s de coop ration entre les communs n dotant ces derni res de moyens pour r ussir tout en pr servant le volontariat Pour r pondre ces objectifs le projet de loi d orientation relative l administration territoriale de la R publique propose deux formules diff rentes de coop ra tion la communaut de communes et la communaut de villes Alors que la communaut de vilies concerne les agglom rations de plus de 30009 habitants la communaut de communes constitue pour sa part un instrument juridique de coop ration plus particuli rement adapt aux villes petites et moyennes et l espace rural S agissant des moyens financiers envisag s pour inciter le regroupement une place privil gi e est accord e dans le projet de loi aux diff rents r gimes de dotations existantes et en particuiier la dotation globale de isnctionnement D G F Conform ment l article L 234 17 du code des communes les groupements de communes dot s d une fiscalit propre c est dire les districts fiscalit propre les communaut s urbaines et les syndic
269. ecevoir une formation en fran ais la question de la formation ASSEMBL E NATIONALE a ler octobre 1990 initiale ou continue des responsables conomiques adminis tratifs scientifiques ou techniques tant au c ur de notre coop ration avec ces pays et la formaiion de ces agents en France ou en fran ais pr supposant une connaisance op rationnelle de notre langue il est demand nos postes de cr er en coop ra tion avec les instances locales un dispositif de formation en fran ais des professions Ce dispositif sera ouvert non seulement aux agents pris en charge par noire coop ration officielle mais encore tous les ressortissants de ces pays trait s dans un autre cadre collectivit s locales P M E P M I etc D s le mois de juillet 1990 un stage de sp cialisation de foimateurs a t orga nis la demande du d partement par l universit du Mans l intention de vingt enseignants des pays de l Europe de l Est 2 Cr ation de fili res bilingues d enseignement il s agit de cr er dans chacun des pays un nombre d abord limit mais qui peut tre appel s tendre d institutions o il sera possible de mener bien des tudes ouvrant sur des dipl mes nationaux mais r alis es partiellement en fran ais a Au niveau scolaire il s agit d tablissements bilingues l image de ceux qui fonction nent d j en Hongrie et en Bulgarie la moiti environ des mati res y sont enseign
270. ective la formation initiale et continue des instituteurs en langues est une priorit fondamentale pour les prochaines ann es Les recteurs d acad mie ont t invit s par le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports prendre toute disposition n cessaire pour mettre en uvre des actions de formation linguistique l intention des instituteurs Parlement relations entre le Parlement et le Gouvernement 30677 25 juin 1990 M Jean Louis Masson attire l atten tion de M le miaistre d Etat ministre de l ducation natio cale de ia jeunesse et des sports sur le fait qu de nom breuses reprises le Pr sident de la R publique a demand aux membres du Gouvernement de respecter les pr rogatives du Par lement En l esp ce le r glement de l Assembl e nationale pr voit que les questions crites doivent b n ficier d une r ponse dans un d lai d un mois renouvelable une fois 11 lui rappelle que sa question crite n 11264 en date du 3 avril 1989 n a toujours pas obtenu de r ponse Il souhaiterait donc qu il lui indique les raisons de ce retard et s il pense qu un tel retard est compatible avec les recommandations manant du Pr sident de la R pu blique lui m me quant la nature des rapports entre le Gouver nement et le Parlement R ponse La r ponse la question crite n 11264 est parue au Journal officiel n 30 Assembl e nationale D bats parlemen ta
271. eignaient le cin ma audiovisuel 53 lyc es le th tre Dans l enseignement technique et dans l enseignement professionnel les options propos es sont en caurs de d veloppement et de diversi fication Ainsi le nombre des lyc es pr parant au baccalaur at F 12 est il pass de 7 en 1982 25 en 1989 1990 Une formation sanctionn e par un baccalaur at professionnel artisanat et m tiers d art quatre sp cialit s accueille les premiers l ves d s cette rentr e Des dispositifs d accompagnement outils p da gogiques et formation ont t mis en place au niveau national comme au niveau local Cette ann e 23 universit s d t seront ouvertes aux personnels de l Education nationale et aux profes sionnels de l art Par ailleurs outre les formations disciplinaires ont t organis s des stages d action culturelle pour 15 000 ensei gnants des ler et second degr s Afin de mieux accueillir les enseignants et les l ves dans les mus es et les archives et de leur permettre un travail p dagogique en relation avec ces organismes des heures de d charge sont attribu es des enseignants 3 6 heures par professeur pour travailler dans leurs services du catifs Ainsi plus de 2000 heures suppl mentaires ont t r parties en 1989 1990 Depuis quatre ans la Semaine des arts qui conna t un succ s que de plus en plus grand permet aux parents et au grand public d appr cier travers les multiples manifestation
272. elle latten ion de M le miaistre de la solidarit de la sant et de ia prot ne sociale sur l actuelle impr cision qui entuure les modalit s de versement des aides du Fonde national de solids rit et sur l int r t cue pr senterait pour les ayants droit la pubiication par voie r glementaire d un guide de d terminriion de l assiette de ces prestations ainsi qus de leur compatibilit avec le versement d autres typ de prestationt 11 rel ve que le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 a tr s utilement clanfi les conditions de versement de l allocation aux adultes hanGicap s et souhaiterait savoir s il a l intention ainsi Qu il l avait annonc en Fu ow de proc der de m me pour le Fonds national de soli arit Repuise En application du devxi me alin a de l ar cle L 821 1 du code de la s cunt socials les avantages de ruusite des personnes handicap es y compris l allocation supplo sentaire du Fonds national de solidarit F N sont en tant que de besoin compl t s par l allocation aux sites handicap s ler octobre 1990 dans la limite du maximum de cette prestation soit 35 170 francs au ler juillet 1990 Exclure les rentes cunsti u es par les handi cap s eux m mes des ressources prises en compte pour le calcul de l allocation suppl mentaire du F N S aux handicap s retrait s dans les m mes limites 12 000 francs par an que celles pr vues pour l allocation aux adultes handicap
273. elles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r giementation 32030 23 juillet 1990 M Michel Baraler rappetle M le secr taire d Etat supr s du Premier ministre charg de l environnement et dc la pr vention des risques technologiques et naturels msjeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le t avrit 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant ccnt propositions dont l une est ainsi r dig s Les media audiovisuels et la presse sont destinataires des informa tions collect es par ces r sea 1x r gionaux et d partementaux et invit s les porter la connaissance du public Ii lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de ia part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend tui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32031 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement
274. els majeurs de tirer les enseigne ments de la catastrophe de N mes du 3 octobre 1988 Apr s avoir analys les causes de la catastrophe le rapport propose que l en semble des acteurs concern s aux premiers rangs desquels se trouvent les collectivit s locales am liorent les dispositions de pr vention des risques d inondation par pr cipitations intenses Ces dispositions concernent la mise en uvre adant e des ser vices publics l organisation de l alerte et de l information des autorit s des services publics et de la population la prise en compte des risques dans les urbanisations et les mesures appro pri es pour les coulements pluvieux Le rapport analyse ensuite succinctement les situations de cinquante deux villes situ s dans des bassins versants dont l hydrologie la topographie et l urbani sation sont quivalentes celles de Nimes et qui donc pr sen tent des risques importants Constatant que malgr l avertisse ment de la catastrophe de Nimes les villes soumises des pr cipitations intenses comme certaines villes situ es sur le pour tour m diterran en n engageaient pas de r flexions sur leur vul n rabilit 11 a t demand aux pr fets de se rapprocher de ces cinquante deux villes et ventuellement des autres qui leur arr concern es pour les engager effectuer cette tude n ce qui concerne Nice le rapport de l ing nieur g n ral Ponton mentionne les vallons ce la Madeleine et de la Mon
275. ement 34005 justice 34007 ducation natio nale jeunesse et sports 34008 ducation nationale jeunesse et sports 34031 solidarit sant et protection sociale Bonnet Alala 33922 handicap s et accident s de la vie Bouvard Loic 33873 d fense 34015 d fense Braaa Pierre 33961 ducation nationale jeunesse et sports 33962 quipement logement transports et mer 33979 handi cap s et accident s de la vie Brochard Albert 33960 int rieur ministre d l gu C Cavalil Jenn Charles 33949 int rieur ministre d l gu 33958 d fense 33981 agriculture et for t Cazenave Richard 33928 budget j Cl ment Pascal 33902 agriculture et for t 33903 solidarit sant et protection sociale Cousasa Rem 33882 solidarit sant et protection sociale 33918 commerce et artisanat 3922 handicap s et accident s de Ja vie Cozsa Jean Yves 33990 int rieur D Daillet Jean Marie 34912 handicap s et accident s de la vie Daugrelih Martine Mme 33938 solidarit sant et protection socialc 33939 commerce et artisanat 33940 commerce et arti sanat 33941 commerce et artisanat Delalante Jean Pierre 33855 int rieur T Delattre Francis 33878 int rieur 33919 solidarit sant et pro tection sociale Daprez L once 33871 affaires trang res 33884 int rieur ministre d l gu 33888
276. ement criante dans les secisurs comme l aide sociale l enfance la g rontologie En cons quence il lui demande quelle suite il entend donner ces probl mes et s il envisage galement de revoir la grille salariale de la profession Handicap s COTOREP 33879 ler octobre 1990 M Joseph Henri Maujo an du Gasset attire l attention de M le mixistre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le fait que l association des paraiys s de France a recens dans un livre blanc un certain nombre de d cisions prises par des organismes sociaux qui lui semblent arbitraires et inadmissibles 1 lui demande de bien vouloir prendre connaissance de ces faits si ces faits lui semblent v rifi s d intervenir pr s des organismes comp tents Professions m dicales sp cialit s m dicales 33881 1er octobre 1990 M Jena Fran ois Mattei attire l attertion de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la situation de la g n tique m dicale en France Compte tenu de l volution de la m decine toutes les donn es statistiques et pid miologiques d montrent que les 3 p 100 de nouveau n s malform s repr sentent d sormais une priorit et que les maladies g n tiques sont devenues un des cha pitres les plus importants de la m decine moderne Au cours des 4662 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 ann es pass es des consultations de g n ti
277. ement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32014 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32015 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32016 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32017 environne ment et pr vention es risques technologiques et naturels majeurs 32018 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32019 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32020 environne men et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32021 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32022 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32023 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32024 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32025 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32026 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32027 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32028 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32029 environne ment et pr vention des risques technologijues et naturels majeurs 32030 environnement et
278. ementation 31948 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de i Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le droit de l homme an vanne est introduit parmi les droits fondamentaux reconnus par la Constitution 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entena lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31946 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment Gcposce te ii avri 1900 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l
279. en aveur de l A S F apr s le 31 mars 1990 les cons quences sur les retraites Un tre particuli rement d favorables pour les pr retrait s auxquels compte tenu de la diminution de la capa cit financi re p l A S F les r gimes compl mentaires risque raient de ne pouvoir garantir le niveau des prestations pr vues ll lui demande enfin si le Gouvernement n envisage pas de reconsi d rer sa position actuelle Retraites compl mentaires politique l gard des retrait s 28961 21 mai 1990 M L once Deprez appelle l attention de M le ministre de ia solidarit de la sant et de la protec tion sociale sur les inqui tudes exprim es par les retrait s et pr retrait s propos de l ventuelle remise en cause du financement de la retraite soixante ans En effet il appara t que l Etat ne paificipeni plus la structure financi re cr e en 1983 lors de abaissement de i ge de la retraite soixante ans Dans cette hypoth se il semble que les r gimes compl mentaires apphque ront un coefficient d abattement pour les retraites prises avant soixante cinq ans 11 lui demande de bien vouloir lui faire connaltre ses intentions concernant l ouverture de n gociations entre les partenaires sociaux afin que les salari s ayant opt pour la retraite soixante ans bangi ieni malgr le d sengage ment ventuel de l Etat d une retraite taux plein apr s le 31 mars 1990 et que soient respect s le
280. en service command En effet le r gime de s curit sociale des non salari s ne pr voit pas le versement d indeninit s journali res en cas d indisponibilit suite un accident de service c est pour quoi il na pas t possible de rattacher les sapeurs pompiers volontaires non salari s ce r gime Le syst me ant neur dans lequel la collectivit territoriale verse directement ces indernnit s et remboursements de frais a donc t maintenu S curit civile sapeurs pompiers 16770 21 ao t 1989 M Jean Jacques Weber attire l at tention de M le ministre de l int rieur sur la composition de la commission de r forme d partementale Les repr sentants du per sonnel des sapeurs pompiers professionnels taient d sign s jus 4608 qu ce jour parmi les lus si geant au conseil d administration pour les agents de la cat gorie C Or travers les lections pro fessionnelles du 15 juin dernier ces agents rel vent d instances sp cifiques nouvelles savoir a commissions administratives paritaires sur le plan d partemental pour la cat gorie C et national pour les cat gories A et B b comit s techniques pari taires locaux pour les corps ayant au moins vingt agents et un comit technique paritaire d partemental pour l ensemble des corps ayant moins de vingt sea La pr sidence de la C A P comp tente pour les agents de la cat gorie C est confi e au pr si dent du conseil g n ral pr
281. en vouloir lui pr ciser si le cas parti culier de la Guyane fera l objet d un examen attentif pour qu enfin son institut d tudes sup rieures soit dot de moyens cons quents tant en personnel qu en locaux d enseignement et en struciures universitaires de fa on g n rale R ponse Les travaux conduisant l laboration du sch ma de d veloppement et d am nagement des enseignements sup rieurs initi s par la tenue des assises r gionales puis nationales ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4585 Universit 2000 se poursuivent Dans le cadre de chaque r gion ils donnent lieu un examen attentif et prospectif des besoins inh rents la croissance quantitative et qualitative des enseignements sup rieurs Concernant la Guyane le contrat sign entre l Etat et l universit des Autille Guyane le 28 avril retient comme prioritaire l objectif de r quilibrer les enseignements sup rieurs par la cr ation de fili res nouvelles au sein de l ins titut d tudes sup rieures Un avenant ce contrat devra prochai nement d terminer les moyens n cessaires tant en personnels qu en cr dits de fonctionnement la coliaboration des collectivit s locales tant recherch e pour l installation de ces formations Enseignement secondaire fonctionnement 32191 30 juillet 1990 M Henr Cuq appelle nouveau l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeunesse et de
282. ena 32693 solidarit sant et protection sociale V Vachet L o 27849 agriculture et for t Vallelx Jeaa 31652 ducation nationale jeunesse et sports Vaazelle Michel 29116 agriculture et for t Veraaudon Emile 31134 ducation nationale jeunesse et sports Virapouil Jean Paul 31438 culture communication grands tra vaux et Bicentenaire Vivien Alala 31518 solidarit sant et protection sociale Voisia Michel 32767 d fense 32998 solidarit sant et protec tion sociale Vulllaume Roland 20478 solidarit sant et protection sociale W Weher Jeaa Jacqnes 16770 int rieur 28915 int rieur ministre d l gu 32737 d fense Z Zeller Adriea 30684 int rieur ministre d l gu ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4571 R PONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS CRITES PREMIER MINISTRE Nomades et vagabonds politique et r glementation 33530 M Jacques Godfrain demande M le Fremier ministre s il existe un code rassemblant les droits et obligations des personnes sans domicile fixe notamment les personnes d si gn es sous le nom de gitans tziganes boh miens ou gens du voyage ll souhaite en particulier que lui soit indiqu leur situa tion au regard du service militaire des imp ts du R M I de la svolarisation ou du droit de vote par exemple et quels sont les moyens de contr le de l administration R
283. end lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31964 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etnt aupr s dn Premier mlaistre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un conservatoire national des espaces naturels est cr par exten sion des comp tences et des moyens du Conservatoire du Littoral aux sites d int r t cologiques et paysagers majeurs dans l ensemble du pays Il coordonne son action avec celles du r seau des conserva toires locaux d espaces naturels 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31965 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s dn Premier mlalstre charg de l environnement et de la pr veation des ri
284. ensesessese 4547 BOUM anea A RES CU 4547 Commerce et artisanat sean I E 4548 Commerce sit meur 2e T Ernst NEEE ml IOE ns p s ea E see ce sasune 4548 LEE AU LU OO ES RS D i a i E 4548 ConsomMMAtiQn srurarescesdoganeeddesdee ed dd MT re os noce ee vor one tn rm ve 4548 Culture communication grands travaux et Bicentenaire rs 4549 D fense a Re E e 4549 Economts Tihanc s et budget sde e 200000 nn IIINE 4550 Education nationale jeunesse at sports eseeeesesesseesseeseencensssnsree 4550 Environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 4552 Equipement logement transports 8t Mer see ssssssesceeneerssensnse 4553 TU voue so vuepmmemnnecsse I ro ra a 4554 Fonction publique et r formes administratives scene l 4555 Handicap s et accident s de la vie siesesssessenesesseesenemnnenee 4555 Industrie et am nagement du territoire sise smeereeenenee 4557 INt rieur sorrara E NEEE IEA one mis RS is NN 4558 Int rieur ministre d l gu Mao ado uovais de SP m0 TOI 4559 a E E a scscsonons e oo 008 00 0 0100100 PNR TN re 4559 Justice E N m0 een Onnmennnenee mere arr REEE 4559 LOTO aE AENEA can ane a o sens ae ESS 4580 Personnes g es PT di COUT US 4560 P et T
285. ent politique et r glementation 31996 23 juillet 1990 M Michel Baraier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La loi du 29 d cembre 1979 sur l affichage et ses textes d applica tion sont modifi s afin de d finir plus rigoureusement les limites des zones urbaines ou d agglom ration Une proc dure d urgence est mise en place pour supprimer les panneaux et supports publicitaires se ill galement sur des propri t s priv es Une corresponsabi llt du propri taire du terrain d implantation de l affichage est insti tu e 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites ie Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32997 23 juillet 1996 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vent
286. ent politique et r glementation g LS 31948 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de i environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie et du Pian il a tabli un rapport sur la politique de l environnement d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e nationale et conte nant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Compte tenu de l extension du domaine l gislatif l environnement la loi fixe d sormais les principales normes de pr vention des poslutions assurant ainsi au minimum le rzspect des directives europ ennes La loi pr voit les sanctions correspondantes 11 lui demande de quelles tudes cette proposition 2 fait l objet de la part de ses services ou des serices d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glemen ation 31949 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a
287. ent ses services sont saisis par des particuliers en instance de d part alors m me qu ils ignorent tout des condi tions de vie et des perspectives conomiques offertes par le d partement Aussi il convient de rappeler qu en 1979 a t cr e l association pour le d veloppement conomique de la Guyane A D E G qui regroupe des responsables d entreprises et d orga nismes socio professionnels guyanais afin d apporter un soutien aux investisseurs ventuels Les services locaux de l Etat et notamment l Agence nationale pour l emploi ou la direction d partementale du travail et de l emploi peuvent quant eux conseiller utilement les salari s candidats une installation mn ee ne fe DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Enseignement sup rieur personnel enseignants 8855 30 janvier 1989 M Domiulque Gambler attire l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur les conditions de d placement des personnels enseignants hors de France Il appa rait en eflet que les textes r gissant les d placement des per sonrels universitaires n ont pas t actualis s depuis bient t vingt ans dans le sens de la libre circulation des personnes L in tensification des changes entre les universit s europ ennes la multiplication des projets communautaires Sprint Comet Erasmus etc rendent de plus en plus n cessaires des d place ments fr quents qui
288. ent op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pita de Gonesse d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33982 1er octobre 1990 M Marcelin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection soclaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradiologie concernant la mise en service de l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 lui demande quelles mesures exceptionnelles i entend prendre pour qu un mat riel de harte technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital d Argenteuil d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33983 1er octobre 1990 M Marceiin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la solidarit de la sante et de la protection soclaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradialogie concernant la mise en service de l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi a
289. ent pour des grands groupes dans le Golfe Ces entreprises ler octobre 1990 qui ne sont pas toutes couvertes par la Coface Compagnie fran aise d assurance pour le commerce ext rieur doivent assurer le versement des salaires aux familles de leurs employ s actuelle ment retenus en Irak et au Kowe t A cette lourde charge vien nent s ajouter des frais de s jour importants dont le montant ne peut tre ma tris Cette situation exceptionnelle supportable ur les grandes firmes pose cependant de s rieuses difficult s inanci res aux petites structures lesquelles s interrogent sur leurs perspectives d avenir li lui demande quelles mesures exception nelles il envisage pour aider les P M E P M I concern es faire face leurs probi mes ponctuels li s des charges lev es non pr visibles combin es une diminution de leur reritabilit Politique ext rieure U R S S 34013 l r octobre 1990 M Robert Pand rau attire l at tention de M le ministre d Etat ministre des affaires tran g res sur la situation choquante des porteurs de titres d em prunts russes acquis avant la r volution de 1917 Il lui demande d entamer une action diplomatique afin d aboutir pour le moins un accord dans le m me esprit que celui qui a t pass entre la Grande Bretagne et l Union sovi tique le 15 juillet 1986 Le Gouvernement fran ais pourrait sugg rer a Gouvernement sovit tique d imputer les sommes due
290. entaire Par ailleurs des mesures de finan cement pourraient moyen terme tre galement d cid es Aucune d cision n a cependant encore t prise par le Gouverne ment dans l attente du d bat parlementaire auquel il a t pr c demment fait allusion Dans ce cortexte l honczable parlemen taire comprendra qu il est difficile de pr juger la nature exacte des mesures qui pourraient ult rieurement tre retenues leur pu d application et leur date d effet Elles seraient en tout tat de cause extr mement progressives 4 L largissement des conditions d ouverture du droit pension de r version est intime ment li la r flexion sur lcs pensions e droit direct C est ainsi que dans le cadre d une approche g obale des retraites une am lioration des pensions de r version pourra tre envisag e 5 La situation des personnes g es d pendantes est une des pr occu pations du Gouvernement qui fait actuellement proc der une tude des solutions qui pourraient tre apport es aux difficult s notamment financi res li es l tat de d pendance a Professicns param dicales infirmiers et infirmi res 32886 20 ao t 1990 M Bernard Madreiie attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de in sant et de ig protection sociale sur la situation des infirmi res et infirmiers lib raux En effet au d but de l ann e 1990 des n gociations ont eu lieu dans le cadre conve
291. entraine notamment l interdiction d utiliser le service public d en seignement les maltres et l ves comme instrument ou support permettant de privil gier certains int r ts commerciaux ou de propagande Il appartient au chef d tablissemen sous le contr le des autorit s acad miques de veiller l application de cette r glementation en appr ciant cas par cas la port e r elle du risque d atteinte au principe de neutralit et donc d autoriser ou de refuser les actions propos es Enseignement secondaire personnel personnel de direction 30151 18 juin 1990 M Xavier Dugoin attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur la situation des personnels de direction des lyc es En effet depuis de nombreuses ann es aucune v ritable revalorisation du statut des int ress s n a eu lieu Aussi compte tenu de la mission importante qu ils assument dans le cadre de l enseignement il lui demande quelles mesures il envisage en leur faveur R ponse Les diverses mesures arr t es l gard des per sonnels de direction dans le cadre du statut d avril 1988 environ 12 500 personnes concern es ont eu pour effet une revalorisation importante de leur situation Ces mesures repr sentent un co t total de 260 millions de francs r parti sur plusieurs exercices budg taires Toutefois les d cisions prises l gard des corps enseignants et d inspection dans
292. ents Parlement relations entre le Parlement et le Gouvernement 32381 30 juillet 1990 M Jean Louis Masson attire l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation mationale de ia jeunesse et des sports sur le fait qu de nom breuses reprises le Pr sident de la R publique a demand aux membres du Gouvernement de respecter les pr rogatives du Par lement En l esp ce le r glement de l Assembl e nationale pr voit que les questions doivent b n ficier d une r ponse dans un d lai d un mois renouvelable une fois ll lui rappelle que sa question crite n 18791 en date du 16 octobre 1989 n a toujours pas obtenu de ponse ll souhaiterait donc qu il lui indique les raisons de ce retard ei s il pense qu un tel retard est compatible avec les recommandations manant du Pr sident de la R pu blique lui m me quant la nature des rapports entre le Gouver nement et le Parlement R ponse Le minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports s est toujours attach veiller la qualit des rap ports qui doivent naturellement exister entre le Parlement et le Gouvernement C est ainsi que des instructions ont t donn es aux services de ce d partement minist riel pour que les affaires qui concement le Parlement soient tudi es avec la plus grande diligence Toutefois la nature et la diversit des informations demand es par les parlementaires impliquent parfois des t
293. environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31997 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31998 environnement et pr vention des nsques technologiques et naturels majeurs 31999 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32009 environnement et pr vention des risques technc logiques et naturels majeurs 32001 environnement et pr vention des risques technologiques et naturz ls majeurs 32662 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32003 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32004 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32008 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32006 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32007 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32008 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32009 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32010 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32011 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32012 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32013 environn
294. environnement Environnement politique et r glementation 32001 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majsurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une es ainsi r dig e La taxe parafiscale sur la pollution de l air est transform e en redevance de nature fiscale assise sur les missions des principaux polluants atmosph riques SO NOx chlore poussi res et affect e par le blais d un compte d affectation iial l agence pour la qualit de l air Le taux de cette taxe est augment pour tre coh rent avec le principe pollueur payeur 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envirennement Environnement politique et r glementation 32002 23 juillet 1990 M Michel Baraler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention de
295. er octobre 1990 M Andr Santini attire l atten tion de M le ministre de is culture de la communication des grands travaux et du Bicentenaire sur les conditions d entr e dans les mus es monuments et sites historiques pour les plus d favoris s tels que les demandeurs d emploi ou les personnes relevant du revenu minimum d insertion il Jui demande de bien vouloir lui indiquer dans quel d lai un effort particulier pourrait tre entrepris pour accorder des tarifs r duits ces cat gories de personnes D FENSE Arm e personnel 33673 1 octobre 1990 M Loic Bouvard attire l attention de M le ministre de ia d fense sur le fait que depuis la loi n 75 1000 du 30 octobre 1975 aucune mesure indiciaire sp ci fique n a t accord e aux sous officiers alors que durant cette m me p riode les fonctionnaires civils ont b n fici de mesures cat gorielles importantes 11 s ensuit par cons quent que la parit avec la fonction publique n existe plus et qu il y a aujour d hui un d calage de 13 points d indice major entre un adjudant chef en lin de carri re apr s vingt et un ans de service et un chef ue section ou secr taire administratif chef de section de la fonction publique 11 avait donc t envisag et souhait par bon nombre de sous officiers retrait s de r tablir un chelon sup pl mentaire de fin de carri re apr s vingt quatre ans de service ce qui leur permettrait de b n ficier des treiz
296. eris 33880 d fense 33917 affaires trang res 33996 solidarit sant et protection sociale 33997 travail emploi et formation professionnelle 33998 solidarit sant et protection sociale l Jacquemin Michel 33934 consommation K Kert Christian 34009 affaires europ ennes L Lajolale Andr 33966 quipement logement transports et mer 33967 quipement logement transports et mer 33968 industrie et am nagement du territoire 33969 quipement logement trans ports et mer Landrala Edouard 23396 anciens combattants et victimes de guerre 33898 agriculture et for t Lar al Claude 33883 agriculture et for t L onard G rard 33974 handicap s et accident s de la vie Ligot Maurice 33921 handicap s et accident s de la vie Lombard Paal 33970 agriculture et for t Loaguet G rard 33908 solidarit sant t protection sociale 33906 industrie et am nagement du territoire 33907 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 33916 quipement logement transports et mer M A e Madella Alain 33904 jeunesse et sports 33999 conomie finances et budget 34016 ducation nationale jeunesse et sports Mancel Jean Fran ois 33929 ducaiion nationale jeunesse et sports 34026 int rieur ministre d l gu Masson Jean Louis 34019 environnement et pr ventipn des risques technol
297. erminer le pr judice subi par les producteurs il semblerait malheureuse ment que la division des relations ext rieures en charge du dos sier Bruxelles D G 1 soit peu favorable cette d marche Aussi il lui demande d intervenir afin que la C E E d cide d ou vrir cette enqu te sur ces importations Question transmise M le ministre de l agriculture et de la for t igroalimentaire mais 32812 20 ao t 1990 M Here de Charette appelle l at tention de M le ministre de l agriculture et de ia for t sur la n cessit de prot ger les producteurs fran ais de ma s face la concurrence d loyale dzs producteurs am ricains de corn gluten feed En effet les producteurs de ma s ont d pos aupr s de la C E E une plainte anti subventions contre les importations am ricaines de ce sous produit du ma s qui entre sans droits dans la Communaut europ enne Ces importations ont augment de 200 p 100 en dix ans et repr sentent aujour d hui 35 p 100 de la production fran aise de ma s I1 va sans dire que ces importations causent un grave pr judice pour les PRE qui perdent ainsi une large part de leurs d bouch s e prix du ma s pay au producteur a ainsi baiss de 44 p 100 en francs constants depuis cinq ans C est donc avec une l gitime impatience que les producteurs fran ais attendent l ouverture pour la C E E d une enqu te sur ces importations En cons quence il lui demande de bier v
298. erna appelle l attention de M le ministre de la 5solldarite de la sant et de la protec tion soclale sur ies dangers pour le syst me de soins fran ais et la popul uon que repr senterait un accord conventionnel entre syndicats de in decins et Caisse nationale d assurance maladie pr voyant le maintien des d passements de tarifs ou leur g n ra lisation En effet un tel accord entra nerait une augmentation des d penses la charge des familles et constituerait in vitablement are atteinte au droit la sant pour tous S il est vrai que a revale sation des honoruises des m decins sp cialistes et g n ra listes s impose elle doit se r aliser dans le cadre d un accord favorisant le droit la sant de tous Cet imp ratif impose de prendre des mesures nouveiles pour le financement de la s curit sociale Aussi il lui demande quelles mesures il entend prendre pour permettre un nouveau d veloppement du syst me de soins fran ais prenant en compte le droit la sant de tous S curit sociale conventions avec les praticiens 24501 19 f vrier 1990 M Yves Coussaln demande M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale de bien vouloir lui pr ciser la suite que le Gouvernement envisage de r server aux pr occupations exprim e par la mutua lit du Cantal qui d clare son hostilit tout projet d accord entre les syndicats de m decins et les caisses nationales d assu rance
299. ertain nombie de mesures 1 2 milliard de francs de d pens s int ressant l institution familiale dans son ensemble Il a ainsi t d cid d tendre dix huit ans l ge limite au del duquel les allocations familiales et l aide personnalis e au loge mert ne seront plus servics en cas d inactivit Cette mesure qui a pris effet le 1 juillet 1990 d cret n 90 526 du 28 juin 1990 modifiant le code de la s curit sociale a pour objectif d ap porter un soutien accru aux familles ayant les plus lourdes Charges et de r duire la disparit de traitement avec les familles ayant des enfants poursuivant des tudes ou b n ficiaires d une formation De plus la loi n 90 590 du 6 juillet 1990 a prolong de seize dix huit ans le versement de l allocation de rentr e scolaire En outre le croit cette prestation sera ouvert non seu lement aux familles b n ficiaires d une prestation familiale mais galemeut celles percevant l aide personnalis e au logement le revenu minimum d insertion ou l allocation aux adultes handi cap s Enfin la loi pr cit e a cr aide la famille pour l em ploi d une assistan e maternelle agr e Cette loi traduit l une des priorit s du Gouvernement en mati re d aides la famille pro mouvoir et d velopper les diff rents modes de gar existants La nouvelle prestation concerne les familles ayant recours une assistante maternelle agr e pour la garde d enfants de moins de si
300. ervice int rieur des pompes fun bres est dress pes les fabriques et soumis l avis des conseils municipaux et approbation du pr fet Le tarif des fournitures du service ext rieur est dress par les conseils municipaux et soumis l avis des fabriques Dans la pratique ces tarifs sont le r sultat d accords amiables intervenus entre fabriques et communes Fonction publique territoriale politique et r glementation 32695 6 ao t 1990 M Jean Marie Demange demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui indiquer si un agent titulaire ou non occupant un emploi temps non complet de moins de trente et une heures trente par semaine peut tre autoris cumuler cet emploi avec une activit priv e lucrative R ponse L article 25 de la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires dispose que ceux ci ne peuvent exercer titre professionnel une activit priv e lucrative de quelque nature que ce soit les conditions dans les quelles il peut tre exceptionnellement d rog cette interdiction tant fix es par d cret en Conseil d Etat Aucune d rogation n est fix e ce jour L article 3 de la loi no 84 53 du 26 janvier 1984 moditi e permet toutefois dans son dernier alin a aux communes et groupements de communes de moins de 2000 habitants de recruter des agents non titulaires pour pourvoir des emplois temps non complet correspondant un nombre
301. es g n ralit s Fonds national de solidarit 31487 9 juillet 1990 Mme Niarie France Lecuir attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le d cret n 89 921 du 22 d cembre qui pr cise les prestations retraite pensions et rente ne rentrant pas en compte pour l attribution de l allocation aux adultes handi capes ette allocation tant remplac e par le Fonds national de solidarit l ge de soixante ans elle lui demande s il lui parait possible d tendre les dispositions du d cret pr cit aux b n fi Ciaires du Fonds national de solidarit quand cette prestation remplace l allocation aux adultes handicap s Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31408 9 juillet 1990 M Michel Sapin attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la situation des personnes percevant l allocation aux adultes handicap s A A H lorsqu elles atteignent soixante ans L A AH est alors remplac e par l allocation du Fonds national de solidarit F N S dont les conditions d attribution son moins favorables Il iui demande s il lui parait possible d tendre les dispositions du d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 excluant diverses prestations des revenus pris en compte pour l attribution de l A A H l aliocation du F NS Retraries g n ralit s Fonds national de solidarit 11409 9 j
302. es Ces commissaires enqu teurs conduisent une mission de service public v ritabs relais entre les citoyens et le pouvoir Malheureusement la modicit du d dommagement qui leur est accord ne correspond ni leur comp tence nl l ind pendance Indispensable de leur fonction ni une politique dynamique Ils souhaitent donc l instauration d un v ritable r gime d indemnisa tlon la d fiscalisation otale des indemnit s t des rembourse ments de frais la fixation de l indemnisation par le pr siuent du tribunal administratif comp tent et la cr ation d un fonds sp cial d indemnisation Elle lul demande quelles mesures il envisage de prendre notamment au sein du budget pour r pondre leurs aspirations Cours d eau tangs et lacs pollution et nuisances Lorraine 34019 ler octobre 1990 M Jean Louis Massca demande M ie secr taire d Etat uupr s du Premier ministre charg de l euvirounemsat et de iu pr vention des risques technolo giques et naturels majeurs de lui indiquer ann e par ann e depuis 1969 quel a t le montant des travaux effectu s pour limiter ou r guler la pollution cr e par les soudi res de Meurthe et Moselle quel a t ann e par ann e le montant et le t ux des subventions affect es dans ce but et quelles ont t ann e par ann e les quantit s totales de chlorures de calcium exprim es en millions de tonnes rejet es par lesdites soudi es QUIPEME
303. es Elles envisagent le devenir et la mise en conformit des sites existants ainsi que des d charges dites historiques non encore r habllit es Les r gions instituent un comit ind pendant charg de l valuation scientifique et thique de toutes les mesures relatives la gestion des d chets Ses avis et rapports sont rendus publics Au niveau d partemental ces fonctions d valuation et d infcrmation sont assur es par la commission d partementale de l environnement qui pourra faire appel au concours d experts ind pendants il lui demande de quelles tudes cette proposition fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d j artements et quelles suites le Gouverne ment entend lui danner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32042 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels mafeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l cunomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e e Les communes ou tablissements publics de coop ration intercom munale
304. es collectivit s locales depuis la loi n 87 588 du 30 juillet 1987 pores diverses mesures d ordre social art 65 peuvent adh rer ce r gime pour les age ts non titulaires Les agents non titu laires des collectivit s territoriales sont donc assur s de b n ficier d un revenu de remplacement en cas de perte involentaire d em ploi quel que soit le r gime choisi par l employeur En ce qui concerne le cas signal par l honorable parlementaire il convien arai d exposer avec pr cision sa situation dans un courrier parti culier Pr retraites allocations 20544 20 novembre 1989 M Thierry Mandon appelle l attention de M ie ministre de ia solidarit de ia sant e1 de la protection sociale sur la situation des salari s de plus de cinquante cinq ans qui ont t licenci s par des entreprises qui n ont pas pass d accord F N E G n ralement consid r s comme trop g s par des employeurs potentiels ils se retrouvent sens ressource lorsqu ils ont puis leurs droits aux allotations ch mage alors qu ils ont pour beaucoup travail au moins cent cinquante trimestres 11 lui demande en cons quence son opi nion sur cette question et s il envisage de prendre des r esures qui permettraient aux personnes qui cnt travaill touts leur vie e percevoir une allccation de pr retraite jusen leur soixan ti me anniversaire Question transmises M le ministre du travail de l emploi et de la formation profes
305. es notamment sur le plan social Ainsi en est il de la loi du 31 mai 1990 visant la mise en uvre du droit au logement laquelle comporte la fois des dispositions g n rales dont les nomades s dentaris s ou semi s dentaris s pour ront b n ficier sous r serve qu ils fassent partie des personnes d favoris es et d autres celles de l article 28 particuli res au monde du voyage Ce texte constitue une avanc e significative pour la solution des trois probl mes prioritaires des itin rants savoir la halte et le s jour la scolarisation des enfants et la possibilit d exercer proximit des aires de stationnement des activit s conomiques traditionnelles 11 confirme l obligation faite aux communes d accueillir ces populations en leur r servant des aires am nag es A l gard des gens du voyage chacun se doit d exercer ses responsabilit s L Etat pour sa part s y emploie d j activement et il poursuivra son effort pour concr tiser le moment venu les recommandations du rapport de M Delamon 11 sait pouvoir galement compter sur le concours r solu des collectivit s territoriales auxquelles la loi a conf r des responsabilit s importantes en ce domaine AGRICULTURE ET FOR T Mutualit sociale agricole cotisations 1667 22 ao t 1588 M Bernard Charles attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur les pro bl mes de r partition au niveau national des cotisatio
306. es produits toxiques invendus des r sidus inutilis s et des emhallages souill s ll prend ensuite toutes dispositions pour que les conclusions de ces tudes re oivent une application effective avant 1993 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement LA Environnement politique et r glementation 31985 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Des pictogrammes nationaux sont cr s et leur apposition est rendue obligatoire sur les emballages et produits recyclables pour Indiquer le mode d limination pr f rentiel et favoriser la collecte s lective Une campagne d information nationale anim e par l A N R E D renforce l impact de cette mesure en incitant la popu lation adopter une condulte favorable au tri s lectif f lui demande de
307. es soci t s dans x Etats menibres prot ger les int r ts ces tierss en ce qui concerne la stracture et le contenu des comptes annuels et du rapp r de gestion les moczss d valuation ainss que la publi les octobre 1990 cit ds ces documents La loi du 30 avril 1983 a int gr ces dispositions et oblige les S A R L d poser au greffe du tribunal de commercc dans le mois qui suit leur approbation par l assem bl e g n rale ordinaire les comptes annuels et le rapport de ges tion Toutefois apr s plus de dix ans plusieurs Etats membres de la C E E n ont pas encore int gr dans leur droit interne les prescriptions de la quatri me directive et devant cette situation anormale certains g rants fran ais n ont pas rempli les obliga tions de la loi du 30 avril 1983 Conform ment la lai des par quets ont introduit des poursuites p nales devant les tribunaux de police comp tents Certains tribunaux et cours d appel ont saisi la Cour de justice de Luxembourg sur la base de l ar ticle 177 du trait de Rome Par arr t du 11 janvier 1990 4e chambre affaire 78 89 la Cour de justice a estim que les l gislations des Etats membres qui ont pour objet de donner ex cution cette directive doivent tre mises en vigueur et appli qu es m me si d autres Etats membres n ont pas encore adopt les mesures d ex cution de cette directive Ainsi les industriels fran ais s nt oblig s de rendre publics ieur
308. es actions pr ventives pourraient tre engag es de fa on temporaire en cas de pointe de pollution due aux condi tions m t orologiques appel au civisme des automobilistes voire si n cessaire restrictions de la circulation dans certaines art res ou zones ou de fa on permanente interdiction de circulation dans les centres villes mise en place de plans de circulation d veloppement des transports en commun notamment les moins polluants Elevage oiseaux 31061 2 juillet 1990 M Louis de Broissia appelle l atten tion de M le secretaire d Etat aupr s du Premier ministre charg ie l enviromnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs sur la l gislation concer nant l levage de certaines esp ces devenues rares dans la nature Celle ci interdit en effet le transport le colportage la vente ou simplement l change d oiseaux chass s en France mais n s et lev s en captivit Le canard de Barbarie par exemple actuelle ment class esp ce prot g c interdite la commercialisation est pr sent dans toutes les fermes et sur toutes les cartes de res taurant l lui demande donc s il ne serait pas souhaitable d envi sager de mettre fin cette l gissation contradictoire et de donner satisfaction aux leveurs de gibier R ponse Le canard de Barbarie est effectivement la souche domestique de Cairina moschata un canard percheur d Am rique du Sud dont i arr t du
309. es constitue ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 OO B ART E E PP oo oo og E e en cffet une pratique tr s particuli re dont il faut temir compte H lui demande donc de bien ve iloir envisager un d iai pour la mise en place d une teile mesure Imp ts zt saxes politique fiscale 33954 1 octobre 1990 M Jean Luc Re tzer attire l at tention de M le miaistre dil gu aupres du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charge du budget sur les conditions d exon ration de l imp t pour les entreprises nouvelles cr es amp partir du 1 octobre 1988 En vertu de l articie 44 du code g n ral des imp ts sont exclues du dispo yitif les activit s vis es l article 35 du code g neral des imp ts 1 d sirerait savoir au regard de cet article 35 si les agences immobili res n effectuant que des op rations de courtage et non de marchand de biens peuvent b n ficier de l exon ration au titre d entreprise nouvelle Cirealation routi re contraventions 33988 1er octobre 1990 M Jean Luc Reitter attire lat tention de M le ministre d l gue aupr s du ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg dz budget sur la ioi n 39 469 du 10 juilict 1989 relative diverses dispositions en mati re de s curit routi re et en mati re de contravention et le d cret n gt 90 388 du 10 mai 1990 relatif la proc duie d amende forfaitaire
310. es d partements et quelles suites te Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31978 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et aaturels majeurs qu en application du mendat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur ie bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont i une est ainsi r dig e ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Des mesures sont prises pour interdire compter du d but de 1993 la commercialisation des produits dont la fili re d limina tion n est pas ma tris e 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31979 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la prevention des risques technologiques et naturels majeurs qu en appl
311. es dans l H rault Les deux cent cinquante producteurs de l est et du nord est du d partement de l H rault ont t victimes d une attaque massive de fusarium un champignon connu et analys depuis ces cinq derni res ann es pour alt rer l piderme des turions des asperges atteinies par cette forme de fausse rouille I faut rappeler que la r gion Languedoc Roussillon est la premi re productrice nationale d as perges avec plus de 40 p i00 de la production fran aise et pr s de 7000 hectares cultiv s D s lors la catastrophe est d autant plus grande apr s une fusariose car la terre devient impropre la culture des asperges Les tudes d montrent qu il est alors impos sible de replanter une aspergeraie pendant plusieurs ann es autant dire que les producteurs perdent non seulement la r colte mais aussi le fonds la tr sorerie sur les cultures en cours et les ann es futures A l image de leurs coll gues conchylicuiteurs de l tang de Thau les professionnels condamn s arracher en pleine saison leurs asperges se refusent envisager leur arr t de mort Quelles mesures le Gouvernement entend il prendre pour assurer des modalit s de sauvegarde de la production et pour mettre sn place d ventuels plans de relance agricole Fruits et l gumes asperges Bouches du Rh ne et Gard d 29116 28 mai 1990 M Michei Vauzeile appelle latten tion de M ie ministre de l agriculture et de ia for t sur la situat
312. es des statuts actes constitutifs composition de bureaux et conseils d administration des associations Loi 1901 de la m me fa on que les greffiers des tribunaux de commerce autorisent la d livrance de renseignements identiques pour les soci t s R ponse L anicle 2 du d cret du 16 ao t 1901 concernant a ieii de la loi du Ier juillet 1901 relative au contrat d as sociation dispose toute personne a droit de prendre connais sance sans d placement au secr tariat de la pr fecture ou de la sous pr fecture des statuts et d clarations ainsi que des pi ces faisant connaltre les modifications de statuts et les ch ngements survenus dans l administration ou la direction Elle peut m me s en faire d livrer ses frais exp dition ou extrait Doivent donc tre remis toute personne qui en fait la demande les statuts de l association et d claration pr alable souscrite par ses fondateurs conform ment l article 5 de la loi du ler juillet 1901 modifi e en venu duquel ce document indique notamment les noms professions domiciles et nationalit s de ceux qui un titre quelconque sont charg s de son administration ou de sa direction Doivent galement tre communiqu es au public les d clarations intervenues apr s la d claration initiale et faisant connaitre tout changement survenu dans l administration ou la direction de l association Mort pompes fun bres 32601 6 ao t 1990 M Jean
313. es disposent d une grande latitude pour prendre en consid ration tout situation particuli re ou difficult locale Le mode de r partition nonc par l article 23 de la loi du 22 juillet 1983 trouve s appliquer qu en l absence de libre accord entre les communes concern es En cas de d saccord persistant le pr fet fixe cette contribution apr s avis du conseil d partemental de l ducation nationale et en prenant en compte notamment les ressources de la commune de r sidence Ce crit re devrait favo riser notamment les communes rurales En ce qui concerne l attri bution de compensations financi res afin d encourager les petites communes rurales pratiquer les regroupements p dagogiques il est rappel l honorable parlementaire que le Gouvernement depuis la mise en uvre de la d centralisation a souhait engager un effort de globalisation des subventions de fonctionne ment et d quipement et simplifier leurs m canismes de r parti tion Ce souci partag par de nombreux lus est incompatible avec la prise en compte de l ensemble des situations sp cifiques et l introduction de nouveaux crit res de r partition 11 n est par cons quent pas envisag de retenir dans le calcul des concours financiers de l Etat aux collectivit s locales de param tres suppl mentaires li s au regoupement p dagogique Bourses d tudes allocations de troisi me cycle 23418 29 janvier 1990 M Joseph Gourmelon appelle
314. es dispositons sont envisag es pour r pondre cette attente R ponse L articic 12 bis des statuts du r gime des prestations suppl mentaires de vieillesse A S V des m decins conventionn s assimile la p riode pendant laquelle a t per ue une pension d invalidit totale et d finitive des ann es d exercice et de coti sation sous r serve toutefois qu la date de cessation d activit suivie de l invalidit totale et d finitive le m decin ait t affili au r gime A S V Il n est pas possible de donner suite la propo sitlon visant tendre de telles dispositions aux m decins en incapacit temporaire tant qu aucun accord n aura t conc u entre les parties conventionnziles sur une maitrise moyen terme de l volution du r gime A S V des m decins dent il est rappel d une part qu il est financ aux deux tiers par les organismes d assurance maladie pour les m decins du secteur 1 d autre part qu il a du faire l objet en 1988 ainsi que pour le pr sent exercice de hausses de cotisations tr s importantes S curit sociale caisses 31345 9 juillet 1990 M L once Deprez demande M le ministre de la solidarit de la sant ei de la protection sociale s il est exact que de nombreux abus ont t constat s par certaines Caisses de s curit sociale sur les ventes de proth ses m dicales aux cliniques priv es 11 lui demande donc la nature des initiatives qu il a prises
315. es et des contributions des usagers et des lt ollectivit s leales calcul es en fonction de la nature et du volume des produits mis en d charge ou traiter l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et Quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32040 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les collectivit s locales re oivent comp tente pour laborer un sch ma de collecte d limination et de traitement des d chets des diff rentes cat gories et pour le mettre en uvre en liaison avec les autres collectivit s locales et l agence interr gionale des d chets conccrn e Leurs comp tences se r partissent de la mani re sul vante r gions d chets industriels de classe I d chets contamin s d partements d chets ind
316. es finances locales qu il incomboera de d terminer au del du plancher fix par les textes la masse r partir au profit des groupem nts En mati re d in vestissement les communaut s de communes et de villes b n fi cieront de la dotation globale d quipement L G E dans les conditions de droit commun Les groupements de communes sont pris en compte de fa on sp cifique dans le cadre de la dotation globale d quipement des communes le au stade de la forma tion des deux parts de la D G E avec l introduction dans le calcul de celies ci d une r partition au prorata des investisse ments r alis s par les groupements 2 au stade de l attribution aux b n ficiaires avec une majoration de fraction principale pr vue en faveur des communaut s urbaines 25 p 100 des dis tricts fiscalit propre 15 p 100 et d autres groupe ments 10 p 100 relevant de la premi re part de la D G E com munes et groupements de communes de plus de 2 000 habitants Le projet de loi relatif l administration territoriale de la R pu blique ne contient donc pas de dispositions particuli res sur la D G E Parall lement une r flexion est en cours dans le cadre du comit des finances locales de a derni rement mandat en son sein un groupe Ge travail Charg d tudier les voies possibles d une r forme de la premi re part de la D G E des communes en raison de l affaiblissement structurel du taux de concours Le renforcement des
317. es mesures propres pour les tablissements de la seule Alsace Moselle Il doit avoir une politique identique pour l ensemble des r gions fran aises Enseignement personnel psychologues scolaires 22213 25 d cembre 1989 M Lucien Guichon appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de j ducation nationale de ia jeunesse et des sports sur le d cret n 89 684 du 18 septembre 1989 portant cr ation du dipl me d Etat de psy chologue scolaire Les personnels concern s par ce texte font valoir qu il cr e un dipl me s gr gatif et d qualifiant pas de D E S S exig et qu il maintient ces personnels dans le corps des enseignants du le degr li ne pr voit qu un recrutement unique alors qu ils souhaitent un recrutement interne l ducation natio nale mais galement externe selon des quotas d terminer Ils demandent b n ficier d une formetion de niveau troisi me cycle comme tous les psychologues voir loi du 25 juillet 1985 et la cr ation d un service de psychologie accessible aux diff rents niveaux de l ducation maternelle primaire secondaire Pour tenir compte du double recrutement qu ils sugg rent ils estiment indispensable l ouverture de recrutement internes et externes psychologues dipl m s D E S S et D E A Il iui signale la situation des d partements d ficitaires en psychologues et plus particuli rement le d partement de l Ain Il lui demande quelle suite il envisage de
318. es sont enseign es C est pourquoi il lui demande s il n est nas envisageable dans cette hypoth se que des ensei gnants titulaires instituteurs P E G C professeurs certifi s puis sent intervenir dans le cadre d heures suppl mentaires r mu n r es par l ducation nationale afin d enseigner les langues vivantes Enseignement priv personnel 33961 ler octobre 1990 M Pierre Brana demande M le ministre d Etat ministre de j ducation nationale de la et des sports quelles sont les raisons qui s opposent une modification du d cret n 64 217 du 10 mars 1964 modifi 4572 s anicle 5 pour ouvrir tous les maitres des classes sous contrat et non aux seuls maitres contractuels les examens et concours de recrutement de l enseignement du second degr et de l enseigne ment technique Des responsables d tablissements priv s sous contrat d association constatent que ces personnels ne peuvent tre recrut s qu en qualit de ma tres auxiliaires Enseignement maternel et primaire fonctionnement Cher 33964 1er octobre 1990 M Jecques Rimbaait fait part M le miaistre d Etat miaistre de l ducation nationale de ia et des de la situation des effectifs dans les coles maternelles de Bourges Une classe a t supprim e l cole de Turty Sur les Vase coles existantes qua torze comptent une moyenne de plus de trente l ves par classe neuf comptent entre vingt cinq
319. es textes r gle mentaires pour qu un candidat un concours exteme de recrute ment de l enseignement du second degr et de l enseignement technique priv puisse opter apr s proclamation des r sultats pour exercer dans un tablissement priv sous contrat d associa tion avec l accord du chef d tablissement R ponse Pour exercer en qualit de contractuel dans un ta blissement d enseignement priv il suffit aux ma tres de justifier des titres requis des candidats aux concours de recrutement de l enseignement public Le dispositif l gislatif r gissant les rap ports entre l Etat et les tablissements d enseignement priv a ins taur pour ces ma tres un r gime de parit avec ceux du secteur public mais ne pr voit pas pour autant un syst me de recrute ment direct par voie de conccurs externe Seuls ies candidats qui z moment de leur inscription au concours avaient la qualit de maitre contractuel ou agr d un tablissement d enseignement priv sous contrat peuvent lorsqu ils sont re us demander leur maintien dans un tablissement d enseignement priv sous contrat d association Cependant les possibilit s pour les maitres contractuels r inun r s dans une chelle d auxiliaires d ecc der uns chelle de titulaires se sont tr s largement am lior es avec l augmentation constante du nombre de promotions offertes aux concours d acc s et pour les listes d aptitude Enseignement priv personnel
320. esures de protection d cid es lors des proc dures ton d unit s touristiques nouvelles en montagne le Pr fet est charg dans chaque d partement concern de proc der une r actualisa tion motiv e de ces protections et leur mise en uvre dans un d lai imp ratif de 3 ans 11 lui demande de quelles tudes cette proposition z fait l obiet de la part de sss services ou des services d auires d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32023 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environaement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une brigade verte est cr e dans chaque d partement Cette brigade est constitu e de gardes nature dont In mission sera la surveillance et la protection de l environnement Les gardes nature regroupent les corps existants des gardes de l Office national de la chasse du Conseil sup rieur de la p che des parcs
321. et espace case SE oo nn E 00 4561 Solidarit sant et protection sociale TT A 4561 Traiports ro tiers t Uvik sam s savoie vec seriti sss o o T manne 4565 Travail emploi et formation professionnelle 4 4sssssssss its en 4565 ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4537 3 R ponses des ministres aux questions crites 2 Index alphab tique des d put s ayant obtenu ure ou plusieurs r ponses 4568 Frenier AIT comssomnnmmemenmenenmencencenneneensmenmenmeanenennent ab 208 ot de ne anne SN E ee 4571 e e NRO Ot Oise A 20 eo pu omats E Euro EN en ar 4571 Commerce dt amidat uosiai oeosinsseiiseseesseroesosoeoso eroosio canisnennsnisad NE ORATS 4575 Culture communication grands travaux et Bicentenaire s 4575 DO scan ss sta nn an en a ne TOR ee EEE nee 4576 D partements et territoires d outra mer ss secs nesnereneenneesneecen essences eseesee 4577 Education nationale jeunesse et sports s sssse soesssssossossssssoosesesosssossoseeneressoenscose sessseaseee 4578 Environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 458 Equipement iogement transports et M8r sssessssosososossssesssssoossessosssssesesserosssonuscosssuseussaesos 4603 aL men E A E date cou ce sons soc dosnosnenedoosce se cnectn anbenu ae 4603 Fonction publ
322. et indis pensable la mise en place d un dispositif leur permettant d as surer ieurs tr s lourdes responsabilit s parentales et ducatives Dans cet esprit il attire son attention sur les lacunes concernant la perception de l allocation pour jeune enfant A P J E et tallo cation parentale d ducation A P E En effet cette A P JE n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du premier anniversaire des enfants leurs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serve de condi tions de ressources la famille ne touche qu une A P J E d o une rte financi re importante qui s accruit avec le nombre d en ants De plus l allocation parentale d ducation n 2st pas cumu lable avec l A P J E La famille doit choisir la plus int ressante des deux Dans tous les cas la famille de naissances multiples r oit pour ces deux prestations la m me somme qu une famille naissance unique sans qu il soit tenu compte du nombre des enfants lever 11 lui demande de bien vouloir lui faire conna tre la position de son administration quant la modifica tlon de ARE de ces deux prestations familiaies afin que les familles naissances multiples ne soient pas p nalis s Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32974 20 ao t 1990 M Didier Chouat attire l attention de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solida rit de sant
323. et les caisses g n rales de s cunt sociale dans les d partements d outre mer Les administrateurs repr sentant les retrait s dans ces organisations ont voix d lib rative Ils sont d sign s par les autres membres du conseil d administration sur proposition des associations de retrait s ayant leur si ge dans les circonscriptions de la caisse et sur proposition des associations et f d rations nationales de retrait s la Caisse nationale Ils sont galement repr sent s dans les conseils d administration des caisses Charg rs de g rer l assurance maladie En effet en leur qualit d assur s sociaux il font partie de l lectorat appel voter pour les administrateurs repr sentant cette cat gorie au sein des conseils d administration des caisses primaires d assurance maladie Dans le cadre de leur repr sentation au sein de diff rents organismes de s curit sociale les retrait s ont la possibilit d exercer leur l gitime droit d expression C est pourquoi il n est pas envisag actuellement de modifier les modalit s de cette repr sentauon dans les conseils d administration des organismes du r gime g n ral de s curit sociale P ET T ET ESPACE D O M T O M R union postes et t l communications 32632 6 ac 1990 M Andr Thien Ah Koon attire Fai tention de M le ministre des postes des t l communications et de l espace sur la situation des auxiliaires des P T T de la R union qui n
324. et trente l ves deux seulement comptent moins de vingt cinq l ves Des conditions correctes d accueil n cessitent que le seuil de vingt cinq par classe ne soit pas franchi elles d pendent de la cr ation suffisante de postes dans ce secteur plus forte raison si comme pr vu on se fixe comme objectif l accueil des enfants de deux ans Au niveau national plus de 30000 enfants taient attendus 1 200 ensei gnants auraient t n cessaires or cela repr sente deux fois et demi le nombre total de tes suppl mentaires pr vus pour la pr sente rentr e Depuis 1983 les effectifs en maternelle n ont cess augmenter L quipe ducative doit tre renforc e d au tant afin de maintenir une gale qualit d coute de soutien des conditions normales de travail pour les enseignants et de r ussite des enfants 11 lui demande que soient prises des mesures budg taires Le en a suppression des surcharges en classes maternelles Enseignement personnel m decine scolaire 33995 1er octobre 1990 M Heari Bayard appelle l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de ia jeunesse et des sports sur la situation de la m de cine scolaire Un accord est intervenu pour que soit r uni l ensemble des moyens des services de sant scolaire au sein du minist re de l ducation nationale et ce compter du ler janvier 1991 Dans cette perspective il lui demande s il envisage la cr a
325. f men sualit s sous condition de ressources Ce dispositif doit per mettre la famille de s adapter sa nouvelle situation et Je prendre en compte les charges imm diates qui p sent sur les parents durant la p riode qui suit la naissance des enfants De plus les erganisme d biteurs de prestations familiales tentent de trouver une r ponse adapt e aux probl mes sp cifiques que ren contrent les familles connaissant des naissances multiples gr ce leurs dispositifs d action sociale afin d all ger les t ches m na res et mat rielles de ces familles En outre les allocations fami iales sont progressive en fonction du nombre et du rang de l enfant leurs montants sont notamment substantieis pour le troisi me enfant et les suivants qui corresponderit nn change ment de dimension de la famille et un probl me financier r el Les familles nombreuses b n ficient par ailleurs de prestations sp cifiques compl ment familial allocation parentale d duca tion La cr ation de l allocation pareatale d ducation a permis d apporter une solvtion aux probl mes rencontr s par les familles nombreuses qui prouvent les plus grandes difficult s concilier vie professionnelle et vie familiale Servie jusqu aux trois ans de l enfant d ur montant de 2 670 francs par mois cette prestation repr sente en 1989 5 8 milliards de francs d pense ne tenant pas compte des droits l assurance vieillesse garantis ses b r fi
326. fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32010 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et aaturela majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politiqre de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Il est cr dans chaque d partement un Fonds pour la gestion des sites aliment par une taxe additionnelle la taxe sur le Ag a b ti par un pr l vement sur le Fonds de p r quation de la taxe professionnelle et le produit transf r des redevances sur l affichage et toute autre recette du budget d partemental Ce Fonds finance les d penses de fonctionnement aff rentes la gestion des espaces naturels sensibles 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en p
327. famiile sur la lettre minist rielle n 226 687 du 23 d cembre 1987 relative l application de l article R 531 2 concernant l allocation pour jeune enfant En effet cette A P J E n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchemer multiple du premier anniversaire des enfants jes qu leurs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serve de conditions de ressources la famille ne touche qu une A P J E Aussi il lui demande si une modification de ce texte peut tre envisag e afin que les familles naissances multiples ne soient plus p nalis es FONCTION PUBLIQUE ET R FORMES ADMINISTRATIVES Fonctionnaires et agents publics r mun rations 33887 l r octobre 1990 M L once Deprez appelie l at tention de M ie ministre d Etat ministre de ia fonction publique et des r formes administratives sur les propositions des organisations syndicales de la fonction publique l gard du Gouvernement qui met en cause par des d cisions unilat rales la n gociation contractuelle au sein de la fonction publique Le maintien du pouvoir d achat en masse et non en niveau appliqu l ensemble des fonctionnaires de l Etat et des collecti vit s terntoriales depuis 1983 se traduit selon ces organisations ar une diminutior du pouvoir d achat pour ceux d entre eux es plus nombreux qui ne b n ficient d aucune mesure cat go rielle Il lui demande de bien vouloir lui pr ciser la suite qu il envis
328. ffet les contrats de retour l emploi permettent en cas d embauche d un ployeur du paiement des charges patronales pour toute la dur e du contrat et de lui accorder une aide de 10 000 francs De jan vier juiliet 1990 19 000 personnes ont b n fici de ces disposi tions et le nombre des demandeurs d emploi de longue dur e de cinquante ans ou plus a connu une d crue sensible Syndicats d l gu s syndicaux 23876 5 f vrier 1999 M Jacques Berrot appelle l atten tion de M le misistre du travaii de l empioi et de ia forma tion professionnelle sur le pluralisme syndical au sein des entre prises 11 lui demande cet gard de bien vouloir lui fournir par secteur d activit les statistiques des d l gu s syndicaux ayant perdu leur emploi au cours des ann es 1980 198 R pense Le service des tudes et de la statistique du minis t re du travail de emploi et de la formation professionnelle n tablit pas de donn es ets au licenciement des d l gu s syndicaux mais labore des statistiques tous secteurs d activit s confondus et relatives l ensemble des repr sentants du per sonnel d l gu s du personnel membres du comit d entreprise d l gu s syndicaux repr sentants des salari s au conseil d admi nistration ou de surveillance des entreprises soumises la loi de d mocratisation du secteur public Le nombre d autorisations de licenciement de repr sentants du personnel accord es
329. fiait l horaire Saumur Tours de telle sorte que les habitants de Saumur manquent la correspondance Tours Paris et se trouvent oblig s de prendre le T G V Or le prix du T G V est beaucoup plus lev que celui des trains clas siques effectuant la ligne Fours Paris Cela rendrait les condi tions de transport bien plus on reuses pour les personnes qui subissent d j l effort de partir tr s t t le matin de Saumur pour aller travailler Paris Il lui demande d viter le changement d horaire du train Saumur Tours et au cas o il en serait autre ment d accorder des tarifs sp ciaux aux h bitants de Saumur se rendant Paris pour travailler Il lui demande galement quelles sont les mesures envisag es pour que les habitants des r gions de Tours et de Saumur oblig s de payer un moyen de transport plus co teux soit indemnis Il s agit souvent d une population de salari s venant travailler Paris et ayant des salaires tr s monti qui se retrouveraient dans l impossibilit de continuer travailler Retraites r gimes autonomes et sp ciaux S N C F politique l gard des retrait s 33916 1er octobre 1990 M G rard Longuet appelle l st tention de M ie miuistre de l quipement du logement des transports et de lu mer sur les probl mes que rencontrent les retrait s de la S N C F qui ne peuvent pas cumuler une retraite de la Soci t nationale et une retraite s curit sociale validant des p riode
330. ficient encore des dispesitions transitoires des lois pr cit es et sont donc titulaires de plu de deux des mandats et fonctions num r s aux articles L 46 1 ou L O 141 du code lectoral ie octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4615 D mographie statistiques 33174 3 septembre 1990 Sur la base du recensement de 1990 M Jean Louis Masson demande M le ministre de l int rieur de lui indiquer la liste des cantons dont la population est sup rieure au double de la population moyenne des cantons de leur d partement D mographie statistiques 33175 3 septembre 1990 Sur la base du recensement de 1990 M Jean Louis Masson demande M le ministre de l int rieur de lui indiquer pour chaque d partement quel est le canton le plus peupl et quel est le canton le moins peupl ainsi que leur population respective et le rapport de ces populations u gard la d cision du Conseil constitutionnel relative aux lections en Nouvelle Cal donie il souhaiterait galement qu il lui indique s il ne pense pas qu il conviendrait de fixer une limite maximale pour les carts de repr sentation constat s dans cer tains d partements et en tout tat de cause de supprimer les situations les plus injustes o par exemple la diff rence de repr sentativit varie de plus de 1 10 D mographie statistiques 33176 3 septembre 1990 Sur la base du recensement de 1990 M Jean Louis Masson souhaiterai
331. forcement des moyens policiers dans les stations baln aires durant ces deux mois Cela a pour r sultat de diviser les effectifs normaux par quatre pendant l t alors que les risques de d veloppement de la petite et moyenne d linquance s accroissent durar cette p riode Dans ces conditions il lui demande quelles mesures i euvisage de prendre pour viter ia d sertification des commissa riats pendant l t et obtenir des r sultats concrets des op rations dites t chaud i Elections et r f rendums listes leciorales 33933 e octobre 1990 M Michel Pelchat attire l atten tion de M le ministre de l int rieur sur le probl me suivant lorsqu une personne g e hospitalis e en long s jour ou admise en maison de retraite dans une commune diff rente de sa com mune de r sidence vient dispara tre l avis de d c s est enre gistr dans la commune de l tablissement L information centra lis e alors par l I N S E E ne retonrne la commune de r sidence que bien des mois plus tard De tels d lais sont vi demment fort longs et posent le probl me de la radiation en temps r el des listes lectorales en cas de d c s On peut effecti vement s interroger sur les cons quences que de tels d lais pour raient avoir par exemple en cas d lections entre le moment effectif du d c s et la r ception de l avis officiel par les services de l I N S E E 11 lui demande quelles solutions pou
332. g de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Des strat gies conjointes ou coordonn es du paysage sont mises en uvre par les services routiers d pendant de l Etat et du d parte ment en particulier pour la gestion de la v g tation de bord de route Dans le m me esprit un poste de paysagiste de haut niveau est mis en place dans chaque d partement pour promouvoir un r flexe paysager chaque niveau de d cision et d ex cution au sein des services charg s des routes nationales ou d partementales Sa mission est d clairer les choix des partenaires et d apporter ses comp tences aux r seaux d intervention sur le terrain qu ils soient conjoints ou s par s 11 lui demande de quelles tudes cctte pro position a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32026 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etnt aupr s du Pre
333. g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Chaque commune de France est tenue de cr er et d entretenir un jardin cologique communal espace paysager ou naturaliste ayant vocation b n ficier notamment d une aide d partementale Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 4600 ASSEMBL E NATIONALE ll lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la parn de ses services ou des services d auires d partements et uelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32022 23 juillet 1990 M Michel Barnie rappelle M ie secretaire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr veation des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la cominission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e De fa on r sorber d urgence le retard pris pour l application des m
334. gal l effort contributif sera le m me pour les agriculteurs que pour les autres cat gories professionnelles l Mutualit sociale agricole cotisations S272 14 novembre 1988 M Jean Pierre Lapaire appelle l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur l assiette du calcul des cotisations sociales en agriculture La diminution de produit des exploitations occasionn e par la nou vellc politique agricole commune pose de fa on urgente le pro bl me des charges fixes et en particulier l assiette du calcul des cotisations sociales fond e sur le revenu cadastral Celui ci n ayant plus de r alit conomique introduit de nombreuses in galit s entre les agriculteurs En cons quence il lui demande si le moment ne lui semble pas opportun d asseoir ces cotisations sur le revenu r el et lui propose d engager titre pilote cette exp rience dans lc Loiret puisque la Mutualit sociale agricole de ce d partement s est prononc e pour un changement de ce type R ponse La loi du 23 janvier 1990 a d fini une nouvelle assiette des cotisations sociales agricoles constitu e par les revenus nets professionnels d gag s par l activit non salari e agricole et a fix au le janvier 199C la date d entr e en vigueur de la r forme dont l objectif poursuivi conjointement par le Gouvernement les parlementaires et les organisations profession nelles vise une harmonie des modalit s d imposition soci
335. giant ventuellement der ri re dcs arguments de nature uniquement juridique refuse de traiter le fond du probl me savoir le pr judice caus aux pro ducteurs de la C E E par les subventions am ricaines Le cycle des n gociations d Uruguay dans le cadre du G A T T offre la C E E la possibilit de r soudre l ensemble du probl me des pro duits de substitution des c r ales corn gluten feed inclus et avec une ch ance proche d cembre 1990 D s 1986 la C E E a clai rement affich son objectif de r quilibrage du soutien et de la protection Derni rement elle a diffus au G AT T un document pr cisant que du point de vue communautaire cet exercice de r quilibrage devait prioritairement concerner les c r ales d une part et les produits de substitution des c r ales d autre part Le conseit affaires g n rales de juin 1990 a confirm cette approche Le gouvernement fran ais restera donc particuli re ment attentif ce que la commission prenne ses responsabilit s sur le dossier corn gluten feed et traite de la question du r qui librage objectif fondamental de la C E E dans le cycle des n go ciations d Uruguay dans les termes qui lui ont t fix s par le Conseil des communaut s europ ennes Politiques communautaires levage 31426 16 juillet 1990 M Philippe Legras demande M le ministre de l agriculture et de la for t de bien vouloir lui pr ciser quelle e
336. gissant leur profession et qui selon eux mettent celle ci en p ril et sont dangereux pour lavenir de la s curit des personnes et des biens Ces pr occupations sont res senties la fois par les sapeurs pompiers prafessionnels qui devraient tre d tach s de la fonction publique et par les sapeurs voloniaires qui manquent de disponibilit pour effectuer leur for mation En outre les int ress s s inqui tent au sujet du service de sant des m decins sapeurs pompiers dunt le statut n a jamais t r ellement d fini et demandent que ces m decins puissent servir temps plein dans les centres de secours et non temps partiel Il lui demande donc d examiner avec la plus de attention ces revendications et de donner le plus rapidement possible satisfaction ce corps qui dans l accomplissement sor vent difficile de sa mission fait constamment preuve d un d vouement total au service du public S curit sociale sapeurs pompiers 34027 ler octobre 1990 M J an Ueberschlag attire l at tention de M le ministre d i gue aupr s du miaistre de l int ricur sur le m contentement et la d ception des sapeurs pompiers professionnels lorsqu ils ont pris connaissance du contenu es projets concernant leur nouveaux statuts Lors de l laboration de ces statuts les organisations repr sentatives et la f d ration nationale des sapeurs pompiers ont d j exprim leur insatisfaction les textes ne r pondant nu
337. gurer sur cette liste puisque en effet l article 4 du d cret n 88 549 du 6 mai 1988 portant statut particulier de cadre d em ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4613 lois pr voit que le recrutement des techniciens territoriaux se ait par concours externe sur titres ouvert aux candidats titulaires du baccalaur at de l enseignement secondaire ou d un titre ou dipl me homologu au moins au niveau 1V suivant la proc dure d finie par le d cret du 12 avril 1972 relatif l homologation des titres et MA de l enseignement technologique Dans ces conditions le b n fice des dispositions pr vues pour le classe ment indiciaire interm diaire ne peut tre tendu au cadre d em plois des techniciens territoriaux Fonction publique territoriale centres de gestion 31182 9 juillet 1990 M Roger Rinchet interroge M le ministre de l Int rieur sur la gestion des C A P et C T P des sapeurs pompiers professionnels dans les d partements o les services d incendie et de secours ne sont pay d partementalis s 1 lui demande de bien vouloir lui indiquer s il ne revient pas aux centres de gestion d en assurer le fonctionnement partir du moment o ces personnels sont des employ s communaux et qu ce titre les communes cotiserit aux centres de gestion Il le remercie de bien vouloir lui fournir des claircissements sur cette question R ponse Les d crets du 17 avril 1989 concernant les commis sions admini
338. ication du mandat qui lui a t confi par ia commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une norme d tiquetage est d finie ue les produits toxiques comportant deux indications l une lisib A af l utilisateur ou le gar dien d une d chetterie expliquant le mode de rangement interm diaire et de collecte et l autre ventuellement cod e indiquant au professionnel agr pour le conditionnement et le traitement des pro duits toxiques la composition ou le mode d limination Des disposi tions sont prises pour appliquer cette norme partir de 1993 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements ct quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31980 23 juillet 1990 M Michel Baraler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l en lronnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la p
339. iciens territoriaux La lot de d centralisation a donn ASSEMBLEE NATIONALE nimia ler octobre 1990 plus de competences aux collecuyites territoriales dans de nom breux domaines et les elus s entourent de personnel de plus en pius competent Cette necessite conduit un rel vement du niveau de recrutement des techniciens territoriaux II a un d calage entre le texte et la r alit Bien que le statut de ces fonctionnaires permette un recrutement au niveau du baccalau r at l s effectue en tait un niveau bac 2 La non reconnaissance par le statut recrutement bac 2 conduit une r mun ration peu attractive pour les jeunes dimpl m s et les collectivit s ont de plus en plus de difficultes pourvoir les emplois d encadrement technique H aimerait connaitre s il est dans ses intentions de remettre niveau le statut du technicien terntorial par un recrutement bac 2 et une int gration ay classement indiciaire intermediaire Quesrion transmise 4 le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse Le protocole d accord conclu le 9 f vrier 1990 sur la r novation de la grille des classifications et des r mun rations des trois fonctions publiques pr voit la cr ation d un classement indiciaire interm diaire C 11 Ce classement est pr vu pour les corps et le adres d emplois remplissant les deux conditions sui vantes une qualification sp cifique de nature technico profess
340. icile pour l attach sta giaire d effectuer le stage correspondant aux quatre semaines de sp cialit dans la mesure o il y a une disproportion entre les emandes des stagiaires et les offres faites par le Centre national dz la fonction publique territoriale Ce dernier est souvent conduit refuser des candidats qui ne seront pas alors en posses sion de toutes leurs attestations de stage et qui au moment du contr le de l galit pourraierit voir leur arr t de titularisation contest En cons quence il lui demande quelles mesures il compte prendre pour rem dier ces situations li es l organisa tion des stages Question transmise M le ministre de l int rieur R ponse La tormation initiale des agents territoriaux est pr vue par les d crets du 30 septembre 1987 portant statuts parti culiers des cadres d emplois de la fili re administrative et par les d crets du 6 mai 1988 portant statuts particuliers des cadres d emplois de la fili re technique Les modalit s de d roulement de cette formation sont pr cis es par les dispositions des d crets du 14 mars 1988 pour les agents de la fili re adminisirative et du 6 mai 1988 pour les techniciens territoriaux Ces derniers textes Qui ent re u l avis favorable du conseil sup rieur de la fonction publique territoriale attribuent au Centre national de la fonction publique territoriale la mission d organiser la formation initiale des agents territoriaux dans le respect
341. icle 10 de la loi no 89 486 du 10 juillet 1989 d orientation sur l ducation a cr dans les lyc es un conseil des d l gu s des l ves pr sid par le chef d tablissement Pour l ann e scolaire 1989 1990 dans l attente d un texte d application des instructions ont t donn es aux recteurs et inspecteurs d acad mie leur demandant d inciter les chefs d tabiissement proc der l organisation de r unions rassemblant les d l gu s de classe Un d cret modifiant le d cret n 85 924 du 30 ao t 1985 relatif aux tablissements publics locaux d enseignement va paraltre prochainement 11 permettra d installer officiellement le conseil des d l gu s des l ves suite l lection des d l gu s de classe d s la rentr e de septembre Ce conseil pourra ainsi se r unir au cours du premier trimestre de l ann e 1990 1991 La loi d orientation sur l ducation n a pas pr vu de phase pr alable d exp rimentation ausbi c est dans l ensemble des lyc es que le conseil des d l gu s doit tre constitu Enseignement r glementation des tudes 26466 2 avril 1990 M Fabien Thi m attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la Jeunesse et des sports sur les interpr tations de plus en plus largies des textes auxquelles donnent lieu l application du d cret no 60 391 du 22 avril 1960 relatif l enseignement reli gieux et aux aum neries dans l enseignement public
342. iers 34033 ler octobre 1990 M L once Deprez demande M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipement du logement des transports et de la mer charg des trans ports routiers et fluviaux de lui pr ciser l tat actuel d harmo nisation progressive de la concurrence entre transporteurs des diff rents Etats membres de la communaut Il lui demande plus pr cis ment apr s l tude entreprise par la France l tat actuel Er la concertation avec les autres Etats de la communaut euro enne TRAVAIL EMPLOI ET FORMATION PROFESSIONNELLE Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l auteur renouvelle les termes No 8287 Jean Royer Minist res et secr tariats d Etat travail emploi formation professionnelle services ext rieurs 33914 1er octobre 1990 M L once Deprez appelle l at tention de M le mlaistre du travail de l emplol et de la for mation professionnelle sur les pr occupations r cemment exprim es par le secr taire g n ral de Force ouvri re indiquant u il a saisi le ministre du travail de la d gradation de la situa tion de l inspection du travail qui selon lui se trouve d munis tant en effectifs qu en moyens mat nels et financiers pour assurer ses missions lui demande donc la suite qu il envisage de r server ces pr occupations S curit sociale cotisations 33997 ler octobre 1990 M Denis Jacqu
343. inances en faveur des tablissements priv s permettent la mise sous contrat de nouvelles classes conform ment aux dispo sitions de l article 119 1 de la loi de finances pour 1985 loi no 84 1208 du 29 d cembre 1984 S agissant des tablissements priv s d enseignement technique du second degr la mise sous contrat d association de nouvelles classes doit r pondre len semble des conditions l gales requises la fois quantitatives et qualitatives La classe faisant l objet de la demande de contrat doit notamment r pondre un besoin scolaire dont la reconnais sance d pend essentiellement du choix des familles guid par le caract re propre de l tablissement conform ment aux disposi tions de l article 4 de la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 modifi e La formation pr vue doit galement tre compatible avec les besoins de formation recens s par les sch mas pr vi sionnels les plans r gionaux et la carte des formations sup rieures en application de l article 27 3 de la loi n 83 663 du 22 juillet 1983 modifi e Il r sulte de ces dispositions que compte tenu de l ensemble des besoins en formation satisfaire le d veloppement du secteur public ne peut pas tre sans const quences sur celui du secteur priv sous contrat et r ciproque ment un quilibre entre les deux secteurs devant tre recherch dans le respect du choix de toutes les familles Ii appartient au recteur d acad mie en concertation
344. incident de carri re n a pas suscit globalement de graves dys fonctionnements et ce sy t me ne parait pas devoir tre modifi court terme selon les voies propos es par l honorable parlemen taire En effet l institution d un droit de recours exerc par le centre de gestion envers la collectivit ou l tablissement qui d cide de la suppression d un emploi conduirait tant des blo cages in vitablrs qu une remise en cause de la libert de ges tion des lus locaux en mati re de personnel Quant la cr ation d emplois d agents pensionnaires entrainant le versement d une contribution financi re elie serait source dans les faits d une double contribution des collectivit s locales qui serait un obstacle au succ s du dispositif propos Une remise en cause globale des m canismes mis en place par la joi du 26 jan vier 1984 en ce domaine n cessiterait des modifications l gisla tives importames dont il convient de bien appr cier les avan tages et les inconv nients tant par les collectivic s locales que pour les fonctionnaires territonaux qui devraient recueillir compte tenu des enjeux un consensus de toutes les parties int ress es nu a nt me Associations politique et r glementation 32594 6 ao t 1990 M Jacques Farran souhaite que M le ministre de l int rieur lui pr cise si en l tat actuel de la l gislation les pr fectures peuvent d livrer aux personnes int ress es copi
345. inistre de l int rieur R ponse Les fonctionnaires territoriaux ne peuvent statutai rement exercer une activit dans un pays tranger qu la suite d une mise en disponibilit pour convenances personnelles ou d un d tachement c est dire dans les deux cas la suite d une manitestation de volont de leur part S ils sont recrut s au sein d un service fran ais l tranger mission de coop ration ou autre dans le cadre des dispositions du d cret n 67 290 du 28 mars 1967 les moluments pr vus par les textes en vigueur et comprenant outre le traitement de base l indemnit de r sidence ct ventuellement des majorations familiales et un suppl ment familial leur seront vers s L ensemble des moluments pr c demment d crits a t con u pour permettre aux ayants droit et leur famille de faire face aux diff rences de co t de la vie qui existent entre la France et le pays d accueil Il n est donc pas envisag d appliquer aux pensions de retraite des conjoints un coefficient multiplicateur R gions limites 13756 5 juin 1989 M Jean Louis Masson attire l atten tion de M le ministte de l int rieur sur le fait que de nom breux responsables s interrogent actuellement sur l adaptation du d coupage territorial en France notamment en ce qui concerne d une part la superposition de quatre degr s d administration Etat r gion d pariement et commune et d autre part le d cou page et le
346. inistre des postes des t l commuaications et de l espace sur la situation de monsieur M D L int ress est entr aux P T T comme auxiliaire en ao t 1984 re u au concours de pr pos il a t nomm Paris le 6 juin 1986 De retour dans le d partement du Nord stricourt le ler avril 1987 apr s quelques probl mes de sant lors de sa reprise de travail 1l a t plac d office en cong s ordinaires de maladie par l administration le 3 mars 1989 Depuis une proc dure de licen ciement a t engag e son encontre et le 29 juin lors de la tenue d une commission administrative paritaire son licenciement a t prononc pour inaptitude physique Or le docteur L et ie professeur N ont d clar apte monsieur M D Vu en examen m dical par le m decin contr leur de la caisse primaire d assu rance maladie de Lille celui ci a crit concernant mon sieur M D l arr t de travail n est pas m dicalement justifi Comment peut on tre inapte et licenci alors que d clar Fe et pas malade D autres cas existent dans le d partement du Nord Notamment celui de monsieur P M de monsieur R D qui n est toujours pre r int gr et aussi celui de monsieur M B auxiliaire pendant huit ann es qui le b n fice du concours est refus Aussi il lui demande quelles mesures il compte prendre afin que les int r ts de ces salan s soient pr serv s SOLIDARIT SANT ET PROTECTION SOCIALE Sant publ
347. ins et les caisses de s curit sociale ont n goci une nouvelle convention A l issue de ces dis cussions un accord a t sign par les trois caisses et par une des organisations syndicales repr sentatives des m decins Cet accord a t soumis au Gouvernement Le Gouvernement ne par ticipe pas aux n gociations son r le fix par la loi est d agr er ou non l accord intervenu entre les syndicats m dicaux et les caisses de s curit sociale L actord soumis au Gouvernement concernait l enseinble des m decins La loi du 23 janvier 1990 a ouvert aux partenaires conventionnels une option nouvelle en permettant la signature de conventions sp cifiques la m decine g n rale et la m decine sp cialis s mais ils conservaient la possibilit d tablir un accord couvrant l ensemble des m decins lib raux Le Gouvernement a agr la nouvelle convention Il fal lait afin de ne pas laisser perdurer un vide juridique et une situation de tension peu propice la poursuite d une r flexion sereine et constructive qu intervienne un compromis permettant de sauvegarder le syst me conventionnel La nouvelle convention comporte des novations significatives sur les points suivants 1 la formation m dicale continue La convention marque un progr s en mati re de formation continue les m decins pourront pr sent b n ficier d une indemnisation d un montant de 15 C par jour lorsqu ils participeront une session de format
348. intenue dans cet ta blissement au del de l ge limite pour iequel l tablissement est agr dans l attente d une soiution adapt e Le financement du s jour temporaire dans l tablissement d ducation sp ciale est alors assur par la Collectivit ou l organisme comp tent pour rendre en charge les frais d h bergement et de soins dans l ta lissement pour adultes d sign par la Cotorep Trois collectivit s ou organismes sont concern s par ces financements l Etat qui prend en charge les C A T et ateliers prot g s les organismes de s cunt sociale pour les placements en maison d accueil sp cialis e les d partements en cas de placement en foyer de vie ou foyer d n bergement Or par circulaire du 18 mai 1989 il est demand notamment aux Cotorep dans le cas o elles pronon cent une d cision d orientation vers un tablissement de travail prot g de la comp tence de l Etat d indiquer quelle serait d faut la cat gone d tablissements pouvant r pondre la situa tion du jeune adulte dans le ces o il ne trouverait p s de place en structure de travail prot g Cette circulaire va bien au del de la lettre et de l esprit de la loi L article 22 de la loi du 13 janvier 1989 ne pr voit pas cette orientation par d faut pas lus d ailleurs que l article 323 II du code du travail num rant es comp tences de la Cotorep comp tences qui ne peuvent tre tendues par circulaire L application d
349. inu e telle qu elle tait per ue au cours des derni res ann es R ponse Les questions voqu es par l honorable parlemen taire appellent les r ponses suivantes 1 Les probl mes li s au vieillissement et l importance croissante des populations g es n cessitent une repr sentation des retrait s et des personnes g es dans les diff rentes organisations nationales et locales afin De puissent prendre une part pe compl te aux d cisions ur concr tiser cet objectif il a t d cid d am liorer la repr sentation de l ensemble des retrait s et personnes g es au sein des instances destin es traiter de leurs probl mes C est ainsi que les retrait s et personnes g es si gent au sein des comit s conomiques et socisux r gionaux et du Conseil national de la vie associative De plus le Conseil conomique et social assure la repr sentation d associations dont les centres d int r t englobent des activit s qui int ressent plus particuli rement les retrait s et ASSEMBL E NATIONALE 4825 les personnes g es comme l action sanitaire et sociale la vie associative le sport etc La repr sentation des personnes g es au sein d organismes tels que l Unedic et les Assedic est assur e par l interm diaire des organisations repr sentatives de salari s qui si gent aux Conseils d administration de ces instances En effet bien souvent ces organisations poss dent une union de retrait s et par cons
350. ion D ores et d j ils prenaient sur leur temps et sur leurs revenus pour actualiser en permanence leurs connaissances ils seront maintenant soutenus financi rement dans cet effort 2 la mai trise de l volution des d penses La nouvelle convention orga nise une action concert e des caisses et des m decins pour r duire les d penses de prescriptions injustifi es au plan m dical A cet gard les repr sentants des m decins et les caisses de s cu rit sociale ont dress une liste d objectifs en s appuyant exclusi vemeni sur des cnit res m dicaux Les objectifs retenus au niveau national seront traduits par les commissions conventionnelles paritaires locales sur ALERT des commissions m dicales pari taires locales en contrat d objectifs locaux Le dispositif mis en piace respecte strictement l ind pendance du praticien et sa ibert de prescription Il vise dans le respect de la d ontologie m dicale r duire certaines d penses injustifi es au plan m dical par des actions de formation et d information aupr s des prati ciens ainsi que par des actions de sensibilisation aupr s des assur s sociaux J Les d passements d honoraires Con u en 198C concomitamment la suppression du droit au d passement le secteur honoraires differents secteur D a connu un d ve loppement tr s important Ainsi au 31 d cembre 1989 les m decins respectant strictement ies tarifs de la convention ne rep sentaient plus que 7
351. ion des Mahorais sur les options d finies par la loi n 79 1113 du 22 d cembre 1979 relative Mayotte et ce conform ment au pnncipe du droit des peuples disposer d eux m mes 11 lui demande s il envi sage de consulter la population de cette collectivit sur le choix de son statut R ponse A l occasion des consultations des 22 d cembre 1974 et 8 f vrier 1976 les Mahorais ont par deux fois manifest leur volont claire de demeurer au sein de la R publique fran aise Aujourd hui la priorit est le d veloppe ment de Mayotte C est la voie dans laquelle le Gouvemement s est r solument engag en dotant la collectivit territonale des instruments conomiques et juridiques correspondants Ainsi pour la premi re fois est mise en uvre Mayotte la proc dure de contrat de plan avec l Etat sign le 11 avril 1989 qui pr voit une participation de l Etat de 89 millions de francs sur cinq ans De m me la loi ro 89 923 du 23 d cembre 1989 a habilit le Gouvernement prendre par ordonnances avant le 15 sep tembre 1991 les mesures l gislatives n cessaires l actualisation du droit de Mayotte dans les domaines essentiels pour son d ve loppement lo r gime budg taire et comptable 2 mesures caract re fiscal et douanier 30 droit p nal et dispositions de proc dure p nale qui en sopt la cons quence 3 urbanisme expropriation pr emption ef domaine de l Etat et des collecti vit s p
352. ion des effectifs d l ves dans ce d partement il apparait effectivement qu apr s une p riode de baisse d mographique il se produit depuis 1987 une tr s l g re remont e des effectifs 0 19 p 100 la ren tr e 1990 Toutefois cette tendance devrait tre de courte dur e pie les pr visions pour la rentr e 1991 font tat d une pro able diminution des effectifs 585 En tout tat de cause le d partement de la Moselle qui b n ficie d un rapport postes l ves sup rieur la moyenne nationale dispose d un potentiel d emplois d instituteurs lui permettant non seulement d viter toute d t rioration des conditions de scolarisation mais encore de poursuivre la r alisation des objectifs par la loi d orientation sur l ducation Enseignement priv personnel 32107 30 juillet 1990 M Jean Desanlis attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeumesse et des sports sur la situation des personnels ensei gnants des tablissements techniques priv s sous contrat d asso ciation qui sont encore r mun r s et pour certains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires Il lui demande quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement semblables celles de la loi n 83 481 du 11 juin 1983 art 9 li 14 et 16 En effet la stricte parit des mesures sociales est impliqu e par la loi n
353. ion des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne meat d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le dispositif r glementaire et fiscal d incitation aux conomies d nergie est renforc Un fonds d intervention aupr s de l Agence fran aise de ma trise de l nergie A F M E est constitu Il est Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 4598 financ par une taxe additionnelle la taxe int rieure sur les pro duits p troliers T I P P 1 lui demand de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32007 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia prevention des risques technologiques et naturcis majeurs qu en application du mande qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie gen raie et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio naie e
354. ion des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le li avril 1990 sur te bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Toute op ration d am nagement foncier rural et notamment de remembrement est obligatoirement aora per d un plan d am nagement cologique et paysager opposable aux tiers l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et nee suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31998 23 juillet 1990 M Michel Rarnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier miaistre charg de i eavironnement et de ia pr vention des risques techaoiogiques et nature s majeurs qu en application du mandat qui lui a t e Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 52043 ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4597 confi par la commission des finances de conomie g n raie et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assem
355. ion particuli rement grave laquelle les producteurs d as perges des Bouches du Rh ne et du Gard sont confront s du fait de la perte quasi totale de leur r colte de 1990 perte r sultant semble t il de la conjonction de conditions climatiques inhabi tuelles Pour nombre de producteurs touch s il s agit l d une catastrophe conomique dont ils ne pourront se relever sans aide substantielle Certaines mesures ont t prises dans le d parte ment du Gard notamment Toutefois le d sastre est tel pour cer taines exploitations en Camargue Arles aux Saintes Maries de la Mer cemme Aigues Mortes ou Vauvert en Petite Camargue qu il parait tr s souhaitable que des dispositions extraordinaires puissent tre envisag es pour venir en aide aux agriculteurs les plus atteints Il lui demande donc qu il veuille bien faire tudier tr s rapidement les possibilit s de mise en pl ce d un Gispositif de secours exceptionnel en leur faveur R ponse Les producteurs d asperges du sud de la France ont connu au cours de cette campagne d inportantes difficult s suite aux d g ts engendr s par le d veloppement de la fusariose En concertation avec les responsables professionnels concern s et eu gard l importance conomique de cette production dans le sec teur des fruits et l gumes et dans l conomie r gionale le ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4573 ministre de l agriculture et de la for t a d cid
356. ion territoriale de l Etat le principe de la d concentration dans la r partition des missions entre les administrations centrales d une part les pr fets et les services ext rieurs de l Etat d autre part Les missions des admi nistrations centrales seront limit es aux seules fonctions de carac t re national et pour toutes les autres missions une comp tence de droit commun sera reconnue l administration territoriale de l Etat organis e dans le cadre de circonscriptions r gionales d partementales et d arrondissement Toutes ces propositions aboutiront si le Parlement les adopte modifier en profondeur l organisation administrative de notre pays et cr er entre ses diff rents chelons plus une compl mentarit qu une concur rence S agissant enfin du d coupage et du nombre des r gions ce m me projet de loi sur l administration territonale de la R pu blique dans une approche pragmatique propose la cr ation d en tentes interr gionales Formule souple volutive et librement consentie de coop ration entre deux ou trois r gions limitrophes l entente interr gionale offre de nouvelles perspectives pour la gestion des comp tences en commur Ainsi l initiative des r gions ei ies m mes une r ponse pourra tre apport e aux inter rogations suscit es par la taille et les moyens des r gions fran aises dans l espace europ en Assurance maladie maternit g n ralit s b n ficiaires 14482
357. ionaux A cette fin la plupart d entre eux souhaient instaurer avec la France une coop ration double niveau d un part au niveau ditorial pour moderniser la gestion des presses G Etat dont cer taines pourraient tre privatis es cela concerne au premier chef nos diteurs sp cialis s les trois groupes concern s font tat de projets en ce sens avec plusieurs pays d autre part au niveau p dagogique pour moderniser les m thodes employ es Le d par tement souhaite ici intervenir surtout ex prenant en charge les stages en France de concepteurs nationaux de m thodes et l aide l organisation de stages de formation des enseignants l utilisa tion des ncuveaux manuels INT RIEUR Retraites g n ralit s politique l gard des retrait s 12137 24 avril 1989 M Aim Kergueris attire l attention de M le ministre d Etat ministre de la fonction publique et des r formes administratives sur la situation des retrait s qui doivent suivre leurs conjoints fonctionnaires territoriaux encore ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4607 en activit dans des pays trangers o la vie est plus ch re il lui demande qu un coefficient multiplicateur proportionnel au niveau de vie dans le futur pays de r sidence soit applicable ces retrait s ou d faut s il ne pourrait pas tre envisag dans le cadre de la loi sur le rapprochement des familles Question transmise M le m
358. ionnelle d une dur e d au moins 2 ans au del du bacca laur at n cessaire l exercice d un m tier comportant des responsabilit s particuli res l exercice effectif des responsabilit s et des technicit s inh rentes ces m tiers Le protocole d accord donne la liste des corps et cadres d emplois susceptibles de b n ficier de ces dispositions Les techniciens territoriaux ne pou vaient figurer sur cette liste puisque en effet l article 4 du d cret n 88 549 du 6 mai 1988 portant statut particulier de cadre d em plois pr voit que le recrutement des techniciens territoriaux se fait par concours externe sur titres ouvert aux candidats titulaires du baccalaur at de l enseignement secondaire ou d un titre o dipl me homologu au moins au niveau 1V suivant la proc dure d finie par le d cret du 12 avril 1972 relatif l homologation des titres et dipl mes de l enseignement technologique Dans ces conditions le b n fice des dispositions pr vues pour le classe ment indiciaire interm diaire ne peut tre tendu au cadre d em plois des techniciens territoriaux Fonction publique territoriale statuts 30788 juillet 1990 M Daniel Colin appelle l attention de M ie secr taire d Etat aupr s du ministre de l int rleur charge des collectivit s territoriales sur les termes des d crets relatifs aux statuts particuliers du cadre d emploi des personnels des collectivit s locales 11 appara t dans le chapitre d
359. ions incontr l es notamment en provenance des pays de l Est D o ie d sarroi compr hensif des leveurs qui s tant endett s pour jouer la carte du progr s et de la comp titivit connzissaient d j de s rieuses difficuit s de tr sorerie Aussi il lui demande si tous les agnculteurs sinistr s de l ann e derni re ont t indemnis et enfin si le Gouvernement compte prendre des mesures exceptionnelles afin de pr server l avenir d un grand nombre de familles d agricul teurs de la p rennit de leurs exploitetions ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE Anciens combattants et victimes de guerre sd politique et r glementation 33868 157 octobre 1990 M Robert Pandrand appelie at tention de M le secr taire d Etat charg des anciens combat tants et des victimes de guere sur les l gitimes revendications des organisations nationales repr sentatives des anciens combat tants en Afrique du Nord Il lui demande si les promesses faites se traduisent dans le projet de budget de 1990 Anciens combattants et victimes de guerre politique et r glementation 332891 1er octobre 1990 M Henri Bayard appelle l atten tion de M le secr taire d Etat charg des anciens combat taats et des victimes de guerre sur les revendications exprim es dans un cahier revendicatif par les cheminots anciens com bettants et victimes de guerre lis demandent Ia mise en uvre d un certain nombre des mesures p
360. ique politique de la sant 33857 ler octobre 1990 M Pierre Mauger demande M le ministre de ia solidarit de la saut et de ia protection sociale s il ne serait pas opportun de compl ter les diff rentes mesures prises par le Gouvernement en mati re d urgences m di cales par la cr ation d un carnet de suivi de l accident Toutes les mesures qui ont t d cid es apr s la publication du plan du professeur Steg paraissent utiles et d un int r t indiscu table 11 souhaite savoir cependant si cette suggestion ne permet trait pas l accident de donner plus facilement aux assurances les pr cisions qu elles sont en droit de demander Psychologues exercice de la profession 33876 1 octobre 1990 M Jacques Berg attire l attention de M le ministre de la solidarit de la saut et de la protec tion sciale sur les pr occupations des psychologues cliniciens concernant l avenir de leur profession Le d cret n 90 255 du 22 mars 1990 a fix la liste des dipl mes permettant de faire usage professionnel du titre de psychologue lls s inqui tent de voir dor navant reconnu un dipl me tel qu le dipl me d Etat de psychologie scolaire et rabaissant par la m me le niveau de for mation requis en de du 3 cycle universitaire Ils estiment aussi qu un certain nombre de cr ations de postes s av rent n cessaires ce sujet dans la Somme la p nurie de postes de psychologues est particuli r
361. ique et patrimoine 200 ateliers de pratique artistique et dans les coles normales 240 ateliers pour 39 en 1987 1988 Dans les coll ges et les lyc es le nombre des ateliers de pratique artistique a d pass 2000 en 1989 1990 Huit domaines d activit s taient propos s aux l ves architecture arts appliqu s arts plastiques cin ma audiovisuel danse musique photographie th tre expression dramatique auxquels s ajoutcront la prochaine ren tr e scolaire trois autres domaines arts du cirque criture comme cr ation litt raire patrimoine Des groupes de travail se sont r unis pour tablir des cahiers des charges fixant les proc dures de inise en place et les orientations p dagogiques de ces ateliers Pour la musique il convient aussi de souligner l exis tence de 2 500 chorales et 350 ensembles instrumentaux Dans le domaine du cin ma le dispositif coll ge au cin ma destin romouvoir la culture cin matographique par visionnement et tudes de classiques du cin ma a t tendu dix huit d parte ments cette ann e Des actions de sensibilisation ont aussi t mises en uvre la moiti des projets d actions ducatives du ler degr le quart de ces projets dans ie second degr ont trait au champ artistique Par ailleurs ie nombre des lyc es admis perar l option cin ma e l option th tre dans la s rie A3 ettres arts est en progression reguli re en 1989 1990 60 lyc es ens
362. ique et r formes adiministratives sisi secesesesensceeseneeneee 4608 EME DRM Sciences 2200 0e a o ou 0 ee 0e ii oe oso e MR SOS TNT TER NT EE RTE 4606 Ru te un nn Nr men 4606 int rieur ministro dub ramener ae one ss sons css acsnocceseeee sans 4615 CI e DO TEEN E E coscvcuss a coco eo000 s88 net menus 4619 Personnes g es A I oise E E note nnrin 4621 POr TAR SANAE cn science casse ee M A ro 4621 Focharche etit 6cNNOIQgie n see dress socconeos commen eo dance ame iuet den eines 4622 Solidarit sant et prot ction sociale ses ssesesesscsee cute AAN 4622 Transports routiers ot FUVIBUR orrs i roroi r E nanonod E e 4638 Travail empioi et formation professionnelle e sessessssssseseseossossosososesassososoesososseersressososeses 4637 AE a E A E A A AE E 4639 4538 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 1 LISTE DE RAPPEL DES QUESTIONS publi es au Journa officiel n 31 A N Q du lundi 30 juillet 1990 nos 32059 32398 auxquelles il n a pas t r pondu dans le d lai de deux mois PREMIER MINISTRE D FENSE Nos 32061 Andr Durom a 32081 Henri Bayard 32082 Henri Nos 32077 Jean Louis Masson 32289 Jean Louis Masson Bayard 32088 L once Deprez 32157 Mme Marie France 32372 Charles Miossec Lecuir 32192 Fran ois Fillon 32163 Jean Charles Cavaill 32164 Philippe Legras 32249 Gilbert Gantier 32254 Serge Charles 32283 Mme Martine Daugreilh
363. ires questions du 23 juillet 1990 pages 3505 et 3506 Parlement relations entre le Parlement et le Gouvernement 30678 25 juin 1990 M Jean Louis Masson attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de i ducation aatio nale de la jeunesse et des sports sur le fait qu de noni breuses reprises ie Pr sident de la R publique a demand aux membres du Gouvernement de respecter les pr rogatives du Par lement En l esp ce le r glement de l Assembl e nationale pr voit que les questions crites doivent b n ficier d une r ponse dans un d iai d un mois renouvelable une fois Il lui rappelle que sa question crite n 11263 en date du 3 avril 1989 n a toujours pas obtenu de r ponse Il souhaiterait donc qu il lui indique les raisons de ce retard et s il pense qu un tel retard est compatible avec ies recommandations manant du Pr sident de la R pu blique lui m me quant la nature des rapports entre le Gouver nement et le Parlement R ponse La r ponse la question crite n 11263 est parue au Journal officiel n 30 Assembi e nationale d bats parlemen taires questions du lundi 23 juiliet 1990 page 3505 D O M T O M Polyn sie enseignement sup rieur 31134 9 juillet 1990 M Emile Vernaudon appelle l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de i ducation natio naie de ia jeunesse et des sports sur les probl mes rencontr s en Polyn sie fran aise par l orga
364. is s permettant ainsi d am liorer la qua lit de vie des habitants des quartiers urbains concern s Archives fonctionnement Bouches du Rh ne 31438 16 juillet 1990 M Jean Paul Virapoulle attire l at tention de M le miaistre des d partements et territoires d outre mer sur la situation pr occupante dans laquelle se trou vent les lecteurs du centre des archives d outre mer d Aix en Provence lui PE en effet que le transfert et la centralisa tion de l ensemble des documents d archives reletifs l outre mer Aix en Provence devaient en faciliter l exploitation ct l archi vage Or compte tenu d un manque vident d effectifs et de 4576 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 moyens es la communication de documents par cher cheur a t limit e quatre par jour I lui demande par cons quent queis moyens il est dispos consacrer au centre des archives d outre mer d Aix en Provence afin de respecter la voca tion initiale de ce centre et de satisfaire l attente des nombreux chercheurs historiens et g n alogistes qui pour la plupart ont effectuer un long d placement en province Question transmise RER a de la communication des grands travaux et du Bicentenaire R ponse Les difficult s rencontr es par les lecteurs pour mener des recherches aux archives d outre mer Aix en Provence du fait de ia diminution du nombre des communications journa li res cons c
365. is de conduire s accompagne d une forma tion au secourisme dont chacun mesure l int r t et l importance car il y a 1 500 2 00G vies humaines concern es Circulation routi re accidents 32397 30 julllet 1990 Mi Michei Cr peau appelie latten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipe ment du ogement des transports et de la mer charg des transports routiers et fluviaux sur le probl me des accidents ASSEMBL E NATIONALE 4837 de la route 11 constate que les t moins des accidents sont de plus en plus par ignorance des spectateurs incomp tents 11 lui demande quelles mesures il compte prendre pour la diffusion d un secourisme de masse que ce soit par l interm diaire de l ducation nationale ou d autres moyens de diffusion les sp cia listes tant d accord pour affirmer qu il y a en jeu entre 1 500 2 000 vies humaines R ponse L enseignement de notions l mentaires de secou risme l intention des candidats au permis de conduire parait souhaitable A cet effet de nombreuses discussions se poursui vent avec le concours de membres du corps m dical afin de d terminer les notions essentielles qx devraient tre acquises en la mati re par les 800 000 personnes qui obtiennent le permis de conduire chaque ann e Par ailleurs le programme national de formation la conduite d fini par l arr t du 23 janvier 1989 consacre une large place aux comportements utiles en
366. isation ou autre m sure i L Transports a riens s curit 33962 1er uctobre 1990 M Pierre Brana attire l attention de M le miaistre de l quipement du logement des trans rts et de la mer sur l absence de contr le inopin de l alcoo isme pour l ensemble des pilotes d a ronefs Dans une p riode o les progr s techniques favorisent l augmentation d appareils capables de se sustenter dans Pair il appara t n cessaire de se doter d un maximum de mesures de s curit Il semble qu il sub siste une absence de r glementation qui autorise un tel contr le l lui demande quel type de disposition il compte mettre en place pour rem dier cette situation Voirie routes 33966 1e octobre 1990 M Andr Lajolnie saisi par le maire d Ugine en Savoie de la question importante 2t urgente concernant la mise deux fois deux voies de la R N 212 alerte M le ministre de l quipement du logement des transports et de Ia mer sur ce probl me En effet de multiples interven tions ont d j eu lieu ainsi que de nombreuses d lib rations des communes concern es De plus le ministre a lui m me t saisi de cette question par s lus locaux et r gionaux lors de sa venue en Savoie en d cembre dernier Quant la R N 212 entre Albertville et Ugine si le financement de la deuxi me tranche dans sa mise deux fois deux voies est pr vu dans le cadre du plan Etat r gion rien n est programm en
367. issant des changes d autres fonctionnaires du minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports ceux ci sont organis s avec le Qu bec et rel vent du minist re de la fonction publique et des r formes administratives Enseignement enseignants 32469 6 ao t 1990 M Dominique Gambier attire l atten tion de M ie ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de ia jeunesse et des sports sur l m ritat Le titre de professeur m rite est conf r par l tablissement pour une dur e limit e Il permet de diriger des s minaires des th ses et de par ticiper divers jurys Dans certains pays commie les U S A ou l Allemagne ce titre une fois conf r l est titre d finitif Au moment o un nombre croissant d enseignants va partir la retraite et o la construction europ enne s acc l re ne serait il pas n cessaire de faire voluer la conception fran aise de l m ritat R ponse L article 58 du d cret n 84 431 du 6 juin 1984 a entendu confier l tablissement la responsabilit de fixer la dur e de l m ritat Cette d cision est prise par le conseil d admi nistration sur proposition du conseii scientifique si geant en for mation restreinte aux enseignants de l tablissement habilit s diriger des recherches Une modification de ces dispositions qui sont d une grande souplesse et laissent tout pouvoir l universit tant pour l attribution du titre de p
368. it d assur s sociaux ils font partie de l lectorat appel voter pour les administrateurs repr sent nt cette cat gorie au sein des conseils d administration des caisses primaires d assurance maladie Dans le cadre de leur repr sentation au sein des diff rents organismes de s curit sociale les retrait s ont la possibilit d exercer leur l gitime droit d exaression Ii n est pas envisag actuellement de modifier les modalit s de cette repr sentation dans les conseils d administration des organismes du r gime g n ral de s curit sociale S agissant des r gimes compl men taires de salari s l article R 731 10 du code de la s curit sociale pose le principe de la repr sentation des retrait s au sein des Conseils d administration des institutions de retraite et de pr voyance compl mentaires relevant du titre IHI du livre VII du code pr cit Les retrait s habllit s y si ger sont les anciens participants qui per oivent des prestations de ces caisses Il appartient donc au partenaires sociaux responsables de la cr a tion et de la gestion des caisses de retraite et de pr voyance com Pl mentairas Ge pr voir dans les statuts de ces institutions les dispositic n cessaires une repr sentation quitable des retrait s amp fixer iss modalit s de leur lection L administra tior qui ne dispose en ce domaine que d un pouvoir d agr ment ne participe aucunement l laboration des statuts des
369. it principale Il lui demande que le d cret fixant les conditions d application tienne compte au plan des seuils de rat tachement non seulement des crit res fiscaux mais aussi des conditions particuli res d exercice de l agriculture en zone de montagne ou d favoris e R ponse Sur le plan social la loi n 90 85 du 23 jan vier 1990 compl mentaire la loi n 88 1202 du 30 d cembre 1988 relative l adaptation de l exploitation agricole son environnement conomique et social comporte deux dispo sitions tendant faciliter le maintien un seul r gime social en cas d extension ou de diversification d activit s La premi re permet de rattacher au seul r gime agricole sans qu il soit besoin de fixer un seuil les activit s d accueil touristique ayant pour support l exploitation celles ci tant d sormais assimil es des activit s agricoles Par ailleurs une deuxi me mesure pr vue l article 69 de ladite loi vise permettre aux personnes exer ant deux activit s non salari es de relever d un seul r gime de pro tection sociale celui de l activit principale d s lors que les revenus tir s de ces deux activit s seront soumis un r gime r el ou transitoire d imposition et que les recettes tir es de l activit accessoire ne d passeront pas un certain seuil Cette disposition a t prise par souci d harmonisation avec les am nagements exis tant en mati re fiscale selon lesquels les personnes
370. itables pouvoirs e de finance ments renforc s 2 la cr ation d une taxe mondiole sur les mis sions de dioxyde de carbone d origine anthropique dont le produit financerait des programmes d conomses d nergie et de reforesta tion 30 la constitution de r serves naturelles internatiorales don nant une protection juridique internationale aux r serves mondiales de biosph re programme Man and Biosphere de l U NE S CO et d autres espaces remarquables dont par priorit le continent Antarctique il lui demande de quelles tude cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partement et quelles suites le Gouvernement entend lui dorner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glesnentation 31982 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques ei naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La Haute Autorit de l environnement est cr e Elle dispose d un pouvoir suspensif des d cisions de l a
371. ixante ans ll souhaite donc avoir des explications Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31145 9 juillet 1990 M Patrick Balkany attire l attention de M le ministre de ia solidarit de la sant ei de la protec tion scciale au sujet de la r vision du versement de l al ocation aux dultes handicap s et du Fonds national de sclidarit Le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 modifie les articles R 821 4 et R 821 11 du code de la s curit sociale en excluant de l attribution de l allocation aux adultes handicap s ia prise en compte des prestations familiales retraite du combattant allocation logement pensions attach es aux distinctions honori fiques et rentes viag res dans certaines conditions Or rien de tel n est pr vu pour ie Fonds national de solidant qui remplace pourtant l allocation aux adultes handicap s ll lui demande si une telie lacune ne peut tre rapidemen combl e Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31146 9 juillet 1990 Mime Yaaa Piat attire l aitention de M le ministre de la solidarit de ia sant et de la protection sociale su le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 relatif aux conditions de versement de l allocation aux adultes handicap s Cette allocation est remplac e soixante ans r le Fonds national de solidant En cons quence elle lui demande si ie d cret pr cit pourrait tre tendu au Fonds national de solida
372. jeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La l gislation et la r glementation relatives aux installations class es est modifi e de Ja on permettre l accueil et la d tention des d chets roxiques en quantit s dispers es des particuliers et artisans dans les d chetreries et pour en d finir tes conditions de stockage Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement 5 Environnement politique et r glementation 31983 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e L
373. journaux et de publications apr s de r centes condamnations en r f r 11 lui demande donc de lui confirmer si les litiges entre presse crite et justice rel vent en dernier recours de la Cour de cassation conform ment la loi du 29 juillet 1881 garantissant la libert de la presse Justice fonctionnement Rh ne Alpes 34005 1er octobre 1990 Alors que 1991 avait t annonc e comme l ann e de la justice le syndicat r gional C F D T Justice de la r gion Rh ne Alpes s inqui te de l insuffi sance des moyens donn s pour concr tiser les avanc es reprises dans la circulaire du garde des sceaux du 30 mars 1990 concer nant l accueil la formation et la section locale A de judiciaire Aussi devant cette inqui tude M Claude Birraux interroge M le garde des sceaux ministre de ia justice sur les avanc es contenues dans cette circulaire I1 lui demande losi ces avanc es se limitent la cr ation de vingt postes de greffier en chef destin s la formation et l informatique alors qu il paraissait souhaitable de cr er un poste de formateur et un poste de d l gu formation informatique par cour d appel 2 si la cr ation de quatre yingts postes de greffier lui semble suffisante pour remplacer les absents assurer l accueil mettre en place la section locale Aide judiciaire et mettre niveau les effectifs des juridictions LOGEMENT Logement am lioration de l habitat Haute Savoie 34004
374. l Guy li lui demande donc au del des r cents hommages rendus l ancien ministre la nature des initiatives qui envisage de prendre pour favoriser la diffusion hertzienne e la cha ne culturelle dont elle a besoin pour son rayonnement CONSOMMATION Tourisme et loisirs aires de jeux 33934 l octobre 1990 M Michel Jacguemix appelle l attention de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre d Etat ministro de l conomie des finances et du budget merce et de l artisauet sur les souhaits exprim s per la F d rs charg de la consommation sur l absence de cadie normatif ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE complet et adapt ndant sux exigences essentielles de s cu rit applicables aux quipements existant sur les aires collectives de jeux 11 l informe que les accidents mortels ou tr s graves sur venus de jeunes enfants et mettant en cause le caract re dange reux ou le d faut d entretien de ces quipements se sont multi li s ces derniers mois 11 constate que l avis rendu ce sujet par a commission de s curit des consommateurs le 1er mars 1989 n a pour l instant pas t suivi d effet En cons quence il lui demande quelles mesures il compie prendre et dans quels d lais afin que la s curit des enfants puisse en la mati re tre assur e comme il se doit CULTURE COMMUNICATION GRANDS TRAVAUX ET BSICENTENAIRE Patrimoine monuments historiques e mus es 33959 1
375. l ar ticle L 115 ne p uvent obtenir le remboursement de leurs frais de transport pour consulter des m decins sp cialistes de maladies aff rentes leur maladie de c ur L application de la relation du transport avec la maladie xon rante est faite de mani re tr s restnctive La notion de rapport direct qui est l l ment d interpr tation souvent avanc par la s curit sociale dans ses refus d prise en charge des frais de transport ne figure pas dans le d cret du 6 mai 1988 Il serait n cessaire d adapter ies dispositions de ce d cret afin de permettre une extension des remboursements de ces frais de transport 11 lui demande donc ce qu il compte er reprendre pour aller en ce sens Handicap s politique et r glementation 33996 l r octobre 1990 M Denis Jacquat attire l atten tion de M le ministre de ia solldarit de la sant et de la protection soclale sur la n cessit de favoriser le soutien domi cile des personnes handicap es en milieu ordinaire de vie Il lui demande de lui faire connaitre les propositions retenues dans le cadre du rapport tabli par Ren Teulade ainsi que les moyens mis en uvre pour leur applica on concr te Handicap s tablissements 33998 ler octobre 1990 M Denis Jacquat demande M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale de bien vouloir lui faire conneitre les conclusions du pro gramme exp rimental de cr ation de foyers
376. l article 53 emplois fonc tionnels de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 sont soumis l obligation de d claration pr alable des cr ations et vacances d emplois de cat gorie pr vue l article 12 dis de la loi pr cit e Fonction publique territoriale politique et r glementation 31918 23 juillet 1990 M Arthur Dehaine attire l atten tion de M le ministre de l int rieur sur les dispositions rela tives aux sunpressions d emplois dans la fonction publique terri toriale En vertu des articles 97 et 97 bis de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 modifi e un emploi ne peut tre supprim qu apr s avis du comit technique paritaire Si la collectivit ne peut leur offrir un emploi correspondant leur grade les fonc tionnaires de cat gorie B pour certains emplois C et D sont pris en charge par le centre de gestion d partemental Le centre d partemental de gestion b n ficie d une contribution des collectivit s qui employaient les int ress s ant rieurement la suppression d emploi Le montant de la contribution est variable selon que la collectivit est ou non affili e au centre d partemental d gestion La suppression d emploi par stricte mesure d conomie budg taire ou par restructuration des services repr sente tant pour la collectivit que pour le centre de gestion une charge financi re importante Pour le d partement de l Oise les membres du comit technique paritaire plac
377. l inspection g n rale des affaires sociales L nspection g n rale a remis son rapport Les suites qui pourraient tre donn es au vu des conclusions des rapporteurs sont en cours d tude Far ailleurs la revalorisation de la lettre cl A M I qui r mun re l activit des infirmiers et des infirmi res est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nationale de la profession n goci s entre les parties signataires du texte conven tionnel et approuv s ensuite par arr t s interminist nels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalo risation tarifaire formul es par les parties conventionnelles Cependant les propositions relatives au traitement d antibisth rapie pour mucoviscidose qu la commission permanente de la nomenclature g n rale des actes professionnels a fait parvenir l administration ont t accent es par les pouvoirs publics conform ment au contenu de l arr t du 27 juin 1990 paru au Journal officiel du 5 juillet 1990 Pr retraites politique et r glementation 31518 16 juillet 1990 M Alain Vivien attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et e la protection sociale sur la situation des travailleurs ayant cotis 150 trimestres et qui pour des raisons de sant sont oblig s de suspendre toute activit professionnelle Ces personnes se retrouvant alors sans aucune ressource il lui demande s il ne serait pas possible
378. l obtention des distinctions natio nales Il lui demande en cons quence de bien vouloir lui faire connaltre les dispositions qu il compte prendre pour satisfaire ces revendications Politique ext rieure Golfe Persique 33955 1 octobre 1990 M Eric Raoult attire l attention de M le miaistre de la d fense sur la prise en charge du co t de la pr sence militaire fran aise en Arabie Saoudite et dans le olfe En effet il semblerait que les frais engag s par les Etats nis pour envoyer en Arabie Saoudite des forces militaires et du mat riel soient tr s largement financ s par le pays d accueil La France pourrait proc der de la m me fa on en demandant un financement de ses forces militaires en Arabie Saoudite par le Gouvernement de ce pays 11 lui demande si des d marches en ce sens ont t entreprises par la France Retraites fonctionnaires civils et militaires politique l gard des rerrait s 34015 1er octobre 1990 M Lo c Bouvard attire l attention de M le ministre de la d fense sur la situation des sous officiers Ceux ci contrairement aux fonctionnaires civils assur s de leur emploi jusqu soixante ans voire soixante cinq ans ne sont pas garantis de leur emploi jusqu cet ge En eflet apr s un engagement initial g n ralement de cinq ans le sous officier n est pas assur du renouvellement de son contrat Puis intervient pour lui l admission dans le corps des sous officiers de carri
379. la majoration pour tierce personne dont le montant est identique celui qui leur tait servi avec leur pension d invali dit Ainsi au ler juillet 1990 une personne titulaire d une pen sion de vieillesse de substitution assortie de la majoration pour tierce personne per oit au minimum un montant de 6 43 95 francs par mois 1 249 16 francs au titre de sa pension de vieillesse 4 894 79 francs au titre de la majoration pour tierce personne Par ailleurs les pe zonnes qui se trouvent dans l obli gation de recourir l assistance d une tierce personne pour accomplir les actes ordinaires de la vie peuvent tre exon r es de l ensemble des charges sociales patronales attach es la r mun ration de la tierce personne si elles remplissent les conditions pr vues l articie L 241 i0 du code de ja s curit sociale De pus une disposition fiscale accorde une r duction d imp t pour emploi d une aide domicile gale 25 p 100 des sommes vers es dans la limite de 13 000 francs ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 Retraites compl mentaires lrcantec 32542 6 ao t 1990 M Michel Terrot attire l attention de M le ministre de la soildarit de la sant et de la protectlo sociale sur les inqui tudes ressenties par les m decins des h pi taux publics concernant l avenir du r gime de leur retraite com pl mentaire de la s curit sociale Il appara t en effet que l Ir cantec institution laquel
380. la r gle g n rale fran aise qui r cise que les infractions contenues dans les disques ne peuvent tre poursuivies au del du d lai d un an En ce qui concerne les appareils de contr le des temps de conduite et de repos des canaucteurs le m me r glement europ en impose aux Etats membres leur v rification tous les six ans Il leur laisse cepen dant la possibilit de prescrire un d lai plus court pour les v hi cules immatricul s sur leur territoire La France a donc pris des r gles plus strictes en imposant que ce cnntr le ait lieu au moins tous les deux ans Permis de conduire examen 32215 30 juillet 1990 M L once Deprez appelle l atten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l quipe ment du logement des transports et de in mer charg des transports routiers et fluviaux sur les propositions du conseil d action pour la pr vention des accidents et les secours d urgence tendant faire apprendre les cinq g2stes qui sauvent tous les usagers de la route et notamment aux candidats au permis de conduire il apparait en effet qu un sondage a r v l que les Fran ais taient pr ts consacrer du temps afin d tre form s au secourisme Le meilleur moyen de former au secourisme routier semble tre celui de la formation des 800900 candidats au permis de conduire qui se pr sentent chaque ann e Il lui dsmande donc s il ne lui semble pas opportun de proposer que la pr paration au perm
381. le Mi le ministre de la solidarit de la sant et de ia protection socials que le d cret ne 89 921 du 22 d cembre 1989 a modifi jes arti les R 221 4 et MR 921 11 du code de la s crrit sociale et relatif aux conditions de versemeni de l allocation aux adultes handicap s L article le de ce texte a remplac les dispositions snciennes de l article R 821 4 par les dispositions suivantes les prestations familiales la retra z du combattant les pensions atta ch es aux distinctions honorifiques et l allocation de logement n entrent pas en compte pour l attnbution de l allocation mux aduktes handicap s N entrent pas non plus en compte pour l at tributio e cette allocation les rentes viag res ment onntes a 2 de l article 193 septies du code g n ral des imp ts lorsqu elles ont t constitu es par une personne handicap e ou dans la limite d un montant fix par d cret lorsqu elles ont t consti tu es par une onne handicap e pour elle m me Leu asocia tions de handicap s snnt satisfaites des mesures en cause meis rappellent que le mir itre de la solidarit cde la sant el de ia rotection s0cjals par lettre du 10 mars 193 adress e des par ementaisos fA sait sa Dir qu un texte r visant le versement d l allocation auX adu tes handicap s ot du fonds national de soli darit tai j tude Or le d cret pr cit re sunoirus que lafa cation aux adultes handicap s C est pourq
382. le du Tr sor de la Haute Loire qui d clare son hostilit tout projet d accord entre les syndicats de m decins et les caisses nationales d assurance maladie pr voyant le maintien des d pas sements de tarifs ou leur g n ralisation et s oppose la mise en place d un texte conventionnel dissociant fe paix r ellement demand par les m decins aux assur s sociaux du tarif de rem boursement PY S curit sociale conventions avec les praticiens 24833 26 f vrier 1990 M Germain Gengenwin attire l at tention de M le ministre de ia solidarit de ia sant et de ia protection soclale sur les pr occupations exprim es par les mutualistes Ils sont hostiles la mise en place d un texte conventlonnel qui dissocierait le prix r ellement demand par les m decins aux assur s sociaux du tarif de remboursement II apparait en effet indispensable de maintenir le droit des assur s sociaux mutualistes des soins de qualit rembours s Il souhai terait donc tre inform des mesures qu il compte prendre dans ce domaine i S curit sociale conventions avec les praticiens 24883 26 f vrier 1990 M Jean Pierre Brard atti at tention de M le ministre de la solidarit de la sant e ia protections sociale sur les cons quences v s dispositions legisla tives adopt es le 20 d cembre 1989 qui permettent d sormais que puise tre sign e entre les Caisses nationales d assurance maladie et les syndicats de m
383. le le corps m dical a t affili par le d cret n 71 867 du 21 octobre 1971 traverse une crise financi re tenant une progression de ses charges plus rapide que ses recettes Face une teile situation il est craindre que le rel ve ment des taux de cotisations des b n ficiaires et des employeur entr en vigueur depuis le ler janvier 1989 ne permette qu une restitution tout fait temporaire de l quilibre du syst me Compte tenu de ces l menis il lui demande de bien vouloir lui pr ciser les intentions du Gouvernement concernant l avenir de ce r gime compl mentaire de retraite et notamment lui indiquer les modificatiors envisag es pour son maintien ou son rattache ment d autres r gimes Retraites compl mentaires Ircantec 32543 6 ao t 1990 M Georges Colombier attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de 1 sant et de la protection sociale sur la situation de l Institution de retraite compl mentaire des agents non titulaires de l Etat et des collecti vit s publiques Ircantec cr e par le d cret n 70 1277 du 23 septembre 1970 et appliqu e av corps m dical par d cret n 71 867 du 21 octobre 1971 L Ircantec en effet conna t une crise financi re importante et le rel vement des taux de cotisa tions des b n ficiaires et des employeurs qui a t institu compter du ler janvier 1989 par le d cret du 30 d cembre 1988 ne permettra de restituer l quilibre du
384. lementaires et les organisations professionnelles Afin d viter les transferts de charge qui pourraient r sulter pour les agriculteurs du nouveau syst me s il s appliquait imm diatement dans toutes les branches il a t d cid de mettre en place la r forme de mani re pru dente tr s progressivement Ainsi les charges sociales de 1990 seront calcul es pour une fraction de la cotisation Amexa et une part limit e de la coiisation d assurance vieillesse sur les derniers revenus professionnels connus des agriculteurs c est dire ceux de 1988 la part la plus importante des cotisations restant d ter min e en fonction du revenu cadastral des exploitations Par ail leurs la loi fixe au 31 d cembre 1999 au plus tard la date laquelle la totalit des cotisations seront calcul es sur les revenus professionnels des exploitants De surcroit sur proposition des deux assembl cs le Gouvernement a accept de pr senter un rapport d tape au printemps 1991 retra ant les carts de cotisa tions r sultant au plan national du changement d assiette Les conclusions de ce rapport pourront conduire le cas ch ant modifier le rythme selon lequel la r forme sera poursuivie et apporter les am nagements ventuellement n cessaires Ce nou veau mode de calcul des cotisations r pond la fois un souci de justice chacun cotisant dor navant en fonction de ses revenus ainsi qu un souci de transparence puisqu revenu
385. ler octobre 1990 M Jean Rigaud attire l attention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de la solidarit de la sant et de la protection socisie charg des personnes g es sur l insuffisance des forfaits soins m dicaux attribu s par l Etat aux maisons d accueil m dicalis ss pour les personnes g es d pendantes Alors que l on consiate que le nombre des personnes g es d pendantes va sans cesse croissant et que des tablissements modernes et adapt s leur tat de sant sont encore en nombre insuffisant ceux qui ont fait un effort impor tant pour r pondre ce besoin et notamment les associations but non lucratif se voient r duire par la D A S S Etat le mon tant des forfaits soins m dicaux sotlicit s En effet alors que les prix de journ e h bergement sont accord s par le conseil g n ral les forfaits soins sont tellement limit s qu ils ne permettent m me pas de financer les salaires du personnel soignant sans compter tous les autres frais m dicaux indispensables En outre contraire ment aux ann es pr c dentes le remplacement u personnel en cong n est plus pris totalement en charge par le forfait soins c est dire en fait par la s curit sociale Comment dans ces conditions avec un personnel d j insuffisant en temps narmal assurer les soins n cessaires aux r sidants pendant les p riodes de cong s Il y a l une contradiction entre la volont affich e par le Go
386. les mesures et souhaitent qu elles soient abandonn es 4 Quant aux pensions de r version les int ress s demandent ce que l on s achemine vers un taux unique devant tendre vers 60 p 100 5 Enfin l aide de l Etat l association pour la gestion de la structure financi re A S F qui finance le surco t engendr par l abaissemerit de l ge de la retraite soixante ans pour les r gimes de retraite compl mentaire est arriv e ch ance le 31 mars dernier des articles de presse ont fait tat depuis plusieurs mois de ce que les pouvoirs publics n entendaient pas proroger la contribution de l Etat lequel esti mait avoir fait largement son devoir ce sujet Les articles assu raient aussi que les partenaires sociaux faute d un financement m me partiel ds 1 Etat envisageraient de restaurer les coefficients d abattement en vigueur avant 1983 et que de ce fait les futurs retrait s n auraient plus soixante aus qu une retraite compl mentaire emput e de 25 p 100 Le Gouvernement ne pouvant laisser planer le doute et l incertitude sur un sujet aussi impor tant qui d termine le niveau et la qu tit de vie d un tr s grand nombre de personnes il lui date donc de bier vouioir faire le point dans les meilleurs d lais possibles sur ces diff rentes questions Aussi souhaiterait il savoir quelles d cisions celui ci envisage de prendre afin de maintenir aux futurs retrait s partant soixante ans une retraite non dim
387. leur survie et ainsi aux producteurs laitiers e b n ficier d un compl ment de r f rence laiti re Minist res et secr tariats d Etat solidarit sant et protection scciale personnel a 33905 i r octobre 1990 M G rard Longuet attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de la sant et de la ion sociale sur ia situation critique dans laquelle se trou vent les pharmaciens inspecteurs de la sant Le statut actuel date de 1950 Modifi cinq fois jusqu en 1973 il ne l a plus t depuis dix sept ans Or les fonctions des pharmaciens inspecteurs ont consi lement volu depuis quinze ans et ont t tendues par quatre lois de nouveaux domaines pharmacie v t rinaire loi no 75 409 du 29 ma 1975 cosm tologie loi n 75 604 du 10 juillet 1975 biologie m dicale loi n 75 626 du it juillet 1975 exp rimentation clinique des nouveaux m dica ments loi n 88 1138 du 20 d cembre 1988 En outre un proje de loi vient d tre d pos afin de les tendre deux domaines suppl mentaires contr le des mati res premi res dans l industrie chimique exp rimentation toxicologique des nouveaux m dica ments L accroissement des exigences requises pour la qualit d m dicament se traduit aussi par la n cessit d un contr le de plus en plus rigoureux de l application des bonnes pratiques de fabrication dans les tablissements pharmaceutiques d cret no 88 661 du 6 mai 1988 Ces
388. li un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions doat l une est ainsi r dig e L ouverture d informations judiciaires en mati re de contravention est g n ralis e lorsqu il s agit d environnement 1l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31981 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 I u Am fer octobre 1990 confi par la commission les finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Au plan international la France agira pour le la transformation du programme des Nations Unies pour l environnement P N C E en un organisme nouveau dot de v r
389. lice et de gendarmerie afin que les publications en cause ne paraissent pas la vue dans les vitrines les kiosques les rayons accessibles au public et d une mani re g n rale dans tous les lieux o elles s offriraient l attention du public Des proc s verbaux son dress s l occasion de ces contr ies et transmis directement au minist re de la justice direction de la protection judiciaire de la jeunesse En outre chaque service de police adresse r guli rsment trois fois par an un compte rendu de l en semble des op rations effectu es dans le cadre de l article 14 de la loi du 16 juillet 1949 au minist re de la justice PERSONNES AG ES Retraires g n ralit s politique l gard des retrait s 30401 18 juin 1990 M Yves Fr viile attire l attention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de ia solidarit de Je sant et de ia protection sociaie charg des personn lt s sur le monopole de la repr sentativit des retrsit s accord aux syndicas depuis la circulaire Perodl de 1945 J O du 28 Pi 1945 A l heure actuelle les retrait s sont absents des conseils d administration e des commissions paritaires de l Unedic des Assedic de la C N A M de la C N A V des C R A M et des C P A M ainsi que des caisses de retraites com Pl mentaires Or l volution conomique et d mographique notamment l allongement de la dur e de la vie justifierait une modification de cette circulaire e
390. lisation d un accord Actuellement en ce qui concerne le vin les taux extr mes des diff rentes accises pratiqu es sont les suivants en ECU par hec tolitre Allemagne 0 Italie O Espagne 0 Gr ce O Por tugal O France 3 Royaume Uni 150 Danemark 160 Ire lande 260 Une premi re proposition de la commission fixait l accise europ enne appliquer le ler janvier 1993 17 ECU par hectolitre Ainsi pour la France le droit de circulation actuelle ment de 22 francs par hectolitre serait pass plus de 125 francs solt peu de chose pr s de 17 centimes par bouteille un franc environ Malheureusement la derni re approche de la commis sion pr voit la mise en place d un taux minimum pour les pro duits soumis accise qui devra tre respect par tous les Etats membres compter du ler janvier 1993 Le taux minimum pour le vin obligatoirement applicable cette date sera de 9 35 EC par hectolitre soit environ 65 centimes par bouteille au lieu de 17 pr vus dans la premi re proposition Les pays qui ne sou me tent actuellement ie vin aucune accise Allemagne Italie Portugal Espagne et Gr ce appliqueraient galement ce taux Mais aucune obligation de r duction n est exig e en m me temps des pays qui pratiquent des taux d accises tr s lev s on ne peut donc en aucun cas qualifier cette op ration d harmonisation des accizes puisqu il s agit seulement d imposer des accises aux pays ul n en appliquent pas ou
391. lisme particulier K ponse L article 60 du d cret du 30 d cembre 1809 dispose que les biens de la fabrique sont administr s par le bureau des marguilliers dans la forme d termin e pour les biens commu naux L article 62 pr cise que les locations de plus de neuf ans sont soumises la d lib ration du conseil de fabrique l avis de l v que et l autorisation gouvernementale Cette autorisation rel ve des r gles de la tutelle administrative qui sont actuelle ment fix es par l article 2 du d cret n 66 388 du 13 juin 1966 modifi en dernier lieu par le d cret n 84 132 du 21 f vrier 1984 En vertu de ce texte l op ration est autoris e par arr t du pr fet si son montant est inf rieur ou gal 5 000 000 de francs et par arr t du ministre de l int rieur pris conform ment l avis du Conseil d Etat s il d passe cette somme Fonction publique territoriale politique et r glementation 31900 23 juillet 1990 M Jean Marie Demange demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui indiquer si les recrutements effectu s dans le cadre de l article 47 emplois de direction et de l article 53 emplois fonctionnels sont soumis la r gle de la publicit des cr ations et vacances d emplois de la cat gone A pr vue l article 12 bis de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 R ponse Les recrutements dans des emplois mentionn s l article 47 recrutement direct et
392. llectivit Etat au titre de l organisation scolaire o com mune organisatrice ou commune si ge de la piscine serait sus ceptible d tre valablement recherch e au titre de la responsabi ASSEMBL E NATIONALE rt mn 200 mme me te mn et ei corne mue ES Rd m0 0 2 ee ee caen nn ne me d area Ce aa a a e a On nee ee nn om a ui qu meta dns deg dE m0 aa pm enr Qu de sad 08 0 dE ie ht eo eq mm om ea a A M os 00 00 a rm om oem op gg a a a e a a r EE e r ler octobre 1990 lit civile si un accident venait se produire la piscine elle m me ou sur le trajet cole piscine et retour Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse La question voqu e par l honorable parlementaire recouvre une grande diversit de situations En effet les acci dents pouvant intervenir l rs de la pratique de la natation par les l ves de classes primaires peuvent mettre en cause la res ponsabilit de diverses personnes publiques ou priv es La d ter mination de la personne responsable d pend des circonstances particuli res dans lesquelles s est produit l accident exemples d faut de surveillance d faut d entretien du v hicule assurant le transport scolaire d faut d entretien de la piscine H appar tiendra le cas ch ant le cas ch ant aux tribunaux de d ter miner la ou les responsabilit s respectives des parties concern es Communes personnel
393. llement aux attentes de la profession Or il semblerait que les textes actuellement soumis la signature des ministres concern s n ont pas t modifi s et les imperfections signal es par les repr sentants de ces personnels y figurent toujours Si ces statuts devaient tre sign s sous cette forme les adjudants chefs seraient condamn s dispara tre les lieutenants seraient soumis des quotas et r trograd s l int rieur de la cat gorie B enfin la parit entre les officiers de cat orie A et les ing nieurs des villes ne serait plus respect e Les inqui tudes des int ress s sont grandes et ils souhaiteraient vive ment en vue d viter une d stabilisation de toute une cat gorie de fonctionnaires participer une nouvelle n gociation qui pour rait aboutir l am lioration des statuts Il lui demande quelles d marches i compte entreprendre rapidement afin de satisfaire la demande des int ress s JEUNESSE ET SPORTS Sports politique du sport 33904 1er octobre 1990 M Aisin Madelin attire l atten tion de M ie secr taire d Etat aupr s du ministre d Etat ministre de i ducation nationale de la jeunesse et des sports charg de la jeunesse et des sports sur l insuffisance des recettes du Fonds national pour le d veloppement du sport il lui rappelle que les cr dits engag s au titre de l exercice 1990 en fonction des pr visions de la loi de finances se r v lent sup rieurs d
394. ls de la gendar merie qui souhaitent l tablissement d une grille indiciaire sp ciale la gendarmerie En effet avant 1976 la gendarmerie b ne ficiait d une chelle indici ire propre appel e chelle 10 Celle ci tait indiciairemenr sup rieure celle des autres mili taires et il tait tenu compte d la sp cificit du m tier de gen darme c est dire notamment de la disponibilit permanente du d roulement de carri re et des hautes responsabilit s Abstraction faite de ses deux jours de repos hebdomadaire le gendarme du fait de sa disponibilit est sous une astreinte que ne connaissent pas les militaires des autres armes L astreinte de la permanence domicile n tant ni r mun r e ni compens e le gendarme se voit class dans le rang des smicards En ce qui concerne le d roulement de sa carri re on constate que 60 p 100 des sous officiers de gendarmerie font leur carri re avec le m me grade de gendarme Par ailleurs l avancement est beaucoup plus lent que dans les autres armes Quant sa responsabilit elle n a aucune comparaison avec celle des sous officiers des autres armes Agent ou officier de police judiciaire ie gendarme notamment celui servant la brigade agit souvent seul Au service de la loi donc de tous les nanist res il doit souvent faire preuve d initiative et prendre des d cisions parfois tr s rapides sans se r f rer pr ala blement une autorit sup rieure Il s
395. ls majeurs 31962 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31963 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31964 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31965 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31966 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31967 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31968 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31969 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31970 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31971 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31972 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31973 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31974 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31975 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31976 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 31977 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31978 environne ment et pr vention des risquez technologiques et naturels majeurs
396. lture et for t 33925 handi cap s et accident s de la vie 36017 ducation nationale jeunesse et sports Worms Jean Pierre 34020 famille Z Zelier Adriean 33900 postes t l communications et espace ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 QUESTIONS CRITES PREMIER MINISTRE Risques naturels s cheresse le de France 33888 i octobre 1990 M Robert Pandraud rapptlie M ie Premier miaistre qu la suite des s cheresses de ces deux derni res ann es de tr s nombreux pavillons se l zardent et se fissurent tr s gravement dans la r gion parisienne Cette situa tion peut tre dangereuse pour la s curit g n rale et met leurs propri taires dans une situation financi re difficile Il lui demande de bien v uloir 15 donner des instructions aux pr fets concern s pour que en collaboration avec les municipalit s ils c ligentent une enqu te 2 d clarer zones sinisti es ces com mures de banlieue Le besoin de solidarit nationale ne doit pas en effet s exercer uniquement au profit des zones rurales Conseil conomique et social composition 33868 i r octobre 1990 Mme Yaan Piat appelle l atten tion de M ie Premier ministre sur la non repr sentation au sein du Conseil conomique et social des personnes dites du troisi me ge Les retrait s repr sentent aujourd hui plus de 10 millions de personnes et leurs probl mes sont nombreux et complexes qu il s agi
397. m en 1972 Bas Nairobi il a pour mandat de promouvoir la coop ration internationale et de coordonner les activit s des institutions du syst me des Nations Unies dans le domaine de l environnement C est sous son gide notamment qu ont t derni rement conclus la convention de B le sur les mouvements transfronti res de d chets dangereux et le protocole de Montr al sur les substances qui appauvrissent la couche d ozone En outre de nouvelles n gociations vont bient t d marrer pour deux nouvelles conventions mondiales respective ment sur la protection du climat mondial et sur la conservation de la diversit biologique Si les moyens du P N U E sont encore trop limit s les nouveaux enjeux que repr sente l environnement de la plan te conduisent aujourd hui les Etats envisager leur renforcement La r flexion en cours devrait d boucher sur une r vision du dispositif institutionnel actuel l ch ance de la conf rence des Nations Unies sur l environnement et le d velop pement qui se tiendra au Br sil en 1992 reen Risques naturels pluies et inondations Alpes Maritimes 27054 16 avril 1990 M Christian Estrosi appelle latten tion de M le secr taire d Eiat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs sur les conclusions du rap oo A ler octobre 1990 port demand M l ing nieur g n ral Ponton par M
398. maladie caisse d allo cations familiales de payer des cotisations calcul es sur la valeur du plafond de la s curit sociale et d acquitter par le biais de leur s employeur s des cotisations sur salaires elles m mes et nouveau calcul es sur ce m me plafond Il y a donc l un jer octobre 1990 double emploi manifeste et une contradiction flagrante ave e texte de loi vis supra dont le fond d faut de la forme voulu r gler le probl me de la surcharge anormale de cotisations dans l hypoth se d une pluri activit Dans ces conditions il lui demande s il envisage d apporter les am nagements n cessaires aux r gimes actuels afin et dans toutes les hypoth ses au un travailleur quels que soient ses fonctions et le lieu o il les exerce ne puisse supporter en cas de pluriactivit une charge sup rieure celle qu il supportezait s il n exer ait qu une seule activit Assurance invalidit d c s capital d c s 33938 1 octobre 1990 Mme Martine Daugreilh appelle l atiention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le fait qu actvellement aucune disposi tion ne permet d attribuer le capital d c s aux ayants droit des titulaires d une pension ou d une rente vieillesse lorsque ceux ci ne justifient plus des conditions dc salariat Cette situation p na lise les retrait s alors que les cotisations ont t vers es durant toute une vie Ell
399. mande ce qu entend faire le Gouvernement fran ais pour que l enqu te cons cutive au d p t de la plainte de la C E P M puisse rapidement aboutir en faveur des producteurs europ ens de ma s et plus particuli re ment des producteur fran ais R ponse A deux reprises d j le Gouvernement fran ais est intervenu aupr s de la Commission des communaut s euro p ennes pour soutenir la plainte antisubventions contre les expor tations am ricaines de corn gluten feed d pos e par la Conf d ration europ enne des producteurs de ma s en janvier dernier pour que la commission initie la proc dure c est dire convoque une r union du comit antisubventions sur ce sujet afin de recueillir l avis des douze Etats membres en avril dernier au cours de la r union du comit antisubventions pour demander la commission d ouvrir la phase d enqu te Lors de cette r union certains Etats membres ont mis en doute la l gitimit d une pro c dure antisubventions se finalisant par l instauration d un droit compensateur estimant que le corn gluten feed et le ma s ne peuvent pas tre consid r s comme des produits similaires Il s agit l d un argument juridique sur lequel la commission doit se prononcer en prenant en compte les implications de cette ques tion en termes de solidit du dossier communautaire vis vis des r gles du G A T T Cependant le gouvernement fran ais ne pour rait accepter que la commission se r fu
400. ment politique et r glementation 32036 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr veation ces risques technologiques et aaturels majeurs que en application du mandat qui lui a t Les questions ci dessus font t objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 4602 ASSEMBL E NATIONALE le octobre 1990 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement re oit une comp tence g n rale en mati re de police et de gestion des eaux A ce litre il tablit la carie d parie mentale de qualit des eaux sur avis conforme du Comit de bassin ainsi que le sch ma d parremental de vocation piscicole Il g re la totalit des moyens qui iui sont accord s par le F N D A E Il coor donne la mise en place des r seaux d adduct on d eau et d assainis sement ainsi que des stations d puration 11 assure l ussistance tech nique requise pour l entretien des stations d puration Il a la charge du suivi de la qualit des eaux L Etat transf re au d pariement la propri t et la gestion des cours d eau du domaine non navigable Le d partement a comp tence pour co
401. mesures sociales est impliqu e par la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 article 15 Enseignemeni priv personnel 32646 6 ao t 1990 M Bernard Debr se fait l interpr te du l gitime et profond m contentement des personnels ensei gnants des tablissements techniques priv s sous contrat d asso ciation qui sont encore r mun r s et pour certains depuis de longues ann es sur des chelles d auxiliaires Il demande M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la nesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour faire b n ficier ces personnels de modalit s de reclassement semblables celles de la ioi n 83 481 du 11 juin 1983 articles 9 11 14 et 16 En effet la stricte parit des mesures sociales est impliqu e par la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 article 15 R ponse Le concours d acc s l chelle de r inun ration des professeurs de lyc e professionnel du premier grade sera ouvert pour ia derni re fois en 1991 Le nombre de postes et les sections 4584 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 ouvertes tiendront compte dans la mesure du possible de la situation des maitres contractuels assimil s pour leur r mun ra tion aux ma tres auxiliaires actuellement en fonctions dans les tablissements d enseignement priv s Par ailleurs dans le cadre de la revalorisation de la fonction enseignante un d cret en cours de pr paration permett
402. mier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technoiogiques et aaturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Pian il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le ii avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une tude paysag re est syst matiquement tablie au stade de la conception des programmes de tous travaux neufs routiers relevant de l Etat L Etat met en place pour une p riode minimale de dix ans un fonds de r hatilitation des erreurs du pass en mati re de traitement des paysages des bords de routes dont le montant annuel ne peut tre inf rieur 1 p 100 du budget consacr aux travaux neufs de l ann e en cours E d partements ont l obligation de consentir un effort analogue et signer cet effet des conven tions de coordination avec leur autre partenaire routier d parte mental 1l jui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32027 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier mlaist
403. milliers d enfants de notre pays qui pour la grande majorit d entre eux ne partiraient jamais en vacances s il n y avait pas les uvres sociales ou comit s d entreprises Les progr s technologiques tel le T G V doivent profiter au plus grand nombre et particuli rement aux enfants C est le r le du service public qu est et doit rester la S N C F fond sur les besoins des moyens et du personnel D autant que bon nombre de collectivit s choisissent juste titre le train de pr f rence l autocar pour des raisons videntes de s curit Il lui demande quelles dispositions il compte prendre afin Que la direction de la Se ES revienne une politique commerciale de service public s S N C F lignes 33969 1er octobre 1990 M Andr Lajolale attire l atten tion de M le ministre de l quipement du logemeat des transports et de la mer sur l s cons quences n fastes pour l2 val d Allier de la d cision prse par la S N C F de metire en service au premier nicrilce une liaison rapide Clermont Ferrand Paris sans arr t dans l Allier En effet sans nier l im portance pour l agglom ration clermontoise d avoir une telle iaison permettant d arriver dans la capitale avant 9 heures du matin on ne peut que constater que cela va se r aliser au d tri ment des habitants du d partement alors que celui ci et ses contribuables ont fait un grand effort financier en faveur de l lectrification de la lign
404. ministre d Etat ministre de l ducation natio nale de la jeunesse et des sports sur la situation des per sonnels de l ducation sp cialis e qui ne peuvent pr tendre un reclassement En effet les ma tres des tablissements d enseigne ment priv s bien qu ils soient r mun r s par le minist re de l ducation nationale n ont pas la qualit de fonctionnaires ou d agents publics m me s ils poss dent des dipl mes quivalents et b n ficient d une chelle de r mun ration comparable Ils ne rel vent donc d aucune disposition particuli re et ne peuvent pr tendre au reclassement quand apr s avoir pass le concours d instituteur ils sont int gr s dans le corps des instituteurs de l enseignement public I lui demande donc quelles mesures il entend prendre pour rem dier cette situation qui d favorise A les maitres des tablissements d enseignement priv s R ponse Les ma tres exer ant dans les tablissements priv s sp cialis s sous contrat simple accueillant des enfants et adoles cents handicap s sout soumis aux dispositions fix es par le d cret n 78 255 du 8 mars 1978 Ceux qui poss dent les titres de capacit exig s pour les emplois correspondants de l enseigne ment public obtiennert un agr ment d finitif qui leur permet de b n ficier d un reclassement s ils justifient de services suscep tibles d tre pris en compte En revanche s ils ne poss dent pas un titre de capacit e ils sont
405. mment se concr tisera l en gagement pris d engager avec les victimes et leurs associations repr sentatives la concertation qui s impose Enregistrement et timbre contribution additionnelle la taxe sur les conventions d assurance 34000 1e octobre 1990 M Jean Prortoi attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de conomie des finances et du budget sur le vif m contentement des professionnels du b timent de la Haute Loire En effet l article 42 de la loi de finances rectificative pour 1989 pr voit cornpter du ler janvier 1591 instauration d une taxe de 0 4 p 100 sur le chiffre d af faires des entreprises du b timent destin e r sorber le d ficit du fonds de compensation des risques de l assurance construc tion Le principe d une taxe d un montant uniforme pour toutes les entreprises quelles que soient leur taille et leur activit est manifestement injuste En cons quence il lui demande si avant le 1er janvier 1991 une nouvelle concertation avec l ensemble des organisations professionnelles concern es sera engag e afin d as souplir cette mesure DUCATION NATIONALE JEUNESSE ET SPORTS Questions demeur es sans r ponse plus de trois mois apr s leur publicaiion et dont les auteurs renouvellent les termes Nos 8970 Guy Chanfrault 23291 Guy Chanfrauit 28382 Guy Chanfrauit 29138 Jean Fran ois Mancel 30533 Andr Rossi Enseignement personnel enseignants 33862 1e
406. mois au S G A P de Versailles Fr quemment les communes aident en fournissant du carburant les dotations tant insuffisantes Ce constat explique que le moral des agents s en trouve souvent per turb On le comprend Ainsi l Etat ne met plus en mesure de remplir convenablement leur mission les agents ont la conscience professionnelle est pourtant irr prochable 11 convient donc que rapidement des moyens suppl mentaires soient accord s la direction d partementale des polices urbaines du Val d Oise pour que celle ci puisse assurer sa mission de s curit et de pr vention dans des conditions normales de service public C est pourquoi il lui demande quelles mesures il compte mettre en uvre rapidement pour rem dier cette situation et faire en sorte que le service public puisse tre convenablement assur D linquance et criminalit trangers 33859 1 octobre 1990 M Robert Pandraud rappelle M le miaistre de l iat rieur que de nombreuses bande zoulous et autres ont commis plusieurs exactions et ont t l origine de mes et d lits lui demande 1 combien d trangers ont t interpell s par ses services la suite d op ra tions de contr le qu il a diligent es 2 combien ont t amen s devant le parquet 30 combien ont t mis sous mandat de d p t 4 combien ont fait l objet d expulsions ou de reconduites aux fronti res D linquance et criminalit destructions d
407. mste d un montant fix par decret lorsqu elles ont t consti tu es par une personne handicap e elle m me Or ce texte ne concerne qe les personnes allocataires de VAA H N ne fait pas tat de celles qui partir de l ge de soixante ans sont attnbu tres du Fonds naricnal de sohdante qu remplace l A AH Si 16 juillet 1990 M Jean Paul Plaschou souhaite les textes ne devaient pas tre compietes ces personnes ben cures jusqu 60 ans de l A A ii seratent penalis es passe cet ge C est pour quut il iu demande Guelles mesures 1 entend prendre pour tendre les dispositions du d cret n 39 911 aux ailocatures du Fonds nauonal de sohdant Retraites g n ralit s Fonds nai de suidarti 31861 16 juulle 1990 NS Gerard Lstace appelle l attention de ML le ministre de la soli arite de la sant et de la protec tien sociale sur ies dispoutrons du d cret n 59 921 du 22 d cembre 1959 relanuf aux conditions de versement de Vais cation aux adultes handicap s AA H Dnerses prestations n tant pus prises et compte pour l annibuuion de l A AH lui demande 511 envisage de soumettre les allocations du fonds aational de soiidant aux m mes conditions de calcul et darri buton puisqu elles se substituz t l A AH d s que les d n ri aires atteignent l ge de soixante ans Retraites gen ra tes Fonds nati de solidarit 31568 16 juillet 1990 M Philippe Legras rappel
408. n cessit de promouvoir et d accro tre le recrutement local il lui parait indispensable d ainplifier sensiblement le dispositif d ailocation d enseignement tel qu il d coule du d cret n 89 608 du 1er septembre 1989 4 Patrimoine mus es Ain 33912 ler octobre 1990 M L once Deprez appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de l dacation nationale de la jeunesse et d s sports sur la situation de la maisor d Izieu Ain qui a t rachet e par l association Mus e m morial d Izieu pour en faire un lieu de m moire vocation p dagogique en souvenir des dramatiques v nements d avril 1944 au cours desquels ont t arr t s et d port s qguamnte autt enfants dont quarante et un allaient mourir uschwitz Il lui demande s il envisage au titre de son minist re de s associer moralement et mat riellement cette action huma nitaire et ducative Enseignement secondaire fonctionnement Picardie 33929 de octobre 1990 M Jean Fran ois Mancel appelle l attention de M le miaistre d Etat ministre de l a cation aationale de la jeunesse et des sports sur la grave p nusie de professeurs titulaires qui touche l acad mie d Amiens n effet celle ci pour 15000 enseignants du second d compte 2000 ma tres auxiliaires et connalt la situation la plus pr occupante de toutes les acad mies Cette p nurie due notam ment au syst me universitaire de la Pic
409. n e derni re Le russe se classe ainsi au cinqui me rang des langues tudi es derri re l anglais l espagnol l allemand et l ita lien mais au premier eg des langues ext rieures la Commu naut europ enne Dans les coll ges et lyc es de l acad mie de Toulouse ia carte scolaire de l enseignemen du russe se com pose de la mani re suivante en 1989 1990 Pamiers lyc e 13 l ves en L V 2 Toulouse coll ge Les Chalets 21 l ves en L V 1 15 l ves en L V 2 coll ge Croix Daurade 11 l ves en L V 2 lyc e Pierre de Fermat 9 l ves en L V 3 lyc e Saint Sernin 18 l ves en L V 1 24 l ves en L V 2 97 l ves en L V 3 lyc e Raymond Naves 7 l ves en L V 2 76 l ves en L V 3 lyc e Bellevue 17 l ves en L V 2 6 l ves en L V 3 Tarbes lyc e Marie Curie 2 l ves en L V 2 30 l ves en L V 3 lyc e Th ophile Gauthier 2 l ves en L V 2 70 l ves en L V 3 Albi lyc e Bellevue 6 l ves en L V 2 51 l ves en L V 3 Dans le cadre de la d concentration il appartient au rec teur de l acad mie de Toulouse d appr cier l opportunit de modifier le dispositif d enseignement du russe compte tenu des priorit s acad miques des moyens disponibles et des besoins d enseignement La faiblesse des effectifs constat s a ainsi conduit les services acad miques supprimer lors des ann es pr c dentes un certain nombre d enseignements du russe
410. n du mandat qui lui a t confi par la Commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e L assembl e permanente Jip pr sidents de conseils g n raux prend l initative de cr er une conf rence des d partements partenaires pour l animatlon d une politique d centralis e de l ervironnement Cette conf rence est le creuset de r flexion sur les politiques mener et de confrontation des exp riences 1l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donnes en particulier dans le cadre de son futur plan nation i pour l environnement R ponse La suggestion de l honorable parlementaire a t mise l tude Le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs n a pas marque d en examiner l in t r t dans le cadre de la pr paration du Plan national pour lEn vironnement Le rapport pr liminaire ce plan a t diftus l ensemble des parl mentaires 11 fera l objet d un d bat d onten tation l Assembl e Nationale le 9 octobre prochain A cette occasion le secr taire d Etat aupr s
411. n transfert aupr s d un autre producteur laitier Toutefois un tel transfert est actuellement obligatoirement li un transfert foncier Il lui demande de bien vouloir lui faire connaitre s il estime qu une telle situation est normale et quelles mesures il envisage de prendre pour r pondre au probl me ainsi soulev R ponse Compte tenu d un compl ment de cr dit de la part de l Etat dans le financement de la convention de restructuration laiti re de la Moselle l aide a pu tre r tablie l int ress Fruits et l gumes asperges Gard 27712 30 avril 1990 M Jean Marie Cambacer s attire l attention de M le ministre de l agricuiture et Ce ia for t sur les graves difficult s rencontr es par les producteurs d asperges de la zone des sables pr s de Vauvert la suite de la s cheresse dans ce type de sol Lors de la visite de piusieurs exploitations et d une rencontre avec une centaine de producteurs il est apparu que les d g ts caus s par cette s cheresse ne vont pas seulement affecter la r colte de cette ann e mais galement l existence m me des plantations En effet l examen des racines montre clai rement que la s cheresse a affaibli les plants d une mani re telle que ia fusariose s est d clench e ce qui devrait engendrer leur arrachage Cette situation est donc une v ritable catastrophe pour cette zone g ographique En cons quence il lui demande de bien vouloir Lo Mid res cette zone c
412. ndicap et n cessitant la pr sence permanente d une tierce per sonne Le cas qui lui est soumis est celui de jeunes parents qui plut t que de voir leur fils hospitalis en permanence ont pr f r arr ter de travailler pour pouvoir s occuper vingt quatre heures sur vingt quatre de leur fils leur domicile lI lui demande pour quoi dans de telles situations les allocations vers es aux adultes handicap s 2 893 50 francs et 3 691 86 francs d allocations c m pensatrices pour tierce personne ne sont pas vers es aux parents qui cessent une activit salari e pour s occuper de leur enfant INDUSTRIE ET AM NAGEMENT DU TERRITOIRE Environnement sites naturels Hautes Pyr n es 33906 1e octobre 1990 M G rard Longuet attire l atten tion de M le ministre de l industrie et de l am nagement du territoire sur le trac des lignes tr s haute tension qui doivent traverser la vall e du Louron pour relier la centrale de Golfech Tarn et Garonne Saragosse Espagne Le ministre peut il jus tifier juridiquement que la d claration d utilit publique arr t e le 26 ao t 1988 et ensuite rapport e puisse tre r tablie le 15 d cembre Electricit et gaz distribution de l lectricit et du gaz 33968 ler octobre 1990 M Andr Lajoiaie attire l atten tion de M ie ministre de l industrie et de l ame aagemeat du territoire sur les graves menaces que fait peser sur le service public d E D F et
413. nduirait minorer les cotisations dues sur les revenus de l ann e ant rieure qui en constituent l galement l assiette sans teni compte e la facult contributive du cotisant ni de la r elle diminution des revenus due ces v nements De plus un tel dispositif qui conduirait remettre en cause les actuelles r gles d assujsitissement cotisa tions impliquerait de mettre corr latisement en uvre un m ca nisme complexe de r gularisation qui pourrait porter sur les coti sations dues au titre de deux ann es cons cutives et risquerait de s av rer de ce fait difficilement supportable pour le cotisant Pour ces raisons il n est pas envisag de modifier la r glementation en vigueur tant pr cis que les cotisants dont la situation le justifie et qui prouvent des difficult s pour faire face leurs obligations peuvent obtenir une aide de leur caisse mutuelle r gionale au titre de l action sociale m sure e me e n ar e Reiraites compi mensaires politique l gard des retrait s 29408 4 juin 1990 M Xavier Dugoln appelle l attention de M ie ministre de ia solidarit de la sante et de la protec tion sociale sur la participation de l Etat au financement de l as sociation pour la gestion de la structure financi re A S F En effet cette structure permet d assurer l quilibre des d penses des r gimes compl mentaires de retraite et de garantie de ressources Sans la participation de l Et
414. ne bonne r colte Le d sastre est complet ils ne pourront honorer leurs ch ances prochaines C est pourquoi il lui demande compte tenu de la situation dramatique dans laquelle sont plac es les exploitations et les familles de bien vouloir tudier la possibilit de faire b n ficier ces exploitants de la l gislation en vigueur en faveur des calamit s agricoles Fruits et l gumes asperges Gard 28370 14 mai 1990 M Gilbert Mlilet attire l attention de M le ministre de l agricuiture et de la for t au sujet des pertes consid rables que subissent les producteurs d asperges dans le Gard qu on estime aux deux tiers avec parfois m me une production chutant 10 kilogrammes par hectaie au lieu de 80 kilogrammes par hectare Cette catastroplie due la conju gaison de la s cheresse et de l absence de pause hivernale est renforc e par le d veloppement du Fusarium entra nant une mor talit des aspergeraies et des pertes de fonds sur plusieurs ann es il lui demande quelle indemnisation il envisage de mettre en place pour l imm diat et dans l avenir et ausi quel encourage ment il entend promouvoir afin de proposer une culture de subs titugjon en particulier en direction de la vigne et des c pages nobles Fruits et l gumes asperges H rault 28867 21 mai 1990 M Ren Couveinhes attire l attention de M le ministre de l agricuiture et de ir for t sur le sinistre qui frappe la production d asperg
415. ne famille naissance unique On ne tient pas compte des enfants lever ce qui est pour le moins un para doxe en pleine p riode de r cession d mographique Il serait donc souhaitable que le Gouvernement modifie l application de ces deux prestations familiales afin que les familles naissances multiples ne soient plus p nalis es Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32383 30 juillet 1990 M Alain Moyne Bressand attire l attention de Mme le secr taire d Etat aupr s du mialstre de la solidarit de l saat et de ia protection soclaie charg de la famille sur la simultan it des co ts d ducation des enfants issus d un accouchement multiple de la petite enfance aux tudes sup rieures Il serait quitable que cette simultan it des frais d ducation auxquels doivent faire face ces familles nais sances multiples scit compens e par une adaptation des alloca tions familiales des prestations familiales et du quotient familial des parts fiscales et des abattements pour enfants charge sinsi x des points pris en compte lors de l laboration d un dossier bourse scolaire Afin de donner aux enfants issus d un accou chement multiple comme leurs fr res et s urs n s lors d unc naissance unique les m mes ehances que dans les autres familles il est n cessaire de tenir pompte de la sp cificit de ces familles en adaptant la l gislation en place
416. nels et technologiques priv s sous contrat d association des m mes conditions et st son ventuel refus ne pourrait pas tre analys juridiquement en refus de vente injustifi R ponse Selon la note de service ne 87 308 du octobre 1987 publi e au Bulletin officiel n 35 du 8 octobre 1987 seuls les lyc es les coll ges et les tablissements de formation relevant de la direction des lyc es et coll ges c est dire les tablissements publics peuvent b n ficier des condi tions privil gi es d acquisition de logiciels usage p dagogique d termin es dans les march s en contrepartie du paiement au niveau national de la licence par le minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports En effet les cr dits d achat de logiciels ducatifs rel vent des cr dits p dagogiques de droit commun destin s aux tablissements d enseignement public Ils ne peuvent ouvrir droit aucune dotation exception nelle en faveur des tablissements d enseignement priv s sous contrat en sus du forfait d externat En ce qui concerne les conditions d acquisition dont un fournisseur de logiciels pourrait faire b n ficier les lyc es professionnels et technologiques priv s il n appartient pas au ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports de d finir le r gime juri dique applicable en mati re de relations commerciales priv es ENVIRONNEMENT ET PR VENTION DES RISQUES TECHNOLOG
417. nisation du brevet d Etat d ani mation de technicien de l ducation populaire et de la jeunesse B E A T E P Il l informe que le processus formation examen d livrance des diff rents dipl mes d Etat d livr s sur le territoire B AS E D E F A BAFA B A F D B EE S 5 S B B NS ne posant aucun probl me il s tonne donc des difficul s rencon tr es concernant l obtention de ce B E A T E P dont la formation et la d livrance devraient tre r alis es en toute l galit sans avoir recours d autres d marches particuli res 1 estime donc qu en vertu de l unicit des dipl mes d Etat et de leur caract re national on ne peut consid rer qu un dipl me est valable sur tel endroit du territoire de la R publique et non valable ailleurs 11 lui demande en cons quence de lui faire conna tre les mesures concr tes qu il envisage de prendre afin qu une solution heureuse soit trouv e ce probl me R ponse Les difficult s de droit qu entra ne l application du principe ancien de la sp cialit l gislative n ont pas chapp aux services du secr tariat d Etat charg de la jeunesse et des sports Le ministre charg des d partements et territoires d outre mer a t consult cet effet afin de d terminer la solution juridique ment la plus appropri e en mati re de dipl me d Etat quelle qu en soit la nature 11 appara t en effet que compte tenu des comp tences reconnues i assembl e territoriale par dive
418. nit de notre syst me de soins qui a su jusqu pr sent concilier une m decine de qualit et un libre acc s aux soins avec un rem boursement de haut niveau Securit sociale conventions avec les praticiens 22447 25 d cembre 1989 M Franclsque Perrut attire l at tention de M le ministre de la solidarit de ls sant et de la protection soclale sur son intention de modifier la nomenclature des actes m dicaux In effet travers leurs n gociations de la convention avec les caisses d assurance maladie les m decins ont exprim el d montre l tendue de leurs inqui tudes et de leur malaise concernant leurs revenus l avenir des cliniques priv es et de l ensemble de la profession Aussi lui demande t il de bien voulcir lui pr ciser s il a l intention de limiter l acc s aux soins par un rationnement dont les m decins conventionn s seraient les agents oblig s alors m me qu il ne r sulte pas aujourd hui d un secteur 2 conventionnel qui ne provoque que 7 p 100 maximum de d passements d honoraires pour l ensembl de la France si l un va imposer aux melades une r glementation de l acc s aux sp cialistes passant uniquement par la prescription d un g n ra liste et enfin par cons quent si l on ne se dirige pas ainsi vers une m decine de caisse limitant les soins aux possibilit s finan ci res de l assurance maladie S curit sociale convention avec les praticiens 24568 19 f vrier 1990 M Louls Pl
419. nn aux Etats Unis entre sans droits dans la Commu naut eurcp enne Ces importations ont augment de 200 p 100 en dix ans et repr sentent aujourd hui 35 p 100 de la production fran aise de ma s Ces importations causent un grave pr judice pour les producteurs qui perdent ainsi une large part de leurs d bouch s En liquidant les garanties de protection que constitue la pr f rence communautaire en abaissant les prx et en r dui sant les productions les autorit s fran aises et communautaires vont au devant des exigences am ricaines qui veulent importer leur guise leurs produits alimentaires et agricoles 11 lui demande que des mesures soient prises afin d assurer le respect du prin cipe de la pr f rence communautaire et que le dossier des impor tations de corn gluten feed en provenance des U S A soit r gl dans le sens des int r ts des producteurs de l agriculture et de l industrie fran aises Agroalimentaire ma s 31788 23 juillet 1990 M Jean Pierre Baeumier attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur le pr judice caus par les importations de corn gluten feed en Europe et plus particuli rement sur le territoire national pour les producteurs de ma s L accroissement de ces importations dont la quantit est d duite de celles import es en Espagne et dans ie cadre de l accord C E E U S A obligerait les produc teurs europ ens geler d importantes superficies co
420. nnent une place essentielle dans l organisation des secours et la lutte contre les incendies en France Les r gles qui leur sont applicables sont en cours de refonte afin de les adapter aux besoins actuels de ces personnels eu gard notamment aux risques nouveaux auxquels ils ont faire face Un projet de d cret en cours d laboration d finira les r gles applicables leur recrutement leur formation leur protection sociale et leur indem nisation Ce projet est pr par en concertation avec les repr sen tante des sapeurs pompiers volontaires Enfin un document de travail est en cours de pr paration pour traiter le probl me de la disponibilit des sapeurs pompiers volontaires qui est un pr a lable une remise niveau de la formation ll d bouchera terme sur un projet de loi 4 S curit civile sapeurs pompiers 27556 23 avril 1990 M Xavier Deniau appelle l attention de M le ministre de l int rieur sur la situation des adjudants chefs des corps de sapeurs pompiers professionnels Il semble que les d crets portant statut des sapeurs pompiers professionnels 4810 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 ne liennent pas compte de la situation actuelle et future des adjudants chefs En effet actuellement et c est regrettable la grande majorit d entre eux assure les fonctions de pr vention niste pr visionniste chef de corps ou chef de garde incendie responsable du personnel d
421. nombre des r gions Il souhaiterait qu il lui indique s il ne pense pas qu il serait judicieux d engager une r flexion g n rale sur ces probl mes et en tout tat de cause il souhaiterait connaitre son point de vue sur les deux points pr cis voqu s dans la pr sente question Parlement relations entre le Parlement et le Gouvernement 31387 9 juillet 1990 M Jean Louis Massen attire l atten tion de M le ministre de l int rieur sur le fait qu de nom breuses reprises le Pr sident de la R publique a demand aux membres du Gouvernement de respecter les pr rogatives du Par lement En l esp ce le r glement de l Assembl e nationale pr voit que les questions crites doivent b n ficier d une r ponse dans un d lai d un mois renouvelable une fois Il lui rappelle que sa question crite n 13756 en date du 6 juin 1989 n a tou jours pas obtenu de r ponse l souhaiterait donc qu ii lui indique les raisons de ce retard et s il pense qu un tel retard est compatible avec les recommandations manant du Pr sident de la R publique lui m me quant la nature des rapports entre le Gouvernement et le Parlement R ponse La question formul e par l honoraole parlementaire un moment o une r flexion tait engag e sur nos structures territoriales trouve sa r ponse dans les propositions du projet de loi relatif l administration territoriale de la R publique S agis sant d une mati re particuli remen
422. ns de la mutualit sociale agricole Ces derni res sont jusqu pr sent appel es sur la base de bar mes nationaux reposant cssentielle ment sur un crit re d effectif qui p nalise les d partements petites structures et main d uvre familiale importante 1 lui demande s il peut envisager la mise en r partition de l int gralit de la charge technique c est dire les cotisations Amexa et vieil lesse individuelle incluses Cela permettrait ainsi de r partir entre les d partements l ensemble des cotisations techniques en fonc tion de leurs r sultats conomiques R B E et R N E Toutefois la proportion de chacun de ces deux indicateurs statistiques dans l assiette nationale m riterait d tre revue afin d accroitre la part k R N E notion plus proche de celle du revenu au d triment u R B E R ponse La loi du 23 janvier 1990 a d fini une nouvelle assiette des cotisations sociales agricoles constitue par les revenus nets professionnels d gag s par l activit non salari e agricole et a fix au l janvier 1990 la date d entr e en vigueur de cette r forme L assiette revenu cadastral m me corrig e est en effet un indicateur imparfait des revenus des agriculteurs et l harmonisation des modalit s d imposition sociale des agricul teurs avec celles des autres cat gories professionnelles tant en ce qui concerne l assiette que le taux est l objectif poursuivi conjointement par le Gouvernement les par
423. ns des communes ont volu et se sont largies en fonction de la demande de la population et des cons quences de la loi de d centralisation Elle ont r gler des probl mes de plus en plus complexes sur le plan technique et les lus doivent s entourer d un personnel de plus en plus qua hifi Le dernier concours organis par le C N F PT a montr ue le v ritable niveau de recrutement des techniciens territo naux se situait Bac 2 En effet 75 p 100 des laur ats sont titulaires d un dipl me de ce niveau Il lui demande s il envisage de prendre en compte la revendication des techniciens territo naux d un recrutement Bac 2 afin de permettre dans le cadre de l accord sur la r novation des trois fonctions publiques d obtenir une am lioration des r mun rations par l int gration au classement indiciaire interm diaire cr cene occasion Ceci permettrait de rendre la carri re de technicien territorial beau coup plus attractive qu elle ne l est l heure actuelle pour les jeunes dipl m s ion transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Fonction publique territoriale statuts 31224 9 juillet 1990 M Dominique Gambler attire lat tention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l Int rieur charg des collectivit s territoriales sur les conditions de recrutement des techniciens territoriaux En effet l volution des techniques n cessitent la pr sen
424. ns la mesure o les tudes chromosomiques rel vent de techniques sp cialis es Cependant au moment o de nouvelles dispositions sont prises dans le domaine de la r glementation de la biologie m dicale il serait n cessaire de pr ciser les dipl mes requis et le champ d exercice de la cytog n tique Les demandes d analyses chromo somiques sont de plus en plus fr quentes et correspondent des besoins r els dans l exploration des malformations et handicaps ler octobre 1990 cong nitaux des st rilit s des avortements r p t s ainsi que des affections canc reuses et malignes pour ne citer que les princi pales La situation actuelle r sultant d un d veloppement spon tan et anarchique pour r pondre l urgence de la demande ne saurait se prolonger durablement sans risque de carence et de pr judices graves dans l exercice de la m decine En l absence de dispositions officielles il est en effet impossible de d velopper des laboratoires de cytog n tique dans les h pitaux g n raux comme dans le secteur priv et les seules structures hospitalo universitaires sont dans la totale incapacit de satisfaire la demande m dicale 11 lui demande donc les mesures qu il entend prendre pour rem dier cet tat de fait et organiser la cytog n tique comme discipline biologique part enti re au m me titre que l immunologie ou l anatomopathologie par exernple Profess ons param dicales infirmiers et infirmi res
425. ns que ie groupe de travail pr sid par M le s nateur DeSarge et relatif au statut de l lu local a remis au Gouvernement un projet de loi qui devrait tre prochaine ment d pos devant le Parlement est en cours d laboration 1 devrait galement tenir compie des dispositions actuellement applicables aux membres des C E S R e Communes personnel 29478 4 juin 1990 M Jean Paul Cciloud appelle de M le ministre de l int rieur sur le cas des jeunes gens ayant exerc deux ann es au sein des brigades de sapeurs pompiers de Paris ou de Marseille Ayant constat que ces deux ann es d ex p rience leur permettent d tre dispens s de l examen d aptitude de sapeur pompier professionnel non officier conform ment l article R 353 19 du code des communes mais qu elles ne s im posent pas aux collectivit s locales qui ont la gestion d un centre de secours et qui sont en droit d exiger que les candidats qui postulent pour un poste qu elles offrent soient inscrits sur la liste d aptitude l emploi de pompier il lui demande de bien vouloir lui faire conna tre ses intentions pour que cette dispense soit effective et permette aux jeunes de postuler aussi pour les emplois communaux R ponse Aux termes de l article R 353 19 du code des com munes les candidats ayant effectu deux ans de services au moins la brigade des sapeurs pompiers de Paris ou au bataillon des marins pompiers de Marseille pouvaient tre
426. nsacr es la Culture du ma s li lui demande si des accords portant sur le droit d importation du corn gluten feed en Europe sont envisag s et quelles mesures l entend falre adopter face ces importations qui menacent directement l avenir des producteurs europ ens de ma s R ponse deux reprises d j le Gouvernement fran ais est intervenu aupr s de la Commission des Communaut s euro ptennes pour soutenir la plainte anti subventions contre les exportations am ricaines de com gluten feed d pos e par la Conf d ration europ enne des producteurs de ma s en janvier dernier pour que la Commission initie la proc dure c est dire convoque une r union du comit anti subventions sur ce sujet afin de recueillir j avis des douze Etats membres en avril der nier au cours de la r union du cemit antisubventions pour demander la Commission d ouvrir la phase d enqu te Lors de cette r union certains Etats membres ont mis en doute la l giti mit d une proc dure anti subventions se finalisant par l instaura tion d un droit compensateur estimant que le corn gluten feed et le ma s ne peuvent pas tre consid r s comme des produits simi laires Il s agit l d un argument juridique sur lequel la Commis sion doit se prononcer en prenant en compte les implications de cette question en termes de solidit du dossier communautaire vis vis des r gles du G A T T Cependant le gouvernement fran ais ne p
427. nseil g n ral sur le maintien du statut d fini par la loi n 76 1212 du 24 d cembre 1976 ou sur la transformation de Mayotte en d par tement ou ventuellement sur l adoption d un statut diff rent Or celle ci n a pas t organis e comme elle aurait d l tre en d cembre 1984 malgr les engagements pris par le Gouverne ment notamment lors de deux interventions la premi re l As sembl e nationale le 24 avril 1984 o le secr taire d Etat charg des D O M T O M avait d clar qu une consultation serait organis e l heure venue ei qu en aucun cas une d cision ne serait prise en dehors de la volont du peuple mahorais lui m me et la seconde au S nat le 18 mai 1984 o le secr taire d Etat aupr s du ministre des affaires sociales et de la solidarit gr go qqn M i Dee cs ec ASSEMBL E NATIONALE 4577 nationale rapauri s en remplacement du secr taire d Etat charg des D 0 M T O M avait indiqu Je rappeile ces trois prin cipes la Constitution sera respect e la population de Mayotte sera consult e le moment venu enfin a d cision qui sera prise sur l avenir de cette collectivit territoriale tiendra compte de la volont librement exprim s par ses habitants Par ailleurs il lui signale en outre qu une proposition de loi avait t d pos e sur le bureau de l Assembl e nationale par M Henry Jean Baptiste et d autres d put s pr voyant une consultat
428. nsolubles difficuit s Un exemple en est fourni par les secr taires de mairie non int gr s effectuant moins de trente et une heures trente de travail hebdomadaire certains d entre eux votent en effer leur d roulement de carri re bloqu ceux des er 2 et 3 niveaux se voient refuser la possi bilit d acc der un emploi identique sur une autre commune car ils doivent r pondre aux conditions fix es par le d cret n 88 240 du 14 mars 1988 cependant que certains de leurs col l gues sont recrut s sans difficult les pr fets se r f rant aux dis positions du chapitre XII de la loi du 26 janvier 1984 relatives aux fonctionnaires territoriaux nomm s dans les emplois perma nents temps complet 1 lui demande s il compte prendre des mesures pour rendre plus coh rente l interpr tation de ces textes par les centres d partementaux de gestion et les pr fectures afin qua soient am lior es les conditions de recrutement et de promo ton de cette profession Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur R ponse Aux termes de l article 114 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 modifi e les dispositions r glementaires portant statut des corps ou emplois en igueur la date de la publication de la loi susvis e demeurent anplicables jusqu l intervention des statuts particuliers pris en application de la loi Dans l attente de la publication prochaine du d cret en
429. nt pas suffisants pour mener bien ces travaux il y a donc lieu de pr voir des cr dits suppl mentaires dans le prochain contrat de plan sans que cela remette en cause l ach vement de ces travaux pour la fin de l ann e 1991 avant l ou rture des jeux Olympiques Il iui demande quelles mesures il compte pes afin que ce probl me urgent soit solutionn de la meil eure fa on i S N C F tarifs voyageurs 33967 ler octobre 1990 M Andr Lajoinie saisi par le C C E de la B N P aupr s d autres organisatiors et comit s d entreprise sur les difficult s rencontr es concernant le transport d enfants par la S N C F attire l attention de M le ministre de l quipement du logement des transports et de la mer Le comit central d entreprise de la B N P fait transiter chaque ann e 15000 enfants par la S N C F pour se rendre dans les centres de vacances Jusqu pr sent comme toute activit le C C E b n ficiait de conditions tarifaires li es aux achemine ments par groupes Or la direction de la S N C F a modifi ces conditions de fa on importante remettant en cause les accords ass s en augmentant les tarifs de fa on tr s sensible au nom de ia rentabilit Comme pour d autres collectivit s ces mesures mettent gravement en cause la gestion du C C E de la B N P d autant que le patronat n augmentera pas pour autant les budgets sociaux Elles mettent gravement en cause le d part de dizaines de
430. nt que les retrait s craignent que le Gouvemement n adopte de nouvelles r gles en mati re de calcul des retraites S agissant des pensions de r versions le taux en est jug souvent insuffisant et les probl mes de personnes Ag es d pendantes conduisent certains pr coniser la mise en placc rapide d un m canisme d assurance obligatoire contre Ce risque Il iui demande quel est son sentiment sur ces diff rentes revendica tions R ponse Les questions voqu es par l honorable parlemen taire appellent les r ponses suivantes 1 Les probl mes li s au vicillisement et l importance croissante des 2pulations g es n cessitent une repr sentation des retrait s et des personnes g es dans les diff rentes organisations nationales et locales afin qu elles puissent prendre une part plus compl te aux d cisions Pour concr tiser cet objectif il a t d cid d am liorer la repr sentation de l ensemble des retrait s et personnes g es au sein des instances destin es traiter de leurs probl mes C est ainsi que les retrait s et personnes g es si gent au sein des comit s conomiques et sociaux r gionaux et du Conseil national de la vie associative De plus le Conseil conomique et social assure la repr sentation d associations dont les centres d int r t englodbent des activit s qui int ressent plus particuli rement les retrait s et les personnes Ag es comme l action sanitaire et sociale la vi
431. ntend lui donner en pa ticulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31956 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M k secr talre d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n ra et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e L environnement t l cologie sont rer gt nnus comme une discipline fondamentale de la formation g n rale et sup rieure et notamment au sein de l Ecole nationale d administration de l Ecole nationale de la magistrature des grandes coles d ing nieurs des coles nor males d instituteurs et de toutes les coles de formation agricole Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites Je Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31957 23 juillet 1990 M Michel Bernier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg e de l en
432. ntentions sur une question aussi importante CONOMIE FINANCES ET BUDGET Question demeur e sans r ponse plus de trois mois apr s sa publication et dont l axteur renouvelle les termes N 18931 Guy Chanfrault Imp ts locaux taxe d habitation 33886 l r octobre 1990 M Jean Michel Ferrand attire l attention de M ie miaintre d Etat ministre de l conomie des finances et da budget sur les lenteurs de l application de l article 30 1 de la loi n 80 10 du 10 janvier 1980 portant institu tion d un syst me de paiement mensuel de la taxe d habitation pour le d partement de Vaucluse En 1988 ce syst me n tait applicable que dans six d partements fran ais Si le d cret n 90 726 du 9 ao t 1990 a heureusement tendu ce syst me quarante autres d partemenis pr s de la moiti du territoire national demeure exclu du b n fice de cet am nagement Il lui rappelle qu l heure o chacun reconna t le poids important de la fiscalit locale sur les budgets modestes et o la r forme du mode de calcul de la taxe d habitation est l ordre du jour il apparalt n cessaire d tendre l ensemble de la France ce mode de paiement mensuel qui permet de r partir sur l ann e l effort fiscal du contribuable il lui demande s i entend tendre rapide ment le syst me de paiement de la taxe d ebitation l ensemble des d partements fran ais et plus particuli rement au Vaucluse Politique conomique p
433. ntionnel et ont abouti une proposi tion de revalorisation de la lettre cl A M L et de l LF D Or il semblerait que cette proposition n ait toujours pas t ent rin e par les autorit s de tutelle En cons quence ii lui demande de bien vouloir lui indiquer pour quelles raisons cette proposition n a pas encore t agr e et dans quels d lais une d cision pourra tre prse Professions param dicales infirmiers et infirmi res 32987 20 ao t 1990 M Maurice Adevah Peuf attire l at tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le souhait des infirmi res lib rales de voir prochainement revaioriser leur lettre cl professionnelle Les int ress es rapp lent que la demi re revalorisation date de 29 mois et que la derni re n gociation conventionnelle avait d bouch sur un accord applicable au 15 mars 1990 Il lui demande donc de lui indiquer ce qu il envisage pour d bloquer cette situation Professions param dicales infirmiers et infirmi res 32988 20 ao t 1990 M Jean Paul Durieux attire l atten tion de M ie ministre de ia soiidarit de ia sant et de ia protection sociaie sur la revendication des infirmi res lib rales de voir appliquer la revalorisation tarifaire conclue le 17 f vrier 1990 entre les caisses nationales de s curit sociale et les syndicats repr sentatifs En effet il semblerait que cette aug mentation ait t diff
434. obe t Ballanger de Aulnay sous Bois d en b n ficier Etablissements sociaux et de soins institutions sociales et m dico sociales 33991 1 octobre 1990 M Andr Berthol appelle l atten tion de M le misistre de la solldarit de la sante et de la protection sociale sur la tarification pour les tablissements sociaux et m dico sociaux instaur e par une D M O S n 85 772 du 25 juillet 1985 Autant le Groupe national d tudes de promo tion des travailleurs oi E P T H comprend le souci des financeurs de mieux cerner les d penses d aide sociale et notam ment du secteur associatif autant il d nonce l approbation de la tanficstion pour les tablissements sociaux et m dico sociaux publics qui est contraire l esprit et l anplication des lois de d centralisation particuli rement la loi n 86 17 du 6 jan vier 1986 En effet ces tablissements ont t assimil s des col lectivit s territoriales et sont g r s par des conseils d administra tion compos s en majorit d lus et de financeurs Ces personnalit s sont suffisamment responsables pour que dans l es prit des lois de d centraiisation il n y ait pas besoin d un retour d guis la tutelle a priori en mati re de tarification L E P T H est tr s favorable la maitrise des co ts des tablissements sociaux et m dico sociaux mais elle est choqu e par le manque de connaissance du fonctionnement des tablissements publics et de ia
435. ociale charg des handicap s et des accident s de la vie si apr s la lecture du livre blanc r alis par l association des paralys s de France recensant les d cisions pour le moins contestables prises par des Cctorep ou des services d partementaux de l aide sociale l encontre des personnes handicap es il entend intervenir nergiquement apr s des organismes plac s sous sa tutelle et des services d pendant des conseil g n raux pour que leur soit rappel e les documents produits tant indiscutables l obligation du respect de la loi Handicap s C D E S et COTOREP 33923 1er octobre 1990 M Fran ois d Harcourt attire l attention de M le secr taire d Etat aupr s du miaistre de la solidarit de la sant et de la protection sociale charg des handicap s et des accident s de la vie sur l application parfois 4558 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 d fectueuse par tes Cotorep des textes l gaux De nombreux b n ficiaires Ces d cisions Cotorep sont tonn s des d lais pour obtenir le renouvellement de leurs droits alors que ledit renou vellenent ne soul ve ancune difficult particuli re en raison de leur tat Par ailleurs ces m mes b n ficiaires m amp is aussi les associations qui d fendent leurs int r ts s neuvent de l interpr taticr des textes l gislatifs et r glementaires par ies diff rents centres de Cotoren Au del de la mise en uvre par chaqu
436. octobre 1990 M G rard L onard fait part M le secr taire d Etat aupr s du ministre de la solldarit de la saat et de la protection sociale charg des handicap s et des accident s de la vle de ses inqui tudes la lecture du livre bianc publi par l Association des paralys s de France et concernant les d cisions jug es ill gales ou arbitraires prises jar certaines COTOREP et plusieurs services d partementaux de l aide sociale l gard des personnes handicap es Ce document montre preuves l appui une d rive inqui tante dans l applica tion de la loi 11 lui demande quelles mesures il envisage de prendre pour faire respecter par ces structures dont il assure la tutelle et par les services d pendant des conseils g n raux les dispositions pr vues par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des persornes handicap es afin que de telles entorses la r glementation existante ne se perp tuent pas Handicap s C D E S et COTOREP 33975 ler octobre 1990 M Fran ois Michel Gonnot fait part M le secr taire d Etat aupr s da ministre de la solida rit de la sant et de la protection sociale charg des handil cap s et des nccident s de la vie de sa profonde surprise apr s avoir pris connaissance du Livre blanc publi par l Associa tion des paralys s de France concernant certaines d cisions prises par les Cotorep ou les services d partementaux
437. odi fiant les articles R 821 4 et R 821 11 du code de la s curit sociale relatif aux conditions dz versement de l allocation aux adultes handicaps En effet ce d cret exclut tout versement de cette aliocation du Fonds national de solidarit qui ce ndant remplace A A H partir de soixante ans Aussi 1 lui demande de bien vouloir ui indiquer se intentions Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31042 2 juillet 1990 M Robert Pan raud attire j aicn tion de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la protection socicle sur le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 relatif aux conditions de versement de l allocation aux adultes handicap s 11 souhaiterait que l conomie de ce texte soit tendue au Fonds national de solidarit puisque cette prestation remplace l allocation aux adultes handicap s l ge de soixante ans Resraitss g n ralit s Fonds national de solidarit 31043 2 juillet 1990 M Etienne Pinte atire l attention de M le ministre de la solidarit de i sant ct de la 2rotsction sociale sur le d cret n 29 02 du 22 d cerabre 1989 modifiant les articles R 821 4 st R 821 11 du code de la s curit sociale et es ler octobre 1296 relatif aux conditions de versement de l allocation aux aduites handicap s Il s tonne que ce d cret ne soit tendu au Fonds nationai de solidarit qui remplace l allocation aux adultes handicap s partir de so
438. ogiques et naturels majeurs Mattel Jean Frau ois 33881 solidarit sant et protection sociale 34006 solidarit sant ef protection sociale Maager Pierre 33857 solidarit sant et protection sociale Maujo sa du Gasset Joseph Hearl 33879 solidarit sant gt pro tection sociale 34028 int rieur ministr d l gu Miossec Charles 33942 conomie finances et budget 33943 int rieur N gt Noir Michel 34024 industrie et am nagement du territoire Nuagesser Roland 33930 postes t l communications et espace ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE P Pandraad Robert 33858 Premier ministre 33859 int rieur 33860 anciens combattants et victimes de guerre 33861 sffaires cirang res 33862 ducation nationale jeunesse et sports 3 Premier ministre 33992 Premier ministre 33993 int rieur 34013 affaires trang res Papon Monique Mme 34018 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs Pelchat Michel 33933 int rieur Philibert Jean Pierre 33963 solidarit sant et protection sociale 33978 handicap s et accident s de la vie Yann Mme 33868 Premier ministre 33874 agriculture et or t Piersa Louls 33971 famille Pr el Jean Luc 34001 solidarit sant et protection sociale Prertol Jean 34008 conomie finances et budget R Raoult Eric 33843
439. olaire 1989 1990 a concern environ 10 p 100 des l ves de cours moyen pendant cette ann e scolaire Cette op ra tion s est effectivement accompagn e d importantes mesures financi res puisque 30 MF et 100 MF ont respectivement t ins crits ce titre au budget 1989 et au budget 1990 pour l enseigne ment public ces cr dits s levant 3 5 MF et 9 MF pour l ensei gaement priv La participation financi re de l Etat est destin e assurer les frais aff rents la formation et la r mun ration des personnels de l ducation nationale engag s dans l exp rimenta tion Les d penses p dagogiques et la r mun ration des interve nants ext rieurs rel vent des collectivit s territoriales qui ont t volontaires pour apporter leur concours Les professeurs de langue 62 15 p 100 et les instituteurs 20 47 p 100 ont t nombreux se mobiliser pour participer au dispositif qu ils ont premem contribu mettre en uvre C est ainsi que 2 7 p 100 des cr dits affect s l exp rimentation ont t consacr s la r mun ration des personnels de l ducation natio nale La circulaire n 90 070 du 26 mars 1990 a pr cis les condi tions dans lesquelles devait tre poursuivie et d velopp e l exp rimentation L objectif est que au cours de la troisi me et derni re ann e exp rimentale 25 p 100 des l ves de cours moyen b n ficient d un enseignement de langue vivante tran re Dans cette persp
440. olitique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e En contrepartie de l autorisation d ouverture qui leur est donn e sous condition de respect de normes maximales de pollution les entreprises qui mettent en uvre un quipement de combustion tr s haute temp rature four de cimenterie torche plasma lit flui dis par exemple peuvent se voir imposer l obligation de dimen sionner leur quipement de telle sorte qu elles puissent proposer d liminer des d chets toxiques d autres entreprises de mani re com petible avec leurs processus industriels et les normes antipollution Cette mesure peut notamment tre envisag e en liaison avec une autorisation d ouverture ou d extension de carri re Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et que suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31981 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan
441. ombre d tudes ont t men es en mati re d clairage et de s curit L effet le plus favorable encore que difficilement mesurable est observ sur les auto routes urbaines et aux points singuliers teis que les changeurs Il n en reste pas moins que l clairage am liore fortement ie confort de conduite des usagers et correspond de leur part une demande forte La circulaire interminist rielle du 25 avril 1974 pr voyait d clairer les autoroutes dont le trafic tait sup rieur 50 000 v hicules jour ou compris entre 25 000 et 500000 v hi cules jour si les changeurs taient espac s de moins de S kilo m tres Depuis le r seau s est consid rablement accru et il faut am liorer son homog n it Cette homog n it constitue en effet un facteur important de s curit C est pourquoi l clairage d une section d autoroute doit faire l objet non seulement d une tude permettant d appr cier son impact sur la s curit mais galement d une tude comparative avec d autres am nagements qui pour un co t moindre permettraient une am lioration sur un beau coup plus grand kilom trage de r seau Ces actions devront tre homog nec sur l ensemble d un itin raire qu il s agisse des sec tions d autoroute ronc d es ou hors p age S agissant de l am lioration du confort de conduite de nuit il convient donc d exe miner galement les autres possibilit s techniques telles qu une am lioration de la luminosit
442. omme sinistr e et d envisager des aides pour ces agriculteurs soit aux replantations d asperges soit une reconversion dans le vin des sables par exemple ce qui n cessiterait l octroi de nouveaux droits de plantation Fruits et l gumes asperges Bouches du Rh ne a 27849 30 avril 1990 M L on Vachet appelle l attention de M ie ministre de i agricuiture et de ia for t sur la terrible catastrophe qui touche les producteurs d asperges de la zone des sables entre Artes et Les Saintes Maries de la Mer La r colte actuelle lorsqu elle peut avoir lieu est r alis e en pure perte le diam tre trop faible des turions entraine un prix de vente d ri soire qui ne couvre pas les frais de ramassage et de conditionne ment Plus grave encore les plantations seront vraisemblablement compromises car on trouve fr quemment des griffes dess ch es Cette calamit r sulte des circonstances climatiques exception nelles s cheresse persistante du printemps de l t et de l au tomne 1989 associ e des mois d octobre novembre et d cembre tr s doux absence de repos v g tatif hivernal Cette culture qui n cessite de lourds investissements dont les amortis sements et la rentabilit sont assur s pour six r coltes environ est la clef de vo te de l conomie agricole de la zone des sables commune des Saintes Maries de la Mer et d Arles Les asparagi culteurs fortement endett s avaient l imp rieux besoin d u
443. on immeubles 33928 1er octobre 1990 M Richar Cazensve attire l at tention de M le ministre d l gu aupr s da ministre d Etat ministre de l conomie des finances et du budget charg dun sur le grave pr judice qu un accroissement du poids de l imp t sur les plus values pour les r sidences secondaires occa sionnerait la profession des entrepreneurs de b timents et de travaux publics Cette snesure pourrait notamment se traduire par un abaissement de 5 3 33 p 160 de l abattenent annuel effectu sur les plus values Toute disposition de c gt type entrai nerait in vitablement une baisse de la construction neuve ct serait en contradiction avec les incitations l investissement locatif adopt es par la loi du finances 1990 L environnement conomique et international actuel peu favorable aux mises er chantier doit par ailleurs constituer un facteur dissuasif tout alourdissement de la fiscalit C est pourquoi ii lui demandc de bien vouloir renoncer au projet d accroissement du poids de l imp t sur les plus values pour les r sidences secondaires Plus vaiues imposition immeubles 33952 1 octobre 1990 M Jacques Go frain expose M le ministre d l gu aupr s du miaistre d Etat ministre de l conomie des finances et du charg u budget l m qui tude dont viennent de lui faire part les professionnels du b timent face au projet d accroissement du poids de l imp t sur les plus val
444. on n est pas sapie leur formation initiale Par contre leur entr e dans les I U T s av re impossible et leur admission dans les sec tions B T S s effectue des pourcentages symboliques Lors d une r union de chefs d tablissement Toulouse le 6 septembre dernier la re a t pos e M le recteur a r pondu qu il fallait d s l entr e dans ces sections de baccal ur ats profes sionnels d clarer aux l ves concern s que sauf de tr s rares exceptions toute poursuite d tudes leur serait interdite mais u au cours de leur carri re ils pourraient avoir acc s a forma tion continue La demande et la pression s av rant tr s forte ce palier de la scolarit il souhaite conna tre les mesures envisag es pour ces l ves ann e de mise niveau par exemple Enseignement sup rieur fonctionnement Nord Pas de Calais 33885 1er octobre 1990 M L once Deprez appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationaie de la jeunesse et des sparts sur les sept propositions des assises Universit 2000 de la r gion Nord Pas de Calais Il lui demande notamment de lui pr ciser la suite qu il envisage de r server la proposition tendant constituer dans chaque ta blissement des formations et quipes p dagogiques ouvertes sur le monde professionnel Enteignement sup rieur fonctionnement Nord Pas de Calais 33086 ler octobre 1990 M L enc
445. on de M le minisire de la s irdarit de ia sant et de la protection neciale sur le probl me des cotisations sociales des personnes aal apr s avolr pris leur retraite exercent une activit diff rente de la premi re Les cotisations appel es pour cette nouvelle acti vit le sont sur la base des revenus de l ann e pr c dente e sont payables d avance article D 612 2 Or les revenus du falt de la retraite sont inf rieurs ce qu iis taient Ne pourrait on d s lors appeler les cotisations ce qui serait logique comme pour un ut d activit ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 R ponse En ce qui concerne les cotisazions d assurance maladie le premier alin a de l article D 616 6 du code de la s curit sociale pr voit que les personnes oui commencent l exer cice d une activit professionnelle non salari e non agricole les assujettissant au r gime des travailleurs non salari s sont rede vables de la cotisation minimale pr vue dans ce r gime par l ar ticle D 612 5 dudit code Toutefois les modifications des condi tions d exercice de l activit professionnelle ne sont pas assimil es un d but d activit 1 en est de m me des reprises d activit intervenant dans l ann e au cours de laquelle les int ress s ont cess leur activit ou dans l ann e suivante En cons quence les travailleurs non salan s qui apr s avoir pris leur retraite exercent une autre activit soit d s l ann e au
446. on des pensions stable au long du temps fera partie des questions qui y seront examin es Dans cette attente le Gouver nement soucieux de conserver le pouvoir d achat des pensionn s et autres titulaires d avantages de s curit sociale a propos au Parlement de fixer la revalorisation de ces prestations selon l vo lution pr visible des prix Ainsi l article 14 de la loi n 90 86 du 23 janvier 1990 portant diverses dispositions relatives la s cu rit sociale et la sant a t il fix la revalorisation au 1 jan vier 1990 2 15 p 100 dont 0 9 p 100 de rattrapage au titre de 1989 et 1 3 p 100 au ler juillet 1990 Jo Les r flexions sur l avenir des retraites ont donn lieu en particulier aux tats g n raux de la s curit sociale l automne 1987 et se sont pour suivies dans le cadre de la pr paration du X Plan adopt le 10 juillet 1989 par le Parlement puis de ia mission de concerta tion confi e au professeur Dupeyroux Aucune d cision n a cependant encore t prise par le Gouvernement dans l attente du d bat parlementaire auquel il a t pr c demment fait allu sion Dans ce contexte l honorable parlementaire comprendra qu il est difficile de pr juger la nature exacte des mesures qui pourraient ult rieurement tre retenues leur champ d application et leur date d effet Elles seraient en tout tat de cause extr me ment progressives 40 L largissement dzs conditions d ouverture du droit
447. on sociale Gourmeion Joseph 23418 int rieur Gouze Habert 31502 int rieur Gouzes G rar 28685 agriculture et for t Gr zard L o 29704 int rieur 33000 solidarit sant et protec tion sociale Guichoa Luclen 22213 ducation nationale jeunesse et sports H Hage Georges 29849 ducation nationale jeunesse et sports Hermier Guy 30644 int rieur Houssin Plerre R my 22001 solidant sant et protection sociale Habert Elisabeth Mme 28004 solidarit sant et protection sociale 28180 solidarit sant et protection sociale 32265 du cation nationale jeunesse et sports 32269 ducation nationale jeunesse et sports 32274 ducation nationale jeunesse et sports 32276 ducation nationale jeunesse et sports 32845 solidarit sant et protection sociale Hyest Jean Jacques 30267 agriculture et for t Isaac Sibille Bernadette Mme 29420 so idarit sant et protection sociale istace G rard 30850 int rieur ministre d l gu 30851 int rieur 31561 solidarit sant et protection sociale J Jacquat Denis 30077 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 31731 ducation nationale jeunesse et sports Jacquemin Michel 17118 int rieur K Kergueris Aim 12137 int rieur Ke h Emile 27818 solidarit sant et protection sociale L Landrain Edoua
448. ons nr sentatives des autres professions de sant Caisses de s cur tC sociale partenaires sociaux industrie pharmaceztique pour d gager des solutions concr tes Assurance maladie maternit prestations frais m dicaux et chirurgicaux 22081 18 d cembre 1989 M Pierre R my Houssla attire l attention de M le miaistre de la solidarit de la saate et de la ioa sociale sur la n cessaire prise en charge 100 p 100 des A R C En effet pour le moment seules les per sonnes atteintes d un sida d velopp b n ficient des rembourse ments 100 100 Or l A R C repr sente m dicalement un pre mier stade de ia maladie et devrait ce titre b n ficier d une couverture identique Aussi il lui demande que les m dicaments dits de confort soient dans ce cadre rembours s 100 p 100 en appliquant l A R C ies mesures permises par le d cret d finis sant les vingt neuf malaGies prises en charge 100 p 100 R ponse Les uvoirs publics sont tr s attentifs l adapta tion des crit res m icaux justifiant l exon ration du ticket mod rateur l volution des properas th rapeutiques destin s aux malades attelnts du sida la suite des conclusions du groupe de travali r unl la demande du ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sous la pr sidence du professeur Jean Dormont sur la prise en charge et le traitement nr coce de l infection par le V 1 H il a t
449. ont conduire le cas ch ant modifier le rythme selon equel la r forme sera poursuivie et apporter les am nagements ventuellement n cessaires Ce nouveau mode de calcul des coti sations r pond la fois un souci de justice chacun cotisant dor navant en fonction de ses revenus ainsi qu un souci de tranparence puisque revenu gal l effort contributif des agri ue sera quivalent celui des autres cat gories profession nelles EE Lait et produits laitiers cessation d activit 24609 19 f vrier 1990 M Jean Louis Masson appelle l attention de M le ministre de l agricuiture et de ia for t sur la situation tout fait anormale que conna t un agriculteur du d partement de la Moselle qui a demand b n ficier de la prime d partementale pour cessation de production laiti re L in t ress qui cette aide a t accord e en octobre 1989 s est bien conform aux conditions d attribution et a proc d la vente de ses vaches laiti res Or les services de la pr fecture de la Moselle viennent de l informer de l annulation de la d cision d attribution de cette prime au motif que les cr dits taient puis s La direc tion d partementale de l agriculture et de la for t regrette l erreur qualifi e de malencontreuse qui a donn iieu cette situation et lui pr cise que les r f rences laiti res sont r attribu es sur son exploitation et qu elles peuvent faire l objet d u
450. ont pas tous t titularis s dans leu emploi comme le pr voyait la loi n 84 16 du II janvier 1984 quand bien m me ils remplissaient vien au del du n cessaire l ancien net requise cet effet 11 lui demande de lui faire conmga tre s il envisage de prendre des mesures pour mettre fin rapidement cette situation d injustice sociale contraire la l xislation en vigueur R ponse La politique d finie par l administration des po et t l communications en mati re de titularisation des auxilianes a t appliqu e conform ment aux dispositions de la loi n 84 16 du II janvier 1984 pr cis e par le d cret n 85 1158 du 30 octobre 1985 qui dispose que pour pouvoir tre titulans s dans les corps d agent de bureau ou d agent de service les auxi liaires g s de moins de 65 ans doivent remplir simultan ment les conditions suivantes appr ci es au 7 mai 1986 tre en fonction la date du 14 juin 1983 avoir t employ sans interruniion depuis cette date efleciuer en nermanence un service temps complet avoir accompli temps complet temps incomplet ou temps partiel depuis le 1 janvier 198 des services effectifs d une dur e au moins quivalente deux ans temps complet Ces dispositions ont t int gralement appliqu es de mani re uni forme tant en France m tropolitaine que dans les d partements d outre mer Il convient enfin de noter que le bilan de la titulari sation fait appa
451. ordonner l entretien et la res iauration des cours d eau priv s Il re oit cer effet les pouvoirs d intervention n cessaires lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverneinent entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32037 23 juillet 1990 M Michei Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et aaturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des les de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e x Une gestion conome des ressources en eau est assur e au niveau d partemental Les capiages d eau sont soumis autorisation donn e par le d partement Le d partement a comp tence pour mettre en place les p rim tres de protection des captages IT agit ce litre comme ma tre d ouvrage d l gu des communes ei des eta blissements publics de coop ration intercommunale 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services
452. orps dont il est lui m me issu et dont il a la responsabilit de la protection R porse L ancien ministre auquel fait allusion l honorable parlemerituire a effectivement tenu l occasion d interviews publi es dans la presse crite des propos manifestement excessifs que le garde des sceaux estime non fond s ainsi qu il l a d j d clar publiquement plusieurs reprises Il convient cependant d observer que ces propos taient ceux d un homme profond ment bless par la teneur du communiqu publi par ure juridiction qui commentan la d cision de non lieu qu elle venait de rendre pratique au emeurant inhabituelle le faisait d une fa on qui pouvait tre ag e incompl te et de nature sus citer des opinions particuli rement d favorables l encontre de l int ress Dans ces conuitions le garde des sceaux n estime pas opprrtun bien qu il sapprouve les propos tenus d engager des poursuites contre cet iaci ministre d autant que celui ci a ensuite tent de les att nuer ou de les rectifier lors de ses d cla rations publiques ult rieures Politiques commisnautaires entreprises 31943 23 juillet 1990 M Mici Colntat appelle l atten tion de M le garde des sceaux min st de In justice sur l application de la quatri me directive 7 660 CEE publi e au Journal officiel des communar i s le 14 ao t 1978 Ceti directive a pour but de coordonner les garanties qui sont exig es d
453. ositions pr vues par les textes notamment la loi d orientation du 30 juin 1975 en faveur des personnes handicap es Handicap s allocation compensatrice 34021 1er octobre 1990 M Henri Bayard appelle l atten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de ia soli darit de ia sant et de ia protection sociale charg des han dicap s et des accident s de ia vie sur les conditions d attribution de l allocation compensatrice pour tierce personne Seul un handicap adulte peut b n ficier de cette prestation alors que le p re ou la m re d un enfant handicap qui cesse son acti vit professionnelle pour prendre soin de son enfant ne per oit que l allocation d ducation sp ciale et son compl ment de lre cat gorie c est dire une somme repr sentant environ la moiti moins que l allocation compensatrice au taux de 80 p 100 il lui demande en cons quence afin que l effort de solidarit b n ficie galement aux enfants lourdement handicap s s il peut tre envisag le versement de l allocation compensatrice aux parents concern s Handicap s allocation compensatrice 34022 ler octobre 1990 M Rene Couanau appelle l atten tion de M ie secr taire d Etat aupr s da ministre de ia soii darit de ia sant et de ia protection sociale charg des han dicap s et des accident s de la vie sur la situation de parents qui cessent leur activit salari e pour s occuper de leur enfant ha
454. ou interd p temental par regroupement des D R A E des SRA E et des mrivens li s aux questions d environnement des D R IR des D D A gt des D D E et des D D A S S compte tenu des nouvelles comn ences d centralis es aux r gions et d par tements 11 lui demande de quelles tudes cette proposition fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31963 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappeile M le recr taire d Etut aupr s dn Premier mlaistre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a t tabli un rappert politique de l environnement d pos le 11 avril 1990 sur l2 burez de l Assembl e nationale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un observatoire national et permanent des donn es cologiques et co nomiques int ressant l eavironnenient est constitu au sein du minis t re de l environnement et du cadre de vie Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement ent
455. ouloir lui indiquer les actions men es par le Gouvernement fran ais pour r pondre aux attentes des producteurs de ma s Agroalimentaire ma s 32813 20 ao t 1990 M Bernard Lefranc attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la situa tion des producteurs de ma s fran ais et europ ens Le conf d ration europ enne des producteurs de ma s a d pos aupr s de la C E E une plainte anti subventions contre les importations am ricaines de corn gluten feed en Europe la C E P M regroupe aujourd hui les repr sentants des producteurs de ma s d Espagne de France de Gr ce d italie et du Portugal soit 94 5 p 100 de la production europ enne de ma s Cette plainte a t motiv e par le fait que le corn gluten feed am ricain est vendu d une mani re d loyale en Europe des prix concurrentiels aux U S A les producteurs de ma s b n ficient d aides diverses ayant pour effet de baisser le prix du march du ma s et des subventions sont accord es aux industries de l thanol et l thanol b n ficie d une exemption de taxe Par voie de cons quence les produc teurs de ma s ont vu leur prix ch er de 23 p 100 en sept ans Aujourd hui il devient urgent de voir aboutir cette plainte d au tant que les U S A ont propos de doubler les subventions la production de l thanoi qui passeraient de 500 millions de dollars 1 milliard de dollars par an il lui de
456. our viter le d part des l ves et terme la fermeture de leur cole Elle lui demande s il ne serait pas souhaitable d apporter des compensa tions financi res afin d encourager les petites communes rurales pratiquer les regroupements p dagogiques R ponse L article 23 de la loi n 83 663 du 22 juillet 1983 modifi e a fix le principe d une r partition intercommunale des charges de fonctionnement des coles publiques accueillant des enfants de plusieurs communes Le l gislateur a voulu concilier l int r t des communes la n cessit d offrir aux enfants des qui pements p dagogiques de qualit et de prendre en compte les difficult s de fa vie quotidienne de parents qui peuvent trouver avantage scolariser leurs enfants dans une autre commune que celle de leur r sidence compter de l ann e scolaire 1989 1990 est entr en application le r gime permanent de l article 23 qui a fait l objet d une circulaire conjointe du ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la Jeunesse et des sports et du secr taire d Etat charg des collectivit s territoriales en date du 25 ao t 1989 publi e au Journal officiel du 29 septembre 1989 ll faut souligner que la loi privil gie avant tout le libre accord entre les communes concern es sur les modalit s de r partition des charges li es la scolarisation d enfants dans la commune d accueil Dans le cadre d accords librement consentis les com mun
457. our permettre aux m res de famille d acqu rir des droits personnels pension de vieillesse C est ainsi que toute femme ayant ou ayant eu la qualit d assur e titre obligatoire ou volontaire peut b n ficier d une majoration de deux ans d assurance par enfant lev sa Charge ou celle de son conjoint pendant au moins neuf ans avant qu il atteigne son seizi me anniversaire D autre part les personnes isol es ou pour un couple l un ou l autre de ses membres n exer ant pas d activit professionnelle ayant soit un enfant de moins de trois ans soit trois enfants b n ficiaires de l altocation au jeune enfant du compl ment familial ou de l allocation pur e d ducation et dont les ressources sont inf rieurcs un certain plafond sont affili es obligatoirement l as surance vieillesse la charge exclusive des organismes d biteurs des prestations familiales A cet gard les perspectives finan ci res du r gime g n ral de la s cuite sociale rendent n cessaire la recherche d une plus grande contributivit de ce r gime et ne permettent pas d am liorer encore ces avantages gratuits ll est toutefois rappel que le dispositif l gislatif et r glementaire exis tant permet d ores et d j aux m res de famille d adh rer volon tairement au r gime g n ral d assurance vieillesse moyennant le versement leur charge de cotisations sur la base du S M I C ant L 742 1 2 et D 742 3 du code de la s curi
458. our but d apporter une aide temporaire aux personnes veuves divorc es s par es de droit ou de fait abandonn es ou c libataires qui se trouvent seules pour assumer la charge d au moins un enfant L allocaiaire doit disposer de ressources inf rieures un revenu familial minimum variable selon le nombre d enfants charge En appl cation des articles L 514 1 R 524 3 et R 524 4 du code de la s cunt sociale l allocation de parent isol est constitu e de la diff rence entre l ensemble des ressources effectivement per ues par l allocataire et le montant du revenu minimum garanti La r glementation limite les ressources prises en compte Au nombre de celles ci ne figure pas l aide personnalis e au logement aide non per ue par l int ress mais directement vers e au bailleur Les familles isol es aid es par l aide personnalis e au logement b n ficient ainsi d un avantage suppl mentaire non ouvert il est vrai aux b n ficiaires de l allocation de logement familiale L ex tension de l aide personnalis e au logement tout le parc locatif social devrait permettre une r duction importante de cette diff renciation dans ces droits r sultant des m canismes ridiques propres chacune de ces aides Logement allocations 4 logement 32059 30 juillet 1990 M Andr Durome a attire l atten tion de M le ministre de la soiidarit de la sant et de la protection sociale sur lc cas particulier des
459. our compenser les pr judices subis nt les guerres par rappor leurs coll gues n ayant pas anne aux m mes obligations li lui demande en cons i ASSEMBL E NATIONALE e neam amag pap GE 4547 quence queile suite 1l entend donner ce dossier pour que soit roit r paera r gi le contentieux existant en ce qui concerne le tion des A C V G i Pensions militaires d invalidit et des victimes de guerre r glementation 33896 1e octobre 1950 M Edouard Landrain interroge M le secr taire d Etat charge des anciens combattants et des victimes de guerre sur ia diff rence qui existe pour les ayants droit dans le remboursement des cures thermales En effet les persionn s qui demandent une cure thermale par l interm diaire du service de sant des arm es b n ficient d une indemnit for faitaire de 4 540 fruncs en 1990 et n ont pas faire l avance des frais de soins En revanche ceux qui en font la demande par la voie des directions interd partemeuntales des anciens combattants et victimes de guerre sont sans doute assimil s des assur s sociaux et sont rembours s sur la base d un forfait de 908 francs pour 199 et doivent en plus faire l avance des frais de seins Cela est d autant plus tonnant que ioutes ces cures sant prises en charge au titre de l article L 115 du code des pensions mili taires d invalidit 1l aimerait connaitre son avis sur ce probl me BUDGET Plis values impositi
460. ourrait accepter que la Commission se r fugiant ventuellement derri re des arguments de nature uniquement juri dique refuse de traiter le ford du probl me savoir le pr judice caus aux producteurs de la C E E par les subventions am n caines Le cycle des n gociaaons d Uruguay dans le cadre du G A T T offre la C E E la possibilit de r soudre l ensemble du probl me des produits de substitution des c r ales corn gluten feed inclus et avec une ch ance proche d cembre 1990 D s 1986 la C E E a clairement affich son objectif de dr brage du soutien et de la protection Derni rement elle a diffus au G A T T un document pr cisant que du point de vue commu nautaire Cet exercice de r quilibrage devait prioritairement concerner les c r ales d une part et les produits de substitution des c r ales d autre part Le Conseil affaires g n rales de juin 1990 a confirm cette approche Le Gouvemement fran ais restera donc particuli rement attentif ce que la Commission prenne ses responsabilit s sur le dossier corn gluten feed et traite de la question du r quilibrage objectif fondamental de la C E E dans le cycle des n gociations d Uruguay dans les termes qui lui ont t fix s par le Conseil des Communaut s euro p ennes S curit sociale r gime de rattachement 30267 18 juin 1990 M Jean Jacques Hyest appelle l at tention de M ie ministre de l agriculture et de la for
461. par l admi nistration du travail de 1980 1988 quel que soit le motif invoqu s tablit comme suit les dann es concernant l ann e 1989 n tant pas quant elles connues ce jour Licenciement des repr sentants du perscnnel de 1980 1988 D CISIONS d euiorisstion prises per la ministre charg du travel D CISIONS d autorissilon prises par l i cteur du travail ANN ES Le rapprochement dans le cadre d une ann e civile des d ci sions prises par les inspecieurs du travail de celles arr t es par le ministre doit tre op r avec prudence En effet lorsque la d ci sion de l inspecteur du travail fait OU d un recours hi rar chique un certain d calage existe dans le temps entre la date laquelle celui ci a pris sa d cision et celle laquelle le ministre se prononce Par ailleurs les d cisions prises par les inspecteurs du travail et celles arr t es par le ministre ne sauraient tre cumul es au cours d une m me ann e civile dans la mesure o sur recours hi rarchique le ministre peut tre amen confirmer une d cision d autorisation de licenciement ou annuler une d ci sion d autorisation prise par l inspecteur du travail ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE Re ns 4 RECTIFICATIFS i Au Journal officiel Assembi e nationale questions crites n 35 A N Q du 3 septembre 1990 R PONSES DES MINISTRES Page 4219 2e colonne 35 ligne de la r ponse
462. par le Centre national de la fonction 4612 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 publique territoriale 3 quatre semaines de stage dans des administrations ext rieures recherch es par le stagiaire do six mois de stage pratique au sein de la collectivit o l at tach stagiaire a t recrut mais dans des services autres que celui o 1l est affect Sur cette p riode de diz huit mois l at tach stagiaire est donc hors de son service pendant douze mois et demi auxquels il faut rajouter un mois et demi de cong s l gaux Cette r glementation pose un probl me d organisation pour la collectivit territoriale employeur en raison des fr quentes absences de l agent stagiaire d autant plus que les dates ur les dix huit semaines de stage Angers sont impos es par a direction de l cole sans que la collectivit territoriale employeur puisse intervenir De ce fait on risque terme de s orienter vers des difficult s de recrutement En effet en raison de cette contrainte les collectivit s territoriales h sitent recruter de tels agents et les mutations ne suffiront pas pourvoir tous les postes Par ailleurs la r glementation issue des deux d crets impose deux conditions pour que l agent soit titulaire d une part quil ait donn satisfaction la collectivit territoriale employeur et d autre part qu il ait satisfait toutes les obligations l gales en mati re de stage Or il est souvent diff
463. pective de d veloppement du sport fran ais notamment amateur qui est la base du renouvel lement du mouvement sportif et donc du rayonnement interna tiona de la France en ce domaine particuli rement ducatif Assurance maladie maternit g n ralit s cotisations 33919 ler octobre 1990 La loi n 85 30 du 9 janvier 1985 J O du 10 janvier 1985 a dans son article 59 pr cis les r gles ui sont applicables en mati re de protection socialz dans le cas de pluriactivit professionnelle Ce texte a t vot dans le cadre du d veloppement et de la protection de la montagne M Francis Delattre attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection soclale sur un pro bl me de m me nature qui existe hors cadre du texte pr cit pour tous ceux qui exercent simultan ment une activit profes sionnelle non salari e et une activit professionnelle salari e La loi stipule dans son article 59 paragraphe 4 alin a 4 que les cotisations dues sont DA E co de telle sorte que les assur s ne subissent pas du fait de leur pluriactivit une charge de coti sations plus importante que s ils exer aient une seule activit Or il appara t actuellement et d une fa on g n rale que les tra vailleurs ind pendants qui sont galement salari s ont l obliga tion aupr s de chacune des caisses auxquelles ils sont affili s titre obligatoire caisse vieillesse caisse
464. pes Maritimes ne figure pas dans la liste des 44 d partements 33898 le octobre 1990 M Edouard Landraln interroge ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 990 consid r s comme sinistr s par la s cheresse tablie par une cir culaire du 4 septembre 1990 11 estime que le manque notoire d eau et les tragiques incendies qui en ont r sult auraient d entrainer l inscription de ce d partement sur ladite liste Mutualit sociale agricole retraites 33945 1er octobre 1990 M L on Vachet appelle l atten tion de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la modicit de la bonification pour enfanis per ue par les titulaires d une retraite forfaitaire agricole La proportionnalit du dispo sitif appliqu e au montant de la retraite pnncipale en lesp ce d un niveau tr s modique mais non au nombre d enfants puis qu il n est pas pr vu de majoration particuli re au del de trois enfants l se les assur s ayant une famille tr s nombreuse S il est vrai que le Gouvernement para t s tre engag dans une politique de revalorisation des ressources des exploitants agricoles retrait s et tend favoriser la constitution de droits propres pour les femmes d agriculteurs travaillant sur l exploitation les mesures ainsi prises sont sans incidence sur les prestations des agricul teurs ayant derni re eux une longue vie de labeur et de tr s lourdes charges d enfants C est pourquoi il lui demande s il entend p
465. poli tique engag e d s ce moment tendant r duire progressivement les disparit s existant entre les acad mies et mieux assurer l ac cueil des l ves en diminuant notamment les effectirs par classe dans les lyc es Dans le second degr c esi la cr ation en nombre important d emplois 5200 qui a permis par une distribution favorisant les acad mies d ficitaires de commencer r sorber les retards Cet imp ratif d quit et de solidarit condition d une plus grande efficacit de otre syst me ducatif a ainsi t inscrit dans la loi d orientation adopt e par le Parlement dont le rap port annex nonce l un des objectifs r duire les in galit s d ordre g ographique par une galisation de l offre de formation sur tout le territoire national Les pr visions de rentr e dans les tablissements du second degr ont confirm malgr un certain infl chissement la tendance observ e les ann es pr c dentes forte augmentation dans les lyc es et les lyc es professionnels et diminution dans les coll ges Les d cisions d attribution d em plois ont t arr t es avec le souci de r quilibrer progressive ment les situations acad miques en tenant compte de l volution de la population scolaire et du poids des mesures cat gorielles diminution des horaires de service des P E G C et des P L P compens e en fait par des heures suppl mentaires Dans laca d mie C Orl ans Tours la
466. pour l environnement Environnement politique et r glementation 32018 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques techrologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le d partement tablit un inventaire d partemental du patrimoine rural non prot g sur la base de re historiques ethnogra phiques artistiques ou d appartenance la culture scientifique et industrielle Cet inventaire Fi l objet de documents comportant des obligations et servitudes opposables aux tiers d s lors qu il est approuv par la commission d partementale de l environnement et apr s notification aux propri taires et collectivit s Les l ments du patrimoine rural inscrits l inventaire peuvent faire l objet d une proc dure d expropriation pour utilit publique au profit d une collec tivit locale ou de l Etat suite un constat de carence d entretien La collectivit r cipiendaire se voit conf rer l obligation de gestion des biens en Il lui demande de quelles tudes cette pro position a fait l objet de la part de se
467. pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32031 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32032 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32033 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32034 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32038 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32036 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32037 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32038 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32039 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32040 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32041 environne ment et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs 32042 environnement et pr vention des risques techno logiques et naturels majeurs 32043 environnement et pr vention des risques technologiques et naturels majeurs Barrot Jacques 23876 travail emploi et formation profession nelle 29190 solidarit sant et protection sociale Baudis Dominique 23992 int rieur Bayard Henri 31833 solidarit sant et protection sociale 32853 d fense 32855 justice 32856 int rieur
468. professionnelle concernant les param dicaux Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 34031 ler octobre 1990 M Michel Terrot attire latten tion de Mi le ministre de In solidarit de la sant et de la protection soclale sur un certain nombre de pr occupations Den l gitimes au demeurant exprim es par les masseurs in sith rapeutes r ducateurs S agissant en premier lieu du pro bl me tarifaire il rappelle que d s le 22 janvier 1990 la caisse d assurance maladie s tait prononc e en faveur d une r valua tion de la lettre clef A M M conform ment la demande pr sent e par les masseurs kin sith rapeutes Il souhaiterait par cons quent connaltre l tat d avancement de ce dossier et la posi tion officielle du Gouvernement concernant cette question Par ailleurs le rapport de la commission permanente de la nomencla ture des actes professionnels concernant la refonte du titre XIV relatif la r adaptation ayant t transmis son d partement ASSEMBL E NATIONALE 4565 minist riel au mois de septembre 1989 il le remercie de bien vouloir lui faire connaitre son opinion sur ce projet de r forme Enfin au niveau des r gles professionneiles il lui demande de lui r ciser quelle session parlementaire sera pr sent e le projet de juridiction professionnelle concernant les professions param di cales TRANSPORTS ROUTIERS ET FLUVIAUX Politiques communautaires transports rout
469. q Ade a a a e D n a e a a a A a e a e ae a a Gar a a na aaa o a e a e ASSEMBLEE NATIONALE 4991 fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31955 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui 2 t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a t tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril i990 sur ie bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont lunc est ainsi r dig e D s 1991 les cr dits budg taires affect s aux actuels services du secr tariat d Etat l environnement et des services qui lui seront rattach s sont doubl s afin notamment de contribuer l quipe ment du territoire en installations de traitement des pollutions et des d chets A l ch nce de 1999 l objectif est de consacrer l environ nement I p 00 du budget de l Etat il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de a part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment e
470. que sa question crite n 22192 en date du 25 d cembre 1989 n a toujours pas obtenu de r ponse 1 souhaiterait donc qu il lui indique les raisons de ce retard et s il pense qu un tel retard est A A A E G a e e A o o compatible avec les recommaudations manant du Pr sident de la R publique lui m me quant la nature des rapports entre le Gouvernement et le Parlement R ponse La r ponse la question crite n 22192 est parue au Journal officiel n 33 Assembl e nationale D bats parlemen tairer questions du 20 ao t 1990 page 3928 Enseignement priv personnel 33097 27 ao t 1990 M Yves Coussain demande M le ministre d Etat ministre de j ducatioa natiosaie de ia jeu nesse ct des sports dans quelle mesure un candidat un concours externe de recrutement de l enseignement du second degr et de l enseignement technique priv peut opter apr s pro clamation des r sultats pour exercer dans un tablissement priv sous contrat d association avec l accord du chef d tablissement Enseignement priv personnel 33282 3 septembre 1990 M G rard L oaard s tonne aupr s de M ie ministre d Etat ministre de j ducatios natio naie de la jeunesse et des sports que les lyc es professionnels et technologiques priv s sous contrat d association ne puissent recruter des professeurs que comme ma tres auxiliaires li souhai terait savoir quels motifs emp chent de modifier l
471. que importante Retraites fonctionnaires civils et militaires politique l gard des retrait s 33950 1er octobre 1990 M Jean Charles Cavaill expose M le ministre de la d fense que les repr sentants de la f d ration nationale des retrait s de la gendarmerie r unis en congr s du 16 au 20 mai 1990 ont exprim le souhait que s en age la concertation sur les points suivants le premier porte sur acc l ration de la prise en compte de l indemnit sp ciale de police dans le calcul de la pension de retraite des militaires de la gendarmerie et de leurs ayants droit de 1 33 2 p 100 sans cri t re d ge par ailleurs les associations de retrait s de la gendar merie entendent tre consult es dans la concertation sur le devenir de l arme ses personnels et ses familles en outre les congressistes s l vent avec force contre la notion qualifiant d exceptionnel tous niveaux de r mun ration nouvelle et demande que soit inclus dans le solde sous forme d indice comp tant pour la retraite le principal de c qui fait la diff rence avec le traitement des autres fonctionnaires Ils rappellent gale ment les engagements pris l gard des veuves quant la liqui dation des droits pension de r version sur la base du taux de 66 p 100 Enfin ils requi rent que tous les militaires de la gen darmerie puissent tre plac s sur un plan d galit par rapport au monde du travail au sujet de
472. que m dicale se sont donc cr es pour assurer un diagnostic pr cis plus de 4000 maladies g vi tiques r pertori es ce jour proposer un conseil aux families et r aliser un ventuei diagnostic pr natal Ces consultations se sont organis es selon les opportunit s l initiative de pionniers issus principalement de la p diatrie mais aussi d autres sp cialit s Elles ont rendu de remarquables ser vices dans des conditions difficiles et ont permis la g n tique m dicale fran aise d tre consid r e comme un do naine d excel lence de notre m decine au plan international Aujourd hui la dentande des patients conna t une auementation importante les techniques cliniques et bioicgiques je multiplient la routine prend souvent le pas sur la recherc la dimension pid miolo gique s affirme avec ses cons quences au plan de l conomie et la sant publique les probl mes thiques apparaissent devant des situations in dites Or face cette volution le syst me mis en place il y a trente ans avec des moyens de fortune n a prati quement pas boug interdisant d sormais aux g n ticiens d as sumer correctement leurs t ches Contrairement ce qui se passe dans de tr s nornbreux pays la g n tique m dicale n est toujours pas reconnue en France comme une sp cialit part enti re et de ce fait n a pas d existence l gaie 11 n y a pas de formation pro fessionnelle d finie pas d installation possibl
473. que ou du chercheur 11 s agit d une mesure d quit et de solidarit par rapport aux travailleurs percevant une r mu n ration du m me montant quel que soit le secteur d activit dans lequel ils exercent De plus l assujettissement de ces sommes des cotisations sociales permet ceux qui les re oivent de b n ficier d une protection sociale tant en maladie qu en vieillesse Retraites r gimes autonomes et sp ciaux collectivit s locales calcul des pensions 23992 12 f vrier 1990 M Dominique Baudis attire l at tention de M ie ministre de lint rleur sur les dispositions de l article 125 111 de la loi de finances n 83 1179 du 29 d cembre 1983 permettant aux sapeurs pompiers profes sionnels de b n ficier d une bonification du temps de service accompli pour la liquidation de leur pension de retraitc Faute de pouvoir trouver dans les d bats parleinentaires des indications suffisantes sur une disposition introduite par la voie d un amen dement d pos au S nat il lui demande des pr cisions sur la contrepartie financi re impos e aux int ress s sous la forme d une retenue suppl mentaire pr lev e sur leur r mun ration R ponse L article 125 111 de la loi de finances pour 1984 a accord aux sapeurs pompiers professionnels des bonifications our la liquidation de leur pension de retraite En contrepartie a loi pr cise que les agents seraient assujettis une cotisation suppl mentaire pour couvri
474. que pr sentant un bilan tr s contrast compte tenu des conditions m t orologiques locales la qualit de l air dans les villes n a pas subi cette volu tion d favorable En moyenne les teneurs en dioxyde de soufre de 1989 sont du m me niveau que celles de 1988 et restent inf ricures d environ 50 p 100 par rapport celles de 1980 Ces r sultats pour 1989 confirment l absolue n cessit de poursuivre la lutte contre la pollution soufr e ce quoi s emploie le Gou vernement travers notamment 1 la reconduction et l extension de la taxe parafiscale sur la pollution atmosph rique dont le principal objet est l aide aux op rations de r duction de la pollu tion atmosph rique d cret et arr t du 11 mai 1990 7 la pr sentation aux Etats membres de la Communaut europ enne d un m morandum sur la r duction des rejets soufr s de la cha ne p troli re qui vise mettre en uvre une politique com munautaire de r duction des missions de dioxyde de soufre por tant simultan ment sur l ensemble de la cha ne p troli re mis sions des raffineries missions des installations de combustion contenu en soufre des produits p troliers afin de concilier une meilleure protection de l environnement et une galit de concur rence entre les industries europ ennes du raffinage La pollution par les oxydes d azote a galement volu de fa on d favorable Les missions des installations de combustion ont
475. quer les diverses possibilit s d indemnisation au titre du ch mage pour les personnels agents des collectivit s locales n ayant pas lt otis aux Assedic Qwestion transmise M le ministre du travail de l emploi et de la formation profession nelle R ponse L ordonnance n 84 198 du 21 mars 1984 relative au revenu de remplacement des travailleurs involontairement priv s d emploi et portant modification du code du travail a notamment r form le r gime d indemnisation du ch mage des anciens agents du secteur public L article L 351 12 du code du travail fixe les r gles d sormais applicables en la mati re Conform ment aux dispositions de cet article les agents du sec teur public notamment ceux des co lectivit s locales auxquels ne 4638 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 s interesse l honorable parlementaire per oivent en cas de perte demandeur sans empioi depuis plus d un an d exonerer l em d emploi les m mes prestations que les salari s du secteur priv et selon les m mes modalit s d s lors qu ils remplissent les conditions fix es par les accords des partenaires sociaux en mati re d assurance ch mage La charge et la gestion de cetie indemnisation sont assur es par les employeurs Toutefois ceux ci peuvent conclure une convention de gestion avec ies institu tions gestionnaires du r gime d assurance ou dans certains cas adh rer au r gime d assurance ch mage En ce qui concerne l
476. quinze ans au plus des concessions trentenaires des concessions cinquantenaires des concessions perp tuelles L honorable parlementaire pr cise dans sa ques tion que des communes ont pu depuis la suppression de cette cat gorie de concessions privative accorder sans aucun fonde ment juridique des concessions centenaires 11 est envisageable pour r gulariser ces situations de faire application de l article L 361 16 du code des communes qui pr cise que les conces sions sont convertibles en concession de nlus longue dur e Dans ce cas il est d falqu du prix de concession une somme gale la valeur que repr sente la concession convertie compte tenu du temps restant encore courir jusqu son expiration En l oc currence il serait envisageable pour la commune de cr er dans son cimeti re ia cat gorie des concessions perp tuelles Dans la mesure o elle ne le souhaiterait pas a contrario et sous r serve de l appr ciation souveraine des tribunaux comp tents elle devrait rembourser aux familles concern es la diff rence de prix entre la concession centenaire et la concession rencuveiable de moins longue dur e appartenant l une des cat gories de l ar ticle L 361 13 pr cit qui leur sera accord e en d finitive R gions comit s conomiques et sociaux 28866 21 mai 1990 M Jean Fraa ois Mancel appelle l attention ds M le ministre de l iat rieur sur le futur projet de loi relatif a
477. r interroge M ie ministre d Etat ministre de i ducation nationale de ia jeu nesse et des sports pour savoir si les lyc es professionnels et technologiques priv s sous contrat d association peuvent utiliser les quivalents emplois nouveaux cr s par la loi de finances bien entendu en compatibilit avec le sch ma r gional des forma tions et Di r pondre un besoin scolaire reconnu selon leur propre plan de d veloppement et non en parall lisme ou autre proportionnalit stricts avec l enseignement public qui a ses propres perspectives de d velcs ment de couverture du terri toire et d utilisation des personnels existants Enseignement priv financement 33288 3 septembre 1990 M G rzrd L onard interroge M ie miaistre d Etat ministre de l ducation nationaie de la jeunesse et des sports pour savoir si les lyc es professionnels et technolgiques priv s sous contrat d association peuvent utiliser les quivalents emplois nouveaux cr s par la loi de finarices bien entendu en comntabilit avec le sch ma r gional des forma tions et pour r pondi un besoin scolaire reconnu selon leur propre plan de d veloppement et non en parall lisme ou autre proportionnalit stricts avec l enseignement public qui a ses propres perspective de d veloppement de couverture du terri toire et d utilisation des personnels existants Ld R ponse Les moyens nouveaux ouverts chaque ann e dans la ioi de f
478. r l vements obligatoires 33911 ler octobre 1990 M L once Deprez ayant lu avec int r t le document de son minist re intitul Le Budget de l Etat Quelques chiffres 1990 demande M ie ministre d Etat mlaistre de l conomie des finances et da budget s il ne dispose pas de statistiques plus r centes relatives la part des contributions obiigatoires dans le P 1 B En effet dans le tableau figurant dans le document pr cit ne figurent que des estimations pour 1988 l lui demande donc s il dispose et peut publier en nse cette question crite un tat des contributions obliga toires dans le P I B pour les principaux pays occidentaux de 1984 1989 Enregistrement et timbre contribution additionnelle la taxe sur les conventions d assurance 33931 lee octobre 1990 M Michel Terrot attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de j conomie des finances et du budget sur les l gitimes pr occupations des entreprises du second uvre du b timent l gard des termes de l instruction fiscale du 6 juillet 1990 d finissant principalement l assiette de contribution de la taxe de 0 40 p 100 sur le chiffre d affaires telle qu elle a t institu e par l article 44 de la loi du 30 d cembre 1989 Tenant compte du fait que l article mentionn sembiait suffisamment explicite en pr cisant que cette taxation devait porter sur les travaux du b timent que les assujettis doi vent
479. r unissant l ge de soixante ans d une rt 64 trimestres acquis et d autre part 108 irimestres quiva ents correspondant des activit s salari es effectu es au Maroc dans les ann es 1947 1957 se voit appliquer faute de pouvoir d bourser les 92 000 francs n cessaires au rachat de cotisations une liquidation d office de sa pension sur la base de 64 tri mestres et voit son allocation Assedic interrompue C est pour quoi il lui demande si la C N A V TS fait une bonne applica tion de la loi en liquidant d autorit sa pension soixante ans sur la base des 64 trimestres acquis ce qui interdit le cumul avec une allocation d Assedic et le met dans une situation financi re tr s d licate Ne serait il pas opportun dans ce cas d assouplir ce dispositif afin de prendre en compie le cas des personnes comme celles ci qui n ont pas les moyens de proc der au rachat de cotisations des trimestres quivalents K ponse L article L 351 19 du code du travail exclut effecti vement du b n fice des allocations de ch mage les personnes g es de soixante ans o plus qui justifient de 150 trimestres valid s au titre de l assurance vieillesse tous r gimes de retraite de base confondus Ces trimestres correspondent des p riodes d activit sslari e ayant donn lieu cotisations d assurance vieil lesse des p riodes d inactivn qui sont assimil es celles ci maladie ch mage ew er des p riodes reconnues
480. r des importa tions provenant d Etats membres comme l Italie o la r cipro cit n existe pas encore R ponse Ainsi que le fait observer l honorabie parlementaire la Cour de justice des communaut s europ ennes a jug que les dispositions de la 4 directive 78 660 C E E du 25 juillet 1978 relative aux comptes annuels de certaines formes de soci t s doivent tre mises en vigueur et appliqu es m me si d autres Etats membres n ont pas encore adopt les mesures d ex cution de cette directive C J C E 11 janvier 1990 Blanguernon Cette d cision est l application au cas d esp ce d une jurisprudence constante selon laquelle un Etat membre ne saurait justifier l inex cution du trait par la circonstance que d autres Etats membres manqueraient galement leurs obligations La France ne saurait donc sans s exposer une action en manquement articles 169 et 170 du trait suspendre l application des disposi tions dont il s agit 11 convient cet gard d observer que l Etat membre voqu par l honcrable parlementaire a t condamn sur cette base par la Cour de justice C J C E du 20 mars 1986 ne 17 85 Enfin il ne semble pas que la situation juridique cr e par s incompl te mise en uvre de la 4e directive soit susceptible de cr er en pratique de v ritables distorsions de concurrence dans un secteur particulier Pornographie politique et r glementation 32855 20 ao t 1990 M Henri Bay
481. r en partie cette d pense Cette retenue suppl mentaire a t fix e 2 p 100 par le d cret no 86 169 du 5 f vrier 1986 Elle a t compens e en partie l poque par une augmentation de 1 p 100 de l indemnit de feu s bien que les int ress s n ont eu supporter qu une retenue suppl mentaire de p 100 sur leur traitement en contrepartie de l am lioration substantielle du montant de leur retraite rm S curit civile sapeurs pompiers 24010 12 f vrier 1990 M Xavier Dugoin appelle l atten tion de M le ministre de l int ieur sur la situation des sous officiers de sapeurs pompiers professionnels Les sergents et sergents chefs qui assument des fonctions de responsabilit dans les domaines op rationnels et administratifs sont class s dans la m me chelle indiciaire que les caporaux chefs En effet les caporaux chefs apr s quinze ans d anciennet parviennent l in dice major 349 alors que les sous officiers apr s r ussite d un examen et qui assument des fonctions de chef d qui voire de chef de centre avec la m me anciennet parvienner l in dice major 358 pour un adjudant ou 390 pour un adjudant chef Cette situation semble sssentiellement due au fait que les grilles indiciaires de sapeurs pompiers professionnels ont t calqu es sur celles des personnels communaux alors qu ils ont un statut particulier et des missions sp cifiques Aussi compte tenu de ce qui pr
482. r octobre 1990 M Robert Pandraud appelle l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation natiouaie de ia jeunesse et des sports sur la r mun ration des personnels enseignants effectuant des heures suppl mentaires ler octobre 1990 F pour le compte et la demande des collectivit s territoriales 1l s interroge sur la l galit des circulaires fixant un taux d indem nit s alors que ces prestations sont assur es par les collectivit s territoriales En outre les circulaires dans leur r daction trans forment les taux plafonds en taux obligatoires 11 estime qu il serait bezucoup plus simple d indexer le montant de ces indem nit s sur l volution des indices de la fonction publique Enseignement l ves 33863 1 octobre 1990 M Zric Raoult attire l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de IR jeunesse et des sur le probl me de la lourdeur des cartables de nombreux coll giens En effet des parents d l ves se sont r cemment mus du poids des cahiers et des livres demand s par les enseignants que leurs enfants avajent apporter chaque jour dans leur tablissement scolaire notamment en r gion parisienne Ce sont souvent des cartables de plus de six sept kilogrammes que des coll giens de treize ans doivent supporter durant leur trajet scolaire Ces poids tr s importants entralnent souvent un exc s de fatigue pour les enfants Il lui demande donc
483. ra tre un taux de titularisation dans les D O M nettement sup neur au taux national soit une moyenne de 54p 100 dans les D O M pour une moyenne nationale de 23 p 100 Pour sa part la R union a b n fici d un taux de titula nsation de 44 p 109 S agissant de France T l com le pian de titularisation labor en 1985 portait sur vingt deux agents Seules deux personnes recnit es en qualit de veuve d agent respective ment les 10 octobre 1983 et 16 juiilet 1984 n ont pu tre titu a ris ss car elles ne remplissaient pas les conditions n cessaires Ces deux personnes sont toujours en fonction 4822 RECHERCHE ET TECHNOLOGIE Racisme antis mutisme 29836 I juin 1990 M Alain Devaquet attire l attention de M le ministre de la recherche et de la technglogle sur une enqu te faite le 9 mai dernier conjointement par l universit Ren Descartes U F R de math matiques statistique et informa tique l universit Paris Sorbonne institut des sciences humaines appliqu es et le C N RS Cette enqu te men e sur la voie publique A Paris comportait un questionnaire de 76 questions La question n 60 quant elle tait constitu e de plusieurs phrases pour lesquelles 11 s agissait de dire si l on tait d accord ou non Parmi ces phrases Les juifs ont trop de pouvoir en france Cette formulation conme le contenu de l enqu te dont d atlieurs l abjectif n a pas t pr cis aux personnes interrog es
484. ra l acc s 2500 ma tres contrac tuels assimil s pour leur r mun ration aux ma tres auxiliaires de troisi me et de quatri me cat gories justifiant d une anciennet de quinze ans de services effectifs d enseignement une chelle de r mun ration correspondant celle des professeurs de lyc e professionnel du premier grade sur v rification de leur qualifica tion p dagogique Cette mesure sera tal e sur cinq ans comstier de la rentr e de 1990 Elle concerne toutes les disci plines et permettra donc la promotion de maltres contractuels des tablissements d enseignement technique priv s Enseignement priv personnel 32110 30 juillet 1990 M Jean Desaniis demande M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationaie de ia jeu messe et des sports quelles dispositions il compte prendre pour permettre la proinotion des maitres de l enseignement technique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent exclus de tout plan de revalorisa tion de la fonction enseignante Enseignement priv personnel 32276 30 juillet 1996 Mme Elisabeth Hubert demande M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia Jeunesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour permettre la promotion des maitres de l enseignement tech nique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblen
485. ravaux de recherches ou d analyses qui ne peuvent tre trait s dans les d lais impartis par le r glement de l Assembl e nationale Les d partements du Eas Rhin du Haut Rhin et de la Moselle sont soumis une r glementation particuli re dans le domaine de la taxe d apprentissage Le montant d par les assujettis de ces trois d partements est gal 0 1 p 100 des salaires d clar s au lieu d2 0 5 p 100 pour les autres d partements m tropolitains et son affectation est limit e aux seules d penses d apprentissage frac tion du salaire de l apprenti gale Il p 100 du S M I C sub ventions vers es aux centres de formation d apprentis En outre depuis le ler janvier 1983 ils sont soumis au versement au Fonds national interconsulaire de compensation gal 7 p 100 du mon tant de la taxe brute due et port 9 p 100 depuis le ler jan viet 1988 Cette r glementation sp cifique constitue un des fac teurs expliquant la situaiion particuii re des tablissements d enseignement et notamment des IL U T de cette r gion au regard de cette taxe Toutefois le principe de la libre affectation permet ces tablissements comme ceux du reste de la France de percevoir des fonds au titre de la taxe d apprentissage de la part d employeurs impos s raison de 0 5 p 100 et implant s dans les autres d partements m tropolitains En tout tat de cause le minist re de l ducation nationale ne saurait adopter d
486. rd 31525 int rieur ministre d l gu Lapaire Jean Pierre 5272 agriculture et for t E Leurain Jean 25564 commerce et artisanat Leculr Marie France Mme 31407 solidarit sant et protection sociale 31509 int rieur Lefraac Bernard 32813 agriculture et for t Legras Philippe 31426 agriculture et for t 31568 solidarit sant et protection sociale L oaard G rard 24192 int rieur ministre d l gu 30314 d fense 33280 ducation nationale jeunesse et sports 33282 ducation nationale jeunesse et sports 33283 ducation natio nale jeunesse et sports 33288 ducation ngtionale jeunesse et sports 33287 ducation nationale jeunesse et sports s 4570 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 L oatieff Alexandre 30206 ducation nationale jeunesse et sports L otard Fran ois 29835 d partements et territoires d outre mer 30438 ducation nationale jeunesse et sports 31409 solidarit sant et protection sociale Leperca Araaud 31041 solidarit sant et protection sociale 31066 agriculture et for t Ligot Maurice 31826 solidarit sant et protection sociale Lombard Paul 33004 solidarit sant et protection sociale Luppi Jean Pierre 31421 int rieur ministre d l gu M Madella Alala 32046 int rieur Ma relle Bernard 32986 solidarit sant et protection sociale Mah a
487. re charg de l enviroanemeat et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabll un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 1 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont lune est ainsi r dig e Le d partement d finit une charte de qualit du mat riel d affi chage et de publicit qui puisse s imposer aux r glements de publi cit et d enseignes hors agglom rations 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32828 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr tuire d Etat aapr s da Premier miaistre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t Les questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 ler octobre 1990 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Pian il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le tt avril 1990 sur te
488. re l attention de M le ministre de la defense sur la proposition de loi adopt e au S nat le 12 juin dernier et transmise sour le num ro 747 l Assembl e nationale tendant tendre aux terri toires d outre mer et la collectivit territoriale de Mayotte les dispositions de l article 9 de la loi n 86 1020 du 9 septembre 1986 relative la lutte contre le terrorisme et compl t e par la loi no 86 1322 du 30 d cembre 1986 modifiant le e de proc dure p nale Il lui demande de bien vouloir lui pr ciser si cette propo sition de loi sera pr sent e et discut e l Assembl e nationale au cours de cette session d automne Question transmise M le ministre des d partements et territoires d outre mer R ponse Le code p nal et le code de proc dure p nale ont t tendus aux territoires d outre mer avec les adaptations n cessaires par la loi n 83 520 du 27 juin 1983 et la loi no 83 1114 du 22 d cembre 1983 Le pnncipe avait alors t retenu d tendre toutes les lois ult rieures qui modifieraient ces codes apr s int gration des r gles particuli res n cessit es par la sp cificit des territoires Ainsi dans le souci d assurer les m mes garanties aux justiciables sur l ensemble du territoire national un avant projet de loi est en cours d laboration visant tendre aux territoires d outre mer les r formes de droit p nal et de proc dure ist intervenues en m tropole depuis 1984 parmi ces tex
489. rendre pour permettre la promotion des maitres de l enseignement tech nique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent exclus de tout plan de reva lorisatinn de la fonction enseignante Enseignement priv personnel LA 33280 3 septembre 1990 M G rard L onard demande M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour permettre la promotion des ma tres de l enseignement tech nique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent excius de tout plan de reva lorisation de la fonction enseignante R ponse Dans le cadre du plan de revalorisation de la fonc tion enseignante en faveur des ma tres des tablisseinents d ensei gnement priv s sous contrat un d cret en cours de pr paration doit prochsinement permettre la mise en uvre de modalit s exceptionnelles d acc s aux chelles de r mun ration de certifi et de professeur de lyc e professionnel du deuxi me grade en faveur des maitres contractuels et agr s des tablissements d en seignement priv s sous contrat assimil s pour leur r tribution aux adjoints d enseignement charg s d enseignement aux charg s d enseignement et aux charg s d enseignement d ducation phy sique et sportive Cette mesure qui concernera un nombre non n gligeable de maitres de ces ca
490. rendre en leur faveur des dispositions telles que l attn bution une majoration forfaitaire par enfant Elevage bovins 33981 ier octobre 1990 M Jean Charles Cavaill attire l attention de M le ministre de l agriculture et de ia for t sur le fait que la vaccination antiaphteuse des bovins p nalise lour dement les exportations de g nisses vers les pays trangers dont un certain nombre d entre eux vont peui tre devenir importa teurs Or il lui rappelle que la commission europ enne s est pro noncte en faveur d une suppression de cette vaccination If lui demande en cons quence s il entend prendre des dispositions en ce sens dans ie seul int r t de conforter notre march Bois et for ts incendies Provence Alpes C te d Azur 33979 ler octobre 1990 Une ann e de plus la for t m di terran enne a connu de graves incendies qui ont d figur des milliers d hectares et des sites aussi prestigieux que les calanques La lutte contre ces incendies passe par une n cessaire pr vention et la r introduction d activit s agropastorales dars le milieu naturel m diterran en Depuis quelques ann es est tudi e la possibilit de r introduire dans la for t m diterran enne l levage des caprins Les r sultats de cette tude sont consign s dans le rapport de Marie Claude Leouffre 11 montre que favoriser les turages des caprins dans les massifs forestiers pr sente trois int r ts majeurs entre
491. res de m tiers d Alsace et de Moselle Elle se poursuit avec la r novation du C A P et l exp rimentation d une formation de niveau IV niveau baccalaur at dans Je cadre de la chambre de m tiers de Rennes Enfin s agissant de la fac turation des proth ses l arr t n 83 50 A du 3 octobre 1983 pr voit que tout service dont le montant T V A incluse d passe 100 Francs doit faire l objet avant paiement de la d livrance d une note comportant au minimum outre la date le nom et l adresse de l entreprise le d compte d taill en quantit et le prix des prestations fournies et des produits vendus accessoire ment Les services de sant ne sont pas exclus de cette r glemen tation CULTURE COMMUNICATION GRANDS TRAVAUX ET 3BICENTENAIRE Communes patrimoine 31350 9 juillet 1990 M L once Deprez derrande M ie ministre de la cuiture de la communication des grands tra vaux ei du Bicentenaire de lui pr ciser la suite qu il envisage de r server la proposition de l association des maires de France tendant la mise en place d un plan global d aide aux lus locaux dans leur lutte pour la protection du patnmoine public et priv la pr servation de l environnement et de la qualit de vie des habitants face l ampleur croissante du ph nom ne des taggers dans les villes de France l importance la gravit et le co t des d pr dations caus es qui tournent au pur vandalisme R ponse Le
492. res effectu es savoir les disques de roulage ne sont d tenus par l entreprise qu au plus un an apr s leur utilisation En cons quence il lui demande s il envisage que les disques soient conserv s cinq ans et non plus un an par l entreprise les bo tes noires d horodatage soient v rifi es fr queinment pour pr venir les risques e fraude par l employeur R ponse Le salari qui constate que son bulletin de paie comporte des mentions inexactes en mati re d heures suppl men taires a le choix entre plusieurs possibilit s d poser une plairte aupr s de l inspecteur du travail qui proc dera une enqu te et fera effectuer les ventuelles rectifications n cessaires demander son employeur copie des disques le concemant en application de l article 14 paragraphe 2 du r glement C E_E n 2821 85 du 20 d cembre 1985 et pr senter directement sa r clamation ou la faire pr senter par les d l gu s du personnel s il en existe dans l entreprise conform ment l article L 422 1 du code du travail Cette disposition constitue un moyen ais de preuve apporter en Cas de conflit sur la dur e du travail ou la r mun ration qui lui est attach e C est pourquoi il ne semble pas souhaitable de modifier l obligation faite aux entreprises de conserver les disques penses le d lai d un an d autant que cette disposition r sulte d un texte europ en le r glement n 3831 85 cit ci dessus et qe correspond
493. rincipe de neutralit commerciale des tablissements d enseigne ment public IlI lui cite notamment le cas du lyc e Romain Rolland Sens Yonne o deux jeux de maillots aux couleurs du Cr dit agricole auraient selon la presse locale t remis le lundi 19 mars 1990 aux volleyeurs cadets et aux handballeurs junioris du lyc e dans le cadre des activit s d enseignement de l tablissement Il lui demande de lui confirmer si les nombreuses circulaires interdisant aux maitres ou aux l ves de servir directe ment ou indirectement la publicit commerciale notamment novembre 1936 16 avril 1952 17 d cembre 1956 8 novembre 1963 3 juillet 1967 4 mars 1970 sont toujours en vigueur et en cas de r ponse positive cette question de lui pr ciser les mesures qu il entend prendre pour faire respecter le principe de la eh commerciale des tablissements d enseignement public R ponse Plusieurs circulaires interdisent les pratiques com merciales dans les tablissements Moai gnement public Elles visent en particulier les actions de publicit commerciale s adres sant aux enseignants et aux l ves Il s agit notamment des circu ler octobre 1990 laires du 8 novembre 1963 du 3 juillet 1967 et du 4 mars 1970 En effet le principe de protection du milieu scolaire l gard des pratiques commerciales et publicitaires d coule directement du principe g n ral de neutralit de l enseignement public qui
494. rmanente du d roulement de carri re et des hautes responsabilit s Abstraction faite de ses deux jours de repos hebdomadaire le gendarme du fait de sa disponibilit est sous une astreinte que ne connaissent as les militaires des autres armes L astreinte de ia permanence domicile n tant ni r mun r e ni compens e le gendarme se voit class dans le rang des smicards En ce qui concerne le d roulement de sa carri re on constate que 60 p 100 des sous officiers de gendarmerie font leur carri re avec le m me grade de gendarme Par ailleurs l avancement est beaucoup plus lent que dans les autres armes Quant sa responsabilit elle n a aucune comparaison avec celle des sous officiers des autres armes Agent ou officier de police judiciaire le gendarme notamment celui servant la bsigade agit souvent seul Au service de la loi donc de tous les minist res ii doit souvent faire preuve d initiative et prose des d cisions parfois tr s rapides sans se r f rer pr ala lement une autorit sup rieure Il s agit donc d un m tier sp cifique qui exige un traitement sp cifique et la cr ation d une grille indiciaire ia gendarmerie devient donc n cessaire Aussi lui demande t il de bien vouloir lui pr ciser envisage d en gager des n gociations et ce dans quels d lais Gendarmerie personnel 32767 20 zo t 1990 M Michel Voisin attire l attention de M le ministre de la d fense sur les personne
495. rofesseur m rite que pour la dur e des fonctions ainsi exerc es n est pas envisag e actuelle ment ler octobre 1990 ASSEMBL E NATIONALE 4587 Enseignement sup rieur personnel maitres de conf rences 32471 6 ao t 1990 M Dominique Gambier attire l atten tion de M ie miniatre d Etat minisire de l ducation natio nale de ia jeunesse et des sports sur les conditions de titulari sation dans le corps des maltres de conf rences de l enseignement sup rieur lui demande quelle condition l an ciennet dans un corps de la fonction publique de cat gorie A peut tre prise en compte iors de l int gration d un fonctionnaire dans le corps de ma tres de conf rences R ponse Les modalit s de classement dans le corps des maltres de conf rences sont fix es par le d cret n 85 465 du 26 avril 1985 Conform ment aux dispositions de ce texte les personnes qui avant leur nomination dans le corps des maitres de conf rences avaient la qualit de fonctionnaire sont reclass es l chelon de la deuxi me classe du corps de maltres de conf rences comportant un indice gal ou imm diatement sup rieur celui qu elles d tenaient dans leur corps d origine Si l application de ces dispositions conduit classer un fonction naire un chelon inf rieur celui qu il d tenait dans son corps d origine il conserve le b n fice titre personnel de son indice ant rieur jusqu au jour o
496. rofessionnel sous forme de Cr ance Les dif f rentes lois d orientation de l agriculture ont pr vu des avan tages tr s similaires pour les agricultrices sous forme de salaire diff r 11 convient de remarquer que les conjoints de m decins n ont pas t mentionn s dans cet aiticle sachant que ces conjoints collaborateurs de m decins les C C M ne peuvent ni b n ficier d un statut de conjoint sssoci ni succ der aux m decins 1 lui demande si une Cr ance successorale ne pourrait leur tre accord e ce qui constituerait un juste d dommagement pour les services que ces femmes rendent en secondant leur mari Professions m dicales m decins 32217 30 juillet 1990 M Ren Besumoat appelle l aten ion de M le miaistre de la solidarit de lia sant ei e la sociale sur l article 14 de la loi n 89 1008 qui pr voit des avantages en faveur des conjoints survivants qui ont particip durant dix ans l activit du professionnel sous forme de cr ance Les diff rentes lois d orientation de l agnculture ont dde des avantages tr s similaires pour les agnicultrices sous orme de salaire diff r 11 s tonne du fait que les conjoints de m decins n aient t mentionn s dans cet article alors que ces conjoints collaborateurs dz m decins C C M ne peu vent ni succ der aux praticiens ni vendre le cabinet ni avoir acc s au statut de conjoint associ Il lui demande si le fait de leur accorder une
497. ront authentifi s et publi s qu la fin du mois de d cembre prochain C est donc seulement apr s cette date qu il pourra lui tre r pondu au fond Parlement lections l gislatives 33259 3 septembre 1990 M Jean Louls Masson attire l attention de M le ministre te l int rieur sur le fait que la loi d habilitation modifiant le mode de scrutin pour les iections l gislatives fait r f rence aux cantons de plus de 40 000 habitants Il souhaiterait qu il lui indique d une part s il ne pense pas qu il serait souhaitable de scinder ces cantons afin de r tablir un qui libre d mographique dans la repr sentation d partementale il souhaiterait d autre part ge lui indique la liste des cantons de plus de 40 000 habitants ainsi que la population correspondante au recensement de 1990 R ponse Il est rappel l auteur de la question que le titre Il de la loi n 85 825 du 11 juillet 1986 a t abrog par l article 5 de la loi n 86 1197 du 24 novembre 1986 En cons uence la r f rence aux cantons dont la population est sup rieure 40 000 habitants n a plus aucune valeur l gale pour ce qui est des modalit s de d limitation des circonscriptions pr vues par les articles L 124 et L 125 du code lectoral Elle ne saurait donc justifier qu un traitement particulier so t r serv aux cantons dont la population d passe ce seuil La liste des cantons de plus de 40 000 habitants au recensement g n ral de
498. rraient tre mises en place pour pallier de tels inconv nients Taxis politique et r glementation 23943 1er octobre 1999 M Charles Miossec appelle l at tention de M le ministre de l int rieur sur les conclusions de la r tlexionn men e au niveau interminist riel et consacr e la modernisation de l industrie du taxi dont i avait fait tat dans sa r ponse la question crite n 8608 parue au Journal officiel Assembl e nationale d bats parlementaires Questions du 20 mars 1989 Il lui demande au vu de l tude consacr e aux cons quences de l ouverture du march unique CHAR sur cette profession quelles dispositions entend prendre le Gouverne ment pour unifier terme le double r gime institu par les articles 6 et 7 du d cret no 73 225 du 2 mars 1973 relatif l ex ploitation des taxis et des voitures de remise Parlement d put s et s nateurs 33990 1er octobre 1990 M Jean Yves Cozan attire l at tention de M le ministre de l int rieur sur la situation des lus titulaires de plusieurs mandats 11 lui demande de bien vouloir lui pr ciser le nombre de parlementaires ayant un mandat de conseiller E y ou de conseiller g n ra et de maire des villes de 5 000 30 000 habitants D corations ordre national du M rite 33993 1er octobre 1990 M Robert Pan raud attire l at tention de M le miaistre de l int rieur sur le faible nombre de policiers d cor s de l ordre
499. rs textes l extension par voie r glementaire est d une mise en uvre d licate elle l est d autant plus si l on consid re les sp cificit s locales qui doivent tre respect es dans l exercice d une mission aussi fondamentale que la formation En cons quence et pour surmonter cette difficult i a t sugg r au directeur d parte mental de la jeunesse et des sports responsable de la mise en place des formations dans le secteur de comp tence du secr ta nat d Etat de recueillir l aval de l assembl e et du gouvernement territorial pour cr er une formation au B E AT E P en emprun tant la voie contractuelle Le moyen d une convention pass e avec les autorit s territoriales a d ailleurs d j t utilis pour r soudre des cas analogues Le texte pourrait reprendre la totalit du dispositif m tropolitain dont la mise en uvre sur le territoire pourrait relever des agents du secr tanat d Etat mis la disposi tion du gouvernement de la Polyn sie fran aise Une telle solu tion tout en apportant la formation des garanties de qualit et de niveau comparables celles du B E A T E P m tropolitain ne saurait toutefois conf rer aux candidats ayant subi avec succ s les preuves de validation la possession d un dipl me d Etat valable sur l ensemble du territoire fran ais Enseignement rythmes et vacances scolaires 31231 9 juillet 1990 M Jean Luc Reitzer attire l atten tion de M le miaistr
500. rs et aux pupilles de la nation i Enseignement sup rieur uvres universitaires 28047 7 mai 1990 M Albert Facoa attire l attention de M le ministre d Etat ministre de i lt ducation mationale de ia Jeunesse et des sports sur les revendications exprim es par la f d ration des associations g n rales d tudiants de France concernant la situation actuelle des restaurants universitaires qui se d grade de jour en jour En cons quence il lui demande ce que son minist re envisage en la mati re afin d viter moyen terme la fermeture d finitive de certains de ces restaurants R ponse Actuellement l un des objectifs prioritaires de l Etat dans le domaine des uvres universitaires est le d veloppement de la restauration en quantit et en qualit Des efforts impor tants oni d j t accomplis notamment par le recours de ncu 4580 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 velles techniques de fab ication une am lioration du cadre d ac cueil une adaptation des structures de distribution Durant l ann e universitaire 1988 1989 environ 2 200 places suppl men taires nouvelles ont t ouvertes Au titre des mesures d urgence d cid es en janvier 1990 un cr dit de 45 MF va permettre d of frir 6 500 places suppl mentaires la rentr e 1990 soit en une seule ann e la somme des investissements consentis dans ce sec teur d activit s pendant la derni re d cennie Au titre du budget 1
501. rs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serves lle conditions de ressources la famille ne touche qu une seule A P JE Ainsi une famille de jumeaux perd 20 376 00 frarcs une famille de tripl s 40 752 06 francs une famille d quadrupl s 61 128 06 francs une famille de quintupl s 81 50400 francs une famille de sex tupl s 101 880 00 francs sur ces deux ans bar me au ler jan vier 1990 De plus l allocation parentale d ducation n est pas cumulable avec l A PJ E La famille doit choisir et per oit dans tous les cas la m me somme qu un famille naissance unique On ne tient pas compte du noribre des enfants lever alors que ja charge relative par enfant pour ces familles est g n rale ment plus importante M Alain Richard attend de Mme le secr taire d Etat qu elle d finisse les orientations de sa politique ce sujet Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32519 6 ao t 1990 Mme Christiane Mora attire l atten tion de Mme le secr taire d Etat aupr s du ministre de ia solidarit de ia sant et de la protection soclaie charg de la famille sur les lacunes concernant la perception d l allocation pour jeune enfant A PJ E et l allocation parentale d ducation A P E En effet cette A P J E n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du premier anaiverszire des enfants leurs trois ans Pendant ces jeux
502. rvice v t rinaire d hygi ne alimentaire de la direciion de la qualit au minist re de l agricusture apporte la preuve que les services v t rinaires d partementaux ne croient pas toujours n cessaire ou opportun de faire respecter la r glementation Seule vne application gale ei simultan e put permettre le fonctionnement r gulier du march et une authen ler octobre 1990 tique concurrence entre les abattoirs qu ils soient publics o pnv s et il est paradoxal que ce gui est pr n officiellement ne s applique pas dans la r alit Doit on faire l hypoth se qu ii s agit seulement de favoriser tel abattoir au d triment d un autre par exemple celui de Marseille au d triment de celui d Au bagne ou qu il s agit de favoriser indirectement les abattoirs de Bretagne les plus gros fournisseurs de viande porcine de France au d triment de ceux du Sud Est rendant vains les efforts de certaines Collectivit s locales comme celle d Aubagne qui a aid la r ouverture des abattoirs et la cr ation de plusieurs dizaines d emplois demande quelles mesures il compte prendre pour que cessent ces discriminations en la mati re Agriculture aides et pr ts Haute Savoie 34002 i octobre 1990 A l appel de trois organisations agricoles professionnelles repr sentatives de son d partement M Cis Birraux attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la situation du financement d
503. s Jacques 32348 int rieur ministre d l gu Mancel Jean Fran ois 28866 int rieur Mens Thlerry 20544 travail emploi et formation profession nelle Marcus Claude G rard 32408 sociale Mas Roger 30852 int rieur ministre d l gu Masson Jena Louis 13756 int rieur 18791 ducation nationale jeunesse et sports 24609 agricuiture et for t 28178 solidarit sant et protection sociale 28791 solidarit sant et protection sociale 30677 ducation nationale jeunesse et sports 30678 ducation nationale jeunesse et sports 31357 int rieur 32381 ducation nationale jeunesse et sports 32665 ducation natio nale jeunesse et sports 33174 int rieur 33175 int rieur 33476 int rieur 33177 int rieur 33253 int rieur 33259 int rieur Mattel Jean Fran ois 33003 solidarit sant et protection sociale Maajo sa du Gasset Joseph Hesri 29774 int rieur 32657 trans ports routiers et fluviaux Mazeaud Pierre 29900 int rieur M halguerle Pierre 19727 d partements et territoires d outre mer Mestre Philippe 31524 int rieur ministre d l gu M tais Pierre 32349 int rieur ministre d l gu Micaux Plerre 29950 d fense Migaud Didier 32575 int rieur ministre d l gu Millet Gilbert 28370 agriculture et for t Miossec Charles 24880 solidarit sant et protection sociale Moaj
504. s en fonction de l incidence des mesures pr vues par le protocoie d accord du 9 f vrier 1990 en faveur des attach s d ad ministration et des corps assimil s Se a a a e a D O M T O M Polyn sie enseignement sup rieur 30206 18 juin 1990 M Alexandre L ontieff demande M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la et des sports dans quel sens il compte orienter le d veloppement des formations de 3e cycle au sein de l Universit ASSEMBL E NATIONALE 4581 fran aise du Pacifique Il lui demande plus pr cis ment s il entend tudier comme c est d j le cas pour le centre de Noum a la possibilit d ouvnr prochainement au c2ntre de Papeete d autres formations de 3 cycle et notamment des D E A ou D E SsS en droit R ponse L ann e 1991 sera celle d une remise plat com pl te des D E A et verra donc une grande campagne d habilita tion de D E A Une circulaire Ges services comp tents du minis t re de l ducation nationale direction de la recherche et des tudes doctorales pr cisera les conditions de mise en place de cette campagne de 1991 d s le mois d octobre 1990 L universit du Pacifique et notamment le centre de Papecte pourra alors proposer des projets de nouveaux D E A qui seront examin s par les groupes d experts comp tents correspondants Enseignement priv personnel 30244 18 juin 1990 M Philippe Auberger appelle l atten tion de M le
505. s lorsque les tablissements priv s sont les seuls fournir un enseignement sp cialis que l cole publique ne dispense pas ou lorsque les parents se sont tourn s vers le secteur priv faute de place dans l enseignement public Une telle in galit de traite ment est contraire au pr ambule de la Constitution du 27 octobre 1946 qui dispose que la nation garantit l gal acc s d2 l enfant et de l adulte l instruction L article ler de la loi n 82 1153 du 30 d cembre 1982 d orientation sur les transports int rieurs semble aussi condamner cette discrimination en pr ci sant que les bescins des usagers sont satisfaits par la mise en uvre des dispositions permettant de rendre effectif le droit qu tout usager de se d placer et la libert d en choisir les moyens La circulaire du 10 mai 1984 relative au transfert de comp tences en mati re de transports scolaires a aussi rappel que les auto rit s b n ficiaires du transfert de comp tences pourront d cider du taux de participation des familles sans que puissent tre trait s diff remment les l ves de l enseignement public et ceux de l enseignement priv sous contrat Cette interpr tation n a toutefois pas t celle du Conseil d Etat dans une affaire r cente C E 14 janvier 1987 D partement du Pas de Calais 11 lui demande donc quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour assurer la parit entre le public et le priv conform ment a
506. s questions un d bat parlementaire Retraites g n ralit s calcul des pensions 31711 23 juillet 1990 M Micheil Barnier appelle l atten tion de M iz ministre de la solidarit de la sant et de ia protection sociale sur le souhait des anciens combattants d Afrique de Nord demandeurs d emploi en fin de droits ou penaltini 60 p 106 et plus de pouvoir b n ficier du d part a retraite anticip e l ge de cirquante cinq ans Cette mesure a re u sous diverses formes le soutien d une tr s large majorit des parlementaires fran ais compte tenu de sa l gitimit sociale il lui demande de lui indiquer les intentions du Gouvernement dans ce domaine R ponse Depuis le 1 avril 1983 les salari s du r gime g n ral et du r gime des assurances sociales agricoles ont la pos sibilit s ils totalisent trente sept ans et demi d assurance et de p riodes reconnues quivalentes tous r gimes de base confondus de b n ficier de la pension vieillesse du taux plein de 50 p 100 d s leur soixanti me anniversaire La situation financi re difficile laquelle doivent faire f ce nos r gimes de retraite ne permet pas d abaisser encore cet ge au profit de cat gones particuli res aussi dignes d int r t soient elles Au demeurant l abaissement de l ge de la retraite cinquante cinq ans au profit des anciens combattants d Afrique du Nord rompra it l galit entre g n ra tions du feu pulsq
507. s cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31960 23 juillet 1990 M Michel Bernier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement ct de la pr vention des risques technologiques et maturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur lc bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont lune est ainsi r dig e La d l gation la quaiit de la vie est transform e en d l gation la vie associative aux relations avec les collectivit s locales et la communication Cette d l gation g re un fonds de soutien sp cifique aux associations il lui demande de quelles tudes cette proposi tion a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dan le cadre de son futur plan national pour l environnement Environsiement politique et r glementation 31961 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s d
508. s compl mentaires 33908 1er octobre 1990 M L once Deprez demande M le ministre de l agriculture et de ia for t de lui pr ciser l tat actuel de publication des d crets d application ce la loi dr 30 d cembre 1988 relative au r gime de retraite compl mentaire des agriculteurs donc pr s de deux ans apr s sa promulgation Agricuiture politique agricole 33909 1er octobre 1990 M L once Deprez appelle lat tention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur l application de la loi n 88 1202 du 30 d cembre 1988 relative l adaptation de l exploitation agricole son environnement co nomique et social il semblerait que trois d crets seulement sur les douze initialement pr vus ont t publi s le d cret relatif au repos hebdomadaire en agriculture celai concernant la fixation du prix des fermages et celui pris pour l application de Tar ticie 1038 du code rural rendant applicables au r gime des assu rances sociales agricoles certaines dispositions du codes de la s curit sociale Ii lui demande donc de lui pr ciser l tat actuel de pr paration et de publication des neuf suires d crets de cette loi promulgu e depuis pr s de deux ans Risques mat riels s cheresse Alpes Maritimes 33932 1e octobre 1990 M Charles Ehrmass demande au M le misistre de l agriculture et de la for t de bien vou loir lui pr ciser les raisons pour lesquelles le d partement des Al
509. s de t4 p 100 Sans m connaitre le d but d effort fait depuis quelques ann es il n en reste pas moins que trop de commissariats du d partement n ont pas les effectifs n cessaires pour assurer convenablement leur mission de s curit a fortiori de nr vention et d ilotage D autant que sur les effectifs budg taires annonc s d j aotoirement insuffisants beaucoun de postes ne sont pas remplis le d partement tant peu demand et des mutations pour d autres r gions accept es Si l on ajoute cela l organisation des rotations les temps de r cup ration l gitimes les absences pour maladies il n est pas rare que sur un commissanat ayant assurer sa mission sur une population d une quarantaine de mil liers d habitants dont les effectifs budg taires sont de l ordre de quarante deux quarante cinq le nombre r el des effectifs ne soit que de trente cinq dont fr quemment de nombreux stagiaires manquant par nature d exp rience 11 n est pas rare que la nuit les effectifs soient r duits quatre deux au commissariat deux le cas ch ant en patrouille dans un v hicule ce qui est notoire ment insuffisant pour la s curit m me des agents comme des affaires r centes l ont prouv 1 s ajoute cela que les mat riels sont souvent obsol tes et que certains inspecteurs par conscience professionnelle tournent avec leur v hicule personnel n ayant plus de voiture celle ci restant en r paration de longs
510. s de travail concomittantes 11 lui demande le nombre d anciens agents de la S N C F concern s par ces mesures et le montant des sommes retenues pour l ann e 1989 Logement allocations de logement 33935 ler octobre 1990 M Michel Barnier appelle l at tention de M le miuistre de l quipement du logement des transports et de la mer sur le souhait exprim par l association d partementale des insuffisants r naux de voir relev le plafond de l allocation de logement caract re social Les insuffisants r naux atteints d une infirmit entralnant une incapacit nente ou au moins gale 80 p 100 poss dent la carte d invali dit et se trouvent compte tenu de leur handicap dans l impossi bilit reconnue par la Cotorep de travailler Les plus d munis au m me titre que les handicap s sont en droit de percevoir des allocations or il s av re que ces allocations sont tr s insuffi santes allocation adultes handicap s A cet au ler juillet 1989 le plafond de loyer retenu par les caisses d allocations familiales concernant l allocation de logement n tait que de 1053 francs pour une personne seule en zone Ill En cons quence il lui demande quelles dispositions le Gouvernement compte prendre afin de rem dier cette situation T V A champ d application 33936 1c octobre 1990 M Michel Barnier attire l atten tion de M le miuistre de f quipement du t des transports et de
511. s document sociaux sans que la r gle de r ciprocit soit toujours respect e Cet arr t peut tre gravement pr judiciable aux int r ts de l conomie fran aise il suffit de prendre l exemple de l industrie des chaussures dessus cuir Dans ce secteur le taux de couverture de la pro duction fran aise est pass de 61 p 100 en 1985 33 p 100 en 1989 ce qui montre la fragilit de nos usines face la concur rence trang re Les difficul s viennent des chaussures italiennes qui repr sentent en gros la moiti des importations et le tiers de la consommation fran aise Or l Italie n applique pas la qua tri me directive et en obligeant les industriels publier leurs comptes annuels et documents de gestion on cr e une distursion de concurrence qui risque de faire dispara tre le secteur des Chaussures dessus cuir pourtant si indispensable l conomie fran aise En cons quence il lui demande si le Gouvernement fran ais l intention de saisir la Commission des communaut s d un recours en manquement d Etat l encontre de ceux qui depuis 1978 n ont pas encore introduit dans leur droit interne les dispositions de la quatri me directive ll lui demande galement s il ne lui para t pas opportun dans l int r t de l conomie fran aise et dans le respect des r gles d une concurrence harmo nieuse de suspendre les poursuites engag es par les parquets lorsqu il s agit de secteurs industriels domin s pa
512. s du 11 juillet 1979 or ils ne peuvent les conna tre par suite d ab sence de publication Pourtant la Convention europ enne des droits de l homme et la jurisprudence aff rente l imposent il souhaite que cet avis soit publi l instar de tous les exemples similaires dans les autres minist res d autant plus que M Mar ceau Long pr sident du Conseil d Etat a crit aux int ress s qu il ne s y opposait nullement mais que cette d cision apparte nait au Gouvernement Conf rences et conventions internationales sommet franco africain de La Baule 33944 1 octobre 1990 M Robert Pandrar deraande M le Premier miaistre de bien vouloir lui faire conna tre le co t minist re par minist re du sommet franco africain de La Baule En effet il semble que dans sa r ponse au s nateur Josselin de Rohan Journal officiel du 2 septembre le ministre d Etat ministre des affaires trang res n ait pas tenu compte des d penses de s curit et autres imput es sur les budgets d autres d partements minist riels dont int rieur d fense etc Am nagement du territoire politique et r glementation Ile de France 33992 1e octobre 1990 M Robert Pandraud demande M ie Premier miaistre ia compatibilit entre son langage affir mant la priorit affirm e en direction de l Est parisien et la pr sentation par son Gouvernement d un vaste programme d exten sion du quartier de La D fense AFFAIR
513. s en application des d crets nos 89 921 du 22 d cembre 1989 et 90 534 du 29 juin 1990 aurait certes pour cops quenge de majorer le muc tant de l allocation suppl mertaire du F N S mais aussi de dimi nuer due concurrence le nontart diff rentiel de l allocation aux adultes handicap s sans au un gain financier pour les han dicap s Dans l tat actuel de ses informations le ministre n envi sage pas de modifier en ce sens l r glementation du F N S Retraites r gimes autonomes et sp ciaux pro essions lib rales calcul des pensions 31293 9 juiliet 1990 M Alain Brune attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection soclale sur i n cessit d approuver la modification des statuts du r gime avantage social vieillesse vot e le 19 octobre 1986 par le conseil d administration de la caisse autonome de retraite des m decins fran ais qui assimile des ann es d exercice et de coti sations les ann es durant lesquelles le m decin conventiorn a t reconnu en tat d incapacit temporaire au titre du r gime d assutance invalidit d c s Actuellement les m decins conven tionn s qui sont en arr t de travail total temporaire pour raisons de sant sont priv s des points de retraite du r gime avantage socia vieillesse alors qu ils devraient continue en b n ficier comme leurs confr res reconnus invalides titre d finitif 11 lui demande quell
514. s fassent en tout tat de cause l objet d un d dommagement Question transmise M le ministre de l int rieur R ponse Il est n cessaire de rappeler que selon l article ler de la loi du 13 juillet 1982 seuls sont consid r s comme les effets des catastrophes naturelles les dommages mat nels directs ayant eu pour cause d terminante l intensit anormale d un agent naturel lorsque les mesures habituelles prendre pour pr venir ces dommages n ont pu emp cher leur survenonce ou n ont pu tre prises Par cons quent pour que le sinistre soit couvert au titre de la garantie catastrophes naturelles il importe que le ph nom ne naturel en soit la cause d terminante d o la recherche ventuelle des responsabilit s et qu il pr sente effectivement un caract re anormal A l appui d une demande de constatation de l tat de catastrophe naturelle formul e par le maire d une commune sinistr e la suite de mouvements de ter rain il est dorc n cessaire de produire une tude des sols qui peut tre r alis e soit par le bureau des recherches g ologiques et mini res B R G M soit par le centre d tudes techniques de l quipement C E T E de la r gion soit encore par un g otech mcicn agr Cette tude dait porter sur la zone o ont t observ s les d sordres et faire notamment ressortir leur origine et leurs cons quences sur les biens b tis Elle permet la commis sion charg
515. s majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n raie et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l envircnne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les revenus de la redevance pour affichage sont transf r s au d partement qui les y A notamment au financement d initia tives communales en faveur de l environnement ligibles au fonds d partemental de gestion des sites 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glemeniation 32013 23 juillet 1990 M Michel Darnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n raie et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et Contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les r gions les d partements et les tablissements pu
516. s membres ont eu ou cnt encore une position diff rente autorisant l administration de certaines de ces substances aux animaux d levage sous couvert th rapeutique ou plus simplement re mettant pas en uvre de moyens de contr le efficaces On peut regretter galement un certain manque de volont de faire respecter les dispositions en vigueur en mati re de substances hormonales dans certains Etats bien que la r gle mentation en soit en pnncipe harmonis e au sein de la Commu naut conomique europ enne Ainsi les leveurs fran ais ont pu se plaindre parfois juste titre de conditions de concurrence d loyales vis vis d autres producteurs europ ens D s 1988 les services de contr le fran ais se sont mobilis s sur ces dossiers compl tant les plans de surveillance anabolisants pr vus par les directives communautaires par le contr le vighant de l emploi des b ta agonistes et ce tant sur la production nationale que lors de l entr e en France d animaux ou de viandes import s Ult rieurement diff rentes actions de contr le ont t mises en place notamment en fronti re prenent en compte les volutions de la situation sur le terrain ainsi que l am lioratinr des techniques d analyse Parall lement les repr sentants fran ais demandaient avec insistance aux autorit s communautaires de se saisir de ces questions et de prendre toutes mesures n cessaires pour garantir voire contr ler les conditions de
517. s organis es le travail effectu en milieu scolaire dans le domaine artistique Cette politique sera poursuivie dans les ann es venir Communes finances locales 32234 30 juillet 1990 M Bernard Nayral attire l atten tion de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio naie de ia jeunesse et des sports sur la situation particuli re des coll ges ayant un statut municipal La nationalisation des coll ges n a pas t retenue pour certains tablissements ll existe deux coll ges de ce type dans le d partement de l H rault Les communes assurent en totalit les frais d entretien des b timents et la prise en charge des personnels administratifs et de service de ces tablissements ce qui repr sente une charge importante En cons quence il lui demande s il est envisageable que pour l avenir ces coll ges soient soumis aux m mes r gles administra tives que l ensemble des autres tablissements de premier cycle dont la comp tence a t transf r e aux d partements compter du ler janvier 1986 R ponse Les tablissements d enseignement statut muni cipal ont t cart s du champ d application du transfert de com tences en mati re d enseignement public par l article 21 1 de la oi no 83 663 du 22 juillet 1983 modifi e La modification de ces dispositions l gislatives n est pas pour l instant envisag e Re t o e Enseignement priv fonctionnement 32269 30 juillet 1990
518. s r glementaires pour l organisation d un concours d agent de maitrise dans la fonction publique territo riale Les d crets n 88 547 et n 88 546 pr voient les trois options suivantes technique g n rale voirie r seaux divers m canique II ne peut tre actuellement organis v concours sur d autres options que celles pr vues par les textes Ces disposi tions ne permettent donc pas aux agents techniques aux agents techniques qualifi s aux agents techniques pnncipaux sp cialis s en espaces verts de pr senter une option dans leur sp cialit La r giementation telie qu elle existe actuellement d favorise ies per sonnels travaillant dans les services espaces verts des collectivit s territoriales en ne leur laissant comme possibilit que d tre nomm s agents de ma trise l anciennet En cons quence i lui demande ce qu il compte faire pour corriger cette anomalie et donner une chance gale tous les agents R ponse Le d cret n 88 556 du 6 mai 1988 fixant les condi tions d acc s et les modalit s d organisation des concours pour le recrutement des agents de maitrise territoriaux pr voit En son article 2 que ies candidats au concours interne de recrutement des agents de maitrise choisissent pour l une des preuves entre les trois options suivantes technique g n rale voirie et r seaux divers m canique Il est apparu an moment de l laboration de ce texte que la connaissance de l une de
519. s risques technologiques et naturels majeurs qu en applicetion du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur l bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig s l est ouvert une possibilit d exon ration volontaire de la part d partementale de la taxe professionnelle pour les entreprises r ali sant des investissements de d pollution au del des obligatiens l gales ou r glementaires 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cade de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32003 23 juillet 1990 M Michel Barnier appelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre chary lt de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui iui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e nativ nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig Les espaces pro
520. s services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32019 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r cig e Des conservatoires d espaces naturels sont institu s aupr s des r gions et des d partements lis sont charg s de l acquisition et de la location de milieux naturels sensibles dont ils assurent la gestion Les moyens de ces conservatoires manent des fonds d partemen taux des espaces naturels sensibles et de gestion des sites Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet Ge la part de ses services ou des services d autres d partements et er suites le Gouvernement entend lui donner en particulier ans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32020 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle
521. s sociales est impli qu e par la loi n 59 1557 du 31 d cembre 1959 article 15 R ponse Le concours d acc s l chelle de r mun ration des professeurs de lyc e professionnel du premier grade sera ouvert pour la derni re fois en 1991 Le nombre de postes et les sections ouvertes tiendront compte dans la mesure du possible de la situation des maitres contractuels assimil s pour leur r mun ra tion aux ma tres auxiliaires actuellement en fonctions dans les tablissements d enseignement priv s Par ailleurs dans le cadre de la revalorisation de la fonction enseignante un d cret en cours de pr paration permettra l acc s 2 500 maitres contrac tuels assimil s pour leur r mun ration aux ma tres auxiliaires de troisi me et de quatri me cat gone justifiant d une anciennet de quinze ans de services effectifs d enseignement une chelle de r mun ration correspondant celle des professeurs de lyc e pro fessionnel du premier grade sur v rification de leur qualification gogique Cette mesure sera tal e sur cinq ans compter de a rentr e de 1990 Elle concerne toutes les disciplines et per mettra donc la promotion de maitres contractuels des tablisse ments d enseignement technique priv s Enseignement priv personnel 33210 3 septembre 1990 M Serge Charles demande M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la Jeunesse et des sports quelles dispositions il compte p
522. s sports sur la carence des moyens dont souffre l nseignement artistique En effet il lui fait observer que si les cr dits ont progress de 12 p 100 en deux ans cet accroissement est consacr pour l essentiel la r mun ra tion des enseignants sp cialis s et non pas des mesures nou velles de d veloppement des enseignements artistiques En cons quence il lui demande si des moyens nouveaux seront enfin accord s aux enseignements artistiques R ponse Si les cr dits affect s aux enscignements artistiques en 1990 3973 MF recouvrent pour l essentiel comme dans toute discipline la r mun ration des enseignants l augmentation de ces cr dits de 12 p 100 en deux ans a permis de renforcer la politique de d veloppement et de diversification des enseigne ments et des activit s artistiques Depuis l adoption de la loi rela tive aux enseignements artistiques du 6 janvier 1988 des mesures nouvelles ont t prises pour d velopper ces enseignements Pour l exercice 1990 le montant des cr dits qui leur sont consacr s s l ve 3973 MF ce qui repr sente une augmentation de 300 MF par rapport 1989 et ue 4254 MF par rapport 1988 Cet accroissement de 12 p 100 en deux ans des moyens affect s aux enseignements artistiques traduit l effort consenti ce titre par le minist re de l ducation nationale de la jeunesse et des sports conform ment aux termes de la loi du 6 janvier 1988 et de l ar ticle ler de la loi
523. s su celle que va lui verser la R F A afin d obtenir le d part des troupes sovi tiques AFFAIRES EUROP ENNES Politiques communautaires audiovisuel 33954 l r octobre 1590 M Jacques Godfrain appelle l at tention de Mme le miaistre des affaires europ ennes sur une information v hicul e par les m dias seion laquelle la mission relative la distribution des uvres audiovisuelles europ ennes aurait t confi e au pr sident des Editions Moreau l lui fait remarquer que cet diteur a en particulier dit le livre Suicide mode d emploi cuvrage qui a eu des cons quences dramatiques notamment parni les jeunes 11 lui demande de bien vouloir lui pr ciser si cette information est exacte Politiques communautaires vin er viticulture 34009 1er octobre 1990 M Christiza Kert attire l atten tion de Mme le ministre des affaires europ ennes sur une r cente proposition de la Commission des communaut s euro p ennes relative aux taux d accises sur le vin en vue de la sup pression des Contr les fiscaux aux fronti res entre Etats membres de la C E E a t rappel que dans ses propositions initiales la commission avait propos que soit instaur un taux unique par produit pour toute l Europe des Douze mais l opposition des Etats membres qui auraient d soit augmenter consid rablement leurs accises soit les diminuer fortement en raison d carts de taux existants tr s lev s a emp ch la r a
524. secr taire d Etat aupr s du Premier mlaistre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t L questions ci dessus font l objet d une r ponse commune page 4603 apr s la question n 32043 er octobre 1990 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Dans ie cadre de l instruction des grands projets publics et priv s susceptibles d avoir un impact sur la nature et l envirunnerment i in tervention du minist re de l environnement et du cadre de vie est renforc e Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31967 23 juillet 1990 A4 Michel Farnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la prevention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a
525. sentiel de la valeur de son fonds de commerce particuli rement important en cas de cession La commune en d livrant le r c piss de d claration contribue de mani re substantielle l enrichissement du fonds de commerce Le syst me actuel ne permet pas aux maires qui d livrent une telle licence de pouvoir la limiter dans le temps L attribution des licences de d bits de boissons titre pr caire et r vocable permettrait aux communes de ma triser l im plantation de d bits de boissons sur leur territoire et uux maires d exercer leurs responsabilit s en mati re d ordre public de s ret de s curit et salubrit publiques Il lui demande donc d envisager l adoption d un syst me comparable celui qui se pratique pour les taxis en ce qui concerne l autorisation d exercer Risques naturels vent Bretagne 33999 ler octobre 1990 M Alain Madeila rappelle M ie ministre d Etat ministre de l conomie des fieances et du budget qu il s est engag nubliquement au printemps dernier organiser le modalit s d indemnisation des victimes de l ouragan qui a frapp la Bretagne en 1987 Il lui demande quelles mesures concr tes il entend prendre pour accomplir tt engagement et en particul cr lo quel est le montant des cr dits traduisant l effort de l Etat 2 selon quelles modalit s et dans quel d lai et sous la responsabilit administrative de quelle auto rit ces cr dits seraient r partis 3 co
526. ser la sp cialit en g n tique m dicale qui ne peut continuer de vivre dans la clandestinit Prestations familiales allocation d ducation sp ciale 33882 l octobre 1990 M Rene Cousasu appelle l atten tion de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur les conditions d attributicn de l allocation d ducation sp ciale 1 lui demande notamment si une personne dont le fils handicap est d c d une semaine apr s qu elle en a fait la demande peut pr tendre un arri r permettan de faire face aux d penses qu elle a d assurer pour l lever malgr son handicap Pauvret R M LI 33903 l r octobre 1990 M Pascal Cl ment attire l atten tion de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur la gravit de la crise que traverse actuelle ment notre agriculture et dont les cons quences sont tr s souvent dramatiques pour de nombreux agriculteurs L attribution du R M I permettrait certains d entre eux de survivre Malheureu sement un des crit res retenus pour l attribution du R M I aux non salari s agricoles prend en compte le revenu cadastral de l exploitation dont les bases de calcul ne correspondent absolu ment pius la r alit Ii lui demande s il ne pourrait pas envi sager de modifier ce crit re d attribution afin de permettre aux non salari s agricoles les plus d munis de percevoir un R M I qui pourrait assurer
527. services pr c demment accomplis dans un tablisse ment hospitalier Sous l empire du code des communes la non ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 prise en compte des services ant rieurs effectu s dans une admi nistration autre qu une commune tait la r gle l gard de tous les fonctionnaires ll en va diff remment lorsque la nomination intervient dans un emploi pour lequel un statut particulier de cadre d emplois est Dubli Ces statuts particuliers proc dent en effet d une logique diff rente qui privil gie la mobilit entre les collectivit s territoriales et entre les fonctions publiques Les recrutements effectu s dans ces cadres d emplois donnent lieu une prise en compte des services accomplis dans un tablisse ment hospitalier Les statuts particuliers de la fili re sanitaire et sociale actuellement l tude pr voieront des dispositions en ce sens Enseignement maternel et primaire fonctionnement 20830 27 novembre 1989 Mme S gol ne Royal appelle l attention de M le ministre de l Int rieur sur les d penses sup pl mentaires auxquelles doivent faire face les petites communes rurales qui ont proc d un regroupement p dagogique d penses li es la n cessit d adapter les locaux la nouvelle structure p dagogique d assurer un transport scolaire gratuit une garderie une restauration etc Ce surcroit d courage souvent les maires alors qu ils sont pr ts faire les efforts p
528. seur attiie l at tention de M le miuistre de l quipement du logement des tra et de ia mer sur les cons quences de l volution du prix du carburant et de son Incidence pr visible sur la situation des marins p cheurs tant au niveau de la r mun ration que sur l emploi 11 lui rappelle qu une majorit de marins p cheurs sont r mun r s selon les principes dits la part ce qui signifie le salaire du marin est fonctibn de la p che d duction faite e certains frais dont ceux relatifs au carburant L augmentation du prix du gasoll se traduit donc sans d lai dans les comptes d exploitation des navires Ce qui ne manquera D de plonger ra ent l ensemble de la profession dans d normes diffi cult s 11 lui demande donc s il envisage de prendre des mesures ufin de r duire les effets d sastreux de cette hausse ASSEMBL E NATIONALE augmenter d autant S N C F lignes 33901 ler octobre 1990 M Edouur Fr d ric Dupost expose M le ministre de l quipement du logement des transports et d la mer que certaines mesures actuelles tendent causer un pr judice consid rable la population de certaines r gions en particulier celle d Saumur qui travaille Paris et s y rend en train Jusqu pr sent ces voyageurs prenaient le train Saumur 5 h 45 effectuaient un changement Tours et arri vaient Paris pour 9 heures Ces personnes ont t mises au courant d un projet qui modi
529. si des directives vont amp ire donn es pour rem dier cette situatior Bourses d tudes montant 33866 1er octobre 1990 M Eric Raouit attire l atiention de M ie ministre d Etat miaistre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur le probl me de l absence de reva lorisation des bourses vers es aux coll giens et aux tudiants En effet ces bourses sont notoirement insuffisantes et n ont pas fait l objet d une substantielle revalorisation depuis plusieurs ann es Une action urgente s impose dans ce domaine pour permettre un maintien du pouvoir d achat des l ves des coll ges et des lyc es et des tudiants des universit s Il lui demande donc quelle action il compte mener dans cette direction Enseignement sup rieur tudiants 33877 1er octobre 1990 M Jean Rigal appelle l attention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des aports sur la situation des jeunes bacheliers titulaires d un baccalaur at professionnel Dans les r ponses de nombreuses lettres dans des interventions t l vis es ou des r ponses des questions crites il a t affirm sans ambigu t par l un de ses pr d cesseurs que ces bacheliers avaient dans le cadre des poursuites d tudes les m mes droits que les autres Or il s av re que la r alit est diff rente S ils peuvent effectivement s inscrire sans probl me dans les universit s cette orientati
530. sible tant des missions de soufre 10 p 100 en 1989 par rapport 1988 que de celles de dioxyde d azote 7 p 100 1l lui demande de quelle mani re il entend pr server la population de ce type de pollution de l air environnant R ponse 1l est exact que la pollution soufr e a augment en 1989 inversant la tendance la baisse amorc e la fin des ann es soixante dix 1989 a en eff t connu des conditions clima tiques moins favorables que 1988 temp ratures moyernes plu basses s cheresse Ainsi les missions de dioxyde de soufre principal polluant acide ont augment d environ 10 p 100 par rapport 1988 mais elles restent d environ 60 p 100 inf neures celles de 1980 Les missions des seules centrales thermiques ont en particulier augment de pr s de 50 p 100 par rapport 1988 Les centrales de pointe d E D F ont en effet davantage fonctionn qu en 1988 En raison de la s cheresse certains bar rages ont manqu d approvisionnement en eau et certaines cen trales nucl aires ont d tre mises l arr t pour viter l chauffe ment excessif du fleuve recevant leurs rejets d eau chaude En outre certaines centrales nucl aires ont vu leur activit r duite suite aux gr ves de 1988 ou en raison de probl mes de s ret On peut galement noter l accroissement important des missions du secteur des transports qui refl te le d veloppement du march des voitures Diesel En revanche bien
531. sisanelle R ponse L attribution d une pr retraite n est pas un droit ouvert tous les salari s de plus de cinquante cinq ans Il s agit en effet d un dispositif de politique suivie par l Etat pour l ac compagnement des restructurations A ce titre le b n fice d une allocation sp ciale du F N E ne peut tre propos qu aux salari s g s de plus de cinquante six ans et deux mois et exceptionnelle ment de plus de cinquante cinq ans licenci pour motif cono pique par une entreprise signataire avec l Etat d une convention d allocation sp ciale du Fonds national de l emploi 11 n est ps envisag par le Gouvernement d tendre le b n fice de la pr re trane tous les salari s et demandeurs d emploi de plus de cinquante cinq ans m me s ils totalisent plus de trente sept ann es et demie de cotisation un r gime de s curit sociale Outre ses lourdes incidences financi res une telle extension aurait l inconv nient d encourager la tendance d j trop marqu e des entreprises se s parer en priorit de leurs salari s g s notamment en op rant des licenciements de substitution au profit d un personnel plus jeune C est pourquoi le Gouvernement a pr f r opter en fave r de la pr vention du licenciement des per sonnes g es travers les dispositions de la loi du 2 ao t 1989 et accroltre les perspectives de reprise d activit pour les deman deurs d emploi g s de plus de cinquante ans A cet e
532. son mari En revanche la veuve qui n a jamais travaill per oit une pen sion de r version de son mari gai 60 p 100 et qui peut tre lev e Ainsi le montant des sommes per ues diff re souvent de fa on notvire Dans le premier cas il est tr s insuffisant le plus souvent inf rieur au S M 1 G Dans le second cas il ne souffre aucune comparaison avec l autre Elle lui demande en cons quence s il ne conviendrait pas de r examiner le montant des Rennes des veuves retrait es dans un souci d quit de justice sociale Retraites g n ralli s pensions da r version 23994 il juin 1990 M Richard Cazenave attire latten lion de M le ministre de la solidarit de ia sant et de la proiection sociale sur la nicessit de relever ie taux de pension de r version des veuves 60 p 100 de ia pension du funt ASSEMBL E NATIONALE 4827 pour tous les r gimes et sans aucune condition de cumul ou autre restriction Les nombreuses difficult s financi res aux quelles sont confront es les veuves justifient qu elles puissent b n ficier d une aide suppl mentaire Ce rel vement du taux de nsion de r version promis en 1981 par le Pr sident de Ia publique serait donc conforme l quit C est pourquoi il lui demande dans quel d lai il serait envisageable de prendre cette mesure et d acc der ainsi la demande l gitime de toutes les associations de retrait s et de veuves Retraites
533. squ au 31 d cembre 1991 le financement des d penses de garanties de ressources et d abaisscment de l ge de la reiraite soixante ans dans les Upma compl mentaires de reiraite des salari s restera assur par l association pour la gestion de la structure financi re A S F avec une participation financi re de l Etat 2s Ch mage indemnisation conditions d attribution 30228 18 juin 1990 M Jean Yves Antexier attire l atten tion de M ie ministre de la solidarit de la sant et de la ion sociale sur certaines cons quences de l ordonnance du 26 mars 1982 et du d cret d application du 24 novembre 1982 concernant les possibilit s d indemnisation par l Assedic au del de soixante ans I est pr vu que cette forme d indemnisation ne peut tre poursuivie qu au profit des ch meurs justifiant une dur e d assurance inf rieure 150 trimestres comprenant les tri mestres valid s et les p riodes dites quivalentes Or cette qui valence concerne toutes les p riodes qui ant rieurement au l avril 1983 auraient pu donner lieu rachat de cotisations M me dans l hypoth se o l int ress n est pas en mesure de pto c der au rachat des cotisations les p riodes correspondantes sont nrises en compte De la sorte un ancien salari peut se trouver a fois exclu de l Assedic l ge de soixante ans et dans l incapa cit de racheter les cotisations de l assurance vieillesse Ainsi une personne au ch mage
534. sques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un projet de loi sur les parcs nationaux est soumis au Parlement Il pr voit la cr ation de nouveaux parcs et notamment de parcs nationaux marins destin s prot ger les cosyst mes littoraux les plus menac s Il d finit les r gles selon lesquelles les parcs natio naux pourraient d cider de modifier leurs limites Cette possibilit leur serait ouverte pendant un temps limit apr s trente ans d exis tence et la condition que toute modification soit d une part contr l e par un comit scientifique tabli par l Etat et dont l avis sera endu public et d autre part qu elle se traduise obligatoirement par une augmentation tr s sensible de la surface initiale du parc et de sa qualit oopique 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier duns le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31966 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le
535. sse de leurs pensions non index es sur les salaires des pensions de r version des veuves des aides sociales pour les personnes d pendantes ou en soins Il est donc l gitime que les retrait s et pr retrait s soient repr sent s au Conseil co nomique et social zfin de pouvoir mieux d fendre leurs int r ts et leurs droits En cons quence elle lui demande donc que la proposition de loi organique compl tant l article 7 de l ordon nance n 58 1360 du 29 d cembre 1958 portant loi organique relative au Conseil conomique et social modifi par la loi orga nique n 84 499 du 27 juin 1984 soit inscrite l ordre du jour d une prochaine s ance de l Assembl c nationale Minist res secr tariats d Etat ducation nationale jeunesse et sports personnel 33869 14 octobre 1990 M Jean Rigal appelle l attention de M le Premier ministre sur le probl me suivant les textes men et r glementaires confirm s par la d cision du Conseil d Etat en date du 24 f vrier 1965 arr t Blech exigent que les actes de nominstion des fonctionnaires stetuent sur les bonifica tions et majorations des int ress s qu il s agisse d unc premi re titularisation ou d un changement de corps Cette d cision est scrupuleusement respect e dans tous les minist res et st l e dans la lettre du miristre d Etat charg de la fonction publique lettre du 29 juin 1989 p 3 n 4738 Or elle n est pas respect e l ducation n
536. ssus concernant les activit s maritimes et portuaires ne sauraient tre remis en Cause R ponse Le projet de loi portant statut particulier de la Corse actuellement pr par par les services du minist re de in t rieur ne comporte aucune disposition remettant en cause le statut des ports maritimes celui des ouvriers dockers et le droit du personnel assurant les liaisons entre le continent et la Corse Fonction publique territoriale statuts 30881 2 juillet 1990 M G rard Istace attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de ia fonction publique et des r formes administratives sur la demande de revalorisation statutaire exprim e par les tesnniciens territoriaux Ceux ci sou haitent un rel vement du niveau de recrutement bac 2 ainsi que leur int graion au classement indiciaire interm diaire 11 sou haite connaltre son sentiment sur cette proposition ainsi que l ch ance laquelle elle est susceptible de pouvoir tre exa min e Question transmise M le ministre de l int rieur Fonction publique territoriale statuts 32044 23 juillet 1990 M Jean Paui Bachy attire l atten tion de M le ministre de l int rieur sur la difficult laquelle les lus de collectivit s territoriales se trouvent confront s en l occurrence les conditions de recrutement des techniciens Les techniques voluent rapidement et n cessitent pour leur mise en uvre la pr sence de cadres comp tents
537. st la r glementation europ enne en mati re d usage agro alimentaire des hormones et si celle ci est effective ment appliqu e et respect e par tous les partenaires R ponse Le ministre de l agriculture et de la for t fait savoir l honorable parlementaire que les directives communautaires interdisent toute utilisation des fins d engraissement de subs tances effets strog ne androg ne gestag ne et tyr ostatique substances commun ment appel es hormones le respect de cette interdiction entr e en vigueur le ler janvier 1988 doit tre contr l par la mise en uvre de plans de surveillance annuels harmonis s approuv s par la commission et l ensemble des Etats membres Le terme anabolisants engloble en outre l heure actuelle des substances non hormonales les b ta agonistes Ces facteurs de croissance de substitution ne sont pas pris en compte dans les directives hormones mais leur emploi en engraisse ler octobre 1990 ment lequel se fait sous forme d additifs alimentaires n est en principe pas autoris au sein de la Communaut conomique europ enne tout additif autoris doit figurer sur une liste communautaire positive Les autorit s fran aises ont toujours affirm leur volont de lutter contre tout emploi n cessairement frauduleux de b ta agonisies en engraissement et demand ce que cette attitude soit harmonis e au niveau communautaire Cependant d autres Etat
538. stratives paritaires C A P et les comit s techniques paritaires C T P des sapeurs pompiers professionnels ont ins titu pour ces fonctionnaires des organismes paritaires sp ci fiques Les commissions administratives paritaires et comit s techniques paritaires d partementaux des sapeurs pompiers pro fessionneis sont plac s aupr s des services da ap ii in cendie et de secours qui sont prestataires de services pour des collectivit s et tablissements affili s aux centres de gestion mais galement pour des collectivit s et tablissements non affili s C est pourquoi il n a pas t possible de rattacher la gestion des commissions administratives paritaires et des comit s techniques paritaires aux centres de gestion eux m mes Communes fonctionnement 31502 16 juillet 1950 M Hubert Gouze demande M le ministre de l int rieur de bien vouloir lui pr ciser si une commune peut l galement devenir actionnaire d une soci t ano nyme de capital risque R ponse L article S 111 de la loi n 82 213 du 2 mars 1982 exclut en principe toute participation des communes dans le capital d une socl t commerciale sauf autorisation pr vue par d cret en Conseil d Etat Les soci t s de capital risque sont des soci t s anomymes et la participation des communes leur Capital est soumise la proc dure d autorisation par d cret en Conseil d Etat susmentionn e Handicap s emplois r serv s 315
539. strie textile europ enne dans son ensemble a pos un certain nombre ce conditions pour son retour dans le contexte du Gatt Il lui demande de bien vou loir lui faire connaltre les d cisions prises par le Gouvernement fran ais en accord avec les autorit s communautaires en ce qui concerne un renforcement des r gles et disciplines du Gatt en mati re de subsides dumping d acc s aux mati res premi res de protection contre les contrefa ons l ouverture progressive et r ci proque des march s ext rieurs I le remercie de l informer de 4558 ASSEMBL E NATIONALE toute initiative gouvernementale prise en faveur de ce secteur industriel qui a tait des efforts consid rables en terme de restruc turation au cours de ces derni res ann es INT RIEUR Police fonctionnement Val d Oise 33855 le octobre 1990 M Jean Pierre Delalande appelle l attention de M le ministre de l int rieur sur l a situa tion des effectifs de police en Val d Oise Dans une pr c dente r ponse il tait indiqu que le Val d Oise apparaissait comp r l ensemble de la Dinde couronne parisienne convenable ment dot Cette assertion est pour le moins surprenante lorsque l on sait que les effectifs sont en Val d Oise de moiti inf rieurs ceux des Hauts de Seine que dans le m me temps et sur la seule derni re ann e les statistiques montrent un d veloppement de la d linquance connue et recens e de plu
540. sup rieures Il serait quitable que cette simultan it des frais d ducation auxquels doivent faire face ces familles nais sances multiples soit compens e par une adaptation des alloca tions familiales des prestations familiales et du quotient familial des parts fiscales et der abattements par enfants charge ainsi que des points pris en compte lors de l laboration d un dossier de bourse scolaire Afin de donner aux enfants issus d un accou chement multiple comme leurs fr res et s urs n s lors d une naissance simple les m mes chances que dans les autres familles nombreuses il est n cessaire de tenir compte de la sp cificit de ces familles en adaptant la l gislation en place Elle lui demande quelles sont ses intentions en ce domaine important de notre politique familiale Prestations jamiliales allocation pour jeune enfan t allocation parentale d ducation 32518 6 ao t 1990 M 1lain Richard attire l attention de Mme le secr taire d Etal aup s du ministre de la soiidarit de la sant et de ia protectio sociale charg de ia famille sur les lacunes concernant la perception de l allocation pour jeunes enfants A P J E et l illocation parentale d ducation A P E et sur les probl mes rer contr s dans les familles nais sances multiples En effet cete A P JE n est pas cumulable selon le nombre des enfants issu d un accouchement multiple du premier anniversaire des enfant leu
541. sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les questions ci dessus font l objet d ure r vonse commune page 4603 apr s la question n 32043 04 ADDEMODLELCL NASIVUINALE 171 OCLODTE 1770 Une cole nationale du g nie de l environnement es cr e partir notamment de l Ecole nationale du g nie rural des eaux et for ts Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 31949 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risjues technologiques et maturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi pa la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne meat d pos le 11 avril 1999 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un corps nationa de hauts fonctionnaires de l environnement est constitu Ses membres sont principalement form s par l Ecole nationale du g nie de l environnement 11 lui demande de quell s tude
542. t sociale Les int ress es peuvent ainsi acqu rir des droits personnels retraite au titre de leurs activit s familiales comme si elles cotisaient au titre de l exercice d une activit salari e Prestations familiales allocation pour jeune enfant et allocation parentale d ducation 32382 30 juillet 1990 M Alain Moyne lsressand attire l attention de Mme ie secr taire d Etat aupr s du ministre de la solidarit de ia saat et de ia protection sociale charge de la famiile sur les lacunes concernant la perception de l alloca tion pour jeune enfant A P J E et l allocation parentale d du cation A P E En effet cette A P J E n est pas cumulable selon le nombre des enfants issus d un accouchement multiple du pre mier anniversaire des enfants leurs trois ans Pendant ces deux ann es et sous r serve de condition de ressources la famille ne touche qu une A P J E La cons quence est la suivante une famille de jumeaux perd 20 376 francs une famille de tripl s perd 40 752 francs une famille de quadrupl s perd 61 128 francs une famille de quintupl s perd 81 504 francs une famille de sextupl s perd 10i 880 francs sur ces deux ans bar me au le janvier 1990 De plus l allocation parentale d ducation n est pas cumulable avec l A P J E La famille doit choisir la plus int ressante des deux Dans tous les cas la famille naissances multiples per oit de ces deux prestations la m me somme qu u
543. t g s ou inscrits l inventaire du patrimoine naturel sont exon r s de la taxe sur le foncier non b ti Parall le gent l exon ration de la taxe sur le foncier non b ti dont b n fi cient les marais ass ch s est supprim e l lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de ia part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32004 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr ialre d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de la pr ventlor des risques technoiogiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La valeur des espaces naturels remarquables ou monuments naturels dont il est fait don l Etat avec sun agr ment esi d duc tible des montants dus au titre des droits de succession Ces espaces sont confi s au Conservatoire national des espaces naturels I lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d
544. t gories de l ordre de 2 000 au titre de l ann e 1990 et autant au titre de l ann e 1991 concer nera toutes les disciplines et devrait donc permettre la promotion d adjoints d enseignement et de charg s d enseignement des ta blissements d enseignement technique priv s sous contrat Enseignement priv fonctionnement 33212 3 septembre 1990 M Serge Charles s tonne aupr s de M le ministre d Etat ministre de l ducation natio aale de Ja jeunesse et des sports de certaines modalit s de fonctionnement du syst me dit licences mixtes pour l acquisi tion de logiciels usage p dagogique ll lui demande s il est vrai que l enseignement technique priv sous contrat d association n a es pu b n ficier de ces conditions et le cas ch ant sur quel ondement Enseignement priv fonctionnement 33287 3 septembre 1990 M G rard L onard s tonne aupr s de M le mmiaistre d Etat ministre de l ducation natio aale de la jeunesse et des sports de certaines modalit s de fonctionnement du syst me dit licences mixtes pour l acquisi tion de logiciels usage p dagogique ll lui demande s il est vrai que l enseignement technique priv sous contrat d association n a pu b n ficier de ces conditions et dans l affirmative ce qui jus tifie cet tat de fait 11 souhaite qu on lui pr cise ce qui emp che un fournisseur de logiciels de faire b n ficier les lyc es profes sion
545. t neur Cambac r s Jean Marie 27712 agriculture et for t Castor Elie 32148 ducation nationale jeunesse et sports Cavaill Jean Charies 30918 solidarit sant et protection sociale Cazenave Richard 29994 solidarit sant et protection sociale Chanfrault Guy 31523 int rieur ministre d l gu Charette Herv de 32659 famille 32682 famille 32812 agricul ture et for t Charles Bernard 1667 agriculture et for t Charies Serge 31705 solidant sant et protection sociale 33209 ducation nationale jeunesse et sports 33210 ducation nationale jeunesse et sports 33212 ducation nationale jeunesse et sports Chouat Didier 32974 famille Colntat Michel 31943 justice Colin Daniel 30788 int rieur ministre d l gu Colombier Georges 32543 solidarit sant et protection sociale Couanau Ren 32437 ducation nationale jeunesse et sports 32438 ducation nationale jeunesse et sports 32440 ducation nationale jeunesse et sports Coussain Yves 24591 solidarit sant et protection sociale 24592 solidarit sant et protection sociale 27486 solidarit sant et protection sociale 32599 ducation nationale jeunesse et sports 33097 ducation nationale jeunesse et sports Couvelnhes Ren 28867 agriculture et for t Cozan Jean Yves 31410 solidarit sant et protection sociale Cr pea
546. t politique et r glementation 31987 22 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la comniission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Sont interdites l importation la diffusion la mise en vente ou en lacation de tous objets pr sentant des niveaux sonores d passant des normes maximales admissibles Par ailleurs les activit s bruyantes exerc es dans des tablissements centres d activit s ou installations publiques et priv es sont soumises des dispositions pr voyant la limitation des nuisances sonores auxquelles elles donnent lieu en fonction notamment de leur loignement des habitations ou tablis sements recevant du public 1 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnenient politique et r glementation 31988 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr
547. t s de la vie sur les documents r unis dans un livre blanc pubil par l association des paralys s de France recensant des d cisions arbitraires ou ill gales qui ont pu tre prises par les COTOREP l gard des personnes handi Cap es Les faits signal s dans ce document refl tent en effet une grave d rive dans l application des textes en vigueur et notam ment de la loi d orientation du 30 juin 1975 li lui demande en cons quence s il ne juge pas utile d intervenir pour rappeler aux ASSEMBL E NATIONALE 4555 organismes concern s qu il convient de respecter la loi et la r glementation existante l gard des personnes handicap es et galement d exercer un contr le plus strict de la l galit des d ci sions administratives les concernant Handicap s politique et r glementation 33920 ler octobre 1990 M Michel Giraud attire l atten tion de M ie secr taire d Etat aupr s du miaistre de ia soli darit de ia sant et de la protection so lt la c charg des han dicap s et des accident s de la vie sur l application de l articie 22 de la loi n 89 18 du 13 janvier 1989 dit amende ment Creton compl tant l article 6 de la loi n 75 534 du 30 juin 1975 Aux termes de ces dispositions une personne han dicap e plac e dans un tablissement d ducation sp ciale et qui ne peut tre imm diatement admise dans un tablissement pour adultes d sign par la Coto tp peut tre ma
548. t sites naturels Hautes Pyr n es 33907 1er octobre 1990 M G rard Longuet attire latten tion de M le secr taire d Etat aapr s da Premier miaistre Charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs sur l installation de lignes T H T tr s haute tension notamment dans le Nord et les Pyr n es Ainsi pour cette derni re r gion le secr taire d Etat a qualifi la vall e du Louron de site d une qualit exception nelle et avait envisag de classer le vallon de la Pez E D F a r sent le trac des lignes T H T qui reliera la centrale de Gol ech Tarn et Garonne Saragosse Espagne Or le secr taire d Etat ne classe pas le vallon de la Pez ll est tonnant qu apr s avoir combattu devant les m dias le pouvoir E D F le secr taire er octobre 1990 d Etat n envisage pas de contester un trac qui mutile un magni fique site Comment cette volution peut elle s expliquer Est ce cela la politique de la g n ration cologie Administration proc dure administrative 34018 ler octobre 1990 Mme Mos Papon attire l at tention de M le secr tulre d Etat uupr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques techaciogiques et naturels majeurs sur la situation des com missaires enqu teurs qui souhaitent une profonde r forme des modalit s et des conditions d indemnisation qui leurs sont appli qu
549. t ainsi aux usagers de l h pital Ren Dubos de Cergy Pontoise d en b n fi cier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Lenis 33986 1er octobre 1990 M Marcellin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la solidarit de ia sante et de la protection soclale sur les cons quences de la p nurie de mani peus d lectroradiologie concernant la mise en service de appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Sairt Denis Il lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital intercommunal de Meaux d er b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33987 1er octobre 1990 M Marcelin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la solidarit de ia sant et de la protection soclale sur les cons quences de la p nurie de mani nt d lectroradiologie concernant la mise en service de appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis Il lui demande quelles mesures exceptionuelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi au
550. t contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e L affectation des recettes de ventes de bois effectu es par les ser vices de l Etat pra ls g rent le patrimoine arbor bordant les routes naticnaies et les canaux ou plant dans des parcs et espaces de loisirs ouverts au public est mocifi e de mani re tablir un circuit court de financement permettant d attribuer directement cette ressource au service concern 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 32008 23 juillet 1990 M Michei Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technoiogiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui iui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e La taxe d partementale des espaces naturels sensibles T D E N S est institu e dans tous les d partements Son produit gun au Fonds d partemental des espaces naturels ne
551. t de l activit des centres de loisirs et aux droits aux loisirs des enfants H pitaux et cliniques Ctablissements Seine Saint Denis 33900 1e octobre 1990 M Marceiin Berthelot attire l at tention de M le miaistre de la solidarit de la sant et de la protection soclaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradiologis concernant la mise en service de ASSEMBL E NATIONALE 4563 ne l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendr pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital Emile Roux Eaubonne d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33981 1 octobre 1990 M Marcelin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la soiidarit de la sant et de la protection sociaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradiologie concernant la mise en service de l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 1 lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidem
552. t du traitement de base alors que ce m me pourcentage est en moyenne de 35 p 100 pour ies administrateurs civils et qu il s l ve 45 p 100 pour un administrateur civil l int rieur et 54 9 p 109 pour un administrateur civil aux douanes 11 lui demande si de telles dis parit s ne lui apparaissent pas choquantes alors m me que les conditions de recrutement sont les m mes et que bien souvent les sui tions des conseillers de tribunal administratif sont souvent nussi lourdes que celles d autres corps li souhaite connaitre les mesures envisag es pour rem dier de tels carts qui influencent l ornement les choix des int ress s leur sortie de l Ecole natio naie d administration R ponse Comme ous les corps recrut s l issue de l Ecole ationale d administration les membres du corps des tribunaux administratifs et des cours administratives d appel disposent en compl ment de leur traitement de base de diverses indemnit s Pour l ensemble des membres du corps est ainsi vers e une indemnit forfaitaire sp ciale institu e par d cret du 3 sep tembre 1966 et dont le taux est de 30 p 100 en 1990 Pour les commissaires du Gou ernement s ajoute cette prime une prime sp ciale vers e seriestriellement de l ordre de 3000 francs annuels et pour les chefs de juridiction une indemnit pour frais de repr sentation d un montant quivalent La modestie relative de ces indemnit s compar es celles des
553. t exclus de tout plan de reva lorisation de la fonction enseignante Enseignement priv personnel 32440 6 ao t 1990 M Ren Couanau demande M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia jeu messe et des sports quelles dispositions il compte prendre pour permettre la promotion des ma tres de l enseignement technique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent exclus de tout plan de revalorisa tion de la fonction enseignante Enseignement priv personnel 32599 6 ao t 1990 M Yves Coussain demande M le ministre d Etat ministre de l ducation aationaie de ia jeu wesse et des sports quelles dispositions il entend prendre pour permettre la promotion des ma tres de l enseignement technique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent exclus de tout plan de revalorisa tion de la fonction enseignante Enseignement priv personnel 32683 6 ao t 1990 M Bernard Debr demande M ie ministre d Etat ministre de i ducation nationale de ia jeu nesse et des sports quelles dispositions il compte prendre pour permettre la promotion des ma tres de l enseignement technique priv sous contrat qui sont encore sur l chelle de r mun ration des A E C E et qui semblent exclus de tout plan de revalorisa tion de la fonction enseignante R ponse Dans le cadre du plan d
554. t la d signation dans ces orga nismes c t des repr sentants des syndicats de ceux des grandes f d rations de retrait s notamment de celles repr sent es au C N R P A Il lui demande en cons quence les mesures qu il envisage de prendre en ce domaine R ponse La repr sentation des retrait s est pr vue dans les Organismes sociaux assurant une protection l galement obliga toire Ainsi la participation directe d administrateurs repr sentant les retrait s est organis e par les articles L 215 2 L 215 7 L 222 5 et L 752 6 du code de la s curit sociale da ns les caisses r gionales d assurance maladie l exception des caisses d Ile de France et de Strasbourg qui ne g rent pas l assurance viciliesse la caisse r gionale d assurance vieillesse de Strasbourg la caisse nationale d assurance vieillesse des travailleurs salari s et les Caisses g n rales de s curit sociale dans les d partements d outre mer Les administrateurs repr sentant les retrait s dans ces organismes ont voix d lib rative lls sont d sign s par les autres membres du conseil d administration sur proposition des associations de retrait s ayant leur si ge dans la circonscription de la caisse et sur proposition des associations et f d rations natlonales de retrait s la caisse nationale lls sont galement repr sent s dans les conseils d administration des caisses charg es de g rer l assurance maladie En effet en leur qual
555. t que M le mlalstre de l int rieur lui indique pour chaque d partement quel est le nombre de cantons et la population moyenne par canton Il sou haiterait galement qu il lui indique s il ne pense pas que dans un souci d conomie il serait utile de limiter la cr ation des cantons nouveaux lorsque la population moyenne par canton est inf rieure la moyenne nationale Le r quilibrage de l impor tance des cantons d un m me d partement pouvant en particulier se faire par regroupement des petits cantons il d sirerait connaltre ses intentions en la mati re D mographie statistiques 33177 3 septembre 1990 Sur ta base du recr sement de 1990 M Jean Louis Masson souhaiterait que M ie ministre de l int rieur lui fasse connaltre la liste des cantons dont la popula tion est inf rieure au cinqui me de la population moyenne des cantons de leur d partement Pour chaque cas il souhaiterait conna tre la population moyenne du d partement et la popula tion du ou des cantons concern s D mographie statistiques 39283 3 septembre 1990 Sur la base du recensement de 1990 M Jenn Louis Masson demande M le ministre de l lat rieur de lui indiquer quels sont pour chaque d partement les cantons peupl s de moins de 1 000 habitants et quelle est la population correspondante R ponse L honorable parlementaire est inform que les r sultats d taill s du recensement g n ral de la population de 1990 ne se
556. t sensible qu touche l orga nisation de l Etat comme la vie des collectivit s locales les tudes et discussions pr paratoires ont t longues et minutieuses et une r ponse pr cipit e l honorable parlementaire n aurait pu aborder le sujet sur le fond Un esprit d ouverture de dialogue et de concertation a en effet guid la d marche du Gouvernement Chaque tape de l laboration du texte Toutes les critiques observations suggestions notammert celles des associations d lus ont fait l objet d un examen attentif et ont permis de modifier d infl chir et d enrichir le projet initial Ce texte adopt ar le conseil des ministres le ler ao t 1990 sera prochainement inscrit l ordre du jour de l Assembl e nationale et le d bat par lementaire permettra naturellement de le compl ter et de l amender Concernant les quatre degr s d administration Etat r gions d partements communes les propositions sur les ententes intorr gionales le renforcement de la d mocratie locale la coop ration locale sur la base du volontariat avec la pers pective de cr ation de communaut s de communes et de commu naut s de villes t moignent du souci du Gouvernement d adapter nos institutions aux r alit s socio conomiques tout en valorisant les droits et libert s reconnues aux collectivit s territoriales par la ioi de d centralisation du 2 mars 1982 Le projet de loi pose par ailleurs en ce qui concerne l organisat
557. tant la r isun ration des fonctionnaires civils de l Etat est sous r serve des mesures d adaptation n cessaires appliqu e avec effet simultan aux militaires de carri re les dispositions du protocole d accord du 9 f vrier 1990 relatif aux fonctionnaires civils feront l objet d unc transposition aux militaires Celle ci demande de nombreuses adaptations pour tenir compie des structures indiciaires et des d roulements de carri re sp cifiqu s aux militaires et notam ment ceux de la gendarmerie Une concertation interininist rielle est actuellement en cours Les premi res mesures du plan eront appliqu es aux militaires avec effet r troactif au ler ao t 1990 Service national objecteurs de conscience 32883 20 ao t 1990 K Henri Bayard demande M le ministre de la d fense de bien vouloir lui indiquer quel est le nombre annuel moyen de jeunes reconnus comme objecteurs de conscience et s il peut lui pr ciser galement les affectations qui leur sant donn es R ponse Le nombre de jeunes Fran ais admis au service des gt bjecteurs de conscience repr sente en moyenne 1 p 100 du contingent ce qui correspont un effectif de 2 500 3 300 par ann e Les jeunes gens admis au service des ohjecteurs de conscience rel vent du ministre charg de la solidarit de la sant et de la protection sociale qui les affecte dans les adminis trations de l Etat ei des collectivit s locales ainsi qu
558. techni ciens territonaux de b n ficier d une revalorisation de leur statut pr voyant un recrutement externe de titulaires de dipl mes homologu s au niveau Ili bac 2 et une int gration au classe ment indiciaire interm diaire Il souhaite conna tre les suites sus ceptibles d tre apport e cette revendication Question trans mise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Fonction publique territoriale statuts 30852 2 juillet 1990 M Roger Mas appelie l attention de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l lat rieur charg des collectivit s territoriales sur le statut des techni ciens territoriaux Il lui expose que le statut particulier de ces agents pr voit leur recrutement au niveau baccalaur at alors qu en r alit ces personnels int grent la fonction publique territo nale avec un niveau de technicien sup rieur lI lui demande de bien vouloir lui pr ciser s il entend proc der la r vision de ce statut pr cit afin de reconnaitre cette situation de fait et de rendre plus attractive cette fili re Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Fonction publique territoriale statuts 31223 9 juillet 1990 M Andre Delehedde appelle l atten tion de M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l Int rieur charge des collectivit s territoriales sur la situation des techniciens territoriaux Les missio
559. tega et le quartier Ray Gorbelan 11 faut esp rer que la ville de Nice examinera rapidement la vuln rabilit de ces quartiers pour apaiser l inqui tude de la population Pour ce qui est du Paillon dont la couvertur a en partie t effectu e la ville a organis un syst me local de surveillance qui a t jusqu izi efficace Tou tefois compte tenu du constat effectu par les services d parte mentaux de l Etat sur l tat du bassin versant une mission d ins pection du conseil g n ral des ponts et chauss es et du conseil g n ral du g nie rural et des eaux et for ts a effectu un dia gnostic des risques d inondation dans ce bassin du Paillon Les mesures propos es par la mission concernent principalement io l entretien du lit amont de l ouvrage et des sections cou vertes 20 l examen des ouvrages implant s sous la couverture au regard du risque de cr ation d emb cles 3 le refus de toute implantation nouvelle d ouvrage sous la couverture existante sans tude pr cise de ses effets sur l coulement de crues et sans enqu te hydraulique 4 l extension du syst me d alerte des crues our l exploitation de toutes les voies de communication implant es dans le lit du Paillon et la pr vision d un d borde ment dans la travers e de Nice 5 la d limitation des bas quar tiers de Nice susceptibles d tre inond s 6 la mise en place d un observatoire des crues du bassin du Paillon ainsi que le pro bl
560. tement bac 2 et une int gration au Slassement indiciaire interm diaire Question transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Fonction publique territoriale statuts 30684 25 juin 1999 M Adrien Zeller appelle l attention de M le secretaire d Etat aupr s du ministre de l int rieur charg des collectivit s territoriales sur les conditions de recrutement et de classement des techniciens territoriaux En effet le d veloppement des comp tences attribu es aux collecti vit s territoriales par les lcis de d centralisation d une part et l volution des techniques d autre part ont conduit ces derni res ann es au recrutement de techniciens titulaires d un dipl me de niveau Bac 2 Or le statut particulier des techniciens territo riaux ne pr voit l heure aciuelle qu un recrutement au niveau baccalaur at l lui demande dans ces conditions afin d viter une crise de recrutement et des d parts vers le secteur priv de lui faire connaltre les dispositions que le Gouvernement envisage de prendre pour am liorer le statut de ces fonctionnaires tion transmise M le ministre d l gu aupr s du ministre de i i ASSEMBL E NATIONALE 4617 Fonction publique territoriale statuts 30850 2 juillet 1990 M G rard Istace attire l attention de M le secretaire d Etat aupr s du ministre de l int rieur charg des collectivit s territoriales sur le souhait des
561. terait d une Conna tre les statistiques de ces changes sur s trois derni res ann es et d autre pt savoir ce que compte entreprendre le Gouvernement pour d ve lopper ces changes B timent et travaux publics commerce ext rieur 33916 ler octobre 1990 M L cace Deprez appelle l at tention de M le ministre du commerce ext rieur sur l analyse des exportations du b timent et des travaux publics r alis e par le centre d analyses strat giques et de pr visions de la direction des affaires conomiques et internationales du minist re de l quipement du logement des transports et de la mer Il appa rait selon ces statistiques que l activit B T P conna t une baisse du volume des travaux depuis 1934 l exportation et que les cons quences ser la balance des paiements sont importantes C est uinsi que l activit B T P est de 65 4 milliards de francs sn 1984 46 5 milliards de francs en 1988 Il lui demande donc ia nature des initiatives qu il envisage de prendre pour contribuer l activit exportatrice des entreprises fran aises du B T P COMMUNICATION T l vision La Sept 34014 1e octobre 1990 M L once Deprez appelle lat tention de Mme le ministre d lkgu aupr s du ministre de la culture de ia communication des grands travaux et du Bicentennire de la communication sur la situation de la cha ne t l vis e Sept laquelle s tait attach e l action du regrett Miche
562. tes igure la loi n 86 1020 du 9 septembre 1986 relative la lutte contre le terrorisme modifi e par la loi n 86 1322 du 30 d cembre 1986 Cette extension concernera galement la col lectivit territonale de Mayotte 4678 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 ae oo on D O M T O M Guyanne politique ef r glementation 29835 11 juin 1990 M Fran ols L otard attire l attention de M ie ininistre des d partements et territoires d outre mer sur Ja situation de nos compatriotes qui souhaitent s installer en Guyanne il semble en effet que les Fran ais qui d sirent aller vivre dans ce d partement d outre mer se trouvent confront s un certain nombre de difficult s qui les conduisent souvent renoncer leur entreprise C est pourquoi il lui dmande les dis positions que le Gouvernement entend prendre afin de faciliter leur installation et les aider y rester i R ponse D partement d outie mer la Guyane est soumise la m me r glementation que celle qui pr vaut en m tropole L installation de Fran ais dans ce d partement ne pr sente donc pas au plan juridique de difficult s particuli res Mais comme pour un autre d partemeni toute installation doit tre pr c d e d une tude de la situation conomique du secteur o l int ress souhaite exercer sa profession Le ministre des d partements et territoires d outre mer porte parole du Gouvernement souligne que trop souv
563. th Hubert 32268 Mme Elisabeth Hubert 32270 Mme Elisabeth Hubert 32271 Mme Elisabeth Hubert 32272 Mme Elisabeth Hubert 32273 Mme Elisabeth Hubert 32275 Mme Elisabeth Hubert 32277 Mme Elisabeth Hubert 32278 Mme Elisabeth Hubert 32288 Jean Kiffer 32292 Jean Louis Masson 32311 Aloyse Warhouver 32312 Bernard Bosson 32326 Bruno Bourg Broc 32327 Bruno Bourg Broc 32330 Richard Cazenave 32331 Richard Cazenave 32341 Charles Miossec 32356 Jean Louis Masson 32375 Bruno Bourg Broc 32376 Bernard Bosson AGRICULTURE ET FOR T Nos 32068 Gilbert Millet 32084 Gautier Audinot 32085 Gau tier Audinot 32086 Gantier Audinot 22102 Georges Chavanes 32136 Gautier Audinot 32141 Mme Marie Madeleine Dieulan gard 32167 Jean Desanlis 32108 L once Deprez 32169 Gau tier Audinot 32170 Ren Beaumont 32171 Maurice Briand 32172 Jean de Gaulle 32173 Pierre Goldberg 32174 Jean Dgsanlis 32175 Maurice Briand 32176 Jean Paul Fuchs 32248 Claude Miqueu 32303 L once Deprez 32316 L once Deprez 32318 L once Deprez 32320 L once Deprez 32338 Jean Fran ois Mancel 32362 Bernard Bosson 32363 L once Deprez 32364 Charles F vre 32365 Bernard Bosson 32366 Richzrd Cazenave ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE Nos 32339 Charles Miossec 32358 Bernard Pons BUDGET Mes 32073 Fabien Thi m 32132 Mme Elisabeth Hubert 32149 Bertrand Gallet 32178 Pierre R my Houssin 32179 Andr
564. tien de l espace m diterran en cr ation et p rennisation d emplois productifs production de produits fer miers de qualit Pour permettre cette r introduction il est n ces saire de modifier les articles 137 et 138 du code forestier M Paul Lombard demande M le ministre de l agriculturz et de ia for t s il a fait proc der l tude de la modification des articles 137 et 138 du code forestier afin de permettre le p turage des caprins dans les massifs forestiers Elevage abattage amp 33972 1er octobre 1990 M Jean Tardito attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur les dispa rit s d appiication des r gles sanitaires li es en particulier au march de la viande porcine il lui appara t que le traitement des viandes fra ches faisant l objet d une r glementation sanitaire cf l arr t minist riel du ier f vrier 1974 et les directives no 64 433 C E E set n 72 462 C E E conna t une application sectorielle et partielle Le march de la viande porcine notam ment n est pas soumis des r gles quitablement appliqu es Il constate que les abattoirs d Aubagne se voient imposer le strict respect de la r glementation sanitaire depuis que les abattoirs de Marseille sont conformes tandis que d autres abattoirs dans divers d partements du sud de la France ou de Bretagne b n fi cient d une large tol rance Une note de service DQ SVHA du ter novembre 1986 du se
565. tiers et fluviaux sur le probi me de l clairage des grandes voies de circulation comme moyen de lutte contre les accidents de la route En effet il convient d tudier l application concr te de la circulaire minist rielle du 25 avril 1974 imposant l clairage des autoroutes et des voies rapides partir du seuil fix 50 000 v hicules par jour Apr s avoir effectu un relev fid le des sections d autoroutes il appara t que pr s de 500 kilo m tres de voies dont le trafic est sup rieur au seuil donn ci dessus ne sont pas encore clair s Rem dier cette situation ill gale qui va l encontre des r gles que s est donn es elle m me l administration serait d j un grand pas en avant pour la cause qui nous pr occupe En outre cette circulaire a t tablie il y a plus de quinze ans et il est aujourd hui indispensable de prendre en consid ration l explosion actuelle du trafic routier Il convient de noter d ailleurs que ce seuil est ie plus lev de tous les pays de la C E E ainsi il est de 35 000 v hicules par jour our la Grande Bretagne Il iui demande donc de bien vouloir ui pr ciser quelles dispositions il compte prendre pour rem dier cette situation R ponse Le d veloppement de l clairage syst matique de nuit des autoroutes est une mesure qui soul ve de tr s nombreux d bats beaucoup estiment que la s curit des autoroutes en serait grandement am lior e Un grand n
566. tionnement 27686 30 avril 1990 M Charles Ehrmann demande M le ministre d Etat ministre de l dncation matlonale de la Jeunesse et des aports si pour faire face la grave crise frap pant l universit dans son ensemble il envisage d augmenter les droita d inscription aussi bien quant leur taux que quant au nombre d assujettis afin de d gager une masse fi anci re suffi sante pour que l Alma mater offre un enseignement digne de notre culture de notre histoire et de notre nation R ponse Pour l ann e universitaire 1990 1991 le taux des droits de scolarit dans les universit s est fix 500 francs Bien que modique cette majoration est plus forte que l indice de l voluticn des prix ia consommation 3 p 100 Elle s ajoute l effort tr s important consenti par l Etat depuis 1988 pour l am lioration des conditions dans lesquelles les tudiants poursuivent leurs tudes Ainsi les moyens consacr s l enseignement sup rieur ont t major s de pr s de 20 p 100 depuis cette date soit 19 milliards suppl mentaires Il s y ajoute 16 milliards de francs qui seront affect s au cours des cinq prochaines ann es la construction et l am nagement de locaux destin s l enseigne ment sup rieur et la recherche Dans ces conditions il n est envisag de modifier le nombre des exon rations r glementaires de paiement des droits de scolarit qui depuis 1984 est limit aux boursie
567. tre attire l atten tion de M le secretaire d Etat aupres du ministre de j int rieur charge des coliectivit s territoriales sur les conditions de recrutement des techniciens territonaux La comp tence requise pour ces agents conduit un recrutement dans une tr s large proportion au niveau bac 2 Or il se trouve que le statut parmecier de ces agents pr voit un recrutement au niveau du ac Ce d calage entre le texte et la r alit des besoins se traduit par une difficult croissante recruter des techniciens comp tents vu la r mun ration que les collectivit s sont m me d of fnr Un recrutement esterne de titulaires de dipl mes homo logu s au niveau lH bac 2 ne serait il pas envisageable dans le cadre d un r vision du statut du technicien territorial Compte tenu du r cent accord sur la grille de la fonction publique cela permettrait d int grer ce cadre d emploi au classe ment indiciaire interm diaire I s agit l d une remise niveau statutaire dont le financement est pr vu dans l accord du 9 f vrier 1990 Aussi il lui demande quelles sont ses intentions ce propos Question transmise M ie ministre d l gu aupr s du ministre de l int rieur Fonctions publiques territoriales sraruts 31825 16 juillet 1990 M Edouard Landraln interroge M le secr taire d Etat aupr s du ministre de l Int rieur charg des lt ollectivit s territoriales propos du recrutement 4 techn
568. u Michei 32397 transports routiers et fluviaux lt m amo 32191 ducation nationale jeunesse et sports 32202 amille D Debr Bernard 32646 ducation nationale jeunesse et sports 32647 ducation nationale jeunesse et sports 32650 ducation nationale jeunesse et sports 32653 ducation nationale jeunesse et sports 32655 ducation nationale jeunesse et sports Dehaine Arthur 31918 int rieur Delehedde Andr 31223 int rieur ministre d l gu Demange Jean Marie 24178 int neur ministre d l gu 28638 int neur 31900 int rieur 32601 int r uur 32602 int rieur 32608 int rieur Deniau Xavier 27556 int rieur Deprez L once 28961 solidant sant et protection sociale 19932 justice 31345 solidant sant et protection sociale 31350 culture communication grands travaux et Bicentenaire 32225 transports routiers et fluviaux Desaniis Jenaa 32107 ducation nationale jeunesse et sports 32110 ducation nationale jeunesse et sports 32113 ducation nationale jeunesse et sports Desseln Jean Claude 31406 solidant sant et protection sociale Devaquet Alzla 29836 recherche et technologie Dray Jullea 31557 solidarit sant et protection sociale Drouia Ren 31857 transports routiers et fluviaux Ducout Pierre 32388 int rieur ministre d l gu Dugoia Xavier 24010 int rieur 29408
569. u 22 d cembre 1989 les articles R 821 4 et R 821 11 du code de la s cunt sociale ont t modifies conform ment aux engagements pns le 10 mars 1989 Le texts qui constitue un vrai progr s pour les adultes handicap s ne concerne que le versement de l A A H Or par ur de soixante ans pour les handicapes ce versement est remplac par le Fonds nationali de solidarit 11 lui demande s il ne pensz pas souhaitable d tendre le dispositif du d cret du 22 d cembre 1989 au Fonds national de solidarit afin que les personnes g es handicap es b n ficient des m mes avantages Retraites g n ralit s Fonds national de sodidante 31559 appeler l attention de Mi le ministre de la solidarite de la sant et de la protection sociale sur les ressources des per sonn s handicap es g es de soixante ans et plus Le d cret n gt 89 921 du 22 d cembre 1989 modifiant les articles R 821 4 et R 821 1 du code de la s curit sociale stipule Les presta uons famihales la retraite du combaitant les pensions attach es aux distinctions hononfiques et l allocauon de logement n entrent pas en compte pour l attnbution de l allocation auz adultes han dicer N entrent pas non plus en compte pour l attnbution de cette allocauon les rentes viag res mentionn es au 2 de l ar ucie 199 septies du code g n ral des imp ts lorsqu elles ont te constitu es en faveur d une personne handicap e ou dans la h
570. u Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembite natio nale et con enant cent oropositions dont l une est ainsi r dig e Un service de protection de l environnement de pr vention et de lutte contre les risques majeurs est institu au titre des formes civiles du service national Les brigades vertes accueillent en priorit les jeunes gens du contingent effectuant leur service national dans ce cadre il iui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quellies suites ie Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31976 23 juillet 1990 M Michel Barnler rappelie M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charge de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il 2 tabli un rapport sur la politique de l environnc ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio naie et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Dans le cadre de la proc dure de certification de qualit il est institu un m canisme d attribution d un iabel Eco produit
571. u Premier ministre charg de l eavironnement et de la pr vention des risques technologiques et aatureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission ces finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les effectifs de l inspection des installations class es 554 en 1990 seront doubl s d ici 1993 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelies suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan netional pour l environner ent Environnemer t politique et r glementation 31942 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement ei de pr vention des risques technologiques et aaturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commissies des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l evironne merit d pos le 11 avrii 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent prepositions dont l une est ainsi r dig e Des services exi rieurx de l environnement sont mis en place au plan r gional
572. u de r sidence pour le compte de l institution comp tente Per mesure de simplification administrative cer taines caisses primaires d assurance maladie ont pris la responsa bilit de d livrer une carte attestant d une part la qualit d assur d un r gime de s curit sociale trang re et d autre part des drolts prestations aux travailleurs qui en font la demande D autres caisses come celle de Thionville se sont limit es attester de la qualit d assur ce qui fucilite les d marches d ad mission en cas d hospitalisation par exemple mais ne permet pas de b n ficier du tiers payant chez les pharmaciens qui sont en droit de refuser cette proc dure dans ces conditions Le minist re de la solidarit de la sant et de la protection sociale n est pas oppos l extension de le d livrance d un document attestant du droit pour une dur e donn e des assur s b n ficiant des disposi tion de l article 19 du r glement C E E n 1408 71 dans la mesure o l Institution comp tente trang re peut d livrer la caisse fran aise une attestation du droit de l assur en cause pour la m me dur e Un projet ayant pour objectif la d livrance g n ralli e d une attestation de droits aux assur s sociaux sous la forme d uns carte verte est en voie de r alisation L dition de cette certe devrait intervenir en 1991 Retraites g n ralit s cotisations 29314 4 juin 1990 M Jean Luc Preel attire l attenti
573. u elles ont t constitu es en faveur d une personne handicap e ou par une per FAN Manu apie tic inmdie Or c deviei ne zonacarne que lal location aux adultes handicr l lui demande s il envisage u il soit tendu au Fonds national de sulidarit car cette presta ton remplace l A A H partir de soixante ans afin que les per sonnes g es puissent elles aussi sn b n ficier Retraites g n ralit s Fonds national ds soliderit 31406 9 juiiiet 1990 M Jean Claude Dessein attire l at tention de M le ministr de la scildarit de la sant et de la protection sociale sur les conditions de versement du Fonds national de 10lidarit comme prestation de substitution l alloca tion aux adultes handicaps A A H partir ac soixante ans Le d cret no 49 921 du 22 d cembre 1989 mouifiant les articles R 821 4 et R 821 11 du code de la s curit sociale sti pule d sormais que l presiarions familiales la retraite du ASSEMBL E NATIONALE 4631 combattant les pensions attach es aux distinctions honorifiques et l allation de logement n entrent pas en compte pour attri bution de l allocation aux adultes handicap s Or le texte pr cit ne concerne que allocation aux adultes handicap s En cons quence il iui demande quelles mesures it envisage de prendre pour tendre les dispositions de ce d cret au F N S car cette prestation remplace l A A H partir de soixante ans Retrait
574. u ministre de l iat rieur que lors du Congr s nationa des sapeurs pompiers fran ais qui s est d roul La Baule en septembre 1989 le Pre mier ministre d clarait entre autres dans son allocution il est normal que le C ouvernement s int resse l am lioration de vos structures professionnelles et apporte une r ponse vos pr occu patiors d ordre statutaire et social Dans ce sens les sapeurs pompiers volontaires attendent un v ritable statut traitant de l or ganisation op rationnelle territoriale la disponibilit ses mesures incitatives la formation ses compensations la protec tion sociale l int gration des sapeurs pompiers permanents en fin de carri res la reconnaissance d cente par la nation de la mission de service public accomplie par le sapeur pompier volontaire Pour le servic de sant les sapeurs pompiers deman dent depuis des ann es la reconnaissance et la d finition de leur r lc Pour les sapeurs pompiers professionnels dont les statuts sur le point d ire publi s semblent ne pas r pondre uniquement leur attente 11 lui demande o on en est de la publication des statuts annonc s au congr s de La Baule S curit civile sapeurs pompiers 34026 10 octobre 1996 M Jean Fran ois Mancel appelle l attention de M le ministre d l ju aupr s du ministre de l int rieur sur les vives inqui tudes des sapeurs pompiers concer nant certains d crets r
575. u priv s non b tis Le r le de cette structure est de pourvoir au pr verdissemen puis l entre tien de ces espaces I fui demande de quelles tudes cette pro position a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31995 23 juillet 1990 M Michel Baraier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de i enviroaaement et de ia pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Les comp tences dont disposent le d partement et l Etat pour assurer l entretien et la propret des routes dont ils ont respective ment la charge sont tendues une bande de 100 m tres de part et d autre des voies 11 lui demande de quelles tudes cette propo sition a fait l objet de la part de ses serviczs ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnem
576. u statut de l lu local Ce texte d finit l lu local comme tant l lu municipal d partemental et r gional La loi a institu aupr s des conseils r gionaux des comit s conomiques et sociaux r gionaux qui concourent l administration de la r gion Cette sp cificit implique qu au statut de l lu r gional soit associ un statut propre aux membres des comit s cono miques et sociaux r gionaux Or aucun des textes d finissant l or genisation et le fonctionnement des comit s conomiques et sociaux r ginnaux ne fait r f rence un statut sp cifique leurs membres C est pourquoi il parait souhaitable que le projet de loi r voie en faveur de ceux ci un v ritable statut qui concernerait es autorisations d absences l institution d un syst me de cr dit d heures l action de garanties professionnelles et de d roulement des carri res les r gles indemnitaires et un v ritable droit la formation afin que les int ress s voient l exercice de leur mandat facilit Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer la suite qu il entend r server cette requ te R ponse La loi du 5 juillet 1972 portant cr ation et organisa tion des r gions a tendu le b n fice du r gime indemnitaire et du r gime des autorisations d absences actuellement en vigueur pour les conseillers g n raux et r gionaux aux membres des comit s conomiques ei sociaux r gionaux Sur la base des obser vations et des conclusio
577. ubliques 50 droit rural droit orestier extractions de mat riaux droit des march s publics 6 sant publique protec tion sociale et droit du travail 7 circulation routi re assurance des v hicules automobiles indemnisation des accidents de la cir culation 8 protection de la nature des espaces sensibles et de l environnement lutte contre la pollution pr vention des risques majeurs D ores et d j deux ordonnances ent t publi es l or donnance n 99 570 du 25 juin 1990 portant extension et adapta tion la collectivit territoriale de Mayotte de diverses disposi tions l gislatives relatives la sant publique et l ordonnance no 90 571 du 25 juin 1990 portant extension et adaptation de dispositions du code de l urbanisme dans la collectivit territo nalt de Mayotte Le Gouvernement pr pare activement les autres ordonnanses Celles relatives au droit p nal au droit du travail la protection de la nature au droit des march s publics la sant publique la circulation routi re ei au r gime comptable et financier pourraient tre prises d ici la fin de l ann e Cet important chantier de nature l gislative r pond ainsi au souci du Gouvernement de duter la collectivit terntoriale de Mayotte des instruments juridiques qui permettent son d veloppement tout en pr servant son identit D O0 M T 0 M T O M ordre public 19727 6 novembre 1989 M Plerre M haignerie atti
578. ue le Gouvernement compte adopter dans ce domaine R e La revalorisation de la lettre cl AMi qui r mun re l activit des infirmiers et des infirmi res est effectu e par le biais d avenants tarifaires la convention nati nale de ia profession n goci s entre les parties signataires du texte conventionnel et approu ensuite par arr t s interminist riels Les pouvoirs publics tudient actuellement les propositions de revalorisation tarifaire formul es pir les parties conventionnelles Cependant les propositions relatives au traitement d antibioth rapie pour muscoviscidose que la commission perm nentt de la nomencia ture g n rale des actes professionnels a fait parvenir l adminis traion ont t accept es ies pouvoirs publics conform ment au contenu de l arr t du 27 juin 1990 paru au Journai officiel du S juiiket 1990 Professions param dicales masseurs kin sith rapeutes 32993 20 ao t 1990 M Maurice Adevah Peuf attire l at tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale sur le souhait des kin sith rapeutes de voir prochainement revaloriser leur lettre ci professionnelle Les int ress s rappellent que ia derni re revalorisation date de vingt neuf mois et que la derni re n gociation conventionnelle avait d bouch sur un accord applicable au 15 mars 1990 Ii Iui demande donc de lui indiquer ce qu il envisage pour d bloquer cette situation R ponse
579. ue les anciens combattants de la Seccnde Guerre mondiale n ont Fe eu droit dans le r gime g n ral d assurance vieillesse et les r gimes align s sur lui une pension de retraite anticip e avant l ge de soixante ans par la C N A V TS les b n ficiaires d une post rieure au 31 mai 1983 voient leur pension d invalidit rem Handicap s allocation compensatrice 32408 6 ao t 1990 Selon les documents remis au public pension d invalidit plac e soixante ans par ane pension vieillesse Ceux qui b n fi cient d une allocation pour tierce personae ne toucheront plus u une allocation d environ 4 320 francs au lieu de 522 34 francs Dans ces conditions comment les int ress s pourraient ils r mun rer cette tierce personne alors qu ils doivent en payer les charges patronales M Claude G rard Marcus demande M le ministre de la solidarit de la Sant et de la h pite soclale ce qu il entend faire pour trouver une solution ce probl me qui touche plusieurs milliers d invalides de 3 cat gorie R ponse Aucune disposition l gislative ou r glementaire ne limite le droit ou le montant de la majoration pour tierce per sonne accord e aux assur s dont la pension d invalidit a t liquid e compter du 31 mai 1983 ou post rieurement Lorsque les int ress s atteignent l ge de soixante ans leur pension d in validit est transform e en pension de vieillesse laquelle s ajoute
580. ues pour les r sidences secondaires Il lui fait remar uer que cette mesure risque de provoquer une forte diminution es transactions ce qui entra nerait une baisse de la construction neuve qui constitue une source d activit et de revenus impor tants pour de nombreuses r gions d favoris es De plus une telle disposition serait tout fait en opposition avec les incitations l investissement locatif qui ont t adopt es et renouvel es par ia loi de finances nour 1990 11 lui demande de bien vouloir tenir compte de ces diff rentes remarques dans le projet de loi de finances pour 1991 T V A taux 33953 i r octobre 199 M Jacques Godfrsin expose M le ministre d l gu aupr s n ministre d Etat ministre de l conomie des fimances et da budget charg dn budget l in Pia dont vient de lui faire part le pr sident de ia conf rence es b tonniers devant l annonce qui vient d tre faite de la fixa tion anticip e du nouveau taux de la T V A normalement envi s g e pour le l janvier 1992 ou 1993 d s le ler janvier 1991 Ce nouveau taux de T Y A se monterait 18 60 p 100 pour les affaires normales et 5 60 p 100 pour les affaires relevant de l aide judiciaire La pr cipitation dans laqueile a t d cid e cette mesure ne permet pas aux professionnels concern s de mettre en place les n cessaires adaptations comptables et informatiques le recouvrement des provisions des frais et des honorair
581. uillet 1990 NE F Livtard attire l arten tion de M le ministre de ia solidarit de la sant et de la protectioe sociale sur ie d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 modifiant ies articles R 821 4 et R 21 11 du code de la s curit sociale relatif aux conditions de versement de l allocation aux aduites handicap s En effet ies pressations familiales ia retmite du combattant les pensions atiach es aux distinctions honori fiques et l allocation de logement n entrent pas en compte pour l attnibution de l allocation aux adultes handicap s N entrent pas non plus en compte pour l attnhunon de cette allocation leu rentes visg res mentionn es au second paragraphe de l ar ich 99 septies du code g n ral des imp ts lorsqu eiles ont t constitu es en faveur d une personne handicap e ou dans ia limite d un montant lix par d cret lorsqu elles ont t consti tu es par une personne handicap e pour elle m me Par un cour ner dat du 10 mars 1989 adress aux parlementaires le ministre de la solidarit de la sant et de ia protection sociale indiquait v un texte r visant le versement ge l ailocation aux adultes an icap s et du Fonds national de solidant tait l ude Or le d cret pr cit ne concerne que l allocation aux adultes handi rats C est pourquoi il lui demande s il compte tendre cette un au Fonds national de solidarit cette prestation rempla ant r allocation aux a
582. ulement pour enrayer le d clin de cet enseignement mais aussi le renforcer et le d velopper dans les tablissements sco laires de second d gr R ponse Le d veloppement de l enseignement des langues vivantes constitue une priorit dans le syst me ducatif fran ais Cet enscignement repose sur deux principes pluralisme des langues offertes au travers d un ventail de quaiorze langues au lyc e dont le russe et libre choix des familles En ce qui concerne l enseignement du russe et des autres langues de l Eu rope de l Est la situation dans les lyc es est la suivante le russe peut tre tudi en premi re seconde troisi me langue vivante trang re suivant les s ries Il peut faire l objet d une preuve obligatoire ou facultative au baccalaur at Les programmes de russe comme ceux des autres langues vivantes ont t r nov s la rentr e scolaire de 1987 en classe de seconde en 1988 en classe de premi re et en 1989 en classe terminale les objectifs poursuivis en mati re de programme sont triples communica tionnel culturel et linguistique Pour la pr sente ann e scolaire 2 302 l ves pratiquent le russe comme premi re langue diminu tion de 3 2 p 100 par rapport aux effectifs de l ann e derni re 5 407 comme second langue augmentation de 12 6 p 100 par rapport aux effectifs de l ann e derni re 13307 en troisi me langue augmentation de 25 8 p 100 par rapport aux effectifs de l an
583. unctions honorifiques et l allocation de logement n entrent pas en compte pour l attribution de l allocation aux sdultes handicap s N entrent pas non plus en compte pour l attribution de cette allo cation les rentes viag res mentionn es au 2 de l ar ticle 199 septies du code g n ral des imp ts lorsqu elles ont t constitu es en faveur d une personne handicap e ou dans la limite d un montant fix par d cret lorsqu elles ont t consti tu es par une personne handicap e pour elle m me Un texte r visant le versement de l allocation aux adultes handicap s et du Fonds national de solidarit est actuellement en cours d examen au minist re de la sant Cependant le d cret pr cit ne concerne ue l allocation aux adultes handicap s C est pourquoi il lui emande s il envisage d tendre ce d cret au Fonds national de solidarit cette prestation rempla ant l A A H soixante ans Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 30946 2 juillet 1990 M Bernard Pons rappelle M le ministre de la solidarit de la sante et de in pretcction sociale que le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 a modifi les articles R 821 4 et R 821 11 du code de la s curit sociale et relatif aux conditions de versement de l allocation aux adultes handicap s L article le de ce texte a remplac les dispositions anciennes de l articies R 821 4 par les dispositions suivantes Les prestations famili
584. unissant les comp tences actuelle ment exerc es par la commission d partementale des sites et la commission des carri res Cette nouvelle commission est pr sid e par le pr sident du conseil g n ral Les associations de protection de l environnement et du cadre de vie y sont repr sent es Elle est saisie noiamment pour avis des propositions relatives aux pro grammes financ s par le fonds d partemental des espaces naturels et sensibles et le fonds d partemental de gestion des sites ainsi que de leur suivi Elle a vocation examiner toute question relative l environnement dans le d partement soulev e notamment par le rejet Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronriement Environnement politique et r glementation 32015 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l
585. universit de la R union qui va mettre en place des formations nouvelles a l ambition d tre la principale universit de l oc an Indien 11 lui demande de faire conna tre les mesures qu il envi sage de prendre pour que la situation soit d bloqu e et les tra vaux entrepris le plus rapidement et dans les meilleures condi tions possibles R ponse Le ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports reste tr s attentif au bon d veloppenient de l univer sit de la R union Le contrat de plan Etat r gion 1989 1993 repr sente un investissement immobilier de pr s de 120 millions de francs financ parit avec les collectivit s locales Parmi les op rations retenues la salle omnisports et le b timent de l U F R de lettres sont d j engag s et leurs tudes en cours de mise au point L extension de l U F R de droit a fait galement l objet d une approbation Par ailleurs des cr dits seront mis en place d s cette ann e afin de r aliser sur le campus m me un restau rant universitaire suppl mentaire ainsi qu une caf t ria La m de cine pr ventive b n ficiera dcs nouveaux locaux dont le besoin avait t reccnnu dans ie cadre du contrat quadriennal de d ve loppement que l universit a n goci avec l Etat Enfin la rentr e universitaire prochaiue devrait tre facilit e par l ouverture de 670 m tres carr s de locaux r alis s en constructions l g res Enseignement sup rieur fonc
586. uoi d lui deman is que solidarit puisque cette prestation remplace l A A H partir de soixante ans Retraires g n ralit s Fonds national de solidarit 31569 16 juillet 1990 M Jacques attire l attention de M le ministre de 1s solidarit de la sante et de la protec tion sociale sur les conditions de versement de l allocation du fonds national de solidarit Le d cret n 89 921 du 22 d cembre 1989 modifiant les articles R 821 4 et R821 11 du code de la s cunt sociale ne porte r vision que de l attribution de l allocation aux adultes handicap s lui demande s il envi sage d tendre son champ d application pour ce qui concerne le fonds national de solidant cette prestation rempla ant l alloca tion adulte handicap soixante ans Retraites g n ralit s Fonds national de solidarit 31871 16 juillet 1990 M Jeaa Rigal attire l attention de M le ministre de la solidarit de la sante et de la protections sociale sur la n cessit d tendre les dispositions du d cret 89 921 du 22 d cembre 989 relatif aux conditions de ver sement de l allocation aux adultes handicap s l attnbution du Fonds national de solidant qui partir de soixante ans prend le relais il lui demande s il compte prendre des mesures allant dans ce sens et ce dans le souci de ne pas d favoriser les per sonnes handicap es de plus de soixante ans Retraites g n ralit s Fonds national de solid
587. up rieure de niveau bac 2 Or il se trouve que le statut particulier de ces agents pr voit un recrutement au niveau du bac Il y a l un d calage entre le texte et la r alit des besoins qui se traduit par une difficult croissante recruter des technicients comp tents C est pourquoi il demande s il ne juge pas n cessaire de proc der la r vision du statut de technicien territorial en pr voyant un recrutement externe de titulaires de dipl mes homo logu s au niveau 111 Cela permettrait compte tenu du r cent accord sur la grille de la fonction publique d int grer ce cadre d emploi au classement indiciaire interm diaire R ponse Le protocole d accord conclu le 9 f vrier 1990 sur la r novation de la grille des classifications et des r mun rations des trois fonctions publiques pr voit la cr ation d un classement indiciaire interm diaire C 11 Ce classement est pr vu pour des corps et les cadres d emplois remplissant les deux conditions sui vantes une qualification sp cifique de nature technico professionnelle An dur e d au moins deux ans au del du bac Calaur at n cessaire l exercice d un m tier comportant des responsabilit s particuli res l exercice effectif des responsabilit s et des technicit s inh rentes ces m tiers Le protocole d accord donne la liste des corps et cadres d emplois susceptibles de b n ficier de ces dispositions Les techniciens territoriaux ne pou vaient fi
588. ur gard les engage ments pris R ponse Le relev de discussion sign le 25 juin 1990 par le Gouvernement et les partenaires sociaux pr voit que jusqu au 31 d cembre 1993 le financement des d penses de garanties de ressources et d abaissement de l ge de la retraite soixsnte ans dans les r gimes conipl mentaires de retraite des salari s restera assur par l association pour la gestion de la structure financi re A S F avec une participation firnanci re de l Etat a pm Pauvret fR M I 26320 26 mars i990 M Charles F vre demande M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociale de lui faire conna tre les r sultats de la mise en uvre du revenu minimum d insertion pr vu par la loi du ler d cembre 1988 notamment quant au nombre Je b n ficiaires au ler janvier 1990 uinsi qu au regard du co t budg taire de ceite mesure au titre de l ann e 1989 il souhaiterait gaiement qu il ivi indique le pourcentage des b n ficiaires du R M I ayant sign un contrat d insertion cet gard en lui signalant qu un d parte ment comme la Haute Marne amp obtenu ce jour un pourcentage de contrats d insertion de plus de 90 p 100 ui est loin d tre atteint dans beaucoup d autres d partements il lui demsnde s il ne lui para trait pas utile que fa Haute Msrne soit en la mati re d sign e comme d partement pilote susceptible d tre quant aux m thodes et donc aux
589. urance formation transport et constatent que les fonds vers s par les taxis de province aux chambres de m tiers ne leur sont pas revers s pour les formations lls souhaitent galement la mise en place d une l gisltion instituant un examen de capacit sous la comp tence des pr fets Elle lui demande de bien vouloir lui indiquer les suites qu il entend donner ces demandes Assurance maludie maternit prestations prestations en esp ces 33941 1e octobre 1990 Mme Martine Decgreilh appelle l attention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de l industrie e de l am nagerknt dn territoire charg du com merce et de l artisanat sur les graves probl mes que rencon trent les artisans taxis du fait de la multiplication des agressions dont ils sont l objet lis souhaitent qu en cas d arr t de travail cccasionn par une agression les caisses artisanales allouent un secours imm diat avec suspension des cotisations car la proc dure d indemnisation du fonds national est parfois longue et dif ficile obtenir Elle lui demande donc s il compte prendre des mesures ailant vans ce sens COMMERCE EXT RIEUR Commerce ext rieur ile Maurice 33864 i r octobre 1990 M Eric Raoalt attire l attention de M le miaistre du commerce ext rieur sur les changes commerciaux et leur d veloppement avec lile Maurice La France ayant une carte commerciale tr s inportante jouer avec l le Maurice il souhai
590. ureau des Assembl es un rapport annuel sur l tat de l environnement qui donne lieu 4 un d bat il iui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de fa pari de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31954 23 juillet 1990 ef Michel Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupres du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et matureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plar il a tabli un rapport sur la politique d l environnc ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl c natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un minist re charg de l environnement et du cadre de vie est cr Il regroupe le secr tariat d Etat actuel l environnement le minist re de l quipement et un certain nombre de services vu direc tions appartenant aujourd hui aux minist res de l agriculture for ts et eau de l industrie fs curit industrielle er s ret nucl aire et de la sant hygi ne du milieu Voir proposition d organigranime en annexe l lui demande de quelles tuces cette proposition a oo ne re oo r a e e a oo q
591. ustriels de classe II d chets encombrants ordures m nag res d chets toxiques en quantit comimunes ou ta blissements publics de coop ration intercommunale d chets de classe II Les sch mas de d chets de classe I et II et de d chets contamin s font l objet d une A publique et sont approuv s par l Etat 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d parte ments et quelles suites le Gouvernement entend lvi donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l envi ronnement Environnement politique et r glementation 32041 23 juillet 990 M Michel Bernier rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en a pe du mandat qui iui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont s une est ainsi r dig e La r gion re oit comp tence pour l ouverture et le suiv des d charges de classe I le d partement des sites de classe IT et les communes et tablissements publics de coop ration intercommunale des sites de classe III Les collectivit s ne peuvent y d l guer la totalit de la gestion de ces sit
592. utives la r duction de l effectif des agents en poste doivent trouver progressitement leur solution puisque Ars nomiaations sont en cours dans cet important service des chives nationales et doivent permettre de r tablir progressive ment le rythme des communications D FENSE Minist res et secr tariats d Etat d fense personnel 29950 li juin 1990 Un projet de restructuration de l arm e fran aise appel plan 2000 fait tat d une r duction des effectifs militaires plus ou moins long terme M Pierre Micanx demande M le ministre de la d fense de lui pr ciser l importance des r ductions d effectifs envisag es le nombre d unit s appel es disparaitre le nombre d unit s qui seront cr es quelles seront elles et o seront elles implant es Enfin suivant quel ch ancier cette restructuration est elle envisag e R ponse Avec le pian Arm es 2000 le ministre de la d fense a entrepris d adapter notre outil militaire volution du contexte international Pour que nos forces soient aptes la ges tion des crises susceptibles d intervenir en Europe et dans le monde il fallait que notre dispositif soit plus coh rent et nos unit s plus mobiles et plus souples Le concept traditionnel fos tement ancr dans notre histoire militaire d une lente mont e en puissance est r volu La disponibilit up rationnelle doit tre per manente Tel est l un des objectifs principaux de ce pl
593. utorit administrative d arbi trage et de saisins du juge administratif et judiciaire La Haute Autorit de l environnement peut se saisir elle m me ou tre saisie par le Premier ministre les pr sidents de l Assembl e nationale ou du S nat soixante d put s ou soixante s nateurs les pr sidents de conseil r gional ou de conseil g n ral sur voie ue leur assembl e la majorit qualifi e ou cent maires Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements er quelles suites le Gouverne ment entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31953 23 juillet 1990 M Michei Barnler rappelle M le secr taire d Etat aupr s du Premler ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale ct du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e sll est constitu dans les assembl es une d l gation parlementaire l environnement disposant de pouvoirs d information et de contr le de l action gouvernementale Le Gouvernement d pose sur le b
594. uvernement d assurer aux personnes g es d pendantes les soins qu exige leur dignit et les moyens accord s pour le faire Il lui demande s il envisage de relever le forfait soins afin que les maisons d accueil m dicalis es pour les personnes g es d pendantes puissent faire face leurs obligations sans entrainer un d ficit de gestion qui serait d sastreux tant pour les r sidants eux m mes que pour l avenir des tablissements Logement allocations de logement 34029 ler octobre 1990 M Jean Jacques Weber attire l attention de M le ministre d l gu aupr s du ministre de ia solidarit de la sant et de ia protection sociale charg des personnes g es sur le probl me pos par les modalit s de ver sement de l allocation de logement social Jusqu pr sent cette prestation de par son caract re incessible et insaisissable ne pouvait tre per ue directement par les responsables d tablisse ments h bergeant des personnes g es que dans des conditions bien pr cises tenant la nature de l tablissement tablissements habilit s accueillir des personnes g es au titre de l aide sociale ou en cas d incident de paiement Des limitations exis tantes tant source de difficult s tant pour les gestionnaires de logements ou lieux d h bergement que pour les aliocataires il a paru souhaitable d assurer une application plus ais e du principe ler octobre 1999 ASSEMBL E NATIONALE
595. ux usagers de l h pital intercom nunal de Montreuil sous Bois d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis Peter 33984 1 octobre 1990 M Marceiin Berthelot attire l at tention de M le ministre de la soiidarite de sante et de la protection sociaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradiologie concernant la mise en service de l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital de Montmorency d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33985 1 octobre 1990 M Marce in Berthelot attire lat tertion de M le ministre de la solidarit de la sante et de la protection sociaie sur les cons quences de la p nurie de mani pulateurs d lectroradiologie conceniant la mise en service de l appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 iui demande quelies mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettan
596. ux de la pension de r version 60 p 100 moyen terme ou avec un ch ancier de plusieurs ann es Dans l imm diat il lui demande si le minimum de la pension de r version peut tre align sur le montant garanti du minimum de pension indice 199 mesure qui viterait aux plus d munies de faire appel au Fonds national de solidarit pour atteindre le minimum vieillesse Retrait s g n ralit s allocaiion de veuvage 29398 4 juin 1990 M Jean Luc Preel attire l attention de M le miaistre de ia solidarit de la saat et de la protection sociale sur l assurance veuvage Le fonds national de l assurance veuvage cr en 1980 est largement exc dentaire fonds de rou lement au 31 d cembre 1989 de 8 334 milliards de francs Or 28 100 seulement des fonds collect s sont redistnbu s aux veufs et veuves En effet le versement est soumis des condi tlons de ressources ir s restrictives Ainsi seules 32 p 100 des femmes inactives 40 p 190 des femmes ayant des enfants charge peuvent en b n ficier Par cons quent il lui demande premi rement de relever le pla nnd des ressources ce qui per mettrait notamment certains veufs de r mun rer une personne temps partiel pour les charges du m nage Deuxi mement il lui demande de verser l assurance veuvage pendant cinq ans et tant que le veuf ou la veuve a des enfants charge Tioisi mement il lui demande d accorder le b n fice de l assurance mala
597. ux principes r affirm s au lendemain de la crise scolaire de 1984 Retraites r gimes ant rieurs et sp ciaux collectivit s locales montant des pensions 33949 ier octobre 1990 Au terme d une question crite n 25624 parue au Journal officiel du 12 mars 1990 M Jean Charles Cavaiil demandait M le ministre de i int rieur de bien vouloir lui pr ciser dans quels d lais interviendrait la proc dure dite d assimilation des agents territoriaux pr sent retrait s proc dure qui devrait entrainer une r vision de leur pension cons cutive au changement d indice 1 lui a t r pondu qu un d cret tait alors en cours de pr paration 11 souhaiterait conna tre aujourd hui quelle date approximative ce texte va para tre Collectivit s locales fonctionnement 33960 1er octobre 1990 M Albert Brochard demande M le ministre de l Int rleur de lui pr ciser l tat actuel des travaux de la mission charg e de d finir pr cis ment les mis sions de l institut sa localisation ses moyens de fonctionnement les conditions de sa gestion et notamment la participation des lus locaux avant le H septembre 1990 selon les directives du ministre de l int rieur du 23 mai 1990 relatives la mise en uvre d un institut des collectivit s locales S curit sociale sapeurs pompiers 34025 le octobre 1990 M Joseph Henri Maujo an du Gasset cxpose M le ministre delegue aupr s d
598. variation des effectifs pr vue pour la rentr e prochaine est de 3793 l ves coll ges et lyc es confondus La dotation pr vue est la suivante emplois 244 stagiaires C P R 20 heures suppl mentaires en quivalent emplois 309 emplois Ces dotations ont t notifi es au rec teur et c est ce dernier en liaison avec les inspecteurs d aca d mie pour les coll ges qu il appartient de rechercher l utilisation la plus rationnelle possible de l ensemble des moyens mis leur disposition pour r pondre aux objectifs prioritaires fix s pour la rentr e scolaire 1990 En vertu des mesures de d concentration administrative il ap artient aux inspecteurs d acad mie d implanter dans les co es de leur ressort les moyens dont ils disposent en proc dant si n cessaire des transformations ou des transferts d emplois susceptibles de mieux adapter leur potentiel aux besoins ressentis au plan local S agis sant de la situation du coll ge d Avord il conviendrait donc de prendre l attache de l inspecteur d acad mie directeur d parte mental de l ducation nationale du Cher seul en mesure de pr ciser les raisons des d cisions qu il a t amen prendre concer nant cet tablissement Enseignement publicit 29849 11 juin 1990 M Georges Hage attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de l ducation nationale de ia Jeunesse et des rts sur la multiplication des entraves au p
599. ver d un seul r gime de pro tection sociale celui de l activit principale d s lors que les revenus tir s de ces deux activit s seront soumis un r gime r el ou transitoire d imposition Le d cret pr vu pour l application de cet article qui doit notamment fixer le seuil que ne devront pas exc der les recettes procur es par l activit accessoire pour tre rattach es celles de l activit principale est actueliement en cours d examen par les instances concern es Cette mesure de rattachement un seul r gime social sera applicable d s la paru tion du d cret pr cit Mutualit sociale azricole b n ficiaires 30702 25 juin 1990 M Jean Luc Reltzer attire l attention de M le ministre de l agriculture et de la for t sur la situa tion de certaines cat gories de pluriactifs au regard de la loi du 23 janvier 1990 compl mentaire la loi d adaptation agricole du 4674 ASSEMBL E NATIONALE ler octobre 1990 30 d cembre 1988 Cette loi a clarifi la situation des pluriactifs exer ant une activit agro tounstique ayant pour support l exploi tetion en les maintenant dans le r gime de protection sociale agricole Reste cependant pos le probl me des plunactifs rele vant de l article 69 de la loi du 23 janvier 1990 savoir ceux qui sont soumis au r gime r el ou transitoire d imposition et qui rel veront en mati re de protection sociale du r gime correspondant leur activ
600. vers zs sous la d nomination de bourses des tudiants qui s engagent en contrepartie effectuer sous le contr le d un profssseur ou d un chef de service des travaux ou des recherches dont la nature ou le but est nettement pr cis sont imposables dans la cat gorie dea traitements et salaires elles n entrent donc pas dans le champ d application de la T V A Enfin les bourses d tudes accord es en fonction de crit res sociaux par l Etat les collectivit s publiques ou les tablissements publics sont exon r es d imp t sur le revenu et plac es hors du champ d application de la T V A d s lors qu elles ont pour objet de permettre aux b n ficiaires de poursuivre leurs tudes en sup pl ant l insuffisance de leurs ressources Par ailleurs la qualift cation des bourses d tudes au regard de la s curit sociale ne d pend pas de leur appellation mais des circonstances de fait qui permettent d appr cier si la bourse doit tre assimili e une r mun ration assujettissable au r gime g n ral ou n est qu un secours permettant l tudiant de poursuivre ses iudes Cette appr ciation est de la comp tence des organismes de s curit sociale Dans le cas o les bourses sont assimilables des r mu n rations le fait qu elles supportent des charges sociales ne peut tre consid r comme un d tournement de leur objet pas plus ue l assujet issement l imp t sur le revenu de la r mun ration u scientifi
601. versit d Aix Marseille I11 n a pas re u un avis favorable des experts qui l ont examin et il n a pas t propos l habili tation Ce D E A habilit pour un an en 1989 a t consid r comme trop h t rog ne aussi bien du point de vue des th mes des enseignements qui y sont dispens s que de la qualit des quipes de recherche d accueil qui forment les tudiants Ia recherche Enseignement maternel et primaire fonctionnement 30528 25 juin 1990 M Augustin Bonrepaux attire l at tention de M le ministre d Etat ministre de l ducation nationale de la jeunesse et des sports sur l enseignement des langues vivantes l cole l mentaire En effet les cr dits pr vus 4582 ASSEMBL E NATIONALE ier octobre 1990 pour cet enseignement paraissent suffisants mais ne peuvent tre utilis s en raison du manqg e d enseignants appartenant l duca tion nationale dispos s le mettre en uvre Ces cr dits ne pou vant servir pour r mun rer des intervenants ext rieurs l duca tion nationale cet enseignement tr s important pour la formation des jeunes enfants est peu ou mal pratiqu I lui demande quelles mesures il tend prendre afin d am liorer la rentr e ou l enseignement des langue vivantes l cole mater nelle R ponse L exp rimentation contr l e de l enseignement d une langue vivanie trang re l cole l mentaire qui a d but la rentr e sc
602. vices ou des services d autres d partements et quelle suite le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l en vironnement Environnement ipolitique et r glementation 32000 23 jurlet 1999 M Michei Barnier rappelle M le secr taire d Etat supr s du Premier ministre charg de l environnement et de ia pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment depos le 1 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Le syst me des redevances des agences de bassin est revu pour prendre en compte ioutes les pollutions notamment agricoles et tous les pollueurs m me en dessous des seuils actuellement fix s En contre partie l ensemble des redevables a droit aux interventions des agences Une redevance sp cifique pour pollution accidentelle est institu e un taux suffisamment dissuasif permettant au minin um de financer les d penses de restauration du milieu 11 lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l
603. vironne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Une bande de recul paysag e est impos e pour les sites voca tions industrielle artisanale ou commerciale qui s implantent proximit des routes 11 lui demande de quelles tudes cette pro position a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnerient politique et r glementation 31994 23 juillet 1990 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier miaistre charg de l enviroanement et de ia pr vention des risques technoiogiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t ASSEMBL E NATIONALE qq Po aa p ay pa ler octobre 1990 confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Dans toute zone d am nagement ayant pour objet la r alisation de constructions usage de commerce d industrie ou de service il est fait obligation de mettre en place une structure de gestion statut de copropri t pour les espaces publics o
604. vironnement et de la pr vention des risques technologiques et naturels majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de l environne ment d pos le 11 avril 1990 sur le bureau de l Assembl e natio nale et contenant cent propositions dont l une est ainsi r dig e Un Institut national de recherche sur l environnement I N R E est cr par rattachement et regroupement des laboratoires et ser vices au sein des principales structures traitant aujourd hui de l co logie et de l environnement C N RS I N R A Cemagref Museum d histoire naturelle Institut Pasteur Ifremer Orstom etc Il lui demande de quelles tudes cette proposition a fait l objet de la part de ses services ou des services d autres d partements et quelles suites le Gouvernement entend lui donner en particulier dans le cadre de son futur plan national pour l environnement Environnement politique et r glementation 31958 23 juillet 1999 M Michel Barnier rappelle M ie secr taire d Etat aupr s du Premier ministre charg de l environnement et de la pr vention des risques technologiques et natureis majeurs qu en application du mandat qui lui a t confi par la commission des finances de l conomie g n rale et du Plan il a tabli un rapport sur la politique de f environne ment d pos le 11 avril 1990
605. x usagers de l h pital intercommunal de Montfermeil d en b n fi cier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33988 1er octobre 1990 M Marcelin Berthelot attire lat tention de M le ministre de la soildarit de la sante et de la protection sociale sur les cons quences de la p nurie de mani pulsieus d lectroradiologie concernant la mise en service de appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral de Saint Denis 11 lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital Delafontaine d en b n ficier H pitaux et cliniques tablissements Seine Saint Denis 33989 Le octobre 1990 M Marcella Berthelot attire lat tention de M le ministre de la solidarit de la sant et de la protection sociule sur les cons quences de la p nune de mani ea d lectroradiologie concernant la mise en service de appareil d imagerie par r sonance magn tique vocation inter hospitali re install dans les locaux du centre hospitalier g n ral d Saint Denis Il lui demande quelles mesures exceptionnelles il entend prendre pour qu un mat riel de haute technologie comme celui ci puisse tre rapidement op rationnel permettant ainsi aux usagers de l h pital R
606. x ans Ella est due par enfant gard sous la r serve d une r mu n ration journali re n exc dant par 5 S M IC pour chaque enfant Elle permet de compenser le co t de set emploi simplifie le versement des cntisations dues par l instauration d un tiers payant entre les caisses d aliocations famitiales les caisses de mutualit sociale agricole et l U R S S A F Ce dispositif all ge 4606 ainsi de fa on significative la tr sorerie des familles La nouvelle aide ouvre de plus la possibilit d asseoir les cotisations de s curit sociale sur la r mun ration r elle des assistantes mater nelles et donc d augmenter les prestations en esp ces d assurance maladie et vicillesse ce qui repr sente une am lioration impor tante de leur statut Ce dispositif devrait inciter la d claration des emplois existants et susciter un d veloppement de la profes sion Cette mesure entrera en vigueur au ler janvier 1991 et devrait int resser les familles ayant des enfants en bas ge notamment les familles nombreuses FONCTION PUBLIQUE ET R FORMES ADMINISTRATIVES Retraites fonctionnaires et militaires pensions de r version 32770 20 ao t 1990 M Guy Monjaion attire l attention de M ie ministre d Etat ministre de la fonction pubiique et des r formes administratives sur les inqui tudes ressenties par les retrait s de la fonction publique en ce qui concerne plus par ticuli rement la pension de r version accord e

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