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Prescription et messagerie informatisées en médecine

1. AVRIL 2010 NOM et Pr noms cs Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s SAUDER Philippe NRP e P le Urgences r animations m dicales Centre antipoison NCS Service de R animation m dicale Nouvel H pital Givil 48 02 R animation m dicale SAUSSINE Christian NRP e P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE NCS Service de Chirurgie Urologique Nouvel H pital Givil 52 04 Urologie SGCHLIENGER Jean Louis Rp P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie 53 01 M decine interne G riatrie et biologie du Diab tologie MIRNED vieillissement option M decine interne CS Service de M decine Interne et de Nutrition H pital Hautepierre SCHNEIDER Francis NRP e P le Urgences r animations m dicales Centre antipoison CSp Service de R animation m dicale H pital Hautepierre 48 02 R animation m dicale SIBILIA Jean NRP P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED CS Service de Rhumatologie H pital Hautepierre 50 01 Rhumatologie SIMON Patrick NRP e P le de l appareil locomoteur disponibilit fin 30 01 09 CS Service de Traumatologie H pital de Hautepierre 50 02 Chirurgie orthop dique et traumatologique Mme SPEEG SCHATZ Claude NRP6 e P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne GOREVI CS Service d
2. e O O O C Commentaires libres Edition de l ordonnance Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Imprimez vous un duplicata de l ordonnance pour le patient O O O O Vous arrive t il de rajouter de fa on manuscrite un ou des N 7 m A A m dicaments sur l ordonnance que vous venez d imprimer O O O O L Dans ce cas en faites vous la retranscription dans F3 D x _ l ordonnance enregistr e afin de compl ter le dossier O O Commentaires libres b Prescription des stup fiants Prescrivez vous les stup fiants gr ce au logiciel m dical Oui Non Si oui l ordonnance est m moris e dans le dossier et Vous l imprimez sur ordonnance s curis e Oui Non Vous la recopiez manuellement sur une ordonnance s curis e Oui Non Le logiciel met il en toutes lettres les doses et dur e du traitement Oui Non Pour y rem dier les rajoutez vous en texte libre sur l ordinateur C Oui Non la main sur la feuille imprim e _ Oui Non Commentaires libres c Prescription en visite Vous arrivet il d utiliser l ordinateur pour les Ta visites el e De quelle mani re Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais En pr imprimant l ordonnance au cabinet avec d ventuelles modifications manuscrites lors de la visite O 9 Q L O Dans ce cas corrigez vous ces modifications i a manuscrites dans le dossier p
3. d acc der ces renseignements Remarque SMR et ASMR sont des informations jug es utiles mais tr s peu visualisables par les LAP Les BdM agr es par la HAS ont d sormais ces l ments la certification des LAP doit v rifier que les logiciels les mettent bien disposition du prescripteur 91 c Saisie de la prescription CC CC La saisie de la posologie peut se faire de fa on libre en crivant par exemple un demi comprim 3 j pendant quelques jours ce qui n est pas tr s pr cis Il est possible selon le LAP de le faire de mani re structur e par exemple en passant par un PosoCalc Axisant ou un pav num rique Hellodoc gr ce auxquels on cr e ou s lectionne une posologie pr tablie Prenons le cas du Posocalc dont la pr sentation l cran est compos e d un pav num rique pour cliquer sur les chiffres voire m me faire des fractions de comprim prendre puis compl ter l aide des pictogrammes symbolisant les moments dans la journ e matin 10h midi 16h soir coucher et les moments par rapport au repas s il y a lieu au d but pendant apr s le repas puis la dur e du traitement en jours semaines ou mois en cliquant sur le calendrier les repr sentant Tr s rapidement en cliquant sur les chiffres et symboles le LAP inscrit la phrase de posologie prendre 1 comprim le matin et 2 comprim s le so
4. Dans divers on retrouve des remarques sur la formation la messagerie la recherche La carte vitale est utilis e si possible pour renseigner l identit 80 Gr ce la lecture de la carte vitale personnelle pour chaque assur de plus de 16 ans on obtient les nom pr nom date de naissance num ro de s curit sociale le taux de prise en charge le code de la caisse d assurance maladie et de la mutuelle prenant ventuellement en charge la part compl mentaire en cas de CMU Il y a galement la possibilit de savoir si le patient a d clar un m decin traitant si le patient b n ficie d une ALD et la dur e de validit des droits Carte vitale pour renseigner l identit 409 54 C Non renseigne sa 2315 61 2 L quipement 62 gt Les diff rents logiciels sur lesquels travaillent les m decins interrog s tone nombre Pourcentage Lie A l 1a Cr ation 41 1 8 personnelle DB Med 1 6 E 11 8 07 Medi 4000 RMI 0 6 D Ds o os J ai regroup sous Cegedim les diff rents logiciels Crossway 61 M diclick 135 Doc Ware Thales 100 Cardiolite 1 Eglantine 93 et M digest 16 qui poss dent la m me base de structuration mais dont seulement l interface de pr sentation l cran diff re 63 Dans divers sont rang s tous les logiciels cit s par moins de 10 personnes Cit 7 fois Applimed MediPratik Cit 6 fois M dintux Cit 5 fois Fisi
5. L enqu te par mail constitue un biais de s lection dans la mesure o l on peut supposer que les personnes connect es internet ont une certaine habitude et ma trise de l outil informatique N anmoins quelques uns ont r pondu par mail pour pr ciser que leur cabinet m dical n tait pas informatis ou qu il l tait mais sans acc s internet souvent par crainte des virus et piratages et qu ils pr f raient surfer partir de l ordinateur familial Sur 14765 m decins contact s dans toutes les r gions de France par 2 mails et une relance le taux de participation s l ve 16 6 ce qui nous donne un chantillon d tude cons quent avec 2397 r ponses trait es Par cette enqu te nous tentons d analyser les diff rentes tapes n cessaires la r daction des ordonnances Pour y r pondre les praticiens ont d r fl chir leurs habitudes de travail et estimer la fr quence avec laquelle ils ont recours aux diff rentes fonctions Une valuation objective par un tiers plus difficile mettre en place modlifierait certainement les r sultats en liminant quelques incoh rences dues aux approximations 122 L exploration de l utilisation des diverses fonctions logicielles ne permet pas toujours de savoir si le logiciel ne propose pas cette fonction ou si le m decin ne sait pas ou ne veut pas l utiliser Parfois les commentaires libres apportent des pr cisions La certification HAS qui explor
6. Si vous avez d j r pondu au questionnaire merci beaucoup Ne tenez pas compte de ce mail Mail n 2 pour les m decins des r gions fran aises hors Alsace De Drs Claude BRONNER amp Nathan ABENHAIM lt mailto contact apima org gt Sujet Questionnaire informatique votre r ponse est importante Docteur Caroline CLAIRE rempla ante en m decine g n rale vous a sollicit e pour renseigner un questionnaire en ligne sur votre quipement informatique et son utilisation dans la communication entre m decins et la prescription Elle utilisera vos r ponses pour r diger sa th se sur la prescription informatis e Pr sident Prof Jacques CINQUALBRE Ce questionnaire labor par l APIMA est envoy 15 000 m decins Ce sujet de la prescription est tout fait d actualit au moment o la HAS certifie des logiciels et o les d put s votent une obligation de prescription en DCI pour les g n riques N h sitez pas donner votre opinion Merci de prendre quelques minutes pour faciliter le travail de th se de Caroline CLAIRE illustrer notre quotidien d utilisateurs de l informatique m dicale et faciliter une action r gionale d envergure en cliquant sur le lien suivant ou en le recopiant dans votre navigateur http www apima org enquete enquete_prescription_info html Confraternellement Pour l APIMA Dr Nathan ABENHAIM pr sident et Dr Claude BRONNER directeur de th se Si vous avez
7. Votre logiciel vous permet il de visualiser le SMR et l ASMR Oui C Non C Ne sais pas Oui Non Ne sais pas Commentaires libres Saisie de la prescription Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Pour r diger la posologie et la dur e du traitement vous a a 7 r crivez en texte libre S z Vous renseignez le nombre de prises les horaires et la dur e gt O de fa on structur e tel que le logiciel vous le demande Pr cisez vous votre prescription en cliquant ALD Chronique Non remboursable Non substituable Commentaires libres Les alertes Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Tenez vous compte des alertes signalant les interactions E E m T m dicamenteuses ou les incompatibilit s en rapport avec un O Q tat physiopathologique les ant c dents ou les allergies Le motif de l alerte est il facilement accessible et clairement interpr table Oui C Non Ma trisez vous l utilisation des seuils d alertes Oui Non Commentaires libres Co t Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais 43 Prix et taux de remboursement vous influencent ils pour choisir un m dicament moins cher ou mieux rembours Utilisez vous une fonction d optimisation de l ordonnance qui B permet pour une quivalence stricte de composition dosage et voie d administration de r duire le co t du traitement
8. envoi informatique de l ordonnance s curis par messagerie crypt e et ou signature lectronique ou en passant par un serveur s curis au pharmacien soit lors de la consultation soit au retour des visites On peut consid rer que l chantillon se r partit en 3 tiers ceux qui sont pr ts exp rimenter la d mat rialisation de l ordonnance ceux qui y sont oppos s et ceux qui sont sans opinion ce sujet EE pou sans opinion on rorat renseign D mat rialisation O de l ordonnance 100 0 Remarque la loi du 13 ao t 2004 72 pr cise les conditions permettant d envoyer une ordonnance par mail identification de l auteur transfert par messagerie garantissant la confidentialit Pratique peu utilis e jusqu pr sent 113 6 En conclusion a Handicap si panne En cas de panne informatique le niveau de handicap ressenti par les m decins est tr s important pour la gestion des dossiers 76 9 total ou important est un peu moins marqu pour la r daction des ordonnances 43 7 HANDICAP EN N dossiers R SACEON 9 2 34 5 21 6 17 6 15 4 1 8 100 0 d ordonnance 633 commentaires PANNE INFORMATIQUE g ne importante solution papier solution informatique DEMATERIALISATION DIVERS 114 Panne informatique En cas de panne informatique ordinateur logiciel sauvegarde non op rationnelle imprimante etc ou coupure d lectri
9. Install en mars 2002 par Bernard Kouchner alors ministre d l gu la sant le FOnds de Promotion de l Information M dicale et M dico conomique FOPIM souhaite proposer une base m dicamenteuse lectronique ind pendante de l industrie pharmaceutique pour fournir aux professionnels de sant une information publique claire pr cise et concise valid e scientifiquement utilisable dans leur pratique quotidienne sur le bon usage des m dicaments Attendue par beaucoup cette base m dicamenteuse aurait pu tre int gr e aux logiciels m dicaux et permettre la prescription directement en D nomination Commune Internationale DCI selon le Service M dical Rendu SMR et l Am lioration du Service M dical Rendu ASMR Apr s l installation de la nouvelle Haute Autorit de Sant HAS le FOPIM est supprim le 1er janvier 2005 sans y aboutir suite aux probables pressions des Entreprises du M dicament et des diteurs de logiciels 35 En 2004 suite l application des articles L 161 38 et R 161 75 du Code de la s curit sociale la HAS a pour t che de proc der la certification des logiciels d aide la prescription 4 Les objectifs de la certification sont d am liorer la s curit de la 29 prescription de faciliter le travail du prescripteur et de favoriser la conformit r glementaire de l ordonnance et de diminuer le co t du traitement qualit gale Les logiciels doivent d tec
10. P le de biologie 54 05 Biologie et m decine du d veloppement Service de Biologie de la Reproduction SIHGUS et de la reproduction option biologique Dr THAVEAU Fabien e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire 51 04 Chirurgie vasculaire m decine vasculaire Service de Chirurgie Vasculaire Nouvel H pital Civil option chirurgie vasculaire Dr TRAGQUI Antoine e P le de biologie Service de M decine L gale Gonsultation d Urgences 46 03 M decine l gale et droit de la sant m dico judiciaires et Laboratoire de Toxicologie Facult et HG option biologique Institut de M decine L gale Facult de M decine Mme la Dre URING LAMBERT B atrice Institut d Immunologie HG P le de biologie Laboratoire d Immunologie et d H matologie Nouvel H pital Civil 47 03 Immunologie option biologique Dr VALLAT Laurent P le de biologie Laboratoire d Immunologie biologique Nouvel H pital Civil 47 03 Immunologie option biologique Mme VAXMAN Martine e P le de biologie Service de Pathologie H pital de Hautepierre Cytologie et Histologie Institut d Histologie Facult de M decine 42 02 option biologique Mme la Dre VILLARD Odile P le de biologie Labo de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult et HP 45 02 Parasitologie et mycologie option biologique Dr WALLER Jocelyn P le de biologie Labo de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult et HP 45 0
11. PU PH NOM et Pr noms cs Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s ANDRES Emmanuel NRP P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED NCS Service de M decine Interne Diab te et 53 01 Option m decine Interne Maladies m taboliques H pital Civil AUWERX Johan NRP P le de Biologie dispo gt 01 01 2010 NCS Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire BACHELLIER Philippe NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation NCS Service de Chirurgie G n rale H patique et Endocrinienne HP 53 02 Chirurgie g n rale BAHRAM Seiamak NRP P le de Biologie CS Laboratoire d Immunologie biologique Nouvel H pital Givil 47 03 Immunologie option biologique Institut d H matologie et d Immunologie H pital Civil Facult BALDAUF Jean Jacques NRP P le de gyn cologie obst trique GS Service de Gyn cologie Obst trique H pital de Hautepierre 5403 Gyn cologie Obst trique gyn cologie m dicale option gyn cologie obst trique BAREISS Pierre 2 7 Sinb e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire Cons Service de Cardiologie Nouvel H pital Givil 51 02 Cardiologie BAUMANN Ren NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplant
12. d tude et de documentation en conomie de la sant CSSIS conseil sup rieur des syst mes d information de sant CV carte vitale DC d nomination commune 134 DCI d nomination commune internationale DMP dossier m dical personnel DRC dictionnaire des r sultats de consultation EPP valuation des pratiques professionnelles FEIMA f d ration des diteurs en informatique m dicale ambulatoire FMC formation m dicale continue FOPIM fonds de promotion de l information m dicale et m dico conomique FORMMEL fonds de r orientation et de modernisation de la m decine lib rale FSE feuille de soins lectronique GIP CPS groupe d int r t public carte de professionnel de sant HAS haute autorit de sant HPRIM harmoniser et promouvoir l informatique m dicale IRDES institut de recherche et documentation en conomie de la sant LAP logiciel d aide la prescription NR non remboursable NS non substituable OMG observatoire de m decine g n rale OPHIS organisation professionnelle d harmonisation en informatique de sant PMI protection maternelle et infantile RCP r sum des caract ristiques du produit RPPS r pertoire partag des professionnels de sant SFMG soci t fran aise de m decine g n rale SMM secure medical mail SMR service m dical rendu SQIM service qualit de l information m dicale URML union r gionale des m decins lib ra
13. e technologique pour faciliter le travail quotidien des praticiens A partir du milieu des ann es 1980 27 le nombre de logiciels de gestion des cabinets augmente Le coup d acc l rateur dans ce processus a t donn par le plan dit Jupp L ordonnance du 24 avril 1996 28 dans le cadre des d penses de sant fixe la date butoir du 31 d cembre 1998 pour l informatisation des cabinets m dicaux et la t l transmission des Feuilles de Soins Electroniques avec la menace de taxer les r calcitrants c est la motivation par l obligation Apparaissent alors Carte Vitale pour chaque assur Carte Professionnelle de Sant pour chaque praticien et le R seau Sant Social support intranet et s curis de communication entre professionnels de sant caisses d assurance maladie tablissements de soins Une prime de 9000FF 1370 tait n goci e pour aider chaque professionnel acqu rir les mat riel et logiciel n cessaires Remarque La date butoir est d sormais repouss e 2011 il est pr vu que les m decins envoyant moins de 75 de FSE versent une contribution de 0 5 par feuille de soins papier 29 25 Les logiciels assurent une capacit de rangement et de classification des donn es relatives aux patients bien sup rieure au volumineux dossier papier Ils offrent des fonctions nouvelles rappel automatique aide au diagnostic aide la prescription dition de do
14. le de pathologie thoracique CS Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie option biologique AVRIL 2010 NOM et Pr noms CS Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s GICQUEL Philippe NRP e P le m dico chirurgical de p diatrie NCS Service de Chirurgie Infantile H pital Hautepierre 54 02 Chirurgie infantile GOICHOT Bernard NRP P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED NCS Service de M decine Interne et de Nutrition H pital Hautepierre 53 01 Option m decine interne GOTTENBERG Jacques Henri NRP6 e P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED NCS Service de Rhumatologie H pital Hautepierre 50 01 Rhumatologie GRUCKER Daniel NRP e P le de biologie 43 01 Biophysique et m decine nucl aire CS Labo d Explorations fonctionnelles par les isotopes NHG e Institut de Physique biologique Facult de M decine GUT Jean Pierre NRP e P le de biologie CS Institut Laboratoire de Virologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique HANNEDOUCHE Thierry NRP e P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE CS Service de N phrologie et H modialyse Nouvel H pital Givil 52
15. ne les propose pas soit par manque de ma trise informatique Optimisation Sans avoir recours au logiciel l optimisation des co ts semble logiquement r alis e en prescrivant en DC ou en g n rique D autres se disent relativement oppos s cette fa on d optimiser Soit par le d couragement engendr par l aide laborieuse du logiciel en ce sens proc dure longue ligne par ligne diminution du prix en proposant un conditionnement moindre variation des prix constante entre les mises jour de la base de donn es source de confusion pour les patients Soit par refus de porter la responsabilit des probl mes budg taires les prix et taux de remboursement sont fix s en haut lieu les pharmaciens b n ficient du droit de substitution il semble plus adapt de raisonner en terme d efficacit et pertinence des classes th rapeutiques 102 f Edition de l ordonnance Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Imprimez vous un duplicata de l ordonnance pour le patient Vous arrive lt l de rajouter de fa on manuscrite un ou des m dicaments sur l ordonnance que vous venez d imprimer _ Dans ce cas en faites vous la retranscription dans l ordonnance enregistr e afin de compl ter le dossier Lu Commentaires libres Nous arrivons au moment de l impression de l ordonnance qui l galement doit tre en double exemplaire avec sur le deuxi me feuillet la mention duplicata
16. rappels 53 aide au diagnostic dossier m dical 1071 qualit du dossier dossier en r seau prescription prescription facilit e tion prescription facilit e s curit de prescription lisibilit de l ordonnance t l transmission des FSE par obligation paroii ation internet pour la communication 111 pour la formation 110 dossier patient non informatis 15 divers 84 inclassables 56 53 Dans l volution informatique j ai regroup plusieurs l ments La modernit s est impos e comme une vidence l apport de l informatique est ind niable pour am liorer les conditions de travail en g n ral gain de temps pour les t ches r p titives aide bureautique criture lisible et il s agit d un progr s incontournable Eviter de manipuler les dossiers papiers de trier les feuilles de r sultats et les livres consult s fr quemment comme le Vidal L dition de documents courriers aux confr res certificats m dicaux conseils aux patients sont plus propres et rapidement r alis s Les recherches statistiques faites titre personnel ou lors d audit par exemple dans le cadre de l EPP valuation des pratiques professionnelles ou encore dans le but d enqu tes pid miologiques avec mises en commun de ces informations pour tudier et comparer les pratiques comme le propose l Observatoire de M decine G n rale Lorsque le cabinet est d j informatis au moment de l in
17. s discussion avec le Dr Bronner m decin g n raliste Strasbourg nous d cidons de mener une enqu te pour traiter la question de la prescription informatis e en m decine lib rale comme sujet de th se Ceci tant galement dans le but d apporter des l ments de discussion sur le th me des logiciels d aide la prescription lors des rencontres HAS 2008 De plus ce th me est au c ur des pr occupations de l Association Pour l Informatisation M dicAle APIMA cr e en 1996 pour aider les m decins ma triser leurs logiciels m dicaux proposition de formations r alisation d enqu tes et participation des projets comme le DMP ou le d veloppement de l Ordofopim module permettant aux m decins de prescrire plus facilement en DCI 52 33 2 Elaboration du questionnaire A partir de janvier 2008 nous laborons un questionnaire en sollicitant galement lavis du Dr Liot chef de projet concernant la certification des LAP la HAS au sein du service qualit de l information m dicale SQIM M Trabelsi informaticien l Espace G n raliste de Strasbourg r alise la mise en page du questionnaire sur le site internet de l APIMA En novembre 2008 nous le testons pour v rifier le bon d roulement du questionnaire ainsi que la formulation des questions aupr s d un groupe d une trentaine de m decins appartenant l APIMA Cela a permis l informaticien de rectifier quelques points dans
18. tudes mais majoritairement pour des soci t s savantes L OMG est plusieurs fois cit Remarque On constate que peu de m decins participent aux panels beaucoup sont contre ou ont arr t d y participer Cependant ces enqu tes ont le m rite de donner des informations que les caisses d assurance maladie n arrivent pas toujours fournir 76 C En pratique 1 Dossier patient Le dossier informatique d bute videmment par l identification du patient avec ses coordonn es administratives puis suivent ses ventuels ant c dents m dicaux chirurgicaux et allergiques Certains logiciels pr voient un espace pour renseigner les mesures variables comme le poids et les tats physiologiques tels que la grossesse et l allaitement 77 Fr quence Donn es temati non oysremati souvent rare jamais TOTAL renseign Nom Pr nom IDENTITE Sexe 15 1 0 2 5 2 4 100 0 Date de naissance 0 4 0 7 1 6 2 0 100 0 100 0 MESURES i 100 0 VARIABLES 225 100 0 De fa on A 100 0 structur e 100 0 ALLERGIES De fa on INTOLERANCES codifi e MEDICAMENTEUSES 100 0 ETAT PHYSIOLOGIQUE 34 6 13 9 28 9 100 0 100 0 En faisant la somme des r sultats des colonnes syst matique et souvent on cr e une cat gorie fr quent C est l aide des chiffres de cette derni re cat go
19. 13 Remerciements Au pr sident et aux membres du jury de th se d avoir accept d valuer ce travail cl turant mes ann es d tudes universitaires A mon directeur de th se pour ses conseils avis s et sa grande disponibilit A l quipe de l APIMA pour sa gentillesse et son aide pr cieuse Aux m decins qui ont particip l enqu te Aux ma tres qui m ont form e avec bienveillance et conviction Aux membres de ma famille et mes amis pour leur pr sence soutien et confiance 14 Avertissement Un support num rique est fourni afin de lire la version de la th se enrichie de ses nombreuses annexes En effet tous les commentaires libres class s par cat gories y sont consultables et d abondantes r f rences bibliographiques signal es par l annotation CD Rom y figurent en illustration 15 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION l LA PRESCRIPTION 2 Dur e et renouvellement de la prescription des m dicaments J Les Sp Ors SP CIAUX 5 ne me mener I L INFORMATISATION A L informatisation du dossier m dical B La prescription informatis e 1 Choix du sujet Elaboration du questionnaire Recrutement 7e 0 IN 5 Le questionnaire B Recueil des donn es y C aaa IL RESULTATS 32 32 32 32 33 33 34 38 45 46 47 51 58 61 69 16 a Choix des m dicaments b c Saisie de la prescription d Alertes e f Edition de l ordonnance Presc
20. 2 me ann e gt 31 08 2010 4 En d tachement jusqu au 24 03 2008 9 Consultant hospitalier pour une 3 me ann e gt 31 08 2010 A4 PROFESSEUR ASSOCIE SUR CONTINGENT NATIONAL NEANT NOM et Pr noms CS Services Hospitaliers ou Institut Localisation AVRIL 2010 Sous section du Conseil National des Universit s B1 MAITRES DE CONFERENCES DES UNIVERSITES PRATICIENS HOSPITALIERS MCU PH AGIN Arnaud P le de biologie Laboratoire d Explorations fonctionnelles 43 01 Biophysique et M decine nucl aire par les isotopes Nouvel H pital Givil Dr BARRIERE Philippe e P le de chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie Service de Chirurgie Maxillo Faciale et r paratrice HG 55 03 Chirurgie maxillo faciale et stomatologie BARUTHIO Joseph P le de biologie Labo d Explorations Fonctionnelles par les Isotopes NHG Institut de Physique Biologique Facult de M decine 43 01 Biophysique et m decine nucl aire Mme la Dre BEAU FALLER Mich le P le de biologie Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 4403 Biologie cellulaire option biologique BIANCALANA pouse BRUGKMANN P le de biologie Val rie Laboratoire de Diagnostic G n tique Nouvel H pital Givil 47 04 G n tique option biologique Dr BIERRY Guillaume P le d imagerie Service de Radiologie Il H pital de Hautepierre 43 02 Radiologi
21. 51 03 Chirurgie thoracique et cardio vasculaire Mme WILK Astrid RP P le de chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie CS Service de Chirurgie Maxillo Faciale et r paratrice HG 55 03 Chirurgie maxillo faciale et stomatologie WOLF Philippe RP P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation 53 02 Chirurgie g n rale CS Service de Chirurgie G n rale et de Transplantations multiorganes H pital de Hautepierre Mme WOLFRAM GABEL Ren e NRP P le de chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie NGS Service de Morphologie appliqu e la chirurgie et 42 01 Anatomie option biologique l imagerie H pital Givil Institut d Anatomie Normale H pital Civil HG H pital Civil HP H pital de Hautepierre NHG Nouvel H pital Givil GS Chef de service ou NCS Non Chef de service hospitalier Cspi Chef de service par int rim CSp Chef de service provisoire un an P P le RP Responsable de P le ou NRP Non Responsable de P le Cons Consultanat hospitalier poursuite des fonctions hospitali res sans chefferie de service Dir Directeur 1 En surnombre universitaire jusqu au 31 08 2011 5 En surnombre universitaire jusqu au 31 08 2010 2 En surnombre universitaire jusqu au 31 08 2012 7 Consultant hospitalier pour un an ventuellement renouvelable gt 31 08 2010 3 En d tachement jusqu au 31 08 2007 8 Consultant hospitalier pour une
22. Interne Diab te et Maladies m taboliques HC 53 01 _ Option m decine Interne Mme BOEHM BURGER Nelly NCS e Institut d Histologie Facult de M decine 4202 Cytologie et Histologie option biologique BONNOMET Fran ois NRP e P le de l appareil locomoteur CS Service de chirurgie orthop dique et de Traumatologie HP 50 02 Ghirurgie orthop dique et traumatologique BOURCIER Tristan NRP P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne GOREVI NCS Service d Opthalmologie Nouvel H pital Givil 55 02 Ophtalmologie BOURGIN Patrice NRP e P le t te et cou NCS Service de Neurologie H pital Givil 4901 Neurologie BOUSQUET Pascal NRP e P le de pharmacie pharmacologie NCS Institut de Pharmacologie Facult de M decine 48 03 Option Pharmacologie fondamentale BRETTES Jean Philippe 5 9 S nb Service de Chirurgie Maxillo faciale et r paratrice H pital Civil 54 03 Gyn cologie Obst trique gyn cologie Cons m dicale option gyn cologie obst trique Mme BRIGAND C cile NRP P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation NCS Service de Chirurgie g n rale et Digestive HP 53 02 Chirurgie g n rale BRUANT RODIER Catherine NRP P le de Chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie NCS Service de Chirurgie Maxillo faciale et r paratrice H pital Givil 50 04 Option chirurgie plastique reconstructrice et esth tique NHC Nouvel H pital Givil HG H p
23. NCS Service de Pneumologie Nouvel H pital Civil 51 01 Pneumologie KOENIG Michel NRP e P le de biologie NCS Laboratoire de diagnostic g n tique Nouvel H pital Civil 47 04 G n tique option biologique KOPFERSCHMITT Jacques RP e P le Urgences r animations m dicales Gentre antipoison CS Service d Urgences m dico chirurgicales adultes Nouvel H pital Civil 48 04 Th rapeutique option clinique KRETZ Jean Georges NRP e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire 5104 Chirurgie vasculaire m decine vasculaire CS Service de Chirurgie Vasculaire Nouvel H pital Civil option chirurgie vasculaire KURTZ Jean Emmanuel NRP e P le d Onco h matologie 47 02 Option Canc rologie clinique NCS D partement d H matologie et d Oncologie H pital Hautepierre LANG Herv NRP P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE 52 04 Urologie NCS Service de Chirurgie Urologique Nouvel H pital Civil LANG Jean Marie 1 8 S nb e P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI 47 01 H matologie option clinique Cons H pital de jour Le trait d union Centre de soins de l infection par le VIH Nouvel H pital Civil LANGER Bruno NRP P le de gyn cologie obst trique 5403 Gyn cologie Obst trique gyn cologie NGS Service de Gyn cologie Obst trique H pital de Hautepierre m dicale option gyn cologie obst trique LIPSKER Dan NRP P le de chirurgie
24. Ophtalmologie Nouvel H pital Civil 55 02 Ophtalmologie Mme STEIB Annick NRP e P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR NCS Service d Anesth siologie et de R animation Ghirurgicale NHG 48 01 Anesth siologie et r animation chirurgicale option clinique STEIB Jean Paul NRP e P le de l appareil locomoteur CS Service de Chirurgie orthop dique du rachis Nouvel H pital Civil 50 02 Chirurgie orthop dique et traumatologique STEPHAN Dominique NRP e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire CS Service de l Hypertension des Maladies vasculaires et 51 04 Option M decine vasculaire Pharmacologie clinique Nouvel H pital Givil STIERL Jean Luc NRP e P le t te cou NCS Serv d Oto rhino laryngologie et de Chirurgie cervico faciale HP 55 01 Oto rhino laryngologie Mme STOLL KELLER Fran oise NRP P le de biologie NCS Institut Laboratoire de Virologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie option biologique Mme TRANCHANT Christine NRP e P le t te et cou GS Service de Neurologie H pital Givil 4901 Neurologie VAUTRAVERS Philippe NRP e P le de l appareil locomoteur CS Service de M decine physique et de r adaptation HP 49 05 M decine physique et de r adaptation VEILLON Francis NRP e P le d imagerie CS Service de Radiologie H pital Hautepierre 43 02 Radiologie et imagerie m dicale option clinique VELTEN Michel NRP e P le de sant pu
25. Sur une ordonnance La prescription des m dicaments en dehors des stup fiants est r alis e fr quemment somme des r sultats syst matique et souvent l aide d un logiciel m dical pour 84 4 des m decins un logiciel de traitement de texte pour 6 8 et manuellement sur ordonnance papier pour 13 1 Dans ces deux derni res configurations il ne peut videmment pas y avoir d analyse et d alarmes des interactions ou contre indications par un LAP FREQUENCE PRESCRIPTION Non syst matique moyennement TOTAL renseign Logiciel OBICIE 75 0 9 4 1 8 1 3 8 3 4 3 100 0 m dical Traitement de a 3 9 2 9 2 7 10 9 57 4 222 100 0 82 a Choix des m dicaments Pour choisir les m dicaments prescrire il y a plusieurs possibilit s la plus vidente tant d inscrire directement le nom du produit d sir en texte libre comme on le ferait sur une ordonnance papier Par ailleurs les logiciels d aide la prescription doivent permettre en tapant les premi res lettres du m dicament g n rique ou princeps d extraire de la base de donn es m dicamenteuses une liste de noms correspondants avec les diff rentes gal niques dans laquelle il suffit de s lectionner le bon Il est ainsi possible de rechercher par classement alphab tique principe actif ou famille pharmaco th rapeutique Depuis la signature le 5 juin 2002 de l avenant n 10 de la convention m dicale 69 e
26. TEMPE Jean Daniel R animation m dicale 01 09 06 TONGIO Jean Radiologie 01 09 02 TREISSER Alain Gyn cologie Obst trique 24 03 08 VINGENDON Guy Biochimie 01 09 08 WEILL Jean Pierre Gastro ent rologie 01 10 93 WILLARD Daniel P diatrie 01 09 96 WITZ JEAN Paul Chirurgie thoracique 01 10 90 FAC Facult de M decine 4 rue Kirschleger F 67085 Strasbourg Cedex T l 03 68 85 35 20 Fax 03 68 85 35 18 ou 03 68 85 34 67 HOPITAUX UNIVERSITAIRES DE STRASBOURG HUS NHC Nouvel H pital Civil 1 place de l H pital BP 426 F 67091 Strasbourg Cedex T l 03 69 55 07 08 HC H pital Civil 1 Place de l H pital B P 426 F 67091 Strasbourg Cedex T l 03 88 11 67 68 HP H pital de Hautepierre Avenue Moli re B P 49 F 67098 Strasbourg Cedex T l 03 88 12 80 00 H pital de La Robertsau 83 rue Himmerich F 67015 Strasbourg Cedex T l 03 88 11 55 11 H pital de l Elsau 15 rue Cranach 67200 Strasbourg T l 03 88 11 67 68 H pital Lyautey 1 rue des Canonniers 67100 Strasbourg Cedex T l 03 88 11 63 51 SIHCUS Syndicat interhospitalier de la Communaut Urbaine de Strasbourg 19 rue Louis Pasteur BP 120 Schiltigheim F 67303 Strasbourg Cedex T l 03 88 62 83 00 C C O M Centre de Chirurgie Orthop dique et de la Main 10 avenue Baumann B P 96 F 67403 Illkirch Graffenstaden Cedex T l 03 88 55 20 00 E F
27. adresses KIENY Ren Chirurgie vasculaire 01 10 93 KIRN Andr Virologie 01 09 99 KLOTZ Gilbert O R L 01 10 91 KREMER Michel Parasitologie 01 05 98 KRIEGER Jean Neurologie 01 01 07 KUNTZ Jean Louis Rhumatologie 01 09 08 KUNTZMANN Francis G riatrie 01 09 07 KURTZ Daniel Neurologie 01 09 98 LANG Gabriel Orthop die et traumatologie 01 10 98 LESSARD Michel H matologie biologique 01 09 07 LEVY Jean Marc P diatrie 01 10 95 MAILLOT Claude Anatomie normale 01 09 03 MANTZ Jean Marie R animation m dicale 01 10 94 MARK Jean Joseph Biochimie et biologie cellulaire 01 09 99 MEHL Jacques M decine du Travail 01 10 86 MESSER Jean P diatrie 01 09 07 MINCK Raymond Bact riologie 01 10 93 MORAND Georges Chirurgie thoracique 01 09 96 MOSSARD Jean Marie Cardiologie 01 09 2009 OTTENI Jean Claude Anesth siologie R a Chir 01 09 03 RENAUD Robert Gyn cologie Obst trique 01 09 97 REYS Philippe Chirurgie g n rale 01 09 98 RITTER Jean Gyn cologie obst trique 01 09 02 ROEGEL Emile Pneumologie 01 04 90 SAGREZ Andr Cardiologie 01 09 98 SAUVAGE Paul Chirurgie infantile 01 09 04 SCHAFF Georges Physiologie 01 10 95 SCHLAEDER Guy Gyn cologie Obst trique 01 09 01 SCHWARTZ Jean Pharmacologie 01 10 87 SIGK Henri Anatomie Normale 01 09 06 STOLL Claude G n tique 01 09 2009 STORCK Daniel M decine interne 01 09 03
28. biologique CHAUVIN Michel RP e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire CS Service de Cardiologie Nouvel H pital Givil 51 02 Cardiologie Mme CHENARD NEU NRP e P le de Biologie Marie Pierre NCS Service de Pathologie H pital de Hautepierre 42 03 Anatomie et cytologie pathologiques option biologique CHRISTMANN Daniel NRP P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI GS Service de M decine Interne et des Maladies infectieuses 45 03 Option Maladies infectieuses et tropicales Nouvel H pital Civil GSp Laboratoire d Hygi ne hospitali re H pital Civil CINQUALBRE Jacques NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation CS Service de Chirurgie G n rale et de Transplantations 53 02 Chirurgie g n rale multiorganes H pital de Hautepierre CLAVERT Jean Michel NRP e P le m dico chirurgical de p diatrie NGS Service de Chirurgie Infantile H pital Hautepierre 54 02 Chirurgie infantile GONSTANTINESCO Andr NRP e P le d imagerie CS Service de M decine nucl aire et explorations fonctionnelles 43 01 Biophysique et m decine nucl aire in vivo NHC et HP CRIBIER Bernard NRP e P le de chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie GS Service de Dermatologie H pital Givil 50 03 Dermato V n r ologie DANION Jean Marie NRP e P le de Psychiatrie et de sant mentale CS Service de Psychiatrie 1 H pital Givil 49 03 Psychiatrie
29. certains Selon les logiciels il est possible d afficher le prix de la bo te de m dicament le taux de remboursement et parfois le prix de traitement journalier Une fois la prescription termin e on peut demander au programme une optimisation de l ordonnance en recherchant les m dicaments quivalents moins chers Moins de la moiti de l chantillon se dit influenc e fr quemment par le prix et le taux de remboursement pour choisir un m dicament moins cher ou mieux rembours et moins de 10 utilisent fr quemment la fonction d optimisation COUT re Non syst matique moyennement TOTAL renseign remboursement optimisation de 2 6 7 2 9 2 15 2 58 1 7 6 100 0 l ordonnance 101 346 commentaires FONCTIONS int ressantes prix taux optimisation pas utilis es absentes ou non ma tris es 19 OPTIMISATION par DC g n rique 69 oppos s l optimisation par le co t oo wes Y 1 7 Fonctions concernant l affichage des prix taux de remboursement et optimisation Rare sont ceux qui trouvent ces informations int ressantes L un constate que de pr ter attention aux prix des m dicaments est parfois source de surprise sans pour autant faire modifier la prescription Certains surveillent le prix d autres plut t le taux de remboursement surtout quand les patients ont des revenus modestes Beaucoup commentent le fait de ne pas avoir ces fonctions soit parce que le logiciel
30. de personnes 140 120 100 80 60 40 20 R partition par ge partir de 2315 ges donn s Nombre de personnes _ e O O O Oo O O O N R partition par dur e d installation d installation 20 ans partir de 2315 dates donn es 49 La r partition r gionale des m decins ayant r pondu 391 16 3 le de France 315 13 1 Provence Alpes C te d Azur Rh ne Alpes 204 8 5 a a a T ssssenomande 30 1 C oe LE ox 289 12 1 50 Les m decins sp cialistes ayant r pondu se r partissent comme suit Psychiatrie g n rale 33 25 P diatrie 12 22 Non renseign 21 Gyn cologie obst trique 07 16 Dermatologie et v n rologie 05 12 Pathologie cardio vasculaire 03 12 Oto Rhino Laryngologie 11 Rhumatologie 14 Chirurgie orthop dique et traumatologie 41 Chirurgie urologique 16 e Pneumologie 13 Radiodiagnostic et imagerie m dicale 06 Anesth siologie et R animation chirurgicale 02 Gastro ent rologie et h patologie 08 M decine physique et de r adaptation 31 Endocrinologie et m tabolismes 42 Neurologie 32 Gyn cologie m dicale 70 Ophtalmologie 15 Chirurgie infantile 43 Chirurgie maxillo faciale 44 Chirurgie plastique reconstructrice et esth tique 46 Chirurgie visc rale et digestive 49 M decine nucl aire 72 N phrologie 35 Obst trique 77 Psychiatrie
31. informatique Par ailleurs le nombre de logiciels m dicaux diff rent selon les pays de fa on impressionnante environ 150 en France 15 en Grande Bretagne et seulement 3 aux Pays Bas 79 127 C Principaux l ments de notre enqu te gt Equipement Les cabinets sont fortement pourvus d quipement informatique et connexion internet majoritairement en haut d bit Les logiciels m dicaux sont tr s nombreux mais si l on consid re les 8 plus grands groupes on r unit pr s de 80 des utilisateurs On pourrait imaginer qu une recherche n isati i rabilit d j i is sugg r i vi u d homog n isation et d interop rabilit d j maintes fois sugg r e soit envisageable plus sereinement qu entre les 150 logiciels annonc s gt Communication On est surpris de voir qu un tiers des m decins n utilise pas de messagerie pour changer des donn es m dicales Les messageries non s curis es sont largement utilis es et celles qui sont s curis es ne sont pas homologu es Chaque messagerie s curis e utilise son propre syst me de cryptage Par cons quent exp diteur et destinataire doivent utiliser la m me messagerie pour communiquer correctement Pour obtenir une r elle interop rabilit entre les messageries il faudrait imposer un protocole de s curisation standard et commun Par ailleurs on constate qu en 2010 peu de messageries sont homologu es GIP CPS De ce fait la g
32. jour Le trait d union Centre de soins de l infection par le VIH Nouvel H pital Civil Dr ROESLIN Norbert RP P le de Sant publique F1 PROFESSEURS M RITES o de droit et vie membres de l Institut o pour trois ans 1er septembre 2008 au 31 ao t 2011 CHAMBON Pierre Biochimie et biologie mol culaire MONTEIL Henri Bact riologie KARLI Pierre Neurophysiologie PAULI Gabrielle Pneumologie WEITZENBLUM Emmanuel Oneumologie o pour trois ans 1er septembre 2007 au 31 ao t 2010 o pour trois ans 1er septembre 2009 au 31 ao t 2012 LONSDORFER Jean Physiologie SCHRAUB Simon Radioth rapie RUMPLER Yves Biol du d veloppement et de la reproduction F2 PROFESSEUR des UNIVERSITES ASSOCIE mi temps M SOLER Luc IRGAD 01 09 2009 30 09 2012 F3 PROFESSEURS CONVENTIONN S DE L ULP 2008 2009 Dr GACHET Christian H matologie 2007 08 2008 09 Dr HANAU Daniel Immunologie 2006 07 2007 08 2008 09 4 ann es au maximum MAI 2010 G1 PROFESSEURS HONORAIRES ADLOFF Michel Chirurgie digestive 01 09 94 BABIN Serge Orthop die et Traumatologie 01 09 01 BATZENSCHLAGER Andr Anatomie Pathologique 01 10 95 BIENTZ Michel Sant publique 01 09 04 BLOCH Pierre Radiologie 01 10 95 BOGKEL Ren Gastro Ent rologie 01 10 94 BOURJAT Pierre Radiologie 01 09 03 BRECHENMACHER Claude Cardiologie 01 07 99 BRINI Alfred Ophtalmologie 01 10 89 BROGARD Jean Ma
33. le programme Une table ronde sur Les logiciels d aide la prescription LAP tat des lieux Quels apports pour la pratique quelles perspectives aura lieu le vendredi matin 19 d cembre la Villette de 9h 11 heures Si le sujet vous int resse inscrivez vous 38 5 Le questionnaire Comme propos dans le mail les m decins sont invit s se connecter sur le site de l APIMA en cliquant directement sur le lien faisant apparaitre le questionnaire Aucune r ponse n est obligatoire pour viter les d couragements au cours de son remplissage les personnes peuvent ne r pondre qu aux questions les concernant et l anonymat peut tre pr serv Pour les questions relatives la pratique nous proposons d valuer la fr quence d utilisation des diff rentes fonctions du logiciel de prescription en laissant de nombreuses zones pour les commentaires libres Il n est question que de prescription informatis e des m dicaments Enqu te g LON APIMA Questionnaire prescription informatis e en m decine lib rale Merci de bien vouloir prendre entre 5 et 10 minutes pour remplir ce questionnaire Si une question ne vous concerne pas vous pouvez ne pas y r pondre Ces donn es seront videmment confidentielles Lorsque vous tes pr t cliquez sur le bouton Suite Suite 39 i Enqu te a APIMA Questionnaire prescription informatis e en m decine lib rale I Info
34. les faits l alerte ne bloque pas forc ment l action de prescription mais n est qu une information qui permet au prescripteur d tre vigilant dans ce cas il s agit d un signal d information Signal au moins visuel dans l environnement logiciel qui indique une mise en garde ou la d tection d un risque par un contr le de s curit de la prescription mais qui n oblige pas l utilisateur interrompre son action L alerte peut se manifester de diff rentes mani res ic nes et code couleur choisis pour symboliser le niveau de risque Dans un deuxi me temps il est possible de visualiser le motif de l alerte Avec la certification des logiciels l objectif serait de garantir une analyse de l ordonnance avec des contr les de s curit de la prescription prenant en compte plusieurs points des l ments du dossier comme l ge le sexe les ant c dents les tats pathologiques les tats de grossesse ou allaitement les intol rances ou hypersensibilit mais aussi des caract ristiques propres aux m dicaments prescrits afin de signaler des redondances des interactions m dicamenteuses ou incompatibilit s physico chimiques des doses ou dur e de traitement inappropri es des effets dopants ou ayant un impact sur la 97 conduite automobile On comprend ais ment l int r t d avoir un dossier m dical informatique bien structur et codifi pour que le LAP soit pleinement op rationnel Il est possibl
35. loin d tre r elle gt Le patient nom pr nom sexe ge taille et poids si n cessaire gt Le m dicament d nomination de la sp cialit princeps ou g n rique ou la d nomination commune DC d un principe actif le dosage et la forme gal nique pr ciser la formule d taill e en cas de pr paration 21 la posologie et le mode d emploi la dur e du traitement ou le nombre d unit s de conditionnement le nombre de renouvellements de la prescription quand cela est n cessaire 2 Dur e et renouvellement de la prescription des m dicaments En r gle g n rale la prescription est renouvelable par p riode maximale d un mois ou de trois mois si le conditionnement est sup rieur un mois dans la limite de douze mois de traitement 15 3 Les supports sp ciaux gt Ordonnance bizone formulaire n S3321a les m dicaments en rapport avec une affection de longue dur e ALD y figurent dans la partie sup rieure et sont rembours s 100 Les autres m dicaments ne concernant pas l ALD sont inscrits dans la partie inf rieure et sont rembours s selon les taux appliqu s habituellement gt Ordonnance de m dicaments ou de produits et prestations d exception formulaire n S3326a 4 volets pour la prise en charge des m dicaments d exception dont la liste est donn e par le site internet Meddispar gt Ordonnance s curis e pour la prescription de stup
36. mais justifiant cependant le remboursement et insuffisant pour justifier d une prise en charge L valuation du SMR peut voluer dans le temps en fonction des donn es nouvelles acquises L ASMR correspond au progr s th rapeutique apport par le m dicament cot de majeure V absence de progr s th rapeutique Dans l chantillon la moiti s accorde dire que ces informations SMR et ASMR sont utiles pour choisir un m dicament alors qu elles ne seraient visualisables dans le LAP que dans 11 6 des cas les logiciels les plus cit s sont Almapro Axisant Cegedim et Hellodoc avec comme BdM majoritairement la base Claude Bernard puis Vidal Plus du tiers ignore si ces renseignements figurent dans leur logiciel renseign Utile 52 521 30 308 10 109 6 61 100 100 0 Visualisati AR 11 6 46 5 35 7 62 100 0 logiciel 89 210 commentaires SOURCES D INFORMATION bases de donn es m dicamenteuses 52 la revue Prescrire 29 autres internet FMC visite m dicale 26 connaissance par l exp rience 13 SMR ASMR sert en amont pour int grer un produit dans sa panoplie 7 serait une information utile avoir 11 doutes sur l int r t 29 LIMITES D UTILISATION ne savent pas rechercher les informations Er ee E 13 logiciels limit s 18 2 DIVERS E a Sources d information Les bases de donn es m dicamenteuses informatiques sont cit es mais
37. prise en compte de facteurs de risque dans la prescription une r daction d ordonnance des stup fiants complexe DCI difficile obtenir gestion variable des alertes manque d informations concernant les SMR ASMR prix II reste une marge de man uvre importante pour am liorer la situation Un tiers des m decins informatis s n a pas de messagerie Malgr de fortes exigences r glementaires concernant la confidentialit des donn es chang es entre professionnels de sant l utilisation de messageries non homologu es ou non s curis es a encore cours Les critiques permettent de comprendre que les principales limites aux changes lectroniques s curis s r sident dans la complexit des dispositifs et le manque d interop rabilit Cette enqu te permet de tracer quelques pistes d am lioration 132 La certification des logiciels r pond aux besoins r els des praticiens Or la fin du premier semestre 2010 on ne compte qu un seul logiciel certifi Il y aurait s rement plus d engouement si une incitation financi re tait donn e aux diteurs pour qu ils fassent certifier leur logiciel ou pour les utilisateurs qui s quiperaient avec un logiciel r pondant aux crit res de qualit fix s par la HAS Les nombreuses messageries manquent d interop rabilit et un annuaire centralisant toutes les adresses lectroniques des diff rents acteurs de sant faciliterait grandement les changes Ces s
38. rarement SMM et e sant 30 Apicrypt Sp cifique r gionale Non renseign TOTAL 2315 367 138 26 7 m o o 71 Apicrypt d velopp par APICEM association loi 1901 pour la promotion de l informatique et la communication en m decine est un logiciel que l on adjoint sa messagerie afin de s curiser les changes entre m decins et avec les tablissements de soins en cryptant les donn es 55 SMM Secure Medical Mail des logiciels Cegedim messagerie que l on peut utiliser avec diff rents niveaux de s curit sans s curisation avec signature et ou chiffrement 56 Sp cifique r gionale ou de r seau dans diff rentes r gions de France il y a des essais de mise en place de messagerie s curis e entre professionnels 57 58 59 60 E sant messagerie s curis e permettant la communication entre les m decins de ville et hospitaliers en Alsace Cette plateforme est accessible aux m decins des H pitaux Universitaires de Strasbourg du centre hospitalier de Saverne et l ensemble des m decins lib raux de la r gion via internet 61 198 commentaires libres messageries s curis es messageries diverses pas ou peu d changes lectroniques Messagerie Les messageries sont s curis es par des syst mes de cryptage les plus couramment cit s tant Apicrypt et HPRIM net Apicrypt 55 est un outil de cryptage des donn es m dicales circulant par messagerie Les messa
39. remplit pas toutes les obligations En effet certains impriment sur du papier standard parfois rajoutent la main un carr de s curisation d autres laissent les posologies en chiffres et le pharmacien accepte tout de m me les prescriptions D autres encore essaient de corriger les imperfections logicielles en modifiant par texte libre les nombres des posologies ou la main apr s impression Certains ont constat sur le m me LAP que la posologie structur e appara t en toutes lettres pour le Durog sic et en chiffres pour le Subutex et la dur e de traitement en lettres D autres signalent que changer le papier dans l imprimante pour y placer les feuilles filigran es ou ordonnances s curis es imprim es est contraignant Par ailleurs quelques uns arrivent utiliser les ordonnances s curis es en double exemplaire fournies par la s curit sociale et d autres pr tendent que c est impossible Plusieurs personnes ne voient aucun probl me prescrire des stup fiants car ils utilisent une ordonnance type qu ils ont param tr e au d part et adaptent chaque patient 108 Limites d utilisation La limite mat rielle souvent voqu e est l imprimante ne permettant pas de prendre les ordonnances s curis es ou le changement de papier semble trop compliqu Par ailleurs certains ne savent pas ou ne peuvent pas utiliser et param trer ces ordonnances sp ciales Ne prescrivant pas ou tr s peu de stup fian
40. structur es et non prises en compte par le LAP pour les contr les de qualit et de s curit des prescriptions STUPEFIANTS OUI NON Nonrenseign TOTAL P ipti Fe PSE PPES 34 6 61 5 9 100 0 logiciel Impression sur ordonnance 18 9 21 2 9 9 100 0 s curis e Copie manuscrite sur ordonnance 16 8 58 9 100 0 s curis e Posologie en toutes 7 7 5 4 7 0 100 0 lettres par logiciel Texte lib Al i feuill 275 commentaires PRESCRIPTION STUPEFIANTS manuscrite mais trace informatique 67 informatis e plus ou moins satisfaisante 58 40 LIMITES d UTILISATION limite mat rielle et ne savent pas faire pas ou peu de prescription de stup fiants manuscrite exclusivement DIVERS EE 107 Prescription de stup fiants L ordonnance des stup fiants se fait l aide d un stylo mais il y a une trace informatique r f rence dat e consultable ult rieurement par le m decin mais aussi par ses associ s ou rempla ants De fa on informelle en note dans le motif de consultation ou dans l observation De fa on formelle en utilisant le LAP pour faire l ordonnance et m me ventuellement imprimer sur papier standard avec la totalit de la prescription en ajoutant la mention ne pas d livrer pour le produit stup fiant et r diger l ordonnance s curis e part Certains scannent l ordonnance manuscrite dans le dossier La prescription informatique de stup fiants est faite m me si elle ne
41. 03 N phrologie HANSMANN Yves NRP e P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne GOREVI NCGS Service de M decine Interne et des Maladies infectieuses 45 03 Option Maladies infectieuses et tropicales Nouvel H pital Givil HASSELMANN Michel NRP e P le Urgences r animations m dicales Centre antipoison CS Service de R animation M dicale Nouvel H pital Civil 48 02 R animation m dicale HERBREGHT Raoul RP e P le d Onco h matologie NCS D partement d H matologie et d Oncologie H p Hautepierre 47 01 H matologie Transfusion HIRSCH Edouard NRP e P le t te cou NCD Service de Neurologie H pital Civil 49 01 Neurologie JACQMIN Didier NRP P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE CS Service de Chirurgie Urologique Nouvel H pital Givil 52 04 Urologie JAECK Daniel 1 8 S nb P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation Cons Service de Chirurgie G n rale H patique et Endocrinienne HP 53 02 Chirurgie g n rale JAEGER Albert 2 7 S nb e Administration G n rale Charg de mission Direction 48 02 R animation m dicale Gons de la Qualit H pital Givil JAEGER Jean Henri NRP e P le de l appareil locomoteur CS Service de Chirurgie Orthop dique du genou et de traumatologie 50 02 Chirurgie orthop dique et traumatologique du sport GCOM Illkirch JAULHAG Beno t NRP e P le de biologie GS Institut Laboratoire de Bact ri
42. 2 Parasitologie et mycologie option biologique Mme la Dre FLORI Elisabeth P le de biologie GS Laboratoire de Gytog n tique H pital Hautepierre 47 04 G n tique option biologique FOUGHER Jack e Institut de Physiologie Facult de M decine P le de Psychiatrie et de sant mentale Service de Psychiatrie 1 H pital Givil 4402 Physiologie option clinique Mme GAUB Marie Pierre P le de biologie Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 44 01 Biochimie et biologie mol culaire Dr GOETZ Christian P le d imagerie Service de M decine nucl aire et explorations fonctionnelles 43 01 Biophysique et m decine nucl aire in vivo NHG et HP GOUNOT Daniel Institut de Physique Biologique Facult de M decine P le de biologie Labo d Explorations Fonctionnelles par les Isotopes NHC 4301 Biophysique et m decine nucl aire GUERIN Eric P le de biologie Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 44 03 Biologie cellulaire option biologique NOM et Pr noms Dr e en m decine JEHL Fran ois Services Hospitaliers ou Institut Localisation P le de biologie AVRIL 2010 Sous section du Conseil National des Universit s Institut Laboratoire de Bact riologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique KASTNER Philippe e P le de biologie Laboratoire de diagnostic g n tique Nouvel H pital Givil 47 04 G n
43. 2 Parasitologie et mycologie option biologique ZOLL Joffrey P le de Chirurgie Thoracique Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles HG 44 02 Physiologie option clinique B2 PROFESSEUR DES UNIVERSIT S monoappartenant Pr BONAH Christian cf A2 D partement d Histoire de la M decine Facult 72 Epist mologie Histoire des sciences et des techniques B3 MAITRES DE CONFERENCES DES UNIVERSIT S monoappartenant BURGUN Jean Claude Centre de Neurochimie 5 rue Blaise Pascal Strasbourg 64 Biochimie et Biologie mol culaire DANSE Jean Marc Institut de Chimie Biologique Facult de M decine _64 Biochimie et Biologie mol culaire HANAUER Andr Institut de Chimie Biologique Facult de M decine 37 03 G n tique Groupe X section hors m decine NORMAND Guy Institut de Chimie Biologique Centre de Neurochimie 64 Biochimie et Biologie mol culaire Mme RASMUSSEN Anne D partement d Histoire de la M decine Facult 72 Epist mologie Histoire des Sciences et Co des techniques Mme THOMAS Marion D partement d Histoire de la M decine Facult 72 Epist mologie Histoire des Sciences et des techniques 10 AVRIL 2010 C ENSEIGNANTS ASSOCIES DE MEDECINE GENERALE C1 PROFESSEURS ASSOCIES mi temps Pr Ass KOPP Michel M decine G n rale depuis le 1 09 2001 renouvel jusqu au 31 08 2010 Pr Ass LEVEQUE Michel M decine g n rale depuis le 1 09 2000 reno
44. 4 la Haute Autorit de Sant a pour mission de proc der la certification des logiciels d aide la prescription en m decine ambulatoire 4 II faut promouvoir les fonctionnalit s am liorant la qualit des prescriptions Dans quelle mesure les m decins utilisent ils correctement ces fonctions logicielles Quelle est la qualit des logiciels En 2007 le d cret de confidentialit des informations m dicales conserv es sur support informatique ou transmises par voie lectronique 5 fixe des r gles pour s curiser les changes Ces derni res sont elles respect es 18 Par un questionnaire destin aux m decins lib raux fran ais nous tentons de faire un tat des lieux fin 2008 de l utilisation effective des logiciels d aide la prescription et de l emploi des messageries 19 1 PARTIE GENERALITES I LA PRESCRIPTION G n ralement les consultations m dicales apr s l entretien et l examen clinique se concluent par une prescription but diagnostique ou th rapeutique examens compl mentaires soins m dicaments mat riel conseils hygi no di t tiques arr ts de travail ou transport Nous ne traiterons ici que des ordonnances m dicamenteuses r alis es par les m decins de ville en pr cisant qu environ 75 des consultations en France donnent lieu une ordonnance de m dicaments 6 Rappelons que les chirurgiens dentistes les sages femmes les directeurs de laboratoire d analyse de
45. Dans l tude du FORMMEL r alis e en 2000 sur l apport de l informatique dans la pratique m dicale lib rale 33 les r ponses libres ont t trait es par un logiciel d analyse statistique d occurrence des mots 2467 m decins ont r pondu la derni re question tentant de dresser un bilan de l informatisation les principaux mots sont dans l ordre d croissant positif temps dossier patient meilleur indispensable 58 A partir de maintenant nous ne consid rons que les r ponses des 2315 m decins informatis s 1 Les parties informatis es du dossier m dical Quelles parties du dossier m dical sont informatis es z z Donn es administratives plusieurs r ponses possibles Ant c dents Consultations Correspondances R sultats biologiques Ordonnances Comptabilit Feuilles de soins Si possible je renseigne l identit l aide de la carte vitale _ Oui _ Non On remarque que le dossier est tr s fortement informatis Les m decins valuent plus de 90 avoir rempli le volet num rique des donn es administratives des consultations et des ant c dents La partie des ordonnances est informatis e 90 Les r sultats biologiques et les correspondances peuvent tre num riques soit par transfert direct gr ce la messagerie lectronique ou par num risation via un scanner des documents papier Les feuilles de soins sont 79 lectroniques L outil informatique ne s
46. LMAPRO cr par l Association pour un Logiciel M dical Associatif est le premier logiciel tre certifi 39 40 Remarque Fin du premier semestre 2010 il n y a pas d autre logiciel certifi Est ce par d sint r t des diteurs vis vis de ce label ou par des difficult s techniques valider les audits Une incitation financi re favoriserait tr s probablement la certification des logiciels 41 42 3 Exemples de logiciels et BdM Chaque ann e le Quotidien du M decin dans son suppl ment Web et Informatique dite un tableau descriptif 43 d une s lection d une vingtaine de logiciels test s afin de comparer les diff rentes fonctions et leurs prix Une Base de donn es sur les M dicaments BdM est une banque de donn es lectronique int grant les informations produites par les autorit s officielles des informations scientifiques produites par les soci t s savantes et toute autre information sur le m dicament 44 qui peut tre utilis e de fa on autonome ou int gr e aux logiciels m dicaux Les bases Claude Bernard 45 Vidal 46 Th sorimed 47 et Th riaque 48 sont agr es par la HAS 31 C Les messageries Les donn es chang es informatiquement pr sentent l avantage d tre rapidement transmises et facilement rang es dans les dossiers contrairement aux r sultats ou comptes rendus papier Ces derniers envoy s par voie postale d
47. Lib rale g r par les Caisses Nationales d Assurance Maladie et les syndicats m dicaux m ne une tude 33 en partenariat avec le Conseil Sup rieur des Syst mes d Information de Sant CSSIS et le Centre de Recherche d Etude et de Documentation en Economie de la Sant CREDES pour d finir le contour des principales fonctionnalit s informatis es r ellement utiles la pratique m dicale lib rale et pour tablir des recommandations s appliquant aux logiciels m dicaux partir de donn es provenant des m decins utilisateurs Les conclusions de cette enqu te r v lent que l informatique est parfaitement int gr e dans la pratique et donnent le niveau de satisfaction des praticiens concernant l ergonomie et le service rendu des diff rents modules Il reste des am liorations r aliser quant l uniformatisation des logiciels pour l change des donn es 28 L OPHIS Organisation Professionnelle d Harmonisation en Informatique de Sant d sormais disparu avait pour r le d aider les professionnels de sant bien s informatiser et d organiser les partenariats Une charte d Ethique et de Qualit 34 a t labor e en juillet 1998 afin que les prestataires de services fabricants diteurs de logiciels etc s engagent apporter des garanties sur l harmonisation et la maintenance des mat riels informatiques Nous avons l les balbutiements d une certification limit e par un audit co teux
48. M Image et HPRIM M decin 4p CD Rom Docteur Net HPRIM votre compagnon HPRIM Net L outil de messagerie au cabinet m dical pour recevoir et traiter les comptes rendus d analyses HPRIM Net Medsys Byg informatique site internet byg info com CD Rom Site internet bioserveur com CD Rom Mars A Les panels outils incontournables des tudes de march dans l industrie pharmaceutique Heures de France 2005 157p 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 141 Chevreul K Le Fur P Renaud T et al Faisabilit d un syst me d information public sur la m decine de ville IRDES octobre 2006 206p CD Rom CIM10 Classification statistique internationale des maladies et des probl mes de sant connexes dixi me r vision Organisation Mondiale de la Sant 3 volumes 2008 Avenin G Les bases de donn es issues des dossiers m dicaux lectroniques en France Probl mes m thodologiques et perspectives Th se de Dipl me d Etat de docteur en m decine Universit Paris Descartes 2007 CD Rom Projet de loi de financement de la s curit sociale pour 2003 promouvoir le d veloppement des m dicaments g n riques Site internet senat fr CD Rom Enqu te prescrire en DCI une v ritable gal re Site internet apima org CD Rom D cret n 99 486 du 11 juin 1999 relatif aux sp cialit s g n riques et au droit de substitution du pharmacien et modifiant le code de la san
49. NAMER Izzie Jacques NRP e P le d imagerie NCS Service de Biophysique et de M decine nucl aire 43 01 Biophysique et m decine nucl aire H pital de Hautepierre NISAND Isra l RP P le de gyn cologie obst trique CS Service de Gyn cologie Obst trique H pital de Hautepierre 5403 Gyn cologie Obst trique gyn cologie m dicale option gyn cologie obst trique NOEL Georges NCS Centre R gional de lutte contre le cancer Paul Strauss par convention 47 02 Canc rologie Radioth rapie NCS Service de radioth rapie Option Radioth rapie biologique OHLMANN Patrick NRP e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire NCS Service de Cardiologie Nouvel H pital Civil 51 02 Cardiologie OUDET Pierre NRP P le de biologie NCS Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 44 03 Biologie cellulaire option biologique PASQUALI Jean Louis RP P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI NCS Service de M decine Interne et d Immunologie Clinique NHG Laboratoire d Immunopathologie Facult de M decine 47 03 Immunologie option clinique PATRIS Michel 2 7 S nb e P le de Psychiatrie et de sant mentale Cons Service de Psychiatrie Il H pital Civil 49 03 Psychiatrie d adultes PESSAUX Patrick NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation NCS Service de Chirurgie G n rale H patique et Endocrinienne HP 53 02 Chirurgie G n rale
50. Option Gastro ent rologie DUFOUR Patrick Dir e Centre R gional de Lutte contre le cancer Paul Strauss convention 47 02 Option Canc rologie clinique DUPEYRON Jean Pierre RP P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR CS Service d Anesth siologie et de R animation Ghirurgicale NHG 48 01 Anesth siologie et r animation chirurgicale option clinique EISENMANN Ber S nb P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire j T 2010 Gons Service de Chirurgie Gardio vasculaire Nouvel H pital Givil 51 03 Chirurgie thoracique et cardio vasculaire Mme ENTZ WERLE Natacha NRP P le m dico chirurgical de p diatrie NCS Service de P diatrie III H pital de Hautepierre 54 01 P diatrie FALCOZ Pierre Emmanuel NRP e P le de pathologie thoracique NCS Service de Chirurgie Thoracique Nouvel H pital Givil 51 03 Chirurgie thoracique et cardio vasculaire FISCHBACH Michel RP P le m dico chirurgical de p diatrie CS Service de P diatrie 1 H pital Hautepierre 54 01 P diatrie FROELICH S bastien NRP e P le T te et cou NCS Service de Neurochirurgie H pital Hautepierre 49 02 Neurochirurgie GANGI Afshin RP e P le d imagerie NCS Service de Radiologie B Nouvel H pital Givil 43 02 Radiologie et imagerie m dicale option clinique GENTINE Andr NRP6 e P le t te cou GS Serv d Oto rhino laryngologie et de Chirurgie cervico faciale HP 55 01 Oto rhino laryngologie GENY Bernard NRP P
51. PETIT Thierry Centre R gional de Lutte contre le 47 02 Canc rologie Radioth rapie NCDp Cancer Paul Strauss par convention Option Canc rologie Clinique D partment d Oncologie PINGET Michel RP P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE CS Service d Endocrinologie de diab te et des maladies 54 04 Endocrinologie diab te et maladies m taboliques H pital Givil m taboliques POTTECHER Thierry NRP P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR GS Service d Anesth sie et de R animation Ghirurgicale HP 48 01 Anesth siologie et r animation chirurgicale option clinique Mme QUOIX Elisabeth RP e P le de pathologie thoracique CS Service de Pneumologie Nouvel H pital Givil 51 01 Pneumologie ROHR Serge NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation CS Service de Chirurgie g n rale et Digestive HP 53 02 Chirurgie g n rale ROUL G rald NRP P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire NCS Service de Cardiologie Nouvel H pital Givil 51 02 Cardiologie Mme ROY Catherine NRP e P le d imagerie CS Service de Radiologie B Nouvel H pital Civil 43 02 Radiologie et imagerie m dicale option clinique SANDNER Guy Institut de Physiologie Facult de M decine 44 02 Physiologie option biologique NRP e P le de pathologie thoracique NCS Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG
52. S Etablissement Fran ais du Sang Alsace 10 rue Spielmann BP N 36 67065 Strasbourg Cedex T l 03 88 21 25 25 Centre R gional de Lutte contre le cancer Paul Strauss 3 rue de la Porte de l H pital F 67085 Strasbourg Cedex T l 03 88 25 24 24 RESPONSABLE DE LA SECTION M DECINE ET DU DEPARTEMENT DE SANTE DU SERVICE COMMUN DE DOCUMENTATION DE L ULP Mme Lucie JULLIARD LA FACULT A ARRET QUE LES OPINIONS MISES DANS LES DISSERTATIONS QUI LUI SONT PR SENT ES DOIVENT ETRE CONSIDER ES COMME PROPRES A LEURS AUTEURS ET QU ELLE N ENTEND NI LES APPROUVER NI LES IMPROUVER 12 SERMENT D HIPPOCRATE En pr sence des ma tres de cette cole de mes chers condisciples je promets et je jure au nom de l Etre supr me d tre fid le aux lois de l honneur et de la probit dans l exercice de la m decine Je donnerai mes soins gratuits l indigent et n exigerai jamais un salaire au dessus de mon travail Admis l int rieur des maisons mes yeux ne verront pas ce qui s y passe Ma langue taira les secrets qui me seront confi s et mon tat ne servira pas corrompre les m urs ni favoriser les crimes Respectueux et reconnaissant envers mes ma tres je rendrai leurs enfants l instruction que j ai re ue de leurs p res Que les hommes m accordent leur estime si je suis rest fid le mes promesses Que je sois couvert d opprobre et m pris de mes confr res si j y manque
53. UNIVERSITE DE STRASBOURG FACULTE DE MEDECINE DE STRASBOURG ANNEE 2010 N 105 THESE PRESENTEE POUR LE DIPLOME DE DOCTEUR EN MEDECINE Dipl me d Etat Mention M decine G n rale PAR Nom et pr nom CLAIRE Caroline Date et lieu de naissance 13 juin 1977 Rouen Titre de la th se Prescription et messagerie informatis es en m decine lib rale propos d une enqu te aupr s de 2 397 m decins fran ais en d cembre 2008 Pr sident de th se Professeur Jacques CINQUALBRE Directeur de th se Docteur Claude BRONNER a UNIVERSIT DE STRASBOURG I FACULT DE M DECINE U F R des Sciences M dicales Pr sident de l Universit 21 06 07 M BERETZ Alain Doyen de la Facult 3 10 01 et 6 02 06 M LUDES Bertrand Assesseur du Doyen 13 01 10 M GOICHOT Bernard Doyens honoraires 1976 1983 M DORNER Marc 1983 1989 M MANTZ Jean Marie 1989 1994 M VINCENDON Guy 1994 2001 M GERLINGER Pierre Chef des Services Administratifs M VICENTE Gilbert Edition AVRIL 2010 Ann e universitaire 2009 2010 HOPITAUX UNIVERSITAIRES DE STRASBOURG HUS Universitaires de STRASBOURG A1 PROFESSEUR TITULAIRE DU COLLEGE DE FRANCE MANDEL Jean Louis Chaire G n tique humaine compter du 01 11 2UUS A2 MEMBRE JUNIOR A L INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FRANCE LU F BONAH Christian du 20 07 2005 au 20 07 2010 A3 PROFESSEUR E S DES UNIVERSIT S PRATICIENS HOSPITALIERS
54. Val rie e P le de biologie Laboratoire de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult 45 02 Parasitologie et mycologie e Institut de Parasitologie Facult de M decine option biologique Mme la Dre LONSDORFER WOLF Evelyne Institut de Physiologie Appliqu e Facult de M decine e P le de Pathologie thoracique Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie Dre MEGHINE NEUVILLE Agn s e P le de biologie Service de Pathologie H pital Hautepierre 42 03 Anatomie et cytologie pathologiques option biologique Dr MEYER Nicolas P le de sant publique Service de Sant Public H pital Civil 46 04 Biostatistiques Informatique M dicale et Tech e Biostatistiques et Informatique Facult de m decine nologies de Communication option biologique Dr MOREAU Fran ois e P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE Service d Endocrinologie de diab te et des maladies 54 04 Endocrinologie diab te et maladies m taboliques H pital Givil m taboliques Mme MOUTOU C line e P le de biologie 54 05 Biologie et m decine du d veloppement p GUNTHNER Service de Biologie de la Reproduction SIHCUS et de la reproduction option biologique MULLER Jean e P le de biologie Laboratoire de diagnostic g n tique Nouvel H pital Givil 47 04 G n tique option biologique Dr OBERLING Philippe e P le de Psychiatrie et de sant mentale S
55. act riser le mod le fran ais de prescription une valuation critique des indicateurs utilis s Etude r alis e pour le LEEM IMS HEALTH 18 septembre 2008 23p CD Rom 7 Code de la sant publique D livrance article R 5132 6 CD Rom 8 Prescription des dispositifs m dicaux Site internet ameli fr CD Rom 9 Code de d ontologie m dicale article 8 libert de prescription article R 4127 8 du code de la sant publique CD Rom 10 L assurance maladie La prescription de m dicaments r gles g n rales et particuli res Site internet ameli fr CD Rom 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 137 Code de la sant publique arr t du 31 mars 1999 fixant les sp cifications techniques des ordonnances mentionn es l article R 5132 5 du code de la sant publique CD Rom Bronner C Prescription textes l gaux CD Rom Minist re des affaires sociales et de la solidarit nationale Envoi des ordonnances aux organismes d assurance maladie par les assur s sociaux Journal officiel de la r publique fran aise du 31 ao t 1983 p 8005 8006 CD Rom Le RPPS fait pschitt Site internet i med fr 2010 CD Rom Code de la sant publique Prix et agr ment article R 5123 2 CD Rom Code de la sant publique Dispositions g n rales relatives aux soins article L 162 4 CD Rom Code de la sant publique Droit de substitution articl
56. aitement ne peuvent tre prescrits que si un certain nombre d examens sont r alis s parfois ceux ci doivent tre mentionn s sur l ordonnance 22 3 Cas particuliers gt Les stup fiants ou substances apparent es Sur ordonnance s curis e filigrane 11 le nom du m dicament la gal nique le dosage la posologie la dur e du traitement ou le nombre d unit s de conditionnement doivent tre inscrits en toutes lettres 23 Le nombre de sp cialit s distinctes prescrites doit tre report sans rature ni surcharge dans le carr en micro lettres en bas droite Aucun espace libre ne doit tre laiss pour viter les falsifications L ordonnance n est ex cut e que si elle est pr sent e dans les trois jours suivant sa date d tablissement Il ne peut y avoir chevauchement d ordonnances que si le praticien y apporte une mention expresse 12 24 gt Les pr parations magistrales et officinales La mention manuscrite prescription but th rapeutique en l absence de sp cialit s quivalentes disponibles permet la prise en charge par l Assurance Maladie 25 24 Il L INFORMATISATION A L informatisation du dossier m dical Depuis l apparition du premier ordinateur personnel 26 encore rudimentaire en 1975 l informatique s est rapidement perfectionn e et a quasiment envahi tous les champs d activit La m decine n y a bien videmment pas chapp et a profit de cette avanc
57. anscription dans le dossier des m dicaments importants correction et r impression de l ordonnance ordonnance manuscrite wers o ds Duplicata L ordonnance est dupliqu e pour certains syst matiquement pour d autres uniquement en cas de traitement chronique renouveler ou pour que le patient ait une trace conserver ou transmettre la cr che par exemple 104 Le duplicata est jug obsol te car le pharmacien ne garde pas forc ment mais scanne ou photocopie l ordonnance ce qui est indemnis par la caisse de s curit sociale Ajouts Beaucoup de commentaires sur ces demandes de fin de consultation jug es exasp rantes C est au moment d imprimer l ordonnance ou apr s que l ordonnance soit dit e ou pire encore la main sur la poign e de la porte lors du d part que souvent le patient se souvient de demander des m dicaments dits de confort Les m decins essaient de retranscrire dans le dossier surtout pour garder une trace m dico l gale d autant plus pour des m dicaments importants susceptibles d entra ner des effets secondaires ou tout simplement pour retrouver plus tard quel m dicament avait t prescrit en derni re minute Parfois la mention n en est faite qu en post it ou texte libre dans la consultation parfois c est correctement retranscrit dans l ordonnance informatique m moris e Quelques uns pr f rent r imprimer la prescription rectifi e ce qui g n re du pa
58. ation CS Service d H pato Gastro Ent rologie et d Assistance 52 01 Option Gastro ent rologie Nutritive H pital Hautepierre BAUMERT Thomas NRP e P le h pato digestif de l H pital Givil 52 01 Gastro ent rologie h patologie NCS Service d H pato Gastro Ent rologie Nouvel H pital Civil NHG Option h patologie BEAUJEUX R my NRP P le d imagerie CS Service de Radiologie A Nouvel H pital Civil 4302 Radiologie et imagerie m dicale option clinique BECMEUR Fran ois NRP P le m dico chirurgical de p diatrie CS Service de Chirurgie Infantile H pital Hautepierre 54 02 Chirurgie infantile BELLOCQ Jean Pierre RP e P le de Biologie CS Service de Pathologie H pital de Hautepierre 4203 Anatomie et cytologie pathologiques option biologique BERGERAT Jean Pierre NRP e P le d Onco h matologie CS D partement d H matologie et d Oncologie H pital Hautepierre 47 02 Option Canc rologie clinique BERTHEL Marc NRP P le de G riatrie de l H pital de La Robertsau CSp Service de soins de Longue Dur e et d H bergement G riatrique 53 01 Option g riatrie et H pital de La Robertsau biologie du vieillissement BERTSCHY Gilles NRP e P le de Psychiatrie et de sant mentale CSp Service de Psychiatrie II H pital Civil 49 03 Psychiatrie d adultes BLICKL Jean Fr d ric NRP e P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED CS Service de M decine
59. biologie m dicale les v t rinaires 7 mais galement les infirmiers les p dicures podologues et les masseurs kin sith rapeutes ont galement un droit de prescription 8 videmment adapt leur pratique L ordonnance m dicamenteuse fait le lien entre le prescripteur qui propose un traitement le pharmacien qui le valide et le d livre le patient qui accepte de suivre les recommandations et les caisses d assurance maladie s il y a lieu de le rembourser Plusieurs r gles doivent tre respect es lors de l tablissement d une prescription notamment celles conventionnelles fond es sur des articles du code de la s curit sociale et de la sant publique ainsi que celles d ordre d ontologique Le m decin doit se limiter aux prescriptions n cessaires en terme de qualit et de s curit 9 20 A Les r gles g n rales de la r daction d ordonnance 10 11 12 L ordonnance doit tre tablie en double exemplaire l original est destin au patient et le duplicata 13 sa caisse d assurance maladie L ordonnance peut tre manuscrite ou informatis e 1 Les mentions devant figurer lisiblement gt Le prescripteur nom qualification num ro d identification adresse Signature et date de l ordonnance Remarque Le num ro d identification ADELI va progressivement c der la place au RPPS 14 Pour l instant l identification individuelle des prescripteurs hospitaliers est
60. blique NCS D partement de Sant Publique Secteur 3 Epid miologie et 46 01 Epid miologie conomie de la sant Economie de la Sant H pital Civil et pr vention option biologique Laboratoire d Epid miologie Facult de M decine e Centre de Lutte contre le Cancer Paul Strauss VETTER Denis NRP e P le h pato digestif de l H pital Givil NCS Service d H pato Gastro Ent rologie NHC 52 01 Option Gastro ent rologie VETTER Jean Marie 5 9 S nb Unit fonctionnelle d Histoire de la M decine HG 42 03 Anatomie et cytologie pathologiques Cons option biologique VIDAILHET Pierre NRP P le de Psychiatrie et de sant mentale NCS Service de Psychiatrie H pital Givil 49 03 Psychiatrie d adultes VIVILLE St phane NRP P le de biologie 54 05 Biologie et m decine du d veloppement CS Service de Biologie de la Reproduction SIHGUS et de la reproduction option biologique WATTIEZ Arnaud NRP P le de gyn cologie obst trique NCS Service de Gyn cologie Obst trique H pital de Hautepierre 54 03 Gyn cologie Obst trique Gyn cologie m dicale Option Gyn cologie Obst trique WEBER Jean Christophe Pierre NRP P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI CS Service de M decine Interne A Nouvel H pital Givil 53 01 Option M decine Interne WIHLM Jean Marie NRP e P le de pathologie thoracique CS Service de Chirurgie Thoracique Nouvel H pital Civil
61. cceptation du g n rique par le patient La prescription en DCI est limit e par les logiciels Certains d plorent que la prescription en DCI pure soit impossible prescription de g n rique avec marque de laboratoire double affichage des noms du g n rique et entre parenth se celui du princeps qui emp che une bonne lisibilit de l ordonnance De plus tout est fait pour d courager les vell it s des prescripteurs l absence de fiches de transparence pour les g n riques et leur non prise en compte pour l analyse des contre indications par 85 le logiciel les difficult s pour convertir ou encore l impossibilit de conversion en DC par certains logiciels Quelques uns ne se sentent pas concern s par ce sujet dans la mesure o les pharmaciens b n ficient du droit de substitution Depuis le d cret du 11 juin 1999 71 le pharmacien peut d livrer sauf mention contraire une sp cialit du m me groupe g n rique que la sp cialit prescrite Ainsi certains m decins ne font pas d effort pour faire des ordonnances r dig es en DCI sachant que le pharmacien remet le g n rique qu il a en stock et sur lequel il a une meilleure marge Il y a aussi des praticiens qui sont contre la DCI pour des raisons de s curit probl me de la lisibilit de l ordonnance avec le chevauchement des noms sur la posologie exemple classique avec le parac tamol dextropropoxyph ne caf ine suivi du nom commercial Propofan mais aus
62. chnique de la messagerie donc 14765 personnes ont re u nos messages en France dont 2588 en Alsace Certains m decins dont le cabinet n est pas informatis me l ont transmis par courrier lectronique via leur messagerie priv e Je les ai encourag s r pondre tout de m me sachant que le questionnaire s arr tait rapidement dans ce cas de figure seule la premi re page tait renseigner 35 Mailn 1 De Caroline CLAIRE Sujet Th se sur la prescription informatis e Bonjour Rempla ante en m decine g n rale je pr pare une th se dirig e par Dr Bronner et sous la pr sidence du Pr Cinqualbre sur le sujet de la prescription informatis e en m decine lib rale La Haute Autorit de Sant entreprend la certification des logiciels m dicaux et des bases de donn es m dicamenteuses afin de garantir la qualit des ordonnances dit es Dans le but de faire un tat des lieux de l utilisation actuelle des logiciels dans le cadre de la prescription je vous propose un questionnaire dans lequel je vous invite nous faire part de vos commentaires pour comprendre vos freins et vos motivations Indispensable ou contraignant n h sitez pas nous donner votre avis sur cet outil de travail Pour le remplir cliquez sur le lien ci dessous ou recopiez le dans votre navigateur Internet http www apima org enquete enquete prescription _info html Merci pour l attention que vous porterez ce ma
63. ciel n est pas utilis Dans le cadre de l exercice sp cialis hom opathie traumatologie ophtalmologie p dopsychiatrie le nombre de m dicaments couramment utilis s est plus restreint et il n est pas n cessaire d avoir recours des fonctions complexes du LAP Une partie des r pondants constate ne pas savoir exploiter ces fonctions Remarque L emploi de la DCI pourrait tre favoris par l am lioration de certaines fonctions logicielles permettre la prescription en DCI directement et faciliter la conversion princeps DCI 87 b Informations sur les m dicaments Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Consultez vous la monographie propos e par la base de donn es hors m dicaments couramment prescrits pour y v rifier les indications les posologies effets secondaires SMR et ASMR am lioration du service m dical rendu sont ils des renseignements Oui Non Ne sais pas que vous considerez utiles pour choisir un m dicament Votre logiciel vous permet il de visualiser le SMR et l ASMR _ Oui C Non Ne sais pas Commentaires libres Lors de la prescription de m dicaments rarement utilis s et donc moins bien connus 58 5 des m decins ont fr quemment recours la monographie propos e par la base de donn es pour y v rifier des l ments comme par exemple les indications ou les posologies INFORMATION FREQUENCE SUR LE ee No
64. cit la g ne ressentie pour travailler est importante La panne est fortement redout e et souvent qualifi e de r elle catastrophe Quelques uns ferment le cabinet dans ce cas En effet comme la plupart des informations ne se retrouvent plus que sous un format num rique et que bien souvent patient et m decin ne se souviennent pas de tous les l ments tout devient plus compliqu pour prendre les bonnes d cisions L acc s aux ant c dents aux courriers examens et traitements ant rieurs est n cessaire pour les renouvellements de traitement et orienter une prise en charge L impossibilit de marquer la consultation du jour nuit la bonne tenue du dossier Certains prennent des notes pour les retranscrire ult rieurement dans le dossier informatique Mais cela n est pas syst matique et prend du temps Recours la solution papier Le dossier m dical papier est mis jour plus ou moins de fa on exhaustive certains font une double saisie de chaque consultation les r sultats papier apr s avoir t scann s y sont stock s les doubles d ordonnance peuvent y tre rang s D autres confient aux patients un double de leur dossier soit en remplissant un cahier ou un classeur avec tous les comptes rendus et ordonnances ou encore remplissent les carnets de sant pour les enfants et ceux des adultes distribu s en 1997 sous le gouvernement de M Jupp Si le patient ne rapporte pas la derni re ordonnance certains donnen
65. cuments aide la comptabilit et permettent l ouverture vers l ext rieur gr ce internet L informatisation de la m decine doit permettre de moderniser les pratiques m dicales et d am liorer la qualit des soins Le dossier patient est davantage structur 30 mais l information d pos e par le m decin doit tre au bon endroit et interpr table par le logiciel c est dire inscrite de fa on codifi e pour les actes et pathologies et ce d autant plus pour une aide la prescription efficace 26 B La prescription informatis e 1 Les avantages de la prescription informatis e gt La forme Il est possible d imprimer sur des ordonnances ou sur des feuilles vierges en param trant la mise en page avec les en t tes la date les mentions concernant le patient par exemple rajouter automatiquement enfant devant le nom si l ge est inf rieur 15 ans et faire figurer le poids inscrit dans le dossier de param trer le double de la prescription barr e du mot duplicata de r aliser la pr sentation sp cifique aux ALD Remarque Le 8 avril 2009 les CPAM de Colmar et de Mulhouse ont retenu le principe de prise en charge de la d pense suppl mentaire occasionn e par la duplication des ordonnances r alis es informatiquement pour un montant de 0 01 par ordonnance avec un montant maximum inf rieur la moiti de la facture d achat 31 gt Le fond Le module d ditio
66. d j r pondu au questionnaire merci beaucoup Ne tenez pas compte de ce mail 37 Une relance apparait galement dans le EG Zapping n 88 la communication d Espace G n raliste du lundi 8 D cembre 2008 ENQUETE INFORMATISATION l APIMA est l Association Pour l InforMAtisation M dicale et a d j accompagn plusieurs th ses DCI exp rimentation DMP Actuellement ce sont les modalit s de prescription informatique et la messagerie professionnelle qu une jeune consoeur explore Le fichier utilis est g r par Espace M decine G n rale Strasbourg et tous les lib raux qui re oivent le Zapping en ont t destinataires Pour ceux qui ne l ont pas encore fait merci de prendre quelques minutes Plus de 1500 r ponses sont d j rentr es et permettent d explorer l informatisation des r pondants et d analyser leur utilisation r elle de l informatique m dicale On manque cruellement de donn es fiables ce sujet Quelques premi res donn es seront voqu es de prochaines journ es de la HAS A titre d exemple pour la seule Alsace 364 r ponses dans un premier temps Logiciels aucun 16 Medistory 23 Axisante 21 Mediclick 11 et Hellodoc 10 Pour les moyens de communication lectroniques utilis es en priorit 34 d apicrypt 25 de non s curis 12 autres et rien pour 29 HAS JOURNEES LIBERALES La HAS organise les 18 et 19 d cembre 2008 la Villette les journ es HAS dont voici
67. d pendante de l industrie pharmaceutique Le co t des traitements semble souvent accessoire alors que la qualit des soins est mise en avant Prescrire peu de m dicaments et pr f rentiellement en DCI ou g n riques sont des solutions estim es accessibles et suffisantes par les m decins pour limiter les co ts de la collectivit sachant qu ils ne peuvent videmment pas agir sur le pharmacien qui substitue et encore moins sur les prix fix s par les pouvoirs publics Limitations d utilisation On retrouve ici ceux qui n utilisent pas beaucoup ou ne savent pas se servir de l informatique ceux qui n ont pas de logiciel m dical ou pas ces fonctions d alertes et d optimisation Informatisation De nouveau quelques points positifs de l informatisation en g n ral clart du dossier tra abilit aides diverses Et des points n gatifs fragilit du syst me en cas 120 de panne co t du mat riel obstacle la relation m decin malade manque de temps pour ma triser le logiciel Divers La d mat rialisation de l ordonnance deux commentaires fermement oppos s et un proposant un stockage mobile du dossier ainsi que des ordonnances sur la carte vitale Tous les encouragements des m decins ne sont pas comptabilis s car certains taient la suite de commentaires class s dans d autres cat gories Ils attendent les r sultats de l enqu te 121 DISCUSSION A Forces et faiblesses de l enqu te
68. d adultes Mme DANION GRILLIAT Anne RP e P le de Psychiatrie et de sant mentale NCS Service Psychoth rapique pour Enfants et Adolescents HG 49 04 P dopsychiatrie et H pital de l Elsau de BLAY de GAIX Fr d ric NRP e P le de pathologie thoracique NGS Service de Pneumologie Nouvel H pital Givil 51 01 Pneumologie DEBRY Christian NRP e P le t te cou NCS Serv d Oto rhino laryngologie et de Chirurgie cervico faciale HP 55 01 Oto rhino laryngologie de SEZE J r me NRP e P le t te et cou NCS Service de Neurologie H pital Civil 49 01 Neurologie DIEMUNSCH Pierre NRP P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR NGS Service d Anesth sie et de R animation Chirurgicale 48 01 Anesth siologie et r animation chirurgicale H pital de Hautepierre option clinique DIETEMANN Jean Louis NRP e P le d imagerie GS Service de Radiologie II H pital de Hautepierre 43 02 Radiologie et imagerie m dicale option clinique DOFFOEL Michel RP P le h pato digestif de l H pital Givil CS Service d H pato Gastro Ent rologie Nouvel H pital Givil 52 01 Option Gastro ent rologie Mme DOLLFUS WALTMANN NRP e P le de biologie H l ne CS Service de G n tique M dicale H pital de Hautepierre 47 04 G n tique type clinique DUGLOS Bernard NRP e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation NCS Service d H pato Gastro Ent rologie et d Assistance Nutritive HP 52 01
69. de l enfant et de l adolescent 75 Stomatologie 18 elelee lele lelelelw lwah lui lulu le la lol 0 51 B Informatisation du cabinet 97 des m decins interrog s sont informatis s 3 ne le sont pas L valuation de la dur e d informatisation est faite en cochant un intervalle de temps On constate que la moiti des r pondants sont informatis s depuis plus de 10 ans R partition par dur e d informatisation 900 g 800 700 a 600 500 2 400 300 200 S 100 lt 5 ans de 5 10 ans de 10 15 ans plus de 15 ans Dur e d informatisation partir de 2225 r ponses 52 Sur 2397 m decins il y a eu 2028 commentaires concernant les motivations de leur informatisation ou non informatisation J ai regroup les commentaires selon leur id e g n rale Lorsque plusieurs th mes taient abord s par r ponse je les ai s par s Mon classement est fait de mani re subjective suivant le sens des explications que j ai per u En voici la synth se selon la fr quence d croissante des items cit s dans les deux cas de figure Motivations des m decins informatis s partir de 1967 commentaires pour les 2315 personnes informatis es volution informatique apport de l informatique vidence 722 r duire l utilisation du papier 221 dition de documents facilit e 74 recherche 66 cabinet d j informatis 63
70. e Vous tes informatis depuis _ moins de 5 ans _ 5 10 ans 10 15 ans 15 ans et plus Quelles parties du dossier m dical sont informatis es plusieurs r ponses possibles L_ Donn es administratives Ant c dents Consultations Correspondances R sultats biologiques Ordonnances Comptabilit Feuilles de soins Si possible je renseigne l identit l aide de la carte vitale Oui Non Lu L i Ld L Votre quipement Avec quel logiciel m dical travaillez vous Doo Quelle base de donn es m dicamenteuses utlisez vous plusieurs r ponses possibles M Banque Claude Bernard Vidal gratuit _ VidalExpert _ Th riaque _ Th sorimed _ Base personnelle _ Ne sais pas Autre OoOo E Depuis combien d ann es avez vous ce logiciel Comment avez vous appris utiliser votre logiciel plusieurs r ponses possibles __ Par l diteur individuellement __ Par l diteur en groupe L_ Parle revendeur Manuel explicatif fourni avec le logiciel __ FMC groupes d utilisateurs _ Aide des confr res L_ Forum Internet Vos outils de communication Au cabinet disposez vous d une connexion Internet C Oui Non 41 Si oui est ce une connexion haut d bit ADSL C ble etc _ Oui Non Si vous utilisez une ou plusieurs messageries pour vos changes de donn es courriers entre confr res r sultats biologiques ou radiolog
71. e R 5125 54 CD Rom Code de la sant publique M dicaments r serv s l usage hospitalier articles R 5121 82 et 83 CD Rom Code de la sant publique M dicaments prescription hospitali re articles R 5121 84 86 CD Rom Code de la sant publique M dicaments prescription initiale hospitali re articles R 5121 87 89 CD Rom Code de la sant publique M dicaments prescription r serv e certains m decins sp cialistes articles R 5121 90 92 CD Rom Code de la sant publique M dicaments n cessitant une surveillance particuli re pendant le traitement article R 5121 95 CD Rom Code de la sant publique Prescription et commande des stup fiants article R 5132 29 CD Rom Code de la sant publique D livrance des stup fiants article R 5132 33 CD Rom 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 138 Minist re de la sant et des solidarit s D cret n 2006 1498 du 29 novembre 2006 d terminant les r gles selon lesquelles certaines cat gories de pr parations magistrales et officinales peuvent tre exclues du remboursement et modifiant le code de la s curit sociale Journal officiel de la r publique fran aise n 278 du 1 d cembre 2006 texte n 38 page 18097 CD Rom Altair 8800 Site internet wikipedia org CD Rom Motel Y Etat de l art et prospective en mati re d offre de sant ou Au pr texte de l outil infor
72. e dans le dossier Dans l chantillon VALD est coch e fr quemment par 80 3 des praticiens chronique par 30 non remboursable par 9 et non substituable par 11 6 93 FREQUENCE SAISIE DE LA renseign Posologi 93079616 21 9 18 7 13 7 25 8 10 2 96 100 0 texte libre ae 36 7 28 0 6 4 63 11 4 112 100 0 structur e 1 7 ronique 12 3 0 AD 0 0 020 U 70 Chroni 22 1 7 9 5 0 9 5 15 6 100 0 N on 6 9 2 1 4 1 243 48 4 142 100 0 remboursable N an 6 9 4 7 13 3 37 8 25 6 117 100 0 substituable 307 commentaires texte libre 24 choix prescription pr tablie 39 PRECISIONS ALD 45 NR NS 8 LIMITES D UTILISATION ordonnance manuscrite log tr s peu utilis Es 41 limites du logiciel 5 32 35 9 DIVERS RE Posologie Le texte libre est souvent utilis car jug plus facile manier pour personnaliser soit directement soit en compl ment d une prescription structur e pour pr ciser des circonstances de prise afin de faciliter la compr hension et l observance Par ailleurs des utilisateurs de M distory rappellent que le logiciel structure le texte libre Certains s lectionnent une posologie dans leur glossaire des prescriptions pr tablies enrichi progressivement par des posologies cr es selon les situations rencontr es D autres prennent les posologies en les copiant de la monographie de la base de 94 donn es puis en les collan
73. e de modifier le param trage du d clenchement de ces alarmes par exemple en souhaitant que seules les contre indications absolues s affichent et pas les associations prendre en compte ce qui aboutit un niveau de s curit moindre Id alement le LAP doit faire figurer cette modification de seuil d alerte Dans notre enqu te les m decins estiment tenir compte des alertes fr quemment 57 3 FREQUENCE ALERTES Non syst matique moyennement TOTAL renseign Utilisation d 27 2 30 1 15 4 10 3 10 4 100 0 Le motif d alerte est jug facilement accessible et clairement interpr table 55 2 La ma trise du param trage par modification des seuils d alerte semble acquise pour 42 9 55 2 31 8 13 0 100 0 42 9 43 2 13 9 100 0 98 352 commentaires ALERTES alertes utiles la r flexion trop d alertes inutilisables pas d alerte automatique recherche volontaire d information LIMITES D UTILISATION pas de prescription informatis e fonction logicielle am liorer ne sait pas ma triser les seuils Alertes Les alertes sont utiles la r flexion Elles sont interpr ter ou v rifier selon ses propres connaissances mais n emp chent pas forc ment la prescription Souvent il ne s agit que d une interaction de faible importance Ily a beaucoup de commentaires sur le fait que les alertes soient inutilisables en reprenant l expression trop d alertes tu
74. e et exige certaines fonctions du LAP nous apporte ces l ments de r ponse pour un seul logiciel Les commentaires libres occupent une place importante dans ce questionnaire J ai regroup les explications donn es selon ma compr hension en cat gories afin de traduire les id es g n rales Cela introduit forc ment une part de subjectivit dans l interpr tation des donn es 123 B Etudes ant rieures points de comparaison gt Population Au 1 janvier 2009 73 il y a 258 153 m decins inscrits l Ordre des M decins dont 216 017 actifs Les g n ralistes repr sentent 49 des effectifs les sp cialistes 51 et les m decins rempla ants 5 L ge moyen des m decins en activit est 51 ans Il y a 61 d hommes et 39 de femmes Notons que 59 des m decins ont une activit lib rale ou mixte dont la r partition se fait 55 pour la m decine g n rale et 45 pour les autres sp cialit s Dans notre chantillon les m decins sp cialistes et les femmes sont sous repr sent s gt Informatisation En 1996 partir de 1731 r ponses une enqu te men e par le Centre de Sociologie et D mographies M dicales 74 le taux d informatisation des cabinets de m decine g n rale en France est estim 33 dont le tiers s est fait en 1995 et 1996 Il en ressort que 82 utilisent un traitement de texte 75 se servent de l informatique pour la gestion des dossiers patients et pour la
75. e et imagerie m dicale option clinique Mme BILLING WOLF Mich le e Charg de mission Administration g n rale Direction de la Qualit H pital Civil 48 03 Option Pharmacologie fondamentale Mme la Dre BROESSEL Nathalie P le de sant publique Service de Pathologie Professionelle et de M decine du travail HG 46 02 M decine et Sant au Travail option clinique CERALINE Jocelyn P le d Onco h matologie D partement d H matologie et d Oncologie HP 4702 Canc rologie Radioth rapie option biologique CHOQUET Philippe P le d imagerie Service de Biophysique et de M decine nucl aire HP 4301 Biophysique et m decine nucl aire Dr CLAVERT Andr e Institut Laboratoire d Embryologie Facult de M decine P le de biologie Biologie et m decine du d veloppement et de Service de biologie de la reproduction SIHGUS 5405 la reproduction option biologique Dr GLAVERT Philippe P le de l appareil locomoteur Service d Orthop die H pital de Hautepierre 42 01 Anatomie option clinique Dr GOLLANGE Olivier P le de l appareil locomoteur P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR Service d Anesth sie et de R animation Chirurgicale HP 48 01 Anesth siologie et R animation chirurgicale M decine d urgence option Anesth siologie et R animation Chirurgicale Type clinique Dre CROCE Sabrina e P le de Biologie p KLEINMANN Service de Pathologie H pital de Hautepierre 42 03 Anatom
76. ecine L gale et droit de la sant m dico judiciaires et Laboratoire de Toxicologie Facult et HG Institut de M decine L gale Facult de M decine Dr RICHARD Ruddy P le de Pathologie thoracique Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie option biologique Institut de Physiologie Appliqu e Facult de M decine RIEGEL Philippe e P le de biologie Institut Laboratoire de Bact riologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique Dr ROGUE Patrick cf A2 e P le de biologie Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire option biologique ROUSSEL Guy e P le de biologie Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire Mme SAMAMA Brigitte e Institut d Histologie Facult de M decine 42 02 Cytologie et Histologie option biologique AVRIL 2010 NOM et Pr noms cs Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s Dr SAULEAU Erik Andr P le de sant publique Service de Sant Public H pital Givil 4604 Biostatistiques Informatique M dicale et Tech e Biostatistiques et Informatique Facult de m decine nologies de Gommunication option biologique SCHAEFER Adrien e Institut de Physiologie Facult de M decine e P le de biologie Ser
77. ens de formation la formation officielle avec l diteur soit en groupe soit individuellement ou par le revendeur 1482 r ponses seul de mani re empirique ou en recourant au manuel explicatif 1235 r ponses par l change avec les confr res poss dant le m me logiciel lors de r unions FMC ou groupes d utilisateurs sur des forums internet l aide de la famille ou de la secr taire 1241 r ponses certains sont concepteurs de leur logiciel donc n ont videmment pas eu de formation sp cifique 68 Lune formation Nombre manuel explicit du logiciel 00 Dans la cat gorie Autre revendeur aide confraternelle diteur si ge concepteur du logiciel aide de la famille secr taire autre 69 3 Les outils de communication gt Connexion internet au cabinet Les cabinets m dicaux poss dent une connexion internet 97 3 qui est 93 2 en haut d bit ADSL c ble ai o x en 6 RE EE S om 70 gt Le type de messagerie utilis e pour les changes de donn es m dicales 32 1 n ont s lectionn aucune messagerie 41 6 ont une messagerie et 26 4 en Nombre de p Pourcentage messageries utilisent 2 et plus Co o 2 En x Par ordre de fr quence d utilisation La messagerie la plus utilis e est non s curis e Puis sont cit es les messageries s curis es par Apicrypt ou messageries sp cifiques encore plus
78. ent l alerte Pour les personnes g es polym diqu es et avec des traitements vis e cardiologique les alertes s enclenchent immanquablement Certains constatent que des alertes signalent des interactions avec des traitements ant rieurs d j arr t s Des signaux apparaissent par exc s de pr caution ou parfois m me par erreur Toutes ces alarmes ressenties comme des fausses alertes poussent les m decins les ignorer progressivement Une meilleure gradation de la gravit de l alerte permettrait de se concentrer sur les informations r ellement importantes La majeure partie des personnes a signal ne pas b n ficier d alerte automatique soit par absence ou d sactivation de cette fonction De ce fait en cas de doute sur des interactions lors de la prescription il y a une recherche volontaire de l information dans les documents tels que le Vidal 99 Limites d utilisation Les irr ductibles qui ne prescrivent pas par informatique Quelques r criminations au sujet des d fauts des logiciels dont ces fonctions d alerte sont am liorer Peu de personnes avouent ne pas savoir quoi correspondent ces seuils et comment les ma triser Remarque Les alertes s curisent les prescriptions condition que les donn es du dossier soient structur es et codifi es et qu on les consid re Une gradation des alertes avec une ma trise des seuils d affichage am liorerait l adh sion de
79. ert que dans 72 pour la comptabilit 59 Donn es nT Pourcentage informatis es Donn ee 2227 96 administratives ame 2 o Dans Autre les m decins rajoutent en texte libre ce qu ils utilisent galement de fa on informatique et je les ai regroup s comme suit Logiciels d aide vari e Cat gories d j propos es pr c demment Documents Cerfa 3 Sauvegarde num rique d imagerie ou de photos EE Agenda Logiciels d aide vari e aide au diagnostic calcul de facteurs de risques cardio vasculaires tests neuropsychologiques rappels pour programmer les examens de pr vention ou les vaccins Certains de ces logiciels utilitaires sont t l chargeables gratuitement ou moyennant finances 53 Certains ont cit nouveau des cat gories d j propos es Les documents Cerfa peuvent tre enregistr s num riquement pour tre remplis de fa on dactylographi e sauvegard s dans le dossier patient et pr ts imprimer Certains logiciels poss dent directement cette fonction Cerfa comme Cegedim ou 60 Cerfadoc dans Hellodoc qui extrait du dossier les l ments n cessaires pour renseigner les cases des formulaires choisis Des praticiens prennent des photos num riques ou sauvegardent les r sultats d imagerie num ris e dans les dossiers afin d illustrer les pathologies La fonction agenda permet de remplir et visualiser le planning des rendez vous visites et gardes
80. ervice de Psychiatrie HG 44 02 Physiologie option clinique OFFNER Maurice NRP P le de biologie CS Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire CS Laboratoire de Biochimie et de Biologie Mol culaire HP Dr PETER Jean Daniel e P le d anesth sie r animations chirurgicales SAMU SMUR D partement d Anesth siologie Nouvel H pital Givil 48 01 Anesth siologie et r animation chirurgicale option clinique PFAFF Alexander e P le de biologie Laboratoire de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult 45 02 Parasitologie et mycologie PIQUARD Fran ois e Institut de Physiologie Facult de M decine P le de Pathologie thoracique Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie option biologique POULET Patrick e Institut de Physique Biologique Facult de m decine e P le de biologie Labo d Explorations Fonctionnelles par les Isotopes NHG 43 01 Biophysique et m decine nucl aire PREVOST Gilles P le de biologie Institut Laboratoire de Bact riologie Facult de M decine 4501 Option Bact riologie virologie biologique Mme la Dre RADOSAVLJEVIG Mirjana P le de biologie Laboratoire d Immunologie biologique Nouvel H pital Civil 47 03 Immunologie option biologique Dr RAUL Jean S bastien e P le de biologie Service de M decine L gale Consultation d Urgences 46 03 M d
81. et libert L ann e des tics 2004 11p CD Rom 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 140 Synth se de l tude comparative des principaux outils d change de donn es l usage des professionnels de sant Ko ra 31 octobre 2007 16p CD Rom La messagerie s curis e Site internet GIP CPS fr CD Rom Accueil Site internet apima org CD Rom Liste de freewares m dicaux Site internet masef com CD Rom La CSMF attaque Saout pour ses propos Le quotidien du m decin du 16 avril 2010 CD Rom Qu est ce qu apicrypt Site internet apicrypt org CD Rom SMM messagerie s curis e homologu e GIP CPS Site internet cegedim logiciels com CD Rom Messagerie s curis e Planet Sant Site internet telesante paysdelaloire fr CD Rom Messagerie s curis e apicrypt Site internet urmil Ir com CD Rom Plateforme r gionale T l sant d ploiement de la messagerie s curis e en Bretagne GCS R seau T l sant Bretagne URCAM Bretagne ARH Bretagne 4p CD Rom Documentation relative l utilisation de la messagerie s curis e de T l sant Aquitaine GIE T l sant Aquitaine 27 mai 2008 11p CD Rom Mode d emploi simplifi esante Site internet esante alsace fr 18p CD Rom C ur A Communication entre les syst mes de gestion de laboratoire et le dossier m dical personnel les outils fran ais HPRIM Net HPRI
82. exte ind pendant du logiciel m dical vous crivez la main Sur une ordonnance OOI OIOI OIOIC OIOIC ONONC Si vous prescrivez gr ce votre logiciel m dical a Modalit s de prescription des m dicaments en consultation hors stup fiants pour les stup fiants voir plus loin Choix des m dicaments Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Recherchez vous des m dicaments selon les pathologies ou A 3 X 2 classes th rapeutiques gr ce votre logiciel m dical et base _ _ de donn es m dicamenteuses 42 Si votre logiciel le permet via la base de donn es m dicamenteuses quelle fr quence prescrivez vous en DC Q Q d nomination commune directement Si votre logiciel ne le permet pas quelle fr quence le faites a a ry vous via un glossaire personnel que vous avez cr LD s LD L D Convertissez vous la prescription des noms commerciaux en a a DC gr ce au logiciel QO O O Commentaires libres Informations sur les m dicaments Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Consultez vous la monographie propos e par la base de i i 5 a B donn es hors m dicaments couramment prescrits pour y v rifier les indications les posologies effets secondaires SMR et ASMR am lioration du service m dical rendu sont ils des renseignements que vous considerez utiles pour choisir un m dicament
83. fiants et produits apparent s 22 B Les r gles particuli res 10 1 Les mentions sp ciales Prescription hors indications th rapeutiques remboursables signaler c t de la sp cialit NR Non Remboursable Hors indications remboursables 16 Pour des raisons tenant au patient il est possible d inscrire Non Substituable de mani re manuscrite sans abr viation avant la d nomination de chaque sp cialit 17 2 Les m dicaments prescription restreinte Les m dicaments class s en r serve hospitali re ne peuvent tre prescrits et administr s qu l h pital 18 Les m dicaments prescription hospitali re ne peuvent tre prescrits en ville mais peuvent tre d livr s en officine de ville 19 Les m dicaments prescription initiale hospitali re peuvent tre prescrits en renouvellement en ville apr s le d lai de validit de l ordonnance initiale fix par l autorisation de mise sur le march L ordonnance doit tre identique l initiale mais en cas de n cessit la posologie ou la dur e du traitement peuvent tre adapt s 20 Les m dicaments prescription r serv e des m decins sp cialistes pour la prescription initiale puis renouvellement l identique par tout autre m decin pouvant n anmoins modifier la posologie ou la dur e de traitement si n cessaire 21 23 Les m dicaments n cessitant une surveillance particuli re pendant le tr
84. galement les versions papier du Vidal et du Dorosz dans lesquels on retrouve les informations utiles la prescription Les lecteurs fid les de la revue Prescrire en version papier ou lectronique se r f rent aux articles ind pendants de l industrie pharmaceutique et qui reprennent des tudes et m ta analyses sur des m dicaments ou strat gies th rapeutiques sans pour autant reprendre pour chaque produit tous les l ments pratiques utiles leur prescription Les autres moyens de formation et d information sont les sites m dicaux sur internet les cessions de FMC mais aussi les visiteurs m dicaux qui sont notamment tenus de remettre les fiches posologiques reprenant les mentions l gales pour les m dicaments pr sent s et de mentionner les SMR et ASMR 90 SMR et ASMR Le SMR et ASMR sont des l ments utiles en amont comme nous l expliquent quelques m decins pour int grer ou non un m dicament dans leur panoplie th rapeutique et ne sont donc pas consult s r guli rement Une poign e de personnes trouvent que ces informations seraient utiles si elles taient disponibles D autres mettent des doutes sur le bien fond de ces classements et de leur r elle utilit en pratique Limites d utilisation Une fois de plus certains ne ma trisent pas l outil informatique pour en tirer ce genre d information Ou encore d autres soulignent les faiblesses de leur logiciel qui ne permet pas
85. geries s curis es HPRIM Net 62 ou Docteur Net HPRIM 63 transmettent les documents la norme HPRIM 72 harmoniser et promouvoir l informatique m dicale qui donne une structure facilitant leur int gration dans les dossiers informatiques des patients Par ailleurs les m decins ont signal utiliser le Bioserveur 64 qui est une plate forme s curis e permettant d acc der aux r sultats d analyse biologique Dans les messageries diverses on retrouve plusieurs noms mais sans pr cision sur le fait qu elles soient s curis es ou non Les changes se font beaucoup avec les laboratoires Certains m decins ignorent compl tement le statut de leur messagerie D autres remettent en question la n cessit d utiliser des messageries crypt es dans la mesure o leur bo te aux lettres papier n est en rien s curis e Pas ou peu d changes lectroniques par l existence de limites mat rielles avec des difficult s installer ou ma triser les logiciels de messagerie et de s curisation et par des limites environnementales dans le sens o peu de correspondants confr res et laboratoires utilisent ces technologies De ce fait le papier reste un vecteur privil gi d informations Certains pr cisent que leur connexion internet ne sert qu t l transmettre les feuilles de soins Remarques La question aurait d tre formul e diff remment demander si la messagerie utilis e est s curis e ou non Si
86. gestion comptable du cabinet 38 ont un logiciel d tectant les interactions m dicamenteuses 124 32 consultent un logiciel type Vidal 5 ont recours un syst me expert d aide la prescription trop sophistiqu l poque En 10 ans l informatisation se d veloppe largement Un sondage IPSOS Sant 75 men en 2007 aupr s de 514 m decins fran ais 313 m decins g n ralistes 101 sp cialistes lib raux 100 sp cialistes hospitaliers rapporte que 86 disposent d un quipement informatique MG 89 SL 82 SH 87 58 s en servent pour la gestion des dossiers patients MG 78 SL 56 SH 43 48 impriment des ordonnances MG 67 SL 45 SH 31 18 d clarent utiliser une messagerie s curis e pour changer des informations m dicales avec leurs confr res MG 19 SL 12 SH 25 59 ne se servent pas d internet pour les changes m dicaux La m me ann e une enqu te l chelle europ enne 76 est r alis e aupr s de 6789 m decins de soins primaires dont 302 g n ralistes fran ais 77 Les donn es principales sont 87 des cabinets g n ralistes europ ens 83 en France sont quip s d un ordinateur qui est utilis pendant la consultation 66 72 en France 69 ont une connexion internet 73 en France 48 ont une connexion haut d bit 59 en France Finlande 93 versus Roumanie 5 125 62 France 47 ont un logiciel d aide
87. ie et cytologie pathologiques option biologique DALI YOUCEF Ahmed Nassim P le de biologie Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire DELAUNOY Jean Pierre P le de biologie Laboratoire de diagnostc g n tique Nouvel H pital Civil 4401 Biochimie et biologie mol culaire Dre de MARTINO Sylvie P le de biologie Laboratoire de Bact riologie Facult de M decine 45 01 Bact riologie virologie Option bact riologie virologie biologique Dr DEVYS Didier P le de biologie Laboratoire de diagnostic g n tique Nouvel H pital Givil 47 04 G n tique option biologique Dr DOLL Pascal P le de biologie Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire Mme la Dre DORAY B r nice P le de biologie Service de G n tique m dicale H pital de Hautepierre 47 04 G n tique option g n tique Dr DOUTRELEAU St phane Institut de Physiologie Appliqu e Facult de M decine P le de Pathologique thoracique Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie option biologique Mme la Dre FAFI KREMER Samira P le de biologie Laboratoire Institut de Virologie Facult de M decine 4501 Bact riologie Virologie Hygi ne Hospitali re Option Bact riologie Virologie biologique Dr FILISETTI Denis P le de biologie Labo de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult et HP 45 0
88. iels d aide la prescription en m decine ambulatoire et de la charte de qualit des bases de donn es sur les m dicaments destin es l usage des logiciels d aide la prescription Journal officiel de la r publique fran aise n 0230 du 2 octobre 2008 texte n 59 CD Rom HAS Charte de qualit des bases de donn es sur les m dicaments destin es l usage des LAP candidats la certification de la HAS Version de juin 2008 6p CD Rom Agr ment des bases de donn es sur les m dicaments Site internet HAS sante fr CD Rom Liste des logiciels d aide la prescription pour la m decine ambulatoire certifi s selon le r f rentiel de la HAS Site internet HAS sante fr CD Rom Almapro premier logiciel m dical certifi par la HAS logiciel d aide la prescription Site internet almapro org CD Rom Le premier LAP en m decine ambulatoire certifi Site internet ticsante com 13 janvier 2010 CD Rom Certification des LAP un processus en panne faute d incitation Le quotidien du m decin informatique et web 12 mars 2010 CD Rom Tableau 2008 des logiciels m dicaux Le quotidien du m decin informatique et web 13 mars 2010 20 26 CD Rom Glossaire certification des LAP Site HAS sante fr CD Rom Site internet resip fr CD Rom Site internet vidal fr CD Rom Site internet giesips org CD Rom Site internet theriaque org CD Rom Guerrier C La cryptologie entre s curit
89. ier ou en texte libre dans une consultation ce qui ne peut videmment pas tre pris en compte par le LAP pour analyser les prescriptions faites dans ces cas Certains m decins pr f rent ne pas faire confiance au logiciel dans ces situations particuli res et v rifier leurs prescriptions Pour cela il existe un site internet le CRAT centre de r f rence sur les agents pathog nes de l h pital Armand Trousseau de Paris qui recense les pathologies m dicaments vaccins et imageries possibles chez la femme enceinte et allaitante Limites d utilisation Le dossier papier est encore utilis avec pour certains une utilisation restreinte de l informatique partie administrative avec les FSE et recherches m dicales sur internet Beaucoup avouent ne pas utiliser toutes ces fonctions pour moiti par ignorance et d autre part parce que le logiciel n offre pas ces fonctions Remarque La codification est contraignante peu pratique et par cons quent pas assez utilis e On constate que le logiciel M distory apporte une aide en proposant un code au texte libre qu il reconnait 81 2 Prescription m dicamenteuse hors stup fiant En g n ral au cabinet pour r diger vos ordonnances m dicamenteuses vous utilisez Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais la fonction d dition de votre logiciel m dical un traitement de texte ind pendant du logiciel m dical vous crivez la main
90. il Caroline CLAIRE Mail n 2 pour les m decins Alsace De Drs Claude BRONNER amp Nathan ABENHAIM lt mailto contact apima org gt Sujet Questionnaire informatique votre r ponse est importante Docteur Caroline CLAIRE rempla ante en m decine g n rale vous a sollicit e pour renseigner un questionnaire en ligne sur votre quipement informatique et son utilisation dans la communication entre m decins et la prescription Elle utilisera vos r ponses pour r diger sa th se sur la prescription informatis e Pr sident Prof Jacques CINQUALBRE Ce questionnaire labor par l APIMA sera envoy 15 000 m decins Mais dans un premier temps nous l adressons uniquement aux m decins alsaciens et vos r ponses surtout si vous mettez vos coordonn es feront gagner du temps dans le lancement d une action destin e faciliter la communication quotidienne entre professionnels de sant Cette action est men e par l association Alsace DMP qui regroupe entre autres l Union R gionale des M decins Lib raux et APIMA avec des partenaires hospitaliers dont le CHU 36 Merci de prendre quelques minutes pour faciliter le travail de th se de Caroline CLAIRE illustrer notre quotidien d utilisateurs de l informatique m dicale et faciliter une action r gionale d envergure Confraternellement Pour l APIMA Dr Nathan ABENHAIM pr sident et Dr Claude BRONNER directeur de th se
91. informatique soit avant la visite en pr imprimant l ordonnance ou un r sum du dossier soit en visite avec un portable notebook ou un palm pour acc der aux dossiers ou juste la base de donn es sur les m dicaments soit au retour de la visite en consignant dans les dossiers informatis s les traitements jour Quelques uns ne prescrivent pas quand ils sont en visite mais en rentrant au cabinet r digent l ordonnance sur l ordinateur et demandent qu un proche passe la r cup rer ou la d pose chez le pharmacien Notons que certains emportent un lecteur de carte vitale pour viter de faire des feuilles de soins papier D mat rialisation cf question suivante Les 5 personnes ayant formul des commentaires ne sont pas enthousiastes concernant cette d mat rialisation de l ordonnance consid rant qu il y a n cessit d avoir un support papier commenter que le patient doit jouer un r le actif en cherchant les m dicaments et qu il faut lui faire prendre conscience des co ts 112 5 Avenir la d mat rialisation de l ordonnance Seriez vous int ress par une exp rimentation de d mat rialisation de l ordonnance envoi informatique de l ordonnance de mani re crypt e ou avec une proc dure de men signature lectronique au pharmacien choisi par le patient partir du cabinet lors des consultations ou en diff r apr s les visites Non Sans opinion La d mat rialisation consiste en l
92. iques Merci de les classer par ordre de fr quence N 1 RE N 2 Participez vous un panel par l interm diaire de votre logiciel Oui Non Ne sais pas Si oui lequel IMS C Thales Autre Commentaires libres lll Votre pratique gt Dossier Patient A quelle fr quence renseignez vous les items suivants dans les cases pr vues de votre logiciel m dical Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Identit du patient nom pr nom O O O O O Identit du patient sexe O O O O O Identit du patient date de naissance O O O O O Mesures variables poids O O O O O Mesures variables cr atinine O O O O Ant c dents inscrits de fa on structur e en s lectionnant E dans une liste de codification telle que CIM10 CISP LU LD D LD Ant c dents inscrits en texte libre O O O O Allergies intol rances m dicamenteuses inscrites de fa on A a codifi e O O LD LD LD Allergies intol rances m dicamenteuses inscrites en texte s A A es O O O O Prise en compte des tats physiologiques comme la p PSEA O O ORRO grossesse ou l allaitement par le logiciel Commentaires libres gt Votre prescription m dicamenteuse En g n ral au cabinet pour r diger vos ordonnances m dicamenteuses vous utilisez Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais la fonction d dition de votre logiciel m dical un traitement de t
93. ir au moment du repas par exemple Ceci permet au LAP de comprendre la prescription pour calculer le nombre de bo tes pour ventuellement proposer une optimisation des co ts ou pour enclencher si n cessaire des alertes quand la posologie prescrite d passe la posologie maximale en fonction de l ge et du poids Un autre avantage de la structuration de la prescription serait dans le cadre de la d mat rialisation de 92 l ordonnance que le code attribu par le logiciel chaque ligne de prescription soit reconnu par le syst me informatique de la pharmacie qui recevrait par t l transmission l ordonnance Dans l enqu te 40 6 des m decins estiment inscrire fr quemment somme de syst matique et souvent la posologie en texte libre et 64 7 en saisie structur e Par ailleurs pour aider la mise en page de l ordonnance ajouter une pr cision pour un m dicament mais aussi pour garder en m moire une ordonnance chronique dont les m dicaments vont tre pris en compte pour l analyse des interactions avec les prochaines prescriptions ponctuelles il y a moyen de s lectionner selon les logiciels ALD pour mettre dans la partie sup rieure de l ordonnance bizone chronique pour les m dicaments pris au long cours et encore l adresse du pharmacien non remboursable NR pour le m dicament prescrit hors AMM ou non substituable NS et d en garder la trace dans l ordonnance m moris
94. ital Givil HP H pital de Hautepierre AVRIL 2010 NOM et Pr noms cs Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s BURSZTEJN Claude NRP P le de Psychiatrie et de sant mentale CS Service Psychoth rapique pour Enfants et Adolescents HG 49 04 P dopsychiatrie CANDOLFI Ermanno NRP e P le de Biologie CS Laboratoire de Parasitologie et de Mycologie m dicale Facult 45 02 Parasitologie et mycologie Institut de Parasitologie Facult de M decine option biologique GANTINEAU Alain NRP e P le de Sant publique CS Service de Pathologie Professionnelle et de M decine du 46 02 M decine et sant au travail Travail H pital Givil CASTELAIN Vincent NRP P le Urgences r animations m dicales Centre antipoison NCS Service de R animation m dicale H pital Hautepierre 48 02 R animation m dicale GAZENAVE Jean Pierre Dir NGS Etablissement Fran ais du Sang Alsace EFS 47 01 H matologie option biologique CHAKFE Nabil NRP P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire 51 04 Chirurgie vasculaire m decine vasculaire NCS Service de Chirurgie Vasculaire Nouvel H pital Givil Option chirurgie vasculaire Mme CHARLOUX Anne NRP P le de pathologie thoracique NGS Service de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 44 02 Physiologie option
95. itent pas investir dans cette mise aux normes tant qu il n y a ni demande ni obligation Par ailleurs les utilisateurs se contentent de ce qu ils ont et ne mettent pas de pression particuli re pour faire voluer les outils d aide la prescription A titre d exemple en Belgique les m decins utilisant un logiciel agr b n ficient d un avantage financier 41 Il est noter que le module OrdoFOPIM 80 cr par l APIMA partir de 2004 puis repris et d velopp dans le logiciel ALMAPRO est le premier et le seul promouvoir la prescription en DCI et apporter les fonctionnalit s compl mentaires souvent indisponibles affichage de l ASMR et SMR par exemple r pondant aux attentes des m decins 131 CONCLUSION L utilisation de l informatique par les m decins lib raux est le sujet de nombreuses interrogations Beaucoup de publications paraissent sur l informatisation en g n rale mais tr s peu sur l utilisation quotidienne et pr cise de cet outil Nous avons r alis une enqu te de pratique cibl e sur la prescription Le taux de r ponse a t tout fait satisfaisant avec 2397 m decins lib raux participants soit environ 16 L analyse des donn es montre que le taux d utilisation de l informatique au quotidien est tr s important notamment pour la prescription autour de 84 Cependant des l ments restent sous exploit s codification non faite car inadapt e des pathologies cartant la
96. la programmation afin d obtenir un enregistrement correct des r ponses 3 Recrutement Nous b n ficions de l acc s la mailing liste de l APIMA o figurent les m decins ne refusant pas de recevoir de courriers lectroniques de la part de l association Cette liste de coordonn es d clar e la CNIL Commission Nationale de l Informatique et des Libert s s est constitu e partir des formulaires d inscription aux actions de formation m dicale continue et d valuation des pratiques professionnelles t l chargeables sur le site internet www fmcaction org o envoy s par courrier postal aux inscrits des fiches de renseignements des formateurs des formulaires d inscription en ligne aux formations des sites Web des Pages Jaunes du Conseil National de l Ordre des M decins et de la S curit Sociale 34 4 Modalit s d envoi Le 20 novembre 2008 nous envoyons dans la m me journ e pour chacun des m decins d Alsace deux mails le premier dont le nom de l exp diteur est le mien et pour le deuxi me apparaissent ceux du Dr Bronner et du Dr Abenhaim pr sident de l APIMA 15 jours apr s soit le 4 d cembre nous envoyons galement deux courriels par m decin install dans les autres r gions fran aises Au total les mails ont t envoy s 15537 adresses 772 ne sont pas parvenus leur destinataire bo te mail satur e adresse incorrecte ou n existant plus probl me te
97. la certification des logiciels d aide la prescription LAP La communication par messagerie prend une place croissante dans la pratique m dicale Par une enqu te r alis e fin 2008 nous tentons de faire un tat des lieux de l utilisation des LAP pour la prescription et des messageries M thode 15 537 mails dont 772 n ont pas abouti ont t envoy s aux m decins fran ais les invitant r pondre en ligne un questionnaire 2397 r ponses ont t trait es R sultats Les cabinets sont massivement informatis s 97 depuis plus de 10 ans pour la moiti et connect s internet essentiellement en haut d bit Seulement 67 9 des praticiens ont une messagerie Plus de 100 logiciels m dicaux diff rents sont cit s mais 8 d entre eux regroupent pr s de 80 des utilisateurs La prescription se fait fr quemment l aide du LAP 84 4 L enqu te met en vidence les probl mes li s aux LAP dont les performances sont limit es par le manque de donn es codifi es fournies par les utilisateurs l absence d affichage de certaines informations SMR ASMR prix des freins la prescription en DCI et celle des stup fiants Les messageries utilis es ne permettent pas toutes d changer des donn es de fa on s curis e Conclusion Les marges de progression restent importantes Les r ponses des m decins permettent d en d terminer les ressorts des logiciels mieux adapt s la pratique et une meilleu
98. la d cision le plus souvent un logiciel d aide au diagnostic dans 59 France 44 des cas plut t qu une aide la prescription 32 France 14 Les donn es administratives sont informatis es 80 France 74 o Donn es relatives au diagnostic et au traitement 92 France respectivement 93 et 91 o Allergies 85 o R sultats de laboratoire analyses 81 France 77 o Raisons de la visite ou sympt mes pr sent s 79 France 92 o Ant c dents m dicaux 77 o Clich s radiologiques 35 France 65 76 des donn es sont conserv es de fa on structur e Finlande 100 Lettonie 26 o 21 de fa on cod e exclusivement France 6 o 30 de fa on non cod e en texte libre France 66 o 46 de fa on mixte cod e et non cod e France 19 L e prescription n atteint qu une moyenne de 6 toujours avec une forte disparit Danemark 97 France 1 Les pourcentages fran ais sont moins lev s que ceux constat s dans notre enqu te r alis e un an plus tard avec un effectif plus important 126 La France est donc relativement bien quip e malgr les conclusions plus pessimistes de la S curit Sociale 78 Cependant l usage de logiciels d aide la prescription du codage des donn es et la d mat rialisation de l ordonnance ont encore de belles marges de progression devant eux pour atteindre le niveau de certains pays notamment scandinaves tr s avanc s dans le domaine
99. le co t des soins pour la collectivit O O Commentaires libres Merci de votre participation ES 45 B Recueil des donn es Gr ce notre informaticien les r ponses de chaque m decin sont r colt es dans un tableau sous format TAB converti en tableau Excel s incr mentant au fur et mesure une ligne par personne avec toutes les r ponses donn es Le 18 d cembre 2008 nous stoppons la mise en ligne du questionnaire et nous comptabilisons 2462 r ponses Les r sultats statistiques r alis s par M Trabelsi ainsi que les commentaires libres sont accessibles sur le site de l APIMA 46 Il RESULTATS Le questionnaire tait disponible en ligne pendant 1 mois pour les professionnels de sant d Alsace et 14 jours pour ceux des autres r gions de France Le taux de r ponse au questionnaire s l ve 16 6 2462 lignes de r ponses ont t cr es dans le tableau de recueil des donn es dont on retire 19 lignes blanches 37 doublons par double validation et 9 lignes de r pondants hospitaliers ou m decins PMI Au total 2397 r ponses ont t trait es Remarque Bien que la mailing liste s toffe r guli rement avec plus de 29 000 adresses lectroniques en juillet 2010 parmi toutes les enqu tes r alis es par l APIMA celle ci a suscit un nombre record de r ponses 47 A Population tudi e Vous Vous pouvez renseigner ce questionnaire an
100. lippe NRP e P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire NCS Service de Chirurgie Cardio vasculaire Nouvel H pital Civil 51 03 Chirurgie thoracique et cardio vasculaire MEYER Christian 5 9 S nb e P le des pathologies digestives h patiques et de la transplantation Cons Service de Chirurgie G n rale et Digestive H p Hautepierre 53 02 Chirurgie g n rale MEYER Pierre NRP e P le de sant publique NCS D partement de Sant Publique Secteur 2 Biostatistiques 4604 Biostatistiques informatique m dicale et et M thodologie H pital Givil technologies de communication e Biostatistiques et Informatique Facult de M decine option biologique MONASSIER Laurent NRP e P le de pharmacie pharmacologie NCS e Institut de Pharmacologie Facult de M decine 48 03 Option Pharmacologie fondamentale MOREL Olivier NRP P le d activit m dico chirurgicale cardio vasculaire NCS Service de Cardiologie Nouvel H pital Givil 51 02 Cardiologie MOULIN Bruno NRP e P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE NCS Service de N phrologie et H modialyse Nouvel H pital Civil 52 03 N phrologie MULLER Andr NRP e P le t te et cou NCS Centre d Evaluation et de Traitement de la Douleur H pital Givil 48 04 Th rapeutique MUTTER Didier NRP e P le h pato digestif de l H pital Givil NGS Service d Urgence de Chirurgie G n rale et Endocrinienne NHC 52 02 Chirurgie digestive
101. lus longue mais l informatique permet d tre plus exhaustif et d accorder plus de temps pour les explications au patient N anmoins le stress de la panne et la maintenance on reuse restent in vitables Globalement il y a donc quelques d sagr ments mais un tel service rendu que l informatique est un outil indispensable et pl biscit Certains mettent l accent sur les points n gatifs Essentiellement la perte de temps lors des pannes en dehors des consultations pour scanner les courriers pour expliquer aux rempla ants pour faire les sauvegardes Beaucoup se plaignent de la lenteur du mat riel pour faire les FSE ou de leur logiciel en g n ral Ainsi cette perte de temps se r percute sur la relation m decin malade et sur le temps de l examen clinique Par ailleurs le co t du mat riel et de la maintenance est parfois jug prohibitif Pour toutes ces raisons certains pr f rent le dossier papier 118 c Am lioration de la qualit Avez vous l impression d am liorer la qualit de vos ordonnances gr ce aux alertes d interaction l interfa age avec le dossier la centralisation des donn es dans le but de Totalement Beaucoup Moyen Un peu Pas du tout limiter la iatrog nie limiter le co t des soins pour la collectivit Commentaires libres La derni re question concerne l am lioration de la qualit des ordonnances gr ce aux alertes d interaction l interfa age avec le dossier la centrali
102. matique tout ce que vous avez si souvent r v de conna tre sur le devenir de la Sant en France et ailleurs sans savoir o trouver la r ponse Septembre 2000 27p CD Rom Ordonnance n 96 345 du 24 avril 1996 relative la ma trise m dicalis e des d penses de soins article 8 CD Rom M decins la taxe sur les feuilles de soins papier repouss e 2011 Le Point fr 31 mars 2010 CD Rom Falcoff H Le dossier m dical en m decine g n rale La revue du praticien M decine G n rale tome 11 n 404 du 17 d cembre 1997 page 71 78 CD Rom Assurance maladie Colmar et Mulhouse Lettre aux professionnels de sant Objet ordonnances dupliqu es dit es par mat riel informatique 23 juillet 2009 CD Rom Informatique FEIMA et GLAM Site internet mediamed org CD Rom Dourgnon A Grandfils N Sourty Le Guellec MJ et al L apport de l informatique dans la pratique de la m decine lib rale Etude FORMMEL 2000 131p CD Rom Jordan Meille A Le dossier m dical informatis Site internet caducee net avril 2002 CD Rom Blanchard S La mort du FOPIM illustre le manque de volont pour fournir des donn es ind pendantes aux m decins Le Monde article publi le 21 D cembre 2004 CD Rom 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 139 D cision du 4 juin 2008 portant adoption du r f rentiel de certification par essai de type des logic
103. maxillo faciale morphologie et dermatologie NCS Service de Dermatologie H pital Civil 50 03 Dermato v n r ologie LIVERNEAUX Philippe NRP e P le de l appareil locomoteur NCS Centre de Chirurgie orthop dique et de la Main CCOM Illkirch 50 02 Chirurgie orthop dique et traumatologique LUDES Bertrand NRP e P le de biologie CS Service de M decine L gale Consultation d Urgences 46 03 M decine l gale et droit de la sant m dico judiciaires et Laboratoire de Toxicologie Facult et NHG option biologique e Institut de M decine L gale Facult LUTZ Patrick NRP e P le m dico chirurgical de p diatrie 54 01 P diatrie CS Service de P diatrie 3 H pital Hautepierre MAITRE Michel NRP e P le de biologie NCGS Laboratoire de Biochimie H pital Hautepierre 44 01 Biochimie et Biologie mol culaire e Institut de Chimie Biologique Facult de M decine AVRIL 2010 NOM et Pr noms cs Services Hospitaliers ou Institut Localisation Sous section du Conseil National des Universit s MAITROT Daniel 1 8 S nb P le t te cou Cons Service de Neurochirurgie H pital Hautepierre 49 02 Neurochirurgie MANDEL Jean Louis cf A1 NRP e P le de biologie 47 04 G n tique option biologique CS Laboratoire de diagnostic g n tique Nouvel H pital Glvil MANGIN Patrice 3 en d tachement Lausanne Suisse du 01 09 96 au 31 08 10 46 03 M deci
104. med Hippocrate Infansoft M diprog Ordovitale Cit 3 fois Gestcab 37 6 M dical Papyrus Sinouhe Xmed Cit 2 fois Cardiopremier Aspirine FSE Axiam FSE T l vitale M dialogis Medicab Cit 1 fois Act4 Actibase Allergosoft Alor Api Sant Audipog Biostat Cabimed Cabrad Caducee 9 1 CimMed Climco Dmd Easy2be Ebp compta office Emed Filemaker FSE Affid FSE Ciel FSE Resip G n clic GICIPI Patients Gpmed Hemadialyse Hermes Infodev Logisante Lora gastro Lotus Approach M dialogis pneumo Mediasyx Medical Medigexp Mediplus O Soft O ophtavision Odyss e Omnilite Orthosoft Pneumologis Pro logiciel Realvison Resurgences Safamed Sagah Serval Sgbd foxpro2 Sir 5 de Waid Spelogic Starbone Stethogiciel Studio vision Telemaque Topaze Top cho Waid X plore Edl Au final les nombres marquants sont les 103 noms de logiciels cit s 41 cr ations personnelles 29 non renseign s 18 personnes qui n ont aucun logiciel m dical On constate que les 4 groupes Axisant Cegedim M distory et Hellodoc repr sentent les 2 3 des logiciels de l chantillon En prenant les 8 plus repr sent s on atteint 78 8 des utilisateurs 64 gt Les bases de donn es m dicamenteuses utilis es Il tait possible de s lectionner plusieurs bases de donn es mais dans 75 cas une seule est me
105. n MEDICAMENT syst matique moyennement renseign C Itati monographie La monographie d un m dicament reprend les informations du R sum des Caract ristiques du Produit RCP issu de l Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Produits de Sant AFSSAPS On y retrouve donc diff rents chapitres comme les forme et pr sentation composition indications posologie et mode d administration contre indications mise en garde et pr caution d emploi interactions m dicamenteuses grossesse et allaitement pharmacodynamie et pharmacocin tique mais aussi les prix le co t de traitement journalier et l inscription sur les listes des substances v n neuses et taux de prise en charge par les caisses d assurance maladie 88 Dans le cadre de la certification des LAP il faudrait qu apparaissent en plus les SMR Service M dical Rendu et ASMR Am lioration du Service M dical Rendu valu s par la commission de transparence de la HAS Les BdM agr es 37 s engagent les fournir avec leur date d attribution et en fonction des indications L appr ciation du SMR tient compte de diff rents crit res comme le rapport efficacit s curit du m dicament de sa place dans la strat gie th rapeutique de la gravit de la maladie consid r e du caract re curatif pr ventif ou symptomatique du traitement et de son int r t en sant publique Il y a diff rents niveaux de SMR majeur ou important mod r ou faible
106. n d ordonnance facilite la r daction et avec l aide de la base de donn es sur les m dicaments il permet de prendre en compte les allergies intol rances et pathologies ou tats physiologiques gr ce l interfa age avec le dossier patient les interactions au sein des m dicaments prescrits les informations sur le m dicament posologie indications effets ind sirables prix Les ordonnances sont enregistr es consultables et imprimables rapidement lisibles avec une mise en page claire 27 Tout ceci conduit une s curisation de la prescription par l acc s rapide aux informations m dicaments dossier mais aussi l analyse faite par le logiciel pour signaler des interactions ou contre indications 2 Recherche de la qualit des logiciels Depuis plus de 20 ans de nombreuses initiatives ont t prises pour garantir un outil informatique performant et de qualit D s 1988 la F d ration des Editeurs en Informatique M dicale Ambulatoire FEIMA tablit la charte des diteurs 32 afin d assurer la qualit des logiciels qui doivent tre volutifs et ind pendants car l aide la prescription ne doit pas tre influenc e par une structure ou un organisme l insu de son utilisateur De plus les donn es entre professionnels et logiciels doivent tre faciles changer le d fi est de taille En 1998 le FORMMEL Le FOnds de R orientation et de Modernisation de la M decine
107. ne l gale et droit de la sant NCS Institut Laboratoire de M decine L gale et option biologique d Analyses Toxicologiques Facult MARESCAUX Christian NRP e P le t te cou NCS Service de Neurologie H pital Civil 49 01 Neurologie MARESCAUX Jacques NRP e P le h pato digestif de l H pital Givil CS Service d Urgence de Chirurgie G n rale et Endocrinienne NHC 52 02 Chirurgie digestive MARK Manuel NRP e P le de biologie 54 05 Biologie et m decine du d veloppement et de NCS Laboratoire de Cytog n tique Cytologie et Histologie la reproduction option biologique quantitative H pital de Hautepierre MARTIN Thierry NRP P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI GS Service de M decine Interne et d Immunologie Clinique NHG 47 03 Immunologie option clinique Laboratoire d Immunopathologie Facult de M decine MASSARD Gilbert NRP P le de pathologie thoracique NGS Service de Chirurgie Thoracique Nouvel H pital Civil 51 03 Chirurgie thoracique et cardio vasculaire Mme MATHELIN Garole NRP e P le de gyn cologie obst trique Gyn cologie Obst trique Gyn cologie NCS Unit de S nologie H pital Givil 54 03 M dicale MAUVIEUX Laurent NRP P le d onco h matologie CS Laboratoire d H matologie Biologique H pital de Hautepierre 47 01 H matologie Transfusion Institut d H matologie Facult de M decine Option H matologie Biologique MAZZUGOTELLI Jean Phi
108. ne permettant pas la d livrance de m dicaments Ceci est fait fr quemment par les 3 4 des m decins dans notre enqu te En pratique c est souvent au moment de l impression que le patient demande si l on peut rajouter un m dicament classiquement de quoi refaire un petit stock d antalgiques Si le m decin est d accord il le rajoute sur l ordonnance Ceci peut tre fait de fa on manuscrite sur l ordonnance imprim e afin de gagner du temps et d viter de g cher du papier Ensuite dans un souci de compl tude du dossier une mention peut y tre port e soit dans la partie consultation ou avec plus de rigueur dans l ordonnance informatis e du jour pour une meilleure tra abilit et prise en compte des interactions par le LAP Autre option jeter l ordonnance la refaire sur l ordinateur puis l imprimer avec les modifications 103 Dans l chantillon le rajout de m dicaments sur l ordonnance imprim e est fr quemment constat 24 1 et dans un peu moins que la moiti des cas cette information est retranscrite fr quemment dans l ordonnance informatique afin de compl ter le dossier FREQUENCE EDITION DE 1 N renseign Rajout manuscrit Retranscription N 23 1 24 8 13 0 16 7 10 4 12 1 100 0 l ordonnance informatique 209 commentaires DUPLICATA l ordonnance dupliqu e duplicata obsol te AJOUTS demandes de fin de consultation souvent mineures mais exasp rantes retr
109. nir rapidement les versements du tiers payant par les caisses qui constituent parfois une part importante des honoraires dans les zones d favoris es l autre moiti insiste sur l obligation de t l transmettre impos e par le plan Jupp en 1996 55 internet pour la facilit de communication notamment gr ce aux messageries s curis es pour les comptes rendus de sp cialistes r sultats de biologie ou d imagerie mais aussi pour l acc s aux informations et formations des sites m dicaux l aide la comptabilit est bien appr ci e Quelques b mols qui sont plut t des constatations que des motivations Certains sont d us de ne pas avoir obtenu le gain de temps escompt et de constater le frein dans la relation m decin patient que g n re l informatique parfois le manque de fiabilit avec des pannes invalidantes et surtout le co t de l informatisation et de sa maintenance Quelques uns n ont pas informatis le dossier patient car ils pr f rent l criture manuscrite Dans la cat gorie divers Les commentaires inclassables Les rempla ants pr f rent massivement travailler dans les cabinets informatis s pour la simplicit de consultation des dossiers o ils retrouvent des donn es lisibles ce qui facilite grandement les prises de d cision et les prescriptions 56 Motivations des m decins non informatis s partir de 61 commentaire
110. ns g n ralistes 68 Pour bon nombre des r pondants la codification est fastidieuse trop complexe mettre en uvre inadapt e la pratique car souvent restrictive la recherche d un item dans de longues listes est souvent d courageante Les ant c dents ou allergies sont inscrits en texte libre pour gagner du temps Dans une moindre proportion des m decins s astreignent le plus possible inscrire les donn es de mani re codifi e Il peut s agir de la codification propos e par le logiciel la CIM 10 la CISP le DRC Les utilisateurs de M distory signalent que le logiciel peut reconnaitre ce qui est crit en texte libre et y associer un code Dossier L identit est renseign e automatiquement gr ce la carte vitale Certains ont la chance d avoir une secr taire pour s assurer des bonnes coordonn es t l phoniques et postales du patient D autres pr cisent qu ils compl tent avec l adresse mail 80 Les mesures variables surveiller ne figurent pas forc ment de mani re structur e et sont choisies selon les pathologies Indice de Masse Corporelle D bit de pointe LDL cholest rol La cr atinine ou plut t sa clairance devrait apparaitre d autant plus fr quemment que le patient est g Les tats physiologiques tels que la grossesse ou l allaitement ont rarement d emplacements pr vus pour figurer ainsi ils sont inscrits sur un post it lectronique qui s affiche l ouverture du doss
111. ntionn e La base Vidal est massivement cit e 1590 fois puis la Base Claude Bernard 749 fois et en troisi me position les bases personnelles 271 fois Nombre de Pourcentage BDM 8 e 5 4 renseign Cursus 1750 5 C oew ae eo Cause 4 0 TOTALITE Axisant Cegedim M distory HelloDoc crearon personnelle BCB Vidal gratuit Vidal expert Th riaque Th sorimed Base perso Inconnue Autre Non renseign 65 Dans la cat gorie Autre on peut regrouper diff rents types Data SEMP Vidal 72 S BdM logiciel 22 Jooo Document papier Vidal revue Prescrire Dorosz Kent Data SEMP est une des nombreuses d clinaisons d abonnement Vidal La cat gorie Base de donn es de m dicaments du logiciel est floue est ce une base constitu e sp cifiquement par chaque logiciel ou ne sachant pas quoi cela correspond les personnes ont donn cette r ponse Les documents papier sont cit s le dictionnaire Vidal la revue Prescrire mensuel financ par les abonn s et n ayant aucun lien avec l industrie pharmaceutique le guide pratique des m dicaments de Philippe Dorosz actualis annuellement et le r pertoire hom opathique de Kent Dans divers on trouve des sources d information comme internet Remarque La base de donn es Vidal gratuite est largement cit e N anmoins le recours une base de donn es payante BCB e
112. oivent tre scann s puis int gr s dans le dossier du patient ce qui g n re des manipulations et une perte de temps Par voie lectronique transitent des demandes d avis sp cialis s ainsi que des r sultats d examens et de consultations manant des laboratoires d analyses m dicales des cabinets de radiologie des confr res sp cialistes lib raux ou hospitaliers Devant le n cessaire besoin de confidentialit pour le transfert de donn es relatives la sant des patients des syst mes de s curisation par cryptage se sont d velopp s pour s curiser les messageries lectroniques Cependant entre 2000 et 2004 les moyens de chiffrement taient fortement limit s par la loi 49 En 2007 le d cret de confidentialit des informations m dicales conserv es sur support informatique ou transmises par voie lectronique 5 impose l emploi de la carte CPS pour s curiser identifier et authentifier l auteur du document Ainsi le GIP CPS proc de l homologation des messageries 50 51 32 2 PARTIE L ENQU TE l METHODES A Protocole d tude 1 Choix du sujet Au cours de mes stages chez les praticiens et de mes remplacements j ai t surprise de constater une grande vari t de logiciels en plus de leur utilisation tr s diff rente selon les cabinets Du 100 informatique au tout papier toutes les combinaisons de ces 2 supports sont possibles et surtout plus ou moins pratiques Apr
113. ologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique Mme JEANDIDIER Nathalie NRP P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE NCS Service d Endocrinologie de diab te et des maladies 54 04 Endocrinologie diab te et maladies m taboliques H pital Givil m taboliques KAHN Jean Luc e Institut d Anatomie Normale Facult de M decine NRP e P le de chirurgie maxillo faciale morphologie et dermatologie 42 01 Anatomie option clinique chirurgie maxillo CS Serv de Morphologie appliqu e la chirurgie et l imagerie HG faciale et stomatologie NCS Service de Chirurgie Maxillo faciale et r paratrice HC KALTENBACH Georges RP e P le de G riatrie H pital de La Robertsau CS Service de soins de longue dur e H pital de la Robertsau 53 01 Option g riatrie et biologie du vieillissement KEHRLI Pierre NRP e P le t te cou NCS Service de Neurochirurgie H pital Hautepierre 49 02 Neurochirurgie KEMPF Jean Fran ois RP e P le de l appareil locomoteur CS Centre de Chirurgie Orthop dique et de la Main CGOM Illkirch 50 02 Chirurgie orthop dique et traumatologique Mme KESSLER Laurence NRP P le de N phrologie Urologie Diab tologie Endocrinologie NUDE NCS Service d Endocrinologie de Diab te et des Maladies 54 04 Endocrinologie diab te et maladies m taboliques H pital Givil m taboliques KESSLER Romain NRP e P le de pathologie thoracique
114. olutions d j voqu es il y a 20 ans sont d une vidence reconnue par tous mais par manque d une impulsion forte de la part des pouvoirs publics ou de la prise en main coordonn e des professionnels de sant la situation n a pas encore volu VU Strasbourg 32 Lu Lu Lo gr Le pr sident du jury de th se TL Professeur Jacques CINQUALBRE VU et approuv 133 LISTE DES ABREVIATIONS ADELI automatisation des listes AFSSAPS agence fran aise de s curit sanitaire des produits de sant ALD affection de longue dur e ALMA association pour un logiciel m dical associatif AMELI assurance maladie en ligne AMM autorisation de mise sur le march APICEM association loi 1901 pour la promotion de l informatique et de la communication en m decine APIMA association pour l informatisation m dicale ASMR am lioration du service m dical rendu BdM base de donn es sur les m dicaments CERFA centre d enregistrement et de r vision des formulaires administratifs CHU centre hospitalier universitaire CIM classification statistique internationale des maladies CISP classification internationale des soins primaires CMU couverture maladie universelle CNIL commission nationale de l informatique et des libert s CPAM caisse primaire d assurance maladie CPS carte de professionnel de sant CRAT centre de r f rence sur les agents pathog nes CREDES centre de recherche
115. omatiquement un code pris en compte par le LAP dans le cadre de l analyse des contre indications Ainsi les donn es structur es et codifi es facilitent l optimisation des fonctionnalit s du logiciel avec par exemple des recherches statistiques possibles gr ce l homog n isation des d nominations utilis es tant pour les ant c dents que pour les motifs de consultation La CIM 10 est la classification statistique internationale des maladies r alis e par l Organisation Mondiale de la Sant initialement cr e des fins statistiques sur la mortalit et permet le codage des motifs de recours aux 79 services de sant en fonction des maladies des diff rents appareils avec 12 421 codes regroup s en 2036 cat gories 67 La CISP 2 ou classification internationale en soins primaires a t labor e par le Comit International de Classification de la WONCA organisation mondiale des m decins de famille reli e l OMS pour correspondre plus finement aux situations rencontr es en m decine g n rale dans la mesure o seulement la moiti des diagnostics peuvent tre port s avec certitude et qu il est aussi important de d crire les plaintes les raisons de la consultation ou les interventions Le DRC dictionnaire des r sultats de consultation publi par la Soci t Fran aise de M decine G n rale recense environ 270 r sultats courants de consultations de m decine g n rale soit 95 de l activit des m deci
116. onymement Dans ce cas merci de pr ciser quelques l ments vous caract risant N anmoins si vous nous donnez votre identit cela nous permettra de conna tre entre autre votre logiciel m dical Cela facilitera le travail en cours en Alsace dans le cadre du d veloppement des outils informatiques Apima URML H pitaux Si vous tes rempla ant choisissez par exemple un des cabinets de vos remplacements afin de simplifier la r ponse Vous tes un homme une femme Votre ann e de naissance Nom Pr nom N Adeli Adresse non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli CP non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli Ville non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli Votre activit m decin g n raliste ou sp cialiste en m decine g n rale Vous exercez en tant que autre sp cialit Rempla ant Oui Non Ann e de 1 re installation Dans quelle r gion Alsace Vous exercez seul en cabinet de groupe L chantillon est compos 90 de m decins g n ralistes et 8 de m decins sp cialistes 2 non pr cis s 96 sont install s et 4 rempla ants Leur exercice se fait en groupe 51 et seul 42 6 non renseign s L ge moyen des m decins r pondants est de 50 ans Il s agit pour 72 d hommes et 27 de femmes 1 non pr cis L ge moyen lors de leur installation tait de 31 ans les m decins sont donc install s en moyenne depuis 20 ans 48 Nombre
117. oupes commerciaux le relev ponctuel d ordonnances plusieurs fois dans l ann e des enqu tes sur un mode d claratif et la transmission anonymis e des dossiers patients Par ailleurs l observatoire de m decine g n rale OMG cr par la soci t fran aise de m decine g n rale est un r seau collectant et analysant les donn es pour avoir une vision des pratiques individuelles ou collectives Les dossiers sont remplis en utilisant un langage commun puis dans le Dictionnaire des R sultats de Consultation qui d finit les situations pathologiques rencontr es en m decine g n rale Un logiciel sp cifique permet d extraire les donn es les crypter et les envoyer une fois par semaine 74 La participation un panel est faible dans notre chantillon moins de 10 dont la moiti est repr sent e par le groupe IMS PARTICIPATION PANEL TOTAL Thal s Non renseign TOTAL Autre panel ome 16 75 126 commentaires libres ignorent ce qu est un panel oppos s ou n y participent plus participent soci t commerciale ou savante DIVERS EL Panel Une petite proportion a r pondu ne pas savoir ce qu est un panel Ils sont plus nombreux s opposer au fait que leurs dossiers soient exploit s dans un but marketing Un tiers d entre eux apr s avoir particip IMS ont d cid d arr ter pour gagner le sentiment de libert Quelques personnes participent des
118. our mise jour 2 En emportant un ordinateur ou Palm PDA etc m y gt A au domicile du patient Q LU 9 Q Dans ce cas Imprimez vous l ordonnance au z domicile du patient D Q Q L O Retranscrivez vous A 4 S Q Q Q 3 manuellement l ordonnance 44 Commentaires libres d Avenir Seriez vous int ress par une exp rimentation de d mat rialisation de l ordonnance envoi informatique de l ordonnance de mani re crypt e ou avec une proc dure de signature lectronique au pharmacien choisi par le patient partir du cabinet lors des consultations ou en diff r apr s les visites Oui Non Sans opinion IV En conclusion En cas de panne informatique quel est votre niveau de handicap pour Total Important Moyen Faible Nul la gestion des dossiers s ORK la r daction d ordonnances a O ORK Commentaires libres une importante perte de temps une faible perte de temps C sans incidence un faible gain de temps un important gain de temps Globalement l incidence de l informatisation sur le temps de consultation vous para t tre Commentaires libres Avez vous l impression d am liorer la qualit de vos ordonnances gr ce aux alertes d interaction l interfa age avec le dossier la centralisation des donn es dans le but de Totalement Beaucoup Moyen Un peu Pas du tout limiter la iatrog nie limiter
119. our prescrire en DCI directement r aliser les conversions en DCI et pour prescrire les stup fiants de fa on r glementaire Des progr s sont r aliser pour ces fonctions L analyse de s curit est principalement faite au sein de l ordonnance en confrontant les m dicaments prescrits et ne prend pas en compte les donn es du dossier quand les ant c dents sont en texte libre Ce qui aboutit un niveau de s curit moindre gt Bilan de l informatisation Les derni res questions permettent de dresser un bilan positif de l apport de l informatique dans la pratique quotidienne en cas de panne le handicap pour la gestion des dossiers est consid r comme important l informatique constitue un gain de temps lors des consultations et elle permet d am liorer la qualit des ordonnances en termes d iatrog nie et dans une moindre mesure en termes de co t 130 D R flexions sur les LAP Loin de pouvoir se substituer au prescripteur le LAP n est qu un outil permettant d aider s curiser des prescriptions m dicamenteuses particuli rement quand les multiples sollicitations la fatigue et le manque de temps peuvent conduire une baisse de vigilance et engendrer des accidents iatrog niques La certification des LAP impose un niveau de qualit raisonnable et n cessaire Mais il s agit d une d marche volontaire et pour l instant elle n est pas entreprise par les diteurs de logiciels qui ne souha
120. pas lors de l impression de l ordonnance Sans doute est ce pour respecter le cadre l gal exigeant le rajout la main de cette annotation La prescription d un produit non substituable est faite la majeure partie du temps pour les personnes g es les traitements neurologiques les produits faible marge th rapeutique en cas d allergie aux excipients d un g n rique ou sous la pression des patients 95 Limites d utilisation Une fois de plus les LAP ne sont pas utilis s par ceux qui ne font que des ordonnances manuscrites Quelques uns prescrivent tellement peu de m dicaments qu ils ignorent ces modalit s Les limites des logiciels ne proposant pas ces fonctions sont une fois de plus point es du doigt 96 d Alertes Syst matiquement Souvent Moyennement Rarement Jamais Tenez vous compte des alertes signalant les interactions m dicamenteuses ou les incompatibilit s en rapport avec un tat physiopathologique les ant c dents ou les allergies Le motif de l alerte estl facilement accessible et clairement interpr table _ Oui C Non Ma trisez vous l utilisation des seuils d alertes Oui _ Non Commentaires libres L alerte est d finie comme suit par la HAS Fonction logicielle qui interrompt le cours de l action de l utilisateur et qui l oblige valider tout ou partie des informations d j saisies les modifier ou les compl ter avant de poursuivre sa t che Dans
121. pier brouillon et parfois quelques remontrances envers le patient D autres ne semblent pas g n s dans la mesure o ils prescrivent uniquement de mani re manuscrite 3 Prescription des stup fiants Les stup fiants englobent les produits de substitution prescrits dans le cadre de la toxicomanie mais galement les analg siques opio des forts pour les douleurs intenses et souvent indispensables lors des soins palliatifs Leur prescription doit respecter de nombreuses r gles utiliser des ordonnances s curis es mentionner dans quelle pharmacie aller pr ciser si la d livrance doit tre fractionn e crire les posologies des m dicaments en toutes lettres Seulement un tiers de l effectif interrog prescrit des stup fiants l aide du logiciel informatique Ainsi certains r digent l ordonnance informatique qui reste m moris e et consultable dans le dossier puis l impriment sur papier s curis feuille vierge en papier filigran ou ordonnance s curis e dans 18 9 ou recopient manuellement sur une ordonnance s curis e d o perte de temps et possibilit d erreurs dans 24 4 106 Par ailleurs on constate que les LAP ne permettent pas toujours d tablir les posologies dosages et dur e de traitement en toutes lettres Ainsi pour y rem dier il faut les inscrire en texte libre avant l impression ou les rajouter la main sur l ordonnance dit e De ce fait les prescriptions ne sont pas
122. ps 2 Se une faible perte de temi Globalement l incidence de l informatisation sur le temps de sans aa si consultation vous para t tre EREE un important gain de temps Commentaires libres Globalement l incidence de l informatisation sur le temps de consultation para t tre un gain important pour 39 4 INCIDENCE DE L INFORMATISATION Perte Faible Sans Faible Gain Non TOTAL importante perte incidence gain important renseign z emps ae 7 6 17 0 15 5 18 2 39 4 23 100 0 consultation 437 commentaires EVALUATION plus ou moins globalement positif 326 de l INFORMATISATION aspects n gatifs 84 DIVERS 27 i Evaluation de l informatisation Les avantages et les inconv nients de l informatisation se compensent et la balance penche du c t positif Le temps perdu au d part lors de l apprentissage du maniement du logiciel et lors du travail de saisie des informations s quilibre avec le temps gagn ensuite pendant la consultation En effet le dossier est bien structur 117 les informations sont facilement accessibles pour un suivi de qualit l dition de documents clairs comme les ordonnances ou courriers est facilit e et il est possible de programmer des rappels automatiques pour une bonne prise en charge Certains disent que c est un investissement en temps n cessaire pour am liorer la qualit du travail la consultation avec le patient est p
123. rande majorit des donn es transitent par des messageries ill gales eu 128 gard au d cret de confidentialit de 2007 ce qui am ne deux questions Le d cret est il adapt Les messageries utilis es sont elles des outils valables Par ailleurs la cr ation d un annuaire centralisant les adresses mails de tous les professionnels de sant favoriserait grandement les changes num riques gt Dossier L informatique sert videmment beaucoup am liorer la bonne prise en charge du patient en permettant d avoir un dossier plus exhaustif N anmoins on constate que dans certaines situations il y a quelques lacunes les ant c dents et les allergies sont habituellement remplis en texte libre car les codifications sont inutilisables et inadapt es Les logiciels pourraient favoriser la codification comme Medistory qui propose un code au texte libre reconnu lordonnance informatique n est pas totalement jour manquent quelques m dicaments rajout s en fin de consultation retranscription partielle des prescriptions faites en visite gt Information sur les m dicaments Les LAP doivent mettre disposition les SMR et ASMR reconnus utiles mais tr s peu visualisables lors de enqu te L affichage du prix des m dicaments participe la prise de conscience des co ts dont beaucoup disent ne pas se pr occuper 129 gt Prescription Les logiciels semblent encore peu performants p
124. re interop rabilit On peut regretter que ces m mes remarques aient t d j formul es 20 ans plus t t Rubrique de classement M decine G n rale Mots cl s prescription informatis e logiciel d aide la prescription base de donn es m dicamenteuses m decine lib rale certification HAS des LAP structuration codification alerte messagerie Pr sident Professeur Jacques CINQUALBRE Assesseurs Professeur Jean Pierre BELLOCQ Professeur Vincent CASTELAIN Professeur Serge ROHR Docteur Claude BRONNER Adresse de l auteur 5 rue de la charit 68310 WITTELSHEIM
125. rie M decine interne 01 09 02 BUCHHEIT Fernand Neurochirurgie 01 10 99 BURGHARD Guy Pneumologie 01 10 86 GANGUILHEM Bernard Physiologie 01 10 99 CHAMBRON Jacques Biophysique 01 10 99 CHAMPY Maxime Stomatologie 01 10 95 CHAUMONT Andr M decine l gale 01 10 93 GOLLARD Maurice Neurologie 01 09 00 GONRAUX Claude Oto Rhino Laryngologie 01 09 98 DORNER Marc M decine Interne 01 10 87 EBTINGER Ren P dopsychiatrie 15 05 93 EISENMANN Bernard Ghirurgie cardio vasculaire 01 04 10 FABRE Michel Cytologie et histologie 01 09 02 FLAMENT Jacques Ophtalmologie 01 09 2009 GAUTHIER LAFAYE Pierre Anesth siologie R a chir 01 10 87 GERLINGER Pierre Biol de la Reproduction 01 09 04 GRENIER Jacques Chirurgie digestive 01 09 97 GROSSHANS Edouard Dermatologie 01 09 03 HABEREY Pascal Physiologie 01 09 01 HAUPTMANN Georges H matologie biologique 01 09 06 HEID Ernest Dermatologie 01 09 04 HOLLENDER Louis Chirurgie g n rale 01 10 90 IMBS Jean Louis Pharmacologie 01 09 2009 IMLER Marc M decine interne 01 09 98 JESEL Michel M decine physique et r adaptation 01 09 04 JUIF Jean Georges P diatrie 01 10 92 KEHR Pierre Chirurgie orthop dique 01 09 06 KEMPF Fran ois Radiologie 12 10 87 KEMPF Ivan Chirurgie orthop dique 01 09 97 KEMPF Jules Biologie cellulaire 01 10 95 KIEN Truong Tha Parasitologie 01 09 03 L gende des
126. rie que nous allons d crire chaque ligne de r sultats il s agit du pourcentage de m decins renseignant fr quemment tel item Pour l identit le taux de remplissage de ces diff rents items est particuli rement lev On obtient 95 3 pour les nom et pr nom 93 5 pour le sexe et 94 8 pour la date de naissance Les mesures variables le poids semble plus facilement identifiable 78 6 que la cr atinine 29 6 Les ant c dents sont inscrits plus massivement en texte libre 78 7 contre 31 6 de fa on structur e 78 Les allergies et intol rances m dicamenteuses sont galement plut t renseign es en texte libre 72 5 et de fa on structur e 43 9 Les tats physiologiques ne sont disponibles qu 48 5 368 commentaires CODIFICATION codification fastidieuse pr f re texte libre 96 DES ANTECEDENTS codification si possible 22 IDENTITE 22 MESURES VARIABLES 18 ETATS PHYSIOLOGIQUES 22 DTA r eje Z LIMITES D UTILISATION dossier papier encore utilis 35 fonctions non utilis es ou absentes 98 5 DIVERS D E Codification des ant c dents et allergies La structuration du dossier est faite quand les donn es sont regroup es aux endroits pr vus afin d en visualiser correctement les diff rentes parties La codification consiste par exemple pour les ant c dents s lectionner dans une liste pr tablie de diagnostics celui qui convient au patient Ceci applique aut
127. ription des stup fiants Prescription en visite Avenir la d mat rialisation de l ordonnance SNCF Ce En conclusion a Handicap si panne b Incidence sur le temps de consultation c Am lioration de la qualit DISCUSSION A Forces et faiblesses B C Principaux l ments de notre enqu te D 76 76 81 82 87 91 96 100 102 105 109 112 113 113 116 118 121 121 123 127 130 131 133 136 17 INTRODUCTION L informatique signe de modernit et d efficacit s est progressivement impos e dans les cabinets m dicaux fran ais ordinateurs logiciels m tiers et connexions internet paraissent indispensables N anmoins il est difficile de se faire une id e pr cise du degr d informatisation de la profession les moyens disposition leur qualit et surtout leur r elle utilisation Plusieurs th ses 1 2 3 ont cherch valuer l int gration et l utilisation de l outil informatique dans les cabinets de m decine g n rale Les diverses enqu tes r alis es en 2003 2005 et 2008 dans diff rentes r gions respectivement en Franche Comt Loire et Nord Pas de Calais concluent un usage non optimal des outils acquis La ma trise de ces derniers semble s am liorer au fil du temps Nous avons voulu nous int resser plus particuli rement deux l ments importants dans la pratique quotidienne les outils permettant la prescription et la communication Depuis 200
128. rmations g n rales Vous Vous pouvez renseigner ce questionnaire anonymement Dans ce cas merci de pr ciser quelques l ments vous caract risant N anmoins si vous nous donnez votre identit cela nous permettra de conna tre entre autre votre logiciel m dical Cela facilitera le travail en cours en Alsace dans le cadre du d veloppement des outils informatiques Apima URML H pitaux Si vous tes rempla ant choisissez par exemple un des cabinets de vos remplacements afin de simplifier la r ponse Vous tes O unhomme une femme Votre ann e de naissance Nom Pr nom N Adeli Adresse non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli CP non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli Ville non n cessaire si vous avez sp cifi le N Adeli Votre activit O m decin g n raliste ou sp cialiste en m decine g n rale Vous exercez en tant que O autre sp cialit Rempla ant O Oui Non Ann e de 1 re installation Dans quelle r gion Alsace Vous exercez O seul en cabinet de groupe Il Informatique m dicale Informatisation du cabinet Votre cabinet est il informatis O Ou O Non Avant de poursuivre le questionnaire quelques lignes de texte libre sur les motivations de votre informatisation ou non informatisation faciliteront le travail de th se de Mme Caroline CLAIRE 40 Enqu te APIMA Questionnaire prescription informatis e en m decine lib ral
129. s curisation faire pr ciser par quel moyen Les messageries non s curis es sont encore norm ment utilis es du fait de leur simplicit d emploi La s curisation par Apicrypt est tr s r pandue et souvent sans l utilisation de la CPS Il existe un grand nombre de messageries dont certaines ont des niveaux de s curisation modulables Il reste donc encore beaucoup de travail pour harmoniser ces moyens de communication devant respecter les r gles du d cret de confidentialit 73 gt Participation un panel Dans le but d tre des observatoires pid miologiques certaines soci t s savantes ou commerciales proposent aux m decins de r cup rer les donn es enregistr es dans leurs dossiers patients 65 66 Ainsi en acc dant aux motifs de consultation et aux prescriptions faites il est possible de r aliser des statistiques Ces tudes fournissent des informations utiles aux m decins pour valuer leur pratique aux d cideurs politiques dans le domaine de la sant ou aux industries pharmaceutiques Par ailleurs les panels commerciaux ciblent galement les laboratoires les grossistes les pharmaciens hospitaliers ceux d officine et des patients afin de fournir trois grands types d information concernant les ventes les prescriptions et la promotion am liorer Pour tudier le comportement de prescription il y a des outils d velopp s et utilis s depuis de nombreuses ann es par les gr
130. s sur 82 non informatis pr f re dossier papier plus pratique info mais pas pour le dossier points n gatifs de l informatisation d shumanisation pannes perte de temps co t 3 informatisation en projet B divers 12 inclassables 8 avis des rempla ants 4 Pr f rence pour le dossier papier Le dossier papier reste plus pratique l criture la main est plus rapide la non ma trise de l informatique effraie et le logiciel informatique parfois test auparavant semble inadapt la pratique L informatisation du cabinet est faite mais pas pour le dossier m dical pour la t l transmission ou l aide la comptabilit Les points n gatifs de l informatisation La d shumanisation l cran est un frein la communication la relation m decin patient est ressentie comme tant de moindre qualit Les pannes sont craintes et la fiabilit de la p rennit des informations sous forme num rique est mise en doute L informatisation semble tre une perte de temps Le co t de l investissement en mat riel et celui de la maintenance sont dissuasifs 57 L informatisation est un projet en cours Dans divers Les commentaires inutilisables Les quatre rempla ants ayant r pondu ont des avis partag s deux consid rent l informatisation indispensable en cas d installation un autre ne l envisage pas du tout Remarque
131. sation des donn es dans le but de limiter la iatrog nie et de limiter le co t Pour le premier item on constate que pour moiti les m decins estiment que l am lioration est totale ou importante alors qu une telle am lioration en termes de limitation des co ts semble ne l tre que pour un cinqui me de l effectif AMELIORATION PRESCRIPTION Total Moyen Fos TOTAL Limiter iatrog nie 0 316 commentaires IATROGENIE et COUT avis sur les deux sujets 26 iatrog nie 55 co t 58 LIMITATION d UTILISATION absence de fonction ne ma trise pas INFORMATISATION points positifs et n gatifs DIVERS d mat rialisation attente de r sultats encouragements inclassables 119 latrog nie et co t Limiter la iatrog nie passe par le logiciel et sa base de donn es qui proc dent l analyse des interactions dans l ordonnance et un peu moins la v rification de la compatibilit des traitements avec les ant c dents dans la mesure o ces derniers sont rarement renseign s de fa on structur e et codifi e La tra abilit informatique est une aide pr cieuse lors de prescriptions ult rieures et la lisibilit de l ordonnance contribue limiter les confusions dans les traitements pour le pharmacien comme pour le patient Par ailleurs le pharmacien contr le et signale les ventuelles erreurs de prescription Mais surtout il para t n cessaire de suivre une formation m dicale continue in
132. si remise en doute de la stricte quivalence entre les produits du fait des excipients et des formes gal niques diff rentes provoquant des effets secondaires ou des effets insuffisants Pour les pathologies chroniques notamment chez les personnes g es la valse des g n riques au nom de marque et pr sentation chaque mois diff rents est pourvoyeuse d accidents ijatrog nes par la confusion qu elle s me dans les esprits des patients qui auront tendance les associer et ainsi prendre des doses plus fortes que celles initialement prescrites Par ailleurs des m decins ne comprennent pas pourquoi c est eux de faire attention aux d penses de sant et renvoient le probl me aux instances administratives habilit es fixer les prix et taux de remboursement des m dicaments 86 Source d information Le glossaire personnel enrichi continuellement est massivement cit avec parfois l tablissement d une liste d ordonnances pr tablies Evidemment apparaissent les bases de donn es fournies avec le logiciel mais certains utilisent la BCB ou le Vidal lectronique de fa on d connect e du LAP juste pour consulter les informations et sans b n ficier de l analyse faite lors des prescriptions La version lectronique de la revue Prescrire est cit e comme source d informations sur les m dicaments Restent encore en version papier le Vidal et le Dorosz Outil non exploit Du fait de la prescription manuscrite le logi
133. st apparue l obligation pour l ensemble des m decins g n ralistes de prescrire en moyenne nationale 25 des m dicaments en DCI dont la moiti doit tre dans le r pertoire des g n riques en contrepartie de la revalorisation de la consultation En pratique on constate que les LAP ne facilitent pas toujours la prescription DCI 70 Avec certains logiciels il faut d abord prescrire le nom princeps puis le convertir fonction plus ou moins facile d acc s selon les logiciels en DCI mais s il n existe pas de g n rique le nom princeps reste affich 83 Par ailleurs si l on prescrit directement en DCI et que l on souhaite v rifier une information dans le r sum des caract ristiques du produit RCP celui ci n est parfois m me pas disponible De ce fait il faut retourner sur la fiche du princeps pour v rifier puis reconvertir beaucoup de manipulations qui peuvent d courager L un des objectifs de la certification des LAP est de permettre la r daction de l ordonnance en DCI exclusivement Certains m decins se constituent un glossaire avec une s lection des m dicaments constituant leur arsenal th rapeutique soit en texte libre avec les diff rentes posologies habituellement utilis es soit en faisant une copie partir de leur base de donn es m dicamenteuses pour avoir la fiche descriptive associ e Dans notre chantillon pour litem de recherche de m dicaments par pathologie plus de la moi
134. stallation l adh sion l informatique semble vidente L utilisation de la fonction rappel qui permet de faire ressortir une information importante soit sous forme de post it dans le dossier soit en alarme dont la p riodicit de d clenchement est programmable pour les vaccins ou les examens de pr vention l aide au diagnostic facilit e par les logiciels sp cifiques semble presque anecdotique 54 Le dossier m dical L accent est mis sur la qualit du dossier informatis qui est bien structur avec toutes les donn es lisibles et facilement retrouv es Evidemment la mise en r seau des dossiers simplifie la recherche du dossier patient Celui ci est ais ment consult et enrichi par les diff rents intervenants La prescription La prescription est rapide et facile gr ce l acc s aux bases de donn es m dicamenteuses Les ordonnances sont m moris es dans le dossier et les renouvellements sont d autant plus ais s notamment pour les pathologies chroniques Les alertes de contre indications ou d interactions donnent un sentiment de s curit suppl mentaire Les m decins citent l am lioration de la lisibilit de l ordonnance imprim e pour le patient comme pour le pharmacien La t l transmission des Feuilles de Soins Electroniques La t l transmission est fortement cit e Quelques m decins soulignent l importance de cette pratique pour obte
135. t publique et le code de la s curit sociale Journal officiel de la r publique fran aise n 134 du 12 juin 1999 page 8583 CD Rom Loi n 2004 810 du 13 ao t 2004 relative l assurance maladie section 4 m dicament article 34 CD Rom Le Breton Lerouvillois G Atlas de la d mographie m dicale en France situation au 1 janvier 2009 Conseil national de l ordre des m decins 147p CD Rom L informatisation des cabinets m dicaux Congr s et colloques Paris John Libbey Eurotext 1997 Fraslin JJ Pol mique sur l informatisation des m decins lib raux Site internet i med fr 6 d cembre 2007 CD Rom Benchmarking ICT use among general practitioners in Europe Final report European commission Empirica april 2008 116p CD Rom Benchmarking ICT use among General Practitioners in Europe 2007 Country Profile France European commission Empirica 9p CD Rom 142 78 Assurance maladie R mun ration forfaitaire pour des engagements de service 9 d cembre 2009 CD Rom 79 Levasseur G Bataillon R Samzun JL et al A propos du dossier m dical partag une enqu te en m decine g n rale Journ es francophones d informatique m dicale Lille 12 et 13 mai 2005 8p CD Rom 80 APIMA amp OrdoFOPIM un module de prescription en DCI Lettre APIMA 17 d cembre 2009 CD Rom 143 R SUM But de l enqu te Depuis 2004 la Haute Autorit de Sant a pour t che de proc der
136. t Vidal Expert est plus fr quent l utilisation d un logiciel conditionne souvent celle d une BdM mais parfois c est galement par choix que les m decins pr f rent payer une BdM mise jour plus r guli rement et contenant plus d informations notamment sur les g n riques 66 gt Nombre d ann es d utilisation du logiciel Le pic d anciennet est tr s nettement 10 ans Nombre de logiciels par ann es d anciennet tous logiciels confondus 400 350 300 250 200 150 100 50 12345678 910111213141516171819202122232425262728293031 323334 partir de 2128 r ponses Remarque D but 2010 M Christian SAOUT de la mission Legmann pour la refondation de la m decine lib rale avait accus les m decins d avoir achet avec l argent de l aide l informatisation des sacs main pour leur femme ou des playmobils pour leurs enfants ce qui suscita l moi de la profession 54 Ce graphique n en est pas la d monstration puisque le pic des acquisitions co ncide avec le plan Jupp de 1998 67 gt Comment ont ils appris se servir du logiciel La moiti des m decins n a appris qu l aide d un seul moyen de formation par ordre d croissant sont cit s principalement le manuel la formation individuelle par l diteur et autre tant essentiellement par ses propres moyens D autres ont appris en combinant plusieurs moy
137. t la consigne de la rapporter syst matiquement ou les languettes des bo tes de m dicaments reste l option du coup de t l phone au pharmacien Quelques m decins offusqu s par la question 115 expliquent qu ils crivent la main utilisent leur m moire et gardent le Vidal sous la main Massivement les m decins se fient une solution informatique en combinant ventuellement plusieurs choix Du point de vue mat riel poss der plusieurs ordinateurs fixes et portables et imprimantes Concernant les donn es les sauvegarder videmment le plus souvent possible sur diff rents supports cl USB CD ou DVD disque dur externe site internet La plupart se d pannent seuls ou avec l aide de proches d autres sollicitent la hotline ou l informaticien en charge de la maintenance Les pannes sont peu fr quentes ou relativement br ves quand toutes ces pr cautions sont prises cependant la coupure d lectricit prolong e reste imparable D mat rialisation Tr s peu de commentaires sur la d mat rialisation de l ordonnance mais plut t positifs en trouvant cela avantageux notamment pour les personnes g es que les pharmaciens livrent d j domicile Un m decin a pour habitude de transmettre au pharmacien via Apicrypt ses ordonnances Une personne s inqui te de l absence de trace de la prescription pour le patient 116 b Incidence sur le temps de consultation une importante perte de tem
138. t sur l ordonnance Parfois des ordonnances types sont utilis es avec les modifications n cessaires pour s adapter aux patients Pr cisions Pour la prescription en cas d ALD une minorit se plaint que les doubles imprim s fournis par la S curit Sociale ne puissent pas tre utilis s dans l imprimante D autres impriment sur des feuilles blanches en choisissant la mise en page d une ordonnance simple ou sous le format ALD Ensuite selon le logiciel il faut se mettre dans la zone sup rieure pour inscrire le m dicament requis ou cliquer ALD c t du m dicament prescrit qui va ensuite appara tre dans la partie haute de l ordonnance dit e Quelques uns sugg rent qu il devrait y avoir un moyen de s viter de pr ciser sur l ordonnance ce qui doit tre pris en charge 100 en imaginant qu un logiciel chez le pharmacien fasse le lien entre ALD et les codes barres des m dicaments qui correspondent ou non au traitement de cette affection Quelques commentaires sur les traitements dits chroniques qui sont en fait m moris s pour tre renouvel s plus ais ment contrairement aux traitements des pathologies aig es qui ne restent pas forc ment enregistr s La grande majorit des commentaires concerne le fait que les mentions NR et NS sont faites de fa on manuscrite ou alors en texte libre sur l ordinateur Certains ont remarqu qu en s lectionnant la mention NS celle ci s affiche l cran mais n appara t
139. tatives sont exceptionnelles FREQUENCE VISITES i Non syst matique moyennement TOTAL HEE ordonnance Retranscription d T 7 11 3 7 3 3 5 4 1 7 3 66 5 100 0 modifications dans le dossier Ordinat Impression d a 0 4 0 1 0 2 0 3 20 1 78 9 100 0 pendant les visites Retranscription manuscrite de 5 4 2 4 1 2 1 4 10 6 79 1 100 0 l ordonnance 247 commentaires VISITES pas ou peu de visites pas d aide informatique aide informatique DEMATERIALISATION o DIVERS J O d g Visites Une partie ne faisant pas ou tr s peu de visites ne se sent pas concern e par la question 111 Certains n ont pas recours l informatique pour faciliter les visites certains remplissent un cahier ou un classeur qui reste chez le patient d autres emportent le dossier papier pour avoir toutes les informations d autres encore d plorent les lacunes dans la prise en charge domicile Beaucoup trouvent que d placer tout le mat riel informatique est beaucoup trop encombrant et compliqu quelques praticiens sugg rent m me que la s curit sociale distribue une indemnisation et fournisse un sherpa afin d avoir des conditions de travail optimales en visite Parfois il y a des limites mat rielles inh rentes au logiciel qui ne peut pas se dupliquer sur un portable Le prix surajout du clonage peut tre un frein La majeure partie des commentaires concerne l utilisation d un outil
140. ter et signaler les interactions contre indications redondances permettre de prescrire directement en d nomination commune internationale d afficher les prix des produits au moment de la prescription et comporter une information relative leur concepteur et la nature de leur financement A compter du 1er janvier 2006 cette certification est mise en uvre Elle aboutit le 4 juin 2008 l adoption du r f rentiel de certification par essai de type des logiciels d aide la prescription en m decine ambulatoire et de la charte de qualit des bases de donn es sur les m dicaments destin es l usage des logiciels d aide la prescription 36 Sont d abord agr es les Bases de donn es sur les M dicaments BdM r pondant aux crit res de qualit exhaustivit compl tude neutralit exactitude et fra cheur explor s par un questionnaire d valuation rempli par les diteurs de BdM candidats 37 38 Puis l diteur de logiciel d aide la prescription interfac avec une BdM agr e doit se conformer aux crit res du r f rentiel de certification pour certains points il s engage sur l honneur les respecter par exemple pas de consid ration promotionnelle pour la s lection et l ordre de pr sentation des m dicaments tout manquement peut tre d nonc par la personne le constatant et les autres crit res sont v rifi s par tests lors d un 30 audit En novembre 2009 A
141. ti estime n avoir jamais ou rarement recours au logiciel La prescription directement en DC est fr quente pour 40 1 des m decins par le LAP et pour 18 8 par le glossaire personnel La conversion du princeps en DC est faite fr quemment par le logiciel 34 2 FREQUENCE CHOIX DES renseign Recherche par 8 1 12 7 16 6 27 1 26 1 9 3 100 0 pathologie e rescription en 43 7 26 4 15 1 14 1 19 2 11 5 100 0 Glossaire perso 7 1 11 7 11 2 33 5 28 6 100 0 ds en 14 4 19 8 10 7 12 7 32 4 10 1 100 0 84 465 commentaires PRESCRIPTION DCI approuv e limit e par les logiciels substitution par le pharmacien d sapprouv e SOURCE d INFORMATION recherche des m dicaments Te OUTIL NON EXPLOITE prescription non informatique exercices sp ciaux ne savent pas faire DIVERS e La prescription en DCI La prescription en DCI est approuv e et favoris e par plusieurs moyens prescription directe en DC ou g n rique ventuellement en passant par un glossaire personnel en cochant l option de conversion automatique ou manuelle en DC dans les faits c est une conversion en g n rique c est dire nom de la mol cule avec un nom de marque que certains barrent pour viter de favoriser un laboratoire ou en inscrivant dans l ent te de l ordonnance une incitation substituer au maximum les prescriptions par le pharmacien une fa on aussi de faciliter l a
142. tique option Biologique Mme KEMMEL V ronique e P le de biologie Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 44 01 Biochimie et biologie mol culaire Mme la Dre KORGANOW Anne Sophie P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI Service de M decine Interne et d Immunologie Clinique NHC 47 03 Immunologie option clinique Dre KOSCINSKI Isabelle P le de biologie Laboratoire de Biologie de la reproduction SIHGUS CMCO 5405 Biologie et m decine du d veloppement et Schiltigheim de la reproduction option biologique KREMER St phane P le d imagerie Radiologie et imagerie m dicale Service de Radiologie Il H pital de Hautepierre 43 02 option clinique Mme LAMOUR Val rie P le de biologie Laboratoire de Biochimie et de Biologie mol culaire HP 4401 Biochimie et biologie mol culaire Mme la Dre LANNES B atrice Institut d Histologie Facult de M decine P le de biologie Cytologie et Histologie Service de Pathologie H pital de Hautepierre 42 02 option biologique Dr LAVIGNE Thierry P le de Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVI Laboratoire d Hygi ne hospitali re H pital Civil 46 01 Epid miologie conomie de la sant et pr vention option biologique Dr LE MINOR Jean Marie e Institut d Anatomie Normale Facult de M decine P le d imagerie Service de Radiologie A Nouvel H pital Givil 42 01 Anatomie option clinique Mme LETSGHER BRU
143. ts la question de savoir faire par le LAP ne se pose pas Une partie r pond prescrire les stup fiants uniquement la main sur l ordonnancier s curis ce qui est galement plus pratique lors des visites domicile dans les suivis de patients en fin de vie Par ailleurs certains jugent l criture plus difficilement imitable qu une prescription informatis e donc plus s re Remarques La prescription informatis e des stup fiants est compliqu e ce qui explique la faible proportion de r ponses Quelques m decins plus aguerris en informatique et prescrivant souvent des stup fiants pour se simplifier la t che se sont efforc s trouver des solutions techniques pour cr er des ordonnances dont les ent tes et la r daction soient r glementaires et facilement r alisables 4 Prescription en visite L ordinateur facilite les prescriptions en visite Dans notre enqu te cela semble tre le cas dans 27 3 En effet 14 des m decins pr impriment fr quemment l ordonnance qu ils modifient lors de la visite pour adapter le traitement De retour au cabinet il est important de retranscrire ces modifications 18 6 dans le dossier pour avoir constamment le traitement jour 110 De rares personnes emportent fr quemment avec elles en visite un ordinateur portable 7 1 et recopient majoritairement la main l ordonnance au chevet du patient dans la mesure o les imprimantes por
144. uvel jusqu au 31 08 2012 C2 MAITRE DE CONFERENCES ASSOCIE mi temps Dre JUNG Gatherine M decine g n rale 1 09 2008 au 31 08 2011 Dr GRALL Jean Ghristian M decine g n rale 1 09 2009 au 31 08 2012 D ENSEIGNANTS DE LANGUES ETRANGERES D1 PROFESSEUR AGREGE PRAG et PRCE DE LANGUES Mme ACKER Pia Professeure certifi e d Anglais depuis 01 09 03 Mme GANDAS Peggy Professeure agr g e d Angjlais depuis le 01 09 99 Mme GIRAUD Norma Professeure certifi e d Allemand depuis 01 09 06 Mme JUNGER Nicole Professeure certifi e d Anglais depuis 01 09 09 E PRATICIENS HOSPITALIERS CHEFS DE SERVICES NON UNIVERSITAIRES Dr ASTRUC Dominique NRP e P le m dico chirurgical de P diatrie CS Service de N onatalogie et de R animation n onatale H pital de Hautepierre Mme Dre BIENTZ Jocelyne NRP P le m dico chirurgical de P diatrie CS Service de R animation p diatrique sp cialis e et surveillance continue H pital de Hautepierre Mme BERETZ Laurence RP P le de Pharmacie pharmacologie CS Service de Pharmacie St rilisation Nouvel H pital Givil Mme Dre FLESCH Fran oise NRP P le Urgences r animations m dicales Centre antipoison CS Gentre Antipoison Nouvel H pital Givil Dr NISAND Gabriel NRP e P le de Sant Publique CS Service de Sant Publique H pital Givil Dr REY David NRP P le Sp cialit s m dicales Ophtalmologie Hygi ne COREVIH CS H pital de
145. ux 135 WONCA world organization of national colleges academies and academic associations of general practitioners family physicians 136 BIBLIOGRAPHIE 1 Deguieux A Informatisation des cabinets de m decine g n rale en Franche Comt en 2003 tat des lieux et ressenti des patients Th se de Dipl me d Etat de docteur en m decine Universit de Besan on 2004 2 Henry P Utilisation de l outil informatique par les m decins g n ralistes de la Loire tat des lieux en 2005 Th se de Dipl me d Etat de docteur en m decine Universit de Saint Etienne 2005 3 Cucheval D L informatique en m decine g n rale int r t dans la pratique professionnelle Utilisation par les m decins g n ralistes de Nord pas de Calais Th se de Dipl me d Etat de docteur en m decine Universit du droit et de la sant Lille 2 2009 4 HAS R f rentiel de certification par essai de type des logiciels d aide la prescription en m decine ambulatoire Version de novembre 2009 crit res de juin 2008 28p CD Rom 5 Minist re de la sant et des solidarit s D cret n 2007 960 du 15 mai 2007 relatif la confidentialit des informations m dicales conserv es sur support informatique ou transmises par voie lectronique et modifiant le code de la sant publique dispositions r glementaires Journal officiel de la r publique fran aise du 16 mai 2007 texte 210 sur 413 CD Rom 6 Amalric F Loock J Car
146. vice de Physiologie et d Explorations fonctionnelles NHG 4402 Physiologie option biologique Mme la Dre SCHAEFFER Christiane e Institut d Histologie Facult de M decine e P le de Biologie Cytologie et Histologie Service de Pathologie H pital de Hautepierre 42 02 option biologique SCHEFTEL Jean Michel P le de biologie Institut Laboratoire de Bact riologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique Mme SCHMITT Fabienne P le de biologie Laboratoire de Biochimie g n rale et sp cialis e NHG 4401 Biochimie et biologie mol culaire Mme SCHMITT Marie Paule e P le de biologie Institut Laboratoire de Virologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique Mme la Dre SGHVOERER Evelyne e P le de biologie Institut Laboratoire de Virologie Facult de M decine 45 01 Option Bact riologie virologie biologique Dre SORDET Christelle P le de M decine Interne Rhumatologie Nutrition Endocrinologie Diab tologie MIRNED Service de Rhumatologie H pital de Hautepierre 50 01 Rhumatologie STEIBEL J r me e Institut de Physique Biologique Facult de M decine e P le de biologie Labo d Explorations Fonctionnelles par les Isotopes NHG 43 01 Biophysique et m decine nucl aire Dr TALHA Samy P le de Pathologie thoracique Service de Physiologie et explorations fonctionnelles NHC 4402 Physiologie option clinique Dr TELETIN Marius

Prescription et messagerie informatisées en médecine

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