CLOUD COMPUTING : A LA RECHERCHE DE CONFIANCE
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1. T Alain Bensoussan AVOCOIS p JURISTENDANCES INFORMATIQUE ET TELECOMS n 159 Juill Ao t 2015 CLOUD COMPUTING A LA RECHERCHE DE CONFIANCE ENTRE CLIENT ET PRESTATAIRE Des craintes sur la s curit et la fiabilit technique toujours vives l occasion de la cloud week organis e par l association Eurocloud France la question de la confiance dans les solutions cloud computing occupe une grande partie des d bats En effet le taux de p n tration du cloud en France est plus lent qu anticip 1 Les objectifs ne sont pas encore atteints et beaucoup d utilisateurs tergiversent avant de faire le grand saut 2 Techniquement ces craintes portent d abord et avant tout sur la s curit et la fiabilit technique des plateformes Economiquement la hantise des DSI est de se trouver confront des co ts d exploitation sup rieurs ceux d une structure locale en mode client serveur faute d avoir bien anticip les impacts en termes de frais d int gration avec le SI existant de formation ou de licences compl mentaires avec certains diteurs Le retour sur investissement peut tre alors d sastreux Le ma tre mot de cette semaine du cloud est donc encore et toujours la recherche de la confiance Plusieurs solutions juridiques existent pour y parvenir Des solutions r glementaires mais surtout contractuelles Une des pistes s rieuses voqu es lors de ces travaux de la cloud week es2. Incarnant un nouveau mod le d tablissement artistique le CENTQUATRE PARIS est un terrain propice une innovation ouverte et interdisciplinaire 104factory est un acc l rateur destin aux les porteurs de projets alliant l innovation technologique dans les secteurs artistique culturel et cr atif L incubation permet aux porteurs de projets d tre accompagn s dans le d veloppement de leur start up en immersion dans un tablissement artistique et de mener des exp rimentations sur le lieu du CENTQUATRE PARIS en interaction imm diate avec le public Quels sont les services apport s par le 104factory aux incub s Les structures incub es chez 104factory b n ficient bien entendu d un espace de travail plug amp play et d acc s des salles de r union mais aussi dun accompagnement individualis complet pendant toute la phase d incubation allant d une expertise en mati re d amor age de projets innovants l aide dans le montage de business plan et pour les lev es de fonds et la mise en connexion avec des r seaux partenaires d un accompagnement la sortie de l incubateur etc Les quipes ont galement acc s des formations l entrepreneuriat techniques juridiques dispens es par notre partenaire Agoranov Les start up profitent galement de l immersion dans un environnement multiculturel au contact de nombreuses quipes artistiques en r sidence au sein du CENTQUATRE PARIS Comment voyez l volut
3. gislation mais l Afrique du Sud ne s est pas encore pench e sur cette question 1 Google a t la pointe de l introduction de voitures sans conducteur aux Etats Unis En 2010 la soci t a annonc qu elle allait travailler sur les voitures d auto conduite et depuis lors ses voitures ont fait plus de 1 000 000 km sans un seul incident partir de 2015 4 tats am ricains ont adopt des lois r glementant voitures sans conducteur sp cifiquement pour permettre des essais de v hicules automatis s au sein de leurs Etats L Afrique du Sud n a pas encore appr hend le ph nom ne des voitures sans conducteur et sugg re au pr alable de faire un examen complet de la l gislation actuelle du transport avant de rejoindre la liste des Etats pr curseurs Lexing Chine remporte un important appel d offre Le 24 Juin 2015 l quipe des avocats de Chen Gang et TU Lei a remport avec succ s l offre de projet de service juridique du China State Shipbuilding Corporation CSSC pour son groupe d avocats externe 2 Le CSSC est un des deux principaux conglom rats publics chinois de construction navale avec China Shipbuilding Industry Corporation CSIC et gagne une affaire en mati re de contrefa on de marque et concurrence d loyale Une affaire concernant la contrefa on de marque et concurrence d loyale dans laquelle la partie gagnante tait repr sent e par Jocy Luo et Frank Zhao de Jade amp Font
4. lectronique Commerce lectronique Acqu rir les connaissances indispensables la ma trise des obligations principales d un diteur d un site marchand Webmaster niveau 2 expert Pr sentation en 360 des risques juridiques d une activit web 2 0 et web 3 0 ALAIN BENSOUSSAN 2015 Dates 12 02 et 21 05 2015 27 01 et 14 04 2015 30 01 et 16 04 2015 04 02 et 26 06 2015 10 02 et 13 05 2015 28 01 et 01 04 2015 28 01 et 08 04 2015 30 01 et 31 03 2015 04 02 et 19 05 2015 05 03 et 23 06 2015 20 03 et 19 06 2015 16 01 et 10 04 2015 06 02 et 20 05 2015 29 01 et 18 03 2015 11 03 et 10 07 2015 JTIT n 159 2015 Innovation propri t intellectuelle et industrielle Audit du patrimoine intellectuel de l entreprise D tecter les forces points de faiblesses et risques juridiques et financiers d un portefeuille Propri t Intellectuelle Protection d un projet innovant Pr senter les sp cificit s juridiques relatives un projet innovant afin de g rer les tapes d une protection adapt e Sensibilisation la protection d un portefeuille marque et nom de domaine Acqu rir la connaissance minimale pour assurer la protection d une marque et d un nom de domaine de la cr ation l ch ance tout en assurant le maintien et la d fense Droit des bases de donn es Conciure des licences adapt es ses besoins et conna tre et pr venir les risques li s l exploitation d une b
5. retard de paiement de son loyer De plus la Cour a observ que la commune avait t mise en mesure de s opposer la rupture des relations contractuelles pour un motif d int r t g n ral avant la r siliation du contrat Enfin constatant que la commune n avait oppos aucun motif d int r t g n ral la soci t avant la r siliation la Cour a jug que la r siliation du contrat prononc e par le titulaire tait r guli re puisqu elle entrait dans le cadre des conditions g n rales du contrat La commune a d verser la soci t l indemnit de r siliation contractuelle pr vue savoir la somme de 12 600 euros avec int r ts au taux l gal major de cinq points compter du 24 juillet 2009 date de r ception de la lettre de r siliation ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Eviter la r siliation du contrat par le titulaire 1 CAA Nancy 02 04 2015 n 14NC01885 2 CE 08 10 2014 n 370644 Les conseils N gocier les conditions g n rales sur la r siliation anticip e pour faute de la personne publique FRANCOIS JOUANNEAU JTIT n 159 2015 Sant num rique IMPACT DU PROJET DE LOI DE MODERNISATION DU SYSTEME DE SANTE Coexistence de la CHT et du GCS L essentiel La loi H pital patients sant territoires HPST de 2009 a mis en place la Communaut Hospitali re de Territoire CHT pour permettre aux tablissements publics de sant de mettre en uvre un
6. arr t le Conseil d Etat avait introduit une exception et jug qu il tait possible de pr voir dans un contrat qui n a pas pour objet l ex cution m me du service public les conditions auxquelles le cocontractant peut r silier le contrat lorsque la personne publique m connait ses obligations contractuelles la condition d avoir mis m me la personne publique de s opposer la rupture des relations contractuelles pour un motif d int r t g n ral tir notamment des exigences du service public Lorsqu un motif d int r t g n ral lui est oppos le cocontractant doit poursuivre l ex cution du contrat Un manquement de sa part cette obligation est de nature entrainer la r siliation du contrat ses torts exclusifs Conditions de mise en uvre de la clause de r siliation En l esp ce une commune a pass un contrat de services avec une soci t contre le versement d un loyer La commune ayant cess de payer ce loyer le titulaire a r sili unilat ralement le contrat comme le pr voyait une des clauses de ce dernier et a saisi le juge administratif afin de demander la condamnation de la commune lui verser l indemnit de r siliation pr vue par le contrat Tout d abord la Cour administrative d appel de Nancy a constat que les conditions g n rales annex es au contrat pr voyaient que le titulaire pouvait proc der la r siliation anticip e du contrat lorsque la personne publique tait en
7. existe des exceptions ce droit de r tractation parmi lesquelles les articles r alis s sur mesure pour le client confectionn s notamment sur les sp cifications du client ou nettement personnalis s disposition susceptible d int resser les mus es commercialisant des uvres personnalis es r alis es sur demande Renforcement de l information pr contractuelle et contractuelle du consommateur Le d cret d application susvis e de la Loi Consommation est venu pr ciser les informations porter la connaissance des consommateurs en ligne tenant notamment aux coordonn es commerciales d taill es du professionnel au descriptif des produits vendus aux conditions et d lais de livraison aux informations relatives aux garanties aux conditions contractuelles de vente aux modalit s d exercice du droit de r tractation aux modes de paiement accept s etc En substance l information communiqu e doit tre claire compr hensive et non quivoque Tunnel de commande Les tapes obligatoires de conclusion du contrat sont susceptibles d impliquer des adaptations tant techniques qu organisationnelles pour les mus es commercialisant en ligne V rification du d tail de la commande et possibilit de correction acceptation de la commande avec obligation de paiement et confirmation de la commande sur support durable etc Pour finir pr cisons que l exploitation d un site de vente en ligne pour un mus e implique gale
8. hicules dont il a la charge en particulier la lutte contre le vol du v hicule une meilleure allocation des moyens pour des prestations accomplir en des lieux dispers s notamment pour des interventions d urgence le contr le du respect des r gles d utilisation du v hicule d finies par l employeur titre accessoire uniquement le suivi du temps de travail lorsque ce suivi ne peut tre r alis par un autre moyen et que les salari s ont t d ment inform s de sa finalit P riode transitoire Les entreprises ayant d j effectu une d claration simplifi e en r f rence la pr c dente norme ont jusqu au 17 juin 2016 pour se mettre en conformit avec les nouvelles conditions pos es par la Cnil Quelles sont les donn es qui peuvent tre collect s et trait s Donn es collect es l identification du salari nom pr nom coordonn es professionnelles matricule interne num ro de plaque d immatriculation du v hicule les donn es relatives ses d placements donn es de localisation historique des d placements effectu s les donn es compl mentaires associ es l utilisation du v hicule vitesse de circulation du v hicule nombre de km parcourus dur es d utilisation du v hicule temps de conduite nombre d arr ts sachant toutefois que sauf si une disposition l gale le permet le traitement de la vitesse maximale ne peut pas s effectuer la date et l heure d une
9. la clause attributive de comp tence n ayant pas pour effet de cr er un d s quilibre significatif entre les droits et obligations des contractants elle ne saurait tre consid r e comme abusive Le demandeur consid re l inverse que la clause attributive de comp tence est une clause abusive au sens de l article R 132 2 du Code de la consommation qu elle doit donc tre r put e non crite et que le juge fran ais est d s lors comp tent pour statuer sur le litige Le juge de la mise en tat donne raison au demandeur estimant que ce dernier est bien li par un contrat de consommation qu en cons quence au regard de la l gislation fran aise la clause attributive de comp tence est abusive et doit tre r put e non crite et que d s lors en application du r glement n 44 2000 du 22 d cembre 2000 le TGI de Paris est comp tent pour trancher le litige Le caract re abusif de la clause attributive de comp tence Le juge de la mise en tat appr cie ici le caract re abusif de la clause attributive de comp tence figurant dans les clauses g n rales de la soci t Facebook Inc L article L132 1 du Code de la consommation dispose que dans les contrats conclus entre professionnels et non professionnels ou consommateurs sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de cr er au d triment du non professionnel ou du consommateur un d s quilibre significatif entre les droits etobligations d
10. la fois sur les terrains techniques conomiques et juridiques La confiance avec son prestataire cloud ne peut tre qu un travail rigoureux et adapt sur ces trois volets ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Des freins la bascule dans le cloud toujours importants La confiance entre les acteurs du cloud computing doit contribuer son d veloppement 1 Johann Armand http www channelnews fr actualit du 30 9 2014 2 JTIT 158 juin 2015 p 1 et JTIT 111 avril 2011 p 8 L essentiel Ne pas attendre une volution du cadre r glementaire pour basculer dans le cloud d abord travailler sur le contrat avec son prestataire Convenir de clauses sur la s curit les performances et la r versibilit adapt e sa cloud strategy S assurer de leur mise en uvre par des SLA adapt es 5 JTIT n 153 Janv 2015 p 1 RIC LE QUELLENEC Communications lectroniques L ALLEGEMENT DES PROCEDURES DE RECUEIL D INFORMATIONS PAR L ARCEP Le recueil d informations par l Arcep Parmi les diff rentes missions mises la charge de l Arcep figurent notamment l accompagnement de l ouverture la concurrence du secteur des communications lectroniques en veillant l exercice d une concurrence effective et loyale entre les op rateurs de r seaux et les fournisseurs de services de communications lectroniques 1 Cette veille passe par exemple par la r alisation d t
11. activation et d une d sactivation du dispositif de g olocalisation pendant le temps de travail Limites La g olocalisation ne peut permettre de de collecter des donn es de localisation en dehors du temps de travail du salari dont ceux r sultant des trajets domicile lieu de travail ou pendant ses temps de pause de suivre le temps de travail du salari sauf si ce suivi ne peut tre r alis par un autre moyen et que ces derniers ont t d ment inform s ainsi que les institutions repr sentatives du personnel S curit des donn es La CNIL pose galement certaines recommandations concernant la pr servation de la s curit des donn es et leur dur e de conservation ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Face l volution des pratiques en mati re de g olocalisation des v hicules utilis s par les salari s la Cnil a adopt une nouvelle d lib ration n 2015 165 du 4 juin 2015 venant compl ter la norme du 16 mars 2006 relatives aux conditions permettant de b n ficier du r gime de la d claration simplifi e 1 D lib 2015 165 du 4 6 2015 J0 du 17 6 2015 Les conseils Audliter des dispositifs de g olocalisation V rifier l existence d une d claration la Cnil l information des salari s et IRP V rifier la conformit du dispositif d clar la nouvelle d lib ration de la Cnil EMMANUEL WALLE PRISCILLA GUETTROT JTIT n 1539 2015 A Art et technolo
12. aient donc r put es confi es au GHT par le patient En outre l tablissement support qui r aliserait une activit d h bergement de donn es de sant pour le compte des autres tablissements devrait tre accr dit pour ce faire dans les conditions des articles 25 et 51 du projet de loi Les GCS continueront d exister en tant qu instruments de coop ration entre les tablissements priv s et le secteur public lequel est d sormais structur en GHT 9 L articulation entre ces outils de coop ration reste pr ciser L absence de MARGUERITE BRAC personnalit morale du GHT pose la question de son utilit par rapport aux GCS DE LA PERRIERE Le projet de loi ne pr cise ni les conditions de mise en uvre des GHT ni leur 5o ALIX D OMEZON rattachement une r gion ou un d partement ALAIN BENSOUSSAN 2015 JTIT n 1539 2015 Pa Eu Z Fiscalit et soci t NOUVELLES PRECISIONS APPORTEES PAR L ADMINISTRATION AU CREDIT D IMPOT RECHERCHE Les d penses de personnel ligibles au cr dit d imp t recherche L administration fiscale a r cemment apport de nouvelles pr cisions sur les d penses de personnel ligibles au cr dit d imp t recherche CIR 1 Ces pr cisions concernent les cotisations sociales ligibles au CIR et la d finition du doctorat ouvrant droit pour les d penses de r mun ration de ses titulaires des avantages Cotisations sociales ligibles au CIR Le
13. aine a t s lectionn dans Le classement des 50 affaires typiques de propri t intellectuelle des tribunaux chinois pour 2014 publi par la Cour populaire supr me et Le Top 10 des affaires de propri t intellectuelle de la Cour de Shanghai pour 2014 publi par la Cour populaire sup rieure de Shanghai 3 ALAIN BENSOUSSAN 2015 ctualit du 24 4 PT 1 N a gt Lexing Afrique du Sud Michalsons Attorneys 2 Actualit du 3 7 2015 3 Actualit du 14 5 2015 Lexing Chine Jade amp Fountain PRC Lawyers Actualit R f rentiel d accessibilit num rique 30et lancement d un label e accessible Le 25 juin 2015 la direction interminist rielle des syst mes d information et de communication DISIC a lanc une troisi me version enti rement mise jour du r f rentiel g n ral d accessibilit des administrations RGAA 1 d sormais 1 RGAA 3 0 du 25 6 assortie d un label e accessible attribu aux employeurs publics s engageant 2015 approuv e par sur la voie de l accessibilit arr t du 29 4 2015 Les administrations sont tenues de s appuyer sur le RGAA pour valuer la conformit de leurs sites internet aux normes d accessibilit internationales Tarif du futur brevet unitaire europ en Le 25 juin 2015 les Etats membres de l Union europ enne ont trouv un accord 2 communiqu n701 te 70 sur le tarif du futur brevet
14. aines figurant dans les contrats conclus entre professionnel et non professionnel ou consommateur ayant pour effet de dissuader le consommateur d exercer toute action devant les juridictions concernant l application du contrat ne sont elles pas abusives 1 Ord TGI Paris 5 3 2015 Les conseils Il importe que le professionnel qui ins re une clause attributive de comp tence au profit d une juridiction trang re dans ses conditions g n rales non n gociables ait conscience que la clause d s lors qu elle implique des difficult s pratiques et l engagement de frais de saisine de juridiction sans aucune proportion avec l enjeu conomique du contrat risque d tre consid r e comme abusive par les juridictions fran aises et donc sans effet MARIE ADELA DE DE MONTLIVAULT JACQUOT ARMELLE FAGETTE JTIT n 159 2015 Informatique conseil ASSISTANCE A MAITRISE D OUVRAGE SAVOIR GERER LE PERIMETRE DE LA MISSION Assistance ma trise d ouvrage sans contrat une responsabilit tendue Dans les projets informatiques le r le de l assistant ma trise d ouvrage AmoA est central 1 Une r cente d cision de la Cour d appel de Grenoble en tire toutes les cons quences de droit 2 Dans cette affaire un franchiseur exploitant un r seau de 120 agences immobili res a souhait faire voluer son logiciel de gestion de biens Le prestataire qui venait d achever son nouveau site
15. ance L ann e 2015 2016 s annonce aussi riche en actions au vu du programme des contr les annonc s par la Cnil Nous vous proposons dans le cadre de ce petit d jeuner de pr ciser les actions mettre en uvre pour assurer la conformit de leur activit la r glementation Informatique et libert s et anticiper l adoption du projet de r glement europ en en mati re de protection des donn es qui devrait tre adopt fin 2015 Lieu de 9h30 12h00 accueil partir de 9h00 dans nos locaux 58 bd Gouvion Saint Cyr 75017 Paris Inscription gratuite sous r serve des places disponibles L enregistrement en ligne est obligatoire pour y assister formulaire en ligne cette occasion d couvrez en vid os le Code Informatique fichiers et libert s paru dans la collection Lexing Technologies avanc es amp Droit aux ditions Larcier Notre diteur nous invite vous proposer l offre sp cifique qu il a cr e pour cet v nement Souscrivez au Code enrichi lors de l inscription et b n ficiez d une remise de 5 cliquez ici Open data enjeux et risques juridiques 23 septembre 2015 Laurence Tellier Loniewski animera un petit d jeuner d bat sur comment profiter des opportunit s et viter les pi ges juridiques et contractuels L ouverture des informations publiques sous l impulsion de l Union europ enne favorise l mergence de nouveaux produits et services et a un impact conomique d
16. ase de donn es Droit d auteur num rique Acqu rir les bons r flexes pour prot ger son patrimoine intellectuel et ne pas porter atteinte aux droits d autrui Lutte contre la contrefa on Anticiper les difficult s li es la contrefa on sur internet et cerner les sp cificit s face aux technologies de l information et de la communication Management des litiges M diation judiciaire et_ proc dure participative de n gociation Comprendre le d roulement de la proc dure de m diation judiciaire et de la proc dure participative Presse et communication num rique Atteinte la r putation sur Internet G rer les difficult s d application de la loi sur la presse aux nouveaux vecteurs de communication de la pens e Informatique et libert s Informatique et libert s niveau 1 Identifier et qualifier les intervenants et les responsabilit s pr venir les risques et cerner les formalit s obligatoires Cil niveau 1 Permettre au Cil de ma triser les obligations et responsabilit s qui lui incombent et de savoir les mettre en uvre Informatique et libert s secteur bancaire Sensibiliser les op rationnels sur les risques Informatique et libert s li s aux traitements du secteur bancaire Informatique et libert s collectivit s territoriales Informer les collectivit s territoriales sur les modalit s d application de la r glementation Informatique et libert s S curit informatique et libert s Conna
17. ature telles que la CSG la CRDS la contribution solidarit autonomie les taxes assises sur les salaires taxe d apprentissage participation des employeurs au d veloppement de la formation professionnelle continue ii les subventions vers es pour le fonctionnement du comit d entreprise les contributions au financement des organisations professionnelles et des organisations syndicales etc D finition du doctorat Le doctorat est un titre sanctionnant une exp rience de recherche ainsi que la r daction et la soutenance d un m moire ou d une th se Ce dipl me national est l unique dipl me de niveau Bac 8 2 Ne sont donc pris en compte que les titres ou dipl mes conf rant le grade de docteur ou leur quivalent international excluant ainsi les dipl mes d Etat de docteur m decine pharmacie v t rinaire dentiste En effet l obtention d un doctorat d exercice ou doctorat professionnel n est pas li e un travail de recherche mais l aboutissement d un cycle de formation un m tier ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Les d penses de personnel qui se rapportent des personnes titulaires d un doctorat sont prises en compte dans l assiette du CIR pour le double de leur montant pendant les 24 premiers mois 1 BOI BIC RICI 10 10 20 20 20150506 Les conseils Les d penses de conception de logiciels sont pour l essentiel constitu es de d penses de personnel 2 Bac 8
18. cutif aux risques Informatique et libert s li s leur activit ALAIN BENSOUSSAN 2015 12 02 et 16 04 2015 17 03 et 16 06 2015 24 03 et 02 07 2015 22 01 et 12 03 2015 03 02 et 29 05 2015 27 03 et 25 06 2015 22 01 et 03 04 2015 23 01 et 17 04 2015 24 07 et 13 11 2015 14 01 et 02 04 2015 20 01 et 04 03 2015 15 04 et 24 06 2015 20 01 et 26 03 2015 06 03 et 03 06 2015 05 02 et 17 06 2015 15 01 et 18 03 2015 11 02 et 19 03 2015 13 02 et 10 04 2015 27 01 et 25 03 2015 Selon demande Interview par Naima Alahyane Rogeon 104factory Acc lerer le d veloppement des start up Sophie MADYJIBE Charg e de mission 104factory incubateur du CENTQUATRE PARIS Comment d finissez vous 104factory 104factory est partie int grante du CENTQUATRE PARIS qui est un lieu de rencontres et d changes entre les sph res artistique conomique et sociale En perp tuel mouvement Le CENTQUATRE PARIS est une fabrique artistique et culturelle un lieu de cr ation une fabrique de spectacles d envergure internationale ouverte l ensemble des arts actuels travers une programmation r solument populaire contemporaine et exigeante port e par des artistes du monde entier Pens comme une plate forme collaborative il s int resse toutes les formes et disciplines artistiques th tre arts visuels danse musique cin ma vid o mais aussi arts culinaires num riques et urbains
19. e quoi comme dans l arr t comment l accompagnement op rationnel sera r put s appliquer jusqu parfaite r ception du projet En pratique l tat de l art sur cette clause consiste fixer un terme pr cis ou une mission pour la dur e du projet Si la mission d assistance implique une d l gation du client par voie de mandat pour certaines tapes du projet ou certaines instances de gestion de projet il faut le pr voir express ment on parle alors de ma trise d ouvrage d l gu e La liste des livrables attendus peut aussi tre un outil efficace pour le client pour savoir concr tement ce que son assistant lui fournira et s assurer ainsi du respect des grandes tapes de la conduite d un projet informatique La formalisation ou la r vision d un cahier des charges la validation d un dossier de sp cifications sont autant de livrables attendus usuellement de l AmoaA Acteur de premier plan du contract management informatique lAmoA doit apporter confiance et s curit dans l exercice de sa mission L arr t comment prouve s il en tait besoin que le contrat d assistance ma trise d ouvrage compte tout autant que celui du prestataire pour s assurer de la qualit des prestations servies en particulier comme du succ s du projet dans son ensemble ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux L assistant ma trise d ouvrage a un r le cl dans le succ s d un projet informatique La responsab
20. e strat gie commune et g rer en commun Le GHT est un nouvel certaines fonctions et activit s 1 outil de coop ration La CHT ne dispose pas de la personnalit morale et repose sur une convention GE pouri conclue entre les tablissements tant pr cis que ces derniers peuvent tre associ s la strat gie sans tre parties la convention La loi HPST a aussi refondu le dispositif juridique du Groupement de Coop ration Sanitaire GCS notamment celui du GCS de moyens structure juridique dot e de la personnalit morale de droit public ou priv pouvant tre constitu e par des tablissements de sant publics ou priv s des tablissements m dico sociaux des professionnels m dicaux lib raux des centres de sant et des p les de sant 2 Le GCS est l outil privil gi dans le cadre des coop rations entre le secteur public et priv Le projet de loi de modernisation du syst me de sant adopt en premi re CSP art L6132 41 nouv lecture l Assembl e nationale en avril 2015 remplace la CHT par le Groupement Discussion 2e s ance Hospitalier de Territoire GHT 3 du 9 4 2015 1 CSP art L 6132 1 ets 2 CSP art L6133 1 ets 3 Art27 Projet deloi n505 4 CSP art L6132 1 now 5 CSP art L6132 6n0ouv 6 CSP atL6132 1 Ilbis nouv 7 CSP art L6132 4nouv 8 9 Cadre juridique du GHT L enjeu Le GHT est cr pour permettre aux tablissements publics de sant publics
21. ensoussan Selas soci t d exercice lib ral par actions simplifi e 58 boulevard Gouvion Saint Cyr 75017 Paris pr sident Alain Bensoussan Directeur de la publication Alain Bensoussan Responsable de la r daction Isabelle Pottier Diffus e uniquement par voie lectronique gratuit ISSN 1634 0701 Abonnement partir du site http www alain bensoussan com outils abonnement petit dejeuner juristendance OAlain Bensoussan 2014 ALAIN BENSOUSSAN 2015 Formations intra entreprise 2 semestre 2015 LE CABINET A LA QUALITE D ORGANISME DE FORMATION PROFESSIONNELLE DEPUIS 30 ANS Archivage lectronique public et priv G rer _ un projet d archivage lectronique Int grer les pr requis juridiques dans la conduite du projet et garantir la conformit des syst mes d archivage lectronique G rer les archives publiques lectroniques Comprendre les sp cificit s des archives publiques lectroniques Contr le fiscal des comptabilit s informatis es Pr venir et anticiper les contr les fiscaux et g rer les contraintes li es l volution des syst mes d information Cadre juridique et management des contrats Cadre juridique des achats Comprendre les bases du droit de lachat et g rer les tapes de la conclusion d un achat depuis les pourparlers jusqu au pr contentieux Manager des contrats d int gration et d externalisation Comprendre les particularit s de l int gration et de
22. es parties au contrat L article R 132 2 du m me code pr cise en outre que sont pr sum es abusives les clauses ayant pour objet ou pour effet de supprimer ou d entraver l exercice d actions en justice ou des voies de recours par le consommateur Au regard de ces dispositions le juge commence par caract riser le contrat conclu entre la soci t Facebook Inc et le demandeur il rel ve ainsi tout d abord la qualit de professionnel de la soci t Facebook Inc malgr la gratuit du service propos puis l absence de capacit de n gociation des clauses par l utilisateur Il en d duit donc qu il s agit d un contrat d adh sion auquel la l gislation sur les clauses abusives a bien vocation s appliquer D s lors le juge estime que la clause litigieuse ayant pour effet d obliger le souscripteur en cas de conflit avec la soci t saisir une juridiction particuli rement lointaine et engager desfrais sans aucune proportion avec lfenjeu conomique du contrat souscrit pour des besoins personnels ou familiaux est une clause abusive dans la mesure o elle est de nature dissuader le consommateur d exercer toute action devant les juridictions concernant l application du contrat et donc le priver de tout recours l encontre de la soci t Facebook Inc ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Les clauses atitributives de comp tence au profit de juridictions trang res et particuli rement loint
23. est le plus haut niveau du r f rentiel europ en de Bologne dit 3 5 8 ou LMD en France PIERRE YVES FAGOT JTIT n 159 2015 Prochains petits d jeuners Informatique et libert s Bilan d activit de la Cnil 2 session 16 septembre 2015 Alain Bensoussan animera un petit d jeuner d bat consacr la pr sentation du bilan d activit de la Cnil pour l ann e 2014 L ann e 2014 a confirm la tendance observ e depuis quelques ann es quant l augmentation des activit s de contr le et de sanction de la Cnil Pour 2015 la Commission se fixe un objectif d environ 550 contr les se d composant de la fa on suivante environ 350 v rifications sur place dont un quart sur les dispositifs de vid oprotection 200 contr les en ligne Parmi les th matiques prioritaires des contr les figurent les Binding Corporate Rules BCR Ce qui permettra la Cnil d avoir un clairage sur l impact du dispositif au regard de la protection des donn es et du respect de la vie priv e au sein des groupes concern s De plus les plaintes sont toujours aussi importantes 5800 en 2014 Au del de ces chiffres l ann e 2014 se caract rise par les initiatives de la Cnil pour accompagner les entreprises dans leur d marche de conformit la r glementation Informatique et libert s publication du label Gouvernance Informatique et Libert s laboration du pack de conformit assur
24. gie LES BOUTIQUES EN LIGNE DES MUSEES La r forme de la loi sur la consommation L offre des mus es s tend depuis quelques ann es aux boutiques en ligne s inscrivant dans le mouvement g n ral d extension des achats sur internet par les consommateurs Ces boutiques en ligne permettant la commercialisation d articles en lien avec l activit des mus es et des expositions accueillies restent soumises la r glementation du commerce lectronique dont l actualit a t particuli rement riche sur un plan juridique ces derniers temps En effet la loi Consommation du 17 mars 2014 1 compl t e par un r cent d cret d application 2 est venue modifier substantiellement le r gime de la vente en ligne renfor ant le formalisme l gard des e commer ants L impact de la r forme Quelques mesures essentielles Allongement de la dur e du droit de r tractation 14 jours Le droit de r tractation est le droit offert un consommateur qui conclut un contrat distance de renvoyer le produit sans motif et sans p nalit Lorsque le droit de r tractation est exerc par le consommateur le fournisseur est tenu au remboursement des sommes vers es par le consommateur Les seuls frais pouvant tre imput s au consommateur en raison de l exercice de son droit de r tractation sont les frais directs de renvoi des marchandises La Loi fournit m me un formulaire type de r tractation Exception Pr cisons qu il
25. h 3 1 12 2011 Aff C 145 10 2 Cass 1e Civ 15 5 2015 n 31324044 3 CA Paris 10 3 2015 4 TGI Paris 21 5 2015 Les enjeux Ne pas d duire de l esth tisme d un clich son originalit Se concentrer sur la preuve de l originalit en d finissant les choix op r s par l auteur MARIE SOULEZ CLEMENCE DELBARRE JTIT n 159 2015 Informatique contentieux LE CARACTERE ABUSIF DES CLAUSES ATTRIBUTIVES DE COMPETENCE La clause attributive de comp tence au profit de tribunaux trangers Dans cette ordonnance le Tribunal de grande instance TGI de Paris d clare nulle et non crite la clause attributive de comp tence au profit de tribunaux situ s aux Etats Unis figurant dans les conditions g n rales de la soci t Facebook Inc 1 Suite la d sactivation de son compte un utilisateur fran ais assigne la soci t Facebook Inc devant le TGI de Paris pour en obtenir la r activation Les conditions g n rales de Facebook pr voyant une clause attributive de comp tence au profit des tribunaux du comt de Santa Clara en Californie la soci t Facebook Inc soul ve une exception d incomp tence relative au TGI de Paris devant le juge de la mise en tat Elle pr cise en outre dans ses conclusions d incident que la loi sur les clauses abusives n a pas vocation s appliquer l esp ce le contrat en cause n tant pas un contrat de consommation et que en tout tat de cause
26. ilit de l assistant ma trise d ouvrage peut tre recherch e sur plusieurs fondements l obligation de conseil l obligation d assistance 1 Voir la d finition usuellement retenue dans les march s publics informatiques 2 CA Grenoble ch com 4 6 15 RG2009 366 Les conseils Accorder autant de soin au contrat avec l AmoA qu avec le prestataire Fixer pr ciser le p rim tre d intervention de l AmoA sur les livrables attendus dans le temps sur les ventuelles d l gations Associer l AmoA dans le pilotage du projet en mode contract management RIC LE QUELLENEC JTIT n 159 2015 Relations sociales DECLARATION A LA CNIL ET GEOLOCALISATION DES SALARIES Principales conditions de la nouvelle d lib ration Cnil Finalit s du traitement La g olocalisation ne peut tre mise en uvre que pour tout ou partie des finalit s suivantes le respect d une obligation l gale ou r glementaire imposant la mise en uvre d un dispositif de g olocalisation en raison du type de transport ou de la nature des biens transport s le suivi et la facturation d une prestation de transport de personnes ou de marchandises ou d une prestation de services directement li e l utilisation du v hicule ainsi que la justification d une prestation aupr s d un client ou d un donneur d ordre la s ret ou la s curit du salari lui m me ou des marchandises ou v
27. ion du num rique associ aux activit s artistiques culturelles et cr atives Les opportunit s d interaction me semblent nombreuses le d veloppement de nos start up sont le t moignage J ai l esprit des innovations num riques en mati re sc nographiques mais aussi musicale tel que Meludia qui a r cemment ouvert un espace de vente au CENTQUATRE et qui d veloppe une m thode d apprentissage de la musique innovante reposant sur les motions et les sensations auditives 1 http www 104factory fr ALAIN BENSOUSSAN 2015
28. irect et indirect consid rable Ces perspectives ne doivent cependant pas faire oublier que le r gime juridique des donn es publiques ou accessibles au public est complexe le terme open data s av rant parfois trompeur et la multiplicit des licences open data n en facilitant pas la compr hension La privatisation des donn es par le droit de la propri t intellectuelle est galement une tendance lourde de notre droit Que faut il entendre par open data Les personnes publiques peuvent elles refuser de communiquer les donn es qu elles d tiennent Peut on privatiser des donn es Qui en est propri taire Quelles sont les principales licences open data Telles sont notamment les questions qui seront abord es lors du petit d jeuner Lieu de 9h30 12h00 accueil partir de 9h00 dans nos locaux 58 bd Gouvion Saint Cyr 75017 Paris Inscription gratuite sous r serve des places disponibles L enregistrement en ligne est obligatoire pour y assister formulaire en ligne JTIT n 1597 2015 oil ALAIN BENSOUSSAN 2015 Actualit internationale NOTRE RESEAU DE CORRESPONDANTS ORGANIQUES LEXING VOUS INFORME A quand les voitures sans conducteur en Afrique du Sud Bien qu en pointe aux Etats Unis les voitures autonomes ou voitures sans conducteur ne sont pourtant pas actuellement l ordre du jour en Afrique du Sud D autres Etats ont trait de cette question dans leur l
29. l outsourcing et bien g rer l ex cution des contrats Contract management Comprendre les bases du droit des contrats et g rer les tapes de la conclusion d un contrat depuis les pourparlers jusqu au pr contentieux S curisation juridique des contrats informatiques Comprendre et mettre en uvre les outils juridiques de s curisation des contrats informatiques Garantir _ la p rennit et le succ s d un projet informatique gr ce au contract management Niveau 2 Expert G rer au sein d un groupe de soci t s la signature et le b n fice d un contrat informatique Les cl s pour r ussir son projet Cloud computing Savoir d finir une cloud strategy Conformit et risque p nal Risque et conformit au sein de l entreprise Cerner le r le et la place de la conformit dans l entreprise pour s curiser l activit de l entreprise G rer une crise en entreprise le risque p nal Le risque et les principes Comment s annonce le risque et Informatique Edition de progiciel Etat de l art et tendances juridiques Ma triser le cadre juridique de l dition logicielle pour g rer l administration des parcs de progiciels Traitement et h bergement des donn es de sant caract re personnel Identifier les probl matiques complexes contrats d h bergement contrats de sous traitance etc et b n ficier de recommandations sp cifiques s agissant des clauses des contrats Internet et commerce
30. ment le respect de la l gislation Informatique et Libert s relative la collecte des donn es personnelles et la mise en place d une politique cookies si ces traceurs sont int gr s au site ALAIN BENSOUSSAN 2015 Les enjeux Mise en conformit avec les dispositions de la Loi Consommation 1 Loi 2014 344 du 17 3 2014 2 D cr 2014 1061 du 17 9 2014 Les conseils Audliter des CGV en ligne V rifier les informations pr contractuelles et contractuelles fournies au consommateur V rifier les modalit s d exercice du droit de r tractation NAIMA ALAHYANE ROGEON JTIT n 1539 2015 March s publics et D mat rialisation REGULARITE DE LA RESILIATION D UN MARCHE PUBLIC INFORMATIQUE PAR LE TITULAIRE Clause de r siliation unilat rale dans les march s publics informatiques Dans un arr t en date du 2 avril 2015 1 la Cour administrative d appel de Nancy a fait application de la jurisprudence d gag e par le Conseil d Etat dans un arr t du 8 octobre 2014 2 En 2014 le Conseil d Etat avait jug que le cocontractant li une personne publique par un contrat administratif tait tenu d en assurer l ex cution sauf en cas de force majeure et ne pouvait notamment pas se pr valoir des manquements ou d faillance de l administration pour se soustraire ses propres obligations contractuelles ou prendre l initiative de r silier unilat ralement le contrat Toutefois dans ce m me
31. nt de la personnalit de son auteur jugeant ainsi que les 6 758 photographies litigieuses pouvaient b n ficier de la protection par le droit d auteur 3 Toutefois le Tribunal de grande instance de Paris a rendu le 21 mai 2015 une d cision assez s v re en mati re d appr ciation de l originalit d une photographie 4 lla consid r que la contrefa on n tait pas tablie car le clich n tait pas original En effet le Tribunal souligne l absence de pr cision sur l origine de ses choix constitutifs des caract ristiques originales revendiqu es et consid re que l accent port sur les caract ristiques esth tiques est indiff rent au regard de l appr ciation de loriginalit dune photographie Le photographe aurait d d montrer que les choix relatifs au cadrage la lumi re et au d cor taient le fruit dune r flexion permettant dattester que la photographie portait l empreinte de la personnalit de son auteur Outre qu il est difficile de d terminer un courant jurisprudentiel homog ne permettant d appr cier avant toute action judiciaire les crit res de l originalit les juges font preuve de plus en plus de s v rit souhaitant certainement restituer la notion d originalit une r elle pertinence dans la protection de la cr ation ALAIN BENSOUSSAN 2015 L essentiel La d monstration de l originalit d une photographie condition du succ s d une action en contrefa on 1 CJUE c
32. ons lectroniques d une part et pour le secteur postal d autre part deux d cisions 3 L objectif poursuivi reste toujours d assurer l information des acteurs de ces secteurs et notamment des consommateurs de disposer d informations sur le fonctionnement concurrentiel des march s de d tail et de gros d informations sur les investissements des op rateurs de disposer d l ments pertinents pour l valuation des politiques publiques et d valuer l effet des d cisions sur le march Cependant si le nombre la fr quence et le niveau de d tail des informations collect es change parfois de mani re importante par rapport la situation qui pr valait cette d cision certaines collectes exceptionnelles d informations sont pr vues pour l ann e 2015 afin de mettre jour certaines segmentations informationnelles un peu anciennes La finalit de ces collectes est principalement statistique mais les informations recueillies pourront galement tre utilis es dans le cadre d analyses de march s ou pour valuer l tat et l volution pr visible de la concurrence Elles pourront aussi tre communiqu es l Insee pour certaines d entre elles ALAIN BENSOUSSAN 2015 L enjeu Mettre jour les donn es utilis es par l Arcep dans le cadre de ses obligations l gales de suivi de l volution des march s et d information des acteurs du secteur des communications lectroniques dont les consommateur
33. s afin que ces informations restent pertinentes 1 Art L 37 1 CPCE 2 Art L 135 CPCE 3 Decisions Arcep 2015 0317 et 2015 0318 Les conseils Prendre en compte la charge de travail et le co t associ la r ponse aux demandes de collecte d informations lorsqu un op rateur souhaite se d clarer aupr s de l Arcep Ce co t est un des co ts cach s de l acquisition du statut d op rateur et vient s ajouter aux redevances et taxes payer annuellement FREDERIC FORSTER JTIT n 1539 2015 Propri t intellectuelle MODE D EMPLOI DE L ACTION EN CONTREFA ON EN MATIERE PHOTOGRAPHIQUE Les pr requis d une action en contrefa on Les photographies sont des uvres b n ficiant de la protection par le droit d auteur sous r serve de leur originalit d finie comme l empreinte de la personnalit de l auteur Aussi d s lors qu il y a reproduction d une photographie originale sans autorisation de son auteur il y a contrefa on Plus que jamais en mati re photographique le point strat gique de toute action judiciaire pour contrefa on r side dans la d monstration de l originalit du clich Cette d monstration impose de rechercher dans la combinaison des l ments caract ristiques l effort personnel de cr ation En mati re d uvres photographiques l originalit est ainsi le r sultat de l empreinte de la personnalit du photographe laquelle peut tre r v l e dans la mi
34. s d penses de personnel aff rentes aux chercheurs et techniciens de recherche comprennent les r mun rations et leurs accessoires ainsi que les charges sociales dans la mesure o celles ci correspondent des cotisations obligatoires Par cotisations sociales obligatoires il faut entendre les cotisations patronales l gales ou conventionnelles caract re obligatoire vers es par l entreprise assises sur des l ments de r mun ration ligibles au CIR et ouvrant directement droit au profit des personnels concern s ou leurs ayant droits des prestations et avaniages Les cotisations sociales Ces cotisations sociales obligatoires sont i les cotisations sociales de base dues au titre des assurances sociales maladie maternit invalidit et d c s assurance vieillesse accident du travail et des maladies professionnelles allocations familiales ii les cotisations dues au titre du r gime d assurance ch mage iii les cotisations dues au titre de la retraite compl mentaire l gale obligatoire pr vue par les dispositions l gales et r glementaires ou par les accords nationaux interprofessionnels r gissant ces r gimes iv les cotisations vers es par l employeur au titre des r gimes de pr voyance compl mentaire En revanche les versements suivants dus par l employeur sont exclus de l assiette du CIR et notamment i les cotisations et contributions correspondant des impositions de toute n
35. se en sc ne du sujet photographi dans le cadrage ou l angle de prise de vue choisis mais galement par les techniques de d veloppement utilis es ou les retouches effectu es lors du travail de la photographie 1 L incertitude jurisprudentielle Les juges du fond appr cient souverainement l originalit d une photographie in concreto Un fort al a jurisprudentiel en la mati re existe En mai 2015 laCour dcassation valide lam thodologie suivie par la Cour d appel de Paris pour retenir l originalit de photographies qui donnent globalement l impression qu merge de chacune d elle en oblique et au sein d une abondante chevelure sombre boucl e un visage tr s p le o les seules touches de vives couleurs s av rent comme mises en vidence de mani re excessive que lattention est attir e sur les l vres maquill es du mannequin aux yeux clos voquant le sommeil soit sur son regard en coin fixe s imposant quoique les yeux soient peine entrouverts du fait de l angle de prise de vue soulign par le positionnement du visage de partie de doigts clairs aux ongles rouges apparaissant sortir de la chevelure 2 La cour d appel avait d duit des choix du photographe un parti pris esth tique le d marquant du simple savoir faire professionnel Dans un arr t du 10 mars 2015 la Cour d appel de Paris a relev une recherche de mise en valeur des objets photographi s traduisant un parti pris esth tique emprei
36. sociaux et m dico sociaux de mettre en uvre une strat gie de prise en charge commune et gradu e du patient L adh sion au GHT est obligatoire sauf pour les tablissements publics sociaux et m dico sociaux 4 II ne dispose pas de la personnalit morale et repose sur la convention constitutive entre adh rents L attribution des dotations r gionales de financement des missions d int r t g n ral et d aide la contractualisation un tablissement public de sant est subordonn e la conclusion par cet tablissement d une convention de groupement hospitalier de territoire 5 TT re Au titre des activit s hospitalo universitaires le GHT s associe un Centre favoriser la mutualisation Hospitalier Universitaire CHU dans le cadre dune convention dassociation 4 des ressources des Le projet de loi introduit la possibilit pour les tablissements priv s de conclure Ce de sant un partenariat avec le GHT dont l objet serait l articulation commune de projets iE a pa enro m dicaux 6 Au sein de la convention du GHT un tablissement support serait a d sign par laconvention pour g rer en commun des activit s etfonctions du GHT 7 Dans ce cadre une nouvelle exception au secret m dical serait cr e les informations concernant une personne prise en charge par un tablissement public de sant partie un groupement peuvent tre partag es 8 Les donn es du patient ser
37. t d abord r glementaire Au niveau europ en le projet de r glement sur les donn es caract re personnel de m me que le rapprochement entre les agences nationales de s curit peuvent contribuer donner confiance aux acteurs du cloud En mati re de normalisation les nouvelles normes ISO d di es au cloud computing publi es r cemment ou en passe de l tre ont fortement contribu fixer un cadre de discussion homog ne entre les diff rents acteurs du cloud et ainsi insuffler de la confiance entre eux 5 Cependant cela ne saurait suffire pour souscrire en toute confiance une offre de type cloud computing C est la n gociation contractuelle qui doit permettre de poser les conditions d une bascule et d un usage satisfaisant de tels services Le cahier des charges du candidat au cloud doit avoir t r dig en fonction de la cloud strategy de l entreprise En fonction de la criticit des donn es les solutions techniques devront tre propos es de mani re distributive et le contrat doit imp rativement le refl ter Les dispositions contractuelles sur la s curit les garanties de performance rev tent un caract re crucial de m me que celles sur la r versibilit Les annexes au contrat et en particulier les annexes techniques et de s curit doivent galement faire l objet d un soin particulier Les travaux de la cloud week illustrent que tout projet cloud se pilote
38. tre les exigences issues de la r glementation Informatique et libert s en mati re de s curit des donn es personnelles et sensibiliser aux risques li s une faille de s curit Devenir Cil Mettre en uvre une politique de protection des donn es efficace accountability etc et r soudre les questions complexes r seaux sociaux etc Cil niveau 2 expert Perfectionnement et r solution de questions complexes acquisition de m thodologie pour exercer l activit selon l approche Privacy by Design Informatique et libert s gestion des ressources humaines Donner aux membres de la direction des ressources humaines les cl s pour utiliser les outils et les traitements de donn es personnelles mis en uvre en mati re de gestion des ressources humaines Flux transfronti res de donn es Pr senter les dispositions qui r gissent ces flux et laborer une strat gie de gestion des flux conform ment la loi Contr les de la Cnil Conna tre l tendue des pouvoirs de la Cnil et ses moyens de contr le apprendre dialoguer avec la Cnil notamment par le biais d un jeu de r le Informatique et libert s secteur sant Sensibiliser aux risques Informatique et libert s li s aux traitements du secteur sant et assurances et apporter des l ments de benchmark permettant de positionner son niveau de conformit Informatique et libert s l attention du comit ex cutif Sensibiliser les membres du comit ex
39. udes p riodiques du fonctionnement de six march s de gros pr d termin s et sur lesquels l Arcep se charge d identifier les op rateurs exer ant une influence significative L objectif est de pr venir les comportements anticoncurrentiels qu ils pourraient ventuellement imaginer de mettre en uvre et de pr venir ces comportements par la mise en place d obligations particuli res et sp cifiques r gulation dite ex ante Cette veille passe galement par la mise en place d un certain nombre d observatoires du fonctionnement des march s de gros et de d tail afin d avoir de pouvoir suivre leur volution d une part et d anticiper les difficult s qui pourraient surgir d autre part 2 L Arcep alimente ces observatoires par la collecte p riodique d informations aupr s des op rateurs dont la fr quence mais aussi le volume se sont accrus au fil des ann es L all gement du dispositif Afin de r duire la charge que repr sentaient pour les op rateurs les r ponses qu ils devaient apporter aux diff rentes campagnes de collecte d informations l Arcep a d cid de modifier et d all ger son dispositif Cette volution vise galement refocaliser les donn es collect es sur les technologies plus pertinentes et actuelles et tenir compte de l volution des usages Pour ce faire l Arcep a consult en 2014 les principaux acteurs concern s et vient de publier pour le secteur des communicati
40. unitaire europ en 2 Le co t du brevet unitaire europ en En est fix moins de 5 000 pour 10 ans contre 30 000 actuellement SE Ouverture du site Etat plateforme d change de donn es entre administrations Le 18 juin 2015 le secr tariat g n ral pour la modernisation de l administration publique SGMAP a lanc le site de Etat plateforme service num rique d change de donn es entre administrations reposant sur l ouverture d interfaces de programmation API et visant fluidifier la circulation des donn es des usagers en vitant notamment la transmission de pi ces justificatives d j connues et produites par les organismes publics 3 3 Etat plateforme Avis du G29 sur le projet de r glement europ en protection des donn es Le 15 juin 2015 le G29 a rendu un avis sur le projet de r glement propos par la 4 Avis du G29 du 15 6 Commission europ enne en janvier 2012 sur la protection des donn es caract re 2015 en anglais personnel 4 Edition 2015 du Vade mecum des march s publics EP 5 Vade mecum des L dition 2015 du Vade mecum des march s publics reprend sous une forme a a publics 2015 enti rement gratuite et d mat rialis e l ensemble des fiches techniques jour au 30 4 2015 actualis es par la direction des affaires juridiques pendant le premier trimestre 2015 ainsi que les 7 nouvelles fiches techniques 5 La JTIT est dit e par Alain B
41. web a t retenu pour ce projet reposant sur des d veloppements sp cifiques Un assistant ma trise d ouvrage s est vu confier le pilotage du projet Les missions confi es chacun de ces prestataires n ont pas t formalis es par un contrat crit Aucun cahier des charges n a t r dig ni valid par les parties Sur le plan technique ce projet est un chec nombreux dysfonctionnements bugs et absence de fonctionnalit s Apr s avoir retenu la responsabilit du prestataire pour manquement une obligation de r sultat les juges grenoblois condamnent s v rement l AmoA pour trois graves manquements manquement son obligation de conseil pour ne pas avoir recommand d effectuer un appel d offres manquement son obligation d assistance en ne formalisant pas en amont un cahier des charges pr cis avec tous les besoins du client carences dans l accompagnement op rationnel lequel devait aller du d veloppement jusqu mise en exploitation effective apr s tests et correction La n cessit d un encadrement contractuel pr cis La d cision des juges grenoblois est d autant plus s v re qu aucun contrat d assistance ma trise d ouvrage n avait t formalis Pour retrouver de la s curit juridique le ma tre d ouvrage et son assistant auront tout int r t fixer le p rim tre de la mission confi e convient de borner pr cis ment dans le temps la mission confi e faute d
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