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Rapport d`activités et d`évaluation 2013

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1. est r colt e de dont avec logement mais probl me chauffage lectricit 231 dont expuls s ou menac s d expulsion 102 dont en rupture familiale 13 dont en logement insalubre pas de commodit s 24 dont en logement surpeupl 17 dont en logement mais autre probl me 136 Avec des difficult s financi res 604 Avec des difficult s administratives 615 Avec des difficult s Emploi Formation 508 Avec un handicap reconnu 5 Avec des difficult s Sant physique hors handicap reconnu 257 Avec des difficult s Sant mentale difficult s psychologiques 93 Avec des difficult s Assu tudes 11 Avec des difficult s relationnelles conflits extrafamiliaux ou familiaux ou 593 s paration Victimes de violence conjugale ou intrafamiliale 51 Avec des difficult s li es l isolement social 702 Avec des difficult s autres 154 Avec des difficult s Inconnues 0 Total des difficult s recens es ci dessus 4116 Nombre d utilisateurs diff rents pare provenance Venus spontan ment 594 Orient s par la famille tiers 642 Orient s par un autre usager du service 402 Orient s par H bergement abri de nuit maison d acueil 148 Orient s par un DUS cpas autres serv soc g n 0 Orient s par la police 2 Orient s par un service prostitution 0 Orient s par un service d accueil de jour 152 Orient s par un service de travail de rue 0 Orient
2. Biffer la mention inutile 103 Diffusion d informations sur les structures existant Mons et comp tentes en mati re de violences conjugales traite des tres humains exploitation comportement inad quat d un policier en informant sur les droits en diffusant des t moignages et en distribuant un DVD de sensibilisation aux techniques de self d fense En 2013 parmi les 110 demandes d aide re ues 4 concernaient des faits de violences conjugales intrafamiliales 6 concernaient des faits de violences en lien avec de l exploitation 3 concernaient des faits de violences sexuelles 4 concernaient des faits de violences en lien avec un abus de pouvoir Pr venir les violences Pr venir les risques li s l usage de drogues Le travail de terrain permet d identifier les personnes prostitu es consommatrices de les sensibiliser aux risques encourus de les couter les encourager et les r orienter vers un centre de prise en charge sp cialis ou un m decin s il y a demande Ceci repr sente pour 2013 2 demandes d aide formellement exprim es Mais le travail de pr vention ce niveau est quasi journalier car nous savons sur base d une tude universitaire laquelle Espace P Mons a activement particip en 2011 que 30 des femmes prostitu es belges pr sentent des probl mes d assu tudes toutes substances confondues alcool m dicaments drogues soit 3 fois plus que la populat
3. Atteint 137 OBJECTIFS CHEZ LES PARTENAIRES Objectifs Indicateurs Crit res Atteint non atteint gt Encoder les dossiers donn es personnelles Pour chaque dossier Atteint administratives et m dicales gt Suivre l volution des usagers et le bon d roulement Mise jour des dossiers Atteint R aliser le suivi des dossiers des soins gt Prendre et notifier les d cisions et changements Dans le dossier et si Atteint n cessaires n cessaire avec l accord du patient l quipe gt Pr parer et adapter modifier les piluliers des usagers En fonction des Atteint EPA prescriptions m dicales G rer les m dicaments des usagers E a gt Veiller ne pas manquer de m dicaments Par anticipation tant Atteint que possible gt tre disponible pour les usagers qui en font la 38h semaine dans 6 Atteint o A demande lors de permanences institutions R aliser les consultations infirmi res ee a s mR gt R aliser les soins infirmiers n cessaires au maintien Pour chaque demande Atteint ou au r tablissement de la sant des usagers gt Constituer et apporter les diff rents m dicaments et Dans chaque service Atteint mat riel n cessaires dans une pharmacie d urgence aupr s du service pharmacie d urgence PE gt Mettre jour et r approvisionner la pharmacie Au besoin valuation Atteint d urgence chaque permanence gt Mettre en place et animer
4. Liste des donn e qu il serait utile de r colter dans ces institutions R le du RSUMB dans le cadre de l observatoire R alisation des supports de r colte de donn es R colte des donn es brutes et int gration dans des tableaux Excel Soutien m thodologique aux institutions dans la r colte des donn es Int gration des donn es dans le rapport d activit annuel Mode de globalisation et d analyse annuel des donn es R daction d un rapport annuel Communications aux partenaires Attention r gles de confidentialit et accord institutions Comp tences associ es l axe observatoire Traitement statistique des donn es Graphiques tableaux crois s dynamiques analyse objective des donn es Ma trise d Excel Sauf si autre logiciel plus adapt Ma trise du logiciel Climas Abaque analyse des niveaux de satisfaction Capacit r aliser des rapports synth tiques et les communiquer vers l ext rieur pouvoirs publics partenaires politiques Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 22 Fiche 3a Les actions de coordination individuelle Table ronde Pourquoi des coordinations individuelles dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important de e Amener les institutions se coordonner lorsqu une situation de crise impliquant plusieurs intervenants se pr sente e Amener les institutions avoir un fil conducteur
5. e D finition du r le du RSUMB Animation des rencontres Formalisation des pistes d action qui se d gagent Utiliser des outils qui permettent l mergence de pistes d action O O Proposer voire initier une mise en uvre effective des actions imagin es e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e identification des comp tences acqu rir renforcer 3 Mener un projet sp cifique Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 25 e D finition des diff rents modes d intervention et d animation o Voir document bo te outil animation conduite de r union e Objectifs g n raux de ce type de coordination o D velopper et mettre en uvre un projet sp cifique r pondant des besoins clairement identifi s o Soutenir les intervenants et les b n ficiaires par la mise en uvre effective d actions nouvelles o Renforcer les actions existantes par d autres qui pr sentent un caract re innovant e D finition du r le du RSUMB Animation des rencontres du groupe projet Centralisation et formalisation des l ments li s l avancement du projet Apport d une m thodologie en mati re de gestion de projet O O O O Apport logistique e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans que
6. permettre l acc s un comptoir d changes de seringues ou un centre de cure Informer sur la contraception subside Communaut Fran aise Permettre l acc s un planning familial en cas de demande d une IVG d un suivi psychologique Donner des conseils de pr vention pour se prot ger des violences subside Communaut Fran aise 3 L action sociale individuelle Les strat gies mises en place pour aider les personnes en difficult sont les suivantes profiter de la moindre occasion la distribution du magazine Espace P la distribution de la brochure Paroles de prostitu es et de clients la vente de pr servatifs une mission la t l vision l organisation d un v nement les rencontres avec le m decin dans le cadre de la campagne de vaccination pour susciter un change sur diverses questions en lien avec la qualit de vie la personne reste libre de s impliquer personnellement ou non dans la discussion couter sans juger ce qui a conduit la personne vers une situation qui lui pose ventuellement probl me et r fl chir avec la personne son probl me lui permettre de prendre du recul verbalisation de ce qui est agi ou ressenti ventuellement co criture de ce qui s est pass clarifier avec elle ses besoins et ses demandes creuser ventuellement du c t des espaces sans probl mes des comp tences proposer ventuellement un objectif atteindre en vue de solutio
7. A la demande 136 Objectifs OBJECTIFS CHEZ LES PARTENAIRES Indicateurs Crit res Atteint non atteint R pondre aux attentes des diff rents partenaires R aliser des tables rondes gt Effectuer des permanences conventionn es chez les 36h semaine sur 47h Atteint partenaires gt Organiser une permanence t l phonique Pendant les heures de Atteint bureau gt Mettre autour de la table les partenaires psycho A la demande d un Atteint m dicaux sociaux autour de la table pour trouver des modus operandi ad quats partenaire ou au constat d un besoin par la coordination D velopper des initiatives au sein du Relais Sant gt Innover de nouvelles perspectives de suivi et d encadrement chez les intervenants gt Utiliser tous les outils mis a dispositions ex formations instruments de nouvelles initiatives A la demande o anticip pour r pondre de fa on optimale aux attentes Atteint Atteint Approvisionner et g rer la pharmacie du Relais Sant gt Faire un inventaire r gulier de la pharmacie g n rale du Relais Sant gt G rer le r approvisionnement en temps utile gt G rer la pharmacie de rue sac dos Disposer du mat riel st rile n cessaire aux soins et r approvisionner apr s chaque maraude permanence ex bandages compresses m dicaments anti inflammatoires anti poux Atteint Atteint
8. gt Dispatcher les informations n cessaires relatives la Au besoin et dans le Atteint sant entre les institutions dans un souci de confort respect du secret optimal professionnel gt S assurer d un travail en continuit dans la prise en Atteint charge des usagers gt Participer la r union d quipe Hebdomadaire Atteint de l quipe du centre de jour R aliser des formations l attention des intervenants sociaux gt Participer la supervision d quipe R aliser des s ances d informations selon le besoin exprim ou constat sur des r ponses des difficult s rencontr es ou sur des sujets qui interpellent Mensuelle la demande Atteint Atteint R aliser des formations l attention des usagers Permettre l usager d acqu rir une autonomie dans la gestion de son traitement la sortie de son h bergement gt R aliser des s ances d informations et des formations sur des sujets r currents li s la sant Pr parer avec l usager son pilulier valuer la compr hension au traitement et la prise en compte de l importance de la m dication oubli surdosage interactions etc Hygi ne et pr vention Minimum 1x mois Education la sant aupr s de l usager de l usager sa demande ou au constat Atteint Atteint partiellement R aliser mettre en place et g rer la gt Constituer et apporter les diff rents m dicaments et 2x mois v
9. 4 1 Le cadre structurel du Relais social urbain de Mons Borinage Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 5 e G rer le RSUMB et Relais sant S ecr tariat de l A G du CA et du CP e Repr senter le RSUMB Organiser le r seau Mons Borinage e Transmettre au C P des propositions de nouMelles r ponses et mettre en uvre les d cisions du CP et du Impl menter la mutualisation des comp tentes pour Mons e D velopper un observatoire eProdiguer des soins infirmier statistiques et analyse et donner acc s la e d velopper l information sur les pr vention aux d saffili s services aupr s des op rateurs et des pour les orienter d s que publics site du RSUMB et possible vers le circuit de conf rences soin classique e Emettre des recommandations et Cr er un r seau sant aider leur mise en uvre autour des patients eCoordonner les plans saisonniers Participer aux r seaux existants En mati re d U S et sur AAM hors Mons e Impl menter la mutualisation des comp tences e Evaluer en continu les besoins du public et des intervenants eAider la mise en uvre des r ponses aux besoins 4 2 Les partenaires formant le r seau du Relais social urbain de Mons Borinage Pour le secteur public 12 C P AS sur 13 sur l Arrondissement administratif 2 administrations communales un accueil de jour et un PCS 2 h pitaux publics g n ral psy
10. Association Chapitre XII r gie par la loi organique des CPAS du 8 juillet 1976 Rapport d activit s et d valuation 2013 Le Relais Social Urbain de Mons Borinage Coordination g n rale 56 B rue du Hautbois 7000 Mons Tel 065 84 34 19 Fax 065 84 39 53 coordination generale rsumb be www rsumb be Avec le soutien financier de EPW Service public de Wallonie LT Wallonie Rapport r dig par Lysiane Colinet en troite collaboration avec Julie Bernus Eric Ghyot et Nathalie Van Vreckem En faisant scintiller notre lumi re nous offrons aux autres la possibilit d en faire autant Nelson Mandela Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 1 Table des mati res Chapitre I Pr sentation g n rale 4 Chapitre II Rapport de la coordination 8 1 Notre public cible 9 2 La participation au r seau 11 3 Notre organisation en centre de coordination 17 a Introduction 17 b Les fiches m thodologiques 20 c Les actions du Centre d appui 34 Chapitre III Partie quantitative 58 1 Accueil de jour et h bergement de nuit 58 2 Accueil de jour 67 3 Dispositif d urgence sociale 74 3 1 Mons 74 3 2 Boussu Frameries Quaregnon 79 4 Travail de rue 85 Chapitre IV Partie qualitative 90 1 Situation de d part 90 2 Objectifs et valuation des projets financ s 91 3 Evaluation de la coordination g n rale 126 A coordination g n rale 12
11. plus de 450 en deux ans La pr sence de notre coll gue la fois pour l accueil et pour le d veloppement d actions collectives permettent de garantir un accueil de premi re ligne de qualit pour toute personne se pr sentant dans notre service et de continuer d velopper des activit s permettant le maintien ou la restauration du lien social De plus la cr ation de ce poste nous permet d affiner les demandes des b n ficiaires pour ensuite les orienter vers l interlocuteur ad quat dans notre service ou dans notre r seau professionnel Les objectifs g n raux Garantir un accueil de premi re ligne de qualit pour toute personne migrante socialement pr caris e de la R gion de Mons Borinage Permettre aux personnes migrantes pr caris es de la r gion Mons Borinage de retisser des liens sociaux en vue de leur r insertion par le biais d actions collectives Garantir le suivi social et administratif des demandes adress es au Relais de Mons Les activit s du projet Gestion de l accueil et des agendas des services suivants e Aide la r daction de CV et lettres de motivation destination des demandeurs d emploi tr s loign s de la formation et du monde du travail Service La que d Accompagnement et Orientation Service S maphore consultation sp cialis e en clinique interculturelle Accueil de toute personne se pr sentant ces services D veloppement d activit s collectives telles que ateli
12. quipe du RSUMB e 12 heures de supervisions par MG Consultants e Une formation et certification Prince 2 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 53 VI L aide logistique Les relais sociaux de b n ficient d une enveloppe leur permettant de financer des projets A Mons Borinage nous avons constat que proposer le financement d une action ne suffisait pas pour de petites institutions il est souvent utile d accompagner l quipe la cr ation d un projet r pondant des besoins du public car impulser de nouveaux projets en r seau avec toute la logistique que a demande et tre en m me temps op rateur de terrain s av re souvent un exercice difficile et demande beaucoup d nergie Pour les grandes institutions cr er un projet est une d marche r guli re pour laquelle ils sont g n ralement bien pr par s Par contre pour les petites ASBL ou les CPAS de petites communes c est une organisation qu ils n ont pas l habitude de pr parer Nous avons donc voulu en tant que coordinateur de r seau leur apporter notre savoir faire en mati re de cr ation et de gestion de projets Nous r alisons e L animation de r unions technique d animation PV suivi calendrier invitations h bergement et violence conjugale animation d un groupe r unissant les services d insertion sociale et socioprofessionnelle des CPAS de AAM Animation d un groupe
13. 1i trangers hors UE E 57 trangers UE B 50 ii ES sa oO 200 400 600 800 1000 76 DUS de nuit nationalit inconnue trangers hors UE E 5 trangers UE DUS de jour logement priv 252 logement social public 17 logement d urgence de transit d insertion 4 logement AIS 0 rue 83 en famille chez un tiers 305 Caravane 6 squat 4 voiture tente 16 h bergement d urgence 34 maison d accueil 9 prison 0 h pital g n ral 4 h pital psychiatrique centre de cure ou de postcure 9 centres pour demandeurs asile 0 Autre institution 1 autre endroit hors institution 14 logement h bergement inconnu 135 DUS de nuit Pas d information Fi DUS de jour difficult s inconnues DO 107 difficult s autres D 15 difficult s relationnelles violence 10 Assu tuces 1 Sant mentale difficult s 2 Sant physique hors handicap M 19 handicap 0 Emploi Formalion el difficult s administratives B 12 difficult s financi res ON 169 difficult s logement DO 119 0 100 200 300 400 500 DUS de nuit Pas d information UTILISATION DE SERVICE DUS de jour Utilisation de service Totaux annuels 2013 Nombre de jours effectifs d ouverture 250 Nombre d interventions modalit s de l entretien Nombre d entretiens t l phoniques Nombre d entretiens au bureau Nombre d entretiens en d placeme
14. Charleroi A la zone Mons Borinage dans le cadre de la gestion des difficult s relatives l exclusion sociale contribuer la qualit du fonctionnement du r seau social pr sent sur la r gion de Mons Borinage par un affinement des demandes et une meilleure orientation A notre public cible nous recevons des personnes tr s fortement pr caris es demandeurs d emploi tr s loign s du monde du travail et de la formation demandeurs d asile en grande fragilit psychique et mat rielle Offrir un accueil non conditionn permet de lib rer les salles d attentes d autres services dont les missions ne peuvent r pondre aux attentes de ces personnes Public touch par le projet Utilisation du service Totaux annuels 2013 Nombres de jours effectifs d ouverture 169 Nombre d ateliers collectifs organis s en interne ou en 72 collaboration Nombre de participations aux ateliers collectifs organis s en interne 62 ou en collaboration Nombre de permanences LLLLDDDDOD Nombre d accueils aux permanences LLLDDDPO Nombre d entretiens individuels quel que soit le lieu de l entretien 597 Nombre de visites domiciliaires Nombre d accompagnements physiques Nombre de r unions avec les partenaires les r seaux NES SNS Nombre d autres interventions 191 Nombre d accueils 315 Nombre d coute et informations 244 Nombre d orientations en interne 467 Nombre d orientations vers
15. Encadrement des aspects logistiques de la vie quotidienne hygi ne alimentation sant R tablissement de liens sociaux et activit s de d tentes et de loisirs Les personnes accompagn es disposent d un local avec jardin lou Infor Jeunes la rue des Tuileries Un repas est organis chaque vendredi Les personnes accompagn es peuvent participer toutes les activit s de loisir organis es par la maison d accueil et d autres activit s qui leur sont r serv es 99 Public accueilli Les personnes qui quittent le maison d accueil pour un logement Plus value du projet Un accompagnement social et ducatif reste assur tout en d gageant l quipe socio ducative de la plupart des aspects mat riels de l h bergement m me si des visites domicile sont faites Soit la personne est suffisamment autonome soit il est fait appel des services ext rieurs charge du b n ficiaire M me si une troisi me personne serait bienvenue il est important de noter en termes d efficience qu un travailleur social s occupe de 30 b n ficiaires alors qu en maison d accueil on est un travailleur social pour 3 ou 4 b n ficiaires Quelques chiffres Les chiffres ne nous ont pas t transmis par la maison d accueil Saint Paul 100 Espace P accompagnement de personnes qui se prostituent Institution Service Espace P Mons Nom du projet Promotion de la sant en milieu de prostitu
16. Remarque 2 3 On constate ici que la police boraine est l institution qui a le plus sollicit le DUS 29 des cas Ce sont ensuite les demandes spontan es directement par la personne en demande d aide qui sont les plus nombreuses 26 galement Pour le reste les institutions qui ont activ le DUS sont assez vari es Dans 27 des cas la demande vient directement d un des trois CPAS partenaires du projet notamment via l accueil des homes Type de demande 81 Type de demande B Logement E Aide financi re Remarque Dans 81 des cas il y avait bel et bien un probl me li une perte de logement voire l impossibilit de s y maintenir Les autres demandes relevaient d un probl me d ordre financier Revenu non touch probl me de chauffage aide alimentaire Les raisons qui faisaient qu il y avait un probl me de logement Raison probl me logement E Conflit intrafamilial E Sinistre E Multiples E Explusion conflit proprio B Situation ill gale E Insalubrit Remarque Ce sont les conflits intrafamiliaux qui constituent la raison la plus fr quemment voqu e au probl me de logement 43 des cas Viennent ensuite les sinistres 24 D Dans certains cas il est difficile d identifier une raison bien pr cise On peut donc consid rer que les probl matiques sont multiples 14 Deux situations d expulsion ont t constat es et une autre tait li
17. alit de travail et les r alit s des personnes b n ficiaires o Identifier de mani re permanente les besoins des b n ficiaires et leur volution et par cons quent mieux cerner ses caract ristiques e D finition du r le du RSUMB o Animation des rencontres o Utiliser des outils qui permettent l mergence de ce type de constats difficult s Formalisation des l ments qui ressortent Proposer voire initier des d marches qui permettraient de r pondre ces difficult s constats o Faire remonter le cas ch ant ces informations vers les pouvoirs politiques communaux r gionaux e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e Identification des comp tences acqu rir renforce 2 D gager collectivement des pistes de travail e D finition des diff rents modes d intervention et d animation o Voir document bo te outil animation conduite de r union e Objectifs g n raux de ce type de coordination o En se basant sur l expertise et l exp rience des intervenants il s agit de d gager collectivement des pistes de r ponse des probl matiques difficult s pr alablement identifi es o Constituer un espace d change de r flexion d action et d innovation entre intervenants o D terminer en permanence les r les et missions de chacun et la mani re dont les institutions peuvent travailler ensemble
18. cessaire de mieux faire appara tre le lien entre nos diff rents axes de travail et les liens avec le fait de faire du travail en r seau e La dynamique d quipe m ritait d tre renforcer par l utilisation d une m thodologie simple claire et sp cifique chaque axe e Le Centre facilitera galement a mise en uvre de projets et actions futurs L offre du Centre d Appui aux partenaires L observation L information La concertation La coordination de dispositif La formation supervision Le soutien logistique Le soutien et financement de projets En 2013 nous avons cr un outil qui nous permet d analyser toute demande de partenaire eu Relais social urbain de Mons Borinage ou de faire une analyse des besoins locaux et d y r pondre de mani re concert e Cet outil nous l appelons la concertation En outre pour chaque axe du centre d appui nous avons mis au point des fiches qui nous aident clarifier nos fonctions et le type de r ponses apporter ou pas Elles vous sont en partie pr sent es ci dessous en effet le travail n est pas termin elles seront test es et compl t es en 2014 Contexte Ce travail s inscrit dans la continuit et dans la finalisation de notre r organisation interne men e par l quipe du RSUMB en collaboration avec un Consultant ext rieur sp cialis dans une m thode de gestion de projet nomm e PRINCE2 Cette r organisation interne
19. cours de garde au moment de la r daction de ce rapport Depuis le 1 janvier 2013 soit depuis que la p riode de garde est de 17 semaines le nombre moyen d intervention est de 5 5 interventions par p riode de garde D placement de l intervenant D placement intervenant Remarque Il y a effectivement un d placement de l intervenant dans 38 des cas Pour le reste il s agit d interventions par t l phone Provenance g ographique des personnes aid es Provenance g ographique des personnes aid es 2 2 E Boussu E Frameries B Quaregnon B Autres Remarque 80 Entre octobre 2012 et octobre 2013 58 des situations taient de la comp tence du CPAS de Boussu 27 pour le CPAS de Frameries et de seulement 7 pour le CPAS de Quaregnon Les deux autres situations venaient de Colfontaine et de Saint Ghislain T l assistance Passage t l assistance 5 Remarque A cinq reprises le p le DUS a t activ sans passer pr alablement par t l assistance A trois reprises cela concernait un sinistre En effet le CPAS est rapidement sollicit dans ce cas de figure Dans les deux autres situations o t l assistance n a pas t sollicit c est le Home du CPAS de Quaregnon et la ville de Frameries qui ont directement interpell le travailleur de garde Origine de la demande Origine demande ORNE HR 01 OI E Origine demande
20. es nous totalisons 72 s jours effectifs Les 72 s jours ont t effectu s par 71 femmes une femme a effectu deux s jours au sein de la structure Ils sont r partis mensuellement comme suit 4 h bergements en janvier 10 h bergements en f vrier 6 au mois de mars 8 en avril 4 pour le mois de mai 7 en juin 6 au mois de juillet 5 en ao t 4 pour le mois de septembre 6 en octobre 6 en novembre 6 pour le mois de d cembre Sur les 71 personnes h berg es 24 taient des femmes seules et 47 des femmes accompagn es d enfant s Au total 77 enfants ont t h berg s au sein de notre structure 68 de moins de 12 ans 9 de plus de 12 ans Objectifs Atteints non Pourquoi atteints non atteints H bergement en urgence des femmes victimes de violences Atteint accompagn es ou non d enfant s pour une dur e maximale de 15 nuits Accompagnement psychosocial et ducatif des victimes et de leurs Atteint enfants Remise en ordre de la situation administrative sociale et financi re Atteint de la personne Trouver une orientation la plus adapt e possible la personne Atteint l issue de son h bergement au sein de la structure Plus value du projet la mission de base de votre service D sengorger les services de premi re ligne ne pouvant assurer la prise en charge psychologique et sociale des femmes victimes de violences conjugales Off
21. plan f d ral en cas de situation de crise l chelle nationale Les gouverneurs de Province relayent l information entre le f d ral et les instances subordonn es et transmettre les exp riences positives issues de communes de leur territoire d autres pour qu elles puissent s en inspirer Les communes sensibilisent la population aux mesures pr ventives informent la police locale pompiers et CPAS Elles sont invit es effectuer un inventaire des locaux frais mettre disposition en cas de n cessit transport et porter leur attention la consommation d eau et en cas de p nurie y rem dier de mani re transversale le RSUMB souhaite pr ciser l aide pour les personnes en situation de grande pr carit et sans abri sur son arrondissement administratif car elles n ont pas n cessairement acc s aux mesures pr vues par les autorit s concern es par le plan canicule contrairement aux personnes pr sentant d autres types de pr carit Le RSUMB veut pouvoir sensibiliser ce public afin d viter tout incident d la chaleur ou des pics d ozones Organisation des actions sur Mons Le RSUMB souhaite venir en aide aux personnes en grande pr carit et aux sans abri en suscitant aupr s de ses partenaires un travail de pr vention de surveillance et d apports de r ponses aux besoins li s aux conditions m t orologiques difficiles Int gration des actions coordonn es par le RSUMB au plan
22. pouvoir orienter le 53 pS j A P i jai 2 amp Police des chemins de public rencontr voire interpeller un service d aide en 5555 fer cas de n cessit O o A Cr 4 A S 8 c SNCB Mise disposition d un folder distribuer au public D G E se o gE 5 Maisons de quartier reprenant les pr cautions utiles en cas de conditions v m Bae 3 g gt Travailleurs de rue m t orologiques difficiles Tout service d aide Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 44 Acc s l eau potable CPAS de Mons Croix Rouge Entraide de Ghlin Escale H tel de Ville H pitaux Maisons de quartier Relais Sant Resto du C ur de Mons sauf du 16 07 au 03 08 Points d eau potable pour la plupart des services En cas de suspicion de personnes isol es g es en grandes difficult s possibilit de faire appel au DUS de garde hors heures ouvrables ou au Relais Sant heures ouvrables Le Resto du C ur de Mons est ouvert de 08h30 14h00 du lundi au vendredi et plus tard la demande d un service et selon les possibilit s sauf du 16 07 au 03 08 En d pannage et la demande abri de nuit et SNCB Acc s un abri frais Escale Resto du C ur de Mons sauf du 16 07 au 03 08 L Escale est ouvert du lundi au vendredi de 09h00 19h00 Des navettes sont activables la demande plus
23. riel de conservation et des comp tences en mati re de r cup ration stockage redistribution Les produits r cup r s seront redistribu s sous forme de colis aux b n ficiaires des 3 ASBL CPAS et l abri de jour l Escale Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 41 IV La coordination de dispositifs 1 le Plan grands froids 2 Le Plan canicule 3 L accueil de jour l accueil de nuit l urgence sociale le travail de rue 4 la r cup ration et la redistributions d invendus aux partenaires SOREAL 1 Le Plan grands froids voir rapport annex 2 Le Plan canicule G n ralit s P riodicit Public risque Indicateurs de risque Organisation g n rale Action du RSUMB du 15 mai au 30 septembre enfants surtout en bas ge personnes g es malades handicap es souffrant de d shydratation importante isol es vivant dans des logements surpeupl s et ou mal isol s en situation de pr carit ainsi que les travailleurs et les sportifs il y a canicule si T min moyenne gt 19 C Uccle pendant 3 jours avec T max moyenne de 30 C Uccle Il y a pic d ozone si concentration h gt 240 mg m la veille avec concentration pr vue h gt 180 mg m pour le jour m me le SPF informe et avertit les autorit s les institutions relatives la sant l intervention d urgence et de proximit et la population et pr voit un
24. vers service d ducateurs de rue vers Service d orientation sociale Autre vers service soins de sant physique vers service Soins de sant mentale O N ONOOOOOOOOOO MN vers Service sp cialis assu tudes vers service Aide mat rielle aliments v tements mobilier socio sanitaire oN O vers service Aide par rapport aux violences vers service Aide la jeunesse vers service Aide juridique D vers service Autres sans orientation n cessaire 43 sans orientation possible 4 sans demande d orientation 27 dont I orientationest inconnue 78 Orient s par un service Inconnu un Service autre E un service juridique 1 un service d aide mat rielle I 3 un service de Soins de sant mentale 2 un service de Soins de sant physique E un service pour personnes handicap es un service d accueil de jour DS 29 un service migration DS 23 la police NN 36 un autre service du CPAS DIN 50 un DUS DS 23 H bergement maison d accueil EE 19 un autre service DORE 202 la famille 1 venant spontan ment EEE 150 0 50 100 150 200 250 E S rie1 Nombre d utilisateurs par provenance de l orientation vers la structure 2013 Nombre d utilisateurs venant spontan ment 150 Nombre d utilisateurs orient s par la famille 1 Nombre d utilisateurs orient s par un tiers 0 Nombre d utilisateurs orient s par un autre usager du service 0 Nombre d utilisateurs orient s par un autre service E Nomb
25. 135 valuation qualitative du Relais Sant 2013 OBJECTIFS G N RAUX Objectifs Indicateurs Crit res Atteint non atteint R aliser des soins de premi re ligne Maintenir du lien avec le r seau classique de soins Respecter le caract re de confidentialit et de secret professionnel gt Dans chaque institution partenaire qui en fait la 6 institutions 1 CPAS Atteint demande gt En fonction des disponibilit s 36h semaine sur 47h Atteint gt Prendre les rendez vous m dicaux n cessaires Au besoin et la Atteint demande gt Accompagner les b n ficiaires dans les autres Au besoin et la Atteint structures de soins demande Au besoin et la Atteint gt Assurer le suivi m dical demande Pour chaque dossier Atteint l gt Transmission d informations Ne transmettre aux autres services psycho m dicaux sociaux que les informations Atteint Promouvoir la pr vention et l ducation la sant accept es par le patient gt Divers ateliers de pr vention ex hygi ne lavage Au besoin sur constat Atteint des mains di t tique vitamines etc gt Divers ateliers sur des ph nom nes en cours A la demande Atteint l gt Pendant les consultations et permanence Au besoin constat Atteint gt Autres d marches ducatives pr ventives ex collaboration avec le planning familial pour information sur les IST et la contraception
26. Convocation e Animation e Organisation du suivi Comp tences associ es l organisation de coordinations institutionnelles e Animation et coordination autour de situations individuelles e Secret professionnel et d ontologie e Travail en r seau e Gestion des conflits et communication Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 23 Fiche 3b coordination institutionnelle autour d une probl matique et ou d un axe de travail et ou d un projet Pourquoi les coordinations institutionnelles dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important de e De penser l action autour des personnes en grande pr carit de mani re coordonn e concert e e Soulager les institutions en termes de temps et de moyens par rapport la mise en place de coordinations et autres r unions de travail entre acteurs e De pouvoir identifier collectivement des probl matiques communes e De d gager collectivement des pistes d action et de solution communes e De favoriser la mise en place de projets communs entre institutions et de soutenir l innovation e Rassembler un maximum de comp tences autour de la table en vue de d velopper des actions communes e De soutenir des initiatives qui ne peuvent tre men es isol ment par une institution par manque de temps de moyens D finition d une coordination institutionnelle Une coordi
27. DO 69 Assu tudes DO 231 Sant mentale difficult s psychologiques OO 132 Sant physique hors handicap D 17 avec un handicap I 7 difficult s Emploi Formation O difficult s administratives OO 222 difficult s financi res ME 199 difficult s logement OO 22 0 50 100 150 200 250 300 350 E S riel 62 dont l orientationest inconnue _ 78 sans demande d orientation 27 sans orientation possible 4 sans orientation n cessaire o 43 vers service Autres 6 vers service Aide par rapport aux violences I 1 vers service Aide mat rielle aliments O vers Service sp cialis assu tudes DIN 17 vers service Soins de sant mentale SSII 18 vers service soins de sant physique DEN 7 vers police M 2 vers autre service du CPAS EE 55 vers H bergement Autre 5 Abri de nuit ou autre forme d h bergement DE 32 Maison d accueil OO 42 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 E S rie1 Totaux Nombre d utilisateurs par orientations propos es plusieurs r ponses possibles annuels 2013 Maison d accueil 42 Abri de nuit ou autre forme d h bergement d urgence 32 vers H bergement Autre 5 vers services d aide au logement vers DUS vers autre service du CPAS O1 Oo vers police vers mutuelle vers service immigration vers service prostitution vers service d Aide financi re vers service d Aide administrative vers service d Aide emploi formation vers service d accueil de jour vers SIS
28. Espace P est une plus value en termes de soutien et d accompagnement 120 la zone Mons Borinage dans le cadre de la gestion des difficult s relatives l exclusion sociale Cette proximit constante avec le public garantit une visibilit du service Mais cela reste avant tout la meilleure mani re de d velopper le lien de confiance avec le public cibl pr liminaire essentiel la mise en place de tout projet individuel d mancipation ou d insertion sociale En effet chaque rencontre est l occasion pour Espace P de construire avec ses usagers un espace de parole d coute et d information propice un change constructif permettant e d une part de briser l isolement social caract ristique de certaines personnes pr caris es issues de ce milieu e et d autre part de d boucher ventuellement sur une demande d aide plus labor e Espace P permet ainsi d approcher le ph nom ne prostitutionnel montois sous un autre angle que celui exclusivement judiciaire contr les de Police et de l Inspection des lois sociales Cette diversit d approches apporte une plus value deux niveaux e d une part au niveau de la collectivit le b n fice d une approche multidisciplinaire d un ph nom ne soci tal n est plus d montrer e et d autre part au niveau de notre public la pr sence d Espace P est per ue comme rassurante face au traitement exclusivement judiciaire de la question prostitutio
29. Issus d une autre commune de Issus de la Ville si ge du RSU 87 Difficult s Inconnues VX 107 Difficult s autres DO 27 Violence ou rencontrant des OO 13 Assu tudes DO 45 Sant mentale difficult s DOI 29 Sant physique hors handicap DO 9 Handicap E 7 Difficult s Emploi Formation DEN 4 Difficult s administratives OO 69 Difficult s financi res OO 53 Difficult s de logement SN 95 Vers ervices d aide au logement 0 20 40 60 80 100 120 Vers police Vers mutuelle Vers service immigration Vers service prostitution Vers service d aide financi re Vers service d aide administrative Vers service d aide emploi formation Vers SIS Vers service d ducateurs de rue Vers Service d orientation sociale Autre Vers service soins de sant physique Vers service Soins de sant mentale Vers Service sp cialis assu tudes Vers service Aide mat rielle aliments v tements mobilier socio sanitaire Vers service Aide par rapport aux violences Vers service Aide la jeunesse Vers service Aide juridique Sans orientation possible par manque d offre de service Sans demande d orientation Orientation inconnue O0 6666 rS GNS NaN GN SNOS 88 Vers service Autres 5 Vers service d accueil de jour NE 374 Vers autre service du CPAS 16 Vers DUS 3 Vers maison d accueil AN
30. Nombre de jours effectifs d ouverture 31 28 31 30 31 31 30 31 30 31 Nombre de nuit es en abris de nuit 437 344 154 homme 180 157 161 170 196 236 470 Nombre de nuit es en abris de nuit 112 72 46 femme 30 14 26 20 68 41 52 Nombre de nuit es en abris de nuit 0 0 0 enfant Nombre de jours effectifs d ouverture Nombre de nuit es en abris de nuit homme Nombre de nuit es en abris de nuit femme Nombre de nuit es en abris de nuit enfant Nombre de nuit es hors abris de nuit homme Nombre de nuit es hors abris de nuit femme Nombre de nuit es hors abris de nuit enfant Nombre de nuit es en h tels homme Nombre de nuit es en h tels femme Nombre de nuit es en h tels enfant Nombre de refus pour quota d pass Nombre de refus par manque de place Nombre de refus pour arriv e hors horaire Nombre de refus pour non respect du r glement Nombre de refus autres Nombre de r orientations 66 2 Accueil de jour L Escale ville de Mons C P A S de Mons Le personnel Cadre PROJET partenarial du RSUMB avec du personnel de la Ville de Mons de CPAS de Mons 10 ducateurs 1 assistant social 1 psychologue Nombre d ETP et de TS au sein de l quipe 12 ETP et tous TS PROFIL DES USAGERS 2013 Nombre d utilisateurs diff rents par g
31. Soignies La Louvi re le planning familial FPS des mutualit s socialistes La Famille Heureuse de Mons et de Frameries Les Arba l asbl Sida IST Charleroi Mons le CHU Ambroise Par l Espace Synapse l asbl Tels Quels et La Plate forme Sant du service de pr vention de la ville de Mons En concertation avec ces acteurs nous participons depuis nos d buts la r flexion et la mise en place de diff rents projets Plus value apport e par le projet la mission de base du service Avant qu Espace P ne soit pr sent sur Mons il n existait pas voire seulement sporadiquement d action sociale de r duction des risques de pr vention de la sant et d enlisement dans la pr carit et d coute sp cifique et adapt e aux personnes prostitu es Depuis f vrier 2009 Espace P Mons rencontre le public prostitu sur les lieux de travail en moyenne deux fois par semaine Ces tourn es de terrain permettent e d une part d tablir le contact avec les personnes prostitu es non averties de l existence du service e et d autre part de renforcer les contacts d j tablis Notre travail quotidien au contact des personnes prostitu es ainsi que le nombre croissant des demandes spontan es d montrent qu il y a une demande de la part de notre public ce qu Espace P soit pr sent sur Mons Borinage et se d place sur les lieux de prostitution Pour notre public la pr sence d
32. afin qu ils adh rent et participent l alimentation de l observatoire wallon 2012 a t l ann e de d part la mise en uvre d un syst me de r colte de donn es les partenaires collectent des donn es d utilisation de service mensuellement et des donn es sur les usagers annuellement Ils envoient ensuite leurs informations aux relais sociaux qui se chargent de les traiter localement et de les fournir enfin l IWEPS s occupant alors de les centraliser les traiter et les analyser au niveau global wallon tout en coordonnant le projet d observatoire sous les autres aspects Ce syst me n ayant pas t vident mettre en place notamment en raison d un aspect encore brouillon du projet de la r sistance des partenaires modifier leur fonctionnement mais aussi de la lourdeur administrative que ce projet impliquait le RSUMB a alors pris le parti de soutenir ses partenaires dans ce changement en donnant l agent APE la mission de leur assurer un soutien technique et ce en fonction de ses propres moyens et de ses comp tences Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 34 Un travail de d veloppement et de sp cialisation Les moyens disponibles et les comp tences du RSUMB tant limit es afin d assurer ce soutien de mani re optimale le RSUMB a d cid de trouver les ressources n cessaires afin d aider les partenaires faciliter leur travail de collecte
33. asbl En 2007 la consommation de coca ne est r pandue et touche les jeunes comme les femmes plus g es 8 personnes sur 33 ont affirm consommer de la coca ne De plus la prostitution occasionnelle n est pas rare en 2007 8 personnes sur 33 ont t rencontr es alors qu elles venaient de commencer de se prostituer et ont t assez rapidement perdues de vue Les objectifs g n raux Pr venir les maladies sexuellement transmissibles en milieu de prostitution Pr venir les violences Pr venir les risques li s l usage de drogues Favoriser l usage d une contraception Favoriser l acc s aux soins et une couverture sociale Faciliter l insertion sociale des personnes prostitu es Am liorer l autonomie conomique pouvoir satisfaire ses besoins primaires sans tre oblig d accepter l inacceptable Am liorer le bien tre Lutter contre la stigmatisation l exploitation et les violences dont sont victimes les prostitu e s D noncer la paup risation croissante d une partie de la population Les activit s 101 1 Un travail de proximit 20 ans d exp rience dans le milieu de la prostitution nous confortent dans l id e que pour tre efficaces et m riter la confiance des personnes prostitu es nous devons aller leur rencontre sur le terrain et en compl ment du travail sur les lieux de prostitution proposer un lieu d accueil o priment chaleur et convivialit 2 D
34. canicule g n ral Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 42 Vigilance SPF Information aux gouverneurs de province et bourgmestres Province Diffusion d une information sur les exp riences positives entre les diff rentes communes de son territoire Commune Mesures de mise disposition de locaux inventaire des locaux plan de transport et conventions des personnes ressources et personnes de contact du nombre de personnes risque qui pourraient y tre accueillies Envoyer une information g n rale de sensibilisation l attention de tous les habitants lien avec les services utiles sites web et call center RSUMB Informer les services de mesures de pr cautions prendre et d initier la solidarit entre chacun coordonn es utiles qui fait quoi Distribuer les folders d informations Escale et TDR AN DUS Gare Police Resto du C ur de Mons Synapse Sensibiliser les gardiens de la paix la d tection du public et au signalement aupr s d un service alimentation adapt e et l hydratation des usagers via le Relais Sant Gestion des probl mes de consommation d eau Chercher des dons de prendre contact avec les distributeurs d eau Casquettes eau cr me potable pour v rifier l tat d approvisionnement solaire m me si le distributeur et comment y rem dier en cas de p nurie allant ju
35. de nos activit s r pond une volont du RSUMB en tant que r seau d institutions publiques et priv es de proposer nos partenaires une offre de services coh rente et la plus adapt e possible et ce en vue d accompagner au mieux les personnes en situation de grande pr carit Pour ce faire nous avons r dig des fiches de travail internes qui nous permettrons de clarifier les demandes de l gitimer nos r ponses et d adapter nos interventions Fiche 1 L analyse de la demande Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 18 Fiche 2 L Observatoire RSUMB Fiche 3 Les actions de coordination Fiche 4 Les actions d information Fiche 5 Les actions de formation et de supervision Fiche 6 Les actions d accompagnement et de soutien individuel la mise en place d un projet Fiche 7 Les actions de participation aux autres r seaux Fiche 8 Les actions du relais sant Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 19 b Les fiches NB en vert les documents annexes Fiche 1 L analyse d une demande formul e au RSUMB Une demande une concertation e On part du principe que toute demande formul e au RSUMB s inscrit dans une d marche de concertation avec un ou plusieurs de nos partenaires e Une demande mergera au d part de o D une d marche individuelle lors d un contact individuel rencontre contact
36. de souplesse dans l acc s la structure Le Resto du C ur de Mons est ouvert de 08h30 14h00 du lundi au vendredi et peut ouvrir ses locaux apr s 14h00 la demande d un service et selon les possibilit s sauf du 16 07 au 03 08 Douches L Escale est ouvert du lundi au vendredi de 09h00 19h00 Des navettes sont activables la demande Les douches du Resto du C ur de Mons sont accessibles de 08h30 12h00 du lundi au vendredi et plus tard la demande d un service et selon les possibilit s sauf du 16 07 au 03 08 Abri de nuit en d pannage la demande d un service en journ e du lundi au vendredi et partir de 15h00 le week end D placement domicile Escale Resto du C ur de Mons Abri de nuit ACASA CPAS de Mons Relais Sant Resto du C ur de Mons Travailleurs de rue En cas de suspicion de personnes isol es g es en grandes difficult s possibilit de faire appel au DUS de garde hors heures ouvrables ou au Relais Sant heures ouvrables ACASA peut proposer des repas aide aux courses etc pour les personnes qui auraient des difficult s sortir de chez elles service payant Ce service permet aussi un passage r gulier chez les personnes risque En d pannage la demande d un service et selon leurs possibilit s les travailleurs de rue et le Resto du C ur de Mons peuvent se rendre sur place si Mons intra muros sauf du 16 07 au 03 08 pour le Resto du C u
37. du Relais Social de Mons Borinage sans pour autant r duire ou modifier la nature de notre collaboration et le travail en r seau existants Public touch par le service PROFIL DES USAGERS 2013 Nombre ar Genre 121 23 hommes 22 femmes Pas de mineur Hommes Nombre d ge inconnu Nombre partir de 60 ans et Nombre de 55 59 ans Nombre de 55 59 ans Nombre de 50 54 ans Nombre de 45 49 ans Nombre de 40 44 ans Nombre de 35 39 ans Nombre de 30 34 ans Nombre de 25 29 ans Nombre de 18 24 ans Femmes Nombre d ge inconnu Nombre partir de 60 ans et Nombre de 55 59 ans Nombre de 55 59 ans Nombre de 50 54 ans Nombre de 45 49 ans Nombre de 40 44 ans Nombre de 35 39 ans Nombre de 30 34 ans Nombre de 25 29 ans Nombre de 18 24 ans 122 Nombre en situation familiale inconnue Nombre en situation familiale autre Nombre vivant en couple avec enfants ES 5 Nombre vivant en couple sans enfants O Nombre d isol s avec enfant eZ 14 44 belges 4 fran ais 1 al g rien Nombre de source de revenus inconnue o 2 Nombre b n ficiant d autres types de Nombre sans ressource financi re DO 6 Nombre b n ficiant d ind mnit s de 0 Nombre b n ficiant d allocations DM 1 Nombre ALE 6 Nombre b n ficiant d allocations aux Ds 2 Nombre b n ficiant d indemnit s de M 15 Nombre b n ficiant d une pension de D 2 Nombre b n ficiant d un RIS ou autr
38. e l insalubrit du logement Utilisation du logement d urgence 82 Utlisation logement urgence Remarque Durant une ann e de fonctionnement le logement DUS a t utilis quatre reprises deux fois pour un conflit intrafamilial une fois pour un sinistre une fois pour un conflit avec un propri taire et une fois pour un probl me d insalubrit R ponses trouv es suite la sollicitation du DUS R ponses apport es 10 9 8 7 6 5 4 3 2 2 EHEHEHEH HEE E R ponses apport es VO O E amp TEF 2 CS CR CN E Fa LERS SES Ne a s amp a oF S S Li a S Ve RE s SC QT Remarque Dans 35 des cas l h bergement en famille chez amis est la solution trouv e On peut partir du postulat que dans ce cas l intervention du p le DUS peut consister apaiser la situation et aider la personne rechercher des solutions dans son r seau primaire Dans 15 des cas il s av re aussi qu aucune solution r elle n a pu tre trouv e Situation familiale des personnes accompagn es 83 Situation familiale m Homme isol E Femme avec enfant E Femme isol Couple E Couple avec enfant Remarque Dans 48 des cas il s agissait d une personne isol e Homme 57 et femme 43 Viennent ensuite les femmes seules avec enfants 24 des cas Viennent ensuite les couples sans enfant 14 et ceux avec enfant 14 Situat
39. es en produits statistiques Il s agira aussi de d velopper ces outils pour la collecte de donn es 2015 c est dire d am liorer et de modifier les outils en fonction de la demande issue de l IWEPS mais aussi de les personnaliser l attention des partenaires ou selon leurs capacit s utiliser les outils d encodage les former les personnaliser Ensuite l agent APE sera amen se former et d velopper des outils d analyse et d interpr tation des donn es au niveau local ainsi qu proc der au d veloppement d un affinage de ces donn es pour 2016 ce qui permettra d alimenter des groupes de concertation qui ensemble feront ressortir des propositions r alistes et r alisables Un des focus qui sera propos sera sur la question de l h bergement logement et ce dans une optique de parcours et sans faire double emploi avec ce qui se construit d j Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 35 Il L information La volont du Relais Social Urbain de Mons Borinage est de permettre ses partenaires de disposer facilement de l information qui leur soit utile Pour d velopper cet axe de travail l agent APE est principalement charg de gt G rer le site internet du RSUMB l actualiser et le faire voluer gt R aliser la demande des folders d informations sur des sujets divers ex colloques dispositifs En 2013 la gestion de l informatio
40. et les intervenants du secteur puissent tre soutenus et aid s dans leur activit par un intervenant ext rieur e Des moments qui permettent une prise de recul de distance par rapport la r alit quotidienne puisse tre propos s aux institutions et intervenants Objectifs g n raux des supervisions collectives Par l intervention d un intervenant ext rieur il s agit de e Organiser des moments de travail et d change ax s sur Le travail d quipe le bien tre des travailleurs Les aspects organisationnels d une institution Le public b n ficiaire et les difficult s auxquelles sont confront s les intervenants les usagers o L mergence de pistes d action et de travail nouvelles Dans ce contexte il y a des liens qui peuvent tre fait avec le travail de coordination qu est ce que le relais social pourrait mettre en place comme action par rapport des l ments qui seraient ressortis en supervision e Distinction entre formation et supervision Liste des supervisions d j dispens es dans le cadre du RSUMB o Voir document annexe Liste des superviseurs ext rieurs qui sont d j intervenus dans le cadre du RSUMB o Voir document annexe Mode d identification des besoins en termes de supervision o Voir document annexe M thode d laboration et d organisation du programme de supervision annuel o Voir document annexe Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d termi
41. l Escale Nom du projet travail de rue et accueil de jour Subvention octroy e par le RSUMB 130 000 Postes concern s salaire fonctionnement Montants Attribution du subside nom du contractuel postes de d penses Personnel 130 000 1 ETP ducateur gradu 1 ETP animateur de classe 3 2 ETP ducatrice gradu e 2 ETP ducatrice gradu e Fonctionnement N ant P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 2013 au 31 12 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 33 3 du budget de l Escale du projet en personnel Objectif principal assurer l accueil inconditionnel la nuit de toutes personnes majeures se retrouvant sans logement Objectifs g n raux du projet Les objectifs g n raux du travail de rue sont les suivants Obtenir une meilleure repr sentation de la population de la rue Etablir un contact privil gi avec les personnes occupant l espace public et tant en pr carit sociale Aller la rencontre des personnes en grande pr carit fr quentant la rue ou d autres endroits privil gi s et les orienter vers les structures d accueil selon le besoin identifi Etablir un r seau de communication positif avec les commer ants du centre ville Favoriser le travail en r seau Coordonner et maximiser les actions avec les diff rents partenaires afin d apporter une aide concert e et globale R pondre aux signalements des c
42. le r seau d aide alimentaire du RSUMB Esop Cuesmes l Entraide Ghlin les Resto du C ur Mons la maison d accueil Saint Paul Mons Ensemble pour un nouvel Elan Colfontaine le Moulin de Vincent Hornu le Foyer Saint Augustin Mons Assurer la conformit des colis aux normes AFSCA Coordonner un circuit de r cup ration dans les magasins et de redistribution quitable aux ASBL Activit s propos es dans le cadre du projet b n fices attendus Tourn e au moins 5 fois par semaine des magasins alimentaires avec une camionnette frigorifique B n fices r cup ration r guli re des invendus consommables y compris les produits frais difficilement accessibles autrement respect de la cha ne du froid cr ation d un lien durable entre les commer ants et le r seau augmentation du nombre de colis distribuer et de leur contenu Triage des denr es dans un local B n fices redistribution quitable et rapide aux ASBL respect de la tra abilit Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 47 Redistribution aux ASBL B n ficies rapidit augmentation du nombre de distributions de produits frais colis quilibr s Partenaires du projet ESOP Entraide Foyer saint Augustin La ville de Mons Les CPAS de Mons Frameries et Quaregnon Plus value apport e par votre projet dans le cadre de la gestion des difficult s relatives l exclusion
43. les prostitu e s D noncer la paup risation croissante d une partie de la population Revendiquer des rapports plus galitaires entre les hommes et les femmes Activit s propos es dans le cadre du projet 1 Un travail de proximit 20 ans d exp rience dans le milieu de la prostitution nous confortent dans l id e que pour tre efficaces et m riter la confiance des personnes prostitu es nous devons aller leur rencontre sur le terrain et en compl ment du travail sur les lieux de prostitution proposer un lieu d accueil o priment chaleur et convivialit 2 Des projets visant la r duction des risques li s l activit de prostitution Alors que les premi res associations catholiques puis abolitionnistes mettaient toute leur nergie convaincre et aider les femmes quitter la prostitution aujourd hui les travailleurs sociaux ont opt pour une approche moins jugeante et non directive On vise principalement la r duction des risques li s l activit pour faciliter une ventuelle r insertion le moment voulu Pour ce faire nous optons pour la m thodologie suivante Informer sur les modes de transmissions des IST et diffuser les conseils ad quats pour se prot ger utiliser des pr servatifs agr s y compris pour la fellation des lubrifiants base d eau viter les douches vaginales quotidiennes ne pas proc der une douche vaginale en cas de rupture du pr servatif subside Commu
44. mais aussi d agir sur ses limites et inconv nients Amener les participants d gager des l ments objectifs d analyse de leur environnement professionnel qui leur permettront d affiner la position qu il souhaite y occuper l avenir M thodologie Apports th oriques sur la notion de travail en r seau dans le champ de l action sociale et sur son volution actuelle Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 49 Apports pratiques en termes d outils M thodologie participative bas e sur l change et le partage d exp riences entre les participants Public Tout intervenant social int ress par la notion de travail en r seau dans le secteur de l action sociale Dur e Deux journ es Les formations financ es par le RSUMB pour les partenaires Formation au mod le Com Colors Nbre de participants concern s Nombre d heures demand es Objectifs g n raux et op rationnels 14 intervenants psycho m dicaux sociaux 2 fois 7 heures Savoir identifier les diff rentes couleurs de la personnalit Utiliser des filtres de perception et de communication adapt s ses interlocuteurs Savoir g rer son propre niveau d nergie de stress D coder les comportements n gatifs de interlocuteur et savoir y r pondre Etre capable de sortir des relations conflictuelles Savoir satisfaire les motivations profon
45. nombre total de participation aux activit s du RSUMB Hors formation et supervision via un intervenant ext rieur e On constate dans les deux cas une augmentation par rapport 2012 o Augmentation de 8 8 du nombre de participants diff rents o Augmentation de 19 du nombre total de participation e L augmentation significative du nombre total de participations s explique notamment par le fait que nous fonctionnons davantage avec de petits groupes qui se r unit r guli rement groupe de travail groupe projet e A l inverse de 2012 signalons aussi qu en 2013 nous n avons pas organis de colloque conf rence ou encore s ances d information qui rassemble en une activit un plus grand nombre d intervenants Comparaison secteur public priv 200 70 172 162 150 100 E 2012 50 2013 0 Intervenants secteur priv Intervenants secteur public Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 11 Participation Priv Participation Public On constate peu de diff rence entre 2012 et 2013 pour ce qui est du nombre de participants diff rents et de participations total du secteur priv Par contre on observe une progression importante en ce qui concerne le secteur public o Participants secteur public augmentation de 22 o Participations secteur public augmentation de 36 Cette augmentation constat e dans le secteur public s
46. ou de coh sion sociale Sur ce point le logis Saint Ghislainois soulevait o Une absence d organisation pour y parvenir o Une absence de balisage de d finitions des notions d urgence sociale et de coh sion sociale o Une absence de crit res objectifs Dans ce contexte une demande a t formul e au RSUMB afin que ce dernier puisse mener un travail de concertation de r flexion et de balisage entre les 5 soci t s de logement actives sur l arrondissement administratif de Mons Borinage Le RSUMB a accept au regard des l ments suivants o l urgence sociale fait partie des th matiques de travail centrales du Relais social o Le RSUMB a une connaissance des ressources d j existantes en mati re d urgence sociale Il est en effet utile que les dispositions pr vues par l art 23 s inscrivent dans la compl mentarit de ce qui existe d j o lIlyaunint r t particulier du RSUMB pour une dynamique de travail commune l chelle de l arrondissement administratif Les objectifs des rencontres sont o Permettre chaque soci t de logement de s exprimer sur cette modification de l arr t r flexions d j men es pistes envisag es cueils viter o D gager des pistes de travail envisageables par rapport cet article 23 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 40 o De faire une proposition de d finition de ces crit res commune tous les
47. partenaires et en lien avec la grande pr carit et l exclusion sociale gt Supports didactiques notamment l attention du Relais Sant ex poster sur le lavage des mains gt Supports administratifs dans les communications internes ex fiche hospitalisation du Relais Sant mettre disposition des services o il effectue des permanences infirmi res gt Supports informationnels didactiques sur les dispositifs ex plan organisationnel Plan Grand Froid gt Etc En 2014 l agent APE poursuivra son action de soutien des partenaires dans l organisation et la r alisation de support d informations en lien avec le RSUMB 1 Ce site Internet a pour vocation de d velopper la qualit des orientations et des prises en charges des publics en grande pr carit notamment s ils prouvent des difficult s en mati re de logement ou d h bergement en favorisant la qualit des savoirs des op rateurs pour qu ils puissent les transmettre leurs publics Il leur propose aussi de pouvoir situer ces informations dans un contexte de travail en r seau en leur proposant une explication sur le ficelage et les limites du r seau en leur proposant des outils de renforcement de leurs pratiques et de leurs projets et de d velopper enrichir leurs connaissances De mani re secondaire il veut permettre toute personne en difficult s sociales de trouver directement sur la toile les premi res orientations possibles pour trouver de l ai
48. partenariats e Enallant la rencontre des autres services pour leur pr senter nos diff rents projets e En nous ins rant dans des groupes de travail et de r flexion Plus value du projet Le travail quotidien au contact des personnes prostitu es d montre qu il y a une demande de la part de notre public qu Espace P soit pr sent sur Mons et se d place sur les lieux de prostitution Pour ce public la pr sence d Espace P est une plus value en termes de reconnaissance de soutien et d accompagnement Espace P permet d approcher le ph nom ne prostitutionnel montois sous un autre angle que celui exclusivement judiciaire contr les de Police et de l Inspection des lois sociales Cette diversit d approches apporte une plus value deux niveaux e d une part au niveau de la collectivit le b n fice d une approche multidisciplinaire d un ph nom ne soci tal n est plus d montrer e D autre part au niveau du public cibl la pr sence d Espace P est per ue comme rassurante face au traitement exclusivement judiciaire de la question prostitutionnelle qui existait jusque l Mons La pr sence d Espace P permet d ouvrir la question de la prostitution Mons tant aupr s des travailleurs sociaux qu aupr s du citoyen Briser le silence qui entoure le ph nom ne prostitutionnel est d j un pas vers un changement des mentalit s et vers une d stigmatisation de la personn
49. r unissant les Services d insertion sociale priv et public de notre arrondissement e l harmonisation et formalisation des pratiques de base entre institutions attribution d adresse de r f rence enqu te sociale en mati re d aide alimentaire conventions de collaboration e L accompagnement de petites ASBL Cap avenir Jeunes e L apport de notre expertise en mati re de m thodologie du r seau coaching de la coordination du projet 107 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 54 VII Le financement de projets En 2013 nous avons financ 12 projets dont 7 structurels L enveloppe projets contient pour 2013 Service C P A S de Mons D U S M dias Relais Picardie RSUMB MA Saint Paul RSUMB C P A S Mons VIF C P A S Mons C P A S de Mons 733 880 41 Objets des demandes Personnel P et Total r dig s par les fonctionnement f demandeurs Dispositif d urgence P 170 115 52 212 415 52 sociale 3 ETP AS frais de garde F 42 300 Dispositif mobile grande P 48 788 09 48 788 09 HE 34 ETP A1 pr carit amp sant ETP universitaire mentale Relais de Mons poste P 23 000 23 000 accueil d veloppement de projets collectifs Assistante administrative P 25 236 91 25 236 91 v2 ETP gradu Post h bergement P 19 300 19 300 Educateur moins l intervention de R gion Wallonne Coordina
50. relais social connaissent aussi les institutions de ce secteur et soient amen s travailler avec eux Les textes l gaux rappellent d ailleurs les finalit s auxquelles nous devons contribuer Rompre l isolement Permettre une participation la vie sociale conomique politique et culturelle Promouvoir la reconnaissance sociale Am liorer le bien tre et la qualit de vie et Favoriser l autonomie e Dans le cadre du centre d appui il y a peut tre une distinction apporter en termes de public selon nos axes de travail o Financement projet formation sans pour cela faire l conomie de la recherche de subventionnements autres que ceux de la Wallonie avec l enveloppe projet et la partie de l enveloppe fonctionnement r serv e la formation nous faisons le choix de nous centrer sur les missions et le public le plus souvent prioris par les relais sociaux du fait de leur positionnement principal dans une grande ville les personnes sans abri c est dire A LA RUE o Pour les autres types de missions comme l observatoire la concertation la coordination l information la participation aux autres r seaux il est utile et n cessaire dans un souci de prise en charge globale du public que nous travaillons avec un r seau de partenaires plus largi e Le fait que le relais social largisse ses th matiques de travail s explique aussi par le fait que tout un maillage institutionnel existe suite au travail men d
51. souhaitons mettre en place un dispositif de r cup ration et de redistribution d invendus alimentaires Le Relais Social Urbain de Mons Borinage avec le soutien de la Ville de Mons du CPAS de Mons et des enseignes Carrefour et Delhaize s engage apporter une approche f d ratrice et utile face au gaspillage alimentaire Un nouveau service int gr et collaboratif de r cup ration d invendus alimentaires et de redistribution aux structures qui sont partenaires du Relais Social Urbain de Mons Borinage ayant pour mission l aide aux personnes en situation pr caire sera lanc d ici quelques semaines Une r alit En Belgique le nombre de b n ficiaires du droit au revenu d int gration sociale est actuellement en l g re hausse alors qu il s tait stabilis au cours des 9 premiers mois de 2012 A Mons Borinage entre 2011 et 2013 on est pass de 1406 personnes diff rentes ayant pu b n ficier de colis 1739 en 2013 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 46 Face ce constat nous avons voulu mettre sur pied un projet qui f d re les autorit s publiques les ASBL la banque alimentaire et les enseignes alimentaires Concr tement cette initiative soci tale qui allie les ressources locales vise r colter au sein de diff rentes enseignes les denr es alimentaires consommables et les redistribuer de mani re quitable au sein de diff rentes ASBL de Mons B
52. t l phonique o D une d marche collective Lors d une r union collective un colloque Par rapport une demande l gitimit ou non du relais e Questions se poser pour voir si le RSUMB peut r pondre la demande Voir liste des crit res travail en r seau RSUMB Est ce que cela rentre dans nos missions Est ce que cela correspond au public cible du RSUMB Est ce que nous en avons le temps Est ce que nous en avons les moyens humain mat riel O 0 Une autre institution n est elle pas plus comp tente Si non l gitimit du RSUMB e Recherche autre s institution s comp tente s et r orientation Si L gitimit du RSUMB e Analyse du besoin avec service s demandeur s Document analyse du zi f besoin et proposition e Proposition offre RSUMB via centre d appui RSUMB e Validation du besoin sommes nous bien d accord e Analyse en quipe si doute information Validation de l offre de service e Validation formelle par l quipe e Validation formelle par l institution l intervenant demandeur o Pourquoi Pour s assurer que tout le monde est d accord avec ce qui va tre fait o Comment En utilisant le document analyse du besoin et proposition offre r alis pr alablement Vient ensuite la r alisation d une fiche projet document de travail qui permettra de voir l volution du projet document volutif qui sera enrichi de mani re perm
53. un service ext rieur 83 113 Nombre d utilisateurs diff rents par sexe 425 hommes 307 femmes Primo arrivants 70 primo arrivants 35 hommes et 35 femmes Nombre d utilisateurs diff rents par cat gories d ges Hommes ginconu SN 134 60ansetplus E 3 55 59ans MN 15 50 54ans 6 45 49 ans D 13 40 44ans D 25 3539ans OO 61 3034ans OO 60 2529ans OO 54 18 24 ans et mineurs mancip s DO 51 JE O 20 40 60 80 100 120 140 160 Femmes Total des femmes ge inconnu 60 ans et plus 55 59 ans 50 54 ans 45 49 ans 40 44 ans 35 39 ans 30 34 ans 25 29 ans 18 24 ans 114 Nombre d utilisateurs diff rents par types de m nage Tous inconnus Nombre d utilisateurs diff rents par nationalit De nationalit inconnue Etrangers hors UE Etrangers UE 100 150 200 250 300 Nombre d utilisateurs diff rents par titre de s jour 558 utilisateurs trangers Sans information sur le titre de s jour Sans titre de s jour Avec une demande en cours de titre de s jour Avec un titre de s jour O 50 100 150 200 250 300 350 Nombre d utilisateurs diff rents par revenu principal Tous inconnus 115 Situation du logement h bergement la semaine pr c dant la rentr e Tous inconnus Nombre d utilisateurs par difficult s rencontr es Nombre total d utilisateurs diff rents pour lesquels l information difficult
54. vers service Aide juridique sans orientation n cessaire sans orientation possible par manque d offre de service sans demande d orientation dont orientation est inconnue GNG S OS 0600 o vers service Autres vers service Aide mat rielle vers Service sp cialis assu tudes vers service Soins de sant mentale vers service soins de sant physique vers service d Aide emploi formation vers mutuelle vers police vers DUS vers services d aide au logement vers H bergement Abri de nuit ou HU vers H bergement Maison d accueil 20 40 60 80 100 120 140 160 Nombre d utilisateurs orient s par H bergement maison d accueil 0 Nombre d utilisateurs orient s par un service d aide au logement Nombre d utilisateurs orient s par un autre service du CPAS Nombre d utilisateurs orient s par une mutuelle Nombre d utilisateurs orient s par un service migration Nombre d utilisateurs orient s par un service prostitution Nombre d utilisateurs orient s par un service aide financi re Nombre d utilisateurs orient s par un service aide administrative Nombre d utilisateurs orient s par un service Aide emploi formation Nombre d utilisateurs orient s par un service d accueil de jour C EES SS NS Nombre d utilisateurs orient s par un SIS 0 Nombre d utilisateurs orient s par
55. viter toute stigmatisation du public 141 C Perspectives En 2014 pour poursuivrons chaque activit s nonc e dans le pr sent rapport Notre but est de perfectionner et de renforcer certaines de nos comp tences pour le Centre de coordination d Appui afin qu il soit plus utile encore tous les services et par contre coup aux b n ficiaires Trois nouvelles activit s sont pr vues Un dispositif performant et durable d aide alimentaire Des logements pour un projet Housing First Un dispositif capteur logement 142 143
56. 10 15 20 85 Situation familiale inconnue Situations familiales autres e Vivant en couples avec enfants Isol s avec enfant 34 Vivant en couples sans enfants mr 35 149 o 20 40 60 80 100 120 140 160 E S rie1 Etrangers hors UE i 4 Ftrangers UF w 10 ens E Revenu inconnu SSSR 2 Autres types de revenus Sans ressource financi re Allocations aux personnes handicap es Indemnit s de mutuclle ou maladic Pension de relraile RIS ou d une autre aide sociale Allocation de ch mage Revenus professionnels 40 60 80 100 120 1 BE 2 EH B 20 l2 E EM l 1 0 20 40 60 80 100 120 E S riel 86 En logement priv En logement social public i En logement d urgence de transit d insertion En logement AIS En rue 22 Log s en famille chez un tiers 8 Caravane 0 En squat 11 En voiture tente 5 H bergement d urgence 46 Maison d accueil 1 Prison 0 H pital g n ral 1 H pital psychiatrique centre de cure ou de postcure 2 Centres pour demandeurs asile 0 En institution Autres 1 Autres endroits hors institution 0 Logement h bergement inconnu 103 Lieu de r sidence inconnu Issus d un autre pays Issus d un pays transfrontalier Issus de la r gion de Bruxelles Issus de la r gion flamande Issus d un autre arrondissement wallon
57. 6 B Relais sant 132 4 Perspectives 142 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 2 Introduction Le Relais social urbain de Mons Borinage lutte contre la grande pr carit et travaille au b n fice des plus pauvres Il repr sente un r seau de services plus de cinquante aujourd hui et un centre d appui pour les professionnels du psycho social Notre offre un relais sant un observatoire des formations de l information l accompagnement le financement et le soutien la cr ation de projets des concertations la coordination de dispositifs Son action se r partit sur les 13 communes de l arrondissement de Mons et l quipe se compose de 6 personnes avec des profils diff rents et adapt s nos offres e Une coordinatrice g n rale pour la gestion de l Association et la coordination de tous les p les du Centre d appui e Une assistante de direction pour l administratif et la comptabilit e Un coordinateur adjoint charg du Borinage et des Hauts Pays e Une charg e de mission pour l observatoire l information et les plans saisonniers e 2 infirmi res composant le Relais sant C est une dynamique de r seau qui fait avancer nos actions et engendre des r sultats visibles en termes d accompagnement des personnes fragilis es Cette dynamique et son impact en 2013 vous sont d crits dans le pr sent rapport Rapport d valuation et d activit s
58. IST la contraception la traite des tres humains les techniques de self d fense la d pendance affective Nous avons recueilli des brochures d informations sur ces diff rents th mes et les services locaux existants Toutes ces brochures sont disponibles notre permanence d accueil et r guli rement distribu es lors de notre travail de terrain Faciliter l acc s aux d pistages gratuits et anonymes du sida de la syphilis des h patites B et C ainsi que des autres IST Gonorrh e Chlamydia Nous effectuons syst matiquement ces d pistages sanguins et gyn cologiques dans le cadre de notre projet sant subventionn par l INAMI En dehors de ce cadre nous r orientons notre public vers le CHU Ambroise Par ou le Relais Sant de Mons Sensibiliser notre public la vaccination contre l h patite B et l importance d un suivi gyn cologique ad quat En collaboration avec des m decins nous assurons des vaccinations contre l h patite B raison de 6h semaine Faciliter l acc s au mat riel de pr vention pr servatifs lubrifiants ponges Ce mat riel est distribu syst matiquement lors de notre travail de terrain et est accessible notre permanence d accueil Faciliter acc s une aide sociale individuelle e Nos permanences t l phoniques et d accueil permettent aux personnes prostitu es de solliciter notre intervention e Nos tourn es de terrain son
59. Pour les statistiques d accueils et de population voir la partie quantitative du pr sent rapport tableaux IWEPS 93 Lien entre l abri de nuit et l abri de jour Institution Service l abri de nuit du CPAS de Mons Nom du projet lien entre l abri de nuit et l abri de jour l Escale Subvention octroy e par le RSUMB 41 766 71 Postes concern s salaire fonctionnement Personnel 41 766 71 1 ETP ducateur A1 Fonctionnement n ant P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 2013 au 31 12 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 11 budget en personnel de l accueil de nuit 11 du budget pour le projet en personnel pour l Escale Objectifs g n raux du projet Affecter au centre de jour un travailleur social exp riment et volontaire ayant une connaissance approfondie des structures mises en place par le CPAS et le r seau d aide aux personnes sans abri tout en maintenant une participation active l abri de nuit Par son exp rience le travailleur poss de des outils pour approcher les probl matiques des personnes accueillies au sein des deux services Par sa double affectation il est le garant de la coh rence de l action sociale du CPAS et surtout il est pour les personnes aid es une r f rence entre les services d accueil de jour et l abri de nuit Maintenir et am liorer la qualit du r seau qui s est construit au
60. Utilisation du service Nombres de jours effectifs d ouverture Nombre de contacts par e mail Nombre de contacts en d placement Nombre de contacts par t l phone Nombre de contacts au bureau institution hors permanence Nombre de contacts par permanence sociale ou m dicale Nombre de contacts par un autre m dia Nombre de contacts dont le m dia est inconnu Nombre d entretiens individuels en face face Nombre d activit s collectives organis s en interne ou en collaboration Nombre de participations aux activit s collectives organis s en interne ou en collaboration Nombre de permanences sociales ou m dicales Nombre d accueils aux permanences Nombre d interventions m dicales ou param dicales kin psy logo inf Nombre d interventions sociales Nombre d accompagnements physiques pour le m dical ou social Nombre de vaccins et de d pistages Nombre d autres interventions Nombre de r unions avec les partenaires les r seaux Totaux annuels 2013 31 434 261 14 0 0 448 2 TTL LIT LI LILI I LILI LIST I TITI TITI LIT 7 7 LOTO LRO LOTO LOL OO LP LOTO 58 300 241 54 Objectifs valuation Les objectifs op rationnels du projet subventionn voir cahier des charges I Sont ils rencontr s 109 Oui3 Comment Non Pourquoi Faciliter l acc s l information sur les drogues les
61. aire Nombre d utilisateurs orient s par un service Aide aux victimes de violence Nombre d utilisateurs orient s par un service juridique Nombre d utilisateurs orient s par un Service autre Nombre d utilisateur orient s par un service Inconnu Offre de ue F vrier Mars Juin Juillet Aout Septembre Oftobre Novembr service r e e D cembre Nombre moyen par 12 12 12 12 12 12 12 12 12 mois Nombre de lits en 8 8 8 8 8 8 8 8 8 abris de nuit homme Nombre de lits en 4 4 4 4 4 4 4 4 4 abris de nuit femme Nombre de lits en abris de nuit 0 0 0 0 0 0 0 0 0 modulable Nombre de lits hors 0 0 0 0 0 0 0 0 0 abris de nuit homme Nombre de lits hors 0 0 0 0 0 0 0 0 0 abris de nuit femme Nombre de lits hors abris de nuit 4 4 4 4 4 4 4 4 4 modulable Nombre de lits hivernaux en abris 8 8 4 0 0 0 0 0 4 de nuit homme Nombre de lits hivernaux hors abris 4 4 2 0 0 0 0 0 2 de nuit homme Nombre de lits hivernaux en abris 0 0 0 0 0 0 0 0 0 de nuit modulable Nombre de lits hivernaux hors abris 0 0 0 0 0 0 0 0 0 de nuit homme Nombre de lits hivernaux hors abris 0 0 0 0 0 0 0 0 0 de nuit femme Nombre de lits hivernaux hors abris 0 0 0 0 0 0 0 0 0 de nuit modulable Utilisation aS F vrier Mars Juin Juillet Aout Septembre AORT ds D cembre 65 36 23 2 D N
62. anente e El ments du doc analyse du besoin besoin offre Objectifs du projet t ches planification e Retours d exp rience ce qui fonctionne bien moins bien Evaluation interm diaire finale Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 20 Fiche 2 Observatoire RSUMB Pourquoi un observatoire dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions nous devons e Pouvoir identifier et analyser en permanence les besoins du secteur e Faire remonter la parole et les observations issues du terrain e Objectiver certains constats pr occupations probl matiques e Permettre nos partenaires d avoir des rep res communs e Permettre nos partenaires d avoir des donn es qui d passent leur seule institution mais qui concerne leurs b n ficiaires e Tendre un maximum vers une vision globale et transversale de la grande pr carit dans notre r gion e Contribuer via des donn es objectives l valuation de projets actions e interpeller les pouvoirs publics comp tents e Argumenter quant la mise en place d un projet ou d une action Objectifs actuels de l observatoire RSUMB e R colter les donn es quantitatives et qualitatives utiles en mati re de grande pr carit sur l arrondissement administratif de Mons Borinage e Traiter et analyser les donn es recueillies e Effectuer des comparatifs d ann es en ann es e Int gre
63. ant de savoir ce qu il advient des personnes au del de l intervention du DUS La dur e d occupation du logement d urgence A ce niveau peut tre serait il utile de se pencher nouveau sur le travail statistique et la r colte des donn es pertinentes Nombre d interventions par mois Nombre intervention par mois m Nombre intervention par mois Remarques Entre octobre 2012 et octobre 2013 nous constatons des fluctuations importantes et peu de stabilit en termes de nombre de demandes On observe notamment certaines p riodes o le p le a tr s peu t sollicit comme par exemple o Entre f vrier et avril 2013 3 demandes o Entre juillet et ao t 2013 0 demande Une forte pointe au mois de novembre 2013 avec 7 interventions 79 Sion part du principe que la p riode hivernale s tale du O1 novembre au 31 mars on peut constater que le p le a davantage t sollicit durant cette p riode 16 interventions contre 10 hors p riode hivernale Nombre d interventions par CPAS CPAS intervenant E Quaregnon B Boussu E Frameries Remarque C est le CPAS de Quaregnon qui est intervenu le plus souvent entre octobre 2012 et octobre 2013 Ce dernier a durant cette p riode effectu 46 des interventions pour 38 pour le CPAS de Boussu et 16 pour le CPAS de Frameries Le chiffre moins lev pour le CPAS de Frameries s explique par le fait que ce dernier est toujours en
64. ation de la situation socio conomique locale De l information sur l actualit professionnelle l harmonisation de pratiques Le renforcement des comp tences La mise en commun et l articulation de dispositifs Des actions interservices efficaces r pondant aux besoins des b n ficiaires Aai ais Pour l quipe du Relais social Une image plus claire aupr s des nouveaux services nouveaux partenaires L augmentation du nombre de sollicitations de nos partenaires autour des sept axes du centre d appui Une meilleure connaissance des services que propose le relais social Une image du relais davantage ax e sur l appui le soutien plut t que sur le contr le Une analyse objective de la situation socio conomique locale Un attrait des intervenants pour les concertations s ances d infos colloques que nous organisons Une r organisation interne de l quipe ax e sur le service au r seau Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 17 Pourquoi ce travail e Nous voluons tous les jours nous adaptons nos offres l volution de la pauvret locale Nous avions la volont de formaliser notre fonctionnement notre action bo te noire e Il nous est r guli rement malais de pr senter en mots simples ce que nous faisons Le Centre permettra de mieux communiquer sur notre travail en interne en externe e De ce fait il nous semblait galement n
65. ation des comp tences acqu rir renforcer Le site Internet du RSUMB e Objectifs g n raux du Site Internet o Permettre de communiquer sur les activit s du RSUMB et de son r seau de partenaires o Mettre en ligne des documents utiles aux partenaires Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 27 o Permettre aux partenaires de communiquer une information au RSUMB et ses partenaires o Permettre au citoyen d obtenir des informations utiles en mati re d aide aux personnes en pr carit dans notre r gion Pr senter les projets o Pouvoir acc der rapidement aux coordonn es de nos partenaires Evaluation du site Internet o Voir document annexe Adaptation site Internet au centre d appui o Voir document annexe e R partition t ches alimentation site o Voir document annexe Indicateurs et valuation Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e identification des comp tences acqu rir renforcer Le mailing e Objectifs g n raux du Mailing o Transmettre rapidement une information par email des intervenants groupes d intervenants bien identifi s e Base de donn es commune en mati re de contacts o Voir document annexe e D finition du mode de transmission des infos e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel b
66. ations entre les services d aide g n rale confront s de mani re ponctuelle des situations de violence conjugale et les services sp cialis s dans la prise en charge de ce type de situations e Soutenir les intervenants de premi re ligne quand une situation d h bergement pour personne victime de violence se pr sente e Pour cela le groupe travaille la r alisation d un guide m thodologique l intention des travailleurs sociaux non sp cialis s et d une s ance d information autour de cet outil Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 38 Suite une sollicitation de la Belgian Homeless Cup http www belgianhomelesscup be nous avons d velopp et coordonnons l chelle locale un projet de r insertion par le sport pour les personnes sans abri et ou en difficult de logement Dans ce contexte le centre d accueil de jour l Escale la maison d accueil Saint Paul le CPAS de Mons la ville de Mons le RAEC Mons et l ASBL Acc s sport sont nos partenaires Dans le cadre de ce projet nous avons en 2013 e Constitu une quipe de foot compos e de personnes qui sont en centre d accueil de jour ou en maison d accueil e Organis un syst me d entrainement hebdomadaires e Particip des manifestations organis es dans le cadre de la Belgian Homeless Cup stage r sidentiel Nous sommes impliqu s dans le PCS de 6 communes pr sentes su
67. autre 5 H 32 h bergement O 100 200 300 400 500 600 700 800 Tous 218 sont venus spont n ment UTILISATION DE SERVICE Totaux Offre de service annuels 2013 Jours de maraude 195 Contacts hommes 685 Contacts femmes 139 Contacts d approche et d informations 769 Ecoutes 671 Relais et dispatchings 151 Accompagnements physiques 29 Suivis et prises en charge 202 Autres interventions 23 89 Chapitre IV Partie qualitative IV 1 Situation de d part De mani re g n rale le Relais social urbain de Mons Borinage a constat voir l volution des statistiques partie coordination et partie quantitative que certains besoins taient partiellement rencontr s et m ritaient une r organisation minimale du RSUMB Nous constations en termes de besoins Que les b n ficiaires o Arrivaient dans les structures de plus en plus jeunes et d structur s Que les difficult s rencontr es taient de plus en plus complexes o Que la sant mentale ne pouvait pas tre dissoci e des difficult s quotidiennes rencontr es par les usagers o Que l accompagnement domicile tait une condition sine qua non la r ussite d un relogement o Que l accueil de jour et de nuit avaient besoin de diversifier leur offre pour s adapter cette population o Que l aide mat rielle tait indispensable aux plus pr caires mais que pour certains on ne pouvait entrevoir une am li
68. autres r seaux dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important e De tenir compte de l volution actuel du travail social et de l mergence croissante de nombreux r seaux d institutions e D viter le cloisonnement entre secteurs grande pr carit sant mentale aide la jeunesse coh sion sociale e De repr senter le secteur de la grande pr carit et notre r seau de partenaires l chelle locale e D apporter notre expertise en mati re de pr carit dans les diff rents espaces de concertation existants Objectifs g n raux e Participer aux diff rents r seaux existants sur Mons Borinage et Hauts pays et pour lesquels il y a des liens avec le secteur de la grande pr carit e Impulser et collaborer la mise en place d actions d autres r seaux en lien avec le th me de la pr carit e Apporter le point de vue et l expertise du relais social en mati re de pr carit dans les autres r seaux Liste des r seaux auxquels nous participons o Voir document liste des r seaux actions men es dans ces r seaux Evaluation et indicateurs Identification des comp tences acqu rir renforcer Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 33 c Les actions du Centre de coordination et d appui l L observation En collaboration des relais sociaux de lIWEPS et du Service Public de Wallo
69. bre d entretiens individuels en vue de d marches sociales co Nombre d entretiens de suivi prise en charge 35 Nombre d interventions post hospitalisation postcure Nombre d interventions pour situation de crise Nombre de soutien aux services Nombre de concertations Nombre de participants aux concertations Nombre de formations supervisions des travailleurs 11 10 Nombre de participants aux formations supervisions des travailleurs 18 32 27 31 15 Nombre de cr ation de projets mis en place et en cours d laboration 126 IV 3 Evaluation de la coordination g n rale A La coordination g n rale Un regard sur ces quatre derni res ann es 2010 2013 2010 2011 pour Mons poursuite des concertations d bats d id es conf rences techniques et formations o Concertation en aide alimentaire personnes chaotiques accompagnement domicile logement d cent urgences sociales et h pitaux o Un regard pos par des personnes en grande pr carit sur les institutions psycho m dico sociales 3 th mes sans papier sans attente participatif sans toit o 3 matin es de r flexion sur le logement o Formations en accompagnement en gestion de l argent et encadrement de b n voles o Supervision du dispositif d urgence sociale de jour de l abri de nuit et de l Esca
70. chiatrique sur 2 dans la r gion 2 centres de sant mentale provinciaux Pour le secteur priv Partenaires Sur nombre total pour l Arrondissement Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 6 3 maisons d accueil 3 3 3 h pitaux priv s 3 3 2 plannings familiaux 2 3 1 SPAD 1 1 1 HP 1 1 2 maisons m dicales 2 3 6 associations d aide alimentaire 6 8 3 associations li es directement aux assu tudes 3 3 2 APL 2 3 2 soci t s de logements sociaux 2 4 1 association s occupant de personnes prostitu es 1 1 2association VIF 2 3 2 services sant 2 4 5 services g n ralistes 1 restaurant social 1 1 1 picerie sociale 1 5 1 centre de sant mentale 1 3 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 7 Chapitre II Rapport de la Coordination Ce chapitre pr sente 4grands points 1 Notre public cible 2 La participation du r seau 3 Notre organisation en centre de coordination et d appui L observation L information La concertation La coordination de dispositif La formation supervision Le soutien logistique Le soutien et financement de projets przrnahs 4 Le relais sant Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 8 1 Notre public cible Suite aux diff rentes discussions li es l
71. comit s d attribution et de pr senter une liste de situations que l on pourrait mettre dans la cat gorie urgences sociales Les rencontres se font toutes les 6 semaines pour des changes de pratiques des informations sur l actualit les nouvelles circulaires de l AFSCA le partage des ressources camionnette surplus alimentaire Nous nous tenons inform s du contenu les r unions au Cabinet d Eliane Tilleux sur le sujet et nous r agissons Nous travaillons en collaboration avec la Banque Alimentaire de Tournai En 2013 Les r unions 2013 ont t consacr es la pr paration d un projet de r cup ration d invendus dans les supermarch s 3 ASBL et 3 CPAS de l arrondissement se sont associ s pour mettre en place un dispositif sous l gide du Relais social Chacun y a mis des ressources Le Relais social y a apport sa comp tence en mati re de cr ation de projet m thode PRINCE2 et a proc d une recherche de fonds Le projet sera mis en uvre en 2014 gr ce notre enveloppe projet un gestionnaire des charges et du mat riel via le CPAS de Mons au Plan Grandes Villes travaux de mise en conformit AFSCA dans un entrep t de stockage achat d une camionnette frigorifique le CPAS de Mons 2 postes article 60 subvention major e un entrep t les CPAS de Quaregnon et Frameries 2 postes articles 60 subvention major e ESOP le Foyer saint Augustin et l Entraide de Ghlin du mat
72. commun dans la prise en charge et l accompagnement des personnes confront es une situation de crise e Aider les institutions d gager collectivement des pistes de solution autour d une situation complexe e Soutenir des institutions qui se trouvent dans une impasse dans la prise en charge et l accompagnement d une situation e Soutenir m thodologiquement et logistiquement la d marche de coordination entre intervenants concern s par une m me situation en sachant qu il est souvent complexe d tre en m me temps op rateur et initiateur d une d marche de coordination D finition des conditions pr alables l organisation d une coordination individuelle e l doit s agir d une situation de crise e Cela doit concerner le public cible du RSUMB savoir public en grande pr carit e La demande doit tre formul e par un de nos partenaires e Il doit y avoir un constat d impasse Modes d intervention et d animation Voir document bo te outil animation conduite de r union Objectifs d une coordination institutionnelle table ronde e D gager des pistes de solutions une situation sociale difficile e Organiser le suivi des r ponses apporter Evaluation et indicateurs e Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e Satisfaction des participants e Satisfaction des b n ficiaires e Emergence de pistes de solution D finition du r le du RSUMB e
73. d ateliers formations Au besoin Atteint l attention des usagers ou des quipes pour les sujets la demande ex IST hygi ne parasitoses pathologies mesures en cas de canicule Promouvoir la pr vention et l ducation gt Evaluer la pertinence et l urgence des sujets r unions de Atteint la sant demand s pour des ateliers formations ex concertation avec les collaboration avec RAMBO pour des animations sur partenaires les assu tudes avec un planning familial pour des animations sur les IST et contraception R aliser mettre en place et g rer la 138 R aliser des d pistages pour les IST Assurer le lien en mati re de sant entre le gt D velopper de nouveaux ateliers selon les difficult s rencontr es et de nouveaux moyens d animation et de communication ex ateliers sur la fi vre la douleur le sommeil s ances d haptonomie en collaboration d un planning familial Intervenir dans le d pistage des IST notamment en demandant l intervention du planning familial Au besoin et selon le type de pathologies qui n cessitent d une information et traitement rapide Au besoin 2 3 s ances mois d haptonomie en maison maternelle A la demande de l usager ou des partenaires au constat Atteint Atteint Atteint centre de jour l Escale et l abri de nuit Participer aux r unions et aux supervisions
74. d cembre 2012 En 2012 74 personnes diff rentes ont t suivies Tr s longtemps ils ont assur cette guidance avec un seul ducateur sous statut A P E pour le volet ducatif et avec le soutien des assistants sociaux de la maison d accueil pour le volet social En 2009 ils ont d tach une assistante sociale mi temps pour faire face au nombre de b n ficiaires qui a doubl en quelques ann es A partir de 2010 ils ont re u l agr ment de la R gion Wallonne pour assurer la guidance post h bergement sur base de l article 35 de l arr t du Gouvernement Wallon du 03 juin 2004 sur les maisons d accueil Cet agr ment donne droit une subvention annuelle forfaitaire de 20 000 indexer pour couvrir les frais de salaire et de fonctionnement d un ducateur temps plein Ils doivent donc trouver ailleurs le financement du solde soit environ un mi temps Les objectifs g n raux Installation de la personne dans son nouveau logement Logement priv ou logement communautaire g r par la Maison d accueil Saint Paul Nous disposons de 2 maisons particuli res avec jardin situ es Mons offrant un logement communautaire supervis de type logement d insertion ou de transit Nous envisageons d am nager deux autres maisons en logements individuels d insertion Continuation du travail entrepris dans la maison d accueil au niveau de la r gularisation des probl mes administratifs financiers l gaux familiaux sociaux
75. de rapport d activit s 2010 p 10 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 36 III La coordination entre services Au del des rencontres consacr es la r flexion et aux d bats d id es les r unions partenariales et autres groupes de travail th matiques permettent e l identification de difficult s communes recherches de pistes et solutions cr ation de ressources e la cr ation de r pertoires personnalis s e des actions communes campagnes e le d blocage de situations de crise complexes par la mise en place d intervisions qui s appuient sur l activation sp cifique du r seau m thodologie particuli re En 2013 Etant donn que 12 des 13 CPAS de notre arrondissement administratif sont partenaires du RSUMB nous organisons r guli rement des rencontres Inter CPAS sur des questions et des probl matiques li es la grande pr carit En 2013 nous avons maintenu notre action et ce dans un souci de coordination entre CPAS et d harmonisation des pratiques Apr s une ann e 2012 ax e sur la question de la d livrance des attestations sans abri voici les travaux qui ont t men s en 2013 e Suite et fin du travail autour de l inscription en adresse de r f rence au sein d un CPAS o R alisation d une convention de collaboration utilis e dans le cadre d une inscription en adresse de r f rence o R alisation d un guide m thodologique
76. de femmes victimes de violence Institution Service Service Violences Intrafamiliales VIF du CPAS de Mons Nom du projet Structure d h bergement d urgence pour femmes victimes de violences Subvention octroy e par le RSUMB 20 796 61 Postes salaire fonctionnement concern s 1 2 ETP Assistante Sociale avec 2 ans d exp rience Montants Attribution du subside nom du contractuel postes de d penses Personnel 20 769 71 7 ETP assistante sociale Fonctionnement N ant P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 2013 au 31 12 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 6 du personnel 7 ETP AS sur 2 ETP Psychologues 1 ETP Assistante Sociale 5 ETP Educateurs Constat s de d part ayant eu pour effet la cr ation du projet financ par le RSUMB Constats quantitatifs Les travailleurs de premi re ligne sont souvent confront s la difficult d h berger en urgence ces femmes victimes de violences vu le peu de place disponibles dans les maisons d accueil Constats qualitatifs L int gration de l assistante sociale a permis de compl ter l accompagnement des femmes victimes de violences conjugales de r pondre aux demandes d aide pour les d marches sociales sp cifiques et ainsi introduire les dossiers pour leur remise en ordre administrative sociale et financi re Les appartements d urgence permettent aux femmes avec o
77. des de nos interlocuteurs Comprendre son fonctionnement propre pour g rer son temps et son potentiel Conna tre les r les dans une quipe performante son Formation pour professionnels et b n voles plusieurs institutions diff rentes et ou professionnels du psycho social Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es Maximum 14 Minimum 16 Objectifs g n raux volontaires de heures R fl chir ma place dans mon institution et dans le r seau Evaluer les comp tences acqu rir au sein de mon institution et du r seau Supervision d une quipe d ducateur de rue et accueil de jour Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 50 Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es 10 ducateurs 16 heures Renforcer la coh sion d quipe 1 assistant social 1 infirmi re 1 psychologue Pr ciser et affiner le projet th rapeutique D finition d une posture ducative commune Disposer d outil adapt la prise en charge du public Veiller une prise en charge optimale des usagers M thodologie du projet Gestion des conflits de l agressivit de la violence Lot 4 supervision de l quipe d accompagnement pour le logement CPAS Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participan
78. du Relais social urbain de Mons Borinage page 3 Chapitre I Pr sentation g n rale 1 L quipe LE RELAIS SOCIAL URBAIN DE MONS BORINAGE Marc Barvais pr sident Lysiane Colinet Coordinatrice g n rale Eric Ghyot coordinateur adjoint Sandra H naut assistante de direction Julie Bernus charg d tude du PGF de l observatoire et de l information Nathalie Van Vreckem coordinatrice Relais sant Pascale Belfiore infirmi re relais sant 2 Contexte L arrondissement de Mons se compose de treize communes 250 00 habitants Pour la plupart d entre elles la situation socio conomique est loin d tre r jouissante Voil pourquoi nous avons pris l initiative il y a ans de travailler avec l ensemble des communes et pas seulement sur Mons Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 4 SAINT GHISLAIN HONNELLES 3 Rappel des finalit s et missions Le RSUMB a pour finalit d apporter plus et de meilleures r ponses la grande pr carit et l exclusion sociale en utilisant le travail en r seau Ses missions sont d finies dans le second chapitre du pr sent rapport Elles se divisent Mons en 8 axes L observation L information La concertation La coordination de dispositif La formation supervision Le soutien logistique Le soutien et financement de projets Le Relais Sant TOTMOQ 4 Construction du r seau et transversalit
79. e 13 Nombre b n ficiant d allocations de MEN 5 Nombre avec revenus d inc pendant 0O Nombre avec revenus salari s O Nombre d tudiants 0 o 2 4 6 8 10 12 14 16 Nombre en logement priv 19 Nombre en logement social public 7 Nombre en logement de transit d insertion 1 Nombre en logement AIS Nombre en rue 2 Nombre en squat garage abri de jardin 12 Nombre dont logement h bergement inconnu 4 123 Nombre issus de code postal et ou Nombre issus de 7330 Saint Ghislain B 2 Nombre issus de 380 Oui vrain J 1 Nombre issus de 7390 Quaregnon 7 Nombre issus de7387 Honnelles E 1 Nombre issus de 7350 Hensies D 1 Nombre issu de 7080 Fremeries DO 11 Nombre issus de 7370 Dour DM 4 Nombre issus de 7340 Colfontaine E 2 Nombre issus de 7300 Boussu D 1 Nombre issus de 7000 Mons Es 22 0 10 20 30 40 50 a 6 Nombre victimes de violence violence D 6 Nombre rencontrant des difficull s__ Nombre rencontrant des difficull s de Nombre rencontrant des difficult s de Nombre rencontrant des difficult s Nombre rencontrant des difficult s Nombre rencontrant des difficult s 124 vers service d aide la jeunesse vers service sp cialis assu tudes vers soins dec sant mentale vers soins de sant physique vers service d insertion sociale SIS vers service d accueil de jour vers services d aide au logement
80. e Frais de garde Fonctionnement 42 300 Frais h bergement maisons accueil Frais de d placement urgence de jour Frais li s l aide sociale urgente aide mat rielle frais administratifs tickets S Frais de service de t l assistance Fonctionnement technique Leasing v hicule 4540 08 par an carburant GSM P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 2013 au 31 12 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 67 du budget pour le projet en personnel les autres fonds C P A S de Mons 42 du budget pour le projet en fonctionnement les autres fonds CPAS de Mons Objectifs g n raux du projet Assurer une aide sociale 24 heures sur 24 de mani re pouvoir donner une r ponse appropri e toute situation qui doit tre trait e tout de suite dans les limites l gales pour viter un danger et ou pour r pondre un besoin fondamental praire et imm diat des personnes On entend par besoin fondamental primaire boire manger se v tir se chauffer disposer d un abri au moins temporaire d faut d un logement ou pr server son int grit physique Activit s r alis es dans le cadre du projet 1 Traitement de la demande d aide urgente par une garde 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 effectu e par un assistant social Le subside du relais social comprend la prise en charge des frais de garde pay s au personnel prestant dans le cadre de l urgence de n
81. e prostitu e Avant qu Espace P ne soit pr sent sur Mons il n existait pas d action sociale de pr vention des risques d enlisement dans la pr carit ni de r duction des risques ou d coute adapt e au public cibl 111 Service Accueil Relais de Mons Institution Service Picardie La que asbl Relais de Mons Nom du projet Service Accueil Relais de Mons Subvention octroy e par le RSUMB 23 000 Postes salaire fonctionnement Personnel 23000 1 ETP accueillante l autre partie du salaire financ par ailleurs CIMB Fonctionnement N ant P riode de mise en uvre du projet subventionn Du 1er janvier au 31 d cembre 2013 Part du le financement du RSUMB dans le projet service 55 du salaire d une d l gu e temps plein dans une quipe comprenant 2 assistants sociaux et une ducatrice TP une coordinatrice TP et 3 psychologues cliniciennes vacataires Constat s de d part ayant eu pour effet la cr ation du projet financ par le RSUMB La diversification et la sp cialisation des services de premi re ligne d velopp s au Relais de Mons rendent de plus en plus complexe la gestion administrative du service agendas des professionnels accueil t l phonique gestion du courrier et accueil de notre public Un autre effet de cette diversification de services est la forte augmentation du public du Relais le nombre de personnes re ues est pass de 200
82. e s apparenterait galement une d marche d exclusion envers des personnes dont la d tresse sociale peut tre tout aussi importante que celle d une personne sans abri Il est noter qu on peut tre tout aussi en grande pr carit avec un toit au dessus de la t te que sans La grande pr carit est souvent cach e La grande pr carit sociale ne concerne pas uniquement les personnes qui n ont plus de logement Cette notion renvoie aussi des personnes dont les besoins primaires ne sont pas satisfaits besoins physiologiques de s curit Voir Maslow Un des aspects que nous pointons r guli rement est qu on constate une ins curit croissante au sein du logement pour bon nombre de personnes Le r le du RSUMB doit aussi tre de travailler pour ces personnes et ce afin d viter qu elles se retrouvent la rue Or l ins curit au sein du logement peut s expliquer par des probl matiques auxquelles nous devons nous int resser violence intrafamiliale pr carit financi re travailleurs pauvres isolement social Nous ne pouvons pas agir seulement au niveau curatif mais aussi de mani re pr ventive en vitant l volution du nombre de personnes qui perdent leur logement De m me il est important que des personnes qui quittent la rue ne rechutent pas et parviennent s inscrire dans un processus de r insertion plus long terme Si on se limite aux personnes sans abri alors cela sign
83. emande d accueil et lors du tout premier contact la communication rev t une importance capitale Il en va de m me quand il s agit de poser des limites voire de mettre un terme l h bergement d une personne qui s y oppose Parfaire la relation qui s tablit d s l admission outil fondamental et v ritable support du processus d int gration qui se met en uvre Eviter tant que faire se peut les situations d affrontement qui se soldent trop souvent par une expulsion et donc r duire encore le pourcentage d exclusion d j en baisse en 2010 Eviter encore tant que faire se peut les situations d agressivit voir de violence physique et leurs cons quences les appels aux forces de l ordre et les traumatismes endur s par les protagonistes et t moins Lot 9 Supervision Du Relais social urbain de Mons Borinage 1 universitaire 1 assistante sociale 2 infirmi res 1 universitaire coordinatrice Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es 1 assistante de 8 heures apporter un regard critique par rapport aux missions direction men es quand aux tapes la m thodologie apporter des m thodes et outils nouveaux gestion d quipe concertation r seau r fl chir sur la pratique en ce y compris le cadre les limites la d ontologie r fl chir sur les strat gies adopter Les formations suivies par l
84. ement m thodologique du travailleur social ou par le d veloppement du travail en r seau avec d autres partenaires vers lesquels orienter la personne en fonction du type de demande mise disposition des ressources internes du CPAS Le subside du relais social est la prise en charge d une partie de ces frais de fonctionnement tels que les frais li s au v hicule aux GSM les frais administratifs li s l utilisation des tickets S les frais de d placement de ce personnel mais surtout les frais d h bergement en maison d accueil qui suivent une courbe ascendante Dans le domaine de la prise en charge des frais d h bergement le CPAS a entam sa politique de conventionnement avec les maisons d accueil en 2004 et de puis le nombre de maisons d accueil conventionn es n a cess de s accro tre Les frais engag s en 2013 ont t de l ordre de 24488 06 pour les 6 premiers mois de l ann e 64697 75 pour l ann e 2012 une partie de ces frais est subsidi e par le relais social pour 2010 nous sollicitons le maintien du subside de 30000 euros destin couvrir partiellement ces frais 4 coordination des services du CPAS qui interviennent dans le traitement de l aide sociale urgente Le CPAS d veloppant une multiplicit de services qui sont susceptibles d intervenir dans le processus de traitement de la demande d aide sociale en urgence une bonne coordination entre les AS de l urgence de l aide g n rale e
85. emmes ge inconnu partir de 6U ans et 55 59 ans 50 54 ans 45 49 ans 40 44 ans 35 39 ans 30 34 ans 25 29 ans 18 24 ans et mineurs mancip s 74 DUS de nuit 18 24 ans 20 personnes 25 59 ans 47 personnes 60 ans et 4 personnes DUS de jour situation familiale inconnue Er 91 autre situation familiale j 21 vivant en couples avec enfants R 44 vivant en couples sans enfants 5 36 isol s avec enfant 131 0 100 200 300 400 500 600 DUS de nuit situation familiale inconnue E 6 autre situation familiale O vivant en couples avec enfants E 10 vivant en couples sans enfants TA 15 isol s avec enfant E 75 DUS de nuit source de revenus inconnue ns 108 autres types de revenus E 10 sans ressource financi re EN 252 allocations aux personnes handicap es B 35 indemnit s de mutuelle ou maladie B 101 pension de retraite M 21 RI ou d une autre aide sociale 93 allocation de ch mage DS gt revenus professionnels D 38 0 50 100 150 200 250 300 DUS de jour source de revenusinconnue OO 10 autres types de revenus EEE 8 sans ressource financi re NN 16 allocations aux personnes handicap es D 4 indemnit s de mutuelle ou maladie 6 pension de retraite RI ou d une autre aide sociale BME allocation de ch mage M 13 revenus professionnels B 3 DUS de jour nationalit inconnue
86. enre non communiqu 0 Femmes 50 Hommes 187 E S riel Hommes 2 mineurs dont 1 non accompagn d ge inconnu 10 60anset OO 0 55 59an DE 0 50 54ans B 4 4549ans B 7 4044a0 M 21 35 39ans B 19 30 34ans D 28 25 29ans B 2 18 24 ans et mineurs mancip s M 0 67 18Femmes d ge inconnu B 1 60anset DO 55 59 ans 0 50540 OR 5 45 49ans OO 5 40 44ans B 35 39ans M 5 30 34ans NN 2529ans SE 18 240 O 138 primo utilisateurs dont dont diff rents femmes dont diff rents hommes 105 o 20 40 60 80 100 120 m S riel dont la situation familiale est inconnue S 11 en situations familiales autres O en couples avec enfants m 15 vivant en couples sans enfants 14 isol s sans enfants 0 20 40 60 80 100 120 68 nationalit inconnue 2 trangers hors UE i 10 trangers UE a 25 la source de revenus est inconnue avec autres types de revenus sans ressource financi re avec allocations aux personnes avec indemnit s de mutuelle avec une pension de retraite avec RI ou d une autre aide sociale avec allocation de ch mage avec revenus professionnels 250 Maison d accueil Prison H pital g n ral Centres pour demandeurs asile en institution Autres E L AE E EEE 69 logement h bergement est inconnu log s autres endroits hors instituti
87. epuis la cr ation du relais C est pour cela que nous n avons plus besoin d organiser aussi r guli rement des concertations en mati re d accueil de jour de nuit ou d urgence sociale Les partenaires se connaissent et le r seau est plus autonome Le fait qu on explore d autres secteurs s inscrit dans la continuit de l action d un relais apr s plusieurs ann es de fonctionnement Pour quel public le relais social n est pas comp tent e Les mineurs d ge m me si on se rend compte que des liens doivent exister avec le secteur de l aide la jeunesse dans le cadre des familles pr caris es Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 10 e Les personnes sans papier m me on les retrouve occasionnellement au sein des abris de nuit Difficile ensuite d exclure de pointer pr cis ment d autres cat gories de personnes Notre r le s arr te peut tre au niveau de certains public l o le travail d autres r seaux institutionnels commence Projet 107 RAMBO PCS C est aussi tr s li la sp cificit locale Cependant si nous sommes moins comp tents cela ne veut pas dire que nous ne devons pas dialoguer et nous concerter avec ces r seaux 2 La participation du r seau Nombre de participants aux activit s Relais social et nombre de participation Personnes Participations e Ce tableau reprend le nombre de participants diff rents et le
88. ers de cuisine ateliers d expression artistique participation des groupes de parole et des groupes de lecture suivi d un programme de d codage de la citoyennet Public touch par le projet Toute personne belge trang re ou d origine trang re en pr carit 112 Plus value du projet A la mission de base du service e Garantir un accueil de qualit et un d veloppement d actions collectives destination d un public socialement pr caris en vue de leur retissage de liens sociaux et de l insertion socio culturelle des nouveaux citoyens de notre r gion e Une optimalisation du contact de premi re ligne avant l orientation vers les diff rents services du Relais Aide la r daction de CV et lettres de motivation recevoir les personnes dans un cadre d gag de tout enjeu pas de risque de suspension d allocations de ch mage pas d valuation de l effort fourni permet de lib rer une parole et d entendre le stress et les difficult s li s la recherche d emploi SLAO pas d objectif d insertion sociale mais accompagnement au d part du projet de la personne Ce service est g n raliste aucun crit re d acc s n est requis Service S maphore ce service est unique dans la r gion de Mons Borinage Il est op rationnel depuis quatre ans et r pond des demandes venant de toute la r gion Mons Borinage et m me au del le service sp cialis le plus proche se trouvant
89. ervision en 2013 En ce qui concerne le nombre d heures de supervisions dispens es entre 2010 et 2013 Supervision 250 203 200 150 100 76 60 57 E Supervision NE m En 0 T T T l Heures 2010 Heures 2011 Heures 2012 Heures 2013 Ce tableau ne comprend pas les heures de supervision pour le Dispositif d urgence sociale du CPAS de Mons Nous n avons en effet pas les chiffres Participations 2013 E Supervision m Formation Le graphique ci dessus reprend le nombre total de participations pour nos activit s de formation et de supervision via intervenant ext rieur Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 16 3 L organisation d un centre de coordination et d appui a Introduction b Les nouvelles fiches m thodologiques c Les actions du Centre de coordination et d appui a Introduction Le Relais social urbain de Mons Borinage s est peu peu transform en CENTRE DE COORDINATION ET D APPUI pour les membres de son r seau Ce CENTRE DE COORDINATION ET D APPUI propose des outils d observation d information de concertation de coordination de dispositifs de formation d aide logistique et de soutien la cr ation de projets Les b n fices attendus par l organisation du RSUMB en centre d appui sont Pour les partenaires i Un service clair nos partenaires Une objectivation et une actualis
90. es projets visant la r duction des risques li s l activit de prostitution Alors que les premi res associations catholiques puis abolitionnistes mettaient toute leur nergie convaincre et aider les femmes quitter la prostitution aujourd hui les travailleurs sociaux ont opt pour une approche moins jugeante et non directive On vise principalement la r duction des risques li s l activit pour faciliter une ventuelle r insertion le moment voulu Pour ce faire nous optons pour la m thodologie suivante Informer sur les modes de transmissions des IST et diffuser les conseils ad quats pour se prot ger utiliser des pr servatifs agr s y compris pour la fellation des lubrifiants base d eau viter les douches vaginales quotidiennes ne pas proc der une douche vaginale en cas de rupture du pr servatif subside Communaut fran aise proposer des pr servatifs lubrifiants ponges vaginales un prix raisonnable ou gratuitement subside Communaut Fran aise proposer un d pistage gratuit et anonyme du sida de la syphilis et des h patites B et C subside INAMI proposer un d pistage gyn cologique du cancer du col de l ut rus du chlamydia et de la gonorrh e subside INAMI proposer une vaccination gratuite contre l h patite B subside INAMI permettre l acc s aux soins en cas de d pistage positif Informer sur les effets des diff rentes drogues subside Communaut Fran aise
91. et par cons quent celui du RSUMB lui m me ex d lais mieux respect s moins de marge d erreur En parall le les relais sociaux ont tendu la collecte de donn es aux projets qu ils subventionnent mais sans s tre accord s sur les informations collecter alors que certains d entre eux n entrent pas dans les axes de l accueil de jour l accueil de nuit l urgence sociale et le travail de rue ex service d aide aux personnes li es la prostitution service ambulatoire d aide aux personnes en souffrance psychiatrique et le RSUMB a re u des demandes de d veloppement d observatoires locaux sur des th mes sp cifiques ex relogement h bergement sur Boussu P le DUS de Boussu Frameries Quaregnon Il a ainsi t n cessaire de d velopper localement la m me d marche que celle qui consistait laborer un listing d informations collecter ainsi qu un mode d emploi et ce pour des projets qui taient tr s diff rents des uns des autres Sans budget sp cifique l agent APE du RSUMB a ainsi consacr l ann e 2013 raison de 55 de temps de travail gt Se former rechercher et trouver des m thodes des outils et des logiciels de collecte de donn es efficaces faciles d utilisation et fiables en faveur des partenaires gt Rencontrer les partenaires et laborer avec eux des listings personnalis s d informations pour chaque projet subventionn et pour chaque demande volonta
92. explique par l mergence ou le renforcement de certains groupes de travail essentiellement compos s d institutions publiques Par exemple Inter CPAS et travail autour des adresses de r f rence 5 rencontres Travail avec les soci t s de logements sur la question de l attribution d un logement pour des raisons d urgence sociale 3 rencontres o Animation d un groupe compos des services d insertion sociale et professionnelle des CPAS 4 rencontres o L organisation du comit de pilotage du p le d urgence sociale des CPAS de Quaregnon Boussu et Frameries 7 rencontres Un autre constat associ ce tableau serait de dire qu il y a plus d intervenants diff rents du secteur priv 172 qui participent nos activit s par rapports aux intervenants du secteur public 162 Cependant ces derniers participent de mani re plus r currente r guli re En effet il y a 362 participations pour le public contre 292 pour le secteur priv 140 120 100 80 60 A0 20 115 E Mons E Borinage et Hauts Pays Public Priv Enfin au vue du tableau suivant on constate que Mons 65 des intervenants sont issus du secteur priv A l inverse dans le Borinage et les Hauts Pays 64 sont issus du secteur public On observe donc la tendance inverse Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 12 Comparaison par zone g ographique On entend par
93. fficult s en lien avec la stigmatisation 6 demandes d informations sur le statut professionnel 3 difficult s dans le domaine du logement 2 Par l action sociale communautaire de sensibilisation de l opinion publique la r alit prostitutionnelle R daction des num ros 67 68 et 69 de notre magazine trimestriel Espace P Encadrement de 3 stages en 2013 1 tudiante 2 me BAC ASS de l Ipsma f vrier mai 2013 1 tudiante 2 me master en Sciences de la famille et de la sexualit de UCL septembre novembre 2013 et 1 tudiante 3 me BAC AS novembre d cembre 2013 Rencontres de 13 tudiants r alisant un travail autour de la question prostitutionnelle en vue de les informer sur le sujet et de partager avec eux notre exp rience professionnelle R ponses 3 journalistes de presses t l vis e et radiophonique 1 France 2 2 RTBF Radio Rencontre d une chercheuse en criminologie de l Universit de Montr al voulant se rendre compte de la r alit prostitutionnelle et du mod le l gislatif belge Participation une intervention radiophonique diffus e sur Pacific FM 4 animations portant sur le travail de terrain chez Espace P aupr s d tudiants ducateurs de l ISEP et de l Ecole Sociale de Maubeuge d tudiants assistants sociaux de l ISHA et enfin d tudiants de 3 me BAC Psychologie Umons Am liorer l autonomie conomique pouvoir satisfaire ses bes
94. ice et _ faciliter davantage les ob 2 t protection civile acc s aux abris frais Campagne m diatique pour la population dou bes eau Call center 02 524 97 97 Distribution dje Commune casquettes et eau 30 C durant 3 jours OU concentration d ozone gt 240 mg la Mise disposition de b timents frais et transport T min moy gt 19 C et max moy veille et gt 180 mg pr vu le jour m me En cas de n cessit au niveau national un plan d urgence f d ral est pr vu T minimum moyenne sup rieure 19 C et maximum moyenne 30 C Uccle pendant 3 jours OU concentration d ozone sup rieure 240 mg la veille et pr vue sup rieure 180 mg le jour m me SPF En cas de situation de crise au niveau national mise en uvre du plan d urgence f d ral avec gestion de la crise et coordination Mise en place d une cellule de crise avec d signation d un manager Avis aux professionnels de la sant et de proximit au sens large gouverneurs police et protection civile Campagne m diatique pour la population Call center 02 524 97 97 Commune Mise disposition de b timents frais et transport pour y acc der Actions mises en uvre par les partenaires au sein de leur structure Axes Services Actions v Gardiens de la paix Mise disposition d un carnet d adresses aupr s de Q e9 1 sx r TE 5 V Police locale ces op rateurs de mani re
95. ifierait qu on devrait aussi arr ter de travailler avec les maisons d accueil Adaptation la r alit sociale locale Les textes l gaux relatifs aux RSU insistent sur l adaptation aux r alit s sociales locales Le choix de travailler autour de th matiques plus larges s explique aussi par la r alit locale dans notre r gion Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 9 avec notamment des communes o on ne retrouve pas des personnes qui vivent de mani re ancr e en rue mais dans des conditions tout aussi pr caires Public du RSUMB et travail en r seau e Selon l quipe le public cible du RSUMB est aussi celui pour lequel un travailleur social se sent particuli rement isol notamment de par la complexit des situations La grande pr carit sociale concerne donc les situations qui recouvrent une multitude de probl matiques et donc pour lesquelles la mise en r seau se justifie particuli rement et ce que la personne ait un logement ou non e Le passage de l urgence l insertion ne se fait pas de mani re lin aire comme une succession d tapes claires et pr cises I peut tre utile que des personnes s inscrivent tr s rapidement dans des activit s d insertion ex Un SIS et cela ait des effets b n fiques sur d autres probl matiques li es aux besoins primaires approche transversale e Si on veut que des personnes tendent vers l insertion il est important qu un
96. ion g n rale Favoriser l usage d une contraception Nos contacts avec les plannings familiaux permettent une orientation de nos usagers en cas de besoin Toutefois dans l ensemble des suivis m dicaux qu Espace P assure nous d nombrons un nombre croissant de conseils allant dans ce sens voire de prescriptions pour un contraceptif En 2013 41 conseils sant en lien avec la contraception et 6 prescriptions ont t effectu s D noncer la paup risation croissante d une partie de la population Par notre action de sensibilisation de l opinion publique la r alit prostitutionnelle d j d crite 3 points plus haut Cette action nous permet lors de participations des d bats conf rences d animations dans les structures d enseignements de rencontres avec les acteurs sociaux judiciaires politiques et le citoyen d approcher le ph nom ne prostitutionnel montois borain sous un autre angle que celui exclusivement judiciaire contr les de Police et de l Inspection des Lois Sociales et ainsi d aborder directement cette question de la paup risation En brisant le silence qui entoure la prostitution Espace P travaille un changement des mentalit s ainsi qu une d stigmatisation de la personne prostitu e et de tout ce qui va avec 104 Favoriser l acc s aux soins et une couverture sociale Nos tourn es de terrain permettent d identifier les besoin
97. ion en mati re de logement Situation dernier logement 10 8 6 4 E 0 T T T EE On Om Situation dernier logement E es S Fa Ei amp ES al ES LS S g Sa S SV g Remarque M me si toutes les fiches individuelles n taient pas claires ce niveau on peut constater 46 des personnes aid es sont locataires 67 dans le logement priv et 33 dans le logement public 23 des personnes taient log es chez un tiers 19 tait v ritablement sans logement Il semble donc que ce soit des situations o l absence de logement est plus ancr e dans le temps 84 4 Travail de rue Projet d accompagnement aux sans abri Ville de Mons C P A S de Mons Cadre PROJET partenarial du RSUMB avec du personnel de la Ville de Mons le CPAS de Mons 10 ducateurs 1 assistant social 1 psychologue Nombre d ETP et de TS au sein de l quipe 11 ETP et tous TS PROFIL DES USAGERS 2013 Nombre par genre 178 hommes 40 femmes 4 mineurs dont 1 non accompagn Hommes Ageinconnu SR o gt 60anset D 4 55 59ans B 7 50 54an Ms 4549ans Ds 40 44ans D 0 35 39ans M6 30 34ans DE 17 2529ans DE 17 18 24 ans et mineurs mancip s 11 0 20 40 60 80 100 Femmes Ageinconnu M GOanset BM 1 353 39 ans 0 50 54ans D 4549ans DONNE 5 40 44ans D 2 35 39ans D 2 30 34 ans sr 3 25 29ans M 1 18 24 ans el mineurs rmancip s 5 0 5
98. ire d autres partenaires souhaitant un observatoire local th me gt D velopper un syst me et un support technique d encodage des donn es gt Concilier la collecte de donn es g n rale et celles issues de dispositifs sp cifiques ex Plan Grand Froid ainsi que les valuer gt Collecter traiter et organiser les donn es d j collect es par les partenaires ainsi que pour celles qui entrent dans le projet de l IWEPS les lui transmettre via son formulaire sp cifique gestion des observatoires A ce jour nous travaillons sur diff rents observatoires locaux gt L Observatoire de la pr carit en accueil de jour et abri de nuit en urgence sociale en travail de rue au niveau des projets subventionn s gt L Observatoire Plan Grand Froid focus gt L Observatoire du Relais Sant de Mons gt L Observatoire du relogement caract ristiques des personnes perdant leur logement h bergement sur Boussu gt L Observatoire du P le DUS Boussu Frameries Quaregnon En 2014 l agent APE sera charg de finaliser les outils d encodage les pr senter aux partenaires d j participants les soutenir dans leur utilisation et dans leur traitement des donn es en produits statistiques Il sera aussi charg d en cr er de nouveaux pour les nouveaux projets subventionn s et de soutenir les partenaires subventionn s dans la mise en place et l utilisation de ces outils d encodage et dans le traitement des donn
99. ire de collecter aupr s des partenaires correspondant aux axes de l accueil de jour l accueil de nuit l urgence sociale et le travail de rue Ce travail fut fastidieux car les modes de collecte et la nature des informations collect es taient tr s disparates entre les partenaires et entre les relais sociaux Au niveau du l agent APE le travail a consist participer aux r unions de n gociation quant aux informations collecter jouer le r le d interm diaire entre le projet et les partenaires locaux et les pr parer aux nouvelles demandes statistiques En 2011 au niveau wallon le travail effectu a permis de peaufiner cette liste harmonis e d informations collecter aupr s des partenaires d en d finir les modalit s de collecte et de r aliser un document d explication de type mode d emploi Ce document se voulait permettre aux partenaires participants de mettre disposition des informations les plus fiables possibles autrement dit les moins susceptibles d tre interpr t es et transform es et d avoir disposition une ligne de conduite dans la mise en place de cette collecte de donn es Au niveau du l agent APE le travail a consist participer aux r unions de n gociation quant aux informations collecter jouer le r le d interm diaire entre le projet et les partenaires locaux et d velopper des strat gies des incitants impulser la dynamique de collecte aupr s des partenaires locaux
100. itoyens montois quant l occupation de l espace public ou priv par des personnes sans abri Les objectifs g n raux de L Escale sont les suivants D velopper un travail de premi re et de seconde ligne pour les personnes en situation de pr carit sociale Permettre aux usagers de renouer avec des gestes simples de la vie quotidienne Viser une prise en charge sp cifique de la personne en lui proposant un suivi adapt sa situation afin de r duire d une part les risques d isolement de rupture sociale de d crochage professionnel et d autre part de r duire les cons quences psychologiques et sanitaires li es une consommation probl matique Favoriser la resocialisation de la personne pr caris e Favoriser le travail en r seau coordonner et maximiser les actions avec les diff rents partenaires afin d apporter une aide concert e et globale Offrir aux usagers une r ponse aux besoins primaires Activit s propos es dans le cadre du projet Des activit s visant la resocialisation sont r guli rement propos es l Escale ainsi que des ateliers valorisant l estime de soi Y sont organis s des ateliers relaxation bien tre fresque p che cuisine sortie art 27 excursions dans des parcs animaliers cirque th tre 95 Pour les statistiques d accueils et de population voir la partie quantitative du pr sent rapport tableaux IWEPS L accueil et l accompagnement
101. l but e identification des comp tences acqu rir renforcer 4 Op rationnaliser et suivre une action Il s agit ici d un travail de coordination non pas autour d un projet c est dire quelque chose de nouveau mais bien d une action qui est effectivement mise en place au sein d une ou plusieurs institutions e D finition des diff rents modes d intervention et d animation o Voir document bo te outil animation conduite de r union o Voir document de suivi d une action e Objectifs g n raux de ce type de coordination o Pouvoir valuer collectivement des actions une fois qu elle s inscrive dans le fonctionnement des institutions Pouvoir identifier les effets positifs n gatifs d une action nouvelle Maintenir le lien entre les diff rents acteurs au del de la r alisation d un projet Faire merger des am nagements ventuels e D finition du r le du RSUMB o Animation des rencontres o Formalisation du contenu de ces rencontres o Apport d outils sp cifiques d valuation e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 26 e Identification des comp tences acqu rir renforcer Fiche 4 l axe information Pourquoi un axe information dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institution
102. le un changement des mentalit s ainsi qu une d stigmatisation de la personne prostitu e et de tout ce qui va avec Public touch par le projet 97 utilisateurs Genre Situation familiale o 0 Femmes Transexuels Sexe inconnu m S rie 120 100 a 80 g 60 40 E AE m E dire Tolal Isol s Isol s en en d aulres 2 ee vivant vivant couple couple situatio a p p familiale dif fren sans avec sans avec ns inconnu tenar enfants enfant enfants enfants familiale p e type de m nage E S rie1 29 23 29 0 0 16 97 107 Nationalit 0 Etrangers UE Etrangers hors De nationalit UE inconnue E S riel Revenu Titre de l axe RI ou indem autres Sans ensio erso d une P nit s P types ressou n de nnes reven autre de de rce retrait handic us aide mutue reven financi e ap es sociale lle us re Source ue E S rie1 2 2 7 25 23 Logement 63 ont un logement 13 n ont pas de logement 21 inconnu 108 Types de difficult s Titre de l axe Sant physiq admin Emplo ue istrati i Form hors ves ation handic ap financi res relatio nnelle S confli ts extraf amili E S rie1 24 21 Utilisation du service
103. le le VIF ambulatoire o Coordination du plan canicule et grands froids 2010 2011 Borinage et Hauts Pays un travail d information et de cr ation de lien Observation Information concertation o L tude sur l urgence sociale socle commun et communication autour de celles ci 127 O O O oO O 10 O Des rencontres informatives colloques Colloque RHMS et CPAS Quaregnon s ances d information pr sentation de services Des informations sur le relais social son action ses activit s Les premi res rencontres Inter CPAS attestations sans abri Un travail sp cifique sur l h bergement d urgence Collaboration ASBL FEES Le maintien des actions d information de cr ation de lien mais aussi l mergence de projets de collaboration Colloques sur le logement durable s ances d information sur le territoire du Borinage et des Hauts pays Premi res participations aux formations du Relais social Elargissement du groupe d aide alimentaire groupe Chaotique Soutien au d veloppement du projet M dias sur le Borinage et les Hauts pays Travail sp cifique sur les collaborations entre abri de nuit et CPAS Concertations visites abri de nuit Int gration de certaines communes du Borinage Hauts pays dans le cadre des plans grands froids D but du groupe de travail visant la cr ation d un p le DUS CPAS Quaregnon Frameries Boussu 2012 transformation du fonctionneme
104. luation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 57 Chapitre III Partie quantitative 1 Accueil de nuit et h bergement Vise les abris de nuit subventionn s et non subventionn s L abri de nuit du C P A S de Mons Le personnel Cadre accueil de nuit h tel social 4 ducateurs 1 assistante sociale 4 veilleurs Nombre d ETP 10ETP dont pour les TS 6ETP dont 1ETP article 60 dont pour les veilleurs 4ETP dont 2ETP article 60 PROFIL DES HEBERGES 2013 300 250 200 150 E S rie 100 50 0 T T l Nombre d utilisateurs Nombre d utilisateurs Nombre d utilisateurs diff rents hommes diff rents femmes diff rents dont sexe non communiqu 58 Hommes diff rents ge inconnu partir de 60 ans et 55 59 ans 50 54 ans 45 49 ans 40 44 ans 35 39 ans 30 34 ans 25 29 ans 18 24 ans et mineurs mancip s Femmes diff rentes ge inconnu partir de 60 ans et 55 59 ans 50 54 ans 45 49 ans 40 44 ans 35 39 ans 30 34 ans 25 29 ans 18 24 ans et mineurs mancip s 0 10 20 30 40 50 E ES E ns En ES T 0 5 10 15 20 E S rie E S rie 59 dont nombre de primo utilisateurs sexe non communiqu dont nombre de primo utilisateurs diff rents femmes 0 E dont nombre de primo i a utilisateurs diff rents hommes Nombre de p
105. mbres de l quipe du RSUMB Les points positifs O Le fait que les participations ces formations soient gratuites les petits services n ont pas les moyens et pour les plus grandes institutions ce n est pas toujours une priorit dans les budgets Les groupes de formation sont toujours complets et les valuations positives Pour les quipes qui sont supervis es ce type de service correspond un besoin important r guli rement exprim 3 heures de formation au travail en r seau sont aujourd hui donn e par cycle pour des tudiants d une cole sociale Nous avons fait le choix avec le comit de pilotage d accorder la priorit une ann e sur 2 aux supervisions et aux formations 131 Les points am liorables o La gratuit nous a oblig a demander une indemnit pour les absents non justifi s car les inscrits ne payant pas ils ne se sentaient pas l obligation de venir o Nous proposons chaque ann e des formations la demande En effet nous interrogeons annuellement nos partenaires via formulaire pour savoir ce qu ils souhaitent voir appara tre comme formation dans notre programme Cependant part pour les supervisions nous constatons peu de retour par rapport cette sollicitation Augmenter la diversification des services qui b n ficient d une formation via le RSUMB La difficult d valuation des apports des formations et supervisions au quotidien Le soutien aux actions et le financement de projet
106. me ses partenaires d s que les crit res qui d finissent une canicule ou un pic d ozone se pr sentent de mani re 3 L accueil de jour l accueil de nuit l urgence sociale le travail de rue e r gularisation des contacts entre dispositif d urgence sociale et l Escale proc dures d accueil et de suivis partir des urgences hospitali res interpellation entre services pour lever les incompr hensions 4 la r cup ration et redistribution d invendus SOREAL Constat s quantitatifs et qualitatifs de d part ayant eu pour effet l id e de la cr ation du projet subventionner La perspective de la quasi disparition des dons europ ens BIRB en 2014 Le risque de diminution notable des dons alimentaires des petites ASBL vers les personnes en difficult il ne leur resterait plus que les dons de la banque alimentaire soit la moiti de ce qu elles per oivent actuellement __ L impossibilit pour les ASBL d aller r guli rement r cup rer les invendus faute de temps de moyens et de transport ad quat Il est noter que les ASBL et les cpas concern s font partie du r seau du RSUMB et qu ils participent au groupe de coordination d aide alimentaire Elles ont une exp rience utile dans la distribution de colis de plus de 5 ans et assurent un suivi social des personnes qui re oivent le colis Ce m me colis est d s lors distribu avec des conditions d octroi qui ont une limite dans le temps A Mons Borinage nous
107. n a repr sent 1 10 ETP Le site internet L ann e 2013 nous a permis de nous rendre compte que le site internet n est pas utilis comme nous l aurions souhait Sa finalit 1 se voulait notamment permettre aux travailleurs sociaux de disposer d un bagage d informations et d outils qui leur permettent d optimaliser l aide apport e leur public D s lors l agent APE se consacrera en 2014 en une valuation qualitative de ce support aupr s des partenaires et ensuite en une r flexion de mani re faire voluer le site de mani re plus utile pour les partenaires et en lien avec le remaniement du RSUMB sous forme de centre d appui La communication et la visibilit institutionnelle seront ainsi les points prioritaires que nous souhaiterions d velopper davantage En 2013 nous avons comptabilis 27 267 visites de notre site Des folders d information Depuis 2012 l agent APE propose un soutien logistique la r alisation de folders d informations et invitation des v nements de partenaires surtout aux petites ASBL ne disposent pas toujours des ressources suffisantes pour les mettre sur pied ex connaissances de base en infographie organisation de l information Les supports r alis s en 2013 sont gt Cartes de v ux gt Cartes aux manifestations organis es par le RSUMB ex brunch de Doudou pour la bienvenue de nouveaux partenaires gt Cartes d invitation pour des manifestations organis es par des
108. n du projet Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but Identification des comp tences acqu rir renforcer Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 31 Fiche 6b accompagnement soutien projet action de mani re individuelle soutien financier Pourquoi un axe soutien financier la cr ation de projet dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important e De soutenir et d encourager l innovation dans le secteur de la grande pr carit e De d gager des moyens financiers afin de concr tiser les pistes de travail et d action issues de la concertation avec les institutions et les intervenants Objectifs g n raux R le et missions du RSUMB e Lancement annuel d un appel projet o Voir document appel projet e Financement de projets dans le secteur de la grande pr carit e Evaluation projets o Voir document valuation projet Mode d attribution actuel d un financement Points am liorables Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but Identification des comp tences acqu rir renforcer Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 32 Fiche 7 axe participation aux autres r seaux Pourquoi un axe participation aux
109. nation institutionnelle est une d marche d action en r seau qui vise soit identifier collectivement des difficult s d gager collectivement des pistes d action voire mener ensemble un projet Liste des coordinations institutionnelles d j effectu es e Voir document annexe Chronologie des coordinations Dans le cadre d une coordination institutionnelle nous pouvons observer une certaine chronologie dans les actions men es Il y a donc quatre niveaux de coordination En fonction du niveau dans lequel on se trouve nous mobiliserons des outils diff rents et notre travail prendra une forme diff rente 1 Identifier collectivement des difficult s e D finition des diff rents modes d intervention et d animation o Voir document bo te outil animation conduite de r union e Objectifs g n raux de ce type de coordination o En se basant sur l expertise des travailleurs de terrain il s agit de d gager des difficult s probl matiques li es aux groupes de personnes en situation de grande pr carit o Pointer les l ments objectifs sur lesquels le r seau pourra s appuyer pour apporter des r ponses o Constituer un espace d change et de r flexion pour des intervenants qui sont actifs dans un m me secteur o D gager des l ments utiles qui alimenteront l observatoire Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 24 o Permettre aux intervenants de comparer leur r
110. naut fran aise proposer des pr servatifs lubrifiants ponges vaginales un prix raisonnable ou gratuitement subside Communaut Fran aise proposer un d pistage gratuit et anonyme du sida de la syphilis et des h patites B et C subside INAMI proposer un d pistage gyn cologique du cancer du col de l ut rus de la chlamydia et de la gonorrh e subside INAMI 118 proposer une vaccination gratuite contre l h patite B subside INAMI permettre l acc s aux soins en cas de d pistage positif Informer sur les effets des diff rentes drogues subside Communaut Fran aise permettre l acc s un comptoir d changes de seringues ou un centre de cure Informer sur la contraception subside Communaut Fran aise Permettre l acc s un planning familial en cas de demande d une IVG d un suivi psychologique Donner des conseils de pr vention pour se prot ger des violences subside Communaut Fran aise 3 L action sociale individuelle Les strat gies mises en place pour aider les personnes en difficult sont les suivantes profiter de la moindre occasion la distribution du magazine Espace P la distribution de la brochure Paroles de prostitu es et de clients la vente de pr servatifs une mission la t l vision l organisation d un v nement les rencontres avec le m decin dans le cadre de la campagne de vaccination pour susciter un change sur diverses questi
111. ner qui mesure de quelle mani re et dans quel but e Evaluer dans quelle mesure les supervisions apportent du soutien et une aide aux intervenants e Evaluer dans quelle mesure les supervisions permettent de prendre de la distance Identification des comp tences acqu rir renforcer Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 30 Fiche 6a accompagnement soutien projet de mani re individuelle accompagnement logistique et m thodologique Pourquoi un axe accompagnement m thodologique et logistique dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important De d gager des moyens m thodologiques et logistiques afin de concr tiser les pistes de travail et d action issues de la concertation avec les institutions et les intervenants Que les initiatives individuelles puissent s inscrire dans une r alit propre l ensemble du r seau De s appuyer sur une m thode de mise en place et de gestion de projets adapt e son environnement Objectifs g n raux M thode de r f rence PRINCE2 Bo te outil accompagnement soutien projet individuel R le et missions du RSUMB Soutien apport m thodologique et logistique la mise en place d un projet Favoriser l int gration d un nouveau projet institutionnel au sein de l ensemble du r seau Soutenir la communication autour du projet Participation au processus d valuatio
112. nie un projet d observatoire wallon de la pr carit se construit progressivement Il a pour but de permettre la visualisation des ph nom nes sociaux et l volution des services ex profil du public utilisation de services difficult s principales etc Les relais sociaux ont mis en place des observatoires locaux partir desquels ils relaient l information afin de l alimenter En ce qui concerne le Relais social urbain de Mons Borinage RSUMB la mise en place d observatoires locaux leur permet de gt Visualiser la pr carit locale au regard des ph nom nes wallons gt Cibler d terminer davantage la demande gt Adapter l offre des services L agent APE du relais social s est ainsi vu charg de d velopper ces observatoires et de participer l laboration et la mise en place de l observatoire de la pr carit au niveau wallon Les objectifs de l agent APE sont de favoriser les collaborations avec les services concern s de cibler les attentes de chacun d laborer de mettre en place et de g rer la centralisation des donn es collect es aupr s des partenaires ex fonctionnement outils ainsi que de relayer l information aupr s de l IWEPS et participer ses actions Un travail d harmonisation En 2010 au niveau wallon le travail effectu a t de d finir d harmoniser et de s accorder entre les relais sociaux l IWEPS et le Service Public de Wallonie sur les donn es qu il tait n cessa
113. nnelle qui existait jusqu ici Mons De plus la pr sence d Espace P permet d ouvrir la question de la prostitution Mons tant aupr s des travailleurs sociaux qu aupr s du citoyen Briser le silence qui entoure le ph nom ne prostitutionnel est d j un pas vers un changement des mentalit s et vers une d stigmatisation de la personne prostitu e hors zone Parmi les demandes spontan es qui nous arrivent nous en d nombrons certaines issues du Tournaisi En cons quence nous commen ons investiguer le terrain de la prostitution et les besoins en r gion tournaisienne subside R gion Wallonne Moyens compl mentaires auxquels le service pourrait requ rir et qui favoriseraient l autonomie du projet Nous avons obtenu depuis le 1er f vrier 2012 une subvention de l INAMI pour d velopper notre action de promotion de la sant Ce subside nous permet de tourner davantage sur le terrain en collaboration avec nos m decins partenaires 20h mois soit 4 h30 de travail de terrain par semaine En cons quence de ce nouveau subside INAMI nous avons pu engager un mi temps assistante sociale sur le subside R gion Wallonne Sant Celui ci a permis d augmenter le nombre de visites sur le territoire de Mons Borinage et de lancer un travail d investigation dans la r gion tournaisienne Dans l avenir un agr ment prostitution devrait voir le jour en R gion Wallonne Ce qui nous rendrait autonomes financi rement
114. nner le probl me en prenant en consid ration qu un bon objectif proposer est un mini objectif qui peut tre atteint avec succ s qui vise un comportement et auquel la personne adh re cr er un r seau de collaborations 4 L action sociale collective Elle permet aux personnes prostitu es de sortir de leur isolement et de partager leurs difficult s mais aussi leurs ressources Il s agit de proposer un lieu de rencontre o partager exp riences et r flexions permettre le partage des exp riences et r flexions via notre magazine trimestriel et des brochures organiser ventuellement des actions collectives pour briser l isolement 102 5 L action sociale communautaire Il s agit d agir galement sur l environnement des personnes prostitu es sensibiliser l opinion publique en permettant des personnes prostitu es de t moigner dans la presse crite ou audiovisuelle dans des livres lors de d bats colloques conf rences sensibiliser le SAJ le SPJ les maisons d accueil pour enfants la diversit des situations rencontr es sensibiliser les futurs intervenants sociaux dans les Hautes Ecoles et les intervenants sociaux des diff rents services de la r gion montoise sensibiliser les futurs policiers la police le parquet sensibiliser les politiques sur les bonnes pratiques Les objectifs et leur valuation Oui2 Comment Non Pourquoi Pr venir maladies sexuellement le
115. nt du Relais social en Centre de coordination et d appui L valuation 2013 Mons Borinage Hauts Pays C est le d but de l organisation du RSUMB en centre d appui 7 axes de travail sont d velopp s avec la m thode Prince 2 observatoire information concertation coordination de dispositifs formations soutien aux actions O mn mo ON gt financement de projets L observatoire Services propos s O O O Points positifs Construction d observatoires d finition choix des items organisation structuration soutien la cr ation d outils de r colte et d encodage accompagnement dans l utilisation Centralisation des informations et traitement des donn es Analyse des donn es et recoupage des besoins o Visualisation des mouvements o Objectivation des constats o Base support de d veloppement d autres produits et appui pour ceux r alis s Facilit d acc s aux donn es n cessaires aux divers rapports 128 Points am liorables O O O Lourdeur du proc d pour les partenaires et pour le RSUMB sans garantie de r sultat Difficult de simplification de l outil par manque de formation Sensibilisation des participants Croisement des donn es Analyse manque d outils statistiques Les objectifs buts et finalit s du projet bien les d finir au niveau des partenaires au niveau du relais social et au niveau de la DGO5 pour ne pas se disperser et utiliser au
116. nts types d interventions Nombre d aide m dicale ou pharmaceutique 23 Nombre d aides transport 0 Nombre d autres interventions 1933 Oo 0o0 oo DUS de nuit Utilisation de service Totaux annuels 2013 Nombre de jours effectifs d ouverture 365 Nombre d interventions 72 modalit s de l entretien Nombre d entretiens t l phoniques Nombre d entretiens au bureau Nombre d entretiens en d placements types d interventions Nombre d aide m dicale ou pharmaceutique Nombre d aides transport Nombre d autres interventions 78 3 2 P le DUS Boussu Frameries Quaregnon Chiffres P le DUS 31 octobre 2012 au 31 octobre 2013 sur base du rapport d activit s pour les P les DUS Introduction Ce document a t r alis suite l analyse des fiches individuelles d intervention Ce travail a galement mis en avant l absence de certains l ments qui pourraient tre pertinents dans le cadre du fonctionnement d un p le DUS et de l analyse qu on pourrait en faire en vue de d gager des pistes de travail et de r flexion utile pour l avenir Par exemple Donn e absente Cat gorie professionnelle or la r gion wallonne demande cette information Donn e souvent non compl t e Date de naissance Donn e souvent non compl t e Dernier domicile Donn e souvent non compl t e R ponse apport e Il serait int ress
117. oient inform s Le tout est plus que la somme de ses parties des collaborations ont lieu et n auraient pas t mises en place en dehors de ce cadre notamment avec une commune et 2 ASBL qui n avaient jamais r pondu nos sollicitations Une meilleure connaissance des services que propose le relais social Une image du relais davantage ax e sur l appui le soutien plut t que sur le contr le Indicateur voir questionnaire partenaires o 3 situations trait es en tables rondes qui ont trouv des r ponses imm diates en termes O O d interventions adapt es et d am lioration des situations Le r le du RSUMB est maintenant bien identifi par nos partenaires en ce qui concerne la coordination autour d une situation individuelle de crise Points am liorables O O Il n est pas toujours facile de savoir ce qui rel ve de la concertation de la coordination voire de l information Nos fiches m thodologiques ont t con ues pour r gler ce type de probl me Impulser la r alisation des id es au del de nos moyens ex participer la recherche de subventions ext rieures pour concr tiser des id es des projets Les formations Services propos s Organisation d un programme de formations supervisions gratuites annuel Ces formations sont dispens es par des formateurs ext rieurs au RSUMB Les frais li s ces formations sont pris en charge par le RSUMB Organisation de formations donn es par les me
118. oins primaires sans tre oblig d accepter l inacceptable L action sociale individuelle garantit un accompagnement social des personnes en difficult s personnelles comme par exemple les r ponses assur es en 2013 14 demandes de soutien dans la recherche d un travail d une formation 9 difficult s d ordre financier 6 difficult s en lien avec de l exploitation 6 demandes d informations sur le statut professionnel 3 difficult s dans le domaine du logement Am liorer le bien tre Cet objectif constitue la finalit de toutes les actions men es C est le fil conducteur de l enti ret du travail quotidien assur par Espace P depuis 5 ans maintenant 106 D noncer la paup risation croissante d une partie de la population Par notre action de sensibilisation de l opinion publique la r alit prostitutionnelle d j d crite 3 points plus haut Cette action nous permet lors de participations des d bats conf rences d animations dans les structures d enseignements de rencontres avec les acteurs sociaux judiciaires politiques et le citoyen d approcher le ph nom ne prostitutionnel montois borain sous un autre angle que celui exclusivement judiciaire contr les de Police et de l Inspection des Lois Sociales et ainsi d aborder directement cette question de la paup risation En brisant le silence qui entoure la prostitution Espace P travail
119. ole sociale Mons ISSHA et Master en ing nierie sociale nous avons cr un programme de formation qui s intitule le travail en r seau comment en faire un atout dans sa pratique professionnelle Elle a t dispens e pour la premi re fois en 2013 au sein du CITS Centre interdisciplinaire en travail social Nous avons organis des concertations ayant pour objets Suite ces rencontres nous avons r dig un document cadre avec les secr taires de CPAS qui a t accept et est utilis par les conseils de l actions sociale des CPAS partenaires pour d livrer les attestations sans abri Une valuation de l utilisation de ce document est pr vue en septembre 2013 Les rencontres ont consist une information sur la l gislation avec le SPF Int rieur et l Inspection de Mons la mise en place de strat gies de renforcement des accompagnements et la coordination avec les communes pour l octroi d une adresse de r f rence En 2013 nous valuerons l impact de ce travail sur la d livrance de l adresse de r f rence OO N Ces concertations on t organis es suite une sollicitation du logis Saint Ghislainois En effet dans le cadre des r centes modifications de l arr t organisant la location des logements g r s par les soci t s de logements de service public l Art 23 pr voit que le Comit d attribution peut d roger au syst me d attribution classique pour des raisons d urgence sociale
120. on centre de cure ou de postcure H bergement d urgence en voiture tente En squat Caravane Log s en famille chez un tiers en rue en logement priv E6 E l 3 m E 3 EN 7 0 BE 20 BE 26 BE 0 20 40 60 80 100 120 140 Nombre d utilisateurs diff rents issus de la Ville si ge r sidence est inconnu du RSU i Nombre d utilisateurs diff rents issus d une autre 42 commune de l arrondissement du Relais Nombre d utilisateurs diff rents issus d un pays transfrontalier France Allemagne Pays Bas GD 10 Luxembourg Nombre d utilisateurs diff rents issus d un autre pays Nombre d utilisateurs diff rents dont le dernier lieu de 7 Inconnues E 7 E 7 PRE RS 7 RS 5 RE 6 M 13 RE 6 PRE PE Autres VIF VEF Assu tudes Sant mentale psychologiques Sant physique hors handicap Handicap Emploi Formation Administratives Financi res Logement EE 0 0 50 100 150 0 constats pour orient s vers service immigration orient s vers service prostitution orient s vers service d Aide financi re orient s vers service d Aide administrative orient s vers service d accueil de jour orient s vers SIS orient s vers service d ducateurs de rue orient s vers Service d orientation sociale Autre orient s vers service Aide par rapport aux violences orient s vers service Aide la jeunesse orient s
121. ons en lien avec la qualit de vie la personne reste libre de s impliquer personnellement ou non dans la discussion couter sans juger ce qui a conduit la personne vers une situation qui lui pose ventuellement probl me et r fl chir avec la personne son probl me lui permettre de prendre du recul verbalisation de ce qui est agi ou ressenti ventuellement co criture de ce qui s est pass clarifier avec elle ses besoins et ses demandes creuser ventuellement du c t des espaces sans probl mes des comp tences proposer ventuellement un objectif atteindre en vue de solutionner le probl me en prenant en consid ration qu un bon objectif proposer est un mini objectif qui peut tre atteint avec succ s qui vise un comportement et auquel la personne adh re cr er un r seau de collaborations 4 L action sociale collective Elle permet aux personnes prostitu es de sortir de leur isolement et de partager leurs difficult s mais aussi leurs ressources Il s agit de proposer un lieu de rencontre o partager exp riences et r flexions permettre le partage des exp riences et r flexions via notre magazine trimestriel et des brochures organiser ventuellement des actions collectives pour briser l isolement 5 L action sociale communautaire Il s agit d agir galement sur l environnement des personnes prostitu es sensibiliser l opinion publique en permettant des personnes prostitu es de
122. ontre l h patite B et de frottis gyn cologique Projet qu il d couvre depuis maintenant 2 mois Le partenariat avec le laboratoire Olivier Depuis quelques semaines Espace P Mons collabore avec ce service dans le cadre du projet de vaccination contre l h patite B l instar des 4 autres antennes Espace P Le laboratoire nous fournit les d pistages sanguins concernant le Sida la Syphilis le Chlamydia et les h patites B et C les d pistages gyn cologiques ainsi que tout le mat riel de prise de sang tubes aiguilles holters Le partenariat avec le Cpas de Mons Le Cpas de la ville de Mons nous accueille depuis nos d buts au sein de leurs locaux avec une mise disposition de toute une infrastructure tr s pr cieuse pour notre fonctionnement Le partenariat avec l asbl Sida IST Charleroi Mons Nous travaillons en collaboration avec eux sur divers projets et tenues de stands de pr vention du sida et des Ist les Journ es Sant organis es par le Plan de Coh sion Sociale le Festival du film d amour de Mons le Salon de l Erotisme de Mons Le Collectif Sida de Mons Nous nous sommes ins r s au sein de ce groupe de r flexion qui a pour objectif de coordonner les actions de promotion de la sant en mati re de pr vention du sida men es par les diff rents acteurs de terrain pr sents sur le territoire de Mons Ce collectif r unit le Centre Local de Promotion de la Sant de
123. oration malgr le suivi social nous pallions une situation conomique catastrophique mais nous n en n avons pas le contr le O Que les professionnels Avaient tendance s essouffler et devenaient fatalistes Devaient s int resser la sant mentale pour travailler efficacement Devaient quitter de plus en plus souvent leur institution pour intervenir Avaient une image subjective de la situation socio conomique locale N taient pas toujours inform s des derni res circulaires ou de leur implication Avaient des pratiques efficaces qu ils ne demandaient qu partager Ne savaient pas comment tirer parti du travail en r seau o N avaient pas tous la pratique de la cr ation et de la mise en oeuvre d actions r pondant de nouveaux besoins O O O O O O O O Alors l id e de nous organiser en centre d appui pour accompagner les professionnels dans les r ponses apporter aux situations des b n ficiaires a fait son chemin Les projets subventionn s et les actions mises en uvre avec le Relais social en sont le reflet 90 IV 2 Objectifs g n raux et valuation des actions financ es par le RSUMB Le Dispositif d urgence sociale Institution Service CPAS de Mons Nom du projet le dispositif d urgence sociale du CPAS de Mons Subvention octroy e par le RSUMB 205 795 52 Postes concern s salaire fonctionnement Personnel 170115 52 3ETP assistante social
124. orinage sur base de leur nombre de b n ficiaires de colis alimentaires 3 communes TEST dans la premi re phase du projet Mons Frameries et Quaregnon et ventuellement dans une deuxi me phase d autres communes de Mons Borinage seront couvertes par l op ration de distribution A Mons Borinage l initiative se diff rencie elle est un partage de ressources et de comp tences entre sept diff rents acteurs quatre services publics Ville de Mons CPAS de Mons CPAS de Quaregnon et CPAS de Frameries et quatre ASBL ESOP l Entraide le Foyer saint Augustin et la Banque alimentaire de Tournai qui s associent pour r cup rer et redistribuer les denr es Bref une seule quipe compos e d agents et de b n voles des services partenaires r cup rera les produits dans les magasins et les redistribuera aux sept services concern s pour le moment La liste des ASBL n est pas exhaustive Ces derni res se sont engag es dans le cadre du lancement du projet D autres pourront rejoindre le projet en cours et s y associer C est un exemple unique de travail en r seau qui a r ussi f d rer des acteurs publics et priv s pour concr tiser un projet utile l attention des femmes et des hommes en situation pr caire Public cible du projet Les personnes en situation de pr carit Objectifs g n raux du projet Proposer des colis alimentaires compos s de denr es conservation courte et longue via les ASBL qui composent
125. ormatives Liste des services actuels Un soutien m thodologique dans la r alisation d un projet soutien logistique animation des r unions soutien dans la communication du projet Le financement de projets recherches de subvention dans d autres pouvoirs subsidiants Les points positifs Un d veloppement progressif de nos comp tences accompagnement et en gestion de projet PRINCE2 notamment Une enveloppe budg taire importante en mati re de financement de projet 730 000 132 Les points am liorables Pas assez de projets qui naissent au d part de la concertation entre intervenants ou encore des statistiques collect es manque de lien entre nos services Le fait qu on nous demande de financer essentiellement des projets nouveaux alors que certains projets sont financ s de mani re r currente Si notre mission de financement de projet est bien identifi e par les partenaires c est moins le cas par rapport au soutien m thodologique que nous pouvons apporter L valuation des projets financ s Peu de r ponse l appel projet annuel pour les institutions du Borinage et des hauts pays Pas toujours facile pour un partenaire de savoir si un projet rentre dans nos crit res ou pas notamment par rapport au public et aux types de probl matiques associ es 133 B Le relais sant Voir rapport d activit du Relais Sant pour les informations compl tes Tableau r capitula
126. our de s ances de relaxation Ces activit s sont le fruit d un travail de partenariat avec des services ext rieurs Dans toutes les institutions o des permanences sont prest es les infirmi res ont r pondu aux demandes d informations par des s ances de sensibilisation et d ducation la sant ainsi que par des formations sur des sujets li s la sant et ce tant l attention des usagers que des quipes Les usagers ont principalement b n fici d ateliers ludiques tels que des ateliers cuisine vitamines di t tique et des ateliers plus cibl s tels que sur la gestion de la fi vre et de la douleur Une collaboration s est cr entre le Relais Sant et une maison m dicale dans une volont d changes de bonnes pratiques en vue d une prise en charge optimale du public cible participation des r unions de service Une autre s est mise en place avec le R seau assu tudes de Mons Borinage RAMBo afin de r pondre aux demandes li es aux difficult s rencontr es dans les institutions en mati re de consommations de produits ce qui a permis aux intervenants sociaux de pouvoir b n ficier d une s rie de s ances d informations ce sujet Le Relais Sant a aussi mis en place un kit hospitalisation l attention des usagers les plus d munis Cela permet chacun de pouvoir disposer du n cessaire minimum en v tements et mat riel d hygi ne en vue d une hospitalisation et ce de mani re
127. positive dans l ensemble des secteurs l exception du secteur de la sant Nous pensons que cela s explique par la place de plus en plus importante du relais sant et qui lib re d une certaine fa on et en partie le relais social des aspects li s la sant Les activit s collectives du relais sant ne sont en effet pas reprises dans ces chiffres Chiffres par type d intervenants y7 e e e x A S S a E ES g S LE gS SO SN ES OS S N D SX 5 V g CS E Intervenants 2012 E Intervenants 2013 e Nos activit s continuent tre essentiellement destin es aux travailleurs de terrain e On constate une l g re diminution en ce qui concerne les responsables d institutions ainsi que les agents administratifs e Par contre nos activit s plus nombreuses destin es aux tudiants mais aussi aux b n ficiaires et citoyens expliquent l augmentation des chiffres les concernant Formation et supervision Le tableau ci dessous indique l volution du nombre de participants une activit de formation ou de supervision entre 2010 et 2013 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 15 E Formation E Supervision Participants Participants Participants Participants 2010 2011 2012 2013 e Nous n avons pas les chiffres relatifs au nombre de participants concern s par une sup
128. pour les AS de l aide g n rale en vue de faciliter le suivi et l accompagnement des personnes inscrites en adresse de r f rence e Evaluation du travail men en 2012 sur la d livrance des attestations sans abri e Elaboration d un mode de r colte des donn es chiffr es relatives aux attestations sans abri et aux adresses de r f rence e En collaboration avec les soci t s de logement information aux CPAS sur la possibilit pour les soci t s de logement d attribuer un logement pour des situations d urgence sociale Art 23 Notre souhait tait de renforcer noc collaborations avec les soci t s de logement social actives sur notre arrondissement administratif Pour cela Suite une sollicitation du logis Saint Ghislainois nous avons organis des rencontres autour de la possibilit nouvelle pour les SLSP d attribuer un logement pour des raisons d urgence sociale art 23 Lors de ces rencontres nous avons e Men une r flexion sur les modalit s d application de cette possibilit l chelle locale Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 37 e D gag une mani re de fonctionner commune au regard des l ments point s dans la circulaire et au regard de la r alit locale e Organisation d une rencontre afin d informer les CPAS de l AAM e Elaboration des crit res d valuation en ce qui concerne ce type d attribution en vue de r aliser
129. primante P 16 998 5 18 878 50 F 1 880 d plac Accueil T l Internet Loc photocopieur fax P 15 000 ETP gradu commission paritaire 332 221 19 000 F 4 000 mat riel pour les ateliers et entretiens individuels frais de t l phone de copies P 9 000 Psychologue 14H par mois 12 000 P 3 000 Am nagement de l Espace t l phone d placement 13 500 Salaire pour 6 mois 1 000 de fonctionnement car l Entraide n a pas la tr sorerie pour engager avant mai 2013 18 300 le C P a enlev des frais de fonctionnement comme prioris dans les crit res 9 500 La personne pour le projet n ayant pas encore t engag e et la priorit tant aux emplois existant le C P souhaite donner une impulsion au projet jusqu ce que le Planning soit agr comme centre de r f rence parentalit 0 Un psychologue sp cialis en accompagnement des personnes d racin es existe d j au Relais Picardie gratuit 733 880 P1 301 262 92 enveloppe minimale M dias Relais Picardie D U S C P A S Mons Saint Paul RSUMB L enveloppe tant d pass e nous enl verions ce d passement au D U S si nous ne pouvions Projets prioritaires b n ficier de l enveloppe maximale Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 56 voir rapport d activit s annex Rapport d va
130. r sent afin d assurer la s curit de l abri et dans l abri Cette pr sence permet aux personnes h berg es de se poser et de se reposer en toute qui tude Le matin une assistante sociale est pr sente afin de mettre en place un suivi sp cifique l abri de nuit orient vers une recherche de solution durable ou moyen terme en fonction des besoins et des demandes des personnes h berg es La journ e un ducateur est pr sent il sert d une part de lien entre l assistante sociale qui fait les entretiens du matin et l ducateur qui fera la soir e et d autre part accompagner les personnes qui ont un r el besoin d accompagnement physique Cet ducateur assure galement la liaison entre le DUS et le centre d accueil pour femmes en d tresse afin d assurer l accompagnement social et ainsi assurer le tremplin Plus value apport e par le projet La n cessit de la pr sence d un abri de nuit sur le territoire de Mons n est plus vraiment d montrer En effet un taux d occupation tr s haut de 70 d occupation en 2011 un nombre de nuit e en augmentation sont les meilleurs arguments quant la n cessit de notre pr sence D autre part la collaboration active avec les acteurs du r seau sans abris est telle qu il est rare qu une prise en charge ne soit pas possible Les dur es d h bergement sont dans certains cas n goci es avec ces acteurs afin de leur permettre de mener leur projet terme
131. r ces donn es dans le rapport d activit annuel du RSUMB e Soutenir m thodologiquement une institution qui souhaite mettre des actions en place en mati re de recueil de donn es Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e Remise des donn es quantitatives par les partenaires e Augmentation ou non du nombre d institutions qui participent l observatoire RSUMB e Possibilit ou non de traiter et d analyser les donn es recueillies e impact ou non de l observatoire sur les autres axes de travail du RSUMB e Int gration ou non des donn es dans le rapport d activit e Capacit ou non du RSUMB d gager des tendances en lien avec la grande pr carit e Nombre de sollicitations dans le cadre d un soutien m thodologique la r colte de donn es Liste des institutions de Mons qui font l objet d un recueil de donn es l heure actuelle Liste des donn es r colt es par institution Document liste institution et type de donn es Liste des institutions du Borinage et des Hauts Pays qui font l objet d un recueil de donn es Liste des donn es r colt es par institution Document liste institution et type de donn es Liste des institutions qu il serait utile d int grer l observatoire Document liste institutions et Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de donn es obtenir
132. r de Mons Soins Relais Sant H pitaux Le Relais Sant pour les soins non urgents contact avec le secteur m dical information aupr s des professionnels sur les sympt mes auxquels tre attentifs et les premiers gestes en cas de n cessit Les urgences S 112 Information Relais Social Des folders d informations sur les pr cautions en cas de canicule ou pic d ozone l attention du public sont disponibles aupr s du Relais Social De plus amples informations et documentations sur les pr cautions et les gestes sur le site www rsumb be onglet plans saisonniers sur la gauche Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 45 Actions sur le Borinage et les Hauts Pays Le RSUMB s ouvrant progressivement aux op rateurs sociaux du Borinage et des Hauts Pays nous envoyons cette ann e un mail d information aupr s des communes et CPAS situ s sur notre arrondissement administratif Ce courrier a pour objectif d informer de l existence d un folder qui peut tre diffusable au public cible de chacune des institutions qui y sont implant es donner quelques aiguillages quant aux mesures qui peuvent tre prises ainsi que de rappeler que les infirmi res du Relais Sant peuvent tre interpell es pour toute situation qui n cessiterait de soins infirmiers en cas de pr carit Le RSUMB est vigilant quant aux conditions m t orologiques et infor
133. r la compr hension des actes professionnels pos s et en tirer les enseignements permettre aux travailleurs de s exprimer sur des faits qui mettent parfois des quipes en difficult et en opposition Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 51 s exprimer sur le v cu de leur quotidien en dehors de la hi rarchie permettre aux travailleurs de s affirmer Supervision de l urgence sociale de jour Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es 2 assistantes 12 heures D finir le concept de l US de jour et en harmoniser les pratiques sociales Analyser le fonctionnement organisationnel des agents et du service charg de r pondre l urgence Analyser les comportements adapt s aux r ponses urgentes D velopper une pratique plus coh rente en ad quation avec les besoins des usagers les exigences de l institution et l organe subsidiant Op rationnels Examiner partir des exp riences de premi re ligne le concept d urgence sociale que recouvre t il Quand y a t il r ellement urgence Comment harmoniser les pratiques de traitement de l urgence au sein de l quipe sauf si cela a t abord lors de la supervision 2010 Analyser le fonctionnement organisationnel du traitement de l urgence sociale partir de l exp rience de terrain des intervenantes pr pos es au trai
134. r notre territoire dans le projet 107 et dans le r seau RAMBO Dans ce contexte nos objectifs sont e D effectuer dans chaque r seau le lien avec le secteur de la grande pr carit e Impulser et collaborer la mise en place d actions d autres r seaux en lien avec le th me de la pr carit e Apporter le point de vue et l expertise du relais social en mati re de pr carit dans les autres r seaux e Amener notre expertise m thodologique du travail en r seau A la demande de plusieurs CPAS nous avons accept d animer un groupe r unissant des agents d insertion actifs au sein des CPAS Si nous ne faisons pas directement de coordination dans ce contexte nous voyons l une mani re de mieux conna tre les services d insertion et ainsi de mieux travailler au sein du RSUMB la question du passage de l urgence l insertion ES A la demande de plusieurs SIS nous avons accept d animer une groupe r unissant les SIS priv s et publics actifs sur Mons Borinage Si nous ne faisons pas directement de coordination dans ce contexte nous voyons l une mani re de mieux conna tre les services d insertion et ainsi de mieux travailler au sein du RSUMB la question du passage de l urgence l insertion Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 39 Outre des interventions ponctuelles en mati re de travail en r seau au sein des coles sociales de la r gion Ec
135. re d utilisateurs orient s par H bergement abri de nuit ou autre forme d HU 0 Nombre d utilisateurs orient s par H bergement maison d accueil 19 Nombre d utilisateurs orient s par H bergement autre forme 0 Nombre d utilisateurs orient s par un service d aide au logement 0 Nombre d utilisateurs orient s par un DUS 23 Nombre d utilisateurs orient s par un autre service du CPAS 50 Nombre d utilisateurs orient s par la police Nombre d utilisateurs orient s par une mutuelle Nombre d utilisateurs orient s par un service migration Nombre d utilisateurs orient s par un service prostitution Nombre d utilisateurs orient s par un service aide financi re Nombre d utilisateurs orient s par un service aide administrative Nombre d utilisateurs orient s par un service Aide emploi formation Nombre d utilisateurs orient s par un service d accueil de jour Nombre d utilisateurs orient s par un SIS Nombre d utilisateurs orient s par un service d ducateurs de rue Nombre d utilisateurs orient s par un services d orientation sociale Autre Nombre d utilisateurs orient s par un service pour personnes handicap es Nombre d utilisateurs orient s par un service de Soins de sant physique Nombre d utilisateurs orient s parun service de Soins de sant mentale Nombre d utilisateurs orient s par un Service sp cialis assu tudes Nombre d utilisateurs orient s par un service d aide mat rielle aliments v tements mobilier socio sanit
136. rification et Atteint 139 pharmacie d urgence R pondre aux besoins en termes de soins de sant directement en rue mat riel n cessaires dans une pharmacie d urgence aupr s du service r approvisionnent dans la continuit de soins Mettre jour et r approvisionner la pharmacie d urgence Hebdomadaire Atteint Accompagner les travailleurs de rue pour aller la 2h semaine minimum Atteint rencontre du public qui se trouve en rue Prodiguer les soins demand s par les usagers ou En rue Atteint donner un traitement de premi re ligne dans les En squat limites des comp tences infirmi res la gare Un r le ducatif et pr ventif tr s important Atteint Sensibiliser le public afin de l amener dans le centre d accueil Partiellement atteint 140 Le Relais Sant comptabilise 506 dossiers ouverts de patients dont 113 nouveaux Les permanences ont t effectu es dans 5 institutions dont une r partie sur deux sites Le Relais Sant tente de se rendre autant que possible disponible et l coute des usagers ainsi que par rapport aux attentes des intervenants sociaux principalement travers la pratique de soins et des actions en ducation la sant Cette ann e les maisons d accueil pour femmes seules ou avec enfants ont notamment pu b n ficier de s ances r guli res d haptonomies l attention des mamans et les usagers en centre d accueil de j
137. rimo utilisateurs diff rents am 244 50 100 150 200 250 300 E S rie1 Nombre d utilisateurs diff rents de nationalit inconnue Nombre d utilisateurs diff rents trangers hors UE Nombre d utilisateurs diff rents trangers UE Nombre d utilisateurs diff rents belges O 50 100 150 200 250 300 350 E S rie1 60 source de revenus est inconnue Es 18 autres types de revenus 1 sans ressource financi re ME 77 allocations aux personnes handicap es DONS 23 indemnit s de mutuelle OO 45 pension de retraite DO 22 RI o d une autre aide sociale ON 75 allocation de ch mage OO 45 avec revenus professionnels Een 12 0 20 40 60 80 E S rie1 100 140 123 120 100 80 67 60 39 40 20 14 0 0 o0 0 E 2 0 ES Si F 5 5 e gt LS ST ES NES ES SR es ESS SE RY X ES R3 x N 4 CA Kg NE LE SE N2 S S X amp lt S S amp RA JS S PN oo ES Ko lt E S rie1 61 dont le dernier lieu de r sidence estinconnu JE s issus d un autre pays Es 27 issus d un pays transfrontalier O issus de la r gion de Bruxelles D 13 issus de la r gion flamande 3 issus d un autre arrondissement wallon E 80 issus d une autre commune de l AAM 40 issus ce la Vile s ge du RSU M 7 0 20 40 60 80 100 120 140 160 E S riel Nombre d utilisateurs diff rents qui rencontrent des difficult s de Inconnues 0 autres 4 VIE
138. rir un service sp cifique aux personnes victimes de violences intrafamiliales la zone Mons Borinage Orienter voire accompagner les personnes vers les services ad quats afin de leur viter d tre confront es une multitude d intervenants et de devoir expliquer leur situation et leur v cu chaque reprise 97 dans le cadre de la gestion des difficult s relatives l exclusion sociale Assurer un h bergement d urgence des femmes victimes de violences conjugales avec ou sans enfant s 98 Post h bergement Maison d accueil Saint Paul Institution Service ASBL Maison d accueil Saint Paul Nom du projet Post H bergement Subvention octroy e par le RSUMB 19 300 Poste concern ETP ducateur classe 1 pour le suivi post h bergement Montants Attribution du subside nom du contractuel postes de d penses Personnel 19 300 2 ETP ducateur Fonctionnement N ant Postes salaire fonctionnement 2 ETP P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 au 31 12 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 50 pour le projet Constat s de d part ayant eu pour effet la cr ation du projet financ par le RSUMB Depuis une vingtaine d ann es la Maison d Accueil Saint Paul assure la guidance post h bergement de 30 50 personnes en permanence en fonction des ann es Ce nombre ne cesse de cro tre 62 personnes suivies au 31
139. rit sur le territoire de Mons Borinage Par organisation nous entendons invitation logistique animations r daction des PV 129 Par concertation nous entendons Echanges D bats partage d exp riences indentification de difficult s communes recherche collective de solution s groupe de travail Les points positifs O O Relais social est pr sent clairement identifi comme une institution l gitime de concertation entre CPAS Attestations sans abri adresse de r f rence Maintien dans le temps des concertations et s ances d information habituelles Le relais social fait aussi de plus en plus l objet de sollicitations pour des comp tences sp cifiques Animation gestion de projet Groupe inter acteurs de Colfontaine Service d insertion sociale et socio professionnelle des CPAS Sollicitations croissantes galement en termes d interventions ASBL Droits et devoirs ISSHA Ecole sociale Condorcet La cr ation effective d un p le DUS et la dynamique de travail en r seau associ e Partages de pratiques r guliers Mise en place d un document cadre entre CPAS pour l attestation sans abri Mise en place de strat gies de renforcement des accompagnements et la coordination avec les communes pour l octroi d une adresse de r f rence Permettre chaque soci t de logement de s exprimer sur la modification de l arr t article 23 r flexions d j men es pistes en
140. rs effectifs d ouverture Nombre d accueils 4159 dont nombre d accueil hommes 3617 dont nombre d accueils femmes 541 dont nombre d accueil mineurs NA 1 Nombre de total de repas 2102 dont nombre de repas chauds payants 528 dont nombre de repas tartines gratuits 1574 Nombre de colis 0 Nombre d interventions infirmi res Nombre d activit s propos es par l institution 111 Nombre d activit s propos es par des partenaires de l institution 16 Nombre de douches 1107 Nombre de machines laver 29 Nombre d entretiens individuels en vue d marches sociales 622 Nombre d changes de seringues 0 Nombre d coutes 1187 Nombre d autres interventions 350 Nombre de refus 27 Nombre de refus manque de place 0 dont refus arriv e hors horaire 1 dont refus non respect du ROI 23 dont refus structure non adapt e 1 dont refus raison non pr cis e 2 Nombre d exclusions en cours d accueil 29 73 3 DUS 3 1 Dispositif d urgence sociale de jour et de nuit du C P A S de Mons Le personnel gardes Cadre 2 assistantes sociales Nombre d ETP et de TS au sein de l quipe 2ETP 564 hommes 318 femmes 2 non communiqu s mineur non accompagn DUS de jour hommes ge inconnu partir de 60 ans et 55 59 ans 50 51 ans 45 49 ans 40 44 ans 35 39 ans 30 34 ans 25 29 ans 18 24 ans et mineurs mancip s DUS de jour f
141. s Un regard sur le financement de projets Borinage Hauts pays entre 2009 et 2013 A l image de l ensemble de la m thodologie g n rale du RSUMB nous souhaitons constituer un centre d appui aux institutions actives sur le Borinage et les hauts pays et donc d velopper nos six axes de travail savoir o L observation et la collecte de donn es quantitatives et qualitatives en lien avec nos th matiques de travail Il sera notamment important de travailler sur le lien entre ces diff rents axes de travail Ex Qu une difficult point e en concertation observ e dans nos statistiques fasse l objet d un groupe de travail et d bouche sur le financement d un projet et le soutien sa mise en uvre l image du Pole DUS Quaregnon Frameries Boussu il para t important de continuer travailler dans le sens d une dynamique intercommunale et interinstitutionnelle an mati re de prise en charge des situations d urgence sociale et d h bergement d urgence extension du p le cr ation d un second p le Une attention particuli re est port e sur le fait que les intervenants sont particuli rement sollicit s pour des r unions concertations RAMBO Plate forme sant mentale Projet 107 plans de coh sion Dans ce contexte il nous para t utile de d velopper davantage de groupe de travail de plus petite taille autour d un projet pr cis et concret et de limiter les s ances inf
142. s transmissibles en milieu prostitution de Nos tourn es en partenariat avec nos m decins g n ralistes sont chaque fois une s ance de pr vention En 2013 cela repr sente 62 tourn es de 3h soit 186h de travail de pr vention sur le terrain 180 actes m dicaux d pistages sanguins et gyn cologiques vaccinations et traitements confondus effectu s aupr s de 78 personnes prostitu es diff rentes suivies m dicalement par Espace P En 2013 toutes actions confondues terrain permanences d accueil t l phone et internet sur les 174 personnes avec qui Espace P est entr en contact 110 personnes travailleurs du sexe clients et entourage confondus ont sollicit Espace P pour 80 demandes d un d pistage et ou d une vaccination 71 demandes d informations sur le sida et les IST 22 demandes de mat riel de pr vention Ventes sur les lieux de prostitution montois de 6350 pr servatifs 70 tubes de lubrifiant et 500 ponges vaginales Distribution gratuite de 10 000 pr servatifs et 500 n uds rouges Distribution de 300 brochures Les IST en question Safesex qui sont des guides pratiques d informations sur les maladies sexuellement transmissibles Distributions d autres brochures comme La pilule du lendemain D chirure ou glissement du pr servatif Fellation sans pr servatif et autres brochures de pr sentation des services partenaires
143. s notre mission doit tre que e L information circule bien entre les institutions et les intervenants du r seau e Les informations sur les activit s des services puissent tre connues des b n ficiaires mais aussi de tout citoyen e Les informations relatives aux services soient actualis es en permanence e Des informations utiles en mati re d aide aux personnes pr caris es soient accessibles un maximum de professionnels Organisation de s ances d information colloques conf rence e Objectifs g n raux de ces s ances d info colloques conf rences o Permettre de dispenser des informations un groupe de professionnels ou tout citoyen Permettre de pr senter des outils des services des projets aux professionnels Permettre aux intervenants d exploiter ces diff rentes informations pratiques th oriques dans le cadre de leur activit s Permettre l change et le partage d exp rience entre intervenants Donner la parole des experts du secteur de l aide aux personnes en situation de pr carit e Liste des s ances d information colloques et conf rences d j dispens es par le RSUMB Voir document annexe e Liste des lieux d j utilis s e Voir document annexe e Liste des th matiques utiles d velopper l avenir e Voir document annexe e Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but e identific
144. s en mati re de sant et d accompagner nos usagers vers une couverture sociale En 2013 nous avons demand 88 des travailleurs sexuels rencontr s s ils b n ficiaient de la s curit sociale 14 ne sont pas en ordre de mutuelle Notre service social tente de rem dier cette r alit en r orientant les personnes vers le Relais Sant les CPAS pour l Aide M dicale Urgente et les services sociaux des mutuelles Lors de contacts individuels avec les personnes prostitu es nous constatons que Les probl mes d argent Les probl mes de toxicomanie Les probl mes de s jour La crainte de devoir r v ler l activit de prostitution La peur de devoir affronter l annonce d un d pistage positif HIV IST L envahissement par les probl mes priv s L absence de mutuelle sont autant d obstacles qui arr tent les personnes prostitu es dans une d marche de sant D autre part 75 des travailleurs sexuels rencontr s d clarent avoir un m decin traitant mais seuls 29 d entre eux informent celui ci de leur activit de prostitution Ces deux l ments sont ind niablement des crit res justifiant l importance de l action m dicale et sociale d Espace P 105 Faciliter l insertion sociale des personnes prostitu es 1 Par l action sociale d aide individuelle En 2013 nous avons r pondu 14 demandes de soutien dans la recherche d un travail d une formation 7 di
145. s et aux supervisions de l quipe du centre de jour R aliser des formations l attention des intervenants sociaux R aliser mettre en place et g rer la pharmacie d urgence Renforcer la relation m re enfant par le soin Espoir 2h sem Suivre les consultations ONE Promouvoir la pr vention et l ducation la sant R aliser des formations l attention des intervenants sociaux R aliser mettre en place et g rer la pharmacie d urgence Renforcer la relation m re enfant par le soin Kangourou 2h sem Suivre les consultations ONE Promouvoir la pr vention et l ducation la sant 134 R aliser des formations l attention des intervenants sociaux R aliser mettre en place et g rer la pharmacie d urgence Maison Saint Permettre l usager d acqu rir une autonomie dans la gestion de Paul et ST Paul 6h sem son traitement la sortie d h bergement univ rsit R aliser des formations l attention des intervenants sociaux Promouvoir la pr vention et l ducation la sant Idem que pour les structures d h bergement sauf que les consultations infirmi res se font la demande et non lors de AAM variable permanences fixes Promouvoir la pr vention et l ducation la sant 4 AAM Arrondissement administratif de Mons reprenant les communes suivantes Boussu Colfontaine Dour Frameries Hensies Honnelles Jurbise Lens Mons Quaregnon Qu vy Qui vrain Saint Ghislain
146. s par un service logement 0 Orient s par un service de Soins de sant physique mentale 368 toxicomanie Orient s par un service d aide alimentaire mat rielle et ou 42 116 vestimentaire Orient s par un service caract re social 423 Autres types d orientation 47 Orientation inconnue 13 117 Dispositif mobile grande pr carit et sant mentale M dias Institution Service M dias SPAD Nom du projet Dispositif mobile grande pr carit et sant mentale Subvention octroy e par le RSUMB 48 788 09 Postes salaire fonctionnement Personnel 48 788 09 fa ETP A1 4 ETP universitaire Fonctionnement n ant P riode de mise en uvre du projet subventionn Du 1er janvier au 31 d cembre 2013 Part du le financement du RSUMB dans le projet service Objectifs g n raux du projet Pr venir les maladies sexuellement transmissibles en milieu de prostitution Pr venir les violences Pr venir les risques li s l usage de drogues Favoriser l usage d une contraception Favoriser l acc s aux soins et une couverture sociale Faciliter l insertion sociale des personnes prostitu es Am liorer l autonomie conomique pouvoir satisfaire ses besoins primaires sans tre oblig d accepter l inacceptable Am liorer le bien tre Lutter contre la stigmatisation l exploitation et les violences dont sont victimes
147. sociale La continuit de l aide alimentaire malgr la quasi disparition du BIRB __ L vitement du gaspillage au profit de personnes n cessiteuses La centralisation de la r cup ration avec une redistribution quitable Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 48 V La formation Les formations donn es par l quipe du RSUMB e Une formation la gestion de projets et leur suivi e Une formation la mise en route au d veloppement d une petite ASBL caract re social e Une formation continu e au CITS intitul e Le travail en r seau dans le secteur de l action sociale comment en faire un atout dans sa pratique professionnelle Cette formation donn e par notre coordinateur adjoint Eric Ghyot est le r sultat de plusieurs ann es de construction d outils de travail en r seau pour les intervenants Pr sentation g n rale La notion de travail en r seau n est pas neuve mais elle a progressivement int gr le champ de l action sociale au point qu aujourd hui des professionnels ont pour mission principale de faire vivre ces r seaux de plus en plus nombreux et institutionnalis s En tant que travailleur social de terrain face des situations de plus en plus complexes comment se positionner au sein de ces dynamiques qui d passent les fronti res institutionnelles qui peuvent parfois appara tre contraignantes mais qui au final poursuiven
148. squ la limitation de la consommation d eau via r glement de police voire l intervention de la protection civile Information aupr s de la zone de police locale service incendie et CPAS de la commune pes 3 z S SPF RSUMB ro 5 Avertissement aux services de sant et de Distribution d eau en D g 2 2 D si B 2 O proximit gouverneurs police et protection civile rue o 4 S e Q 2 Campagne m diatique pour la population Vigilance accrue lors des E Ew A Call center 02 524 97 97 maraudes avec Relais a q Sant E f Lg Avertissement aupr s des a services sociaux 9s z SPF RSUMB o A E YN P Avertissement aux services de sant et de Avertir les services n z proximit gouverneurs police et protection civile Mise disposition du g g Campagne m diatique pour la population Relais Sant zxg 3 Call center 02 524 97 97 Sensibilisation au 52 i 2E v signalement aupr s des uo E Eo Lo gt commer ants Le oo t ia Ur ee NE Sensibilisation des w oA 10 5 V services une SECESE Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 43 SPF RSUMB Mise en place d une cellule de crise avec Avertir les services d signation d un manager Mise disposition du Avis aux professionnels de la sant et de Relais Sant proximit au sens large gouverneurs pol
149. t l occasion de proposer ce type d aide Favoriser les r flexions sur les choix de vie et soutenir les choix de vie qui vont dans le sens d une am lioration du bien tre Notre philosophie d action non jugeante et le travail de proximit avec notre public favorisent le d veloppement du lien de confiance pr liminaire essentiel la construction d un espace de libert de parole d coute active et d changes Briser l isolement En allant la rencontre de notre public et en distribuant notre magazine trimestriel recueillant entre autres des t moignages de personnes prostitu es Am liorer l environnement des prostitu es en luttant contre l apparition d un r gime r pressif qui p nalise les prostitu es ou les clients En allant la rencontre des services judiciaires en vue de les sensibiliser notre r alit de terrain et en d fendant la reconnaissance d un statut professionnel pour les personnes prostitu es 110 Changer les mentalit s pour que les personnes prostitu es soient consid r es comme des citoyennes part enti re et d stigmatis es En participant la r daction de notre trimestriel en allant la rencontre des autres services sociaux locaux pour pr senter notre r alit de terrain en rencontrant des journalistes des tudiants en tenant des stands d informations en diffusant des t moignages D velopper des
150. t moigner dans la presse crite ou audiovisuelle dans des livres lors de d bats colloques conf rences sensibiliser le SAJ le SPJ les maisons d accueil pour enfants la diversit des situations rencontr es sensibiliser les futurs intervenants sociaux dans les Hautes Ecoles et les intervenants sociaux des diff rents services de la r gion montoise sensibiliser les futurs policiers la police le parquet sensibiliser les politiques sur les bonnes pratiques Partenaires du projet Le partenariat avec le Relais Social de Mons Borinage Nous avons sign la Charte du Relais Social dans le courant du mois de juin 2009 Le Relais Social de Mons est un pr cieux partenaire tant sur le plan des subsides qu il nous accorde que sur le plan logistique dans la mise en place de certaines activit s Ce partenaire nous permet de rencontrer r guli rement les autres services sociaux actifs sur Mons et sa r gion en nous invitant aux s ances de r flexion et de formation qu il organise Le partenariat avec le Docteur Chica Kakubusu 119 Le docteur Chica Kukabusu qui assure avec nous les tourn es de terrain dans le cadre de notre projet sant d pistage sida et Ist vaccination contre l h patite B et frottis gyn cologique Le partenariat avec le Docteur Damien Godart assistant en m decine du Docteur Chantal Dutron Le docteur Damien Godart a accept de se lancer dans le projet de d pistage sida et Ist de vaccination c
151. t de l abri de nuit est essentielle Pour les statistiques d accueils et de population voir la partie quantitative du pr sent rapport tableaux IWEPS L abri de nuit de Mons Institution Service l abri de nuit du CPAS de Mons Nom du projet Structure d h bergement de nuit pour hommes et femmes Subvention octroy e par le RSUMB 99 187 11 17 953 43 abri de nuit suppl tif jusqu au 15 3 Postes concern s salaire fonctionnement Personnel 99 187 11 2 ETP ducateur A2 2 ETP assistante sociale 17 953 43 2 ETP ducateur A2 du 1 1 au 15 3 1 ETP veilleur du 1 1 au 15 3 Fonctionnement N ant P riode de mise en uvre du projet subventionn du 01 01 2013 au 31 12 2013 suppl tif du 1 1 au 15 3 92 Part du financement du RSUMB dans le projet service 27 du budget pour le projet en personnel les autres fonds APE Maribel Art 60 Fonds Vandelanotte Objectif g n ral assurer l accueil inconditionnel la nuit de toutes personnes majeures se retrouvant sans logement Activit s r alis es dans le cadre du projet Le travail social mis en place l abri de nuit se passe en trois phases accueil de soir e o la personne est accueillie encadr e et s curis e Un bref entretien est fait afin que nous puissions conna tre la personne mais surtout afin d expliquer le fonctionnement du service lecture et signature du ROI La nuit o le veilleur est p
152. t les m mes enjeux li s au bien tre des personnes qui se retrouvent un moment donn en difficult Multiplication des r unions et des d marches partenariales souci permanent d une approche transversale dans la prise en charge des situations etc pas toujours facile de trouver sa place en tant qu intervenant social Quelles formes prend le travail social en r seau l heure actuelle Quelles diff rences avec un partenariat Quels sont ses avantages mais aussi ses inconv nients Quels outils s associent une dynamique de travail en r seau et comment se les approprier De quelle mani re en tant que travailleur social se positionner de mani re ad quate dans un secteur en volution permanente et au sein duquel le travail en r seau occupe une place de plus en plus importante Autant de questions qui seront centrales durant cette formation Objectifs Au d part de leur propre pratique amener les participants poser un regard critique sur les formes que prend le travail en r seau l heure actuelle dans le secteur de l action sociale Se familiariser aux outils qui sont associ s au travail en r seau et se centrer sur des m thodes coh rentes et adapt es en vue de se les approprier Cr er un maximum de ponts et passerelles entre des pratiques de terrain et des pratiques de r seau en s appuyant sur leur compl mentarit Permettre aux participants d identifier les avantages du travail en r seau
153. tement des situations urgentes l accueil du CPAS de Mons utiliser les constats et le travail effectu pour permettre un nouveau d part l quipe remani e Supervision de l accompagnement de femmes victimes de violences intra familiales Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es 1 assistante sociale 12 heures Avec la m thode de th rapie br ve syst mique et strat gique 3 ducateurs 1 psychologue apporter un regard ext rieur sur les situations prises en charge par l quipe tre capable de g rer ses propres motions face aux r cits de vie de femmes victimes de violences Lot 8 Formation la communication non violente Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es Les 18 travailleurs 4 demi Comment viter les bras de fer les cueils des Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 52 sociaux d une maison d accueil pour hommes journ es communications qui s enlisent ou tournent l affrontement Comment viter et g rer les malentendus qui naissent de la communication Comment viter ou faire face l agressivit qui surgit dans certaines situations Comment se mettre en position d couter ce que vit l autre et de se faire entendre de lui D s la d
154. tif des objectifs 2013 NBRE SERVICE HEURES R aliser les soins de premi re ligne Tronc commun Maintenir le lien avec le r seau classique de soins tous les l Sred PE E w i services Respecter le caract re de confidentialit et de secret professionne R aliser le suivi de dossiers R pondre aux besoins en termes de soins de sant directement en Travail de rue 2h sem rue G rer les m dicaments des usagers R aliser les consultations infirmi res Tronc commun TF f pour les Suivre les consultations m dicales des usagers et lien avec le corps services m dical d h bergement Mettre disposition une accessibilit t l phonique l quipe pour et centre de toute question relative la sant Jour Re Sii R aliser des formations l attention des intervenants sociaux R aliser des formations l attention des usagers R pondre l imm diatet en ce qui concerne les traitements et les demandes de dispositifs mettre en place en cas de situations Abri de nuit 2h sem particuli res Assurer le lien en mati re de sant entre l abri de nuit et le centre R aliser des formations l attention des intervenants sociaux R aliser mettre en place et g rer la pharmacie d urgence Promouvoir la pr vention et l ducation la sant R aliser des d pistages pour MST Assurer le lien en mati re de sant entre le centre de jour et l abri de Escale 19h sem J a nuit Participer aux r union
155. tion insertion sociale et mancipation des personnes prostitu es Subvention octroy e par le RSUMB 18 300 pour 1 ETP AS Montants Attribution du subside nom du contractuel postes de d penses Personnel 16 998 5 1 ETP assistante sociale APE Fonctionnement 1 580 D plac Missions Accueil T l Internet Poste Fourn bureau Loc photocopieur fax P riode de mise en uvre du projet subventionn De janvier 2013 d cembre 2013 Part du financement du RSUMB dans le projet service 0 56 du budget total de l institution en fonctionnement 2 28 du budget total de l institution en personnel 76 du budget pour le projet en personnel les autres fonds points APE 29 48 du budget pour le projet en fonctionnement La diff rence est prise en charge par la Communaut fran aise et la R gion wallonne HB Constat s de d part ayant eu pour effet la cr ation du projet financ par le RSUMB Au total en 2007 7 bars et 7 priv s ont t visit s en r gion montoise par Espace P Charleroi Soit une trentaine de nouveaux contacts r alis s chaque ann e depuis 2002 dans le cadre de nos tourn es de vaccination gratuite contre l h patite B en milieu de prostitution sur environ 30 sorties de 3 heures an Pour la comparaison depuis son ouverture en f vrier 2009 Espace P Mons a rencontr 298 nouvelles personnes en lien avec la prostitution n ayant jamais entendu parler de notre
156. tion entre P 60 511 43 partenaires du Borinage 60 511 43 et des Hauts Pays Structure P 20 796 61 20 796 61 d h bergement 12 ETP assistant social d urgence pour femmes victimes de violences Abri de nuit de Mons P 99 187 11 99 187 11 2 ETP ducateur 12 ETP assistant social i i Ta P 17 953 43 Abri de nuit suppl tif A E O 17 953 43 hiver 1 veilleur 2 mois et demi Travail en rue P 41 766 71 42 766 71 F 1 000 Ville de Accueil de jour et P 130 000 Mons accompagnement en Somme propos e par le C P et justification 205 795 52 le C P a enlev des frais de fonctionnement comme prioris dans les crit res 48 788 09 23 000 25 481 19 300 60 511 43 20 796 61 99 187 11 17 953 43 41 766 71 on a enlev les frais de fonctionnement comme prioris dans les crit res 130 000 130 000 Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 55 L Entraide Ghlin Espace P 14H30 La Famille heureuse Mons 15H M sourire 15H30 rue de personnes sans abri Gestion de l aide alimentaire et de la guidance budg taire Accompagnement de personnes qui se prostituent Projet parentalit Oublie la gal re et viens sourire avec de la psy multiculturelle 3 ETP intervenants sociaux 4 emplois 25 000 V2 ETP assistante sociale 26 000 F 1 000 PC gsm im
157. tomatiquement la m me m thode pas toujours transposable telle quelle Consid rer chaque observatoire service comme un projet part enti re mener un la fois L information Services propos s O O O O O Site internet Mailing Concertation Informations la presse conf rences Les points positifs O O O O O O O O 18 233 visites de notre site Formalisation des informations Structure de cette information et acc s facile ex en 1 clic et pas 3 L adaptation de l information et dynamisation en fonction de la demande souhait Acquisition d outils pour parler la presse organisation d activit s informatives Choix du m dia en fonction du type d information Recherche de l information l agent ou l quipe type d information On poss de une base de donn es email importante en ce qui concerne les intervenants du r seau Points am liorables O O O Structure de cette information et l acc s l information ex en 1 clic et pas 3 Adapter l information et la dynamiser en fonction de la demande souhait Difficult mettre du contenu dans certains onglets du site Internet Concertations Services propos s O Organisation la demande d un partenaire ou directement l initiative du RSUMB de concertations entre les institutions du r seau Ces concertations sont en lien avec la prise en charge et l accompagnement des personnes en situation de grande pr ca
158. tour de l accompagnement des personnes sans abri par sa pr sence dans les deux services par sa participation aux r unions de concertation et discussion l organisation et la syst matisation de la communication des donn es relatives aux situations individuelles entre les services Activit s propos es dans le cadre du projet Maintien du lien entre les personnes sans abri et le centre d accueil de jour et l abri de nuit Le travailleur participe activement la vie du centre d accueil de jour et celle de l abri de nuit Il permet une approche globale de la situation et est le garant de la circulation de l information Orientation des personnes vers les institutions Organisation du lien avec les services d aide Accompagnement des personnes si cela s av re n cessaire Organisation de l accueil d urgence de nuit au sein de l abri de nuit entretiens d orientation vers un projet d h bergement plus long terme Participation au travail social en r seau autour de l accompagnement des sans abri identifier les ph nom nes probl matiques et r currents li s certaines personnes et poser les actes sociaux et ou ducatifs ad quats afin d assurer l accompagnement social et ainsi assurer le tremplin Pour les statistiques d accueils et de population voir la partie quantitative du pr sent rapport tableaux IWEPS 94 Le travail de rue et l accueil de jour Ville de Mons Institution Service Ville de Mons
159. ts d heures concern s demand es Equipe 9 heures Poursuivre le travail de premi re et de seconde ligne pour les plusridisciplinaire de 10 personnes personnes en situation de pr carit sociale Viser une prise en charge sp cifique de la personne en lui proposant un suivi adapt sa situation afin de r duire d une part les risques d isolement de rupture sociale de d crochage professionnel et d autre part de r duire les cons quences psychologiques et sanitaires li es une consommation probl matique Susciter le processus de changement travers des entretiens individuels Accompagner la personne durant le processus de changement Favoriser la resocialisation de la personne pr caris e Mettre en place des projets participatifs avec le public Les objectifs sp cifiques Veiller une prise en charge collective optimale des usagers Disposer d outil adapt la prise en charge collective du public Proposer des projets participatifs et collectifs Proposer des ateliers des activit s visant la responsabilisation et la r insertion sociale des usagers Supervision d un abri de nuit 1 assistante sociale 4 veilleurs de nuit Nbre de Nombre Objectifs g n raux et op rationnels participants d heures concern s demand es 6 ducateurs 12 heures harmoniser les pratiques professionnelles D velopper un langage et une coute respectueuse de l autre afin d approfondi
160. u sans enfants de g rer une situation de crise de faire le bilan de leur situation dans une structure s curis e et d tre accompagn es dans leurs d marches par une quipe psycho socio ducative Les objectifs g n raux Assurer une prise en charge pluridisciplinaire des personnes victimes de violences sur le territoire de Mons Borinage Cr er une coordination entre les diff rents services de premi re ligne prenant en charge cette probl matique sur le territoire de Mons Borinage Activit s Entretiens individuels psychosociaux avec les victimes et les enfants Accompagnement physique de la personne aupr s de diff rentes institutions Capac syndicat CPAS mutuelle police h pital maison d accueil Constitution du dossier de la personne ratifi par le Comit Sp cial du Service Social Prise des diff rents contacts n cessaires avec d autres professionnels Elaboration du rapport social de la personne h berg e Participation aux r unions de concertation avec les diff rents intervenants d une situation Mise en place de projets ponctuels Participation des r unions diverses Quelques chiffres Le service VIF structures ambulatoire et h bergement confondues a pris en charge 309 demandes entre le 01 janvier et le 31 d cembre 2013 Les 309 demandes sont r parties comme suit Ambulatoire 90 H bergement 219 Au niveau statistique sur les 219 demandes effectu
161. uel nous travaillons n augmente pas on constate une r gularit accrue en termes de participation Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 13 E Participants E Participation e Ce sont les communes de Boussu Colfontaine et Saint Ghislain qui rassemblent le plus de participants diff rents nos activit s mais aussi qui affichent le plus grand nombre de participations Chiffres par secteur d activit Hi n aL H m E t E Intervenants 2012 X E Intervenants 2013 180 160 140 120 J l E Participation 2012 BParticipation 2013 e Tant en termes de nombre de participants qu en termes de participation totale on constate par rapport l ann e 2012 les volutions suivantes Voir tableau suivant Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 14 Secteur Evolution participants Evolution participation CPAS 25 33 Sant 54 66 H bergement et logement 68 29 Aide alimentaire Mat et Vesti 62 145 Ville PCS Travail Quartier 5 X 53 Enseignement 131 133 Accueil de jour 29 0 Insertion professionnelle 90 65 Aide la jeunesse 56 71 Socio culturel 11 17 Insertion sociale 12 172 e On constate une volution
162. uit et de WE 2 Garantir la coh rence long terme du traitement des demandes d aide urgente Partant du constat que c est quand m me durant la journ e que la majorit des demandes d aide urgente sont re ues les demandes d aide urgente la nuit ou le Week end sont souvent plus lourdes ou plus spectaculaires mais sont beaucoup moins fr quentes et du constat galement qu il s tait d velopp un certain client lisme l urgence il est au fil du temps apparu n cessaire de p renniser la fonction de l aide sociale urgente en la confiant deux assistantes sociales fixes plut t qu l ensemble des AS Ceci permet de garantir la coh rence long terme du traitement des demandes d aide urgente d assurer aussi bien l galit de traitement des usagers que d viter les abus et galement de cerner les causes r currentes du recours l aide d urgence L action ducative est ainsi renforc e 91 Le subside du relais social est la prise en charge du traitement de ces deux assistantes sociales Le service d urgence de jour est compos de deux assistantes sociales Leurs missions sont l accueil le suivi la continuit avec l assistant social du DUS prise et remise de service dans les deux sens l valuation 3 Donner les moyens au travailleur social de garde d apporter une r ponse appropri e toute demande d aide urgente soit par la mise disposition de moyens mat riels d un encadr
163. un services d orientation sociale o Autre Nombre d utilisateurs orient s par un service pour personnes 0 handicap es Nombre d utilisateurs orient s par un service Aide aux victimes de 0 violence Nombre d utilisateurs orient s par un service juridique 0 vers service Autres EEEE vers service Aide mat rielle MEmmmmMm vers Service sp cialis assu tudes MEE vers service Soins de sant mentale RS vers service soins de sant physique D vers service d Aide emploi formation E vers mutuelle DSSSN vers police EEE vers DUS RE vers services d aide au logement SSSR vers H bergement Abri de nuit ou HU Sn vers H bergement Maison d accueil mamans par un service Inconnu par un Service autre ET par un service juridique par Aide aux victimes de violence par un service d aide mat rielle es par un Service sp cialis assu tudes parun service de Soins de sant mentale par un service de Soins de sant physique ESS par un service d ducateurs de rue par la police E par un autre service du CPAS par un DUS par H bergement autre forme E par abri de nuit ou autre forme d HU D orient s par un autre usager du service orient s par un tiers orient s par la famille venant spontan ment m N 30 40 50 60 70 72 80 UTILISATION DE SERVICE Utilisation du service Totaux annuels 2013 Nombres de jou
164. une valuation en 2014 apr s un peu plus d un an de fonctionnement Si l ann e 2012 tait l ann e de la cr ation du P le DUS nous avons veill en 2013 son valuation permanente et au d veloppement de son fonctionnement Parmi les points abord s en 2013 e Recueil des donn es chiffr es relatives au p le et analyse du type de situations rencontr es e Rencontre avec des partenaires du p le dans un souci de bonne collaboration secteur hospitalier police maison d accueil pour femmes victimes de violence e Elaboration d un programme de formation l intention des intervenants de garde e Lister les possibilit s de conventionnement avec les h tels de la r gion e Premi res r flexions quant aux possibilit s d extension du p le d autres communes En collaboration avec le PCS de Colfontaine le relais social anime et coordonne un groupe projet Le projet men est un projet d immersion et de d cloisonnement entre les op rateurs actifs sur la commune de Colfontaine et dans le but est de sensibiliser et de travailler avec les personnes les plus fragilis es et en situation pr caire de la commune Le nom du projet est Pass par chez nous En collaboration avec une maison d accueil une maison d accueil d urgence et deux services d accompagnement pour personnes victimes de violence le RSUMB anime et coordonne un groupe projet dont les objectifs sont e De renforcer les bonnes collabor
165. ut e Identification des comp tences acqu rir et valuation Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 28 Fiche 5a Formation Objectifs g n raux de l axe formation RSUMB e Proposer annuellement un programme de formation l intention des partenaires du RSUMB e Permettre l acquisition de nouveaux outils e Permettre l acquisition et ou le renforcement de comp tences e Dans ce contexte il y a des liens qui peuvent tre fait avec le travail de coordination qu est ce que le relais social pourrait mettre en place comme action par rapport des l ments qui seraient ressortis en formation Liste des formations d j dispens es dans le cadre du RSUMB o Voir document annexe Liste des formateurs ext rieurs o Voir document annexe Mode d identification des besoins en termes de formation o Voir document annexe M thode d laboration et d organisation du programme de formation annuel o Voir document annexe Evaluation et indicateurs Pour chaque valuation il s agira de d terminer qui mesure de quelle mani re et dans quel but Identification des comp tences acqu rir renforcer Rapport d valuation et d activit s du Relais social urbain de Mons Borinage page 29 Fiche 5b les supervisions collectives Pourquoi un axe supervision dans le cadre du RSUMB Parce que en tant que r seau d institutions il est important que e Les institutions
166. valuation des relais sociaux par l universit de Li ge il nous a paru n cessaire de faire le point sur le public cibl par les actions du Relais social urbain de Mons Borinage En effet nous sommes le seul Relais social tendre effectivement nos actions sur tout l arrondissement et le public en pr carit des petites communes pour lequel nous travaillons n est pas la rue mais vit dans des conditions tr s pr caires Souhaitant nous d marquer du public tr s tendu des CPAS voici quelques pr cisions quant aux personnes pour lesquelles nous mettons en place des actions Nos r f rences l gales Le d cret du 17 juillet 2003 relatif l insertion sociale L Arr t 29 janvier 2004 public d fini en grande pr carit sociale lutte contre exclusion sociale La Circulaire du 30 septembre 2004 apporter une plus value dans la gestion des difficult s relatives l exclusion sociale La d cision du Conseil d Administration du Relais social urbain de Mons Borinage en 2008 volont d tendre son action l arrondissement pour toucher tous les publics en situation d exclusion Notion de grande pr carit sociale Si le public sans abri rentre clairement dans le public cible du RSUMB la notion de grande pr carit sociale renvoie un public plus large Il n est pas possible et tr s subjectif de placer une fronti re stricte entre ce qui rel ve de la grande pr carit ou non Le fair
167. vers aulre lype d h bergernen ihp L 1 l1 E 2 maison d accuci l1 0 10 20 30 40 50 Nombre via provenance inconnue soins domicile sos enfant DE 3 PCS IE 2 via service d aide mat rielle DM 1 via soins de sant mentale SN 3 via service Pers handicap EE 1 via service d insertion sociale SIS DO 7 via service d accueil de jour EE 1 via service d aide emploi formation EE 1 via autre service du CPAS DONNE 5 via service d aide au logement D 6 via maison d accueil OO 14 via la famille DIN 2 via spontan ment 0 2 4 6 8 10 12 14 16 UTILISATION DE SERVICE Nombre de jours Janv F v Mars Avril Mai Juin Juil Ao t Sept Oct Nov D c d ouverture Nombre de jours pr vus 22 d ouverture 20 20 22 22 20 22 22 21 22 20 20 Nombre de jours effectifs 22 d ouverture 20 20 22 22 20 22 22 21 22 20 20 a Janv F v Mars Avril Mai Juin Juil Ao t Sept Oct Nov D c Nombre de 7 demandes accueils hommes 2 1 2 2 1 1 2 4 2 Nombre de 6 demandes acceuils femmes 1 2 2 1 3 1 2 2 1 1 125 Nombre de demandes accueils mineurs non accompagn s mancip s Nombre d interventions l accueil Janv F v Mars Avril Mai Juin Juil Ao t Oct Nov D c Nombre de contacts informations 24 Nombre d coute 20 Nombre de relais dispatching Bombre d accompagnements physiques Nom
168. visag es cueils et d gagement de pistes de travail envisageables par rapport cet article 23 Certaines concertations les plus anciennes se sont arr t es au profit de rencontres limit es dans le temps sur des sujets pr cis avec les objectifs court terme Points am liorables O La concertation inter r seauxa des difficult s pour trouver un rythme efficace nous correspondons pour le moment exclusivement par mail Si certaines concertations d bouchent effectivement sur des actions d autres pas II manque donc parfois de lien entre la concertation et la mise en uvre d actions nouvelles de projets ce qui devrait tre r solu gr ce la concertation voir fiche et la fiche projet La coordination de dispositifs Services propos s La coordination du plan canicule La coordination du plan grand froid Les tables rondes il s agit de la mise en uvre d une coordination entre acteurs autour d une situation de crise pour laquelle des r ponses rapides doivent tre apport es Par un r le de coordination nous entendons l organisation la logistique et l animation des rencontres entre intervenants li es au dispositif la planification des t ches valuation 130 Les points positifs Personne de r f rence qui coordonne les plans saisonniers a rassure les partenaires Garantie de mener le projet bien car un agent attitr s assure que tout s enchaine bien et que tous s
169. zone g ographique la commune sur laquelle est situ e l institution Cependant dans de nombreux cas le territoire d action d une institution ne se limite la commune sur laquelle elle est implant e Intervenants Intervenants Hors Mons Borinage et Hauts arrondissement Pays e Ala lecture de ces tableaux nous constatons que 53 des intervenants qui participent nos activit s travaillent au sein d une institution situ e Mons Ce pourcentage s l ve 39 pour une commune qui se situe sur la zone du borinage Hauts pays et 8 pour une commune hors arrondissement administratif de Mons Borinage e Sile nombre de participants du Borinage et des Hauts Pays est quasi similaire celui de 2012 le nombre d intervenants montois a augment de 36 Participations Mons Participations Participations Hors Borinage et Hauts arrondissement Pays e En ce qui concerne le nombre de participations nous constatons une augmentation tant sur la commune de Mons que sur les communes du Borinage et des Hauts pays o Mons Augmentation de 25 o Borinage et Hauts Pays Augmentation de 18 e A Mons nous pouvons expliquer cette augmentation par l apparition et ou le renforcement de plusieurs actions en 2013 o Le projet r cup ration des invendus o Le projet Homeless CUP o Le Plan Grand Froid de Mons e Dans le Borinage et les Hauts Pays si le nombre d intervenants avec leq

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