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P R O C E S - V E R B A L

1. Les discussions ont tourn essentiellement autour de deux axes principaux 1 La cr ation ou non d une structure ou association ind pendante de la commune Pour quoi avec quelles t ches rattach e qui ou quoi financ e comment Plusieurs propositions ont t faites au sein de la commission visant d velopper une structure d j existante et non d en cr er une de toute pi ce Une association nouvelle ne ferait qu accro tre la confusion parmi les nombreuses propositions offertes aux ch meurs De plus une structure ind pendante du secteur publique n est pas assez transparente selon un commissaire on ne conna t pas bien son fonctionnement ni les intervenants qui y travaillent Une commissaire propose notamment de s approcher de Mobilet Bio Bilan nformation Observation qui est une mesure financ e par le service de l Emploi et qui a pour objectif de faire un bilan de la 22 situation du ch meur et d tablir de fa on efficace une strat gie d insertion professionnelle Ils disposent de locaux quip s au chemin du Ch ne 18 Renens de personnel comp tent et form Une commissaire nous pr sente galement l Association Castel Dahu tablie Renens et s int ressant des projets de d veloppement durable Et pourquoi ne pas largir les t ches du CRA et y int grer un travailleur ou animateur social de terrain Pour un autre commissaire il est question d agir avant le ch mage ou du moins tout
2. La discussion qui a suivi au sein de la commission s est essentiellement ax e sur deux points principaux savoir la cr ation de cette association et la promotion conomique de notre ville La commission se rend bien compte que le probl me du ch mage est vaste et que trouver des solutions viables n est pas chose facile de plus l chelon communal Une commissaire regrette que finalement ORP ne r ussisse plus remplir les objectifs pour lesquels il a t cr et qu l faille suppl er ses carences par des structures satellites Une autre commissaire s attarde sur le bienf ait de VETS mentionnant combien cela peut tre une activit encour ageante pour des personnes qui n ont pas eu d activit depuis longtemps leur permettant de retisser des liens sociaux et de retrouver un rythme D autres parlent de la honte que le statut de ch meur peut engendrer comme une atteinte son int grit personnelle son amour propre Dans ce contexte l id e d une association pouvant d velopper des projets laverie services de nettoyage livraisons de denr es alimentaires par exemple avec des personnes en ETS semble int ressante parall lement elle pourrait galement de par sa proximit faire le lien avec l ORP et mettre le doigt sur ses dysfonctionnements accessibilit des documents fournis par l ORP meilleure information sur les possibilit s de cours etc N anmoins la commission pense que la cr ation d une
3. Au fond permettez moi de vous dire que le refus ou l accept at ion de la r ponse n a pas une importance essentielle Ceci parce que cette r ponse la motion de Mme Haas Torriani est clairement une t ape et que la Municipalit a l intention d aller plus loin et de revenir devant le Conseil avec un projet plus labor Un tel projet ma pu tre construit avant clairement pour des raisons avant tout financi res nous tions encore l an dernier avec un budget pour 2004 et 2005 d ficitaires et des exercices 2002 et 2003 pr sentant des marges d autofinancement n gatives particuli rement en 2008 La commission du Conseil communal a donn des pistes des id es Quelques unes sont int ressantes en particulier celle d une collaboration avec Mobilet c est vrai je reprends sur l intervention de Madame Joliat la structure dite BIO Bilan Information Orientation est normalement destin e prioritairement aux jeunes d autres projets pouvaient tre destin s l ensemble des ch meurs mais ceci dit elle accueille aussi des personnes qui ont d pass s 25 ans Ils ont actuellement une liste d attente d environ 70 personnes D autres propositions de la commission doivent tre examin es certaines tant mon avis en partie redondantes peut tre avec le travail de ORP par exemple Les id es voqu es montrent les diff rentes structures impliqu es la n cessit de coordination entre elles d o
4. Renens PROCES VERBAL de la s ance du Conseil communal de Renens du jeudi 21 avril 2005 20H15 la Salle de Spectacles g me s ance 2005 S ance du jeudi 21 avril 2005 Pr sidence de M Roland Divorne pr sident Je vous souhaite la bienvenue cette troisi me s ance de l ann e J adresse donc un cordial salut aux membres de la municipalit notre huissier Monsieur Fran ois Tabanyi ainsi qu aux repr sentants de la presse et au public qui nous font le plaisir de suivre nos d bats ici ou par l interm diaire de la t l vision r gionale TVRL Conf orm ment l art 62 du R glement de notre Conseil je prie Madame la Secr taire de bien vouloir proc der l appel 65 conseill res et conseillers r pondent l appel Sont excus e s Mmes Karine Clerc Ulloa Loes Langeveld Catherine Saugy Florence Widmer MM Fran ois Delaquis Hasan Dinc Jean Marc Dupuis Jean Pierre Glaus Michel Grenacher Jean Daniel Roulier Raymond Vincent Christian Widmer Sont absent e s Mme Madeleine Doudin MM Jacques Studer Pierre Trenz Le quorum tant largement atteint l assembl e peut valablement d lib rer Sont arriv s entre 20h30 et 20h45 MM Jean Fran ois Cl ment Fran ois Morisod et Michele Scala M le Pr sident d clare la s ance ouverte ORDRE DU JOUR 1 Adoption du proc s verbal de la s ance du 3 mars 2005 2 D mission Assermentations 3 Communications de la Pr
5. Europe Le sicilien savoureux s ouvre d autres langues et ces joyeux m langes se d couvrent et s enrichissent autour d un int r t commun Situ au c ur d un quartier d habitation ils sont bien le c ur battant de notre quartier Celui qui nous donne vie et respiration Les enf ants des Sous Biondes et environs ont la joie encore de pouvoir b n ficier du calme et de la s curit de cette ambiance conviviale Tags et graffitis perdent sans doute de leurs int r ts f ace ce melting pot vivant et harmonieux que leur offre encore le temps que vous le leur laisserez cet espace non b tonn o ils peuvent voir leurs a n s s adonner des plaisirs simples et un peu hors de la seule consommation Si c est cela que vous voulez d truire vos armes Mesdames et Messieurs vous la violence nous adultes et ne la faisons pas porter seulement aux jeunes et aux immigr s fra chement d barqu s arriv s ou vivant ici depuis des ann es Le slogan A Renens il fait bon vivre gt prend ici toute sa raison d tre Je vous remercie de votre attention M le Pr sident cl t la discussion tant donn que la parole n est plus demand e 4 Communications ventuelles de la Municipalit Mme A M Depoisier syndique La Municipalit vous salue et vous souhaite une s ance fructueuse Au niveau des communications vous avez re u un certain nombre par crit il en reste 4 vous faire par oral
6. chappent tout regard m dical pendant de longues p riodes I offre aussi des conditions d hygi ne propres viter toutes les inf ectons transmises par injection et voie sanguine VIH h patites 11 ajoute une surveillance f ace au risque de surdose et un personnel comp tent pour appr hender cette ventualit 3 Mettre en place une veille sociale afin d orienter les toxicomanes vers les structures leur apportant l aide n cessit e par leur situation Le local peut aussi tre un lieu de discussion compl t ant ainsi le r seau socio ducatif d j en place afin de permettre certains d envisager plus largement l avenir 4 Enseigner les recommandations relatives l hygi ne de l injection Celles ci seraient par la suite v hicul es plus largement par les toxicomanes qui ont acquis les r gles d hygi ne essentielles 5 R duire la quantit de mat riel d injection abandonn e dans des lieux publics et ainsi diminuer les risques pour la population de la ville et la g ne indiscutable qui en d coulent 6 Minimiser les atteintes l ordre public notamment l occupation de cages d escaliers et de WC publics ainsi que les troubles observ s r guli rement au centre ville Il est vident aux yeux du parti socialiste que la mise en place d un local d injection n cessite un dialogue ouvert et constant avec la population de la r gion lausannoise tant il est vrai que le sujet est empreint d motions et d inqui t
7. e zone d int r t public et bien s r que la personne qui poss de cette parcelle et bien tout coup elle se retrouve avec quelque chose qui ne vaut quasiment plus rien puisque c est de l int r t public Donc il tait correct de faire avec elle un change I faudra peser tous les int r ts et la mani re de fonctionner mais le 11 avril nous avons sign une promesse de vente sous r serve bien s r de l accord du Conseil communal le pr avis il est d j pr t vous sera pr sent tr s rapidement puisque nous devons absolument construire des classes Ver deaux Alors des probl mes de date OK mais je crois qu on peut aller au del des probl mes de dates et discuter du fond du probl me lorsque le pr avis sera pr sent Mme M Romano soc Ce n est effectivement peut tre pas un probl me de dates mais laissez moi quand m me vous dire quel point je suis choqu e par cette mani re de faire on envoie une r ponse dat e du 4 avril on nous parle d une promesse d change qui est sign e le 11 avril donc apr s et j ai vraiment l impression que l on a soulev un li vre et que la Municipalit s est empress e d aller signer tous les papiers qu il fallait Laissez moi quand m me le dire je suis tr s tonn e Mme A M Depoisier syndique Alors permettez moi Monsieur le Pr sident de dire tr s clairement Madame Romano que ces proc s d intention sont tout fait indignes d elle La Mun
8. l id e mise d une association qui aurait permis aux diff rentes personnes ou association concern es sur Renens de se rencontrer dans un cadre donn m me si elle ne rencontre pas pour l instant l aval de la commission Ce que je trouve pour ma part essentiel et je rejoins ce qu a dit Mme Haas Torriani c est la volont d aller de l avant et soyons clair de d gager des moyens financiers pour le faire Dans ce sens l et sans langue de bois nous pouvons bien s r r unir l ensemble des intervenants et personnes concern es ils sont d ailleurs r unis dans ce qu on appelle le niveau social qui se r unit sur Renens une deux fois par ann e mais il f audra pouvoir alors garantir l aboutissement d un projet et d une somme mise disposition par exemple pour renforcer la structure BI O de Mobilet si on prend cette piste l il faudra un moment d gager de l argent L exp rience que nous avons faite pour la commission qui a travaill sur la motion de Mme Pittet en faveur d un ducateur de rue ou d un m diateur jeunesse a t passionnante mais aussi frustrante puisqu elle n a pu pour l instant aboutir un projet concret des r ponses du canton et de la Conf d ration sont attendues pour l t Dans ce sens l que la r ponse de la Municipalit la motion soit accept e ou pas l import ant r side dans le signe et la volont du Conseil communal d aller de l avant dans ce dossier et dans l
9. s de la moiti la product ion de d chets verts L introduction des co ts d limination des frigos dans le prix d achat et la suppression des vignettes au d but 2003 ont fait que le nombre de frigos trait s en 2002 a t r duit avec une forte augmentation en 2008 La mise en ser vice de Tridel au 1 semestre 2006 avec une capacit de 140 000 tonnes permettra de traiter les 30 000 tonnes de Valorsa Concernant la d chetterie intercommunale de Bussigny les habitants de Renens d posent en proportion moins de d chets que les habitants de Bussigny La mise en service de la d chetterie int er communale de Malley f acilit er a l acc s depuis le sud est de la commune M Perreten pr sente en primeur et dans les grandes lignes le centre de traitement de Malley I permettra le chargement des conteneurs des camions qui en seront quip s et le chargement et compact age des d chets collect s par les camions actuels Les trains constitu s seront tri s Denges puis dirig s Tridel par le tunnel en construction La Municipalit tente d viter la constitution d une gare de chargement Renens pour les d chets de Morges et environs en plus de celles de St Prex Cossonay et Chavornay La CARIC value cette collaboration selon ses trois cl s usuelles Le regroupement intercommunal r duit les co ts pour la commune et permet un service complet et efficace Renens ne devrait il pas valuer des r seaux de chauff age dist
10. TABLE RONDE r unissant tous les acteurs sociaux y compris des ch meurs en lien avec cette probl matique afin d identifier clairement quelles sont les lacunes et les besoins pour ensuite y faire face de mani re coordonn e avec les diff rentes associations du terrain Il sera alors plus ais de constater o un soutien sera n cessaire et comment il pourra s organiser M le Pr sident ouvre la discussion Mme N Haas Torriani F r Faisant partie de la commission charg e de la motion que j ai d pos es je tiens pr ciser que si j ai accept les conclusions de ce rapport je suis n anmoins per suad e que la Commune doit s engager dans un projet en faveur des ch meurs Pour qu une nouvelle proposition mieux formul e se r alise avec un ou plusieurs partenaires nous devons tre conscients qu elle ne pourra se mettre en place sans la garantie d un financement de notre Commune Nous ne pouvons pas continuer cr er des commissions d tude mobiliser des personne et des forces qui sont sur le terrain des heures et des heures sans y donner suite pour des raisons financi res Je suis persuad e qu une nouvelle proposition nous sera faite de mani re plus pr cise avec un plan financier que nous pourrons approuver ce jour l Mme R Joliat rad En date du 5 f vrier dernier j avais pris l initiative de sugg rer la commission d tude de la motion une piste possible concernant la r ponse donn e par la Municipal
11. art 40 lettre g du R glement du Conseil communal Le Bureau du Conseil n a re u aucun rapport 15 8 Nomination d un membre la commission permanente de naturalisation Suite la d mission de Madame la conseill re communale Dani le Pittet le Pr sident du groupe Fourmi Rouge propose la candidature de M Hasan Dinc 9 Nomination d un membre la commission permanente des p titions Suite la d mission de Madame la conseill re communale Elena Torriani le Pr sident du groupe Fourmi Rouge propose la candidature de Mme Danielle Ayer 10 P tition Mieux concilier l organiation scolaire avec la vie des parents Mme Simone Szenyan Reymond pr sidente rapporteure Mme Simone Szenyan Reymond F r pr sente le rapport de la commission permanente des p titions La commission per manente des p titions s est r unie le mercredi 9 mars 20 heures dans la salle de conf rence de la Salle communale de Renens Les commissaires suivants taient pr sent Mesdames Mireille Bandelier Nicole Dupont Antoinette Schaffner Elena Torriani Monsieur Jean Daniel Roulier et Simone Szenyan Reymond Se sont excus s Madame Tinetta Maystre et Monsieur Pierre Larchev que Nous remercions Mesdames Bast ienne Jorchel et Myriam Romano p titionnaires de leur pr sence de leurs explications et de la document ation pr sent e cette occasion Cette p tition intitul e mieux concilier l org
12. base du plan d extension actuel de la Commune de Renens dans lequel la parcelle figure en zone industrielle II s agit au sens de la loi d am nagements relativement l gers pas de grandes constructions Le centre de logistique n entre donc pas dans les projets d envergure pour lesquels la Loi sur l am nagement du territoire LAT pr voit une information et une consultation A propos de l interf rence avec le chantier n 2 du SDOL on peut encore pr ciser que le centre de logistique fait partie des priorit s de ce chantier 2 et a t trait comme telle L usine Tridel sera op rationnelle fin 2006 il est d s lors imp ratif d tre pr t pour l apport des d chets via les CFF La d marche de localisation laquelle a t d crite dans un communiqu de presse remis au Conseil Communal en d cembre dernier correspond l esprit du Sch ma directeur Dans la suite du concours Eur opan deux laur ats ont d j particip une table ronde du chantier 2 et ont d couvert la complexit des probl mes pos s aux alentours du p rim tre qui d terminait le concours auquel ils ont particip Pour terminer je vous donne une information toute chaude l tude pr liminaire du chantier 2 est termin e elle est actuellement soumise toutes les Municipalit s pour examen et remarques elle sera ensuite valid e par le Groupe de Pilotage et sera enfin propos e en consultation publique sur un mod le similaire ce qui
13. ci dessus l aval du Conseil communal tant indispensable Ma question est donc de savoir est ce que le PGA doit tre approuv d abord par le Canton puis ensuite le PGA va tre soumis au Conseil communal et ensuite il y a une mise l enqu te publique Est ce que c est dans cet ordre l au niveau de la proc dure Parce que pour moi c est pas tr s clair quand on dit D s lors cette radiation sera mise l enqu te prochainement et fera partie du pr avis ci dessus l aval du Conseil communal tant indispensable Dans quel ordre sont trait es ces choses ce n est pas tr s clair pas tr s parlant pour moi Mme A M Depoisier syndique Je crois quil y a des probl mes de dates cela peut arriver Il y a deux versions en fait une dat e du 21 avril si vous avez re u celle du 4 avril j en suis d sol e Mais c est vrai que le 11 avril une promesse d change a t sign e entre la Commune et le propri taire de la parcelle qui est actuellement Saugiaz 8 et je rappelle simplement que cet change est fait dans l int r t public c est dire de pouvoir construire des classes sur Saugiaz et ainsi de permettre un propri taire d avoir en change une autre parcelle de la ville Mais tout cela vous sera expliqu tr s clairement dans le pr avis qui va venir cela n a rien voir avec le PGA cela a juste voir que excusez moi dans le PGA la parcelle qui est sur Saugiaz 8 a t d clar
14. cit ci dessus La Conf d ration encourage la cr ation de places pour l accueil de jour Ce genre de structure permet aux parents de pouvoir travailler sereinement et am ne aussi des ressources financi res la collectivit Apr s des d bats o chaque commissaire a pu donner son avis sur le sujet il a t d cid de transmettre cette p tition la Municipalit pour tude et rapport Tous les commissaires ont approuv la premi re partie harmonisation des horaires scolaires et tous les commissaires moins un ont approuv la deuxi me partie prise en charge parascolaire Tous les commissaires ont sign s M le Pr sident ouvre la discussion Soumise au vote c est une tr s large majorit que cette p tition est transmise directement la Municipalit pour tude et rapport 11 R ponse de la Municipalit la motion de Monsieur le Conseiller communal Olivier Barraud et consorts relative l introduction du stationnement privil gi secteurs Macarons des v hicules des r sidents en ville de Renens Nomination ventuelle d une commission M O Barraud soc Je remercie la Municipalit pour les efforts consentis la r alisation de l tude technique Cette derni re nous permet d sormais de nous baser sur des l ments concrets pour avancer En revanche je reste sur ma f aim quant l analyse retir e de ces donn es Je constate que les d positaires de la motion n ont pas enti r
15. la mise en place de la zone 30 de la rue du Lac partie inf rieure entre le chemin des C tes et l avenue du Chablais d pos e par Madame la Conseill re communale Verena Berseth et consorts Lors de la s ance du Conseil communal du 27 janvier dernier Madame la Conseill re communale Verena Berseth et consorts ont d pos une interpellation sur la mise en place de la zone 30 sur le dernier tron on de la rue du Lac qui rejoint l avenue du Chablais L am nagement des zones 30 sur la Commune de Renens a d but par le secteur du Village dans lequel l exigu t des routes et des chemins n cessitait une intervention rapide Un programme est tabli pour r aliser progressivement les zones 30 pr vues dans les autres secteurs de la ville Ces am nagement s d pendent naturellement de l urgence due aux risques potentiels et bien videmment des disponibilit s financi res Concernant la partie inf rieure de la rue du Lac faisant l objet de l interpellation il est pr vu d installer la signalisation et les am nagements n cessaires la zone 30 en automne de cette ann e Ce projet fera l objet d un pr avis qui regrouper a une partie du sect eur de Sur la Croix et de l avenue de Saugiaz La Municipalit estime ainsi avoir r pondu l interpellation de Madame la Conseill re communale Verena Berseth et consorts relative la mise en place de la zone 30 de la rue du Lac partie inf rieure entre le chemin des C tes et l avenue du Chabl
16. la prise en charge de beaucoup de per sonnes d pendant es des drogues quel que soit leur parcours dans la d pendance Il est essentiel ici de rappeler que les autorit s ont toujours veill inscrire leurs actions en visant comme objectif ultime et id al en mati re de toxicomanie l abstinence N anmoins chaque tape pour y parvenir n cessite un accompagnement tant il est vrai que cette d marche est longue et sem e d emb ches Malheur eusement force est de constater qu il persiste un cha non manquant dans ce dispositif relatif l aide la survie Parent pauvre des quatre piliers la r duction des risques devrait de nos jours impliquer l existence d un local d injection comme cela a t mis sur pied notamment Gen ve et Bienne 30 Un tel projet a d j t d battu au sein du Conseil Communal lausannois en 2003 mais conditionn une participation financi re du canton En effet le statut de capitale implique que la ville doit veiller la prise en charge de toxicomanes venus de sa r gion comme de tout le canton ce qui engendre de fortes charges financi res Cependant il s agit d un domaine dans lequel limiter les prestations aux habitants de la commune serait quasi impraticable et certainement contraire aux buts recherch s En son temps les autorit s cantonales tant ex cutives que l gislatives avaient refus une faible majorit cette participation Le Conseil Communal lausannois a ga
17. ont le respect de la terre nourrici re L gumes plantes sont les senteurs et la fra cheur de ces rares espaces de convivialit et tranquillit que sont les jardins communaux Ce sont majoritairement des personnes retrait es et ou de conditions modestes Les l gumes et fruits r colt s profitent leur consommation personnelle et leur procurent quelques substantielles conomies Cela leur procure une activit physique et une raison de vivre Projet de b timent inharmonieux et acc s inadapt s l endroit Le projet de construction de 5 immeubles toits plats avec parking souterrain de 28 places et parking en surface de 13 places d figurerait le quartier actuel de villas individuelles L esth tique des b timents interf re avec le style de constructions du quartier D autre part les acc s routiers sont troits et inadapt s Augmentation du trafic automobile et de la pollution Le quartier Sous Biondes d j riverains autoris s et pr vu en zone 30 km h selon le projet de la Municipalit sera encombr de nombreux v hicules suppl mentaires aux heures critiques de sortie des classes enfantines et primaires du coll ge Sous Biondes Un risque accru d accident ne peut tre cart dans les rues d j troites et difficiles des chemins du Bois et de Biondes Moins value et perte d identit du quartier entier Le quartier actuel de Sous Biondes est un des derniers quartiers paisibles l abri du bruit de la ville L
18. possibilit s je pense qu il faut qu on aille dans ce sens et qu on m ne une r flexion plus compl te ce propos 11 Toujours dans le m me article on parle des jardins familiaux comme un l ment vit al de notre soci t qui s urbanise de plus en plus et c est un l ment vital plusieurs niveaux d abord d un point de vue paysager parce qu ils constituent eux seuls un type de jardin comme par exemple les jardins la fran aise ou les jardins de cur D un point de vue social aussi parce que c est un lieu d change pour les populations urbaines qui sont habitu es la plupart du temps un certain individualisme Aussi d un point de vue de sant publique car c est un loisir des plus sains et galement aussi d aux qualit s hautement nutritives des l gumes qui y sont cultiv s et aussi par l am lioration de la qualit de vie de ceux qui les cultivent II faut bien savoir qu il y a pas mal de personnes g es qui cultivent ces terrains des personnes qui sont l Al et c est vrai que c est un loisir qui prend norm ment de leur temps et qui est tr s sain Je dirais aussi d un point de vue formatif parce que nos enfants peuvent y d couvrir que les carottes finalement ne poussent pas dans les bacs de cong lation des supermarch s Finalement cela reste un choix de soci t savoir de maintenir et d accro tre les offres de surface permettant l installation des jardins familiaux et je p
19. structure compl mentaire d aide aux ch meurs ne ferait que rajouter la confusion qui r gne d j elle envisage plut t qu on d veloppe une structure existante ayant ce jour une notori t certaine dans ce domaine Mobilet Bio par exemple D ailleurs si l on pense r gion il n est donc pas n cessaire que cette structure soit sur le sol communal mais qu elle soit facilement accessible par les transports publics Un commissaire propose de r fl chir sur la mise en place d un club emploi notion que nous allons d velopper plus loin Un commissaire parle de s attaquer aux racines il propose en f ait la cr ation d une loi f d rale qui obliger ait les entreprises qui ferment de faire en sorte que leurs employ s retrouvent du travail Il met le doigt sur la caract ristique propre de notre ville qui a vu la plupart de ses industries dispara tre et laisser sur le pav nombre d ouvriers qui peinent retrouver un emploi Lautre aspect voqu a t la promotion conomique de notre ville En Suisse nous avons un large tissu de micro entreprises qui font de la formation II faudrait r fl chir comment offrir des conditions de travail f avor ables pour attirer de nouvelles soci t s de j eunes entreprises En effet un commissaire nous fait remarquer que la commune na pas su tirer profit de la proximit de l EPFL on aurait d faire la promotion de cette proximit et proposer des locaux en loft pour l impla
20. a t fait pour le SDOL Avec les donn es ainsi en notre possession nous pourrons reprendre l tude de notre Plan G n ral d Affectation lequel avait t suspendu la suite d une d cision de la Municipalit Derni re chose la plaine de Malley est au programme de la visite habituelle de la Commission de gestion samedi 23 avril prochain La Municipalit consid re par la pr sente avoir r pondu aux questions de Madame la Conseill re communale Tinetta Maystre relatives l avenir du site du Malley J ai maintenant une autre communication qui est beaucoup moins claire et qui montre les difficult s de mettre vigueur une nouvelle loi il s agit de la Nouvelle loi cantonale sur le droit de cit vaudois LDCV Aujourd hui part une lettre Madame Catherine Saugy pr sidente de la Commission de nat uralisat ion et se sont ces renseignements que je vais vous donner elle les aura dans sa bo t e aux lettres demain Le 12 novembre 2004 nous tions rest s concernant la nouvelle loi sur le droit de cit vaudois LDCV ce qu elle devait enter en vigueur vraisemblablement le 1 mai 2005 et que nous recevrions tous les documents n cessaires durant le mois de mars En date du 19 avril 2005 nous avons eu une s ance d inf or mation organis e par l Association vaudoise des secr taires municipaux durant laquelle s est exprim M Laurent Sutter du Service cantonal de la population Juste vous dire que c est Monsie
21. a for t proximit et l espace de verdure que constituent les jardins en font un endroit privil gi de Renens pour les riverains L implantation d immeubles de ce type et les nuisances sonores dues au trafic automobile d valoriserait les propri t s environnantes Vous ne pouvez donc ignorer les nombreux signataires de cette p tition qui juste titre vous demandent de revoir et d examiner plus attentivement les d cisions que vous prendrez au sujet de ces jardins Sign pour le comit Eric BERNARD Ch du Bois 24 1020 Renens 079 401 86 06 021 636 14 65 Cette p tition est directement transmise la commission permanente des p titions pour tude et rapport M le Pr sident informe du d p t de M H Desbo eufs rad d pose une motion Modification du nombre de conseillers communaux pour la l gislature 2006 2011 M O Barraud soc d pose une motion demandant la mise en place d un espace de consommation de stup fiants local d injection en ville de Lausanne Ces objets seront trait s en priorit au point No 15 de l ordre du jour Propositions individuelles et divers M le Pr sident ouvre la discussion M Ali Hemma Devries F r intervient propos de la mise en vente et de l change de la parcelle des Jardins Sous Biondes Un de nos grands po tes vaudois Gust ave Roud reprenant les paroles de Novalis nous parle de fragments de paradis jet s pars sur la terre Ses longu
22. ais M le Pr sident ouvre la discussion sur les communications de la Municipalit M J J Aegerter lib Je remercie la Municipalit pour sa r ponse pr cise et d taill e et je reste n anmoins dubitatif quant une meilleure organisation de l acc s au kiosque Mme M Romano soc J aimerais intervenir propos de la r ponse que j ai eue concernant les questions que j ai pos es au dernier Conseil communal propos des jardins des Biondes Je remercie la Municipalit des r ponses qu elle m a apport es elles sont tr s pr cises n anmoins je regrette quand m me que cette r ponse ne soit pas lue tant donn les plus de 800 signataires de la p tition qui auraient certainement t int ress s apprendre et conna tre ces nouvelles informations Ceci dit j ai deux questions et diff rents commentaires faire Tout d abord je voudrais dire je me r f re un article que j ai lu dans Jardins romands du mois d avril et qui parle justement des jardins familiaux En fait dans cet article on nous informe que les jardins familiaux sont repouss s aux limites des villes ou aux confins des zones agricoles et c est probablement ce qui va arriver en mettant des nouveaux jardins communaux derri re le CTC c est une premi re remarque Autre chose en Suisse il y a 26 800 familles soit 640 hectares qui sont concern s par des jardins familiaux ce qui n est pas mal et a donne envie d accro tre ces
23. ale Nous sommes face ce constat amer avec un sentiment d impuissance amplifi par le fait que nous n avons plus de prise directe sur ce probl me En effet avec la cr ation des Offices r gionaux de placement ORP qui sont des organes d pendants du canton et qui ont finalement vid de leur substance les Offices du travail communaux il n y a plus de lien structurel entre le ch meur et sa commune en est de m me pour les ch meurs en fin de droit qui sont vus au sein des Centres sociaux r gionaux CSR En m me temps Mme HUGUENIN nous fait part de l envie de pouvoir faire plus malgr une situation financi re communale difficile Une compar aison f aite en d cembre 2004 avec les villes vaudoises nous montre que l Ouest lausannois se fait remarquer par des taux de ch mage lev s Avec un taux de 8 2 Renens se situe en seconde position apr s Chavannes qui affiche un taux de 8 6 En janvier la situation subit une l g re hausse dans toute la Suisse avec un taux qui passe de 4 4 1 Selon les experts il s agit d une hausse passag re car le taux est plus bas qu en janvier 2004 Ce qui fait dire certains que la reprise se fait sentir Mme Huguenin nous num re les diff rentes associations ou structures qui oeuvrent dans le domaine du ch mage savoir Contact Ch mage antenne de l Entraide familiale de Renens et environs EFRE Le D fi Bussigny Mobilet structure financ e par la Conf
24. am lioration de la prise en charge du ch mage dans notre ville et dans la volont de d gager des moyens correspondants une f ois qu on arrive un projet en ayant effectivement rediscut avec l ensemble des intervenants et des associations 26 M M Perreten conseiller municipal Depuis d but mars des chantiers pour des emplois temporaires subventionn s sont organis s par environnement maintenance Ils repr sentent actuellement environ 220 jours de travail homme et sont tous pilot s par des chefs de projets qui sont des professionnels de m tier Ces chantiers au nombre de 7 sont _ R fection d un chemin dall au cimeti re R fection peinture des luminaires Place de la Gare Nettoyage du passage de la Rue Neuve et de la Place du March R fection du mobilier urbain Rue Neuve et de la Place du March Pose de bordures et r fection d un chemin jardins familiaux Sous Biondes R fection peinture de la Salle de spectacles cuisine couloirs locaux techniques panneaux mobiles N 1 8 D R fection gradins du Stade du Censuy Ce n est pas facile d organiser ces chantiers car ils ne doivent pas faire concurrence aux entreprises priv es Voici donc des actions concr tes 13 Pr avis No 42 Installation de pavillons scolaires provisoires sur les listes du Simplon et du L man M Jean Pierre Rouyet pr sident rapporteur M J P Rouyet F r Mesdames Messieurs parmi
25. ance partir de la nouvelle production de TRI DEL d une part pour r duire les missions globales de CO2 et d autre part pour r duire les co ts d exploitation de Tridel les co ts de l lectricit sur le march lib ralis tant bas Deuxi me cl les co ts sont ils quitablement r partis Un quart des co ts de la d chetterie intercommunale est r parti en fonction des habitants et les trois quarts le sont en fonction du nombre de d p ts des habitants de Renens Pour Valorsa et Tridel les co ts sont r partis en fonction des quantit s trait es Ces r partitions sont conformes aux v ux exprim s par le conseil Un conseiller voque la possibilit de punir les comportements qui co tent cher la commune tels que une production sup rieure la moyenne ou le fait de jeter ses d chets n importe o La taxe aux sacs surtout si l on peut offrir une prestation de base quitable est de nature r duire la production de d chets Troisi me cl la d l gation de comp tence une SA ne soustrait elle pas cette activit au contr le du l gislatif Les administrateurs de VALORSA sont tous issus des ex cutifs L information se fait comme ce soir bien plaire La CARIC souhaite la participation d un membre des l gislatifs pourquoi pas en tournus l assembl e g n rale ce qui est facile mais peu utile voire au conseil de VALORSA 7 Rapport s ventuel s des membres des conseils intercommunaux
26. anisation scolaire avec la vie des parents munie de 350 signatures environ a t r colt e dans les diff rents coll ges de notre commune et semble r pondre une demande tr s forte de la part des parents d l ves en ge scolaire Une motion a aussi t d pos e le 4 novembre 2004 par Madame la Conseill re Bastienne Jorchel et qui va dans le m me sens que la p tition La p tition demande l harmonisation des horaires scolaires des l ves des coles enfantines et du premier cycle primaire y compris les heures d appui et d envisager l horaire continu De garantir un encadrement pour les cours qui tombent formation des enseignants par exemple Ceci pourrait tre fait tr s rapidement d s la prochaine rentr e scolaire et financi rement ne co terait pratiquement rien Lausanne cela existe depuis environ 5 ans la grande satisf action de tout le monde parents enfants et enseignants 16 La deuxi me partie de cette p tition demande notre commune et je reprends ici les termes de celle ci de mettre sur pied une prise en charge parascolaire permettant d accueillir des l ves de 4 12 ans calqu sur le mod le des APEMS accueil pour enf ants en milieu scolaire de la ville de Lausanne c est dire de pr voir un accueil et un encadrement des l ves de 07 30 18 00 y compris le repas de midi Dans le pr avis qui concerne le coll ge du L man il a t pr vu une structure comme
27. ant recevez Monsieur le Pr sident mes meilleures salutations Sign Dani le Pittet M le Pr sident d clare que suite cette d mission le bureau du Conseil conf orm ment aux articles 66 67 et 82 de la LEDP lira pour le prochain Conseil communal un e candidat e de la liste du groupe Fourmi Rouge en remplacement de Madame Dani le Pittet conseill re communale d missionnaire M le Pr sident indique que suite aux d missions de MM Roland Bart Bruno amarino et Roger Gumy conseillers communaux le bureau du Conseil a lu deux candidats de la liste compl mentaire du groupe radical et un viennent ensuite de la liste du groupe Arc en Ciel 11 prie Messieurs Jean Jacques Gaudard Pascal Andr Barraudy et Pascal Waeber de bien vouloir s avancer devant l assembl e il invite les membres du Conseil communal ainsi que le public se lever M le Pr sident donne lecture de la formule du serment et prie les nouveaux conseillers de lever la main droite l appel de leur nom et de s engager en r pondant par je le promets Lecture du serment M le Pr sident remercie Messieurs Jean Jacques Gaudard AeC Pascal Andr Barraudy et Pascal Waeber rad de leur engagement au service de la Commune et les prie de prendre place au sein de l Assembl e 3 Communications de la Pr sidence Le Bureau du Conseil a la tristesse de vous faire part du d c s de M Jean Pierre Schmidely d c d le samedi 19 m
28. ars 2005 dans sa 68 me ann e apr s une longue maladie Pour les plus jeunes d entre nous sachez que Jean Pierre Schmidely avant d tre d put puis pr sident du Grand Conseil 1988 a pr alablement si g au Conseil communal de Renens il en a aussi t le pr sident en 1973 D autre part nous vous informons galement des d c s de Mesdames Miquette Aegerter d c d e le 14 mars 2005 maman de notre conseiller Jean Jacques Aergeter ainsi que de Madame C cile Desboeufs Frossard maman de notre conseiller Hubert Desboeufs M le Pr sident prie l assembl e de se lever pour quelques instants de recueillement Les r sultats des votations cantonales du 17 avril 2005 se trouvent en annexe au PV du Conseil communal F7 Le ter vice pr sident du Conseil communal Monsieur Jacques Studer a remplac le pr sident lors de la r union des Pr sidents des Conseils communaux pour l ann e 2005 le 14 avril dernier chez Monsieur le Pr fet Jacques Nicod Le bureau a re u une p tition transmise par intitul e NON aux immeubles la place des jardins communaux La p tition est sign e par plus de 800 citoyens de la Commune de Renens Un projet de construction va transformer nos paisibles jardins communaux du quartier Sous Biondes en 5 immeubles d habitation avec parking souterrain de 28 places et 13 places ext rieures Le comit s oppose ces constructions pour les raisons suivantes Les personne
29. au d but du ch mage dans l id e d viter une s dent arisation dans l tat de ch meur avec un risque de perte de confiance de d motivation par une impulsion donn e au sein d un Club Emploi gt anim par de personnes au b n fice par exemple d une retraite anticip e mais encore pleines d nergie et de volont Dans la m me lanc e ce commissaire propose un soutien plus important pour favoriser l apprentissage En effet pour une petite entreprise encadrer un apprenti demande du temps et une attention et disponibilit constantes c est pourquoi certaines PME renoncent engager des apprentis le nombre de places d apprentissage sont ainsi r duites et plusieurs jeunes se retrouvent en qu te de formation et donc sans activit I faudrait imaginer une prestation d encadrement qui facilite la t che des PME en reprenant le r le d encadrement du ma tre d apprentissage que les entreprises ont justement plus de peine assumer et financer La deuxi me partie de notre discussion s est int ress e au 2 Manque de communication et d information Nous sommes contraints de constater que le parcours du ch meur n est pas facile vivre du point de vue social mais il l est encore moins du point de vue pratique quant aux d marches multiples que le ch meur doit effectuer Pouvoir pr tendre tre re u dignement lorsque l on est d j tr s vuln rable nous semble essentiel Pouvoir comprendre toutes les i
30. cie l assembl e pour le travail accompli et lui souhaite une bonne rentr e La prochaine s ance du Conseil communal est agend e au jeudi 26 mai 2005 La s ance est lev e 22h20 Le Pr sident La Secr taire R Divorne R Joliat
31. d missionner du Conseil communal avant la fin de la l gislature Je ne regrette pas d avoir v cu cette exp rience d engagement politique dans la vie de la cit dans laquelle j aurai pass 20 ann es et o je vais garder mon insertion professionnelle Je demeure toutefois frustr e et d ue de la stagnation du dossier m diateur en milieu jeunes et ai le douloureux pressentiment que le peu de courage du conseil et de la Municipalit en ce domaine risque de nous co ter cher dans les mois et les ann es venir Mais loin de moi l envie de jouer les oiseaux de mauvais augures Je demeure sur le terrain professionnellement et m arrangerai pour suivre de pr s et participer toute dynamisation du projet Enfin parce que j ai particip son laboration et ne pourrai pas vivre sa r alisation je me r jouis de suivre les p rip ties du site j ai une id e et ne manquerai pas si l occasion se pr sente d interpeller un conseiller relais et de le pousser la t che Je vais regretter coup s r de croiser mois apr s mois les diverses personnalit s qui composent notre l gislatif mais ainsi va la vie il y a des tapes franchir sans regret et sans trop de nostalgie Je vous laisse le soin d informer le Conseil communal de mon d part lors de la prochaine s ance du mois d avril s ance qui sera la derni re laquelle je prendrai part Je crois savoir que mon groupe a d j trouv mon rempla ant En attend
32. d ration s occupant essentiellement de jeunes ch meurs J en passe le descriptif de leurs activit s largement num r es dans la r ponse de la Municipalit la motion Le sujet des emplois temporaires subventionn s ETS est abord par notre Municipale qui nous signale que ces derniers ont subi une grande baisse au niveau cantonal car ils ne sont pas accord s pour les t ches courantes De plus un autre facteur de d sint r t semble tre le fait que les personnes qui effectuent un ETS ne peuvent faire valoir cette p riode en prolongation de leur d lai cadre de ch mage 20 N anmoins il ressort que participer un ETS peut tre d sangoissant et renfor ateur de l estime de soi la personne en ressort avec une meilleure confiance en soi et un sentiment d utilit ceci est surtout le cas semble t il pour les ch meurs de longue dur e Cest pour quoi la Municipalit pense quil est import ant de r fl chir quant la mise en place d ETS au sein de notre commune dans cette perspective elle a imagin mettre sur pied une quipe polyvalente en emploi t empor air e subventionn compos e de quatre personnes affect es des t ches particuli res en est de m me pour un poste ETS la cr che Dans les diff rentes discussions que notre Municipalit a eues avec des membres de ORP ceux ci ont largement pl biscit une structure du type du D fi bussignolais sur territoire renanais pr sent ant l avantage d
33. de l assembl e Cest par 26 contre 21 pour et 2 abstentions que la motion ne sera pas transmise la Municipalit pour tude et rapport Remarque un certain nombre de personnes pr sentes n ont pas mis d opinion c est dire qui n ont pas lev la main 29 M A Goedecke Je suis navr mais je me trouve en fond de salle et dans la d cision qui a t prise tout l heure le r sultat est totalement faux C tait visible et de mani re tr s nette la sup riorit des oui pour le renvoi de la motion vous Monsieur le Pr sident de vous d terminer Mile E Torriani F r donne lecture de sa lettre de d mission en tant que membre du Conseil communal de Renens Monsieur le Pr sident Mesdames et Messieurs les conseillers communaux Par la pr sente je vous fais part de ma d mission de ce conseil communal et de la commission des p titions d s le mois de mai Ma r cente activit professionnelle ainsi qu un d m nagement m obligent quitter la commune de Renens Ce n est pour autant que je renonce mon engagement dans des activit s socio politiques Les possibilit s de contribuer la vie de la cit sont multiples En effet la voie parlementaire n est en aucun cas la seule r ponse mes souhaits pour certains utopiques Et j esp re les garder encore un grand nombre d ann es Mon exp rience de jeune conseill re communale m a beaucoup appris sur le fonctionnement des n
34. deux de la part de M Bovier et deux autres que je vais vous donner tout de suite Lors de la s ance du Conseil communal du 27 janvier 2005 Madame la Conseill re communale Tinetta Maystre a pos deux questions relatives l avenir du site de Malley l une par rapport au calendrier des projets et l autre par rapport la coh rence avec le Sch ma directeur de l Ouest lausannois SDOL Avec une s ance de retard dont je vous prie de m excuser mais qui me permet de donner de plus amples informations sur ce projet il peut tre r pondu de la mani re suivante Concernant le centre de logistique une s ance de travail r unissant les trois communes a eu lieu pour prendre connaissance du projet et faire les commentaires et les demandes soit de modification ou d am lioration Une nouvelle s ance avec en plus les CFF et le canton est agend e pour prendre connaissance des r sultats de l tude d impact et des modif ications demand es et apport es au projet Dans l intervalle Prilly et Renens ont accept que les 3 4 camions pouvant provenir des communes d Ecublens de Chavannes de St Sulpice et de Jouxtens soient int gr s l tude d impact Une d cision pourra ainsi tre prise pour r pondre la demande de nos communes voisines et de Valorsa qui doit trouver des solutions pour toutes les communes concern es par lusine Tridel La demande de permis de construire sera ensuite d pos e courant du mois de mai et trait e sur la
35. e repousser au 30 septembre prochain l annonce et les d cisions prises dans ce domaine M J P Leyvraz F r J en conclus que si de toute fa on il va y avoir un pr avis il ny a pas besoin de motion Je ne sais pas quel effectif la Municipalit va proposer dans le pr avis mais il y aura toujours moyen de l amender si on n est pas d accord avec le chiffre Alors on pourrait aussi bien dire voter pour ou contre la motion cela reviendrait th oriquement au m me mais justement je voterai contre la motion parce que je trouve ind cent qu au moment pr cis o le nombre de personnes ligibles augmente de fa on spectaculaire on d cide de baisser l effectif du Conseil sachant qu en g n ral c est ceux qui sont d j dans la place qui sont lus Cela veut dire qu apr s avoir fait semblant d accorder l ligibilit plus de personnes et on se d p cher ait de fermer la porte Mme A M Depoisier syndique Je reprends la parole pour dire que je ne me suis pas bien fait comprendre II faut une motion pour que la Municipalit fasse une proposition sur le nombre de conseillers communaux S il ny a pas de motion a veut dire que c est le statu quo Alors c est vrai que si vous acceptez ce soir le motion la Municipalit pr sent er a le pr avis tel que demand par la motion mais encore f aut il que vous soyez d accord de nous renvoyer cette motion M le Pr sident soumet cette motion au vote
36. ement t compris Le principal but est d offrir aux citoyens de notre commune une nouvelle prestation leur permettant contre paiement d une somme modique de stationner sans limite de temps 11 s agit d une part de favoriser les habitants de la commune et d autre part d encourager l utilisation des transports publics Dois je vous rappeler que 60 des pendulaires entre Renens et Lausanne parcourent quotidiennement le tron on dans un v hicule priv soit environ 3000 v hicules par jour Parall lement dans le m me laps de temps les transports publics offrent environ 30 possibilit s par heure pour se rendre dans la capitale vaudoise La d marche de la direction du dicast re s curit publique s est avant tout cant onn e chercher des pr textes pour prouver que les macarons n allaient rien r soudre Je n ai jamais pr tendu que ce syst me solutionnait tous les probl mes Je pr tends simplement que l on peut offrir une nouvelle prestation qui s inscrit intelligemment dans une politique de mobilit urbaine moderne Dans l tat actuel seules les consid rations de disponibilit des places ont t prises en compte Cela me para t un peu mince au vu de la complexit du sujet En r sum je trouve cette r ponse incompl te en particulier sur le plan de l analyse et des const at ations L introduction de stationnement privil gi doit faire l objet d une v ritable r flexion dans le domaine de notre politique de la mobilit en te
37. ense nouveau que c est une r flexion qu l f aut que l on m ne Les deux questions que j aimerais poser la Municipalit quand je reprends les r ponses qui ont t faites au point 2 lorsque je demande x Le terrain a t il tait vendu c d ou chang sans que le Conseil communal en soit inform A priori un pr avis devrait nous tre soumis dans l un ou l autre de ces cas La Municipalit me r pond en date du 4 avril en me disant Le 11 avril dernier la Municipalit a sign une promesse d change allant dans le sens ci dessus Alors quand on me dit le 11 avril denier cest quoi 2004 2005 Parce que si c est 2005 alors franchement je me pose des questions Mon autre question est la question No 4 De plus la parcelle en question est elle constructible N est elle pas sise sur un alignement cantonal qui devrait dispara tre une fois notre Plan G n ral d Affectation accept L acceptation de ce dernier aussi bien par la canton que par notre conseil semble d ailleurs avoir t mise en suspens pour quelques temps La r ponse de la Municipalit est la suivante La radiation de l alignement de l art re 3 qui gr ve la parcelle communale est pr vue par le PGA Lors de l examen pr alable de ce dernier par le Canton cette suppression n a pas soulev de remarque D s lors cette radiation sera mise enqu te prochainement et fera partie du pr avis
38. ernant les aspects intercommunaux 2 La CARI C confirme l int r t qu elle a de conna tre les retomb es pour les communes des investissements qu elle a soutenu pour Beaulieu 3 Pr sentation des aspects intercommunaux de la gestion des d chets La CARIC remercie MM Perreten et P neveyre de pr senter la dimension intercommunale du traitement des d chets de la commune selon 3 volets e Collecte des d chets Valorsa e Participation Tridel e D chetterie intercommunale de Bussigny D chetterie et centre de Malley Valor sa est une soci t anonyme qui collecte les d chets de 158 000 habitants des communes l ouest de Lausanne jusqu la Vall e de Joux Ses missions sont e Trouver des fili res d limination e Regrouper les d chets pour mieux n gocier leur limination e Disposer d une taille critique pour les quipements de base e Proposer un service complet ses habitants e Informer pour r duire les d chets et les co ts L usine d incin ration initiale de Penthaz a d tre remplac e par un centre de compost age qui ne correspond plus aux exigences agricoles actuelles Actuellement les d chets sont incin r s aux 14 Cheneviers Gen ve Le capital de la soci t est de 8 5 millions et les co ts de 70 francs par an et par habitants en moyenne Les volumes collect s de toute nature croissent chaque ann e mais moins vite que la population La s cheresse de l ann e 2003 a r duit de pr
39. es informations par une description du programme ETS mis sur place la fin de l an dernier dans son service Au niveau des chiffres du ch mage ceux de mars 2005 montrent un l ger tassement du nombre de ch meurs Renens 804 au lieu de 825 en f vrier mais globalement il reste lev depuis le d but de l ann e avec un taux de 8 3 d pass depuis quelques mois par la commune de Chavannes 8 6 et plus ou moins identique ceux de villes comme Vevey Lausanne Aigle Villeneuve qui d passe galement 8 alors que le taux cantonal est de 5 7 Parmi les mesures mentionn es dans la r ponse la motionnaire relevons que la rencontre entre la Municipalit et les entreprises de Renens aura lieu le 30 mai Y interviendront M Roger Piccand chef du service de l emploi qui rendra attentifs et sensibilisera les employeurs au diverses mesures permettant d encourager l engagement de personnes au ch mage ainsi que M Francis Sermet responsable de la promotion conomique du canton Le dossier de l implantation possible de PECAL Renens sur le site de l usine lril est suivi attentivement par la Municipalit et vous avez t inform s de la r ponse du Conseil d Etat aux diff rentes d marches qui ont t faites dans sa direction Disons que ce dossier est en bonne voie et devrait normalement survivre aux r sultats des votations cantonales du week end dernier J avais eu l occasion d informer le Conseil et la commission d
40. es marches en solitaire et son criture se sont attach s nous en redonner le go t En me baladant Renens c est un peu ce que m ont voqu certains coins de Renens dont les jardins familiaux des Sous Biondes J aurais envie de dire les jardins a r s de Renens Leur d couverte am ne cet tonnement ce sentiment d insolite dans une ville qui se veut de plus en plus la hauteur d une grande ville Tout d un coup une ouverture qui nous appelle vers les hauts arbres qui nous guiderait le long de la M bre si l envie nous prend A l poque de Gustave Roud la campagne et la ville taient moins endolories de ces grandes constructions industrielles de b tons et de t les et du murmure constant de l autoroute Certes nous devons nous contenter de tout petits fragments de paradis mais ils sont d autant plus pr cieux Ils enrichissent d autant plus la qualit de notre vie dans notre ville de Renens Mis part le romantisme de la d couverte ils ont aussi une fonction de parole comme me l ont dit plusieurs personnes g es et c tait m me un cri du c ur Laissez nous des espaces de discussions Et oui ils sont aussi cela un lieu de rencontre entre jeunes et vieux retrait s et couples d but ant dans la vie sans compter le m lange culturel pic qui est au c ur de ce lieu r sidentiel qui fait se c toyer habitudes vestimentaires et agricoles du Moyen Orient en passant par l Afrique Centrale le Sud de l
41. icipalit travaille sur ce sujet depuis longtemps la signature avec le notaire tait agend e depuis plusieurs semaines Nous n avons rien invent pour vous r pondre et ces proc s d intention je vous prierai Madame de les garder pour vous Mme T Maystre AeO Je souhaiterais remercier Madame la Syndique de sa r ponse fort pr cise mon interpellation du mois de janvier Je souhaite exprimer ici une certaine amertume de constater finalement que l urgence de ce projet de transbordement de d chets nous a t impos e et que la r flexion sur cette zone en devenir devra int grer ce projet sans possibilit d influence 13 Une certaine amertume galement d apprendre que la consultation sur lavenir de Malley soit la validation du chantier 2 ne viendra qu apr s La d mocratie participative pourtant clairement nonc e dans la motion intercommunale accept e l an pass y laisse quelques plumes M le Pr sident cl t la discussion tant donn que la parole n est plus demand e 5 Communications ventuelles de la Commission des Finances Il n y a pas de communications de la Commission des Finances 6 Communications ventuelles de la Commission des Affaires R gionales et Intercommunales M B Saugy pr sident de la commission des affaires r gionales et intercommunales pr sente le rapport de la commission 1 La CARI C prend acte du fait que l ordre du jour du 21 4 2005 ne comprend pas de pr avis conc
42. ique Dans ce cadre Renens participer a la campagne nationale mise sur pied par l Office f d ral du sport de Macolin La Suisse bouge du 7 au 16 mai 2005 et organisera le 7 mai prochain sur la Place du March et dans plusieurs lieux dans la ville des activit s physiques pour tous les ges II y aura notamment la d couverte de Renens v los et pied Vous allez bien entendu recevoir des informations ce sujet J invite d ores et d j les membres du Conseil communal et la population participer cette journ e M J P Rouyet F r informe les membres du Conseil communal que le samedi 21 mai 2005 Le Grand March aux Puces et la Foire aux Livres seront organis s sur la Place du March Mme D Pittet F r J improvise un peu je veux quand m me vous dire au revoir en remerciant au passage la Municipalit et en lui envoyant un dernier petit fion pour le plaisir Le Conseil communal va bient t recevoir une r ponse municipale mon interpellation demandant un inventaire des biens communaux J ai eu l occasion de rencontrer M Bovier et Mme Heiniger qui m ont pr sent leur travail comme a premi re vue j ai trouv a tr s int ressant l inventaire est fait je les en remercie Je les en remercie aujourd hui puisque je ne pourrai pas le faire demain J invite tout ef ois le Conseil communal tre vigilant parce que tout le d bat quil y a eu en d but de s ance me pousse di
43. is Discussion pr alable Propositions individuelles et divers KIKIKI KIII Adoption du proc s verbal de la s ance du 3 mars 2005 M le Pr sident ouvre la discussion sur ce proc s verbal Mme M Bandelier soc La charge de conseiller ou conseill re communale est une charge importante si ce nest pour nous m me conseiller cela l est pour la population ou pour ceux qui nous ont lus pour ceux que l on repr sente Aussi j ai t choqu e de trouver la page 4 du PV le nom de notre dernier conseiller communal en date Monsieur Korkmaz deux fois de suite orthographi deux fois avec un t je pr cise d ailleurs que le nom de Korkmaz a une signification et qu il signifie nayez pas peur a n est pas pour plagier le Pape qui vient de mourir mais toujours est il que je trouve d une grande d sinvolture et d un total irrespect de ne pas avoir mentionn exactement le nom de ce monsieur C est tout ce que je voulais dire le Pr sident prend bonne note de la remarque de Madame la conseill re communale Mireille Bandelier Soumis l approbation de l assembl e ce proc s verbal d ment corrig est accept M le Pr sident remercie Madame la Secr taire pour son travail 2 D mission Assermentations M le Pr sident a re u une lettre de d mission en date du 6 avril 2005 Monsieur Divorne A la fin du mois d avril je vais d m nager Lausanne En cons quence je me dois de
44. issage etc ont t suivis v une moiti a t orient e vers un SeMo semestre de motivation atelier 24 v l autre moiti a concr tis son projet professionnel soit par un apprentissage un emploi ou une nouvelle orientation sur des coles sp cialis es dans divers domaines La question du ch mage est un sujet d actualit dans l Ouest lausannois aussi bien pour les 15 25 ans que pour les autres tranches d ge Cest pour quoi il est primordial aujourd hui d utiliser les moyens existants pour pouvoir avancer rapidement dans la r insertion sociale des ch meurs en g n ral et non pas seulement de ceux en fin de droit Finalement il serait judicieux d approcher le responsable de la structure BIO afin d tudier sous quelle forme une collaboration entre les services communaux concern s et la structure BIO serait envisageable afin que ce nouveau entre guillemet service soit identifi clarifi et garde une ind pendance vis vis des autres structures existantes Vu ce qui pr c de et pour conclure je soutiens donc la proposition de la commission d tude de la motion afin de faire une table ronde avec les professionnels de la branche Mme M Huguenin conseill re municipale Permettez moi d abord de donner quelques inf or mations actuelles sur la situation de l emploi Renens la r ponse la motionnaire ayant t faite la fin de l ann e 2004 Michel Perret en compl t era c
45. it la motion R agissons face au ch mage En effet je travaille en tant que secr taire la Permanence Mobilet BI O sis au Chemin du Ch ne Renens ceci depuis sa cr ation le 1 septembre 2008 Mobilet BI O est une mesure financ e par le service de l emploi SDE elle a pour objectif de faire un bilan de la situation du jeune d tablir une strat gie d insertion professionnelle et d orienter le plus rapidement possible le jeune dans la fili re de formation professionnelle qui lui convient le mieux Notre programme a t pens et con u pour remplir ces objectifs I1 est compl ment aire au SeMo semestre de motivation Cette structure fonctionne de f a on efficace et les membres de l quipe qui la constitue sont tous des professionnels de la jeunesse ayant une grande exp rience des personnes en rupture de projet professionnel Cette permanence poss de des moyens pratiques tels que locaux inf or matique bilan de comp tence rattrapage scolaire Un savoir faire dans ce domaine est important Per sonnellement je suis d avis qu il serait bien plus pertinent de s approcher de structures existantes et reconnues du SDE qui par leur engagement prof essionnel ont un taux de r ussite fort int ressant Je me suis permis de prendre quelques chiffres significatifs Depuis la cr ation du programme BIO soit Bilan Information Orientation plus de 410 jeunes de 15 23 ans toutes voies confondues rupture d apprent
46. lement rejet les conclusions du pr avis qui lui a t propos ainsi que les r ponses aux motions initiatrices du projet la majorit mais selon des motivations divergentes Le parti socialiste lausannois a d pos une motion qui vise cr er un local d injection Lausanne Le parti socialiste de RENENS juge qu il est n cessaire de soutenir la mise sur pied d un tel espace de consommation de stup fiants en ville de Lausanne puisque celui ci aura une port e r gionale juge qu un tel local est indispensable pour compl ter le dispositif actuel en mati re de toxicomanie Faute d avoir le soutien du Canton la commune de RENENS ne peut pas laisser la Ville de Lausanne mener toute seule ce projet Notre commune compte aussi des toxicomanes qui seront des usagers de ce local Nous portons donc aussi une responsabilit dans ce domaine Nous rappelons qu un tel local poursuit notamment les buts suivants 1 Limiter le nombre d injections effectu es dans de mauvaises conditions Beaucoup d injections sont effectu es la sauvette notamment dans des lieux publics toilettes parking ext rieur en n gligeant des r gles essentielles de prudence en terme d hygi ne et de sant pour les toxicomanes et la population en g n ral 2 Am liorer l tat de sant g n ral des toxicomanes Un local d injection offre un contact essentiel avec des soignants tant il est vrai que beaucoup de toxicomanes souvent des jeunes adultes
47. les documents re us pour le Conseil d aujourd hui vous aurez peut tre d couvert le rapport de la commission charg e d tudier ce pr avis Je dis peut tre car ledit rapport est en fait pr c d d un document de la Municipalit intitul Compl ment d information relatif le pr avis N 42 du 19 avril 2004 gt Sur la forme plusieurs membres de la commission et plusieurs de mes coll gues ont trouv pour le moins surprenant que notre rapport se trouve ainsi annex au compl ment d information de la Municipalit Comme en plus le tout est agraf on pourrait croire que l entier du document est issu de la Municipalit Sur le fond le compl ment d information apporte des l ments nouveaux notamment le fait que la Municipalit ne serait pas oppos e une d pense suppl ment aire pour la r novation des installations sanitaires Comme ce compl ment nous est connu depuis moins d une semaine la commission n a pas eu pratiquement le temps de se concerter ce propos Aussi je demande au Pr sident une interruption de s ance de 5 minutes 27 Interruption de s ance M J P Rouyet Fr La commission charg e d tudier ce pr avis s est concert e durant l interruption de s ance Par 7 voix sur 10 elle aimerait r tudier le pr avis la lumi re du compl ment d inf or mation qui a t envoy et aussi par le fait que nous nous tions r unis le 20 janvier dernier et que depuis lo
48. mpr hension et la clart dans la discussion Mme T Maystre AeC La motion d velopp e par Olivier Barraud soul ve en effet un aspect important de l urbanisme de notre cit La r ponse qui lui est donn e apporte des donn es de base import ant es indispensables la r alisation de ce projet Elle est ax e toutefois essentiellement sur l aspect en apparence n gatif l aspect financier malheureusement encore difficile d coder Mais elle ne s ins re pas dans une vision d ensemble porteuse d un v ritable projet urbanistique de notre cit et je souhaite l attirer votre attention sur le dernier Renens Info qui nous apprend que l intention de la Municipalit de cr er des zones 30 dans notre ville ne peut pas se faire ou ne peut se f aire que beaucoup trop lentement en raison de manque de moyens financiers Justement cette op ration macaron pourrait semble t il rapporter de l argent pourquoi ne pas la mettre en lien avec la cr ation de zones 30 appel e de leurs v ux par les habitants S il doit y avoir pose de panneaux et coups de pinceau sur la route autant ne le faire qu en une seule f ois et l conomie d chelle serait b n fique La r ponse sur laquelle nous devons nous prononcer ce soir parle d une ventuelle je cite tromperie du citoyen automobiliste qui devrait payer quelque chose Or lui offrir en contrepartie une qualit de vie am lior e dans son quartier par une zo
49. munales La nouvelle loi cantonale qui est en discussion au Grand Conseil permettra aux communes de plus de 10 000 habitants de choisir le nombre de ses conseillers dans une fourchette de 70 100 Une s ance a eu lieu le 5 avril 2005 avec les pr sidents et repr sentants de chaque groupe et a tudi les avantages et inconv nients d une telle modification 28 Le groupe radical propose la motion suivante En accord avec le r glement du conseil et selon les d cisions venir du grand conseil nous proposons de r duire les membres du conseil communal de 80 70 et demandons la Municipalit de nous soumettre un pr avis cet effet au plus tard pour le Conseil du mois de septembre 2005 Mme A M Depoisier syndique Bien s r que la Municipalit vous pr sentera le pr avis demand Juste vous dire que la modification de la Loi sur les Communes pour s adapter la Nouvelle Constitution est actuellement en discussion au Grand Conseil Un certain nombre d articles dont celui du nombre de conseillers communaux a d j t vot Le Grand Conseil va adopter des marges de man uvre si je peux dire plus larges que ce que proposait le Conseil d Etat donc pour une Ville comme la n tre c est entre 70 et 100 alors que le Conseil d Etat proposait 65 et 90 Donc on va vous pr senter ce pr avis Je pense qu il sera pr t pour le mois de juin avec une d cision en septembre puisque la loi va aussi proposer d
50. nant compte de tous les param tres concern s En cons quence je sollicite la nomination d une commission af in de r pondre aux nombreuses quest ions encore en suspens M J P Leyvraz F r Ce sujet m inspire deux remarques Premi re remarque je suis impressionn de voir quel point les demandes exprim es par la commission de gestion ont t comprises de travers dans l tude technique qui nous est fournie En effet qu est ce que nous demandions des places o les habitants de Renens peuvent laisser leur voiture toute la journ e pour se d placer par d autres moyens Et qu est ce qu on nous r pond que dans la plupart des quartiers il y a suffisamment de places libres pendant la journ e Ce n est pas une r ponse On le sait bien quil y a plein de places libres mais justement on ne peut pas y laisser sa voiture vu qu elles sont limit es 10 heures au plus Deuxi me remarque Monsieur Barraud a mis le doigt sur la vraie dimension du probl me II ne s agit pas d une simple question administrativo juridico financi re mais bel et bien d une question de politique des transports aspect qui est totalement ignor dans l tude technique Conclusion pour que l aspect politique des transports soit pris en compte dans la discussion il f aut qu un autre d partement plus sensible par nature cet enjeu savoir celui d urbanisme soit lui aussi pr sent dans les s ances de commission ce qui ne peut qu aider la co
51. ncernant le fait qu il faut appliquer les lois de ce pays m me par rapport une multinationale il semble que cela a port plus ses fruits en plus de l action des travailleurs bien s r dans le sens que jusqu au 17 05 la question reste ouverte Les travailleurs ont droit une information ils ont droit des l ments de participation galement vis vis des d cisions qui les touchent Is ne vont pas manquer de f aire des contre propositions dans le sens que l on red couvre comme a s est fait souvent qu est ce qu une entreprise et qui appartient elle Cest vrai que du point de vue juridique strict la groupe multinational a tout loisir d en revendiquer l exclusive propri t m me pour fermer un site Par contre il y a beaucoup de travailleurs des cadres des gens qui ont travaill au d veloppement de l entreprise qui estiment qu ils sont aussi une partie de la dimension d une entreprise qui leur appartient et c est dans ce sens qu ils ont fait appel des concurrents qu ils pensent tre rentables sur le march national ou international avec des produits haut de gamme Donc j aimerais bien qu on ne donne pas tout de suite l information comme quoi c tait un canard boiteux qu il fallait fermer comme a et que cela suit les lois de la concurrence internationale 34 Les faits sont beaucoup plus t tus et je crois que la 1 Mai comme l a dit le conseiller communal Olivier Barraud e
52. ne 30 pourrait contrecarrer ce ph nom ne 18 Par ailleurs je souhaite aussi attirer l attention sur la carte situ e en fin du rapport qui partage Renens en 10 zones et comparer ce d coupage Lausanne Lausanne comporte aussi 10 zones pour un territoire bien plus grand et Gen ve comprend 17 zones qui se recoupent en partie Les zones d finies Renens ne sont elles pas trop petites D autre part le prix propos ici de Fr 30 mois est certes proche du prix lausannois mais Berne il est de Fr 20 et Gen ve il varie entre 15 Fr 30 par mois Pourrait on discuter du montant Pour donner une chance cet essai je propose qu on discute aussi de ces aspects si une commission est nomm e et planche sur le sujet La parole n tant plus demand e M le Pr sident soumet les conclusions au vote de l assembl e C est une large majorit qu une commission est nomm e pour tude et rapport de la r ponse municipale Du groupe socialiste M Olivier Barraud Mme Mireille Bandelier M Daniel Rohrbach Du groupe Fourmi rouge Mme Danielle Ayer M Jean Pierre Leyvraz Du groupe lib ral M Jean Jacques Aegerter Du groupe AeC 2 Mme Tinetta Maystre Du groupe radical Mme Catherine Wicht Mme Gis le Martin M Alexandre Goedecke Remarque la commission d signera le pr sident rapporteur ou la pr sident e rapporteure lors de la s ance fix e au lundi 23 mai 19h30 au CTC 12 R ponse de la C
53. nformations donn es aussi bien l Office du travail qu l ORP est aussi essentiel Pouvoir tre mieux entendu et recevoir spontan ment des indications sur les possibilit s de cours de stages d emplois vacants sans avoir l air de demander l aum ne L aussi c est essentiel C est pourquoi la commission demande la Municipalit de s approcher de l ORP afin que celui ci redynamise son r le pour qu une meilleure communication se fasse avec les ch meurs et pour qu une meilleure promotion de ce qui existe comme possibilit s de cours d ETS ou stages soit propos e d office De plus elle souhaite qu au niveau des services communaux des employ s puissent tre form s afin de bien renseigner et orienter les demandeurs d emploi Dans la m me id e la cr ation sur le site web de la commune d une rubrique donnant les liens des diff rentes associations ou structures existantes s occupant des personnes en recherche d emploi serait la bienvenue Enfin la Municipalit est invit e stimuler les entreprises s adresser l ORP lorsqu elles sont en qu te d employ s CONCLUSION La commission dans son ensemble refuse la r ponse de la Municipalit la motion R agissons f ace au ch mage Elle estime qu une association ou une structure cr er de toute pi ce n est pas une solution id ale pour les raisons largement voqu es dans ce rapport 23 La commission propose que la Municipalit organise une
54. nt s curiser les pi tons et ralentir la circulation En effet dans ce type de zone c est le pi ton qui est prioritaire et la voiture qui subit les entraves Le bac en b ton est l pour signaler le bord du trottoir afin d viter aux v hicules de le toucher Du c t nord de la chauss e devant le magasin un bac fleurs ou un bout eroue ser a dispos afin d viter le par cage en travers du trottoir et du passage pi tons et de maintenir une vision compl te sur le carrefour L autre objectif de ces infrastructures est de limiter le parcage sauvage g n r par le magasin Dans un proche avenir il est encore pr vu de cr er le long de la rue du Bugnon deux ou trois places de stationnement dur e tr s limit e pour permettre d une part aux parents d l ves de d poser et de reprendre leurs enfants et d autre part aux clients de se rendre au magasin Les probl mes de stationnement sauvage et de man uvres dangereuses devant le goulet seront ainsi r gl s ll est vident que pour les am nagements de la partie principale du chemin des P pini res en zone de rencontre la population sera inform e des intentions municipales comme annonc ant rieurement La Municipalit estime ainsi avoir r pondu la question de M le Conseiller communal Jean Jacques Aegerter relative l am nagement de l entr e du chemin des P pini res M R Bovier conseiller municipal donne lecture de la r ponse l interpellation relative
55. ntation de nouvelles entreprises g n ratrices d emplois La commune devrait ainsi organiser et cautionner des locaux du style des P pini res de l EPFL Dans ce mod le cela ne co te rien l EPFL il y a juste une personne qui s occupe d en faire la promotion A Renens on nous inf orme qu il ny a pas de Monsieur ou de Madame Promotion Par contre selon Mme Huguenin la promotion conomique se fait dans le cadre de Lausanne R gion Le m me commissaire nous f ait remarquer que la r ponse la motion se situe sur le terrain social mais non sur le terrain du d veloppement conomique qui serait plus pr ventif A Lausanne une structure de management urbain est en train d tre mise en place qu en est il Renens La commission encourage la Municipalit reprendre contact avec les entreprises pour les informer des locaux mis disposition Elle demande un renforcement et une multiplication de la promotion conomique locale Au terme de la s ance les commissaires ne sont pas convaincus d avoir puis toutes les possibilit s de d veloppement relatives au th me qui nous occupe et d cident de se r unir nouveau lundi 7 mars 2005 sans la pr sence de Mmes HUGUENIN et SCHWAB Les commissaires pr sents savoir Mmes Nicole DUPONT Nicole HAAS TORRI ANI et Antoinette SCHAFFFNER MM Ivan MARCUCCI Robert MULOPO Raymond VI NCENT et Bernard SAUGY ainsi que votre d vou e ont nouveau longuement d battu sur ce sujet
56. omment nous allons nous y prendre pour que le Conseil communal soit au clair Je dois dire que mes coll gues de la Municipalit l apprenne en m me temps que vous et aupr s d eux je m en excuse mais je crois que l urgence m oblige vous donner ces informations ce soir M R Bovier donne une r ponse la question de M le Conseiller communal Jean Jacques Aegerter concernant les nouveaux am nagements l entr e du chemin des P pini res Lors de la s ance du Conseil communal du 3 mars dernier Monsieur le Conseiller communal Jean Jacques Aegerter a questionn la Municipalit au sujet des am nagements en cours de r alisation l entr e du chemin des P pini res Lors de la s ance d information publique du 20 janvier 2003 la Municipalit a annonc la cr ation sur le chemin sans issue des P pini res d une zone de rencontre Ce projet quelque peu retard pour des raisons de co t n est pas abandonn De plus il est apparu judicieux de profiter des am nagements de surface pour traiter en m me temps le probl me du renouvellement des canalisations Devant ce retard la Municipalit a estim qu il tait n cessaire de pallier au plus press en modif iant l entr e du chemin et en r glant le probl me de l acc s au magasin qui ne satisfaisait pas les habitants du quartier Le goulet de r tr cissement form par le trottoir et le bac en b ton au sud n cessaires la cr ation d une zone de rencontre serve
57. ommission charg e de l tude de la r ponse donn e par la Municipalit la motion de Madame la Conseill re communale Haas Torriani et consorts R agissons face au ch mage Mme Myriam Romano pr sidente rapporteure 19 Remarque tant donn que tous les membres du Conseil communal ont re u le rapport de la commission d tude Madame la conseill re communale Myriam Romano pr sidente rapporteure donne uniquement lecture des conclusions du rapport Par contre le rapport dans son entier est report dans le pr sent proc s verbal pour une meilleure compr hension du lecteur La commission charg e d tudier la motion d pos e par Mme Haas Torriani s intitulant R agissons face au ch mage s est r unie lundi 7 f vrier 2005 dans les locaux du service de la S curit sociale Elle tait compos e de Mmes Nicole DUPONT Nicole HAAS TORRI ANI Antoinette SCHAFFNER et de MM Jean Pierre GLAUS Alexandre GOEDECKE Ivan MARCUCCI Bernard SAUGY Raymond VINCENT et de votre pr sidente rapporteur Myriam ROMANO M Robert MULOPO tait absent Nous avons t accueillis par Mmes Marianne HUGUENI N Municipale et Jacqueline SCHWAB Cheffe de service je les en remercie En pr ambule Mme HUGUENI N nous a largement inform s sur la situation du ch mage dans notre commune Le ch mage est un probl me crucial Renens nous dit elle La courbe du ch mage renanais se trouve toujours au dessus de la courbe canton
58. os institutions mais j ai t d ue par le manque de spontan it et de courage dans nos d cisions et par l int r t restreint port aux probl mes de la jeunesse notamment de ma g n ration Je vous souhaite tous et aux citoyens citoyennes de Renens une bonne continuation dans les d bats de cette ville Sign Elena Torriani M le Pr sident d clare que suite cette nouvelle d mission le bureau du Conseil conf orm ment aux articles 66 67 et 82 de la LEDP lira pour le prochain Conseil communal un e candidat e de la liste du groupe Fourmi Rouge en remplacement de Madame Elena Torriani conseill re communale d missionnaire M O Barraud soc d pose une motion demandant la mise en place d un espace de consommation de stup fiants local d injection en ville de Lausanne La r gion lausannoise en tant que zone urbaine se doit d assumer au quotidien la probl matique de la toxicomanie Elle est en particulier connue et visible de tous dans les rues et sur les places de Lausanne Les autorit s de la capitale et de certaines communes environnantes ont progressivement mis sur pied un dispositif de soutien aux personnes toxicomanes r pondant la politique f d rale des quatre piliers pr vention th rapie r duction des risques aide la survie et r pression En particulier Lausanne dispose d infrastructures et de prestations qui permettent actuellement d intervenir efficacement dans l aide et
59. re la chose suivante vous verrez en recevant cette r ponse mon int er pellat ion que la surface des propri t s communales repr sente le 13 85 du territoire communal et que les parcelles dites n gociables ne repr sentent que le 10 3 de ce 13 85 donc tr s peu de chose Or les jardins communaux des Biondes parcelle 354 faisaient parties de ces surfaces dites n gociables Je me dis alors que quand on aura ce rapport bien pr cis il faudra peut tre n gocier mieux et plus intelligemment le peu de biens communaux en notre possession Voil vous faites ce que vous voulez par la suite de mes remarques mais soyez vigilants ne bradons pas le peu de biens de la commune la l g re Merci de m avoir cout e M J Depallens Fr Je voudrais juste inviter le Conseil communal et la population continuer soutenir les travailleurs de Filtrona Dans le sens que vous l avez vu par la presse que le groupe Bunzl a confirm ce qui tait d j visible depuis longtemps savoir qu il tait venu surtout pour fermer un site et non pas pour prolonger l aspect rentable et efficace de la production Crissier Jusqu au 17 mai il y a des contre propositions qui vont tre pr par es par les travailleurs J aimerais saluer la bonne pression des collectivit s publiques Je pense que la Municipalit peut tre en rapport avec M Piccand du Service cantonal de l emploi a bien fait d intervenir aupr s de la Direction co
60. rs deux s ance du Conseil communal se sont tenues avec des votes not amment sur des objets scolaires Aussi au nom de la commission je demande le report de cet objet au prochain conseil communal M Le Pr sident soumet cette proposition au vote de l Assembl e c est don l unanimit moins et 2 avis contraire que le pr avis No 42 sera remis l ordre du jour de la s ance du mois de mai prochain 14 Pr avis No 51 Admission de 25 candidats la bourgeoisie de la Commune de Renens D p t du pr avis Discussion pr alable M le Pr sident nomme la commission de naturalisation pour l tude de ce pr avis tant donn que la discussion pr alable n est pas demand e 15 Propositions individuelles et divers M H Desboeufs rad d pose une motion intitul e Modification du nombre de conseillers communaux pour la l gislature 2006 2011 De moins en moins de personnes sont attir es ou int ress es par les charges que repr sente la t che de conseiller communal La vie moderne et le stress qu elle occasionne rendent de plus en plus difficile la mobilisation des citoyens pour assumer cette t che C est la raison pour laquelle nous proposons de r duire l effectif du Conseil communal de Renens pour la prochaine l gislature 2006 2011 Cette r duction d effectif aura comme avantage de r duire les co ts de fonctionnement du Conseil et des commissions et le cas ch ant de faciliter des rencontres intercom
61. s jouissant des jardins communaux sont majoritairement des personnes retrait es attach es ces jardins depuis de nombreuses ann es leur procurant une activit physique et une raison de vivre Les espaces de verdure sont fortement r duits l int rieur des villes au profit d un am nagement du territoire ne respectant souvent pas l environnement et les riverains Le b ton gagne du terrain sur les derniers espaces verts Le comit s oppose galement ce projet pour toutes les nuisances qu il occasionnera dans ce quartier paisible de Renens en terme de bruit pollution automobile trafic et dangers suppl mentaires pour les l ves des coles enfantines et primaires du coll ge de Sous Biondes Cette p tition tait accompagn e d un courrier adress au Pr sident du Conseil communal et la Municipalit de Renens Vous trouverez ci joint la p tition NON aux immeubles la place des jardins communaux Cette p tition a d marr le 19 mars et a t sign e par plus de 800 citoyens de la Commune de Renens au 10 avril 2005 23 jours Le comit d organisation de cette p tition form des riverains de locataires des jardins communaux et propri taires avoisinants du quartier Sous Biondes s oppose au projet de construction d immeubles en lieu et place des jardins communaux pour les raisons suivantes Disparition des jardins communaux Ces jardins sont entretenus et cultiv s par des personnes qui
62. sidence 4 Communications ventuelles de la Municipalit 5 Communications ventuelles de la Commission des finances 10 11 12 13 14 15 1 2 Communications ventuelles de la Commission des affaires r gionales et intercommunales Rapport s ventuel s des membres des conseils intercommunaux art 40 lettre g du R glement du Conseil communal Nomination d un membre la Commission permanente de naturalisation Nomination d un membre la Commission permanente des p titions P tition Mieux concilier l organisation scolaire avec la vie des parents Mme Simone Szenyan Reymond pr sidente rapporteure R ponse de la Municipalit la motion de Monsieur le Conseiller communal Olivier Barraud et consorts relative l introduction du stationnement privil gi secteurs Macarons des v hicules des r sidents en ville de Renens Nomination ventuelle d une commission R ponse de la Commission charg e de l tude de la r ponse donn e par la Municipalit la motion de Madame la Conseill re communale Haas Torriani et consorts R agissons face au ch mage Mme Myriam Romano pr sidente rapporteure Pr avis No 42 Cr dit d tude pour la r novation du coll ge et de la salle de gymnastique de Florissant M Jean Pierre Rouyet pr sident rapporteur Pr avis No 51 Admission de 25 candidats la bourgeoisie de la Commune de Renens D p t du pr av
63. t par la suite aussi jusqu au 17 mai il faudra continuer avoir les yeux et les oreilles ouverts pour entendre en tout cas cette col re et cette revendication des travailleurs de dire nous sommes l nous sommes comp titifs nous avons des produits de pointe c est clair qu on doit redimensionner certaines choses Je ne sais pas o ils arriveront mais j aimerais bien que la Municipalit en lien avec le Service de l Emploi SDE f asse galement les pressions qu elle peut faire sans se leurrer sur les r sultats mais qu elle soit attentive justement la lutte contre le ch mage sujet sur lequel le Conseiller municipal Raymond Bovier avait galement fait une bouleversante et vibrante intervention de voir quelle solution se trouve pas seulement en dehors de la r gion mais y compris dans l entreprise m me comme cela avait t le cas chez Sapal o ils avaient pu poursuivre une partie de la production malgr le fait que la Direction avait d j d cid que tout tait liquider quil n y avait plus rien de bon Alors j aimerais qu on soit attentif ce double aspect C est pas des canards boiteux qui se ferment il y a aussi des choses valables quil f aut continuer soutenir m me si un groupe multinational en d cide autrement plus pour des raisons strat giques que pour des raisons technologiques ou d efficacit productive Merci M le Pr sident cl t la discussion car la parole n est plus demand e Il remer
64. tion en quest ion il s agit de l Association D f ense du Fran ais je serais ravie que ceux que cela peut int resser se serve l entr e et devienne membre de cette association Puisque j ai la parole alors l c est tout fait personnel je me rends compte que je devrais tre nomm e dans 3 commissions l issue de ce Conseil les p titions la naturalisation et les macarons Alors je demande aux trois groupes de patienter parce que j aurai un peu de peine me partager entre les 3 groupes Merci M O Barraud soc Une communication plus festive malgr la duret de l actualit Vous avez tous vu dans la presse que l Ouest lausannois va encore perdre 150 emplois suppl mentaires avec la fermeture de Filtrona ce qui est bien videmment un drame donc je ne peux aussi que souscrire aux d marches faites au sujet du ch mage parce que l on peut tre s r d une chose c est qu il va encore augmenter dans la r gion La communication plus festive que j annon ais ce n est pas celle l parce qu elle est bien triste mais que le 1 Mai a lieu Renens 32 Exceptionnellement cette ann e le 1 Mai de Lausanne se d place Renens et je crois qu on a suffisamment de probl mes d emplois dans la r gion pour manifester tous ensemble notre col re et notre refus de cette politique conomique Alors venez nombreux sur la Place du March de 12h00 17h00 il y a aura des stands pour les enfants de la no
65. u projet pilote du Service de l emploi sur Renens projet labor en raison du haut taux de ch mage et suite aux contacts entre la Municipalit l ORP et le Service de l emploi Deux groupes de 25 ch meurs au ch mage depuis 1 an ou plus ont donc t suivis fin 2004 d but 2005 par la fondation Mode d emploi I Is ont b n fici d un suivi intensif hebdomadaire sur 2 mois comprenant bilan remise jour des CV motivation jeux de r le dynamisation des offres spontan es activation des r seaux La Direction de la S curit sociale a rencontr sa demande le 11 avril l ORP des repr sentants du SDE et l association Mode d emploi Le bilan de cette exp rience pilote a t valu tr s positivement par l ensemble des partenaires avec un taux de satisf action de 90 du c t des ch meurs m me si il n est pas chif f rable imm diatement en taux de reprise d emploi 25 Rappelons la n cessit d un tel programme puisqu un conseiller ORP g re actuellement 140 dossiers qu un tel suivi intensif n est pas ou n est plus possible On peut le regretter mais c est la r alit Au vu de ce bilan positif cette exp rience va se poursuivre en 2005 avec 3 groupes de 25 personnes mais en l tendant cette fois aux ch meurs des communes de l Ouest regroup es au sein de l ORPOL Venons en au rapport de la commission ses diff rentes remarques et finalement son refus de la r ponse de la Municipalit
66. udes Par cette motion nous demandons donc que 1 La Municipalit de RENENS propose un soutien financier la mise sur pied et au fonctionnement d un local d injection en ville de Lausanne 2 La Municipalit de RENENS accompagne ce soutien d une d marche visant informer la population de la politique suivie par la ville de Lausanne de Renens et de la r gion en mati re de toxicomanie 3 La Municipalit de RENENS suive le projet et soit inf or m e de son valuation par une instance ext rieure d s sa mise en place puis r guli rement par la suite relativement notamment aux buts fix s et tels qu voqu s pr c demment Merci de votre attention M le Pr sident soumet cette motion au vote de l assembl e Cest par 31 voix pour 20 voix contre et 8 absentions que cette motion est transmise la Municipalit pour tude et rapport Mme M Bandelier soc Vous l avez certainement d j appris par le Renens Info samedi c est la Jour n e du Livre et je me suis permis de d poser sur les tables ce document qui vous montrera qu il se passe aussi quelque chose Renens et en particulier chez Globlivres Je vous invite donc faire un passage devant Globlivres pour couter certains lecteurs et en particulier certains crivains de notre r gion Dans la lanc e je me suis permis de d poser l entr e des bulletins d inscription voire galement le petit journal qui est issu de l associa
67. un travail de plus grande proximit que ne pourrait ou ne peut plus faire l ORP En effet les conseillers en placement ne voient gu re plus d une fois par mois leurs assur s avec un r le ambivalent de soutien et en m me de temps parfois de sanction Pour palier cette demande et dans l id e d offrir un soutien plus concret ses ch meurs la Municipalit s est approch e des structures existantes sur notre commune dans une perspective de collaboration ou de d veloppement ult rieurs Le constat est plut t n gatif en effet ni l Efre ni le D fi ne souhaitent s agrandir ou augmenter le temps de travail de leurs employ s alors que la Municipalit aurait t d accord de f or mer une personne suppl ment aire N anmoins une ouverture est possible du c t de l AVIVO qui serait d accord de partager son local moyennant finance videmment Forte de ces observations la Municipalit imagine la cr ation soit d un poste fondu au sein du service de la s curit sociale mais pr f rerait une association ind pendante des services communaux avec pour objectif d offrir sur place des prestations du type de celles offertes par le D fi puis par la suite de mettre sur pied des projets mener terme avec des personnes en ETS Une personne serait engag e temps partiel 40 ou 50 pour travailler au sein de cette association La structure de l association permettrait un financement ext rieur pour certaines activit s
68. ur Jean Daniel Leyvraz et Madame Myriam Chapuis qui ont particip cette s ance A cette occasion nous avons appris que la nouvelle loi entre en vigueur effectivement le 1 mai prochain et que nous recevrons dans une dizaine de jours les formulaires et documents promis De plus une s ance d information est pr vue le jeudi 9 juin 2005 14 h 30 la Salle du Grand Conseil Lausanne En fonction des circonstances nous allons malgr tout prendre toutes les mesures internes de mani re ce que les personnes int ress es puissent b n ficier des effets de la nouvelle loi d s le lundi 2 mai prochain Au sujet de la Commission de naturalisation il est bien entendu qu elle va devoir continuer traiter les situations li es la loi actuelle Pour les nouveaux dossiers soumis la nouvelle loi nous allons devoir incessamment appliquer les articles 4 et 13 LDCV Je vous fais gr ce de ces articles qui nous disent entre autre que nous devons prendre la d cision de nommer une nouvelle commission Alors je ne vous f ais pas plus de comment aire vous avez compris la mani re dont j ai lu les choses ce n est tout simplement pas clair pas simple et que le 1 mai les choses vont se passer comme on l entendra On dit encore Mme Catherine Saugy D s lors nous organiserons avec vous tout prochainement une s ance interne pour discuter de l application de cette nouvelle loi C est l que nous pourrons voir c
69. urriture boire a sera la f te En tout cas la comm moration d un v nement important pour les travailleurs de ce pays M J P Leyvraz F r En 2003 les associations Cyclic et ATE organisaient toute une tude sur des am nagements et des itin raires cyclables dans l Ouest Lausannois et communiquaient cette tude aux communes int ress es en proposant de les rencontrer Deux ans apr s une conf r ence de presse nous apprend qu on note des progr s significatifs Saint Sulpice ou Bussigny mais que Renens n a m me jamais r pondu aux propositions de rencontre Puis je demander la Municipalit ce qu il en est M R Bovier conseiller municipal Effectivement nous avions pris un rendez vous il y a deux ans Ensuite pour des raisons XY il ny en n a plus eu et nous avons pris une date d ici un mois pour rencontrer ces gens Mme R Joliat rad J ai t fort d ue des propos virulents de la premi re intervention de Madame la conseill re communale Mireille Bandelier D s lors je me permets de dire Monsieur le conseiller communal Ali Korkmaz errare humanum est Je ne voulais nullement vous froisser vous ou quiconque dans ce Conseil en orthographiant faux votre nom de famille mea culpa M O Golaz conseiller municipal Je souhaite informer M Jean Pierre Leyvraz que l Organisation des Nations Unies ONU a d clar 2005 Ann e internationale du sport et de l ducation phys

P R O C E S - V E R B A L

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