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Consultez les actes du colloque. - Institut Hydro

1. Dans les deux cas les r ponses la premi re question Avez vous l intention d accro tre vos activit s int grer le march des croisi res dans l Arctique canadien ont t divis en trois cat gories oui non et peut tre 2 R sultats 2 1 Enqu te sur les armateurs affr teurs de navires de croisi res Les armateurs et affr teurs de navires de croisi res ont t classifi s comme nous l avons mentionn pr c demment selon leur aire g ographique d activit s ceux d j pr sents dans les eaux arctiques canadiennes les membres de l AECO de IAATO de la CLIA et ceux identifi s comme autres voir Tableau 1 101 8 colloque tudiant de l Institut EDS Tableau 1 Int r t des op rateurs de navires de croisi res pour l Arctique canadien R sultats de l investigation Op rateurs selon leur aire g ographique d activit s D ja pr sents AECO IAATO CLIA Autres Canadian Arctic International Cruise Line Cruise Coast Guard Expedition Association of International Directory Database Cruise Antarctica Tour Association Choosing Operators Operators cruising Non 5 4 13 9 0 Peut 0 1 2 0 3 tre Oui 2 0 3 0 0 Au niveau des compagnies d j pr sentes dans march des croisi res dans Arctique les eaux arctiques canadiennes seules Silversea Cruise et La Compagnie des les du Ponant ont d montr de l int r t accro tre leurs activit s et dive
2. Loi sur le d veloppement durable pr cit note 1 art 7 11 Ibid art 7 4 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Strat gie gouvernementale de d veloppement durable 2008 2013 Qu bec MDDEP 2007 5 Loi sur le d veloppement durable pr cit note 1 art 15 pr sentation des plans d action de d veloppement durable retenue par la strat gie la presque totalit des organismes s tait pr t e l exercice Puis l aide de ces informations le minist re du D veloppement durable de l Environnement et des Parcs ci apr s MDDEP doit laborer des bilans p riodiques Le tout premier pr sent en d cembre 2009 a pris la forme d un rapport annuel de mise en uvre de la strat gie Afin d assurer un suivi efficace de la strat gie et des plans d action la LDD pr voit l adoption d une s rie d indicateurs Ces derniers labor s par le gouvernement se divisent en trois types Le premier vise mesurer les am liorations r alis es en mati re de d veloppement durable Le second type d indicateur est ax sur le suivi de la strat gie Enfin le troisi me type concerne le suivi des actions de d veloppement durable des minist res et organismes La diffusion et la mise jour de ces indicateurs sont assur es par l Institut de la statistique du Qu bec Aussi mentionnons que la LDD cr e le poste de commissaire au d veloppement durable Ce nouveau v rificateur g n ral ad
3. tudiante la ma trise en science politique Universit du Qu bec Montr al Directeur Laurent Lepage Professeur Institut des sciences de l environnement Universit du Qu bec Montr al 195 6 colloque tudiant de l Institut EDS Analyse sociopolitique d une politique de d veloppement durable municipale les d fis dans l application d un concept participatif ascendant sur une structure hi rarchique descendante Mariannick MERCURE mercure mariannick courrier uqam ca sous la direction de Laurent Lepage et Nicolas Milot d partement de science politique Universit du Qu bec Montr al INTRODUCTION mod les de gestion environnementale participatifs sont r cemment apparus au Qu bec Le passage entre cette tendance th orique et un changement r el au sein des institutions publiques lesquelles utilisent toujours une approche hi rarchique De nouveaux demeure difficile Dans l application d un lastique comme celui d veloppement durable DD les int r ts des diff rents acteurs qui gravitent autour risquent fort de s entrechoquer D s lors ils feront appel diff rentes strat gies pour les d fendre L analyse de la mise en uvre d une politique de DD d une ville de taille moyenne a donc t men e afin de v rifier si elle va de pair avec l atteinte des objectifs th oriques M THODE L analyse strat gique des organisations ASO Crozier et Friedberg 1977
4. En plus de l Australie de nombreux autres pays ont d j adapt et m me adopt le WRA pour leur contexte particulier Tableau 1 Des chercheurs ont aussi valu le potentiel de l outil pour le contexte canadien McClay et al 2010 Le Gouvernement du Canada n utilise toutefois pas encore cet outil de mani re formelle Tableau 1 Performance globale proportion de bonnes d cisions taux de faux positifs et taux de faux n gatifs des adaptations du Weed Risk Assessment utilis es dans le monde Pays r gion Faux Faux Performance Source positifs n gatifs globale Italie 0 000 0 000 0 929 Crosti et al 2010 R publique tch que 0 019 0 000 0 885 Krivanek et PySek 2006 tats Unis 0 088 0 000 0 882 Koop et al 2012 Afrique de l Est 0 087 0 087 0 845 Dawson et al 2009 Hawaii et les du Pacifique 0 076 0 045 0 843 Daehler et al 2004 Japon 0 380 0 000 0 838 Nishida et al 2009 Floride 0 083 0 016 0 836 Gordon et al 2008 les Bonin Japon 0 222 0 024 0 767 Kato et al 2006 Canada 0 420 0 000 0 735 McClay et al 2010 Le taux de faux positifs est la fraction de plantes non nuisibles qui ont t class es en tant que nuisibles gt Le taux de faux n gatifs est la fraction de plantes nuisibles qui ont t class es en tant que non nuisibles La popularit du WRA s explique par certains avantages Il se fonde sur des b
5. poss dent des incertitudes associ es dont l importance relative peut varier suivant les conditions climatiques et les caract ristiques des bassins versants sur lesquelles elles sont utilis es La mod lisation hydrologique dans une perspective de changements climatiques c d projections hydrologiques s accompagne en plus des incertitudes inh rentes la mod lisation elle m me de difficult s suppl mentaires li es au contexte d application En effet l usage de mod les hydrologiques pour l tude des impacts des changements climatiques pose la question de l identification de param tres qui doivent tre la fois adapt s pour les conditions hydrologiques pr sente et future La pratique commune de la mod lisation hydrologique consid re que des param tres qui sont associ s aux conditions hydroclimatiques de la s rie de calage doivent rester valides sur une autre p riode de simulation c d stationnarit Dans un contexte de changements climatiques c a d non stationnarit cette hypoth se est malmen e La transposabilit des mod les hydrologiques dans le temps en conditions climatiques contrast es doit donc tre analys e en d tail par l usage de m thodes de validation d taill es et adapt es La plus connue d entre elles utilis e directement ou de fa on adapt e est le Differential Split Sample Test Klemes 1986 Objectifs L objectif principal du projet de recherche e
6. Methodology i ES assessment 1 Boreal wetlands ES will be surveyed quantified weighed and mapped based cn existing data ii Conservation assessment Conservation network planning algorithms will be used to 1 Assess the conservation network sensitivity for each ES 2 Compare the role of an ES based approach versus a BD representation based approact in optimizing a conservation network 3 Assess the trade off between ED and ES conservation approach Table 1 Preliminary list of boreal wetlands ecosystem services Adapted from MEA 2005 Schuyt et al 2004 Ecosystem services Sub services and examples Food sport and subsistence Hunting moose waterfowl Freshwater fishing salmon lake trout Edible wild plants blueberries cloudberries Potable fresh water domestic livestock Essentials oils softwood Aromatic plants tea Medicinal resources plants or animal Pharmaceutical and nutraceutical resources Genetic resources wild populations Ornamental species Christmas trees Substrate peat Construction wood Gothes and accessories pelt Biotic biomass peat and wood Abiotic hydroelectricity Regulating services Climate regulation Global climate regulation carbon sequestration Micro climate regulation evapotranspiration Gas regulation GHG Storm protection from waves Flood mitigation Crought mitigation Soil and sediment retention Water purification Recharge of
7. la d structuration de notre imaginaire la perte de notre identit notre assujettissement notre souffrance collective source de tourments jamais prise en compte Face cette irr versible blessure que ceux qui se r jouissent se l vent Certains pays ont compris combien pr server tait source de richesse p renne Chez nous le Ici et maintenant est le leitmotiv compulsif Carpe diem Nos enfants pourront toujours devenir gardiens de villas laveurs de piscine l instar de St phane Hessel Indignez vous ajoutons dans un cri emp chez les Article du 3 f vrier 2012 http Nevante fr Encadr 1 Vue sur une zone de transition arbustive partir de la tourbi re Bibliographie Agostini F Chibret R P Fabiani J L Maresca B 1995 La dynamique du mouvement associatif dans le secteur de l environnement Etat de la question et monographies r gionales 3 Vol CREDOC Paris Bill R 2004 La gestion int gr e du littoral se d cr te t elle Une analyse strat gique de la mise en ceuvre entre approche programme et cadre normatif th se pr sent e et soutenue publiquement le 29 octobre 2004 a l7ENGREF centre de Paris Cadoret A 2011 Quelle durabilit des formes de r gulation des conflits littoraux VertigO la revue lectronique en sciences de l environnement En ligne Hors s rie 9 Juillet 2011 mis en ligne le 13 juillet 2011 Consult le 06 d cembre 2011 url http ve
8. 1107 1128 Burger B and C Bauer 2007 Windkraft Diibendorf CH Ecoinvent 86 Canadian Electricity Association 2006 Power generation in Canada A guide Ottawa ON Canadian Electricity Association 28 CanSIA NRCan 2008 The Potential for solar PV power in Canada CanSIA NRCan 50 Carley S 2009 Distributed generation An empirical analysis of primary motivators Energy Policy 37 5 1648 1659 158 Dahlbo H M Ollikainen et al 2007 Combining ecological and economic assessment of options for newspaper waste management Resources Conservation and Recycling 51 1 42 63 eFormative Options LLC and Entegrity Wind Systems Inc 2006 Small wind siting and zoning study development of guidelines and a model zoning by law for small wind turbines under 300kW Canadian Wind Energy Association 43 Ekvall T and B P Weidema 2004 System Boundaries and Input Data in Consequential Life Cycle Inventory Analysis International Journal of Life Cycle Assessment 9 3 161 171 Federal Energy Regulatory Commission 2009 2008 State of the Markets Report Washington DC Federal Energy Regulatory Commission 80 Finnveden G 2008 A world with CO caps The International Journal of Life Cycle Assessment 13 5 365 367 Fleck B and M Huot 2009 Comparative life cycle assessment of a small wind turbine for residential off grid use Renewable Energy 34 12 2688 2696 Fthenakis V
9. 28 octobre 2002 Lors de la r union conjointe des ministres de l nergie et de l Environnement d octobre 2002 beaucoup de critiques et d interrogations de la part des repr sentants pr sents sont mises l endroit de la premi re bauche de la Strat gie f d rale sur les changements climatiques publi e le 24 octobre 2004 r dig e pratiquement sans la consultation des provinces MDDEP 2002 Cette rencontre est capitale pour le Qu bec Suite l annonce de la ratification de septembre 2002 et a la publication de la strat gie f d rale en octobre de la m me ann e le Qu bec doit jouer sur deux tableaux D une part Qu bec se range du c t du f d ral applaudissant la r cente annonce de ratification Son objectif tant de prot ger les cibles qu officialise le geste Ainsi Qu bec veut contrer le r cent mouvement r fractaire habilement orchestr par Alberta Mis part le Manitoba les autres provinces ne sont pas aussi enthousiastes que le Qu bec face a l imminente ratification du Protocole par le f d ral D autre part avec la r cente publication de l bauche de la Strat gie f d rale sur les changements climatiques le gouvernement du Qu bec veut se prot ger de ce qu il consid re comme des incursions du gouvernement f d ral dans ses champs de comp tences Chr tien que le Canada allait ratifier le Protocole lors du Sommet de Johannesburg en septembre 2002 la Cha
10. Chapitre 1 1992 en ligne Dans cette perspective le d veloppement li au tourisme L indice de d veloppement humain IDH est bas sur le niveau de revenu d ducation de logement et d emploi minist re des Affaires indiennes et du Nord Canada 2006 105 8 colloque tudiant de l Institut EDS de croisi re dans l Arctique canadien l heure actuelle semble in gal Cependant il faut le mentionner les communaut s qui n ont pas t visit es par des navires se situent dans des secteurs o la banquise repr sente une contrainte majeure de navigation et la plupart des navires n ont pas l autorisation d y naviguer Des recherches r centes ont cependant d montr le besoin imp ratif de mettre jour le syst me de navigation dans l Arctique canadien qui date de 1999 afin de l adapter la dynamique actuelle de la fonte de la banquise Kubat Timco et Collins 2009 Ces changements permettrait ainsi de diversifier les itin raires de r duire la pression environnementale ainsi qu ceuvrer un d veloppement conomique et humain plus quitable sur l ensemble du territoire du Nunavut Nations Unies Code of Conduct for Arctic Tourism 1995 En ligne La tendance actuelle est tr s encourageante les chercheurs et l industrie du tourisme de croisi re tendent de plus en plus consid rer les tres humains au centre de leurs pr occupations relatives au d veloppement durable
11. Quant aux organismes environnementaux ce sont les ONG am ricaines qui seront largement dominantes Les tats Unis jouant un r le dominant dans la mondialisation se doivent de composer de plus en plus avec ces organisations domestiques qui critiquent leur politique D apr s Severino ancien vice pr sident de la Banque mondiale le renforcement du poids de la soci t civile internationale correspond en grande partie un renforcement du poids des tats Unis dans les institutions internationales Chavagneux 2003 c De 1990 2012 C est dans ce monde incertain que le concept de gouvernance prendra racine l chelle internationale En 1991 la Banque mondiale publie un document de r flexion sur la gestion du d veloppement international Elle y mentionne son int r t pour l implantation d une bonne gouvernance de l aide internationale Elle constate l existence de plusieurs probl mes attribuables la faiblesse des institutions en place l absence d un cadre l gal ad quat aux interventions discr tionnaires la variabilit des cadres politiques et aux processus de d cision opaques qui accroissent les risques de corruption et de pertes Banque mondiale 1991 Pour r soudre ces probl mes elle propose que soient impliqu s dans la conception et la r alisation des projets ceux qui utilisent et ceux qui paient pour les services r sultant de l aide internationale Elle insi
12. The Arctic Exception in the Law of the Sea Convention A Contribution to Safer Navigation in the Northwest Passage 42 Ocean Development and International Law 22 52 2011 K Bartenstein Navigating the Arctic The Canadian NORDREG the International Polar Code and Regional Cooperation 54 German Yearbook of International Law Focus section on the Arctic 2011 a paraitre N de Sadeleer Environmental Principles From Political Slogans to Legal Rules Oxford University Press 2005 E Franckx Vessel Source Pollution and Coastal State Jurisdiction Kluwer Law International Dordrecht 2001 F Lasserre intervenant pour la Conf rence L Arctique une nouvelle re glaciaire 29 janvier 2012 Amphith tre Hydro Qu bec Universit Laval Qu bec T L McDorman National Measures for the Safety of Navigation in Arctic Waters NORDREG Article 234 and Canada 2010 D M McRae et D J Goundrey Environmental Jurisdiction in Arctic Waters The Extent of Article 234 16 University Of British Columbia Law Review 197 1982 E J Molenaar Coastal State Jurisdiction over Vessel Source Pollution 1998 M H Nordquist United Nations Convention on the Law of the Sea 1982 A commentary Vol IV Martinus Nijhoff Publishers Dordrecht 1985 D Pharand The Arctic Waters and the North West Passage a final revisit 38 ODIL 3 2007 Rapports FAO The State of World Fisheries and Aquaculture 2010 en
13. automne 2010 l exploration et l exploitation des gaz de schiste sont soudainement devenues un sujet de premi re importance au Qu bec Cette situation est pour le moins particuli re puisqu a peine quelques mois auparavant seule une poign e de personnes bien au fait des enjeux nerg tiques et environnementaux taient au courant de l existence de cette fili re nerg tique et de son potentiel au Qu bec La mobilisation publique massive et soudaine contre les gaz de schiste s explique peut tre par le fait que de nombreuses personnes ont t soudainement et directement expos es au d veloppement minier qu b cois Celles ci ont t m me de constater l ampleur des privil ges accord s pour diff rentes raisons aux activit s mini res Aussi certaines personnes ont pu avoir l impression que le droit qu b cois ne pr voit pas de m canismes adapt s et la hauteur des attentes des citoyens pour assurer une protection de l environnement ainsi qu une participation satisfaisante du public aux d cisions environnementales Comme une tra n e de poudre les d bats et les r actions se sont propag s et ont aussi enflamm la classe politique Devant la pression palpable le gouvernement n a eu ce sujet voir notamment Wallot c Qu bec Ville de 2011 QCCA 1165 demande d autorisation refus e en Cour supr me 2012 CSC 4181 ce sujet voir notamment Johanne Dion D veloppeme
14. chappent pas des jardins et qui ne peuvent donc pas devenir des nuisances Pour atteindre ces objectifs j utiliserai deux bases de donn es soit une contenant 900 plantes exotiques naturalis es au Qu bec certaines ornementales et une autre contenant 477 plantes ornementales vendues en p pini re au Qu bec depuis le 19 si cle mais qui ne se sont toujours pas chapp es des jardins La premi re base de donn es servira au d veloppement et au test de l outil de classification qui pourra ensuite tre utilis pour s lectionner les plantes que l on voudra introduire La seconde base de donn es servira d une autre mani re identifier le type de plantes ornementales peu risque quant la naturalisation et pourra aussi tre utilis e pour s lectionner les plantes que l on voudra introduire Pour parvenir ces fins j utiliserai des m thodes de classification innovantes en mati re de plantes nuisibles telles que la m thode des ensembles approximatifs avec dominance dominance based rough sets approach et la r gression logistique D finitions Dans le cadre de ce projet les d finitions suivantes seront utilis es Une plante exotique ou plante introduite est une plante ayant t introduite volontairement ou pas dans une contr e o elle tait absente l origine Richardson et al 2000 pr cisent toutefois que l introduction doit absolument tre le r sultat d une activit hum
15. environnement de sa r gion et milite dans une association cela rend compte de la complexit sociale contemporaine et des r les multiples pouvant tre assur s par une m me personne Tandis qu identifier les conflits en termes d usage du territoire revient enfermer les acteurs dans une logique aux finalit s uniques et occulte les enjeux d interactions souvent pluridimensionnels les buts avou s les non dits Il y a donc des enjeux environnementaux dans des contextes politiques locaux nationaux et internationaux qui impliquent diff rents acteurs Outre les attentes que mettent les associations dans le nouveau PADDUC les solutions qui sont ressorties des entrevues taient ax es sur un plus fort contr le de l galit de la part de l tat Faut plus d Etats Il faut un tat qui respecte ses propres r gles parce que voil La loi littorale elle a t vot e elle existe elle est pas du tout mise en danger dans l tat actuel des choses et elle n est pas appliqu e Donc c est quand m me Incroyable qu un tat on est un peu en r publique banani re hein nous le disons souvent On est dans ce niveau l on est dans une r publique banani re Chacun c est le plus fort qui gagne hein Chacun le celui qui veut construire il construit il paie son amende au pire mais de toute fa on il a tout gagn quand m me c est bien a une r publique banani re hein c est la loi du p
16. le gouvernement et qu il a aussi confi aux OBV Mission l ments structurants mod le log que l utilisation la protection la conservation et la gestion des ressources en eau soient planifi es en fonction des besoins et des priorit s des collectivit s Ordonnancement des priorit s d utilisation des ressources en eau Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 19 31 76 et 31 77 81 8 colloque tudiant de l Institut EDS Document de r f rence international D finition internationale de la GIRE Descriptions correspondantes du mod le logique de la GIEBV qu b coise et de la Loi sur l eau LSE Section concern e du mod le logique ou de la Loi sur l eau LES en eau 1992 de la LSE que l on con oive mette en uvre et value des projets et des programmes qui soient rentables et socialement adapt s dans le cadre de strat gies fond es sur la pleine participation du public l laboration des politiques et aux d cisions en mati re de gestion des eaux D terminer les priorit s nationales en tenant compte des objectifs des OBV Activit s visant assurer la coh rence mod le national que l on d finisse et renforce ou cr e des m canismes institutionnels juridiques et financiers appropri s au r le de catalyseur du progr s social et de croissance conomique de la politique de l eau
17. une le spoli e d finitivement enlaidie pauvre et d sesp r e Qui ne voit ces immeubles ces maisons ces murs d enceinte crucifiant l espace de la Sainte libert des Corses hier chez eux partout r tr cissant l espace et les voies occultant les vues mer ou montagne privatisant le commun d racinant des oliviers centenaires mitant l espace au m pris de l esth tique et du risque d incendie Comment ignorer ces agglom rations rampantes sur les terres productrices nourrici res repoussant regroupant les locaux dans leur logement social fi rement octroy en compensation par des municipalit s distribuant par ailleurs tour de bras ces permis d enlaidir sans m me un cahier des charges et permettant tel lecteur ou groupe de pression g ophage de s enrichir individuellement contribuant ainsi nous appauvrir collectivement Un seul mandat de six ans suffit enlaidir pour six mille ans et plus Certains ne s en privent pas Pesantes pr rogatives d volues l lu seul d cideur pas toujours visionnaire pas toujours libre non plus Pourquoi font ils tout a Au nom d un d veloppement ici red fini r pondent sinc rement et b atement certains maires ignorant que nous sommes entr s dans la postmodernit Rendez vous pour l inventaire La Corse s ach te sur internet et se loue l abri du fisc On participe l inflation du foncier l enlaidissement du paysage
18. Cr er des outils administratifs financiers et juridiques pour soutenir la GIRE Activit d veloppement d outils mod le national que l on fasse la promotion de la conservation des eaux par le biais de programmes de rationalisation de l utilisation de l eau et de r duction du gaspillage Instauration de redevances sur le pr l vement d eau R duire de 20 la consommation et les fuites R glement d coulant de la LES et Strat gie d conomie d eau potable que l on fasse une planification nationale de la GIRE Possibilit d laborer des orientations fondamentales de la GIRE Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 14 de la LSE Water Resources Management Banque mondiale 1993 que les tats adoptent un cadre analytique exhaustif de leurs ressources en eau et pour cela qu ils renforcent les capacit s des acteurs Accro tre les connaissances sur l eau et informer et sensibiliser les acteurs Bureau des connaissances sur l eau Activit d veloppement d outils et de connaissances mod le national Activit s de soutien mod le local et r gional Art 15 et 16 de la LSE 82 Bibliographie Anderson C et Robert B 2009 Cadre d valuation de la gestion int gr e de l eau par bassin versant au Qu bec document en r vision Minist re du D veloppement durable de l Environnement et d
19. E C I K hn H Bruelheide amp S Klotz 2008 Trait interactions help explain plant invasion success in the German flora Journal of Ecology 96 860 868 K ster E C W Durka I K hn amp S Klotz 2009 Differences in the trait compositions of non indigenous and native plants across Germany Biological Invasions 12 7 DOI 10 1007 s10530 009 9603 4 La Sorte F A amp P Py ek 2009 Extra regional residence time as a correlate of plant invasiveness European archaeophytes in North America Ecology 90 9 2589 2597 184 Lavorel S amp E Garnier 2002 Predicting changes in community composition and ecosystem functioning from plant traits revisiting the Holy Grail Functional Ecology 16 5 545 556 Liu K R J Eastwood S Flynn R M Turner amp W H Stuppy 2008 Seed Information Database Online http www kew org data sid Accessed in 2011 Lloret F F Medail G Brundu amp P Hulme 2004 Local and regional abundance of exotic plant species on Mediterranean islands are species traits important Global Ecology and Biogeography 13 37 45 Lloret F F Medail G Brundu I Camarda E Moragues J Rita P Lambdon amp P E Hulme 2005 Species attributes and invasion success by alien plants on Mediterranean islands Journal of Ecology 93 512 520 Mack R N 2003 Phylogenetic constraint absent life forms and preadapted alien plants a prescription for biological invasions Intern
20. Principe 1 les lois canadiennes pr nent la protection de l environnement Principe 4 par la mise en place d s 1990 d une l gislation nationale concernant la responsabilit de la pollution et d autres dommages l environnement Principe 13 et les communaut s autochtones sont int gr es dans le processus d cisionnel tant donn la compr hension du r le vital qu elles peuvent jouer dans la gestion de l environnement et le d veloppement du fait de leurs connaissances du milieu et de leurs pratiques traditionnelles Action 21 Chapitre 1 Nations Unies D veloppement durable en ligne Kubat Timco et Collins 2009 Bibliographie Aarluk Consulting Inc Gartner Lee Limited et Chris Anderson 2005 Strategic Plan for the Iqaluit Deepwater Port Project En ligne Disponible l adresse suivante http www tunngavik com documents publications 2005 08 00 lqaluit 20Deepwater 20Port Strategic 20Plan pdf Page consult e pendant l ann e 2011 2012 Affaires autochtones et D veloppement du Nord Canada 2006 En ligne Disponible l adresse suivante http http www aadnc aandc gc ca Page consult e en janvier 2012 Arctic Expedition Cruise Operators AECO En ligne Disponible l adresse suivante http www aeco no Consult pendant l ann e 2011 2012 Cruise Line International Association CLIA En ligne Disponible l adresse suivante http www c
21. SimaPro7 Amersfoort Netherlands PR Consultants Reap J F Roman et al 2008 A survey of unresolved problems in life cycle assessment Part 1 goal and scope and inventory analysis The International Journal of Life Cycle Assessment 13 5 290 300 Reap J F Roman et al 2008 A survey of unresolved problems in life cycle assessment Part 2 impact assessment and interpretation The International Journal of Life Cycle Assessment 13 5 374 388 Toffoletto L C Bulle et al 2007 LUCAS A new LCIA Method Used for a CAnadian Specific Context International Journal of LCA on line first p 10 International Journal of Life Cycle Assessment 12 2 93 102 UNEP 2009 Guidelines for Social Life Cycle Assessment of Products 104 Varun R Prakash et al 2009 Energy economics and environmental impacts of renewable energy systems Renewable and Sustainable Energy Reviews 13 9 2716 2721 Weidema B 2003 Market information in life cycle assessment Danemark Danish Environmental Protection Agency 147 160 Le droit applicable aux chemins forestiers du Qu bec dans une perspective de protection de la biodiversit MIRIAM DESMARAIS Candidate a la maitrise en droit Universit Laval Directrice Kristin Bartenstein Professeure Facult de Droit Universit Laval Introduction Il me fait plaisir de pr senter un outil de mise en uvre du d veloppement durable dans le cadre du 8e colloq
22. abandonn en 1994 suite de vives critiques concernant les impacts sociaux et environnementaux qui en d coulaient La question tant Le Plan Nord arrivera t il surmonter ces obstacles L objectif de cet article consiste analyser les principaux discours entourant le projet Grande Baleine et le Plan Nord La comparaison de deux projets l un se situant en amont du Sommet de la Terre de Rio 1992 et l autre 20 ans plus tard permettra de mesurer l volution du recours au concept de Il n est pas de savoir sans discours Jacques Lacan d veloppement durable Les questions que nous souhaitons poser dans le cadre de cette recherche sont les suivantes est ce que depuis Rio le d veloppement durable fait davantage partie des pr occupations et des discours des opposants et ou des d fenseurs des grands projets de d veloppement conomique et nerg tique Si oui qui parle de d veloppement durable Si non quels sont les enjeux qui retiennent l attention des opposants et des d fenseurs Enfin l aune des d bats entourant Grande Baleine quoi doit on s attendre pour le Plan Nord Cadre th orique Le concept se situant la base de ce projet est celui de d veloppement durable concept qui n a plus vraiment besoin de pr sentation Vivement critiqu entre autres pour son ambigu t Voir par exemple les travaux de Rist 1996 Brunel 2004 Gachet 2004 Agha Khan 2005 le d veloppe
23. avance un r sultat une r ussite Il s agit du passage du dur et du s r au souple et x l incertain Faire participer les acteurs 19 8 colloque tudiant de l Institut EDS l laboration des d cisions qui les concernent permet de vaincre ces r sistances tel est le principal d fi relever pour entamer un processus de changement 2 Callon et coll 2001 ont d ailleurs voqu les notions d incertitude et de d cision en affirmant que pour agir dans un monde incertain il n cessaire d avoir recours des actions mesur es sans d cision tranch e Cette d cision doit tre r versible it rative et engager un r seau diversifi d individus Nous reviendrons sur cette derni re condition dans la section suivante L tape de la p riode de transition entre ces deux zones est cruciale c est ici qu il faut informer communiquer rassurer l individu dans le cadre de nouveaux projets afin qu il n ait pas peur de franchir le pas et d accepter ce projet malgr les risques potentiels qu il repr sente Cette sensation de se jeter dans le vide peut tre effrayante qu une opposition vive et radicale peut se pr senter et persister malgr des efforts de certaines parties prenantes pour am liorer le dialogue Comme l ont soulign Andr et coll 2010 certaines personnes peuvent s opposer la r alisation du projet par crainte ou par principe Il s agit du syndrom
24. avec lesquelles je vis et contre lesquelles je me bats et mes impressions affectives souvent plus ensoleill es de la vie et de la nature Cette tension est aussi explor e dans les oppositions de formes de tons de vides et de d tails ce qui m int resse th oriquement philosophiquement et plastiquement Dans mes uvres j essaie de d gager une tension qui me frappe quotidiennement en explorant la juxtaposition ph m re de vides de formes de petits d tails intenses de fines lignes d espaces color s et d aspects allum s et ombrag s en cherchant un lien entre la nature et son tat pr caire et l tre humain 206 Ces contrastes des contrastes plastiques affectifs et physiques m engagent comme une fine ligne peut rencontrer un espace color et la tension et l quilibre que cette rencontre fait sortir Les jeux entre les espaces vides et le contour des formes me fascinent flagrants ou tacites gestuels ou contr l s Je m int resse a d couvrir une fa on par laquelle on peut trouver un quilibre parmi des choses oppositionnelles ou si on n y arrive pas ce qui nous en emp che C est comme l arbre ou ses fragments qui se retrouvent souvent comme sujet l int rieur de mon travail qui existent parmi des contrastes solidit et fragilit couleurs et neutralit sauvage et soumission En r alisant mon travail j ai la sensation que je veux cr er une sorte de fusion entre la condition h
25. colloque tudiant de l Institut EDS combin es du b timent et du b timent remorqu ou pouss sont de 500 ou plus sont vis s par le r glement Le deuxi me crit re inclut les b timents qui transportent comme cargaison un polluant ou des marchandises dangereuses ou les b timents qui remorquent ou poussent un b timent qui transporte de telles cargaisons NORDREG art 3 Selon la Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada l incapacit d un navire remplir les obligations que lui impose le Canada dans la zone NORDREG pourra entrainer P interdiction pour celui ci d y entrer Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada art 126 1 Toute violation de ces obligations pourra entrainer une amende d un maximum de 100000 dollars et ou d un emprisonnement maximal d un an du responsable La d tention du b timent pourra aussi tre ordonn e Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada article 138 L tendue territoriale de la zone de services cr e de mani re unilat rale est la 48 source de questionnements relatifs aux comp tences du Canada dans les eaux arctiques et pose la question de la gouvernance dans celle ci la Convention des Nations unies sur le droit de la mer CNUDM encadre en effet le droit des Etats c tiers d intervenir unilat ralement dans la navigation le long de ses c tes L objectif est comme nous l avons soulign pr c demment de maintenir un quilibre entre
26. d cisions et pratiques sont susceptibles de causer des dommages graves et irr versibles dans le futur et pour la post rit Au regard des l ments voqu s ci dessus il y a du sens affirmer que la justiciabilit des droits des g n rations futures d faut d tre une pratique juridique courante est cependant loin d tre une pure th orie chim rique Conclusion Il aura t question tout au long de cette communication de d montrer qu il est philosophiquement possible de d fendre l hypoth se des droits des g n rations futures Ce moment fondationnel constitue notre avis le pr requis n cessaire en faveur d une v ritable justice interg n rationnelle Concluons cette r flexion par une pens e forte de la juriste dith Brown Weiss A notre naissance nous recevons des g n rations pass es un h ritage dont nous pouvons jouir condition de le transmettre aux g n rations futures pour qu elles en jouissent leur tour Il en r sulte pour chaque g n ration une s rie d obligations interg n rationnelles parce qu elles d coulent des relations temporelles entre les g n rations qui utilisent successivement notre plan te et nos ressources culturelles Mais ces obligations s exercent la fois au profit des g n rations futures comme de celui des membres de la g n ration pr sente qui ont des droits plan taires ou interg n rationnels l utilisation et la jouissance
27. de actuellement une r vision compl te du R glement sur les normes d intervention RND Son objectif est de d velopper un nouveau r glement davantage bas sur les crit res de l am nagement durable des for ts Cet exercice a t entrepris la suite des travaux de la Commission d tude sur la gestion de la for t publique qu b coise qui a demand d largir la port e de l actuel r glement MRNF RNI Le nouveau RADTF entrera en vigueur en 2013 Il tiendra peut tre compte des autres effets potentiels de la voirie foresti re sur la biodiversit en y incorporant plus de dispositions relatives aux saines pratiques La planification int gr e Depuis 2010 en vertu de la Loi sur l am nagement durable du territoire forestier LADTF le ministre des Ressources naturelles et de la Faune est responsable de l am nagement durable des for ts du domaine de l tat et donc de la planification foresti re LADTF et MRNF Desrosiers 2010 Une planification du trac des chemins existait auparavant ce qui est nouveau cependant c est que le MRNF en est maintenant responsable MRNF Morvan 2011 Par ailleurs en ce qui a trait a la planification de la fermeture des chemins elle est r cente puisque ce n est que depuis 2006 qu il est possible de fermer un chemin Ass nat 2006 et P L 49 Il est a noter que la facilitation de la fermeture temporaire ou d finitive des chemins forestiers f
28. des ONG taient pr sents sur place ce moment l un record de participation pour un tel v nement et que 17 000 personnes ont particip au forum parall le des ONG Site des Nations Unies consult le 14 mai 2012 Le chapitre 18 du plan d action de Rio sera consacr la protection des ressources en eau douce et de leur qualit Nations Unies 1992b On y mentionne dans l introduction que les probl matiques actuelles exigent une int gration de la planification et de la gestion des ressources en eau ainsi que de reconna tre la dimension multisectorielle de leur mise en valeur Le document propose plusieurs objectifs entre autres de r aliser la GIRE au niveau du bassin versant notamment par la promotion d une approche interactive et multisectorielle ainsi que par la planification de l utilisation de la protection et de la gestion de la ressource I propose galement d implanter des mesures de protection et de 71 8 colloque tudiant de l Institut EDS payer un juste prix pour celles ci On peut reconna tre ici l influence des principes de Dublin et de la bonne gouvernance propos e par la Banque mondiale Bien d autres organismes internationaux vont s int resser l eau au cours de cette p riode notamment UN Water le Programme des Nations Unies pour l eau PNUE le Forum Mondial de l Eau Cependant aucun d entre eux n aura un effet levier comparable celui de la Ban
29. e et fix e sur le toit Tour hauban e de type m t 10 m Tour ind pendante de type treillis 30 m Tour ind pendante de type m t 22 m Dur e de Puissance vie ann e 3 kWp 30 3 kWp 30 1 kW 20 10 kW 20 30 kW 20 Tableau 2 Intervalle de vitesses de vent et de radiations solaires pour la province de Qu bec pre Conditions climatiques Au dessous Moyenne Au dessus Vitesse de vent m s 3 5 5 6 7 Radiations solaires horizontales kWh m ann e 1 067 1 230 1 387 L utilisation des courbes de puissances en et plus sp cifiquement a l absence de combinaison avec les donn es m t orologiques a permis d estimer l nergie totale produite par chaque syst me de production d nergies renouvelables Le logiciel RETScreen a t utilis pour l estimation de l nergie produite Natural Resources Canada and NRCan CTEC 2008 Les pertes au niveau de l onduleur et des connexions entre les diff rentes composantes estim es 6 5 Jungbluth and Tuchschmid 2007 ont galement t prises en consid ration 2 2 valuation int gr e et comparaison des impacts environnementaux et conomiques du cycle de vie attribuables aux syst mes s lectionn s de production distribu e Les tapes m thodologiques d crites dans cette sous section sont propos es en r ponse au r sultat de la revue critique de la litt rature P valuation int gr e des impacts environnementaux et conomiques du cycle
30. environnement GIE le Sommet de Rio de 1992 a op r un changement de paradigme en cr ant la CDD pour superviser la mise en uvre de l Agenda 21 pour le d veloppement durable Comme le PNUE elle rel ve du Conseil conomique et social ECOSOC auquel ses d cisions sont relay es Son programme de travail pluriannuel fonctionne par cycles biennaux la premi re ann e sert l valuation de la situation pour les th mes tudi s ann e examen et la seconde l laboration des politiques sur les th mes cibl s ann e directive En dehors de l AG des Nations unies elle est le seul forum onusien o peuvent tre d battus les enjeux de d veloppement durable qui ne rel vent d aucune convention C est galement le seul forum o peuvent tre discut es de mani re globale des questions relevant de plusieurs instances Le niveau d implantation de ses 111 8 colloque tudiant de l Institut EDS r sultats dans les juridictions nationales est toutefois limit notamment parce que son mode de fonctionnement par cycles th matiques ne favorise pas le suivi des d cisions la faveur de ce nouveau paradigme plusieurs agences sp cialis es se sont impos es dans ce champ de politique en d veloppant des programmes ou des accords relatifs l environnement C est notamment le cas de la FAO qui est tr s impliqu e dans les questions li es l agriculture la foresterie et les p cher
31. es l eau L implication de l administration provinciale dans cette gestion s explique par les nombreuses pid mies qui ont frapp la population du Qu bec g n ralement en raison d une mauvaise qualit de Peau d alimentation Apr s avoir chang de responsables plusieurs reprises cette responsabilit incombera finalement au minist re de la Sant en 1936 noter toutefois que les efforts de ces organismes seront concentr s sur la qualit des approvisionnements en eau plut t que sur le probl me des eaux us es La raison en est que les techniques d puration disponibles cette poque ne permettaient pas de s attaquer aux probl matiques des eaux us es minist re des Richesses naturelles 1977 La pr occupation tatique pour la pollution des eaux n appara tra clairement qu en 1955 avec l adoption de la Loi concernant la pollution des eaux Milot 2008 186 b De 1960 1990 Au Canada les ministres des richesses naturelles des provinces et du gouvernement f d ral se rencontrent en 1961 pour d terminer les enjeux auxquels font face les gouvernements dans la gestion des ressources renouvelables et tudier ce qui peut tre fait Commission d tude des probl mes juridiques de l eau 1970 11 Quelques ann es plus tard en 1964 lors d une refonte l gislative le minist re des Richesses naturelles du Qu bec MRN devient habiliter r aliser des plans de gestio
32. est un cadre d analyse qui permet de comprendre des r alit s sociales informelles l analyse d une politique qui resterait cloisonn e au niveau formel ne permettrait pas de saisir la r alit de son application ou de sa non application de la m me mani re qu un organigramme ne peut expliquer les relations de pouvoir r elles au sein d une organisation C est donc par la reconstitution d un sociogramme que l ASO cherche comprendre l organisation des acteurs autour d un enjeu ou d une politique de DD dans l tude de cas pr sente Pour se faire des donn es issues de 15 entrevues semi dirig es ont permis de b tir une grille d analyse contenant les principales variables de ASO 196 Mod r s R SULTATS ET DISCUSSION MG Exception faite de certains L am nagement d veloppements c est beau c est vert Posiinistes dh 1 Des int r ts et des perceptions divergents qui ne sont pas consid r s urbain respecte de A le futur ici pour plus en plus le l environnement c est nul Quatre groupes d int r ts g n raux semblent merger la s curit d emploi induant la r lection ou la survie de l organisation la qualit de l environnement naturel l conomie de mani re g n rale ou la recherche de profits personnels et les enjeux sociaux Fig 1 Pessimistes a a pas de bon sens de l talement urbain pur conomie pro
33. l analyse on peut se demander si une telle approche permet v ritablement de remettre en cause le d veloppement de cette industrie au 8 Ce premier exercice de consultation qui a port sur le plan de r alisation de P ES s est d roul du 10 novembre 2011 au 15 janvier 2012 Des s ances publiques chapeaut es par l Institut du Nouveau Monde ont eu lieu du 12 au 15 d cembre 2011 Plan de r alisation pr cit note 28 la p 53 30 Jbid aux pp 51 60 Qu bec D autant plus que l valuation de la pertinence socio conomique des gaz de schiste appara t comme l analyse des enjeux de d veloppement durable que soul vent les gaz de schiste n tre qu un l ment parmi d autres consid rer par le Comit de l ES La logique aurait pourtant voulu que l valuation de la pertinence socio conomique de d velopper les gisements de gaz de schiste du shale d Utica au Qu bec soit l tape pr alable du processus en cours Quoi qu il en soit il restera maintenant voir quelles seront les conclusions finales de P ES qui sont attendues en 2013 CONCLUSION Nous avons vu que la d marche gouvernementale en cours dans le dossier des gaz de schiste a t initi e l t 2010 alors qu est survenue une forte mobilisation publique contre la mise sur pied d une industrie des gaz de schiste d envergure au Qu bec A partir du moment o le BAPE a t saisi du dossier la p
34. l rent la fonte de la banquise La litt rature souligne l importance d int grer les questions d environne arctique et laissent entrevoir la possibilit d une expansion rapide de la navigation ment et de d veloppement afin de satisfaire les besoins fondamen taux am liorer niveau de vie pour tous prot ger les cosyst mes et assurer avenir plus s r plus prosp re Nations Unies D claration de Rio Action 21 Chapitre 1 1992 Cependant la gestion durable est limit e tant donn le manque de donn es g o conomiques et cartographiques Objectifs Cartographier activit spatiale des navires de croisi res Dresser portrait de l offre touristique des communaut s Conna tre l int r t des armateurs prendre de l expansion int grer le march des croisi res dans l Arctique canadien rame 0 688 et moina toron 0 000 0 700 A tiers 0 781 0 004 7 Bil Op rateurs sond selon leur aire g ographique d activit s D ja AECO LAATO CUA Autres pr sents Arctic International Cruise Line Cruise Directory Choosing cruising Canadian Expedition Association of International Coast Guard Cruise Antarctica Tour Association Database Operators Operators 13 5 SE PMI WHA Of Fig 4 Offre touristique des communaut s locales du Nunavut Tableau Etes vous int ress par l Arctique canadien et pE 4 DISCUSSION 5 REFERENCES D veloppement
35. la ma trise en chimie ses 193 Analyse sociopolitique d une politique de d veloppement durable municipale Mariannick Mercure tudiante la ma trise en science politique ss 195 tablissement des bandes riveraines par recolonisation spontan e et leur succession v g tale en milieu agricole No mie D Amour tudiante la ma trise en biologie V g tAlE nnne 197 Tourisme de croisi re dans l Arctique canadien quelle durabilit Pierre Louis T tu tudiant la ma trise en sciences g ographiques c ceccceesceesseeeeeeeeeeeeecseecsaeeeeeseeeeneeeseeeenes 199 uvres d arts eee an Par nn ete nn rate Mn Me ORT ARTES CONANT OAT Ares 202 Sans titre Alvaro Emilio Almgren Neto tudiant visiteur au premier cycle en histoire de l art 204 L orage Angela Eve Marsch tudiante au baccalaur at en arts visuels iii sense 206 Strathmore 2 Annie Lalande Certificat en arts plasti ques 222 res enen ses tendent rene devs cout tri enr entres aches it eut nee 208 Sans titre Charles Etienne Brochu tudiant au baccalaur at en arts plastiques c ccsccscscsscssssesesssssssesssssessssssscsssssesssscsseassseeeutens 210 Eist des participants sui unten amenant urine rmeitlesitieee 212 8 colloque tudiant de l Institut EDS Th me 1 Gouvernance et d veloppement durable Les dynamiques associatives dans la gestion du littoral en Corse CLAIRE TAUGERON GRAZIANI Etudiante la ma tr
36. la production verte mis en place en vertu d objectifs nationaux de r duction des missions polluantes et de GES Karger and Hennings 2009 Government of Saskatchewan 2011 Pour bien cerner les enjeux li s la production distribu e d nergies renouvelables il est n cessaire d en valuer la performance et ce de mani re holistique La performance globale de la production distribu e peut s valuer selon plusieurs aspects savoir 1 Les aspects techniques la performance technologique des syst mes de production d nergies renouvelables la variabilit de leurs productions la qualit des gisements d nergies renouvelables etc Bernal Agustin and Dufo Lopez 2006 2 Les aspects conomiques les couts des quipements les couts de l installation les couts de raccordement et de mains d uvre etc Bahaj Myers et al 2007 et 151 8 colloque tudiant de l Institut EDS 3 Les aspects environnementaux les impacts de la fabrication des quipements les impacts de l tape du transport et de l installation les impacts de l tape de production les impacts de fin de vie des quipements etc Gagnon Belanger et al 2002 Ardente Beccali et al 2008 Haeseldonckx and D Haeseleer 2008 Les impacts reli s aux aspects pr sent s ci dessus d passant les fronti res de l tape de la mise en op ration des syst mes de production distribu e c est pourquoi des outils
37. largu e dans l environnement Ce travail explore diverses strat gies de contr le en temps r el CTR d une vanne qui permet de varier le d bit de sortie d un bassin de r tention situ pr s de la Ville de Qu bec et qui poss de a l heure actuelle un taux d enl vement des MES de 50 Le but est d optimiser ses performances en maximisant le temps de r tention de l eau dans le bassin et en la rel chant doucement de mani re viter les chocs hydrauliques dans la rivi re en aval tout en vitant le d bordement du bassin Les donn es disponibles pour effectuer ce travail et le site l tude sont d crits dans un premier temps avant la description des r gles de gestion labor es Les performances des diff rents sc narios sont ensuite pr sent es pour finalement exprimer les principales 123 8 colloque tudiant de l Institut EDS conclusions et perspectives d coulant de cette tude M thodologie a Site l tude Le bassin de r tention Chauveau est install l exutoire d un petit bassin versant urbain r sidentiel de densit moyenne 917 habitants r partis sur 15 ha situ dans l agglom ration de la Ville de Qu bec Canada Cette zone r sidentielle comporte environ 33 de surfaces imperm ables a une pente d environ 3 5 et est munie d un r seau d gouts s paratifs les eaux us es sont achemin es vers une usine de traitement alors que l eau de ruissellement est convoy e
38. lent que les pr occupations sociales taient beaucoup moins populaires que celles portant sur l environnement et l conomie D une part avec la connexion des routes du sud et du nord pr vue pour le d veloppement de Grande Baleine et l arriv e de travailleurs du sud les autochtones avaient peur de se faire une fois de plus assimiler Sans enti rement nier ce risque le gouvernement mettait plut t l accent sur le fait que ce projet permettrait aux communaut s de se d velopper conomiquement D autre part on craignait que la venue de travailleurs du sud accroisse les probl mes li s la drogue l alcool et la prostitution Une fois de plus le gouvernement tenta de calmer les craintes en r f rant des tudes montrant qu avec les projets de d veloppement r alis s dans le pass leur qualit de vie avait plut t augment Enfin les autochtones revendiquaient le respect de leurs droits ancestraux chaud s par les promesses non tenues dans les projets pr c dents et le gouvernement de rappeler que la Convention de la baie James et du Nord qu b cois les prot geait cet effet En r sum et comme le montrent les tableaux les opposants au projet Grande Baleine ont adopt une strat gie davantage accusatrice que revendicatrice En ce qui concerne l environnement peu de gains ont pu tre obtenus peu importe la strat gie arbor e Au niveau conomique les gains furent partag s lorsque
39. mais des vitesses diff rentes dans le monde Le citoyen les politiques publiques et l enjeu proc dural sont au c ur de cette transition Comprendre la diversit du r seau d acteurs impliqu s et s assurer une participation active multidisciplinaire permettraient d acc l rer cette transition Toutefois un avenir durable ne se limite pas l essor de ces nergies il faut assurer une ma trise de l nergie l chelle individuelle galement en augmentant les pratiques environnementales qui esp rons le deviendront des r flexes Comme l a soulign Daettra 2003 la protection de l environnement est une valeur mergente de la morale consensuelle d aujourd hui mais elle n est pas encore compl tement construite ni structur e Pour ce faire nous devons continuer construire cette sensibilisation l environnement dans 23 8 colloque tudiant de l Institut EDS cette optique de transition nerg tique afin doffrir aux futures g n rations un environnement sain et vital Ceci serait possible en renfor ant l ducation relative a l environnement le plus t t possible pour que ces sch mes de protection de l environnement soient int gr s aux valeurs durant l habitus primaire C est la p riode o l enfant va int rioriser et apprendre les normes codes r gles de son groupe social d appartenance c est le fruit de son ducation familiale et scolaire Bourdieu 19
40. missions carboniques de leurs activit s bas es sur plusieurs sc narios plus ou moins prospectifs M thodologie La m thodologie d analyse de cycle de vie a vu le jour dans les ann es 80 et fait aujourd hui l objet d une normalisation internationale ISO 14040 2006 Cette approche qui vise a quantifier les impacts environnementaux d un produit ou d un service devient de plus en populaire tout particuli rement en Europe o les bases de donn es commencent tre exhaustives ce qui facilite le travail des analystes N anmoins une tendance vers la r alisation d ACV r gionalis e ou m me sp cifique un contexte semble merg e au sein de la communaut scientifique Grahn et al 2009 C est dans ce sens qu une subvention a t octroy e au CIRAIG afin de d velopper une base de donn es qu b coise ou du moins d adapter la base de donn es europ enne au contexte qu b cois L inventaire de cycle de vie ICV des produits du bois qu b cois sera r alis en suivant les directives de la suite des normes ISO 14040 et r pondra galement aux exigences stipul es dans le guide de qualit des donn es de la version 3 de la base de donn es ecoinvent afin de pouvoir y tre int gr Le respect des crit res de ces deux standards les plus exigeants permettra de faciliter un des principaux objectifs qui est de permettre aux partenaires industriels d utiliser des fins de communications les r sultats d inven
41. n cessaire protection de l environnement qui le compose 2 Nous soulignerons ensuite les l ments du R glement NORDREG qui firent croire une rupture de cet quilibre par le Canada 3 et les analyserons par rapport aux droits et obligations des tats c tiers en la mati re au regard de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et de la Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer 4 Des conclusions concernant la gouvernance maritime en Arctique pourront d s lors tre tir es 5 Contextualisation Oc ans et d veloppement durable Avant de nous plonger dans l analyse de la question de recherche proprement dite il importe de comprendre en quoi la gestion des oc ans pose des questions directement li es au d veloppement durable Quelques statistiques d montrent la place qu occupent ceux ci dans le c l bre diagramme des trois sph res du d veloppement durable Les oc ans et leur gestion se trouvent en effet la crois e d int r ts sociaux conomiques et environnementaux Ainsi en ce qui concerne le volet social du concept de d veloppement durable l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture FAO estime que 8 de la population mondiale d pendrait directement de la p che et de l aquaculture en tant que fournisseur de ressources alimentaires et conomiques et que 15 7 des prot ines consomm es par la population mondiale
42. pondit que pour ce faire on avait tout de m me besoin de nouvelles infrastructures et que puisque le prix de l lectricit tait d j bas on doutait que cela soit n cessaire Les autochtones craignaient aussi la pr carit des emplois du travail durant la construction mais apr s et ce fut un dialogue de sourds le gouvernement continuant de mettre l emphase sur le fait que le projet cr erait des emplois Dans un autre ordre d id es certains conomistes remettaient en question la fiabilit des pr visions long terme mais en contrepartie quelques uns de leurs homologues r torquaient que les pr visions pourraient peut tre s av rer trop modestes compte tenu de l instabilit de l conomie D autre part on s inqui tait du poids sur la dette publique mais pour le gouvernement cela ne repr sentait pas un risque puisque le surplus d lectricit produite serait export que cela rapporterait des profits et permettrait m me d abaisser les tarifs domestiques et de toute mani re l efficacit des sources d nergie alternative solaire olienne n tait pas encore prouv e Enfin la fameuse question A t on r ellement besoin de ce projet la r ponse tait claire Oui pour alimenter les futures alumineries et parce qu une p nurie d lectricit tait pr vue pour 1998 Grande Baleine et les d bats sur les questions sociales Les analyses effectu es nous r v
43. ruraux et p riurbains Le cas de six zones g ographiques fran aises Revue d conomie R gionale amp Urbaine n 3 pp 415 453 Vers une transition nerg tique YASMYN CAMIER Etudiante la ma trise en sciences de l environnement Universit du Qu bec Montr al Directrice Corinne Gendron Professeur D partement de strat gie responsabilit sociale et environnementale Universit du Qu bec Montr al Introduction L nergie est un facteur essentiel du d veloppement conomique et social de notre soci t en permettant par exemple l am lioration des conditions de vie des populations Vingt ans apr s le premier sommet de la Terre les nergies fossiles alimentent toujours plus de 85 de la consommation nerg tique mondiale Afin de prot ger l environnement les mutations des politiques et des technologies devraient se concentrer autour des nergies renouvelables Les nombreux avantages de ces nergies renouvelables sont par exemple de disposer de r serves virtuellement in puisables contrairement aux nergies fossiles d avoir un usage pas ou peu polluant et d avoir une bonne disponibilit g ographique Les changements climatiques induits largement par l activit humaine l augmentation de la population et l puisement des ressources des nergies fossiles cr ent une situation alarmante n cessitant un changement de notre consommation nerg tique Par cons quent la ques
44. sont pas cibl es de mani re particuli re dans cette th se La probl matique des plantes nuisibles Au Qu bec on estime que les esp ces exotiques repr sentent 30 de la flore de la province mais cet estim est destin tre constamment revu la hausse puisque chaque ann e de nouvelles plantes sont introduites sur le territoire qu b cois notamment des fins ornementales Lavoie ef al 2012 Si la majorit de ces plantes ne se diss minent pas au point de devenir nuisibles pr s de 10 le deviennent de mani re g n rale Hulme 2012 Les nuisances agricoles engendrent des co ts importants Dawson 2002 estime 2 2 milliards de dollars les co ts annuels au Canada li s aux pertes en productions agricoles et au contr le de ces nuisances Un exemple de nuisance agricole est le chardon des champs Cirsium arvense reconnu comme l une des pires plantes nuisibles du Canada et des tats Unis Elle est d ailleurs pr sente dans la majorit des provinces et tats de ces pays Cette plante occasionne des pertes de rendements pour les cultures c r ali res et fourrag res pouvant atteindre une valeur de 51 dans le cas du bl albertain Grekul et Bork 2004 Les plantes nuisibles en horticulture concernent davantage les particuliers et les entrepreneurs en am nagements paysagers qui cr ent et entretiennent des espaces horticoles qu ils soient priv s ou publics les parcs ou les corridors autorout
45. tre reconnue bien conomique Nations Unies 1972 Plusieurs l ments de la bonne gouvernance propos s par la Banque mondiale en 1991 apparaissent dans ces principes En juin 1992 se tiendra le Sommet plan te Terre de Rio de Janeiro La d claration finale aborde deux pr occupations importantes soit la d t rioration de l environnement et l interd pendance entre le progr s conomique et la protection de l environnement Nations Unies 1992a La D claration s appuie sur plusieurs principes dont certains s av reront d une grande pertinence pour la configuration de la GIRE l chelle mondiale Ainsi le principe 10 d clare que la meilleure fa on de traiter les questions d environnement est d assurer la participation de tous les citoyens concern s Chaque individu doit avoir acc s aux informations relatives l environnement et avoir la possibilit de participer aux processus de prise de d cision Le principe 13 invite les tats laborer une l gislation nationale concernant la responsabilit de la pollution et d autres dommages l environnement Le principe 15 pr conise l application de mesures de pr caution et le principe 16 demande aux autorit s nationales de promouvoir l internalisation des co ts de protection de l environnement et l utilisation d instruments conomiques en vertu du principe de pollueur payeur noter qu environ 2400 repr sentants
46. 1074 Hanspach J I K hn P Py ek E Boos amp S Klotz 2008 Correlates of naturalization and occupancy of introduced ornementals in Germany Perspectives in Plant Ecology Evolution and Systematics 10 241 250 Hayes K R amp S C Barry 2008 Are there any consistent predictors of invasion success Biological Invasions 10 483 506 Hejda M P Py ek amp V Jaro ik 2009 Impact of invasive plants on the species richness diversity and composition of invaded communities Journal of Ecology 97 393 403 Henery M amp M Westoby 2001 Seed mass and seed nutrient contents as predictors of seed output variation between species Oikos 92 479 490 Karel P amp P Py ek 1999 How do species dominating in succession differ from others Journal of Vegetation Science 10 383 392 Keith D A L Holman S Rodoreda J Lemmon amp M Bedward 2007 Plant functional types can predict decade scale changes in fire prone vegetation Journal of Ecology 95 1324 1337 Kleyer M et al 2008 The LEDA Traitbase a database of life history traits of the Northwest European flora Journal of Ecology 96 1266 1274 Kolar C S amp Lodge D M 2001 Progress in invasion biology predicting invaders Trends in Ecology and Evolution 16 199 204 K hn I W Durka amp S Klotz 2004 BiolFlor a new plant trait database as a tool for plant invasion ecology Diversity and Distribution 10 363 365 K ster
47. 120 000 hectares exploit s par an les 800 000 hectares de for ts primaires auront totalement disparu au bout de 10 ans maximum Sil est vrai que les requ rants ont t d bout s Premi re Instance sous le motif qu ils n avaient pas qualit pour agir en justice au nom de leurs enfants et des g n rations futures la Cour supr me a quant elle estim a contrario que Cour supr me des Philippines 30 juillet 1993 Cf http www escr net org caselaw consult le 11 f vrier 2009 Le cas pr sente un l ment sp cifique et novateur Les plaignants ont d clar repr senter leur g n ration ainsi que les g n rations encore a naitre Nous ne voyons aucune difficult disposer qu ils peuvent pour eux m mes pour d autres de leur g n ration et pour les g n rations futures intenter une action collective Leur personnalit engager des poursuites au nom des g n rations futures peut seule tre fond e sur le concept de responsabilit interg n rationnelle tel qu appliqu au droit un environnement sain et quilibr Il va sans dire que chaque g n ration a la responsabilit envers les suivantes de pr server le rythme et l harmonie pour le plein b n fice d un environnement sain et quilibr Pour les juges de la Cour Le d ni ou la violation du droit a un environnement sain et quilibr par un tiers qui a un devoir de respecter ou de prot ger ce d
48. 2007 Dans le cas des PV les puissances s lectionn es renvoient aux puissances disponibles dans la base de donn es Ecoinvent sachant que le syst me est bien document incluant sa composition Cette section pr sente les syst mes s lectionn s de production distribu e dont les impacts environnementaux et conomiques seront valu s et utilis s tout au long du projet de recherche pour diff rentes fins d applications m thodologiques Le Tableau 1 pr sente les syst mes tudi s incluant leurs types d installations Il est noter que pour les oliennes de petites puissances les configurations varient selon la puissance de production et de la hauteur de la tour En plus des syst mes s lectionn s les donn es m t orologiques pour la province de Qu bec ont t compil es partir de la base de donn es du logiciel RETScreen Natural Resources Canada and NRCan CTEC 2008 qui offre des donn es sur les vitesses de vent et les radiations solaires sur une base mensuelle et annuelle Le tableau suivant pr sente les donn es annuelles choisies pour estimer l nergie totale produite par les syst mes de production distribu e Tableau 1 Pr sentation des syst mes s lectionn s de production distribu e d nergies renouvelables Syst mes Type d installation Solaire monocristallin Solaire polycristallin oliennes de petites puissances Monture inclin e et fix e sur le toit Monture inclin
49. 2010 le Canada adopta le NORDREG Autrefois instrument volontaire le NORDREG se caract rise par la cr ation des deux m canismes obligatoires qu il met en place la cr ation d une Zone de services de trafic maritime STM et un Syst me de comptes rendus SCR NORDREG art 2 et 5 10 Les deux principaux objectifs du NORDREG sont d am liorer la s curit et la rapidit du transport maritime dans les eaux arctiques et de sauvegarder son environnement Pharand 2007 La zone STM cr e d limite en effet le champ d application territorial dans lequel des comptes rendus de navigation de plan de route de position final et de d viation doivent tre fournis par les navires d sirant entrer dans ladite zone ou s y d placer Par l change d informations entre les navires et la garde c ti re canadienne relativement l tat des glaces et des voies navigables ainsi qu la position du navire dans la zone notamment les navires limitent les risques d avaries li s la pr sence d obstacles sur leur route et rendent ainsi leur voyage plus s curitaire et plus rapide Le NORDREG d finit les navires l gard desquels les mesures s appliquent et ce selon deux crit res leur poids et le type de leur cargaison Selon le premier crit re seuls les b timents d une jauge brute de 300 ou plus ou les b timents qui remorquent ou poussent un autre b timent lorsque les jauges brutes 47 8
50. 2011 Entrevue 30 minutes Perreault Alex Entrevue avec un haut fonctionnaire du minist re de l Environnement Qu bec QC 16 avril 2011 Entrevue 25 minutes Perreault Alex Entrevue avec un fonctionnaire du minist re de l Environnement Qu bec QC 16 avril 2011 Entrevue 45 minutes Textes juridiques Loi constitutionnelle de 1867 R U 30 amp 31 R c Crown Zellerbach Canada Ltd 1988 R C S 401 Friends of the Oldman River Society c Canada Ministre des Transports 1992 1 R C S 3 p 64 R c Hydro Qu bec 1997 3 R C S 213 p 288 36 Fonder philosophiquement les droits des g n rations futures CHRISTIAN DJOKO KAMGAIN Etudiant au doctorat en philosophie Universit Laval Directeur Luc B gin Professeur D partement de philosophie Universit Laval Introduction A la veille de Rio 20 les g n rations actuelles doivent non seulement reconnaitre l ampleur et la complexit des d fis cologiques mais encore r sister la tentation de minimiser le probl me en passant sous silence certaines dimensions sp cifiques du concept de d veloppement durable Les paragraphes qui suivent examinent un aspect important sans lequel un programme d action soutenu en faveur de la durabilit serait incomplet S il est vrai que la r f rence aux droits des g n rations futures est partout pr sente dans les instruments juridiques internationaux en mati re de d veloppe
51. 2011 avec Le Poulpe Concernant le probl me pos par la multiplication des r sidences secondaires et la question de l galit a l accession la propri t un statut r sident corse a t propos l Assembl e de Corse il est consid r par les associations comme une des solutions envisageables pour r pondre aux probl mes Enfin ce qu on va retenir quand m me c est qu il faut habiter de mani re principale la Corse C est dire d passer les 6 mois dans l ann e c est dire d tre majoritairement en Corse avoir son adresse principale en Corse payer ses imp ts donc en Corse donc voil c est d j a tre r sident en Corse hein Entretien du 20 juin 2011 U Levante 12 Ben le statut de r sident corse nous nous on est pour pour certains le statut de r sident corse c est la panac e pour d autres pas pour nous euh Pour nous a ne c est il le faut certainement mais ce n est pas suffisant Ce n est pas suffisant Si vous laissez bon un statut de r sident corse si ensuite vous laissez faire aux Corses et ceux qui vont construire en Corse ce qu on ne laisse pas faire aux gens qui viennent de l ext rieur a revient au m me a revient au m me voil Donc nous nous disons c est ce que nous avons dit publiquement puisque je suis le porte parole du collectif Loi littorale c est moi qui l ai dit oui au statut de r sident mais i
52. 70 de sa surface dont il est noter que seulement 1 fait l objet d un r gime de protection UICN 2010 Environnement Biodiversit 80 O2 50 Surface 70 Figure 1 les oc ans dans le cadre du d veloppement durable L Oc an Arctique et la gouvernance situation de la question de recherche Notre analyse porte sp cialement sur l oc an Arctique Dans le cadre de celle ci nous examinerons l Arctique comme dot de deux principales caract ristiques il s agit d une voie navigable et il est compos d un environnement unique et particuli rement fragile la pollution Si la navigabilit de l Oc an Arctique ne semble pour le moment en ce qui concerne les eaux canadiennes et son Passage du nord ouest PNO ne pr senter d int r t que pour le transport maritime de 46 destination l effet des changements climatiques sur la pr sence de glaces pluriannuelles dans le Passage conduit un accroissement du nombre de navires fr quentant celui ci au nombre de 121 en 2005 ceux ci sont pass s 319 en 2011 Lasserre 2012 Le potentiel conomique d gag de cette navigabilit doit tre mis en balance avec l extr me fragilit de l environnement marin et c tier du Passage et de sa lente capacit se remettre de la pollution d origine anthropique qui pourrait tre li e notamment a la survenance d incidents en mer En droit de la mer cet quilibre se tra
53. Database 2008 http data kew org sid Fitter et Peat 1994 The Ecological Flora Database Julve 1998 Baseflor Index botanique cologique et chorologique de la flore de France Motif d introduction Intentionnel a des fins omementales ou utilitaires ou accidentel Marie Victorin 1935 Rousseau 1968 Fleurbec 1978 1983 Jellito graines de plantes vivaces 2010 https www jelitto com Origine g ographique Continent d origine Rousseau 1968 1971 Poids des graines Poids moyen de 1 000 graines Royal Botanic Gardens Kew Seed Information Database 2008 Kleyer et al 2008 The LEDA Traitbase donn es originales Pr sence dans les tats am ricains et dans les provinces canadiennes Propagation v g tative Nombre de provinces et tats dans lesquels la plante est pr sente Peut ou pas faire de la propagation v g tative NatureServe Explorer 2010 http www natureserve org explorer United States Department of Agriculture 2010 The PLANTS database http plants usda gov Klime ov et Klime 2006 http clopla butbn cas cz Fitter et Peat 1994 The Ecological Flora Database R f rences dans la litt rature scientifique Nombre total de publications scientifiques comprenant 1 le nom de la plante en latin dans la rubrique sujet topic ou 2 le nom de la plante associ au terme invasive Web of Knowledge 2011 http web
54. I 2009 Complexity Theory and Public Administration A Critical Appraisal Dans Managing Complex Governance Systems Dynamics Self Organisation Coevolution in Public Investments Geert Teisman Arwin van Buuren et Lasse Gerrits d Routledge Taylor and Francis Group New York and London Lacharit C 2011 Analyse du discours dominant de la crise mondiale de l eau Son origine son message ses acteurs et ses cons quences Institut des hautes tudes internationales et du d veloppement Gen ve Lautze J de Silva S Giordano M et Sanford L 2011 Putting the cart before the horse Water governance and IWRM National Resources Forum vol 35 issue 1 1 8 Meadowcroft J 2012 Greening the State Dans Comparative Environmental Politics Th ory Practice and Prospects Paul F Steinberg et Stacy D VanDeveer d The MIT Press Cambride et Londre 63 87 Milot N 2008 La gouvernance des cours d eau au Qu bec un tat des lieux Dans Vers une gouvernance de l eau au Qu bec Catherine Choquette et Alain L tourneau d ditions MultiMondes Qu bec 183 201 Minist re du D veloppement durable de l Environnement et des Parcs 2007 Plan d intervention sur les algues bleu vert 2007 2017 Qu bec En ligne http www mddep gouv qc ca eau algues bv plan intervention 2007 2017 pdf Minist re des Richesses naturelles du Qu bec 1977 Proposition d une politique qu b coise de l eau Direction g
55. Impact Assessment Methodology International Journal of Life Cycle Assessment 8 6 324 330 Jungbluth N and M Tuchschmid 2007 Photovoltaics D bendorf CH Ecoinvent 181 Karger C R and W Hennings 2009 Sustainability evaluation of decentralized electricity generation Renewable and Sustainable Energy Reviews 13 3 583 593 159 8 colloque tudiant de l Institut EDS Kaundinya D P P Balachandra et al 2009 Grid connected versus stand alone energy systems for decentralized power A review of literature Renewable and Sustainable Energy Reviews 13 8 2041 2050 Marbek Resource Consultants Ltd 2005 Survey of small 300 W to 300 kW wind turbine market in Canada Ottawa CANMET Energy Technology Centre CETC 92 Morin P B Marcos et al 2010 Economic and environmental assessment on the energetic valorization of organic material for a municipality in Quebec Canada Applied Energy 87 1 275 283 National Energy Board 2007 Canada s Energy Future Reference Case amp Scenarios to 2030 Appendices Calgary AB National Energy Board 414 Natural Resources Canada and NRCan CTEC 2008 RETScreen Varennes Qc Norris G 2001 Integrating Economic Analysis into LCA Environmental Quality Management 10 3 59 64 Norris G 2001 Integrating life cycle cost analysis and LCA International Journal of Life Cycle Assessment 6 2 118 120 PR Consultants 2008
56. Le changement climatique et l eau Rapport du Groupe d Experts Intergouvernemental sur l volution du Climat p 237 Bo J Terray L Martin E et Habets F 2009 Projected changes in components of the hydrological cycle in French river basins during the 21st century Water Resources Research 45 8 1 15 Klemes V 1986 Operational testing of hydrological simulation models Hydrological Sciences Journal des Sciences Hydrologiques HSJODN 31 1 13 24 Duan Q et Gupta V 1992 Effective and efficient global optimization for conceptual rainfall runoff models Water Resources 28 4 1015 1031 Seiller G Anctil F et Perrin C 2012 Multimodel evaluation of twenty lumped hydrological models under contrasted climate conditions Hydrology and Earth System Sciences Soumis 139 8 colloque tudiant de l Institut EDS 140 Les produits du bois une application du d veloppement durable ACHILLE BENJAMIN LAURENT Etudiant au doctorat en g nie m canique Universit Laval Directrice Sophie D Amours Professeure D partement de g nie m canique Universit Laval Co auteurs Sophie D Amours D partement de g nie m canique Universit Laval et Robert Beauregard Facult de foresterie de g ographie et de g omatique Universit Laval R sum Probl me trait Les mat riaux en bois sont tr s peu utilis s dans les constructions non r sidentielles en Am rique du Nord et part
57. MDDEP 2007 Doctrine Daniel Breton dir Ma tres chez nous 21 si cle ID diteur Val David 2009 Autres Alexandre SHIELDS Qu bec se d cide consulter les citoyens sur les gaz de schiste Le Devoir 30 ao t 2010 96 Tourisme de croisi re dans Arctique canadien quelle durabilit PIERRE LOUIS TETU Etudiant la ma trise en sciences g ographiques Universit Laval Directeur Fr d ric Lasserre Professeur D partement de g ographie Universit Laval Co auteur Fr d ric Lasserre D partement de g ographie Universit Laval R sum L Arctique canadien r gion en profonde mutation renferme un important patrimoine de biodiversit Le r chauffement climatique qui provoque la fonte de la banquise arctique laisse entrevoir la possibilit d un accroissement de la navigation des fins touristiques Ces sc narios viennent rappeler qu il est imp ratif que le d veloppement des territoires s effectue de fa on r pondre aux besoins du pr sent sans compromettre la capacit des g n rations futures r pondre leurs propres besoins La gestion et la protection de l environnement naturel ainsi que le bien tre de l ensemble des communaut s locales de Arctique canadien apparaissent donc comme des objectifs prioritaires cet effet la litt rature et les politiques actuelles t moignent de ce besoin imp ratif d adopter une strat gie
58. QH o wo AAA D RL Fe OH ee CH OH Fe 0 On OH o Fumarate ferroux Ho ONO DL Souris Orale 1 6 g kg asin paai DLs Rat Orale 39 g kg DL Rat Orale 2 24 gkg An mies ferriprives manque de fer Mukherjee A Sadler P J Metals in Medicine Therapeutic Agents Wiley Encycl Chem Biol 2009 80 Guo Z Sadler P J Metals in Medicire Angew Chem Int Ed 1999 1512 UNIVERSIT LAVAL Utilisation des sels de bismuth de gallium et de fer comme catalyseurs dans de nouvelles m thodologies de synth se en chimie verte Lyse Carole Justafort Baptiste Plancq Zhiya Li et Thierry Ollevier D partement de chimie Universit Laval Qu bec Qu bec G1V 0A6 R action de Mukaiyama aldol catalys e par le Ga OTf 1 Ga OTHs 0 2 mol SiMe O CHC 78 C LE 27 pro RACINES PAR Pho oR 56 82 syrv anti jusqu 96 4 Justafort L C Plancq B Ollevier T Sa OTf Catalyzed Mukaiyama aldol Reaction Using Very Low Catalyst Loadings 2012 en pr paration R action d allylation catalys e par le Bi OTf ph Ph Ph Ho N O NI 05 mot o BIOT 5 mot J ss An Honig base 50 mol MS 4A aw er jusqu 964 Ar 22 C 65 70h Rendament jusqu 84 Li Z Planca B Ollevier T Chem Eur J 2012 18 3074 Complexe h t robim tallique de bismuth T gt ina COL Motos s OS P quv Conclusion Nous avons d
59. SUR LES GAZ DE SCHISTE AU QUEBEC En avril 2011 le MDDEP annonce via un communiqu de presse le processus de s lection des membres du Comit responsable de EES Certaines pr cisions quant au mandat du comit sont nonc es Le mandat g n ral du comit qui d butera en mai prochain et dont la dur e sera entre 18 et Ibid Ibid Ibid 7 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Gaz de schiste les activit s de l industrie seront assujetties au d veloppement de connaissances scientifiques communiqu de presse MDDEP 8 mars 2011 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Processus de s lection des membres du comit de l valuation environnementale strat gique communiqu de presse MDDEP 14 avril 2011 93 8 colloque tudiant de l Institut EDS 30 mois consistera a d finir le devis de travail et mener les travaux de l valuation environnementale strat gique Le 28 octobre 2011 soit plus de 5 mois apr s la cr ation du comit responsable de VEES un document s intitulant Plan de r alisation de l valuation environnementale strat gique est rendu public par le biais d un site web nouvellement mis en ligne d di l S Ce document d une soixantaine de pages constitue la premi re tape du mandat g n ral du Comit soit de d finir le plan de r alisation de l valuation environnementale strat gique Le plan de r alisation porte une attention particuli re au proce
60. Tel que soutient Kahn 2001 il y a un besoin d tudier le domaine des nergies renouvelables avec des disciplines scientifiques diff rentes et des perspectives th oriques dans le but de d velopper une compr hension mieux structur e propos des caract ristiques du conflit autour des nergies renouvelables La situation mondiale de l nergie Selon le rapport de l Agence Internationale de l nergie AIE en 2009 la consommation mondiale des nergies primaires en 2008 tait de 27 pour le charbon de 21 pour le gaz naturel de 33 pour le p trole de 6 pour 17 8 colloque tudiant de l Institut EDS le nucl aire de 2 pour l hydraulique et 11 pour les nergies renouvelables Aujourd hui l estimation des nergies fossiles est la suivante pour le p trole il resterait seulement 47 ans de consommation pour le gaz naturel 60 ans de consommation et enfin pour le charbon 67 ans de consommation Ces nergies fossiles alimentent plus de 85 de la consommation nerg tique mondiale D ici 2030 dans son sc nario de r f rence l AIE pr voit un accroissement de la demande sup rieur 50 par rapport aujourd hui Plus des deux tiers de cet accroissement proviendront des pays en voie de d veloppement Le point commun de ces nergies renouvelables est qu elles sont difficilement stockables al atoires et diffuses Ces nergies disponibles via les l ments naturels que sont le sole
61. a une vue impressionnante sur les favelas et la mer Sur ce tableau j ai voulu repr senter une femme inuit avec son petit enfant dans une favela un quartier tr s pauvre de Rio de Janeiro La favela est en partie occup e par le bois La pr sence de cette ressource naturelle a fait que je me pr occupe des sujets en lien avec les changements environnementaux et leurs cons quences cologiques sociales et g opolitiques au Br sil et partout dans le monde Je pense que les populations et ceux qui ont encore les formes de vie plus traditionnelle seront ceux qui souffriront plus des effets de ces changements Et l id e de la m re rappelle galement le concept de Ga a la Terre M re dont nous sommes tous responsables et que nous devons pr server 204 2 z Sans titre Technique mixte avec acrylique sur toile 30 x 24 pouces 205 8 colloque tudiant de l Institut EDS L orage ANGELA EVE MARSCH Etudiante au baccalaur at en arts visuels Universit Laval L orage Huile sur tissu et ac tate cousu 2011 20 x 30 pouces D marche artistique Mon travail artistique est un espace tr s personnel et tr s politique en m me temps un espace de rencontre entre les l ments de ma vie affective et entre mes perceptions et mes pr occupations du monde ext rieur Je consid re mon travail comme un processus qui incite un dialogue des contrastes exprimant une tension entre mes inqui tudes ombrag es
62. ailleurs le cas dans les m canismes de d veloppement propre permettant ainsi de compenser des missions au sein d un syst me contraignant de plafonnement et d change de permis d missions de GES Avec une valeur conomique tangible les couts reli s ces cr dits d missions ont un poids dans le bilan conomique des fili res nerg tiques Ces couts font partie des d clencheurs de l volution du r seau lectrique faisant face la p n tration des sources d nergies renouvelables comme l olien et le solaire Carley 2009 Karger and Hennings 2009 Dans ce contexte le d veloppement de la production distribu e d nergies renouvelables peut potentiellement tre favoris par rapport la production centralis e permettant au consommateur de devenir producteur au moyen de leurs propres installations en injectant une partie ou la totalit de leurs productions d nergies renouvelables dans le r seau d lectricit La production distribu e est appel e se d velopper avec la pouss e de plusieurs programmes incitatifs comme la tarification nette Hydro Qu bec En effet plusieurs distributeurs d lectricit offrent une tarification incitative aux consommateurs qui souhaitent produire leur lectricit tout en b n ficiant du raccordement au r seau En plus de la tarification nette le d veloppement de la production distribu e s appuie sur des programmes d incitation
63. autres le feront notre place parce que les autochtones sont actuellement favorables et que nous avons besoin de redresser notre conomie et finalement parce qu avec les risques des changements climatiques si nous attendons trop nous ne pourrons plus d velopper L Actualit 15 juin 2009 Le Plan Nord et les d bats sur les questions sociales Enfin l instar de Grande Baleine le pilier social n a toujours pas la cote On revendique encore le respect des droits ancestraux mais comme il s agit de la revendication d une seule communaut innue de la C te Nord cela ne semble pas repr senter un v ritable frein au projet pour le moment On demande aussi du financement pour accro tre les services sociaux logement sant ducation mais ces mesures taient d j pr vues dans le plan d action de 2011 L opposition rappelle les risques li s aux probl mes de drogue et d alcool et le gouvernement met en garde contre la perp tuation de pr jug s La Presse 22 novembre 2011 Enfin on demande la possibilit de participer aux d cisions et le gouvernement laisse pour le moment la porte ouverte En r sum et comme le montrent les tableaux au contraire de Grande Baleine les opposants font davantage des revendications que des d nonciations Cela peut s expliquer par le faible niveau d avancement des projets Nous pouvons galement remarquer que c est encore une fois l attitude a
64. caract ris par une forte augmentation de la demande de la ressource eau pour satisfaire divers usages Le discours porte plut t sur le manque de donn es scientifiques et sur le sous d veloppement de l hydrologie en tant que science Lacharit 2011 Ponctu e de colloques et de conf rences cette p riode voit na tre diff rents regroupements disciplinaires non gouvernementaux provenant de l ing nierie et de domaines scientifiques C est ainsi qu apparaissent notamment l Organisation m t orologique internationale 1873 l Association internationale des sciences hydrologiques 1922 et l Association internationale sur les grands barrages 1928 Les Nations Unies vont s associer ce mouvement sectoriel par la mise sur pied d agences sp cialis es dont l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture l Organisation mondiale de la sant et l Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture UNESCO Cette derni re va introduire la question des ressources en eau sur la sc ne internationale dans les ann es 1950 gr ce aux succ s qu elle obtient de son Projet majeur de recherches scientifiques sur les terres arides Lacharit 2011 8 cette poque il n tait pas question de gestion int gr e des ressources en eau Toutefois la fin des ann es 1940 le Conseil conomique et social des Nations Unies ent
65. certain nombre de publications ont t identifi es comme pertinentes Certaines de ces communications ont pour objectifs de mettre en vidence l int r t d utiliser des donn es r gionalis es en comparant les r sultats d analyse g n rique avec nos r sultats puisque la diff rence semble tre particuli rement vraie pour le secteur forestier La prise en consid ration de l approche dynamique et des perturbations naturelles dans les ACV est galement un l ment peu document malgr sa pertinence Ce projet pourrait ventuellement contribuer l int gration des produits du bois dans les inventaires de gaz effet de serre nationaux qui ne sont pas comptabilis s par manque de donn es v rifiables L ensemble de cette recherche pourrait servir de base au d veloppement d un outil d aide la d cision permettant de proposer des solutions de r duction des missions de gaz effet de serre bas sur une approche d ACV cons quentielle Plus concr tement des courbes d abattement de co ts marginaux seront g n r es partir des r sultats obtenus des sc narios prospectifs de r duction des missions de gaz effet de serre EPA Victoria 2009 Ces courbes montrent les co ts des projets par tonne de CO2 quivalent r duite facilitant la prise de d cision Bibliographie ADEME 2011 Bilan carbone Appliqu au b timent Guide m thodologique Agence de l environnement et de la ma trise de l
66. chapitre ALEX PERREAULT Etudiant a la maitrise en tudes internationales Universit Laval Directeur Philippe Le Prestre Professeur D partement de Science politique Universit Laval Introduction L environnement constitue un champ d action parfois conflictuel entre les diff rents paliers gouvernementaux canadiens On peut expliquer en partie la complexit du dossier par le fait que les deux paliers gouvernementaux jouissent de comp tences exclusives dans plusieurs secteurs s y rattachant La signature du Protocole de Kyoto en d cembre 1997 et sa ratification en septembre 2002 par l tat canadien ont t des moments charni res dans le dossier des changements climatiques au Canada Tout au long des n gociations qui ont port sur cet accord plusieurs enjeux taient majeurs pour le Qu bec la signature d un protocole ambitieux contenant des cibles de r ductions lev esl une mise en uvre qui respecterait les comp tences constitutionnelles la juste reconnaissance de l hydro lectricit dans l application du Protocole une r partition quitable du fardeau de r duction et une reconnaissance des efforts faits depuis 1990 MEQ 2002 Note explicative Avec un bilan des missions enviable plusieurs gards une capacit de payer les co ts marginaux de r duction et un bilan nerg tique bas sur l hydro lectricit faibles missions de GES le Qu bec s est fait d fens
67. cialis es OIT oms FMI OMC TIRPGAA WHC FamilleCMS j Sanab ms Wao S L gende 1 ___ 29 MA it Oo Convention dont le FEM est l instr financier PKL j A convention appuy e par le FEM ae ene g Convention ou Protocole O Conf rence des Parties Figure 1 Aper u du cadre institutionnel du d veloppement durable CIDD aujourd hui 110 Le cadre institutionnel du d veloppement durable r former l architecture onusienne sans fragiliser l difice YAN TURGEON R dacteur en chef d Objectif Terre et candidat la ma trise en Science politique l Universit Laval Vingt ans apr s le Sommet de la Terre de Rio et dix ans apr s celui de Johannesburg la communaut internationale est nouveau la crois e des chemins La d cision de la 64e Assembl e g n rale d organiser la Conf rence des Nations unies sur le d veloppement durable ou Rio 20 sur le th me du cadre institutionnel du d veloppement durable CIDD ouvre la porte une r forme en profondeur de l architecture actuelle Parce qu il ne rel ve pas d une seule organisation mais interpelle l ensemble des institutions uvrant sur les questions environnementales sociales et conomiques le CIDD s est d velopp de mani re fragment e voir figure ci contre favorisant les chevauchements et la duplication d efforts Aujourd hui tous s entendent pour dire qu il doi
68. clefs Analyse de cycle de vie produits du bois empreinte carbone Mise en contexte Depuis quelques d cennies la concentration de gaz effet de serre GES est en augmentation r guli re Cette probl matique fait l objet de recherches scientifiques regroup es dans les quatre rapports IPCC 1990 FAR 1995 SAR 2001 TAR 2007 AR4 du Groupe d experts Intergouvernemental sur l volution du Climat GIEC Par la photosynth se le bois en croissant s questre du carbone dans ces cellules Ce carbone C est retir de l atmosph re et reste confin dans le mat riau bois tout au long de sa vie utile ex Karjalainen et al 1999 De nombreuses tudes examinent le C forestier et les potentiels de s questration par la remise en production Il y a moins de travaux portant sur le C emmagasin dans les produits du lignocellulosique long terme Pingoud et al 2001 Sedjo 2002 En comparaison avec le C forestier mondial les produits du bois n offrent qu une contribution minime ex Skog 2008 Pingoud et al 2003 ont comptabilis un potentiel de s questration par les produits du bois 40 Mt annuels excluant les sites d enfouissement ce qui quivaut au 0 4 Pg de C estim par Valsta et al 2005 Chen et al 2008 rapportent que les d clarations canadiennes estimant la s questration par les produits en bois repr sentent entre le quart et la moiti de la s questration biologique annuelle ce qui est appuy
69. d tudes nordiques Centre d tude de la for t Correspondance jerome cimon morin 1 ulaval ca 6 colloque tudiant de l Institut EDS Utilisation des sels de bismuth de gallium et de fer comme catalyseurs dans de nouvelles m thodologies de synth se en chimie verte LYSE CAROLE JUSTAFORT Etudiante la ma trise en chimie Universit Laval Directrice Thierry Ollevier Professeure D partement de chimie Universit Laval Co auteurs Zhiya Li et Baptiste Plancq D partement de chimie Universit Laval 193 6 colloque tudiant de l Institut EDS Introduction Les int r ts de rechercte dans notre groupe s accordent avec le d veloppement de nouvelles m thodologies de synth se Ces m thodes sont galement appliqu es la synth se de produits naturels et des produits biologiquement actifs Nos projets visent d velopper de nouvelles approches catalyse asym trique et l utiisation des m taux des farrilles principales 13 et 15 tels que le gallium et le tismuth et certains m taux de transition comme le fer en synth se organique L incorporation de la chimie verte et du d veloppement durable ces m thodes est un aspect essentiel de notre groupe de recherche Utilisation du bismuth du gallium et du fer en pharmacie o ve Ganre oon galium nite Subaa crane de baru Ga NO DL BiCl 33 g kg Cancer des reins DLs NaCl 30 g kg DLs Rat Orale 4 4 g kg Malaises gastriques OH
70. de bloquer la construction mais le jugement est suspendu lorsque la partie adverse fait appel ce qui implique des proc dures longues sur plusieurs ann es ce qui permet notamment aux maires de d livrer d autres permis de construire durant ce laps de temps bon y a quand m me une grosse limite c est que euh on attaque un PLU au tribunal jour 1 le tribunal met au moins I an a juger entre 12 mois et 18 mois pendant ce temps la la mairie distribue tous les permis possibles 200 sur Porto Vecchio pour le dernier cas voila 200 en moins de 18 mois bon On gagne le PLU est donc annul la mairie fait appel 3 ans pour la cour d appel pour juger pendant ces 3 ans 600 rires 600 permis tombent en tout 800 permis tombent d accord On est r ellement tr s inefficaces Faut tre concrets on est inefficaces voil Si l tat regardait ce qui se passe au niveau des tribunaux et disait coutez l d j le TA a dit que c tait pas constructible mais seulement l tat n est pas avec nous Entretien du 20 juin 2011 avec l association U Levante Ou encore lorsque le contrevenant loi un particulier est jug coupable et est condamn payer une amende et par l m me sa dette la soci t C est dire que les gens grosso modo ils savent que lorsqu ils ont construit ils paient des amendes bah quand on est tr s riche quand on paie 20 000 d amende on n en a rien fai
71. de gestion int gr e de l industrie du tourisme de croisi re Cependant le manque de donn es chiffr es sur les communaut s visit es l offre touristique des communaut s et les itin raires de navires limite toute forme de gestion durable ce que cette tude a tent de combler L approche m thodologique d coule d une part d une m thode g opolitique d analyse du discours des armateurs et affr teurs de navires de croisi re int grer ou tendre leurs activit s dans l Arctique canadien et de l autre d investigations aupr s de Nunavut Tourism et de communications personnelles Les r sultats montrent des opinions mitig es deux compagnies d j pr sentes souhaitent accro tre leurs activit s tandis que la grande majorit des autres ont indiqu ne pas avoir l intention d int grer le march des croisi res dans l Arctique canadien De plus on observe une in gale r partition spatiale des communaut s visit es par les navires et une offre touristique et de services plus importants dans ces m mes communaut s Cet article invite donc porter un regard critique sur les perspectives d avenir du tourisme de croisi re dans l Arctique canadien et tente de promouvoir un d veloppement plus quitable de l industrie sur l ensemble du territoire du Nunavut Mots cl s Navigation Tourisme de croisi re Arctique canadien D veloppement durable Offre touristique infrastructures maritimes Nunavut Co
72. de vie attribuables aux syst mes de production distribu e d nergies renouvelables La comparaison des r sultats obtenus permettrait de d terminer la s quence technologique ayant la meilleure performance environnementale et conomique du cycle de vie tout en s assurant de la coh rence entre les outils du cycle de vie Quatre tapes sont utiles pour l valuation des impacts conomiques et environnementaux des syst mes s lectionn s de production d nergies renouvelables ISO 2006 Hunkeler Lichtenvort et al 2008 Ces tapes sont sommairement d crites dans les sous sections suivantes Objectif et champ de l tude La fonction principale de la fili re solaire et olienne consiste produire de l nergie sous 153 8 colloque tudiant de l Institut EDS forme lectrique La quantification de la fonction tudi e l unit fonctionnelle est bas e sur un kilowattheure kWh d lectricit produite dans la province de Qu bec Il est rappeler que l analyse est de type berceau au tombeau incluant toutes les activit s impliqu es au cours du cycle de vie des deux fili res c d au cours de leurs tapes de production de distribution d utilisation et de gestion en fin de vie Donn es d inventaire du cycle de vie Le recours aux donn es dites primaires c d sp cifiques aux syst mes tudi s est souhaitable pour la r alisation d une ACV puisque ces
73. des liquidit s dans des lieux habit s le cas ch ant Dupr 2009 La fa ade maritime arctique russe et ses les bien que les donn es sur le nombre de navires et de passagers ne soient pas disponibles voire inconnues apparaissent comme une destination de choix Lamers et Amelung 2010 Les croisi res g n ralement bord d anciens brises glaces russes prennent la forme de safaris arctiques de visites de lieux naturels et de communaut s de m me que de voyages vers le P le Nord o l les prix sont exorbitants ils en coutent plus de 30 000 par personne Dans l Arctique canadien l absence totale d infrastructures maritimes et la pr sence de la banquise dont la fonte est plus ou moins rapide selon les lieux et les ann es contrainte majeure de navigation oblige les compagnies op rer de petits navires 100 300 passagers quip s pour naviguer dans des eaux polaires et effectuer des d barquements en Zodiac qui demandent davantage de planification et donc de temps Dupr 2010 Malgr la pr sence de populations indig nes inuites la promotion des croisi res s effectue principalement travers la mise en valeur d espaces vierges et inviol s les lieux les plus fr quent s de l Arctique canadien par les navires de croisi res sont des espaces naturels ou historiques o personne ne vit et certains voyages propos s ne font aucune halte dans une communaut Ibid
74. du bassin de l Isar dans l tat de la Bavi re Allemagne Le site canadien est typique de la gestion des ressources en eau pour la production hydro lectrique la protection contre les crues et les activit s r cr ationnelles alors que le bassin versant allemand est repr sentatif de bassin forts activit s et impacts anthropiques Seule la partie naturelle amont des deux bassins versants est mod lis e soit respectivement les bassins versants Au Saumon et Schlehdorf pour le Qu bec et la Bavi re Figure 1 Localisation des bassins versants tudi s 135 8 colloque tudiant de l Institut EDS Sur ces deux bassins versants aux caract ristiques climatiques et hydrologiques distinctes vingt mod les hydrologiques sont mis en place Ces mod les hydrologiques globaux c d sans repr sentation de la distribution spatiale des processus et conceptuels c d conceptualisation math matique des processus physiques ont 00200606 i 1 1 NAPM OO0O0 i i i t t retenus fournissant de grande vari t de complexit et formulations de 4 10 param tres et de 2 7 r servoirs Tous ces mod les sont appliqu s dans des conditions identiques c d m mes donn es d entr e m mes dur es simul es m me formulation d vapotranspiration m me module de fonte de la neige etc MODELS Mbp to M 2006 DOC CCOO OOOO 4 parameters 6 parameters 7 par
75. e sur les usages l chelle internationale le discours du d veloppement tait galement dominant ce qui laisse supposer que la gestion sectorielle des ressources en eau tait g n ralis e tous les pays d velopp s La naissance de grandes organisations internationales sectorielles qu a connues cette p riode semble confirmer cette assertion Lacharit 2011 Cette p riode n est toutefois pas totalement d nu e de volont d int gration concernant les ressources en eau On peut penser l UNESCO qui entreprend son projet scientifique sur terres arides et au Conseil conomique et social des Nations Unies qui d sire int grer des efforts de recherche par grandes r gions du monde Ces efforts expriment une volont d int gration des connaissances qui se concr tisera davantage dans la p riode suivante La possibilit offerte aux ONG de participer aux activit s de l ONU offrira ceux ci plusieurs opportunit s de faire valoir leurs points de vue l chelle internationale et ainsi de renforcer leur pouvoir d influence en mati re de protection des droits humains et de l environnement Tableau 1 1800 1960 Evolution de la gestion de l eau au Qu bec et dans le monde Qu bec Ann e International Droit d usage ordinaire de l eau par les 1800 riverains Droit modifi pour permettre plus d usages 1855 industriels de l eau S paration des pouvoirs sur l eau entre le
76. en 2007 seraient issues de la p che FAO 2010 L Union internationale pour la conservation de la nature UICN souligne quant elle que 50 de la population mondiale vit en zone c ti re UICN 2012 et d pend donc de mani re g n rale de la gestion et de la qualit des oc ans 45 8 colloque tudiant de l Institut EDS En termes d int r ts conomiques il est souligner que les oc ans sont la fois porteurs de ressources min rales et organiques exploitables importantes et sont le support du commerce international par les voies de navigations qu ils offrent 8 2 milliards de tonnes de marchandises ont t transport es par voie maritime en 2008 UNCTAD 2010 Les oc ans et les zones c ti res servent aussi l industrie touristique en offrant de routes de navigation pour les voyageurs et en constituant le terrain de jeu des touristes nautiques conomie P che Navigation commerciale Soci t P ches 8 Prot ines 15 7 Habitat 50 Quant la sph re environnementale il nous faut rappeler que les Oc ans abritent pr s de 80 de la biodiversit mondiale UICN 2010 et donc autant des services cologiques rendus par cette biodiversit De m me plus de la moiti de l oxyg ne pr sent dans l atmosph re est produit par les Oc ans UICN 2010 Les oc ans donn rent par ailleurs notre Terre le nom de Plan te bleue puisque ceux ci recouvrent plus
77. essor d une technique industrielle D s lors les acteurs politiques servent de liens entre l industrie et le citoyen pour cr er un terrain propice au d bat entre toutes les parties pour une meilleure action collective et accept e par tous gr ce un cadre institutionnel adapt et efficace La gouvernance est d finie comme la somme des voies et moyens travers lesquels les individus et les institutions publiques ou priv es g rent leurs affaires communes Il s agit d un processus continu gr ce auquel les divers int r ts en conflit peuvent tre arbitr s et une action coop rative men e bien Ceci inclut les institutions formelles et les r gimes charg s de mettre en application les d cisions ainsi que les arrangements que les gens ou les institutions ont accept s ou per oivent comme tant dans leur int r t La gouvernance s articule autour de la responsabilisation de l implication des acteurs et de la concertation d apr s Lepage 1997 Lepage et al 2003 Durant et al 2004 Ainsi tablissement d une bonne gouvernance passe par un changement du cadre institutionnel qui permet d assurer selon Andr et al 2010 un processus collectif de d cision caract ris e par la participation la transparence et la responsabilit Il faudrait int grer le volet interdisciplinaire au processus d cisionnel pour une compr hension et digestion de l information aupr s de tous les
78. et d ducation Outils l gaux encadrant la GIEBV Modalit s de mise en uvre du principe pollueurs payeurs et utilisateurs payeurs M thode d octroi de financement des OBV R gime de redevances et fonds Cadre de r f rence pour les CBV i TIPNE Table de coordination et de suivi des actions gouvernementales il Assurer la coh rence de toute action gouvernementale relative l eau sur la base du bassin versant Faire voluer les fa ons de faire sectorielles vers la GIEBV Coordonner et suivre les actons gouvernementales relatives a l eau D terminer les priorit s nationales en tenant compte des objectifs des OBV Mettre en uvre la gestion int gr e du Saint Laurent et intensifier la participation aux organismes internationaux GL SL Lois r glements programmes plans fonds strat gies structures administratives etc facilitantla GIEBV Engagements de la PNE pour la GIEBV 1 9 20 25 26 41 programmes strat gies plans fa ons de faire harmonis es la GIEBV Priont s nationales tenant compte des objectifs des OBV Gestion int gr e du Saint Laurent mise en uvre Mise en uvre Entente Grands Lacs SL Mettre en uvre et soutenir la GIEBV l chelle locale et r gionale tendre progressivement la GIEBV l ensemble du territoire du Qu bec Octroyer un soutien financier aux OBV Fournir un soutien technique aux OBV valuer et approuver les plans directeurs eau Choisir les repr senta
79. et des services publics elle s appuie sur l implication des acteurs sociaux t t dans le processus pour renforcer la l gitimit des d cisions publiques elle compte sur cette implication et sur le savoir des acteurs sociaux pour r duire les incertitudes strat giques et cognitives du processus de prise de d cisions Ce concept donne donc un r le d terminant la soci t civile dans la gouverne de la chose publique Meadowcroft 2012 77 dans un article portant sur la notion d tat vert crit que si la maxime de la premi re phase de l tat environnemental tait de nettoyer la pollution et de prot ger l environnement celle de la seconde phase a t et est encore de promouvoir le d veloppement durable La suivante pourrait alors tre quelque chose comme transformer les pratiques soci tales de fa on pouvoir respecter les limites cologiques Bien s r cette troisi me maxime ne remplace pas les deux autres Chacune se compl te Si l on retient cette fa on de pr senter les choses l adh sion du Qu bec au concept de bonne gouvernance semble le situer dans la troisi me phase des tats verts 79 8 colloque tudiant de l Institut EDS Tableau 4 Comparaison d taill e entre la GIRE du Qu bec et celle issue du Sommet de Rio Document de r f rence international D finition internationale de la GIRE Descriptions correspondantes du mod le logique de l
80. et la g n ration ant rieure qui a la responsabilit de faire en sorte que cette g n ration ne souffre pas du non respect de ses droits et qui a par cons quent le devoir d assurer ces droits ou ces besoins On a affaire dans ce cas une obligation conditionnelle C est parce que les g n rations futures ont des droits besoins dont l effectivit d pend des g n rations ant rieures que celles ci ont des obligations l gard des g n rations futures Mbonda E M 2011 106 Enfin penser les droits au regard de leur fonction rend galement recevable l hypoth se selon laquelle les obligations pr sentes peuvent se d duire analytiquement des droits futurs L argument de la fonction du droit A titre illustratif on peut avancer que les droits de Mme Youbi limitent l action de Mme Demanou et lui imposent certaines obligations M mement les obligations assign es aux g n rations actuelles au titre de la responsabilit prospective limitent leur comportement en vue de prot ger les droits besoins int r ts des g n rations futures Autrement dit il s agit d appr hender la question des droits des g n rations futures sous langle des droits ou besoins fondamentaux pr server En clair nous pourrions dire que les g n rations futures ont des droits dans la mesure o nous reconnaissons et acceptons les limites impos es notre comportement pour assurer la protection de leurs
81. figure 3 et la gestion int gr e du Saint Laurent GISL Figure 3 Mod le logique de l chelle nationale de la GIEBV qu b coise Les fl ches plus larges de couleur jaune orang e repr sentent des interactions avec le mod le logique local et r gional figure 2 85 8 colloque tudiant de l Institut EDS Figure 1 Mod le logique des l ments structurants de la GIEBV qu b coise Raison d tre de la GIEBV Pratiquer une gestion de l eau plus efficace plus efficiente et plus coh rente que la gestion sectorielle de l eau et r pondre au d sir des citoyens et des citoyennes de participer plus activement la gestion de l eau et de ses usages Mission Mettre en uvre progressivement la GIE l chelle du bassin versant dans une perspective de d veloppement durable selon une approche participative volontaire et engag e des acteurs de l eau Objectifs r sultats attendus Concertation de tous les acteurs de l eau balis e par les principes de d veloppement durable Planification coh rente de l ensemble des activit s r alis es dans un bassin versent Un quilibre maintenir entre les diff rentes dimensions socio conomique et environnementale et du d veloppement d un bassin versant D veloppement durable Possibilit pour la population de participer plus activement au devenir de ses plans d eau Mesures plus efficaces et novatrices dans la gestion des cours d eau et organisation de nouvea
82. financement par la mise en place de plusieurs mesures conomiques Conseil de la conservation et de l environnement 1993 Le gouvernement du Qu bec adh re officiellement au R seau international des Organismes de Bassin Gazette officielle du Qu bec 1996 Des inondations majeures surviendront l t 1996 et forceront repenser la gestion des barrages au Qu bec La Commission scientifique et technique sur la gestion des barrages 1997 11 9 mise sur pied cette fin recommande de confier la gestion de l eau des comit s de bassin sous l gide de la ou des Municipalit s r gionales de comt MRC Elle recommande galement que cette gestion soit int gr e En 2000 une autre commission la Commission sur la gestion de l eau au Qu bec 2000 recommandera galement au gouvernement de mettre en place la gestion int gr e de l eau l chelle du bassin versant Selon elle cette gestion devrait tenir compte de l ensemble des usages incluant ceux des cosyst mes Elle demande que la repr sentativit sur les comit s de bassins soit galitaire et paritaire sans hi rarchie ni majorit de repr sentations Elle souhaite que ces organismes soient uniquement des tables de concertation Le gouvernement donnera suite ces recommandations par le lancement d une Politique nationale de l eau 2002a et 2002b Il s engagera mettre en uvre graduellement et soutenir la gestion in
83. g n ralisent sur l ensemble du territoire et que les premiers organismes de bassin versant sont cr s ces derniers visent g n ralement la restauration la conservation et la mise en valeur de leur cours d eau Milot 2008 193 Pour poursuivre dans cette veine Environnement Canada invente en 1988 le concept de zones d intervention prioritaire ZIP le long des rives du Saint Laurent et souhaite jumeler ces zones une structure de partenariat et de concertation qui permettrait aux citoyens et aux acteurs sociaux de s engager dans la protection et le d veloppement du Saint Laurent En 1989 on assiste la mise en place d une structure gouvernementale de coordination et d harmonisation des interventions du Qu bec et du Canada en mati re de d pollution du Saint Laurent structure appel e Plan 68 d action Saint Laurent Site Internet du Plan d action Saint Laurent Vision 2000 c De 1990 2012 Les ann es 1990 seront fertiles en d veloppement concernant la GIRE D abord un rapport du Conseil de la conservation et de l environnement 1993 recommande de passer graduellement une gestion int gr e d centralis e et concert e des ressources en eau r alis e par des associations form es de repr sentants de la population des utilisateurs et des gestionnaires du territoire Selon ce rapport des plans de GIRE devraient tre labor s par ces associations et on devrait assurer leur
84. impacts of using wood instead of alternatives in residential construction in the United States Biomass and Bioenergy 32 1 p 1 10 Valsta L et al 2005 Forests and forest products in climate change mitigation Wells J R et al In press Carbon footprint assessment of a paper book can planned integration of deink market pulp be detrimental to climate Journal of Industrial Ecology Werner F amp Richter K 2007 Wooden building products in comparative LCA The International Journal of Life Cycle Assessment 12 7 p 470 479 Available at http dx doi org 10 1065 lca2007 04 317 148 Th me 3 Outils de mise en uvre du d veloppement durable 149 8 colloque tudiant de l Institut EDS 150 Evaluation technico conomique et environnementale du cycle de vie de la production distribu e BEN AMOR Post doctorant au D partement de m thodes quantitatives de gestion HEC Montr al Directeur Pierre Olivier Pineau Professeur D partement de m thodes quantitatives de gestion HEC Montr al Co auteur R jean Samson Ecole Polytechnique de Montr al Introduction La valeur conomique des impacts environnementaux de la production nerg tique va vraisemblablement se concr tiser avec l introduction dans les march s de la taxe sur le carbone ou de plafond d missions de gaz effet de serre GES Un cr dit de GES pourrait m me dans certains cas tre accord comme c est d
85. int r ts Desjardins J 1995 106 Il convient de pr ciser que ces arguments en faveur d un droit interg n rationnel ne sont pas condamn s n avoir qu une force thique On peut aujourd hui parfaitement recourir ces arguments pour construire et motiver ad quatement une d cision de justice La justiciabilit des droits des g n rations futures Sil est vrai que l argumentation d ploy e jusqu ici s apparente un rapport obligations de vertu versus droits moraux notons cependant que rien n emp che qu on puisse traduire cette dialectique en termes juridiques Pour prendre la mesure r elle de cette proposition il n est pas inint ressant de rappeler ici la distinction que Kant tablit entre devoir de vertu et devoir de droit Pour le philosophe de K nigsberg Le devoir 41 8 colloque tudiant de l Institut EDS de vertu est essentiellement diff rent du devoir de droit en ceci que pour celui ci une contrainte ext rieure est moralement possible alors que celui l repose uniquement sur la libre contrainte exerc e l gard de soi m me Kant E 1994 222 Bien plus un devoir de vertu est un devoir large et imparfait en ce qu il n est conditionn par aucune inclination ou contrainte ext rieure Dans ce cas la seule contrainte envisageable est celle que je m impose moi m me En clair le manquement mon obligation de vertu ne
86. l aspect environnemental des produits du bois qu b cois en comparaison d autres r gions Wells et al 2012 Laurent et al In process Plusieurs explications permettent de comprendre ces carts sur l impact environnemental mais la plus significative est sans conteste l opportunit d avoir recours l hydro lectricit Coupler des pratiques les plus respectueuses de l environnement et l utilisation de bio nergie cellulosique pourrait tre un grand avantage concurrentiel pour 143 8 colloque tudiant de l Institut EDS l industrie foresti re qu b coise la recherche d un nouveau souffle Le pr sent projet de recherche vise am liorer la comp titivit de l industrie foresti re par le positionnement strat gique des produits de la fili re bois Il s agit d une d marche avant gardiste qui consiste d une part sensibiliser les entreprises de transformation du bois la pertinence d int grer des pratiques de gestion environnementales et d autres parts d velopper une base de donn es g n rique qui permettra la r alisation de bilans carbone et d ACV environnementale Cette initiative s inscrit dans une approche globale dont l objectif est de positionner les produits forestiers qu b cois sur les march s mondiaux titre de produits verts afin de leur donner un avantage concurrentiel Objectifs Cette recherche vise d terminer l empreinte environnementale d un lar
87. la construction des routes de limiter l acc s la fermeture et le reboisement des routes de m me que d appliquer convenablement des mesures d att nuation des impacts li s aux routes Le respect des trois strat gies afin de r duire les r percussions des chemins est donc possible dans la mesure o les pr occupations environnementales sont int gr es la recherche en g nie forestier et la formation pratique et d ontologique des ing nieurs Les instruments juridiques possibles Il est galement possible que la r glementation municipale et les normes de certifications foresti res tiennent en compte les effets potentiellement nuisibles des chemins pour la biodiversit La r glementation municipale Le r le des municipalit s en environnement s est progressivement accru au Canada Le l gislateur qu b cois a adopt la Loi sur les comp tences municipales attribuant une comp tence sp cifique en environnement aux municipalit s Girard 2010 Aujourd hui au Qu bec toute MRC est tenue de maintenir en vigueur en tout temps un sch ma applicable l ensemble de son territoire Loi sur l am nagement et l urbanisme LAU art 3 Le sch ma peut l gard du territoire de la MRC d terminer des orientations en vue de favoriser l am nagement durable de la for t priv e au sens de la disposition pr liminaire de la Loi sur les for ts LAU art 6 8 Par ailleurs le conseil d une
88. la possibilit pour les navires d y circuler et la n cessit d y pr venir la pollution marine caus e par les navires Le NORDREG s appliquant jusqu 200 milles nautiques des c tes canadiennes c est dire jusqu la limite ext rieure de la Zone conomique exclusive canadienne ZEE il nous faut donc examiner si le Canada dispose des droits n cessaires pour adopter des mesures qui lui permettent de soumettre l acc s a ces eaux aux conditions qu il d termine de mani re unilat rale Bartenstein 2011 b McDorman 2010 Franckx 2001 Molenaar 1998 60 N Northern Canada Vessel Traffic Services NORDREG Zone 160 W 100 W 7 7 8 colloque tudiant de l Institut EDS CZ y gt Lg 4 y a RAAN Figure 3 la Zone NORDREG Source Transport Canada en ligne lt http www tc gc ca eng marinesafety debs arctic shipping operations nordreg 357 htm gt Les comp tences des tats c tiers et le droit international deux instruments juridiques principaux peuvent tre avanc s pour v rifier la l galit des mesures du NORDREG canadien la Convention des Nations unies sur le droit de la mer CNUDM et la Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer SOLAS La CNUDM octroie des comp tences d action unilat rale aux tats dans la gouvernance environnementale en Arctique tandis que la SOLAS inscrit les autres tats dans le processus de gouvernan
89. le monde int grer le d veloppement durable dans son corpus l gislatif Pr s de cinq ans apr s l adoption de Loi sur le d veloppement durable ci apr s LDD on peut toutefois se demander quelle a t l influence r elle de cette l gislation sur l action gouvernementale Dans les lignes qui suivent nous analyserons plus sp cifiquement la place qu a pris le concept de d veloppement durable dans le dossier des gaz de schiste au Qu bec Dans un premier temps nous pr senterons bri vement le cadre l gislatif et administratif mis en place par la LDD Dans un second temps nous d crirons la d marche en cours relativement la mise en valeur des gisements de gaz de schiste enfouis dans les basses terres du Saint Laurent avec une attention particuli re pour la place qu a pris le d veloppement durable Enfin en guise de conclusion nous dresserons certains constats sur l influence du concept de d veloppement durable dans le dossier des gaz de schiste au Qu bec Loi sur le d veloppement durable L R Q c D 8 1 1 89 8 colloque tudiant de l Institut EDS 1 LE DROIT DU D VELOPPEMENT DURABLE AU QU BEC UN APER U La Loi sur le d veloppement durable a t adopt e l unanimit en avril 2006 par l Assembl e nationale du Qu bec Cette l gislation qui d coule d une d marche gouvernementale ponctu e de consultations publiques amorc e quelques ann es plus t t vise int grer le conce
90. les opposants d non aient les actions les d fenseurs affichaient une attitude de fermeture Lorsque les opposants faisaient des revendications les promoteurs se montraient totalement ouverts M me sc nario au niveau social Comme quoi la strat gie adopter pour obtenir une coute et des actions positives de la part des d fenseurs semble tre la revendication et non l accusation Mais le sc nario se r p te t il avec le Plan Nord 59 8 colloque tudiant de l Institut EDS Tableau 1 Discours de Grande Baleine Volet Environnement Strat gie des opposants R ponse positive des d fenseurs R ponse positive des d fenseurs Le Plan Nord et les l environnement Comparativement Grande Baleine l environnement fait moins partie des discours entourant le Plan Nord Ce qui retient l attention la protection de 50 du territoire des activit s industrielles revendiqu e la fois par les citoyens les cologistes et l opposition gouvernementale Le gouvernement a finalement appuy cette revendication mais le Minist re des Ressources naturelles a rectifi le tir en disant qu il s agissait d un objectif impossible a respecter et qu on ne pourrait atteindre qu une protection de 12 tout au plus soit la cible fix e lors du sommet de Rio mais 5 de moins qu Nagoya en 2010 Comme pour Grande Baleine les opposants au Plan Nord accordent aussi une attention l instauration d
91. li ia navigation touristique spatialement tr s concentr L ck M Maher P T amp Stewart EJ 2010 Polar Tourism Human Environmental and Gover Communaut s visit es ont un indice d veloppement humain lev igonce Dimensions Na TOi Cognizant Coman MISON CARRS Expansion modeste etant donn le peu d int r t des armateurs L ck M Maher PT amp Stewart EJ 2010 Cruise Tourism in Polar Regions Promoting Environ S Manque d infrastructures portuaires mental and Sodal Sustainability London Earthscan Lois canadiennes r gulant la navigation tr s contraignantes g 7 x f R Vers un d veloppement durable Tendance tr s encourageante De Action 2 Merde pajan Dil Onoke E Notions on Lois canadiennes pr nent la protection environnement Principe 4 ae P A bri t ins au centre des p cupations Principe RE TR AEA Cruise tourism and sea ice in Canada s Hudson Bay region gt d Prise en compte du r le vital des autochtones Principe 22 200 201 8 colloque tudiant de l Institut EDS 202 uvres d art 203 8 colloque tudiant de l Institut EDS Sans titre ALVARO EMILIO ALMGREN NETO tudiant visiteur au premier cycle en histoire de l art Universit Laval D marche artistique Au Br sil je vis Rio de Janeiro dans le quartier de Santa Teresa Ce lieu est fait de ruelles tortueuses qui m nent aux quartiers voisins Au sommet du quartier il y
92. ligne lt http www fao org docrep 013 11820e i11820e pdf gt United Nations Conference on Trade and Development Review of Maritime Transport 2010 en ligne lt http www unctad org en docs rmt2010_en pdf gt UICN Global Ocean Protection Present Status and Future Possibilities 2010 en ligne lt http data 1ucn org dbtw wpd edocs 2010 053 pdf gt 53 8 colloque tudiant de l Institut EDS 54 La prise en compte du d veloppement durable dans les grands projets de d veloppement conomique et nerg tique du Nord Qu b cois Une analyse des discours entourant le projet Grande Baleine et le Plan Nord NANCY EMOND Etudiante au doctorat en sociologie Universit Laval Directeur Louis Guay Professeur D partement de sociologie Universit Laval R sum L av nement en juin prochain de la Conf rence des Nations Unies pour le d veloppement durable mieux connue sous Pappellation de Rio 20 sera l occasion de dresser un portrait des progr s r alis s depuis 20 ans notamment en mati re de d veloppement durable Par cons quent face au grand chantier de d veloppement nerg tique et minier que projette de mettre en place le gouvernement qu b cois avec le Plan Nord l valuation de la prise en compte du d veloppement durable ne semble pas vaine bien au contraire En effet ce projet de d veloppement du Nord qu b cois n est pas sans rappeler celui de Grande Baleine
93. n rale des eaux Qu bec Nace R L 1969 La d cennie hydrologique internationale L homme et l eau aper u mondial UNESCO Rennes En ligne http hydrologie org BIB UNESCO Nace pdf Nations unies 1992a D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement Principes de gestion des for ts En ligne http www un org french events rio92 rio fp htm Nations Unies 1992b Action 21 chapitre 18 En ligne http www un org french ga special sids agenda2 1 action18 htm Nations Unies 1972 D claration finale de la Conf rence des Nations Unies sur l environnement Stockholm Objectif Terre Site consult le 12 mai 2012 http www objectifterre ulaval ca dossier sommet de rio 20 cnudd Ostrom E 1990 Governing the Commons The Evolution of Institutions for Collective Action Cambridge University Press Cambridge Paquerot S 2006 Reconfigurations des acteurs et de l ordre du jour dans le domaine de l eau une gouvernance mondiale en qu te de l gitimit Pages 307 329 Dans Duchastel J et R Canet Dans Crise de l tat revanche des soci t s Ath nas Editions Montr al Pearse P H Bertrand F MacLaren J W 1985 Vers un renouveau Rapport d finitif de l Enqu te sur la politique f d rale relative aux eaux Chapitre 5 Minist re de l Environnement du Canada Ottawa Plan d action Saint Laurent Vision 2000 En ligne http www planstlaurent qc ca sl_b
94. par plusieurs tudes ex Nabuurs 1996 Il n en reste pas moins que selon Dias 2005 2009 l ensemble du C des produits du bois peut tre significatif pour certains pays au niveau national D autant que le Canada est un des plus gros producteurs et exportateurs de produits bois au monde UNFCCC 2003 FPAC 2006 142 En plus de la s questration de carbone les mat riaux bois ont l avantage de consommer que peu d nergie pour les diff rentes tapes de transformations et les missions de GES associ s sont faibles ex Taylor et al 2003 Ce qui donne un avantage concurrentiel vis vis des autres mat riaux de substitutions Sutton 2003 rapporte les r sultats d une tude am ricaine Koch 1992 qui estime entre dix et trente fois moins nergivores une construction en bois en comparaison avec les autres mat riaux de construction acier b ton etc Malgr la faible consommation nerg tique des missions de GES associ s la transformation des produits du bois La plus grande partie des missions sont dues a l utilisation de combustible fossile et au transport Buchanan amp Levine 1999 Sedjo 2002 rappel que l intensit carbonique d pend avant tout du type de production nerg tique en prenant les exemples du nucl aire et de l hydro lectricit les missions directes de CO2 ne sont pas consid r es Ce qui est un avantage dans le contexte qu b cois De plus la substitution des combustibles fos
95. plants concepts and definitions Diversity and Distributions 6 93 107 Richardson D M 2001 Plant invasions Dans S Levin ed Encyclopedia of Biodiversity vol 4 San Diego Academic Press 677 688 Roberts W O Harrod B Mitterdorfer et P Pheloung 2011 Regulating invasive plants and use of weed risk assessments Current Opinion in Environmental Sustainability 3 1 2 60 65 Rousseau C 1968 Histoire habitat et distribution de 220 plantes introduites au Qu bec Le Naturaliste Canadien 95 49 169 Rousseau C 1971 Une classification de la flore synanthropique du Qu bec et de l Ontario II Liste des esp ces Le Naturaliste Canadien 98 697 730 Royal Botanic Gardens 2008 Kew Seed Information Database Online http data kew org sid Accessed in 2011 Scoggan H J 1978 1979 The flora of Canada 4 parties National Museums of Natural Sciences Publications in Botany 7 Ottawa 1711 pages Stowinski R S Greco et B Matarazzo 2009 Rough Sets in Decision Making Dans R A Meyers ed Encyclopedia of Complexity and Systems Science New York Springer 7753 7786 Thomson Reuters Web of Knowledge 2011 Web of Knowledge Online http webofknowledge com Accessed in 2011 United States Department of Agriculture 2012 The PLANTS database National Plant Data Centre Baton Rouge Louisiana Online http plants usda gov Accessed in 2011 181 8 colloque tu
96. projet Grande Baleine marque un tournant D une part l v nement serait la manifestation d une pens e cologiste qui en mobilisant l opinion publique barre la route une id ologie de la croissance aussi fascin e par la puissance technique que n gligente l gard des quilibres environnementaux D autre part cet pisode serait la preuve que la reconnaissance tardive des droits des nations autochtones a su enfin contrer l lan du nationalisme qu b cois qui depuis les ann es soixante dix entendait faire valoir sa souverainet sans partage sur le territoire de la baie James Mercier et Ritchot 1997 140 Le Plan Nord Vaste chantier de d veloppement du nord qu b cois et dont l ch ancier de r alisation s tale sur 25 ans l Je Plan Nord sera aux prochaines d cennies ce que le d veloppement de la Manicouagan et de la Baie James aura t aux d cennies 60 et 70 Gouvernement du Qu bec 2011 Le Plan Nord c est aussi une diversit de projets regroup s principalement autour de l objectif d exploitation du potentiel hydro lectrique et minier du territoire nordique qu b cois situ au del du 49e parall le Le plan int gre galement des objectifs de d veloppement forestier bioalimentaire petits fruits touristique de mise en valeur de la faune de protection de l environnement et de conservation de la biodiversit Gouvernement du Qu bec 2011 14 Enfin ce proj
97. puissances 1 10 et 30 kW Les r sultats obtenus ont t calibr s selon les niveaux de force des vents et d ensoleillement rencontr s au Qu bec Une analyse de sensibilit des sc narios de production centralis e utilisant une approche moyenne et une approche marginale a galement t appliqu e En utilisant une approche moyenne les r sultats d montrent la faible performance des syst mes tudi s sur leur cycle de vie Toutefois l identification de la technologie marginale affect e justifie l application de la production distribu e surtout si les march s voisins de ceux du Qu bec sont pris en compte Ces r sultats constituent donc un l ment cl pour bien cerner les b n fices potentiels comparativement la production centralis e R f rences Ardente F M Beccali et al 2008 Energy performances and life cycle assessment of an Italian wind farm Renewable and Sustainable Energy Reviews 12 1 200 217 Bahaj A S L Myers et al 2007 Urban energy generation Influence of micro wind turbine output on electricity consumption in buildings Energy and Buildings 39 2 154 165 Bergey Windpower Co Small wind trubines for homes businesses and off grid Bergey Windpower Co Retrieved January 2009 from http www bergey com Bernal Agustin J L and R Dufo Lopez 2006 Economical and environmental analysis of grid connected photovoltaic systems in Spain Renewable Energy 31 8
98. r duction des impacts environnementaux Le cout d acquisition lev est le principal point chaud de ce syst me de production lectrique emp chant la r duction des couts en cons quence de son int gration au r seau lectrique Dans la perspective long terme o les centrales thermiques au charbon ont t identifi es comme technologie marginale l olienne de petite puissance de 30 kW vient substituer la mise en place de centrale au charbon Dans ce cas une r duction des impacts environnementaux et conomiques est galement observ e Conclusion La production distribu e d lectricit peut jouer un r le cl dans l atteinte des objectifs de programmes nerg tiques tels que la r duction des missions de gaz effet de serre la satisfaction d une consommation croissante en nergie etc Ce travail de recherche a pour objectif d valuer les impacts technico conomiques et environnementaux du cycle de vie des syst mes de production d nergie lectrique de petite puissance et de les comparer diff rents sc narios de production centralis e Une des principales applications des r sultats obtenus consiste informer des avantages et des limites de l instauration de la production distribu e comme programme nerg tique dans un contexte nord est am ricain Deux fili res ont t valu es panneaux solaires photovolta ques 3kWp monocristallin et polycristallin et oliennes de petites
99. r gion arctique de nombreuses diff rences s observent au niveau du mode op ratoire des croisi res En effet dans l Arctique canadien le mode op ratoire tr s diff rent de ce que l on peut retrouver d une part au Groenland en Alaska et en Norv ge et d autre part au Svalbard et en Islande Pour l ensemble de ces 98 destinations la pr sence d infrastructures maritimes permet notamment des navires de grande capacit entre 1 000 et 3 000 passagers d accoster et d effectuer des d barquements rapides De ce point de vue le Svalbard l Alaska et la Norv ge ressemblent davantage du tourisme de masse que du tourisme d aventure ou d exp dition Viken 2006 76 Au Svalbard les croisi res sont ax es principalement sur la faune et la flore tant donn l absence de populations indig nes au m me titre qu en Islande Au Groenland en Alaska et en Norv ge le mode op ratoire des croisi res s effectue travers la promotion d environnements naturels mais aussi des populations indig nes dont l offre touristique et de service ainsi que les infrastructures maritimes favorisent les retomb es conomiques Kaae et Rabede 2011 cet effet la pr sence de nombreux villages d tapes en Islande et au Groenland rend possible des profits conomiques sup rieurs tant donn la pr sence de ports de d parts et d arriv s ce qui permet aux touristes de visiter et de d penser
100. rapport l tat naturel Booth et Jackson 1997 Marsalek 2005 Wenger et al 2009 ce qui conduit une augmentation des crues et de l rosion dans les cours d eau r cepteurs Walsh 2000 En ruisselant en milieu urbain l eau se charge de plus en Mati res en suspension MES sur lesquelles sont adsorb s de nombreux polluants Ellis et Marsalek 1996 Dans les quartiers urbains r cents o des r seaux d gouts s paratifs sont pr sents des bassins de r tention secs Stanley 1996 Papa et al 1999 sont parfois install s pour att nuer ces probl mes Ces bassins de r tention permettent de limiter les chocs hydrauliques impos s par l urbanisation sur le cours d eau accueillant son ruissellement en contr lant la mani re dont ce ruissellement est retourn au milieu r cepteur Leur gestion repose actuellement sur une limitation fixe de leur d bit de sortie maximal contr le statique voir Middleton et Barrett 2008 Ainsi lorsqu un v nement pluvieux engendre un d bit d entr e au bassin sup rieur cette limitation le ruissellement est temporairement stock dans la structure de r tention ce qui permet de surcro t une r duction du volume de l eau de ruissellement gr ce l infiltration dans le bassin ainsi qu une am lioration de la qualit de l eau due la d cantation ayant lieu dans le bassin pendant le stockage de l eau ce qui permet une diminution de la charge en MES et donc de polluants
101. rer les ressources humaines versant potrait 7 r alisation des financi res et mat rielles lere consultation diagnostique des enjeux x 2 I plans quinquennal Informer sensibiliser et duquer les acteurs publique Soa 5 e et de gestion de l eau D termination des I int gr e de zone Planifier et faire le suivi des activit s Hanification objectifs et choix i du projet des indicateurs i Extrants des activit s de support Assembl es et lections 7 Activit s de 2e consultation I R glements modifi s Suivi et valuation concertation publique Ressources humaines financi res et du phn d action bassin versant D l mat rielles Z laboration du Outils de sensibilisation d ducation et d information continue m moires etc Plans d action budgets et rapports annuels R ponse MDDEP FS conformit PDE 3e consultation Ajustement et publique d p tdu PDE duPoe 87 8 colloque tudiant de l Institut EDS Figure 3 Mod le logique de l chelle nationale de la GIEBV qu b coise Les fl ches plus larges de couleur jaune orang e Gouvemement du Qu bec Pouvoir ex cutif Minist re du Conseil ex cutif MCE Coordination minist rielle et d cisions Soutien financier et administatif Parlement Pouvoir l gislatif Lois adapt es la GIEBV Travaux du V nficateur g n ral el des MODEP Repr sen
102. sensibilis s la n cessit de perturber le moins possible les sols d assurer un drainage convenable et de r duire au minimum les franchissements de cours d eau Dykstra 1996 De plus une supervision par un ing nieur d une quipe sp cialement form e cet gard est fortement recommand e Dykstra 1996 ing nieurs Bien que ce ne soit pas express ment cit dans la Loi sur les ing nieurs forestiers l Ordre des Ing nieurs forestiers du Qu bec OIFQ estime que l ing nieur forestier partage un champ d exercice exclusif avec les Voir l exemple am ricain Special Areas Roadless Area Conservation 36 C F R 294 2001 R GLEMENT Le terme exclusif est utilis au sens du Code des professions L R Q C 26 art 32 Les ing nieurs et les ing nieurs forestiers constituent des professions d exercice exclusif diff rencier des professions titre r serv Voir Jean Guy Villeneuve L exercice ill gal tenants aboutissants et troubles de voisinage professionnel dans Service de la formation continue du Barreau du Qu bec D veloppements r cents en d ontologie droit professionnel et disciplinaire 2009 Cowansville Yvon Blais 2009 EYB2009DEV1568 REJB 164 membres de l Ordre des ing nieurs du Qu bec OIQ pour ce qui est des travaux de g nie qui comprennent les plans se rapportant a la voirie et les ponts et ponceaux Loi sur les ing nieurs et Ba
103. t de combiner plusieurs outils du cycle de vie Norris 2001 Norris 2001 Dahlbo Ollikainen et al 2007 Reap Roman et al 2008 Reap Roman et al 2008 En plus de l valuation int gr e des diff rents aspects du cycle de vie il est galement important d valuer les 152 impacts reli s aux cons quences de l int gration des syst mes de production distribu e d nergies renouvelables dans le r seau lectrique Ce travail de recherche a pour objectif d valuer les impacts technico conomiques et environnementaux du cycle de vie des syst mes de production d nergie lectrique de petite puissance et de les comparer diff rents sc narios de production centralis e M thodologie 21 Pr sentation des syst mes s lectionn s de production distribu e d nergies renouvelables et du contexte d application Plusieurs configurations sont possibles pour la production distribu e d nergies renouvelables Ces configurations varient selon la puissance et le type d installation du panneau solaire photovolta que et de l olienne de petite puissance selon la puissance du convertisseur et selon le raccordement entre les diff rentes composantes Le but du projet de recherche n tant pas d valuer toutes les configurations possibles les configurations les plus fr quemment appliqu es ont t s lectionn es eFormative Options LLC and Entegrity Wind Systems Inc 2006 Jungbluth and Tuchschmid
104. tariat est co localis Gen ve et Rome dans les bureaux du PNUE et de la FAO Pour r duire cette fragmentation quelques initiatives ont t lanc es en vue de constituer des grappes d accords cluster qui pourraient coordonner leur r union et partager certains services L exemple le plus achev est le regroupement des AME sur les produits chimiques et dangereux En 2010 les conventions de B le Rotterdam et Stockholm ont tenu une premi re Conf rence des Parties simultan e o elles ont convenu de partager certains services financiers administratifs juridiques etc de synchroniser leurs cycles budg taires et de nommer un secr taire ex cutif conjoint Un autre processus est en cours pour les conventions relatives la biodiversit mais les obstacles leur regroupement sont beaucoup plus importants notamment en raison de la diversit de leur structure organisationnelle Alors que la plupart sont dot s d un secr tariat de taille modeste administr par le PNUE ou par l UICN et d une Conf rence des Parties qui en constitue l organe supr me d autres rel vent d agence sp cialis e dont ils ont pous les modes de fonctionnement Par cons quent il n est serait pas possible d organiser une CP simultan e des conventions relatives la biodiversit comme ce fut le cas pour les conventions sur les produits chimiques et dangereux Les interfaces science politique n c
105. une succession v g tale vers un stade arbor Festuca rubra justifier leur protection et d encourager la gestion durable lt a Viccia cracca Impatiens capensis des pratiques agricoles SS Taraxacum officinale Thalictrum pubescens Cirsium arvense Conditions de Outils pour les Meilleure gestion Sot bh ay nues succ s de mm Organismesde gt des milieux Rivi re Niagarette Solidago canadensis __recolonisation bassins versants riverains Rivi re Blanche Eutrochium maculatum Rivi re La Chevroti re Alnus ote Ruisseaux Cossette et Arbustes a Gendron Rubus ideaus Figures en t te http www planstlaurent qc ca archives articles 2008 Prunus virgiiona 20080326_agrifaune_f html Arbres hm M Naiman R J H Decamps et M Pollock 1993 The Role of Riparian Corridors in Maintaining Regional Biodiversity Ecological Applications 3 209 212 198 6 colloque tudiant de l Institut EDS Tourisme de croisi re dans l Arctique canadien quelle durabilit PIERRE LOUIS TETU Etudiant a la maitrise en sciences g ographiques Universit Laval Directeur Fr d ric Lasserre Professeur D partement de g ographie Universit Laval Co auteur Fr d ric Lasserre D partement de g ographie Universit Laval 199 6 colloque tudiant de l Institut EDS ae A OES j z DE DEVELOPPEMENT A EXPLOITER o _ INTRODUCTION 2 OBJECTIFS DE RECHERCHE Depuis 1995 les changements climatiques acc
106. unions qui ont conduit 112 l adoption de plus de 5000 d cisions ce qui conduit certains observateurs conclure qu au sein du syst me onusien les co diplomates sont ceux qui ont l empreinte carbone la plus lev e Cependant l empreinte de leurs d l gu s n est toutefois pas la principale raison qui incite certains tats vouloir rationaliser l architecture de la gouvernance internationale de l environnement Au del de la participation aux rencontres internationales cette panoplie d organisations et d accords multilat raux impose d importantes responsabilit s aux tats qui doivent laborer et mettre en uvre des strat gies et des plans d action mettre en place des cadres l gislatifs et r glementaires cons quents produire des rapports sur l avancement de leur mise en uvre contribuer au budget de base et aux fonds d affectation volontaires et dans les cas des pays industrialis s honorer leurs engagements en mati re de financement de renforcement des capacit s et de transfert technologiques Dans un contexte de ressources financi re et humaine limit es la production de rapport l laboration de strat gies et la n gociation de nouveaux trait s affectent la capacit des tats respecter leurs engagements M me s ils entrent dans la cat gorie des accords multilat raux en environnement ces trait s ne forment pas un ensemble homog ne En l a
107. velopp de nouvelles strat gies de synth se qui ont t appliqu es a diff rentes r actions classiques telles que la r action de Mukaiyama aldol la r action de Sakurai et la r action d ouverture des poxydes D excellents r sultats en termes de s lectivit et de rendement ont t obtenus Catalyse asym trique avec des sels de fer R action de Mukaiyama aldol en conditions aqueuses EE P EN N R sme J R OSiMey o be ksi oH A J Fax 5 mors n gun 2 toant organique 0 C O O ij anti jusqu 973 Fonte nwt OR Zines ears 902 i Ollevier T Ptancg B Chem Commun 2012 48 2289 R action d ouverture d poxydes avec des anilines as N N R R Wa ama eo FACIO thO 5 mot pr ur CHiCts 22 C 16 720 pej amp Rondemant jusqu 95 oo jusqu 96 Ollevier T Planca B Chem Commun 2012 DOI 10 1039 C2CC 180320 R action d ouverture d poxydes avec des indoles R 12m PR on OH nd Ph en A OO FelciOu r 0 19 mor Ry ph N ChCh MS 4A 25 C R Lu N H Rardement jusqu 99 Plancg B Lafantaisie M Companys S Maroun C Ollevier T 2012 en pr paration crsng lili t x Oaz i EA OEA gt Organismes subventionnaires Fonds de recherche sur la nature et les technologies Qu bec mex IN 6 colloque tudiant de l Institut EDS Analyse sociopolitique d une politique de d veloppement durable municipale MARIANNICK MERCURE
108. vers le bassin de r tention avant son retour la rivi re Saint Charles Le bassin de r tention a un volume de 4000 m et un d bit de sortie maximal de 0 35 m s ce qui lui permettrait d accueillir un v nement pluvieux d une dur e de 1 h et de p riode de retour 100 ans La hauteur maximale de l eau dans le bassin avant son d bordement est de 1 65m b Donn es disponibles Afin de tester les r gles de gestion en temps r el d velopp es ici une mod lisation quantitative et qualitative du ruissellement qui alimente ce bassin de r tention ainsi qu une mod lisation du bassin de r tention lui m me ont t effectu es l aide du logiciel SWMMS5 EPA 2008 Les donn es n cessaires la calibration et validation du mod le SWMMS5 ont t r colt es au cours de 15 campagnes de mesures chacune d une dur e de plusieurs heures effectu es pendant les t s 2008 2010 par Vallet 2011 et Carpenter et al Soumis Sur ces 15 campagnes 10 ont t men es avec la vanne de sortie du bassin compl tement ouverte comportement statique actuel et 5 avec la vanne compl tement ferm e Les donn es r colt es consistent essentiellement en des donn es de d bit et de concentration en MES l entr e et la sortie du bassin de r tention ainsi qu en des mesures de hauteur d eau et de concentration en MES 124 dans le bassin avec un pas de temps pour ces donn es de 1 min pour les d bits et entre 2 et
109. y en consid rant toutes les caract ristiques qui les d finissent alors x devrait tre class au moins dans la m me classe que y Greco et al 1999 Par exemple les classes de nuisance utilis es dans ce projet pr sentent une relation de dominance entre elles la classe A tant la classe nuisible elle est consid r e comme dominante par rapport aux classes B potentiellement nuisible et C non nuisible Le principe de dominance exige qu une plante x qui domine une plante y sur les caract ristiques consid r es devrait aussi dominer cette plante y dans la d cision la classe Sachant qu une plante x ne peut appartenir qu une seule classe on dit alors que la plante x se classe dans la classe au moins aussi bonne que la plante y Greco et al 1999 En r sum l approche EAD fonctionne de la mani re suivante On demande un groupe de d cideurs de se prononcer classer des objets sur la base d un certain nombre de caract ristiques propres chaque objet Cette classification se fait de mani re raisonn e les d cideurs font des choix qui se basent sur les caract ristiques qui sont fournies mais aussi sur leur propre exp rience ou connaissance Le classement r sulte donc d un amalgame de d cisions que les d cideurs seuls auront de la difficult structurer C est ici que l approche EAD joue son r le Un outil EAD structurera les choix qui seront faits Il rationalisera le clas
110. zone naturelle d int r t cologique faunistique et floristique ZNIEFF ou zone humide Il faut noter que la Corse compte 1000km de c te et que le conservatoire du littoral poss de 12 sites en Corse nous n avons pas obtenu de donn es chiffr es quant la surface g r e par le CL mais selon les chiffres du Conseil G n ral de Haute Corse ces propri t s seraient de l ordre de 20 du lin aire c tier ce qui repr sente une grande partie du littoral ainsi g r e par un organisme public et donc prot g e de toute exploitation ou sp culation Le reste des terres appartient soit aux mairies soit des particuliers parfois de grands groupes financiers cf entretiens Ajaccio et Bonifacio Mais il est important de rappeler que le domaine public maritime DPM qui d pend du code g n ral de la propri t des personnes publiques est par d finition public c est donc un patrimoine collectif ce qui est une notion particuli rement ch re aux associations 10 Il est int ressant de relever qu en 2009 lors du Grenelle de la mer r union publique de r flexion et de n gociations sur tout ce qui a trait aux enjeux maritimes organis par l tat un des enjeux identifi s a t de faire face la tentation croissante de privatisation du domaine public maritime Outre la l gislation fran aise avec la loi littorale qui date de 1986 il est important de contextualiser ces probl mes envir
111. 07 Q gt 0 15m s h 66 18 16 6 9 23 D bordements h 0 0 0 0 0 0 Nombre d op rations 0 16197 6407 1368 1451 3111 128 observ simul P DATE 2009 Figure 1 D bits de sortie observ s et simul s du bassin de r tention pendant des campagnes de mesure r alis es avec la vanne de sortie compl tement ouverte p riode de validation du mod le hydrologique Oo N Oo D simul e Oo Oo D LT a Observ e Oo wo Hauteur d eau m oO N e mees 0 D oO oo Oo 25 Ao t 01 Sept 08 Sept 15 Sept 22 Sept DATE 2009 Figure 2 Hauteurs d eau simul es et observ es dans le bassin de r tention pendant 2 campagnes de mesure avec la vanne de sortie ferm e p riode de validation de la fonction d infiltration calibr e 129 8 colloque tudiant de l Institut EDS d bit simul O MES observ es MES simul es a D E 250 W S 16 00 17 00 18 00 19 00 20 00 21 00 Heure 11 Juillet 2009 Figure 3 MES observ es et simul es l entr e du bassin de r tention pour l une des p riodes de calibration de l ann e 2009 Basique SI Hauteur d eau gt 1 4 m Alors ouv vanne 100 Si Pluie gt 0 mm et 1 2 lt hauteur d eau lt 1 4 m Alors ouv vanne 20 Si Pluie gt 0 mm Alors ouv vanne 0 Evolu B Evolu A R7 Si 30 min lt TPS DET lt 30h et Hauteur d eau lt 1 35 m Alors ouv van
112. 131 ext 2598 Local 3865 Courriel marie helene berard ihqeds ulaval ca Marie Claude Ouellet Adjointe administrative T l phone 418 656 2723 Local 3861 Courriel marie claude ouellet ihqeds ulaval ca Thierry Lef vre Edimestre professionnel de recherche T l phone 418 656 2131 ext 5379 Local 3831 Courriel thierry lefevre ihqeds ulaval ca Liliana Diaz Adjointe a la formation T l phone 418 656 2131 ext 8814 Local 3827 Courriel liliana diaz ihqeds ulaval ca Lynda Hubert Ta Point focal membres tudiants T l phone 418 656 2131 ext 4654 Local 3835 Courriel lynda hubert ta ihqeds ulaval ca Yan Turgeon Conseiller en communication et R dacteur en chef de Objectif Terre T l phone 418 656 2131 ext 5379 Local 3831 Courriel yan turgeon ihqeds ulaval ca Merci a nos partenaires et commanditaires He UNIVERSIT Vice rectorat a la recherche et a la cr ation Facult de foresterie g ographie et g omatique Facult de sciences sociales Facult de m decine Facult de droit Fondation de l Universit Laval Direction des services aux tudiants Association des tudiantes et des tudiants de Laval inscrits aux tudes sup rieures inc Partenariat jeunesse Pour le d veloppement durable D veloppement durable Environnement et Parcs Qu bec tes SA coop Zone
113. 1881 Catalogue illustr et descriptif des vignes menus fruits fleurs choisies et arbrisseaux d ornement Cultiv s et en vente aux Vignobles Beaconsfield Gallagher et Gauthier Beaconsfield Guilbault S 1832 Catalogue of fruit and ornamental trees flowering shrubs and plants green house shrubs and plants bulbous flower roots American and indigenous trees and plants flower seeds cultivated and for sale at the Montreal Botanic Garden of S Guilbault amp Co Coteau Baron St Lawrence Street Montreal Ludger Duvernay Montr al Guilbault S 1834 Catalogue of fruit and ornamental trees flowering shrubs and plants green house shrubs and plants bulbous flower roots American and indigenous trees and plants flower seeds cultivated and for sale at the Montreal Botanic Garden of S Guilbault amp Co Coteau Baron St Lawrence Street Montreal Ludger Duvernay Montr al Morisset L 1864 Catalogue descriptif des arbres fruitiers plantes d ornement amp C cultiv s et vendre par Ls Morisset sa p pini re Portneuf Pour 1864 L Morisset Portneuf Neilson J 1817 Catalogue of seeds for sale at the Printing Office 3 Mountain Street Quebec J Nielson Qu bec Annexe 2 Liste des 73 tudes scientifiques consult es qui traitent des caract ristiques favorisant de mani re significative la propagation des plantes envahissantes Alpert P E Bone amp C Holzapfel 2000 Invasiveness invasibili
114. 2 Hans Jonas affirmera dans une perspective quasi similaire un h ritage d grad d gradera en m me temps ses h ritiers 1995 424 En somme l argument de la transitivit permet de recourir aux droits de la g n ration qui nous suit directement pour justifier nos obligations non pas envers les g n rations plus loign es mais envers la g n ration qui nous suit propos de g n rations loign es Gosseries A 2004 98 99 L argument des besoins On peut galement d fendre les droits des g n rations futures partir de l argument des besoins En effet les tres vivants qui peuvent avoir des droits sont pr cis ment ceux qui peuvent avoir des besoins L identit des g n rations futures est actuellement parfaitement inconnue mais le fait qu ils soient porteurs de besoins est un fait aussi clair et distinct qu une toile brillante dans un ciel totalement obscur Les g n rations futures auront sans doute besoin d un capital de vie et d utilit s minimalement acceptable pour assumer leur propre existence eau potable biodiversit temp rature viable air respirable etc Ce besoin inconditionnel est en m me temps une pr rogative un droit Ce qui implique donc pour les g n rations actuelles l obligation de garantir de la meilleure des fa ons possibles l int grit de ce capital Il y a un lien de d pendance entre une g n ration avec ses droits ou besoins
115. 3 http office microsoft com fr fr excel help alea entre bornes HP005209230 aspx NOEL Andr et DE PIERREBOURG Fabrice 2011 Le cri du coeur des Innus in La Presse 22 novembre 2011 A2 RICHER Jocelyne 2009 Entrevue avec Jean Charest Le salut par le nord in L Actualit Vol 34 No 10 24 RIST Gilbert 1996 Le d veloppement Histoire d une croyance occidentale Paris Sciences Po ROBILLARD Alexandre 2012 Charest veut redoubler d efforts pour rallier les Qu b cois au Plan Nord in Le Devoir 9 janvier 2012 A2 63 8 colloque tudiant de l Institut EDS 64 Regard sur la gestion int gr e de l eau au Qu bec Ou situer le Sommet de Rio BRUNO ROBERT Etudiant au doctorat en sociologie Universit Laval Directeur Gilles Gagn Professeur D partement de sociologie Universit Laval R sum La Conf rence des Nations Unies sur l environnement et le d veloppement de Rio de Janeiro au Br sil en 1992 invitait les Etats 4 concr tiser le d veloppement durable par la r alisation de mesures visant entre autres la protection des ressources en eau douce Le Qu bec comme plusieurs autres Etats a accept de participer a cet effort international notamment en lancant une Politique nationale de l eau PNE en 2002 et en adoptant en 2009 une loi visant le renforcement de la protection des ressources en eau Loi sur l eau Cet article pose un regard sur l voluti
116. 30 min pour les autres Un pluviom tre de la Ville de Qu bec situ moins de 1 km du bassin pr sente les mesures de pluie au pas de temps de 5 min pendant les p riodes estivales depuis 1999 La courbe d crivant le volume d eau du bassin en fonction de la hauteur d eau dans ce dernier est pr cis ment connue ainsi que les propri t s g om triques des rues et du syst me d gouts pluvial de cette zone urbaine c Simulation quantitative du ruissellement Les param tres hydrologiques du mod le SWMMS mis en place ont t calibr s avec des donn es de d bit mesur la sortie du bassin de r tention pendant les campagnes de mesure avec la vanne de sortie compl tement ouverte La calibration a t effectu e automatiquement l aide du logiciel BlueM opt Muschalla et al 2009 en utilisant l algorithme d optimisation de Hooke et Jeeves 1961 et le crit re de Nash Sutcliffe Nash et Sutcliffe 1970 comme fonction objectif Les valeurs du nombre de Nash sont respectivement de 0 98 et 0 91 pour les p riodes de calibration 15 au 19 juillet 2010 et validation 29 septembre au 1 octobre 2009 voir figure 1 L vaporation ayant lieu dans le bassin de r tention a t fix e 2 mm jour et les param tres de la fonction de Green Ampt utilis e pour repr senter l infiltration dans le bassin de r tention ont t ajust s l aide des hauteurs d eau mesur es dans le bassin lorsque sa sortie tait
117. 8 colloque tudiant de l Institut EDS Institut Institut Hydro Qu bec en environnement D d veloppement et soci t de l Universit Laval 8 colloque tudiant de l Institut EDS Actes du colloque 20 ans apr s Rio Regards crois s sur les enjeux du d veloppement durable 19 et 20 mars 2012 Universit Laval Qu bec welche UNIVERSIT 8 colloque tudiant de l Institut EDS Institut Institut Hydro Qu bec en environnement d veloppement et soci t de l Universit Laval Coordonn es de l Institut EDS Institut Hydro Qu bec en environnement d veloppement et soci t Pavillon des Services 2440 Boul Hochelaga local 3800 Universit Laval Qu bec G1V 0A6 T l phone 418 656 2723 T l copieur 418 656 7330 Courriel ingeds ihgeds ulaval ca L Institut Hydro Qu bec en environnement d veloppement et soci t Institut EDS est un regroupement de membres de la communaut universitaire provenant aussi bien de sciences sociales que de sciences dures ou appliqu es qui partagent un int r t commun pour la recherche et la formation en environnement d veloppement et soci t Le mandat de l Institut est de soutenir la recherche pluridisciplinaire les synergies entre sp cialistes et de promouvoir une vision d ensemble sur les questions d environnement dans la soci t L Institut r alise ou facilite des activit s visant l approfondissement et la di
118. 80 Bibliographie Andr P Delisle C et Rev ret J P 2010 L valuation des impacts sur l environnement Processus acteurs et pratique pour un d veloppement durable 3 me dition Presses internationales Polytechnique p 130 151 Agence Internationale de l nergie 2010 Key World Energy Statistics 82 p Bail C 1996 Environmental Governance Reducing risks in democratic societies Introduction paper EEC Future Studies Unit Bailly A S Raffestin C Reymond H 1980 Les concepts du paysage repr sentations Espace g ographique vol 9 no 4 p 277 286 probl matique et Boholm A L fstedt R 2004 Facility siting risk power and identity in land use planning Earthscan p 56 72 Bourdieu P 1980 Le sens pratique Paris ditions de Minuit p 88 89 Caron Malenfant J Conraud 2009 Guide pratique de l acceptabilit sociale DPRM Editions p 14 21 Callon M Barthe Y et Lascoumes P 2001 Agir dans un monde incertain Essai sur la d mocratie technique Seuil p 309 358 Crozier M Friedberg E 1977 L acteur et le syst me Seuil p 380 386 Daettra L 2003 Le d calage entre attitudes et comportements en mati re de protection de l environnement In Gendron C Vaillancourt J G D veloppement durable et participation publique De la contestation cologiste aux d fis de la gouvernance Presses de l universit de
119. 9 18novembre_09 html gt Consult le 3 juin 2011 Desjardins R et R Monderie 1999 L Erreur bor ale FILM ACPAV Inc Dykstra D P et R Heinrich 1996 Code mod le FAO des pratiques d exploitation foresti re Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Rome en ligne www fao org lt http www fao org docrep v6530f v6530f00 htm Contents gt consult le 17 janvier 2011 170 L outil Floraide Un outil d aide a la d cision sur les plantes nuisibles GENEVIEVE GUAY tudiante au doctorat l cole sup rieure d am nagement et de d veloppement Universit Laval Directeur Claude Lavoie Professeur Ecole sup rieure d am nagement et de d veloppement Universit Laval Co auteurs Claude Lavoie et Florent Joerin cole sup rieure d am nagement et de d veloppement Universit Laval Introduction Ce projet de recherche porte sur les plantes nuisibles et plus particuli rement sur le d veloppement de nouveaux outils d aide la d cision en la mati re Les principaux objectifs de ce projet sont 1 de d velopper un outil qui permettra de classer les plantes selon leur potentiel de nuisance afin d identifier les plantes probl matiques et d viter qu elles ne soient introduites et 2 de d terminer par le biais d une approche historique et statistique quelles sont les caract ristiques propres aux esp ces de plantes ornementales qui ne s
120. Autrement dit aussi loin que s tendent nos pouvoirs aussi loin s tendent nos capacit s de nuisances et aussi loin notre responsabilit des dommages 1994 44 Au demeurant la reconfiguration paradigmatique de la responsabilit ouvre la voie une myriade de possibilit s en mati re de justice interg n rationnelle Elle permet non seulement de reconsid rer l tendue de la responsabilit mais bien plus elle rend admissible hypoth se des droits des g n rations futures Les droits des g n rations futures Quatre arguments non exhaustifs seront voqu s pour asseoir cette th se les droits conditionnels la transitivit rattrapage l analogie des besoins et la fonction du droit L argument des droits conditionnels Pour expliciter davantage cet argument repr sentons nous l image d un fabricant de produits alimentaires qui veille la qualit de ses produits Ce dernier y voit une obligation tant juridique que morale pour le sort de ses clients Parmi les clients il y a plusieurs dont il connait l identit mais aussi un nombre important donc l existence et l identit lui seront jamais inconnues On remarquera que le fait qu au moment du conditionnement de son produit ces personnes soient totalement inconnues ou pas encore n es ne d douane pas le producteur de ses obligations Autrement dit le fait que ces personnes ne soient que virtuellement porteuses de droits ne modif
121. Banque mondiale paru en 1993 Ce choix s explique par la raret de documents de r f rences internationaux sur la GIRE entre le Sommet de Rio et le d but de la r flexion devant conduire a la mise en place de la GIRE au Qu bec c est dire 1997 Sites Internet du Global Water Partnership du PNUE et de l UNESCO consult s le 14 mai 2012 Pour caract riser la GIRE mise en uvre au Qu bec un type id al est utilis Anderson et Robert 2009 lequel fut construit partir des documents fondamentaux de la Politique nationale de l eau plus pr cis ment de deux documents de la Politique nationale de l eau minist re de l Environnement 2002a 2002b et du Cadre de r f rence pour les organismes de bassin versant prioritaires Auger et Beaudrant 2004 Ce type id al est en fait un mod le logique de la GIEBV gestion int gr e de l eau par bassin versant un quivalent de la GIRE obtenu par l approche d analyse du cadre logique dont la description d passe le cadre de la pr sente tude Ce mod le logique est une repr sentation graphique de la GIEBV exprim e en trois figures La premi re figure Figure 1 montre les l ments structurants de la GIEBV c est dire sa raison d tre ses objectifs et la mission des principaux responsables La seconde figure Figure 2 illustre le processus de mise en uvre de la 78 GIEBV l chelle locale et r gionale Ce processus est centr sur les a
122. ERSIT No mie D Amour Monique Poulin 2 3 Anne Vanasse et Roxane Andersen Ee LAVAL 1 D partement de phytologie Universit Laval Qu bec QC Canaca 2 Centre des Sciences de la Biodiversit du Qu bec Universit McGill Montr al QC Canada 3 Institut EDS Universit Laval Qu bec QC Canada 4 Environmental Research Institute North Highland College University of the Highlands amp Islands Thurso Scotland Introduction Les bandes riveraines naturelles constituent un des habitats les plus Donn es r coltees par Transect diversifi s de la plan te mais galement un des plus perturb s Cote d rosion Largeur du replat et du talus notamment par l intensification de l agriculture Naiman 1993 Au z z 2 Topographie Largeur du cours d eau Qu bec la r glementation impose la protection d une bande riveraine Transects Culture du champ Orientation de 3m La succession v g tale et les facteurs influencant la Ann e de protection Inclinaison du replat et talus recolonisation spontan e restent peu tudi s et mal compris pour ces Historique de cultures milieux en restructuration Ant c dents de fertilisation et Recouvrement de chacune des o ditik travail du sol esp ces v g tales FES Points GPS i s Objectifs valuer les processus de recolonisation spontan e et tudier i chantillon de sol A gt de i z Structure de la v g tation les successi
123. Le seul inconv nient de ce logiciel est qu il peut g n rer un grand nombre de r gles de d cision chacune traitant un cas sp cifique Cet inconv nient peut tre 178 contourn en optant pour des r gles certaines applicables un plus grand nombre de cas En somme il s agit d un logiciel performant et mature qui sera pleinement utilis et compris dans toutes ses subtilit s et options suite un s jour que je ferai en Pologne en avril 2012 au sein de l quipe de recherche qui l a d velopp Une fois les r gles connues labor es partir des d cisions prises sur les 120 plantes tests on pourra extrapoler les r sultats l ensemble des 900 plantes naturalis es puis pr senter les r sultats aux d cideurs juin 2012 qui en valueront les m rites Le logiciel jJMAF aidera les d cideurs dans cette valuation en ce sens qu il fera ressortir les inconsistances qui existent dans les d cisions prises par les d cideurs et qui refl tent souvent des h sitations de la part des d cideurs ceux ci pourront revoir leurs d cisions et opter pour les propositions de correction sugg r es par le logiciel Ils pourront aussi maintenir leur jugement s ils estiment que leurs d cisions sont le reflet de la r alit mais la performance globale du mod le risque d en tre affect e On comprendra que cet exercice avec les plantes naturalis es du Qu bec a pour principal objectif la construction m
124. Montr al p 79 89 De Larochelambert T 2011 La politique nerg tique du Danemark Vers un sc nario 100 renouvelable en 2050 Institut FEMTO ST p 1 4 Devine Wright P 2007 Reconsidering public attitudes and public acceptance of renewable energy technologies a critical review School of Environment and Development of the University of Manchester Fortin M J Devanne A S et Le Floch S 2009 L acceptabilit sociale de l olien au Qu bec apprendre dans la turbulence Liaison nergie francophonie n 83 p 90 96 Institut National de Sant Publique du Qu bec 2010 Etat des connaissance sur la relation entre les activit li es au gaz de schiste et la sant publique Qu bec Direction de la sant environnementale et de la toxicologie p 55 Kahn J 2001 Siting conflicts in renewable energy projects in Sweden experiences from the siting of a Biogas plant Presented at New Perspectives on Siting Controversy Conference Glumslov Sweden Kasperson R E Golding D and Truler S 1992 Siting hazardous waste facilities and communicating risks Journal of Social Issues 48 4 p161 172 24 Miramon J M 2002 Promouvoir le changement Les Cahiers de I Actif n 314 317 Jacobsson S Lauber V 2004 The politics and policy of energy system transformation explaining the German diffusion of renewable energy technology Energy Policy 34 2006 256 276 L
125. Tome 1 Qu bec 57 59 Commission scientifique et technique sur la gestion des barrages 1997 Rapport de la Commission scientifique et technique sur la gestion des barrages Minist re du Conseil ex cutif Qu bec Conseil de la conservation et de l environnement 1993 Pour une gestion durable du patrimoine hydrique du Qu bec Minist re de l environnement du Qu bec Qu bec Gaudin J P 2002 Pourquoi la gouvernance Presses de sciences Po La Biblioth que du citoyen Paris Gazette officielle du Qu bec 1996 D cret 338 96 Concernant l adh sion du Qu bec au R seau international des Organismes de bassin en mati re de gestion int gr e de l eau Global Water Partnership Historique Site Internet En ligne http www gwp org en About GWP History Consult le 13 mai 2012 Gouvernement du Qu bec 2009 L R Q chapitre C 6 2 Loi affirmant le caract re collectif des ressources en eau et visant renforcer leur protection En ligne http www2 publicationsduquebec gouv qc ca dynamicSearch telecharge php type 2 amp file C_6 _2 C6 2 htm Gouvernement du Qu bec 2002a L eau La vie L avenir Politique nationale de l eau Minist re de l Environnement du Qu bec Qu bec 83 8 colloque tudiant de l Institut EDS Gouvernement du Qu bec 2002b L eau La vie L avenir Politique nationale de l eau Faits saillants Gouvernement du Qu bec Qu bec 24 pages Klijn E H Snellen
126. Y 1999 Detention time selection for stormwater quality control ponds Canadian Journal of Civil Engineering 26 1 72 82 Doi 10 1139 198 046 Stanley D W 1996 Pollutant removal by a stormwater dry detention pond Water Environment Research 68 6 1076 1083 Vallet B 2011 Mod lisation d un bassin d orage en vue de l am lioration de la qualit des rivi res par la gestion en temps r el Thesis PhD Civil Engineering and Water Engineering Dept Universit Laval Qu bec QC Canada Walsh C J 2000 Urban impacts on the ecology of receiving waters a framework for assessment conservation and restoration Hydrobiologia 431 107 114 Doi 10 1023 A 1004029715627 Wenger S J Roy A H Rhett Jackson C Bernhardt E S Carter T L Filoso S Gibson C A Cully Hession W Kaushal S S Marti E Meyer J L Palmer M A Paul M J Purcell A H Ram rez A Rosemond A D Schofield K A Sudduth E B et Walsh C J 2009 Twenty six key research questions in urban stream ecology an assessment of the state of the science Journal of the North American Benthological Society 28 4 1080 1098 Doi http dx doi org 10 1899 08 186 1 Tableau 1 Performances des diff rents sc narios de CTR tudi s Q d bit de sortie du bassin de r tention Static 1 Basique Evolu A Evolu B Evolu C Futur C Enl vement des MES 46 88 90 93 88 87 Q gt 0 06m s h 251 457 42 31 202 2
127. a affr t par Cruise North Expeditions est en r sidence surveill e au port de St John au Nouveau Brunswick Au niveau des armateurs et affr teurs des autres aires g ographiques d activit s except quelques petits propri taires de Yachts priv s on constate un manque d int r t g n ral pour l Arctique canadien La mise en vidence du discours des armateurs et affr teurs contact s permet de faire ressortir quatre contraintes majeures qui expliquent ce manque d int r t g n ral et ce d veloppement limit Premi rement le manque de navires disponible limite toute expansion Aurora Expeditions Cheesemans Ecology et Travel Dynamics trois compagnies qui offrent des croisi res en Antarctique et dans l Arctique russe et europ en ont laiss entendre qu elles taient int ress es par le Passage du Nord Ouest mais que le manque de navire disponible posait probl me Deuxi mement la Compagnie Cruise North Expedition d j pr sente dans l Arctique canadien et Arctic Odyssey un membre de VIAATO a mis de l avant le co t de l essence et la crise conomique mondiale comme barri res l expansion de leurs activit s Troisi mement le manque d infrastructures maritimes au niveau de l Arctique canadien appara t comme la principale contrainte L importance d investir dans de telles infrastructures rappelons le a t soulign e tant en 2006 lors de la Coastal Zone Canada Conf
128. a GIEBV qu b coise et de la Loi sur l eau LSE Section concern e du mod le logique ou de la Loi sur l eau LES La gestion du d veloppement La dimension de la gouvernance Banque mondiale 1991 que les utilisateurs et les payeurs des services r sultant de Implication des gouvernements du Qu bec Intrants mod le local et l aide internationale soient impliqu s dans la conception MRC municipalit s communaut autochtones r gional de la GIEBV et la r alisation des projets population autres acteurs de l eau Art 14 de la LSE Imputabilit plus grande des acteurs de l eau Objectif de la GIEBV que les gestionnaires soient responsables et redevables Avoir la volont de se responsabiliser Intrants du mod le local devant la population Action en r paration des dommages caus s et r gional de la GIEBV l eau Art 8 et 9 de la LSE que l encadrement l gal rende pr visible le d veloppement Existence de la LES et d autres lois et r glements concernant la protection de l environnement et le d veloppement durable Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national LES et autres que l information circule librement qu elle soit fiable et ad quate Fournir les informations sur les responsabilit s les activit s et les projets Bureau des connaissances sur l eau Intrants mod le local et r gional de la GIEBV Art 15 e
129. a d claration En octobre 2002 alors que le f d ral vient d annoncer son intention de ratifier le Protocole et qu il s appr te publier sa nouvelle strat gie le minist re de l Environnement r ussit r unir plusieurs partenaires pour signer la D claration du Qu bec propos de la mise en uvre du protocole de Kyoto au Canada La signature de cette deuxi me d claration rel ve de l exploit lorsqu on regarde la liste de signataires provenant de diff rents milieux industriel environnemental municipal syndical et citoyen Cette liste rallie un plus grand nombre de signataires que la premi re d claration Les deux d clarations arrivent des moments cl s dans la mise en uvre canadienne du Protocole de Kyoto Cette strat gie participative du Qu bec ralliant les acteurs de la province et orchestrant une mise en uvre l chelon infra tatique avait pour but de placer le f d ral devant le fait accompli 2 2 Consensus au sein de la classe politique Afin d augmenter son rapport de force devant le f d ral en plus des partenariats avec Liste des signataires Association qu b coise de lutte contre la pollution atmosph rique l Association qu b coise pour la promotion de l ducation relative l environnement la Conf d ration des syndicats nationaux le Conseil r gional de l environnement de Montr al Equiterre la F d ration tudiante coll giale du Qu bec la F d r
130. a priori virtuel Partant de cette pr misse nous envisagerons dans une troisi me partie les avenues plausibles en mati re de justiciabilit des droits des g n rations futures L clatement temporel du concept de responsabilit La quasi totalit des dictionnaires de langue fran aise d finit la responsabilit comme le fait de r pondre de des actes que j ai pos s librement et volontairement ou des actes pos s par une tierce personne plac e sous mon autorit Les articles 1383 et 1384 du Code civil fran ais stipulent respectivement que Chacun est responsable du dommage qu il a caus non seulement par son fait mais encore par sa n gligence ou par son imprudence On est responsable non seulement du dommage que l on cause par son propre fait mais encore de celui qui est caus par le fait des personnes dont on doit r pondre ou des choses qu on a sous sa garde L article 28 des Statuts de la Cour P nale Internationale parle en termes de responsabilit hi rarchique Cette conception classique de la responsabilit a pour concept ressort l imputation En effet le champ s mantique originaire de la responsabilit est rechercher non pas du c t du verbe r pondre mais du c t du verbe imputer Imputer nous dit Paul Ricoeur c est mettre sur le compte de quelqu un une action bl mable une faute donc une action confront e au pr alable une obligation ou une interd
131. adiennes MRNF certification Au Qu bec la premi re certification foresti re a t mise en 2002 selon le Forest Stewardship Council MRNF Crit res Aujourd hui trois de ces organismes de certification foresti re 7 Pour un exemple d application d un r glement municipal sur les chemins forestiers voir l affaire 9034 8822 Qu bec inc c Sutton Ville de 2008 QCCS 1839 J E 2008 1110 juge Fran ois T th QL confirm en appel 9034 8822 Qu bec inc c Sutton Ville de 2010 QCCA 858 J E 2010 892 QL 165 8 colloque tudiant de l Institut EDS s appliquent des territoires d finis soit celui du Forest Stewardship Council FSC celui du Sustainable Forestry Initiative SFI et celui de l Association canadienne de normalisation CSA MRNF Viau 2011 Il faut pr ciser que les for ts priv es et publiques peuvent tre certifi es MRNF Viau 2011 En janvier 2010 un peu plus de 20 millions d hectares taient certifi s selon les trois organismes de certification MRNF Crit res Cela repr sente pr s de 53 des for ts productives publiques et priv es sous am nagement MRNF Crit res La majorit des superficies certifi es se trouvent sur le territoire public et sont g r es par de grandes entreprises Depuis plusieurs ann es la position du MRNF est de favoriser la certification foresti re au Qu bec MRNF Crit res et Bureau
132. aine intentionnelle ou non La plante naturalis e selon Richardson et al 2000 est une plante exotique qui se reproduit ann e apr s ann e et qui maintient des populations persistantes sans assistance humaine et ce au del de la localit o elle a t introduite La plante envahissante doit avoir franchi des obstacles g ographiques et tre exotique dans le lieu qu elle envahit Richardson et al 2000 Rejmanek 2000 Reichard et White 2001 Myers et Bazely 2003 Occhipinti Ambrogi et Galil 2004 Py ek 2004 Gass et al 2009 PySek et al 2009 La plante nuisible est souvent mais pas n cessairement exotique ou envahissante Elle diff re de la simple plante envahissante particuli rement au 171 8 colloque tudiant de l Institut EDS niveau des impacts conomiques et environnementaux qu elle cause Une plante nuisible a donc un impact qui porte un pr judice aux humains ou leurs activit s agriculture r cr ation sant etc aux esp ces floristiques et fauniques ou aux cosyst mes dans leur ensemble Il importe de sp cifier que dans cette th se seules les plantes nuisibles exotiques ont t prises en consid ration puisque l objectif ultime de cette th se est de d velopper un outil qui permettra d identifier les plantes nuisibles avant qu elles ne soient introduites Il est vrai que des plantes indig nes peuvent devenir nuisibles dans certains contextes mais elles ne
133. aisait partie des recommandations du rapport Coulombe de 2004 Concernant la place qu occupe la planification du r seau routier dans cette planification foresti re int gr e et surtout la question de savoir si elle est appropri e nous croyons qu elle d pendra des enjeux et solutions d termin s par consensus par les organismes repr sent s la table locale de gestion int gr e des ressources naturelles ou sinon par la Direction g n rale r gionale MRNF Desrosiers 2010 le tout bien s r d pendamment des objectifs g n raux de la Strat gie d am nagement durable des for ts SADF et du Plan r gional de d veloppement int gr des ressources naturelles et du territoire PRDIRT Il est trop t t pour mesurer r ellement l efficience de cette planification Ce qui est clair cependant c est que la planification du r seau routier a d j une place dans la planification de l am nagement forestier Les objectifs de la SADF de r duire la perte de superficie productive cause des chemins et d am liorer par la m me occasion les mesures d att nuation des effets potentiellement nuisibles des chemins pour le milieu hydrique en sont un bon exemple Nous estimons que c est d j un d but convenable Les objectifs de r duction de la construction des chemins pourraient bien s r tre encore plus imposants et il serait encore mieux s ils taient justifi s par une perspective de protection de la
134. ameters INPUTS OUTPUTS P Precipitation input liquid and melt 8 parameters 9 parameters amp 10 parameters E Potential Evapotranspiration Q Simulated total output discharge STORAGES Sf Surface or interception store S Soil storage 3 1 1 1 I 1 I 1 Ss Lower soil or rootzone storage 1 N Groundwater storage or slow routing 1 1 R Main routing storage or quick routing i 1 i 1 Rs Overland flow routing storage 1 Rss Interflow delayed routing storage 2 3 Two or three same type storages M Multi layers storage Figure 2 Sch ma descriptif de la diversit structurelle des mod les hydrologiques utilis s Comme pr cis e plus avant l valuation anticip e de leur qualit simuler les changements climatiques bas e sur l analyse de la transposabilit dans le temps est tudi e par la mise en place de Differential Split Sample Tests tirant au maximum profit des donn es de d bits observ s historiques disponibles Ces tests de calage validation en p riodes contrast es sont articul s autour de plusieurs tapes successives 136 S lectionner cinq ann es hydrologiques pas n cessairement continues pour quatre conditions climatiques contrast es s ches chaudes s ches froides humides chaudes humides froides Caler dans chaque condition et valider sur la condition la plus oppos e p ex calage sur les ann es humi
135. and H C Kim 2009 Land use and electricity generation A life cycle analysis Renewable and Sustainable Energy Reviews 13 6 7 1465 1474 Gagnon L C Belanger et al 2002 Life cycle assessment of electricity generation options The status of research in year 2001 Energy Policy 30 14 1267 1278 Government of Saskatchewan 2011 Net Metering rebate program extended Retrieved 22 October 2011 from http www gov sk ca news newsld 6ab68302 8039 4504 a671 9dfb555f09c3 Haeseldonckx D and W D Haeseleer 2008 The environmental impact of decentralised generation in an overall system context Renewable and Sustainable Energy Reviews 12 2 437 454 Hunkeler D K Lichtenvort et al 2008 Environmental Life Cycle Costing Europe CRC Press SETAC Hydro Qu bec Option de mesurage net pour autoproducteurs Tarifs r sidentiels et factures Retrieved 13 March 2008 from http www hydroquebec com autoproduction Hydro Qu bec Other sources of power generation Fossil fuels Hydro Qu bec Power Generation Retrieved October 2009 from http www hydroquebec com learning production autressources fossile html Hydro Qu bec 2005 Approvisionnements nerg tiques et missions atmosph riques Montreal Hydro Qu bec 1 ISO 2006 ISO 14040 2006a Management environnemental Analyse du cycle de vie Principes et cadre 56 Jolliet O M Margni et al 2003 IMPACT 2002 A New Life Cycle
136. ann es le territoire de la province de Qu bec fait l objet d une attention particuli re de la part de l industrie mini re gazi re et p troli re Des m gas projets miniers sont en d veloppement des investissements massifs priv s et publics sont pr vus pour b tir ou moderniser des infrastructures devant servir l industrie mini re Jusque la il n y a rien de fondamentalement nouveau Toutefois et c est une premi re dans l histoire du Qu bec le sous sol de la province fait l objet d une attention soutenue de la part de l industrie gazi re et p troli re En effet il appert que le sous sol du fleuve Saint Laurent et de la Gasp sie rec leraient d importantes r serves de p trole Ailleurs dans les basses terres du Saint Laurent c est le gaz de schiste dont l extraction requiert des techniques controvers es qui est dans la mire des op rateurs miniers Depuis les premi res d couvertes min rales de l histoire de la province cependant le contexte n est plus tout fait le m me Au Qu bec et ailleurs dans le monde les populations sont de plus en plus sensibilis es sur les effets n fastes du d veloppement conomique sur leur environnement social et sur le milieu naturel Sur les plans politique et l gislatif cette conscientisation s est notamment traduite par l mergence du concept de d veloppement durable Le gouvernement du Qu bec a t l une des premi res juridictions dans
137. aration la Conf rence Rio 20 de juin 2012 le PNUE a men un processus de prospective de grande envergure dont la conclusion place encore la gouvernance en 72 t te des priorit s mondiales Une r vision compl te de la mani re dont la plan te est g r e est urgente si nous voulons r pondre aux d fis que posent le d veloppement durable mondial d une soci t comptant sept milliards d individus PNUE 2012 3 Analyse comparative de l volution de la gestion de l eau qu b coise et mondiale Les sections pr c dentes ont cherch d crire de mani re ind pendante l volution de la gestion de l eau au Qu bec et l chelle mondiale La pr sente a pour objectif de v rifier la similitude et le synchronisme de ces deux processus Les tableaux 1 3 reprennent l essentiel des constatations nonc es pr c demment et pr sentent un portrait comparatif de l volution de la gestion de l eau C est partir de 1855 que la r volution industrielle touchera le secteur des ressources en eau au Qu bec tableau 1 L industrie sera favoris e par certaines lois permettant son d veloppement mais cr eront les inconv nients pour l environnement que nous connaissons bien maintenant L explosion de l utilisation des ressources en eau qui s ensuivra marquera la gestion de l eau jusqu au d but des ann es 2000 Cette p riode est celle de la gestion sectorielle de l eau ax
138. ase of plant traits and Internet application for nature conservation Folia Geobotanica 38 3 263 271 Prinzing A W Durka S Klotz amp R Brandl 2002 Which species become aliens Evolutionary Ecology Research 4 385 405 Py ek P K Prach amp P Smilauer 1995 Relating invasion success to plant traits an analysis of the Czech alien flora Pages 39 60 in P PySek K Prach M Rejmanek amp M Wade eds Plant invasions general aspects and special problems SPB Academic Amsterdam Py ek P 1997 Clonality and plant invasions can a trait make a difference Pages 405 427 in H de Kroon amp J van Groenendael eds The ecology and evolution of clonal plants Backhuys Leiden 185 8 colloque tudiant de l Institut EDS Py ek P D M Richardson M Rejmanek G Webster M Williamson amp J Kirschner 2004a Alien plants in checklists and floras towards better communication between taxonomists and ecologists Taxon 53 131 143 PySek P D M Richardson amp M Williamson 2004b Predicting and explaining plant invasions through analysis of source area floras some critical considerations Diversity and Distribution 10 179 187 PySek P amp P E Hulme 2005 Spatio temporal dynamics of plant invasions linking pattern to process Ecoscience 12 302 315 Py ek P amp V Jaro ik 2005 Residence time determines the distribution of alien plants Pages 77 96 in Inderjit ed Invasive plan
139. ases scientifiques solides il est transparent objectif et adaptable plusieurs contextes et son utilisation est relativement rapide Daehler et al 2004 Globalement le WRA est un bon outil lorsque vient le temps de d tecter les plantes nuisibles mais il pr sente parfois un taux significativement lev de faux positifs Tableau 1 Roberts ef al 2011 Weber et al 2009 c est dire des plantes identifi es en tant que nuisibles alors qu elles ne le sont pas Par exemple un taux lev 42 de faux positifs a r sult de l adaptation du WRA au contexte canadien McClay et al 2010 Cela s explique en bonne partie par le fait que les scores attribu s aux questions li es adaptation climatique ne sont pas appropri s une plante tr s mal adapt e au climat local donc peu rustique pourrait tre consid r e malgr tout nuisible en raison d un score lev dans les autres domaines du questionnaire ce qui est une chose tr s peu probable dans les faits L outil ne tient pas compte du poids r el de l adaptation d une plante son climat alors que cette consid ration est cruciale C est pourquoi McClay et al 2010 remettent en question V approche additive du WRA et proposent une approche multiplicative o le score final serait 173 8 colloque tudiant de l Institut EDS repr sentatif des poids inh rents la question pos e Cela dit Daehler et al 2004 consid rent que l
140. ases de donn es seront utilis es pour la construction des outils dans le cadre de cette th se l une contient 900 plantes exotiques naturalis es au Qu bec certaines ornementales et l autre 477 plantes exotiques ornementales vendues en p pini re au Qu bec depuis le 19 si cle mais qui ne se sont toujours pas naturalis es La liste des plantes exotiques naturalis es au Qu bec est issue du travail de Lavoie et al 2012 Seules les esp ces dont la preuve de naturalisation tait sans quivoque ont t retenues dans cet ouvrage La liste des esp ces exotiques non naturalis es a quant elle t construite partir des plantes recens es dans neuf catalogues horticoles qu b cois datant du 19 si cle Annexe 1 Pour chacune des esp ces des deux bases de donn es des informations sur leurs caract ristiques biologiques et historiques ont t collig es Le choix des caract ristiques biologiques qui ont t retenues pour ce travail repose sur un recensement de 73 tudes scientifiques traitant des caract ristiques qui favorisent de mani re significative la propagation des plantes envahissantes Annexe 2 Cependant ce ne sont pas toutes les caract ristiques significatives qui ont t retenues celles qui l ont t sont uniquement celles qu il tait possible de colliger rapidement partir d autres bases de donn es accessibles sur internet ou de la litt rature scientifique et ce pour toute
141. ation tudiante universitaire du Qu bec la F d ration des travailleurs et travailleuses du Qu bec Greenpeace R seau Environnement et Vivre en ville 33 8 colloque tudiant de l Institut EDS l industrie et la soci t civile montr s ci haut le gouvernement du Qu bec veut unir les voix de l Assembl e nationale tout en prenant soin que le dossier ne devienne pas un enjeu partisan mais bien un enjeu national En avril 2001 et en octobre 2002 l Assembl e nationale adopte des motions unanimes qui r it rent les points cl s de la strat gie gouvernementale Assembl e nationale du Qu bec 2001 Cette autre strat gie montre la prise en charge du dossier par le Qu bec qui d sire tre autonome dans le dossier Plus encore lorsqu on analyse la substance des d clarations le Qu bec tente d influencer la prise de d cision quant aux orientations de mise en uvre au niveau national 2 3 Structure institutionnelle automne 2002 le gouvernement du Qu bec d sireux de conserver son autonomie en mati re de lutte aux changements climatiques cr e un comit minist riel et le Bureau sur les changements climatiques Par la cr ation de ces nouvelles entit s Qu bec veut souligner l importance qu il accorde au dossier et bien videmment g rer les enjeux li s la ratification du Protocole de Kyoto Le budget annuel de pr s de quatre millions de dollars vers au Bureau sur les changements cl
142. ation ou encore de leur demander de prendre des mesures l gard de questions li es l environnement et qui rel ve du mandat du gouvernement f d ral Tout r sidant du Canada ou toute organisation canadienne peut pr senter une p tition en mati re d environnement Il n est pas n cessaire que la p tition porte de nombreuses signatures une simple lettre suffit Les p titions sont pr sent es au v rificateur g n ral du Canada Le commissaire l environnement et au d veloppement durable qui g re le processus de p tition au nom du v rificateur g n ral transmet ensuite les p titions aux minist res ou aux organismes vis s D s la r ception d une p tition les ministres f d raux ont 120 jours pour r pondre par crit au p titionnaire Le Bureau du v rificateur g n ral affiche les p titions et les r ponses sur son site Web Depuis 1995 ann e o le processus de p tition a t cr par le Parlement plus de 380 p titions ont t pr sent es par des Canadiens et des groupes de la soci t civile de tout le pays portant sur une vaste gamme de sujets tels que la biodiversit la sant humaine et environnementale de m me que l valuation environnementale Le guide intitul Des r ponses vos questions Guide sur le processus de p tition en mati re d environnement pr cise l objet et les m canismes du processus d crit le genre de demandes qui peuvent tre soumises et expliq
143. ational Journal of Plant Science 164 suppl 3 185 196 Mason R A B J Cooke A T Moles amp M R Leishman 2008 Reproductive output of invasive versus native plants Global Ecology and Biogeography 17 633 640 McIntire S S Diaz S Lavorel amp W Cramer 1999 Plant functional types and disturbance dynamics Introduction Journal of Vegetation Science 10 604 608 Milbau A amp J C Stout 2008 Factors associated with alien plants transitioning from casual to naturalized to invasive Conservation Biology 22 2 308 317 Mitchell C E amp A G Power 2003 Release of invasive plants from fungal and viral pathogens Nature 421 6923 625 627 Moles A T M A M Gruber amp S P Bonser 2008 A new framework for predicting invasive plant species Journal of Ecology 98 13 17 Otfinowski R N C Kenkel P Dixon amp J F Wilmshurst 2007 Integrating climate and trait models to predict the invasiveness of exotic plants in Canada s Riding Mountain National Park Canadian Journal of Plant Science Vol 87 5 1001 1012 Pausas J G amp S Lavorel 2003 A hierarchical deductive approach for functional types in disturbed ecosystems Journal of Vegetation Science 14 399 408 Pemberton R W amp H Liu 2009 Marketing time predicts naturalization of horticultural plants Ecology 90 1 69 80 Poschlod P M Kleyer A K Jackel A Dannemann amp O Tackenberg 2003 BIOPOP A datab
144. aupr s des autres provinces et du gouvernement f d ral 1 1 1 La r union de R gina 12 novembre 1997 La rencontre de R gina rev t une importance certaine puisqu elle s est tenue dans les jours pr c dents la rencontre de Kyoto qui donna lieu au Protocole en question Les provinces consacrent l enti ret de la rencontre au th me des changements climatiques reportant ainsi en fin de communiqu les discussions sur le smog et les pluies acides Le Qu bec y sera particuli rement actif Dans une d claration publi e en fin de rencontre les provinces insistent sur la n cessit d une entente raisonnable et surtout r aliste sachant que leur administration et leur conomie assumeront la majorit de l effort de r duction Les provinces optent pour une position tr s mod r e avec une r duction des missions au niveau de 1990 pour environ 2010 tout en prenant soin de souligner qu il serait souhaitable d aller au del de cette cible via des m canismes de souplesse Les provinces se montrent donc prudentes et font valoir leur volont d tre impliqu es dans le processus au plus haut niveau D claration d Halifax 1997 Le Qu bec est la seule province ne pas signer la d claration finale de la r union de R gina Macdonald et Smith 2000 Deux jours avant la rencontre il affirme unilat ralement son engagement aux objectifs de Rio par communiqu Cette d claration symboliqu
145. avant cette volte face la strat gie gouvernementale tait d adopter au plus vite une loi visant encadrer une exploitation imminente des gaz de schiste On peut donc se demander pourquoi le d veloppement durable des gaz de schiste faisait soudainement partie de la strat gie gouvernementale dans ce domaine N anmoins en d pit de nombreuses critiques sur son mandat le BAPE s est acquitt de sa t che avec rigueur et de nombreuses personnes ont particip aux travaux de la Commission Surnomm D veloppement durable de l industrie des gaz de schiste au Qu bec le rapport de la Commission fut d pos le 28 f vrier 2011 et rendu public par le MDDEP quelques jours plus tard Ibid GOUVERNEMENT DU QUEBEC Lettre autorisant la prolongation du mandat Qu bec MDDEP 21 d cembre 2010 4 Alexandre SHIELDS Qu bec se d cide consulter les citoyens sur les gaz de schiste Le Devoir 30 ao t 2010 BAPE D veloppement durable de l industrie des gaz de schiste au Qu bec rapport 273 f vrier 2011 Dans ce rapport une place est effectivement accord e aux principes du d veloppement durable ne serait ce que parce que l organisme est vis par la LDD En effet selon le BAPE les commissions d enqu te se doivent de prendre en consid ration dans leurs travaux les seize principes de d veloppement durable ench ss s dans la Loi afin d clairer correctement le ministre et plus largeme
146. bec O situer le Sommet de Rio Bruno Robert Etudiant au doctorat en sociologie 4 65 Le droit du d veloppement durable et le gaz de schiste au Qu bec Un incitatif ou un justificatif de l approche gouvernementale Alexandre Desjardins tudiant la ma trise en droit 89 Tourisme de croisi re dans l Arctique canadien quelle durabilit Pierre Louis T tu Etudiant la ma trise en sciences g ographiques cccccecscesseeeteeeteeeneeesees 97 Conf rence publiques aline naine en Hentai he haa ie Introduction Le cadre institutionnel du d veloppement durable r former l architecture onusienne sans fragiliser l dific Yan Turgeon Candidat la ma trise en science politique et r dacteur en chef dObjectif Terre 111 Invit sp cial Le gouvernement f d ral l environnement et vous le processus de p tition en mati re d environnement David Willey Directeur responsable du processus de p tition en mati re d environnement Bureau du v rificateur g n ral du Canada 119 8 colloque tudiant de l Institut EDS Th me 2 Innovation technologique et d veloppement durable ss 121 Optimisation de la gestion d un bassin de r tention d eaux pluviales Etienne Gaborit Etudiant au doctorat en g nie civil oo eee cceeceesseesceesceesseeneeceneceseceseenseeeneennes 123 valuation d ensemble de vingt mod les hydrologiques globaux conceptuels en conditions climatiques contrast es Gr go
147. biodiversit et non seulement par le souci d une perte de production foresti re Conclusion Le droit applicable au territoire forestier qu b cois prend il en compte de mani re appropri e les effets nuisibles des chemins forestiers la biodiversit Il a tous les moyens pour le faire Devant une diversit de g nes d organismes vivants et d cosyst mes il est de notre devoir d imaginer une diversit de normes pour prot ger la biodiversit de notre patrimoine en ce qui a trait au d veloppement des chemins forestiers mais aussi des autres utilisations que nous faisons de la biodiversit Aux diff rentes normes explor es et propos es il faut maintenant allier la soci t civile les chercheurs scientifiques les pouvoirs politiques et les d marches conomiques dans un effort commun pour comprendre et prot ger la biodiversit 167 8 colloque tudiant de l Institut EDS Bibliographie Lois projets de loi et r glements Loi sur l am nagement durable du territoire forestier L R Q c A 18 1 LADTF Loi sur l am nagement et l urbanisme L R Q c A 19 1 LAU Loi sur les for ts L R Q c F 4 1 R glement sur les normes d intervention dans les for ts du domaine public R R Q 1981 c F 4 1 r 7 RNI P L 49 Loi modifiant la Loi sur les for ts et d autres dispositions l gislatives et pr voyant des dispositions particuli res applicables sur le territoire du chapitre 3 de l Ente
148. blement aux autres tats les SCR que les tats c tiers souhaitent mettre en uvre SOLAS r gle V 11 2 Contrairement Particle 234 de la CNUDM qui permet l adoption de SCR obligatoires de mani re unilat rale par les tats c tiers jusqu 200 milles nautiques de leurs c tes les r gles de la SOLAS pr nent donc un syst me de gouvernance multilat rale imposant l tat c tier de chercher l approbation de ses mesures par les Etats membres de POMI avant de lui permettre leur application effective Cependant le texte de la r gle V 11 non sans ambiguit s pr voit d une part que les gouvernements contractants soumettront leur proposition pour adoption de leur SCR a l Organisation SOLAS r gle V 11 2 Nous soulignons mais souligne d autre part dans la r gle V 11 4 que les SCR non soumis a l Organisation pour adoption ne doivent pas n cessairement se conformer la r gle et que les gouvernements contractants peuvent soumettre de tels syst mes l Organisation pour reconnaissance SOLAS V 11 4 Nous soulignons Selon cette r gle le Canada pourrait donc d cider de ne pas se conformer la r gle V 11 2 et par cons quent ne pas impliquer les autres Etats membres de POMI dans l tablissement du NORDREG Bartenstein 2012 De plus les r gles V 11 9 et V 12 5 stipulent que rien dans les r gles examin es ne doit pr judicier les droits et obligations dont disposent le
149. blissements h teliers Iqaluit D et Pangnirtung F ont respectivement 9 et 5 h tels tandis que l ensemble des communaut s en a de 1 3 et seules Resolute Bay A Cambridge Bay C Iqaluit D Igloolik M et Rankin Inlet P offrent un h bergement de type suite En ce qui a trait la capacit d accueil en termes de chambres et de lits on observe en effet une certaine homog n it du nombre de chambres et de lits mais il y a cependant quelques traits soulever Dans un premier temps Iqaluit D Rankin Inlet P et Resolute A ont la capacit d h bergement en termes de nombre de lits la plus consid rable et loin devant celle des autres communaut s avec respectivement 325 128 et 125 lits et 285 81 et 104 chambres A l inverse les communaut s de Grise Fiord I Kimmirut J Coral Harbour K Hall Beach L Kugaaruk N Taloyoak S et Whale Cove T ont entre 5 et 10 chambres disponibles et 15 a 20 lits Finalement seules Cambridge Bay C Iqaluit D Gjoa Haven E Kugluktuk O et Rankin Inlet P ont un mus e On constate galement que sur pr s de 20 communaut s pour lesquelles nous avons collect des donn es seulement 10 ont recu la visite d au moins un navire de croisi re de 2008 a 2010 Ce sont chaque ann e les m mes communaut s qui re oivent la visite de navires les communaut s de Resolute A et de Pond Inlet B de m me que celles autour d Iqaluit D a
150. bsence d institution d ancrage mais aussi parce que l environnement interpelle une multitude d organisations multilat rales et plurilat rales l affiliation et l emplacement de leur secr tariat fut n goci s au cas par cas ce qui contribua au morcellement du pilier environnemental Le Preste distingue six mod les de relation administrative entre les secr tariats et leur s organisation s h te s Le secr tariat d une convention peut i tre ind pendant comme l OIBT dont le si ge se trouve Yokohama ii tre rattach de mani re souple au secr tariat de PONU c est le cas de la CCNUCC et de la CNUDD qui sont toutes deux h berg es Bonn iii tre l h te d une institution du syst me de l ONU les secr tariats de plusieurs conventions sur la diversit biologique et les produits chimiques incluant les substances appauvrissant la cause d ozone sont affili s au PNUE iv tre l h te d une ONG comme la Convention de Ramsar sur les zones humides dont les services administratifs sont fournis par l UICN v tre ench ss dans une autre organisation et n avoir aucun statut juridique autonome comme la WHC qui rel ve de l UNESCO ou vi tre assur en rotation par les services gouvernementaux des parties Pour compl ter le tableau ajoutons qu un secr tariat peut tre h berg par plusieurs institutions comme la Convention de Rotterdam dont le secr
151. ccorde aux compagnies de flottage du Bas Canada le droit de construire les ouvrages n cessaires l exercice de leurs activit s En 1856 il accorde aux propri taires riverains le droit d utiliser et d exploiter tout cours d eau qui borde longe ou traverse leur propri t Commission scientifique et technique sur la gestion des barrages 1997 C est ce moment que commence la gestion quantitative priv e et sectorielle des ressources en eau bas e sur l usage partir de 1867 les ressources en eau ne seront plus l objet de gestion d une seule entit gouvernementale En effet lors de la cr ation du syst me f d ral canadien cette ann e l on inscrira dans la Constitution la r partition des comp tences sur les ressources entre les deux niveaux de gouvernement Les interpr tations apport es au gr des d saccords sur cette Constitution viendront confirmer le vaste pouvoir qu elle accorde aux provinces sur les ressources et par cons quent sur les ressources en eau Pearse et collab 1985 71 Les ressources en eau du Qu bec seront d abord associ es la vente des terres publiques sous la responsabilit d une seule entit administrative On explique cette situation par le fait qu cette poque la vente des terres tait le principal instrument de l tat pour faire d marrer des secteurs d activit conomiques comme les p cheries les mines les for ts les chemins de fer
152. ce La Convention des Nations unies sur le droit de la mer La CNUDM en son article 234 permet aux Etats d adopter et d appliquer unilat ralement des lois et r glements non discriminatoires visant pr venir et contr ler la pollution marine caus e par les navires sous certaines conditions et dans les limites de leur ZEE l o les glaces rendent l acc s dangereux pour les navires CNUDM art 234 Bartenstein 2011 Ce r gime fait office d exception puisque selon la CNUDM les tats c tiers ne disposent dans leur ZEE que d une 45 60 N 50 N 8 colloque tudiant de l Institut EDS souverainet fonctionnelle CNUDM art 56 limit e par le droit des autres Etats de pouvoir naviguer librement CNUDM art 58 La qualit de lex specialis de l article 234 de la CNUDM et l histoire de sa n gociation lors de la troisi me Conf rence des Nations Unies sur le droit de la mer refl tent la volont des n gociateurs de l article de donner les moyens aux Etats c tiers de l Arctique de prot ger leur environnement et explique cette plus large tendue des comp tences attribu es aux tats c tiers d eaux recouvertes de glaces Nordquist 1985 Bartenstein 2011 La question est de savoir si la mise en place de STM et ou de SCR tels que pr vus par le NORDREG est un domaine qui pourrait tre vis par les lois et r glements que d crit l article 234 Selon le texte de l arti
153. ce 62 8 p 7 pages Direction du d veloppement de l industrie des produits forestiers 2008 Strat gie d utilisation du bois dans le domaine de la construction au Qu bec Minist re des Ressources naturelles et de la Faune 146 Earles J M amp Halog A 2011 Consequential life cycle assessment a review The International Journal of Life Cycle Assessment 16 p 445 453 Available at zotero attachment 640 Ekvall T amp Andrae A 2006 Attributional and Consequential Environmental Assessment of the Shift to Lead Free Solders 10 pp The International Journal of Life Cycle Assessment 11 5 p 344 353 Available at http dx doi org 10 1065 lca2005 05 208 EPA Victoria 2009 Developping a marginal abatement cost curve MACC EPA Victoria FPAC 2006 2005 Annual Review Transformation Forest Produets Assoc of Canada Ottawa Canada Association des produits forestiers du Canada GHG protocol 2011 Product Life Cycle Accounting and Reporting Standard WRI WBCSD Grahn M Azar C amp Lindgren K 2009 The role of biofuels for transportation in CO2 emission reduction scenarios with global versus regional carbon caps Biomass and Bioenergy 33 3 p 360 371 Available at http www sciencedirect com science article B6V22 4TW537J 1 2 1c9be00256b750a6264f5b2367d37695 Gustavsson L Pingoud Kim amp Sathre R 2006 Carbon Dioxide Balance of Wood Substitution Comparing Concrete and Wood Framed Bui
154. ce en liminant toute part d arbitraire Mais dans le cadre du WRA cette op ration ne semble pas avoir t appliqu e la conversion s est faite mon avis de fa on arbitraire En d finitive les outils d aide a la d cision en mati re de plantes nuisibles qui ont t d velopp s ce jour ne sont g n ralement pas assez performants lorsqu ils constituent l unique source d information sur laquelle se basent les d cideurs De plus leur valeur en tant qu outils pr dictifs est discutable et ce m me si leur fiabilit peut s accro tre s ils sont combin s des exp rimentations in situ 174 ou des relev s de terrain De plus l efficacit de ces outils n est peu ou pas remise en question ni ne sont mis jour par les autorit s qui les utilisent D autres approches pr sentant la fois souplesse et adaptabilit dans leur modus operandi doivent donc tre d velopp es Hulme 2012 Les outils d velopp s dans le cadre de cette th se ont pour souci de pallier diff rentes faiblesses des autres outils Ainsi la m thode des ensembles approximatifs avec dominance dominance based rough sets approach a t choisie pour d velopper l outil de classification Cette approche par r gles de d cision a t largement utilis e lors de processus d cisionnels en particulier pour le tri et la classification des probl mes multicrit res Greco et al 2001 Globalement cette appro
155. ces en eau de la Banque mondiale qui encourage adopter une approche pragmatique de gestion La GIRE est conserv e Adoption de la Loi affirmant le caract re 2009 collectif des ressources en eau et visant renforcer leur protection qui officialise le choix de la gestion int gr e et concert e des ressources en eau au Qu bec 2010 Rapport de la Banque sur les progr s de sa strat gie qui maintient les objectifs des strat gies de 2004 et de 1993 2012 Rapport de prospective du PNUE qui place la r forme de la gouvernance en t te des priorit s internationales T1 8 colloque tudiant de l Institut EDS 5 Analyse comparative de la GIRE issue de Rio et de la GIRE du Qu bec Pour caract riser le mod le de GIRE issue de Rio on a choisi cing documents de r f rence Il s agit 1 du document de discussion de la Banque mondiale publi en 1991 intitul La gestion du d veloppement La dimension de la gouvernance 2 des principes de la D claration de la Conf rence internationale sur l eau et l environnement de Dublin 3 de la D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement de 1992 4 du chapitre 18 du plan Action 21 issu de Rio Protection des ressources en eau douce et de leur qualit application d approches int gr es de la mise en valeur de la gestion et de l utilisation des ressources en eau en 1992 et 5 du document Water Resources Management de la
156. cet effet la revue de litt rature met l accent sur le besoin imp ratif d adopter un mod le de gestion int gr e tant de protection du patrimoine de biodiversit que le patrimoine humain afin d int grer les questions d environnement et de d veloppement en accordant une plus grande attention ces questions dans le but de satisfaire les besoins fondamentaux am liorer le niveau de vie pour tous mieux prot ger et g rer les cosyst mes et assurer un avenir plus s r et plus prosp re Action21 Chapitre 1 Nations Unies D veloppement durable en ligne Bien que les l gislations canadiennes qui r gulent le trafic maritime dans l Arctique canadien accordent une grande importance la protection de l environnement dimension la plus tudi e la litt rature souligne ses lacunes le manque de donn es chiffr es sur le nombre de navires pr sents dans les eaux arctiques canadiennes les communaut s visit es l offre touristique et les itin raires des navires limite toute forme de gestion durable de la navigation touristique Maher Stewart et L ck 2011 Stewart et al 2010 Dupr 2006 5 L objectif g n ral de cette recherche consiste donc explorer la dimension conomique du tourisme de croisi re peu tudi e selon une approche g ographique Les objectifs sp cifiques consistent conna tre l int r t des armateurs affr teurs de navires de croisi res prendre de l expan
157. che utilise les informations contenues dans un sous ensemble des donn es disponibles afin d induire des r gles de d cision Ces r gles peuvent ensuite tre g n ralis es de plus grands ensembles afin d appuyer des d cisions futures Cette m thode pr sente de nombreux avantages Par exemple elle minimise la part d arbitraire dans le processus de classification car les r gles de d cision extraites des donn es sont induites gr ce une technique d apprentissage con ue sur des bases math matiques partir de d cisions exemplaires tablies par les d cideurs Les pr f rences des d cideurs sont alors mod lis es de fa on g n rer des r gles de d cision qui se pr sentent sous la forme logique si condition alors d cision Cependant l l ment de subjectivit n est jamais totalement limin puisque le processus requiert quand m me le jugement de d cideurs Cela dit cette m thode fournit un moyen syst matique de repr senter leurs pr f rences et de g rer les inconsistances des jugements qui peuvent surgir lors du processus de constitution de l outil En effet la m thode met en vidence les inconsistances et permet donc de les corriger s il y a lieu Enfin cette m thode est uniforme et adaptable une multitude de contextes L interpr tation des r sultats est simple et ne requiert pas de comp tences approfondies M thodologie Les bases de donn es Deux b
158. cle les lois et r glements doivent tenir d ment compte de la navigation ainsi que de la protection et de la pr servation du milieu marin sur la base des donn es scientifiques les plus s res dont on puisse disposer Ce d ment compte semble fixer la limite du raisonnable des mesures qui peuvent tre prises en faveur de la protection de l environnement dans le cadre de l article 234 McRae et Goundrey 1982 La r f rence aux donn es scientifiques donne quant elle son caract re volutif la disposition Bartenstein 2011 b McDorman 2010 englobant non seulement les m canismes de protection de l environnement qu aurait pu laborer un tat l poque de l adoption de la CNUDM mais aussi les m canismes actuels r pondant aux m mes buts tels que les STM et SCR Le fait que l tat doive aussi tenir d ment compte de la navigation dans les mesures qu il adopte en vertu de l article 234 fait r f rence des droits de navigation sui generis et non aux droits de navigation reconnus g n ralement par la CNUDM Bartenstein 2011 Ce r gime sui generis de droits de navigation donne une place plus importante aux pr occupations environnementales face aux int r ts de la navigation et s explique nouveau par la volont des r dacteurs de la CNUDM de tenir compte de la vuln rabilit particuli re des 50 eaux recouvertes de glaces la pollution par les navires et de fa
159. consid ration des principes de d veloppement durable dans les travaux des commissions d enqu te du Bureau d audiences publiques sur l environnement Qu bec 2009 a la p 3 COMITE DE L EVALUATION ENVIRONNEMENTALE STRATEGIQUE SUR LES GAZ DE SCHISTE Evaluation environnementale strat gique sur les gaz de schiste en ligne lt http www ees gazdeschiste gouv qc ca gt page consult e le 1er d cembre 2011 GOUVERNEMENT DU QU BEC Plan de r alisation de l valuation environnementale strat gique sur les gaz de schiste Qu bec Comit de l valuation environnementale strat gique sur les gaz de schiste 2011 GOUVERNEMENT DU QU BEC Processus de s lection des membres du comit de l valuation environnementale strat gique communiqu de presse MDDEP 14 avril 2011 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Indicateurs de d veloppement durable Qu bec MDDEP et Institut de la statistique du Qu bec 2010 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Lettre autorisant la prolongation du mandat Qu bec MDDEP 21 d cembre 2010 GOUVERNEMENT DU QU BEC Lettre mandatant le Bureau d audiences publiques sur l environnement de tenir une enqu te et une audience publique Qu bec MDDEP 31 ao t 2010 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Rapport de mise en uvre de la Strat gie gouvernementale de d veloppement durable 2008 2013 Ann e 2008 2009 Qu bec MDDEP 2009 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Strat gie gouvernementale de d veloppement durable 2008 2013 Qu bec
160. construction et l entretien des routes des effets n gatifs sur la qualit et la quantit de l eau et sur l int grit des sols Canada Conseil canadien des ministres des for ts 2005 Or les routes alt rent les cosyst mes terrestres et aquatiques de diff rentes mani res que ce soit en affectant l habitat lui m me les animaux les v g taux ou par les humains qui voient leur acc s au territoire facilit vrai dire la destruction des habitats constitue une des r percussions des routes les plus videntes Bourgeois 2005 Les routes perturbent aussi l habitat du poisson en particulier les rivi res saumons Les animaux sont galement touch s par les chemins Leur comportement peut tre modifi par exemple les routes peu fr quent es facilitent les d placements des pr dateurs comme le loup et augmentent ainsi l efficacit de leur chasse Houle 2010 Ou pire la mortalit animale peut carr ment augmenter due aux collisions avec les v hicules Bourgeois 2005 et Richard 2003 Pour r pondre ces pr occupations environnementales nous pouvons nous 161 8 colloque tudiant de l Institut EDS servir du droit comme outil mise en ceuvre de la protection de la biodiversit et du d veloppement durable Or la conscience populaire tout comme celle des forestiers d ailleurs a t fortement secou e en 1999 par le film d auteur L erreur bor ale de Richard Desjardins
161. ctivit s des OBV l chelle du bassin versant La troisi me figure Figure 3 d crit le processus de mise en uvre de la GIEBV l chelle nationale Des articles de la Loi sur l eau d coulant de la PNE font galement partie de la comparaison afin d illustrer de fa on concr te certaines intentions formul es dans la politique Des l ments sp cifiques la GIRE issue de Rio ont t extraits des cinq documents internationaux mentionn s ci dessus Ceux ci ont t plac s en ordre chronologique Les l ments redondants des documents ont t limin s au fur et mesure de la comparaison Seuls les l ments diff rents taient conserv s C est pourquoi dans le document de 1993 de la Banque mondiale un seul l ment fut retenu aux fins de comparaison Le tableau 4 montre les r sultats de cette comparaison Il appert que la GIRE qu b coise correspond en tous points la GIRE internationale d finie par les acteurs internationaux entre 1991 et 1993 6 Conclusion Ce survol de l volution de la gestion de l eau au Qu bec et l chelle internationale permet de d montrer qu il y a concordance historique entre les deux cheminements partir des ann es 1990 le Qu bec a retenu compl tement la position mondiale d gag e lors de la Conf rence de Dublin et du Sommet de Rio Cette position repose sur le mod le de bonne gouvernance mis de l avant par la Banque mondiale qui en fa
162. d tudier plus profond ment Au total plus de 70 l ments ausculter sont mis de l avant qui concernent non seulement les trois l ments intrins ques du d veloppement durable mais aussi le cadre juridique actuel applicable aux gaz de schiste afin d en arriver des propositions de r forme Le plan de r alisation pr voit que l ES donnera lieu trois exercices de participation publique Parmi les l ments que le Comit de l ES propose d tudier on note vers la fin du plan de r alisation l valuation de la pertinence socio conomique de l exploitation du gaz de schiste Il est notamment pr vu d analyser les enjeux de d veloppement durable que soul vent l exploration et l exploitation des gaz de schiste par rapport d autres fili res en regard des principes contenus dans la loi et le d tail de la mani re dont cette fili re peut s ins rer dans les orientations de la strat gie nerg tique adopt e par le gouvernement du Qu bec pour la p riode 2006 2015 On propose aussi d effectuer une analyse avantage co t de la fili re du gaz de schiste en fonction de divers sc narios de d veloppement dont le sc nario pas de d veloppement qui doit servir de r f rence Pour se faire il est pr vu de tenir compte de plusieurs facteurs de nature environnementale mais surtout de nature conomique Face une telle juxtaposition des l ments de
163. d honneur David Willey Directeur responsable du processus de p tition en mati re d environnement Bureau du v rificateur g n ral du Canada Courriel petitions oag bvg gc ca 213 8 colloque tudiant de l Institut EDS Comit organisateur Chancia Ivala Plaine tudiante la ma trise en droit Universit Laval Courriel chancia blandine maroundou ivala plaine 1 ulaval ca Yuan Zheng Li Etudiante au doctorat en sociologie Universit Laval Courriel yuan zheng li 1 ulaval ca Georges Boniface Nlend V Etudiant au doctorat en sociologie Universit Laval Courriel georges boniface nlend v 1 ulaval ca Flor de Maria Robles Barreto Etudiante au doctorat en sciences foresti res Universit Laval Courriel flor de maria robles barreto 1 ulaval ca Coralie Lamaire Chad tudiante la ma trise en g nie des eaux Universit Laval Courriel coralie lamaire chad 1 ulaval ca Vanessa Boudreau Etudiante au doctorat en g nie des eaux Universit Laval Courriel vanessa boudreau 2 ulaval ca 214 Equipe de l Institut EDS Fran ois Anctil Directeur T l phone 418 656 2723 Local 3857 Courriel directeur ihqeds ulaval ca Jocelyne N ron Charg e de communication relations m dias T l phone 418 656 3274 Local 3853 Courriel jocelyne neron ihqeds ulaval ca Marie H l ne B rard Conseill re en d veloppement de la recherche T l phone 418 656 2
164. de connaissances s articule autour du d veloppement de la transition nerg tique La question de recherche concerne la r ussite de la transition nerg tique vers le d veloppement des nergies renouvelables les conditions pour garantir l acceptabilit sociale de ces projets les acteurs impliqu s dans cette transition On constate qu il persiste un faible d veloppement des nergies renouvelables au niveau mondial seulement 11 dans le secteur nerg tique mondial De plus la complexit des processus d apprentissage et de perception montre la variabilit d interpr tations d une m me information Ensuite le citoyen est l acteur au c ur du changement qui ayant peur de l incertain ou encore poss dant une attitude conservationniste protectrice des ses int r ts individuels peut s opposer au changement L acceptabilit sociale est une notion garantir pour aider le d veloppement de ces nergies Enfin la r forme de la gouvernance vers une d mocratie cognitive aide r duire la complexit de l enjeu proc dural en assurant un d bat multipartiste transparent pour une information claire et accessible tous Les cas de r ussite de d veloppement des nergies renouvelables au Danemark et en Allemagne soulignent bien l importance de la r novation des fondations politico sociales gr ce une d marche d mocratique et une gouvernance adapt e La transition nerg tique est en cours
165. de l h ritage 1993 43 43 8 colloque tudiant de l Institut EDS Bibliographie Birnbacher Dieter 1994 La responsabilit envers les g n rations futures 1988 Paris PUF Brown Weiss dith 1993 Justice pour les g n rations futures Droit international patrimoine commun et quit interg n rations 1989 Paris Ed Sang de la Terre Desjardins Joseph 1995 thique de l environnement Une introduction la philosophie environnementale Qu bec Presses de l Universit du Qu bec Etchegoyen Alain 1993 Le temps des responsables Paris Julliard Gosseries Axel 2004 Penser la justice entre les g n rations Paris Aubier Jonas Hans 1995 Le principe responsabilit Une thique pour la civilisation technologique 1979 Paris Flammarion Coll Champs essai Kant Emmanuel 1994 M taphysique des m urs II Paris GF Mbonda Ernest Marie propos de la justice interg n rationnelle dans l Afrique traditionnelle Cahier africain des droits de l homme Droits de l homme libert s et justice sociale en Afrique centrale Etudes et documents de l APDHAC Presses de PUCAC no 11 mars 2011 97 122 Ric ur Paul 1995 Le juste Paris Esprit ditions Coll Philosophie Ric ur Paul 1994 Le concept de responsabilit Essai d analyse s mantique Esprit 28 44 Cour supr me des Philippines 30 juillet 1993 Cf http www escr net org case
166. de r f rence pour la mod lisation 154 l chelle pour l olienne de 30 kW Dans le cas des panneaux solaires Photovoltaiques les donn es proviennent essentiellement de la litt rature CanSIA NRCan 2008 Peu d informations d taill es ont t obtenues des manufacturiers concernant les diverses tapes d installation d op ration et de d mant lement en fin de vie Le recours au manuel d utilisateur du logiciel RETScreen a t utilis pour estimer les donn es manquantes Natural Resources Canada and NRCan CTEC 2008 valuation des couts et des environnementaux du cycle de vie L valuation des impacts du cycle de vie a d abord t tablie partir de la m thode europ enne reconnue internationalement IMPACT 2002 Jolliet Margni et al 2003 Pour l valuation des couts du cycle de vie il n est pas n cessaire d internaliser les couts reli s aux impacts environnementaux pour viter toute probl matique reli e au double comptage Comparativement l analyse des impacts du cycle de vie o la quantification des entrants de mati re et d nergie et des sortants missions l air l eau et au sol reli s au cycle de vie des syst mes s lectionn s de production distribu e est traduite caract ris s et agr g s au sein de cat gories d impacts et de dommages il n est pas n cessaire de traduire les couts du cycle de vie tant donn qu ils portent la m me u
167. dent de la Banque mondiale est loquente sur ce point et sur celui de la mont e des organismes environnementaux am ricains ne pas oublier galement la mont e du march et de la mondialisation qui l accompagne Le Qu bec suit de pr s l avancement de la gestion de l eau la sc ne internationale et ses d cisions publiques semblent parfois pr c der les conclusions de la communaut internationale Son essai de gestion int gr e tatique de l eau en 1964 est remarquable sur ce point quoique n tant pas une premi re mondiale l Allemagne 1904 les tats Unis 1933 et notamment la province d Ontario 1946 l ayant pr c d en cette mati re Tableau 2 1960 1990 volution la gestion de l eau au Qu bec et dans le monde Qu bec Ann e International Rencontre des ministres canadien et 1961 provinciaux des Richesses naturelles sur les probl mes en lien avec les ressources renouvelables Le minist re des Richesses naturelles du 1964 Qu bec devient habiliter r aliser des plans de gestion int gr e de l eau 1965 Inauguration de la D cennie hydrologique 1975 internationale Office de planification et de d veloppement 1968 lance le plan Yamaska plan de gestion int gr e tatique de l eau Rapport de la Commission d tude des 1970 Mont e des organismes non probl mes juridiques de l eau qui r clame une gouvernementaux environnementaux Il
168. des plus le retour sur l investissement est lev Il n en demeure pas moins que la m thode la plus efficace pour minimiser l impact des plantes nuisibles demeure la pr vention En effet la pr vention est un l ment essentiel de tout programme de gestion des plantes nuisibles qui se veut la fois efficace au niveau de son co t et de son succ s DiTomaso 2000 Les outils d velopp s dans le cadre de cette th se valueront le potentiel de risque d une plante et qui pourront tre utilis s dans un processus d cisionnel afin d emp cher l introduction de nuisibles Les outils en mati re de pr vention Actuellement l outil d aide la d cision le plus utilis dans le monde pour les plantes nuisibles est le Weed Risk Assessment WRA un syst me d velopp en Australie dans les ann es 1990 et utilis depuis 1997 par le Service australien de quarantaine et d inspection Cet outil se pr sente sous la forme d un questionnaire de 49 questions portant sur la biologie des esp ces valu es leur biog ographie et leur historique en mati re d invasion Il permet de classer les esp ces v g tales dans une cat gorie de recommandation qui correspond un potentiel de nuisance selon le score obtenu par la r ponse aux questions Ce classement peut alors aider les d cideurs prendre les d cisions qui s imposent en mati re d importation ou de contr le le cas ch ant Pheloung ef al 1999
169. des froides et validation sur les ann es s ches chaudes aboutissant ainsi quatre tests valuer la performance et la robustesse des mod les pour ces quatre tests et en d duire la transposabilit Le calage des mod les hydrologiques s appuie sur l utilisation de l algorithme d optimisation automatique Shuffled Complex Evolution Duan et Gupta 1992 Les performances des mod les sont calcul es par l utilisation du tr s courant crit re de Nash Sutcliffe NSE et l valuation du pourcentage d erreur sur les volumes PVE L valuation de l int r t individuel de chaque mod le est tablie sur la base de ces crit res L int r t collectif fond sur l approche multimod le ensemble est valu par la cr ation d hydrogrammes simul s fictifs repr sentant la moyenne des d bits simul s par les diff rents mod les hydrologiques s lectionn s le multimod le vingt membres correspondant au d bit moyen simul des vingt mod les hydrologiques quant aux sous s lections elles repr sentent les d bits simul s moyens de toutes les combinaisons de mod les possibles R sultats Les r sultats individuels illustrent la difficult d identifier un mod le hydrologique qui performe bien dans la totalit des DSST De plus les performance et robustesse de chaque mod le individuel d pendent clairement du bassin versant sur lequel ils sont employ s Dans ce cas il est difficile de m
170. des pistes int ressantes L argument de la transitivit rattrapage La transitivit rattrapage Gosseries A 2004 92 94 laisse entendre que chaque g n ration est directement responsable des droits de la g n ration suivante et indirectement de ceux des g n rations plus lointaines En fait la n cessit d une responsabilit prospective l poque contemporaine prend les allures d une cha ne ou continuum qui sert de pont entre les g n rations Elle introduit l id e de relais entre les g n rations Mieux encore elle interpole entre chaque agent et les effets lointains le lien interhumain de filiation Suivant cet argument donc il s agit concr tement de d fendre indirectement les droits de la g n ration G3 travers les obligations de g n ration G2 vis vis de la g n ration G 2 Un acte de d forestation pos par G1 peut tre pr judiciable G3 non G2 qui est la g n ration suivante Par cons quent en d gradant le sort de G3 G1 rend difficile la garantie des obligations de G2 envers G3 En d autres termes m me si l environnement que transmet G1 a G2 n est pas encore soumis aux affres de la pollution par exemple il se peut que G2 soit oblig de mobiliser des co ts importants pour reboiser ce afin de transf rer G3 un environnement non d grad Ainsi il y a un sens dire que le pr judice diff r de Gl par rapport G3 d grade en r alit le sort de G
171. diant de l Institut EDS Verbrugge L N H R S E W Leuven et G van der Velde 2010 Evaluation of international risk assessment protocols for exotic species Report number 352 on Environmental Science Heyendaalseweg Department of Environmental Science Institute for Water and Wetland Research 58 pages Weber J F D Panetta J Virtue et P Pheloung 2009 An analysis of assessment outcomes from eight years operation of the Australian border weed risk assessment system Journal of Environmental Management 90 2 798 807 Annexes Annexe I Liste des catalogues de plantes ornementales historiques publi s au 19e si cle du Qu bec qui seront utilis s pour dans le cadre de cette th se Brunet O E 1888 Catalogue de graines de champs de jardins et de fleurs avec direction et mani re de les cultiver O E Brunet Qu bec Dupuis A 1894 Arbres fruitiers et d ornement pour le Canada Prix des plants a la p pini re du Village des Aulnaies Auguste Dupuis Village des Aulnaies Evans W 1878 Catalogue illustr et descriptif de graines et de semences choisies dans ma ferme chez les principaux agriculteurs d Europe Magasin d instruments d agriculture du Canada Montr al Evans W 1881 Catalogue illustr et descriptif de graines et de semences choisies dans ma ferme chez les principaux agriculteurs d Europe Magasin d instruments d agriculture du Canada Montr al Gallagher et Gauthier
172. diversit dans l tablissement de son r seau d aires prot g es tant donn la tr s grande diversit d aires prot g es au Qu bec il est difficile de r pondre pr cis ment la question Il faudrait valuer aire par aire la mani re dont les chemins sont g r s et planifi s Toutefois il est manifeste que le souci des r percussions environnementales des routes serait Il s agit des derni res donn es disponibles en date du 29 d cembre 2011 gt Pourcentage obtenu ainsi 861 300 km2 9 970 610 km2 x 100 partir des donn es de Chape S M Spalding et M Jenkins dir 2008 The World s Protected Areas Status Values and Prospects in the 21st Century 2008 Cambridge UNEP WCMC la p 183 Pourcentage obtenu ainsi 2 063 337 km2 9 612 453 km2 x 100 partir des donn es de Chape supra note 3 163 8 colloque tudiant de l Institut EDS mieux mis en vidence par la cr ation d une d signation d aires sans route ou encore de for ts intactes ou autrement appel es for ts vierges B langer 2009 La responsabilit des forestiers Il est reconnu que les chemins forestiers sont des ouvrages d art complexes indispensables la r colte foresti re Dykstra 1996 Afin de composer ad quatement avec cette complexit il est souhaitable que la conception et le trac des chemins forestiers soient effectu s par des ing nieurs comp tents et
173. dividu a sa vision de son environnement qui s appelle la r alit v cue dans laquelle il ne conserve que les l ments qui lui semblent importants son quotidien gr ce au filtre des sens De ce tri de l information g n rale d coule une information r siduelle qui sera per ue interpr t par diff rents facteurs individuels Voir Annexe tels que l histoire personnelle la m moire ou encore la personnalit Cette perception aboutira une image mentale qui est une repr sentation du r el Quand l individu souhaitera transmettre cette image mentale il utilisera ses propres moyens de communication avec ses propres connaissances pour diffuser le message avec son filtre des communications Enfin ce message atteindra un r cepteur et le cycle recommencera Ainsi on comprend bien que chaque individu poss de une perception du r el propre son v cu et que ce sont selon Bailly 1977 les facteurs endog nes et l apprentissage qui modifient en permanence notre id e du monde De plus l exp rience modifie les structures cognitives comme la perception l attention la m moire selon Chevalier 2004 Enfin rappelons qu apprendre c est recueillir analyser interpr ter l information Il en r sulte une repr sentation mentale de l action En clair chaque individu visualise une information sa mani re avec les processus d apprentissage et de perception qui lui sont propres Il est donc impo
174. donn es assurent un inventaire le plus repr sentatif possible des entrants et des sortants des processus impliqu s augmentant ainsi la pertinence de l tude Les donn es primaires pour les oliennes de petites puissances de 1 et 10 kW ont essentiellement t collect es aupr s de divers manufacturiers pr sents sur le march nord am ricain des oliennes de petites puissances Bergey Windpower Co Les donn es de l olienne de petite puissance de 30 kW et les donn es des panneaux solaires de 3kWp monocristallins et polycristallins proviennent de la banque de donn es ecoinvent donn es secondaires et ont t adapt es au contexte nord am ricain Burger and Bauer 2007 Jungbluth and Tuchschmid 2007 Les donn es manquantes ont quant elles t compl t es par des hypoth ses et des donn es secondaires c d des donn es g n riques ou th oriques disponibles dans la litt rature et la banque de donn es ecoinvent Une approche similaire a t adopt e lors de la collecte des donn es pour les couts des syst mes de production distribu e Dans un premier temps les donn es primaires pour les oliennes de petites puissances de 1 et 10 kW pour les convertisseurs et pour les composantes de raccordement ont essentiellement t collect es aupr s des manufacturiers Bergey Windpower Co En absence de donn es ces couts ont t mis L ann e 2009 tant employ e comme base
175. doptant le NORDREG le Canada a fait le choix de l action unilat rale pour r glementer la pr vention de la pollution marine le long de ces c tes et ce en vertu du droit qui lui est conf r par l article 234 de la CNUDM Nous avons vu que la SOLAS quoique mentionnant le r le que devraient avoir les autres tats via POMI dans l adoption de telles mesures permet par r f rence l adoption unilat rale du NORDREG canadien en se r f rant aux droits qu ont les Etats en vertu du droit international tels que celui l article 234 de la CNUDM Si l opportunit politique du choix du Canada d adopter le NORDREG sans qu il n ait fait l objet d un contr le par les autres tats ne peut faire l objet d une analyse particuli re ici nous ne pouvons que noter que ces mesures peuvent constituer l application du principe de pr vention principe g n ral de droit de l environnement entr dans le droit coutumier de Sadeleer 2005 Cette action pr ventive trouve une place particuli re en ce qui concerne la protection des oc ans dans la D claration de Stockholm de 1972 selon laquelle les Etats devront prendre toutes les mesures possibles pour emp cher la pollution des mers par des substances qui risquent de mettre en danger la sant de l homme de nuire aux ressources biologiques et la vie des organismes marins de porter atteinte aux agr ments naturels ou de nuire d autres utilisations l git
176. dopter pour que les d fenseurs r pondent positivement La seule diff rence ici avec Grande Baleine c est que les d fenseurs adoptent une attitude de fermeture non pas vis vis les revendications environnementales mais au niveau conomique cette fois Pourquoi La question est ouverte 61 8 colloque tudiant de l Institut EDS Tableau 4 Discours du Plan Nord Volet Environnement Strat gie des opposants R ponse positive des d fenseurs R ponse positive des d fenseurs D nonciation 25 En somme les enjeux n apparaissant pas encore dans les d bats entourant le Plan Nord mais qui taient pr sents sous Grande Baleine et donc enjeux qui pourraient tr s bient t investir les discours et auxquels nous devrions accorder une attention particuli re sont la critique du d roulement des consultations de la qualit des tudes des risques environnementaux du droit de regard des autres pays des conomies d nergie et du respect des lois et des cultures Conclusion Un homme a dit un jour que toute science cr ait une nouvelle ignorance Michaux 1950 De fait la lumi re de cette affirmation nous conclurons cette recherche par trois questions Tout d abord puisque le concept de d veloppement durable structure tr s peu les discours la question est en a t on vraiment besoin D autre part le Sommet de 62 R ponse positive des d fenseurs R ponse n gative des d fens
177. du d veloppement conomique et social Bibeault 2003 Dans les ann es 1970 la pr occupation environnementale commencera se r pandre dans l ensemble des institutions 67 8 colloque tudiant de l Institut EDS qu b coises sous la pression des groupes cologistes et environnementalistes Vaillancourt et Perron 1997 Sur le plan tatique le processus d int gration des responsabilit s en lien avec les ressources en eau franchit une nouvelle tape en 1972 avec l instauration des Services de protections de l environnement qui regroupent la R gie des eaux du Qu bec et la Direction g n rale du milieu du minist re des Affaires sociales Simard et Lepage 2004 La cr ation du minist re de l Environnement en 1979 ach vera les efforts d int gration de cette d cennie par la fusion des Services de protection de l environnement et de la Direction g n rale des eaux du MRN Par contre le plan Yamaska qui se voulait une approche int gr e mais gouvernementale se termine plut t mal c est dire par un retour P approche sectorielle Quelques accommodements ont bien t faits mais les manceuvres sectorielles des acteurs locaux et des minist res ont eu raison de la planification tatique Bibeault 2003 Sur le plan social les ann es 1980 verront la naissance de plusieurs initiatives communautaires en lien avec les ressources en eau C est ainsi que les associations de lacs se
178. du forestier en chef 2010 Il s agit d un processus volontaire et le choix d y recourir ou non est influenc par les besoins du march et ou l intention du demandeur MRNF Crit res Par ailleurs rappelons que la LADTF rendra d sormais les directions r gionales DGR responsables de la planification foresti re des for ts publiques qu b coises et par le fait m me de la certification foresti re qui lui est applicable et ce l aide des plans d am nagement forestier int gr MRNF Viau 2011 On doit constater que les normes volontaires de certifications foresti res connaissent un succ s de popularit car de plus en plus d intervenants y adh rent et qu elles offrent la possibilit de prendre en compte de mani re appropri les effets potentiellement nuisibles des chemins forestiers la biodiversit mais il est encore trop t t pour mesurer 166 l efficacit de ces normes savoir si elles modifient concr tement les comportements potentiellement nuisibles de ces derniers tout au long de la vie du chemin forestier Tikina 2008 3 Les instruments juridiques en d veloppement Le futur R glement d am nagement durable de la for t RADTF tout comme la planification int gr e auront la possibilit de prendre en compte les effets potentiellement nuisibles des chemins la biodiversit Le R glement sur l am nagement durable du territoire forestier Le Minist re proc
179. duit par l octroi de droits et obligations particuliers aux Etats du pavillon et aux Etats c tiers les premiers ont le droit utiliser les oc ans comme voies de navigation dans une certaine mesure et les seconds se voient reconnaitre des droits leur permettant de r glementer le passage des navires le long de leurs c tes afin de pr venir la pollution qui pourrait tre provoqu e par ceux ci dans le cadre d op rations de routine ou d incident en mer De mani re synth tique nous pouvons donc consid rer que c est dans cette juxtaposition des sph res conomique et environnementale c est a dire dans cette cohabitation entre le potentiel conomique de cette voie navigable envisag par les Nations maritimes et la n cessaire pr vention de la pollution par les tats c tiers que se pose dans notre analyse la question de la gouvernance en Arctique et notre question de recherche quelle est la l galit sur le plan du droit international du R glement NORDREG adopt unilat ralement par le Canada en 2010 dans le but de pr venir la pollution par les navires dans l Archipel canadien Oc an arctique Potentiel cono Nations maritiry ique D Mesures de protection nvironnement fragile tats c tiers s dc pme hs gt Gouvernance Figure 2 la gouvernance maritime en Arctique situ e dans les sph res conomique et environnementale du d veloppement durable Le NORDREG Le 10 juin
180. e esp ce La d cision pour chaque plante nuisible ou pas ou potentiellement nuisible faute de donn es assez pr cises ou de consensus clair devait faire l objet d un consensus Elle devait aussi tre prise en fonction des diff rentes cat gories de nuisance potentielles pour l agriculture pour l horticulture pour les cosyst mes naturels Les choix ont ensuite t trait s l aide du logiciel jMAF Btaszczynski et al 2009 d velopp et perfectionn par l quipe de Roman Stowinski du Poznan University of Technology en Pologne Ce logiciel permet non seulement d induire les r gles de d cision mais aussi de mettre en vidence les inconsistances susceptibles de surgir des d cisions prises par les d cideurs Elle permet galement d identifier le noyau core et les r duits reducts pour chaque cat gorie de nuisance Ce logiciel mesure aussi la pr cision c est dire le degr de compl tude de la classification pour chaque classe d cisionnelle en plus de donner une mesure de la qualit de l approximation c est dire un aper u g n ral de la performance du mod le Il donne aussi des statistiques pour chaque r gle ainsi que pour chaque plante De plus il permet d attribuer une classe a de nouvelles plantes qui ne sont pas contenues dans l ensemble d origine qui permet de construire l outil Enfin il est possible de proc der une validation crois e des r sultats
181. e NIMBY Not In My BackYard signifiant pas dans ma cour apparu aux tats Unis dans les ann es 80 d crit une attitude d opposition d une population vis vis d un projet per u dangereux g n rateur de nuisances En effet le groupe d individus touch s par un nouveau projet n est pas forc ment contre son d veloppement mais ils souhaiteront ne pas tre directement concern s ni eux ni leur famille et leur environnement car les impacts sur leur qualit de vie seraient nombreux Par exemple lors d tudes sur le gaz de schiste et la sant publique plusieurs citoyens ont associ leur qualit de vie au fait d habiter un milieu tranquille coh rent au tissu social troitement tiss par des liens de voisinage et par une forte confiance entre les individus Alter et coll 2010 Permits Wets 2009 Witter et coll 2010 Ce ph nom ne est per u par certains gt Voir Annexe 2 20 comme une attitude goiste syst matique de riverains qui s opposent au progr s et veulent prot ger leurs int r ts tandis que d autres tels que Callon estiment que cette controverse est un enrichissement car elle permet la d mocratisation de la d mocratie travers les dialogues entre les diff rents acteurs Dans certains projets nerg tiques il est arriv que les acteurs aient cr et renforc des images n gatives de leur opposition pour entretenir une image d eux se battant pour une bonne cause c
182. e WRA est utile car il est pr f rable de rejeter des plantes non nuisibles plut t que d accepter tort l introduction de plantes potentiellement nuisibles tant donn que les impacts ind sirables des introductions sont le plus souvent irr versibles Le WRA classe trop de plantes dans la cat gorie tre valu e davantage le plus souvent cause d un manque d information sur la plante cela requiert le d veloppement d une deuxi me proc dure de jugement ind pendante de la premi re Il s agit d une tape compl mentaire et dont le d veloppement diff re d un pays l autre Nishida et al 2009 Remplir le questionnaire du WRA exige une mobilisation importante de ressources ainsi qu un niveau de comp tence lev de la part de ceux qui l utilisent National Weed Risk Assessment System Review Group 2006 Le choix de l chelle utilis e pour distinguer les cat gories de recommandation a t fait de fa on arbitraire Verbrugge ef al 2010 Enfin le score global ne peut se calculer en utilisant les r ponses ordinales ces r ponses doivent donc tre trait es cardinalement Par exemple une r ponse obtenue sous la forme faible ou moyenne sera convertie en r ponse cardinale c est dire faible quivaudra 0 et moyenne quivaudra 1 Pour ce faire la cardinalisation permet de transformer une information ordinale en valeur cardinale et
183. e annonce clairement que le Qu bec d sire se d tacher du peloton et faire bande part Le ministre qu b cois de Environnement de l poque Paul B gin profite de la rencontre pour r affirmer les intentions du Qu bec au moyen d un communiqu explicite sur la question MEQ 1997 Tout d abord dans son communiqu le ministre B gin r it re la position ambitieuse 30 prise par le Canada lors du Sommet de Rio de 1992 stabilisation des missions au niveau de 1990 pour l an 2000 Il souligne le fait que malgr les efforts d ploy s par les diff rentes provinces le Canada n atteindra pas cet objectif Le Qu bec est donc d avis qu il faut intensifier le travail et fixer de nouveaux objectifs de r duction pour l apr s 2000 B gin ira m me questionner ses homologues sur leur vision long terme Quand pensons nous qu il sera plus facile et moins co teux de r duire nos missions de gaz effet de serre qu aujourd hui Aussi le ministre met il en relief l importance d une tude sur les co ts reli s la r duction pour s assurer de choisir l approche la moins p nalisante pour la comp titivit des entreprises mais galement sur les co ts associ s l inaction Ces d clarations viennent d tacher le Qu bec de ce qui semble former un consensus entre les provinces et le gouvernement f d ral En d autres termes le Qu bec se montre beaucoup plus ambitieux Un peu mo
184. e internationale de l environnement et la r forme de l Organisation des Nations unies La gouvernance internationale de l environnement aide ou obstacle la gouvernance internationale de l environnement selon une perspective nationale Nairobi 16 20 f vr 2009 UNEP GC 25 16 Add 1 PNUE DE 2010 The Consultative Group of Ministers or High level Representatives on Broader International Environmental Governance Reform United Nations Specialised Agencies versus United Nations Programmes Note by the Executive Director Issued without formal editing PNUE DELC 2011 The Environmental Dimension of IFSD Fragmentation of Environmental Pillar and its Impact on Efficiency and Effectiveness Issues Brief 2 PNUE DELC 2011 The Environmental Dimension of IFSD Importance of Environmental Pillar to IFSD Issues Brief 1 PNUE DELC 2011 The Environmental Dimension of IFSD Legal Questions and Answers on IEG Reforms WEO and UNEO Issues Brief 4 PNUE DELC Division du droit et des conventions relatifs a l environnement 2011 The Environmental Dimension of IFSD Country Responsiveness Implementation and Capacity Support for the Environmental Pillar of IFSD Issues Brief 3 PNUE DG juin 2010 The Consultative Group of Ministers on Broader IEG Reform United Nations Specialised Agencies versus United Nations Programmes Note by the Executive Director 15 p Ronald B Mitchell and the IEA Database Proj
185. e l int gration de la production distribu e SH QE CC et RES renvoient la cat gorie d impacts sant humaine qualit des cosyst mes changements climatiques et ressources Une valeur n gative renvoie une diminution des impacts SH QE CC RES Cout Approche Sc narios Syst mes DALY PDF m yr kg CO MJ primary US TERN Grid mix PVP inf 2 21E 08 6 65E 02 2 93E 02 3 55E 01 0 36 y W30 sup 6 92E 10 7 67E 02 1 62E 02 4 21E 01 0 08 Mazout PVP inf 3 2E 07 7 4E 02 1 0E 00 1 5E 01 0 27 Marginal Court W30 sup 3 4E 07 8 4E 02 1 1E 00 1 6E 01 0 01 terme Gaz naturel PYP inf 1 31E 08 1 32E 02 1 75E 01 3 32E 00 0 33 US W30 sup 9 69E 09 3 01E 03 2 20E 01 4 09E 00 0 05 N inclut pas les couts de d mant lement une approche conservatrice est appliqu e Repr sente la technologie affect e dans la province de Qu bec Nouveau Brunswick et New York Repr sente la technologie affect e au Nouveau Brunswick et New York d W30 sup est l olienne de petite puissance 30 kW tant la meilleure s quence pour les conditions m t orologiques au dessus de la moyenne et PVp inf est le panneau solaire polycristallin 3kWp tant la meilleure s quence pour les conditions m t orologiques au dessous de la moyenne Ce qui ressort des r sultats pr sent s dans le tableau ci dessus est que l olienne de petite puissance de 30 kW tant la s quence technologique avec le m
186. e mesures de restauration le gouvernement compte tudier le cas Certains remettent en question le fait que le Plan Nord soit du d bats sur 60 R ponse positive des d fenseurs R ponse n gative des d fenseurs R ponse n gative des d fenseurs R ponse n gative des d fenseurs d veloppement durable les mines tant par nature non durables mais le gouvernement ne partage pas cet avis Enfin on demande des valuations d impact le gouvernement est tout fait d accord mais quand nous lisons que les investisseurs chinois voudraient qu elles soient faites en deux semaines pour pouvoir commencer les travaux rapidement il est l gitime de craindre le pire Le Plan Nord et les d bats sur l conomie Dans le cas du Plan Nord ce n est pas l environnement qui pr domine le d bat mais l conomie Pourquoi Ce n est certainement pas cause du contexte conomique puisque Grande Baleine se passait en p riode de r cession Peut tre est ce que l exp rience de Jean Charest comme ministre f d ral de l environnement sous Grande Baleine lui aura permis d anticiper les d bats environnementaux Face au Plan Nord l opposition r clame une s rie de r formes institutionnelles plus de transparence un commissaire ind pendant une augmentation des redevances des mini res une r vision de la Loi sur les mines un renforcement du contr le sur nos ressources quelques d tai
187. eau correspondant est estim gr ce au coefficient de ruissellement du bassin analys avec les simulations de plusieurs v nements pluvieux tr s vari s Ce coefficient est relativement stable et sa valeur est environ de 40 Si ce volume d eau pr vu additionn au volume actuel dans le bassin d passe la capacit maximale de stockage alors le volume en exc s qui doit donc tre vacu avant l v nement pr vu est connu galement La vitesse de vidange finalement choisie au travers du pourcentage d ouverture de la vanne de sortie d pend du temps qu il reste avant l v nement pluvieux pr vu connu galement gr ce aux pr visions m t orologiques Le sc nario incluant les pr visions m t orologiques de pluie comme information suppl mentaire est nomm Futur C dans le tableau 1 Ses r gles consistent en les r gles du sc nario volu C avec en plus les r gles consid rant les pr visions 126 R sultats Les r sultats sont pr sent s au tableau 1 Les crit res utilis s consistent en le taux d enl vement des MES maximiser le nombre d heures pass es avec un d bit sup rieur 0 06 et 0 15 m s minimiser et le nombre de d bordements restreindre 0 Ces crit res ont t calcul s en r alisant des simulations continues sur 6 t s cons cutifs plus de 1000 jours de simulation de 2005 2010 Les r sultats indiquent que le CTR de ce bassin de r tention augmen
188. eau qui reprend les l ments de bonne gouvernance de la Banque mondiale 1992 Sommet de Rio Plan d action qui reprend les principes de Dublin Participation record des ONG Le Conseil de la conservation et de 1993 Strat gie sur la gestion des ressources en eau l environnement recommande de passer une de la Banque mondiale qui s appuie sur Rio gestion int gr e d centralis e et concert e des et Dublin et implique directement les ONG ressources en eau r alis e par des associations Adh sion du Qu bec au R seau international 1996 Avec l appui de la Banque cr ation du des organismes de bassin Global Water Partnership organisme de promotion de la GIRE La Commission scientifique et technique sur la 1997 gestion des barrages recommande de confier la gestion int gr e de l eau des comit s de bassin Tenue d un symposium sur l eau La Commission sur la gestion de l eau 2000 recommande de mettre en place la gestion int gr e de l eau par bassin versant Elle demande que la repr sentativit sur les comit s de bassins soit sans hi rarchie ni majorit de repr sentation Elle souhaite que ces organismes soient uniquement des tables de concertation Lancement de la Politique nationale de l eau 2002 qui reprend en grande partie les conclusions de la Commission sur la gestion de l eau Cr ation et soutien des organismes de bassin versant qui sont des ONG 2004 Nouvelle strat gie sur la gestion des ressour
189. ect 2002 2012 International Environmental Agreements IEA Database Project Strandaneas Jan Gustav 2011 A Council for Sustainable Development A possible outcome of the Rio 20 Process in SDG 2012 Stakeholder Forum 30 p Strandenaes Jan Gustav 2011 Sustainable Development Governance towards Rio 20 Framing the Debate in SDG 2012 Stakeholder Forum 12 p 116 Turgeon Yan 2010 Quelle r forme pour la GIE in Objectif Terre vol 12 n 1 mars 2010 IEPF Turgeon Yan 2011 Quel avenir pour la Commission du d veloppement durable in Objectif Terre vol 13 n 2 juillet 2011 IEPF Turgeon Yan 2011 Rio 20 apportera t il plus de coh rence au syst me multilat ral in Objectif Terre vol 13 n 4 d c 2011 IEPF UN 2012 The Futur We Want avant projet du document de r sultat de Rio 20 labor par les co pr sidents 117 8 colloque tudiant de l Institut EDS 118 Le gouvernement f d ral l environnement et vous le processus de p tition en mati re d environnement Conf rence de l invit d honneur DAVID WILLEY Directeur responsable du processus de p tition en mati re d environnement Bureau du v rificateur g n ral du Canada Le processus de p tition en mati re d environnement permet aux Canadiens d obtenir par crit des ministres des organismes ou des minist res f d raux des r ponses leurs demandes d inform
190. eilleur profil environnemental et conomique pour les conditions de force de vent et d ensoleillement au dessus de la moyenne de la province de Qu bec ne permet pas une r duction des couts en r ponse son int gration dans le r seau centralis mais uniquement une r duction des impacts environnementaux L absence de r duction des couts est principalement expliqu e par le cout lev par kWh produit par les syst mes valu s Les donn es marginales pour le court terme ont galement t utilis es pour quantifier les impacts conomiques et environnementaux reli s aux cons quences de l int gration de la production distribu e dans le r seau centralis Selon la proc dure d identification des technologies marginales propos e par Weidema les r sultats pr sent s dans le tableau ci dessus montrent que l olienne de petite puissance de 30 kW pr sente des avantages de r duction des impacts environnementaux et conomiques dans une perspective court terme ssi l nergie renouvelable vient substituer de l nergie thermique partir du mazout Il est noter que pour ce sc nario de technologie marginale les panneaux solaires Photovoltaiques 3kWp polycristallins tant la meilleure s quence technologique se trouvant pour les niveaux de force des vents et 157 8 colloque tudiant de l Institut EDS d ensoleillement au dessous de la moyenne pr sentaient uniquement un potentiel de
191. ek D Simberloff M Rejm nek amp A D Mader 2008 Biological invasions the widening debate a response to Charles Warren Progress in Human Geography 32 2 295 298 Seastedt T 2009 Traits of plant invaders Nature 459 783 784 Simberloff D 2009 The role of propagule pressure in biological invasions Annual Review of Ecology Evolution and Systematics 40 81 102 Smith M D amp A K Knapp 2001 Physiological and morphological traits of exotic invasive exotic and native plant species in tallgrass prairie International Journal of Plante Science 162 785 792 Sutherland S 2004 What makes a weed a weed life history traits of native and exotic plants in the USA Oecologia 141 24 39 Thebaud C amp D Simberloff 2001 Are plants really larger in their introduced ranges The American Naturalist 157 231 236 186 Theoharides K A amp J S Dukes 2007 Plant invasion across space and time factors affecting nonindigenous species success during four stages of invasion New Phytologist 176 2 256 273 Thompson K 1994 Predicting the fate of temperate species in response to human disturbance and global change Pages 61 76 in T J B Boyle amp C E B Boyle eds Biodiversity temperate ecosystems and global change Springer Berlin Heidelberg New York Warren C R 2007 Perspectives on the alien versus native species debate a critique of concepts language and practice P
192. en native and introduced plants of southwestern Ontario Ecoscience 8 230 238 Cadotte M W B R Murray amp J Lovett Doust 2006 Ecological patterns and biological invasions using regional species inventories in macroecology Biological Invasions 13 809 821 Cadotte M W M A Hamilton amp B R Murray 2009 Phylogenetic relatedness and plant invader success across two spatial scales Diversity and Distribution 15 481 488 Caley P R H Groves amp R Barker R 2008 Estimating the invasion success of introduced plants Diversity and Distribution 14 196 203 Chytry M V Jaro ik P PySek O Hajek I Knollova L Tich amp J Danihelka 2008 Separating habitat invasibility by alien plants from the actual level of invasion Ecology 89 6 1541 1553 Daehler C C J S Denslow S Ansari H C Kuo 2004 A risk assessment system for screening out invasive pest plants from Hawai i and other Pacific Islands Conservation Biology 18 360 368 Daws M I J Hall S Flynn amp H W Pritchard 2007 Do invasive species have bigger seeds Evidence from intra and inter specific comparisons South African Journal of Botany 73 138 143 Dawson W D F R P Burslem amp P Hulme 2009 Factors explaining alien plant invasion success in a tropical ecosystem differ at each stage of invasion Journal of Ecology 97 657 665 Feng Y L G L Fu amp Y L Zheng 2008 Specific leaf area relates to
193. engagements Ainsi c est dans cette phase que l tat d veloppe son plan permettant l atteinte des objectifs pour honorer son engagement In vitablement des cibles plus pr cises et des engagements clairs sont exig s au fil des rencontres et les tensions deviennent de plus en plus vives et parfois m me publiques Stilborn 2002 En mars 2000 Qu bec se sert de la r union conjointe de Vancouver pour demander l tablissement de cibles distinctes suivant le mod le de l approche territoriale 2 Cette demande entre directement dans le sens de la strat gie qu b coise Il veut ainsi faire reconnaitre ses investissements depuis 1990 surtout en ce qui a trait l hydro lectricit et viter d avoir porter un trop lourd fardeau de r duction entrevue haut fonctionnaire MDDEP 2011 Lorsqu il voit ses exigences Note explicative Cette m thode utilis e par l Union europ enne permet de fixer une cible commune et d tablir des cibles diff renci es entre les pays ou provinces membres Afin de fixer des objectifs distincts les n gociations internes tiennent compte des caract ristiques propres chacun des membres relativement trois grands secteurs metteurs nomm ment la production d nergie l industrie fortement intensive en nergie et le secteur domestique Ces niveaux d mission sont ensuite r partis pour d finir des objectifs distincts entre les entit s tant donn l h t
194. ent 1997 Le ministre Paul B gin r affirme la position du Qu bec quant a la r duction des gaz a effet de serre Qu bec Publications acad miques Curry Dion Beyond federalism the Kyoto Protocol and multi level governance in Canada M moire M A Simon Fraser University 2005 119 p Dufault Evelyne Demi tour Une approche sociologique des renversements de politique trang re Le cas de la politique trang re canadienne Th se Ph D Universit du Qu bec Montr al 2006 269 p Mar chal Kevin et V ronique Choquette La lutte contre les changements climatiques En ligne 2006 http dev ulb ac be ceese CEESE documents Marechal CRISP pdf 2006 Page consult e le 13 mars 2011 Morin Sophie Analyse des impacts de la mondialisation sur l environnement au Qu bec Rapport 2 Le Protocole de Kyoto une mise en uvre difficile pour le Canada Laboratoire d tude sur les politiques publiques et la mondialisation cole nationale d administration publique 2006 15 p Smith Heather Canadian Federalism and International Environmental Policy MakingL The Case of Climate Change Institute of Intergovermental Relations Working Paper Queen s University 19 p Entrevues Perreault Alex Entrevue avec un membre du cabinet d Andr Boisclair Qu bec QC 18 mars 2011 Entrevue 35 minutes Perreault Alex Entrevue avec un membre du cabinet d Andr Boisclair Trois Rivi res QC 12 avril
195. eption de l information et le changement Bourdieu 1980 rappelle que l habitus tend assurer sa propre constance et sa propre d fense contre le changement travers la s lection qu il op re entre les informations nouvelles en rejetant en cas d exposition fortuite ou forc e les informations capables de mettre en question l information accumul e et surtout en d favorisant l exposition de telles informations L habitus tend se mettre l abri des crises et des mises en question critiques en s assurant un milieu auquel il est aussi pr adapt que possible On comprend alors l attitude de conservationniste adopt e par certains individus pour se pr munir du changement qui entra nerait une tornade dans leur cadre de r f rence si bien tablit Ceci repr senterait galement un risque de perdre l appartenance sociale au groupe d individus homog nes dans les pens es les actions etc Une analyse strat gique des organisations mise au point par Michel Crozier et son quipe fait une grande part l analyse du processus de changement en organisation Elle commence par le simple constat que le changement provoque toujours des r sistances l gitimes et in vitables En effet le changement est une situation de d s quilibre puisque l on sort d une zone de confort connue habituelle pour passer une nouvelle de zone de confort inconnue et incertaine C est donc une prise de risques qui ne garantit pas d
196. erence amp Youth Forum qu en 2011 lors de l International Conference on Shipping and Environmental Issues Certains armateurs de la CLIA bien qu ils ne respectent pas les normes environnementales requises pour naviguer en milieux polaires et que leurs client les ne sont pas n cessairement int ress es ce type de produits touristiques nous ont indiqu qu un d veloppement et des investissements ce niveau les inciteraient revoir leur position Finalement plusieurs op rateurs ont mis de l avant les effets n gatifs des lois canadiennes r gulant la navigation dans l Arctique canadien Au nombre de ces lois contraignantes notons la Loi sur la Cabotage 1992 ch 31 laquelle prohibits vessels to operate from a voyage embarking in on Canadian port 1 day of cruise and ending that same voyage in Canadian Waters without leaving the territory Silversea Cruise Communication personnelle 2012 Dans une perspective de d veloppement conomique des communaut s locales la Loi sur le Cabotage restreint les possibilit s de visiter un maximum de communaut s Ibid Dans le m me ordre d id es One Ocean Expeditions une compagnie qui op re l Akademik Ioffe un navire russe a mis de l avant le co t des inspections effectu es par l Agence des services frontaliers du Canada ASFC comme une contrainte majeure De plus challenged with work permits for Russian crew on the ship we operate all of ou
197. es Ces d marches devraient faciliter l acceptabilit sociale des projets sugg r s et confirmer la vision temporelle dynamique Ces rencontres seront galement un moyen privil gi de sensibilisation et de transfert de connaissance mutuelle Les r sultats de l impact environnemental des sc narios prospectifs retenus seront calcul s gr ce une m thodologie d agr gation couramment utilis e dans le milieu de l ACV tel que IMPACT 2002 Humbert et al 2005 Le calculateur devra galement tre un logiciel reconnu et utiliser par les analystes afin de respecter les r gles de standardisation tablies L innovation de ce projet consiste int grer un processus d cisionnel optimis une ACV Pour ce faire un mod le d optimisation sera g n r et int gr comme module au calculateur Une boucle de r troaction entre le calculateur d ACV et le module d optimisation permettra de r aliser une optimisation robuste combinant la maximisation des cons quences et la minimisation des incertitudes R sultats attendus L objectif premier est de r pondre une demande croissante des industriels du secteur forestier en leur fournissant une piste d outils permettant de quantifier l impact environnemental de leurs activit s La d marche scientifique de la m thodologie utilis e dans ce projet n tant plus d montrer et le sujet l tude assez peu document un 145 8 colloque tudiant de l Institut EDS
198. es Parcs Qu bec Auger P Beaudrant J 2004 Cadre de r f rence pour les organismes de bassins versants prioritaires Minist re de l Environnement du Qu bec Qu bec Banque mondiale 2010 Sustaining Water for All in a changing Climat World Bank Group Implementation Progress Report Washington D C Banque Mondiale 2004 Water Resources Sector Strategy Strategic Direction for World Bank Engagement Washington D C Banque mondiale 1993 Water Resources Management Washington D C Banque mondiale 1991 Managing Development The Governance Dimension A Discussion Paper Washington D C Bibeault J F 2003 La gestion de l eau dynamique d acteurs de territoire et de techniques Cahiers de G ographie du Qu bec Vol 47 n 132 389 411 Biswas A K 2003 From Mar del Plata to Kioto an analysis of global water policy dialogues Global Environment Echanges Part A vol 14 Suppl ment 1 2004 81 88 Charnovitz S 1997 Two Centuries of Participation NGOs and International Governance Michigan Journal of International Law vol 18 n 2 Chavagneux C 2003 La mont e en puissance des acteurs non tatiques Centre for Global Political Economy En ligne http www gemdev org publications cahiers pdf 29 Cah 29 CHAVAGNEUX pdf Commission sur la gestion de l eau au Qu bec 2000 L eau ressource prot ger partager et mettre en valeur Bureau d audiences publiques sur l environnement
199. es herbes du Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Ottawa Online http publications gc ca collections Collection A42 100 2003F pdf Accessed in 2010 Dawson M 2002 Plant quarantine Preventing the introduction and spread of alien species harmful to plants Dans R Claudi P Nantel et E Muckle Jeffs eds Alien Invaders in Canada s Waters Wetlands and Forests Ressources naturelles Canada Ottawa 243 241 DiTomaso J M 2000 Invasive weeds in rangelands species impacts and management Weed Science 48 255 265 Fitter A H et H J Peat 1994 The Ecological Flora Database Journal of Ecology 415 425 Online http www ecoflora co uk Accessed in 2010 Flora of North America 2010 Flora of North America Online http www efloras org Accessed in 2010 Gass N D Sol J Pino E D Dana F Lloret M Sanz Elorza E Sobrino et M Vila 2009 Exploring species attributes and site characteristics to assess plant invasions in Spain Diversity and Distributions 15 50 58 Greco S B Matarazzo et R Stowinski 1999 Rough approximation of a preference relation by dominance relations European Journal of Operational Research 117 1 63 83 Greco S B Matarazzo et R Stowinski 2001 Rough set theory for multicriteria decision analysis European Journal of Operational Research 129 1 47 179 8 colloque tudiant de l Institut EDS Grekul C W et E W Bo
200. es subtilit s une plus grande v rit l image de son essence Ainsi je crois que l homme se doit d entrer en relation plus intime avec la nature pour l apprivoiser apprendre la respecter et ch rir sa beaut et les bienfaits qu elle nous apporte Il est et ce depuis toujours signataire d un contrat avec elle fond sur un quilibre harmonieux C est dans cette optique que mon travail se construit et c est pour ces raisons que je suis enthousiaste vous proposer ce dessin 208 Strathmore 2 Crayon graphite sur papier 2011 42 pouces x 53 pouces 209 8 colloque tudiant de l Institut EDS Sans titre CHARLES ETIENNE BROCHU Etudiant au baccalaur at en arts plastiques Universit Laval D marche artistique A travers mes tableaux je tente de proposer une ouverture vers une motion une impression Souvent au moyen d l ments narratifs je tente de produire des uvres intelligibles et faciles d acc s Il est fondamental dans ma recherche picturale d adopter une posture responsable je tente de faire appara tre un propos thique et sensible Je me soucie beaucoup de la r ception de mes uvres il m appara t vital que l uvre soit re ue et je m interroge sur les implications de cet aspect Mon m dium de pr dilection est la peinture il y a une possibilit gestuelle qui m int resse norm ment avec cette mati re Aussi la couleur joue un r le essentiel dans ma
201. et Robert Monderie En 2004 le rapport de la Commission d tude sur la gestion publique de la for t publique qu b coise pr sid e par Guy Coulombe a contribu ensuite l am lioration de la gestion foresti re gr ce ses 81 recommandations Rapport Coulombe 2004 Et nous voil maintenant l aube d un r gime d am nagement durable du territoire forestier qui entrera pleinement en vigueur le ler avril 2013 P L 57 Il est donc l gitime de se demander si le droit applicable au territoire forestier qu b cois prend en compte de mani re appropri e les effets nuisibles des chemins forestiers sur la biodiversit Afin d valuer la mani re appropri e de prendre en compte les effets nuisibles des chemins forestiers sur la biodiversit nous utiliserons trois strat gies et solutions propos es par les biologistes Bourgeois Kneeshaw et Boisseau Bourgeois 2005 1 R duction significative de la construction des routes 2 Limitation d acc s fermeture et reboisement des routes et 3 Mesures d att nuation des impacts li s aux routes M thodologie Pour mener notre analyse nous avons effectu une recherche documentaire dans les sources traditionnelles du droit soit dans l ordre les lois et r glements appropri s Bien s r nous avons galement fouill les jugements et la doctrine Cependant ce type de sources est tr s limit tant en ce qui concerne les chemins qu en ce qui concer
202. et entend favoriser le d veloppement des communaut s nordiques mais aussi celles du Qu bec dans son ensemble et ce dans le respect des cultures et des identit s Le plan n en est qu son stade pr liminaire son plan d action ayant t publi en 2011 et aucun choix d finitif n a t effectu En outre la pertinence scientifique de s int resser ces deux projets r side dans les l ments suivants D une part il s agit de deux cas comparables parce que deux projets de d veloppement conomique et nerg tique du Nord qu b cois et qui plus est d envergure similaire D autre part parce que l un a t abandonn et que l autre en est ses premiers balbutiements et que si on applique le postulat de d pendance au sentier emprunt les d cisions prises dans le cadre de Grande Baleine devraient avoir influenc le Plan Nord et par cons quent ce dernier devrait s tre inspir des bons coups de Grande Baleine mais devrait galement avoir r ussi viter ses erreurs M thodologie La m thode retenue pour ce projet est celle de l analyse de discours Cette m thode permet de se questionner non pas seulement sur ce qui est dit mais sur ce qu on fait en parlant Maingueneau 1976 Le terme de discours d signe un ensemble d nonc s de dimension variable produits partir d une position sociale ou id ologique Par discours on envisage aussi la conversati
203. ettre en exergue un mod le hydrologique robuste et performant sur tous les tests et pour les deux bassins versants Cependant bien que quelques mod les individuels apparaissent comme de bons compromis il reste n anmoins difficile d tablir les caract ristiques structurelles qui leur permettent de sortir du lot Ces r sultats montrent notamment la plus grande diversit de performance individuelle sur le bassin versant allemand que sur celui qu b cois Cette remarque illustre d autant plus l occurrence d identification de jeux de param tres non robustes dans certains cas d valorisant leur capacit r aliser des projections hydrologiques Cette observation n aurait pu tre tablie sans proc dure de validation sur des p riodes contrast es Les performances collectives montrent que le multimod le vingt membres c d d bit moyen simul des vingt mod les fournit de meilleurs r sultats que le meilleur des mod les individuels dans tous les tests pour le bassin versant qu b cois Ce n est pas le cas pour le bassin versant allemand o un mod le individuel surpasse les performances du multimod le trois tests sur quatre Cependant cette observation reste appr ciable car ces mod les individuels sont diff rents pour chaque test Concernant les sous s lections de mod les les r sultats montrent que certaines combinaisons fournissent d encore meilleures performances que le multimod le v
204. eur d un Protocole ambitieux L axe central de la pr sentation tait form de la question suivante quelles strat gies le Qu bec a t il utilis es afin d influencer le positionnement canadien et d fendre ses int r ts au niveau national en ce qui a trait la n gociation et la mise en uvre du Protocole de Kyoto Devant l absence de recours juridique d nonc constitutionnel ou de d cision de la Cour supr me sans quivoque Trudeau et Lalonde 2004 le gouvernement du Qu bec opte pour deux types de strat gies strat gie de participation et strat gie d autonomisation 1 Strat gie de participation Une strat gie participative est utilis e par le gouvernement du Qu bec afin d influencer la n gociation et la mise en uvre du Protocole de Kyoto Les ententes bilat rales l utilisation de l Assembl e nationale et les r unions f d rales provinciales conjointes des ministres de l nergie et de l Environnement constituent les strat gies analys es durant la pr sentation 1 1 Rencontres intergouvernementales canadiennes En mati re de changements climatiques les r unions ou conf rences conjointes f d rales provinciales des ministres de l nergie et de l Environnement en marge du Conseil canadien des ministres de 29 8 colloque tudiant de l Institut EDS Environnement ont t le principal forum utilis par le Qu bec pour d fendre ses int r ts particuliers
205. eur collaboration dans l animation des sessions et nos partenaires pour leur r ponse toujours favorable Le Directeur Fran ois Anctil 8 colloque tudiant de l Institut EDS Table des mati res Th me 1 Gouvernance et d veloppement durable ss 8 Les dynamiques associatives dans la gestion du littoral en Corse Claire Taugeron Graziani tudiante la ma trise en sociologie 9 Vers une transition nerg tique Yasmyn Camier Etudiante la ma trise en sciences de l environnement 17 Syst me f d ratif signature et ratification du Protocole de Kyoto Les strat gies du Qu bec pour avoir voix au chapitre Alex Perreault Etudiant la ma trise en tudes internationales ccccccccsccceesseceeeesssceeeesaes 29 Fonder philosophiquement les droits des g n rations futures Christian DJOKO KAMGAIN tudiant au doctorat en philosophie 37 La gouvernance en faveur de l environnement action concert e ou unilat rale Le cas du NORDREG canadien Pierre Woitrin tudiant la ma trise en droit eee 45 La prise en compte du d veloppement durable dans les grands projets de d veloppement conomique et nerg tique du Nord Qu b cois Une analyse des discours entourant le projet Grande Baleine et le Plan Nord Nancy Emond Etudiante au doctorat en sociologie 00 0 eccceesceescesseeeseeeseeescecsecnsecnseceeeeeeeeeeneenaes 55 Regard sur la gestion int gr e de l eau au Qu
206. eurs R ponse n gative des d fenseurs R ponse n gative des d fenseurs la Terre de Rio 1992 n ayant pas eu v ritablement d impacts sur les repr sentations des grands projets qu b cois de d veloppement nerg tique et conomique en terme de d veloppement durable que doit on esp rer du prochain sommet qui aura lieu en juin 2012 En somme ne pas parler de d veloppement durable ne signifie point que nous ne proc dons pas des critiques de nos mod les de d veloppement La preuve en est la guerre de mots qui a entour Grande Baleine o tout le vocable associ aux r gimes de peur y est pass apartheid g nocide etc Que ces discours soient abusifs ou erron s leur signification n en demeure pas moins grande traduisant ainsi des pr occupations thiques non n gligeables responsabilit imputabilit acceptabilit sociale etc cet gard si la question En a t on besoin le Plan Nord semble justifi il reste alors se demander Comment agir au mieux Bibliographie AGHA KHAN S 2005 D veloppement durable une notion pervertie in Mani re de Voir Le Monde diplomatique Juin Juillet 2005 68 71 BARRY Ousmane Alpha 2002 Les bases th oriques en analyse du discours Chaire de recherche du Canada en Mondialisation Citoyennet et D mocratie https depot erudit org id 00233 1dd Consult le 6 Mars 2012 BIBLIOBRANCHEE www biblio eureka cc Co
207. eurs dans la mise en place des politiques publiques une transparence de l information et permet ainsi de solidifier la communication et l quit Enfin une meilleure int gration du public dans le processus d cisionnel serait une des cl s de vo te de la transition nerg tique Les exp riences des pays qui ont franchi un cap important dans le d veloppement des nergies renouvelables repr sentent notamment des sources de solutions pour surpasser les obstacles Nous analyserons les cas du Danemark et de l Allemagne qui ont r ussi d velopper de mani re importante des nergies renouvelables gr ce une d marche d mocratique une participation active des acteurs concern s tude de cas Danemark En 1972 le Danemark est l un des pays de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE les plus d pendants du p trole 92 de sa consommation nerg tique totale En 1996 apr s trois plans nerg tiques 1976 1981 1990 le pays conna t une diminution de d pendance p troli re allant 50 Le Danemark a consid rablement am lior ses performances environnementales de 1980 1996 avec une diminution de 7 de ses missions de CO2 Cela a t possible avec l introduction de centrales de cog n ration de l adoption de combustibles plus propres des conomies d nergies d une plus grande efficacit et du recours aux nergies renouvelables OCDE 2002 En 2005 o
208. faune du Qu bec Viau A dir 2010 La certification des for ts publiques qu b coises par le minist re des Ressources naturelles et de la Faune Etude de faisabilit Op rations r gionales For ts Qu bec en ligne www mrnf gouv qc ca lt http www mrnf gouv qc ca publications forets amenagement certification etudes pdf gt consult le 12 mai 2011 Minist re des ressources naturelles et de la faune du Qu bec Crit res et INDIcateurs d am nagement durable des for ts en ligne www mrnf gouv qc ca lt http www mrnf gouv qc ca publications enligne forets criteres indicateurs 5 537 537 asp gt consult le 12 mai 2011 MRNF Crit res Minist re des ressources naturelles et de la faune du Qu bec R glement sur les normes d intervention dans les for ts du domaine de l tat en ligne www mrnf gouv qe ca lt http www mrnf gouv qc ca forets amenagement amenagement RNI jsp gt consult le 22 mars 2011 MRNF RNI Articles de journaux B langer L M Fillion et P Nadeau Projet de loi sur l am nagement forestier Un avenir inqui tant pour notre for t Le Devoir com 31 mars 2009 En ligne www ledevoir com lt http www ledevoir com 2009 03 31 242812 html gt consult le 6 avril 2009 Autres Bareil S L ordre fait le point sur les travaux de g nie en milieu RUE 2009 7 De fil en aiguille en ligne www oifq com lt http www oifq com bulletin 200
209. ferm e figure 2 d Simulation qualitative du ruissellement La simulation de la qualit de l eau de ruissellement a consist en la simulation de la concentration en MES entrant dans le bassin de r tention par lessivage des surfaces de la zone urbaine et en la simulation du processus de s dimentation ayant lieu dans le bassin de r tention Les MES repr sentent le polluant principal de l eau de ruissellement et sont un tr s bon indicateur de sa qualit globale Papa et al 1999 La simulation de la concentration en MES entrant dans le bassin repose ici sur la fonction d accumulation dite puissance telle que d finie par Hossain et al 2010 et sur une version modifi e de la fonction de lessivage dite exponentielle du mod le SWMMS Cette version modifi e est d finie par les quations 1 et 2 ci dessous W ElqBC 1 ou C 1 1 1 q dy 2 W est la quantit de polluant lessiv kg km h El est le coefficient de lessivage q est le taux de ruissellement par unit d aire mm h B est la quantit de polluant accumul kg km calcul e par la fonction d accumulation puissance et d est une valeur seuil de ruissellement par unit d aire mm h Cette formulation modifi e de la fonction de lessivage implique qu il n y a aucun lessivage de MES si le ruissellement est sous la valeur seuil d finie par d dans l quation 2 et que la quantit lessiv e revient utiliser l
210. ffusion des connaissances dans le domaine de l environnement et du d veloppement durable Afin de faciliter l atteinte de ces objectifs la structure se veut souple rassembleuse et ouverte L Institut EDS rel ve la fois du Vice rectorat la recherche et du Vice rectorat aux tudes poss de une relation privil gi e avec deux facult s sciences sociales et sciences et g nie tout en collaborant avec l ensemble des facult s de l universit Ses membres peuvent tre individuels ou collectifs Site Internet http www ihqeds ulaval ca Supervision du colloque et publication des Actes Liliana Diaz adjointe la formation Institut EDS Comit organisateur du colloque Chancia Ivala Plaine Yuan Zheng Li Georges Boniface Nlend V Flor de Maria Robles Barreto Coralie Lamaire Chad Vanessa Boudreau Avec la collaboration de Lynda Hubert Ta point focal tudiant 2011 2012 Nos remerciements vont toute l quipe de l Institut EDS pour leur pr cieuse collaboration l organisation du colloque Qu bec mai 2012 Pr face aux actes du 8e colloque tudiant L organisation d un colloque tudiant annuel est l un des moyens cibl s par l Institut EDS pour soutenir et d velopper la r flexion et la recherche pluridisciplinaires l Universit Laval dans les domaines de l environnement et du d veloppement durable S adressant aux tudiants des 2 me et 3 me cycles cette activit v
211. fie afin de rallier le plus grand nombre de provinces possibles Si bien qu on nomme l ancien premier ministre de la province M Peter Lougheed pour coordonner une campagne nationale visant ouvertement faire une publicit n gative de la ratification du Protocole La province utilise des m dias nationaux des rencontres bilat rales avec d autres provinces et publie des documents d information Gouvernement d Alberta 2002 En septembre 2002 le plan albertain est devenu le catalyseur de la r sistance des provinces et des territoires une ratification pr cipit e du Protocole de Kyoto Stilborn 2002 Au Sommet de la terre de Johannesburg de septembre 2002 Jean Chr tien alors premier ministre du Canada annonce que le Canada ratifiera le Protocole de Kyoto sous peu 3 gt Note explicative Au Canada le syst me dualiste impose que les normes du droit international n acqui rent de force juridique qu en tant int gr es en droit interne En cons quence malgr l annonce faite par le premier ministre Jean 31 8 colloque tudiant de l Institut EDS Cette annonce suscite la col re des provinces De plus durant l ann e 2002 le f d ral se retire de plusieurs rencontres avec les provinces pour se concentrer sur la r daction d une strat gie nationale sur les changements climatiques L unilat ralisme du f d ral subit alors de vives r probations 1 1 3 La conf rence d Halifax
212. fits Cette diversit n est pas surprenante Toutefois la non utilisation des institutions de concertation formelle l est et les acteurs semblent avoir d velopp diverses strat gies afin d viter toutes n gociations Fig 2 S curit d emploi r election financement de l oganisation Qualit de l environnement naurel Aspects sociaux Hor 2 Diverses strat gies pour permettre ou non l application de la politique Figure 1 R partition des acteurs en 4 groupes d int r ts En absence de concertation diverses strat gies informelles semblent tre utilis es par les acteurs La pression conomique exerc e principalement par les entrepreneurs immobiliers sur les lus et employ s de la ville pourrait tre la base de strat gies de coalition conomique La coalition environnementale y r pond de deux mani res en s alliant davantage la ville ou au contraire en s y opposant Quelques exemples sont d crits ici Coalition environnementale on re oit des Qd le MDDEP veut s opposer on est oblig de faire mandon Cf pression aux d cideurs poursuite SLAPP de promoteurs Dire non un promote Acteur a a des impacts Tes Exclusion du MDDEP du r seau d acteurs ce sujet un r pondant mentionnait que le DD c tait un enfarge entre nous le MDDEP et les promoteurs C est l l amorce de la politique Aujourd hui ce
213. fs du d veloppement durable L laboration d Objectifs du d veloppement durable ODD devrait constituer un des principaux r sultats de Rio 20 M me si elle ne figurait pas au programme de Rio 20 tel que d fini par l AG des Nations unies cette proposition de la Colombie et du Guatemala a suscit un large consensus au sein des d l gations et figure d sormais dans l avant projet du document de r sultat de Rio 20 zero draft L exp rience des Objectifs du Mill naire pour le d veloppement OMD d montre que les gouvernements et les institutions sont plus prompts travailler main dans la main lorsqu ils sont guid s par des objectifs pr cis S appuyant sur cette exp rience plusieurs pays estiment qu une d marche analogue pour le d veloppement durable faciliterait la coordination des efforts en plus de faciliter l valuation des progr s accomplis Au minimum Rio 20 devrait en d finir les grandes lignes et tablir un ch ancier pr cis pour laborer une s rie d objectifs d ici 2015 ann es o les OMD devront tre r valu s l approche de Rio 20 les points de vue demeurent polaris s entre ceux qui pr nent des r formes progressives notamment travers le clustering des conventions et ceux qui pr nent une r forme plus vaste appelant la cr ation d un CoDD ou d une OME ONUE En l absence de consensus force est de constater que la cr ation d ODD pourrait cons
214. ge ventail de produits du bois issus des for ts qu b coises et proposer des solutions permettant de r duire cette empreinte Pour ce faire la premi re tape consiste collecter les donn es n cessaires la r alisation d ACV aupr s d un grand nombre d industriels forestier ce qui est appel inventaire de cycle de vie ICV Jolliet et al 2005 Cet inventaire pr sente galement l avantage de d terminer le bilan carbone de chacun des partenaires industriels afin qu ils puissent l utiliser dans leurs communications promotionnelles Le second objectif de cet inventaire est de d terminer une moyenne r gionale et provinciale sp cifique aux diff rents cosyst mes forestiers et par cat gories de produits Ces diff rentes moyennes pourront alimenter les bases de donn es qu b coises http www ciraig org BD ICV_CIRAIG mais galement la base de donn es mondiale ecoinvent ecoinvent Center St Gallen Switzerland ce qui offrirait la possibilit de r aliser des comparaisons avec les produits comp titeurs permettant de mettre en 144 vidence l int r t des produits du bois qu b cois dans le contexte concurrentiel global partir des r sultats d ACV obtenus par les industriels partenaire du projet et de l ensemble des l ments disponibles dans l ICV des produits du bois qu b cois des pistes de r duction des missions de GES seront propos es permettant aux industriels de minimiser les
215. gestion de l eau une r flexion de dix ans qui m nera au lancement de la Politique nationale de l eau PNE et sept ans plus tard l adoption de la Loi sur l eau qui consacre la gestion int gr e et concert e des ressources en eau sugg r e dans la PNE Deux v nements majeurs se sont produits pour d clencher ces deux mesures Le premier est en lien avec inondations catastrophiques de l t 1996 et le deuxi me en lien avec les pisodes de floraison d algues bleu vert en 2006 et 2007 Toutefois dans le premier cas on a recommand la mise sur pied de comit s de rivi re sous l gide d organismes municipaux appel s Municipalit s r gionales de comt MRC Cette proposition n a pas t retenue La PNE confiera plut t la GIRE des organismes but non lucratif l quivalent d une ONG ce qui va plut t dans le sens de la proposition de la Banque de Dublin et de Rio Afin d claircir ce dernier point la section suivante examinera plus en d tail la gestion des ressources en eau mise de l avant par le Qu bec et la comparera celle promue par les organismes internationaux compter de 1991 Tableau 3 1990 2012 volution de la gestion de l eau au Qu bec et dans le monde Qu bec Ann e International 1991 Document de la Banque mondiale sur la bonne gouvernance du d veloppement mondial 1992 D claration de la conf rence de Dublin sur l
216. giques ce qui m ne des propositions ES j En aval Grands lacs et tr s vari es et controvers es rivi res Verry et al 2000 Rivi res plut t que lacs Ruisseaux intermittents Ruisseaux permanents A Zone riveraine plus large et Rivi res gt 6 m di ifi e si Petits lacs lt 8 ha Iversin e Si Grands lacs Relief plat Abitibi Consid rant l implantation d un am nagement cosyst mique tel que vis par la r forme actuelle Gouv du Qc 2010 une d limitation naturelle de la zone riveraine fournirait le meilleur estim de la largeur requise pour prot ger l int grit du milieu riverain Verry et al 2000 Ce projet vise donc caract riser la variation dans la couvrement en v g tation bas D am liorer les mesures d am nagement durable en composition et la structure se bustes chi urface foresterie naturelle du milieu riverain terri re des arbres vivant f are bor al De s lectionner des secteurs riverains prioritaires a prot ger 3 Z De pr ciser la comptabilisation des milieux riverains dans Quatre aires EAT E le cadre de mesures de compensation de perte de milieux Une par province naturelle cf MDDEP en for t bor ale Ed ps humides commerciale qu b coise pi Gradient R f gt Est R sultats pr liminaires eterences Topographie Accidert Abitibi pies Gouvenement du sie na api l am nagement durable du territoire forestertes LR Q z Rivi D p ts su
217. gne ses objectifs de d veloppement 58 durable Mais si nous ne parlons pas vraiment de d veloppement durable qu est ce qui pr occupe les opposants et les d fenseurs des grands projets du Nord qu b cois Apr s analyses force est de constater que si le concept de d veloppement durable ne structure pas les discours des pr occupations subsistent n anmoins pour chacun de ses trois piliers environnement conomie et social Grande Baleine et les d bats sur l environnement Dans le cas de Grande Baleine l environnement s av re la pr occupation qui pr domine les d bats Premi rement les autochtones surtout les Cris et les cologistes militaient pour une am lioration en termes de forme et de d lais des consultations publiques sur les impacts environnementaux Le gouvernement pour sa part ne partageait pas cet avis puisque d autres acteurs avaient accept de participer et ce sans soulever la moindre remarque En second lieu on demandait des mesures de restauration des sites une fois les activit s termin es cet effet le gouvernement et Hydro Qu bec avaient pr vu des compensations financi res Troisi mement on se plaignait de la pi tre qualit des tudes qui omettaient des l ments importants Hydro Qu bec rappelait alors l insuffisance des connaissances scientifiques ce jour D autre part on d non ait le non respect des lois Les associations de travailleurs les compagn
218. ground water Cischarge of ground water Cultural services Knowledge Scientific and education climatic change Recreation and tourism Opportunities for recreational activities canoe Aesthetic Aesthetic value and beauty Spiritual and religious Spiritual and religious significance Cultural Cultural activities Water provisioning Biochemical products Genetic materials Raw materials Energy Natural hazard regulation Erosion regulation Water regulation UNIVERSIT LAVAL Conclusion This project will be useful to determine 1 The potential of using ES for conservation purposes in a non human dominated region 2 Whether cnly a subset of ES can generate the same conservation network as an approach that uses the full range of ES 3 How ES can be integrated into conservation planning of northern wetlands in order to optimize the network 4 The consequences of a trade off between BD and ES as well as the ecological cost of such conservation approach This project aims to determine the extent to which ES can be used to conciliate BD conservation with economic demand and human well being retest lighter cxtensive intensive degraded uban Figure 3 Relationships between the levels of ES provision Y axis and the degree biodiversity related to different land use intensities X axis from de Groot et al 2010 see Cimon Morinet al 2011 for more informations References Balmtord A et al 2102 Economic
219. happent pas cette concurrence compl mentarit entre les institutions du syst me des Nations unies Le Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC fut cr conjointement en 1988 par le PNUE et l Organisation m t orologique mondiale OMM Quant la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversit et les services cosyst miques IPBES qui vient d tre cr e mais dont certaines modalit s institutionnelles restent d terminer elle sera vraisemblablement l h te de quatre institutions savoir le PNUE PUNESCO le PNUD et la FAO ce qui n est pas sans susciter certaines appr hensions quant aux r les et responsabilit s de ses parrains respectifs L Organisation mondiale du commerce OMC et les institutions de Bretton Woods ont galement un r le jouer dans la transition vers le d veloppement durable Notons que la Banque mondiale qui est le fiduciaire du Fonds pour l environnement mondial FEM et les banques r gionales de d veloppement contribuent d j au financement de la mise en uvre et sont r guli rement interpell es par les Conf rences des Parties des AME cette fin D autre part l impasse des n gociations du Cycle de Doha de POMC est per ue par les pays du G77 Chine comme un obstacle leur d veloppement et ressurgit r guli rement dans les n gociations Plusieurs options qui ne sont pas mutuellemen
220. holistiques d valuation sont n cessaires Dans ce contexte l approche cycle de vie permet d largir l valuation traditionnelle des impacts des syst mes de production distribu e d nergies renouvelables et d int grer divers aspects associ s aux cycles de vie Par cycle de vie on entend les tapes cons cutives et li es du syst me l tude de l extraction et du traitement des mati res premi res des processus de fabrication du transport du fonctionnement et finalement du recyclage et de la gestion des d chets en fin de vie ISO 2006 L objectif principal de l approche cycle de vie est de r duire la consommation de ressources et l mission de polluants l environnement ainsi que d am liorer la performance conomique et sociale des syst mes de produits aux diverses tapes de leur cycle de vie Dans le cas de la production distribu e d nergies renouvelables plusieurs cat gories d impacts ont t tudi es par le pass comme les impacts sur les changements climatiques Fleck and Huot 2009 l utilisation des terres Fthenakis and Kim 2009 les impacts conomiques Bernal Agustin and Dufo Lopez 2006 Bahaj Myers et al 2007 etc Cependant les exemples d valuation int gr e des diff rents r sultats restent encore rares dans la litt rature Kaundinya Balachandra et al 2009 Varun Prakash et al 2009 et ce malgr que plusieurs travaux ont soulign l int r
221. i re mondiale posait probl me Pour ce qui est des trois compagnies int ress es il s agit en fait de petits yachts d une douzaine de passagers environ Finalement aucune compagnie de la CLIA de m me que celles identifi es comme autres ne souhaitaient int grer le march des croisi res dans Arctique canadien 2 2 Offre touristique et communaut s visit es L offre de service des communaut s du Nunavut pr sente des disparit s spatiales consid rables Figure 3 8 colloque tudiant de l Institut EDS OFFRE TOURISTIQUE DES COMMUNAUT S DU NUNAVUT 1000 100 10 Nombre de Communaut s W Nombre de navires 2010 Nombre de navires 2009 G Nombre de navires 2008 m Centres d information m Parcs Mus es Boutiques souvenirs E Ateliers d art m Restaurants m H tels Suites O Nombre de chambres m Nombre de lits Figure 3 Offre touristique et de service des communaut s du Nunavut Bien que toutes les communaut s poss dent un centre d information 1 4 ateliers d arts et l quivalent en boutiques souvenirs la plupart des communaut s n ont qu un seul restaurant bien souvent l int rieur des tablissements h teliers et le nombre de ceux ci varie consid rablement d une communaut l autre Iqaluit D et Rankin Inlet P sont des exceptions avec respectivement 9 et 7 restaurants les autres en ont de 1 3 M me constat en ce qui a trait aux ta
222. iction que cette action enfreint La d finition 38 propos e laisse bien entendre comment partir de l obligation ou de l interdiction de faire et par le truchement d abord de l infraction puis de la r probation le jugement d imputation conduit celui de r tribution en tant qu obligation de r parer ou de subir la peine 1994 30 Ce type de responsabilit peut tre qualifi de responsabilit r trospective en ce qu il est question pour tout justiciable de r pondre d une action ou inaction qu il aurait pos e ant rieurement En clair suivant la responsabilit r trospective tout individu p nalement et ou civilement responsable doit envisager au moment d agir les cons quences de son action Toutefois si par le pass la port e des actions des tres humains tait limit e dans le temps et l espace et n exigeait de ce fait qu une responsabilit r trospective aujourd hui en revanche la civilisation technologique et la soci t de consommation sont telles que le pouvoir faire des tres humains est bien plus complexe et tendu qu il ne l a jamais t La production des d chets nucl aires les manipulations r constructivistes et commerciales de notre socle vital les exploitations intenses et effr n es des ressources naturelles les diff rentes catastrophes technoscientiques les pollutions en tout genre etc ont inaugur une re de risque d une gravit
223. iculi rement au Qu bec Direction du d veloppement de l industrie des produits forestiers 2008 Cela s explique entre autres par le manque d outils d aide a la d cision permettant d appuyer l int r t de ce mat riau pour la gouvernance Conklin et al 1996 Pour ce faire des analyses du cycle de vie ACV des produits du bois et de leurs alternatives au Canada seraient n cessaires Ter Mikaelian et al 2008 Cette approche qui vise quantifier les impacts environnementaux d un produit ou d un service devient de plus en populaire particuli rement en Europe Une d mocratisation des ACV permettrait de mettre en vidence l int r t des produits qu b cois dans le contexte concurrentiel global Afin de r aliser de telles analyses il est indispensable de collecter des donn es primaires d un large ventail d entreprises du secteur M thodologie L inventaire du cycle de vie des produits du bois a pour objectif de monter une base de donn es provinciale permettant de d terminer l empreinte carbonique des activit s en for t comme en usine et de r aliser des ACV produits Pour ce faire un formulaire en ligne a t d velopp pour que les entrepreneurs puissent transmettre les informations dont ils disposent Leur bilan carbone est alors calcul partir de leurs donn es sp cifiques Il est par la suite possible aux partenaires industriels de retourner sur le site afin d affiner leurs donn es et d ainsi r duire l incertitude
224. ie pas les obligations du producteur Les droits virtuels et seulement conditionnels leur 39 8 colloque tudiant de l Institut EDS statut de client mettent d ja en branle les obligations de ce dernier Mutatis Mutandis les g n rations futures n existent pas encore et ne peuvent par elles m mes faire valoir leurs droits et encore moins r clamer des obligations aux g n rations pr sentes mais il reste que nous savons d j que lorsqu elles existeront ce qui n tait que virtuel deviendra r el Au final les obligations demeurent les m mes Rien n emp che de voir dans les droits seulement virtuels des g n rations futures des corr lats ad quats aux obligations des g n rations pr sentes Autant dire que l argument de la non existence souvent voqu par certains philosophes ne constitue pas une cr ance suffisamment forte pour r cuser de mani re d cisive l hypoth se des droits aux g n rations futures Comme l observe fort judicieusement Desjardins ce n est pas le fait que des dommages se produisent dans le futur qui peut nous d charger de nos responsabilit s 1995 100 La distinction est plut t reli e au fait que dans un cas je nuis des personnes qui vivent maintenant et que dans l autre je porte atteinte aux droits des personnes qui existeront ventuellement Imaginons un autre cas de figure Une soci t pharmaceutique d pose des d chets toxiques sur un s
225. ie du bois devait redoubler d efforts en communication et en marketing afin de redonner ce mat riau de construction toutes ses lettres de noblesse particuli rement dans le domaine de la construction non r sidentielle Robichaud et al 2009 Introduction Les entreprises manufacturi res doivent aujourd hui r pondre de nouveaux imp ratifs environnementaux cet gard elles cherchent mieux d finir l impact de l ensemble de leurs activit s et lorsque possible mettre en valeur leur performance environnementale Dans certains secteurs o la comp tition est particuli rement vive la capacit de pr senter une offre comp titive plus faible impact peut permettre l entreprise d augmenter consid rablement ses parts de march s Cette probl matique est galement vraie pour les entreprises du secteur forestier et tout particuli rement au Qu bec o l acceptabilit sociale des coupes foresti re est mise a mal depuis quelques d cennies II serait donc tout indiqu de permettre aux grands publics et consommateurs de connaitre les impacts environnementaux des diff rents produits du bois et id alement en comparaison avec les mat riaux concurrents De plus l ACV permet de mettre de l avant les tapes ayant les impacts les plus importants afin d identifier des pistes d am lioration tout au long de la cha ne de mise en valeur Des recherches ont r cemment mis en vidence la diff rence sur
226. iers par exemple Leurs 172 impacts se distinguent de ceux li s aux nuisances agricoles dans le sens qu elles peuvent occasionner une perte de jouissance des lieux Un exemple de nuisance horticole est l impatiente de l Himalaya Impatiens glandulifera Cette plante a t introduite des fins ornementales mais les jardiniers amateurs ont rapidement constat qu elle se propageait de mani re excessive au d triment des autres plantes de jardin Py ek et Prach 1993 Enfin les plantes nuisibles pour les cosyst mes naturels peuvent influencer de nombreux aspects des habitats naturels que ce soit au niveau de leur diversit de leur structure ou de leur fonctionnement Elles peuvent compromettre la valeur des aires prot g es en nuisant leur int grit cologique Un exemple de nuisance pour les cosyst mes est le roseau commun Phragmites australis une esp ce qui envahit les habitats humides Selon Lavoie 2008 la flore d un marais est fortement affect e perte de diversit par une invasion de roseaux Combattre les plantes nuisibles Une fois solidement implant es les plantes envahissantes et nuisibles sont pratiquement impossibles radiquer Mack et al 2000 Aussi les co ts associ s au contr le des plantes nuisibles augmentent avec le niveau d invasion alors que leur taux de succ s diminue Au contraire plus les plantes sont d tect es t t et plus les interventions sont rapi
227. ies de m me que de l UNESCO dont la Convention sur la protection du patrimoine mondial World Heritage Convention qui portait initialement sur le patrimoine bati a t largie aux r serves naturelles afin que les pays de l h misph re Sud puissent eux aussi inscrire leurs sites au patrimoine mondial et b n ficier des retomb es touristiques de ce label Parall lement le nombre d accords multilat raux en environnement AME a connu une augmentation fulgurante au cours des quarante derni res ann es En 2009 le PNUE d nombrait 280 trait s et autres instruments associ s d di s la protection de l environnement alors que d autres compilations plus inclusives font augmenter ce nombre 500 voire davantage Ces chiffres sont toutefois sujets caution parce que la notion d environnement fluctue que la plupart ont une port e r gionale et que certains sont moribonds Si on exclu les accords r gionaux les protocoles et les amendements ont peut r duire les principaux AME une douzaine les principaux tant trois conventions de Rio CCNUCC CDB CNULD les conventions relatives la biodiversit CMS CITES Ramsar WHC TIRPGAA les conventions sur les produits chimiques et dangereux B le Rotterdam et Stockholm et la Convention de Vienne pour la protection de la couche d ozone Sur une p riode de quinze ans 1992 2007 ces conventions et leurs protocoles ont tenu plus de 500 r
228. ies le gouvernement et Hydro Qu bec r torquaient que si les opposants arr taient de les poursuivre en justice et de les d noncer sur la sc ne internationale le commencement des travaux cesserait d tre repouss et on ne verrait aucun inconv nient respecter les lois On d non ait aussi les risques que l am nagement des centrales hydro lectriques repr sentait pour l environnement contamination au mercure accessibilit r duite l eau potable etc Toutefois selon les tudes r alis es par Hydro Qu bec les impacts taient acceptables et beaucoup moindres comparativement au nucl aire Sixi mement certains acteurs internationaux dont les verts de l assembl e europ enne r clamaient le droit d ing rence dans les d cisions entourant Grande Baleine en vertu des risques qu il comportait Le gouvernement fut cat gorique Bien que l environnement fasse partie de l h ritage mondial ce sont les Etats nationaux qui ont les pouvoirs de d cider en derni re instance Enfin les autochtones demandaient de pouvoir participer partenaires gaux dans ce projet et le gouvernement leur r pondit en leur offrant une fois de plus des compensations financi res Grande Baleine et les d bats sur l conomie Tous les acteurs s opposant au projet Grande Baleine ont sugg r Hydro Qu bec de penser faire des conomies d nergie plut t que d augmenter sa production On leur r
229. il le vent la terre l eau et la biomasse diff rent l une de l autre selon leurs caract ristiques particuli res Leurs avantages sont de poss der une faible densit d nergie d avoir un usage pas ou peu polluant sous conditions d avoir une bonne disponibilit g ographique de disposer de r serves virtuellement in puisables Les cons quences de leur utilisation sont g n ralement facilement et rapidement r versibles La transition nerg tique est le passage d nergies fossiles un cama eu nerg tique renouvelables un couplage des technologies existantes ou nouvelles En d autres termes la transition nerg tique entraine des changements qui vont affecter la structure soci tale L nergie est un secteur complexe qui m le des dimensions g opolitiques technologiques conomiques et environnementales Elle implique donc des acteurs diversifi s dans sa gestion d o la n cessit d engager une d marche multidisciplinaire pour garantir cette transition vers un syst me plus durable Les piliers de la transition Nous allons voir que les piliers de la transition passent premi rement par une compr hension du processus d apprentissage la perception l chelle individuelle puis nous r aliserons 18 pourquoi le citoyen est un acteur au c ur du changement Enfin nous d taillerons quels sont les l ments importants pour une bonne gouvernance dans la perspective d une
230. imatiques d montre l importance accord e au dossier En f vrier 2003 la Commission parlementaire sur l environnement et les transports se donne un mandat d initiative sur la mise en uvre du Protocole afin d entendre les intervenants et d laborer une strat gie d action concert e Des experts de diff rents milieux r pondent l appel et plusieurs m moires sont d pos s Bien que l impact de la commission soit quasi impossible valuer puisque les lections de mars 2003 ont mis fin au processus et qu aucun rapport final n a t publi quelques conclusions peuvent n anmoins en tre tir es Conclusion Devant l absence de recours juridique d nonc constitutionnel ou de d cision de la 34 Cour supr me sans quivoque le gouvernement du Qu bec opte pour une strat gie politique et tente de cr er des rapports de force son avantage pour influencer la n gociation et la mise en uvre du Protocole de Kyoto D un c t il utilise les R unions conjointes pour faire contrepoids au f d ral dans les moments charni res c est a dire pour la signature et tout juste avant la ratification Nous avons observ que m me si les provinces ne suivent pas toujours le Qu bec il a r ussi malgr tout obtenir gain de cause dans les deux cas D un autre c t le Qu bec tente de prot ger ses comp tences pour la mise en uvre du Protocole en pla ant le f d ral devant le fait acc
231. imes de la mer D claration de Stockholm principe 7 Une analogie peut aussi tre faite entre la d marche canadienne et l Action 21 adopt e dans le cadre de la Conf rence des Nations Unies sur l environnement et le d veloppement en 1992 Rio de Janeiro et selon laquelle pour pr venir la d gradation du milieu marin il convient d adopter une d marche ax e sur la pr caution et la pr vision plut t qu une 51 8 colloque tudiant de l Institut EDS d marche corrective Action 21 principe d action 17 21 L action unilat rale du Canada exprim e par Padoption du NORDREG si elle est motiv e par la pr vention de la pollution est donc a la fois justifiable l galement en vertu de la CNUDM et de la SOLAS que nous avons examin e mais s inscrit aussi dans la d marche du d veloppement durable entam e il y a 40 ans a Stockholm et consacr e il y a 20 ans a Rio de Janeiro N anmoins il nous faut rappeler que ce m me Chapitre 17 de l Action 21 attribue a la coop ration un r le de soutien et de compl ment aux efforts nationaux en mati re de protection de l environnement marin Action 21 art 17 115 Il indique notamment que les mesures environnementales visant a faire face des probl mes cologiques internationaux doivent autant que faire se peut tre fond es sur un consensus international Action 21 art 17 118 En ce qui concerne le droit de la mer proprement dit la Par
232. ingt membres conjointement pour les quatre DSST Cependant il est difficile d identifier clairement des combinaisons de mod les qui performent bien pour les deux bassins versants Les structures de mod les qui reviennent le plus souvent dans ces meilleures combinaisons pour chaque DSST ont t identifi es et apparaissent comme tant globalement les plus performantes individuellement pour le bassin versant allemand alors qu aucun lien notable n est d montr sur le bassin qu b cois entre l int r t individuel et collectif des mod les 137 8 colloque tudiant de l Institut EDS x 10 Au Saumon Selection counts a o oO Mean individual rank nm o 5 4 4 2 16 6 9 13 17 11 19 3 10 12 20 18 1 7 15 8 Model x 10 Schlehdort Selection counts 5 3 1 6 8 4 7 17 2 16 13 11 Model o _ uo Oo Mean individual rank nr 18 14 20 10 19 9 12 15 Figure 3 Illustration de l int r t collectif des mod les barres grises et de leur int r t individuel toiles noires Conclusion Le projet de recherche montre clairement que l valuation du comportement de mod les hydrologiques en conditions climatiques contrast es sur les donn es observ es disponibles est un pr requis avant toute r alisation de projections hydrologiques Cette analyse de la transposabilit temporelle des mod les montre qu il est hasardeux de r aliser des projections hydrologi
233. ins d un mois apr s la r union de R gina le gouvernement f d ral se rend Kyoto pour y signer le fameux document Comme mentionn pr c demment la cible finale choisie par le gouvernement f d ral lors de la signature du Protocole est une r duction de 6 par rapport 1990 et ce pour 2008 2012 C est donc dire que malgr l opposition des provinces le f d ral choisit une cible ambitieuse et abonde en quelque sorte dans le m me sens que le Qu bec Il est cependant difficile d valuer l impact de la strat gie qu b coise puisque le processus d cisionnel qui a men une telle d cision est videmment tr s complexe et recoupe plusieurs variables 1 1 2 La p riode 1998 2002 La p riode 1998 2002 a t relativement calme entre les provinces le Qu bec et le gouvernement f d ral Au lendemain de la signature du Protocole a lieu la rencontre annuelle des premiers ministres Les provinces r ussissent obtenir l engagement du f d ral au fait que le Protocole et ses r percussions sur l conomie canadienne fassent l objet d un examen complet avant toute d cision sur une ventuelle ratification r union des premiers ministres 1997 L accalmie post signature n est pas de longue dur e Il est noter que la phase de ratification d un trait international suivant la signature est la manifestation de la volont par laquelle un pays d clare s obliger ex cuter ses
234. int gr e de l eau au Qu bec l apparition de la notion de d veloppement durable ainsi que le bouleversement des rapports de force l chelle internationale qui favorisera la 173 8 colloque tudiant de l Institut EDS mont e d acteurs non gouvernementaux dont le march et les ONG Chavagneux 2003 Au Qu bec la pr occupation environnementale prend racine dans les ann es 1960 Ces ann es sont celles de la recherche de solutions aux probl matiques des ressources en eau La gestion int gr e et tatique de l eau par bassin versant sera exp riment e et s av rera un chec Les ONG deviendront de plus en plus pr sentes au Qu bec et l chelle mondiale De grandes d cisions se prennent au Qu bec concernant la protection de l environnement et des discussions de grande envergure se tiendront au niveau international dont une concernant sur les ressources en eau Mar del Plata Lacharit 2011 dira que les connaissances accumul es pendant la D cennie hydrologique internationale montreront la n cessit d aborder les probl mes de l eau dans leur globalit Cette nouvelle vidence scientifique sera retenue par la suite et deviendra sans doute un des fondements de la GIRE 74 La chute du bloc communiste de l Est et de l Union Sovi tique renforce consid rablement le r le des tats Unis au sein des organismes internationaux La remarque de M Severino ancien vice pr si
235. ion ou gouvernement n ait a assumer une part d raisonnable du fardeau et qu aucun secteur ou aucune r gion ne soit trait de fa on injuste Les co ts et les impacts pour les particuliers les entreprises et les industries doivent tre clairs raisonnables r alisables et viables sur le plan conomique Le plan doit pr voir un financement f d ral pour les impacts n gatifs li s aux initiatives sur les changements climatiques e Le plan doit respecter les champs de comp tences des provinces et territoires e Le plan doit reconnaitre les r ductions d mission de gaz a effet de serre qui ont t r alis es depuis 1990 ou qui seront faites par la suite e Le plan doit pr voir des ententes bilat rales ou multilat rales entre les provinces et les territoires ainsi qu avec le gouvernement f d ral e Le plan doit pr voir que les provinces et les territoires n auront pas assumer le risque financier des engagements pris par le f d ral en mati re de changement climatique e Le Canada doit continuer de demander que ses exportations d nergie propre soient reconnues D claration des provinces et des territoires sur la politique en mati re de changement climatique 2002 Cette rencontre est la derni re l tude dans cette section En novembre 2002 le f d ral publie la version finale de la Strat gie f d rale en mati re de changements climatiques Le 10 d cembre 2002 la Chambre des comm
236. ire des tats c tiers les principaux acteurs de leur protection Bartenstein 2011 Nous pouvons donc conclure que le NORDREG en ce qu il instaure un syst me STM et impose aux navires entrant sortant ou se d pla ant dans la zone qu il tablit de fournir des comptes rendus afin de favoriser la s curit et l efficacit de la navigation et la protection du milieu marin tient d ment compte de la navigation au sens de l article 234 de la CNUDM La comp tence du Canada de refuser l acc s un navire ne respectant pas les conditions nonc es par le NORDREG poursuit elle aussi les objectifs de pr vention de la pollution par les navires de l article 234 de la CNUDM et tient par ailleurs d ment compte de la navigation au sens de l quilibre de la disposition partir cette analyse nous avons donc conclu que les mesures du NORDREG et en ce compris la comp tence du Canada de refuser l acc s la zone NORDREG tout navire se respectant pas ses termes est conforme l article 234 de la CNUDM La Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer La SOLAS serait l instrument r glementaire le plus appropri en ce qui concerne l tablissement de STM et de SCR Molenaar 1998 Les r gles V 11 et V 12 de la SOLAS concernent respectivement l laboration des SCR et des STM et semblent faire de la table de Organisation maritime internationale OMI l endroit o soumettre pr ala
237. ise susciter un dialogue entre les disciplines faire ressortir la richesse des perspectives de la recherche tudiante et souligner l apport de diff rents domaines la d finition et la r solution de probl mes d environnement et de d veloppement durable Pour sa 8e dition consacr e au th me 20 ans apr s Rio regards crois s sur les enjeux du d veloppement durable les tudiants taient invit s r fl chir sur deux questions de quelle mani re sommes nous concern s par les enjeux du d veloppement durable d finis la Conf rence des Nations unies sur l environnement et le d veloppement Rio en 1992 Quel regard pouvons nous porter en tant qu tudiants futurs chercheurs et premi re g n ration future Le colloque a rassembl une centaine de personnes sur les deux jours dont des tudiants provenant de plusieurs universit s qu b coises des professeurs des professionnels et des acteurs de la soci t civile L accueil positif d une diversit croissante de secteurs nous confirment l importance de continuer promouvoir cet espace de rencontre Le contenu du colloque t moigne galement de la multiplicit de disciplines et d approches convoqu s pour contribuer enrichir les r flexions Ainsi les pr sentations des tudiants ont port sur des questions aussi vari es que les d finitions conceptuelles des principes d finis Rio comme les droits des g n rations fu
238. ise en sociologie Universit Laval Directeur Louis Guay Professeur D partement de sociologie Universit Laval Notre tude a t r alis e dans le cadre d un travail de m moire de ma trise en sociologie dirig e par M Louis Guay au cours de laquelle nous avons rencontr un peu moins d une dizaine d associations de d fense de l environnement corses dont certaines poss dent un agr ment de protection de l environnement d livr par l tat qui leur reconna t un statut juridique et administratif En premier lieu notre recherche a t motiv e par le constat d une importante activit associative autour du littoral corse Se saisissant souvent des tribunes m diatiques et juridiques les associations portent des revendications cologiques mais aussi une vision politique du d veloppement de l le Cette vision est reprise par la soci t civile lors de manifestations ou par l adh sion aux mouvements de certains partis politiques et syndicats Sur certains probl mes particuliers la mobilisation a parfois m me t assez forte pour bloquer un projet politique fondateur de l le le premier PADDUC en 2009 Nous nous sommes alors demand quelles taient les modalit s des conflits issus des oppositions et surtout qu elles taient les dynamiques associatives dans ces conflits environnementaux au moment de leur mergence quelles taient les formes de conflits et les r solutions e
239. it encore aujourd hui la promotion plusieurs tats n ayant pas encore entrepris de r former leur gouverne de l environnement alors que le changement environnemental s acc l re et pose de nouveaux d fis fondamentaux Nations Unies 2012 Nous cherchions par notre question de d part situer le Sommet de Rio en rapport avec la GIRE du Qu bec la pr sente tude le situe au c ur m me de la GIRE qu b coise Mais qu est ce qui explique cette similitude Peut tre le fait qu il n existait pas de politique et de loi sur la gestion int gr e de l eau au Qu bec On s en serait alors remis a la GIRE issue de Rio pour b tir la PNE et la Loi sur l eau Il est toujours plus facile de cr er des institutions que de les modifier ou de les abolir L introduction du concept nouveau de bonne gouvernance de la Banque mondiale distingue l approche qu b coise de plusieurs autres approches plus anciennes La Banque mondiale aurait tir ce concept de celui de gouvernance dont il existe plusieurs d finitions Lautze et collab 2011 Gaudin 2002 Klijn et Snellen 2009 en donnent la description op rationnelle suivante la gouvernance met l emphase sur la conduite horizontale des affaires publiques favorisant ainsi une meilleure coop ration des acteurs de la soci t civile elle mise sur un meilleur usage de la connaissance obtenue des acteurs sociaux ce qui am liorerait la qualit des politiques
240. it international de l environnement Cowansville Editions Yvon Blais Pr vost Andr 1996 L environnement est il un domaine de comp tence provincial Dans D veloppements r cents en droit de l environnement Cowansville Editions Yvon Blais pp 105 140 Smith Heather 2008 Canada and Kyoto Independence or Indifference In Canada U S Relations Dans Bow Brian et Patrick Lennox An independent foreign policy for Canada Challenges and choices for the future Toronto University of Toronto Press Turmel Andr 2003 Changements climatiques au Canada et au Qu bec quels d fis pour le droit de l environnement Dans D veloppements r cents en droit de l environnement Cowansville Editions Yvon Blais pp 73 137 Article de revue Bernstein S et C Gore 2001 Policy implications of the Kyoto Protocol Revue canadienne de recherche sur les politiques 2 4 26 36 Macdonald D et D VanNijnatten 2005 Sustainable development and Kyoto implementation in Canada the road not taken Options politiques 26 6 13 19 Macdonald D et D VanNijnatten 2010 La politique canadienne en mati re de changements climatiques et l influence nord am ricaine Revue Gouvernance 7 1 18 p Snoddon T 2010 La politique climatique f d rale provinciale de l apr s Copenhague Options politiques 31 2 38 40 Trudeau H et S La
241. ite Plusieurs ann es apr s les habitants de la zone manifestent des signes d intoxication dus ces d chets Il s en suit un proc s au cours duquel la d fense argue le fait qu elle ne savait pas que cela causerait des dommages graves aux g n rations imm diates ou lointaines Cet argument peut il tenir En r pondant imm diatement par la n gative il convient de souligner que tout comme dans les syst mes juridiques actuels o nous tenons les gens pour responsables de leur n gligence et des dommages involontaires mais pr visibles et vitables qui peuvent se produire du fait de leur action ou inaction de m me il y a du sens parler de dommages pr visibles mais inconnus qui pourraient tre caus s aux g n rations futures En r alit plus notre savoir pr visionnel augmente moins il reste de place pour des arguments d charge du type nous ne le savions pas 40 nous ne pouvions pas le savoir nous ne pouvions rien y faire Birnbacher D 1994 3 Pr cisons toutefois que si l argument des droits conditionnels est pertinent lorsqu il y a un chevauchement entre deux g n rations celui ci devient en revanche fragile voir intenable lorsqu on l utilise pour penser la justice entre des g n rations loign es Ainsi la question devient Comment garantir les obligations et droits entre deux g n rations loign es ce niveau encore la responsabilit prospective inaugure
242. joint a pour mission de surveiller l application de la Loi sur le d veloppement durable Ainsi la Loi sur le d veloppement durable met sur pied une d marche a grande chelle qui vise modifier les pratiques de Administration Sa mise en uvre est assur e par certaines obligations claires De plus des indicateurs permettent de mesurer pr cis ment les progr s r alis s Cette loi ne pr voit cependant pas directement de droit au d veloppement durable ni l un ou l autre des principes pr vus dans cette loi On note GOUVERNEMENT DU QUEBEC Rapport de mise en cuvre de la Strat gie gouvernementale de d veloppement durable 2008 2013 Ann e 2008 2009 Qu bec MDDEP 2009 7 Loi sur le d veloppement durable pr cit note 1 art 12 Les premiers indicateurs ont t labor s en 2010 GOUVERNEMENT DU QUEBEC Indicateurs de d veloppement durable Qu bec MDDEP et Institut de la statistique du Qu bec 2010 Toutefois les principes de la LDD ont t consid r s comme ayant une valeur interpr tative aussi que la LDD ne s applique qu au secteur public Maintenant que le cadre juridique et administratif du d veloppement durable au Qu bec a t pr sent nous verrons dans la prochaine section de ce texte de quelle fa on ce concept a t utilis par le gouvernement dans le dossier des gaz de schiste au Qu bec 2 LE D VELOPPEMENT DURABLE DES GAZ DE SCHISTE AU QU BEC l
243. jusqu ici inimaginable la disparition possible de l esp ce humaine Il s agit bien entendu du risque ultime qui peut tre reli e l agir humain mais qui n est pas exclure D s lors c est un type de question nouveau auquel sont confront es les g n rations actuelles Jusqu o s tend dans l espace et dans le temps la responsabilit de nos actes La question prend toute sa gravit lorsque ces effets sont tenus pour des dommages affectant d autres humains bref pour des nuisances Jusqu o s tend la cha ne des effets dommageables de nos actes que l on peut tenir pour encore impliqu s dans le principe le commencement l initium dont un sujet est tenu pour l auteur Ricoeur P 1995 63 La r ponse a cette question n cessite une r g n ration paradigmatique du concept de responsabilit afin de l arracher aux seules fronti res traditionnelles de l imputation causale sens classique et de la r ciprocit Autrement dit il s agit d entrevoir r solument une responsabilit prospective l orientation r trospective que l id e morale de responsabilit avait en commun avec id e juridique orientation en vertu de laquelle nous sommes minemment responsables de ce que nous avons fait devrait se substituer une orientation plus d lib r ment prospective en fonction de laquelle lid e de pr vention des nuisances venir s ajouterait celle de r paratio
244. l que pr vu dans la LDD En effet rappelons qu la base ce concept tel qu int gr dans le corpus l gislatif qu b cois se veut avant tout un cadre de gestion au sein de l Administration Dans le cas qui nous int resse on peut se questionner emplois retomb es conomiques infrastructures gaz naturels extraits ces l ments vont ils r ellement rester durablement long terme pour les g n rations futures Ou ne serait ce pas plut t la pollution engendr e par l exploitation des gisements de gaz de schiste qui est l l ment le plus susceptible de rester durablement sur le territoire qu b cois Voil qui serait bien ironique pour un projet qui se veut inspir du d veloppement durable 95 8 colloque tudiant de l Institut EDS Bibliographie L gislation Charte des droits et libert s de la personne L R Q c C 12 Loi sur le d veloppement durable L R Q c D 8 1 1 Loi sur la qualit de l environnement L R Q c Q 2 Jurisprudence Wallot c Qu bec Ville de 2011 QCCA 1165 demande d autorisation refus e en Cour supr me 2012 CSC 4181 Documents gouvernementaux GOUVERNEMENT DU QUEBEC Gaz de schiste les activit s de l industrie seront assujetties au d veloppement de connaissances scientifiques communiqu de presse MDDEP 8 mars 2011 BAPE D veloppement durable de l industrie des gaz de schiste au Qu bec rapport 273 f vrier 2011 BAPE Guide pour la
245. la colonisation Minist re des Richesses naturelles 1977 La fin du XIXe si cle et la premi re moiti du XXe si cle verront les usages quantitatifs de leau se multiplier et devenir de plus en plus varier La saine gestion des ressources en eau exigeait en retour la mise en place de_ plusieurs organismes publics chacun se voyant attitrer administration d un secteur sp cifique d activit La sectorisation de la gestion quantitative tatique se poursuivra ainsi jusqu au milieu des ann es 1960 Au cours du XXe si cle des organismes appara tront qui auront une grande influence sur le r gime des eaux de plusieurs rivi res du Qu bec Ainsi la Commission des eaux courantes de Qu bec cr e en 1910 tudiera le d bit des rivi res et le climat et construira de nombreux barrages Puis en 1944 la Commission hydro lectrique de Qu bec Hydro Qu bec verra le jour Cet organisme aura le mandat d exploiter le potentiel hydro lectrique des rivi res du Qu bec en construisant et exploitant des barrages et des centrales lectriques de grandes envergures Du point de vue qualitatif la gestion de l eau fut d abord une question d hygi ne publique Milot 2008 186 Jusqu en 1884 la gestion qualitative de l eau tait d volue enti rement aux municipalit s partir de cette date diff rentes soci t s publiques provinciales prendront successivement en charge les questions de sant publique reli
246. la cr ation de quatre r servoirs hydrauliques Ce projet repr sentait enfin un gage de prosp rit et de fiert nationale pour la province de Qu bec D abord court terme parce que le chantier aurait g n r quantit d emplois et de profits Ensuite la puissance install e aurait confirm la province dans sa vocation privil gi e d exportatrice d lectricit Bourassa 1995 155 Enfin se servant de cet avantage le gouvernement aurait pu donner suite sa politique de d veloppement industriel en attirant sur son territoire des firmes la recherche d une nergie propre et bon march Parenteau 1995 Pageau 1995 Bourassa 1973 1974 1981 1985 Mercier et Ritchot 1997 138 56 Ce projet fut abandonn le 18 novembre 1994 soit quelques mois apr s l lection d un nouveau gouvernement form par le Parti Qu b cois Plusieurs raisons furent voqu es resserrement de la demande int rieure d hydro lectricit recul du march ext rieur et pressions la fois nationales et internationales des cologistes et des autochtones D autre part d un point de vue environnemental en d pit du fait qu Hydro Qu bec s tait dot e d une politique assez rigoureuse et que toutes ses actions devaient faire pr alablement l objet d tudes d impacts la soci t d tat n arrivait plus convaincre l opinion publique de sa cr dibilit Enfin l abandon du
247. law Consult le 11 f vrier 2009 44 8 colloque tudiant de l Institut EDS La gouvernance en faveur de l environnement action concert e ou unilat rale Le cas du NORDREG canadien PIERRE WOITRIN tudiant la ma trise en droit Universit Laval Directrice Kristin Bartenstein Professeure Facult de droit Universit Laval Introduction L objet de la pr sente recherche est d effectuer l analyse de la l galit du R glement sur la zone de services de trafic maritime du Nord canadien DORS 2010 127 dit NORDREG adopt le 10 juin 2010 par le Canada et entr en vigueur le 1 juillet 2010 ainsi que d en expliquer certains enjeux dans le cadre plus large du d veloppement durable L adoption de ce r glement comme nous le verrons repose certaines questions relatives d une part aux droits qui sont attribu s aux tats c tiers dans la protection de leur environnement marin et d autre part ceux qu ont tous les Etats de disposer des oc ans comme voie de navigation Nous verrons dans un premier temps comment ces droits antagonistes peuvent tre compris comme des attributs des volets conomique et environnemental du d veloppement durable 1 La juxtaposition de ces deux volets forme le cadre dans lequel notre question de recherche s inscrit savoir l quilibre trouv par le droit international entre l utilisation du potentiel conomique de l oc an Arctique et la
248. ldings Mitigation and Adaptation Strategies for Global Change 11 3 p 667 691 Available at http dx doi org 10 1007 s11027 006 7207 1 Humbert S Margni M amp Jolliet O 2005 IMPACT 2002 User Guide IPCC 2001 Climate change 2001 The scientific basis Contribution of the Working Group I to the Third Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change IPCC 2007 Climate Change 2007 Synthesis Report Contribution of Working Groups I II and III to the Fourth Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change IPCC Geneva Switzerland ISO 2006a ISO 14025 2006 Environmental labels and declarations Type HI environmental declarations Principles and procedures ISO 2006b ISO 14044 2006 Management environnemental Analyse du cycle de vie Exigence et lignes directrices International Standards Organization Jolliet olivier Saad M amp Crettaz P 2005 Analyse du cycle de vie Comprendre et r aliser un cobilan collection g rer l environnement Suisse presse polytechniques et universitaire romandes Karjalainen T et al 1999 Scenarios for the carbon balance of Finnish forests and wood products Environmental Science amp Policy Available at http www sciencedirect com science ob ArticleURL amp udi B6VP6 3X6JGIYB amp _ user 1069206 amp _ coverDate 05 2F31 2F1999 amp rdoc l1 amp fmt high amp o rig search amp sort d amp docanchor amp view c amp searchSt
249. le et rapide Chapin 2000 Cette perte de biodiversit est susceptible d entrainer des changements cologiques et sociaux majeurs que des mesures d att nuation ne suffiront pas a arranger Chapin 2000 Essentiellement il est important qu il y ait des territoires prot g s Au Qu bec il existe pr s d une trentaine d appellations des aires prot g es en vertu de diff rents lois et r glements f d raux et provinciaux pour les 2 482 territoires prot g s Bureau du forestier en chef 2010 En date du 17 mai 2011 le Qu bec compte 8 35 de sa superficie tablie 1 667 441 km2 prot g e MDDEP Registre Ce qui est encore en deca de la moyenne canadienne qui tait de 8 6 en 2005 MDDEP Registre de la moyenne internationale de 13 Bureau du forestier en chef 2010 et de la moyenne am ricaine de 2005 de 21 Chape 2008 Cependant il ne faut pas oublier que le 18 mai 2011 M Pierre Arcand ministre du D veloppement Durable et de l Environnement et des Parcs a annonc les orientations strat giques du Qu bec en mati re d aires prot g es MDDEP 2011 Orientations Ces derni res permettront au Qu bec d tendre le r seau d aires prot g es 12 de la superficie du territoire d ici 2015 MDDEP 2011 Orientations Le Gouvernement du Qu bec prend en compte de mani re appropri e les effets potentiellement nuisibles des chemins forestiers la bio
250. lek J 1996 Overview of urban drainage environmental impacts and concerns means of mitigation and implementation policies Journal of Hydraulic Research 34 6 723 732 Doi 10 1080 0022 1689609498446 Environmental Protection Agency EPA 1983 Results of the nationwide urban runoff program Vol I Final Rep Water Planning Division Washington D C Environmental Protection Agency EPA 2008 Storm Water Management Model SWMM Version 5 0 United States Environmental Protection Agency Cincinnati Ohio Hooke R et Jeeves T A 1961 Direct search solution of numerical and statistical problems Journal of Association of Computational Machinery 8 2 212 229 Doi 10 1145 321062 321069 Hossain I Imteaz M A Gato Trinidad S et Shanableh A 2010 Development of a catchment water quality model for continuous simulations of pollutants build up and wash off International Journal of Civil and Environmental Engineering 2 4 210 217 Jacopin C Lucas E Desbordes M et Bourgogne P 2001 Optimisation of operational management practices for the detention basins Water Science amp Technology 44 2 3 277 285 Knight R L Walton W E O Meara G F Reisen W K et Wass R 2003 Strategies for effective mosquito control in constructed treatment wetlands Ecological Engineering 21 211 232 Doi 10 1016 j ecoleng 2003 11 001 Marsalek J 2005 Evolution of urban drainage from cloaca maxima to environmental su
251. lement la fin des ann es 1980 avec la chute du bloc communiste L ordre mondial devient alors plus incertain Rosenau 1992 Gaudin 2002 Le dualisme politique qui pr valait depuis la fin de la Deuxi me Guerre mondiale est remplac par un monde polycentrique celui des blocs conomiques o les forces arm es 70 se verront en partie remplacer par les forces bancaires Gaudin 2002 21 Des mouvements sociaux contesteront l approche technocentrique des tats principalement dans les pays en d veloppement Ils se feront la voix des populations pour critiquer les normes tablies par les machineries tatiques Ces contestations mettront en lumi re l existence d un savoir local et d une possible gestion collective des ressources qui soit plus efficace que la gestion tatique ou priv e Ostrom 1990 Cette forme de gestion fait appel un mode de prise de d cision d sign sous le nom de gouvernance qui a pour caract ristique de d politiser la gestion des ressources en y int grant les diff rents groupes d int r ts Cette approche participative communicationnelle et consensuelle Saravan et collab 2008 se r v le un moyen potentiel de faire face la complexit grandissante de la gestion des affaires publiques o le secteur priv se fait de plus en plus pr sent et o l on sent un d sir de plus en plus grand de participation de la population Klijn et Snellen 2009 Paquerot 2006
252. les travaux de McCarthy 1994 Jacopin et al 2001 Middleton et Barrett 2008 et de Muschalla et al 2009 L tude de ces travaux a permis d identifier certaines lacunes dans leurs r gles de gestion qui ont t rectifi es lors du d veloppement des r gles labor es ici ainsi que certains objectifs importants a remplir afin de parvenir a optimiser les performances d un bassin de r tention qui peuvent tre r sum s ainsi Maximiser le temps de d tention de l eau dans le bassin tout en vitant son d bordement Le ruissellement doit commencer tre stock dans le bassin d s le d but de l v nement pluvieux car le premier ruissellement est g n ralement tr s charg en MES Essayer de vidanger le bassin le plus doucement possible s il n y a pas d alerte de s curit concernant le niveau d eau afin de minimiser l rosion et les chocs hydrauliques induits dans la rivi re en aval Respecter un temps maximum de 4 jours avec de l eau accumul e dans le bassin afin de limiter le risque de d veloppement de moustiques Knight et al 2003 Des sc narios de CTR reposant sur la connaissance en tout instant de la hauteur d eau dans le bassin et sur la d tection de la pluie ont d abord t d velopp s en allant progressivement du moins vers le plus complexe Les r gles de ces diff rents sc narios sont pr sent es la figure 4 Sur cette figure les r gles sont pr sent es par o
253. les constructions ne respectant pas la loi littorale en attaquant les plans locaux d urbanisme ou les permis de construire au tribunal avant que l difice ne soit b ti La gouvernance territoriale devient de plus en plus n cessaire mesure que les conflits s aiguisent pour sortir d une situation s apparentant une impasse et aussi parce que les conflits deviennent des r v lateurs de l innovation sociale institutionnelle ou technologique donnant parfois naissance des prises de conscience L engagement cr dibilise la d marche de celui qui le prend de m me qu il le contraint a s y tenir pour atteindre ses objectifs Or cet engagement peut s av rer co teux que ce soit en terme financier de temps ou d nergie C est d ailleurs la position de L Mermet avec l Analyse strat gique de gestion en environnement ASGE qui constitue l autre partie du cadre th orique sur lequel nous nous appuyons qui postule que dans chaque situation de gestion environnementale il existe un conflit entre acteurs intrins que cette situation L id e d aborder les conflictualit s environnementales en termes d acteurs et non d usages pr sente avantage d ouvrir l analyse aux logiques parfois contradictoires que peut suivre un m me acteur par exemple un agriculteur qui exploite un territoire pour sa production de fa on plus ou moins intensive qui se sent aussi concern par les probl mes d
254. lfish Les Presses de l Universit de Montr al pp 243 272 Le Prestre Philippe 2006 Gouvernance internationale de l environnement Une initiative fran aise in Annuaire fran ais de relations internationales vol 7 pp 924 941 115 8 colloque tudiant de l Institut EDS Le Prestre Philippe 2008 La r forme de la gouvernance globale de l environnement lusive ou illusoire in Les Cahiers de l Institut EDS vol 1 n 3 18 p Najam Adil 2003 The Case Against a New International Environmental Organization in Global Governance vol 9 n 3 juill sept 2003 pp 367 384 Nils Simon f vr 2011 International Environmental Governance for the 21st Century Challenges Reform Processes and Options for Action on the Way to Rio 2012 SWP Research Paper 34 p ONU SG 1997 Renewing the United Nations A Programme for Reform Report of the Secretary General A 51 950 PNUE 2009 Register of International Treaties and other Agreements in the Field of Environment Advance copy UNEP Env Law 2009 1 PNUE 2011 tablir une Institution Internationale Sp cialis e pour l Environnement Document pr par pour la CMAE traduction non officielle de Establishing an International Specialised Institution for Environment 31 p PNUE DE 2008 Document d information pour les consultations minist rielle Document de synth se pr sent par le Directeur ex cutif Additif La gouvernanc
255. lioration des performances du bassin de r tention tudi par rapport son contr le statique appliqu dans la r alit a l heure actuelle Le taux d enl vement des MES passe notamment de 46 90 Ces r gles sont facilement transf rables d autres bassins de r tention du m me type le but ultime tant d effectuer une gestion int gr e pr vu de r effectuer ce travail avec un bassin de r tention ayant un volume plus petit et donc un d bordement plus fr quent afin de mieux distinguer l int r t des pr visions m t orologiques dans ce contexte de gestion en temps r el performante de tous les bassins de r tention d eaux pluviales de la Ville de Qu bec Il est Remerciements Les auteurs remercient le CRSNG et Mitacs Mprime pour leur support financier et la Ville de Qu bec ainsi qu Environment Canada pour les donn es fournies Peter A Vanrolleghem est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en mod lisation de la qualit de l eau Bibliographie Booth D B et Jackson C R 1997 Urbanization of aquatic systems degradation thresholds stormwater detection and the limits of mitigation Journal of the American Water Resources Association 33 1077 1090 Doi 10 1111 j 1752 1688 1997 tb04126 x Carpenter J F Vallet B Pelletier G Lessard P et Vanrolleghem P A soumis Evaluation of the removal efficiency of a retrofitted stormwater detention pond J Environ Eng Ellis J B et Marsa
256. lle politique vot e le 23 mars 2012 au Parlement Allemagne Jusqu a la fin des ann es 80 l nergie renouvelable se trouvait face une structure hostile de r serves politico conomiques d lectricit domin e par le charbon et le nucl aire Selon Karlsh et Stokes 2003 au 20 si cle I Allemagne tait un des rares tats industriels sans ressources p troli res et sans soci t s p troli res importantes son actif La transition nerg tique de l Allemagne a d but depuis les ann es 70 En effet les crises nerg tiques de ces ann es ont engendr une pression sociale qui a pouss le gouvernement soutenir les nergies renouvelables L accident de Tchernobyl en 1986 a cr un tourbillon au sein de la soci t allemande qui s est traduit quelque temps apr s par le Green majority au Parlement Il s agit d une pression exerc e par le Parlement parvenant m me d tourner le gouvernement ph nom ne identique produit au Danemark pr nant un soutien des nergies renouvelables pour produire de l lectricit D apr s l analyse de Jacobsson S Lauber V 2004 les facteurs du changement nerg tique allemand sont nombreux il y a eu un changement du cadre institutionnel de la recherche et du d veloppement des politiques nerg tiques une formation des march s l entr e d entreprises d organisations et enfin la mise en place d l ments d une coalition de
257. londe 2004 La mise en uvre du Protocole de Kyoto au Canada concertation ou coercition Revue g n rale de droit 34 1 141 197 Publication gouvernementale Gouvernement de l Alberta 1995 Alberta tables climate change action plan and progress report at environment and energy ministers meeting Edmonton Gouvernement de l Alberta 2002 Why Alberta opposes the Kyoto Protocol Edmonton R union des premiers ministers 2002 Communiqu conjoint de la r union des premiers ministers Ottawa R union mixtes des ministers de l environnement et d el nergie 2002 D claration des provinces et des territoires sur la politique en mati re de changement climatique Ottawa Assembl e nationale du Qu bec 2002 Demander au gouvernement f d ral de r it rer son engagement respecter le Protocole de Kyoto et en favoriser la ratification par le plus grand nombre possible d Etats Qu bec Assembl e nationale du Qu bec 2002 R affirmer la position du Qu bec dans la mise en uvre du Protocole de Kyoto au Canada Qu bec 35 8 colloque tudiant de l Institut EDS Minist re de l Environnement 2003 Contexte enjeux et orientations sur la mise en uvre du Protocole de Kyoto au Qu bec Qu bec Bureau des changements climatiques Assembl e nationale du Qu bec 2003 Consultation g n rale sur la mise en ceuvre du Protocole de Kyoto au Qu bec Qu bec Minist re de l environnem
258. lors de l acceptabilit de la mise en place du projet l individu modifiera son cadre de r f rence ce qui entra nera un changement de d cision et de comportement Le changement se joue autant au niveau des fa ons de voir et de comprendre une situation que dans la fa on d agir sur celle ci selon Fortin et al 2009 Nous allons d couvrir les cl s d une bonne gouvernance d apr s l analyse de divers projets nerg tiques en Europe Une bonne gouvernance pour acc l rer le changement Une analyse de divers projets sur les nergies renouvelables d voile les failles du syst me gouvernance en place au moment du d veloppement du projet Parmi elles un manque de communication entre les acteurs impliqu s favorise l incompr hension et une mauvaise interpr tation Kahn 2001 Dans cette lign e les r sidents d veloppent une perception n gative du promoteur surrench rie par des possibilit s limit es d influencer le processus de planification Par cons quent une opposition un projet sp cifique se produit Kahn 2001 En plus des difficult s relationnelles prouv es entre le promoteur les parties prenantes et le citoyen il y a la dualit entre la r partition des b n fices au sein de la communaut et la l gitimit des int r ts individuels Par cons quent nous comprenons que l acceptabilit sociale d un projet en g n ral est une des conditions n cessaires l
259. ls pr s la r ponse est un non cat gorique Par ailleurs dans la foul e des scandales de la construction on demande une enqu te sur la collusion surtout que circule la rumeur selon laquelle des autochtones auraient pr t leurs noms des entrepreneurs pour l obtention de contrat avec Hydro Qu bec Le Soleil 23 novembre 2011 Comme nous le savons le gouvernement s est montr tr s frileux l id e Comme pour Grande Baleine on met aussi en doute la fiabilit des pr visions trop long terme mais le gouvernement se dit confiant puisque la demande est forte pour les min raux et les nergies moins polluantes On doute aussi face aux investissements trangers des b n fices r els qu en retireront les Qu b cois mais encore l on se montre rassurant Il y en aura pour tous et m me plus La question de l endettement public revient aussi dans ce cas ci et encore une fois le gouvernement est optimiste les retomb es seront positives Les enjeux li s l emploi font galement partie des inqui tudes non pas tant en terme de pr carit comme sous Grande Baleine mais plut t d accessibilit pour les r gions nordiques On r pond en r p tant la formule magique 1 emploi dans le Nord 2 emplois dans le sud Le Devoir 9 janvier 2012 ce qui peut laisser perplexe Et finalement la question A t on besoin de ce projet on r pond Oui parce que si nous ne d veloppons pas le nord d
260. lt http www fs fed us eng road_megt science pdf gt consult le 5 janvier 2011 Qu bec 2004 Rapport de la commission d tude sur la gestion de la for t publique qu b coise Pr sident Guy Coulombe en ligne www commission foret qc ca http www commission foret qc ca rapportfinal htm consult le 27 d cembre 2011 Rapport Coulombe Assembl e nationale du Qu bec Journal des d bats 29 8 d cembre 2006 en ligne www assnat qc ca consult le 12 juillet 2010 Ass Nat D bats 8 d cembre 2006 Bureau du forestier en chef du Qu bec 2010 Bilan d am nagement forestier durable au Qu bec 2000 2008 Roberval Forestier en chef Pierre Levac a la p 185 en ligne lt http mhs04 com devbadf images stories Bilan documents bilan 2000 2008 pdf gt consult le 14 juin 2010 Minist re du d veloppement durable de l environnement et des parcs du Qu bec 18 mais 2011 Orientations strat giques pour atteindre 12 d aires prot g es au Qu bec en 2015 Aires marines prot g es le Qu bec devancera de cinq ans la cible de Nagoya communiqu de presse Disponible l adresse suivante www mddep gouv qc ca lt http www mddep gouv qc ca Infuseur communique asp no 1859 gt consult le 14 juin 2011 MDDEP Orientations Minist re du d veloppement durable de l environnement et des parcs du Qu bec Registre des aires prot g es Disponible l adresse suivante
261. lus fort hein Et et pas 11 8 colloque tudiant de l Institut EDS de loi et pas de loi appliqu e Entretien du 20 juin 2011 U Levante C est absolument incroyable alors voila lui je Vai interpel j ai dit je lui dit Monsieur le pr fet vous vous rendez compte et c est une phrase que j utilise souvent vous rendez compte que d o d o nous venons nous venons des mouvements de contestation les plus radicaux qui aient exist dans le monde et nous sommes aujourd hui les d fenseurs de la loi C est dire que nous qui avons combattu l tat nous avons combattu le capitalisme avec les moyens les plus radicaux qui existent je me r p te nous sommes aujourd hui les d fendants de la loi c est dire que quand on se retrouve face nos ennemis on dit mais nous nous avons la loi On est dans une soci t incroyable Une soci t totalement pervertie C est incroyable Nous on devrait continuer aller dans les manifestations lancer des cocktails Molotov frapper les flics et tout Non On est dans les TA et on dit c est nous qui maintenons la loi contre les maires contres conseillers g n raux C est dire c est extraordinaire C est extraordinaire ce que je suis en train de vous dire C est dire que c est Nous On est dans un monde l envers quoi que les les les ill gaux ce sont ceux qui ont le pouvoir municipal Entretien du 15 juin
262. m collectivites zip accueil fhtml Consult le 9 mai 2012 84 PNUE 2012 Le R sum de la cinqui me Perspective sur l Environnement Mondial pour les D cideurs Politiques http www unep org geo pdfs SPM_Report pdf Rosenau J N 1992 Governance Order and Change in World Politics Dans Governance without Government Order and Change in World Politics James N Rosenau et Ernst Otto Czempiel d Cambridge University Press Cambridge UK Saravan V S McDonald G T Mollinga P P 2008 Critical Review of Integrated Water Resources Management Moving Beyond Polarised Discourse Center for Development Research University of Bonn Working Paper Series n 29 Bonn Simard L Lepage L 2004 Gestion publique de l environnement au Qu bec Quel bilan a Vheure de la concertation Dans L Etat qu b cois au XXIe si cle Robert Bernier d Presses de l Universit du Qu bec Qu bec 351 379 Vaillancourt J G Perron B 1997 L largissement de la question cologique au Qu bec Possibles 22 no 3 4 203 217 SDM 9868928 Liste des figures Figure 1 Mod le logique des l ments structurants de la GIEBV qu b coise Figure 2 Mod le logique de l chelle locale et r gionale de la GIEBV qu b coise Les fl ches plus larges de couleur jaune orang e repr sentent des interactions avec d autres mod les logiques entr es et sorties du mod le dont des liens avec le mod le logique national
263. masons for conserving wild nature Scienco 297 450 053 Chan K M A et at 2006 Conservation planning for ecosystem services Pios Biology 42198 2152 Mitennium Assessment MEA 2005 Ecosysinms and Himan We Deng Wetlands ard Water syrien Work Resources instte Washington DC Cimon Morin J et d 2011 Conservation sirm tan e do ka biodiversit ei des services cologiques revue des eneus et approches Revue r atste pour le compte du Centre de ia Science de is Bodiverstit 43 p de Groot R S et al 2010 Challenges in integrating Ma concept of ecosystem services and values in landscape planning management and decision maling Ecokogeal ee RER Neves do cadre cologque de r f rence du Qu bec Mirwshire de I Environnement Oubec 90 i Schuyt K et al 2004 Living Waters Conserving the source of ide The Economic Values of the Works s wetlands WWF Intenatonal and the institute or Envronmenta Studes 32 pages Paci G D et al 200 Bodversty conservation in fhe REDO Carton balance and management 59 p Weta Jot 0 2018 Une et ous La ett boat Go Cona 10 gate onu co la plantia hnemetonal Borasi Conseseton pagea Acknowledgements Thank youto all our contributors Our main partners are CRSNG 580 G iro os NSERC P Q dioec paresan Qu bec amp 1 Universit Laval 7 Ducks Unlimited Canada gt Quebec Centre for Biodiversity Science Institut Hydro Qu bec en environnement d veloppement et soci t Centre
264. mbre des communes devait se prononcer en faveur de la ratification pour une application effective Ce vote s est tenu le 10 d cembre 2002 32 Les r unions conjointes tant a huit clos il est difficile d analyser r ellement ce qui s est v ritablement pass durant la rencontre Cependant selon un membre du personnel de cabinet d Andr Boisclair alors ministre qu b cois de l Environnement le Qu bec aurait obtenu gain de cause face l Alberta Lorsqu on analyse la d claration finale de la rencontre on peut ais ment conclure que le Qu bec a effectivement r ussi renverser la vapeur La D claration d Halifax sign e par l ensemble des provinces identifie 12 principes de base respecter pour la strat gie canadienne de mise en uvre du Protocole de Kyoto Le document ne fait aucune mention de la ratification mais s attarde plut t critiquer l attitude et la strat gie du f d ral r cemment publi e Implicitement elle vient donc appuyer la ratification du moins ne pas s y opposer En revanche elle critique l attitude trop centralisatrice du f d ral Le Qu bec est donc doublement gagnant L impact du Qu bec la Rencontre d Halifax est beaucoup plus tangible que celle de R gina la lecture de la D claration plusieurs points repr sentent l expression m me des int r ts du Qu bec En voici les principaux points e Le plan doit faire en sorte qu aucune r g
265. me de l outil Il faut en effet se baser sur des exp riences r elles des plantes qui se sont naturalis es et qui sont parfois devenues nuisibles pour pouvoir cerner les caract ristiques qui sont importantes pour les d cideurs dans leur prise de d cision Une fois l exercice termin l outil aura alors atteint son plein potentiel Lorsqu on voudra introduire une plante ou lorsqu on d couvrira en nature une nouvelle plante il suffira d ins rer dans FLORAIDE les bonnes donn es celles qui importent pour qu un choix nuisible non nuisible soit propos aux d cideurs Ce sera alors eux prendre la d cision importation contr le en toute connaissance de cause Une approche historique de la naturalisation Dans ce chapitre qui fait appel une approche plus historique il s agira de tester la naturalisation c est dire le fait qu une plante se naturalise ou pas soit le premier pas vers la nuisance Certaines informations particuli rement les informations de nature biologique concernant les plantes naturalis es n 278 et non naturalis es n 477 extraites des catalogues horticoles du 19 si cle seront dans ce chapitre compar es statistiquement afin de circonscrire quelles sont les caract ristiques sp cifiques aux esp ces de plantes ornementales qui ne se naturalisent pas et qui ne peuvent donc pas naturalisation En isolant les caract ristiques qui distinguent les plantes qui se
266. me qui prend en compte le caract re indissociable des dimensions environnementale sociale et conomique des activit s de d veloppement La loi pr voit divers moyens pour atteindre cet objectif Tout d abord 16 principes qui sont de nature environnementale sociale et conomique sont mis de l avant et d finis Toutefois aucune hi rarchie n est pr vue entre ceux ci D autre part une v ritable d marche appuy e par divers outils administratifs est pr vue Tout d abord la loi invite le gouvernement adopter une strat gie de d veloppement durable dans l ann e suivant la sanction de la LDD et r viser son contenu aux cinq ans En s inspirant notamment des 16 principes ce document doit exposer la vision retenue les orientations ou les axes d intervention ainsi que les objectifs que doit poursuivre l Administration en mati re de d veloppement durable La premi re strat gie couvrant la p riode 2008 2013 a t adopt e l automne 2007 Trois enjeux fondamentaux neuf enjeux strat giques et 29 objectifs pour la mise en uvre du d veloppement durable y sont retenus et explicit s Ensuite clair par cette strat gie chacun des organismes et minist res vis s par la LDD doit identifier dans un document qui doit tre rendu public les objectifs et les moyens particuliers cibl s pour contribuer sa mise en uvre Au 31 mars 2009 date butoir de Ibid art 2
267. ment durable force est cependant de constater qu en l absence de fondement tabli et solide cette expression apparait comme un fourre tout servant aussi bien la d fense de la justice interg n rationnelle qu sa diabolisation En r alit la difficult est de taille Peut on en effet conf rer des droits la post rit En quel sens quelqu un qui n existe pas encore peut il justifier l existence d obligations actuelles Si les d tenteurs des droits n existent pas comment peut on concevoir l existence de leurs droits Pourquoi un instant de l existence des g n rations actuelles doit il n cessairement tre con u comme l instrument d un moment seulement venir Les g n rations futures ont elles le droit d exiger quoi que ce soit de notre part Plus largement pourquoi et pour quoi les g n rations pr sentes ont elles une responsabilit l gard des g n rations futures Peut on r ellement concevoir aujourd hui une extension du droit vers ce qui constituerait un v ritable droit interg n rationnel destin la cons cration et la justiciabilit des droits des g n rations futures Loin de pr tendre apporter des r ponses d finitives toutes ces interrogations la mise en exergue d un tel questionnement vise d embl e montrer la complexit de notre objet tude en particulier et la foule de difficult s que soul ve la justice interg n rationnelle en g
268. ment durable se pose comme une obligation d valuer les impacts sociaux et cologiques qui peuvent d couler de nos actions de nos d cisions mais aussi de nos modes de production et de consommation Plusieurs d finitions ont t 55 8 colloque tudiant de l Institut EDS propos es pour ce concept mais les principales id es qu il importe de retenir sont une r ponse aux besoins des g n rations pr sentes sans nuire a ceux des g n rations futures une vision a long terme et int gr e des dimensions environnementale conomique et sociale une utilisation cologiquement rationnelle des ressources la conservation et la pr servation de la biodiversit et finalement pour les plus cyniques un d veloppement qui dure ind finiment ce sujet voir par exemple les travaux de Serge Latouche Cas l tude Grande Baleine Lanc dans les ann es 70 et pr vu dans la Convention de la Baie James et du Nord qu b cois 1975 le projet Grande Baleine devait ouvrir du c t de la baie d Hudson la seconde phase de la mise en valeur hydro lectrique du versant oriental de la baie James Le projet comprenait l am nagement de trois centrales hydro lectriques sur la Grande Rivi re de la Baleine production de 16 2 TWh d nergie annuellement la d rivation des eaux de la Petite Rivi re de la Baleine et de la rivi re Coast vers le bassin versant de la Grande Rivi re de la Baleine ainsi que
269. minist re ne semble plus prendre part au jeu Alliance avec des organisations de concertation Il semble que la ville octroi de plus en plus de subventions pour des projets ne concernant pas le mandat de concertation Afin de pr server ce financement certaines organisations semblent s tre rapproch es de la ville un r pondant disait d ailleurs que a politique lt gt Opposition un bon gestionnaire situ nous aide quand on fait une demande de subvention la ville on essaie de ne qb re dis oui lt gt K godiation pas tre revendicateurs sur la place publique beaucoup de politiciens haissent a Un autre affirmait qu i existe des donn es qu on a pas publi es parce que c tait pas bon pour l image de la ville Figure 2 Sociogramme simplifi et regroupementdes acteurs en coalitions CONCLUSION viter l implication citoyenne Les organisations citoyennes ne semblent pas tres impliqu es et consid rent plut t qu ils la ville nous ont pr sent leurs intentions Afin de forcer leur place dans le jeu elles se seraient notamment alli es avec des Dans l application du DD notre tude de cas r v le un d calage important entre les r alit s m dias influents Quand l organisation l ve la main les m dias sont pr senis formelles et informelles Les instituions de concertation cr es au courant des ann es 1990 et 2000 ne
270. mm diatement faisons appliquer la loi littorale et appliquons les textes en vigueur Entretien du 29 septembre 2011 G A R D E L int r t port au littoral en Corse est assez r cent mais pas nouveau Depuis les ann es 1960 et le sursaut identitaire corse le littoral est un enjeu politique et id ologique La Corse comme la plupart des villes littorales m diterran ennes fran aises a repr sent un enjeu conomique li au tourisme qui s est d velopp suite l obtention des cong s pay s et l engouement pour les loisirs baln aires D s lors se sont livr s sur l le des luttes quant aux projets d utilisation des littoraux corses Les nationalistes corses faisaient beaucoup parler d eux jusque dans les ann es 1980 utilisant des moyens d action violents plastiquage de r sidences secondaire pour ne citer que cela pour faire entendre leurs revendications et leur vision de la Corse qu il fallait pr server d un d veloppement tout crin qu ils voyaient comme nocif pour l le et ses habitants De plus ces actions militantes taient souvent soutenues par la population nous ne reviendrons pas sur l histoire de la Corse retenons seulement que la vision d un littoral sauvage ou du moins pr serv des activit s humaines a t d fendue d abord par les actions militantes des nationalistes corses Historiquement les Corses taient des paysans de montagne et le
271. mmunaut s locales Introduction Depuis 1995 les changements climatiques acc l rent la fonte de la banquise arctique et laissent entrevoir la possibilit d un accroissement de la navigation Les sc narios souvent relat s par les m dias comme quoi le Passage du Nord Ouest serait destin devenir une v ritable autoroute maritime ont cependant t r fut s Lasserre et Pelletier 2011 Qu en est il de la navigation des fins touristiques c est dire la croisi re L volution rapide du tourisme de croisi re en milieux polaires arctiques a souvent laiss croire et on le constate travers la litt rature une expansion rapide dans l Arctique canadien Figure 1 97 8 colloque tudiant de l Institut EDS 2 000 000 1 000 000 Nombre de passagers 1 000 1653 navires 49 navires 11 navires 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Canada Svalbard Groenland islande Alaska Norv ge Le nombre de navires correspond a l ann e 2008 Figure 1 Evolution du tourisme de croisi re dans l Arctique de 2005 2010 Tout d abord le tourisme de croisi re en milieux polaires arctiques n a rien a voir avec le tourisme de croisi re en mers chaudes tourisme conventionnel Dans l Arctique le billet co te en moyenne 7 000 par personne alors qu au niveau du tourisme conventionnel c est plut t 1 700 Ensuite l int rieur de la
272. munaut s du Nunavut pour lesquelles nous avons obtenu cette fiche le nombre d tablissements h teliers nombre de chambres de lits de restaurants de kiosque d information touristique de mus es de parcs d ateliers d arts et de boutiques souvenirs ont t compil s dans Excel Nous en avons galement profit pour interroger les communaut s locales sur leur int r t recevoir la visite de navires de croisi res dans leur communaut partir des donn es du Syst me de trafic maritime du Nord canadien NORDREG une cartographie des communaut s visit es par au moins un navire entre 2006 et 2010 ann e 2007 non disponible a t r alis e puis 100 superpos e l offre touristique L indice de d veloppement humain IDH des communaut s recens es a galement t ajout Les donn es proviennent du Minist re des Affaires autochtones et D veloppement du Nord Canada 2006 1 2 2 Discours des armateurs et affr teurs de navires de croisi res Dans cette tude 61 armateurs et ou affr teurs de navires de croisi res ont t sond s Ils ont t divis s en quatre cat gories lesquelles repr sentent une aire g ographique d activit bien particuli re ceux d j pr sents dans l Arctique canadien dans l Arctique russe et europ en Arctic Expedition Cruise Operators AECO en Antarctique International Association of Antarctica Tour Operators IAATO ceux qui op ren
273. municipalit peut adopter un r glement de zonage pour l ensemble ou une partie de son territoire LAU art 113 al 1 Ce r glement peut contenir des dispositions ayant comme objet de r gir ou restreindre la plantation ou l abattage d arbres afin d assurer la protection du couvert forestier et de favoriser l am nagement durable de la for t priv e LAU art 113 12 1 et OIFQ 2009 Ainsi les municipalit s et les MRC peuvent jouer un r le dans la r duction de la construction des routes la limitation d acc s au territoire la fermeture et le reboisement des routes de m me que l att nuation des impacts li s aux routes foresti res publiques et priv es Ce r le est n anmoins limit par l tendue de leur propre territoire et les droits des propri taires Issalys 2009 La certification foresti re La certification foresti re est un processus par lequel un organisme d enregistrement accr dit et ind pendant reconna t qu un requ rant utilise des pratiques de gestion foresti re qui respectent des normes pr tablies par un tiers non gouvernemental visant l am nagement forestier durable MRNF Viau 2011 Ces principes d am nagement durable sont d finis par les diff rents organismes de certification foresti re Ces organismes ont labor plusieurs normes de certification en tenant compte de leur valeur et dans certains cas des contextes particuliers des grandes r gions can
274. n en demeure pas moins empreint d une certaine s lectivit En effet l information que l on transmet a t pr alablement s lectionn e et la mani re de la rapporter influence la compr hension et la r action de l allocutaire D un point de vue technique la premi re tape de notre analyse de discours consistait en la constitution d un corpus de textes Pour ce faire nous avons proc d une s lection al atoire d articles 100 pour chaque cas dont 50 avant et apr s Rio pour Grande Baleine afin de mesurer les impacts de ce sommet La s lection al atoire s est faite partir de la fonction math matique ALEA ENTRE BORNES du logiciel Excel Version 2003 partir des chiffres g n r s par le logiciel les articles correspondant ces num ros ont t r pertori s dans la base de donn es Bibliobranch e qui regroupe tous les 57 8 colloque tudiant de l Institut EDS p riodiques qu b cois et canadiens La s lection s est faite par titre Grande Baleine et Plan Nord et par p riode de s lection p riodes correspondant a l apparition des premiers discours sur les projets jusqu leur disparition ou jusqu aujourd hui dans le cas du Plan Nord et soit du 2 d cembre 1989 au 18 novembre 1994 pour Grande Baleine et du 6 ao t 2008 au 8 mars 2012 pour le Plan Nord Une fois le corpus d articles constitu deux types d analyse ont t appliqu s en fonction des que
275. n estimait la part de production d lectricit par l nergie olienne 20 contre 1 en 1988 Cependant la part d lectricit produite partir de charbon est encore pr pond rante ce qui explique ses fortes missions de gaz effet de serre Concernant les cl s de la r ussite du Danemark dans ces premi res tapes de la transition nerg tique elles sont majoritairement li es une d marche 22 d mocratique consultative d centralis e et participative adopt e d s l origine une interaction constante entre le gouvernement le parlement et le public une participation active des chercheurs universitaires toutes les tapes le tout agr ment de d bats publics r els sur la politique nerg tique Par exemple le parlement a r ussi exclure tout recours l nergie nucl aire en 1985 et d velopper les alternatives nerg tiques sur les bases des sch mas propos s par les chercheurs De Larochelambert 2011 Aujourd hui l un des d fis du Danemark apr s ces premi res tapes de la transition avec le d veloppement des industries de l olien et de la biomasse est de diminuer ses missions de CO2 par personne qui sont parmi les plus importantes dans l Union Europ enne Son objectif pour 2050 vise un mix nerg tique 100 propre avec un abandon des hydrocarbures une meilleure efficacit nerg tique et un d ploiement des nergies renouvelables C est la nouve
276. n ral Ainsi donc la pr sente r flexion explore les conditions de pensabilit et plausibilit des droits des g n rations futures L une de nos attentes l issue de ce propos est d ouvrir des perspectives d approche pressenties nouvelles relatives une cr ativit normative en mati re de justice interg n rationnelle La m thode choisie en vue de l laboration de cette tude s inscrit dans le sillage de la m thode analytique En outre bien que ce soit fondamentalement une recherche en thique appliqu e il est cependant question ici de laisser les disciplines s interp n trer dans une perspective interdisciplinaire En fait cette attitude m thodologique tient compte de la nature et de l tat actuel de la probl matique trait e Car les concepts de droits des g n rations futures de responsabilit et de justice interg n rationnelle ne sauraient au c ur du d bat sur le d veloppement durable faire office de 37 8 colloque tudiant de l Institut EDS propositions fortes s ils ne s appuient sur un solide arri re base interdisciplinaire Apr s avoir mis en exergue la n cessit de reconfigurer la notion de responsabilit a l poque contemporaine nous nous attacherons d montrer en quoi cette reconfiguration nouveau frais rend plus que jamais viable la possibilit d tablir une corr lation ad quate entre une obligation actuelle et un droit
277. n des dommages d j commis Ric ur P 1994 45 Cette dimension prospective de la responsabilit indique la n cessit ici et maintenant de prendre en charge le futur de se soucier de ce qui pourrait arriver la post rit par notre action ou inaction Ce n est plus seulement cet acte ci qui est en jeu mais tout ce qu il entraine l ensemble des s ries causales qui en d coulent Etchegoyen A 1993 67 Dor navant la responsabilit s tend jusqu aux actes aux cons quences diff r es sur une longue dur e En r alit pouvoir et responsabilit sont les deux faces d une m me pi ce Et suivant ce point de vue donc la dimension prospective de la responsabilit contemporaine entend faire pi ce aux cons quences impr visibles et diff r es de l action humaine Il s agit d une mise jour de la responsabilit afin de la rendre coextensive aux nouvelles dimensions du pouvoir humain Aussi loin que s tende notre puissance de nuisance aussi loin s tendent galement nos obligations notre responsabilit nonc e en terme de port e la responsabilit dit Ric ur s tend aussi loin que nos pouvoirs le font dans l espace et dans le temps Or les nuisances attach es l exercice de ces pouvoirs qu elles soient pr visibles probables ou simplement possibles s tendent aussi loin que nos pouvoirs eux m mes D o la trilogie pouvoirs nuisances responsabilit
278. n int gr e de l eau partout au Qu bec sauf dans le cas o les rivi res sont d j soumises l exploitation hydro lectrique par Hydro Qu bec Bibeault 2003 392 notre connaissance il s agit de la premi re mention de la notion de gestion int gr e de l eau au Qu bec une gestion que se confie l tat En 1970 cette notion de gestion int gr e de l eau sera reprise dans le rapport de la Commission sur les probl mes juridiques de l eau 1970 151 qui propose la cr ation d une Administration de l eau qui int grerait les t ches constitutives de l administration du syst me hydrique naturel connaissance protection qui coordonnerait les actes d am nagement dans lesquels ce syst me est un constituant am nagement du territoire agriculture et qui harmoniserait les actes d am nagements qui n ont pas pour objectif de g rer le syst me comme le r seau de transport En parall le l Office de planification et de d veloppement conomique OPDQ lance le plan Yamaska un plan de cinq ans r alis par plusieurs minist res et qui se veut une r ponse la volont d aborder l eau sous ses divers aspects techniques et conomiques Il contient des crit res de qualit des eaux qui doivent orienter le d veloppement des activit s humaines dans le bassin Bibeault 2003 394 Ce sera la premi re fois au Qu bec que de tels crit res interviendront dans la planification
279. nale concernant la responsabilit de la pollution et d autres dommages l environnement Action en r paration des dommages caus s l eau Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 8 et 9 de la LSE que des mesures de pr caution soient largement appliqu es pour prot ger l environnement par les Etats selon leurs capacit s Principe de pr caution Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 19 31 76 et 31 102 de la LSE Chapitre 18 du plan Action 21 issu de Rio Protection des ressources en eau douce et de leur qualit application d approches int gr es de la mise en valeur de la gestion et de l utilisation des ressources que les ressources en eau fassent l objet de mesures de protection Action en r paration des dommages caus s l eau Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 8 et 9 de la LSE que dans la mise en valeur et l utilisation des ressources en eau la priorit soit donn e a la satisfaction des besoins fondamentaux et la protection des cosyst mes Ordonnancement des priorit s d utilisation des ressources en eau Activit s de d veloppement d outils l gaux mod le national Art 19 31 76 de la LSE que la GIRE se fasse selon une approche dynamique interactive it rative et multisectorielle Mission que s est donn
280. naturalisent de celles qui ne se naturalisent pas il sera possible d identifier et de recommander des plantes aux impacts faibles Nous pourrons gr ce aux sp cimens d herbier effectuer une analyse plus fine que le simple fait d expliquer naturalis 1 ou pas 0 Nous pourrons en effet pond rer la variable expliqu e naturalis e question de la relativiser une plante naturalis e depuis au devenir nuisibles Pour ce faire l utilisation d un mod le de r gression logistique permettra de tester l effet des variables ind pendantes les caract ristiques des plantes sur la variable d pendante la moins 100 ans avec 1 000 sp cimens ce n est pas la m me chose qu une plante naturalis e depuis au moins 100 ans mais avec seulement trois sp cimens Bibliographie Btaszczy ski J S Greco B Matarazzo R S owi ski et M Szel g 2009 JMAF Dominance based Rough Set Data Analysis Framework Poznan University of Technology Research Report RA 015 08 19 pages Cook A G Marion A Butler et G Gibson 2007 Bayesian Inference for the Spatio Temporal Invasion of Alien Species Bulletin of Mathematical Biology 69 2005 2025 Daehler C C J S Denslow S Ansari et H C Kuo 2004 A risk assessment system for screening out invasive pest plants from Hawaii and other Pacific islands Conservation Biology 18 2 360 368 Darbyshire S J 2003 Inventaire des mauvais
281. ne 0 R8 Si TPS DET gt 60h Alors ouv vanne 10 R9 Si TPS DET gt 48h Alors ouv vanne 5 Evolu A Si hauteur d eau gt 1 55 m Alors ouv vanne 100 Si Pluie gt 0 0 mm et 1 4 lt Hauteur d eau lt 1 5 m Alors ouv vanne 20 Si Pluie 0 0 mm et 1 4 lt Hauteur d eau lt 1 5 m Alors ouv vanne 10 Si Pluie gt 0 0 mm et 1 25 lt Hauteur d eau lt 1 35 m Alors ouv vanne 10 Si Pluie gt 0 0 mm et Hauteur d eau lt 1 20 m Alors ouv vanne 0 Si Pluie 0 0 mm et 1 25 lt Hauteur d eau lt 1 35 m Alors ouv vanne 5 Figure 4 R gles des trois premiers sc narios de CTR d velopp s dans cette tude ouv vanne pourcentage d ouverture de la vanne de sortie TPS DET temps de d tention 130 Alternation of rules R4 R6 and R7 HB Pic Hauteur d eau CTR evolu C Hauteur d eau contr le statique actuel Pluie mm h gt 3 v Le e gt 2 I 26 00 00 27 00 00 28 00 00 29 00 00 DATE Juin 2009 jj HH MM Figure 5 Hauteurs d eau simul es dans le bassin de r tention sous le sc nario de id CO fi 4 A CTR volu C figure 4 et celui correspondant au contr le statique actuel Les r gles de gestion prises dans le sc nario volu C sont galement repr sent es Leur description est donn e la figure 4 131 8 colloque tudiant de l Institut EDS 132 Evaluation d ensemble de vingt mod le
282. ne p riode donn e Finnveden 2008 L hypoth se principale relative la mod lisation des donn es moyennes de la production lectrique suppose par exemple qu en cons quence de l int gration de la production distribu e dans le r seau moins d lectricit sera n cessaire partir du r seau centralis Grid mix Ainsi toutes les centrales de production lectrique vont diminuer leurs productions d une mani re proportionnelle et gale leurs contributions l approvisionnement nerg tique Plusieurs d limitations g ographiques peuvent tre utilis es pour mod liser les donn es moyennes par exemple par pays par province etc Sachant que la production distribu e est appliqu e dans la province de Qu bec les donn es moyennes d approvisionnement lectrique de la province ont t utilis es en premier lieu Les sources d approvisionnement nerg tique de la province de Qu bec nergie produite et achet e ont t mod lis es en utilisant la base de donn es g n rique ecoinvent Le cout moyen de cet approvisionnement a t estim Il est pos que le r seau lectrique est capable de recevoir et transporter en int gralit l nergie lectrique produite provenant des sources distribu es 0 049 US kWh Morin Marcos et al 2010 Approche par donn es marginales Les donn es marginales pour le court terme correspondent un changement de la production des ce
283. ne la 162 foresterie qu b coise Par contre la documentation manant de l administration publique est plut t abondante bien qu insuffisante elle seule Nous avons donc galement r pertori des th ses et des m moires des pr sentations de congr s et colloques de m me que de nombreux articles scientifiques d autres disciplines telles que le g nie forestier et la biologie Disons imm diatement que nous n avons pas trouv une seule et m me source du droit qui imposerait une r duction significative de la construction des routes au Qu bec qui pr senterait une limitation de l acc s au territoire la fermeture des chemins et leur reboisement et des mesures d att nuations des impacts lors de leur construction et ce sur l ensemble du territoire Et c est peut tre normal puisque les r alit s du territoire ne sont pas uniformes Il existe des for ts priv es et des for ts publiques D j au plan juridique cela constitue une diff rence majeure Et au plan de la biodiversit on sait bien que la richesse et les besoins et sensibilit s des cosyst mes ne sont pas les m mes partout La planification des trac s des chemins doit donc tre adapt e au milieu dans lequel il passe Nous avons donc r pertori plusieurs sources juridiques qui mises ensemble formeraient ce que nous nous plaisons imaginer une courtepointe Chaque source constituerait un carr r pondant une partie du
284. nergie Beaulieu L 2012 Rapport du groupe de travail visant favoriser une utilisation accrue du bois dans la construction B rjesson P amp Gustavsson L 2000 Greenhouse gas balances in building construction wood versus concrete from life cycle and forest land use perspectives Energy Policy 28 9 p 575 588 Available at http www sciencedirect com science article B6V2W 40D614Y 1 2 79 1e55f805c429b3c441 17d4b869db4b BSI 2011 PAS 2050 2011 Assessing the life cycle greenhouse gas emissions of goods and services British standard institut Buchanan A H amp Levine S B 1999 Wood based building materials and atmospheric carbon emissions Environmental Science amp Policy 2 6 p 427 437 Available at http www sciencedirect com science article B6VP6 3 YJYHVT 2 2 ce0c056e58a463be785caca03a61 1e9e Chen J et al 2008 Future carbon storage in harvested wood products from Ontarios Crown forests Canadian Journal of Forest Research 38 p 1947 1958 Available at http www ingentaconnect com content nre cjfr 2008 00000038 00000007 art00022 Dias A C et al 2009 Comparison of methods for estimating carbon in harvested wood products Biomass and Bioenergy 33 2 p 213 222 Available at http www sciencedirect com science article B6V22 4TFV91 1 1 2 7491c88552d9d499be4d0ebb2c476b59 Dias A C et al 2005 The contribution of wood products to carbon sequestration in Portugal Annals of Forest Scien
285. nist riels Informations sur responsabilit s Soutien au ROBVQ activit s et projets Municipalit s MRC Communaut s autochtones Soutien financier Soutien technique Volont de se coordonner de se responsabiliser et d assumer un Autres acteurs locaux et r gionaux Soutien financier Soutien technique Volont de se coordonner de se responsabiliser et d assumer un leadership Repr sentants Participation Informations sur responsabilit s activit s et projets Intrants I ROBVQ OBV 2 Soutien au fonctionnement des OBV Table de concertation et d administration d Outils adapt s la GIEBV CA repr sentants expertise habilet s I M canismes d change d information Secr tariat permanent permanence Int r ts et requ tes des OBV expertise habilet s ot ere tar Activit s de soutien Planifier et tenir les assembl es CA CE Activit s de Population Soutien financier Soutien technique Participation Informations sur int r ts responsabilit s vision valeurs pr occupations Gestion int gr e du Saint Laurent GISL Plan St Laurent plan de zones informations sur le St Laurent I concertation lire des administrateurs repr sentants he Saint Laurent Modifier les r glements g n raux au besoin Analyse du bassin tion i Participer la Trouver et g
286. nit Le calcul de l inventaire et l valuation des impacts potentiels associ s aux missions inventori es ont t r alis s l aide du logiciel SimaPro PR Consultants 2008 D un autre c t l valuation des couts du cycle de vie de chacun des syst mes de production d nergies renouvelables a t r alis e l aide du logiciel RETScreen Natural Resources Canada and NRCan CTEC 2008 Les taux d inflation et d actualisation ont t fix s 2 et 6 respectivement selon les recommandations du manuel d utilisateur du logiciel RETScreen impacts 2 3 Application des approches conventionnelles pour l valuation des impacts environnementaux et conomiques reli s aux cons quences de l int gration de la production distribu e Diff rentes approches peuvent tre appliqu es pour la quantification des impacts environnementaux et conomiques reli s aux cons quences de l int gration de la production distribu e En r sum ces approches utilisent soit des donn es moyennes soit des donn es marginales pour le court ou le long terme Le choix quant leur utilisation peut avoir des r percussions consid rables sur les impacts valu s et par le fait m me sur les conclusions de l tude Approche par donn es moyennes Les donn es moyennes repr sentent la mod lisation des sources d approvisionnement nerg tique dans une d limitation g ographique et lors d u
287. nn que la gestion d un littoral sp cifique est probl matique au niveau de la qualit environnementale et n cessite des actions recours en justice p titions manifestations occupation du territoire etc Ces actions sont r v latrices du fait que la protection de l environnement en g n ral et l am nagement 8 colloque tudiant de l Institut EDS du territoire et des espaces remarquables en particulier sont devenues des questions auxquelles la population veut avoir voix au chapitre Il ressort de ces entretiens que le littoral repr sente un bien culturel et patrimonial et qu il est actuellement un enjeu conomique et social Car c est bien de choix de soci t de choix politiques dont il s agit lorsque l on s interroge sur le devenir de cet espace Le probl me pos toutes les associations que nous avons rencontr es peu importe leur localisation dans l le est un probl me d urbanisation non conforme la loi Cette urbanisation est li e au tourisme tant saisonnier construction d infrastructures de loisirs et de services sur les plages que r sidentiel construction de r sidences secondaires les pieds dans l eau qui cr e une importante inflation des terrains littoraux et une vision politique de d veloppement des maires et de l tat qui pr sentent des plans d urbanisme sur des communes o les terrains sont class s comme terres forte potentialit agricole
288. notre recherche Le conflit est pr sent par plusieurs auteurs Mermet 1995 2004 Bill 2004 2007 Torre 2006 comme essentiel au processus de gouvernance d am nagement du territoire ou de d veloppement d un espace Le territoire corse r v le une importante conflictualit territoriale et environnementale enqu te Conflits et tensions autour des usages de l espace dans les territoires ruraux et p riurbains Torre et al 2006 et il est au niveau local un bon exemple d une situation de gestion et d utilisation de l espace hautement conflictuelles dans les int r ts et les enjeux port s par les diff rents acteurs de cet espace Dans un objectif de d finition nous parlerons du conflit comme diff rent de la tension par l engagement d une ou des parties que ce soit en terme m diatique juridique ou par la production de signes panneaux barri res etc C est cet engagement qui sp cifie le conflit en tant que processus de gouvernance Le conflit est bien un processus de gouvernance en ce sens il ne constitue pas le paroxysme de l accumulation des d saccords et des tensions aboutissant n cessairement une impasse des discussions Le conflit est souvent pr ventif une des parties s engage afin de bloquer un projet et d emp cher telle ou telle modification d un site donn Dans le cas qui nous int resse les associations tentent dans la mesure du possible d emp cher
289. nsult le 8 Mars 2012 BOIVIN Simon 2011 Le Plan Nord attaqu de toutes parts in Le Soleil 23 novembre 2011 12 BRUNEL Sylvie 2004 Le d veloppement durable Paris PUF Coll Que sais je COBBY Franck Analyse du discours com Consult le 6 Mars 2012 FOUCAULT Michel 1983 L ordre du discours Le on inaugurale au Coll ge de France prononc e le 2 d cembre 1970 Paris Gallimard GACHET J P 2004 A propos du d veloppement durable peut on penser juste avec des id es fausses et des concepts chewingomesques in Le Courrier de l environnement de l INRA Vol 51 98 99 GOUVERNEMENT DU QUEBEC 2011 Plan Nord Faire le Nord ensemble Le chantier d une g n ration Gouvernement du Qu bec LACAN Jacques 1977 Pr face a Anika Lemaire Th se de doctorat Bruxelles Pierre Mardaga LATOUCHE Serge A bas le d veloppement durable Vive la d croissance conviviale Institut d tudes conomiques et sociales pour la d croissance soutenable http www decroissance org index php chemin textes latouche Consult le 6 Mars 2012 MAINGUENEAU D 1976 Initiation aux m thodes de l analyse du discours Paris Seuil MERCIER Guy et RITCHOT Gilles 1997 La Baie James Les dessous d une rencontre que la bureaucratie n avait pas pr vue in Cahiers de G ographie du Qu bec Vol 41 No 113 137 169 MICHAUX Henri 1950 Passages Paris Gallimard MICROSOFT OFFICE EXCEL 200
290. nt t s lectionn s a partir de la liste des membres de l AECO en ligne L chantillon correspond 12 membres Les op rateurs pr sents en Antarctique ont t s lectionn s partir de la tr s compl te liste de membres de l IAATO en ligne L chantillon correspond 19 membres Les op rateurs au niveau du tourisme de croisi re conventionnel ont t s lectionn s partir de la liste de membres de la CLIA En ligne L chantillon correspond 21 membres Finalement afin de dresser une liste la plus compl te possible nous avons compl t notre jeu de donn es avec le Cruise Directory en ligne lequel dresse la liste des Compagnies de croisi res sans affiliation L chantillon correspond 4 membres La m thode d enqu te sugg re des entretiens t l phoniques ou par courrier lectronique invitant les armateurs et affr teurs d j pr sents r pondre aux deux questions suivantes pos es en anglais Avez vous l intention d accro tre vos activit s dans l Arctique canadien et Pourquoi Un total de 8 r ponses a t compil Les armateurs et affr teurs de l AECO de lIAATO de la CLIA ou ceux qualifi s d autres ont t invit s r pondre aux deux questions suivantes pos es en anglais Avez vous l intention d int grer le march des croisi res dans l Arctique canadien et Pourquoi Un total de 37 r ponses a t compil
291. nt la prise de d cision gouvernementale ce propos un guide a t labor par l organisme afin de mieux encadrer la prise en compte des 16 principes de la LDD D autant plus que le d veloppement durable faisait explicitement partie du mandat de la Commission pensons au titre La partie du rapport du BAPE o la marque des principes de la LDD est la plus pr sente est dans doute la section orientations Il y est pr cis que La pr sente partie la troisi me du rapport expose des propositions d orientations qui assureraient pour les volets d exploration d exploitation et de collecte de gaz naturel le d veloppement s curitaire de l industrie dans le respect du d veloppement durable L orientation principale de ce rapport est sans doute la recommandation de mettre sur pied une valuation environnementale strat gique ci apr s EES Le BAPE soutient qu la lumi re de son enqu te il n est pas en mesure de r pondre aux principales questions relativement aux impacts potentiels du d veloppement d une exploitation de la ressource gazi re au Qu bec Il est donc propos d effectuer une ES visant obtenir une vue d ensemble des effets potentiels que plusieurs projets similaires pourraient IS BAPE Guide pour la consid ration des principes de d veloppement durable dans les travaux des commissions d enqu te du Bureau d audiences publiques sur l envir
292. nt du PNUE Une solution de compromis consisterait transformer le PNUE en ONUE par r solution de l AG des Nations unies plut t que par la n gociation d un nouveau trait Cette nouvelle organisation demeurerait un organe subsidiaire de PONU mais pourrait avoir des pouvoirs largis et un membership universel ce qui conf rerait plus de l gitimit a ses d cisions si tant est que tous les Etats acceptent de joindre ses rangs ce qui n est pas certain Renforcer la CDD transformer ECOSOC ou cr er un Conseil du DD La plupart des tats conviennent de l importance de combler les lacunes de la Commission du d veloppement durable CDD pour faciliter l int gration des trois piliers du d veloppement durable dans les politiques et acc l rer la mise en uvre ce titre le processus pr paratoire de Rio 20 a mis en relief l int r t croissant pour la cr ation d un Conseil de d veloppement durable dont les d cisions seraient transmises directement l AG des Nations unies plut t que de transiter par le Conseil conomique et social ECOSOC comme 114 c est le cas en ce moment Trois options sont envisag es cette fin 1 tablir un Conseil du d veloppement durable 2 transformer la CDD en Conseil du d veloppement durable ou 3 modifier le mandat de l ECOSOC qui est d ja responsable des piliers conomique et social pour y inclure le pilier environnemental Vers des Objecti
293. nt durable et fracturation hydraulique sont ils compatibles dans Daniel Breton dir Ma tres chez nous 21 si cle ID diteur Val David 2009 pp 122 125 91 8 colloque tudiant de l Institut EDS d autre choix que d activer ce que l on pourrait appeler la souBAPE d urgence Le travail de cet organisme institutionnel ind pendant d aide la d cision environnementale et sp cialis dans l organisation d audiences publiques a d ailleurs t d une importance capitale pour la d marche subs quente du gouvernement relative aux gaz de schiste 2 1 LA COMMISSION SUR LE D VELOPPEMENT DURABLE DES GAZ DE SCHISTE AU QU BEC Le 31 ao t 2010 le ministre du D veloppement durable de l Environnement et des Parcs du Qu bec M Pierre Arcand transmet au BAPE en vertu de l article 6 3 de la Loi sur la qualit de l environnement le mandat de mettre sur pied une commission d enqu te et de tenir des consultations publiques dans les r gions administratives de la Mont r gie du Centre du Qu bec et de Chaudi re Appalaches soit les trois r gions principalement vis es par l industrie des gaz de schiste Plus sp cifiquement trois missions sont confi es au BAPE e Proposer un cadre de d veloppement de l exploration et de l exploitation des gaz de schistes de mani re favoriser une cohabitation harmonieuse de ces activit s avec les populations concern es l envi
294. nte concernant une nouvelle relation entre le gouvernement du Qu bec et les Cris du Qu bec pour les ann es 2006 2007 et 2007 2008 2e sess 37e l g Qu bec 2006 sanctionn le 13 d cembre 2006 L Q 2006 c 45 P L 49 P L 57 r impression Loi de l am nagement durable du territoire forestier 1re sess 39e l g Qu bec 2009 art 372 P L 57 Loi sur les ing nieurs L R Q c I 9 Loi sur les ing nieurs forestiers L R Q c I 10 Code de d ontologie des ing nieurs forestiers R R Q 1981 c I 10 r 5 Articles de revue Bourgeois L D Kneeshaw et G Boisseau 2005 Les routes foresti res au Qu bec Les impacts environnementaux sociaux et conomiques VertigO 6 2 en ligne Chape S M Spalding et M Jenkins dir 2008 The World s Protected Areas Status Values and Prospects in the 21st Century 2008 Cambridge UNEP WCMC Chapin III F Stuart et al 2000 Consequences of changing biodiversity Nature 405 234 241 Girard J F 2010 Dix ans de protection de l environnement par les municipalit s depuis l arr t Spraytech constats et perspectives dans Service de la formation continue du Barreau du Qu bec D veloppements r cents en droit de l environnement 2010 Cowansville Yvon Blais REJB Houle M et al 2010 Cumulative effects of forestry on habitat use by gray wolf Canis lupus in the boreal forest Landscape Ecology 25 419 Tikina A V e
295. ntrales lectriques d j existantes Weidema 2003 Ekvall and Weidema 2004 La proc dure cinq tapes d velopp e par Weidema Weidema 2003 a t appliqu e pour la mod lisation des donn es marginales pour le court terme La proc dure consiste identifier l tendue et l horizon temps du changement tudi d limiter le march consid r identifier la tendance de ce dernier identifier les contraintes de production et finalement identifier les technologies sensibles au changement appel es technologies marginales Weidema 2003 Dans le cas de la province de Qu bec la production lectrique a partir du mazout est l option la plus couteuse et est utilis e uniquement en p riodes de pointe et principalement en hiver Hydro Qu bec Dans le cas des autorit s voisines de la province de Qu bec uniquement les autorit s changeant d importantes quantit s d lectricit ont t consid r es National Energy Board 2007 soit New York et le Nouveau Brunswick Pour ces autorit s la production lectrique au mazout et au gaz naturel a t identifi e comme technologie marginale en raison du cout de production lev Canadian Electricity Association 2006 Federal Energy Regulatory Commission 2009 Il est noter que le cout de production partir des centrales au mazout et au gaz naturel est gal 0 08 et 0 14 SUS kWh Canadian Electricity Association 2006 R sultats 3 1 valuation in
296. nts minist riels OBV Rassembler information minist rielle OBV Soutenir le ROBVQ Fournir un soutien technique aux autres organismes Choix des territoires et organismes de GIEBV Subvention aux OBV Soutien technique guides mod lisation connaissances expertises rencontres etc Analyse de conformit des PDE Approbation de PDE conformes Repr sentants minist riels aux tables des OBV Information minist rielle pertinente pour les OBV Subventions et aide mat rielle au ROBVQ Avis techniques pour les organismes autres que les OBV prioritaires Activit s administratives D gager les ressources n cessaires la mise en uvre de la GIEBV Planifier organiser et dinger les ressources d gag es Rendre compte de la gestion des ressources et de l atteinte des r sultats Ressources proportionnelles aux besoins de mise en uvre Structure organisationnelle r pondant aux besoins de mise en uvre de la GIEBV Planification strat gique concernant la GIEBV Plans d action de la mise en uvre de la GIEBV Rapports sur les activit s de GIEBV et les r sultats attendus Le droit du d veloppement durable et le gaz de schiste au Qu bec Un incitatif ou un justificatif de approche gouvernementale ALEXANDRE DESJARDINS tudiant la ma trise en droit Universit Laval Directrice Paule Halley Professeure Facult de droit Universit Laval R sum Au cours des derni res
297. nvisageables Nous sommes partis du principe qu outre des conflits d usages du littoral il y a des conflits d int r ts conomiques identitaires de protection li s sa gestion qui opposent les associations et les autres acteurs publics ou priv s de la gestion du littoral C est dire que partant de ces conflits d int r ts nous nous sommes int ress s cet acteur d environnement que sont les associations de d fense de l environnement corses qui soul vent un probl me environnemental et appellent des prises de d cision et des solutions Lors de nos entrevues nous nous sommes questionn s sur les propri t s g n rales du littoral ce qu il repr sente pour une association de d fense de l environnement qui il appartient s il est exploit par qui et pour quoi quels sont les probl mes auxquels doivent r pondre les associations sur un littoral particulier quels sont leurs moyens pour y r pondre et de quelle nature sont leurs rapports avec les autres acteurs de la gestion littorale Les associations de d fense de l environnement ADE sont rarement nomm es dans la litt rature consult e jusqu pr sent lorsqu il s agit de gestion int gr e du littoral GIL Pourtant elles sont notre avis un point nodal de l action strat gique en environnement Nous nous sommes donc interrog s sur les raisons pour lesquelles ces associations estiment un moment do
298. oa Haven E r Kugaaruk N Igloolik M D Hall Beach L Qikigtarivag H En 2008 Resolute 7 6 ES 2009 Resolute 21 Repu 77 2010 Resolute 6 Pangnirtung F Indice de d veloppement Corp Harbour K a Rankin Inlet P humain IDH Chesterfield Inlet _ esse Moyenne du Nunavut 0 688 Cape Dorset G K Five 0 688 et O tuto aible 0 et moins ag one igaluit D A ne i Aaii a immirut d moyen 0 690 0 780 ya s KMD s gt A Elev 0 781 0 864 Sources Navires Donn es de Nordreg obtenues aupr s de Sophie Dupr 2012 Niveau de ve Minist re des Allares indiennes et du Nord Canada 2006 Figure 4 R partition spatiale des communaut s visit es et niveau de bien tre Discussion Conclusion L industrie du tourisme de croisi re dans l Arctique canadien en d pit d un d veloppement rapide et prosp re au niveau des autres destinations arctiques est vou e une expansion plus modeste L enqu te men e aupr s des armateurs et affr teurs de l industrie du tourisme de croisi re montre que seuls deux op rateurs d j pr sents sur pr s de onze en 2010 ont l intention d accro tre leurs activit s Sur les neuf autres la compagnie Polar Star Expeditions n existe 104 plus le Kapitan Khlebnikov affr t par Quark Expeditions ne sera d sormais plus disponible pour des fins de croisi res et finalement le Lyubov Orlov
299. occupations environnementales sur la liste des probl matiques sur laquelle la communaut internationale devra se pencher Lacharit 2011 10 Elle lancera le Programme des Nations Unies sur l environnement PNUE Dans les ann es 1970 il faut noter galement la pr sence de plus en plus grande des organisations non gouvernementales ONG en environnement sur la sc ne internationale Chavagneux 2003 Charnovitz 1997 La Conf rence des Nations Unies sur l eau de Mar del Plata en 1977 fut la premi re conf rence d envergure mondiale sur les probl matiques des ressources en eau Il n y sera pas question de gestion int gr e des ressources en eau mais la grande diversit de groupes repr sent s scientifiques ing nieurs organisations non gouvernementales agences des Nations Unies d cideurs politiques permet d aborder pour la premi re fois les probl matiques des ressources en eau dans toute leur complexit Biswas 2003 Lacharit 2011 On y recommandera le lancement d une autre d cennie internationale celle de l approvisionnement en eau potable et de l assainissement laquelle sera inaugur e par les Nations Unies en 1981 On parlera ensuite tr s peu des ressources en eau sur la sc ne internationale mais plusieurs changements auront un impact consid rable sur la d finition de la gestion int gr e de l eau l chelle mondiale A nsi la politique internationale se modifiera radica
300. odiversity BD In the boreal forest region the wetlands are still largely intact However industrial pressure is increasing rapidly due to the Figure 1 Anthropogenic footprint in Canada from Wells et al 2010 In order to ensure the sustainability of wetland ecosystems and their contribution to human well being ES could be used as conservation targets Although the potential benefit from conserving natural wetlands may be great Baimford ot at 2002 the use of ES in conservation could be estricted due to their lack of spatial concordance with BD Chan et al 2006 Pack et al 2010 Cimon Morin et al 2011 Moreover the quantiication of several ES can be both challenging and Research Objective This project aims to deveop a wetland conservation approach suited to the vast boreal region of the province of Quebec which would take into account ES provided by wetlands Study Area Lower North Shore Plateau ecoregion 130 000 km 0 05 inhabitants per km Black spruce moss bioclimatic domain Wetlands cover 10 12 of the land area Li et ai 1999 90 of the wetlands are peatlands Planning units PA gt 16 000 polygons of 10 km Data of wetland types PA Figure 2 Localization of the study area in red Enlarged area shows an example of planning Development of a Wetlands Conservation Network Approach Based on Ecosystem Services J r me Cimon Morin 2 7 Monique Poulin 4 5 Marcel Darveau2 16
301. ofknowledge com D duites des cartes de distribution du United States Rusticit Zones de rusticit 1 11 Department of Agriculture 2010 The PLANTS database http plants usda gov Taill Taille maximale Fitter et Peat 1994 The Ecological Flora Database Rice ae 2006 Encyclopedia of Perennials Marie Victorin 1995 Herbac e arborescente arbustive United States Department of Agriculture 2010 The Type de plante ou grimpante PLANTS database http plants usda gov Outre certaines caract ristiques biologiques des donn es de nature g ographique et l gale statut de nuisance ou pas ont t collig es pour chaque esp ce Tableau 2 Le 176 d nombrement des sp cimens d herbier des 900 esp ces naturalis es a t effectu dans les herbiers de l Universit Laval et de l Universit de Montr al 82 880 sp cimens au total ce qui donne une information indirecte sur l abondance des plantes sur le terrain Enfin on a calcul pour chaque esp ce le nombre total de publications scientifiques recens es dans la base de donn es Web of Knowledge comprenant le nom de la plante en latin dans la rubrique sujet topic ainsi que le nombre d articles avec le nom de la plante associ au terme invasive toujours dans la rubrique sujet Cela t moigne d une part des efforts de recherche qui ont t faits sur la plante est elle connue ou pas et d au
302. omme le soutient Sj str m 1985 On comprend alors la force et la centralit de cet individu dans le changement il en est de m me que pour l acceptabilit sociale d un projet et comme ici nerg tique Selon Andr 1994 l individu soumet l image de son milieu de vie actuel l image de l avenir sans projet et l image de l avenir avec le projet une valuation du risque du changement advenant que le projet prenne forme Ce genre de construction mentale requiert que l individu ait la capacit de conceptualiser et de visualiser le projet en question Cette d marche peut poser des difficult s en l absence de points de r f rence ou d ant c dents locaux ou nationaux auxquels se r f rer L individu va alors juger l acceptabilit du projet suite cette analyse comparative Andr et al 2010 Suivant le d veloppement d un projet la route critique de son acceptabilit sociale va tre emprunt e par de nombreux acteurs la recherche des informations disponibles pour juger du projet et de son ad quation ou non avec les int r ts individuels et collectifs L acceptabilit sociale est le r sultat d un processus par lequel les parties concern es construisent ensemble les conditions minimales mettre en place pour qu un projet un programme ou une politique s int gre harmonieusement et un moment donn dans son milieu naturel et humain Caron Malenfant Conraud 2009 D s
303. ompli Un amalgame de mesures notamment les partenariats avec l industrie et la soci t civile la cr ation d entit s gouvernementales et une consultation publique au travers d une commission parlementaire sont quelques exemples de la strat gie qu b coise visant une autonomisation du processus par le Qu bec La phase signature ratification 1996 2002 est particuli rement int ressante tudier puisque c est ce moment que les gouvernements s activent pour choisir un objectif tout d abord et dresser l architecture de la mise en uvre ensuite L poque 2003 2005 a t beaucoup plus calme au minist re de l Environnement du Qu bec puisque le nouveau ministre en place se concentra davantage sur le plan d action en d veloppement durable du Qu bec C est en 2005 que le dossier reprend vie et un autre vecteur de la strat gie qu b coise prend une importance particuli re les relations internationales partir de 2005 l organisation du Sommet des leaders en marge des COP de la CCNUCC illustre le r le que d sire jouer le Qu bec en changements climatiques Ses liens qu il tisse avec les tats de la Nouvelle Angleterre et sa participation au Western Climate Initiative ne sont que quelques uns des exemples qui d montrent cette nouvelle tendance Bibliographie Toutes ces r f rences n apparaissent pas dans le texte Monographie Arbour Jean Maurice et Sophie Lavall e 2006 Dro
304. on Nations Unies D veloppement durable Petits Etats Insulaires Session extraordinaire Action 21 En ligne Disponible a l adresse suivante http www un org french ga special sids agenda21 Consult le 28 f vrier 2012 Nations Unies Code of Conduct for Arctic Tourism En ligne Disponible l adresse suivante http www un org esa dsd dsd_aofw_mg mg VIA viaprofiles WWF_ Arctic Code htm Consult le 19 f vrier 2012 Nunavut Tourism Association En ligne Disponible l adresse suivante http www nunavuttourism com Consult pendant l ann e 2011 2012 P che et Oc an Canada 2005 En ligne Disponible l adresse suivante http www dfo mpo gc ca index fra htm Page consult pendant l ann e 2011 2012 STEWART et Al 2010 Cruise tourism and sea ice in Canada s Hudson Bay region Arctic 63 1 57 66 STEWART E J DRAPER Dianne ET DAWSON J 2010 Monitoring Patterns of Cruise Tourism across Arctic Canada Dans MAHER Patrick T et STEWART Emma J 2010 Cruise Tourism in Polar Regions Promoting Environmental and Social Sustainability London Earthscan Viken A 2006 Svalbard Norway Dans G Baldacchino ed Extreme Tourism Lessons from the World s Cold Water Islands Elsevier Oxford 107 8 colloque tudiant de l Institut EDS 108 Conf rence publique 109 8 colloque tudiant de l Institut EDS Secr tariat Agences sp
305. on comme type particulier d nonciation Barry 2002 2 L analyse de discours permet galement de d celer l attitude du locuteur vis vis du monde et de son allocutaire les valeurs pr n es les motions ressenties les certitudes partag es etc Le discours remplit trois fonctions une fonction propositionnelle ce que disent les mots une fonction illocutoire ce que l on fait par les mots accuser ordonner demander une information etc par l acte illocutoire s instaure une relation un rapport entre les interactants une fonction perlocutoire le but vis agir ou chercher agir sur l interlocuteur On peut d duire de ces d finitions que l analyse de discours consiste tudier des conduites communicatives et rendre compte des combinatoires produites par l interaction des contraintes et des choix faits par l nonciateur Elle est au coeur des relations qui existent entre un comportement culturel et des discours sociaux Barry 2002 4 Enfin selon Foucault 1983 les discours sont des univers dans lesquels s expriment des contraintes Les discours sont des armes de combat permettant de poursuivre l objectif de l obtention du pouvoir ou de mani re plus mod r e d influencer des adversaires potentiels ou r els ou encore de convaincre des sceptiques Certes plusieurs discours apparaissent plut t neutres lorsqu ils ont pour objet d informer mais il
306. on de la gestion de l eau au Qu bec de sa d sint gration et aujourd hui Il montre que le Sommet de Rio a eu un impact consid rable sur les actions entreprises au Qu bec mais que cet engagement se situe dans un continuum de mesures d int gration dont les manifestations se sont chelonn es de la fin du XIXe si cle aujourd hui en s acc l rant toutefois la fin des ann es 1960 Ce mouvement qu b cois n est pas tranger au courant mondial de protection de l environnement apparu dans les cinquante derni res ann es Afin de situer l influence du Sommet de Rio sur la gestion des ressources en eau GIRE du Qu bec un type id al ou mod le logique de celle ci est compar au concept de GIRE mis de l avant par certains organismes internationaux au d but des ann es 1990 et ce sous l influence de la Banque mondiale d sirant appliquer un nouveau mode de gouverne appel bonne gouvernance la gestion des projets financ s par l aide internationale Il r sulte de cette comparaison que la GIRE du Qu bec est un reflet assez fid le de celle propos e Rio En adoptant ce mod le la GIRE qu b coise a cependant pris une orientation sociale qui rangerait le Qu bec parmi les tats verts de troisi me phase celle suivant la mise en uvre du d veloppement durable c est dire la phase de transformation sociale visant le respect des limites cologiques de son territoire et de la plan te Mo
307. onnait les tats c tiers de l Arctique comme les plus m me de prendre en charge la protection d un environnement particuli rement fragile tant et aussi longtemps que les mesures tablies par ces tats l image du NORDREG ne constituent pas des atteintes d raisonnables la navigation Bibliographie Lois trait s et autres instruments internationaux Action 21 adopt par la Conf rence des Nations Unies sur l Environnement et le D veloppement CNUED 3 14 juin 1992 Rio de Janeiro Doc off NU A CONF 151 26 Rev 1 en ligne lt http www un org french events rio92 agenda2 1 index html gt Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada L C 2001 ch 26 en ligne lt http laws lois justice gc ca fra lois C 10 15 index html gt R glement sur la zone de services de trafic maritime du Nord canadien DORS 2010 127 en ligne lt http lois laws justice gc ca PDF SOR 2010 127 pdf gt NORDREG Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer 1 novembre 1974 1184 RTNU 278 SOLAS Convention des Nations Unies sur le droit de la mer 10 d cembre 1982 1833 RTNU 3 CNUDM 52 D claration finale de la Conf rence des Nations Unies sur l environnement D claration de Stockholm 16 juin 1972 UN Doc A CONF 48 14 Rev 1 1972 en ligne lt http www unep org Documents Multilingual Default asp DocumentID 97 amp ArticleID 15 03 amp 1 fr gt Doctrine K Bartenstein
308. onnement Qu bec 2009 la p 3 7 Ibid S BAPE D veloppement durable de l industrie des gaz de schiste au Qu bec pr cit note 17 la p 221 0 Thid la p 223 avoir Les conclusions de l ES serviraient fixer les conditions de r alisation des activit s pouvant m me mener leur interdiction Selon le BAPE l laboration d une ES concerne trois principes de la Loi sur le d veloppement durable efficacit conomique acc s au savoir et participation et engagement D s le d p t du rapport de la Commission le gouvernement du Qu bec a fait savoir son intention de se plier aux orientations propos es par le rapport du BAPE ce qui est en soi notable si on consid re que les travaux du BAPE ne sont pas l galement contraignants En effet quelques jours peine apr s que le rapport du BAPE sur le d veloppement durable des gaz de schiste ne fut rendu public le ministre du D veloppement durable de l Environnement et des Parcs M Pierre Arcand annonce qu une ES sera lanc e afin de mieux valuer les risques reli s l exploration et l exploitation des gaz de schiste et d cr te un moratoire de facto pour l industrie Cette d marche qui est toujours en cours au moment d crire ces lignes sera sans doute d terminante quant l avenir de cette fili re nerg tique au Qu bec 2 2 L ETUDE ENVIRONNEMENTALE STRATEGIQUE
309. onnementaux Ils sont nombreux et m diatiques en Corse ils se rattachent une notion culturelle et patrimoniale de diversit paysag re et de nature auxquelles il faut ajouter une notion identitaire car les Corses d fendent l environnement de leur le dans l id e de d fendre leur identit culturelle linguistique historique cela se rattache donc un projet politique particulier d actualit le PADDUC Plan d am nagement et de d veloppement durable de la Corse Dans ce document il est question des grandes orientations politiques que va prendre la CTC Collectivit territoriale de Corse et de ces orientations celles de l urbanisation du tourisme ou du probl me foncier pr occupent particuli rement nos associations Le PADDUC s accorde aux prescriptions du Grenelle de l environnement fran ais et entre dans le cadre de l Agenda 21 local Corsica Vint unu qui pr conise une strat gie de d veloppement durable qui entend lier des composantes diverses faire voluer les conventions faire voluer les pratiques et les comportements et tendre vers un mod le de d veloppement mieux int gr mieux partag et plus solidaire Rapport de l Assembl e de Corse 1 session 2011 Agenda Corse 21 p 4 Dans ce contexte tendu nous nous sommes appuy s sur les recherches effectu es sur les conflits territoriaux dans diff rentes disciplines des sciences sociales pour cadrer
310. ons v g tales en fonction de l ge des bandes riveraines R sultats pr liminaires R sultats attendus gt 206 sites Des facteurs sp cifiques de l environnement et de gestion agricole 200 Rivi res 200 Cultures adjacentes seront associ s aux probl mes de recolonisation par des esp ces Bande indig nes ou d envahissement par des esp ces exotiques riveraine yee i g pee olm m I o E m Esp ces d ombre Cac Blanche Cherroti re Niagarette Fourrage Nais C r ales Soya P turage Autres Nombre Pen i z Esp ces mi ombre Rivi re Champ agricole Figure 1 Description des sites inventori s lors de chantillonnage 2011 d esp ces 7 r Esp ces de lumi re Succession v g tale mb 350 esp ces v g tales O 3ans 4 6ans 7 9ans 10 12 ans 12 anset gt Tableau 1 Esp ces dominantes A f Cul de sac biologique Stade arborescent Replat Talus Figure 2 Courbes ee des esp ces v g tales en fonction de l ge de Equisetum arvense char Pt ridophytes Onoclea sensibilis ses Matteucia Struthiopteris Conclusion Les processus de r g r ration spontan e dans les bandes riveraines Phleum pratense Carex crinita prot g es en milieu agricole Agropyron repens Leersia oryzoides Cette recherche nous permettra de comprendre la FI se Monocotyl dones Bromus inermis i O Favorisent la diversit v g tale succession v g tale dans les bandes riveraines afin de Calamagrostis canadensis RS gt y Permettent
311. oud K Per l A L amp Pussinen A 2001 Carbon dynamics in wood products Mitigation and Adaptation Strategies for Global Change 6 2 p91 111 Available at http dx doi org 10 1023 A 1011353806845 Robichaud F Kozak R amp Richelieu A 2009 Wood use in nonresidential construction A case for communication with architects Forest Products Journal 59 1 2 p 57 65 Available at http sbiproxy ugac ca login url http search ebscohost com login aspx direct true amp db bth amp AN 37218876 amp loginpage Login asp amp site ehost live Consult janvier 28 2010 Sedjo R A 2002 Wood materials used as a means to reduce greenhouse gases GHGs An examination of wooden utility poles Mitigation and Adaptation Strategies for Global Change 7 2 p 191 200 Available at http dx doi org 10 1023 A 1022833227481 Skog K E 2008 Sequestration of carbon in harvested wood products for the United States Forest products journal Vol 58 no 6 June 2008 p Pages 56 72 Sutton W R J 2003 Wood The World s Most Sustainable Raw Material Taylor J amp Van Langenberg K 2003 Review of the Environmental Impact of Wood Compared with Alternative Products Used in the Production of Furniture CSIRO Forestry and Forest Products UNFCCC 2003 Estimation reporting and accounting of harvested wood products United Nations Framework Convention on Climate Change Upton B et al 2008 The greenhouse gas and energy
312. peut m exposer une quelconque sanction ext rieure Si oui celle que je peux ressentir en mon for int rieur la peine les remords ou l inconfort thique l id e de n avoir pas souscrit une obligation que je me suis impos e y regarder de pr s ce devoir est assur ment paradoxal Il associe contrainte et libert suivant une dialectique qui se laisse difficilement saisir S agissant du devoir de droit ou de justice il se d finit essentiellement par la l galit et la contrainte C est un devoir strict dans la mesure o il ne donne pas v ritablement le choix d adh rer ou non Il est contraint de l ext rieur en vertu d une l gislation ou d un r glement Pr cisons que Kant accordera une sup riorit axiologique au devoir de vertu sur le devoir de droit Relativement la question de la justiciabilit ici discut e il s agit de montrer sous fond de distinction kantienne qu il est non seulement possible mais surtout souhaitable que la promotion et la protection des droits des g n rations futures puissent reposer sur les obligations et de vertu et de droit Les obligations actuelles ne sauraient renvoyer une simple question de vertu ou d thique personnelle ils peuvent et doivent s tendre jusqu au devoir de droit Autrement dit si chaque g n ration peut effectivement se sentir moralement oblig e de poser ou s abstenir de poser des actes en vue de garantir les droit
313. pparaissent comme des destinations populaires Les arr ts des navires de croisi re dans les communaut s repr sentent seulement 38 de tous les d barquements effectu s comme nous l avons mentionn la promotion des croisi res met l accent sur les arr ts et les d barquements principalement effectu s dans des les Vierges ce qui caract rise le mode op ratoire de ces croisi res Cependant aux termes d une petite enqu te aupr s de Nunavut Tourism sur l int r t des communaut s recevoir la visite de navires de croisi res on nous a fait s avoir que l ensemble des communaut s du Nunavut taient int ress es tant donn le potentiel conomique bien que ponctuel qui d coulait 103 8 colloque tudiant de l Institut EDS d une telle activit Le tourisme de croisi re appara t en effet comme un bel outil de d veloppement On le voit bien les communaut s ayant re u les visites des navires de croisi res ont globalement une COMMUNAUT S VISIT ES PAR AU MOINS UN NAVIRE ENTRE 2008 ET 2010 offre touristique et de service plus consid rable que les communaut s non visit es et un indice de d veloppement humain plus lev Figure 4 Groentand Danemark Grise Fiord 1 Resolute A g Le re e nl a J E gt Ds 0 L i 4 Pond inlet 8 itin raires des Cambndge Bay C i navires 2010 m Ai Nombre de navires F Taloyoak S n Gi
314. probl me que causent les chemins forestiers la biodiversit Au total nous avons r pertori une quarantaine de lois r glements projets de loi directives et politiques touchant de pr s ou de loin les chemins forestiers et c est sans compter toute la documentation gouvernementale sur le sujet Nous allons donc pr senter bri vement les instruments juridiques actuels possibles et en d veloppement Les instruments juridiques actuels Deux sources de droit prennent en compte actuellement les effets potentiellement nuisibles des chemins forestiers pour la biodiversit Il s agit du r seau d aires prot g es et de la responsabilit professionnelle des ing nieurs forestiers Le r seau d aires prot g es Il est difficile de concevoir un moyen plus efficace de construire significativement moins de routes foresti res et d en limiter l acc s qu en cr ant des aires prot g es L tablissement d aires prot g es se fait d j depuis plus d une centaine d ann es Bourgeois 2005 Il faut comprendre qu aussi performant soit le r gime d exploitation des ressources naturelles au plan de la mitigation des impacts sur la biodiversit il doit exister sur le territoire des aires de conservation de qualit En effet ces aires servent principalement pr server la biodiversit Or les preuves scientifiques d montrent une perte de biodiversit actuelle irr m diable consid rab
315. production artistique Les relations qu ont les l ments picturaux avec les repr sentations figuratives sont intrins quement li es Je m int resse au lien la tradition dans mes uvres r centes Je m interroge sur le patrimoine culturel que nous avons et j observe plusieurs caract ristiques typiques de notre culture 210 Sans titre Acrylique sur planche de bois 2 5 x 4 pieds 211 8 colloque tudiant de l Institut EDS 212 Liste des participants Kenrick Demesvar tudiant au doctorat en histoire Universit Laval Courriel kenrick demesvar 1 ulaval ca Claire Taugeron Graziani tudiante la ma trise en sociologie Universit Laval Courriel cl_graziani hotmail fr Yasmyn Camier tudiante la ma trise en sciences de l environnement Universit du Qu bec Montr al Courriel Yasmyn camier gmail com Alex Perreault tudiante la ma trise en tudes internationales Universit Laval Courriel alex perreault 2 ulaval ca Christian Djoko Kamgain Etudiant au doctorat en philosophie Universit Laval Courriel christian djoko kamgain 1 ulaval ca Pierre Woitrin Etudiant a la maitrise en droit Universit Laval Courriel pierre woitrin 1 ulaval ca Nancy Emond Etudiante au doctorat en sociologie Universit Laval Courriel nancy emond 1 ulaval ca Bruno Robert Etudiant au doctorat en sociologie Universit Laval Courriel bruno robert 1 ulaval ca Ale
316. pt de d veloppement durable comme un nouveau cadre de gestion au sein de l Administration qu b coise cet effet l article 1 de la loi pr cise que La pr sente loi a pour objet d instaurer un nouveau cadre de gestion au sein de l Administration afin que l exercice de ses pouvoirs et de ses responsabilit s s inscrive dans la recherche d un d veloppement durable Les mesures pr vues par la pr sente loi concourent plus particuli rement r aliser le virage n cessaire au sein de la soci t face aux modes de d veloppement non viable en int grant davantage la recherche d un d veloppement durable tous les niveaux et dans toutes les sph res d intervention dans les politiques les programmes et les actions de l Administration Elles visent assurer la coh rence des actions gouvernementales en mati re de d veloppement durable ainsi qu favoriser l imputabilit de l Administration en la mati re notamment par le biais des contr les exerc s par le commissaire au d veloppement durable en vertu de la Loi sur le v rificateur g n ral chapitre V 5 01 Ce sont donc plus de 150 entit s publiques qui sont vis es Au sens de cette loi le d veloppement durable s entend d un dJ veloppement qui r pond aux besoins du pr sent sans 90 compromettre la capacit des g n rations futures r pondre aux leurs Le d veloppement durable s appuie sur une vision long ter
317. quation 1 sans la variable C d s que g est sup rieur d dans l quation 2 Six classes de MES diff rentes avec chacune leurs param tres distinctifs dans les quations d accumulation et de lessivage et poss dant de plus leur propre vitesse de s dimentation ont t utilis es pour effectuer la simulation des MES totales de l eau de ruissellement de ce bassin urbain Les param tres de chaque classe ont t calibr s sur quelques v nements de 2009 La simulation des MES a t valid e avec les autres v nements mesur s de 2009 et ceux de 2010 Un exemple de simulation des MES est montr la figure 3 Les vitesses de s dimentation de chaque classe ont t attribu es en calculant le pourcentage des MES totales repr sent par chaque classe dans le mod le l issu d une simulation continue sur les t s 2009 et 2010 avec les param tres calibr s des fonctions d accumulation et de lessivage et en supposant une distribution des vitesses de s dimentation des MES identique celle identifi e par l tude du Minist re de l Environnement et de l nergie MOEE 1994 reposant sur le programme NURP EPA 1983 e R gles de contr le en temps r el CTR d velopp es Bien que le CTR ait fait l objet de nombreuses tudes dans le contexte de r seau d gouts unitaires seules quelques tudes ont t identifi es dans la litt rature sur le CTR de bassins de r tention d eaux pluviales soit
318. que mondiale En 1993 la Banque mondiale 1993 propose sa nouvelle strat gie de gestion de l eau qu elle dit coh rente avec les principes de Dublin et le plan Action 21 issu de Rio Cette strat gie consiste adopter un cadre politique exhaustif et faire de l eau un bien conomique La Banque demande la d centralisation de la gestion et des services d eau un plus grand recours la tarification et la pleine participation des acteurs de l eau la gestion et aux prises de d cision En 1996 la Banque mondiale participera la cr ation du Global Water Partnership GWP organisme visant encourager le d veloppement de la GIRE dans le monde GWP site consult le 13 mai 2012 En 2004 la Banque formulera une nouvelle version de sa strat gie visant concr tiser la GIRE Le d fi principal de gestion n est pas une vision de la GIRE mais une approche pragmatique bas e sur des principes d efficience d quit et de durabilit qui reconnait le caract re intens ment politique de la gestion des ressources en eau et qui reconnait que la r forme de la gestion de l eau requiert l articulation de patientes interventions pratiques ordonnanc es sur des priorit s et quitables Banque mondiale 2004 En 2010 dans un rapport sur l avancement de sa derni re strat gie elle maintient les principes mis de l avant dans ses strat gies de 2004 et de 1993 Banque mondiale 2010 En pr p
319. ques sans test pr alable et sans confirmation que la structure individuelle soit apte r aliser de telles simulations futures bon compromis pour le bassin versant tudi De plus l approche multimod le offre de belles perspectives en termes de performance et robustesse sur ces tests de calage validation 138 en conditions climatiques tr s contrast es Cet ensemble offre de bonnes performances pour chaque DSST mais galement pour les deux bassins versants M me si quelques mod les individuels surpassent ponctuellement l ensemble vingt mod les le fait qu aucun ne l accomplisse sur plus d un DSST sur quatre illustre la nette importance de transposabilit climatique de l ensemble Plusieurs combinaisons sous s lections de mod les hydrologiques offrent un gain suppl mentaire de performance pour les diff rents DSST mais la recherche de ces sous s lections est n cessairement faite par bassin versant contrairement au multimod le vingt membres Enfin l analyse crois e de l int r t individuel bassin versant allemand entre plus forts et celui collectif montre que tous les mod les int r ts individuel et collectif alors qu aucune hydrologiques sont utilis s dans les meilleures illustration de ce genre n est discern e sur le sous s lections avec un lien d tectable sur le bassin versant qu b cois Bibliographie Bates B Kundzewicz Z W Wu S et Palutikof J 2008
320. r use in Japan Biological Invasions 11 6 1319 1333 180 National Weed Risk Assessment System Review Group 2006 Review of the national Weed Risk Assessment system Canberra Australia Occhipinti Ambrogi A et B S Galil 2004 A uniform terminology on bioinvasions a chimera or an operative tool Marine Pollution Bulletin 49 688 694 Pheloung P C P A Williams et S R Halloy 1999 A weed risk assessment model for use as a biosecurity tool evaluating plant introductions Journal of Environmental Management 57 239 251 Py ek P et K Prach 1993 Plant invasions and the role of riparian habitats a comparison of four species alien to Central Europe Journal of Biogeography 20 4 413 420 Py ek P 2004 Alien plants in checklists and floras towards better communication between taxonomists and ecologists Taxon 53 131 143 PySek P P E Hulme et W Nentwig 2009 Glossary of the Main Technical Terms Used in the Handbook Dans Handbook of Alien Species in Europe vol 3 Netherlands Springer 375 379 Reichard S H et P White P 2001 Horticulture as a pathway of invasive plant introductions in the United States Bioscience 51 2 103 113 Rejmanek M 2000 Invasive plants approaches and predictions Austral Ecology 25 497 506 Richardson D M P Py ek M Rejmanek M G Barbour F D Panetta et C J West 2000 Naturalization and invasion of alien
321. r voyages start and end in Greenland This means instead of putting all money into the Canadian Arctic we spend half in Canada and half in Greenland One Ocean Expeditions Communication personnelle 2011 En d pit de toutes ces contraintes voqu es il appara t que les communaut s visit es par les navires de croisi res pr sentent une offre touristique et de services plus importants que celles qui n en re oivent pas Est elle de meilleure qualit La r ponse cette question n cessiterait une enqu te de qualit des tablissements h teliers plus approfondie ce qui n est pas l objectif de cette recherche On constate galement que les communaut s ayant re u la visite d au moins un navire entre 2008 et 2010 pr sentent un indice de d veloppement humain IDH bien au dessus de celles qui n en re oivent pas Bien qu il y ait d autres variables qui entrent en jeu le tourisme de croisi re dans une perspective de d veloppement durable des communaut s locales du Nunavut est porteur d un fort potentiel de d veloppement conomique et social Stewart Draper et Dawson 2010 La Conf rence de Rio rappelons le a soulign l importance d int grer les questions d environnement et de d veloppement afin de satisfaire les besoins fondamentaux am liorer le niveau de vie pour tous prot ger et g rer les cosyst mes et assurer un avenir plus s r et plus prosp re Nations Unies Action 21
322. rdre de priorit d croissante Le sc nario dit volu C a galement t labor Il consiste en le sc nario dit volu B montr 125 8 colloque tudiant de l Institut EDS la figure 4 avec en plus une r gle relative au temps maximal de 4 jours pass avec une accumulation d eau dans le bassin Cette r gle sp cifie simplement une ouverture de la vanne de sortie de plus en plus grande entre 20 et 100 mesure que le temps pass avec de l eau accumul e se rapproche de la limite de 4 jours Son degr de priorit est situ entre les r gles R1 et R2 de la figure 4 et cette r gle est nomm e R10 sur la figure 5 qui pr sente une comparaison de l volution de la hauteur d eau dans le bassin sous l influence des sc narios de gestion statique actuelle et de CTR dit volu C Finalement l inclusion de pr visions m t orologiques de pluie comme information suppl mentaire sur laquelle reposent les r gles de gestion a t effectu e de mani re permettre une anticipation des pisodes de d bordement I est en effet attendu que cette information puisse renforcer la s curit li e au risque de d bordement en permettant une vidange pr ventive du bassin afin de lib rer le volume d eau n cessaire l accueil de l v nement pluvieux pr vu comme tant probl matique Pour cela la pr vision de la quantit de pluie pr vue dans les prochaines 24h est consid r e Le volume d
323. re hein Voila donc de toute fa on ils construisent et ils ont gagn en quelque sorte Entretien du 20 juin 2011 U Levante De la m me fa on lorsque l on regarde les probl mes de sp culation sur le littoral la construction de r sidence secondaire fait augmenter les prix des terrains et cr e de ce fait une injustice cologique et sociale Les plus nantis acc dent au littoral et dans les faits les plus nantis ne sont pas les Corses y a quarante ans y a trente quarante ans un couple d enseignants des quadras des quadras pouvaient acheter une terre n importe o et construire une maison Aujourd hui un couple d enseignants des quadras ne peut plus acheter une parcelle de terre pour construire une maison Donc ce ne sont plus les locaux sauf ce qui ont de l argent mais ils sont pas ils sont pas l gion les locaux ne peuvent plus les jeunes surtout ne peuvent plus acheter et construire des maisons Construire des maisons ils peuvent m me plus acheter des appartements et c est pour a qu on commence a comment ruer dans les brancards et a ne peut plus durer Entretien du 29 septembre 2011 avec le G A R D E Certaines communes comptent aujourd hui plus de 75 de r sidences secondaires c est dire selon la d finition de INSEE Une r sidence secondaire est un logement utilis pour les week ends les loisirs ou les Source http ulevante fr Insti
324. reil 2011 Il s agit d une situation de voisinage professionnel Villeneuve 2009 Un tel champ d exercice exclusif pourrait r pondre en partie au probleme de la complexit de prescrire la mani re de tracer et construire un chemin dans un cosyst me forestier ou aquatique En effet en vertu du Code de d ontologie des ing nieurs forestiers l ing nieur forestier doit tenir compte des cons quences de l ex cution de ses travaux sur l environnement sur la sant la s curit et la propri t de toute personne Code de d ontologie des ing nieurs forestiers art 25 Et comme la majorit des professionnels il doit notamment tenir compte des limites de ses connaissances ainsi que des moyens dont il dispose Code de d ontologie des ing nieurs forestiers art 8 et agir avec int grit Code de d ontologie des ing nieurs forestiers art 11 On devrait donc l gitimement s attendre ce qu un ing nieur forestier qui entreprend des travaux de voirie foresti re respecte les r gles de l art c est dire les normes r glementaires et celles prescrites dans les guides des saines pratiques et autres directives minist rielles ou de l OIFQ On peut consid rer que l attribution de la comp tence professionnelle du trac de la planification et de la supervision de la construction des chemins en milieu forestier des ing nieurs forestiers a le potentiel de r duire significativement
325. repr sentants de la soci t avec une participation massive En effet Devine Wright P 2007 affirme qu on a besoin de mieux comprendre les dynamiques de l engagement public dans le d veloppement des nergies renouvelables Cela peut tre facilit par une recherche interdisciplinaire avec des m thodes de recherches sociales qualitative et quantitative innovantes Du point de vue conomique un des d fis est de stimuler davantage investisseur en supprimant notamment le duo des nergies renouvelables co t court terme b n fices long terme et mettant en lumi re la niche d emplois verts disponibles ce propos Zoellner et al 2008 ont tudi divers cas de projets d nergies renouvelables en Allemagne De cette analyse il a d coul que pour garantir lacceptabilit sociale de l innovation des nergies renouvelables par la population il semble que ces deux crit res jouent un r le important l estimation conomique et l int gration du public dans le processus d cisionnel et la planification Walker et Devine Wright 2007 ajoutent qu il a t montr que les consid rations d une quit et de la distribution des co ts et des b n fices sont importantes dans des d bats locaux propos des propositions de d veloppement Pour r sumer institutionnel le changement du cadre devrait permettre une 21 8 colloque tudiant de l Institut EDS interdisciplinarit des act
326. reprend de discuter la possibilit de cr er des centres de recherche internationaux Ce sera le d but d une r flexion sur la mise en commun du d veloppement du savoir Lacharit 2011 8 Au cours de l poque historique suivante on verra ce mouvement de concentration du savoir se transformer en notion d int gration du savoir dans le domaine des ressources en eau b De 1965 1990 En 1965 les Nations Unies ont inaugur la D cennie hydrologique internationale sous l impulsion de UNESCO cette premi re entreprise concert e visait dresser l inventaire des ressources en eau dans le monde et coordonner les recherches travers le monde pour apprendre mieux les utiliser Nace R L 1969 Il se produira un premier rapprochement des diverses disciplines impliqu es dans la connaissance des ressources en eau La Conf rence des Nations Unies sur l environnement tenue Stockholm en 1972 introduit pour la premi re fois le concept de gestion int gr e sur la sc ne internationale Ainsi le principe 13 de la 69 8 colloque tudiant de l Institut EDS D claration finale de la conf rence d bute ainsi Afin de rationaliser la gestion des ressources et ainsi d am liorer l environnement les tats devraient adopter une conception int gr e et coordonn e de leur planification du d veloppement Nations Unies 1972 L int r t principal de cette conf rence fut de placer les pr
327. rfaciques Grossiers Laurentides centrales Pinay G D camps H et Chauvet H 19 cotones in fuvial systems Dan R J et D camps H The Ecolog M z jc Terrestrial nes Pluviom trie Forte l O Paris et Parthenon p 141 169 ar Ruisseaux permanents Rowe S 1972 Les r gions foresti res du C Publ no 1300 F Serv can for ts 3 Management in Forests of the Contnental Ruisseaux intermittents CRSNG 4 a Grands Canardsillimit s Canada NSERC VA CENTRE D TUDES NCRDIQUES 3 Lacs core oder A rretan hurrasin Tastitet CIN Cons ts Nie i universe Krugerfeps 1 L Petits Lacs 0 15 30 60 80 Fong te menor ar Distance la rive m Qu bec exes ag ce Qu bec 48 6 colloque tudiant de l Institut EDS D veloppement d une approche de conservation des milieux humides int grant les services cologiques J R ME CIMON MORIN tudiant au doctorat en biologie v g tale Universit Laval Directrice Monique Poulin Professeure D partement de phytologie Universit Laval Co auteurs Monique Poulin D partement de phytologie Universit Laval et Marcel Darveau Canards Illimit s Canada 191 6 colloque tudiant de l Institut EDS Ces Ducks Unlimited Canada Conserving Canada s Wetlands Introduction Wetlands are important eco systems because they generate multiple ecosystem services ES which directly benefit human well being while supporting unique and vast bi
328. rise en chimie Universit Laval Courriel lyse carole justafort 1 ulaval ca Mariannick Mercure Etudiante a la maitrise en science politique Universit du Qu bec Montr al Courriel mercure mariannick courrier uqam ca No mie D Amour tudiant au doctorat en biologie v g tale Universit Laval Courriel noemie damour 1 ulaval ca Pierre Louis T tu tudiant la ma trise en sciences g ographiques Universit Laval Courriel pierre louis tetu 1 ulaval ca Alvaro Emilio Almgren Neto tudiant au premier cycle en histoire de l art Universit Laval Courriel alvaro almgren gmail com Angela Eve Marsh Etudiante au baccalaur at en arts visuels Universit Laval Courriel angela eve marsh 1 ulaval ca Annie Lalande Certificat en arts plastiques Universit Laval Courriel annie lalande 2 ulaval ca Charles Etienne Brochu Etudiante au baccalaur at en arts plastiques Universit Laval Courriel charles etienne brochu 1 ulaval ca Professeurs Louis Guay D partement de sociologie Universit Laval Courriel Louis Guay soc ulaval ca Caetano Chang Dorea D partement de g nie civil et de g nie des eaux Universit Laval Courriel Caetano Dorea gci ulaval ca Nathalie Barrette D partement de g ographie Universit Laval Courriel Nathalie Barrette ggr ulaval ca Sophie Lavall e Facult de droit Universit Laval Courriel Sophie Lavallee fd ulaval ca Invit
329. rise en compte du d veloppement durable a sembl avoir une place plus importante Bien qu il soit difficile d en valuer l impact r el on peut constater qu autant le BAPE que le Comit en charge de P ES ont consacr une partie de leur analyse aux principes du d veloppement durable On peut toutefois se demander si tel aurait t le cas si des milliers de citoyens engag s n avaient pas forc la main du gouvernement du Qu bec pour lancer des consultations publiques sous l gide du BAPE Vu sous cet angle on peut se demander si le processus qui est toujours en cours au moment d crire ces lignes n a pas d une certaine fa on t vici par ce cafouillage initial Cette situation permet de constater que dans le dossier des gaz de schiste le d veloppement durable est plus un outil d aide l analyse qu un v ritable vecteur de changement dans l approche gouvernementale En effet la lumi re des l ments pr sent s dans ce texte on peut se demander si la d marche en cour relative aux gaz de schiste a v ritablement et profond ment t influenc e par le concept de d veloppement durable En conclusion au del des consid rations juridiques et politiques on peut aussi se demander si l exploration et l exploitation de ressources naturelles non renouvelables sont fondamentalement et v ritablement des domaines susceptibles de participer l atteinte du d veloppement durable te
330. rk 2004 Herbage yield losses in perennial pasture due to Canada Thistle Cirsium arvense Weed Technology 18 3 784 794 Guisan A et N E Zimmerman 2000 Predictive habitat distribution models in ecology Ecological Modelling 135 2 3 147 186 Hulme P E 2012 Weed risk assessment a way forward or a waste of time Journal of Applied Ecology 49 10 19 Jellito 2011 Jellito Graines de plantes vivaces Online https www jelitto com haupt_en html Accessed in 2010 Julve P 1998 Baseflor Index botanique cologique et chorologique de la flore de France Online http perso wanadoo fr philippe julve catminat htm Accessed in 2010 Kleyer M R M Bekker I C Knevel et al 2008 The LEDA Traitbase A database of life history traits of Northwest European flora Journal of Ecology 96 1266 1274 KlimeSova J et L Klime 2006 Clo Pla3 database of clonal growth of plants from Central Europe Online http clopla butbn cas cz Accessed in 2010 Lavoie C A Saint Louis G Guay E Groeneveld et P Villeneuve 2012 Naturalization of exotic plant species in north eastern North America trends and detection capacity Diversity and Distributions 18 180 190 Lavoie C 2008 Le roseau commun Phragmites australis une menace pour les milieux humides du Qu bec Rapport remis au Comit interminist riel du Gouvernement du Qu bec sur le roseau commun et Canards Illimit
331. rld 1178558218 amp rerunOrigin g oogle amp acct C000051266 amp version 1 amp urlVersion 0 amp _userid 1069206 amp md5 21d183 fc23a4346eac9b95f5684al 8c0 Koch P 1992 Wood versus non wood materials in residential construction some energy related global implications Forest products journal vol 42 no5 p pp 31 42 Laurent A B Boucher J F amp Villeneuve C venir A gradle to gate LCA of glullam wood product in Qu bec 147 8 colloque tudiant de l Institut EDS MRNF 2010 Ressources et industries foresti res Portrait statistique Minist re de Ressources Naturelles et de la Faune du gouvernement du Qu bec Nabuurs G J 1996 Significance of wood products in forest sector carbon balances Available at http library wur nl WebQuery wurpubs 303 190 Consult f vrier 5 2010 Niles J O amp Schwarze R 2001 The value of careful carbon accounting in wood products Climatic change vol 49 no4 p pp 371 376 Petersen A K amp Solberg B 2002 Greenhouse gas emissions life cycle inventory and costefficiency of using laminated wood instead of steel construction Case beams at Gardermoen airport Environmental Science amp Policy 5 2 p 169 182 Available at http www sciencedirect com science article B6 VP6 44RNRBR 1 2 04102dc892ec3411b39b95003556a29b Pingoud Kim et al 2003 Greenhouse gas impacts of harvested wood products Evaluation and development of methods VTT Ping
332. rog n it des membres de la f d ration canadienne en ce qui a trait aux secteurs nomm s ci haut le Qu bec est d avis qu une approche rationnelle de r partition de l objectif canadien doit tenir compte des particularit s de chacune des provinces L approche sectorielle tablissement des cibles par secteurs d activit s ex nergie manufacturier etc sera pr f r e par le f d ral refus es il se retire de la r union Stilborn 2002 l approche du Sommet de Johannesburg de 2002 l action reprend de plus belle partir de f vrier 2002 l Alberta commence un habile travail d influence durant les r unions conjointes afin de mobiliser les provinces contre une ventuelle la ratification de Kyoto pr textant l impact conomique d une telle d cision Peu avant la r union du 25 f vrier 2002 Alberta publie une tude sur les r percussions du Protocole de Kyoto qui conclut que les pertes d emplois et le co t conomique d une ratification sont beaucoup plus lev s que ceux estim s par le f d ral L Alberta tente m me de se dissocier du processus national en pr sentant la r union de mai 2002 son propre plan d action beaucoup moins ambitieux que celui propos par Ottawa ce stade l Alberta est isol e et fait cavalier seul se dissociant du communiqu de la rencontre de mai 2002 C est entre mai et septembre de la m me ann e que le travail de l Alberta s intensi
333. rogress in Human Geography 31 4 427 446 Williamson M H amp A Fitter 1996 The characters of successful invaders Biological Conservation 78 163 170 Wright I et al 2004 The worldwide leaf economics spectrum Nature 428 821 827 187 8 colloque tudiant de l Institut EDS 188 Affiches D limitation naturelle de la zone riveraine en for t bor ale qu b coise AUDREY COMTOIS tudiante la ma trise en biologie v g tale Universit Laval Directrice Monique Poulin Professeure D partement de phytologie Universit Laval Co auteurs Marcel Darveau D partement des sciences du bois et de la for t Universit Laval 189 6 colloque tudiant de l Institut EDS D limitation naturelle de la zone riveraine en for t bor ale qu b coise Audrey Comtois 2 45 Monique Pc andry 4 David Pothier Jniversit Laval 2 Canards Illimit s C Etudes Nordi re des Sciences de la Biodiversit du Qu bec Centre d Etude de la for t Introduction M thodologie R sultats attendus Dans le cadre de la nouvelle loi sur l am nagement durable du r ir territoire forestier au Qu bec les traditionnelles bandes riveraines de 20 m de large pourront tre largies en certains endroits Le nouveau d fi des gestionnaires est d tablir les secteurs riverains d int r t largir En g n ral la largeur est tablie d apr s les besoins de la faune ou les fonctions colo
334. roit constitue une cause d action Dans ce cas particulier l octroi de concessions foresti res par le Minist re de l Environnement et des Ressources naturelles a pu fournir un tel motif d action d autant qu il a fait l objet de graves abus discr tionnaires En reconnaissant la responsabilit interg n rationnelle et la possibilit d ester en justice au nom des g n rations futures cette d cision a re innover avec une pratique juridique ancienne En effet une riche tradition juridique a depuis longtemps consacr la possibilit d intenter un proc s au nom des personnes d clar es juridiquement incomp tentes Les mineurs et les handicap s mentaux pour ne citer que ceux l sont prot g s dans tous les pays du moins officiellement par un arsenal normatif et institutionnel contre ceux et tout ce qui pourraient sciemment ou par inadvertance l ser leurs droits Dans la m me perspective et dans la continuit de la jurisprudence sus mentionn e on peut avancer que les g n rations futures sont certes d tenteurs des droits mais ils sont parfaitement mcomp tents pour les d fendre juridiquement Cependant les m mes consid rations justifiant actuellement l action par procuration pour nos contemporains incomp tents peuvent galement justifier une action par procuration pour les g n rations futures surtout lorsque comme l a si bien indiqu la Cour supr me philippine certains choix
335. ronnement et les autres secteurs d activit pr sents sur le territoire e Proposer des orientations pour un encadrement l gal et r glementaire qui assure pour les volets d exploration d exploitation et LRQ c Q 2 Il s agit du pouvoir g n ral du ministre de demander au BAPE d enqu ter sur des sujets particuliers par opposition au r le habituel du BAPE qui est d enqu ter et de tenir des audiences publiques sur des projets pr cis pr vus par r glement GOUVERNEMENT DU QUEBEC Lettre mandatant le Bureau d audiences publiques sur l environnement de tenir une enqu te et une audience publique Qu bec MDDEP 31 ao t 2010 92 d infrastructures de collecte de gaz naturel le d veloppement s curitaire de cette industrie dans le respect du d veloppement durable e S adjoindre des experts scientifiques qui valueront tout enjeu reli au pr sent mandat Un d lai de 4 mois est donn l organisme pour s acquitter de sa t che d lai qui sera finalement prolong d un autre mois la demande de celui ci Or la d cision du gouvernement de confier ce mandat au BAPE n est pas fortuite Elle ne d coule pas d un processus l gal ou d une d marche gouvernementale pr alablement entreprise Il s agit plut t d un mandat de consultation publique que la tr s forte mobilisation populaire qui avait cours l t et a l automne 2010 a rendu incontournable En effet
336. rsifier leurs itin raires Sur les onze navires pr sents dans les eaux arctiques canadiennes en 2010 trois d entre eux ne seront ou ne sont plus disponibles D abord le Kapitan Khlebnikov brise glace le plus puissant pr sent dans les eaux arctiques canadiennes sera utilis a des fins de transports de minerais d s 2012 le Lyubov Orlova est amarr au Port de St Jean en raison d une faute de paiement et la Compagnie Polar Star Expeditions a fait faillite et son navire le Polar Star a subi d importants dommages en mer Quark Expeditions Clipper Adventurer et Polar Star Expeditions Communications personnelles 2011 Il est donc possible de conclure une diminution du nombre de navires disponibles pour les compagnies d j pr sentes De plus la majorit des 44 compagnies qui ont accept de participer notre enqu te sur pr s de 61 compagnies interrog es ont indiqu leur manque d int r t accro tre ou int grer le 102 canadien Sur les cinq membres de l AECO qui ont t interrog s quatre compagnies ont mentionn leur manque d int r t int grer le march et une ind cise En g n ral leurs clients semblent pr f rer l Arctique russe et europ en Au niveau de l IAATO treize compagnies nous ont indiqu ne pas souhaiter int grer le march des croisi res dans l Arctique canadien Cependant deux compagnies nous ont confi tre int ress es mais que la crise financ
337. rtant d inclure cette dimension individuelle et culturelle qui d montre la variabilit de la perception d une seule et m me information l int rieur d un groupe d individus dans la transmission des connaissances pour assurer une meilleure compr hension collective Suivant la th orie de l habitus Draetta 2003 a montr qu il y a un d calage entre conscience et sensibilit environnementale La conscience environnementale qui fait r f rence aux connaissances d apr s les perceptions de l individu s oppose la sensibilit qui elle signifie la pr sence de la valeur environnementale dans le syst me des valeurs et des id ologies de l individu et induisant des conduites environnementales C est donc cette sensibilit qu il faut d velopper afin de r pondre aux enjeux urgents de l nergie Maintenant que nous comprenons les tapes s chelonnant de l apprentissage la perception nous allons voir comment le citoyen repr sente un acteur au c ur du changement Le citoyen acteur au c ur du changement Le changement met en jeu des processus conscients et inconscients et il n ob it jamais une vision rationnelle de l ordre des choses mais il inscrit la complexit des rapports sociaux et humains d apr s Miramon 2002 Ainsi le changement entra ne une situation de d s quilibre et cr e une dualit entre des int r ts individuels et collectifs En liant la perc
338. rtigo revues org 10946 15 8 colloque tudiant de l Institut EDS Kirat T et Melot R 2006 Du r alisme dans l analyse conomique des conflits d usage les enseignements de l tude du contentieux dans trois d partements fran ais Is re Loire Atlantique Seine Maritime D veloppement durable et territoires En ligne Dossier 7 Proximit et environnement mis en ligne le 10 mai 2006 url http developpementdurable revues org 2574 Lafaye C et Th venot L 1993 Une justification cologique Conflits dans l am nagement de la nature Revue fran aise de sociologie n 4 pp 495 524 Lascoumes P 1994 L co pouvoir environnements et politiques Paris La d couverte textes a l appui s rie cologie et soci t 320p Mermet L 1992 Strat gie pour la gestion de l environnement la nature comme jeu de soci t Paris L Harmattan 206p Torre A Melot R Bossuet L Cadoret A Caron A Darly S Jeanneaux P Kirat T et Hai Vu Pham 2010 Comment valuer et mesurer la conflictualit li e aux usages de l espace l ments de m thode et de rep rage VertigO la revue lectronique en sciences de l environnement En ligne Volume 10 Num ro 1 avril 2010 mis en ligne le 30 avril 2010 Consult le 05 d cembre 2011 url http vertigo revues org 9590 Torre A et al 2006 Conflits et tensions autour des usages de l espace dans les territoires 16
339. ruising org Page consult e pendant l ann e 2011 2012 Dupr Sophie 2012 Chercheuse associ e au Laboratoire M tis cole de Management de Normandie et la Chaire de recherche en transport maritime UQAR Correspondance par voie lectronique sur le syst me NORDREG et les navires circulant dans les eaux arctiques canadiennes Source des donn es statistiques compil es par NORDREG Dupr Sophie 2010 Les croisi res touristiques dans l Arctique canadien R alit s contemporaines et illusion cotouristique Dans Fr d ric Lasserre dir Passages et mers arctiques G opolitique d une r gion en mutation Qu bec Presses de l Universit du Qu bec Dupr Sophie 2009 Les croisi res touristiques dans Arctique canadien une r alit tangible l appropriation territoriale encore limit e T oros 28 1 39 51 Dupr Sophie 2006 Une navigation croissante dans I Arctique canadienne Quelles 106 vuln rabilit s Acte du colloque Changements climatiques et ouverture de l Arctique quels impacts strat giques pour le Canada 17 novembre 2006 tienne S 2005 Tourisme et environnement polaire enjeux et perspectives Dans M F Andr dir Le monde polaire Mutations et transitions Paris Ellipses Grenier Alain 2011 Correspondance par voie lectronique sur les navires pr sents dans les eaux arctiques canadiennes et le mode op ratoire des compagnies Informa
340. ry SEILLER tudiant au doctorat en en G nie civil 133 Les produits du bois une application du d veloppement durable Achille Benjamin Laurent Etudiant au doctorat en g nie m canique 141 Th me 3 Outils de mise en uvre du d veloppement durable ss 149 valuation technico conomique et environnementale du cycle de vie de la production distribu e Ben Amor Post doctorant au D partement de m thodes quantitatives de gestion 151 Le droit applicable aux chemins forestiers du Qu bec dans une perspective de protection de la biodiversit Miriam Desmarais programme de ma trise en droit Universit Laval 159 L outil Floraide Un outil d aide la d cision sur les plantes nuisibles Genevi ve Guay tudiante au doctorat l cole sup rieure d am nagement et de d veloppement ie ne intime db metier Messe leudadens a ra a 171 ACNES Rate hante Noel late lina agers Metts hate hate Mit elnte in ean iin 188 D limitation naturelle de la zone riveraine en for t bor ale qu b coise Audrey Comtois tudiante la ma trise en biologie v g tale 189 D veloppement d une approche de conservation des milieux humides int grant les services cologiques J r me Cimon Morin tudiant au doctorat en biologie v g tale nn 191 Utilisation des sels de bismuth de gallium et de fer comme catalyseurs dans de nouvelles m thodologies de synth se en chimie verte Lyse Carole Justafort tudiante
341. s tats en vertu du droit international SOLAS V 11 9 et V 12 5 Le droit pour le Canada de mettre en place les mesures du NORDREG de mani re unilat rale en vertu de l article 234 de la CNUDM vu son caract re exceptionnel et l quilibre qu il contient dans la prise en compte des int r ts de la navigation et de l environnement peut donc tre consid r comme tant l un de ces droits ne devant pas tre pr judici s par les r gles de la SOLAS et constitue par cons quent un fondement l gal pour carter le r le de contr le des autres tats via POMI dans la mise en place du NORDREG Bartenstein 2011 b Conclusion La gouvernance maritime en Arctique action unilat rale ou concert e Les oc ans sont a la jonction d int r ts sociaux conomiques et environnementaux importants En nous int ressant particuli rement a l utilisation du PNO comme voie de navigation en transit nous avons voulu examiner la tension qui existe tout sp cialement entre les sph res conomique et environnementale du d veloppement durable des oc ans Cette tension s exprime en droit de la mer par l octroi de diff rents droits et obligations aux tats c tiers d un c t et aux Nations maritimes de l autre en ce qui concerne respectivement la r glementation de la pr vention de la pollution par les navires le long des c tes et la possibilit de circuler sans entraves dans certaines zones maritimes En a
342. s des g n rations venir cette obligation doit cependant d passer l ordre de la simple 42 contrainte vertueuse pour s imposer galement en tant qu imp ratif juridique auquel chaque g n ration serait tenue d observer sous peine de contrainte juridique C est en tout cas tout le sens et la port e de la jurisprudence Juan Antonio Oposa et al Contre Honbl Fulgensio Sec DENR et al l Rappelons bri vement les termes de cette affaire Celle ci oppose 40 enfants g s de 9 mois a 16 ans au minist re de Environnement et des Ressources naturelles des Philippines Le proc s intent est une action collective de plusieurs parents au nom de leurs enfants et des g n rations futures La requ te vise mettre fin plusieurs concessions d exploitations foresti res en cours ainsi qu toute nouvelle concession La plainte s appuie sur les dispositions constitutionnelles concernant le droit un environnement sain et quilibr et sur plusieurs d crets pr sidentiels reconnaissant la responsabilit interg n rationnelle en mati re environnementale Les requ rants estiment qu l allure avec laquelle les entreprises exploitent les ressources foresti res il y a des raisons suffisantes de penser que les jeunes g n rations et celles venir ne pourront pas b n ficier des retomb es cons cutives l exploitation desdites concessions Ils ont explicitement d montr qu au rythme de
343. s en adaptant le questionnaire aux particularit s des cosyst mes et des pratiques sylvicoles locales L tude prospective sera r alis e gr ce une analyse du cycle de vie cons quentielle Earles amp Halog 2011 Cette m thodologie a vu le jour dans le d but des ann es 2000 afin de combler un manque de projection dans un futur plus ou moins proche des ACV attributionnelle qui sont les plus couramment r alis s Ekvall amp Andrae 2006 Les publications scientifiques appliquant l ACV cons quentielle sont de plus en plus nombreuses principalement dans le secteur nerg tique Il semble pertinent d appliquer cette m thodologie au secteur forestier qui comble une bonne partie de ces besoins nerg tiques gr ce aux coproduits g n rer tout au long des processus de transformation des produits du bois De plus il semble que le potentiel nerg tique de ce qui est appel biomasse foresti re consid rer comme des r sidus il n y a pas si longtemps int resse beaucoup d autres secteurs industriels afin de r duire leur empreinte carbonique et leurs d pendances nerg tiques L laboration de diff rents sc narios de r duction de l empreinte carbonique des activit s industrielles fera l objet de multiples rencontres avec l industrie foresti re afin d int grer une vision entreprise D autres parties prenantes du secteur forestier seront galement convi es pour valider la pertinence des hypoth ses retenu
344. s 1867 gouvernements f d ral et provinciaux 1873 Cr ation de l Organisation m t orologique internationale Ajout d un acteur tatique dans la gestion de 1884 la qualit de l eau alimentation en eau Cr ation de la Commission des eaux 1910 courantes de Qu bec qui tudiera le d bit des rivi res et le climat Elle construira et exploitera des barrages 1922 Cr ation de l Association internationale des sciences hydrologiques 1928 Cr ation de l Association internationale sur les grands barrages Le minist re de la sant prend la responsabilit de l alimentation en eau 1936 1944 Cr ation de la Commission hydro lectrique de Qu bec Hydro Qu bec qui construira et exploitera des barrages hydro lectriques 1945 L article 71 de la Charte des Nations 1949 unies permet aux ONG de participer certaines activit s de l ONU 1946 Conseil conomique et social des Nations Unies veut cr er des centres de recherche r gionaux 1950 UNESCO Projet majeur de recherches scientifiques sur les terres arides Adoption d une loi concernant la probl matique des eaux us es pollu es 1955 Les ann es 1960 1990 tableau 2 peuvent tre qualifi es d effervescentes puisqu elles verront la mont e de la pr occupation environnementale la cr ation d institutions caract re environnemental les premi res tentatives de gestion
345. s Canada Qu bec 44 pages Le groupe Fleurbec 1978 Plantes sauvages des villes et des champs Fides Quebec 273 pages Le groupe Fleurbec 1983 Plantes sauvages des villes et des champs 2 Le groupe Fleurbec et Qu bec Sciences ed Qu bec 208 pages Mack R N D Simberloff W M Lonsdale H Evans M Clout et F Bazzaz 2000 Biotic invasions causes epidemiology global consequences and control Issues in Ecology 5 1 20 Manel S H C Williams et S J Ormerod 2001 Evaluating presence absence models in ecology the need to account for prevalence Journal of Applied Ecology 38 5 921 931 Marie Victorin Fr re 1935 Flore Laurentienne 917 pages Marie Victorin Fr re E Rouleau L Brouillet et al 1995 Flore laurentienne 3 dition Les presses de l universit de Montr al Montr al 1112 pages McClay A A Sissons C Wilson et S Davis 2010 Evaluation of the Australian weed risk assessment system for the prediction of plant invasiveness in Canada Biological Invasions 12 4085 4098 Myers J H et D Bazely 2003 Ecology and Control of Introduced Plants Cambridge Cambridge University Press 313 pages NatureServe 2011 NatureServeExplorer NatureServe Arlington Online http www natureserve org Accessed in 2010 Nishida T N Yamashita M Asai S Kurokawa T Enomoto P C Pheloung et R H Groves 2009 Developing a pre entry weed risk assessment system fo
346. s hydrologiques globaux conceptuels en conditions climatiques contrast es GREGORY SEILLER Etudiant au doctorat en en G nie civil Universit Laval Directeur Francois Anctil Professeur D partement de g nie civil et de g nie des eaux Universit Laval R sum Le projet de recherche examine la transposabilit temporelle de mod les hydrologiques en conditions climatiques contrast es et value la valeur ajout e de l usage d un ensemble de structures de mod les pour la simulation de d bits Cette analyse est r alis e en appliquant la proc dure de Differential Split Sample Test sur vingt mod les hydrologiques globaux conceptuels sur un bassin versant de la province du Qu bec Canada et un autre bassin versant de l tat de la Bavi re Allemagne Premi rement une proc dure de calage validation a t appliqu e sur quatre p riodes historiques non continues aux conditions climatiques contrast es Ensuite la performance individuelle de chaque mod le a t quantifi e ainsi que celle collective pour l ensemble de mod les Les r sultats montrent que l usage d un mod le unique peut fournir des performances limit es quand utilis en conditions contrast es et illustrant la n cessit de ces tests De fa on g n rale certains mod les individuels ressortent comme de bons compromis en termes de performance et de robustesse mais sont moins int ressants que le multimod le vingt membres Des sous en
347. s les esp ces Tableau 2 Ces choix se justifient par le souci de rendre l outil accessible et universel dans sa mise en uvre et dans sa capacit d tre ais ment adaptable diff rents contextes 175 8 colloque tudiant de l Institut EDS Tableau 2 Description des caract ristiques retenues et principales sources utilis es pour l laboration des bases de donn es Caract ristique Description Principales sources Abondance au Qu bec Nombre de sp cimens d herbier Herbiers de l Universit Laval et de l Universit de Montr al environ 80 des sp cimens du Qu bec Principaux herbiers conservant des sp cimens du Qu bec Annee de Plus ancienne preuve de Agriculture et Agroalimentaire Canada Gouvernement du naturalisation au aE 7 Qu b naturalisation dans la province Qu bec Mus e canadien de la nature Universit Laval is Universit McGill Universit de Montr al United States Department of Agriculture 2010 The Cycle de vie Annuelle bisannuelle ou vivace P 8 PLANTS database http plants usda gov Habitats colonis s Bord de route ou de chemin de fer forestier humide ouvert perturb Scoggan 1978 1979 Darbyshire 2003 Flora of North America 2010 http www efloras org Mode de diss mination des graines An mochorie autochorie barochorie hydrochorie ou zoochorie Royal Botanic Gardens Kew Seed Information
348. s se gestion int gr e tatique de l eau sont d velopp s en nombre en taille et en diversit Cr ation des services de protection de 1972 Conf rence des Nations Unies sur l environnement Premiers regroupements l environnement tenue Stockholm en 1972 d organismes tatiques de gestion de l eau introduit pour la premi re fois le concept de gestion int gr e sur la sc ne internationale Cr ation du PNUE chec du plan du plan de gestion int gr e 1977 Conf rence de Mar del Plata o l on abordera tatique Yamaska pour la premi re fois la probl matique des ressources en eau dans toute sa complexit Cr ation du minist re de l Environnement et 1979 autres regroupements d organismes de gestion de l eau 1980 Lancement de la D cennie de 1990 l approvisionnement en eau potable et de l assainissement Cr ation de plusieurs organismes 1980 Les organisations am ricaines sont largement communautaires de gestion de l eau et mont e dominantes parmi les autres D apr s en force des ONG M Severino ancien vice pr sident de la Banque mondiale le renforcement du poids de la soci t civile internationale correspond en grande partie un renforcement du poids des Etats Unis dans les institutions internationales 1987 Rapport Brundtland un programme global de changement vers le d veloppement durable Cr ation du Plan d action Saint Laurent 1988 associant les gouvernements f d ral et d
349. s terres littorales servaient au pacage des b tes et aujourd hui et depuis une vingtaine d ann es par les associations de d fense de l environnement porteuses des m mes revendications et de la m me vision du littoral ceci pr s que leurs actions se font exclusivement administrativement et au regard de la loi fran aise Il existe en France les lois montagne et littoral relevant du code de l urbanisme qui encadrent juridiquement le d veloppement des territoires littoraux et montagneux citons titre d exemple l interdiction de construire moins de 100 m tres de la bande littorale ou l interdiction du mitage les constructions doivent se faire en continuit des hameaux existants C est donc sur cette base l gislative qu agissent les associations corses Elles se trouvent donc dans des situations de conflit avec les mairies des promoteurs ou des particuliers leurs premi res actions sont d alerter les int ress s que ce soit en recours gracieux par la presse ou par des mobilisations ponctuelles la suite de quoi n ayant souvent pas trouv de terrain d entente les associations se portent partie civile et intentent une action en justice aupr s du tribunal administratif afin de faire annuler le projet de construction Elles gagnent ces proc s puisque la loi est en leur faveur Malgr cela les probl mes ne sont pas r gl s la d cision du tribunal a pour cons quence
350. sembles de mod les peuvent fournir un gain de performance suppl mentaire mais aux d pens de la transposabilit spatiale c d n cessit d une analyse sp cifique par bassin versant Mots cl s Mod lisation hydrologique globale conceptuelle approche multimod le Differential Split Sample Test transposabilit temporelle changements climatiques Introduction L ensemble de la communaut scientifique s accorde sur le fait que la gestion de la ressource en eau est un enjeu majeur dans la d finition de strat gie d adaptation aux changements climatiques Plusieurs composantes du cycle de l eau sont d j affect es par ces changements tels que les intensit s et fr quences de pr cipitations la couverture neigeuse l humidit des sols les coulements de surface l vapotranspiration et bien d autres Bates et al 2008 De fa on g n rale l valuation des impacts des changements climatiques sur la ressource en eau s analyse par l usage combin de projections climatiques coupl es des mod les hydrologiques A nsi quatre tapes principales doivent tre consid r es Bo et al 2009 1 d finition des concentrations de gaz effet de serre 2 mod lisation globale climatique 3 d sagr gation et correction de biais des projections et 4 estimation des impacts par l emploi de mod les hydrologiques Toutes ces tapes 133 8 colloque tudiant de l Institut EDS
351. sement en associant chaque classe un ensemble particulier de caract ristiques Une fois les caract ristiques d une classe connue on pourra appliquer l outil EAD de plus grands ensembles d objets cette fois ci sans avoir recours l opinion de d cideurs Op rationnalisation de l outil EAD Un comit de six d cideurs a t constitu afin de participer au processus de constitution de l outil EAD nomm pour la circonstance FLORAIDE Ces d cideurs sont concern s par la probl matique des plantes envahissantes mais n uvrent pas tous au m me niveau ou n ont pas tous les m mes int r ts d o une certaine mixit dans la composition du comit Tous disposent de solides bases en botanique quoique diff rents niveaux il y a un sp cialiste des plantes envahissantes un botaniste expert en floristique un agronome 177 8 colloque tudiant de l Institut EDS sp cialiste des mauvaises herbes une biologiste responsable de la gestion des plantes nuisibles en milieu urbain un horticulteur g n raliste et un horticulteur praticien Plusieurs rencontres de ce comit ont eu lieu mais la rencontre la plus importante s est tenue en novembre 2011 Les d cideurs ont alors eu se prononcer sur un chantillon de 120 esp ces extraites de la base de donn es des plantes exotiques naturalis es au Qu bec Les d cideurs ont eu leur disposition les donn es qui ont t collig es sur chaqu
352. siles par la biomasse r siduelle tout au long du cycle de vie permet de r duire l empreinte carbonique de l industrie foresti re ex B rjesson amp Gustavsson 2000 Petersen amp Solberg 2002 La m thode la plus employ e pour identifier et quantifier les diff rents impacts environnementaux dont les missions de GES est l analyse de cycle de vie ACV Gustavsson et al 2006 Upton et al 2008 L ACV peut tre un bon outil d aide la d cision en permettant de faire des comparaisons entre diff rents sc narios de fin de vie par exemple mais surtout pour comparer diff rentes constructions Il n en reste pas moins que Werner et Richter 2007 comme l ont fait Niles et Schwarze 2001 avant eux sugg rent que les produits du bois soient analys s dans une approche de d veloppement durable permettant d avoir une perception plus g n rale des b n fices de l utilisation de ce mat riel L aspect conomique est parfois discut mais il serait pertinent d ajouter des indicateurs sociaux quantifiables pour toute la cha ne d approvisionnement Probl matiques La direction du d veloppement de l industrie et des produits forestiers a publi en mai 2008 sa strat gie d utilisation du bois dans le domaine de la construction au Qu bec Cette nouvelle perspective verte au regard des b timents s applique non seulement a l efficacit nerg tique au cours de leur utilisation mais galement a
353. sion dire que les usagers les planificateurs et les d cideurs a aussi confi e aux OBV Intrants mod le local et tous les niveaux soient les parties prenantes cette La composition de l OBV incluant tous les types r gional de la GIEBV gestion d acteurs du d veloppement durable Art 14 de la LSE 80 Document de r f rence international D finition internationale de la GIRE Descriptions correspondantes du mod le logique de la GIEBV qu b coise et de la Loi sur l eau LSE Section concern e du mod le logique ou de la Loi sur l eau LES que les d cideurs et la population soient conscientis s l importance de l eau Informer sensibiliser et duquer les acteurs de l eau Gouvernement doit informer et sensibiliser les acteurs par le Bureau des connaissances sur l eau Activit s de soutien mod le local et r gional Art 15 et 16 de la LSE que l eau deviennent un bien conomique Gouvernement met en place des redevances Activit s de d veloppement d outils mod le national R glement d coulant de la LSE que les femmes jouent un r le central dans la fourniture la gestion et la sauvegarde de l eau Il n y a pas de diff rence entre les pouvoirs des genres Charte des droits et libert D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement 1992 que les tats laborent une l gislation natio
354. sion int grer le march de la croisi re dans l Arctique canadien dresser le portrait de offre touristique des communaut s locales du Nunavut ainsi que cartographier l activit spatiale des navires de croisi re 1 Mat riel et m thodes 1 1 Territoire d tude La r gion arctique canadienne plus particuli rement le territoire du Nunavut correspond notre territoire d tude pour dresser le portrait de l offre touristique et de l activit maritime li e aux croisi res Figure 2 Il faut imp rativement souligner l inclusion du Groenland dans ce niveau g ographique tant donn que de plus en plus les itin raires de croisi re entre le Nunavut et le Groenland sont crois s beaucoup de villages ports d tapes se situent au Groenland tienne 2005 99 8 colloque tudiant de l Institut EDS Oc an Arctiqluie Iglooli e Bay 0 100 200 400 a 0 Source Diva GIS www diva gis org CS afin Pan GROENLAND DANEMARK Iqaluit pe Dorset gt Kimmirku Li a E 3 2 ra 2 F i g a R alis par Pierre Louis T tu Figure 2 Territoire d tude Le Nunavut 1 2 Approche m thodologique 1 2 1 Offre touristique et communaut s visit es partir des fiches descriptives des communaut s du Nunavut Community Profile obtenues aupr s de Nunavut Tourism le portrait de l offre de service a t dress Pour chacune des vingt com
355. sont pas utilis es cette fin La politique de DD ne permet pas l implication des communaut s dans la prise de d cision De plus bien qu elle mentionne la cr ation d un comit de suivi celui ci n a jamais t effectif Finalement les aspects sociaux semblent avoir t totalement vacu s viter le suivi Exception la ville la politique de DD et le d partement responsable du DD n ont pas de comit de suivi bien que le contraire soit pr sent formellement Un r pondant rapportait que a politique avait t pr sent e aux lus mais on n a jamais reparl de DD le comit de suivi n a jamais t mis sur pied En absence d int gration des multiples acteurs et int r ts en jeu l approche utilis e reste donc du haut vers le bas et n atteint pas les objectifs th oriques du DD 6 colloque tudiant de l Institut EDS Etablissement des bandes riveraines par recolonisation spontan e et leur succession v g tale en milieu agricole NOEMIE D AMOUR tudiante la ma trise en biologie v g tale Universit Laval Directeur Monique Poulin Professeure D partement de phytologie Universit Laval Co auteurs Anne Vanasse et Roxane Andersen D partement de phytologie Universit Laval 197 6 colloque tudiant de l Institut EDS tablissement des bandes riveraines par recolonisation spontan e _ et leur succession v g tale en milieu agricole UNIV
356. soutien aux nergies renouvelables Aujourd hui l Allemagne est en cours de d nucl arisation en renfor ant l efficacit nerg tique notamment avec des subventions gouvernementales pour la r novation thermique des b timents de nouvelles lignes lectriques pour le raccordement des oliennes au r seau ainsi que le d veloppement de parc olien offshore La loi sur les nergies renouvelables est l instrument central de leur d veloppement et impose une injection prioritaire de l lectricit d origine renouvelable dans le r seau et octroie une r mun ration garantie aux producteurs Ces deux tudes de cas montrent qu en assurant une participation des parties prenantes avec une forte int gration des citoyens dans les d bats la volont et l adaptation des politiques publiques pour r pondre aux d fis environnementaux et favoriser les investissements ont permis une acc l ration du d veloppement des nergies renouvelables au Danemark et en Allemagne Conclusion L puisement des ressources des nergies fossiles les changements climatiques ainsi qu une croissance continue de la population font clairement appara tre le mod le nerg tique actuel comme non durable et la n cessit de changer nos modes de consommation nerg tique Il faut donc engager une transition vers un mod le plus durable Ce travail de recherche qualitative en cours de r alisation pour parvenir une synth se
357. ssus d valuation strat gique en cours Tout d abord le mandat la composition et le fonctionnement du comit sont pr sent s Cette partie du plan reprend essentiellement les orientations mises de l avant dans le rapport du BAPE sur les gaz de schiste Sont ensuite d crits les objectifs la port e et la d marche de l ES l expertise mobilis e la perspective analytique ainsi que les techniques de recherche propos es Ce souci de p dagogie et de transparence s explique peut tre par la nouveaut de la d marche au Qu bec et par le contexte particulier de l opinion publique dans le dossier des gaz de schiste dans la province Enfin la troisi me section du document d crit les divers enjeux pour lesquels le Comit propose d effectuer des tudes afin de remplir son mandat Les enjeux abord s se divisent en trois environnementaux sociaux et conomiques Pour chacun de ceux ci le 7 Ibid GOUVERNEMENT DU QUEBEC Plan de r alisation de valuation environnementale strat gique sur les gaz de schiste Qu bec Comit de l valuation environnementale strat gique sur les gaz de schiste 2011 al COMITE DE L EVALUATION ENVIRONNEMENTALE STRATEGIQUE SUR LES GAZ DE SCHISTE valuation environnementale strat gique sur les gaz de schiste en ligne lt http www ees gazdeschiste gouv qc ca gt page consult e le ler d cembre 2011 94 comit aborde succinctement les aspects qu il propose
358. st de confronter une s lection de vingt mod les hydrologiques afin d analyser les incertitudes structurelles li es leur application en contexte de changements climatiques permettant ainsi de mieux interpr ter les projections hydrologiques futures Cette incertitude structurelle est ici explor e par l usage de Differential Split Sample Tests 134 DSST en quantifiant la robustesse des mod les hydrologiques quand appliqu s sur des conditions tr s contrast es entre calage et validation selon deux axes d analyse individuelle chaque mod le et collective ensemble de mod les Cette analyse s appuie donc sur les deux questions suivantes Quel est le niveau de pertinence de chaque mod le hydrologique en termes de transposabilit temporelle c a d performance et robustesse dans des conditions contrast es Existe t il une valeur ajout e l usage combin de l ensemble de ces mod les ou de sous s lections de mod les bas es sur leur performance et transposabilit dans le temps M thodologie Pour r pondre ces questions vingt mod les hydrologiques sont valu s individuellement et collectivement dans le cadre commun des DSST et sur deux bassins versants au Canada et en Allemagne Les deux bassins versants sont repr sentatifs d une forte n cessit de gestion de l eau Il s agit du bassin versant du Haut Saint Fran ois dans la province du Qu bec Canada ainsi que
359. stainability Paper presented at Acqua e Citta I Convegno Nazionale di Idraulica Urbana Cent Stud Idraul Urbana Sant Agnello di Sorrento Italy 28 30 Sept McCarthy E J 1994 Stormwater control system U S Patent 5 342 144 Filed November 2 1992 Issued August 30 1994 127 8 colloque tudiant de l Institut EDS Middleton J R et Barrett M E 2008 Water quality performance of a batch type stormwater detention basin Water Environment Research 80 2 172 178 7 Doi http dx doi org 10 2175 106143007X220842 Ministry of Environment and Energy MOEE 1994 Stormwater management practices planning and design manual ISBN 0 7778 2957 6 MOEE Toronto Ontario Muschalla D Pelletier G Berrouard Carpenter J F Vallet B et Vanrolleghem P A 2009 Ecohydraulic driven real time control of stormwater basins In Proceedings 8th International Conference on Urban Drainage Modelling 8UDM Tokyo Japan September 7 11 2009 Muschalla D Froehlich F Heusch S Hiibner C Kerber D ReuBner F et Ostrowski M 2009 BlueM Opt a generic framework for simulation based optimization Paper presented at the International Stormwater and Urban Water Systems Modeling Conference Toronto Canada February 19 Nash J E et Sutcliffe J V 1970 River flow forecasting through conceptual models part I a discussion of principles Journal of Hydrology 10 3 282 290 Papa F Adams B et Guo
360. ste sur l accroissement de la responsabilit des gestionnaires qui doivent tre redevables devant la population sur un encadrement l gal pr visible du d veloppement sur la libre circulation d une information fiable et ad quate et sur la transparence des prises de d cisions Sur ce dernier point elle encourage l utilisation d organismes but non lucratif et la participation des usagers dans la conception et l implantation des projets lorsque cela est pertinent En janvier 1992 une Conf rence internationale sur l eau et le d veloppement est organis e Dublin afin de proposer aux chefs d tat qui se r uniront en juin au Sommet de Rio de Janeiro quatre principes en lien avec la gestion des ressources en eau Ces principes rappellent que les ressources en eau doivent tre g r es de fa on holistique c est dire par la prise en compte des aspects conomiques sociaux et environnementaux du d veloppement bas s sur l unit de r f rence du bassin versant ou de l aquif re Le d veloppement et la gestion des ressources en eau devraient se baser sur une approche participative impliquant les usagers les planificateurs et les d cideurs politiques tous les niveaux Cela demande cependant une conscientisation accrue des d cideurs et de la population sur l importance de l eau Enfin la d claration de la conf rence affirme que l eau pr sente une valeur conomique et devrait ce titre
361. stions pos es soit une mesure d occurrence calcul de fr quence des l ments recherch s et une recherche th matique descriptive R sultats la question Est ce que l on recourt davantage au concept de d veloppement durable pour d fendre ou s opposer aux grands projets nordiques de d veloppement conomique et nerg tique depuis Rio la r ponse est non dans le cas de Grande Baleine et pas davantage avant ou apr s Rio Un seul article publi en 1991 citait un num ro de l ann e pr c dente de la revue Scientific American qui stipulait que l hydro lectricit constituait du d veloppement durable Dans le cas du Plan Nord la r ponse est un oui mod r avec 22 articles sur 100 De fait si nous ne parlons pas vraiment de d veloppement durable la question est qui ose en parler Selon nos analyses c est davantage le gouvernement du Qu bec 64 qui aborde le Plan Nord sous l angle du d veloppement durable Viennent ensuite les entrepreneurs 14 et les cologistes 10 les premiers pour vanter les m rites du Plan Nord en ce sens les seconds pour en douter Nous retrouvons galement des traces du d veloppement durable dans les discours des chercheurs 4 qui ont un avis partag sur la question de m me pour l opposition gouvernementale 4 tous partis confondus Finalement les ing nieurs 4 qui se disent pr ts fournir l expertise pour que le Plan Nord attei
362. sur leur empreinte carbone De plus des moyennes r gionales alimenteront l inventaire du cycle de vie qu b cois que le CIRAIG Chaire internationale en analyse du cycle de vie cole Polytechnique de Montr al d veloppe ainsi que la base de donn es la plus utilis e travers le monde ecoinvent ecoinvent Center St Gallen Switzerland R sultats Des ACV ont r cemment mis en vidence l avantage concurrentiel sur l aspect environnemental des produits du bois qu b cois en comparaison d autres r gions Wells et al 2012 Laurent et al In processing Plusieurs explications permettent de comprendre ces carts mais la plus significative est sans conteste l opportunit d avoir recours l hydro lectricit De plus les ACV permettent de mettre de l avant les tapes ayant les impacts les plus importants afin d identifier des pistes d am lioration tout au long de la cha ne de mise en valeur Coupler aux pratiques les plus respectueuses de l environnement et l utilisation de bio nergie cellulosique pourrait tre un 141 8 colloque tudiant de l Institut EDS grand avantage concurrentiel pour l industrie foresti re qu b coise la recherche d un nouveau souffle L ACV des produits du bois permet galement la r alisation de bilan carbone de b timent dont la structure est compos e de ce mat riau ainsi que de d terminer la r duction d missions de gaz effet de serre gr ce cette substitution Mots
363. t tre rationalis pour faciliter les synergies la coh rence et la coop ration entre ses forums ses programmes ses agences sp cialis es et ses accords multilat raux Les principales institutions composant le CIDD sont les suivantes le Programme des Nations unies pour l environnement PNUE la Commission du d veloppement durable CDD les agences sp cialis es les accords multilat raux en environnement AME les interfaces science politique et les institutions financi res internationales IFI Le PNUE a t tabli par AG des Nations unies dans la foul e de la Conf rence de Stockholm de 1972 Malgr son r le pr pond rant dans la mise l ordre du jour des questions d environnement son statut d organe subsidiaire plut t que d agence sp cialis e limite sa capacit coordonner les accords relatifs l environnement Il peut amorcer des discussions en vue d laborer de nouveaux accords multilat raux mais ne peut pas les adopter Ces conventions qui ont leur propre Convention des Parties acqui rent ainsi une large autonomie ce qui favorise la duplication des efforts Par ailleurs les ressources financi res limit es du PNUE et sa localisation Nairobi loin du si ge des Nations unies New York et des secr tariats des conventions Gen ve Bonn Montr al limite sa capacit de coordination Au lieu de consacrer le PNUE c ur point nodal de la gouvernance internationale de l
364. t gr e de l eau par bassin versant et reconna tra 33 organismes de bassin versant OBV qui auront pour mandat de mettre en uvre la GIRE par bassin versant En 2006 et 2007 des pisodes de floraison d algues bleu vert viendront rappeler la pr carit des gains environnementaux en mati re de sant des cosyst mes Les OBV conna tront alors une augmentation du soutien financier gouvernemental De plus le territoire de gestion int gr e sera agrandi l ensemble du Qu bec m ridional qui sera d sormais divis en 40 zones de GIRE minist re du D veloppement durable de Environnement et des Parcs 2007 La gestion int gr e et concert e des ressources en eau obtiendra une reconnaissance officielle par l adoption de la Loi affirmant le caract re collectif des ressources en eau et visant renforcer leur protection Loi sur l eau 2009 2 La question de l eau l chelle internationale a De 1800 1960 Il y a peu de chose dire sur cette p riode si ce n est que la ressource eau tait prise pour acquise et qu une nouvelle relation s est tablie entre la soci t et les ressources naturelles Ces derni res taient consid r es sous l angle de la croissance conomique Les ressources en eau ne font pas exception mais sont galement t examin es sous l angle de l am lioration des conditions de sant de la population Le discours sur l eau dominant cette poque tait
365. t gr e des impacts environnementaux et conomiques du cycle de vie attribuables aux syst mes s lectionn s de production distribu e et comparaison Les r sultats du tableau ci dessous pr sentent les impacts environnementaux et conomiques gt 0 05 CA kWh avec un taux de change de 1 CA 0 0975 US 2009 155 8 colloque tudiant de l Institut EDS du cycle de vie des syst mes de production distribu e d nergies renouvelables Ces r sultats permettent de d terminer la meilleure technologie sans compromettre les aspects valu s Tableau 3 Impacts environnementaux et conomiques du cycle de vie des syst mes de production distribu e SH QE CC et RES renvoient sant humaine qualit des cosyst mes changements climatiques et ressources Inf Moy Moy Sup Moy renvoient aux conditions m t orologiques au dessous de la moyenne de la moyenne et au dessus de la moyenne de la province de Qu bec Impact environnementaux Impact Conditions Cat gories dommage IMPACT 2002 conomique Systema m t orologiques SH QE CC RES Cout DALY PDF m yr kg CO eq MJ primary US Inf Moy 3 7E 07 1 2E 01 2 4E 01 3 7E 00 1 53 Eolienne 30 kW Moy 6 2E 08 2 1E 02 4 0E 02 6 2E 01 0 25 Sup Moy 3 1E 08 1 0E 02 2 0E 02 3 1E 01 0 13 Inf Moy 3 1E 07 1 2E 01 2 8E 01 4 2E 00 1 01 Eolienne 10 kW Moy 9 5E 08 3 8E 02 8 6E 02 1 3E 00 0 30 Sup Moy 6 4E 08 2 6E 02 5 8E 02 8 7E 01 0 20 Inf Mo
366. t 16 de la LSE que les d cisions soient prises de fa on transparente Table de concertation de OBV Principe de transparence et de participation Intrants mod le local et r gional de la GIEBV Art 7 de la LSE que l on inclut les organismes but non lucratif OBNL et les usagers dans la conception et l implantation des projets lorsque cela est pertinent L OBV est un OBNL qui inclut tous les types d organismes dont les autres OBNL Intrants du mod le local et r gional de la GIEBV Art 14 de la LSE D claration de la Conf rence internationale sur l eau et l environnement de Dublin 1992 que les ressources en eau soient g r es de fa on holistique en tenant compte des aspects conomiques sociaux et environnementaux La composition de l OBV incluant tous les types d acteurs du d veloppement durable Reconnaissance officielle de la GIRE Intrants mod le local et r gional de la GIEBV Art 13 et 14 de la LSE que les ressources en eau soient g r es en fonction d une La GIRE se fait par bassin versant et par unit Intrants mod le local et unit de r f rence hydrique qui soit le bassin versant ou hydrologique pouvant regroup es plusieurs bassins r gional de la GIEBV l aquif re versants Art 14 de la LSE que la gestion des ressources soit participative c est Mission que s est donn le gouvernement et qu il Mis
367. t J L Innes A framework for assessing the effectiveness of forest certification 2008 38 Can J For Res 1357 Villeneuve J G 2009 L exercice ill gal tenants aboutissants et troubles de voisinage professionnel dans Service de la formation continue du Barreau du Qu bec D veloppements r cents en d ontologie droit professionnel et disciplinaire 2009 Cowansville Yvon Blais EYB2009DEV 1568 REJB Livres 168 Chape S M Spalding et M Jenkins dir 2008 The World s Protected Areas Status Values and Prospects in the 21st Century 2008 Cambridge UNEP WCMC Issalys P et D Lemieux 2009 L action gouvernementale Pr cis de droit des institutions administratives 3e d Cowansville Yvon Blais Ordre des ing nieurs forestiers du Qu bec R Doucet et M C t dir 2009 Manuel de foresterie 2e d Qu bec ditions MultiMondes Richard T et al 2003 Road Ecology Science and Solutions Washington Island Press Documentation provenant d une organisation publique Canada Conseil canadien des ministres des for ts Crit res et indicateurs de l am nagement forestier durable au Canada Bilan national 2005 Ottawa en ligne ccfm org lt http ccfm org pdf C amp L f pdf gt consult le 26 janvier 2011 U Department of Agriculture Forest Service 2000 Forest Roads A Synthesis of Scientific Information H Gucinski et al d en ligne www fs fed us
368. t au niveau du tourisme dit conventionnel c est dire les destinations soleils Cruise Line International Association CLIA et finalement ceux qui ne sont pas affili s un organisme principalement des compagnies du Royaume Uni Il appara t que certaines compagnies soient membres par exemple tant de l AECO que de l IAATO ou encore de la CLIA Afin de ne pas dupliquer les op rateurs et ainsi gonfler les chiffres s ils taient pr sents dans une aire g ographique d activit selon l ordre pr sent ci dessus ils n taient pas compil s dans la suivante Les op rateurs d j pr sents dans l Arctique canadien ont t s lectionn s partir de sources vari es Premi rement les navires pr sents dans les eaux arctiques canadiennes de 2005 2011 ont t obtenus via le Syst me d information sur la Navigation maritime de la Garde c ti re canadienne Information System on Maritime Navigation INNAV Deuxi mement les armateurs et affr teurs de chacun des navires ont t s lectionn s partir des donn es de Maher Stewart et Liick 2011 ainsi que de Stewart et al 2010 Les donn es ont t trait es confirm es et mises a jour avec les listes de navires de NORDREG obtenues aupr s de Sophie Dupr Sophie Dupr Communication personnelle 2012 L chantillon correspond a 9 armateurs affr teurs de navires Les op rateurs pr sents dans Arctique russe et europ en o
369. t de leur usage devient une autre facette de mon lexique artistique 207 8 colloque tudiant de l Institut EDS Strathmore 2 ANNIE LALANDE Certificat en arts plastiques Universit Laval D marche artistique Plut t que d aborder le d veloppement durable en interrogeant la synergie qui lie l homme la nature et sa place aupr s d elle l oeuvre propos e pr sente une vocation du lien que nous avons avec la nature On peut voir des pieds qui se fondent au papier et qui c toient des racines Le tout dans un espace plus ou moins d fini qui peut sugg rer le paysage de par la pr sence de ligne horizontale Tous ces l ments tentent de mettre en interaction l homme et la nature Dans mon processus de cr ation je m inspire de la relation mtime que d veloppent avec moi la mati re et le support le graphite et le papier Je tente de tisser des liens d une forme une autre je n ai pas l impression de cr er mais plut t de participer une co cr ation Je n ai pas l impression de d poser une forme sur une surface mais plut t d int grer ou de faire merger quelque chose d unique qui vient la fois du papier et de moi C est une collaboration puisque cette surface naturelle renferme en elle seule une belle et longue histoire d existence une v rit remplie de richesse qui lui est propre Comme le gland qui garde en lui l image de l arbre le papier contient aussi dans toutes s
370. t exclusives sont envisag es pour apporter plus de coh rence l architecture du DD Les principaux sc narios envisag s sont les suivants Renforcer ou transformer le PNUE Pour renforcer la gouvernance internationale de l environnement plusieurs pays recommandent la transformation du PNUE en agence sp cialis e dont le si ge demeurerait Nairobi Kenya et qui pourrait prendre la forme d une Organisation mondiale pour l environnement OME ou d une d Organisation des Nations unies pour l environnement ONUE en vertu des articles 113 8 colloque tudiant de l Institut EDS 57 et 63 de la Charte des Nations unies Cette proposition de l Union europ enne qui est appuy e par l Union africaine UA requerrait cependant la n gociation d un trait instituant la nouvelle organisation puis l ouverture d un long processus de ratification Plusieurs pays ont d ailleurs exprim leurs r serves face l ajout d une ni me organisation au syst me Nations unies Certains craignent que cette entreprise ne _ fragilise l difice du d veloppement durable en diluant les engagements des tats envers les accords existants alors que d autres voient la cr ation d une agence sp cialis e comme la derni re tape d un processus de clustering des conventions Jusqu a pr sent moins de la moiti des 193 tats membres des Nations unies ont clairement exprim leur soutien au rehausseme
371. taire qui leur sont propres En effet les labels et protocoles de d claration environnementale des produits qu il soit mondial ISO 14025 2006 europ en ADEME 2011 BSI PAS2050 2011 ou nord am ricain GHG protocol 2011 sont bas s sur des approches de cycle de vie Le panier de produits de l industrie foresti re est diversifi il est question d une industrie dite divergente Cela est d autant plus vrai si l on prend galement en consid ration les produits nerg tiques Afin d initier cette d marche complexe il est pr vu de commencer par une r gion pilote qu est le Saguenay Lac Saint Jean avant d tre largie progressivement la totalit de la province du Qu bec et qui sait peut tre un jour au reste du Canada Plusieurs raisons ont motiv ce choix Premi rement en raison de l homog n it de l cosyst me forestier for t bor ale et de la diversit du panier de produits extraits de ce seul cosyst me Deuxi mement par ce que la r gion du SLSJ repr sente plus de 25 de la possibilit foresti re qu b coise MRNF 2010 De plus plusieurs acteurs de cette r gion ont d montr une proactivit dans le domaine du carbone forestier des bio nergies mais aussi ce qui touche plus directement l ACV de produits du bois Ce pilote appliqu la r gion du Saguenay Lac Saint Jean permettra de valider la m thode labor e Avant d tre transf r dans d autres r gions foresti re
372. tant du minist re au MCE et la TIPNE commissions parlementaires Autres minist res et organismes concern s M Informations sur responsabilit s activit s et projets Repr sentants des minist res au MCE et la TIPNE Informations sur responsabilit s activit s et projets Soutien technique financier et administratif Volont de coordination responsabilisation leadership ROBVQ Int r ts et requ tes des OBV si OBV Coordination responsabilisation et leadership Intrants Activit s Extrants CONTEXTE Objectifs concernant l eau Reddition de comptes D velopper progressivement les connaissances et les outils n cessaires la mise en uvre de la GIEBV Regrouper et diffuser l information Approfondir les connaissances Sensibiliser et duquer les acteurs D finir les outils l gaux encadrant la GIEBV tablir les modalit s pollueurs payeurs utilisateurs payeurs et les outils conomiques Financer les OBV de fa on stable D velopper syst me de redevances et fonds tablir le cadre de r f rence pour les OBV infrastructure de regroupemert et de diffusion de l information priorit s sur les besoins en information et connaissances programmes de recherche en partenariat etc Connaissances approfondies aquif res tat des lacs pressions humaines potentiel d utilisation des plans d eau vuln rabilit et int grit des cosyst mes aquatiques Programmes de sensibilisation
373. te consid rablement ses performances par rapport au contr le statique actuel le CTR a fait passer le pourcentage d enl vement des MES de 46 90 La charge d vers e dans le milieu r cepteur a donc t diminu e d un facteur 5 de 54 10 De plus le CTR a conduit une diminution des pics de d bit l exutoire du bassin et a permis de minimiser le nombre d op rations appliqu es la vanne afin de r duire l usure du syst me de gestion et tout cela sans qu il y ait un seul d bordement du bassin sur cette p riode de simulation Tableau 1 De plus une limite maximale de r tention de l eau de 4 jours dans le bassin a t respect e afin d emp cher le d veloppement potentiel de moustiques Le sc nario Futur C reposant sur de l information pr visionnelle de pluie a t r alis ici avec des pr visions parfaites construites partir de hauteurs de pluie observ e Il a galement t test sur une p riode de 3 mois durant l automne 2010 avec de v ritables pr visions m t orologiques provenant d Environnement Canada Cependant la taille importante du bassin de r tention tudi ici ne conduisant aucun d bordement quel que soit le sc nario mis en place aucune conclusion pr cise sur l int r t r el de l inclusion des pr visions de pluie dans les strat gies de gestion n a pu tre distingu e ici Conclusion Les r gles de CTR d velopp es ici conduisent une nette am
374. ted Options Fritjof Nansen Institute 57 p France Minist re des Affaires trang res et europ ennes 2005 Liste des accords multilat raux dans le domaine de l environnement IEPF 2011 11e session du Groupe mixte de liaison des trois conventions de Rio in Objectif Terre vol 13 n 3 sept 2011 IEPF 2012 Ires consultations informelles informelles sur le zero draft et 3e r union intersession de Rio 20 in Objectif Terre vol 14 n 2 ao t 2012 IEPF 2012 2e r union pl ni re pour une Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversit et les services cosyst miques IPBES in Objectif Terre vol 14 n 2 ao t 2012 Inomata Tadanori 2008 Examen de la gouvernement environnementale dans le syst me des Nations unies Rapports du Corps commun d inspection JIU REP 2008 3 45 p Inomata Tadanori et Roman Morey Enrique 2010 Profil environnemental des organismes des Nations Unies Examen de leurs politiques et pratiques internes en mati re de gestion de l environnement Rapports du Corps commun d inspection JIU REP 2010 1 55 p Ivanova Maria 2005 Assessing UNEP as Anchor Institution for the Global Environment Lessons for the UNEO Debate Working Paper Yale University 23 p Le Prestre Philippe 2001 Les secr tariats des conventions internationales et le r le du Canada in Qui a peur de l tat sous la direction de Gordon Smith et Daniel Wo
375. the differences in leaf construction cost photosynthesis nitrogen allocation and use efficiencies between invasive and noninvasive alien congeners Planta 228 3 383 390 Gass6 N D Sol J Pino E D Dana F Lloret M Sanz Elorza E Sobrino amp M Vila 2009 Exploring species attributes and site characteristics to assess plant invasions in Spain Diversity and Distribution 15 50 58 183 8 colloque tudiant de l Institut EDS Goodwin B J A J McAllister amp L Fahrig 1999 Predicting invasiveness of plant species based on biological information Conservation Biology 13 422 426 Grimes J P 1977 Evidence for the existence of three primary strategies in plants and its relevance to ecological and evolutionary theory The American Naturalist 111 982 1169 1194 Grotkopp E M Rejmanek T L Rost 2002 Towards a casual explanation of plant invasiveness seedling growth and life history strategies of 29 pine Pinus species The American Naturalist 159 396 419 Grotkopp E amp M Rejmanek 2007 High seedling relative growth rate and specific leaf area are traits of invasive species phylogenetically independant contrasts of woody angiosperms American Journal of Botany 94 4 526 532 Hamilton M A B R Murray M W Cadotte G C Hose A C Baker C J Harris amp D Licari 2005 Life history correlates of plant invasiveness at regional and continental scales Ecology Letters 8 1066
376. tie XII de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer relative la protection et la pr servation du milieu marin contient elle m me des dispositions soulignant la n cessit de la coop ration internationale et r gionale en la mati re CNUDM art 197 et particuli rement lors de l adoption de lois et r glements antipollution risquant d entraver la navigation au del de la mer territoriale des tats CNUDM art 211 para 5 et 6 Cette multilat ralit dans la pr vention de la pollution marine n entache cependant en rien le caract re l gal d une action unilat rale du Canada en faveur de la protection de son environnement marin arctique Le Canada peut en effet assurer la l galit du NORDREG sur le plan du droit international en vertu du droit conf r par l article 234 qui tient compte de la sp cificit des caract ristiques de l environnement et de la navigation en Arctique Si l image d une calotte glaci re arctique s amincissant d ann e en ann e laisse entrevoir un PNO de plus en plus fr quent l avenir et avec lui la n cessit d int grer les autres tats la question de la s curit et de la protection de l environnement dans cette zone sensible la d cision du Canada de prendre des mesures pr ventives de contr le de la pollution fussent elles unilat rales s inscrit dans un cadre juridique international n goci et accept par les tats Ce cadre rec
377. tifiquement sur les conflits notamment gr ce l analyse strat gique de gestion en environnement ASGE de Laurent Mermet claire notre terrain en ce que les logiques d acteurs conflictuelles permettent de remettre en question l actuelle gestion qui est faite d un espace convoit et de tenter parfois par des innovations scientifiques ou sociales de d passer les clivages afin de trouver une gestion cologiquement viable et qui puisse convenir aux diff rents acteurs Il y a dans ces conflits environnementaux un fort sentiment d injustice le plaignant se sent toujours l s mais ce qui est d autant plus particulier c est que nous parlons ici de personnes qui se dressent au nom d une communaut et de son patrimoine face aux pouvoirs publics sens s agir pour le bien commun et prot ger sa population des d rives Pour toutes les personnes que nous avons rencontr es la d mocratie n est qu illusoire et le combat long et usant J aimerais pour finir citer la phrase de conclusion prononc e le 8 juin 2008 lors de la manifestation organis e par le Collectif pour la D fense de la Loi Littoral Balistra Corse du Sud par Rinatu Coti penseur et crivain corse Ch edda fermi a costa corsa Patrimoniu cumunu universali Que la c te corse demeure Patrimoine commun universel Emp chez les 3 f vrier 2012 Fi vre immobili re A ce train l le de beaut ne sera plus bient t qu
378. tion System on Marine Navigation Canadian Coast Guard INNAV En ligne Disponible l adresse suivante http www innag gc ca index html Page consult e le 10 octobre 2011 International Association of Antarctica Tour Operators IAATO En ligne Disponible l adresse suivante http iaato org Consult pendant l ann e 2011 2012 KAAE Berit C ET RABEDE Matilde K 2011 Arctic Governance Dimension Tourism Strategies and Environmental Labeling in Greenland Dans MAHER Patrick T STEWART Emma J ET LUCK Michael 2011 Polar Tourism Human Environmental and Governance Dimensions New York Cognizant Communication Corporation Kubat I Timco G amp Collins A 2009 The Approach for Revising the Canadian Arctic Shipping Regulations National Research Council Canada En ligne Disponible l adresse suivante ftp ftp2 chc nrc ca CRTreports POAC 09 57 Regs Revision pdf Consult le 19 f vrier 2012 Lasserre Fr d ric amp Pelletier S bastien 2011 Polar super seaways Maritime transport in the Arctic an analysis of shipowners s intentions Journal of Transport Geography 19 6 1465 1473 MAHER Patrick T STEWART E J ET LUCK Michael 2011 An Introduction to Polar Tourism Human Environmental and Governance Dimensions Dans MAHER Patrick T STEWART Emma J et LUCK Michael 2011 Polar Tourism Human Environmental and Governance Dimensions New York Cognizant Communication Corporati
379. tion de recherche concerne la r ussite de la transition nerg tique vers le d veloppement des nergies renouvelables quelles sont les conditions pour garantir l acceptabilit sociale de ces projets qui sont les acteurs impliqu s dans cette transition On constate qu il persiste un faible d veloppement mondial des nergies renouvelables Ceci s explique notamment par des cadres institutionnels mal adapt s une r ticence des investisseurs face cette industrie et une sensibilisation fragile des acteurs sociaux au regard de l efficacit nerg tique La jeunesse de ces nergies implique notamment un important processus d apprentissage et d information aupr s de chaque acteur de la soci t afin de favoriser leur essor Comment alors motiver les acteurs de la soci t basculer vers l utilisation de ces nergies Comment est per ue l information D o proviennent leurs r ticences Quels changements sont n cessaires au sein de la gouvernance La m thodologie de cette recherche qualitative s articulera autour d une synth se de connaissances sur la situation nerg tique mondiale en termes de d veloppement de la notion de changement pour l individu et les caract ristiques de la gouvernance avec une analyse de donn es suite aux tudes de cas principalement sur le d veloppement important d nergies renouvelables au Danemark et en Allemagne l aide d une d marche d mocratique
380. tions m t orologiques en s lectionnant la meilleure s quence technologique ayant le meilleur profil conomique et environnemental pour les conditions de force de vent et d ensoleillement au dessus et au dessous de la moyenne de la province de Qu bec permet de fournir une bonne estimation de l tendue des impacts potentiels ind pendamment du sc nario technologique s lectionn pour les conditions moyennes 3 2 R sultats de l application des approches conventionnelles pour l valuation des impacts environnementaux et conomiques reli s aux cons quences de l int gration de la production distribu e L valuation des impacts conomiques et environnementaux attribuables aux syst mes de production d nergies renouvelables ne donne aucune indication quant aux impacts reli s aux cons quences de leur int gration dans le r seau centralis Les r sultats obtenus suite a application des approches conventionnelles pour l valuation des impacts reli s ces cons quences sont pr sent s dans cette sous section La premi re approche consistait utiliser des donn es moyennes de l approvisionnement lectrique de la province de Qu bec Plus sp cifiquement ces donn es repr sentent toutes les unit s de production lectrique de la province de Qu bec incluant l nergie import e des autorit s voisines Tableau 4 valuation des impacts environnementaux et conomiques reli s aux cons quences d
381. tituer le seul point de ralliement et le principal r sultat de Rio 20 Bibliographie Biermann Frank f vr 2011 Reforming Global Environmental Governance The Case for a United Nations Environment Organisation UNEO in SDG 2012 Stakeholder Forum 14 p Charnovitz Steve 2002 A World Environment Organization in Columbia Journal of Environmental Law vol 27 n 2 Esty Daniel C 1994 The Case for a Global Environmental Organization in Managing the World Economy Fifty Years After Bretton Woods dirig par Peter B Kenen Washington DC Institue for International Economics pp 287 309 Esty Daniel C et Ivanova Maria 2001 Making Environmantal Efforts Work The Case for a Global Environmental Organization Working Paper Yale Center for Environmental Law and Policy Esty Daniel C et Ivanova Maria 2004 Globalization and Environmental Protection a Global Governance Perspective Working Paper Yale School of Forestry amp Environmental Studies Esty Daniel C et Ivanova Maria Ivanova 2001 Revitalizing Global Environmental Governance A Function Driven Approach in Global Environmental Governance Options amp Opportunities Yale School of Forestry amp Environmental Studies 24 p Etchart Alejo 2011 Lessons from GATT WTO for enhancing UNEP in SDG 2012 Stakeholder Forum 21 p Fauchald Ole Kristian 2010 International Environmental Governance A Legal Analysis of Selec
382. transition nerg tique De l apprentissage la perception Analyser l individu et ses codes permet d appr hender l int riorit perceptive li e aux stimuli et ce qu on appelle l int riorit volontaire qui suppose que l individu manifeste un int r t dans l exp rience Conna tre son environnement c est se conna tre soi m me puisque nos d cisions s articulent autour des images introspectives d un monde subjectif Bailly 1977 Selon la d finition du Petit Robert 2009 apprendre c est acqu rir de la connaissance par un travail intellectuel ou par l exp rience Le fruit d un apprentissage quel qu il soit prend la forme de l habitus notion d crite par Bourdieu 1980 En effet d apr s lui l habitus est un syst me de dispositions acquises par l apprentissage implicite ou explicite qui fonctionne comme un syst me de sch mes g n rateurs 1l est g n rateur de strat gies qui peuvent tre objectivement conformes aux int r ts objectifs de leurs auteurs sans en avoir t express ment con ues cette fin En d autres termes l habitus est un ensemble de mani re d tre d agir et de penser propre un individu qui diff re par exemple selon la classe sociale la position dans la soci t D apr s le sch ma 1 de Caron Malenfant et Conraud 2009 inspir de Bailly sur la perception et l environnement on peut comprendre le processus de la perception chez l individu Chaque in
383. tre part de son potentiel envahisseur vu sous l angle des scientifiques L approche des ensembles approximatifs avec dominance L aide la d cision multicrit res ADMC vise donner une ou des recommandations concernant un ensemble d objets actions options solutions plantes etc valu s a partir de diff rents points de vue attributs crit res caract ristiques objectifs etc Pour ce faire l ADMC fait habituellement appel la mod lisation des pr f rences du d cideur Ce mod le refl te un syst me de valeur du d cideur dans un contexte d une probl matique de choix de tri de rangement ou d un ensemble d termin d actions Il existe actuellement trois grands types d approches destin es mod liser les pr f rences des d cideurs l approche de Putilit multiattribut approche par surclassement et l approche par r gles de d cision Stowinski ef al 2009 L approche des ensembles approximatifs avec dominance EAD qui sera utilis e dans le cadre de cette th se fait partie de l approche par r gles de d cisions Si l approche classique des ensembles approximatifs s rige sur le principe d indiscernabilit des objets lorsque x et y sont indiscernables en consid rant toutes les caract ristiques qui les d finissent alors x devrait tre mis dans la m me classe que y l approche EAD s rige sur le principe de la dominance si x est au moins aussi bon que
384. ts ecological and agricultural aspects Birkhauser Basel Py ek P amp D M Richardson 2007 Traits associated with invasiveness in alien plants where do we stand Pages 97 126 in W Nentwig ed Biological Invasions Springer Berlin Py ek P V Jaro ik J Pergl R Randall M Chytr I K hn L Tich J Danihelka J Chrtek jun amp J Sadlo 2009a European plants is related to distribution characteristics in their native range and species traits Diversity and Distributions 15 891 903 Py ek P M K iv nek amp V Jaro ik 2009b Planting intensity residence time and species traits determine invasion success of alien woody species Ecology 90 10 2734 2744 Rejmanek M amp D M Richardson 1996 What attributes make some plant species more invasive Ecology 77 1655 1661 Rejm nek M 2000 Invasive plants approaches and predictions Austral Ecology 25 497 506 Rejmanek M D M Richardson S I Higgins M J Pitcairn amp E Grotkopp 2005 Ecology of invasive plants state of the art Pages 104 161 in H A Mooney R M Mack J A McNeely L Neville P Schei amp J Waage eds Invasive alien species searching for solutions Island Press Washington Richardson D M P PySek M Rejm nek M G Barbour F D Panetta amp C J West 2000 Naturalization and invasion of alien plants concepts and definitions Diversity and Distribution 6 93 107 Richardson D M P PyS
385. ts cl s d veloppement durable gestion int gr e des ressources en eau GIRE gouvernance type id al soci t Etat vert Les opinions exprim es par cet auteur n engagent aucunement le minist re du D veloppement durable de l Environnement et des Parcs 65 8 colloque tudiant de l Institut EDS Introduction Le sommet Rio 20 qui aura lieu prochainement portera sur deux th mes sp cifiques soit l conomie verte et le cadre institutionnel du d veloppement durable Les trois objectifs de la conf rence seront de susciter un engagement politique renouvel en faveur du d veloppement durable d valuer les progr s r alis s et les lacunes restant combler au niveau de la mise en uvre et de relever les d fis mergents Objectif Terre site consult en mai 2012 Ces pr occupations refl tent les enjeux de notre poque et se situent dans le prolongement des efforts consentis par les tats pour devenir de plus en plus vert Si l on se reporte 20 ans auparavant on pouvait lire en introduction de la D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement que bien que celle ci ne soit pas contraignante juridiquement il est vraisemblable que comme dans le cas des d clarations des Nations Unies sur les droits de l homme les gouvernements se sentiront moralement oblig s d adh rer ses principes Nations Unies 1992a L objet de cette tude est de v rifier ce
386. tte assertion en posant la question o se situe le Sommet de Rio dans le d veloppement de la GIRE au Qu bec Pour r pondre cette question un historique de la gestion de l eau au Qu bec et l chelle internationale a t b ti sur trois p riodes soit du XIXe si cle 1960 de 1960 1990 et de 1990 2012 Ces trois p riodes ont ensuite t synth tis es et compar es afin d en d gager les l ments communs l objectif poursuivi tant d identifier les racines de la GIRE et de d celer d ventuelles relations entre le d veloppement de la GIRE au Qu bec et l chelle mondiale Une comparaison d taill e est ensuite effectu e entre les documents issus du Sommet de Rio auxquels ont t ajout es d autres publications d organisations int ress es par ce sommet et un type id al de la GIRE qu b coise Des conclusions sont tir es de l ensemble de ces comparaisons 1 La gestion de l eau au Qu bec a De 1800 1960 66 Au d but du XIXe si cle au Qu bec et jusqu au milieu des ann es 1800 le droit restreignait consid rablement le d veloppement industriel qui d j cette poque tait tr s d pendant de l nergie hydraulique En effet l usage de l eau pour des fins commerciales et industrielles ne pouvait tre exerc qu la condition de ne causer aucun dommage aux propri t s voisines Le l gislateur allait changer cette situation En 1855 il a
387. tures l analyse du r le du Qu bec face au retrait canadien du protocole de Kyoto des avanc es technologiques favorisant la mise en uvre des objectifs adopt s en 1992 et des enjeux socio environnementaux mergents ailleurs dans le monde Ce panorama a t compl t par M David Willey du Bureau du V rificateur g n ral du Canada avec sa conf rence sur les p titions en mati re d environnement qui repr sente un outil la port e de tous les citoyens Comme compl ment cette r flexion th orique le volet artistique contribue rapprocher les tudiants en arts plastiques de ceux des autres disciplines et mettre en valeur des uvres qui contribuent la r flexion sur le th me propos Par vote du public le prix pour la meilleure pr sentation orale a t d cern Genevi ve Guay tudiante l cole sup rieure d am nagement et de d veloppement de l Universit Laval un prix pour la meilleure affiche a t d cern Mariannick Mercure tudiante au d partement de Science politique de l Universit du Qu bec Montr al UQAM et pour le concours d uvres d art la r cipiendaire a t Annie Lalande tudiante en arts plastiques l Universit Laval Nous tenons f liciter le comit organisateur pour leur d vouement et leur efficacit dans leur travail ainsi que tous les conf renciers pour la qualit de leurs pr sentations et remercier nos membres chercheurs pour l
388. tut national de la statistique et des tudes conomiques en France 13 8 colloque tudiant de l Institut EDS vacances Les logements meubl s lou s ou louer pour des s jours touristiques sont galement class s en r sidences secondaires ce qui signifie globalement que hors saison en hiver il y a des villages vides avec des maisons ferm es et une conomie ralentie Par ailleurs il faut aussi prendre en compte la pression touristique estivale de 3 millions de personnes selon les chiffres des ports et a roports de l le en 2009 qui constitue une surcharge pour un espace limit dans ses infrastructures sanitaires la salubrit dans une ville comme Ajaccio devient inqui tante aux mois de juillet et ao t des infrastructures d accueil limit es h tels et camping complets qui poussent au camping sauvage et des infrastructures de transport une seule micheline pour traverser la Corse en train et routi res non adapt es les routes souvent 2 voies lorsque ce ne sont pas des routes de montagne o une seule auto peut s engager ce qui aboutit des congestions interminables sur les routes et multiplie les risques d accident L objectif est de pr server un littoral corse encore sauvage en majeure partie Une des craintes de la part des associations qui est souvent revenue lors des entretiens est que la Corse s urbanise de fa on incontr l e et anarchique et que cela conduise
389. ty and the role of environmental stress in the spread of non native plants Perspectives in Plant Ecology Evolution and Systematics 3 52 66 182 Andersen U V 1995 Comparison of dispersal strategies of alien and native species in the Danish flora Pages 61 70 in P Py ek K Prach M Rejm nek amp M Wade eds Plant invasions general aspects and special problems SPB Academic Amsterdam 61 70 Begon M C R Townsend amp J L Harper 2006 Ecology 4 edition Wiley Blackwell 738 pages Bellingham P J R P Duncan G W Lee amp R P Buxton 2004 Seedling growth rate and survival do not predict invasiveness in naturalized woody plants in New Zealand Oikos 106 2 308 316 Bernhardt R mermann M C R mermann R Nuske A Parth S Klotz W Schmidt amp J Stadler 2008 On the identification of the most suitable traits for plant functional trait analyses Oikos 117 1533 1541 Blumenthal D C E Mitchell P Py ek amp V Jarosik 2009 Synergy between pathogen release and resource availability in plant invasion Proceedings of the National Academy of Sciences of the USA 109 19 7899 7904 Bucharova A amp M van Kleunen 2009 Introduction history and species characteristics partly explain naturalization success of North American woody species in Europe Journal of Ecology 97 230 238 Cadotte M W B R Murray amp J Lovett Doust 2001 Ecological and taxonomic differences betwe
390. u Qu bec et visant la d pollution du Saint Laurent 1989 Effondrement du bloc communiste de l est et 1991 de l Union Sovi tique 75 8 colloque tudiant de l Institut EDS La GIRE fera son apparition sur la sc ne internationale au cours de la p riode 1990 2012 tableau 3 Alors qu existaient d ja des fa ons de faire la GIRE en quelques endroits du monde le mod le retenu au d but des ann es 1990 est a toute fin pratique celui de bonne gouvernance de la Banque mondiale auquel se sont greff s les principes de Dublin et le plan d action de Rio C est en reprenant le tout que la Banque a formul sa premi re strat gie de gestion de l eau laquelle a fait l objet de promotion travers le monde par divers organismes internationaux dont le PNUE et le Global Water Partenership sans oublier le pouvoir de la Banque d attribution de l aide internationale Gaudin 2002 Dans son analyse sur la reconfiguration des acteurs dans le domaine de l eau Paquerot 2006 examine l influence que les acteurs du march ont pu exercer sur la d termination des aspects conomiques de la GIRE Quant la pr sence des ONG tout au long du d veloppement du processus elle explique peut tre le fait que la Banque ait envisag d s 1991 qu ils soient partie prenante la GIRE Banque mondiale 1991 76 C est apr s le Sommet de Rio que le Qu bec a recommenc r fl chir sur la
391. ue tudiant de l Institut EDS II s agit d une partie de mon m moire en droit portant sur le droit applicable aux chemins forestiers du Qu bec dans une perspective de protection de la biodiversit Tout d abord chacun peut se rem morer une ballade en for t En plus d tre fort agr ables utiliser dans le cadre de nos loisirs les chemins forestiers donnent acc s aux ressources du territoire Que ce soit pour avoir acc s aux ressources ligneuses mines ou encore les tours de communications chemins de fers oliennes pyl nes lectriques les chemins sont indispensables et nombreux E U Department of Agriculture Forest Service 2000 Au Qu bec on estime qu il se construit annuellement de 4000 5000 km de chemins permanents et d op ration dans la province Rapport Coulombe 2004 Au total le r seau qu b cois couvre aujourd hui une longueur de 300 000 km de chemins dont 30 000 km de chemins num rot s et 4 00 ponts MRNF Morvan 2011 Ils constituent donc une infrastructure commune de notre territoire dont les for ts couvrent pr s de C est dire des chemins de plus grande importance la moiti soit environ 761 000 km2 des 1 700 000 km2 de la superficie totale MRNF Chiffres cl s 2009 Bien que les chemins forestiers soient essentiels notre soci t ils produisent galement de nombreux effets nuisibles la biodiversit On associe particuli rement la
392. ue comment r diger et pr senter une p tition bien con ue Ce guide et le r pertoire des p titions peuvent tre consult s ainsi que les r ponses re ues ce jour sur le site Web du Bureau du v rificateur g n ral http www oag bvg gc ca internet Francais pet_Ip_f 930 html Pour plus d informations P titions en mati re d environnement http www oag bvg gc ca internet Francais pet_fs f 919 html R pertoire des p titions http www oag bvg gc ca internet Francais pet_fs f 929 html Des r ponses vos questions Guide sur le processus de p tition en mati re d environnement 119 8 colloque tudiant de l Institut EDS 120 Th me 2 Innovation technologique et d veloppement durable 121 8 colloque tudiant de l Institut EDS 122 Optimisation de la gestion d un bassin de r tention d eaux pluviales ETIENNE GABORIT Etudiant au doctorat en g nie civil Universit Laval Directeur Francois Anctil Professeur D partement de g nie civil et g nie des eaux Universit Laval Co auteurs Fran ois Anctil et Peter Vanrolleghem D partement de g nie civil et de g nie des eaux Universit Laval Mots clefs bassin de r tention CTR enl vement des MES gestion du ruissellement urbain pr visions de pluie r duction du stress hydraulique Introduction Les surfaces imperm ables des zones urbaines augmentent la vitesse et le volume de l eau de ruissellement par
393. umaine et le monde naturel Ce n est pas normalement pr vu parfois cela me semble tre une impulsion Lorsque je fais des liens plastiques je cherche ressentir une connexion qui me semble perdue Parfois des formes humaines sortent des arbres ou les arbres font sortir des formes humaines pendant mon processus de travail Or je vois que de petits morceaux de ma m moire de ma vie affective se retrouvent sur mes toiles comme une sorte de t moins C est ainsi que mes pr occupations personnelles sont repr sent es celles qui me fortifient et m emb tent et reli es notre r alit soci tale et environnementale et mes efforts pour me situer pour trouver un espace sain dans cette r alit Cette th matique soucieuse est aussi reli e au choix des mat riaux J utilise des mat riaux usag s comme des draps et des petits morceaux de tissus conserv s de toile et de plancher r cup r s Je suis inspir e par l id e et l esth tisme d une courtepointe qui est un arch type des valeurs que j ai c ur de sauver garder et viter le gaspillage Elles sont des valeurs qui viennent d une poque o l on prenait soin de tout garder de fabriquer des choses la main avec une attention particuli re la qualit la beaut et la durabilit de tout ce qu on faisait Cela va l encontre de l impulsion soci tale actuelle de consommer et de jeter sans penser Le choix conscient des mat riaux e
394. und H 2000 Choice awareness the development of technological and institutional choice in the public debate of Danish Energy Planning Journal of Environmental Policy amp Planning 2 2000 249 259 OCDE 2002 La r forme de la r glementation au Danemark p 305 306 Rojey A 2011 Comment assurer la transition nerg tique Institut fran ais du p trole p 5 10 Sj str m U 1985 Lana varandras glas gon Stockholm Pedagogiska institutionen Stockholm University Slovic P 1993 Perceived risk trust and democracy Risk Analysis 13 6 p 675 682 Theys J 2003 La Gouvernance entre innovation et impuissance D veloppement durable et territoires Dossier 2 Gouvernance locale et D veloppement Durable URL http developpementdurable revues org 1523 Walker G Devine Wright P 2007 Community renewable energy what should it mean Energy policy p 499 25 8 colloque tudiant de l Institut EDS Annexes Annexe I Le message mZZON HET La r alit v cue Environnement Moyens de communication Technologie Les perceptions et les repr sentations collectives Caron Malenfant Conraud 2009 26 Annexe 2 CRISTALLISE mm D CRISTALLISE m RECRISTALLISE 27 8 colloque tudiant de l Institut EDS 28 Systeme f d ratif signature et ratification du Protocole de Kyoto Les strat gies du Qu bec pour avoir voix au
395. une b tonisation des c tes a l instar des Bal ares en Espagne ou de la C te d Azur en France Le fait que la Corse pr sente une grande richesse de biodiversit et de paysages est un point de d part qui nous permet de concevoir l int r t de d fendre le territoire contre les menaces que repr sentent l activit humaine surexploitation sp culation destruction de zones cologiquement riches ou les changements climatiques rosion inondations Mais le cas de la Corse a ceci de particulier et d int ressant que viennent s ajouter des enjeux politiques et id ologiques aux enjeux environnementaux 4 Source http insee fr 14 particuli rement concernant les questions de protection du littoral Les conflits environnementaux et plus particuli rement la r alisation de grands projets d am nagement mettent face face des acteurs qui rel vent de trois types diff rents comme l expliquent C Lafaye et L Th venot 1993 p 497 un tat centralis prolong par une administration territorialis e ou une entreprise publique qui d cide de l opportunit des travaux pour d velopper une infrastructure des lus locaux attach s aux int r ts des administr s particuli rement ceux d une lite notable et d pendent des ch ances lectorales des associations qui pour consolider leur base sociale s vertuent critiquer le projet au nom de l environnement Se pencher scien
396. unes adopte la ratification du Protocole de Kyoto 195 voix contre 77 2 Strat gie d autonomisation La strat gie d autonomisation utilis e par Qu bec en parall le la strat gie participative avait pour objectif avou de prot ger les comp tences provinciales dans la mise en uvre du Protocole de Kyoto en pla ant le f d ral devant le fait accompli Un amalgame de mesures est utilis notamment des partenariats avec l industrie et la soci t civile la cr ation d entit s gouvernementales et une consultation publique 2 1 Partenariats Au d but des ann es 2000 le gouvernement du Qu bec tente d orchestrer un front commun avec des partenaires industriels et diff rents organismes de la soci t civile pour pr senter leur position sur une r partition quitable du fardeau de r duction entre les provinces et les secteurs industriels canadiens Le 13 juillet 2001 le ministre Boisclair r ussit a rassembler une brochette surprenante d acteurs 4 pour signer une d claration en faveur de Kyoto D claration du Qu bec propos du protocole de Kyoto sur les changements climatiques 2001 Par ce document Qu bec tente de faire pression d augmenter son influence et en profite pour r it rer ses int r ts particuliers en litige avec Ottawa Notamment la juste reconnaissance de l hydro lectricit et la n cessit d un fort appui envers le Protocole figurent en toutes lettres dans l
397. ux partenariats Plus grande imputabilit des acteurs de l eau sur le plan individuel et collectif Efficacit plus grande dans la mise en uvre des plans des politiques et des programmes par une meilleure concertation par une mise en commun de ressources et d expertises et par une vision commune quant aux gains environnementaux recherch s Protection syst matique des plans d eau des milieux humides et de leurs cosyst mes ayant une valeur cologique pour la ressource eau Am lioration de la sant des cours d eau des lacs et des cosyst mes qui y sont associ s Acc l ration de la d pollution des plans d eau et de leur restauration Maintien ou le retour des usages perdus tels que la baignade la p che ou autre activit s r cr otouristiques CONTEXTE 86 Figure 2 Mod le logique de l chelle locale et r gionale de la GIEBV qu b coise Les fl ches plus larges de couleur jaune orang e repr sentent des interactions avec d autres mod les logiques entr es et sorties du mod le dont des liens avec le mod le logique national figure 3 et la gestion int gr e du Saint Laurent GISL Gouvernement du Qu bec Soutien financier Soutien technique Volont de se coordonner de se responsabiliser et d assumer un leadership Outils juridiques conomiques et administratifs leadership Informations sur responsabilit s activit s Repr sentants et projets Participation Repr sentants mi
398. ux processus entourant leur construction et ventuellement leur d molition En comparant les cycles de vie des diff rents produits utilis s dans la construction on constate que les produits du bois se classent parmi les meilleurs choix cologiques non seulement en ce qui concerne les missions de CO2 principal gaz effet de serre mais galement en ce qui a trait l utilisation de l nergie et de l eau En effet les produits du bois sont les seuls qui proviennent d une ressource renouvelable et qui sont facilement recyclables Direction du d veloppement de l industrie des produits forestiers 2008 Dans ce m me document il est d plor que moins de 5 des b timents non r sidentiels soient fabriqu s en bois ce qui repr sente quatre vingt seize millions de pmp Dans un rapport remis r cemment au gouvernement du Qu bec par le groupe de travail visant favoriser une utilisation accrue du bois dans la construction ces statistiques ont t mises jour Entre 2007 et 2010 la proportion de mise en chantier de constructions non r sidentielles utilisant du bois de charpente est pass e de 15 20 Beaulieu 2012 On note galement dans ce rapport que le potentiel de construction en bois est de 80 et donc que des efforts importants de sensibilisation sont encore fournir aupr s des donneurs d ouvrages C est une constatation que certains chercheurs ont mis de l avant en concluant que l industr
399. www mddep gouv qc ca lt http www mddep gouv qc ca biodiversite aires protegees registre index htm gt consult le 29 d cembre 2011 MDDEP Registre Minist re des ressources naturelles et de la faune du Qu bec Morvan D et F Trottier 2011 Les r les et responsabilit s des utilisateurs du milieu forestier en 2013 document pr sent dans le cadre du S minaire de formation continue de l Ordre des ing nieurs forestiers du Qu bec 14 et 15 avril 2011 Saguenay en ligne www oifq com lt http www oifg com fr membres formation continue formations passees seminaire sur la voirie forestiere gt consult le 3 juin 2011 MRNF R les 169 8 colloque tudiant de l Institut EDS Minist re des ressources naturelles et de la faune du Qu bec 2009 Chiffres cl s du Qu bec forestier 2009 Disponible Jl adresse suivante www mrnf gouv qc ca lt http www mrnf gouv qc ca publications forets chiffres cles pdf gt consult le 4 avril 2011 MRNF Chiffres cl s Minist re des ressources naturelles et de la faune du Qu bec Desrosiers R et al Guide sur la gestion int gr e des ressources et du territoire son application dans l laboration des plans d am nagement forestier int gr 2010 en ligne www mrnf gouv qc ca lt http www mrnf gouv qc ca publications forets amenagement guide GIRT pdf gt consult le 24 mai 2011 Minist re des ressources naturelles et de la
400. xandre Desjardins Etudiant a la maitrise en droit Universit Laval Courriel alexandre desjardins 3 ulaval ca Etienne Gaborit Etudiant au doctorat en g nie civil et g nie des eaux Universit Laval Courriel etienne gaborit 1 ulaval ca Gr gory Seiller Etudiant au doctorat en g nie civil et g nie des eaux Universit Laval Courriel gregory seiller 1 ulaval ca Gnouyaro Palla Assima Etudiant au doctorat en g nie chimique Universit Laval Courriel gnouyaro palla assima 1 ulaval ca Achille Benjamin Laurent Etudiant au doctorat en g nie m canique Universit Laval Courriel achille benjamin laurent 1 ulaval ca Ben Amor Post doctorat en m thodes quantitatives de gestion HEC Montr al Courriel ben amor hotmail ca Miriam Desmarais Etudiante a la maitrise en droit Universit Laval Courriel miriam desmarais 1 ulaval ca Modibo Sogoba Etudiant a la maitrise en agroforesterie Universit Laval Courriel modibo sogoba ulaval ca Genevi ve Guay Etudiante au doctorat en am nagement du territoire et d veloppement r gional Universit Laval Courriel genevieve guay 1 ulaval ca Audrey Comtois tudiante la ma trise en biologie v g tale Universit Laval Courriel audrey comtois 1 ulaval ca J r me Cimon Morin tudiant au doctorat en biologie v g tale Universit Laval Courriel jerome cimon morin 1 ulaval ca Lyse Carole Justafort tudiante la ma t
401. y 8 3E 07 3 9E 01 5 6E 01 9 4E 00 1 50 Eolienne 1 kW Moy 2 4E 07 1 1E 01 1 6E 01 2 7E 00 0 42 Sup Moy 1 5E 07 7 1E 02 1 0E 01 1 7E 00 0 27 3 kWp Inf Moy 5 7E 08 2 1E 02 7 2E 02 1 2E 00 0 44 Re Moy 5 0E 08 1 8E 02 6 3E 02 1 1E 00 0 38 Sup Moy 44E 08 1 6E 02 5 6E 02 9 6E 01 0 34 Inf Moy 5 4E 08 2 0E 02 6 5E 02 1 1E 00 0 41 ee tallin Moy 4 7E 08 1 8E 02 5 7E 02 9 4E 01 0 36 Sup Moy 4 2E 08 1 6E 02 5 0E 02 8 4E 01 0 32 Selon les r sultats pr sent s dans le tableau ci dessous l olienne de petite puissance de 30 kW et les panneaux solaires polycristallins de 3kWp repr sentent respectivement les s quences technologiques ayant le meilleur profil conomique et environnemental pour les conditions de vent et d ensoleillement au dessus et au dessous de la moyenne de la province de Qu bec D un autre c t pour les conditions m t orologiques moyennes les r sultats de l valuation int gr e du cycle de vie montrent l impossibilit de s lectionner la meilleure technologie sans compromettre les aspects valu s Trade off En effet les panneaux solaires polycristallins de 3kWp pr sentent le meilleur r sultat pour la cat gorie de la sant humaine HH et qualit des cosyst mes QE comparativement a l olienne de petite puissance de 30 kW qui pr sente le meilleur r sultat pour la cat gorie conomique cout des changements 156 climatiques CC et des ressources RES La variation des condi

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