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Objectif établissement n°34

1. 4 Rapport annuel de l Observatoire nationale de la s curit et de l accessi bilit des tablissements d enseignement http lons education gouv fr 000000000000 000000000000 000000000000 000000000000 000000000000 000000000000 000000000000 000000000000 0000000000000000 Sos eoseeeeeeeeeeeeeeeseeeeseeseeeesseeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseseeseeseeeeseeeesseeeeseeeeeeeseeeseeeeeeseeseeeececese travail qui associe les experts de l accueil des tudiants handicap s Le rapport d finitif comprend une synth se un descriptif des pr conisations leur estimation La pro grammation des travaux est ensuite tablie par le ma tre d ouvrage partir de priorit s d intervention En avril 2010 pr s de 92 des tablissements uni versit s instituts et coles grands tablissements ENS ont un ou plusieurs diagnostics en cours ou r alis s L analyse technique d un chantillon est envisag e Les CROUS ont d j utilis les 2 7ME dont ils b n ficiaient pour les diagnostics ils lancent actuellement les travaux avec les 7 M qui leur ont t attribu s sur 2 ans Ils privil gient les structures de restauration et d accueil L accessibilit est par ailleurs toujours programm e en r habilitation lourde des r sidences et restaurants Les diagnostics accessibilit dans les coll ges 3 200 000 l ves une augmentation constante des situations de handicap L enqu te conduite en 2009 par l Observatoi
2. Le cahier des charges de l application de gestion bud g taire et comptable des EPLE a t r dig en collaboration avec les membres du groupe de travail Il prend en compte les nouvelles r gles de gestion et de SOpel applicables aux EPLE Il int gre des volutions demand es depuis plusieurs ann es ou cons cuti ves la suppression du compte par nature lors de l engagement comptable lettrage multi imputations Objectif tablissement n 34 de la d pense et permet la s curisation et la tra abilit des op rations comptables Il pr pare l int gration des volutions venir comme la d mat rialisation des changes avec les fournisseurs et les nouveaux modes de paiement comme le t l paiement par carte bancaire La DAF ma tre d ouvrage charg e de l laboration du cahier des charges a expres s ment demand que la nouvelle application soit d un niveau de qualit minima gal celui reconnu de l outil actuel GFC Si la qualit et la disponibilit d un outil d pendent pour une grande part du cahier des charges et des techniques choisies pour sa r alisation l ergonomie ainsi que les tests fonctionnels participent aussi largement la r ussite d un projet et donc la satisfaction des utilisa teurs La formation indispensable la r ussite de la r forme devra int grer pour l ordonnateur chef d tablissement et ges tionnaire et l agent comp table l volution du cadre
3. ce label les tablisse ments peuvent se connecter en ligne l outil qui propose sur 5 niveaux une suite d chelons atteindre pour acc der au stade sup rieur Ces chelons correspondent des injonctions minis t rielles ou des pr conisations acad miques relatives l usage des Tice Les Cahiers de l ducation Avril 2010 RESTAURATION COLLECTIVE Gestion directe LP Marie Curie Villeurbanne Le lyc e professionnel Marie Curie Villeurbanne dispose d une cuisine enti rement r quip e qui sert en moyenne 200 repas par jour Toutefois lors des p riodes de stages le nombre de repas servis fluctue entre 90 et 250 par jour Cela n emp che pas le restaurant de proposer en toutes circons tances une cuisine traditionnelle et quilibr e Collectivit s Express N 233 Objectif tablissement n 34 Gestion directe Lyc e Vaugelas Chamb ry Le lyc e Vaugelas Chamb ry accueille 1200 l ves sert de 500 600 repas par jour et dispose par ailleurs d une caf t ria L quipe de restauration propose 20 de produits bio mais cet objectif est difficile tenir financi rement car l ta blissement ne b n ficie d aucune subven tion cot du self traditionnel la caf t ria propose pizza sandwichs salades toutefois une r flexion a t entam e afin de faire voluer ces prestations et de pro poser br ve ch ance un choix de nouveau produits plus di t tiques et r po
4. gnement sup rieur est confront un double d fi r aliser des diagnostics et assurer la faisabilit tech inique et financi re des travaux pour rendre accessible icet important patrimoine 18 millions de m Un cahier des charges cadre labor avec des sp cia listes du handicap et de l accessibilit des repr sen tants des universit s et du CNOUS a t propos aux tablissements en 2008 Le pr ambule rappelle que tous les types de handicaps sont vis s sans distinction Le diagnostic est r alis en externe apr s passation d un march La mission comprend un tat des lieux qui porte sur l accessibilit urbaine du campus l accessibilit de ses espaces d s l entr e du site de chacun des b timents existants et de tous les niveaux de planchers la pr conisation de travaux en coh rence avec les dispo sitifs du plan de s curit de l tablissement et l estimation des travaux Le ma tre d ouvrage de son c t doit fournir un certain nombre de documents comme des relev s de g om tre La mission du prestataire est suivie par un groupe de 1 Voir Objectif tablissement n 29 page 3 les textes r glementaires 2 Arr t du 24 septembre 2009 3 D cret n 2010 124 du 9 f vrier 2010 La r glementation relative l accessibilit des tablissements recevant du public ERP a connu en 2009 des volutions qui impactent directement le diagnostic accessibilit
5. projet annuel de performances que doit com porter en annexe le budget initial des universit s autonomes Les m thodes permettant de proc der l identifi cation des risques sont multiples entretiens indi viduels ateliers de r flexion questionnaires et soul vent le probl me de la conceptualisation des risques tr s difficile de d finir en quelques mots un risque de mani re claire et explicite tout en vitant qu il ne soit trop g n rique ou inverse ment trop anecdotique Le travail conduit dans certaines universit s voir les l ments m thodo logiques pr sent s par Jean Emmanuel RUDIO et Jacques LALLEMENT de l universit de Strasbourg am ne proc der en trois temps discussion autour de l identification des risques entretiens individuels changes sur l ensemble des risques identifi s par un atelier de travail envoi de l inventaire des risques pour validation aux diff rentes personnes concern es possibili t d un entretien compl mentaire s il est demand par l valuateur des risques L objectif premier de la phase d identification des risques est l exhaustivit L valuation ou la cotation des risques Vient ensuite la question de l valuation ou cota tion des risques qui p sent sur les actifs de l enti t ses valeurs au sens large d un risque stricte 4 ANSARI S EUSKE KJ 1987 Rational rationalizing and Reifying uses of accounting data in organizat
6. Sup rieur Aux services des professionnels de la Cr e pour les professionnels de la comptabilit de l audit de la gestion et de la finance l Acad mie des Sciences et Techniques Comptables et Financi res concerne galement les acteurs financiers des collectivit s locales des universi t s et grands tablissements et des tablissements publics locaux d enseignement Une histoire r cente et une mission ambitieuse L Acad mie des Sciences et Techniques Comptables et Financi res a t lanc e le 15 septembre 2004 au minis t re de l conomie des finan ces et de l industrie en pr sence du ministre de l poque Monsieur Nicolas Sarkozy Ce projet a t port lors d un grand colloque devant un par terre de chefs d entreprises de pr sidents d associations professionnelles et de respon sables du secteur public et de l universit Le minist re de l ducation nationale et notamment la direction des affaires financi res ont gale ment t troitement associ s cette cr ation Six ans plus tard l Acad mie est fi re de compter plus de 65 000 membres dont un tiers provenant de l tranger avec plus de 25 pays essentiel lement francophones ainsi que 40 groupes de travail La premi re mission de l Acad mie est la production doctrinale et technique au service de ses adh rents Cette production doctrinale passe par l identification des bon nes pratiques et les changes 14
7. Une application au service de tous les acteurs Afin de r pondre ces enjeux l application int grera l en semble du processus la pr paration des actes avec la mise disposition des EPLE d une banque de mod les d actes type e la signature lectronique des actes produits dans les EPLE leur transmission num rique aux autorit s de tutelle et leur contr le automatis le traitement de l acte par les autorit s de contr le aca d miques avec la possibilit de recourir une banque d observations la notification du traite ment de l acte l EPLE par l autorit acad mique un archivage d mat rialis de l ensemble des actes des EPLE Objectif tablissement n 34 L avancement du projet Le Comit de pilotage du 17 f vrier 2010 pr sid par le secr taire g n ral du minis t re a valid les travaux r ali s s et s est prononc sur plusieurs points apr s la phase d exp ri mentation le dispositif D m Act sera le seul canal de transmission accept par les autorit s de contr le aca d miques et pr fectorales le raccordement volontaire sera propos aux collectivi t s territoriales pour respec ter le principe de libre administration Il fera l ob jet d une convention entre les EPLE et la collectivit territoriale pour la transmis sion des actes le minist re communiquera au fil de l avancement du projet vers l ensemble des acteurs e
8. Ainsi parmi toutes les t ches qui lui sont d volues le service de res tauration fait partie int grante de ses pr occupations journali res Cependant dans ce domaine notamment les d partements et les r gions n appliquent pas toutes la m me politique ce qui accentue les difficult s de gestion du service d h bergement Les Cahiers de l ducation F vrier 2010 tat de l cole trente indicateurs sur le syst me ducatif Cet article extrait de la dix neuvi me pr sentation de l tat de l cole d montre que depuis les bilans men s compter de 2003 en fin d cole et de coll ge les in galit s dans la ma tri se des comp tences de base persistent et s aggravent Les Cahiers de l ducation Mars 2010 La 4e exp rimentale du coll ge Chevreul Le coll ge Chevreul de He fee Rose dans le 94 dans le cadre de ses pouvoirs d exp rimentation a cr une 4 me exp ri mentale afin de lutter contre le d crochage scolaire Il s agit d une structure compl mentaire la mise en place d activit s de soutien destin e prendre en charge des l ves devenus a sco laires et visant notamment redonner du sens leur parcours scolaire Les Cahiers de l ducation Mars 2010 S curit intrusion dans les tablissements Gros plan sur la vid o surveillance Cet article fait le point sur les r centes avanc es technologiques concernant les diff rents syst mes de vid o surveillance et conseille ut
9. Ce site donne acc s l ensemble des textes en vigueur qui sont apparus utiles la direction et la gestion des services et tablissements relevant du minist re de l ducation nationale et au minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche Adress RER succ de au Recueil des lois et r glements RLR apparu au d but des ann es 60 et qui a accom pagn des g n rations d agents de l ducation nationale A la diff rence du RLR qui tait distribu par abonnement sous forme de classeurs d abord et de CD ensuite Adress RLR est un site gratuit qui s adres se tous ceux qui sont int ress s par les questions juridiques ou de gestion ayant trait aux tablissements et services de l ducation nationale de l enseignement sup rieur et de la recherche Adress RLR a vocation devenir le site de r f rence des personnels administratifs d inspection ou de direc tion qu ils exercent en administration centrale dans les services d concentr s ou en tablissements publics Ils pourront y trouver quotidiennement et sans devoir se constituer des dossiers papier toute la docu mentation juridique utile dans l exercice de leur mission Une actualisation quotidienne Adress RLR contient les textes en vigueur Le corpus des textes du RLR a fait l objet d un tr s important travail de d sherbage afin de retirer pr s de la moiti d entre eux qui avaient cess de produire leurs effets ou taient devenus sans objet Le site sera
10. Mode d emploi et en pratiques v Cahier n 6 Le r le des professionnels de la comp tabilit de l audit et de la finance dans la Gouvernance d entre prise v Cahier n 4 La Ma trise des risques Une approche innovante la port e de toutes les entreprises Cahier n 2 La Gouvernance associative Comment am liorer et rendre plus s rs la condui te la gestion et le fonc tionnement des organis mes sans but Load La publication des travaux des groupes de travail sous forme de cahier est galement com pl t e par l organisation de conf rences techniques v rita bles moments d change qui repr sentent l un des rendez vous r guliers de l Acad mie En parall le de ces conf ren ces l Acad mie organise gale ment des petits d jeuners sous forme de conf rence d bat portant sur des th matiques diverses comme celle du tableau de bord dans la fonc tion comptable par exemple Petit d jeuner du 27 mai 2009 Objectif tablissement n 34 Finalement pour compl ter ces moments de rencontre et d change l Acad mie orga nise une deux fois par an un grand colloque exceptionnel et depuis tout r cemment des rendez vous mensuels les Mardinales rassemblant les experts comptables franciliens et les membres de l Acad mie autour d un th me technique ou d actualit L Acad mie fait ainsi preuve d une grande diversit dans ses pr occupations et ne se donne aucune
11. budg taire ainsi que les nou velles r gles comptables Cette r forme pourra entrer pleine ment en application lorsque l outil de gestion financi re et comptable aura t adapt la direction financi re est parti culi rement attentive la r alisation de cet objectif dans les plus brefs d lais possibles Pour en savoir plus loic louis education gouv fr et luce boulben education gouv fr Modernisation Sup rieur JEAN PIERRE LABORDE PR SIDENT DU PRES UNIVERSIT DE BORDEAUX R POND NOS QUESTIONS Le P le de recherche et d enseignement sup rieur Universit de Bordeaux est le fruit d une longue tradition de dialogue et de coop rations entre les tablissements d enseignement sup rieur et de recherche bordelais mobilis s autour d une politique concert e de site pour en accro tre l attractivit et favoriser la r ussite et l insertion professionnelle de ses tudiants a sont n s les P les de recherche et d enseignement sup rieur PRES Il est toujours tr s difficile d tre pr cis sur la naissance d institutions qui deviennent par la suite tr s importantes C est le cas des PRES Les PRES ne sont pas n s de g n ration spontan e ils ont eu des pr d cesseurs notamment Bordeaux avec le p le universitaire europ en qui a exist jusqu la cr ation du PRES Universit de Bordeaux en 2007 C est dire que cela fait maintenant quelques ann es que la i
12. datant des ann es 60 et r si dences plus r centes le sch ma devra tre naturellement articul avec la d clinaison du Plan du d put Jean Paul ANCIAUX en faveur du d ve loppement du logement tu diant construction de 50 000 nouveaux lits et r ha bilitation de 70 000 chambres de r sidences traditionnelles avec introduction du confort dans les chambres De m me pour les restos U cette d mar che sera l occasion de r fl chir la pertinence et la p renni sation de leur implantation Pour en savoir plus gesgon cnous fr Initiatives Sup rieur Un contexte qui bouge La r alisation des diagnostics accessibilit a t avanc e au ler janvier 2010 pour les gros ERP 1 re et 2 me cat gories et les ERP appartenant l Etat et ses tablissements publics Pour les 3 me et 4 me cat gories la date butoir est ile ler janvier 2011 De nouvelles dispositions du r glement s curit incendie des ERP sont applicables depuis le 24 jan ivier 2010 pour l vacuation des personnes en situa ition de handicap Enfin un observatoire interminist riel de l accessi bilit et de la conception universelle a t mis en place en f vrier 2010 pour aider la mise en uvre de l accessibilit d ici 2015 Les diagnostics accessibilit dans les tablissements d enseignement sup rieur et les CROUS Entre le ler janvier et le 31 d cembre 2010 l ensei
13. mation statutaire La dur e du stage pr alable la titularisation dans le corps des personnels de direction actuellement de 2 ans passe une ann e compter de la ren tr e 2010 Ce stage de formation initiale devient le point de d part de la formation tout au long de la vie professionnelle Le bilan social 2009 permet d analyser l volution de la parit La proportion de femmes sur des postes de chef dans les lyc es de 4 me cat gorie et 4 me cat gorie exceptionnelle lyc es et lyc es professionnels est en hausse depuis 2008 On est ainsi pass de 26 72 en 2008 27 48 en 2009 Une volution nette est constat e sur l acc s des femmes aux postes d adjoint dans les lyc es professionnels de 4 me cat gorie et 4 me cat gorie exceptionnelle 51 en 2009 pour 45 en 2008 Dans les 254 coll ges relevant du r seau ambition r ussite l effectif des femmes sur les postes de 4 me cat gorie a augment de 4 Les laur ats des concours de recrutement des per sonnels de direction sont majoritairement des fem mes 55 de femmes pour 45 d hommes Pour en savoir plus ghislaine fritsch education gouv fr veronique lernould education gouv fr Objectif tablissement n 34 21 CIC Intro Le CIC Plut t pr venir que gu rir Le contr le interne une garantie de notre capacit atteindre nos objectifs la fois comptables financiers et op rationnels 22 La ma trise des ris
14. s le travail consiste surtout formaliser pour l ensemble du b ti tout ce qui a t fait de fa on fragmentaire au fil du temps en fonction des ch ances pr vues par les carnets d entretien de chaque b timent et des financements disponibles D sormais toutes les informa tions doivent tre agr g es sur un document unique France Domaine a adress l ensem ble des op rateurs de l tat un guide facilitant le recueil des donn es Ces donn es seront ensuite int gr es dans le module immobilier de Chorus le syst me d information finan ci re commun tous les minist res qui doit remplacer les applications du tableau Objectif tablissement n 34 g n ral des propri t s de l Etat et donner lieu la mise en place progressive de fonction nalit s avanc es pour la ges tion immobili re pr alable n cessaire une optimisation du patrimoine Une fois la phase de diagnostic accomplie chaque CROUS va devoir d finir son action d ici 2015 pour optimiser son parc immobilier objectifs direc teurs d clinaison par b timent et toutes les informations com pl mentaires int grer dans la strat gie les moyens financiers notamment Cette projection sera particuli rement utile pour la pr sentation par chaque CROUS de ses projets au CNOUS lors des entretiens de contractualisation organis s partir de 2010 Pour les immeubles de loge ments cit s universitaires
15. 2007 Barom tre du risk management 2007 Participation de TNS Sofres 24 Objectif tablissement n 34 CIC Sup rieur l enseignement sup rieur Insuffisance du CIC dans les universit s fran aises Dans ce nouveau contexte la ma trise de leurs d penses et de leurs ressources qu elles soient humaines patrimoniales ou purement financi res se r v le alors primordiale Il en r sulte aussi une n cessaire ma trise de l information et plus sp cifiquement de l information comptable et financi re laquelle Ansari et Euske attribuent comme principaux r les l aide la d cision l in fluence et le contr le ou encore l accroissement de la confiance dans des d cisions prises dans des environnements incertains 4 Or il s av re dans la pratique mise en vidence notamment par les rapports IGAENR post auditO que ces risques traditionnels et nouveaux sont insuffisamment ma tris s par les universit s Il est ainsi observ au sein des universit s d une part une insuffisance de culture du risque et du changement et d autre part une absence de responsabilisation des acteurs et de clarification de leurs objectifs En particulier les universit s fran aises pr sentent des insuffisances en mati re de contr le interne d fini par le COSO Committee comme un pro cessus mis en uvre par la direction g n rale la hi rarchie et le personnel d une entreprise et destin fournir une assurance rai
16. 2010 Les d charges d activit de service en 10 questions Distinctes des autorisations d absence les d charges d activit de service constituent l une des modalit s d exercice du droit syndical La Gazette 22 f vrier 2010 Motiver les d faitistes Le d faitisme au travail se traduit souvent par une forte r sistance au changement ou un manque de confiance en soi Les remarques du genre j en suis incapable ou c tait mieux avant d notent une angoisse sur laquelle le manager doit s interroger Pour d bloquer la situation celui ci s attachera d une part expliquer son projet et d autre part convaincre ses collaborateurs en tenant compte de leurs remarques si elles sont constructives et en favorisant une d marche de projet col lective La Gazette 22 mars 2010 29 Revue CERTES DEVELOPPEMENT DURABLE Un coll ge en bois ins r dans le paysage Le coll ge Weiler de Montgeron dans l Essonne comprend trente cinq classes et cinq logements Le bois mat riau pr do minant permet cet tablissement de s int grer avec harmonie dans un paysage peu dense et tr s bois Le Moniteur 26 mars 2010 Prebat D monstrateurs ler volet Le programme de recherche et d exp ri mentation sur l nergie dans le b timent PREBAT initi en 2005 vise notam ment renforcer l isolation et l tan ch it l air des construction et l effica cit des quipements de chauffage et de production d
17. Certains risques importants seront plus facilement d cel s par une vision d ensemble au niveau de l administration centrale ou de la direction d un ta blissement tandis que d autres n cessitent les connais sances op rationnelles plus approfondies des ex cu tants Le d fi est de r unir ces deux approches Il faut pour r ussir partager un langage commun toute l or ganisation Les formations CHORUS ont pr par le terrain Il reste construire sur cette base Vers un syst me de contr le interne int gr des plans d action adapter dans chaque acad mie D s lors que les risques sont identifi s et classifi s il faut d cider de la strat gie de contr le privil gier dans chaque cas pour les viter ou les attenuer Dans les entreprises c est le conseil d administration qui d cide de cette strat gie Dans une organisation com plexe telle le minist re la d cision ne peut seulement tre impos e par l administration centrale Le con tr le doit tre adapt la culture et aux m thodes de chaque acad mie C est indispensable pour int grer les m canismes appropri s aux syst mes de gestion exis tants L existence d un syst me d information unique va favoriser une action plus directive que celle des der ni res ann es c est d ailleurs une attente de la Cour des comptes mais d velopper des mod les strictement s par s du contexte nuirait l int gration de la d mar che gage de r ussite dans
18. amen e mino rer ou majorer les cotations Un exemple concret On peut illustrer ce sujet autour d une jurispru dence r cente un pr sident d universit a t condamn au p nal parce que son universit avait command des prestations de traiteurs sans suivre la proc dure de march s publics Le risque est connu port par l article 432 14 du Code P nal pr voyant 2 ans d emprisonnement 30 000 euros d amende et ou in ligibilit pour toute infraction au code des march s publics m me sans intention d lictuelle On peut consi d rer le risque comme relativement grave Cependant les universit s ont v cu longtemps dans l id e que ce risque tait peu probable car les condamnations taient rares dans leur secteur contrairement aux collectivit s locales L intervention de cet arr t en 2008 m me si le contexte tait particulier am nera sans doute les pr sidents d universit consid rer sous un angle nouveau la cotation du risque en la mati re La pr sentation matricielle processus par proces sus de risques sous ces deux angles constitue la cartographie des risques C est sur le fondement de cette cartographie que les plans d actions pour ront permettre D viter la survenance du risque D externaliser le risque par ex par le recours un partenaire qui le supporte contractuelle ment De couvrir le risque par ex par le recours une soci t d assurance D assumer
19. charg s avec les agents comptables de l op ra tion ont t r unis dans le cadre du centre national de formation du r seau Tours afin de mettre au point la pro c dure et les outils communs de pilotage de leur politique immobili re partir d une trame type tablie par le CNOUS Les tableaux d ana Initiatives Sup rieur lyse et de mise en forme des donn es seront ainsi iden tiques pour tous les tablis sements du r seau Comme tous les op rateurs de l Etat au cours du premier semestre 2010 le CNOUS et les 28 CROUS mettent en place leurs sch mas plurian nuels de strat gie immobili re SPSI D ici la fin juin deux tapes auront t men es bien la phase de diagnostic avec un tat des lieux complet des b timents et des condi tions de leur occupation puis la phase d laboration de la strat gie d volution du parc immobilier Un diagnostic en trois phases La phase de diagnostic du parc immobilier comporte trois parties technique avec une description pr cise de l tat du b timent structure du clos et couvert r gle mentaire s curit incendie accessibilit des personnes handicap es s curisation des locaux risques diagnostic amiante plomb termites et enfin fonctionnelle situa tion g ographique organi sation qualit des quipe ments confort d usage Comme la majeure partie des diagnostics obligatoires ont d j t effectu
20. de leur autono mie La contrepartie de cette multiplication de comp tences et responsabilit s pour les universit s fran aises se traduit entre autres par l obligation de faire certifier ses comptes par un commissaire aux comptes du fait de l augmentation des risques support s financiers ou cons quences financi res Par risque nous entendons ici toute incerti tude ou tout v nement externe ou interne pouvant menacer les activit s et les actifs mat riels et immat riels de l entreprise et ainsi entraver l atteinte de ses objectifs et son d veloppement long terme Le passage l autonomie implique ainsi un accrois sement des risques en mati re budg taire avec un budget deux trois fois sup rieur en mati re patrimoniale avec la possibilit de la d volution de leur patrimoine immobilier ou encore en mati re humaine avec la responsabilisation des tablisse ments sur la gestion de leur masse salariale 1 Agir de mani re positive ou n gative Par exemple dans les proc dures de s curit des devises en mati re de transport de fonds le secteur bancaire est r cemment pass d un point de contr le actif le transporteur de fonds signale par alarme silencieuse une attaque un point de contr le passif si le transporteur ne signale rien au moment convenu une anomalie est d tect e 2 CARASSUS D 2008 Certifier pour mieux compter Objectif tablissement n 30 3 PROTIVITI
21. et l insti tution de pr vention CRAM INRS Le stagiaire devient acteur de sa s curit L l ve l tudiant ou l apprenti sera amen faire des constats et proposer des am liorations et des solutions aux probl mes qu il aura identifi s Il int gre son travail dans son rapport d activi t en situant la probl matique en d crivant les diff rentes tapes de l analyse en formulant les observations et les r flexions le cas ch ant les propositions Ce travail fait l objet d une valua tion par le professeur et le tuteur ou le ma tre d apprentissage Chacun y trouve ainsi un int r t l l ve l tudiant ou l ap prenti prend connaissance des risques les ma trise et change avec son ma tre de stage l entre prise b n ficie d un travail pratique sur l hygi ne et la s cu rit b n ficiant ainsi de salari s Objectif tablissement n 34 plus sensibilis s et mieux form s l enseignant renforce la liaison cole entreprise et contribue l volution de la formation Une exploitation p dagogique au retour des jeunes est faite par les enseignants qui organisent une mise en commun des diff rents travaux pour permet tre aux l ves de confronter leurs observations leur v cu de l op ration et les difficult s rencon tr es Pour r aliser son dossier Synergie chaque l ve va choisir avec son tuteur trois th mes de situations risques Mais dans le rapp
22. gt la revue financi re de l ducation 2010 gt numero 34 L4 ministe duca go nation Nous avons lu pour vous CODE DES MARCH S PUBLICS ANNOTE 2010 m m DES QUESTIONS DES R PONSES DES QUESTIONS DES R PONSES Adresse du site http idaf pleiade education gouv fr Nom de l utilisateur ven Mot de passe zen Chaque vendredi l actualit des EPLE mm mm CL LL Abonnez vous pour tre inform e des nouveaut s c est gratuit Sommaire Sommaire Initiatives 2 La strat gie immobili re des CROUS Modernisation 5 D m Act unprojet de d mat rialisation des pro actes Une r forme ambitieuse pour les EPLE RCE Mise en oeuvre l Universit Pierre et Marie Curie Commande publique 12 La strat gie immobili re des CROUS Ins rons des clauses d insertion D Vu ailleurs 14 Aux services des professionnels de la compta bilit audit et la finance Page seize 16 Accidents du travail et pr vention des risques une collaboration fructueuse Net et pr cis 18 Mettez un chat dans votre PC l ordinateur quantique GRH 20 Le bilan social 2009 des personnels de direction CIC 22 Mettez un chat dans votre PC l ordinateur quantique Le CIC Plut t pr venir que gu rir Un outil de dialogue et de pilotage Une cartographie des risques dans l enseignement sup rieur Le CIC outil de management en EPLE Revue d
23. question de degr on peut s en remettre au hasard la chance ou la n cessit selon le senti ment que l on a de ma triser ou non un risque donn Mais le parti pris d une d marche de contr le interne est celui de la responsabilit en tant qu elle s oppose aux d terminismes et l in souciance de celui qui cherche agir pour atteindre des objectifs pr cis Et puisque la prise de risques est alors in vitable il n y a pas d autre mani re d accro tre ses chances de r ussir dans ses choix que d tudier les risques dans leurs deux variables que sont leur probabilit et leur gravit afin de mieux les ma triser Pouss e l extr me cette volont de contr le peut aboutir elle aussi au risque d instaurer des syst mes bureaucratiques qui renvoient aux st r otypes w b riens lenteur irrationalit et ind cision qui peuvent nuire l atteinte des objectifs Il appara t alors de mani re vidente que le risque doit tre accept ce qui constitue la premi re tape de son apprivoisement avant d tre objectiv et si possible vit Telles sont les causes d une n cessaire cartographie des risques De nouveaux risques li s l accroissement des responsabilit s des universit s fran aises L Etat fran ais aspire actuellement une plus gran de attractivit et comp titivit de ses tablissements d enseignement sup rieur et dans cette perspecti ve a fait le choix du renforcement
24. techniques est depuis l origine au c ur de la philosophie d APF Industrie Sur les soixan te sept personnes que l entreprise emploie quarante neuf sont handicap es motrices Bien entendu fabriquer le consom mable informatique pour le Minist re de l Education Nationale apporte une grande fiert nos salari s et une recon naissance de leurs comp tences au plus haut niveau Depuis 2008 2 221 cartouches APF ont t livr es pour un chiffre d affaires de 121 532 r par ties sur 23 rectorats 19 inspec tions acad miques 13 CIO l administration centrale et le SIEC depuis le d but de l ex cution du march 9 cartouches ont t chang es pour cause de non conformit soit un retour de 0 40 de nos produits av r s non conformes retrouver ce t moignage sur http llwww finances ader gouv f r achats service_achats_etatlar exemples_reussites html Ainsi la politique des achats socialement responsables per met non seulement de faire Objectif tablissement n 34 travailler des personnes loi gn es de l emploi mais elle est mise en uvre un m me degr d exigence et de qualit des prestations que pour tout autre prestataire Ce constat permettra sans doute dans un avenir proche d augmenter significativement le nombre de clauses d insertion sociale dans l ensemble des march s publics Pour en savoir plus xavier lichtle education gouv fr 13 Vu ailleurs
25. un meilleur suivi financier pr vu r alis des actions du projet d tablissement et la r daction d un compte rendu en temps r el de l utilisation des subventions et moyens attribu s aux tablissements Il s agit in fine de construire un budget au sein duquel la desti nation de la d pense primera sur la nature de celle ci Objectif tablissement n 34 La r forme du cadre compta ble vise une convergence maximale vers les r gles d fi nies dans le plan comptable g n ral et ancre la future instruction codificatrice dans la s rie des M9 applicables aux tablissements publics Un impact sur le code de l ducation La RCBC n cessite une r vi sion de certains articles du code de l ducation ceux notamment compris entre les articles R 421 9 et R 421 78 Cette r vision met en coh rence les articles du code de l ducation et les r gles d finies dans l instruction codificatrice et retranscrites dans le cahier des charges de l application informatique permettant de les mettre en oeuvre Les principales innovations propos es par le groupe de tra vail concernent la simplifica tion du cadre budg taire qui retracera dans trois services g n raux les activit s p dago giques les actions en faveur des l ves et les activit s li es au fonctionnement g n ral et administratif de l EPLE Un service sp cial sans r serve enregistrera les recettes et les d penses des bourses natio nales E
26. vous aux l ves du secondaire Il y a d abord le portail unifi de licence qui devra permettre aux lyc ens d avoir une vue d ensemble de l offre de formation sur l ensemble du site bordelais des dispositifs d orientation active dans lesquels les tablissements du site se sont impliqu s il y a l accent mis sur l insertion professionnelle Ce qui est galement en jeu dans les projets actuels c est que l universit corresponde plus encore l excellence et la recherche de l excellence par les enseignants chercheurs et par les tudiants Il ne faut pas que l Universit soit le deuxi me choix Qu est ce qui peut faire pencher en cette faveur Un environnement mat riel immobilier tout fait convenable et mod le c est une politique de forma tion et de recherche d excellence c est un souci de l accompagnement des tudiants depuis leur arriv e jusqu leur insertion professionnelle C est aussi l image de l Universit il est clair que si par exemple certaines de nos quipes dans quelque universit du site que ce soit ont des distinctions nationales ou internationales cela ne peut que rejaillir positivement sur l ensemble du site et sur l attrait qu aura le site pour les tudiants Nous devons mutualiser nos succ s et nos r ussites Propos recueillis par Philippe GAZEILLES Pour en savoir plus secretaire general univ bordeaux fr Objectif tablissement n 34 9 Modernisation Sup rieur PRES QUELQUES REP RE
27. Edmond Doucet Equeur dreville En outre le lyc e Gustave Eiffel est le Centre de Diffusion et d Assistance Synergie au plan national assurant ainsi la promo tion de la d marche Synergie et Acad mie des Pays de la Loire H tellerie Restauration C Acad mie des Pays de la Loire Maintenance X X RPMI et acad mies de Nancy Metz et de Strasbourg Togsiqe x Acad mie de Caen Objectif tablissement n 34 D velopp avec la CRAM et les organisations professionnelles par apportant conseil et assistance aux acad mies souhaitant d ve lopper un projet Synergie Aujourd hui 20 acad mies sur 30 mettent en uvre au moins une action Synergie Ces outils de pr vention des risques mis en uvre dans la p riode de forma tion en entreprise sont ainsi mieux int gr s une pratique quotidienne Pour en savoir plus jean louis chauvineau ac strasbourg fr 17 Net et pr cis Mettez un chat dans votre PC Visitant un jour une exposition sur la m canique quantique je fus intrigu par des miaule ments venus d un niveau sup rieur un chat tait il bloqu sur le toit L histoire est plus cruelle Soit un chat enferm dans une bo te avec une fiole de poison un marteau plac au dessus de la fiole est reli un m canisme actionn par la d sint gration d un atome d un corps radioactif A l issue de l exp rience le chat sera t il empoisonn ou non Les deux tant qu
28. Les profesionnels partici pant aux groupes de travail sont experts comptables pro fessionnels du chiffre du sec teur priv repr sentants de la comptabilit publique responsables financiers des collectivit s locales universi taires et tudiants profession nels des droits de l conomie et de l entreprise etc L Acad mie compte ce jour plus de quarante groupes de travail r unissant chacun une vingtaine de participants en moyenne Les membres des groupes de travail sont ainsi des professionnels du chiffre exer ant en entreprise direc teurs financiers contr leurs de gestion auditeurs internes etc dans la fonction publique comptables finan ciers tr soreriers et gestion naires et dans le monde uni versitaire mais sont galement des managers de transition dirigeant de PME DRH juristes magistrats avocats etc Les travaux et r flexions men s dans ces groupes font l objet de publications les cahiers de l Acad mie qui per mettent de faire valoir le point Vu ailleurs Sup rieur comptabilit l audit et la finance de vue francophone et euro p en gr ce une diffusion r guli re aux institutions professionnelles et techniques internationales Jusqu aujourd hui l Aca d mie a publi 17 cahiers por tant sur des sujets d int r ts tr s diversifi s dont en voici quelques illustrations Cahier n 8 Le manage ment de transition un nouvel outil manag rial
29. S MEMBRES FONDATEURS o Universit Bordeaux 1 Sciences Technologies o Universit Victor Segalen Bordeaux 2 o Universit Michel de Montaigne Bordeaux 3 o Universit Montesquieu Bordeaux IV o IPB Institut polytechnique de Bordeaux o ENTTA de Bordeaux o Sciences Po Bordeaux UN INSTITUT RATTACH o ISVV Institut des sciences de la vigne et du vin HUIT MEMBRES ASSOCI S o UPPA Universit de Pau et des pays de l Adour o CROUS de Bordeaux Aquitaine o CHU de Bordeaux o Institut Bergoni o ensapBx cole nationale sup rieure d architecture et de paysage de Bordeaux o BEM Bordeaux Management School o ESTIA Ecole sup rieure des technologies industrielles avanc es o ENSAM Bordeaux Talence REP RES o 1 fondation Fondation Bordeaux Universit o 10 de la population de la Communaut urbaine de Bordeaux o 110 unit s de recherche dont 70 mixtes o 250 conventions de coop ration internationale o 260 hectares de campus o 700 th ses soutenues par an o 3 000 doctorants o 3 100 enseignants chercheurs et chercheurs o 7 500 tudiants trangers o 61 000 tudiants o 279 000 m d installations sportives o 550 000 m de surfaces b ties o 18 000 000 de chiffre d affaires en contrats industriels o 475 000 000 de dotation de l Etat au projet Op ration campus de Bordeaux o 1 100 000 000 d investissement pour l immobilier du site bordelais Campus CPER R gion Aquitaine Logement restaurati
30. acheteur s interroge sur la possibilit d int grer dans son march des exigences de d veloppe ment durable Les clauses d insertion sociale entrent dans le champ de ces exigen ces Depuis 2009 le service des achats de l Etat SAE joue un r le d impulsion en la mati re pour les services ache teurs de l Etat la mission des achats du minist re de l du cation nationale vient de conclure un partenariat avec la maison de l emploi de Paris Des objectifs ambitieux pour l Etat Un groupe de travail sociale ment responsable a t mis en place en octobre 2009 au SA auquel participe la mis sion des achats L enjeu est de taille en application du Grenelle de l insertion 10 des achats courants de l Etat devront r sulter en 2012 de clauses sociales dans les sec teurs comportant au moins 50 de main d uvre Une insertion pr voir d s l expression du besoin Les acheteurs prennent en compte la dimension sociale d s l laboration du document de consultation des entreprises DCE Diff rents outils exis tent dans le code la disposi tion de l acheteur public voir les articles 14 15 30 et 53 du CMP L acheteur doit d a bord s assurer qu une r ponse 12 potentielle son besoin existe en l occurrence que la clause sociale pourra tre ex cut e par l entreprise attributaire laquelle s appuiera sur une structure d insertion par l acti vit conomique SIAE en capacit de cont
31. algorithme de Grover dans un circuit quantique C est en effet dans ces deux domaines que l on attend beaucoup d une machine quantique factorisation des grands nombres pour le pre mier technique exploit e en cryptographie augmentation e la vitesse de traitement des bases de donn es pour le second qui a conduit Google travailler en partenariat avec un fabriquant de processeurs quantiques En fait les ordinateurs de demain seraient des machines hybrides associant informa tion classique et quantique En attendant laissons les chats tranquilles Pour en savaoir plus patrice baumann education gouv fr 13 GRH Le bilan social 2009 des personnels de direction Pour la troisi me ann e cons cutive le bilan social du corps des personnels de direction a t publi par la direction de l encadrement mis en ligne sur le site du minist re de l ducation nationale il est un instrument essentiel pour une meilleure gestion et une aide pour la mise en place d un vivier de comp tences L direction de l enca drement s est enga g e dans une politique de professionnalisation de sa gestion des ressour ces humaines Bilan social 2009 eiae me pores a esm o nem eue an le meme Le premier objectif recherch est une gestion personnalis e des cadres sup rieurs par la consti tution d un vivier de recrutement permettant une meilleure ad quation des profils des personnels aux postes qui leur sont pro
32. ats Bien entendu tre la fois mort et vivant est inconce vable dans notre monde sensible il s a git d un tat quantique que l observation fait dispara tre C est ce qu on appelle la d co h rence obstacle majeur l u tilisation l chelle humaine des propri t s quantiques Deux c urs qui ont interagi dans le pass ne peuvent plus tre consid r s de la m me mani re que s ils ne s taient jamais rencontr s Marqu s jamais par leur rencontre ils forment un tout ins parable Telle est la d finition roman tique de l intrication deux particules qui ont t soumises une interaction restent inter d pendantes corr l es m me s par es par de grandes distan ces On pourrait supposer que tout est corr l puisqu l ori gine l univers ne formait Net et pr cis l ordinateur quantique qu un et que seule l existence d un espace temps nous don nerait l illusion de la s para tion Le physicien fran ais Alain Aspect a con firm par une exp rience r alis e en 1982 l universit d Orsay ce ph nom ne pr dit dans les ann es 1930 par Einstein et Schr dinger et que l on nomme galement f l porta tion Google entonne le quantique Les ordinateurs utilisent d j certains effets quantiques crans LCD composants lectroniques imprimantes laser Mais ce qui est en cause ici c est le c ur de la machine le processeur Bien que sa puissance augmente r g
33. aupr s de la recette g n rale des finan ces selon le mod le obligatoi re de la paie fa on Une politique E EA facilit e D embl e l UPMC a souhait mettre en avant une politique sociale plus proche des personnels et tendue l ensemble des agents Une autre priorit a t la mise niveau des r gimes indemni taires et des primes afin de valoriser les attentes de l institution tant l gard des enseignants chercheurs que des personnels d appui Le repyramidage des emplois a t acc l r afin d am liorer les perspectives de carri re des agents et mieux recruter Un plan de formation pluriannuel a t labor et ses moyens renforc s Des discussions sont en cours visant l labo ration d une politique respon sable l gard des personnels contractuels limitant notam ment le recours aux CDD Ces diff rentes priorit s d finies avec le projet d ta blissement n ont pas t g n r es par la loi mais leur mise en uvre rapide est grandement facilit e Pour aller plus loin sur le long chemin de l autonomie En parall le le minist re a d fini et mis en place une nouvelle politique de r parti tion des cr dits SYMPA Objectif tablissement n 34 Fille de la LOLE cette poli tique en suit la logique globaliser les cr dits les r par tir en fonction de l activit et de la performance assurer une transparence dans l allocation des ressources Une fois sta
34. bi lis e cette politique devrait autant que les RCE favoriser les comportements vertueux Enfin et l UPMC qui est notamment install e sur le campus JUSSIEU en est aussi convaincue que la Cour des comptes dans son dernier rapport public l autonomie des universit s ne sera effec tive qu avec la ma trise de la gestion immobili re qui en est le biotope indispensable Finalement loin de g n rer des d rogations aux principes du service public les RCE commencent appara tre comme un instrument de gestion longtemps attendu et tr s utile permettant de mieux mobiliser les quipes autour du projet d tablisse ment et de ses missions L enjeu principal est aujour d hui pluriannuel l autono mie des tablissements ne sera effective qu avec une politique d allocation des ressources moyen terme laissant aux ta blissements la plus grande libert et la plus grande responsabilit dans les choix de gestion Cette politique et ses effets pourront tre valu s a posteriori dans le cadre du contrat d tablissement tous les 4 ou 5 ans Pour en savoir plus claude ronceray upmc fr 11 Commande publique EPLE Ins rons des clauses d insertion L acc s l emploi des personnes en situation d exclusion est un v ritable enjeu de soci t humain conomique et social Les march s publics peuvent contribuer leur insertion onform ment l article 5 du code des march s publics CMP l
35. d ailleurs maintenu dans le souci constant de l expurger des documents obsol tes et de le tenir jour quotidiennement au fil de l actualit Le site permet ainsi de disposer d informations fiables et actuelles Un acc s simple et efficace Un nouveau mode de classement des textes a t adopt reprenant l architecture des codes de l duca tion et de la recherche Plusieurs rubriques compl mentaires permettent de prendre en compte les normes qui d passent le champ de ces deux codes Ces rubriques ont vocation tre enrichies au cours des mois venir Le mode de recherche simple et le mode de recherche avanc e offrent la possibilit d acc der aux docu ments en recherche plein texte Les r sultats des recherches sont pr sent s dans le respect de la hi rarchie des normes Adress RLR propose en outre d autres services l acc s la Lettre d information juridique LIJ et la revue Objectif tablissement une documentation manant des directions d administration centrale guides m mentos listes pratiques etc une rubrique ue pr sentant les ministres en exercice depuis M de Fontanes en 1808 jusqu nos jours ainsi qu une s lection des grands textes fondateurs de l ducation nationale des archives dans lesquelles sont vers s les textes qui ont cess de produire leurs effets Un site participatif Le suivi et la gestion du site tout comme la mise jour quotidienne des textes qu il contient sont o
36. d exp riences La production technique permet la fois de clarifier les concepts et gale ment d apporter des solutions pratiques comme des guides et des outils Afin de remplir sa mission l Acad mie rassemble les talents et comp tences des professionnels de la comptabi lit de l audit de la gestion et de la finance et cherche lar gir le champ d exp rimenta tion et les th mes de r flexion pour renforcer l excellence de la fili re et son rayonnement l international seconde mis sion importante pour l Acad mie L change d exp riences ainsi que la communi cation g n r s par l Acad mie procurent une plus grande lisi bilit et attractivit de la fili re du chiffre qu il s agisse du secteur public ou du secteur priv Une organisation et un fonc tionnement ouverts aux pro fessionnels des finances publiques Afin de r pondre ses objectifs le fonctionnement de l Acad mie est fond sur des groupes de travail et l organisation d v nements r currents comme des petits d jeuners et des conf rences th matiques Objectif tablissement n 34 Les groupes de travail abor dent des sujets vari s portant sur l actualit ou la prospec tive Ces groupes constituent de v ritables points de rencontre permettant aux professionnels d changer sur des probl matiques commu nes d anticiper les volutions de leurs missions et de se f d rer sur des th mes transver saux
37. de divers groupes de travail les concepts de la LOLF mais aussi les dispositions conte nues dans la loi n 2004 809 du 13 ao t 2004 relative aux libert s et responsabilit s loca les une note de cadrage de ce projet a t arr t e lors du comit de pilotage de mars 2008 Depuis un groupe de travail compos de repr sentants du minist re de l ducation nationale des rec torats de la DGFIP des col lectivit s territoriales et sur tout d EPLE a r dig les projets de textes r glemen taires et le cahier des charges pour la refonte de l applica tion informatique GFC L ensemble du projet a re u l aval du cabinet du ministre le 12 f vrier 2010 Un souci de simplification La r forme du cadre budg taire et comptable des EPLE se caract rise par la volont de laisser le maximum d autono mie possible dans l utilisation des moyens allou s d s lors que ceux ci sont employ s au mieux pour atteindre les objectifs propres et ou fix s en concertation avec l autorit acad mique et les collectivit s territoriales notamment dans le cadre de la contractua lisation La r forme du cadre budg tai re r pond trois objectifs principaux simplicit lisibili t souplesse marqu s par un budget retra ant les missions principales d un EPLE que sont la p dagogie et les actions en faveur des l ves ainsi que les charges assurant le fonc tionnement g n ral Elle doit galement permettre
38. dispositif souvent lourd et compliqu dont le fondement repose sur l laboration en amont d un projet personnalis de scolari sation PPS Les Cahiers de l ducation Mars 2010 Bilan jurisprudentiel de l ann e 2009 Une r trospective claire et d taill e de l actualit juridique concernant les EPLE tablie partir de la Lettre d informa tion juridique publi e par la DAJ du minist re de l ducation nationale Intendance n 104 CONTRATS MARCHES PUBLICS Information des candidats non retenus ce qui a chang En cas de proc dures formalis es le principe de la motivation est r affirm les candidats non retenus doivent tre imm dia tement inform s du rejet de leur proposition par le pouvoir adjudicateur Par ailleurs les motifs de rejet doivent tre d taill s d s la notification Dans le cadre d un MAPA le pou voir adjudicateur peut choisir de ne pas informer les candidats vinc s sauf si ceux ci le demandent express ment Dans ce cas les motifs de rejets n ont plus tre d taill s Le Moniteur 28 mars 2010 Objectif tablissement n 34 Revue CERTES Les documents communicables Le code des march s publics pr voit l article 83 que les pou voirs adjudicateurs ont l obligation de r pondre sous quinze jours aux demandes des candidats qui souhaitent conna tre les raisons pour lesquelles leur candidature ou leur offre a t rejet e Selon la CADA les contrats et march s une
39. e la bo te n est pas ouverte c est ainsi qu tait pr sent e l exp rience imagin e par Schr dinger pour illustrer une propri t de la mati re quantique appel e superposition d tats qui va tre exploit e dans la conception de l ordinateur quantique La physique quantique c est pas classique C est sans conviction que le 14 d cembre 1900 Max Planck pr sentait devant la Soci t de physique de Berlin une communication Sur la th orie de la loi de la distribu tion de l nergie dans le spectre normal sa d couverte la dis continuit de l nergie mise par la mati re bouleversait tel lement la physique classique qu il douta de son bien fond Contrairement ce qu on croyait jusque l l nergie d un corps rayonnerait non pas de fa on continue mais granulai re par paquets appel s quanta le photon est un quantum d nergie la plus petite quantit possible de lumi re ou d on de particule lectromagn tique Cette hypoth se sera confirm e et fondera ce qui deviendra en 1927 apr s les r ponses du physicien danois Niels Bohr aux objections d Einstein la validit de la th orie la m canique quan tique Elle r git le monde de l infini ment petit et son unification avec la relativit g n rale qui gouverne l infiniment grand fournirait une explication glo bale de l univers une th orie quantique de la gravitation 18 Tous ses postulats ont t v
40. e presse 29 Dernier mot 32 Objectif tablissement n 34 Initiatives Sup rieur La strat gie immobili re des CROUS Le r seau des uvres universitaires g re un patrimoine immobilier de pr s de 4 millions de m2 Comme la plupart des op rateurs de l Etat le CNOUS et les CROUS s engagent dans une d marche d optimisation de ce patrimoine ans le cadre de sa mission d aide sociale aux quelques 2 200 000 tudiants le r seau des uvres universi taires g re pour le compte de l Etat un patrimoine immobi lier consid rable estim 4 millions de m comprenant plus de 159 000 logements G10 restaurants universitaires caf t rias et brasseries des salles de spectacles et d exposi tion sans oublier les bureaux La majorit de ces locaux appartient essentiel lement l Etat mais pas seulement Depuis les ann es 80 pour r pondre l explosion des demandes les CROUS s adressent diff rents ma tres d ouvrage comme les offices publics de l Habitat pour construire un grand nombre de r sidences Celles ci lou es par convention aux CROUS lesquels les sous louent aux tudiants reviennent en pro pri t aux centres r gionaux au terme du bail Les CROUS louent par ailleurs des loge ments aux HLM sans droits r els Enfin la loi du 13 ao t 2004 a galement permis aux communaut s de communes de demander la propri t des r sidences appartenant l Etat Pour l instant seule celle de
41. e profes sionnel 60 des postes de principal de coll ge sont pourvus par des adjoints La mutation cons titue en cela un r el instrument de promotion Parmi les 692 adjoints promus chefs d tablis sement 29 sont affect s dans des coll ges du r seau ambition r ussite dont 9 dans un coll ge de 4 me cat gorie gt Le d tachement en France et l tranger 352 personnels de direction sont plac s en posi tion de d tachement en 2009 Les organismes d accueil sont diversifi s L AEFE est celui qui en accueille le plus grand nombre soit 218 Le d tachement permet aussi une r orientation professionnelle en acc dant des postes de responsabilit dans d autres domaines profes sionnels tels que pr sident du conseil territorial d une collectivit directeur g n ral adjoint des services d une r gion par exemple Les promotions sont un moyen de rendre les carri res attractives Le tableau d volution des promotions indique une relative stabilit du nombre des promotions la premi re classe sur les quatre derni res ann es tandis que le nombre de promotions la hors classe est en forte augmentation 45 66 D t re classe E hors classe La professionnalisation et la valorisation de la formation L ESEN est ma tre d uvre de la formation et en assure la coh rence au niveau national Pour l ann e 2008 2009 2 462 personnels de direction stagiaires ont t accueillis dans le cadre de la for
42. eau chaude L objectif est de favoriser l mergence d une offre com p titive d s 2015 et de r aliser dans ce domaine de substantielles conomies La Gazette 22 f vrier 2010 5 points pour durable Agir en faveur d une alimentation dura ble se d cline en 5 points essentiels acheter des produits locaux de saison sous conditionnement recyclable issus d une agriculture respectueuse de l envi ronnement et de moindre co t la pro duction La cuisine collective n 230 Avril 2010 En direct de nos tablissements et si nous compostions Les d chets alimentaires repr sentent glo balement la moiti des d chets produits au sein des EPLE Dans ce contexte le compostage pourrait tre une solution s incrivant dans un projet de d veloppement durable et de protection de l environnement Une exp rience en ce sens a t tent e par le coll ge Saint Exup ry M con que cet article se propose de vous faire partager Intendance n 104 bilan du une alimentation HYGIENE ET SECURITE Ma triser les contaminations crois es Les contaminations crois es r sultent du croisement de diff rents g nes d plac s d une surface une autre lors de diverses manipulations Afin de pr venir au maxi mum leur apparition il convient d appli quer la m thode des 5 M main d uv re mat riel milieux m thodes et mati res Collectivit s express n 233 Mars 2010 30 Techniques de la liaison fr
43. en oeuvre pour ma triser l activit et permettre une assurance raisonnable sur la r alisation des objectifs de la structure Le mana gement tant l ensemble des m thodes d organi sation efficace d finition et partage des responsa bilit s et de gestion rationnelle en fonction d objectifs fix s d une organisation la relation entre CIC et management semble naturelle Le contr le interne comptable l ment de pilotage Le CIC en EPLE est un processus cyclique qui associe troitement l ensemble des personnels concern s dans un travail initial de diagnostic Celui ci commence par l analyse de l organigram me fonctionnel l outil ODICE permettant d identifier les ventuelles lacunes dans la r parti tion et la s paration des t ches l ment essentiel pour la mise en place de contr les mutuels L agent comptable am liore ainsi l organisation de son service avec sinon l accord de ses collabo rateurs du moins la compr hension des objectifs vis s De m me la r alisation collective de la car tographie des risques permet chacun de com prendre les enjeux d assimiler les changements ou am liorations mettre en place et l int r t de formaliser l existant A l issue du diagnostic l agent comptable propo se un plan d actions correctives apr s avoir hi rarchis les risques identifi s Ce plan d action peut tre propos comme projet de service aux agents solution retenue dans certains tablisse me
44. es stocks r gie etc De plus la m thodologie de travail doit tre partag e par tous afin de garantir l efficacit et la Rabilit du processus budg taire et comptable Le contr le interne comptable permet ainsi une normalisation des proc dures apr s un diagnostic et un plan d ac tion partag s entre l agence comptable et les tablissements rattach s Le CIC permet en outre de clarifier les relations et le positionnement respectif de l agent comp table des ordonnateurs et des gestionnaires Au sein m me des tablissements rattach s la for malisation de certaines proc dures permet de renforcer le pilotage budg taire et comptable en affirmant le r le non seulement du gestionnaire et de l ordonnateur mais aussi de tout person nel intervenant dans la cha ne budg taire enseignants magasinier chef de travaux la mise en place d un organigramme fonctionnel n tant pas l apanage de l tablissement support de l agence comptable Pour en savoir plus fabien thorel ac orleans tours fr 28 Objectif tablissement n 34 Revue LEA ICRI Les articles concernant les r ponses minist rielles aux questions crites figurent sous le sigle RM TABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT Quel avenir pour le gestionnaire d EPLE Depuis les grandes lois de d centralisation et notamment celle du 13 ao t 2004 le gestionnaire est devenu un interlocuteur privil gi de la collectivit territoriale de rattachement
45. fois sign s sont consid r s comme des documents communicables condition de respecter le secret en mati re industrielle et commerciale La Gazette 22 mars 2010 Avis d attribution de nouveaux enjeux contentieux Les avis d attribution sont destin s assurer la publicit a pos teriori des march s publics Il existe deux sortes d avis d attribution les avis d attribution vis s l article 85 modifi du code des march s publics obli gatoires en cas de proc dures formalis es et les avis facultatifs qui permettent notamment la r duction des d lais de recours du r f r contractuel et dans le cas des MAPA la fermeture de ce r f r en cumulant publication d avis d intention de con clure au JOUE et respect d un d lai de suspension minimal dit de stand still Le Moniteur 23 avril 2010 D mat rialisation des march s publics les nouveaut s Depuis le ler janvier 2010 la voie lectronique s impose en mati re de commande publique dans un nombre croissant de cas notamment en application de l article 56 II du CMP ou lorsqu il s agit de march s de fournitures ou de services infor matiques sup rieurs 90 000 HT Collectivit s express n 234 Avril 2010 NOUVELLES TECHNOLOGIES Label Tice labellisation TIS des tablissements Depuis 2008 l Acad mie de Versailles a mis en place le projet Label Tice dans le cadre d une application favorisant la valo risation des actions Tice Pour acc der
46. il facilitant et s curisant les op rations Initi par l acad mie de Lille Ce projet national associe 7 aca d mies Cr teil Grenoble Lille Lyon Poitiers Reims Rennes Des groupes de travail r unis sant des services acad miques des personnels de direction et de gestion des EPLE la DGES CO la DAF la DAJ le SAAM et le STSI ont dessin les contours de ce futur outil Des enjeux organisationnels et un choix co responsable La future application vise all ger la charge administra tive des EPLE tout en s curi sant leurs d cisions gr ce une banque nationale de mod les d actes r guli rement mis jour Pour les services acad miques la plus value sera un meilleur respect des d lais r glementai res et un contr le plus effi cient et s curis Le gain de temps d gag pour ra tre consacr des activit s plus forte valeur ajout e analyse de la situation finan ci re des EPLE renforcement du conseil aux quipes de direction dans leur mission de pilotage et de l animation p dagogique Les chefs d EPLE consult s ont insist sur deux points essentiels travailler l ergono mie et viter la multiplication des canaux Dans cet objectif D m Act sera interfac e avec les outils des pr fectures et des collectivit s territoriales volontaires En r duisant les masses et les flux de papiers D m Act est en ad quation avec le projet Administration Exemplaire
47. ilement sur le choix des solutions adopter Intendance n 104 DRH MANAGEMENT STATUT CARRIERES L art de r primander ne bon escient consiste faire des remarques concernant le travail d un collaborateur sans mettre de juge ment sur sa personne Il s agit d un change qui ne souffre pas l improvisation Il ne doit jamais avoir lieu en public doit s appuyer sur des faits concrets proposer des solutions et ne pas rester dans un cadre strictement critique La Gazette 15 f vrier 2010 Objectif tablissement n 34 Vous pouvez vous procurer le texte des articles qui vous int ressent en prenant contact avec Serge Aguil ra Centre de documentation T l 01 55 55 34 68 Fax 01 55 55 18 63 serge aguilera education gouv fr http idaf pleiade education fr rubrique EPLE Kiosque nom d utilisateur ven mot de passe zen G rer durablement les ressources humai nes Apporter une solution la souffrance au travail favoriser le bien tre des agents former et accompagner les cadres tels sont les principaux enjeux du manage ment durable La Gazette 15 mars 2010 Les ing rables une fatalit S interroger sur ceux que l on qualifie d ing rables peut conduire le manager ou la hi rarchie se remettre en question Cela peut permettre d viter de fabri quer des ing rables et rem dier au probl me lorsqu il existe d j La lettre du cadre territorial n 396 1 mars
48. ionnel a pour cons quence de red finir ou pr ciser les fiches de postes en collaboration avec chaque personnel Cela permet une remise plat de la r daction de ces fiches de postes en mettant en avant le lien entre comp tences de la personne et besoins identifi s du ser vice C est la base d une valuation sinc re des personnels puisque chacun se sera entendu sur les t ches qui lui incombe et sur les attentes de l agent comptable chef de service La derni re tape de la d marche est la mise en oeuvre du plan d action valid par l agent comp table et pr sent aux agents L agent comptable doit d signer dans ce document les responsables des actions retenues Les agents sont ainsi force de propositions sur la mise en place des nou Objectif tablissement n 34 27 CIC velles proc dures ou l am lioration des anciennes Souvent les principales mesures correctives consistent formaliser les proc dures existantes formalisation diffus e aupr s de l ensemble des acteurs afin que ces proc dures soient int gr es et partag es Cette formalisation passe par la r dac tion de fiches de proc dures valid es par l agent comptable Il est vident que des fiches de proc dures crites par le chef de service et transmises comme autant de notes de service seront moins efficaces que des fiches r dig es par les personnes en charge des t ches concern es A chacun de s approprier la r daction de ces fiches en ad q
49. ions Accounting Horizons vol 8 n 3 September p 83 105 5 IGAENR 2009 La modernisation de la gestion publique un levier pour l autonomie des universit s Rapport n 2009 062 de la mis sion Aghion Mme Val rie Pe cresse Ministre de l enseignement sup rieur et de recherche avril 6 COSO COMMITTEE 1992 Coso Internal Control Integrated Framework AICPA Objectif tablissement n 34 25 CIC Sup rieur ment financier on est effectivement pass diff rentes cat gories de risques politique juridique social environnemental image etc Chacun des acteurs de la phase d identification doit pr ciser sa cotation Cette cotation du risque en gravit et en probabilit rev t n cessairement un l ment d appr ciation subjectif La m thodologie retenue doit donc s attacher l objectiver autant que pos sible L objectivation de la gravit et de la probabilit suppose de croiser les regards de chacun Un acteur peut consid rer que tel risque n est pas tr s grave mais son sup rieur ou un acteur d un autre service peut en juger diff remment Les ateliers d identification doivent donc s tendre une fonction de partage des points de vue sur la cota tion Enfin il importe de rappeler le r le de la gouvernance de l universit dans cette valuation car en derni re instance c est elle qui sera responsable de l atteinte ou non des objectifs La direction g n rale peut ainsi tre
50. iversit de Bordeaux Il faut citer le succ s de la candidature de l Universit l Op ration campus et sa mise en uvre avec l appui bien entendu de l Etat mais aussi de la R gion Aquitaine et des autres collectivit s Une autre r ussite est la Fondation Bordeaux Universit fondation universitaire cr e par le PRES Universit de Bordeaux et pr sid e par Jean Ren Fourtou Je peux encore citer la cr ation d un service unique de valorisation de la recherche Aquitaine Valo L Universit de Bordeaux assure galement des responsabilit s en mati re de num rique avec l Universit num rique d Aquitaine des 8 Objectif tablissement n 34 Modernisation Sup rieur responsabilit s en mati re de relations internationales avec notamment un partenariat tr s original avec l Universit Laval Qu bec La candidature du PRES dans le cadre de l op ration Grand emprunt va de soi uel est l objectif de l Op ration campus Il s agit d un projet de r novation immobili re tr s profond des campus qui en ont un besoin urgent et en m me temps et intimement d un objectif de restructuration et de renouvellement profond des politiques de formation et de recherche sur un site Il s agit galement de mettre cette r novation immo bili re au service d une vision totalement renouvel e de la politique universitaire en mati re de vie de campus et de relations internationales L Op ration campus vue du c t de l U
51. la CRAM et l Education nationale se fonde sur une double volont s appuyer sur les situations r elles de l entreprise pour former les jeunes la pr vention des risques de leur m tier et accompagner les PME dans une d marche d a nalyse et de ma trise des risques qui a donn naissance aux outils Synergie Ainsi sont n s les outils Synergie Ils accompagnent la formation des l ves la pr vention des risques professionnels pour la compl ter par la prise en compte des contraintes r elles des entre prises en utilisant le stage en entreprise Il s agit de construire une d marche de formation action bas e sur la r alisation par les l ves en p riode de forma tion en entreprise d un diagnos tic sant s curit qui reste bien s r confidentiel Au cours de sa p riode en milieu professionnel le stagiaire en concertation troite avec son 16 ma tre de stage ou d apprentis sage fait un travail d observation et d analyse des risques inh rents une activit un poste de travail une zone un atelier complet ou un chantier en s appuyant sur une d marche m thodologique et des outils qui lui ont t pr alablement pr sent s et expli cit s par son professeur Les outils qu il utilise sont labor s et valid s par l tablissement de formation enseignement tech nologique et professionnel l entreprise les organisations professionnelles repr sentatives de la fili re concern e
52. la dur e Il faut en effet amener les gestionnaires prendre conscience des risques li s aux t ches qu ils accomplissent et les g rer Tous ont un r le jouer dans le contr le interne L valuation un outil de pilotage du contr le interne L innovation et la recherche de la qualit dans la gestion resteraient vaines si elles n taient accompagn es d une valuation r guli re La prochaine tape importante dans la construction d un dispositif de contr le interne com plet sera la mise en place d un comit d audit interne compl ment indispensable l activit plus ponctuelle du certificateur externe Cour des Comptes pour les services de l Etat Peu de minist res en dehors de la d fense ont d j franchi cette tape Plusieurs ann es seront n cessai res pour parvenir la constitution d un comit susceptible d expertiser selon des normes encore peu usi t es dans la sph re publique l effectivit et l efficience de notre contr le interne Certes le syst me d information financi re n est pas encore totalement stabilis mais pour passer d une ges tion de la qualit encore informelle et artisanale une gestion plus professionnalis e et conforme aux standards et exigences du moment le plus difficile n est il pas de commencer Objectif tablissement n 34 23 CIC Sup rieur Une cartographie des risques dans L Etat aspire une plus grande attractivit et comp titivit de ses tablis
53. le risque en connaissance de cause Bibliographie BARADAT C CARASSUS D DUPUY E 2010 L volution des outils et modes de pilo tage des organisations dans un contexte en muta tion le cas des universit s fran aises 2 me Congr s Transatlantique de comptabilit contr le audit et gestion des co ts dans la globalisation et la ns one Lyon 14 16 juin Pour en savoir plus Simon LARGER Directeur Financier Universit d Evry Val d Essonne Enseignant Master 2 Gestion financi re des Collectivit s Locales Mail Universit de Cergy Pontoisesimon larger univ evry fr David CARASSUS Enseignant chercheur directeur de recherche Universit de Pau et des Pays de l Adour Vice pr sident d l gu charg du budget et des moyens Mail david carassus univ pau fr 7 Cour de Cassation chambre criminelle 17 d cembre 2008 Gilles X 26 Objectif tablissement n 34 CIC EPLE Le CIC outil de management en EPLE Le CIC peut tre un v ritable outil de pilotage strat gique en EPLE il recouvre en effet une dimension la fois financi re en permettant de ma triser des risques financiers et comptables manag riale en favorisant un management par objectifs Les enjeux du CIC en EPLE La d marche du contr le interne comptable CIC en EPLE a pour but de ma triser les risques financiers et comptables c est dire l ensemble des dispositifs organis s formalis s et permanents d finis et mis
54. limite Plus particuli rement au regard de l impor tance qu elle attache au mana gement public et la comptabilit publique l Acad mie est tr s attentive toute proposition pouvant aboutir la constitution d un groupe de travail Toutes ces actions publica tions et v nements y com pris les vid os des conf rences sont consultables sur son site internet http www lacademie info et son blog http blog aca demie info le blog de lacade mie qui proposent gale ment un bulletin d adh sion gratuite en t l chargement Pour en savoir plus wnahum lacademie info mcpicard lacademie info 15 Page seize Accidents du travail et pr vention des risques Au sein des entreprises les 18 25 ans connaissent 2 5 fois plus d accidents de travail que le reste de la population active et pr s de 14 des accidents du travail graves et mortels surviennent dans les 3 premiers mois en entreprise Une convention r gionale associant l ensemble des acteurs Dans l acad mie de Strasbourg l enseignement en sant et s cu rit au travail s inscrit dans le cadre d une convention r gionale associant le rectorat la CRAM Alsace Moselle l Institut natio nal de recherche et de s curit pour la pr vention des accidents du travail et des maladies profes sionnelles l IUFM et le Conseil r gional d Alsace pour l appren tissage En Alsace le partenariat qui s est nou entre les pr venteurs de
55. n cessit pour les universit s d un m me site de se rapprocher et d velopper une politique commune est clairement apparue Cette n cessit a t renforc e par l intervention du l gislateur qui avec la loi sur le recherche de 2006 a permis la cr ation des PRES sous leur figure juridique actuelle notamment d EPCS comme le PRES Universit de Bordeaux Oo sont les missions des PRES Elles sont assez vari es Il y a notamment la coordination des politiques en mati re de recherche de formation de relations internationales Le l gislateur de 2006 a donn aux PRES un certain nombre de missions minimales si je puis dire et qu il revient chacun d entre eux en accord avec les tablissements membre d aller plus loin Il y a une typologie au niveau de la politique suivant que les PRES se pr sentent comme des instruments pr fusionnels ou comme des instruments annon ant des configurations originales qui ne passent pas n cessairement par une fusion pure et simple Q est le positionnement de l Universit de Bordeaux par rapport aux autres PRES C est un de ceux qui sont les plus d velopp s et les plus avanc s que ce soit dans ses objectifs ou dans ses moyens notamment humains Cela signifie que l Universit de Bordeaux a d j en elle m me une r alit tr s forte et c est d j une structure m me de peser fortement en faveur d une politique de site E ge sont les actions marquantes de l Un
56. n et synth tise les diff rentes r gles de l ex cu tion de la recette et de la d pense L instruction int gre les r gles de l amortissement du patrimoine et des sp cifi cit s propres aux EPLE telles que la gestion des voyages sco laires et celle des objets confectionn s Apr s avoir revu les r gles de l quilibre budg taire au travers notam ment de la notion de capacit d autofinancement elle limite les op rations budg taires aux recettes et aux d penses de fonctionnement et la consta tation des immobilisations et de leur financement Le tome 2 cadre comptable reprend les grands principes du plan comptable g n ral en les adaptant aux sp cificit s des EPLE Ainsi certaines pratiques comptables propres aux EPLE sont abandonn es au profit des principes g n raux d finis dans le PCG comme par exemple les stocks qui sont exclus du calcul du fonds de roulement Par ailleurs l introduction en comptabilit budg taire des domaines et des activit s permettra de supprimer certaines subdivisions du plan comptable des EPLE Le tome 3 consacr au compte financier pr cise son contenu et au travers de ses pi ces permet le calcul de quelques indicateurs finan ciers destin s rendre compte de la sant financi re de l ta blissement et de son volution dans le temps Il d finit aussi le compte rendu de gestion Une mise en uvre dans un outil fiable port par une formation adapt e
57. n outil de gestion servant fournir une assurance raisonnable que les objec 8 2 tifs de gestion sont r alis s Directive pour l laboration des normes de contr le interne INTOSAI Le contr le interne contribue garantir raisonnablement que l organisme remplit les conditions suivantes respecter les lois r glementations et instructions de la direction encourager les op rations ordonn es conomiques eficientes et efficaces et atteindre les r sultats projet s pr server les ressources de la fraude du gaspillage des abus et de la mauvaise gestion fournir des produits et des services de qualit correspondant la mission de l organisme laborer et conserver des informations financi res et de gestion fiables ainsi qu en faire tat fid lement par des rapports p riodiques Objectif tablissement n 34 CIC Services centraux et d concentr s Un outil de dialogue et de pilotage La fonction financi re et comptable en acad mies a profond ment volu avec l arriv e de CHORUS Les plates formes sont d sormais de v ritables centres de services qui doivent satisfaire aux besoins de services b n ficiaires dont les attentes sont fortes Le contr le interne a une fonction essentielle jouer pour r guler les relations entre ces acteurs La mission de l administration centrale Elle doit d finir le cadre fournir des outils cartogra phie des risques plans d actions type et fournir
58. ndant mieux aux crit res de d velop pement durable Collectivit s express n 234 Avril 2010 Gestion directe Lyc e Vaugelas Chamb ry Le lyc e Vaugelas Chamb ry accueille 1200 l ves sert de 500 600 repas par jour et dispose par ailleurs d une caf t ria L quipe de restauration propose 20 de produits bio mais cet objectif est difficile tenir financi rement car l ta blissement ne b n ficie d aucune subven tion cot du self traditionnel la caf t ria propose pizza sandwichs salades toutefois une r flexion a t entam e afin de faire voluer ces prestations et de pro poser br ve ch ance un choix de nouveaux produits plus di t tiques et r pondant mieux aux crit res de d velop pement durable Collectivit s express n 234 Avril 2010 La restauration scolaire un des axes du contrat d objectif d tablissement Le coll ge Pierre de Coubertin de Chevreuse 78 accueille 795 l ves dont 96 de demi pensionnaires Depuis son arriv e dans l tablissement en 2008 le chef cuisinier soutenu par le gestionnaire a men une v ritable croisade contre la mal bouffe Ensemble ils ont r ussi le pari de transformer la cantoche en v ri table restaurant scolaire Les cahiers de l ducation F vrier 2010 31 Dernier mot NOUVEAU SITE JURIDIQUE D ACC S AU DROIT DE LA RECHERCHE ET DES ENSEIGNEMENTS SCOLAIRE ET SUP RIEUR Origine et enjeux du projet
59. ne sur 2 niveaux de forma tion baccalaur at professionnel et BTS et dans 8 fili res Cf tableau ci apr s Par ailleurs pour r pondre une demande r currente la fois des enseignants et de plusieurs bran ches professionnelles la CRAM Alsace Moselle et l acad mie de Strasbourg ont construit un outil pour les l ves et les apprentis de niveau 5 il s agit cette fois d une approche trans sp cialit s avec un outil unique commun tous les CAP dont l exp rimentation a d but la rentr e 2009 Niveau Fili re m x x foeting BTP Construction X X Acad mie de Strasbourg pour Gros uvre et ma onnerie Plasturgie x Acad mies de Nancy Metz et de Strasbourg Somalie A Industries Graphiques X Acad mie de Strasbourg a Plusieurs lyc es notamment de l acad mie de Strasbourg offrent des services de centre de ressour ce national Fili re Bois lyc es Gustave Eiffel Cernay pour le Bac professionnel et Louis Couffignal Strasbourg pour le BTS Fili re BTP Construction lyc e Le Corbusier Ikirch pour le Bac professionnel et le BTS Gros uvre Fili re Structures M talliques lyc e Louis Marchal Molsheim Fili re Industries Graphiques lyc e Gutenberg Illkirch Fili re H tellerie Restauration lyc e professionnel Etienne Lenoir Chateau briand Fili re Automobile lyc e Le Mans Sud Le Mans Sud Fili re Logistique lyc e
60. nfin afin de r pondre des situations sp cifiques des services sp ciaux avec ou sans r serves pourront tre cr s lorsqu une activit parti culi re le n cessitera titre d exemple la restauration et l h bergement Si cette acti vit r alise des op rations en capital elle sera suivie dans un budget annexe qui diff rera du service comptabilit Modernisation EPLE distincte n tant pas int gr au budget principal et tant vot s par ment de celui ci Le projet de d cret prend en compte l augmentation des tailles des agences comptables et leur ventuelle constitution interd partementale Enfin il envisage la suppression de l tat pr visionnel de la com mande publique comme outil de d l gation du conseil d administration autorisant le chef d tablissement passer commande Une instruction codificatrice instrument unique de la ges tion financi re Fruit d un long et rigoureux travail de r daction et de synth se l instruction codifi catrice M9 6 d veloppe et explicite la partie du code de l ducation consacr e l orga nisation financi re des EPLE et fait converger le cadre comptable vers le plan comp table g n ral assumant ainsi sa filiation avec les M9 Le tome 1 consacr au cadre budg taire pr cise le r le des diff rents acteurs financiers d finit le domaine et l activit comme les l ments essentiels de gestion de la d pense par destinatio
61. niversit de Bordeaux est originale puisque nous avons pr sent le projet d une universit d un type nouveau avec notamment une e d j tr s approfondie sur une structuration par d partements biologie sant sciences humaines et sociales sciences et technologies par coll ges et par p les d excellence Nous avons r fl chi une universit que ne serait ni la somme des universit s et coles ni une universit fusionn e de fa on homog ne mais qui serait la recherche d une universit d un nouveau mod le qui au niveau Licence pr senterait une offre de formation harmonis e et permettant de tr s nombreuses passerelles et qui aux niveaux Master et Doctorat s appuierait sur des col l ges des laboratoires des p les d excellence eux m mes mis en r seau sur le site Il y a bien entendu un aspect d urbanisme de r novation profonde du campus et de r articulation de ce campus avec l ensemble et son environnement Il faut noter que la conduite de ces op rations est assur e par la Soci t de r alisation immobili re et d am nagement de l Universit de Bordeaux tout juste cr e Elle repose sur un montage juridique et financier innovant puisqu elle a la particularit d tre capital int gralement public en relation in house avec l Universit de Bordeaux avec la participation son capital de la Caisse des d p ts et consignations et prochainement du Conseil r gional d Aquitaine Q attractivit proposez
62. nt d j ins r des clauses de ce type mais cette insertion reste exceptionnelle il faudrait parvenir inverser la tendance en faisant de l insertion de la clause sociale le principe Pour ce faire cinq acad mies pilotes ont t d termin es dont une d outre mer chacune d elles devrait signer rapidement un partenariat avec un facilitateur local L objectif est que toutes les acad mies aient conclu fin 2010 un partenariat de ce type La mission des achats sera par ailleurs associ e l en semble de ce processus dans la mesure o les acad mies ach tent de plus en plus dans le cadre de march s nationaux Le t moignage d APF 34 titulaire d un lot du march national de consommables informatiques pour impression Le minist re a notifi en d cembre 2008 un march au titre de l article 15 du CMP article permettant de r server le march entier ou certains de ses lots aux entreprises adap t es EA aux tablissements ou services d aide par le travail Commande publique EPLE INtOugLIEZ PAS l LES qRANSES D INSERTION ESAT ou toute autre structure employant majori tairement des personnes han dicap es dans l objectif de leur insertion Jusqu pr sent l Association des Paralys s de France 34 titulaire du mar ch a donn toute la satisfac tion n cessaire L int gration de personnes handicap es motrices par le biais de la cr ation d emploi et la ee de nouvelles
63. nts Il sera d autant plus respect qu il r pon dra aux manques ou dysfonctionnements rep r s collectivement Il permet chacun au sein du ser vice d avoir un r f rentiel commun et un langage partag en proposant des objectifs et des indica teurs clairs et accept s par tous En d finitive il s agit de g rer au mieux les comp tences collecti ves l usage il s av re que la mise en place de cette d marche met en relief le d veloppement de trois principes d organisation la polyvalence des personnels quelque soit l importance de la structure la connaissance par chacun du travail du coll gue rendue n cessaire tant par le diagnostic collectif des processus budg taires et compta bles que par la mise en place de contr les mutuels l organisation de la continuit du service via la d signation ventuelle de suppl ants dans l or ganigramme fonctionnel et ou la mise en place de fiches de proc dures exploitables par tous Le CIC permet de renforcer l un des l ments importants du pilotage savoir la formalisation claire et comprise de tous tant de l organisation du service que des objectifs qu il s est fix de mani re collective Le CIC outil de gestion des ressources humaines La d marche du CIC permet de mettre en place un management par objectifs pr conis par ailleurs dans l valuation des personnels adminis tratifs Dans un premier temps la formalisation de l organigramme fonct
64. ocsocococoooocooooooo 4 Pr sentation Adress RLR eccoocococooocoocoocooococcocooocooccoocoooooocooocoooooo Directeur de la publication Fr d ric Guin Pr sidente du comit de r daction Fabienne Brouillonnet R dacteur en chef Philippe Gazeilles R dactrice en chef technique Claudine Forgerit Comit de r daction Pr presse Cindy Urgen Patrice Baumann Conception graphique Bernard Blanc Claudine Forgerit Julien Bovis Responsables de rubriques Catherine Chauffray Serge Aguil ra Patrice Baumann David Olivier Comte Illustration Serge Aguil ra V ronique Lernould Fran ois Perche Ghislaine Fritsch Freddy Manelphe Dominique Mozziconacci Christophe Saint Martin Fabien Thorel Membres fondateurs Michel Dellacasagrande Marie H l ne Granier Fauquert Jo Michel Dahan Agn s Sayag Objectif tablissement est une publication du Minist re de l ducation nationale et du Minist re de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Direction des affaires financi res Bureau de la r glementation comptable et du conseil aux EPLE 44 rue de Bellechasse 75007 Paris T l 01 55 55 37 60 T l copie 01 55 55 18 63 M l re eple dafa3 education gouvifr D p t l gal mars 1998 titre du document Objectif Etablissement la revue financi re de l ducation diteur Direction des affaires financi res Burea
65. oide Cette technique suppose le respect d tapes incontournables la r ception des mati res premi res leur stockage en r serve s che en chambres froides positives ou n gatives et le d con ditionnement juste avant les pr parations D une mani re g n rale les pr parations en liaison froide peuvent tre soumi ses deux sortes de traitements thermique ou non thermique La Cuisine collective n 228 F vrier 2010 Le nouvel arr t du 21 d cembre 2009 L arr t du 21 d cembre 2009 relatif aux r gles sanitaires appli cables aux activit s de commerce de d tail et d entreposage et de transport de produits d origine animale et denr es alimen taires en contenant est paru au journal officiel du 31 d cem bre 2009 Ce texte qui abroge les arr t s des 29 septembre 1997 et 9 mai 1995 apporte notamment des pr cisions sur la ma trise des temp ratures et le stockage des plats t moins dont la conservation en froid n gatif moins de 18 C est dor na vant interdite Collectivit s express N 234 Avril 2010 ACTUALITE ADMINISTRATIVE ET JURIDIQUE L accueil et la s curit d un l ve handicap Accueillir un l ve handicap est une obligation l gale qui s im pose aux tablissements scolaires depuis la loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la par ticipation et la citoyennet des personnes handicap es Toutefois cet accueil suppose la mise en place d un
66. on 10 Objectif tablissement n 34 Modernisation Sup rieur RCE Mis en oeuvre l Universit Pierre et Marie Curie Bient t trois ans apr s la loi du 10 ao t 2007 relative aux libert s et responsabilit des universit s plus de la moiti des universit s b n ficient des responsabilit s et comp tences largies RCE Comment expliquer cet engouement L exemple de l Universit Pierre et Marie Curie UPMC Un transfert techniquement r ussi Avant 2009 l UPMC tait employeur de 800 personnels contractuels financ s sur res sources propres ou par cr dits de l Etat pour une masse sala riale de 30M L Etat r mun rait directement les 4 800 agents sur emplois pour 250ME Pr par par l audit de l IGAENR d but 2008 le transfert de responsabilit sur cette masse salariale Etat a t l occasion de mettre en place des processus de gestion r nov s Un comit de pilo tage avait commenc se r unir chaque mois Le contr le interne de l activit des gestionnaires de paie et le contr le de l agent comptable ont t formalis s Apr s une discussion budg taire serr e l automne 2008 l UPMC a pris en charge la r mun ration des agents d s le ler janvier 2009 Un plafond d emploi Ftat lui a t assign le CA de l tablissement fixant par ailleurs un plafond d em ploi total Le calcul de la paie et la r alisation des bulletins ont t externalis s
67. ort d activit requis pour la reconnaissance du dipl me du baccalaur at professionnel il ne devra pr senter qu une seule situation relative la pr vention des risques professionnels Ce volet comptera des degr s divers dans la note en fonction des fili res Un dispositif national qui doit terme concerner tous les niveaux de formation Le premier projet Synergie a t initi par l Acad mie de Strasbourg et la CRAM Alsace Moselle en 1995 pour les bacca laur ats professionnels du secteur du bois du lyc e Gustave Eiffel de Cernay 68 Une palette d acteurs enseignants l ves chefs d entreprise pr venteurs a t associ e pour concevoir une s rie de fiches th matiques mises disposition des jeunes portant sur l organisation g n rale les proc dures incendie les chantiers et sur le fonctionnement de cer taines machines chacune de ces fiches comporte un volet infor matif et un volet questionnaire une collaboration fructueuse pour interroger les pratiques de l entreprise Le projet Synergie fait main tenant l objet d une charte nationale Il s est tendu dans l acad mie d autres sp cialit s et d autres cursus Si la production d outils s est faite l origine dans l acad mie de Strasbourg avec la fili re bois d autres r gions ont contribu enrichir la liste l ensemble de ces travaux ayant t mutualis ce jour le dispositif Synergie se d cli
68. p r s par le CNDP op rateur traditionnel du minist re pour l acc s la documentation administrative Les directions d administration centrale et les services juridiques des rectorats pourront formuler toute pro position pour enrichir le site des textes dont l usage leur para t utile Pr cisons toutefois qu Adress RLR ne constitue pas une alternative L gifrance qui demeure la r f rence unique pour les textes l gislatifs et r glementaires mais il propose une s lection de textes int grant les circulaires propres au MEN et au MESR qui sont pr sent s dans leur version consolid e Pour en savoir plus sylvain merlen education gouv fr 32 Objectif tablissement n 34 ettococococococooooocooooo Recherche simple 9 Sur tous les toxtes Oms Toutes les rubriques at csttutian et trat s Loit et ordonnances 5 codes D crets des Arr t s Dtonom aires netes de serno Sur les codos de de l duc tnr s de la recherche Lancer la cherche clelolololol e fefefe Comment utiliser ce site 7 Consulter le plan de classement des textes Pr sentation de Adress LR S lection do textes depuis le dernier c d raem du NLR Arr t du 19 mers Z010 Lettre d information juridique nevue Objectif tablissement Docomentatinn Utilitaires Droit fran ais sites minist riels Droit vurop en Autres liens cococo
69. pos s Le second objectif est de d velopper l attractivit des fonc tions d encadrement en valorisant les parcours professionnels L accompagnement des trajectoires professionnelles Une mission Potentiels Mobilit Carri res sera cr e au sein de la direction de l encadrement dans le courant de l ann e 2010 Elle constituera ainsi l instrument de pilotage central la direc tion de l encadrement pour la mise en uvre de sa politique de d tection des talents en vue de la formation d un vivier de cadres sup rieurs pour les postes cl s et sensibles pour la gestion de 20 000 personnels d encadrement dont 14 000 personnels de direction En 2009 une centaine de personnes ont t re ues en entretien individuel pour tre conseill es dans le cadre de leur mobilit et de la poursuite de leur carri re L acc s au corps permet bien souvent une r orientation professionnelle La pyramide des ges pour le grade de 2 me classe permet d observer une entr e dans le corps autour de 40 ans offrant ainsi une deuxi me carri re aux personnels Les personnels de direction de 2 me classe se Mn PHP e 28 La moyenne d ge de l ensemble des personnels de direction est de 51 ans s e e amp gt L acc s au corps par la voie du concours Ce corps repr sente une voie attractive d volu tion de carri re pour les personnels enseignants puisqu ils repr sentent environ 77 de l ensem ble des laur ats de
70. ques fait d sormais partie prenante de l activit de nombreuses entreprises ou ta blissements Il ne s agit pas seulement de satisfaire aux exigences r glementaires En proc dant l valuation et au contr le des risques les responsables doivent s assurer de saisir toutes les oppor tunit s existantes de renforcer leur avantage concurrentiel et de passer moins de temps teindre les incendies Dans la sph re publique la gestion des risques le contr le interne sont trop souvent per us comme des contraintes mises en uvre a minima dans le but essentiel de r pondre aux recom mandations du certificateur Dans la plupart des cas le contr le interne est plaqu sur les circuits de gestion existants et appara t comme une couche suppl mentaire de contr les sans r elle plus value Alors que la confiance des citoyens ou fournisseurs et les attentes des clients internes par exemple les services m tier et inspections acad miques clients des plates formes CHORUS sont essentiels la r duction des risques et la capacit atteindre les objectifs sont l les v ritables fina lit s assigner nos d marches de contr le interne La conception et le maintien d un syst me solide de contr le interne seront pour les services du minist re aussi bien que pour les tablissements sous sa tutelle deux enjeux importants des ann es venir Fr d ric GUIN Directeur des affaires financi res Le contr le interne est u
71. re national de la S curit et de l Accessibilit des tablissements d enseignement montre que 30 des d partements ont r alis un diagnostic dans plus de 75 de leurs coll ges La moiti a diagnostiqu 10 ou moins de leurs tablissements En g n ral les d partements ont choisi un presta taire ou une quipe ext rieurs plut t privil gi une approche technique et pour 30 d entre eux essay d anticiper la cr ation d espaces d attente s curis s L exp rience du Conseil g n ral de l H rault est pr sent e dans le rapport annuel 2009 de l Observatoire Pour en savoir plus catherine chauffray education gouv fr perche education gouv fr Site Accessibilit du MEEDDEM http www developpement durable gouv fr Accessibilite html 4 Objectif tablissement n 34 Modernisation EPLE D m Act un projet de d mat rialisation des actes Dans un contexte volutif le projet Dem Act anim par la Mission de la Modernisation et des Politiques locales du SAAM vise offrir de nouveaux outils aux EPLE et aux services acad miques es mutualisations en cours dans les acad mies ont mis jour l h t rog n it et la complexit du traitement des actes L imp ratif de perfor mance et le souci d all ger les t ches administratives condui sent les services acad miques comme les EPLE souhaiter disposer d un out
72. ribuer la r alisation de la prestation dans le secteur donn recher che des SIAE en consultant le site internet http lwww socialement respon sable org selon une approche sectorielle et ou g ographique Le recours un facilitateur La clause d insertion sociale ne doit pas avoir un effet discriminatoire ni tre mal calibr e c est pourquoi l ap pel des professionnels est fortement encourag Les acheteurs trouvent aide et conseil aupr s des facili tateurs qui sont des personnes ou des structures charg es de g rer les clauses sociales sur un territoire donn Notamment pr sentes dans les plans locaux pour l insertion et l emploi PLIE et dans les maisons de l emploi elles sont r perto ri es dans l annuaire des facili tateurs disponible aupr s de l association Alliance Villes Emploi AVE Le r le du facilitateur est d aider la d finition quan titative et qualitative des clauses de suivre la bonne ex cu Objectif tablissement n 34 tion des engagements du titulaire Ainsi l acheteur n a plus r diger la clause ni suivre son ex cution le facilitateur v ri table professionnel de la clau se d insertion sociale le fera pour lui Etat des lieux l administration centrale et en acad mies Sous l impulsion de la mission des achats le mouvement d insertion des clauses sociales s amorce progressivement Certes sur trente acad mies un tiers o
73. rifi s et certaines de ses applications pratiques sont majeures le transistor le laser les semi et supra conducteurs le cryptage des messages de t l communica tion au moyen de paires de photons intriqu s C est romantique Comme pour mieux marquer le caract re surnaturel du monde quantique c est l cri vain surr aliste Lewis Carroll que les physiciens ont emprunt le terme qui d signe les constituants fondamentaux de la mati re les quarks terme que l on trouve aussi chez James Joyce et la parabole du chat mort vivant le chat de Cheshire d Alice au pays des merveilles Depuis Newton et ses lois du mouvement on peut pr dire la position d un objet si l on conna t sa position et sa vites se un instant donn Laplace en g n ralisant ce principe a b ti un mod le d terministe de l univers Mais ce qui est vrai au plan macrocospique ne l est plus au niveau nanosco pique o r gnent l ind termi nation le probable Ce princi pe d incertitude a t nonc par Heisenberg apr s avoir Objectif tablissement n 34 montr qu on ne peut connai tre la fois la position et la vitesse d une particule car l observation de l une qui n cessite le transfert d une cer taine quantit d nergie emp che de conna tre l autre On est donc r duit dans ce monde l des probabilit s de pr sence Quant notre malheureux chat il est soumis au principe de superposition d t
74. s Hauts de Bi vre a obtenu la propri t des r si dences d Antony et de Ch tenay Malabry Le sch ma pluriannuel de strat gie immobili re une obligation et une n cessit Pour r pondre notamment la demande de l Etat et de France Domaine le CNOUS et les 28 CROUS comme l en semble des autres op rateurs Objectif tablissement n 34 s inscrivent dans une d mar che d optimisation de ce patri moine En 2010 les 29 ta blissements doivent pr senter leur conseil d administration leur sch ma pluriannuel de strat gie immobili re qui recense les diagnostics et rel ve les orientations strat giques En 2009 tous les CROUS ont proc d la premi re tape la v rification et la fiabilisation dans le serveur g n ral des propri t s de l Etat de toutes les donn es existantes sur chaque b timent accueillant des tudiants ou non r si dences restaurants bureaux Ces donn es permettent de dresser un inventaire physique complet du patrimoine immo bilier nombre de m de b ti situation administrative et juridique propri t de l Etat location simple ou bail conc dant des droits r els Les CROUS ont ensuite proc d avec l appui des services de la DGFIP l valuation de la valeur de chaque b timent calcul e partir de la valeur d origine et de l amortisse ment de tous les travaux r ali s s En d cembre 2009 les responsables du patrimoine des CROUS
75. s concours soit 64 pour le second degr et 13 pour le premier degr La Ti P P 2 gt L acc s au corps par la voie du d tachement Le recrutement des personnels de direction par la voie du d tachement se caract rise par son ouver ture d autres corps relevant du secteur adminis tratif du minist re de l ducation nationale mais aussi d autres fonctionnaires de l Etat des collectivit s territoriales des tablissements publics ou autres organismes qui en d pendent Les personnels enseignants constituent ainsi 74 du recrutement par d tachement les per sonnels administratifs 16 et les personnels hors ducation nationale 10 pour la p riode 2005 2009 20 Objectif tablissement n 34 GRH R parwbon totale des d tach s par corps d origine de 2005 2209 PP Corps personnels Corps ps Corps sorrurestrabts ersernarts Pors EN La mobilit des personnels de direction est un l ment fondamental dans leur carri re et doit permettre de construire un v ritable parcours professionnel gt La participation aux op rations de mutation Le nombre de participants aux op rations de mutation reste stable depuis deux ans et approche les 4 000 demandes annuelles soit 1 3 du corps Ainsi 2 089 personnels de direction obtiennent une nouvelle affectation soit un taux de satis faction de 52 692 adjoints deviennent chefs d tablissement dont 93 proviseurs de lyc e ou lyc
76. sements d ensei gnement sup rieur et dans cette perspective a fait le choix du renforcement de leur autonomie Cette multiplication de comp tences et responsabilit s oblige les universit s tre particuli rement vigilantes quant la notion de risques financiers ou cons quen ces financi res La cartographie des risques inscrite dans une d marche de contr le interne comptable est un outil permettant d y faire face Etiologie g n rale des risques pourquoi se soucier des risques En prol gom nes toute tude visant traiter de la question des risques au sujet du contr le inter ne dans les administrations de l Etat comme dans toute autre mati re il convient de prendre le temps d une br ve r flexion qui peut tre port e par cette simple assertion Le risque z ro n existe pas En effet le risque fait partie int grante de l exis tence et par cons quent du management des organisations Ainsi que l on s en rende compte ou pas la prise de risque est consubstantielle tout acte et toutes les d cisions Il ne faut cependant pas c der trois tentations oppos es que sont d une part l inaction ou l ind cision d autre part le fatalisme et enfin la tentation du contr le absolu En effet la premi re tentation comme l illustre l ne de Buridan est en elle m me porteuse d un risque ne pas agir est en soi un choix dont les cons quences peuvent tre graves La suite est une
77. sonnable quant la r ali sation d objectifs entrant dans les cat gories suivan tes r alisation et optimisation des op rations fiabi lit des informations financi res conformit aux lois et r glementations en vigueur D s lors il semble n cessaire que les universit s engagent des volutions de leurs modes d organi sation et outils de pilotage dans ce sens En termes m thodologiques ce contr le interne sup pose l identification des risques par domaines d activit missions ou macro processus leur cotation l laboration de plans d actions de ma trise des risques et l analyse des r sultats de ces actions pour l ajustement de ces mesures roue de Deming La cartographie des risques document d orientation qui pr sente l analyse des risques identification et cotation est l outil central de cette d marche et constitue donc un vecteur d am lioration de leurs pratiques La cartographie des risques comme r ponse aux nouveaux enjeux Le premier acte dans la m thodologie de carto graphie qui conduira l identification et la cotation des risques en gravit probabilit consis te en la d finition des activit s ou m ta processus tudier Ensuite en termes d identification des risques il est utile de rappeler que celle ci ne peut se faire qu au regard des objectifs que s assigne l univer sit Une d finition claire de ces objectifs qui pourra trouver un crin id al dans le nouveau
78. t organisations syn dicales Des changes ont lieu actuelle ment avec le minist re de l in t rieur et les collectivit s pour pr ciser les modalit s de l in terface entre le futur outil du MEN et leurs applications La r daction du cahier des char ges est en cours Apr s une phase d exp rimen tation fonctionnelle tech nique juridique Dem Act sera g n ralis la rentr e 2012 Pour en savoir plus helene robic education gouv fr Modernisation EPLE Une r forme ambitieuse pour les EPLE La r forme du cadre budg taire et comptable RCBC des EPLE constitue un enjeu majeur pour leur gestion Inspir e par les principes de la LOLF elle devrait permettre une plus grande autonomie du conseil d administration et de l ordon nateur J cadre budg taire et comptable des EPLE est d crit dans les circulaires n 88 070 du 28 mars 1988 portant sur l organisation co nomique et financi re des ta blissements publics locaux d enseignement et n 91 132 du 10 juin 1991 annexe tech nique M me si ce cadre a t adapt les diverses modifica tions se sont le plus souvent traduites par une augmenta tion du nombre de chapitres et par une subdivi sion plus fine des comptes du plan comptable l miette ment des cr dits ouverts notamment p dagogiques ren dant le budget de moins en moins lisible et de plus en plus rigide Au terme d une r flexion approfondie prenant en compte les travaux
79. u de la r glementation comptable et du conseil aux EPLE contact Claudine Forgerit courriel CREER CAEN AN p riodicit Trimestriel 1276 5724 conception graphique Delcom Imprimerie du MEN Daf impression Ovation 12 000 exemplaires 24 Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE L4 EQO duca nation DE L ENSEIGNEMENT SUP RIEUR ET DE LA RECHERCHE
80. ua tion avec l organisation sp cifique de l tablisse ment et susceptibles d tre exploit es et respect es par tous Ainsi au del des objectifs du service formalis s dans le plan d action des objectifs individuels peuvent tre assign s chaque agent afin de faciliter la ma trise des risques En compl ment de l estimation de la valeur professionnelle de l agent l valuateur sup rieur hi rarchique peut donc galement s ap puyer sur l atteinte de ces objectifs individuels bas s sur des crit res incontest s am lioration des proc dures r daction des fiches de proc dure respect de l accomplissement des t ches d finis par la fiche de poste pour affiner son appr ciation sur le travail fourni L valuation des personnels et la d marche de contr le inter ne comptable men es conjointement permet tent ainsi la fois une am lioration de la ges tion des ressources humaines et une meilleure ma trise collective des risques comptables et financiers Vers un pilotage du r seau comptable Le CIC est aussi un outil d am lioration du pilotage sp cifique du groupement comptable pilotage proche du management en r seau L animateur de ce r seau l agent comptable n a aucun lien hi rarchique ni avec les ordonna teurs ni avec les gestionnaires Cependant une partie de ses comp tences n cessite de travailler en troite collaboration avec les tablissements rattach s tenue du patrimoine gestion d
81. uli re ment il reste contraint par le mode binaire de codage des donn es Une unit d information un bit binary digit prend soit la valeur 0 soit la valeur 1 un l ment semi conducteur laisse passer le courant ou non Le processeur d un ordi nateur classique ayant trois bits de m moire ne peut stocker que trois nombres binaires 000 ou 111 ou 011 ou une autre combinaison des 8 possibles 23 Il ne peut porter qu un de ces tats la fois alors qu un processeur quantique peut tre dans une superposition de ces 8 tats Mais il faudra bien ouvrir la bo te un moment donn pour obtenir une information et non une sup er position d informations Les tats quantiques intriqu s sont une des voies de recherche les plus prometteuses pour prendre de 1 Ceci renvoie l hypoth se d univers parall les multivers 2 Cf le mythe de Dionysos dans lequel l tre d membr aspire retrouver son unit Objectif tablissement n 34 vitesse la d coh rence qui se produit lors du passage notre environnement d un tat quantique L unit d information quan tique est le quantum de bit ou qubit repr sent physique ment par la polarisation d un photon On consid re qu un ordinateur de 300 qubits pourrait mod liser l univers entier Des mod les math ma tiques algorithmes ont t con us pour les calculs com plexes algorithme de Schor et le traitement des bases de don n es
82. une aide au d ploiement du contr le interne Elle orchestre la mutualisation des exp riences et la mise en exergue des plus originales Il lui revient aussi de recevoir et tudier r guli rement les rapports fournis par les services en vue d assurer une valuation objective du syst me de ma trise des risques Faire participer les gestionnaires de terrain un imp ratif Pr server le caract re pragmatique de la d marche suppose qu elle soit en mesure d apporter des am lio rations concr tes et tangibles aux b n ficiaires des ser vices rendus d lais de paiement par exemple s agissant des plates formes CHORUS Pour parvenir ce r sultat il est important de faire participer son d veloppement l ventail le plus large possible de points de vue et de parties prenantes Ceci doit tre le cas lorsque l administration centrale r unit des grou pes de travail pour dresser la cartographie de risques ou construire le kit plan d action Au niveau local galement les r f rents pour le contr le interne doi vent veiller embarquer dans leur action le plus d acteurs possible Ceci suppose bien entendu qu ils disposent d un soutien fort de la part des responsables acad miques La participation des agents d s la conception des outils du contr le interne est la condi tion de leur durabilit parce qu elle incite les agents s approprier les changements mis en place Identifier les risques et d finir les priorit s

Objectif établissement n°34

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