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août et septembre 2012 - Office Congolais de Contrôle

1. M trologie a l OCC JALON D UNE INFRASTRUCTURE NATIONALE DE METROLOGIE Science de la connaissance de la mesure et ses appli cations la m trologie est aujourd hui tr s importante dans les domaines du commerce de la sant de l envi ronnement et de la s curit Elle inclut tous les aspects th oriques et pratiques de la mesure quelle que soit l incertitude de mesure ou le champ d application Son application est a la base de la qualite des produits ma nufactur s et des processus de production Dossiers de L Oeil lle joue un r le clef dans l adoption d avan c es scientifiques et technologiques le d veloppement et la production efficace de produits conformes aux attentes du march ainsi que pour d tecter et viter les non conformit s Elle fournit un soutien fondamental aux essais et analyses dans les domaines de la sant et de la s curit la surveillance environnementale la fabrication d aliments et l application quita ble des lois Elle fournit galement les bases d un commerce loyal dans une conomie nationale ainsi que celles du commerce international sur le march mondial La reconnaissance mutuelle internationale des ca pacit s de mesure d une conomie est un l ment critique pour la suppression des obstacles techni ques au commerce et donc pour la participation aux accords commerciaux internationaux multila t raux tel que celui de l Or
2. ce num ro KANAMA VIKI MBUYA Irc Denys MAYEMBA TEMBE Godefroid Prosper KALANDE MOTA Annie BAKAMBAMBA BULULU Jeannot BONONGE BONGANGONDJA Billy TSHITUMBI WA TSHITUMBI Romain LOBO TSHIBUABUA Yvette BOMELE BOYANGI Gauthier MPANGA MBUYA ABANDELWA MENGA Guillaume BIKUBA SIBULA NAWEJ MWINKEW LEDOUX Michel Tonton BATULI Ruddy MUPENDA KABUYA Jenny EFEKA BOKEWA R gie publicitaire amp impr ssion Tovafric ECR www ecrcom net Le fond et la forme des articles engagent in fine exclusivement leurs auteurs D p t l gal XQ 3 01007 57149 FONDS DE PROMOTION DE L INDUSTRIE STATUT Cr par l Ordonnance n 89 171 du 07 ao t 1989 le Fonds de Promotion de l Industrie en sigle FPI est transform par le d cret n 09 64 du 03 d cembre 2009 en tablissement public caract re administratif et financier dot de la personnalit juridique MISSIONS Promouvoir l essor de l industrie congolaise repr sente la mission principale du FPI et cela passe par les axes suivants e Le soutien aux industries existantes La promotion des industries nouvelles a promotion des petites et moyennes entreprises Lo promotion de l int gration industrielle en g n ral et en particulier entre les petites et les grandes unit s et entre les secteurs industriel et agricole e Lo promotion des activit s de la recherche ob permettant le d veloppement et l am lioration du secteur industriel ACTI
3. chantillonnage il est important de connaitre la distribution statistique des impuret s sur une feuille cathodique afin den d gager une repr sen tativit Comment se repartissent les impuret s sur une feuille cathodique Figure 1 Disposition des cathodes dans une salle d lectrolyse Zone de portablit de contamination dans une salle lectrolyse Disposition de cathode O dans une salle lectrolyse Sortie dela solution Alimenta tion de la solution points probables de pr l vementdes cathodes chantillon primaire Dans une salle d lectrolyse Figure 1 dela pro duction de cuivre ou de cobalt les impuret s mi grent toujours dans le sens de l alimentation de la solution ils sont beaucoup concentr s dans le f ond des cuves et aux cellules de la sortie de la solution Par rapport leur sens de migrations les cathodes qui sont larriv des solutions se ront faiblement concentr e en impuret que celles de la sortie et aussi pour une m me cathode sur la partie inferieure la probabilit de pr sence des impuret s sera plus lev e que sur la partie sup rieure Figure 2 1 8 Figure 2 L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 Zone de grande probabilit de pr sence d inpurt Figure 2 Cathodique de cuivre d Alors pour avoir des y sultats danalyse fiable l chantillonneur doit prendre en compte tous ces aspects afin que l infime partie amener au
4. Les produits de l lectrolyse sont des produits de grande puret Si on se permettait de cr er un sce nario dans lequel la feuille de cuivre titrait 10096 on se dispenserait de pr lever un chantillon pri maire composite et de se contenter de faire di rectement la prise dessai de 1g sur un point de la feuille pour v rifier la puret car la probabilit de pr sence est 10096 Mais parce qu il y a les im puret s et que l analyse est faite sur ces impure t s la quantit d chantillon doit tre pr lev e de telle mani re que la distribution des ces impuret s soit uniform ment r partie sur tous les points de la cathode et le nombre de cathodes pris comme chantillons primaire du lot doit de m me ob ir ce principe Fig 2 et 3 12 Figure3 Feuille cathodique de cuivre La quantit d chantillons pr lever est fonction de la distribution statique ou de la probabilit de pr sence de l l ment doser de la concentration de l l ment doser et de la taille du lot De la pr paration de l chantillon de laboratoire La pr paration de l chantillon de labo sur le ter rain doit g n ralement comporter le minimum de manipulation possible afin de conserver l int grit de l chantillon en limitant les risques d alt ration li e aux conditions environnantes Lemballage doit tre sain avec tiquette au dessus duquel sera mentionn le code du lot et le num ro du rapport d chantillonnage L chantil
5. environ 24 000 mil liards USD gt leseffets des changements climatiques dont la r duc tion de la dur e de la saison des pluies dans la majeure partie du pays notamment sur l agriculture pluviale petite chelle les probl mes d approvi sionnement en nergie et en eau potable tant dans les mi lieux urbains que ruraux gt la mobilisation des reve nus au titre des services co syst miques rendus au mon de travers le programme REDD jusqu 900 mil lions de dollars am ricains annuels dici 2030 la RDC repr sentant plus de la moi ti des ressources foresti res d Afrique A ces d fis sajoutent d autres obstacles telle la raret voire absence totale de statistiques fiables relatives aux ressources naturelles dont regorge la RDC quant leur exploitation et ou l importance de leurs r serves Dans cette situation il est diffi cile sinon impossible de tracer des orientations de mani re ra tionnelle et efficace en ce com pris l laboration d interventions environnementales pertinentes et donc la mise en uvre de l conomie verte Quel r le peut jouer l OCC dans ce contexte Statuts de l Office LOffice a pour objet de proc der en tant que tierce partie l va luation de conformit en loc currence I inspection la certifi cation les essais ou analyse et la m trologie en se r f rant aux standards nationaux r gionaux et ou internationaux cet ef
6. la prise en charge des frais acad miques des enfants des membres d c d s ayant distingu aux Examens d Etat Actu OCC Un produit la mesurededix ans d accouchement C TAIT UN R VE VIEUX DE 10 ANS DEVENU AUJOURD HUI UNE R ALIT LOCC A FINALEMENT R USSI L IMPLANTATION EN SON SEIN DE L IN TRANET CET INSTRUMENT EXCEPTIONNEL D INFORMATION D INNOVA TION DE COLLABORATION DE FACILITATION DU TRAVAIL AU QUOTIDIEN D CHANGE ET D APPRENTISSAGE EST PR SENT INCONTOURNABLE DANS LA VIE DE TOUTE ENTREPRISE V RITABLE CENTRE DE SERVICES POUR LES UTILISATEURS IL S INSCRIT R ELLEMENT AU SERVICE DE LA PERFORMANCE INDIVIDUELLE ET COLLECTIVE ans ce monde o le lieu de travail devient de plus en plus virtuel la convergence des syst mes de communications en r seau est le moyen donn aux entreprises de changer leur mani re de travailler Mais les utilisateurs ont besoin de solutions de communication simples et coh rentes Ils attendent aussi une homog n it de service quelle que soit leur localisation afin de rester productifs Les solutions voix et donn es de lentreprise doivent permettre l acc s imm diat aux outils de communications et d information partout et chaque instant Une r ponse en temps r el aux appels t l phoniques aux emails et aux requ tes informatiques est devenue une norme Un rappel sous 24 heures est aujourd hui inaccep table Les exigences clients tant toujours de plus en
7. pond aux programmes daug mentation des b n fices De m me pour la fonction quali t on fait appel trois processus de management le planning de la qualit le contr le de la quali t et am lioration de la qualit Cest la trilogie de JURAN Nous prendrons comme principe de base qu une entreprise cherchant am liorer la qualit est un cen tre dapprentissage permanent une cole dans laquelle il n y a pas de diff rence entre les ensei gnants et les enseign s Chacun peut apprendre quelque chose des autres chacun peut appren dre quelque chose aux autres La visite qualit est pour les visi teurs comme pour ceux qui re coivent loccasion d changer les informations et les id es faisant partie de cet apprentissage Cest un bon moyen d am liorer la comp tence de tous Mais sur tout les visites qualit s ont pour but dam liorer la confiance r ciproque La confiance justement est un sentiment tr s important pour le succ s d une entreprise Laudit peut porter sur une entreprise enti re un d partement un site de production un processus de d veloppement un proces sus administratif un processus commercial un mode dorgani sation une m thode de travail un ensemble de documents un mode op ratoire un ensem ble des produits un service en client le un service d achat les fournisseurs etc Un audit peut tre centr sur le syst me qui est vis Sans vouloir d tailler la norme
8. ET AF i 1 3 A c FE Tas sS RW i pum d Gm y a e EL Mis 10 Le Chef d Agence de LUKALA M SELUBANZI en visite KINSHASA c t de Mme B SUKIDI K 11 Le PDS Fortunat NDAMBO le SG de la DGDA le Coordonateur et le Coordonateur Adjoint du Secr tariat de la DG l occasion de la manifestation DGDA OCC de l Hotel SULTANI Bloc Notes Apres un temps jug par d aucuns sans fin cousu de turbulen ces r p tition au sommet de l entreprise par le fait de fac teurs difficilement controlables sinon d crire le navire OCC est visiblement entr sur des eaux plus apais es avec l av nement d un nouveau Directeur G n ral Adjoint pour pauler l action du Directeur G n ral Albert KASONGO MUKONZO Un fils maison cot d un non moins fils maison apres quatre ans et plus d ja aux commandes et donc parmi nous Partageant nos r ves pour l OCC et portant plus que quiconque le poids de nos preuves Mais plutot que du Directeur G n ral ce bloc notes voudrait faire connaitre davantage la personne r cemment d sign e en vue de le seconder dans sa vision manageriale savoir M Maurice MBAYO MUHIYA ire teur G n ral Adjoint de l Office Congolais de Contr le depuis le 29 mars 2012 il a d j t auparavant Pr sident D l gu G n ral de notre Office entre 1997 et 2001 Dipl m de Licence en Droit Option Droit Economique et Social de l Universit de
9. Ga m 4 E b TC E dex cution du Protocole d accord de collabo ration et proposition ventuelle de son amen dement tablissement des rapports d finitifs sou mettre aux hi rarchies respectives des parties proposition des voies et moyens suscepti bles de renforcer la collaboration entre les par ties sur la perception des frais OCC examen des dossiers nayant pas trouv de solution au niveau op rationnel examen des dossiers litigieux examen de toute autre question en rapport avec le Protocole d Accord de collaboration notamment celles ayant trait la gestion des risques dans le circuit de d douanement et aux formations jug es n cessaires par l OCC au profit de ses agents dans le cadre du Guichet unique Suivant les termes de l Instruction de Service ad hoc produire par la DGDA et qu il importe de lire en compl ment du Protocole d Accord lui m me les erreurs mat rielles pr judiciables l O C C donnent lieu au paiement d un surplus e ha H AP E recouvrable dans les bureaux informatis s de la Douane conform ment aux proc dures appli cables en Guichet Unique par contre criture LO C C doit d velopper des programmes appro pri s pour exploiter cette disposition en mode de t l transmission sans cr ation des proc dures manuelles et parall les hors Guichet Unique Des missions conjointes de conciliation des comptes et de contr le seront organis es ch
10. ISO 19011 nos pouvons pr senter d une fa on g n rale les activit s typiques au cours d un audit qualit comme suit Lentreprise doit publier un pro gramme annuel des audits qua lit comportant la composition de l quipe d audit la descrip tion des processus audit s les dates des rendez vous et les du r es pr vues Toutefois la direc tion pourra improviser certains audits qualit suivant les cas ans le d roulement d un audit qualit le plus important pour une quipe charg e de faire un audit qualit est de se faire ac cepter sans arri res pens es Pour y arriver le chef d quipe doit faire un programme de tra vail et rencontrer l avance les responsables des d partements concern s afin de leur expliquer le but de lexercice Laudit doit commencer dans le bureau du chef d quipe Cest lui qui peut en effet consulter les instructions plans sp cifi cations rapports etc de l unit audit Le manuel de qualit est parmi les documents les plus utiles L information recueillie peut ventuellement servir modifier le plan d audit Au cours de la r union douver ture avecles responsables de tou tes les entit s concern es par T audit le chef d quipe expliquera le but de la mission Il discutera avec eux du plan d audit et pour ra en modifier quelques points notamment des d tails du calen drier Il cherchera faire na tre un sentiment de confiance r ci proque La pha
11. LNE France LPEE LNM Maroc MIRS Slov nie NIS Egypte NMI Pays Bas NMISA RSA OIML PTA Australie PTB Allemagne SMU Slovaquie TUBITAK UME Turquie Les Agences gouvernementales et les Industriels ANSTO Australie APAVE France BIPEA France Br el amp Kjaer France CEPTP SOLEN France CERPHOS OCP Maroc CETIAT France CETIM France CK M trologie Tunisie FLUKE France INSAT Tunisia ISM Gabon ISOTECH UK KHRONE Allemagne LAME Senegal LPEE Maroc METEO FRANCE France METTLER TOLEDO Suisse OCC RDC OCP Maroc OMEGA INTEGRATED SYSTEM Egypte ONEP Maroc MGS France PFIZER Algeria SARTORIUS Allemagne SIKA France SPEKTRA Allemagne VIRBAC France ZWIEBEL France Victor KANAMA VIKI MBUYA EBENEN THE TH Au cl Depuis 1964 WITT UE gu pour le D veloppement du Pays PO t SH Rp H x L ke Fa MER vor T l 243 993128780 Wa 243 BIO COMMUNAUTE HELLENIQUE DE KINSHASA S884 A S B L fond e en 1951 c E31 ES C3 La Communaut Te ue xd van va redunamiser sa pr sence en RO Congo en favorisant le retour des Holl nes dans le cadre de la reconstruction de CE See D Y sch UNE ACTIVITE MAL CONNUE EN RDC ny f T P DL Sai em kel D ow w SS I SALE 15 BEN Pm qu EH ad Cal zm ji K fe Gr ce l exercice d e
12. chaque fournisseur pour paiement Quant aux factures des ann es ant rieures cest dire de 2007 2011 une commission de suivi des mesu res gouvernementales institu es par arr t inter minist riel pour aider l OCC rentrer dans ses droits devrait satteler les faire parvenir aux dit f rents fournisseurs Signalons que depuis 2006 toutes les factures d pos es aupr s des agents ma ritimes priv s n taient jamais accept es Avec ainsi un arsenal juridique constitu de plu sieurs actes r glementaires l acquisition des qui pements appropri s de laboratoire pour les cen tres d inspection et dessais de Muanda de Matadi et de Lubumbashi rien ne devrait plus normale ment emp cher l OCC de sortir du long tunnel repr sent par la non r mun ration de ses presta tions dans le secteur p trolier Godefroid Prosper KALANDE MOTA Directeur du D partement Financier E gt L oeil n 008 Ao t Sept 2012 ECHANTIOLLONNAGE DES PRODUITS MINIERS AU KATANGA OBSERVATIONS PRATIQUES Il nous estapparu utile d aborder succinctement dans ces colonnes un sujet important et d licat de la chaine analy tique des produits miniers savoir l chantillonnage A cet effet nous allons voquer essentiellement les points suivants importance d un bon chantillonnage planifi cation de l chantillonnage pr l vement de l chantillon r dac tion du rapport d chantillonnage elevons pr
13. d Outre Mer i E Ka E a ee be e e EV Ze uM ee P a N OLA lE ts nessuna eI Ke BRA uo no uil HE eut ON RAUAAKASAN DA e La mise la retraite des as sujettis au Code du Travail in Zaire Afrique 1983 e La normalisation et ses activit s connexes Vulgarisa tion et situation en R publique D mocratique du Congo Edi tions Universitaires Africaines 2007 R le de quelques fer tilisants sur la production de l aubergine En perspective Vision et strat gies d intelligence s appuyant sur les technologies de pointe notamment industrielles d information et de communica tion pour acc l rer le d veloppe ment durable int gral en stimulant la solidarit la cr ativit l innova tion l esprit coop ratif collabora tif et interactif entre citoyens Cadre Mise en place et en oeuvre du projet Collectivit Indus trieuse Normalis e PROCIN en sigle Dans ses derni res activit s avant la pr sente dition il a t remar quablement not l incitation des op rateurs du secteur industriel se constituer en une corpora tion susceptible de coop rer avec l OCC pour la mise disposition des normes sur la fonderie La fr quence lev e des accidents de travail dans ce secteur est due probablement la non application des normes idoines de s curit Par ailleurs l initiative portant sur la mise en place du Comit Ele
14. e dela comp tence technique des organismes prestataires et gage de confiance entre agents conomiques Rappelons quela RDC est Mem bre originel de l Organisation Mondiale du Commerce depuis le ler janvier 1997 au sein no tamment du Groupe ACP et des Pays les Moins Avanc s PMA Elles est aussi Membre de plu sieurs groupements conomi ques et commerciaux au niveau r gional pr cis ment le March Commun de lAfrique de l Est et Australe COMESA la Com munaut de D veloppement de l Afrique Australe SADC la Communaut Economique des Etats de l Afrique Centrale CEEAC et la Communaut Economique de Pays de Grands Lacs CEPGL loutes ces organisations pr nent inlassablement la volont de supprimer des barri res tari faires et non tarifaires au profit de la libre circulation des biens et services Elles ne cessent dex primer le besoin accru dam lioration de la comp titivit des biens et services pour permettre aux pays membres de tirer profit des changes commerciaux dans le cadre de larges march s int gr s Cependant tant que les syst mes nationaux d valuation de la conformit ne sont pas har monis s sur le plan r gional ou international et tant qu ils ne b n ficient pas d accr ditation ils sont susceptibles d introduire de nouveaux Obstacles Techniques au Commerce OTC En effet la non acceptation des rapports dessais et certificats de conformit d livr s en R
15. glementation pouvoir public gouvernement central gouvernements pro vinciaux mairies communes xii Maitrise et meilleure gestion de la pollu tion mise au sein de lentreprise industriel XIII analyse des param tres permettant de concevoir et de dimensionner les instal lations de traitement d missions gazeuses et deaux us es en vue d une exploitation optimale de ces installations industriels constructeurs de stations d puration XIV Mesure des param tres exig s dans le cadre du march du cr dit carbone Minist re de l Environnement industriels et partenaires xv Evaluation de la qualit des eaux distri bu es par les stations dadduction deau de fo rage Minist re de lenvironnement Minist re du plan Minist re du D veloppement Rural CNAEA CTB XVI D tection et mesure de la radioac tivit sur les sites dexploitations d industries cibles et au niveau des fronti res maritimes et terrestres M rmm A x KW e XVII Conseil et promotion des normes aupr s des pouvoirs publics notamment pour l int gration de celles ci dans la l gislation et la r glementation en RDC XVIII Participation la mise en place des standards des tests sp cifiques tels que les bio tests XIX Audits environnementaux dans les entreprises industries disposant en leur sein un syst me de management environnemental XX Audits des milieux professionnels pour sassurer que les travailleurs ne so
16. la soci t les moyens n cessaires pour tablir la confiance dans les r sultats de mesure Cela exige que l Etat m ne les activit s n cessaires pour pro mouvoir la m trologie d velopper les infrastruc tures appropri es soutenir la recherche en m tro logie et prot ger les personnes aussi bien que les entreprises contre de possibles abus concernant les mesurages L importance de la m trologie pour le d veloppe ment social et conomique n cessite ainsi une po litique de m trologie coh rente et claire de l Etat avec des lois devant prendre en compte toutes les questions relatives aux consommateurs aux en treprises l ducation la sant la s curit et la protection de la population En tablissant le syst me national de mesure l Etat doit en prin cipe sassurer qu une transparence ad quate exis te de telle sorte que toutes les parties prenantes soient capables de prendre des d cisions en toute connaissance de cause Types ou branches de la m trologie La m trologie a trois branches qui sont La m trologie scientifique ou fondamen tale La m trologie industrielle et La m trologie l gale Les activit s de ces trois branches sont les compo santes d une Infrastructure nationale de m trolo gie que lon doit trouver dans une loi Un Syst me national de m trologie comprend les l ments ci dessous un Corpus l gislatif incluant les lois et les r glementatio
17. s dans le domaine clima tique en vue de d fendre les int r ts de la RD Congo 0 gt Gr ce sa pluridisciplinarit technique l OCC est en mesure doftrir ses services aux entreprises dans les domaines de la m trolo gie de la s curit alimentaire de la sant de la construction de l emballage des transports de l environnement et des produits industriels gt La normalisation des divers aspects de l activit humaine est un des moyens efficaces pour promouvoir le d veloppement engen drer le bien tre et m me pour rattraper lac tualit lutter contre le changement climatique cet gard l OCC sest pr cis ment beaucoup investi dans le chantier de la normalisation en prenant des initiatives audacieuses pour conduire notre pays l adoption d une gamme importante de normes En sa qualit de Comi t Membre de l ISO Organisation Mondiale de Normalisation ou encore de Membre du Programme des pays affili s la Commission Electrotechnique Internationale CET OCC assure la veille normative pour la RDC Partenariats capitalisables Sont d j conclus ou en gestation 1 Protocole d accord de collaboration avec les Direction des Etablissements humains et du Courant Marin de Guin e du MECNT pour l chantillonnage l analyse et l interpr tation des r sultats relatifs la pollution industrielle et maritime 2 PCPCB Programme de Contr le de la Production et de la Commercialisation du B
18. senter les points forts afin de ne pas d courager les audit s exposer les observations suivant le plan logique d un r f rentiel ou dune valuation La tenue dela r union de cl ture conduira la pr paration d un rapport daudit approuv par les auditeurs et audit s suivant le mode le du r f rentiel viennent enfin la diffusion des rapports daudit et la cl ture de l audit Laudit termin les deux parties devront faire le suivi de l audit La partie audit e devra proc der un travail danalyse du rapport en cat gorisant et hi rarchisant les non conformit s pour arr ter des mesures correctives Cest notamment lobjet des revues de direction Ambandelwa Menga Div Laboratoire K ATANGA Carnet Rh olitique de ormat du personnel OCC Il est g n ralement admis que la fonction principale de l entreprise est la produc tion des biens et services quelle met la disposition de l environnement dans le quel elle est implant e pour satisfaire ses multiples besoins et d sirs our accomplir sa mission lentreprise se voit dans lobligation de combiner les dit f rentes ressources n cessaires de mani re efficace et efficiente pour atteindre les objectifs quelle se fixe Le facteur humain tant primordial par le fait quil permet le d veloppement de tous les co ts de lentreprise la gestion des ressources humaines place l homme travailleur au centre de toutes les pr occupatio
19. sidence du Minist re du Genre Famille et Enfant 4 La division femme famille et enfant au Mi nist re du Plan charg e de l int gration macro conomique des politiques et programmes de la femme 4 La commission parlementaire charg e des ques tions de la femme et de la jeune fille Elle veille abolir la discrimination l gale de la femme et en courage l int gration de l approche genre dans les lois 5 Le code du travail Plusieurs de ses articles re commandent l galit entre l homme et la femme en mati re demploi Malgr les conventions et les l gislations les hom mes et les femmes restent in gaux dans beaucoup de domaines parce que plusieurs dispositions du droit interne constituent des obstacles majeurs aux droits fondamentaux universels En effet le Code du travail titre indicatif prive la femme congolaise mari e des droits l allocation fami liale au logement et aux soins de sant pour ses enfants Le code de commerce subordonne Iexer cice du commerce de la femme mari e l autori sation maritale Ces dispositions ne sont confor mes ni aux droits universels ni moins encore la constitution En fait les traditions et les coutumes la pauvret l analphab tisme certaines habitudes et mentali Mme Yvette t s constituent le principal obstacle la r alisation des objectifs d galit Cest pourquoi les organisations internationales et certains mouvements internes con
20. Compte tenu de la taille du lot on peut assister parfois de pr l vement de quantit aussi importante quon ne le pense et une s rie d chantillonnage voire m me stratifi peut tre appliqu afin dobtenir un chantillon com posite homog ne sur lequel sera extrait l chan tillon de laboratoire Prenons deux exemples 1 Le pr l vement d un chantillon d un lot pr t de concentre de cobalt d une taille de 300T ou 300 000kg et conditionn dans le BIG BAG Au labo de la DIRKAT la prise dessai lors de l analyse d un concentr de cobalt l ICP comme IAAS ATOMIC ABSORBTION SPECTOME TER est 0 25g 250cc cest dire lg litre Le rapport de proportion est de 25 30000000 cest dire 1 1200000 Alors comment faire que la 1200000eme partie du lot soit repr sentative Pour pr lever l chantillon on peut proc der par une simplification par groupage pour aboutir une partie repr sentative et ce groupage peut tre de 30X10 cest dire group le lot en 10 tas en rai son de 30 big bag par tas Si le plan d chantillon nage est du type syst matique et que la sonde Figure 4 a une capacit de prise de 1 kg par tas nous aurons un chantillon composite de 30 kg et pour lensemble de 10 tas la quantit d chan tillons composite g n rale sera 300 kg Si le lot pr t est 150000 Kg la composite g n rale sera de 150 Kg et si le lot pr t est de 1000kg la composite g n rale sera 10Kg La quantit d ch
21. KANUMUBADI Jean Paul KASONGO Bobette EYENGA Actu OCC ECHOS DE HANOI Il n y a pas que des armes chimiques pour tuer au travers des bombes et des explosifs Les fabricants de la mort ont trouv une autre arme probablement plus redoutable l agro alimentaire II s agit des ar mes insidieusement diffus es via des produits p ri m s alt r s et impropres la consommation livr s par les industries agro alimentaires et pharmaceuti ques Leurs budgets cumul s atteignent de source Interpol les 70 milliards de dollars am ricains e ph nom ne a figur parmi les pr occupa tions des participants la 80 me Assembl e G n rale de l Organisation Internationale de la Police Criminelle en abr g OIPC Interpol du 28 octobre au 07 novembre 2011 Hano R publique du Vietnam Sous l gide du Bureau Natio nal d Interpol Congo l O C C y tait Comme il est aussi fr quemment t moin du ph no m ne dans laccomplissement quotidien des missions qui lui sont d volues En effet ce forum international deuxi me en importance apr s celui des Nations Unies est le lieu de la plan te o lon vient faire le point sur l tat g n ral de la criminalit transnationale ainsi que les moyens mis en ceu vre pour la combattre avec effi cacit dans toutes ses formes Par criminalit internationale l OIPC Interpol entend le ter rorisme la piraterie maritime la cybercriminalit la
22. centrale Mais c est encore loin d tre suffisant D o nouvelle relance des ambitions et adoption de nou velles strat gies sous l impulsion conjugu e de Jean Paul NEMOYATO Bagebole Ministre de l Economie et Commerce d Albert KASONGO MUKONZO Directeur G n ral de l O C C et du Service d Accr ditation de la SADC SADCAS Impulsion marqu e par la matin e scientifique orga nis e le 09 juin 2012 a l H tel Memling de Kinshasa en comm moration de la Journ e Internationale de l Accr ditation ous les secteurs concer n s divers degr s par accr ditation avaient r pondu pr sents les administrations de l Agriculture de la Sant de l Environnement et d autres encore e les associations des consommateurs la communaut de pro ducteurs locaux et exporta teurs e la F d ration des Entre prises du Congo FEC en si gle e les organisations des Na tions Unies avec un cahier des charges couvrant no tamment les questions de s curit alimentaire et as surance sanitaire en particu lier e le service public dap provisionnement en eau potable premier produit de consommation et produit strat gique par excellence sur le plan sanitaire la RE GIDESO e les organismes d valua tion de la conformit au premier rang desquels TO fice Congolais de Contr le Et la liste pourrait continuer Position du Minist re de l Eco nomie et Commerce En ouverture de cette r union le
23. ci apr s 100g d chantillons contiendrait 99 99 g de cuivre et 0 01 g d impuret s soit Pour 1m2 ou 10000cm2 de surface 9999cm2 de sur face se constituerait de cuivre et 1cm2 d impuret s Pour analyser le cuivre deux m thodes sont option nellement utilis es selon l appareil dont on dispose 1 La m thode lectro gravim trique elle consiste dissoudre une quantit Q d chantillons de cuivre dans la solution qui par application d une diff rence de potentiel se d pose la cathode une quantit Q de cuivre Le calcul de la teneur en cuivre se fait de la mani re Cu Q Q x100 2 La seconde m thode utilis e par le Laboratoire OCC dela DIRKAT utilise consiste analyser le cui vre par dosage indirect cest dire on analyse les im puret s Xi du cuivre l ICP pour les soustraire par la suite du bilan La teneur en cuivre se calcule alors de la mani re qui suit Cu 100 2ZXi NB La pr f rence de la m thode est fonction de la performance de la machine Pour les hautes teneurs l lectro gravim trie convainc mieux que l ICP et pour les traces l ICP r alise de bon score A l gard de la distribution ci haut pour la m thode lectro gravim trique le probl me de choix de points de pr l vement nest pas si compliqu parce que la probabilit de pr lever le cuivre est de 99 9996 contre 0 0196 des impuret Cest plut t un peu complexe pour la seconde m thode Alors pour faire un bon
24. dans les postes de contr le souvent sites de production ou dexp dition III contr le des substances appauvris sant la couche dozone CFC halons bromure de m thyle HCFC t trachloro m thane bromochlorom thane hydro bromofluorocarbone m thylchlorofor me au niveau des importations suivant Convention de Vienne et Protocole de Montr al IV Formation et information sur les pol luants organiques persistants Conven tion de Stockholm V Contr le des produits chimiques l importation convention de Rotter dam VI Contr le des mouvements transfron taliers des d chets toxiques Convention de B le VII Contr le de la pollution maritime par les navires hydrocarbures substan ces nuisibles rejets polluants de toute na ture accidentels ou criminels au regard de la Convention sur la pollution mari time VIII Statistiques notamment sur les pro duits li s au GES et plus g n ralement aux produits import s locaux et expor t s y compris les hydrocarbures aux proc d s industriels Nouvelles perspectives IX Contr le de la pollution industrielle et ur baine mesures pr l vements d chantillons analyses et interpr tation des r sultats pour le compte du Minist re de l Environnement Conservation de la Nature et Tourisme MEC NT X Caract risation des cours et plans deau par bassin et sous bassin XI D termination du degr de pollution par rapport la r
25. de gestion int gr et de la s curit De la Collaboration Les diff rentes technologies Wifi PC Sharing mises en place garantissent aux quipes de col laborer ensemble partout o elles sont d j d ploy es et nimporte quel moment Les solutions de la plateforme Intranet OCC sont personnali s es en fonction des utilisateurs des partenaires et clients externes mais aussi de besoins en ma ti re de gestion et d administration Elles m lent communication synchrone et asynchrone pour apporter aux utilisateurs des outils de collabora tion simples et coh rents tout en assurant gale ment une homog n it de service quelle que soit leur localisation Figure 1 Sch ma d une communication asynchrone synchrone Actu OCC De la Communication Les solutions des communications garantissent un retour rapide sur investissement avec des am liorations consid rables dans lefficacit de lentreprise Les utilisateurs deviennent ainsi plus mobiles et le travail plus efficace d autant que la technologie supprime les limites de temps denvi ronnement et de lieux g ographiques Lorsque les bonnes personnes ont acc s la bonne informa tion et expertise la productivit sam liore De la Mobilit La mobilit est un enjeu cl dans le succ s des or ganisations d aujourd hui Laugmentation de la bande passante des r seaux sans fil et l introduc tion de terminaux mobiles qui sint grent avec les applica
26. de Gouvernement est sign e le 6 mars 2012 demandant aux Ministres des Hydrocarbures du Commerce Ext rieur et de l Economie de remet tre l OCC dans ses droits en conformit du reste avec les arr t s et Notes circulaires qui abondaient d j dans le m me sens Cest dans cet ordre d id e que sera sign e la Note Circulaire n 001 CAB MIN HYDRO MKT 2012 001 CAB MIN COMM 2012 et 001 CAB MIN ECO 2012 du 26 avril 2012 restituant l OCC dans ses pr rogatives de donner le feu vert green light pour autoriser un navire d charger une cargaison des produits p troliers de mani re donner au Gouvernement la vraie information sur la quantit des produits Depuis octobre 2011 l OCC a dot l Agence de Muanda et le si ge de la Direction Provinciale du Katanga des quipements modernes pour lana lyse des produits p troliers et proc de au renou vellement des quipements de Matadi Entre temps il a t restitu galement l Agence Maritime du Congo ses pr rogatives d tre la seule agence jouer le r le d agent maritime pour assu rer le relais entre les fournisseurs et les diff rents services qui interviennent lors de lescale d un na vire pour proc der au paiement des sommes qui leur sont dues A cet effet OCC a d pos aupr s de l AMICON GO en date du 5 juin 2012 les factures de presta tions r alis es de janvier avril 2012 Celle ci les a r ceptionn es et devait communiquer le mon tant
27. et les institutions internationales dans la facilitation des changes commerciaux pour BProteger le consommateur en matiere de securit et d environnemenlt Bg Assurer le respect des reglementations en vigueur et la conformit des marchandises aux specilricalions contractuelles BMettre disposition un outil performant de suivi et de gestion du commerce exterieur 1 hs r Ww a E rum e E Ere FN QE Ge ef x A IE T z E Ii i PF BT i s 3 a T p b m x d GU DUreaUx 34U taporatolres UUU COllaDorateurs U Vays Pour en connaitre les modalit s nous vous invitons nous contacter P Bureau Veritas BIV C ROC yg avenue des Etoiles 27 09 La Gombe aii Kinshasa Republique Demacratique du Congo E T l 243 0 0 03 89 10 11 Bureau Veritas Services aux Gouvernements amp Commerce International 5 7 71 Houlevard du Ch teau 22200 Meuilly sur 5Seine France Tel 3315524 77 5 Fax 33 55 24 70 40 gsitidbureauveritas com s www bureauveritas com gsil Move Forward with Confidence VERITAS Ka SE ke H D D I mie S FM Ba om J Actu OCC O C C DGDA Ai Ure KEE ce Ek L t TRUQUE Le Guichet unique de perceptions l importation et l exportation sous l autorit exclusive de l Administration douani re a t instaur au Port de Matadi sp cia lement par le D cret pr sidentiel n 05 183 du 30 d cembre 2005 La centralisa
28. gan La e m i TITAK MEE z C NE m k m i nr E e m im m C RK ii Pacific trading sprl une soci t de droil cangolais sp cialis e dans le 1 dome du transil maritime el a nen avec Li de plus de 14 ans mu Ger EPA KASUMBAIESA Gestionnaire des entrep ts publics en portera avec la DGDA Commis onnaire en douane et agi xritime s nous sommes la solufion po EIN Se X CTI Jd isis Janine EE H uz SW mg P e el e ne y i ad au d 8 P JE Ww Eu od E E WK c F j f z Ek ejf Le 9 fe Uti Spe UN Pp e gt gf P z m Hu I e E i Ree ege E Seng T o4 7 e KS SR gf i Ir A L d F arb art Th Ki i Z F T Bi Role 1 Mu H i x i 1 al i d Im DN i d F ala a d j nx LI F Le TM m a IA Ti E TE T Hi i KI a 1 D Hg g i I m 9 Avec L awbank distinquez vous
29. gration harmonieuse des frais OCC exigibles dans le circuit de d douane ment Il devrait en sortir une plus grande faci de s arr ter litation et c l rit des op rations commercia les et douani res pour la satisfaction vis e des agents conomiques sans pr judice norme defficacit ou de s curit pour nos prestations et les perceptions y relatives id le sa tradition Loeil dans sa pr sente cuv e nous apporte bien s r un cocktail d informations sur diff rents aspects de l valuation de la conformit et au del Le menu couvre notamment des chos de Hanoi relatifs la derni re Assem bl e G n rale de l Interpol Des membres de l OCC sont aujourd hui officiers de liaison de cet organisme strat gique dans la lutte contre la criminalit internationale y compris contre le bioterrorisme Un bref cho est rendu de la XI me CNUCED DOHA au QATAR Le consensus de Washington fond sur le triptyque aus t rit lib ralisation et privatisation y a t vivement remis en question Par ailleurs un effort est fourni pour expliquer de nouveau le m tier peu connu de Commissaire d avaries et pour d velopper la probl matique de l chan tillonnage cas des produits miniers en parti culier L Oeil sest aussi arr t un instant sur la m trologie OCC vue comme jalon pour un syst me national de m trologie en RDC De plus il a particuli rement pris soin de faire parler cette fois ci
30. i F yr E EE de D ES E ee h OUEN LR erd llapremierepieretela CIte KAN DAYpar M AWillYICarl0SM PETE DirecteuridelCabinet au Mihiste infrastructures et Tra Vaux P blics Amenc J mentraUTETTITOIre runs EE Secretaire Le i e projet comme a in diqu son co g niteur le Pr sident de la D l gation Syndicale de l OCC vise la restitution de la dignit au travailleur en sattaquant farou chement l une des grandes dit ficult s qu prouve le travailleur Congolais en g n ral et de l OCC en particulier savoir le logement Ici l objectif vis est de doter les travailleurs de POf fice et les membres du CVC vo luant dans dautres organismes et entreprises tels que la Banque Centrale du Congo IINSS ou encore ceux du secteur informel int ress s dun logement pour eux et leurs familles de mani re sortir des conditions infrahu maines d h bergement ainsi que P elo Psion SE par le Directeur General HM en pr sence de ub D t a OA G efalla iTaulComerce et des tracasseries des bailleurs bien connues de tous et abon damment d cri es dans leurs chansons par nos artistes Pour en arriver l il fallut d abord obtenir la signature de lArr t Minist riel N 036 CAB MIN URB HAB CU KKM 2012 du 5 mars 2012 et celui N 244 CA B MIN AFF FONC 2011 du 29 septembre 2011 respectivement du Ministre de l Urbanisme et Habitat et du Ministre des Af faires Fonci re
31. juri diques de base qui les instituent lensemble des perceptions de l OCC exigibles dans le circuit de d douanement l importa tion a t pass au peigne fin Ces frais ont t consolid s de mani re assurer leur prise en charge harmonieuse dans le Sys t me Sydonia en conformit non seulement avec le D cret n 05 183 du 30 d cembre 2005 portant institution d un Guichet Unique l importation et lex portation mais aussi avec tous les textes l gaux et r glementai res sur lesquels reposent les acti vit s de l O C C dans le cadre de l inspection ou des essais analy ses de laboratoires Tous les frais OCC l gaux exi gibles dans le circuit de d doua nement et donc avec impact sur la fluidit des op rations l im portation seront int gr s dans le Syst me SYDONIA par les informaticiens de la DGDA conform ment aux termes et diff rents param tres conte nus dans l Instruction de r f rence de lOCC n DG AKM DCOM 137 2012 du 13 mars 2012 y compris son annexe re lative aux frais d taill s de labo ratoire Il na pas t ais de r soudre le probl me relatif aux marchan dises limitativement num r es l article 2 du D cret n 011 32 du 29 juin 2011 portant sup pression des perceptions ill ga les aux fronti res En substance au del frais de TALLY dont la suppression est ce jour claire ment effective il a t not pour les produits agricoles et a
32. labo soit la plus repr sentative possible de toutes ces impuret s Par rapport cette illustration notre souci nest pas de d montrer sur quel point sp cifique lon doit pr lever l chantillon du cuivre mais insister sur la formation et la communication permanente entre le laboratoire et le corps d chantillonneurs Il sera inutile de disposer des appareils perfor mants si le corps d chantillonneurs est constitu d l ments mal inform s ou mal form s Donc pour faire le choix des points de pr l ve ment il est important de savoir d abord ce que l on cherche dans le lot quelle pourra tre la dis tribution statistique de l l ment recherch et les m thodes d analyse qui seront faites Ayant toutes ces informations on pourra alors d finir le plan de pr l vement Dossiers de L Oeil Au sujet des les mat riels de pr l vement Ils sont des formes vari es et adapt es chaque type de travail Le choix des mat riels joue un r le influant sur la qualit de l chantillon et sur les r sultats d analyse On les choisit en fonction des propri t s physiques et de la forme du produit Le meilleur choix serait un mat riel qui peut fournir un chantillon repr sentatif et surtout celui qui ne peut pas alt rer l chantillon ou le reste du lot et doit aussi saccommoder la manipulation facile et la s curit de l chantillonneur Dans le cas du pr l vement des produits miniers les contaminations ne
33. les fournisseurs Dans le contrat le Gouvernement reprend l OCC comme service devant intervenir dans le d char gement des tankers Mais des op rateurs priv s ou semi priv s du secteur en complicit avec les agents maritimes vont de nouveau faire barrage au paiement des prestations de l Office usant des m mes arguties relatives son quipement En 2002 le Gouvernement via le Minist re des Hydrocarbures va confier SEP et SOCIR d tenteurs des laboratoires p trochimiques pour l orientation de proc der la certification quali tative charge pour l OCC de certifier la quantit Labsence de laboratoire en propre sera une raison suffisante pour que les Agents maritimes refusent de recevoir les factures de OCC m me pour le contr le quantitatif Or l l ment d terminant dans la fixation du prix du litre la station est la quantit Malgr le fait donc que l Office prestait dans la d termination de la quantit et sous trai tait chez SOCIR pour la certification qualitative le paiement n intervenait toujours pas En mars 2005 r pondant la critique de ne pas avoir de laboratoire pour les produits p troliers un effort louable de l Office va l amener acqu rir sur fonds propres cette fin un laboratoire mo derne Matadi En 2006 par Arr t interminist riel n 068 CAB MIN ENER MIN ECO 2006 du 22 d cembre 2006 portant r glementation de la fourniture des produits le Gouvernement va r
34. long termes la Certification et l Accr ditation occupent pr ci sement une place en or La Journ e Mondiale de l Accr ditation le 09 juin 2012 a d s lors t l occasion de proc der un tat des lieux sans complaisance sur les enjeux relatifs cet ob jectif engagement a donc t pris de quitter la plage d aller vers les eaux profondes en visant pour laccr ditation des pans dactivit s autres que l talonnage Il sagit de B tir la confiance sans limite autour de nos prestations tel que recommand dans le nouveau Manuel de d veloppement de l Or ganisation Internationale de la Normalisation ISO et de l Organisation des Nations Unies pour le D veloppement ONUDI pr cieuse boite outils de l valuation de la conformit Par rapport la question environnementale une structure a t cr e et des comp tences ont t r unies en vue d un passage lacte et d une mat rialisation du pacte sign voici plu sieurs mois avec le Minist re de l Environne ment Conservation de la Nature et Tourisme Une structure et des strat gies ad quates ont t adopt es galement pour un contr le plus efficace et efficient des produits p troliers Avec notre partenaire historique dans le travail de surveillance aux fronti res savoir la Doua ne nous avons finalement conclu un Protocole d Accord de Collaboration tel quexig par di verses dispositions l gales et r glementaires en vue d une int
35. plus grandes et la concurrence en mati re techno logique aussi agressive les entreprises en expan sion ont besoin d une plateforme qui pourra tre tendue simplement aux meilleurs prix afin de permettre des connexions sans fils vid o et des fonctions de stockage dans un envi ronnement hautement s curis et disponible Del Intranet OCC Construite sur la fiabilit la facilit de gestion et une gamme vari e d applications m tiers la pla teforme Intranet OCC fournit des infrastructures aux dimensions modulables serveurs routeurs antennes applications Une plateforme de communication qui sadapte la taille du besoin L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 et aux contraintes de lentreprise tout en gardant un ceil sur le montant total des co ts dexploita tion Les solutions services voix vid o donn es et communication sans fil mises en place ont pour base des infrastructures intelligentes et robustes Des outils de gestion complets une s curit in t gr e et une fiabilit prouv e garantissent une Qualit de Service qui est indispensable pour les diff rents processus Management ou Direction r alisation et support de l Office Ces solutions services d ploy es actuellement se basent essen tiellement sur 7 l ments pour r pondre aux exi gences actuelles en la mati re Il sagit de la colla boration de la communication de la mobilit de l infrastructure du management du progiciel
36. pour laccr ditation autre ment d nomm e SADCAS se joint depuis deux ans TO fice Congolais de Contr le qui abrite le point focal de SADCAS en Afrique centrale pour c l brer la journ e internationale de l Accr ditation Ils le font ainsi avec les organismes homologues ou apparent s de tous les autres pays membres de la SADC et de la plan te conscients de lenjeu repr sent par laccr ditation Deux pr c dentes comm mo rations avaient t organis es LUBUMBASHI avant poste conomique de la RDC au sein dela SADC En 2012 loption a t prise dor ganiser KINSHASA cette ma nifestation pour deux raisons Premi rement il sagissait de souligner l importance sans ces se accrue de l accr ditation pour la RDC et l O C C en particu lier Deuxi mement si KINS HASA nest certes pas la RDC il en est sans nul doute le porte voix indiqu pour une mobilisa tion nationale des esprits et des ressources tant internes quex ternes en vue de l accr ditation L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 des structures dinspection et de certification des laboratoires dessais et d talonnages a dit en substance M Albert KASONGO MUKONZO Il a soulign quafin de pouvoir t moigner avec confiance de la qualit il ny a pas de voie plus appropri e que laccr ditation Celle ci est ainsi au final dans les secteurs d activit s de l O C C une condition plus que n cessai re dassurance de s curit et de
37. pr l vement d un chantillon d un lot pr t de concentre de cobalt d une taille de 300T ou 300 000kg et conditionn dans le BIG BAG Au labo de la DIRKAT la prise dessai lors de l analyse d un concentr de cobalt l ICP comme AAS ATOMIC ABSORBTION SPECTOME TER est 0 25g 250cc cest dire lg litre Le rapport de proportion est de 25 30000000 cest dire 1 1200000 Alors comment faire que la 1200000eme partie du lot soit repr sentative Pour pr lever l chantillon on peut proc der par une simplification par groupage pour aboutir une partie repr sentative et ce groupage peut tre de 30X10 cest dire group le lot en 10 tas en rai son de 30 big bag par tas Si le plan d chantillon nage est du type syst matique et que la sonde Figure 4 a une capacit de prise de 1 kg par tas nous aurons un chantillon composite de 30 kg et pour l ensemble de 10 tas la quantit d chan tillons composite g n rale sera 300 kg Si le lot pr t est 150000 Kg la composite g n rale sera de 150 Kg et si le lot pr t est de 1000kg la composite g n rale sera 10Kg La quantit d chantillon pr lever est fonction de la taille du lot mais la quantit d chantillon de laboratoire est constante fix e par le laboratoire en fonction de son besoin 2 Le pr l vement d un lot pr t de cuivre catho dique Au laboratoire de la DIRKAT lanalyse de cui vre se fait par m thode indirect comme repris au point VI 2
38. prescrivant des exigences sur les mesurages les pr emballages et sur les instruments de me sure la tra abilit au SI est exig e et est obtenue e gr ce au syst me d talons nationaux et aux ma t riaux de r f rence certifi s et e par la tra abilit des talons nationaux recon nus ou des mat riaux de r f rence certifi s prove nant d autres pays lorsque le niveau d incertitude du syst me d talons nationaux nest pas suffisant ou quand ce syst me ne couvre pas les quantit s consid r es M trologie l gale La m trologie l gale comprend toutes les activit s pour lesquelles des exigences l gales sont pres crites sur les mesurages unit s de mesure ins truments de mesure et m thodes de mesure Ces activit s sont r alis es pour garantir un niveau appropri de cr dibilit des r sultats de mesure dans le cadre r glementaire national La m trolo gie l gale fait usage de la m trologie scientifique dans le but dobtenir des r f rences et une tra abi lit appropri es Elle peut s appliquer toute gran deur trait e par la m trologie La m trologie l gale ne concerne pas seulement les parties int ress es par la transaction mais galement la protection des personnes et de la soci t dans sa globalit ex application de la loi mesures pour la sant et la s curit Les autorit s publiques doivent apporter une attention particu li re aux r sultats de mesure plus particuli rem
39. re en vue de remplir une mission de service public Service public Personnalis Il nest pas dans le commerce et nest pas anim par I esprit de lucre Le service public est une activit d int r t g n ral assur e par un Organisme public ou priv g rant une activit de ce genre L tablissement d utilit public est un organisme priv assurant un but d int r t g n ral ou service Libre Tribune Public Lentreprise du Portefeuille est toute soci t dans laquelle I Etat ou toute autre personne morale du droit public d tient la totalit des actions ou une participation Ces entreprises sont dans le com merce et dans la recherche de lucre Le mandataire Public est toute personnes physi que d sign e pour repr senter I Etat dons les or ganes statutaires des Entreprises ou des Etablisse ments Publics La personne morale est un groupement d indivi du auxquels la Loi reconnait une personnalit dis tincte de ses membres personnes physiques elles ont des droits et sont soumises aux obligations et ou sujet de droit Quant au concept de public en Droit il ren voie ce qui est relatif Administration li a la collectivit ou qui en mane dispos la satisfac tion deT int r t g n ral Ainsi ou terme de la Loi n 08 007 du 07 juillet 2008 portant disposition g n rale relative la transformation des Entreprises Publiques les En treprises Publiques sont vou es aux activit s
40. satisfaction justifi e par rapport aux attentes des consommateurs toutes cat gories confondues Apr s donc la prise de conscien ce vielle dune d cennie jour pour jour o en est exactement l O C C avec laccr ditation de ses activit s es l ments partiels de diagnostic sont fournis par les Termes de r f rence labor s par la Cellule d Experts pour la Certification et l Accr ditation de l O C C Ces termes ont pour objet le Recru tement d un Consultant interna tional en vue dassistance tech nique l Office Congolais de Contr le dans le processus de certification et d accr ditation Ils font suite au constat effectu en interne sur les limites rencon tr es ce jour dans ce processus et par cons quent dans la mise en application du plan strat gi que de d veloppement de l Of fice Congolais de Contr le Il y a certes lacquis r cent de lac cr ditation pour le Laboratoire de M trologie qu il va falloir au reste pr server par une d mons 13 Focus tration r p t e de comp tence au moins tous les trois ans Mais il va falloir aussi aller plus loin pour les autres secteurs dactivi t s Aller plus loin que lobjectif de Certification par la mise en place des Syst mes de Manage ment de Qualit SMQ suivant Direction P Agence la Norme ISO 9001 2008 avec notamment ses exigences rela tives l architecture documen taire LO C C a l avantage de compt
41. sentative d un ensem ble 4 Lot C est une Q uantit de produit ou un groupe de produit ayant la m me caract ristique physique ou un m me tat de conditionnement Quantit de mati re produite dans des conditions uniformes 5 Lot pr t C est une quantit de marchandise pr te tre livr e Caract ristique physique param tre de nature phy sique permettant de d finir un mat riel couleur struc ture forme microporosit et macroporosit plas ticit coh sion consistance duret granulom trie texture porosit etc 6 Composite ou chantillon compos C est Un chan tillon constitu d un ensemble d chantillon ponctuel combin en proportion gale ou de facon proportion nelle au poids ou au volume du secteur ou du lot que chaque chantillon repr sente 6 Q uartage C est l homog n isation des chantillons des pr l vements partiels d un lot Echantillonnage Al atoire syst matique 7 c est une m thode qui consiste pr lever au hasard des chan tillons selon une fr quence r guli re Echantillonnage Al atoire simple6 c est une m thode qui consiste pr lever des chantillons au hasard et de facon ind pendante Concentrer un minerai C est l ensemble d op rations chimiques ou physiques d enrichissement du minerai Feuille de Cathode Le d p t m tallique de la borne positive d une cellule d lectrolyse Alliage c est une combinaison d un m tal avec
42. sys t mes d valuation de la conformit A ce jour la RDC via l OCC a particip au choix de 4 nor mes en 2004 39 normes en 2005 1 norme en 2006 et 1 norme encore en 2009 LOffice est pr t les disposer aussi gratuitement ceux qui en formulent la demande Les inti tul s sont trouv s sur notre site web www occ cd Mais l ISO et la CEI ne couvrent toujours pas lensemble des be soins en normes exprim s au pays et pour cette raison l OCC va signer quelques protocole de collaboration avec des Insti tutions tel que ASTM Interna tional Institution am ricaine r put e dans l laboration des normes techniques notamment les secteurs p troliers les sec teurs des peintures et vernis les secteurs miniers etc LOffice est en cours de finali sation d un protocole de colla boration avec des Institutions Internationales d laboration des normes du secteur de t l communication comme PUIT Union Internationale de T l communication Un autre protocole est envisag avec le pays de NELSON MANDELA dans loptique des objectifs de la SADC visant la suppression des barri res douani res et ou tarifaires dans la sous r gion La Zambie est aussi dans ce pro gramme Mais le travail de normalisation est loin d tre facile Il ne s agit pas simplement de mettre en pratique les exigences et direc tives contenues dans les normes et dans les autres documents normatifs La normalisation cest aussi l
43. syst me Sans tre enten du Il y avait aussi d autre part des op rateurs conomiques qui se plaignaient de la multiplicit suppos e des frais O C C effec tu s hors Guichet Unique Pourtant une mission des Mi nistres du Gouvernement ef fectu e au Port de Matadi du 22 au 24 ao t 2009 et plus tard la Commission nationale dex perts en vue de la mise en place du Guichet unique int gral du Commerce ext rieur pour ne citer que ceux l navaient pas manqu de stigmatiser peu pr s dans les termes suivants les faiblesses du syst me actuel Faiblesse chronique de l outil informatique Inad quation et lacune du cadre juridique Multiplicit de proc du res d intervenants et de pr l vements Non prise en charge des op rations de pr d doua Douze ans tion du Guichet unique et sept ans apr s l envoi de la premi re nement et de post d doua nement Conflits de pr rogatives entre intervenants Survivance de traitement manuel des dossiers en de hors du Guichet Unique Faible transparence du syst me en raison notam ment d une absence de croisement d informations op rationnelles entre inter venants et partant concilia tion d ficitaire des donn es dans le syst me Minoration syst matique des pr l vements effectu s pour compte des op rateurs du syst me autres que la Douane avec comme effet la d fiance vis vis de celle ci des organismes victi
44. tion au niveau d un seul service de la liquidation et la perception de tous les paiements effectu s l occasion des importations et des exportations devait r pondre notamment aux objectifs suivants simplifier et harmoniser les proc dures de d douanement faciliter les changes commerciaux assurer une plus grande transparence des op rations r duire la dur e de d douanement des marchandi Ses ans le sillage de ce D cret les Minis tres des Finances et du Commerce si gneront le 12 juin 2006 l Arr t Interminist riel n 098 CAB MIN FINANCES et n 003 CAB 140 MIN CE 2006 por tant ses mesures dapplication Suivant son Article 6 la Douane devait conclure des protocoles daccord avecles administrations et organismes concern s en vue notamment de la conciliation p riodique des donn es et des comptes de la v rification de l efficacit du syst me et le cas ch ant des ajustements jug s n cessaires Cela na pas t fait entre l O C C et la DGDA mal gr un projet de Protocole dac cord de collaboration initi par l O C C et transmis la Douane depuis le 16 mars 2007 et rest sans suite jusqu un pass r cent Entretemps il y avait dune part l O C C qui continuait tre victime des dysfonctionne ments du Guichet Unique dans sa configuration actuelle mar qu s en particulier par l rosion vertigineuse de son revenu de vant tre percu obligatoirement via ce
45. un maximum de cadres f minins de l Office afin de donner un plus grand retentissement la voix du genre Les d marches en cours pour la mise en route dun Comit national lectrotechnique ainsi que d autres initiatives pour faire bouger len treprise vers le haut de la pente sont aussi res titu es notamment la promotion en son sein de la Norme ISO 26000 sur la respensabilit soci tale de l entreprise RSE La construction d une cit de 1500 logements pour le person nel vient detre lanc e Kinshasa Nsele Vivement merci tous ceux qui y contribuent en interne et en externe au premier rang des quels le Chef de l Etat M Joseph KABILA KA BANGE Il sagit de maintenir tout prix la marche sur la pente du progr s Cap sur la prochaine dition et prochaine tape Kb S Albert KASONGO MUKONZO Directeur G n ral m i Li ES T SADCAS R x ACCREDITATION DES ORGANISMES D ncm Z CERTIF D ESSAIS ANALYSES ET D ETALONNAGES E mm ASSURANCE DE COMPETENCE ET FIABIL m DES RESULTATS N Il e e S ATE 81 CORMISRCH OCT Sal AS RUSCH of lon Annonc e initialement pour l or e 2006 l accr ditation int grale des ac tivit s de l O C C au plan international se fait attendre Peut tre pour avoir vis trop haut Peut tre aussi faute de strat gie appropri e Il y a eu bien s r tout r cemment l accr ditation du Laboratoire de M trologie Section masse Une premiere en Afrique
46. 05 Ww B A DGDA INSS SNEL REGI DESO CNPR ONC OGE FREM Au chapitre dautres activit s son cursus offre les indications suivantes P Secr taire G n ral puis Coordinateur de la Pastorale des Intellectuels et Cadres Di rigeants Catholiques de l Archi dioc se de Kinshasa 1997 ce jour P Correspondant de la Re vue Frangaise travail et pro fession doutre Mer 1982 1985 P Membre de la Commis sion de facilitation du commer ce ext rieur 1985 1988 Membre de la Commis sion Interminist rielle Sanitaire et Phytosanitaire SPS en gt RDC sur les aspects com merciaux P Participation aux travaux o dusyst me global de pr f rences commerciales Ge n ve et Belgrade 1988 o de lAssembl e g n rale de PISO o de l Assembl e g n rale de l OIT o de la Banque Mondiale relatifs l Etude Diagnosti que sur l int gration du Com merce EDIC de la RDC o de la CNUCED sur le Cadre Int gr R nov CIR en sigle o delONUDI sur la relan ce des fili res industrielles o du SADC COMESA et ORAN sur la normalisation et la m trologie Participation aux nom breux ateliers de formation Abidjan Belgrade Boston Bruxelles Dares Salam Gen ve Harare Kinshasa Lusaka Nairobi Paris Universitaire il est auteur de plusieurs publications et tra vaux dont Notes de jurisprudence dans Travaux et Profession
47. 1 Chef de D partement O81 333 O6 45 adriennebokabo yahoo fr 081 599 26 45 099 991 60 23 081 32 33 515 099 818 40 34 081 501 72 75 081 810 14 49 099 99 15 418 081 518 18 89 Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint 089 58 52 689 Chef de Direction Chef de Direction Adjoint 081 502 98 34 kasumpatafr yahoo fr Chef de Direction Chef de Direction Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint 081 860 03 OO 099 851 35 07 Chef de Direction Chef de Direction Adjoint 099 886 70 10 Chef de Direction Chef de Direction Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint Chef de Direction Chef de Direction Adjoint MM C lestin Ingulu Gatambiye Issa et Camille Engwanda Directeurs provinciaux du Nord Kivu du Sud Kivu et du Bas Congo en voyage de formation sur le PVI aupr s du Groupe Veritas Bivac Par
48. 1959 pour ladapter au Syst me m trique d cimal des poids et mesures Et depuis l accession du pays l ind pendance cette loi na pas t mise jour selon les l ments d une loi de m trologie d finie dans l OIML DI CAFMET Suivant une tude men e par les Experts de l ONUDI en 1978 dans le cadre de l industrialisa tion dela RDC il avait t d montr l importance de la normalisation et de la m trologie comme infrastructures qualit indispensables au d velop pement industriel Cest ainsi quen 1980 cest dire l issue de cette tude les activit s techniques de la m trologie ont t transf r es de l administration du Minist re de l Economie et Industrie POCC Ndr voir du m me auteur M trologie l OCC Jalon d une infrastructure nationale de m trologie Ces activit s techniques de la m trologie ont volu jusqu la mise en place d un laboratoire de m trologie accr dit dans le domaine Masses en septembre 2011 par COFRAC suivant la norme internationale ISO CEI 17025 des exigences de comp tence reconnues aux laboratoires dessais et d talonnages Quid de CAFMET http www ac metrology com CAFMET2012 Le Comit Africain de M trologie CAFMET est une Association sans but lucratif des Instituts Na tionaux de M trologie ou Laboratoires Nationaux de M trologie des Agences gouvernementales de poids et mesures des Industriels du domaine de M trologie des Universi
49. Car di ra t il nous devons le reconnaitre ce projet ne pouvait pas se r aliser sans son implication per sonnelle Et de poursuivre plus loin en d clarant Il est l un des rares employeurs avoir compris la n cessit daccompagner son personnel pour ce type d initiatives afin que ce dernier devienne da vantage productif pour le grand bien de l Etablis sement public quil dirige Lon comprend quen guise de reconnaissance le site porte son nom et celui du leader syndical sans renonciation pour l un ou pour lautre de d fendre des int r ts par fois en contradiction sur le plan strictement pro fessionne d KE La gratitude ainsi j expri m e s est tendue en droit des outes les autorit s gouverne entales commencer par le Chef de lEtat le Premier Mi nistre ainsi que les Minis res qui ont fa cilit lobtention des arr t s mi nist riels n cessaires la r alisation du projet Les initiateurs esp rent obtenir aussi un Arr t interminist riel devant exon rer ce projet social d urbanisation des droits de douane et d autres taxes que les travailleurs seuls ne pourraient sup porter Un grand merci a t exprim galement au parte naire CSC ACV Belgique repr sent par KARIN DEBROY tandis que la Soci t Sud Africaine HYDRAFORM tait repr sent e par STEVEN et JAMES MUYOMBO Ces derniers ont en charge la formati
50. DC peut r ellement constituer un obs tacle l essor national du com merce et son int gration dans l conomie internationale Car 11 Focus on attend aujourd hui de chaque pays qu il puisse d montrer non seulement ses citoyens mais aussi au reste du monde que les produits et services issus de son territoire sont fiables s rs et res pectueux de toutes les normes essentielles dont celles li es la qualit environnementale Pour atteindre ce r sultat cha que conomie doit disposer de capacit s techniques efficaces sinon trouver acc s des com p tences trang res pour sous tendre ses services d valuation de la conformit Lon se souvient qu loccasion du premier examen de la politi que commerciale de la R publi que D mocratique du Congo en novembre 2010 par l Organisa tion Mondiale du Commerce il a t fait tat de la faiblesse des L e S BT Am RS r Eu Lb our DM URN GTA wat Weste Gif dub v administrations comp tentes et des infrastructures de qualit notamment des laboratoires dont lessentiel na pas encore obtenu daccr ditation interna tionale ourtant les hommes daf faires les consommateurs congolais et les responsa bles des services publics sont divers degr s concern s par la qualit la s curit la fiabilit l interop rabilit lefficience l efficacit et la contribution au d veloppement durable des pro duits et
51. Kins hasa D E S en Droit Priv de la m me Universit Dipl m de Licence en P dagogie Appliqu e aux Sciences Agronomiques et V t rinaires de Universit P dagogique Nationale UPN Option Phytotechnie il a t aussi auparavant e Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre de lIn dustrie Petites et Moyennes Entreprises 2005 el s A A Ji P Y an ail e e Coordonnateur de la Cellule d Etudes et de Pla nification Industrielle CEPI en sigle au Minist re de l In dustrie Petites et Moyennes Entreprises 2004 2005 e Vice Pr sident de PAs sociation Nationale des En treprises Publiques en sigle ANEP de 1998 2001 e AdministrateurDirecteur Financier l Office Congolais de Contr le 1988 1993 e Directeur Administra tif de l Office Congolais de Contr le 1983 1988 1993 1997 2007 2012 e Avocat pr s la Cour d Ap pel de Kinshasa 1978 1983 3 e Assistant puis Chef de L Oeil n 008 Ao t Septembre 2012 Travaux la Facult de Droit de l Universit de Kinshasa 1976 1985 N le 15 septembre 1953 MAKUTANO au KATANGA dans le District de TANGANYI KA Territoire de KONGOLO Maurice MBAYO MUHIYA est mari et p re de 5 enfants Engag politiquement il est e Membre fondateur du PPRD e Membre du Conseil Na tional du PPRD e Coordonnateur de lIn ter cellules de base Sp cialis es PPRD entreprises OCC DGI DGRAD 1
52. La Revue de l Office Congolais de Contr le Li N 008 Ao t Septembre 2012 Economie et Commerce SADCAS OCC MOBILISATION GENERALE POUR L ACCREDITATION EON GE mo mi menti AUNE VU E T DEVELOPPEMENT per M TROLOGIE L OCC JALON D UN SYSTEME NATIONAL DE M TROLOGIE Wir T LI x H Assister les gouvernements et les institutions internationales dans la facilitation des changes commerciaux pour B r rotege le consommateur en matiere de securite et d environnement E Assurer le respect des reglementations en vigueur et La Conformit des marchandises aux specifications contractuelles L B Mettre a disposition un outil performant de suivi et de gestion du merce exterieuil r l i Poo e LL ed a af af wv Se eem Ze z F L Te Lei m a M Ted p ud j E NL A J D ur KO au i LS d P LC DUT ALL E a KT V S Lu I DOT ad UI si e gt l 5 Pour en connaitre les modalit s nous vous invitons nous contacter m Bureau Veritas BIVAC RDC avenue des Etoiles 22 09 La Bombe Le Kinshasa R publique D mocratique du Congo T l 12431 09 90 03 69 10 7 11 Bureau Veritas Services aux Gouvern ments amp Commerce li 820 Boulevard du Ch teau 22200 Neuilly sur Seine France T l 3315524 7765 Fax 33 55 24 70 40 dai keen com www bureauveritas com gsit l ambition que Nous vous avons propos e pour notre pays et que vous av
53. Ministre de l Economie et Commerce a tout de suite sou lign lenjeu de laccr ditation par rapport au d veloppement du commerce et la croissance conomique d une part lenjeu 0000 lt p gt L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 particuli rement aussi eu gard lexigence de s curit alimen taire et dapprovisionnement en eau de boisson saine d autre part Reprenant le Directeur G n ral de l O C C qui s tait exprim peu auparavant il a r p t que la comp tence technique l autre mani re pour ainsi dire de d finir l accr ditation ne passait point par lauto proclamation ni par une attribution d autorit dans les secteurs d valuation de la conformit repr sent s par l inspection la certification la m trologie talonnages et les essais ou analyses de laboratoi res M NEMOYATO a rappel que face la mondialisation et la transformation sans cesse crois sante de la plan te en un vil lage global avec notamment la suppression sinon du moins la r duction continue des barri res tarifaires et non tarifaires la qualit certifi e des produits soumis l change internatio nal ou encore celle des syst mes prestataires des services devient un crit re aussi bien de s lection que dexclusion dans le syst me commercial multilat ral et l co nomie internationale Or di ra t il cette certification de la qualit est troitement associ e laccr ditation preuve enregis tr
54. SADCAS OCC Mobilisation g n rale pour l accr ditation HME S eoe ZU e DGDA OCC La sainte alliance dans le Guichet unique e La RDC au QATAR la XII me CNUCED Echos de HANOI Le Bioterrorisme Hommage ceux qui b tissent ntranet OCC Un produit la mesure de 10 ans d accouchement escale de Marrakech ou l adh sion CAFMET DOSSIERS DE L IL 38 Un m tier mal connu Le commissariat d avaries M trologie l OCC Jalon d un syst me national de m trologie Mise en uvre de l conomie verte Apports de l inspection Port e et limites de la gestion du risque Prestations OCC sur les produits p troliers Probl matique de la r mun ration e Echantillonnage des produits miniers au KATANGA Observations pratiques Analyse de la cigarette Focus sur la nicotine et le goudron e Sur la voie d une normalisation participative et inclusive ECHOS DES PROVINCES ve vw 90 OCC Gender eee 982 Comprendre pour agir autrement La femme congolaise face ses droits LIBRE TRIBUNE vu 86 Transformation des entreprises publiques Vers le temps du bilan COIN DE PARTAGE 90 e Audit qualit Contenu et mode d emploi e Politique de formation du personnel l OCC M CH ALBUM DE L Errana mme 0 BLOC NOTES EEE EEE EEH HER DR emen Y a e Un new Deputy Chief Executive l OCC IMBIEEOINEVE Sur la pente du pro
55. VITES ET INTERVENTIONS Le FPI a financ de 2006 2011 577 projets pour une valeur de FC 146 407 931 041 Ces interventions ont permis aux entreprises financ es d acqu rir les quipements et pi valoriser les ressources locales par la production des biens de consommation pour la satisfaction des besoins de nos populations et la r duction de la d pendance de notre pays vis vis de l ext rieur IMPACT SOCIO ECONOMIQUE l impact socio conomique des interventions du FPI se traduit par plus au moins cinq mille 5 000 emplois cr s et ou maintenus au cours de ces six derni res ann es le sauvetage de plusieurs industries nationales au bord de la fermeture Le FPI s est inscrit dans la vision de la r volution de la modernit pr n par le Chef de l Etat son Excellence Joseph KABILA KABANGE Comme catalyseur du d veloppement industriel en RDC mobilisant les ressources n cessaires pour financer davantage les projets industriels en vue d am liorer les conditions de vie des congolais Les interventions du FPI couvrent l ensemble du territoire national Dans chaque province il compte des r alisations majeures avec des incidences socio conomiques videntes SIEGE SOCIAL Avenue LUKUSA n 16 en Face du cercle Elaeis T l phone 243 081 69 05 362 Fax 243 081 03 83 407 Site www fpi rdc cd Kinshasa Gombe SO lul Ad EDITORIAL vo vu vw 8 FOCU Siis THEO OUS LU Economie et Commerce
56. a participation ac tive aux travaux d laboration d adoption d harmonisation des normes et de tous les documents normatifs pouvant contenir des dispositions exigences ou di rectives susceptible d apporter solutions aux probl mes pr sents ou futurs qui se posent notre soci t Cest travers cette participation quon influence les exigences ou les directives des normes para tre cest dire en laboration ou en harmonisa tion en all geant par exemple certaines dispositions jug es pointues De cette fa on on peut faire b n ficier au maximum la nation des avantages de la normalisa tion internationale Cest dans cet optique que la hi rarchie de l Office a compris et jug n cessaire d accompagner la R volution de la modernit en invitant les parties prenantes Industriels Fournisseurs Scientifiques 71 ro oae lko Ve n utdane Mit ci ES d JBUdget M Daniel MUKOKO SM ere elu DKO Xs aur XX 69 UOL Pouvoirs publics Evaluateurs de la conformit Associations de Consommateurs apporter leur expertise pour la cr ation des structures de r flexion sur des sujets pendants et pineux pour notre population Ainsi donc le 25 mai de l ann e en cours les parties prenantes se sont retrouv s dans la salle de r union de l Office Congolais de Contr le et pour la premi re fois dans l histoire de la R publique un cadre permanent de r flexion sur les quest
57. a relation entre deux entre prises I une tant en situation de fournisseur l autre en situa tion de client exige un climat de confiance quant la qualit des produits du fournisseur Le fournisseur doit prouver au client que ses produits seront conformes ses exigences Ainsi pour donner confiance ses clients et leur apporter des preuves lentreprise sengage souvent dans une d marche de management qualit cest dire un ensemble des activit s de la fonction g n rale de ma nagement qui d terminent la politique qualit les objectifs et les mettent en oeuvre par les moyens tels que la planification de la qualit l assurance qua lit et l am lioration de la qualit dans le cadre du syst me qualit ISO 8402 1994 a m thode repose d une part sur lexistence d un recueil de proc dures le manuel qualit tabli par le fournisseur et dautre part sur des enqu tes programm es et organis es suivant une certaines m thodes du client chez le four nisseur audit qualit pour v rifier que les proc dures sont respect es Le mot audit vient du latin audire qui veut dire couter au sens de porter une atten tion suffisante aux dol ances de quelquun afin de mieux com prendre ses probl mes pour lui apporter ventuellement les l ments de solutions appropri es Laudit selon le dictionnaire Pe tit Robert cest exprimer une opinion favorable ou d favo rable sur qu
58. ais que les r sul tats et les objectifs sont atteints et seulement s ils sont atteints des modifi cations des actions pr tablies pourront avoir lieu 2 Assurer lefficacit du sys t me qualit Si ces disposi tions sont mises en uvre de fa on efficace cest l que r side toute la valeur et la puis sance de I audit qualit En effet il sagit pour les audit s et les auditeurs d valuer Tef ficacit des activit s et dispo sitions effectivement miseS en uvre Cest ce niveau que les suggestions d am lioration de pr vention ou de modifications des dispo sitions pr tablies peuvent tre apport es par les partici pants l audit 3 Assurer que les objectifs de qualit et les objectifs de ma nagement qualit sont effec tivement atteints en mettant en ceuvre le syst me qualit d fini et apte atteindre les objectifs et assurer une am lioration permanente conduisant la p rennit de lentreprise Comment une entreprise peut elle obtenir de bons r sultats qualitatifs JURAN compare la fonction qualit la qualit financi re Ainsi pour avoir de bons r sul tats financiers on fait appel trois processus de management le planning financier le contr le financier et l am lioration fi nanci re Le premier se traduit par l tablissement des budgets pr visionnels le second est len semble des activit s de contr le de gestion et le troisi me corres
59. alablement au titre de cadre juridique l Arr t minist riel n 0514 cab min mines 01 2007 du 22 novem re 2008 portant d signation des servi ces habilites assurer la tra abilite des flux ma ti res des produits miniers Sont seuls autoris s tre pr sents dans la fili re des produits miniers du lieu point dextraction dentreposage de traite ment ou de transformation usine de certification ou de mesurage de transport de commercialisa tion et dexportation des minerais conform ment leurs statuts les repr sentant des services des organismes publics ci apr s 1 Ladministration des mines 2 Le Service d assistance et dencadrement du Small Scale Mining ou production mini re pe tite chelle SAESSCAM 3 Le Centre d Evaluation d Expertise et de cer tification des substances min rales pr cieuse et semi pr cieuse CEEC 4 LOffice Congolais de Contr le OCC 5 LAdministration du commerce ext rieure Suivant par ailleurs l Arr t minist riel n 3164 CABMIN MINE 01 2007 du 11 08 2007 por tant r glementation des activit s des laboratoires danalyses des produits miniers marchands dans son annexe 3 article 18 le Certificat mis par lof fice Congolais de Contr le conform ment ses attributions de contr le de qualit de quantit et de conformit de toutes les marchandises des analyses de tous les chantillons et produits vaut certificat de qualit req
60. ana d l bcinbons Morsieur ia Premier Ministre Chet du Gouvarnarment de lia R publqua D mocratue du Congo vendredi 20 avril 2012 Mngsage de f dactabons honorable Aubin Minnku occasion de sa brinda decion a Pr sence du Bur tau de l Assembl e nationale de ka seconde Mos kdeg de la Mu R gublque h ndi 16 avri 2012 Actualit s m tiers Blvac ROC au c ur de la facilitation du commerce C iudi 16 ao t 20127 Kl Bua ent ume be du I gruppe Burean Veritas kajer mondial res Lens Eeken de color gl dea certification n 1828 b D KA x BL ROLE Siten amp IMVNIEDIE ae a misran L DH i i D couvrir ISO 26000 ee mardi 31 pilet 2012 15026000 La a d Me Table paima m parmal qe comorendra M grandes hgnes de la Hermes niernalnale d application roipniara ISO 250002010 Lignes drectices relatives la Mise en route du processus d accr ditation emm Legende Tia cod corn na ii PERED Garmi due tidah na Laccumredcs e Cam Aes mA D pus grande lecce du Wang Femmes Li ner cao 5 ur ent D Fafe T P 2n t marchis publics lunds Z3 het 2012 Vans de travall du DGA M Maurice Mbayo Muhra Bonn B tamig 21 uet 2012 La peste OCC ie laboratore m itrolegeue de Kmnshasa remis en f EP joudi 18 jet 2012 Consommation Le gouvernement pr t lever la d rogation de la TVA sur certains produits strat giques i aje Emm 1 L
61. antillon pr lever est fonction de la taille du lot mais la quantit d chantillon de laboratoire est constante fix e par le laboratoire en fonction de son besoin Es L oeil n 008 Ao t Sept 2012 2 Le pr l vement d un lot pr t de cuivre catho dique Au laboratoire de la DIRKAT l analyse de cui vre se fait par m thode indirect comme repris au point VI 2 Les produits de l lectrolyse sont des produits de grande puret Si on se permettait de cr er un sce nario dans lequel la feuille de cuivre titrait 10096 on se dispenserait de pr lever un chantillon pri maire composite et de se contenter de faire di rectement la prise dessai de 1g sur un point de la feuille pour v rifier la puret car la probabilit de pr sence est 10096 Mais parce qu il y a les im puret s et que l analyse est faite sur ces impure t s la quantit d chantillon doit tre pr lev e de telle mani re que la distribution des ces impuret s soit uniform ment r partie sur tous les points de la cathode et le nombre de cathodes pris comme chantillons primaire du lot doit de m me ob ir ce principe Fig 2 et 3 12 Figure3 Feuille cathodique de cuivre La quantit d chantillons pr lever est fonction de la distribution statique ou de la probabilit de pr sence de l l ment doser de la concentration de l l ment doser et de la taille du lot De la pr paration de l chantillon de laboratoire La pr para
62. aract ristique en question si les valeurs extr mes r pondent leurs besoins Le management de la qualit consiste r aliser I ajustement de ces deux ensembles L un des buts de l audit qualit est d va luer le besoin d am lioration ou daction corrective Il convient de ne pas confondre l audit avec les activit s de surveillance de la qualit ou de contr le de la qua lit men es dans le but de mai triser un processus ou d accepter un produit La finalit d un audit qualit est donc de v rifier l efficacit d une organisation cest dire essen tiellement la capacit d une or ganisation atteindre sa propre finalit Laudit qualit a poursuit les objectifs suivants Coin de Partage 1 Sassurer que les activit s et les r sultats sont confor mes ce qui t pr vu et at tendu Nous pouvons effecti vement consid rer qu il sagit d un contr le de conformit entre le pr vu et le r alis Il y a lieu dengager des actions qui peuvent tre de deux na tures actions correctives il sagit de remettre le train sur le rail cest dire de faire respecter les dis positifs pr tablies Pour cela des actions de sensi bilisation d information et ou de formation peu vent tre organis es pour se mettre en conformit par rapport au r f rentiel d action de modification si les activit s r ellement mises en uvre sont dif f rentes des actions pr tablies m
63. arge de l O C C Pourvu que la donne change favora blement pour tous Franck MUKANYA LUSANGA La RDC au QATAR i LA XITI ME CNUCED i DOHA C est la capitale et le main town du QATAR Ici s est abrit e la XIII me Conf rence des Nations Unies sur le Commerce et le D veloppement du 21 au 26 avril 2012 En l absence de l ex Ministre du Commerce emp ch e M Albert KASONGO MUKONZO est intervenue par d l gation pour le compte de la mission d experts de la RDC armi les questions lordre du jour de cette conf rence de haut niveau il y avait notamment les obstacles techniques au commerce la promotion de l investis sement la coop ration Nord Sud et Sud Sud les conditions de croissance conomique et de r duc tion de la pauvret l implication du secteur priv et sp cialement de la femme dans les transforma tions sociales jug es n cessaires QATAR a t le lieu de la stigmatisation du consensus de Washington fond e sur le tripty que Aust rit Lib ralisation et Privatisation Ce triptyque est selon daucuns aujourd hui d pass dans un contexte de crises multiformes o le r le r gulateur de l Etat est difficilement remis en question QATAR et sa belle ville de DOHA en pleine trans formation pour accueillir la coupe du monde en 2022 tait une opportunit offerte la commu naut internationale pour ouvrir la voie l labo ration dun programme de d veloppement pl
64. com merce dimport et dexport en attendant lav nement souhait par tous d un Gui chet Unique plus complet et performant o la dimension des perceptions ferait bon m nage avec celle des op ra tions du commerce avec no Actu OCC tamment l change crois des donn es entre partenaires Un nouveau d part A l issue de six mois des tra vaux qui ont failli plus d une fois tourner court sans l implica tion des deux hautes Directions la Commission mixte mise en place conjointement par M D o RUGWIZA MAGERA et M Al bert KASONGO MUKONZO pour l int gration des frais OCC dans le syst me SYDONIA a produit sp cialement les docu ments interconnect s et instru ments de collaboration dans le Guichet Unique suivants I Le Rapport final des tra vaux d int gration avec tous les frais OCC exigibles en annexe II Le projet de Protocole d accord de collaboration en tre l O C C et la DGDA dans le cadre du Guichet Unique finalement adopt et sign par les deux Directions G n rales le 16 mai 2012 l H tel SULTANI de KINSHASA 3 III Le projet d Instruction de la DGDA ses services pour l int gration des frais O C C exigibles dans le circuit de d douanement IV La D cision conjointe O C C DGDA portant mise en place du Comit de suivi permanent du Protocole daccord de collaboration O C C DGDA dans le cadre du Guichet Unique d j si gn e Au regard ainsi des textes
65. contrefa con des m dicaments et aussi le trafic des produits alimentaires autrement appel agro terro risme bioterrorisme etc Sous dautres cieux les orga nismes homologues de l O C C b n ficient cet gard du sou tien sans faille des autorit s gouvernantes de ressources ou logistique suppl mentaires de protection contre les pressions ext rieures Quand l activit co nomique devient synonyme de confection l chelle industriel le de faux documents l import par voie de la cybercriminalit la minoration syst matique des valeurs la fronti re allant de surcro t jusqu l importation d lib r e des produits impro pres et vecteurs de la mort alors le crime nest pas seulement co MFAlbert KASONGO zt nomique Il est aussi sanitaire Lindustrie de la mort g n rale ment d nonc e en ce qui concer ne la contrefacon des produits pharmaceutiques lest moins pour l autre d sastre que repr sente l importation des denr es alimentaires absolument non conformes aux standards natio naux et internationaux Etle pire surviendrait lorsque ceux qui ont la mission l gale de garde fous par l valuation de la conformi t seraient priv s d une mani re ou l autre dexercer correctement leur devoir protecteur A lactif de l Office Congolais NZOj ef Gef SE de 1000 fec ler eSident Kack a Hai de Contr le dans laccomplis sement inlassable de cette mis sion plus
66. coute clients effectu Sege ment par le D partement Commissariat d Avaries de l Office Con gea olais de Contr le il a t conclu qu une partie non n gli e de citoyens congolais ignore jusqu l existence m me du m tier de Commissaire d Avaries C rtainement cause de plu sieurs facteurs dont le manque de la culture d assurance n effet la majeure par b des Congolais ignore la n cessit de souscrire une assurance pour se prot ger contre toutes sortes de dom mages ou pertes susceptibles de survenir leurs biens ou mar chandises Une autre raison et non de moindre selon notre per ception est l absence de publici t de l activit des Commissaires dAvaries sur la place publique utilisant souvent pour leur pro motion le contact personnel et direct avec les potentiels clients qui sont sp cialement des assu reurs ou de grosses soci t s D autres citoyens par contre simaginent le m tier de Com missaire d Avaries comme tant une sorte de police pour emp cher la circulation dans le pays etla consommation des produits impropres sp cialement les pro duits alimentaires cosm tiques et pharmaceutiques en les d truisant syst matiquement Ce qui nest pas du tout exact parce que le m tier de Commissaire dAvaries est incompatible avec celui du Policier D aucuns peuvent simaginer les quantit s normes de biens et de marchandises qui circulent travers le monde dans le ca d
67. ct re effectif proportionnel et dis suasif Dans ces conditions l valuation des risques a comme fonction dexaminer et de d terminer la probabilit de survenance d un v nement d des facteurs divers Son r le est de g rer au mieux les ressources limit es de contr le le temps al lou pour ledit contr le tant g n ralement tr s r duit au regard de la diversit de la mati re en comp tition Durant ce laps de temps lentreprise ou sp cialement lorganisme de contr le doit s lectionner les marchandises devant faire l objet du contr le ou d une visite d cider du degr et des tapes d analyse ou dessai Un des objectifs de l analyse des risques est alors de connaitre la mani re dont lorganisme de contr le peut choisir ou mieux comment il peut r partir les ressources temps moyens humains mat riels pour optimiser les r sultats Dossiers de L Oeil Une caract ristique commune des conditions de travail de tous les organismes de contr le aux fron ti res est le volume lev de transactions l im portation et la simple impossibilit de les v rifier toutes de mani re exhaustive surtout quand elles ne sont pas bien conditionn es Le seul moyen de sen sortir devient la s lectivit par la cat gorisa tion des produits et la mise en place de proc du res cons quentes valuation des risques dans ce cas est utili s e pour permettre la s lection ou le ciblage en concentrant l acti
68. ctro technique National pilot par la SNEL comme Pr sident et l OCC comme Secr taire G n ral fait par tie de nombreuses actions o son implication a t particuli rement appr ci e FML Bloc Notes OCC ET LA NOR 60 SO se L m d J Le Vice Premier Ministre Daniel MUKOKO le DG KASONGO et le DGA MBAYO au Salon sur la RSE i E P D A u 12 au 13 juin 2012 il sest tenu au Grand H tel de Kinshasa une table ronde sur La res ponsabilit sociale des entreprises au mieux la respon sabilit soci tale R S E Une ini tiative conjointe du Fonds Social de la RDC FSRDC de la Fondation Entre prendre et du Grou pe EMI CONSUL TING Objectifs Identifier des actions exemplai res et innovantes sur la RSE pour les faire connaitre au public Sensibiliser les responsables co nomiques SO Claux et insti tutionnels la 572 L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 responsabilit so ci tale Valoriser les en treprises qui pren nent en compte humain et son environnement dans le cadre de leurs performan ces Institutionnali ser le concept et remettre chaque ann e des prix d excellence aux Meilleurs OCC apr s avoir en son temps pris part ladoption de la Norme ISO 26 000 et en avoir assur la diffusion sur le ter ritoire dela RDC a particip remarqua blement cette table ronde Ci contre vi
69. de celui qu il appelle Commissaire d Avaries et quil a d sign pr alable ment au niveau de chaque des tination Le Commissaire dAvaries est donc la personne physique ou morale d sign e par l assureur L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 pour constater en cours de route ou destination les dom mages ou avaries survenues aux biens ou marchandises assu r es Le m tier de Commissaire d Avaries est donc une cr ation et une sp cificit de l assurance maritime A la souscription de l assurance l Assureur et son client assur signent un contrat mat rialis par le document appel la po lice d assurance ce document comporte les conditions g n rales et particuli res de la mise en uvre du contrat les obliga tions et droits respectivement de l assureur et de l assur Un deuxi me document appel certificat d assurance est sign par l assureur et remis l assur Il mat rialise la mise en uvre du contrat d assurance sur un bien ou une marchandise pr cise et d signe le nom du Commissaire d Avaries que l assur devra requ rir en cas d avarie ou ris que davaries Par le terme avarie il y a lieu de comprendre tout dommage ou perte pouvant survenir un bien ou une marchandise manquant grati gnure d chirure vaporation etc Le r le du Commissaire d Avaries est donc de pr venir ou constater lavarie selon les r gles de l art la demande de l assu
70. deau potable saine nest pas s rieusement envisageable sans des structures d valuation dela conformit ayant une com p tence reconnue travers l ac cr ditation D o le soutien fer mement proclam du Minist re de l Economie et Commerce au partenariat du Service d Accr ditation de la SADC SADCAS et de l O C C pour faire avancer le dossier hautement sensible de l Accr ditation en RDC Age de accr ditation l O C C Laccr ditation est au c ur de la vision manag riale de l O C C depuis une dizaine dann es La vision tend de plus en plus prendre des formes concr tes Ainsi est il apparu imp ratif au Directeur G n ral cette ann e plus que dautres de marquer ostensiblement cette d termi nation conduire sans plus de retard l Office vers la reconnais sance internationale de sa com p tence technique dans les sec teurs cl s de ses activit s comme valuateur de la conformit tant il est vrai que les Etats et les or ganismes partenaires dans la r gulation des transactions com merciales et de la production industrielle travers le monde sont de plus en plus pr occup s les uns et les autres par l assu rance de qualit Et celle ci nest pas seulement tributaire des ca ract ristiques intrins ques des produits ou des syst mes mais aussi de la comp tence des va luateurs personnes morales et physiques En R publique D mocratique du Congo l Agence de la SADC
71. des services L valuation de la conformit offre le moyen de v rifier que les produits et services r pondent aux attentes des consommateurs qu ils sont conformes aux normes perti nentes aux r glements techni ques et autres sp cifications Elle permet de sassurer que les pro duits et services tiennent leurs promesses Bref elle permet de B tir la confiance Titre du dernier Manuel de l ISO pour l valuation de la Conformit Dans ce contexte le Ministre en exercice de l Economie et Commerce sest inscrit dans la continuit de la politique com merciale du gouvernement de la R publique qui a t justement pr sent e lors du premier exa men de la R publique D mo cratique du Congo l OMC Il y a t d clar notamment es sentiel que la RDC puisse b n ficier de l appui des partenaires internationaux dans le cadre du renforcement des capacit s des structures charg es de l valua tion dela conformit au premier chef desquelles l Office Congo lais de Contr le Un tel appui lui permettra de r pondre aux WII multiples attentes de l Etat r ga lien et de tous les autres agents conomiques dans le secteur du commerce et de l industrie Ce qui a t dit ci dessus pour tous les produits et services de mani re g n rale vaut videm ment aussi pour les produits ali mentaires et l eau en particulier Lassurance qualitative de s cu rit alimentaire et de consom mation
72. e simposait dans le cadre du programme g n ral de redressement macro conomique et sectoriel La r forme a pour objectif de cr er un cadre insti tutionnel susceptible d insuffler une dynamique nouvelle aux entreprises du Portefeuille de I Etat en vue dam liorer leur potentiel de production et de rentabilit de contribuer ou renforcement de la comp titivit de ce entreprises et de I ensemble de l conomie nationale Avant d aborder le fond du sujet il serait de bon aloi de d finir certaines acceptations qui pour raient pr ter confusion dans certains esprits Il sagit en occurrence des concepts ci apr s en treprise publique tablissement public tablisse ment d utilit public service public entreprise du Portefeuille mandataire public personne morale et m me le concept public tout simplement Wi 8 ra E d ue Que signifie t il en Droit Par entreprise publique lon entend toute person ne morale du droit public faisant partie du porte feuille de l Etat cr e g r e contr l e par P Etat qui en d tient la totalit ou la majorit des actions ou parts sociales Elle est dans le commerce com p titive la recherche du gain et du lucre On peut aussi appeler Soci t Commerciale L tablissement public est quant lui un organis me public une personne morale de droit public cr e g r e et contr l e par I Etat qui a une auto nomie financi
73. e produits p troliers les Normes OIML les NTI l hygi ne la s curit et l environnement en milieu du travail la passation des march ss publics la fixations des prix etc Michel BATULI SANGATE Chef de Service Statistiques du Personnel Adjoint Pacific trading sprl une soci t de droit congolais sp cialis e dans le sie 4 du transil marilime el a rien avec rre exp rience de plus de 14 ans EPA KASUNMIBALESA Gestionnaire des ie en partenanat avec la DGDA Douane Congokaisej sur fc o de la R publique D mocrg vos im aed orta ocolos e Made de v os navires Sibae social KINSHASA AR m Ge Emas d un phe public i E ee Ove 22 X m A ivre E I Ge chop iue ponia 7 ETL x d 4J Aja NY Ir ji ti 1 HORS TOT L RU ead i Cie r LL t ir A T ru T J SC EA i L ILE U j R VE lj l 8 tes Du x Fa a f i 1 A i i i d a my j 1 np a E i F pr F E d HI D Lt M INN INN Maui Basal MET Ke eld B j a DATI RS wi a A C t KI DEPARTEMENT MANAGERS c Oswald MUKINGI NAHIMANA Audit Interne MULUMBA KAPEPULA Conseil Juridique Joseph MUSIKITELA NEMAMDBEL Bernard YUMEMBUDI PIANGO Administratif Frank BARUTI BIN ABENJA Contr le des Exportation Prosper OTOKATOKA TCHEIK Cl ophas NGWEY MAYONGO Jean Paul MAKINDE Coord
74. elqu un ou quelque chose Le dictionnaire Larousse de Po che pr cise que l audit est la personne charg e de contr ler la comptabilit et la gestion d une entreprise et l auditeur ou T auditrice la personne qui coute un discours un cours un concert une mission La norme ISO 19011 Lignes Di rectrices relatives aux audits de syst mes de management de qualit et ou environnemental d finit l audit qualit comme un processus syst matique in d pendant et document en vue dobtenir des enregistrements nonc s des faits ou autres in formations qui se rapportent l ensemble de la politique et de les valuer de mani re objective pour d terminer dans quelle mesure cet ensemble de politi ques proc dures ou exigences d termin es est satisfaisant L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 Par le pass I audit tait princi palement utilis pour identifier et faire remonter des carts par rapport au syst me qualit des fautes ou des erreurs les audi teurs ont eu rapidement l image du contr leur voire de gendar me Laudit est originellement fond sur l coute de laudit dans le but de l accompagner dans une d marche d am liora tion Le but d un audit qualit est as sez diff rent de celui d un audit financier et certainement plus tendu Il sagit d valuer leffica cit d un syst me complexe dont le but est de satisfaire des clients Les clients seront satisfaits de la c
75. ent lorsque ceux ci sont li s des int r ts conflictuels n cessitant ainsi l intervention d un arbitrage im partial La m trologie l gale est notamment n cessaire lorsque les forces pr sentes sur le march ne sont pas organis es et ou suffisamment com p tentes ou lorsquelles sont d s quilibr es La m trologie l gale inclut g n ralement des dis positions relatives aux unit s de mesure aux r sultats de mesure ex les pr emballages et aux instruments de mesure Ces dispositions couvrent les obligations l gales relatives aux r sultats de mesure et aux instru ments de mesure aussi bien que le contr le l gal r alis par ou sous la responsabilit de l Etat TRACABILITE METROLOGIQUE Lachat et la vente de biens et de services incluent la pes e ou le mesurage de la quantit et ou de la qualit de produits la mesure de services ex temps distance aussi bien que la mesure de pro duits pr emball s dont la quantit d clar e peut tre une masse un nombre ou un volume Les responsabilit s de l Etat en mati re de r glemen tations incluent galement les lois portant sur la sant la s curit et l environnement Bien que ces domaines soient par essence diff rents ils pr sentent une caract ristique commune le respect de la loi est bas sur un r sultat de mesure Par cons quent le processus de mesure concerne di rectement l Etat Fournir les lois et les r glemen tati
76. er au moins 40 auditeurs interne qualit form s par BU REAU VERITAS dans le cadre du Contrat de V rification avant embarquement des marchandi ses import es en RDC conclu entre d une part le gouverne ment repr sent par la DGDA et l O C C et d autre part par la firme multinationale BUREAU VERITAS BIVAC Zong LA Kasumbalesa Le r seau national des Laboratoires O C C 23 laboratoires concern s progressivement par l accr ditation suivant la Norme ISO 17025 E E E M ean Paul N EM OYATO Bagebole7 M iiistrejde l Economie et COmr ditationlau coeur dellaivision M anagefiale de l OCC Des groupes de travail ont t constitu s pour travailler avec le Consultant recruter travers la Cellule susnomm e Le r seau national des Labora toires O C C Environ 23 labo ratoires concern s progressive ment par l accr ditation suivant la Norme ISO 17025 Leurs activit s sont ce jour or ganis es comme suit e Laboratoires tous essais KINSHASA amp LUBUM BASHI e Laboratoires physico chimiques et ou microbio logiques des produits agro alimentaires MATADI BOMA KASUMBALESA MBUJI MAYI MBANDA KA BENI KISANGANI BUNIA et BUTEMBO e Laboratoire des Produits Miniers BUKAVU GOMA BUNIA La sp cialit de ces laboratoires est l analyse physico chimique des pro duits miniers et les produits pharmaceutiques en plus des analyses des produits ali mentaires et d
77. ersonnalis es et adap t es au profil de chaque utilisateur Les diff rents changes strat giques avec les entreprises uvrant dans le secteur des technologies Voix Donn es combin s un contrat de consultance avec TM Consult une maison de la place symbolisent notre engagement satisfaire le client De l utilisation d un progiciel de gestion int gr Flexible et d une gestion facile la plateforme ERP choisie a permis un d veloppement direct de cer taines applications m tiers de l Office telle que des importations laboratoire et gestion de stocks etla migration dautres applications telles que les ressources humaines la messagerie et la t l pho nie Lutilisateur acc de directement aux fonction nalit s de celle ci dans nimporte quel terminal connect ce r seau o qu il se trouve et travaille dans sa session La version de l application sur les importations mise en ligne permet nos clients externes douvrir un dossier y relatif et de sui vre son volution jusqu lapurement Toutefois pour ce cas ce nest possible que moyennant une connexion internet sur le site www occ cd Souli gnons ici que ce lien sur notre site ne sert qu le rediriger directement dans notre r seau intranet pour les donn es relatives aux clients externes De la S curit et protection du syst me Sans une s curit efficace lentreprise est grande ouverte au monde r el et virtuel La s curit totale des syst mes d i
78. estituer l OCC 572 L oeil n 008 Ao t Sept 2012 ses pr rogatives en cette mati re Malgr cet acte r glementaire l OCC ne rentrera toujours pas dans ses droits Nouvel argument des agents maritimes ainsi que des repr sentants des fournisseurs l OCC aurait un tarif trop lev par rapport celui appliqu dans dautres pays no tamment africains Ayant t saisi pour trouver une solution d finitive ce probl me qui navait que trop dur feu Andr Philippe FUTA Ministre de l Economie et Com merce institua une commission charg e d tudier la structure des charges relatives aux prestations de l OCC en rapport avec le contr le des produits p troliers afin de fixer son tarif Les conclusions de cette commission fix rent ce tarif 7 16 USD la tonne m trique soit 6 7 FC le litre Les repr sen tants des fournisseurs estim rent que c tait trop lev et qu il fallait 0 50 USD la tonne m trique Or au Congo Brazzaville ces m mes fournisseurs payent pour le m me travail rendu par l OCC 10 USD TM Cest pour r soudre ce diff rend que le Ministre des Hydrocarbures va instituer une autre commis sion en mars 2010 pour examiner la plainte des repr sentants des fournisseurs ainsi que leffecti vit des prestations de l OCC Cette commission se rendra au Bas Congo au Katanga ainsi qu l Est dela RDC Elle tait compos e des repr sen tants des Minist res de l Economie Nationale des Hydrocarbu
79. et la suret de sa personne o Droit au travail o Droit de se marier et de fonder une famille oLibert dexpression de religion de cir culation Ce texte proclame en son article ler que tous les tres humains naissent libres et gaux en di gnit et en droits Ils sont dou s de raisons et de conscience et doivent agir les uns et les autres dans un esprit de fraternit Deuxi mement il existe plu sieurs conventions relatives aux droits de la personne humaine L4 C est notamment e Le pacte international re latif aux droits conomiques sociaux et culturels adopt par l Assembl e g n rale des Nations Unies le 16 d cem bre 1966 et entr en vigueur le 03 janvier 1976 Ce pacte reconna t les droits des peu ples disposer deux m mes d terminer librement leur statut politique disposer li brement de leurs richesses et de leurs ressources naturel les ll reconnait toute per sonne le droit de jouir des conditions de travail justes et quitables d avoir un niveau de vie d cent de jouir du meilleur tat de sant physi que et mentale et du droit gt L oeil n 008 Ao t Sept 2012 Uo l ducation sans discrimina tion e Le pacte international re latif aux droits civils et politi ques adopt par l Assembl e G n rale des Nations Unies le 16 d cembre et entr en vigueur le 23 mars 1976 Ce pacte demande aux tats dassurer aux hommes et a
80. ez avalis e concerne tous les domaines de la vie nationale Sa concr tisation ne s accommode pas de la moindre distraction Elle s inscrit dans la duree et requiert l implication de tous C est par le travail dans la rigueur la justice et la discipline que nous cr erons de la richesse permettant ainsi d am liorer les salaires et le pouvoir d achat des Congolaises et Congolais M J oseph KABILA KABANGE Pr sident de la R publique D mocratique du Congo Discours d investiture 20 12 2011 OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE Office Congolais de Controle 98 Avenue du Port Kinshasa Gombe B P 8806 T l 243 81 700 63 32 Fax 243 81 30 16 668 E mail occ_dir yahoo fr www occ rdc cd La Revise de Ones Coste de Comrie Economie et Commerce CADR AS OCC MOBILISATION GENERALE POUR L ACCREDITATION m ni L Oeil n 008 Ao t Septembre 2012 Editeur Office Congolais de Contr le Directeur de Publication Albert KASONGO MUKONZO Directeur G n ral Coordination de la R daction Franck MUKANYA LUSANGA D partement Marketing communication amp information occ demark2012 gmail com demark occ cd Comit de R daction Albert KASONGO MUKONZO Maurice MBAYO MUHIYA Franck MUKANYA LUSANGA Dr Albert ZEBO MOMBETE Prof Dr Emmany LUWENGA MUANA Mamie KANUMUBADI erlam EVNA ORIRUN Richard MANUNU DIAMBANZILA Blaise DIMBUMBA LUKENGU Charles YUMBA LANDU Mise en Page et Photogravure Emmanuel DOMAI MUKEMU Ont contribu
81. fet il effectue notam ment gt le contr le de tous les produits fabriqu s locale ment le contr le de qualit de tous marchandises et pro duits l importation et lexportation au niveau du guichet unique gt les essais ou analyses des chantillons des produits im port s le contr le technique de tous appareils et travaux gt la v rification et l talon nage des instruments de me sure lacertification de la qua lit des produits autres que les mati res pr cieuses des syst mes et du personnel lescontr les techniques gt la pr vention et les constats de sinistres et ou d avaries Prenant en compte la longue exp rience dans l inspection de l OCC et conscient des enjeux actuels et futurs dans le domaine de lenvironne ment le Directeur G n ral de l Office Congolais de Contr le M Albert KASONGO MUKONZO de retour de la Conf rence de Copenhague de d cembre 2009 a d cid de renforcer l OCC dans sa contribution la gestion de l cosyst me national A cet effet une commission avait t mise en pla ce qui a d gag des orientations sur lesquelles est d sormais fond le travail du nouveau d parte ment Contr le Environnement L OCC et l environnement 1 Activit s d j op rationnelles I Contr le lexportation des esp ces menac es dextinction Convention CI TES II contr le des mouvements et des tran sactions de bois d uvre
82. ganisation Mondiale du Commerce Les Etats sont encourag s prendre part aux Accords ou Dispositions de Reconnais sance Mutuelle ARMs convenus internationa lement sous l gide d Organisations Internationa les qui apportent la confiance ad quate entre les Syst mes de mesure nationaux Pourquoi une infrastructure m trologique Aucune grandeur ne peut tre mesur e sans m trologie ou sans infrastructure m trologique Limportance des r sultats de mesure est en constante augmentation en raison des d velop pements technologiques rapides et de l mergence des technologies de l information Les consom mateurs et l industrie doivent tous les jours pren dre des d cisions bas es sur des r sultats de me sure qui affectent leur bien tre conomique et personnel ou encore juger les actions et leffica cit des autorit s publiques des entreprises et des organisations non gouvernementales Etant donn que les fabricants importateurs et vendeurs de la plupart des produits sont respon sables des processus de mesure associ s les ache teurs en tant que personnes ou soci t s qui ne sont g n ralement pas inform s de mani re ap propri e de ces processus sont potentiellement d savantag s au regard des r sultats de mesure et de leur interpr tation Des mesures quitables et pr cises aident garan tir une concurrence loyale Du r le de l Etat Le r le de l Etat en m trologie est de fournir
83. gramme dex cu tion des activit s avec d finition des indicateurs objectivement v rifiables et des moyens de v rification les co ts de r alisation de chaque processus et d gager le co t global pour la certifica tion et l accr ditation de l ensem ble des activit s de l OCC etc Il aura notamment pour objet d aider lorganisation des for mations cibl es proc der des valuations p riodiques sur site proposer le choix de l organisme ou des organismes associa tions daccr ditation et de certi fication effectuer le cas ch ant une analyse socio conomique de l accr ditation et de la certi fication pour l O C C et pour la RDC impact sur les emplois le PIB la protection des consom mateurs etc Il nest pas sans int r t de noter que dans ce deal de l accr dita tion l O C C b n ficie au d part dune longue exp rience dans les domaines de l valuation de la conformit Cest le fruit dun partenariat de longue dur e avec les organisations internationales soccupant des questions d in frastructures qualit et qui a permis notamment b a participation plu sieurs forums de l OMC atta ch e surmonter les probl mes dobstacles au commerce sa qualit de Membre de RT pe MSL ENIR ETEEN GAU EE He l Organisation Internatio nale de Normalisation ISO Membre du Programme des pays affili s la Commission Electronique Internationale CEI Membre de l O
84. gres L interdiction archer Et toujours marcher Pour ne pas d valer la pente en catastrophe Sinon mourir Contre vents et ma r es l Office Congolais de Contr le fait tout ce qui est en son pouvoir afin de couvrir enti re ment le champ de ses obligations comme orga nisme tierce partie d valuation de la confor mit Avec des moyens plut t modestes dans la p riode actuelle Mais une volont lucide et constante de r sultats A chaque dition de Loeil une opportunit nous est ainsi pr cis ment offerte pour valuer o nous en sommes En vitrine dela derni re livraison nous faisions le pari de la r ussite annon ant les perspec tives de reculer les fronti res de nos activit s dans le cadre circonscrit des comp tences l ga les et techniques par notamment l ouverture des inspections environnementales le contr le plus incisif des produits p troliers lextension de la couverture accr ditation et plus encore A petits pas des progr s inaugurateurs d autres avanc es non sans importance dans les jours et mois venir ont t enregistr s Ainsi de la mise en place de la Cellule char g e de nous conduire la certification et l ac cr ditation de OCC Ou de l appel doffre en instance pour le recrutement d un Consultant international aux fins de nous faire b n ficier d une assistance technique appropri e cet ef fet Dans le plan strat gique de d veloppement de l OCC court moyen et
85. ieurement reconnu l Office celui ci est soumis ou droi commun en la mati re Nouveau Statut article 39 sans pr judice des dispositions l gales contraires l office b n ficie du m me traitement que I Etat pour toutes ses op rations en ce qui concerne les imp ts droits et taxes effectivement mis sa charge S 1l fallait conclure provisoirement le sujet du d bat r side dans la question suivante dAdministra l L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 d Ae f e PCA DGA 2 Administrateurs ext rieurs et le d l gu de la Tutelle l se r unit par trimestre Direction G n rale plein pou voir Issue de structu 7 res professionnel les diff rentes Quel est l impact de toutes ces transformations sur la production le rendement et la marche g n rale de l Entreprise au regard de l expos des motifs Etant donn que cette r forme a non seulement fait coul beaucoup d encre et de salive mais a galement oc casionn des frais loin tre n gligeables Les motiva tions du l gislateur ont t atteintes A court moyen et long terme 1l serait int ressant d en d battre sans a priori D autres lectures de la r forme tant certaine ment possibles Me BILLY TSHITUMBI wa TSHITUMBI Conseiller Juridique Ndlr Il est vrai que d autres lectures de la r forme sont possibles Ainsi titre indicatif la pr sente r flexion passe sous silence plusieurs l ments positifs dans les n
86. ieurs hauts faits de meurent en m moire au cours de la r cente p riode 2840 sacs de ma s dorigine uruguayenne saisis la fronti re avec la R pu blique s ur d Angola et d truits LUKALA dans la Province du Bas Congo 400 sacs de sucre saisis au Beach Ngobila 20 ton nes de riz appr hend es par ci 125 cargaisons par l autant de faits qui appellent maintenir intacte la vigilance du contr leur et qui nous rappellent que la facilitation des changes ou Ge M HenrijM PETIMYAYELIMA Directeurjalla C llule diEtudes et Officier de encore l am lioration du climat des affaires voulue juste titre par tous ne doit pas sombrer en march des dupes Charles YUMBA Administrateur du site web occ L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 Actu OCC HOMMAGE CEUX QUI B TISSENT ALBERT KASONGO ET FORTUNAT NDAMBO UN CIT EN CONSTRUC TION VIENT DE VOIR LE JOUR KINSHASA N SELE SOUS LEURS NOMS CONTRACT S KASONGO NDAMBO CIT KANDA EN SIGLE 1500 LO GEMENTS SUR 180 HECTARES POUR LES TRAVAILLEURS IL NE S AGIT PAS DE V HICULES DE LUXE POUR QUELQUES CADRES DE DIRECTION QUAND BIEN M ME LE LUXE DANS LA PROPRET MORALE N EST PAS FORC MENT INTERDIT L UVRE INITI E PAR LA MUTUELLE CORPS DES VOLONTAIRES DE LA CONF D RATION SYNDICALE DU CONGO CVC EN SIGLE QUI EST IMPLANT E SUR TOUTE L TENDUE DE LA RDC DEPUIS JUILLET 2000 M RITE BIEN LES HOMMAGES DE L OEIL E
87. ination du Secr tariat de la Direction G n rale Joseph KIBONDO KALUME Claude MABENZE GBEY Directeur Directeur Adjoint cc Contr le des Hydroliques Emmanuel BANTWAMINA NA BANGU Patricia MALENGO MA ISEKA NGONGA Contr le des Importations Annie BAKAMBAMBA BULULU Daniel LUHEMBWE LUKONZOLA Contr le Environement Georges KITENGE MPIANA ec Jeannot BONONGE BONGANGONJA Contr le Technique Hubert MAKENGO LOTIMBA D sir BASHIDIKIE BOSO Laboratoire Antoinette KABAMBA N SANGA Ghaby LUBIBA MAMPUYA R f rntiels Adrienne BOKABO N KITA U mme PA Aubert DIAKIFUKILA MISUTIDY C Emmany LUWENGA MUANA o Remain LOBO NTEKESHA WA TSHIBUABUA Pierre Floribert KONZI LUVUNGU FOFO LL RECH Direction Provinciale du Sud kivu Jean Paul C lestin INGULU YO TEI qus FONCTION TELEPHONE 099 77 O0 638 osnahim yahoo fr 081 00 87 975 k kapeGQyahoo fr 081 416 47 85 yndjate yahoo fr 081 810 87 73 bartbinob yahoo fr 081 700 82 59 Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint Chef de D partement O81 404 88 54 Chef de D partement Adjoint Chef de D partement Chef de D partement Adjoint O81 804 O8 94 O81 884 14 31 O81 90 22 480 danyluhembweQGyahoo fr O81 81 33 582 081 81 27177 jack kitubaQyahoo fr O81 81 27 175 kilusa thomasQyahoo fr Chef de D partement Adjoint O81 500 81 8
88. ins MBAYO M UHI YA DireaeurjGefieral AdjOimtgPreparatiot alk ifto e pied opt iiaei Ique De ional E P gt L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 une norme internationale contienne des exigen ces congolaises Des contacts avec les op rateurs conomiques de la place il se d gage la satisfaction de l Office que de plus en plus les pratiques normatives habi tent petit petit les esprits et cela se traduit dans les activit s de la plupart dorganismes On peut citer titre dexemple les fabriques M talliques FAMECO KSM qui utilisent surtout des normes ASTM International organisme de norma lisation am ricaine qui a une envergure in ternationale qui soccupe des valuations des mat riaux Normes produits etc et l la boration des normes de ce domaine es industries mini res qui utilisent les normes ASTM et les normes ISO CEI es industries Agro alimentaires qui eux utilisent essentiellement les normes du Codex Alimentarius organisme des Nations Unies qui soccupe de la normalisation dans ce do maine et avec lequel l OCC travaille en parfaite collaboration Bien dautres organisations utilisent selon le cas les normes ISO CEI COMESA et SADC Lim plication de l OCC dans la normalisation parti cipative pourrait avoir une incidence plus posi tive moyennant l implication de toutes les parties concern es Gauthier MPANGA MBUYA Division D veloppemen
89. ions d lectrotechnologie appel Co mit Electrotechnique National CEN a t cr avec un bureau de coordination pr sid par la Soci t Nationale d Electricit SNEL et le secr tariat techni 78 que confi l Office Congolais de Contr le OCC Dans le m me ordre d id e l OCC se propose de cr er inces samment deux Comit s Miroirs Nationaux sur la Responsabilit Soci tale ISO 26000 et sur l uti lisation des articles de seconde main ISO PC 245 Sagissant de l ISO 26000 une table ronde a t organis e par le Fond Social de la R publi que pour le d veloppement sur la Responsabilit Sociale des Entreprises Occasion offerte l Office de pr senter la norme ISO 26000 au public et de faire connaitre les principes pouvant soutenir le d veloppement du rable On peut retenir de cette ER 7 norme que le r sultat financier seul ne traduit pas la perfor mance d une organisation mais l impact de ses d cisions sur len vironnement et la soci t autant que l impact conomique En ce qui concerne l utilisation des articles de seconde mains beaucoup dexperts pensent que les avis des africains peuvent tre d une contribution remarquable dautant plus qu ils sont compt s parmi les premiers consomma teurs de ces dits articles OCC recommande vivement les par ties prenantes congolaises participer massivement dans le comit qui sera cr cet effet de sorte quune fois au mo
90. is og N KOR mu aw QU w E ntre les vivants et les morts les neutralit de l image et l insgnif ance eme A E WE gt lt UD Zei H D SO e Ze UD D D ue LL quu CC e ae Eh ES UL es CC a CD q Album de Oeil X Trois orateurs pour le compte de l OCC lors de la JMA M Albert YUMA Dr JR MBONGO et M Cl ment MBILA 2 4 Cadres OCC l UPC et SULTANI Conf rence d bat et alliance DGDA OCC dans le Gui chet unique 3 Journ e Portes ouvertes au D partement Laboratoires pour la Chambre de Commerce Belgo Congolaise Luxembourgeoise Accueil par les agents du DEMARK recteur G n ral de l OCC M Albert KASONGO MUKONZ et du president du Ma v P ministration de l OCC M Jean Pierre MABALA KASANDA lors de la journ e mondiale de l accr ditation en juin 2012 572 L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 i _ nartemen wt Ltboniioires Ma Ka 7 Le DG et le DGA au Salon RSE 8 M Jacques MUKALAY MWEMA Administrateur D l gu G n ral de la R GIDESO au centre lors de la JMA Projection du partenariat entre la R GIDESO et l OCC pour le controle de l eau par ce dernier en qualit de ti rce partie 9 Certificat de participation au salon sur la RSE i i E E a i z 3 D d i 4 P 1 E 1 x Ti e r i at A a e an M P M k t E a vi
91. ivers e Laboratoire de M trolo gie talonnage Kinshasa e Laboratoires dessais de Mat riaux Kinshasa et Lubumbashi armi les services qui seront demand s au Consultant international personne physique ou morale suivant les termes de r f rence provisoirement arr t s ce jour il y aura a le diagnostic d finitif des processus candidats e la certification proces sus de direction ressources humaines finances logisti que et informatique e l accr ditation processus o T ww EC eue vues el ag KASONGO pour Hp k Fr ei i inspection essais certifica tion et talonnage b L tablissement d un mas ter plan pour arr ter les acti vit s li es la mise en place par l OCC des syst mes li gibles e la certification des pro cessus de direction res sources humaines finances logistique et informatique selon la norme ISO 9001 e l accr ditation des activi t s techniques et scientifi ques gt Processus d ins pection selon la norme ISO CEI 17020 gt Processus dessais chimiques microbiologi que et lectrom canique et talonnage selon la norme ISO CEI 17025 Focus gt Processus de cer tification de gt Syst mes de ma nagement selon la norme ISO CEI 17021 gt Produits selon le Guide ISO CEI 65 Draft Norme ISO CEI 17065 gt Personnes selon la norme ISO CEI 17024 Le master plan devrait compren dre un chrono
92. le programme de formation de l ann e en cours ne sera ex cut que dans les limites de la tr sorerie de l Office Notons par ailleurs un accroissement significatif du cr dit allou la formation en d pit de nom breuses contraintes li es au contexte national et ou international de 2008 ce jour p riode qui coincide avec le mandat de Administrateur D l gu G n ral puis Directeur G n ral a i de OCC Monsieur Albert KASONGO MUKONZO Lim portance que ce dernier a accord la formation du personnel d coule de son savoir faire et illus tre clairement sa vision d une gestion manag riale qui place l homme au c ur de l activit de POCC pour une meilleure rentabilit Ex cution d un programme de formation Un programme de formation l OCC repose pre mi rement sur l identification et la consolidation des besoins en formation exprim s et deuxi me ment sur la d finition des objectifs atteindre des moyens mat riels et financiers n cessaires la r alisation des actions de formation A ce stade il est donc question d harmoniser les diff rentes ac tions de formation initi es au niveau des diverses entit s en vue de d terminer les moyens de r ali sations En effet le besoin en formation doit tre exprim aupr s du Directeur G n ral par l agent lui m me ou au mieux par lentit utilisatrice de ce dernier Lautorit jugera la pertinence de la demande et l ad quation entre les besoins exprim
93. les appareils et travaux Ar ticle 3 Il pouvait g rer et exploiter les silos magasins g n raux et entrep ts de douanes Il pouvait aussi se livrer toute op ration g n ralement quelconque se rapportons son objet social sauf des op rations d achat en vue de revendre Les premiers statuts de l Office Zairois de Contr le sont contenus dans I Ordonnance n 78 219 du 05 mai 1978 Il a fonctionn de la sorte durant 31 ans jusqu la publication du D cret n 09 42 du 03 d cembre 2009 fixant Statuts d un Etablisse ment Public caract re scientifique et technique d nomm Office Congolais de Contr le OCC en sigle Ainsi quels sont les changements qui sont inter venus entre l ancien texte des statuts n 78 219 du 05 mai 1978 et le nouveau texte n 09 42 du 03 d cembre 2009 Lentreprise publique caract re commercial et technique est devenue un tablis sement public a caract re scientifique et techni que selon ses nouveaux statuts Le contexte de la r forme est contenu dans la Loi du 07 juillet 2008 relative la transformation des Entreprises Publiques en Soci t s Commerciales et Etablissements Publics dont voici les motiva tions et expos des motifs Les Entreprises publiques organis es par la Loi ca dre n 78 002 du 06 janvier 1978 nont pas atteint les objectifs conomiques et sociaux leur assign s d i d apr s les concepteurs et de ce fait une r form
94. liments repris dans le D cret ci dessus quils ne sont pas passibles des frais de contr le l importation dans le syst me du Guichet Uni que sans pr judice toutefois des mesures conservatoires et pro tectrices prises par l OCC Ceci en application notamment de la Loi particuli re sur le com merce telle que modifi e ce jour du D cret n 09 42 du 03 d cembre 2009 fixant les statuts d un Etablissement public ca ract re scientifique et technique d nomm Office Congolais de Contr le O C C en sigle ainsi que du Contrat de v ri fication avant embarquement des marchandises import es en R publique D mocratique du Congo dans lequel ces produits ne figurent point sur la liste des exemptions au contr le et donc aux perceptions y relatives Le Comit de Suivi permanent mis en place pour l valuation p riodique conjointe de l appli cation du Protocole d Accord est charg notamment des missions suivantes vulgarisation du Protoco le dAccord de collaboration aupr s de tous les int ress s aux op rations dimport export au Guichet unique pr paration des travaux de conciliation des comp tes entre les administrations centrales valuation du niveau E B B AME me X ES d CRT gegen e T St si 1 HER c Mul 200 sioe Qe Celsus LIU LU Lo GS LV usa ETOO UCE Zeite M BALA KASANDA es SEE del allt Maurice MBAYO MUHIYAY Carol LUTALADI 0 UTR V Ar
95. lon de laboratoire doit tre scell comme son duplicata aussi Le scell de s curit sert essentiellement la s curit des chantillons contre la d naturation ou contre le dopage Il est galement l l ment fonda mental de l identit et de la tra abilit de l chan tillon Il existe plusieurs mod les des scell s Pour les chantillons de labo les mod les plastiques auto Image 1 Echantillon scell bloquants ou serrage progressif conviennent le mieux G n ralement ils ont comme dimensions des longueurs allant de 293 mm 420mm une largeur 6mm et une num rotation num rique ou alphanum rique de 10 caract res Il importe de veiller toujours placer des scell s de s curit Cela constituant une disposition l gale Du rapport d chantillonnage La r daction du rapport d chantillonnage est une tape importante Un rapport bien r dig a les at tributs d tre clair pr cis et concis Il doit tre r dig de telle mani re quen cas de retro processus la r exploitation des informations produit un r sultat identique Il doit tre d pouill de d tails inutiles de ratures ou de surcharges Les rapports de l OCC sont pr imprim s en qua tre volets avec num ro de s rie Un volet est r ser v au client un volet au labo un volet la division ou au service dexploitation et enfin un dernier vo let l chantillonneur Ces rapports sont compil s dans un carnet ap
96. lus un regard plein d in qui tude sur la femme congo laise face ses droits mais aussi lancer une invitation au r veil sans verser dans un f minisme ventuellement d plac aux yeux de certains machistes im p nitents Les Hommes en g n ral jouis sent tous des m mes droits En effet une communaut est com pos e d hommes de femmes et denfants ll ny a que la nature qui les diff rencie Pourquoi se pencher particuli rement sur les droits de la femme Simplement parce que nous voudrions ap porter notre modeste contribu tion ce que la femme se sente et soit responsable et quelle mo difie par cons quent son com portement face de nombreuses situations auxquelles elle peut se trouver confront e En effet plusieurs textes ap puient l galit de droit ci dessus nonc e tant sur le plan inter national que national Auniveau international d abord il existe des textes universels dont certains ont t ratifi s par la RDC Nous citerons e Premi rement un texte fondamental universel qui est la D claration universelle des droits de l homme Elle a t adopt e et proclam e par l Assembl e G n rale de Nations Unies dans sa r so lution du 10 d cembre 1948 Elle contient l ensemble des droits et libert s fondamen taux del tre humain que tous les individus et organes de la soci t doivent sefforcer de respecter Exemples o Droit la vie la li bert
97. mar chandes Elles sont dans le commerce lucratives et dispos es la concurrence dons le cadre de la recherche du gain et enfin elles sont soumises la fiscalit du droit commun tandis que les Etablis sements Publics sont non lucratifs et non concur rentiels Ils ne sont pos caract ris s par la recher che du gain sont pratiquement le prolongement de I administration Publique et b n ficient de la parafiscalit Ceux qui sont dot s de la personnalit juridique et de l autonomie financi re sont Etablissements Publics et ceux qui nen ont pas sont des Services Publics Parall lisme entre les deux statuts Sagissant de lobjet il reste le m me mais avec un enrichissement dans les nouveaux Statuts Voir article 3 dans les anciens statuts et article 4 dans les nouveaux En ce qui concerne la structure organique elle se pr sente comme suit dans les deux cas NOUVEAUX STATUS D signation Conseil tion Comit de Direction Coll ge des Commis saires aux Comptes S agissant de tutelle suivant l ancien texte statutaire article 21 Deux Tutelles Techniques et Administratifs et Finan ciers Portefeuille et Commercial Dans le nouveau statut article 22 Tutelle unique le Minist re du Commerce subrog des toutes les pr ro gatives de celui du Portefeuille R gime fiscal dans l ancien statut article 23 Sous r serve de l assistance d un r gime fiscal par ticulier ant r
98. mes de cette situation etc apr s linstaura a NC i i MNDEORUGWIZA MAGERA Directeur General de laIDGDAV EUM WAIDert KASON GO M UKONZO Directeur General de I OCC Scellage de l alliance DGDATOCC dans le Guithet Unique i m E WT mouture du Protocole d accord de collaboration la Douane par l O C C il sest donc av r imp rieux de parvenir la mise en place d une plate forme de coop ration entre nos deux or ganismes pour les raisons sui vantes de part et d autre a Se mettre en phase avec les exigences l gales et r gle mentaires relatives aux per ceptions dues l importation et lexportation des mar chandises le devoir de faci litation et de c l rit dans le processus de d douanement H b R pondre aux pr occu pations des op rateurs co nomiques relatives la mul tiplicit suppos e des frais OCC percus en dehors du syst me SYDONIA c Assurer l int gration ef fective et harmonieuse dans le syst me SYDONIA des frais O C C relatifs aux op rations d importation sp cialement ceux exigibles dans le circuit de d douane ment et donc l exclusion notamment des frais per us post d douanement dans le cadre du contr le avant em barquement d Fournir la d monstration que l O C C est r solument engag dans laccomplisse ment de ses missions l gales en conformit avec toutes les dispositions l gales et r gle mentaires relatives au
99. moyenne du filtre entre 1 5 et 2 cm Nicotine 2 mg tige max Goudron tar 20 mg tige max Conclusion Avec la maitrise de cette technique de la d ter mination de la teneur du goudron et de la ni cotine dans la bouff e de cigarette l O C C sera m me de d terminer les param tres qui figu rent sur les tiquettes des cigarettes goudron et nicotine et donner des r sultats hautement fiables Le mode op ratoire simple et moins gt L oeil n 008 Ao t Sept 2012 co teux ici propos pourrait tre utilis par les soci t s tabacicoles nationales dans le cadre des contrats de partenariat relatifs au contr le la production locale Le mat riel lectronique pour la d termination de la nicotine et le goudron est tr s co teux et ne pourra pas tre ais ment disponible partout dans nos laboratoires travers le pays Le mon tage ici propos servirait au reste de calibrage p riodique de l quipement tr s sensible en question Nous avons concu et exp riment les donn es pr sent es ci dessus Ouverture com pl te toute r action ventuelle Guillaume BIKUBA SIBULA Chef de Service Commissariat d Avaries OCC Goma Nord Kivu DEPUIS Pres ES ANS ILUCCS ES uatEWwtzae tg aVoieraeaIN ormaliSation ensvueraerrenarejprusscedipiezsagmissiOngprinapalexdreva luat Ongaer i la sensibilisation et la ba ser normes du commun des Congolais requiert un travail d hercule les r clamation
100. mportement socio culturel de l homme et de la femme en vue de parvenir l limination des pr jug s et pratiques coutu mi res Au niveau national Nous avons une floraison de tex tes et autres instruments institu tionnels sur lesquels la femme peut sappuyer pour sauvegarder ses droits l La constitution de la RDC Lactuelle constitution a forma lis la parit homme femme En effet elle reconna t en son article 11 titre ll portant sur les droits humains et libert s fon damentales que tous les tres humains naissent libres et gaux en dignit et en droits L article 14 du m me titre stipule que les pouvoirs publics veillent l limination de toute forme de discrimination l gard de la femme et assurent la protection et la promotion de ses droits Ils prennent des mesures pour lut ter contre toute forme de vio lence faite la femme dans la vie publique et dans la vie priv e La femme a droit une repr senta tion quitable au sein des insti tutions nationales provinciales et locales L Etat garantit la mise en oeuvre dela parit homme femme dans lesdites institutions 2 Le Minist re du Genre de la Famille et Enfant Ce minist re utilise des strat gies m canis mes et instruments qui lui per mettent de promouvoir la parit homme femme 3 Le conseil national de la fem me Cest un organe consultatif du gouvernement en mati re de la promotion de la femme plac sous la pr
101. nchez la calotte chauffante Quand le solvant entre en bullition connectez la pompe vide et commencez faire fumer la pompe vide qui est branch e en inverse Quand on aura fait fumer 30 50 tiges ar r tez et d connectez Tarez un ballon fond plat de 500 ml on a la masse T Versez quantitativement le contenu du bal lon de 1 litre dans le ballon tar de 500 ml Lavez deux fois le ballon de 1 litre avec 25 ml de solvant pour chaque lavage et versez dans le ballon de 500 ml Distillez le solvant jusqu ce qu il ne reste que 50 ml dans le ballon de 500 ml Mettez le ballon et son contenu l tuve 105 110 C jusqu au poids constant Laissez refroidir au dessiccateur Peser le ballon contenant une masse vis queuse donc le goudron on a la masse Pg Calculez la quantit de goudron par tige de cigarette Pg T 1000 Goudron par tige Nbr de tiges 30 50 X mg de goudron fum e d une tige AUX MINEURS ET FAR LES MINEURS Remarques Il faudra faire fumer la cigarette par intermittence pour se conformer au rythme des fumeurs Pour terminer vite on fait fumer continu le de la tige en supposant que le 1 4 restant est la perte lors de la pose du fumeur Normes applicables Humidit 15 96 max Poids net moyen delatige autour de 1g Longueur moyenne de la tige 7 cm max Longueur
102. nformations nest jamais garantie Cependant le niveau de s curit mis en place r duit s rieusement les risques d intrusion Enrichi de nouvelles fonctions applicatives col laboratives et participatives l Intranet devient un outil efficace de partage d informations de colla boration et de travail Ainsi tout employ de l Office est appel attra per ce train qui d marre au risque de se retrouver d phas et de ne pas avoir acc s une bonne in formation au bon moment Limplantation de l Intranet OCC s inscrit dans le cadre de la R volution de la modernit pr n e par le Chef de l Etat pour le d veloppement de la R publique D mocratique du Congo et l am lio ration de sa comp titivit Cest afin d accroitre sa vitesse de traitement d informations et augmen ter sa capacit prendre rapidement les bonnes d cisions que l Office Congolais de Contr le vient ainsi de lancer officiellement son r seau Intranet depuis le 15 f vrier 2012 Il a fallu plusieurs ann es avant que ce vaste pro jet natterrisse Plusieurs ann es de t tonnements dessais erreurs et de redressements finalement couronn s de r ussite Le Directeur G n ral Al bert KASONGO MUKONZO a d pour y parve nir pr alablement red finir le contenu du projet Intranet mis en place depuis 2003 fixer de nou veaux objectifs identifier de nouveaux acteurs et mobiliser les ressources n cessaires Sappuyant sur le planning tabli et dume
103. nomie verte et du d veloppement durable BONONGE BONGANGONDIA Directeur adjoint au D partement Contr le Environnement i E ET D INVESTISS 1370 Avenue de la Lib ration Kinshasa Gombe RDC T l phone 4243 999099222 851256314 SP ER SZ T i 3 k D i H k d min e i H Ju 1 a j d I F J J d r jl j j e F 1 e A j r zm E m E A r 1 F E j m i i f j F d j a j j Ui e i Dossiers de L Oeil Portee et limites de a gestion lal C d activit qui est noms Beete Du concept de risque e risque est la combinaison de probabilit d v nement et de sa cons quence Il est l effet de l incertitude sur les objectifs Cest l ventualit d un v nement ne d pendant pas ex clusivement de la volont des parties et pouvant causer la perte d un objet ou tout autre dommage Cest aussi le fait de sexposer un danger dans lespoir dobtenir un avantage La gestion du risque sattache identifier les risques qui p sent sur lactivit d une entreprise ou sur son fonctionnement au regard de la mission qui lui est assign e Toute activit cono mique entraine des risques que les res ponsables doivent avant tout valuer afin de mieux les g rer Pour cela il faut les identifier puis les minimiser assurer fl nanci rement ou mo raleme
104. ns qui contiennent des dispositions relatives la m trologie e un Laboratoire national de m trologie en charge des t ches assign es au niveau national pour la mise en uvre de la politique de m trologie avec un syst me d talons nationaux et de diffusion des unit s l gales des connaissan ces et comp tences en m trologie ex formation e des services pour l industrie et l conomie dans le domaine de la m trologie ex talonnage formation essais de type v rifica tion etc M trologie scientifique fondamentale et M trolo gie industrielle Etalons nationaux et Tracabilit m trologique La m trologie scientifique est la m trologie qui tablit conserve entretient am liore continuel lement les talons nationaux diffuse les unit s l gales en fonction des besoins du pays et assure sa participation dans les activit s internationales correspondantes Elle fournit les avis et le soutien n cessaires l Etat l industrie M trologie in dustrielle au commerce et au public sur les ques tions de m trologie Elle fournit de solides bases m trologiques au syst me national daccr dita tion Elle fournit les avis et le soutien techniques l Etat l industrie M trologie industrielle au commerce et au public sur les questions de m tro logie l gale Tra abilit m trologique K L oeil n 008 Ao t Sept 2012 Pour l application de toutes lois ou r glementa tions
105. ns socio conomiques afin de concilier les contraintes de lentreprise celles de l homme En effet le personnel constitue une force qui in tervient puissamment dans les conditions de d veloppement et de rentabilit de toute organisa tion et de sa survie Il est aussi le facteur du succ s ou de l chec d une organisation Avec son nouveau caract re scientifique et surtout avec lacc l ration des innovations technologi ques la formation l Office Congolais de Contr le est essentielle pour pr venir lobsolescence des connaissances Pour chacune des sessions de for mation organis e les desiderata des salari s et les objectifs de l entreprise sont pris en compte La formation porte sur trois facteurs principaux le savoir le savoir faire et le savoir tre afin de donner la connaissance aux uns et de remettre niveau les autres Elle est r gie par larticle 47 de la Convention Collective d Entreprise OCC qui oblige l employeur assurer et promouvoir la formation professionnelle de ses employ s La politique de formation l OCC consiste cet effet l tablissement par le D partement Admi nistratif ou D partement des Ressources Humai nes dans d autres Entreprises ou Etablissements des programmes de formation correspondant aux diff rents degr s de qualification La formation peut tre organis e avec le concours de l Institut National de Pr paration Professionnelle INPP ou de tout au
106. nt ap prouv par la Direction G n rale le r seau in tranet couvre d j l axe ouest cest dire Kins hasa D partements op rationnels et supports centraux et Direction Provinciale du Bas Congo Si ge de Matadi et Agence de Boma Des mat riels performants compos s notamment de serveurs antennes routeurs ainsi que des applications dites m tiers y sont install s Dans sa phase termina le toutes les autres entit s de l Office Directions provinciales Katanga Nord Kivu Est Maniema Province Orientale Equateur Kasai Oriental Centre Kasai Occidental seront interconnect es et pourront v hiculer des informations entre elles en temps r el Blaise DIMBUMBA LUKENGU Responsable Communication Intranet Figure 2 Le grand serveur Actu OCC L adh sion au CAFMET OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE CAFMET cest le Comit Africain de M trologie Le Maroc a abrit du 23 au 27 Avril 2012 Mar rakech la 4 me Conf rence Internationale de M trologie dudit Comit CAFMET 2012 A cette conf rence laquelle l OCC participait pour la premi re fois le manager de son D partement de m trologie a pr sent le Processus daccr ditation du Laboratoire de M trologie des Masses de l OCC difficult s rencontr es et pers pectives En r sum il a expliqu que la m trologie en R publique D mocratique du Congo est r gie par une loi coloniale promulgu e depuis 1910 et amend e en
107. nt la charge de ceux quils jugeront acceptables Lidentification duris que passe aujourd hui par la compr hen sion du cycle de ges tion qui int gre les partenaires divers en amont et en aval dans un environne ment d interaction entre lentreprise et les autres parties pre P gt L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 nantes Banques clients importateurs ou autres fournisseurs exportateurs etc La d marche d analyse et d identification syst ma tique est rest e traditionnelle dans le domaine de la sant o la gestion des risques et des vigilances sanitaires est devenue indissociable de la d mar che qualit Comme il est aujourd hui admis que la sant na pas de prix tout ce quon appelle pro duit sensible quel que soit son degr devient sujet d une attention particuli re Il en est aussi le cas particuli rement en mati re de commerce et d valuation de la conformit De l valuation du risque ace l augmentation des volumes la com plexit des r glementations et des changes ainsi qu la course aux profits sans mesure oppos es par ailleurs lexigence de facilitation du commerce et de fluidit des op rations laugmen tation du risque devient in luctable Lefficacit du contr le ne peut tre am lior e que sur le plan qualitatif Do la n cessit d valuer le risque de fraude pour mieux contr ler tout en contr lant moins Le contr le efficace doit pr senter un cara
108. nt pas expos s aux polluants divers lumi re bruit particules radiation ionisante etc XXI Contr le des huiles des engins en usage et usag es XXII Participation effective dans le dis positif PCPCB XXIII Participation effective dans le dis positif FLEGT XXIV Contribution au programme REDD XXV Contribution la r daction de la communication nationale sur les changements climatiques Les atouts de l OCC gt LOfhce Congolais de Contr le cest plus de 4 000 agents et une vingtaine de laboratoires couvrant toute l tendue du pays Nous avons des comp tences issues de grandes coles et universit s tant nationales qu internationales ing nieurs chimistes biologistes v t rinaires laborantins LOCC dispose ainsi sur une bonne par tie du territoire national d un r seau dense de postes de contr le production locale exporta tion et importation proc d s industriels cer tification et de laboratoires sp cialis s pour les inspections physico chimie microbiolo gie produits p troliers m trologie et contr le technique gt Notre programme de d veloppement pr voit un doublement du nombre de laboratoi Vos P C bk VA res afin notamment de r pondre aux besoins de lutte contre le changement climatique En outre par le biais de formations s minaires et stages internationaux dans le domaine du changement climatique le personnel de OCC renforce ses capacit
109. ois en RDC avec la SGS 3 Autres protocoles de collaboration voire de cogestion avec d autres Directions du MECNT 4 Projets de protocole avec le Minist re des Mines en cours de finalisation et avec le Mi nist re des hydrocarbures pollution des sols en exploration et ou en exploitation 5 Information sensibilisation et n gociation avec la FEC en vue du d marrage des pr l ve ments d chantillons sur les sites industriels 6 Contact avec la R gie d assainissement et des travaux publics de Kinshasa RATPK 7 Contacts et n gociations avec des parte naires potentiels pour le renforcement des capacit s CEBEDEAU SPGE Laboratoire MALVOZ UNIKIN Jeannot En guise de conclusion nous voudrions emprun ter cette d claration du Directeur G n ral M AI bert KASONGO MUKONZO dans une de ses in terviews LOCC a trente cinq ans dexistence et peut tre consid r comme majeur En tant quor ganisation il doit identifier ses parties prenantes respecter leurs int r ts et leurs besoins De m me il doit connaitre sa sph re d influence cest dire les domaines dans lesquels il a une capacit d in fluer sur les d cisions ou les activit s des person nes ou encore d autres organisations LOCC a choisi donc d tre pr sent et de se d velopper aussi dans le secteur de l environnement et de ce fait de contribuer par son travail et son exp rience bas s sur l inspection la mise en ceuvre de l co
110. ologie en RDC Etat sommaire des lieux La m trologie en R publique D mocratique du Congo est r gie par une loi coloniale promulgu e depuis 1910 et amend e en 1959 pour l adapter au Syst me m trique d cimal des poids et mesures Depuis l accession du pays l ind pendance cet te loi na pas t mise jour suivant les l ments d une loi de m trologie d finie dans l OIML DI En 1980 l issue d une tude de PONUDI les ac tivit s techniques de la m trologie ont t transf r es de l administration du Minist re de l Econo mie et Industrie l tablissement public OCC Victor KANAMA VIKI MBUYA Directeur Chef de D partement de M trologie Es WW ege E m EN ro Eo Dej D ae id d h x E S p CGU Goergen 09 uin 20124 Kark me pre WE GT CH Sg Quelle pourrait tre la contribution de l Office congo lais de contr le dans le contexte de la promotion de l Economie verte en vue du d veloppement durable et de l radication de la pauvret Pour besoin de compr hension nous rappellerons d abord bri ve ment la notion de l conomie verte et ce qu elle impli que comme d fis en rapport avec les engagements internationaux de notre pays en particulier avant de r pondre pr cis ment cette question our le PNUE l conomie verte vise obtenir dans le long terme l am lioration du bien tre humain et la r duc tion des in galit s tout en p
111. olution acide Branchez la calotte chauffante Quand le liquide contenu dans le ballon dis tiller arrive bullition actionnez la pompe vide qui est connect e en inverse Faites fumer 30 50 tiges de cigarettes et quand le volume de la solution acide contenu dans lerlenmeyer atteint 150 ml arr tez la distillation Titrezla solution obtenue 150 ml par NaOH 0 1 N jusquau point quivalent Vb Calculez la quantit de nicotine par tige de ci garette Va Vb 5 79 0 0014 1000 Nbr de tiges 30 50 Nicotine par tige mE Va Vb 8 106 Nicotine par tige Nbr de tiges nicotine fum e d une tige X mg de J gt L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 e e e le Eau froide HCE DIN amp Pour la d termination de la teneur en goudron tar dans la fum e l Produit Solvant apolaire tel que le benz ne le tolu ne l ther de p trole le chloroforme Mat riels Ballon distiller R trig rant Ballon fond plat ou d faut un ballon fond rond Dossiers de L Oeil 3 Montage Eau chaude am Ew froide 42 Cigarette Mode op ratoire Dans un ballon distiller de 1 litre trans vasez 250 ml de solvant apolaire tel que le ben zene le tolu ne l ther de p trole le chloro forme Montez le r frig rant au dessus du ballon distiller pour chauffer reflux Bra
112. on des ma ons et d autres techniciens qui vont semployer construire des maisons co logiques dans une cit moderne voulue magnifi que Cest un contrat de confiance autour d un double leadership Une r ponse favorable la suggestion du P re Gilbert MIKA Plut t que den faire des rivalit s unissons donc nos diff rences pour en faire une richesse partag e Allusion probablement aux organisations syndi cales concurrentes Mais pas seulement FML M Fortunat NDAMBO MAN DJ UANDJ U Pr sident CSC de la D l gation Syndicale nationale de l OCC Hommage une fois de plus m rit WEN commun ment appel Cantine o les travailleurs une A LET n acie e Q 1cue pour pallie NW a C Ir once de rod KW ph en raison p particuli rement des diffi une M du monde du trayail ouverte au public m gn capacit s des membres et de leurs d l gu s syndicaux diverses prestations en faveur des membres l occasion de la survenance des heureux dans leurs familles notamment en cas de mariage du membre de la naissance d un enfant dan famille de l hospitalisation ou du d c s d un membre de la famille au ler degr le paiement aux affili s retrait s licenci s et d c d s d une pension compl mentaire de retraite d une in demnit de ch mage ou d une rente viag re selon le cas la livraison des fournitures scolaires aux membres chaque rentr e des classes
113. on t moignage du choix effectu par l ONUDI Evoquons aussi au titre de parte nariat et d exp rience capitali ser la formation par SADCMET SADCMEL de m trologues et techniciens de laboratoires sur les normes ISO CEI 17020 et 17025 la formation des formateurs par SADCAS sur les exigences des Syst mes de Management de l valuation de la conformit Il y a dans le m me ordre la forma tion et le recrutement en mati re d valuation de la conformit par SADCAS des valuateurs dans le domaine d inspection 2 valua teurs techniques dans le domaine de la certification un valuateur Franck MUKANYA LUSANGA Directeur Chef de D partement Marketing communication amp information technique dans le domaine d es sais 1 valuateur qualiticien et 1 valuateur technique et dans le domaine d talonnage 1 valua teur technique sans compter les nombreuses participations aux tra vaux d harmonisation des normes au niveau du COMESA ni les 40 auditeurs qualit interne form s par BUREAU VERITAS Tous les ingr dients sont l pour pr parer la bonne sauce Il reste probablement trouver le bon mixeur apr s les r sultats mitig s engrang s Jusqu pr sent t Focus PRODUITS ANALYSES NON CONFORMES DE 2007 A MAI 2012 AU LABORATOIE CENTRAL A KINSHASA Types de Qt analys e iproduits EPIS p E Ce ui B Rate m F L Assister les gouvernements
114. ons contr ler les mesurages par le biais de la surveillance du march d velopper et entretenir les infrastructures qui permettent dattester de lexactitude de ces mesurages ex via la tra abi lit est essentiel pour remplir le r le de gouver nement Le domaine d application des r glementations de m trologie l gale ex type de mesurage et instruments de mesure soumis des exigences l gales d pend des cat gories d utilisateurs que l Etat consid re n cessaire de prot ger et de la ca pacit de ces utilisateurs se prot ger eux m mes des abus Puisque le but final la m trologie l gale est de donner confiance dans des r sultats de mesure par le biais des dispositions l gales les besoins et les exigences sur les r sultats de mesure devraient tre tudi s en amont des besoins et exigences portant sur les instruments de mesure La m trologie l gale inclut quatre activit s prin cipales e l tablissement des exigences l gales e le contr le l valuation de la conformit de pro duits r glement s et d activit s r glement es Oe eu EE MA PAU Grid La ion M trologie EST formation A nmm SOSS E panil OCCO Huiuiton ds euriheits kio c LUA DA MINING e e la supervision des produits r glement s et des activit s r glement es e la mise en place des infrastructures n cessaires la tra abilit des mesures r glement es et des ins truments de mesure De la m tr
115. ourner cette dif ficult il y a lieu de disposer des mat riels fixes et transportables sur une camionnette accompagn s des petits outils dajustage pour rendre souple et facile le travail Du pr l vement Cette tape est simple si tous les choix importants ont t faits au pr alable cest dire la caract risation et la d limitation du lot les in formations sur les ant c dents d inspection pour orientation sur le type d chantillonnage effec tuer la d finition du plan ou ordre de pr l vement le choix des mat riels On peut alors proc der au pr l vement Il est recommand de disposer toujours des outils pouvant aider noter les marquages essentiels des colis ou du lot Quant la quantit d chantillons pr lever elle d pend des objectifs de pr cision ou des certitu des atteindre aussi de la taille et de la composi tion qualitative du lot chantillonner Dans une chaine analytique cest le labo qui fixe la quantit d chantillons amener au laboratoire et il le fixe en fonction de ses besoins sp cifiques La quantit pr lever ne doit pas tre exorbitante et susciter les soup ons des partenaires Elle ne doit pas non plus tre insignifiante pour d ranger le protocole du laboratoire La quantit d chantillons pr lever est fonction dela taille du lot et dela m thode utilis e au labo ratoire et le plus important cest que cette infime partie soit repr sentative
116. ouveaux statuts de l OCC e mise en relief de la qualit dorganisme d valuation de la conformit tierce partie e attribution du statut dofficier de la police judiciaire comp tence restreinte son personnel commis lexploitation e la facult de cr er des succursales agences bureaux et autres si ges dop rations non seule ment sur toute l tendue du territoire de la RDC mais aussi l tranger e l vocation explicite du D cret loi du 20 mars sur les prix dans son cadre juridique etc Il nest pas possible que la connexion de tous ces l ments ne puisse terme contribuer booster significativement lentreprise publique r form e Coin de Partage et mode em ee eet laked uli dhuk Aeesha eta E E Ee Den E NUI v m m Dans une vision SCC le Syst mesdesprod tion est consid r comme un r seau qui relie plu sieurs partenaires les uns salari s de lentreprise elle m me les autres faisant partie des soci t s pla c es en amont et en aval Ce syst me comprend des fournisseurs et des clients une extr mit de la cha ne les consom mateurs constituent une partie importan te du r seau puisque l entreprise ne peut exister que s ils ach tent ses produits et ses services Sans eux elle dispara t Cest pour quoi l tude des march s pr sents et futurs est une condition essentielle pour l am lioration de la qualit et la p rennit de l entreprise L
117. ow ja s du dm ent Mr me MMPLANTATIONS Meim mo tubi pat mui Publications TARIF GENERAL DES PRESTATIONS cx cmm P eim RE Les 365 jours du Comit Kasongo Mukonzo AU JOUR LE JOUR AVEC LOCC WWW OCC rdc cd OCC demark20l2 gmail com Le mmmire de l e amp oncmie el du Commana nrac ftme ium dem atkegre ca CEBPILTER OUMARCHEIMCONGOLAIS AUISERVICEMDELAMATION DEPUIS 1922 Si ge social 1087 Coin des Avenues du March et Bas Congo Commune de la Gombe Kinshasa R publique d mocratique du Congo B P 8915 KINSHASA T l 4243 009938899 4243 851907088 E mail cantactibeltexco com T nd H E i T Agendas Revues Plans Guides Objets publicitaires Strat gie internet Sites web entreprises Agendas personnalis s ecrcom wanadoo fr www ecrcom net RE COUTE gt CONSEIL gt CR ATIVIT gt EFFICACIT gt R ACTIVIT gt COMP TENCE LIPA YA BA GAGNANTS Ka d TT WA VA BR Rudd COS Ld dp HG hdc Pr le ft streit ou B Hd SE mire ZU EM BUT LE ssl Lola iy a pa blishi ti Hl rentra Ta i prn e ox ES Hen 1 f oO i ib E EE XOU aber a Fi OC OE EL 1e b EE t wi 3131VMW ra EL Tyi SHORLIO3 ES HOLTEITTIB Sen 153 NY 32 j Bebe iaeiaiai SSES VIV NV IM d qssusuin ab PLANS FLOU TELE seg l Sep eg nn E D i eg P
118. pel Carnet d chantillonnage et chaque rapport a trois partie 1 LA PARTIE DE LIDENTITE DE L AGENT ECHANTILLONNEUR i I w Ba Image 2 Scell s plastiques autobloquants NOM ET POST NOM FONCTION NUMERO MATRICULE 2 LA PARTIE DE LIDENTITE DU CLIENT NOM DECLARANT QUALITE DOMICILE OU RESIDENCE 3 LA PARTIE DE LIDENTITE DU PRODUIT NATURE DE LA MARCHANDISE QUANTITE DE LA MARCHANDISE QUANTITE DU PRODUIT ARRIVEE PAR ieee MARQUE TROUVEE VALEUR APPROXIMATIVE DU PRODUIT ECHANTILLONNE REMIS A LOCC EMBALLAGE ETIQUETTE APPOSE N PLOMB APPOSEE DATE ET HEURE DU PRELEVEMENT DATE ET HEURE DE REMISE AU LABORA TOIRE REMARQUE DU CLIENT OU DE LECHAN TILLONNEUR QUANTITE DE PRODUIT PRELEVE ET RE MIS AU LABO OCC DATE D EMISSION SIGNATURE DU CLIENT SIGNATURE DE L AGENT Tous ces l ments sont importants pour l labo ration dun rapport d chantillonnage mais ce pendant ne sont pas exploitables pour une repro ductibilit des r sultats en cas de contre expertise pour les produits miniers A propos un model adapt l chantillonnage des produits miniers reprenant les l ments essentiels de l activit pourrait se pr senter de la mani re suivante Ce rapport est un model d un sch ma consen suel des diff rents modes d chantillonnage des produits miniers et donne la possibilit l chan tillonneur de fai
119. pour lorganisme prestataire que celui de minimisation justifiable de co ts pour le client Apr s tout il existe un seuil psychologique ne pas franchir en ma ti re de prix une esp ce de prix pla fond opposable au prix plancher Dans le processus de d cision il faut toujours analyser les avantages et les d savantages du choix entre prendre De plus il est important de bien comprendre ce quest un risque car cest une action entreprise dans les p rance davoir un gain mais aussi la crainte d un pr ju dice d une perte ou d un chec Mais dans tous les cas une entreprise ne peut pas voluer correctement dans ce monde constam ment en mouve ment sans prendre des risques Le rejet absolu de risque conduirait lim mobilisme sinon la mort Et en politique particuli rement nous avons souvenance de cette belle pens e de Nes lon Mandela disant opportun ment Il n y a que des hommes politiques qui croisent les bras qui ne font pas derreur Pens e tir e de son dernier ouvrage testament Conversations avec moi m me Nous pourrions ainsi soutenir en conclusion que dans une entreprise moderne tous les risques in h rents l activit doivent tre g rables dans une A A GJ i M WT W CR d EVT E Le large mesure LOCC a appris g rer les siens sans mettre en p ril la population par la consom mation des produits p rim s ou improp
120. r servant les g n rations futures de risques environnementaux et de p nuries cologiques majeu res Ceci figure dans le Rapport surl conomie verte adopt parla 18e session ordinaire du Conseil Ex cutif de l Union Africaine en Janvier 2011 En fait il sagit de produire gt avec une faible mission de carbone en utilisant peu de res sources en obtenant une plus grande int gration sociale et d gt en prot geant tout en les renfor ant la biodiversit et les services fournis par les cosyst mes D fis relever Pour y arriver la RDC en ce qui la concerne doit relever un cer tain nombre de d fis dont gt le danger critique dex tinction de certaines esp ces 190 en tout d apr s l UICN dont les l phants et les go rilles de montagne la suite d un exc s de pr l vements braconnage gt la d gradation de la for t et des terres gt l rosion du sol gt la pollution industrielle surtout mines carri res et hydrocarbures et urbaine gt la gestion non ma tris e des d chets toxiques 572 L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 gt l absence de gestion ra tionnelle des produits dan gereux gt la prolif ration des d chets non biod gradables plastique sachet gt la pauvret gt la n cessit de la mise sur pied d un programme national visant l exploitation des r serves min rales inex ploit es du pays estim es ce jour
121. re au quotidien la mise jour du mouvement d un lot pr t IL verrouille toutes ten tatives de dopage ou de d naturation la fois de la marchandise et de l chantillon Il offre aussi une reproductibilit de r sultats en cas d un r tro pro cessus Le transport des produits miniers ne pr sente pas des dangers de d naturation une fois bien scell s La notion de temps est assez peu contraignante pour leur nature On peut ais ment consid rer que la composition chimique d une roche ne varie pas l chelle de temps humain Mais il demeure que la maitrise de l chantillonnage dans la chaine analytique garantit la cr dibilit des r sultats et affecte positivement ou n gativement l image de marque de lorganisme de contr le ou en loccur rence l organisme dessais LEDOUX NAWEJ MWINKEW Chef de Bureau Laboratoire LIKASI Quelques mots couramment employ s dans le secteur Produits miniers ou encore marchands Toutes subs tances min rales sous quelque forme que ce soit ex traites en vertu des droits miniers et ou de carri res d exploitation et ou tout produit labor partir de ces substances dans les usines de concentration de traitement ou de transformation des fins commer ciales 3 Pr l vement Action d extraire une partie d un en semble Echantillon c est une fraction repr sentative d un en semble Echantillonnage Action qui consiste pr lever une partie consid r e comme repr
122. re du commerce international ou des changes internationaux Ces quantit s de biens et de marchandises sont transport es par des navires des avions des trains et des v hicules et sont en cons quence expos es d nor mes risques de tout genre vols Sms naufrage accidents Intemp ries mouille rouille casse pu tr faction etc Do la recommandation et m me lobligation dans certains Etats de souscrire une assurance pour couvrir les risques cest dire de se faire indemniser par l assureur en cas de domma ges pertes ou avaries survenus aux biens ou aux marchandises transport es assurance facult et aux moyens de transports uti lis s assurance corps navires avions trains ou v hicules Cest l assurance maritime qui couvre les risques voqu s ci dessus tandis que les compa gnies d assurance de ce secteur sont appel es ASSUREURS DES TRANSPORTS Vu ce qui pr c de la question que lon se pose est celle de sa voir comment l Assureur Trans ports install un endroit pr cis du globe terrestre par exemple LONDRES arrive t il suivre toutes les marchandises qu il a assur es et qui vont pendant la m me p riode diff rentes des tinations Comment fait il pour constater les d g ts ou pertes survenues aux marchandises et pour valuer le montant de lin demnisation a r ponse est toute simple lAssureur Transports re court l expertise
123. res la consommation courant quelquefois le risque dif ficilement g rable h las celui l d tre trait de tous les noms doiseaux par des importateurs de mauvaise foi Minoritaires heureusement Annie BAKAMBAMBA BULULU Directeur D Chef de Departement Controle Importations Dossiers de L Oeil Prestations OCC sur les produits p troliers Probl matique de r mun ration O rganisme d valuation de la conformit l O C C exerce cette pr rogative quasiment danstouslessecteursde la vie conomi que nationale M ais que de difficult s rencontr es par l O ffice vis visdela profession p troli re En effet durant plusieurs ann es l O CC n a pas t r mun r pour lesprestationsr alis es dansle secteur deshydrocarbures d B INSPECTORATE HOUSTON TECHNICAL CENTER c ne UO mg Weeds nre d p rod irid Cn VOS MEET Een er our la petite histoire tout remonte la fin des ann es 80 lorsque l Etat plac devant les difficult s dapprovisionnement en car burants lib ralise la profession autrefois exerc e en exclusivit par P tro Zaire Les nouveaux venus dans le secteur refusent de reconnaitre l OCC ses pr rogatives et donc de payer ses pres tations au motif quil naurait pas de laboratoire de p trochimie Il fallut attendre l ann e 2000 pour voir les nouvel les autorit s du pays signer un contrat de fourni tures des produits p troliers avec
124. res du Commerce Ext rieur et des Experts de OCC A la suite des conclusions de la commission les Ministres des Hydrocarbures et de Economie Na tionale sign rent la Note Circulaire n 001 CAB MIN HYD 2011 et 002 CAB MIN ECO 2011 du 11 f vrier 2011 confirmant le tarif de OCC 7 16 USD TM De nouveau contestation des repr sentants des fournisseurs et retour au statu quo Evocation du risque de provoquer lench ris sement des biens de premi re n cessit par une augmentation du litre dessence 17 FC en d pit de la modicit de l augmentation r ellement pr Dossiers de L Oeil vue par la Note Circulaire Pour tirer au clair cette situation une rencontre des diff rentes parties concern es sera convoqu e pour d battre du probl me et trouver un modus vivendi A cette occasion il fut demand aux Repr sen tants des fournisseurs de justifier leur refus de payer l OCC et de pr senter la fiche de diff rents b n ficiaires du diff rentiel cest dire les frais pay s aux diff rents services intervenant lors du d chargement du navire Devant leur h sitation pr senter cette liste il sera diligent une mission au Bas Congo pour assister un d chargement et voir les diff rents intervenants De fa on unani me tous les services reconnurent le r le minem ment important jou par l OCC dans le processus dimportation des produits p troliers Au retour de la mission Kinshasa une lettre du Chef
125. reur ou de l assur en d terminant sa nature sa cause son origine et sa hauteur et dadresser au requ rant son rapport pr sent dans les d lais r glementaires et conte nant tous les l ments exig s par l assureur ou le requ rant ainsi que la facture ad hoc Par extrapolation certains organismes ou entre prises ont acquis l habitude de recourir lexperti se dun Commissaire d Avaries en tant que tierce partie pour une mission de surveillance des mar chandises ou de constat d avaries aux fins de justi fication aupr s des bailleurs ou des propri taires est le cas du Programme Alimentaire Mon dial PAM des brasseurs et autres pour n3 le Commissaire d Avaries Office Congolais de Contr le Ainsi en cas de sinistre ou davarie l assur ou son repr sentant est tenu de 1 Prendre toutes les dispositions conserva toires ou de sauvetage que n cessite la situation pour prot ger les biens ou les marchandises assu r es ou pour limiter les d g ts 2 Requ rir lintervention du Commissaire dAvaries d sign sur le certificat d assurance et dans le d lai mentionn par l assureur 3 Conserver les droits de recours contre le transporteur ou tout autre interm diaire pr sum responsable du sinistre Deny D MAYEMBA TEMBE KM Jr 1l a Chef de D partement Commissariat d Avarie Avec L awbank distinquez vous RAWBANK ie my bank Dossiers de L Oeil
126. rgani sation R gionale Africaine de Normalisation ARSO et Membre du Programme Standards Quality Assu rance Accreditation an Me trology autrement dit le SQAM au sein de la SADC Dans ce cadre l OCC a particip aux r unions de l ISO et de la Commission lectrotechnique internationale CEI relatives aux normes et guides d valua tion de la conformit en tant que r f rentiels pour la comp tence technique des organismes d valuation pour l harmonisa tion internationale des activit s d valuation de la conformit et l acceptation mondiale de leurs pe une 4 qe Lat fs gt i dela MA de IU das ere LE Eu AE ij EADS eu HESgtarcfgues IMALIBA faifSantifonciontdelDir cteurdelCabih thauMiniStererdellECOnomIeretICoMmerce r sultats Notons que cest partir de sa collaboration avec l ONUDI quont t transf r es du Minis t re de l Economie l OCC les activit s de la m trologie l gal sur la base d une tude relative aux capacit s techniques de l in frastructure qualit de la RDC me n e par cette institution en 1980 Aujourd hui l accr ditation du Laboratoire O C C de m trolo gie KINSHASA dans le domai ne d talonnage de masse par le Comit Fran ais d accr ditation COFRAC et ce gr ce un fi nancement de PTB au travers de la coop ration des pays de la SADC en mati re de tra abilit de mesu rages SADCMET est longtemps posteriori un b
127. rvices publics pour distribuer les dividendes du d veloppement leur population et viter une d faillance de l tat Les PMA a t il t dit sont aux prises avec une succession de crises conomiques mondiales dont ils ne sont pas responsables Et lon voit que pour sortir de leurs difficult s actuelles les pays d ve lopp s appliquent des politiques dont ils ont long temps emp ch l application par le monde en d veloppement notamment l intervention directe accrue de l tat dans l conomie u nombre des statistiques qui ont maill les changes DOHA il a t not que 20 96 de la population mon diale continuent de d tenir 85 96 des richesses tandis que 80 96 se partagent les 15 96 de richesses restantes Ce qui constitue un d fi pour la communaut internationale Le porte voix par d l gation de la RDC a relev que celle ci renferme un potentiel nerg tique et forestier tr s important plus de 82 000 km2 des eaux int rieures soit trois fois la superficie de la Belgique et neuf fois celle du Qatar soit plus de 5096 deaux douces de tout le continent Africain En ce qui concerne la for t sur les 200 millions d hectares tenus en commun avec l Angola le Ca meroun la R publique Centrafricaine le Gabon le Congo Brazzaville et la Guin e Equatoriale la RDC d tient elle seule 5696 Autant d informa tions qui ont suscit un moi remarquable parmi les participants arabes sp cialement Mamie
128. s r p tition des op rateurs conomiques avis s surtout celles orient es vers les laboratoires et les inspecteurs de conformit ont pouss l Office vers les ann es 95 rechercher des r f rentiels mondialement acceptables Voil qui explique en partie lengagement soutenu de celui ci postuler dans plu sieurs organisations r gionales et internationales de normalisa tion A cet effet l OCC sest engag l Organisation Internationa le de Normalisation ISO en 1999 dabord comme Membre abonn Deux ans plus tard il devient membre correspondant 76 et depuis 2006 il gravit l chelon Sup rieur pour devenir Comit Membre cest dire Membre de premier rang Cependant les normes labor es par l ISO ne pouvaient couvrir les besoins de tous les secteurs dactivit Ceci va obliger l Office frapper galement la porte de la Commission Electrotech nique Internationale qui tient sa r putation l laboration de normes du secteur de l lectro technique Ainsi depuis 2001 l OCC int gre le programme de la CEI pour les pays en d veloppement lanc la m me ann e avec com me avantages principaux la possibilit de choisir 200 Normes gratuitement pour utilisation ou pour adoption la possibilit de s lection ner 10 domaines techniques dans lesquels on peut tra vailler en collaboration avec dautres pays Membres ayant choisi les m mes comit tre guid dans les
129. s La cit mo derne en gestation sera r alis e avec le partenariat technique de la Soci t sud africaine HY DRAFORM repr sent e la c r monie de pose de la premi re pierre Sa technologie de pointe offrant des avantages int res D i sants en mati re de construction des maisons sera exploit e pour atteindre lobjectif de 1500 loge ments sinon plus en 5 ans Un autre projet dans le pro gramme du CVC induit au pr sent cest l implantation dans le m me site de ce que son pro moteur a choisi de baptiser Centre du Socle pour la promo tion de la protection sociale en RDC Il devra tre son sens le creuset dont notre pays a tant besoin pour vulgariser la s cu rit sociale Puissants levier de lutte contre la pauvret reconnu comme tel travers le monde entier et dont la RDC ne pour rait continuer se passer dans la marche commune vers le d ve loppement Ce qui a t fait et continuera se faire N Sele est une d monstration du fait que les Syndicats des travailleurs sont aussi capables de r aliser de grandes choses et ne sont pas que des officines de revendications st riles Le leader syndical de l OCC a remerci vivement le mandataire plac par le Chef de l Etat et le Gou vernement la t te de cet tablissement public durant le quinquennat du social et de la r volution dela modernit M Albert KASONGO MUKON ZO qui il a rendu un vibrant hommage
130. s et les ob jectifs vis s Il sagira en termes clairs de confron ter la demande au plan de formation Quant la formation l tranger elle ne peut tre envisag e qu au cas o aucune possibilit ne soffrirait sur le plan local interne ou externe Notons par ailleurs que chaque programme de for mation ex cut l OCC doit tre l gal et justifi Ainsi pour la mise en uvre d un programme A S minaire de recyclage pour les chauffeurs lon se r f re imp rativement la loi n 15 2002 du 16 novembre 2002 portant Code du Travail la Convention Collective d Entreprise OCC et au Budget de l Office Evaluation de la formation Au terme de toute formation le participant est oblig de transmette un rapport la hi rarchie et de proc der la restitution des connaissances ac quises Par ailleurs une valuation dans l activit de l agent permettra de s assurer si les objectifs de la forma tion ont t atteints avec satisfaction ou non A cet effet OCC proc de l valuation ou lap pr ciation de ses employ s deux fois tout les six mois chaque ann e Lappr ciation est obligatoire pour tout employ Elle a pour but d clairer lem ployeur sur la valeur les aptitudes les capacit s le rendement et les m rites de chaque employ Les statistiques de la formation du personnel in diquent plusieurs sessions de formation dans di vers domaines notamment les Normes ISO le contr le d
131. se op rationnelle c gt _ L Oeil n 008 Ao t Sept 2012 de l audit consiste rechercher des faits et des donn es qui met tront en lumi re les probl mes affectant la qualit Une bonne quipe d audit sait l avance quel type d informations elle cherche donc elle ne perd pas de temps rassembler des don n es inutiles Lemploi d un questionnaire utiliser la m thode dite den tonnoir pr sente I avantage de rendre laudit aussi objectif que possible mais les situations non pr vues qui existent toujours doivent tre d crites oralement avec ventuellement des preu ves I appui Certaines donn es sont recueillies sur place en de hors de lentretien Il ne faut pas oublier que les pro bl mes affectant la qualit dans une entit peuvent avoir leur cause dans une autre unit Il est donc int ressant dexaminer aussi des documents en dehors de l entit audit e s ils peuvent aider mieux comprendre un probl me Apr s recueil et v rification des informations l quipe de l audit doit d gager le constat de l audit pr parations des conclusions de l audit suivi d une r union de cl ture au cours de laquelle tou tes les personnes concern es par l audit doivent prendre part Lorganisation de la r union de cl ture de l audit est importante et doit insister sur la mise en vi dence des carts qui est la partie la plus d licate de l expos et doit proc der comme suit pr
132. site de son stand par le Vice Premier Ministre et Minis tre du Budget M Daniel MUKOKO SAMBA accompa gn du DG et DGA de l OCC Une se conde table ronde consacr e aux PME sest tenue dans la foul e de celle ci quelques jours plus tard le 18 juin 2012 Opportunit offerte l Office pour expli quer aux industriels et hommes d affai res congolais l int r t de la conformit aux normes pour l acc s aux march s ext rieurs et le d veloppement de leur business Rev Jean Boanerges KASEKE DYEMO DEMARK OFFICE A CONGOLAIS DE CONTROLE ACCUEIL L ENTREPRISE M TIERS PART RW jeudi 12 vu er 2012 Incin ration de 4 330 kg des produits avan s et non conformes saisis la fronti re de Lulu Songololo Site atficiel de l Office congolais de contr le la une Actualit s OCC C l bration de la Journ e mondiale de l Accr ditation Kinshasa discours d ouverture de M Albert Kasongo Mukonzo Directeur nex de roce ow E 8 lundi 17 juin 2012 La Jos e monde de TAG Large Ww win ekaba a ab 1 Kana la a DOCCT E T pras des e DD a Gerbe Appul i i ircurs nwpantare QE amp eas paba uni feel cals Grnge pae e LEEGI niermabocal de F acer eeatien LAC l fi Actualit s La RDC pronus au statut Affiliate Plus de la CEI IE marcredi 22 oct 2012 L St a emg miria du Programs d s p ri anie A Corm s cn ierat imm A po
133. sont pas aussi permanen tes que dans dautres cas mais parfois le risque augmente lorsque loutil de pr l vement cas des m ches des foreuses pour le pr l vement des m taux se d sagr ge Lacquisition du mat riel d chantillonnage doit se faire en fonction des m thodes d analyse du labo ratoire et des outils des pr parations des chan tillons de prise dessai Pour l chantillonnage des concentr s et des granules de m taux le probl me de choix des mat riels nest pas compliqu Faci lement on utilise les sondes figure4 ou la pelle Pour les m taux Les grands producteurs dispo sent doutils d chantillonnage semi industriels A titre exemplatif pour le cuivre cathodique la TFM TENKE FUNGURUME MINING dis pose une scie rotative capable de pr lever les chantillons sous forme des copeaux fins sur les cathodes quelle que soit leur paisseur La GCM G n rale des Carri re et des Mines poss de des foreuses fixes adapt es la dimension des ses ca thodes et BOSS MINING utilise soit des foreuses fixes soit les poin onneuses fixes plac es sur une presse hydraulique ou pneumatique qui lui four nit des copeaux ou des pastilles Image 1 pastille de cuivre Boss Mining A OCC nous disposons des foreuses portati ves simples et tr s mobiles faciles manipuler mais qui n cessitent des efforts physiques Pour le pr l vement d importants lots le travail devient fastidieux et puisant Pour cont
134. t s et des Personnalit s scientifiques Africains et du Monde qui se ren contrent en Afrique pour organiser tous les deux ans une Conf rence Internationale de M trologie en Afrique Cest un carrefour d changes d infor mations d id es innovatrices et dexp riences en tre industriels et scientifiques autour de conf ren ces de tables rondes de formations et de stands dexposition Les objectifs de CAFMET sont Promouvoir la communication entre l in dustrie les organismes gouvernementaux les tablissements de lenseignement sup rieur et universitaire les laboratoires de recherche et de d veloppement dans le domaine de la Me sure Pr senter les volutions de la m trologie et ses implications dans la sant lenvironne ment la s curit et la qualit Faire le point sur les techniques dorga nisation de la fonction m trologie et sur les moyens de maitrise et de d veloppement des processus de mesure dessais et d analyses Lorganisation de CAFMET comprend un Conseil dadministration un Comit ex cutif et un Co mit scientifique Les membres sont les personnes morales ou physiques qui adh rent suivant diff rentes cat gories et payent des cotisations annuel les Es L oeil n 008 Ao t Sept 2012 Aujourd hui les membres de CAFMET sont par exemple Les Laboratoires Nationaux de M trologie AIST Japon EMU Turquie IMGC Italie INFLPR Roumanie INRIM Italie IPQ Portugal
135. t de proc der une campagne d chantillonnage on doit se fixer des ob jectifs pr cis Ayant toutes ces informations on peut alors laborer le plan d chantillonnage Autrement le manque de ces informations peut conduire soit une surestimation soit la sous estimation du lot Ce qui par la suite biaisera le reste de la chaine analyti que surtout si le lot est h t rog ne Cette tape doit toujours ainsi seffectuer de commun accord entre les deux parties Sagissant du choix des points de pr l vement la d ci sion d un pr l vement al atoire syst matique ou sim ple d pend des caract ristiques physiques du lot et de ses ant c dents qualitatifs fournis par les r sultats du labo Pour un lot homog ne le pr l vement est facile mais pour un ensemble h t rog ne plusieurs crit res peuvent intervenir en fonction notamment de lobjec tif poursuivi de la technicit ainsi que de lexp rience de l chantillonneur qui peuvent orientent le choix Les chantillonneurs doivent poss der la connaissan ce des modes op ratoires du laboratoire pour avoir une bonne orientation dans l laboration de leur plan d chantillonnage renons lexemple de lanalyse d un chan tillon de cuivre m tallique de l hydrom tal lurgie ou de pyrom tallurgie Le cuivre titre souvent 99 9996 99 50 96 si les conditions op ratoires sont bonnes Dans cet chantillon la dis tribution cuivre impuret se pr sente de la mani re
136. t des Normes D partement Normalisation 79 Premi re visite de travail et adresse du Ministre de l Economie et Commerce la Direction G n rale ainsi qu aux cadres et agents de l OCC apr s son entr e en fonc tion Lieu KINSHASA E gt L oeil n 008 Ao t Sept 2012 l OCC au Katanga M Flo ribert KONZI LUVUNGU FOFO recevant une mission de Kinshasa pour la sensibilisation a l thique et la d ontologie pro fessionnelle de g d Jean Paul KASONGO Cl ment MPONGO et R v KASEKE DYEMO I Le Directeur Provincial de Etudiants de L UPC au mois de mai 2012 lors de la conf rence d bat annim e par le DG Albert KASONGO sur le th me L avenir de l OCC au regard de la transformation des entreprises pu bliques Partenariat permanent en tre l OCC et le monde universitaire Le Recteur de l UPC Mgr 3 NGOY BOLIYA recevant le DG de l OCC avant la confer ence d bat Occ Gender COMPRENDRE POUR AGIR AUTREMENT r E Con se aem anre L esurtitreest de A D BA AN BE P rofesseur aux F a cultes Catholiques de Kinshasa L e titre de nous Lie une conf rence que nous avons tenue voch quelque temps en qualit de P r sidente de la M ON OLK Mutuelle de anciens tudiants de l Universit ew ms en Belgique VEU actualit permanente des enn couvertes par nos propos nous conduit non seulement reposer une fois de p
137. t non la bouf f e de cigarette 0 01591g 215 91 N Marque Pays fabricant Teneur en nicotine tige Teneur en nicotine tige Marqu e sur le paquet dans mg le tabac mg R D Congo 17 00 R D Congo 13 00 England o 20 53 13 64 R D Congo 17 20 La teneur du goudron trouv e dans le tabac est de loin sup rieure celle marqu e sur le paquet car ce dernier se rapporte la bouff e d une tige de cigarette Proposition des modes op ratoires Pour la d termination de la teneur en nicotine dans la fum e 1 Produits NaOH 8 33 NaOH OI1N HC ou H2SO4 OI1N Indicateur mixte 2 Mat riels Ballon distiller de 1 litre R frig rant Erlenmeyer de 250 ml Statif complet Burette gradu e de 50 ml Agitateur magn tique Baguette magn tique Calotte chauffante Pompe vide lectrique Pipette de 20 ou 25 ml Poire de laboratoire Cigarette Calotte chauffante 4 Mode op ratoire Dans un ballon distiller de 1 litre transvasez 300 ml d une solution de NaOH 8 33 soit 25 g de NaOH dans 300 ml de solution Connectez la partie refoulante de la pompe vide au ballon distiller Connectez le r frig rant sur le ballon et la pointe du r frig rant est immerg e dans 20 ou 25 ml Va d une solution de H2SO4 ou HCI 0 1 N contenue dans un erlenmeyer de 250 ml Ajoutez 3 gouttes d indicateur mixte dans 20 25 ml dela s
138. tinuent fai re de l galit un objectif prioritaire Ainsi Femmes Congolaises sachez que Vous ne pouvez jamais changer ce que vous tol rez pour reprendre la pens e de Mike MURDOCK dans La loi de la reconnaissance Pens e abso lument d pouill e de tout sexisme et applicable dans le cas desp ce la situation de la femme BOMELE BONYANGI S Directeur Charg e des Approvisionnements Libre Tribune TRANSFORMATION DES ENTREPRISES PUBLIQUES VERS LE TEMPS DU BILAN Difficile de passer au laser toutes les entreprises pu bliques pour la petite r flexion que nous proposons ici au d bat Un seul cas pourrait d j justifier que l on se penche sur la question Sans pr tention de produire une conclusion universellement applicable lors pourquoi pas un regard circonscrit sv au cas de l Office congolais de contr le Cr par l Ordonnance Loi n 74 013 du loi janvier 1974 comme Entreprise pu blique caract re commercial et technique sous les cendres de la filiale nationale SGS Soci t G n rale de Surveillance il avait au d part com me autorit de tutelle la Pr sidence de la R publi que LOffice Zairois de Contr le OZAC avait par la volont du L gislateur comme objet deffec tuer des contr les de qualit s quantit s et confor mit s de toutes marchandise des analyses de tous chantillons et produits ainsi que des contr les techniques de tous
139. tion de l chantillon de labo sur le ter rain doit g n ralement comporter le minimum de manipulation possible afin de conserver l int grit de l chantillon en limitant les risques d alt ration li e aux conditions environnantes Lemballage doit tre sain avec tiquette au dessus duquel sera mentionn le code du lot et le num ro du rapport d chantillonnage L chantillon de laboratoire doit tre scell comme son duplicata aussi Le scell de s curit sert essentiellement la s curit des chantillons contre la d naturation ou contre le dopage Il est galement l l ment fonda mental de l identit et de la tra abilit de l chan tillon Il existe plusieurs mod les des scell s Pour les chantillons de labo les mod les plastiques auto Dossiers de L Oeil les soup ons des partenaires Elle ne doit pas non plus tre insignifiante pour d ranger le protocole du laboratoire La quantit d chantillons pr lever est fonction dela taille du lot et dela m thode utilis e au labo ratoire et le plus important cest que cette infime partie soit repr sentative Compte tenu de la taille du lot on peut assister parfois de pr l vement de quantit aussi importante quon ne le pense et une s rie d chantillonnage voire m me stratifi peut tre appliqu afin dobtenir un chantillon com posite homog ne sur lequel sera extrait l chan tillon de laboratoire Prenons deux exemples 1 Le
140. tions de l OCC permettent d sormais aux employ s de travailler plus efficacement en tout lieu En cons quence le bureau est rendu virtuel Cette solution de mobilit permet aux employ s des bureaux de travailler tout moment et nim porte o comme au bureau en les dotant d un ac c s s curis aux informations et applications De l Infrastructure Mesurable et dynamique linfrastructure est concue pour sadapter la croissance de lentrepri se Avec une gamme d quipements performants compos des serveurs routeurs switches anten nes nano station et wifi t l phones IP un syst me voix donn es robuste et une plateforme unique la gestion est effectu e travers une interface uni fi e de type web appel l Enterprise Ressource Planning ERP Du Management Les Communications demandent une gestion par des professionnels ainsi quune gamme de servi ces adapt e pour garantir performance et contr le des co ts Une solution de Communications ap porte flexibilit et performance mais n cessite d tre g r e globalement et judicieusement afin de simplifier l administration et la maintenance du r seau converg et des applications Le personnel compos d informaticiens affect la gestion de ce syst me est form avec des niveaux de certification chez nos partenaires technologi ques de premier plan Ils ont les connaissances et lexpertise pour concevoir int grer d ployer et exploiter des solutions p
141. tre organisme de formation profes sionnelle en R publique D mocratique du Congo ou l tranger En effet le D partement Administratif par le biais de sa Division Formation a entre autre mission de contribuer au d veloppement harmonieux des Ressources Humaines de l OCC par l am lioration des comp tences ou le renforcement des capacit s des employ s au moyen de la formation Moyens et co t des formations LOffice Congolais de Contr le dispose d une salle de formation dans les installations abritant son si ge social pour les formations locales internes en d autres mots cette salle sert de cadre pour les sessions de formation dont les formateurs et ceux qui suivent la formation sont tous agents l OCC A cet effet des supports didactiques sont mis la disposition des participants ainsi que des stylos bille carnets et autres bloc notes et le concours de la technologie informatique En outre un rafraichissement est offert aux par ticipants par la Division Relations Publiques du rant toute la dur e de la session de formation Car un ventre affam na point doreille dit on Quant au co t pr alable toute action de forma EZ gt L oeil n 008 Ao t Sept 2012 tion les moyens financiers doivent tre dispos s quant ce Ainsi un cr dit budg taire est allou chaque ann e la formation Le programme de formation de lexercice en cours sera donc fonction de ce cr dit En des mots tr s clairs
142. ts trouv s exp rimentalement varient de 1 1 8 pour les tiges de cigarettes mais pour le tabac brut le taux de nicotine est su p rieur 1 8 96 Lexpression de la teneur en nicotine et en gou dron se r f re la bouff e fum e et ces teneurs seraient plus pr cises si on se r f re la tige de sorte quon crirait Nicotine Xmg tige et goudron Ymg tige et non nicotine X mg et goudron Y mg comme in diqu sur les paquets de cigarette Connaissant le nombre de tiges fum es quoti diennement chaque fumeur aura par une petite op ration arithm tique la quantit de nicotine et Dossiers de L Oeil de goudron absorb e A titre dexemple si un in dividu fume 15 tiges de cigarette par jour il aura absorb 15 x X mg de nicotine jour 15 x Y mg de goudron jour Il ressort de la comparaison de la teneur en nicoti ne entre marques de cigarette que cette teneur dans le tabac est deloin sup rieure celle contenue dans la bouff e de cigarette car une bonne partie est re tenue par le filtre et une autre volatilis e lors de la pose du fumeur Conversion du pourcentage en mg tige de ciga rette Soit pour la marque Super match masse moyenne de la tige 0 925 g nicotine 1 75 96 Teneur en nicotine par tige partir du pourcen tage 100 g de tabac gt 1 72 g de nicotine 1 72 0 925 0 925 g de tabac gt 925 g de tabac 100 mg tige Cette teneur se rapporte au tabac e
143. uis par la R glementation du change en RDC Dossiers de L Oeil Importance et planification de l chantillonnage chantillonnage a pour objectif d assu rer la repr sentativit de l chantillon ra men au laboratoire cest dire de faire en sorte que linfime partie soumise l analyse soit la plus repr sentative possible de la masse m re Il est ainsi important parce que de vant offrir la possibilit aux laboratoires de produire des r sultats d analyse cr dibles et fiables faciliter aux laboratoires une prise de d cision de conformit juste et cr dible offrir un gain de temps dans lorientation d analyse Pour mieux planifier l chantillonnage il est n ces saire d avoir la connaissance suffisante pour caract riser et d li miter un lot un esprit critique des points de pr l vement du lot des mat riels sp cifiques de pr l vement par rapport la pr sentation physique et la quantit du lot L chantillonnage commande la caract risation et la d limitation du lot Caract riser un lot cest identifier les caract ristiques physiques communes un groupe ou lensemble du lot Cest l tape qui enclenche le processus de l chantillonnage Indispensablement il doit se faire en pr sence de lexportateur et cest ce dernier qui doit d limiter l tendue ou la taille du sup pos lot Il doit par la suite indiquer clairement l l ment ou les l ments analyser car avan
144. un ou plusieurs m ta ux Prise d essai quantit d chantillons n cessaire la r alisation d un essai Echantillon duplicata Echantillon pr lev en double sur le terrain dans un but de contr le L Oeil n 008 Ao t 2012 De l analyse de la cigarette Focus sur la nicotine et le goudron Suivant les r solutions de la 56 me assembl e mondiale de la sant du 21 mai 2003 relatives la convention cadre de l OMS pour la lutte antitabac sp cialement en ce qui concerne le condi tionnement et l tiquetage des produits du tabac en plus de la formule dassique Fumer est pr judiciable la sant cha que emballage ou paquet de cigarette doit contenir aussi des l ments d information sur la teneur en nicotine et la teneur en goudron tar u niveau du pays ces dispositions ont t A dans l Arr t minist riel n 04 MCP 009 2002 modifiant et compl tant l Arr t minist riel n 04 DIP 005 90 du 21 avril 1990 fixant les crit res dappr ciation de la publicit sur le tabac et sur les boissons alcoo lis es La teneur en nicotine telle que propos e par l OMS et appliqu e par le Gouvernement de la R publique D mocratique du Congo est impr cise car les milligrammes de nicotine et de goudron ne se rapportent aucune r f rence Auparavant cette teneur en nicotine dans le tabac tait expri m e en pourcentage et le maximum de 2 96 tait observ Les r sulta
145. ur M compio de Ile Conga de wird pour notre pays sde start Altala Plus pu sem de c programma Cice j Kasal Occidentai opportunit de mise sur pied d un comit des professionnels des produits p troliers EX anni D w mardi 14 aout 2012 H Anh nateru des Hyrtirocariures ui cha Oe mess du comt mit d gui de m z rat qguaetibat en el gualtabeog des produts p troMw 1 amp omue l opportund de a mp su omg dies il Ert ospy k RDL Fa A 1 Canig d obleni Mud consedes au mealea KAN NCA SWEET Bient t le Guichet unique lectronique int gral vendredi 10 acot 2012 Les Wrstalabons du milio des ITPA ia Combe ond servi de Cre 3 unm regnen du Cori de p otaga de ku r form du guichet Vue pesadia par la Vice Prorier Minalra el Mnaire du Bodoot Darse Mukclio Samba Au were gin rale eg m oh L POUR MARCHER vue D yep Warticipatinn de 1 Office conpolats ei contr en PI s Ti pos lin r pud eum LES j dur al e miio bes p troliers ida Katar sd OCC z ie m S ow na P 2 De mloers COMMUNIQU S brimdl ke dix Gel tt Incin ration de 4 330 kg des produits avari s et non conformes saisis la fronti re de Lutu Songololo jeudi 12 juillet 2012 Massage d voeux au Chef de l Etat occasion du Si6mms ann e pr ag do l ind pendance de a R publique D mocratique du Congo C lundi 2 pet 2012 Mess
146. us juste et complet r pondant aux besoins priori taires et aux pr occupations des PMA A cet effet l Accord d Accra constituait une base solide sur laquelle l on pouvait sappuyer pour d cider des modalit s d action susceptibles de promouvoir une mondialisation centr e justement sur le d ve loppement concept troitement associ pour les PMA la D claration de Doha Dans la d claration officielle de la RDC pr sent e par la Directeur G n ral de l O C C il a t de mand que les strat gies de la croissance tir e par les exportations soient compl t es par des politi ques qui mettent l accent sur les capacit s de pro duction nationale et de diversification de loffre lexportation sur l investissement le d veloppe ment des infrastructures et des moyens techno logiques ainsi que des capacit s du secteur priv des PMA Cela permettrait de susciter une crois sance conomique renforc e et durable partag e et quitable favorisant la transformation structu relle Bref un plaidoyer pour le changement im p ratif de mod le pour stimuler la transformation structurelle et la diversification conomique des PMA En effet selon des tudes convergentes portant notamment sur l indice de gouvernance 16 PMA se trouvent dans la zone critique et la plupart des autres dans la zone dangereuse Ce qui donne penser que les PMA ont imp rativement besoin daide pour renforcer leurs institutions et leurs se
147. ux femmes le droit de jouir de tous les droits civils et poli tiques droit la vie s curit de la personne de prendre part la gestion des affaires publiques devant les tribu naux e La convention interna tionale sur l limination de toutes les formes de discri mination raciale adopt e par l Assembl e G n rale des Nations Unies le 21 d cem bre 1965 et entr e en vigueur le 4 janvier 1969 Ce texte condamne to ite distinction exclusion restriction ou pr f rence fond e sur la race la couleur l ascendance Tori gine nationale ou ethnique qui pour but de d truire exercice dans des condi tions d galit des droits de l homme et des libert s fon damentales ou dans tout autre domaine de la vie pu blique ex s gr gation ra ciale lroisiemement une conven tion des Nations Unies sur l li mination de toutes Ies formes de discrimination l gard de la femme adopt e en 1979 et mise en vigueur en septembre 1981 Cette convention nonce sous une forme juridique les principes relatifs aux droits des femmes Elle recommande aux Etats la suppression de toutes les formes de discrimination l gard de la femme dans tous les domaines de la vie nationale ci vique politique conomique et l galit entre les sexes En son article 5 la convention recom mande aux Etats de prendre tou tes les mesures appropri es pour modifier les sch mas et mod les de co
148. vit sur les produits les plus sensibles cest dire les plus susceptibles de couvrir un danger et donner les r sultats les plus cr dibles et fiables cette occasion Lessentiel tant de faire une valuation pour une p riodicit d terminer suivant notamment le client le four nisseur et la nature de l importation Un client qui a import plus d une fois des produits avari s a plus de chance de voir sa marchandise contr l e int gralement lors d une prochaine importation La strat gie repose essentiellement sur des recou pements statistiques des consid rations cono miques le niveau de dangerosit du produit l im pact du produit sur le march la r glementation en vigueur les alertes sanitaires etc Ces facteurs concourent la s lection des produits chantillonner sagissant des laboratoires dessais par exemple et la m thode d chantillonnage utiliser Pour tre capable de bien valuer le risque le res ponsable devra tre apte bien comprendre le sens d une d cision qui est un choix important effectuer Tant que la d cision ne sera pas prise les produits analyser vont saccumuler et la factura tion y relative va sensiblement augmenter au ris que de contraindre l importateur payer des frais sup rieurs au prix de la marchandise A cet gard ne faut il pas penser au concept du maximum fac turable Ce qui enverrait consid rer aussi bien le souci de juste r mun ration

août et septembre 2012 - Office Congolais de Contrôle

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