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1. H UTILISATION Dilution 1 berlingot de 250 ml pour 750 ml d eau 1 litre de solution d Eau de Javel 2 6 de chlore actif Porter des gants de protection Nettoyer syst matiquement la surface ou le mat riel d sinfecter lavage avec un produit d tergent rin age soigneux gt Appliquer la solution d Eau de Javel Laisser un temps de contact minimum 5 minutes Rincer soigneusement la surface ou le mat riel Laisser s cher Stocker ou utiliser le mat riel propre et d sinfect H PRECAUTIONS D EMPLOI Produit toxique ne jamais m langer l eau de Javel un autre produit Produit irritant en cas de projection sur la peau dans les yeux laver abondamment l eau courante et si n cessaire en cas de projection dans les yeux consulter un m decin faire une d claration d accident de travail Toujours reboucher le flacon apr s usage M REGLES DE CONSERVATION Conserver l abri de la chaleur et de la lumi re Stocker dans des lieux hors de port e des r sidants et des visiteurs rincer le flacon de dilution avant chaque nouvelle dilution 82 ANNEXE 2 2 EXEMPLE DE PLAN DE NETTOYAGE C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Exemple tabli partir du document du C CLIN Sud Ouest Entretien des locaux des tablissements de soins Octobre 1998 29 pages ZONE 2 NETTOYAGE DE LA CHA
2. 93 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES par ordre alphab tique ANAES Evaluation des pratiques professionnelles Evaluation de la pr vention des escarres juin 1998 76 p ANAES Evaluation des pratiques professionnelles Qualit de la pose et de la surveillance des sondes urinaires d cembre 1999 44 p ANAES Soins et surveillance des abords digestifs pour l alimentation ent rale chez l adulte en hospitalisation et domicile Recommandations pour les pratiques de soins avril 2000 67 p APHP Le soin de bouche APHP janvier 1997 32 p APHP Le sondage urinaire APHP mars 1996 24p BEH N 27 2000 Calendrier Vaccinal AVIS du Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France section des maladies transmissibles du 12 mai 2000 p 115 117 BRUN M F BUIL G DUCREUX S SIMON F Aides soignantes Fiches techniques Editions Maloine 2000 289 p Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France Comit technique des Infections Nosocomiales Guide de bonnes pratiques de d sinfection des dispositifs m dicaux Minist re de l Emploi et de la Solidarit Paris 1998 133 p CLIN CHR Rennes Guide de l hygi ne l usage des services de soins Comit de lutte contre les infections nosocomiales CHR de Rennes 1997 C CLIN Est H pitaux Universitaires de Strasbourg Les cath ters veineux pr vention de l infection cath ter court cat
3. GLOSSAIRE Agr ment approbation permission manant d une autorit Contamination crois e transmission de micro organismes d un patient un autre par l interm diaire de mat riels surfaces ou des personnels eux m mes en particulier les mains D chets d Activit s de Soins DAS Article R44 1 du Code de la Sant Publique cr par le D cret n 97 1048 du 6 novembre 1997 d chets issus des activit s de diagnostic de suivi et de traitement pr ventif curatif ou palliatif dans le domaine de la m decine humaine et v t rinaire D chets d Activit s de Soins Risques Infectieux DASRI Article R44 1 du Code de la Sant Publique cr par le D cret n 97 1048 du 6 novembre 1997 DAS qui contient des micro organismes viables ou leurs toxines dont on sait ou dont on a de bonnes raisons de croire qu en raison de leur nature de leur quantit ou de leur m tabolisme ils causent la maladie chez l homme ou chez d autres organismes vivants soit m me en l absence de risque infectieux rel vent de l une des cat gories suivantes a mat riels et mat riaux piquants ou coupants destin s l abandon qu ils aient t ou non en contact avec un produit biologique b produit sanguins usage th rapeutique incompl tement utilis s ou arriv s p remption c d chets anatomiques humains correspondant des fragments humains ais ment identifiables DASRI Mous D chets d Activit s de Soins Risques Infec
4. Pr cautions particuli res Se laver les mains en cas de contact avec l eau de l aquarium Renouvellement de l eau et nettoyage de l aquarium r alis s par le personnel d sign porter des gants Pr ciser la ou les personnes qui auront la charge de la nourriture des animaux Risques Ornithose psittacose animal porteur sain ou malade en cage ou en libert diffusion par a rosols ou par le battement d ailes de l animal Pigeons Cryptotococcus neoformans dans les fientes Diss mination des spores d Aspergillus par des oiseaux atteints d aspergillose vivant dans des conditions de confinement Pr cautions particuli res Contr les v t rinaires Evaluer les risques li s la pr sence de ces animaux Nettoyage de la cage r alis par le personnel d sign Pr ciser la ou les personnes qui auront la charge de la nourriture des animaux 71 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 6 Architecture R f rences utiles Loi n 97 60 du 24 janvier 1997 tendant dans l attente du vote de la loi instituant une prestation d autonomie pour les personnes g es d pendantes mieux r pondre aux besoins des personnes g es par l institution d une prestation sp cifique d pendance Journal Officiel du 25 janvier 1997 Le r f rentiel Qualit des tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes Ille et Vilaine Janvier 2000
5. identification de la pi ce anatomique date de production dat d enl vement date de cr mation 3 L exploitant du cr matorium consigne sur un registre les infor mations suivantes identification de l tablissement producteur identification de la pi ce anatomique date de la cr mation Ces registres sont tenus la disposition des services de l Etat comp tents territorialement TITRE Ill DISPOSITIONS G N RALES Art 11 Les bordereaux les bons de prise en charge et les tats r capitulatifs pr vus aux articles 3 5 7 et 10 sont conserv s pendant trois ans et tenus la disposition des services de l Etat comp tents territorialement Les conventions vis es aux articles 2 et 9 du pr sent arr t sont tenues la disposition des services de l Etat comp tents territorialement Art 12 En cas de refus de prise en charge des d chets d acti vit s de soins ou des pi ces anatomiques pour non compatibilit avec la fili re d limination l exploitant de l installation destinataire pr vient sans d lai l metteur et lui renvoie le bordereau de suivi mentionnant les motivations du refus Le producteur prend alors toutes les dispositions n cessaires pour liminer ses d chets dans le d lai r glementaire pr cis dans l arr t du 3 septembre 1999 sus vis et applique les dispositions impos es par les articles 3 ou 5 du pr sent arr t pour F mission d un nouveau
6. Recommandation n 76 Changer enti rement le kit tous les 7 jours Pulv risation d un micro brouillard de produits m dicamenteux et d oxyg ne ou d air l aide d un n bulisateur Principe humidification si d bit sup rieur 3 litres pas d humification si d bit inf rieur 3 litres Pour les d bits gt 3 litres pr f rer les kits pr remplis d eau st rile Oxyg noth rapie Sinon proc der au nettoyage et la d sinfection de l humidificateur une fois par jour voir proposition de fiche technique en annexe 2 4 Changer la sonde d oxyg ne 1 fois par jour Recommandation n 76 Utilisation th rapeutique de l oxyg ne pour Changer les lunettes oxyg ne le masque facial tous les 7 corriger l hypox mie par sonde lunettes jours en l absence de tout probl me ou masque facial 54 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS RESPIRATOIRES SUITE Se laver les mains ou utiliser une solution hydro alcoolique avant et apr s chaque soin Double jeu de canules pour le m me patient Boitier de rangement identifi au nom du patient R f rences dur e d utilisation inscrites sur le bo tier Soins de trach otomie Nettoyer et d sinfecter la canule apr s chaque changement de pansement canule d contamination dans une solution de d tergent changement de canule d sinfectant lavage rin age l eau st
7. Afin de limiter la dangerosit li e l utilisation de l eau de Javel l ajustement des concentrations d eau de Javel la Directive europ enne EN 862 est annonc par les fabricants d eau de Javel partir du 1 mai 2001 Les modifications seront pr cis es par d cret para tre Seule la concentration en pourcentage de chlore actif sera exprim e dans l avenir le degr chlorom trique ne devrait plus tre pr cis NOUVELLES CONCENTRATIONS ANCIENNES CONCENTRATIONS 9 6 d extrait d eau de Javel dans un berlingot de 250 ml P remption 12 5 d extrait d eau de javel 3 mois apr s la date not e le berlingot 48 chlorom trique litre dans un berlingot de 250 ml Un litre d eau de Javel Un litre d eau de javel reconstitu 3 6 reconstitu 2 6 Dilution de moiti soit 1 25 S EA Be Dilution de moiti soit 1 85 6 chlorom trique 12 chlorom trique 81 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 EXEMPLE DE FICHE D UTILISATION DE L EAU DE JAVEL Exemple tabli partir des fiches r alis e par le Centre Hospitalier de Chateaubriant H PRESENTATION Berlingot de 250 ml de Javel 9 6 de chlore actif P remption 3 mois apr s la date not e le berlingot H INDICATIONS D sinfection des surfaces et des mat riels compatibles avec l Eau de Javel corrosif exemples bassin cuvette urinal bocal en verre
8. est le mieux adapt au geste de soin correspondant et son niveau de risque infectieux Petits conditionnements de pr f rence ou monodoses Le reconditionnement des produits est interdit Date d ouverture inscrite sur tous les flacons Respect des r gles d utilisation incompatibilit s temps de contact dilutions Respect des r gles de conservation abri de la lumi re de la chaleur RIN AGE RIN AGE LAVAGE APPLICATION LAVAGE APPLICATION D sinfection de la peau saine p SECHAGE SECHAGE Alcool 70 ou Si souillures I Si souillures p Chlorhexidine Eau du r seau B tadine Eau du r seau Pr l vements Injections savon liquide alcoolique savon liquide alcoolique Pr paration de perfusions d sinfection I PP E Alcool 70 ou B tadine alcoolique Chlorhexidine alcoolique des bouchons Glyc mie capillaire apr s ponction Alcool 70 Chlorhexidine alcoolique PVPI Scrub Eau du r seau B tadine Chlorhexidine Eure Chlorhexidine A riel i i au du r seau Pose de cath ters de mat riel invasif alcoolique ou Scrub alcoolique cath ter court trach o PVPI dermique Eau st rile ou Eau st rile ou PVPI PVPI Chlorhexidine Chlorhexidine Pansements de cath ters S rum Sot S rum of i cru EENS alcoolique Scrub physiologique dermique physiologique A S RIN AGE ANTISEPSIE RIN AGE Antisepsie de la peau l s e LAVAGE LAVAGE ANTISEPSIE SECHAGE SECHAGE Eau st rile
9. regroupement des malades atteints par le m me micro organisme Port de gants d s l entr e dans la chambre Lavage des mains apr s avoir t les gants et avant de sortir de la chambre avec un savon antiseptique ou une solution hydroalcoolique Ne plus toucher l environnement du malade apr s avoir t les gants et s tre lav les mains Port de blouse en cas de contact avec le patient ou avec des surfaces ou mat rriels pouvant tre contamin s Limitation des d placements Utilisation maximale d instruments usage unique ou r serv s exclusivement au patient Pr cautions gouttelettes G d finies par la taille des particules infectantes sup rieure 5 u Isolement en chambre individuelle En cas d impossibilit regroupement des malades atteints par le m me micro organisme Port d un masque de type chirurgical pour le personnel intervenant autour du lit du malade Limitation des d placements et masque de type chirurgical port par le patient lorsqu il quitte la chambre Pr cautions air A d finies par la taille des particules infectantes inf rieure 5 u Isolement en chambre individuelle maintenue en pression n gative avec un renouvellement d air de 6 volumes heure porte ferm e En cas d impossibilit regroupement des malades atteints par le m me micro organisme Port obligatoire du masque class P1 d s l entr e dans la chambre pour toute personne Limitation des d placements du
10. 3 3 GESTION DES DISPOSITIFS MEDICAUX 3 4 HYGIENE ET MEDICAMENTS 3 5 HARMONISATION DE L UTILISATION DES ANTISEPTIQUES 3 6 SOINS D HYGIENE CORPORELLE ET DE PROPRETE TOILETTE DE LA PERSONNE AGEE DEPENDANTE SOINS DES PERSONNES AGEES INCONTINENTES SOINS DES PIEDS DES PERSONNES AGEES HYGIENE BUCCO DENTAIRE DE LA PERSONNE AGEE 3 7 VACCINATIONS 12 13 15 16 17 17 18 19 20 21 24 25 26 27 28 29 30 36 37 40 41 42 43 44 45 46 47 48 48 49 50 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 8 PRATIQUES D HYGIENE PAR CATEGORIE DE SOINS 51 SOINS CUTANES 52 SOINS DIGESTIFS 53 SOINS RESPIRATOIRES 54 SOINS URINAIRES 56 SOINS VASCULAIRES 58 3 9 SITUATION DE L ISOLEMENT INFECTIEUX EN E H P A D 60 3 10 EVALUATION DES PROCEDURES DE SOINS 61 4 HYGIENE DE L ENVIRONNEMENT 63 4 1 QUALITE DE L EAU 64 4 2 ALIMENTATION SERVICE DES REPAS 65 4 3 CIRCUIT DU LINGE 66 4 4 ELIMINATION DES DECHETS 68 4 5 ANIMAUX DE COMPAGNIE 70 46ARCHTECTURE 1 5 ORGANISATION DE LA LUTTE CONTRE LES INFECTIONS 73 ANNEXE 1 STRUCTURES DE REFERENCE PAR REGION 76 REGION BASSE NORMANDIE 76 REGION BRETAGNE 77 REGION CENTRE 78 REGION PAYS DE LOIRE 79 ANNEXE 2 EXEMPLES DE FICHES TECHNIQUES 80 UTILISATION DE L EAU DE JAVEL 81 PLAN DE NETTOYAGE 83 HYGIENE BUCCO DENTAIRE DE LA PERSONNE AGEE 84 NETTOYAGE ET DESINFECTION DES HUMIDIFICATEURS D OXYGENOT
11. Les lavettes usage unique seront limin es dans les d chets m nagers en d chets infectieux en cas d isolement septique Les lavettes r utilisables seront envoy es en blanchisserie et en cas d isolement septique suivent la fili re du linge infect Les pulv risateurs sont vid s et rinc s sous l eau courante goutt s B NETTOYAGE DE LA SALLE DE BAIN La salle de bain est un lieu favorable la prolif ration microbienne de ce fait tous les accessoires sans exception sont trait s quotidiennement Le d placement des objets est effectu au cours du nettoyage des surfaces Le nettoyage de l espace douche consiste respecter un ordre logique dans le d roulement des op rations commencer par les accessoires les moins contamin s vers les plus sales Pendant le nettoyage le bon tat du mat riel et sa conformit avec les r gles de s curit sont v rifi s Les WC repr sentent la zone la plus contamin e de la chambre Ils sont nettoy s en dernier Apr s brossage de la cuvette la balayette des WC est rinc e sous la chasse d eau puis est remise dans son support Pour des raisons de s curit et d hygi ne pour les r sidants le support ne contient aucun produit d tergent d sinfectant C NETTOYAGE DES SOLS gt gt gt BALAYAGE HUMIDE L objectif du balayage humide est d liminer jusqu 90 des poussi res en limitant leur mise en suspension dans l atmosph re Le balayage humide est
12. d sinfectante D tartrage des WC minimum 1 fois par semaine Supports lavettes usage unqiue ou r utilisables Nettoyage puis d sinfection par essuyage humide ou par spray Balai trap ze Gaze usage unique ou r utilisable par local D placement des objets au fur et mesure de la progression dans le local en pratiquant des mouvements en lacets ou en godillant Gaze t e au seuil du local Aspirateur muni de filtre la sortie de pr f rence absolu Balayage humide ou nettoyage par aspiration Lavage toujours pr c d du balayage M thode identique au balayage Balai r servoir ou lavage plat Principe minimum 1 bandeau de lavage par local Lavage manuel ou m canis Autolaveuse Monobrosse et disque ou brosse correspondant au mat riau carrelage vinyl r sine m tallisation Produit de m tallisation et produit spray entretien Traitement sp cifique des sols Balayage sec interdit arr t du 26 juin 1974 r glementation des conditions d hygi ne relative la pr paration la conservation la distribution et la vente des plats cuisin s l avance Minist re de l agriculture J O du 16 juillet 1974 7397 7399 30 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 6 1 Les techniques de nettoyage des surfaces et des sols R f rence utile C CLIN Sud Ouest Entretien des locaux des tablissements de
13. e 86 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ANNEXE 2 4 EXEMPLE DE PROTOCOLE NETTOYAGE DESINFECTION QUOTIDIEN DE L HUMIDIFICATEUR A OXYGENE TYPE CHICOINE gt Fiche tablie partir du Guide de l hygi ne l usage des services de soins Comit de lutte contre les infections nosocomiales CLIN CHR de Rennes 1997 e NECESSAIRE A L ENTRETIEN DE L HUMIDIFICATEUR A USAGES MULTIPLES gants usage unique 1 ou 2 bacs de nettoyage sp cifiques produit d tergent d sinfectant produit d sinfectant gants st riles eau st rile seringue usage unique air m dical si disponible 1 diffuseur Usage unique e METHODE Jeter le diffuseur usage unique Vider la cuve de l humidificateur Immerger dans un bain de d tergent d sinfectant Irriguer la tige centrale l aide de la seringue Rincer l eau courante S cher l aide d un champ propre Se laver les mains au savon liquide ordinaire Immerger le barboteur dans un bain d sinfectant pendant 30 minutes Mettre une seringue st rile dans le bac Mettre des gants Proc der l irrigation de la tige l aide de la seringue Rincer la cuve et la tige l eau st rile Compl ter le s chage l air m dical si possible Ajouter de l eau st rile dans la cuve Adapter le diffuseur jetable imm diatement avant l utilisation Pr voir une quantit d eau
14. e avec les doigts embo t s r sidant en isolement infectieux CONTRE INDICATIONS Mains souill es P Friction en rotation en mouvement de va et vient et les doigts joints de la main droite dans la paume gauche et vice versa Mains l s es Possibilit s de se laver les mains dans le temps et dans l espace Friction circulaire du pouce droit enchass dans la paume gauche et vice versa Image extraite de l ouvrage CHAUDIER DELAGE V AUROY M FABRY J Objectif Mains Guide technique pour l hygi ne et la protection des mains 1998 page 101 18 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 PRINCIPAUX TYPES DE GANTS Gants m dicaux st riles en latex Caract ristiques pr sentation par paire sous double sachet pelable forme anatomique main droite main gauche manchettes longues et courtes bords droits poudr s aspect laiteux Indication de co t 0 23 Avantages r sistance et solidit indice de porosit satisfaisant ajustement la forme des mains permet l ex cution de gestes pr cis Limites d utilisation possibilit de r actions allergiques type d ecz ma d allergies respiratoires et g n rales indications limit es aux gestes aseptiques tels que la r fection des pansements Gants de soins non st riles en latex Caract ristiques conditionn s en bo te distributrice gants ambidextres usage unique non poudr
15. et modifiant le code de la sant publique deuxi me partie D crets en Conseil d Etat Circulaire DHOS E2 DGS SD5C N 2001 383 du 30 juillet 2001 relative au signalement des infections nosocomiales et l information des patients en mati re d infection nosocomiale dans les tablissements de sant Les tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes E H P A D assument une fonction d h bergement et de soins Ils n ont pas obligation de CLIN mais les futures conventions tripartites mettent en exergue l importance de l hygi ne comme l ment qualifiant des E H P A D La polypathologie la d nutrition l alt ration de l immunit les antibioth rapies aveugles le d ficit des fonctions intellectuelles l incontinence sont au grand ge les facteurs de risques essentiels des infections nosocomiales et communautaires La constitution dans chaque E H P A D d un comit de lutte contre les infections et la promotion de l hygi ne est essentielle Il mobilise les acteurs concern s en les impliquant directement dans l organisation de pr vention de l tablissement Les responsabilit s collective et individuelle engag es concernent la mise en place des mesures leurs suivis et leurs valuations A LE COMITE DE LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES 1 COMPOSITION DU C LI N L ensemble des cat gories professionnelles concern es doivent tre repr sent es au comit Directeur de l tabliss
16. matiquement ou envoy dans les meilleurs d lais par le prestataire 2 Le prestataire de services assurant le regroupement met ensuite un bordereau de suivi lt Elimination des d chets d activit s de soins risques infectieux avec regroupement CERFA n 11352 01 Il joint ce bordereau la liste de tous les producteurs Ces deux documents accompagnent les d chets jusqu l installation destinataire qui peut tre une installation d incin ration ou de pr traitement par d sinfection Art 6 Dans un d lai d un mois l exploitant de l installation destinataire est tenu de renvoyer l metteur le bordereau sign mentionnant la date d incin ration ou de pr traitement par d sinfec tion des d chets Art 7 1 En cas de regroupement de d chets de producteurs produisant plus de 5 kilogrammes par mois d s la r ception du bor dereau mentionn l article 6 du pr sent arr t et dans un d lai d un mois le prestataire ayant assur le regroupement en envoie une copie chaque producteur 2 En cas de regroupement de d chets de producteurs produisant moins de 5 kilogrammes par mois le prestataire ayant assur le regroupement envoie annuellement chaque producteur un tat r ca pitulatif des op rations d incin ration ou de pr traitement par d sin fection de ses d chets C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 octobre 1999 JOURNAL OFFICIEL
17. recommandations pour les tablissements de soins Paris 1998 51 p PASCAL A FRECOM E Soins de la muqueuse buccale Soins n 632 Janvier F vrier 1999 PAUCHET TRAVERSAT A F BESNIER E BONNERY A M GABA LEROY C Soins infirmiers fiches techniques soins de base soins techniques centr s sur la personne soign e 2 dition Editions Maloine 2000 735 p RHC Ma trise de la qualit de l eau sans un tablissement de sant RHC 1999 17 p SFHH Liste positive des d sinfectants 2001 Hygi neS vol IX n 3 p 167 180 TRIVALLE C Quelles vaccinations chez les personnes g es G riatries N 21 septembre octobre 2000 p 11 13 REFERENCES DES NORMES CITEES Lavage des mains e Norme NF EN 1500 Antiseptiques et d sinfectants chimiques Traitement hygi nique des mains par frictions M thode d essai et prescription Norme NF EN 1499 Antiseptiques et d sinfectants chimiques Lavage hygi nique des mains M thodes d essai et prescription Juin 1997 Gants Norme AFNOR NF EN 455 1 A1 Gants m dicaux non r utilisables Partie 1 D tection des trous prescription et essais Juin 1998 Norme AFNOR NF EN 455 2 A1 Gants m dicaux non r utilisables Partie 2 Propri t s physiques prescription et essais Juin 1998 Norme AFNOR NF EN 455 3 Gants m dicaux usage unique Partie 3 Exigences et essais pour valuation biologique 2000 D chets Norme AFNOR NFX 30 500 Emballa
18. s manches courtes bords droits aspect laiteux Indication de co t 0 06 Avantages r sistance et solidit ajustement la forme des mains permet l ex cution de gestes pr cis Limites d utilisation possibilit de r actions allergiques type d ecz ma d allergies respiratoires et g n rales n cessit d indications strictes Gants de protection non st riles en vinyle Caract ristiques conditionn s en bo te distributrice gants ambidextres usage unique poudr s manchettes courtes l ches bords ourl s aspect transparent Indication de co t 0 06 Avantages pas de r actions allergiques retard es type d eczema pas de prot ines allergisantes Limites d utilisation possibilit d allergies la poudre amidon de ma s plus rraement aux plastifiants Risque de rupture plus fragile et moins r sistant que le latex porosit en cas de port prolong n pouse pas la forme des mains manchettes courtes et baillantes pas de demi taille Gants de protection non st riles en poly thyl ne Caract ristiques pr sent s individuellement plaqu sur une feuille papier taille unique gants ambidextres usage unique bords soud s aspect transparent Indication de co t 0 03 Avantages r serv s aux gestes brefs par exemple change de protection ter un bassin Limites d utilisation risque de rupture le plus fragile de tous les gants ne conviennent pas pour les geste
19. son ducation et celle de son entourage soins d hygi ne corporelle et de propret installation du patient dans une position en rapport avec son handicap lever du patient et aide la marche ne faisant pas appel aux techniques de r ducation pr paration et surveillance du repos et du sommeil pr vention et soins d escarres soins de bouche avec applications de produits non m dicamenteux Circulaire n 96 31 du 31 janvier 1996 relative au r le et aux missions des aides soignants Ciculaire DGS PS3 DH FH1 n 96 31 du 19 janvier 1996 relative au r le et aux missions des aides soignants et des auxiliaires de pu riculture dans les tablissements hospitaliers 46 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 TOILETTE DES PERSONNES G ES D PENDANTES D FINITION ensemble de r gles et de pratiques qui permet OBJECTIFS satisfaire les besoins d tre propre et d estime de d assurer la propret quotidienne d un r sidant et la r alisation soi de bien tre et de confort de communication pr venir le des soins Les soins d hygi ne corporelle permettent d tablir risque de l sions de stimulation sensorielle de chaque une relation privil gi e avec la personne g e r sidant Recommandations g n rales Inciter chaque r sidant la toilette quotidienne en veillant maintenir son niveau d autonomie Faciliter la toilette
20. 86 p Hygi ne et architecture dans les tablissements de sant aide la conception et la r novation des unit s de soins Guide du Comit Technique R gional de l Environnement Hospitalier COTEREHOS Avril 1997 59 p La taille l emplacement de chaque local doivent tre adapt s sa fonction et l activit de l tablissement L ergonomie visant am liorer les conditions de travail du personnel doit tre int gr e dans les projets de restructuration La difficult pour entretenir certains mat riaux dans les structures de soins doit conduire pour les sols interdire les moquettes les tapis associer la pr vention du risque de chutes La qualit de rev tement du sol doit tre recherch e pour faciliter le nettoyage l vacuation au sol est tudi e notamment pour les salles de bain et le local d chets La qualit des joints pour les carrelages des sols et des murs doit tre exig e en termes d tanch it et de mat riau non poreux Les choix des mat riaux doivent notamment correspondre au classement UPEC cf r f rences des normes cit es pour les murs interdire les tapisseries les tissus muraux qui ont une faible r sistance aux produits d tergents et d tergents d sinfectants pr f rer les supports pouvant tre peints pour les quipements les mat riaux doivent tre faciles d entretien pr f rer les surfaces lisses les bords et angles arrondis Les quipements
21. D chets m nagers Tout objet coupant tranchant piquant Ampoules aiguilles embases glyc mie capillaire lames bistouri rasoirs seringues mont es tubes de sang Collecteurs d objets piquants tranchants Collecteurs d aiguilles de couleur jaune r sistants stables s curit antiretour et de fermeture d finitive Volume adapt l activit Remplis au 2 3 Remplac s au maximum 1 fois par mois Entreposage Collecte par une soci t prestataire Incin ration par une soci t agr e Mat riel de soins souill ou non Compresses coton flacons pharmaceutiques gants masques m dicaments d conditionn s pansements poches perfusion et tubulure poches urines colostomie seringues Verre bris pr alablement emball Emballages d articles st riles essuie mains gants de m nage gazes de balayage lavettes mouchoirs protection des r sidants incontinents sauf isolement infectieux Tout d chet provenant d une chambre de patient en isolement infectieux Sacs poubelles JAUNES diff rents des sacs d chets m nagers Sacs d chets m nagers ou cartons sp cifiques aux d chets infectieux ou futs Sacs poubelle r sistants avec syst me de fermeture remplissage aux 2 3 recommand ferm s avant vacuation remplac s au minimum 1 fois par jour Fili re communale 69 C CLIN Ouest Hygi ne des structur
22. DE LA R PUBLIQUE FRAN AISE 14687 Art 8 Toute cr ation d une installation de regroupement fait l objet d une d claration en pr fecture par son exploitant Cette d claration sur papier libre pr cise le lieu d implantation les coor donn es de l exploitant et les modalit s techniques de fonctionne ment de l installation Les installations existantes sont d clar es dans un d lai de six mois compter de la publication au Journal officiel de la R publique fran aise du pr sent arr t TITRE H DISPOSITIONS CONCERNANT LES PI CES ANATOMIQUES D ORIGINE HUMAINE Art 9 Tout producteur de pi ces anatomiques doit tablir en vue de leur limination une convention comportant les informations list es en annexe HI avec Pexploitant du cr matorium et le cas ch ant le transporteur Toute modification des conditions d limi nation fait l objet d un avenant tabli dans les m mes formes Art 10 1 Chaque pi ce anatomique d origine humaine doit faire l objet d une identification garantissant l anonymat qui lors de la remise au prestataire sera report e sur le bordereau de suivi Elimination des pi ces anatomiques d origine humaine CERFA n 11350 01 mis par le producteur Ce bordereau accompagne les pi ces anatomiques jusqu au cr matorium et est renvoy sign l metteur dans un d lai d un mois 2 L tablissement de sant consigne sur un registre les informa tions suivantes
23. P L E I N Association des Pays de Loire pour l Eviction des Infections Nosocomiales Relais R gional d Hygi ne Responsable Monsieur le Dr WIESEL Secr tariat des Pays de Loire Centre Hospitalier D partemental Les 02 51 44 63 29 Oudairies 85 025 LA ROCHE SUR YON Cedex Maison de l Administration Nouvelle 7 rue Viviani lle Beaulieu 02 40 12 80 00 44 062 NANTES Cedex 29 rue Delille DDASS de la Vend e 02 51 36 75 00 85 022 LA ROCHE SUR YON Cedex 26 Ter rue de Brissac DDASS du Maine et Loire 02 41 25 76 00 49 047 ANGERS Cedex 97 avenue Boll e DDASS de la Sarthe 02 35 58 81 00 72 070 LE MANS Cedex 09 2 boulevard Murat DDASS de la Mayenne 02 43 67 20 00 53 041 LAVAL Cedex MAN rue Ren Viviani DDASS de Loire Atlantique 02 40 12 80 00 44 062 NANTES Cedex 2 79 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Annexe 2 exemples de fiches techniques Avertissement les fiches suivantes ont t labor es titre d exemple partir des documents fournis par les membres du groupe de travail Elles ne sont pas destin es tre recopi es ni utilis es en l tat mais sont des propositions pouvant constituer une base de travail 80 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ANNEXE 2 1 UTILISATION DE L EAU DE JAVEL AVERTISSEMENT R f rence utile Chambre Syndicale de l eau de Javel 01 40 54 79 98
24. Sant htto www anaes fr Article lnist fonds INIST du CNRS tto form inist fr public fre consit htm Bulletin Officiel du Minist re de l Emploi et de la Solidarit htto www sante qouv fr adm dagpb bo index htm C CLIN Paris Nord tto www ccr jussieu fr cclin Welcome html C CLIN Sud Est C CLIN Ouest ttp www cclinouest com C CLIN Sud Ouest CHU de Rouen tto www chu rouen fr Code de la Sant Publique tto www lefigrance gouv fr html frame codes lois reglt htm GERES Groupe d Etude sur le Risque d Exposition au Sang ttp www geres org INVS Institut de Veille Sanitaire tto www b8e jussieu fr rnsp Journal Officiel tto www journal officiel gouv fr ou ttp www adminet com jo Minist re de la Sant Dossier Infections Nosocomiales ttp www sante gouv fr htm actu index noso htmqu tto www sante gouv fr htm pointsur nosoco index htm Actualit Presse Renseignements pratiques FINESS ARH DDASS DRASS ttp www sante gouv fr NOSOBASE base de donn es nationale des 5 C CLIN http nosobase univ lyon1 Ir SFHH Soci t Fran aise d Hygi ne Hospitali re ttp sfhh univ lyon1 fr 96
25. attente du linge lav entre sa sortie du lavage et son s chage V rifier le s chage des articles avant conditionnement 66 4 3 CIRCUIT DU C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 LINGE LINGE PROPRE Au niveau de la blanchisserie Zone de conditionnement Transport Au niveau des secteurs de soins R ception Stockage Utilisation du linge propre Lingerie Local exclusivement r serv au stockage du linge Volume et surface adapt s la quantit de linge ranger y compris le linge usage unique Rev tements du sol et des surfaces faciles d entretien Manipulations Se laver les mains et porter une tenue propre cheveux attach s voire prot g s par une coiffe Plan de nettoyage nettoyer et d sinfecter les surfaces et les mat riels en contact avec le linge propre R partir les articles dans des chariots houss s des armoires ferm es ou linge plac sous film Contr ler Retirer tout article endommag V rifier les sacs linge syst me de fermeture int grit de la toile et des coutures Pour les services loign s livrer le linge dans des v hicules sp cifiques portes ferm es Plan de nettoyage et de d sinfection v hicules armoires chariots housses Proc dures de livraison et r ception lieu horaires circuits emprunt s formation du personnel affect ou de r sidences des personnes g es
26. ayant t utilis es le suceur la raclette Laver les disques en blanchisserie Vider le bac de r cup ration de l eau sale Brancher la batterie Remarques Permet de travailler sur de grandes surfaces d gag es En lavage aspiration le s chage du sol est imm diat M thode lourde en temps et en personnel 35 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 7 CHRONOLOGIE DES TAPES D ENTRETIEN Rev tir la tenue standard et propre de la structure plus le tablier de protection et les gants de m nage nominatifs Organiser le nettoyage autant que possible en commen ant par les chambres faible risque infectieux pour terminer par les chambres des r sidants risque infectieux Pr paration du chariot d entretien Pr parer les dilutions de produit de lavage et de d sinfection des mobiliers et du produit de lavage pour les sols Pr voir en nombre suffisant lavettes en moyenne 1 2 par local sacs poubelles gazes balayage humide maintenues dans leur conditionnement d origine si Usage unique bandeaux de lavage des sols au minimum 1 par local Pr paration au niveau du local Pratiquer un lavage simple des mains Ranger le mobilier les mat riels ou les effets personnels du r sidant A rer si possible Mettre les gants Fermer et remplacer les sacs poubelles Nettoyage des surfaces hors sols mobiliers Principes du plus pr
27. bordereau de suivi Le bordereau mentionnant le refus de prise en charge est joint au docu ment de suivi nouvellement mis L exploitant de installation destinataire signale sans d lai tout refus de prise en charge aux services de l Etat comp tents territo rialement Art 13 L utilisation des documents pr vus par le pr sent arr t est rendue obligatoire dans un d lai de six mois apr s publica tion du pr sent arr t au Journal officiel de la R publique fran aise ou pour les conventions vis es aux articles 2 et 9 lors du renouvel lement d un contrat Art 14 Le directeur g n ral de la sant le directeur des h pi taux et le directeur de la pr vention des pollutions et des risques sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait Paris le 7 septembre 1999 La ministre de l emploi et de la solidarit Pour la ministre et par d l gation Par emp chement du directeur g n ral de la sant Le chef de service E MENGUAL 92 La ministre de l am nagement du territoire et de l environnement Pour la ministre et par d l gation Le directeur de la pr vention des pollutions et des risques P VESSERON La secr taire d Etat la sant et l action sociale Pour la secr taire d Etat et par d l gation Le directeur des h pitaux E CouTY Nota Les bordereaux CERFA sont
28. compresses st riles en veillant au d gagement de la collorette sur la peau risque de n crose Fixer la sonde avec un adh sif hypoallerg nique Appliquer les pr cautions standard et contact Se laver les mains au savon liquide ordinaire SHA Porter des gants et prot ger la tenue standard syst matiquement Evacuer le linge fili re linge infect Eliminer tous les d chets fili re des d chets d activit de soins risque infectieux DASRI Soins des patients infect s BMR 53 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS RESPIRATOIRES L application des recommandations vise limiter le risque ou l aggravation d infections respiratoires des personnes g es particuli rement expos es aux infections broncho pulmonaires R f rences utiles 1 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention des infections nococomiales CTIN 1999 2 Liste positive des d sinfectants actualis e tous les ans dit e par la SFHH Se laver les mains ou utiliser une solution hydro alcoolique avant et apr s chaque soin Pr f rer les kits patient unique Prot ger le kit apr s chaque utilisation l abri des souillures de la poussi re Vider la cuve apr s chaque utilisation essuyer et s cher avec A rosols des compresses st riles Essuyer le masque en cas de souillures sinon le remplacer Utiliser du s rum physiologique
29. doivent r sister l utilisation des produits d entretien La disposition des points d eau doit tre tudi e sur l ensemble de la structure notamment pour les lieux de soins et d animation consultations salles de soins salles de r ducation salles d animation salle manger les locaux de salubrit local de nettoyage du mat riel vidoir local d chets Le local de nettoyage du mat riel devra comporter l am nagement de bacs de lavage adapt s la taille des mat riels nettoyer L agencement de rayonnages mobiles pour la lingerie doit tre int gr au m me titre que l agencement des lieux de soins pour le rangement du mat riel de soins st rile et non st rile 72 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 5 Organisation de la lutte contre les infections nosocomiales R f rences utiles D cret n 99 1034 du 6 d cembre 1999 relatif l organisation de la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant et modifiant le chapitre TT du titre TT du livre VII du code la sant publique deuxi me partie D crets en Conseil d Etat Circulaire DGS DHOS E2 n 645 du 29 d cembre 2000 relative l organisation de la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant D cret n 2001 671 du 26 juillet 2001 relatif la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant
30. h bergement pour personnes g es 2002 2 1 EXEMPLE DE CLASSIFICATION DES LOCAUX PAR ZONE R f rences utiles 1 Guide du Bio nettoyage Commission Centrale des March s Paris 1994 81 p 2 Entretien des locaux dans les tablissements de soins C CCLIN Sud Ouest octobre 1998 29 p Chambre du r sidant sans soins Entr e hall d accueil couloirs Risque infectieux Ascenseurs cage d escalier faible Locaux administratifs bureaux salles de r union Chambre du r sidant avec soins Salles de r ducation Salles d activit s ergoth rapie animations Salles manger de s jour de d tente Risque infectieux Blanchisserie mod r Locaux d utilit sale d chets linge sale Locaux d utilit propre lingerie stockage des mat riels Mains courantes des couloirs Pharmacie Couloirs des zones de logement Chambre du r sidant risque infectieux Risque infectieux Salles de soins lev Salle de bains WC Cuisine R sidant sans soins personne qui ne n cessite pas de soins et qui ma trise son hygi ne corporelle Ascenseurs principe des circuits respecter isoler le sale prot ger le propre Cuisine voir document C CLIN Ouest Hygi ne de la restauration 2001 25 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 2 FR QUENCE DU NETTOYAGE COURANT PAR TYPE DE LOCAL SOL ET SURFACES La planification
31. h bergement pour personnes g es 2002 Annexe 1 Structures de r f rence par r gion Les diff rentes structures de r f rence sont pr sent es par r gion afin de faciliter l acc s aux informations aux tablissements qui le souhaitent BASSE NORMANDIE STRUCTURE TELEPHONE R R H B N R seau R gional d Hygi ne de a Secr tariat Basse Normandie Relais R gional d Hygi ne 02 31 06 51 51 Responsable Madame le Dr BERNET de Basse Normandie Fax CHU avenue de la C te de Nacre j 02 31 06 49 14 14 023 CAEN La Folie Couvrechef 27 rue des Compagnons 02 31 46 54 54 14 050 CAEN Place de la Pr fecture DDASS de la Manche 02 33 06 56 56 50009 SAINT LO Cedex 14 rue du Clos Herbert DDASS du Calvados 02 31 45 82 82 14 036 CAEN Cedex 13 rue Marchand Saillant DDASS de l Orne 02 33 80 83 00 61 013 ALENCON Cedex 76 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 BRETAGNE i E R R E S O Relais R gional Etablissements de Soins de l Ouest Relais R gional d Hygi ne Responsable Madame le Dr LE BAIL Secr tariat de Bretagne Service d hygi ne Centre hospitalier 02 97 01 43 40 boulevard du G n ral Guillaudot BP 555 56 017 VANNES Cedex Les Trois Soleils 20 rue d Isly 02 99 35 29 00 35042 RENNES Cedex 1 rue du Parc DP 2152 DDASS des Cotes d Armor 02 96 62 08 09 22 021 SAINT BRIEUC Cedex 1 Cit Administr
32. h bergement pour personnes g es 2002 B L EQUIPE OPERATIONNELLE D HYGIENE ET COOPERATION INTER HOSPITALIERE L article R 711 1 9 pr voit que les tablissements de sant peuvent se doter d une quipe op rationnelle d hygi ne hospitali re et de pr vention par la voie d une action de coop ration hospitali re En vertu de ces dispositions les personnels d un tablissement de sant peuvent intervenir dans un autre tablissement pour y assurer les missions d volues cette quipe op rationnelle d hygi ne hospitali re et de pr vention L organisation d une telle coop ration ne justifie pas la cr ation de structure de coop ration mais peut tre utilement mise en uvre par voie de convention simple C LES CORRESPONDANTS EN HYGIENE HOSPITALIERE Afin de relayer la mise en uvre du programme d action il est particuli rement utile que soient d sign s parmi les personnels de chaque service ou dans les tablissements priv s de chaque secteur d activit un correspondant m dical et un correspondant param dical Ces correspondants facilitent la mise en uvre des actions de pr vention et de surveillance des infections nosocomiales Le r le des correspondants en hygi ne hospitali re est pr cis dans la circulaire DGS DHOS E2 N 645 du 29 d cembre 2000 relative l organisation de la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant 75 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d
33. le respect de la I gislation en vigueur concernant l exercice de sa profession notam ment en mati re de s curit du travail b Polices d assurance garantissant la responsabilit civile au titre de la convention 6 Conditions financi res a Co t tabli pr cisant d une part l unit du calcul du prix fac tur au producteur et d autre part ce qu il englobe notamment le conditionnement le transport le pr traitement ou l incin ration b Formules de r vision des prix 7 Clauses de r siliation de la convention ANNEXE II INFORMATIONS DEVANT OBLIGATOIREMENT FIGURER SUR LE BON DE PRISE EN CHARGE VISE L ARTICLE 5 D nomination du producteur Ses coordonn es Code professionnel Date de l enl vement ou du d p t des d chets D nomination du collecteur Ses coordonn es Code professionnel D nomination du prestataire assurant le regroupement Ses coordonn es Code professionnel D nomination de l installation d incin ration ou de pr traitement par d sinfection Ses coordonn es Code professionnel Signatures du producteur et du prestataire ayant pris les d chets en charge sauf dans le cas d un apport sur une installation de regroupement automatique avec mission automatique du bon C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 REFERENCES REGLEMENTAIRES partir de la derni re parution D cret n 2001 671 du 26 juillet 2
34. par la prise de douche ou de bain Pr f rer l organisation du travail 2 personnes Recommandations pour le mat riel de base Chariot de toilette propre et ordonn Quantit s de linge propre et mat riels limit es aux soins pr vus pour la p riode de soins viter l encombrement inutile Rasoirs usage unique jetables ou rasoir r serv chaque r sidant Pommades 1 tube par r sidant N cessaire l hygi ne des mains et la protection de la tenue Pr cautions g n rales Pratiquer un lavage simple des mains au savon liquide ordinaire ou utiliser une solution hydro alcoolique avant et apr s la toilette de chaque r sidant Prot ger la tenue standard Porter des gants usage unique non st riles de pr f rence en vinyl pour la toilette intime et en cas de souillures et ou de l sions Faire syst matiquement les soins de pr vention d escarres selon l tat du r sidant Changer la totalit de la literie au minimum 1 fois par semaine et chaque fois que n cessaire Noter les soins et les observations dans le dossier de soins du r sidant Nettoyer et ranger le chariot de toilette quotidiennement Organiser le nettoyage approfondi du chariot 1 fois par semaine 47 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS D HYGI NE ET DE CONFORT Soins des personnes incontinentes en dehors de la toilette quotidienne Changement d
35. perfusions robinets rampes avec des compresses st riles imbib es de l antiseptique retenu par l quipe soignante Changer les tubulures toutes les 72 heures en l absence de probl me apr s chaque administration pour les produits sanguins ou les solut s lipidiques Changer le site d insertion toutes les 72 heures si possible 58 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS VASCULAIRES SUITE Injections IV R f rence utile Guide des mat riels de s curit GERES Minist re de l Emploi et de la Solidarit Edition 1999 2000 48 p Se laver les mains avant et apr s le soin ou utiliser des SHA Utiliser des cotons ou des compresses non st riles Utiliser le type d antiseptique retenu par l quipe soignante D poser les aiguilles seringues mont es dans le conteneur plac proximit imm diate Utilisation d une chambre implantable Encore appel e site implantable ou D V I dispositif intra veineux implantable Pose acte chirugical consistant l implantation sous cutan e de la chambre reli e un cath ter tunnellis La chambre comporte en son milieu un site de ponction en silicone R f rences utiles Evaluation de la qualit de l utilisation et de la surveillance des chambres implantables ANAES 2000 57 p Les cath ters veineux pr vention de l infection C CLIN Est 1999 20 p Guide des mat riel
36. port du masque avant d entrer dans la chambre Ces mesures ont t valu es dans les structures de Court S jour Celles ci doivent tre adapt es dans les EHPAD en fonction des conditions architecturales de la population accueillie et des donn es pid miologiques Ces mesures ne doivent pas nuire la qualit de vie des r sidants L isolement en chambre individuelle il est id al mais l absence de chambre individuelle ne peut tre un argument pour refuser l admission d une personne Cet isolement ne doit pas induire une d stabilisation psychologique du sujet g vivant dans l institution Cette chambre constitue souvent son dernier domicile Regroupement des malades atteints par le m me micro organisme ce type d isolement g ographique est id al mais condition que ce regroupement l encore ne d stabilise pas le r sidant dont la situation de vieillard constitue d j une image parfois repoussante Il ne semble pas licite de constituer des ailes d infect s au sein des EHPAD Limitation des d placements elle est rarement indiqu e plus de quelques jours en institution sauf dans les situations de larges plaies ouvertes infect es et qui ne peuvent tre recouvertes totalement par un pansement Les pr cautions Air concernent essentiellement la tuberculose en EHPAD Il s agit de la seule situation o m me en EHPAD les recommandations appliqu es en court s jour doivent tre respect
37. rification de l tat des locaux lieux de soins locaux de salubrit de stockage rev tements mobiliers quipements PLAN D ACTIONS DES MESURES CORRECTIVES 37 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 Hygi ne des soins 39 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 HYGI NE DES SOINS 3 1 Equipement des lieux de soins 3 2 Mat riels de soins n cessaires 3 3 Gestion des dispositifs m dicaux 3 4 Hygi ne et m dicaments 3 5 Harmonisation de l utilisation des antiseptiques 3 6 Soins d hygi ne corporelle et de propret 3 7 Vaccinations 3 8 Pratiques d hygi ne par cat gorie de soins 3 9 Isolement infectieux en EHPAD 3 10 EVALUATION DES PROC DURES DE SOINS 40 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 1 EQUIPEMENT DES LIEUX DE SOINS Salles de soins et lieux o se pratique un soin Points d eau quip s pour le lavage des mains Robinetterie manuelle ou automatique Distributeur fixe quip d essuie mains Distributeur fixe commande manuelle ou automatique quip de savon liquide Poubelle sans couvercle de pr f rence R alisation des soins dans les chambres savon liquide SHA essuie mains usage unique sur le chariot Plans de travail de la salle de soins faciles d entretien Inox r sine de pr f rence supports m lam
38. rile de pr f rence s chage immersion dans un produit d sinfectant rin age s chage Stocker la canule propre dans le bo tier propre identifi au nom Recommandation n 79 du r sidant Soin permettant de maintenir la libert des voies respiratoires d assurer les changes gazeux satisfaisants et de permettre l aspiration adapt e des secr tions bronchiques Principe 1 sonde usage unique st rile pour 1 aspiration Mettre des gants non st riles usage unique masque et lunettes de protection Rincer le tuyau d aspiration apr s chaque utilisation l eau du r seau non stagnante Aspirations Pr f rer des syst mes d aspiration quip s de poches de endotrach ales recueil usage unique Changer le bocal d aspiration au minimum 1 fois par jour nettoyage et d sinfection Nettoyer l aspirateur de mucosit s avec un produit d tergent d d sinfectant Recommandation n 79 Geste r alis principalement pour les patients trach otomis s Jeter le tuyau d aspiration et la pince stop vide au minimum une fois par semaine tous les jours si n cessaire secr tions pathologie Se r f rer la Liste positive des d sinfectants actualis e tous les ans dit e par la SFHH 55 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS URINAIRES Les infections urinaires constituent la localis
39. rum physiologique eau st rile les monodoses d osine Privil gier les unidoses de collyres par r sidant et l utilisation pour les pommadesd un tube par r sidant Attention toute monodose y compris d osine doit tre jet e apr s ouverture Qualit du stockage Stockage minimum des m dicaments Armoire sp cifique fermant cl s munie de tiroirs amovibles si n cessaire compartiment s faciles d entretien Administration des m dicaments Se laver les mains ou utiliser une solution hydro alcoolique avant et apr s l administration des m dicaments organis e pour l ensemble des r sidants et entre chaque r sidant si n cessaire Les m dicaments sont maintenus dans leur conditionnement d origine jusqu au moment de la prise La pr paration est r alis e en extamporan pour les solutions buvables Nettoyage et contr le r guliers Nettoyer et s cher minutieusement les compte gouttes pipettes bo tiers pilons apr s utilisation Nettoyer les semainiers une fois par semaine et en cas de besoin Nettoyer et ranger au minimum une fois par an l armoire pharmacie V rifier la p remption des produits dans le m me temps INSTILLATION DE COLLYRE Se laver les mains et utiliser une solution hydro alcoolique avant le soin Mettre des gants usage unique non s riles Utiliser les collyres en dose unitaire de pr f rence ou patient unique et les pommades ophtalmiques patient unique Ap
40. soins Octobre 1998 29 p Le nettoyage est une op ration d entretien et de maintenance des locaux dont l objectif principal est d assurer un aspect agr able notion de confort et un niveau de propret notion d hygi ne et de pr vention du risque infectieux Le risque de transmission crois e peut tre li aux micro organismes pr sents sur les mat riels et les quipements barri res t l commande de lit hauteur variable plan de travail La propret des locaux intervient directement dans la qualit de l accueil et participe la s curit du r sidant Le premier regard port par le r sidant ou par le visiteur le renseigne imm diatement sur la tenue d un lieu d h bergement et peut lui laisser pressentir le niveau de la qualit des prestations et des soins de l unit de soins et de l tablissement Les techniques de d poussi rage sont destin es liminer d une surface les salissures non adh rentes en vitant de les remettre en suspension dans l air Trois techniques sont utilis es l essuyage humide des surfaces le balayage humide et le nettoyage par aspiration Pour le nettoyage des surfaces la technique consiste essuyer en un seul passage toutes les surfaces nettoyer impr gn e d une solution d tergente zone 1 ou d tergente d sinfectante zones 2 et 3 Quelle que soit la couleur de la lavette le principe d utilisation reste le m me du plus propre vers le plus sale du haut vers le ba
41. st rile suffisante dans la cuve tout en veillant ne pas d passer le niveau maximum Si la quantit d eau st rile dans le barboteur est insuffisante dans la journ e Vider l eau restante Rincer l humidificateur Chicoine l eau st rile Remettre de l eau st rile Utiliser 1 flacon ouvert depuis moins de 6 heures pour un patient 87 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ANNEXE 3 ISOLEMENT SEPTIQUE ET PR CAUTIONS PARTICULI RES R f rences utiles 1 Isolement septique recommandations pour les tablissements de soins Minist re de l Emploi et de la Solidarit Comit Technique des Infections Nosocomiales Soci t Fran aise d Hygi ne Hospitali re 1998 51 p 2 R duire le risque de transmission des bact ries multir sistantes et des maladies infectieuses en milieu hospitalier C CLIN Ouest 1997 70 p 3 Ma trise de la diffusion des bact ries multi r sistantes aux antibiotiques recommandations pour les tablissements de soins CTIN 1998 23 p 4 D cret n 99 363 du 6 mai1999 fixant la liste des maladies faisant l objet d une transmission obligatoire de donn es individuelles l autorit sanitaire Extraits du document Isolement septique L isolement septique est indiqu dans trois types de situation Lorsqu un patient est atteint d une infection naturellement contagieuse ex fi vre typho de varicelle NM Lorsqu un
42. une op ration de r cup ration des salissures non adh rentes sur les sols secs et lisses Gazes usage unique pr impr gn es ou gazes r utilisables s ches Balai trap ze Positionner et fixer la gaze uniquement par les deux orifices sur la semelle du Technique balai Humidifier la surface de la gaze avec le pulv risateur en cas de gaze s che Refermer le sachet en cas de gazes pr impr gn es pour viter qu elles ne s chent Le balayage humide s effectue en partant du point le plus loign de la pi ce en longeant le mur et en revenant vers le centre tout en d pla ant le mobilier accompagn par un mouvement en lacet Une gaze ou plus si besoin par chambre Recommandations Ne jamais soulever la semelle du balai la gaze doit tre en permanence en contact avec le sol Au seuil de la pi ce et non dans le couloir d gager la gaze la replier recueillir les salissures l aide de la gaze et d une pelle 32 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Les gazes usage unique seront limin es dans les d chets m nagers en Entretien dehors de l isolement septique du mat riel Les gazes r utilisables seront envoy es en blanchisserie Les pulv risateurs seront vid s tous les jours rinc s sous l eau courante goutt s Le balai doit tre nettoy apr s chaque utilisation Privil gier les gazes usage unique pr impr gn es Rem
43. 001 relatif la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant et modifiant le code de la sant publique deuxi me partie D crets en Conseil d Etat Circulaire DHOS E2 DGS SD5C N 2001 383 du 30 juillet 2001 relative au signalement des infections nosocomiales et l information des patients en mati re d infection nosocomiale dans les tablissements de sant Circulaire DGS DHOS E2 n 645 du 29 d cembre 2000 relative l organisation de la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant D cret n 99 1034 du 6 d cembre 1999 relatif l organisation de la lutte contre les infections nosocomiales dans les tablissements de sant et modifiant le chapitre I du titre 1 du livre VII du code la sant publique deuxi me partie D crets en Conseil d Etat D cret n 99 317 du 26 avril 1999 relatif la gestion budg taire et comptable des tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes Journal Officiel du 27 avril 1999 Arr t du 7 septembre 1999 relatif aux modalit s d entreposage des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques Arr t du 7 septembre 1999 relatif au contr le des fili res d limination des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques Code g n ral des collectivit s territoriales Partie R glementaire Annexe au d cret 2000 318 du 7 av
44. 3 poids id al lt 10kg Utiliser un chariot de linge l ger et facile d entretien chariot mixte propre sale d conseill avec ou sans couvercle avec ou sans p dale de commande Appliquer la technique du double emballage si n cessaire en cas d isolement sac hydro soluble sac de couleur sp cifique Stockage interm diaire et transport Stocker les sacs de linge dans un local sp cifique frais a r sans chauffage dimensions adapt es quip d un point d eau Stocker le linge sale dans le service pendant une dur e maximum de 24 heures Utiliser des conteneurs exclusivement r serv s cette fonction Porter des gants lors du transfert des sacs Au niveau de la blanchisserie Manipulations et tri Zone de lavage Rev tir une tenue de protection gants type Kevlar masque coiffe enveloppante tunique pantalon Zone de tri strictement s par e des secteurs r serv s au linge propre Au minimum se laver les mains avant de franchir la zone sale La qualit du pr tri dans les services conditionnent les op rations de tri doivent tre r duites au minimum S paration physique entre la zone de chargement du linge sale et de d chargement du linge lav Organiser le contr le des temp ratures de PH chimiques de dur e des cycles de lavage Contr ler la propret du linge au terme du lavage Zone de s chage Manipuler le linge avec des mains et une tenue propre Limiter la dur e d
45. 3 du pr sent arr t TITRE H DISPOSITIONS CONCERNANT LES PI CES ANATOMIQUES Art 12 Les pi ces anatomiques pr alablement conditionn es sont entrepos es des temp ratures comprises entre 0 et 5 C pen dant huit jours ou congel es et limin es rapidement Les pi ces anatomiques d origine animale et les pi ces anato miques d origine humaine ne peuvent tre entrepos es dans la m me enceinte frigorifique ou de cong lation Art 13 Les enceintes frigorifiques ou de cong lation utilis es pour l entreposage des pi ces anatomiques doivent tre exclusive ment r serv es cet usage et identifi es comme telles L acc s ces enceintes est r serv aux personnes assurant l entreposage ou l va cuation des pi ces anatomiques Lorsque l enceinte frigorifique ou de cong lation est plac e dans un local d entreposage de d chets le groupe frigorifique doit tre situ l ext rieur du local afin d viter une l vation de la temp ra ture l int rieur du local d entreposage Lorsque l tablissement de sant dispose d une chambre mor tuaire les pi ces anatomiques d origine humaine peuvent tre entre pos es dans une case r frig r e de cet quipement r serv e cet effet TITRE I DISPOSITIONS G N RALES Art 14 Les sites de production et les installations de regrou pement existants la date de publication du pr sent arr t doivent tre conformes aux disposi
46. Attention la dur e de conservation des produits Une pr paration type Bicarbonate Fungizone est instable pr parer le m lange des m dicaments uniquement au moment de l utilisation Flacons ouverts se r f rer aux recommandations du laboratoire pharmaceutique 49 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 7 VACCINATIONS Chez les sujets g s particuli rement sensibles aux infections trois vaccinations sont essentielles antit taniques anti grippale et anti pneumococcique r f rence utile calendrier vaccinal AVIS du Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France section des maladies transmissibles du 12 mai 2000 Les vaccinations les plus importantes chez le sujet g VACCIN TYPE VOIE FR QUENCE Anti t tanique Anatoxine IM ou SC Tous les 10 ans Une injection par an Anti grippal Virus inactiv IM ou SC en septembre octobre i Polysaccharides re Anti pneumococcique IM ou SC Une injection tous les 5 ans 23 s rotypes Source C TRIVALLE Quelles vaccinations chez les personnes g es G riatries N 21 septembre octobre 2000 p 11 13 Trois articles r cents Revue Prescrire septembre 2000 209 603 4 Lancet 2000 355 93 7 HYGIENES 2000 4 194 9 rappellent que la vaccination des personnels limite la contamination des patients en particulier en long s jour en diminuant la transmission entre
47. Basse Normandie C CLIN Ouest bi L Centre Bretagne Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales St Pierre et Inter r gion Ouest Pays de la Loire Miquelon HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX DANS LES ETABLISSEMENTS D HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES Coordinateur au Conseil Scientifique Docteur BERNET R daction Marie Alix ERTZSCHEID Version Janvier 2002 valid e par le Conseil Scientifique C CLIN Ouest CHU Pontchaillou 2 rue Henri Le Guilloux 35033 RENNES Cedex 9 Tel 02 99 28 43 62 Fax 02 99 28 43 65 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Personnes participant au groupe de travail Mme Dr C AVRIL Mme Dr C BERNET M Dr B BRANGER Mme M BRISHOUAL Mme Dr CHICHIZOLA Mme B DELAIRE Mme M A ERTZSCHEID Mme C EUVRARD TASSET Mme G FOUTEL Mme F GALANT Mme M GUIMARD Mme J JACQUELINE M Dr P LOREAU M Dr O MICHEL Mme C MOURENS Mme Dr FILIPPI Mme B THEVENIN Mme THOMAS Praticien Hospitalier Centre Hospitalier CHOLET M decin coordinateur Relais d Hygi ne de Basse Normandie CAEN M decin coordinateur C CLIN Ouest RENNES Cadre hygi niste Centre Hospitalier CHATEAUBRIANT D D A S S llle et Vilaine RENNES Infirmi re hygi niste Centre Hospitalier CHOLET Infirmi re hygi niste C CLIN Ouest
48. HERAPIE 87 ANNEXE 3 ISOLEMENT SEPTIQUE ET PRECAUTIONS PARTICULIERES 88 ANNEXE 4 EXEMPLES DE SYMBOLES POUR LES RISQUES LIES AUX PRODUITS DE NETTOYAGE 89 ANNEXE 5 EXEMPLES DE PRODUITS AGREES OU HOMOLOGUES CONTACT ALIMENTAIRE 89 ANNEXE 6 TEXTES REGLEMENTAIRES ET ELIMINATION DES DECHETS 90 ARRETE DU 7 SEPTEMBRE 1999 ENTREPOSAGE DES DECHETS DE SOINS DASRI 90 ARRETE DU 7 SEPTEMBRE 1999 CONTROLE DES FILIERES D ELIMINATION 91 REFERENCES REGLEMENTAIRES 93 REFERENCES BIBLIOGRAHIQUES 94 REFERENCES DES NORMES CITEES 95 ADRESSES DES SITES UTILES 96 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SIGLES A E S Accidents d Exposition au Sang B M R Bact ries Multi R sistantes C S H P F Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France C T I N Comit Technique National des Infections Nosocomiales D A S R I D chets d Activit s de Soins Risques Infectieux D M Dispositifs M dicaux E H P A D Etablissement H bergeant des Personnes Ag es D pendantes E C B U Examen Cytobact riologique des Urines G E R E S Groupe d Etude sur le Risque d Exposition des Soignants aux agents infectieux R H C Relais R gional d Hygi ne Hospitali re du Centre S F H H Soci t Fran aise d Hygi ne Hospitali re S H A Solutions Hydro Alcooliques C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002
49. Limiter le temps d attente des conteneurs dans les couloirs halls Se laver les mains avant la manipulation du linge Organiser le contr le la r ception conformit du linge livr avec la dotation le service destinataire les conditions d hygi ne et de livraison Eviter le stockage excessif de linge propre V rifier l absence de r serves sauvages placards salle de bains Organiser le local lingerie modalit s de rangement utilisation des stocks rotation principe du premier entr premier sorti ajustement des commandes Organiser le nettoyage de la lingerie int gr dans le plan de nettoyage du service 67 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 4 ELIMINATION DES D CHETS DE SOINS CADRE R GLEMENTAIRE D cret n 97 1048 du 6 novembre 1997 relatif l limination des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques et modifiant le code de la sant publique Elimination des d chets d activit s de soins risques Guide technique Minist re de l Emploi et de la Solidarit 1999 50 p Arr t du 7 septembre 1999 relatif aux modalit s d entreposage des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques Arr t du 7 septembre 1999 relatif au contr le des fili res d limination des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimi
50. MBRE DU RESIDANT AVEC SOINS FREQUENCE TOUS LES 6 MOIS ET OPERATIONS TOUS TOUS 1 FOIS SEMAINE APRES LE DEPART LES JOURS LES 3 MOIS DU RESIDANT EVACUATION DES DECHETS DU LINGE SALE NETTOYAGE DU MOBILIER LIT FAUTEUIL z ADAPTABLE ENTRETIEN DES FLEURS COUPEES NETTOYAGE DES ACCESSOIRES POIGNEES ET MONTANT DE PORTES INTERRUPTEURS COMMANDES ELECTRIQUES TELEPHONE NETTOYAGE DES SANITAIRES LAVABO NR DOUCHE WC BALAYAGE HUMIDE DU SOL LAVAGE DU SOL NETTOYAGE DES SUPPORTS POUBELLES NETTOYAGE INTERIEUR DES PLACARDS Di MOBILIERS NETTOYAGE DES VITRES LAVAGE MECANISE DU SOL ENTRETIEN DE LA METALLISATION DU SOL METALLISATION DU SOL APRES LE DEPART DU RESIDANT LAVAGE DES RIDEAUX NETTOYAGE DES MURS ET DES PORTES Toute surface sale doit tre nettoy e chaque fois que n cessaire Cette p riodicit est propos e titre indicatif 83 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ANNEXE 2 3 HYGIENE BUCCO DENTAIRE DE LA PERSONNE AGEE Fiches tablies partir des r f rences bibliographiques suivantes DETRUIT J C SORNIN G BITTON C KADOSH M Besoins dentaires de la personne g e en long et moyen s jour Le Concours m dical 28 11 98 120 40 p 2865 2871 NM GRIMOUD A M DEBROCK A ARAMON F PERISSE D CAZARD J C RUMEAU M MARTY N LODTER J Ph Pratiques de l hy
51. RENNES Cadre hygi niste Centre Hospitalier VIRE Cadre Sup rieur Infirmier Centre Hospitalier JANZE Cadre Infirmier Centre Hospitalier SAINT BRIEUC Infirmi re D E BTP Retraite BOUGUENAIS D D A S S Calvados CAEN M decin G riatre BTP Retraite BOUGUENAIS M decin G riatre Service de m decine g riatrique CHU RENNES Infirmi re hygi niste Relais R gional d Hygi ne du Centre TOURS M decin G riatre Centre Hospitalier BLOIS Infirmi re hygi niste Centre Hospitalier SAINT BRIEUC Cadre hygi niste Centre Hospitalier VALOGNES C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Table des mati res SIGLES GLOSSAIRE INTRODUCTION RECOMMANDATIONS 1 HYGIENE DU PERSONNEL 1 1 PRECAUTIONS STANDARD 1 2 VESTIAIRES 1 3 TENUE DU PERSONNEL 1 4 HYGIENE DES MAINS LAVAGE SIMPLE DES MAINS TRAITEMENT HYGIENIQUE DES MAINS PAR FRICTIONS PRINCIPAUX TYPES DE GANTS PORT DE GANTS PAR TYPE DE SOINS 1 5 CONDUITE A TENIR EN CAS D AES 2 HYGIENE DES LOCAUX 2 1 EXEMPLES DE CLASSIFICATION DES LOCAUX PAR ZONE 2 2 FREQUENCE DU NETTOYAGE COURANT PAR TYPE DE LOCAL 2 3 CHOIX DES MATERIELS D ENTRETIEN 2 4 CHOIX DES PRODUITS D ENTRETIEN 2 5 SECURITE DES PRODUITS D ENTRETIEN 2 6 TECHNIQUES DE NETTOYAGE 2 7 CHRONOLOGIE DES ETAPES D ENTRETIEN 2 8 EVALUATION DES PROCEDURES D ENTRETIEN 3 HYGIENE DES SOINS 3 1 EQUIPEMENT DES LIEUX DE SOINS 3 2 MATERIELS DE SOINS NECESSAIRES
52. age est v rifi Mat riel r utilisable manipuler avec pr caution le mat riel souill par du sang ou tout autre produit d origine humaine V rifier que le mat riel a subi un proc d d entretien st rilisation ou d sinfection appropri e avant d tre utilis Nettoyer et d sinfecter avec d sinfectant appropri les surfaces souill es par des projections ou a rosolisation de sang ou tout autre produit d origine humaine Les pr l vements biologiques le linge et instruments souill s par du sang ou tout autre produit d origine humaine doivent tre transport s dans un emballage tanche ferm Apr s piq re blessure lavage et antisepsie au niveau de la plaie Apr s projection sur muqueuse conjonctive rin age abondant Circulaire DGS DH DRT DSS n 98 228 du 9 avril 1998 relative aux recommandations de mise en uvre d un traitement anti r troviral apr s exposition au risque de transmission du VIH 14 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 2 VESTIAIRES DU PERSONNEL Equipement Vestiaires hommes distincts des vestiaires femmes faciles d entretien pas de bois pas de moquettes aux murs au sol Support de sac pour le recueil des tenues sales Douche et WC s par s quip s faciles d entretien Equipement des points d eau pour le lavage simple des mains identique aux lieux de soins Armoires ou casiers en nombre suf
53. ant et aux moyens de pr vention du risque li aux l gionelles dans les installations risque et dans celle des b timents recevant du public Pr vention de la l gionellose Eau embouteill e Stocker les bouteilles verre ou plastique dans des endroits propres l abri de la poussi re Essuyer les bouteilles avant de les servir aux r sidants Eaux de Eau des fontaines r frig rantes se r f rer la circulaire DGS PGE 1D n 2058 consommation du 30 d cembre 1986 relative aux fontaines r frig rantes Eau embouteill e Eau des fontaines Nettoyer les fontaines r frig rantes tous les jours Organiser l entretien et la maintenance avec le service technique de l tablissement et une soci t ext rieure Organiser en interne les contr les d eau des points d usage Nettoyer et d sinfecter les carafes tous les jours Remplir les r cipients le plus pr s possible du service L eau st rile est un produit pharmaceutique d livr e dans des conditionnements scell s monodoses flacons exclusivement par les services pharmacie Pr f rer les petits conditionnements de volume adapt aux soins pour chaque r sidant Un flacon ouvert ne peut exc der une utilisation sup rieure 6 heures Utiliser des produits d sinfectants agr s contact alimentaire 64 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 2 ALIMENTATION SERVICE DES REPAS Cadre
54. arques Wu T En pr sence de divers d bris on peut utiliser la raclette gt gt gt DEPOUSSIERAGE PAR ASPIRATION Cette m thode est pr conis e lorsque le balayage humide est impossible sols textiles derri re les radiateurs escaliers L aspirateur muni de filtre absolu est privil gier Mat riel Aspirateur filtre absolu pour les zones 2 et 3 Commencer par l entr e de la pi ce et proc der par bandes qui se Technique chevauchent Recommandations v rifier l tat du sac poussi res avant de commencer l op ration celui ci ne doit pas tre plein car on peut cr er des surpressions et d t riorer le filtre absolu Changer le sac poussi res si besoin Entretien Nettoyer la carrosserie de l aspirateur le fil lectrique les diff rentes pi ces du mat riel ayant t utilis es et en cas de filtre absolu le changer p riodiquement selon les recommandations du fabricant en notant les dates gt gt gt LAVAGE DES SOLS Le lavage du sol compl te le balayage humide Le lavage des sols doit toujours tre pr c d d un balayage humide Cette technique associe les actions chimiques et m caniques pour liminer les salissures adh rentes sur les sols afin d obtenir une propret visuelle et une propret microbiologique Deux techniques de lavage sont utilis es le lavage manuel et le lavage m canis uniquement dans certaines zones et hors de la pr sence du r sidant La techni
55. ation la plus fr quente dans les services de g riatrie La pr sence de bact ries dans les urines repr sente un risque individuel et un risque collectif car elle constitue un r servoir microbien en particulier de bact ries multir sistantes pouvant donner lieu une transmission lors des soins urinaires En cas d incontinence urinaire les m thodes alternatives au sondage change usage unique tui p nien sont privil gier La surveillance des infections urinaires sur sonde permet une sensibilisation du personnel Recommandation 94 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention du risque infectieux CTIN 1999 INFECTIONS URINAIRES BACT RIES MULTIR SITANTES BMR Appliquer les pr cautions standard et contact Se laver les mains ou utiliser les SHA avant et apr s le port de gants Porter syst matiquement des gants non st riles Prot ger sa tenue Eliminer les protections fili re des d chets d activit de soins risque infectieux DASRI Evacuer le linge fili re linge infect SONDAGE INTERMITENT OU IT RATIF Proc der selon les m mes principes que le sondage demeure toilette et antisepsie D FINITION geste invasif sur prescription m dicale eu Q utilisation de gants st riles Introduction ponctuelle d une sonde urinaire pour l limination rines intervalles r guliers A ation des urines intervalles r guliers Noter la date du soin et le volume des urines
56. ative de Kerfeunten DDASS du Finist re 02 98 64 50 50 29 324 QUIMPER Cedex 13 avenue Cucill DDASS d Ille et Vilaine 02 99 02 18 00 35 031 RENNES Cedex Boulevard de la R sistance DDASS du Morbihan 02 97 54 77 00 56 019 VANNES Cedex 77 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 CENTRE do gt en HHC Relais R gional d Hygi ne Hospitali re du Centre Secr tariat Relais R gional d Hygi ne Responsable Madame le Dr VAN DER MEE 02 47 47 82 90 du Centre CHU de Tours H pital Bretonneau Fax 2 boulevard Tonnell 02 47 47 82 91 37 044 TOURS Cedex 01 Immeuble Le Magellan 25 boulevard Jean DRASS du Centre Jaur s 02 98 77 47 00 45 044 ORLEANS Cedex 1 15 place de la R publique DDASS d Eure et Loir 02 37 20 51 70 28 019 CHARTRES Cedex Cit Administrative Coligny 131 rue du DDASS du Loiret Faubourg Bannier 02 38 42 42 42 45 042 ORLEANS 4 boulevard de l Avenir DDASS du Cher 02 48 23 71 00 18 016 BOURGES Cedex Cit Administrative boulevard Georges Sand DDASS de l Indre BP 587 02 54 53 80 00 36 019 CHATEAUROUX Cedex Centre Administratif 38 rue Edouard DDASS d Indre et Loire Vaillant 02 47 60 44 44 37 042 TOURS Cedex 41 rue d Auvergne DDASS du Loir et Cher 02 54 55 78 79 41 011 BLOIS Cedex 78 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 PAYS DE LOIRE E vn ee A
57. che Les soins de bouche sont indispensables pour tous les malades dont la fonction de d glutition est alt r e et ou qui ne s alimentent pas Evaluation de l tat bucco dentaire L examen minutieux l admission et de fa on r guli re de la cavit buccale permet de mieux comprendre les modifications de comportements de la personne g e alimentation locution g ne du patient fiche d valuation de l tat bucco dentaire initial de la personne g e propos e en annexe 2 3 Mat riel de base pour tous les types de soins confondus Chariot propre et d sinfect plateau de soins gants usage unique gobelets serviettes papier r niforme sac poubelle Mat riel sp cifique adapter pour chaque r sidant Brosse dents en bon tat brosse interdentaire Dentifrice solution bains de bouche solution antiseptique gel de substitut de salive Bo te pour proth se ou coffret de rangement p te adh sive pour proth se S rum physiologique bicarbonate eau du robinet eau st rile Compresses kits de soins de bouche b tonnets Pr cautions g n rales Pratiquer un lavage simple des mains au savon liquide ordinaire avant et apr s le soin ou utiliser une SHA Porter des gants usage unique non st riles Noter le soin et les observations dans le dossier de soins du r sidant Nettoyer et ranger le mat riel apr s utilisation Fiches techniques propos es en annexe 2 3
58. chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s provenant de producteurs multiples Art 2 Tout producteur de d chets d activit s de soins risques infectieux qui confie ses d chets en vue de leur limination un prestataire de services doit tablir avec celui ci une convention comportant les informations list es en annexe Toute modification des conditions d limination fait l objet d un avenant tabli dans les m mes formes Art 3 Lors de ta remise de ses d chets au prestataire de ser vices et en l absence d regroupement le producteur dont la produc tion est sup rieure 5 kilogrammes par mois met un bordereau conforme au bordereau de suivi Elimination des d chets d activit s de soins risques infectieux gt CERFA n 11351 01 Ce bordereau accompagne les d chets jusqu l installation destinataire qui peut tre une installation d incin ration ou de pr traitement par d sinfec tion Art 4 Qu il y ait ou non regroupement lorsque la production est inf rieure ou gale 5 kilogrammes par mois les dispositions de l article 5 s appliquent Art 5 I Lors de la remise de d chets au prestataire de ser vices assurant le regroupement le producteur met un bon de prise en charge comportant les informations list es en annexe Il En cas d apport des d chets par le producteur sur une installation de regroupement automatique le bon de prise en charge est mis auto
59. du nettoyage est organis e pour l ensemble des locaux de l tablissement voir exemple en annexe 2 2 LOCAL FREQUENCE Chambre du r sidant sans soins Locaux administratifs A la demande et au minimum une fois Bureaux par semaine Salle de r union LOCAL FREQUENCE Chambre du r sidant avec soins A la demande et au minimum une fois par jour et plus si besoin PIECES DE VIE COLLECTIVE Salle de TV Salle de d tente Tous les jours Salles de r ducation I FR ne SH 7 Tous les jours d utilisation Salles d activit s ergoth rapie animations RESTAURATION Salle manger Apr s chaque repas Offices relais ANNEXES HOTELLERIE Local linge sale Tous les jours d utilisation Local poubelles Local linge propre Local de stockage des mat riels propres Une fois par semaine LOCAL PHARMACIE Zone 3 tu Sch A la demande et au minimum une fois Chambre du r sidant risque infectieux I par jour et plus en cas de besoin Salle de soins Tous les jours SALLES DE BAINS WC Au minimum une fois par jour 26 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 3 CHOIX DES MAT RIELS D ENTRETIEN Service des achats en partenariat avec les utilisateurs commission d utilisateurs r f rents Equipement Nettoyage au quotidien chariot d entretien facile d entretien maniable volume adapt l activit et au lieu de stockage Entretien des sols as
60. e soins risques infectieux et assimil s et les emballages contenant d autres types de d chets doit tre vi dente 3 Ils sont implant s construits am nag s et exploit s dans des conditions offrant une s curit optimale contre les risques de d gra dation et de vol 4 Ils doivent tre identifi s comme risques particuliers au sens du r glement de s curit contre les risques d incendie Sr Ils sont correctement ventil s et clair s et permettent une pro tection des d chets contre les intemp ries et la chaleur 6 Ils sont munis de dispositifs appropri s pour pr venir la p n tration des animaux 7 Le sol et les parois de ces locaux sont lavables 8 Ils sont dot s d une arriv e d eau et d une vacuation des eaux de lavage vers le r seau des eaux us es dot e d un dispositif d oc clusion hydraulique conformes aux normes en vigueur Le robinet de puisage est pourvu d un disconnecteur d extr mit du type HA permettant d emp cher les retours d eau Cette disposition ne s applique pas aux locaux d entreposage situ s l int rieur des unit s de soins des tablissements de sant 9 ls font l objet d un nettoyage r gulier et chaque fois que cela est n cessaire Art 9 Lorsque la configuration d un tablissement de sant ne permet pas de respecter les dispositions de l article 8 du pr sent arr t les d chets d activit s de soins risques infectieux peuvent
61. ement M decin Coordinateur M decin du travail 73 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Responsable des soins Param dicaux r f rents infirmier e aide soignant Responsable du service restauration Responsable du service entretien Tout membre du personnel peut tre consult de m me que tout expert 2 ORGANISATION DU C L I N Le comit lit la majorit simple un pr sident et un secr taire La dur e du mandat est de 4 ans renouvelable Le comit doit tenir au minimum deux r unions annuelles Le pr sident organise le fonctionnement du comit et coordonne les actions de lutte contre les infections dans l tablissement Un rapport annuel d activit est produit et pr sent aux instances de l institution et ventuellement aux tutelles Le comit est soutenu par la comp tence du m decin coordinateur de l infirmier e r f rent et autant qu il est utile du C CLIN et des relais d hygi ne r gionaux La constitution d un r seau inter tablissements E H P A D peut faire r f rence 3 Missions DU C L I N Elaborer et diffuser des protocoles concernant les bonnes pratiques d hygi ne de base lavage des mains tenue vestimentaire quipement sanitaire entretien et d sinfection des locaux nettoyage et d sinfection du mat riel des dispositifs m dicaux Elaborer et diffuser des protocoles concernant les bonnes pratiques d hygi
62. emment employ La d sinfection s effectue avec des solutions hydro alcooliques SHA contenant g n ralement un alcool un d sinfectant et un mollient L Instructions modes op ratoires fiches techniques ces documents d crivent dans le d tail la mani re r aliser les t ches mentionn es dans les proc dures qui conditionnent la qualit et la s curit en pr cisant les moyens et les ressources utiliser Ils sont destin s aux acteurs charg s de la mise en oavre de ces actions Les tablissements de sant utilisent plus volontiers le terme de protocoles Norme document tabli par consensus et approuv par un organisme reconnu qui fournit pour des usages communs et r p t s des lignes directrices ou des caract ristiques pour des activit s et en vue des r sultats Voir aussi standards Les normes ISO nternational Standardisation Organization sont devenues des r f rentiels internationaux en mati re de qualit Proc dure mani re sp cifique d accomplir une activit et d termin e par l utilisateur Une proc dure est souvent crite et comporte l objet et le domaine d application ce qui doit tre fait et qui doit le faire Elle r pond aux questions suivantes qui fait quoi o quand comment pourquoi appel e aussi protocole dans le syst me de sant R sidant personne qui r side en un lieu terme diff rent de lt r sident gt qui est le titre donn certains agents dip
63. emploi ou d faut solution de PVPI B tadine dermique alcool 70 chlorhexidine alcoolique Selon le protocole de l tablissement avertir le responsable des soins contacter le m decin r f rent de l h pital le plus proche de l tablissement pr venir le m decin du travail Faire une d claration d accident dans les 48 heures 24 heures pour les tablissements priv s aupr s du service du personnel de l tablissement Circulaire DGS DH n 98 249 du 20 avril 1998 relative la pr vention de la transmission d agents infectieux v hicul s par le sang ou les liquides biologiques lors des soins dans les tablissements de sant Circulaire DGS DH n 99 680 du 8 d cembre 1999 relative aux recommandations mettre en uvre devant un risque de transmission du VHB et du VHC par le sang et les liquides biologiques 21 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 HYGI NE DES LOCAUX 23 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 HYGI NE DES LOCAUX 2 1 Classification des locaux par zone 2 2 Fr quence du nettoyage par local 2 3 Choix des mat riels d entretien 2 4 Choix des produits d entretien 2 5 S curit des produits d entretien 2 6 Techniques d entretien 2 7 Chronologie des tapes d entretien 2 8 EVALUATION DES PROC DURES 24 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d
64. er Un ongle incarn peut appara tre Se laver les mains avant et apr s le soin Laver quotidiennement les pieds l eau et au savon S cher minutieusement et appliquer ventuellement une pommade grasse Poncer les durillons sans exc s Couper les ongles avec une pince podologique coup s au carr le bord lat ral de l ongle doit d passer le bourrelet lat ral de l orteil et tre l g rement arrondi Nettoyer et d sinfecter la pince apr s utilisation Conseiller le r sidant pour une consultation annuelle d un p dicure podologue Veiller la qualit du chaussage chaussures confortables maintenant correctement le pied sans frottement recommander une pointure suppl mentaire que la longueur habituelle offrant une protection contre les asp rit s du sol ajouter des semelles contre le froid Recommander la marche quotidienne 48 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 HYGI NE BUCCO DENTAIRE DE LA PERSONNE G E Objectifs Eliminer les mucosit s buccales afin de limiter le d veloppement des micro organismes du carrefour oro naso pharyng pour pr venir les infections des voies a riennes sup rieures et inf rieures La r alisation correcte des soins d hygi ne bucco dentaires apporte une sensation de bien tre et contribue la s curit de la personne g e assurer l hydratation de la muqueuse buccale pr server la flore interne de la bou
65. ersonnel Morsure ou griffure par un chien ou un chat en bonne sant Pasteurellose d inoculation Pasteurella multocida Maladie des griffes du chat Bartonella henselea Toxoplamose Toxoplasma gondii risque mineur Contact avec un animal malade selon la maladie diagnostiqu e Chien leptospirose Chien et chat tuberculose rage salmonelloses campylobact riose maladie de lyme teignes animales puces Ctenocephalides felis Pseudomonas aeruginosa proteus certaines gales les plus fr quentes cheyletielloses du chat et du chien Pr cautions particuli res Pour les animaux Pour les r sidants et le personnel Suivi v t rinaire vaccinations Pr ciser les zones o l animal pourra voluer Respect strict du lavage des mains apr s contact Evaluer les risques li s la pr sence de l animal Eviter le l chage D finir la ou les personnes qui auront la charge compl te de l animal sorties soins d hygi ne nourriture En cas de morsure surveillance v t rinaire de l animal pendant 15 jours 70 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 5 ANIMAUX DE COMPAGNIE 2 Poissons et tortues Risques Tortues d eau Salmonelloses li es la multiplication des salmonelles dans l eau des vivariums Poissons Mycobacterium marinum lors du nettoyage des aquariums r alis sans port de gants nodules cutan s aux points d entr e
66. es En cas d impossibilit le r sidant doit tre admis en court s jour 60 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 10 EVALUATION DES PROC DURES DE SOINS Audit des organisations Responsable d sign pour l organisation des soins Fiche de poste et descriptif de t ches Formation du personnel soignant Planification des soins et dossier de soins individualis par r sidant Audit des ressources Evaluation des mat riels et des consommables Proc dure de gestion des dispositifs m dicaux Proc dure de choix des mat riels de s curit Audit des pratiques R f rentiel de soins protocole de soins fiches techniques Observation des pratiques Tra abilit des actions entreprises tenue du dossier de soins Plan d actions des mesures correctives 61 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 Hygi ne de l environnement ET LE TRIO L G EST PT rRE Moi Qui VAIS U FARE 63 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 1 QUALIT DE L EAU R f rence utile Ma trise de la qualit de l eau dans un tablissement de sant Typologie Contr les RHC 1999 Cadre r glementaire Circulaire DGS VS4 n 98 771 du 31 d cembre 1998 relative la mise en oeuvre de bonnes pratiques d entretien des r seaux d eau dans les tablissements de s
67. es d h bergement pour personnes g es 2002 4 5 ANIMAUX DE COMPAGNIE R f rences Lettre circulaire du 11 mars 1986 relative la mise en place des Conseils d tablissements dans les tablissements recevant des personnes g es le Ministre des Affaires Sociales dispose que les personnes g es qui ont un animal familier doivent tre autoris es le garder avec elles dans la mesure o il ne cr era pas une contrainte anormale pour le personnel et o qu il ne g nera pas la tranquilit des autres r sidants ELOIT M BENET J J BOURDEAU P Animaux de compagnie et risques de zoonose infectieuse ou parasitaire Journal de p diatrie et de pu riculture n 5 1995 293 304 MASLO C Les zoonoses Impact M decin Hebdo n 467 Octobre 1999 2 14 C CLIN Paris Nord Lutte contre les ectoparasites et agents nuisibles en milieu hospitalier Guide de bonnes pratiques Mars 2001 126 p Chiens et chats Risques Contacts avec un chat ou un chien en bonne sant par souillures des mains portes d entr e conjonctivale ou orale Campylobacter chiots et chatons Salmonelles et Yersinia Animaux porteurs asymptomatiques de champignons en particulier Microsporum canis Oeufs ou ookystes coccidiens pelage du chien Toxocara canis pelage du chat ookystes de Toxoplasma un chatou un chien peut tre vecteur de germes tels que Staphylococcus aureus par contact avec une personne infect e r sidant ou p
68. es protections Incontinence urinaire et ou f cale Appliquer les pr cautions standard Se laver les mains ou utiliser une SHA entre chaque r sidant Porter des gants usage unique et les jeter entre chaque r sidant Faire une toilette g nito anale s cher minutieusement pratiquer une pr vention d escarres Signaler les signes d irritation rougeurs l sions Eliminer les protections d chets m nagers En cas d isolement septique liminer les protections fili re des d chets d activit de soins risque infectieux DASRI Soins des pieds des personnes g es Le vieillissement physiologique du pied conduit des modifications morphologiques et fonctionnelles qui contribuent aux troubles de l quilibre et de la marche La diminution de la perception de l effleurage augmente le risque de chutes L att nuation de la force musculaire rend la marche moins dynamique L affaissement statique du pied entraine un d faut de stabilit du pied Les risques de plaie et d escarre sont L atrophie du capiton sous les accentu s par la fragilit de la peau li e talons et les t tes l amincissement de l piderme du m tatarsiennes provoque derme et de l hypoderme l apparition de durillons et est la perte d lasticit et l augmentation responsable des douleurs de la desquamation d appui sous m tatarsiennes L paississement des ongles les rend difficiles couper la personne g e risque de se bless
69. es yeux gt port de gants de m nage lunettes de protection Ne jamais m langer les produits entre eux exemple un acide avec l hypochlorite eau de javel entraine un d gagement de chlore vapeurs tr s irritantes Par rapport aux produits Conna tre les symboles de risques Cf fiche annexe 4 p 87 Fermer la porte de la r serve clef ingestions accidentelles tentatives de suicides Ne jamais transvaser dans des flacons alimentaires Respect des dilutions et des temp ratures absence de m lange de produits respect des temps de contact Recommandations Faire attention au sol mouill et c bles pour la pr vention des chutes du personnel D limiter la zone nettoyer Organiser le travail en fonction de l activit de la zone traiter Eviter les fils trop longs qui trainent et g nent le passage 29 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 6 TECHNIQUES DE NETTOYAGE Principes du plus propre vers le plus sale du haut vers le bas Mobiliers Surfaces hors sols Sanitaires Lavabo douche baignoire WC Selon les fr quences d finies pour le nettoyage indiqu es en 2 2 Zone 1 Produits lustrants d poussi rants d tergents Zone 2 et 3 produits d tergent d sinfectants Supports lavettes usage unique ou r utilisables D poussi rage Nettoyage avec d tergent Rin age Application d une solution d tergente
70. ets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques et modifiant le code de la sant publique Journal Officiel du 18 novembre 1997 Circulaire DGS DH n 97 672 du 20 octobre 1997 relative la st rilisation des dispositifs m dicaux dans les tablissements de sant Bulletin Officiel du 16 mai 1998 p 69 70 Loi n 97 60 du 24 janvier 1997 tendant dans l attente du vote de la loi instituant une prestation d autonomie pour les personnes g es d pendantes mieux r pondre aux besoins des personnes g es par l institution d une prestation sp cifique d pendance Journal Officiel du 25 janvier 1997 D cret n 93 345 du 15 mars 1993 relatif aux actes professionnels et l exercice de la profession infirmi re D cret 92 333 du 31 mars 1992 relatif aux dispositions concernant la s curit et la sant applicables aux lieux de travail que doivent observer les chefs d tablissements utilisateurs Sous section 2 installations sanitaires article R 232 2 1 Code du travail Journal Officiel du 1 avril 1992 Lettre circulaire du 11 mars 1986 relative la mise en place des Conseils d tablissements dans les tablissements recevant des personnes g es Arr t du 26 juin 1974 r glementation des conditions d hygi ne relative la pr paration la conservation la distribution et la vente des plats cuisin s l avance Minist re de l agriculture Journal Officiel du 16 juillet 1974 7397 7399
71. fisant 1 par personne fermant cl s quip s de cintres pour la tenue civile de plateaux pour le recueil des tenues propres des chaussures Nettoyage du vestiaire Nettoyage du vestiaire organis une fois par jour pour les sanitaires au minimum une fois par semaine et chaque fois que n cessaire Nettoyage int rieur des armoires ou des casiers confi chaque utilisateur D cret 92 333 du 31 mars 1992 relatif aux dispositions concernant la s curit et la sant applicables aux lieux de travail que doivent observer les chefs d tablissements utilisateurs Sous section 2 installations sanitaires article R 232 2 1 Code du travail Journal Officiel du 1 avril 1992 15 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 3 TENUE DU PERSONNEL TENUE STANDARD Blouse ou tunique manches courtes pantalon fournis par l tablissement pour toutes les personnes intervenant aupr s des r sidants permanents et temporaires Recommandations 5 tenues minimum par agent PROTECTION DE LA TENUE STANDARD APPLICATION DES PR CAUTIONS STANDARD Blouse ou tablier usage unique ou r utilisables Exemples d indications Service des repas soins de nursing nettoyage du mat riel de soins PROTECTION DE LA TENUE CIVILE POUR LES PROFESSIONNELS EN ACTIVIT LIB RALE Lors des soins directs blouse ou tablier r utilisables ou usage unique strictement r serv s l u
72. ges des d chets d activit de soins Bo tes et minicollecteurs pour d chets perforants Sp cifications et essais D cembre 1999 Norme AFNOR NFX 30 501 Emballages des d chets d activit s de soins Sacs pour d chets mous risques infectieux Essais et sp cifications F vrier 2001 Locaux Le classement UPEC est un classement d usage qui d finit les caract ristiques d un rev tement Chaque lettre est suivie d un indice U usure la marche P poin onnement pieds de meuble chute d objets E comportement l eau et l humidit C tenue aux agents chimiques produits d entretien par exemple Le classement UPEC caract rise les niveaux de s v rit d usage par des indices num riques compris entre 0 et 4 associ s chacune de ses lettres Plus le coefficient est lev et plus le rev tement est r sistant ce coefficient varie selon l utilisation du local Autres classements A classement acoustique mesure les bruits d impact M classement Feu mesure la r sistance des produits la combustion de plus ininflammable M4 le plus inflammable 95 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ADRESSES DE SITES UTILES AFSSAPS Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Produits de Sant ttp agmed sante gouv fr AFNOR Catalogue en ligne des normes AFNOR ttp www afnor fr ANAES Agence Nationale d Accr ditation et d Evaluation en
73. gi ne bucco dentaire en milieu hospitalier Protocoles Revue de l ADPHO Tome 25 2000 p 23 40 PASCAL A FRECOM E Soins de la muqueuse buccale Soins n 632 Janvier F vrier 1999 Evaluation de l tat bucco dentaire initial Exemple de fiche compl t e par l infirmier au moment de l admission lors de l entretien avec la personne g e et ou sa famille OUI L Normale L Moulin e L Hach e 1 ALIMENTATION PER OS NON L Sonde N G L Gastrostomie L Parent rale LI Compl te L Haut L Bas 2 PROTH SE DENTAIRE Partielle L Haut L Bas ETAT LI Adapt LI Inadapt OUI Edentement partiel L Edentement total 3 DENTS O Haut L Haut I NON Bas Bas OUI SE Int grit de la muqueuse buccale NON O OUI geg Int grit de la langue NON OUI me Int grit des gencives NON O OUI Rae 4 PLAINTES Int grit des dents NON L OUI I Halitose mauvaise haleine NON O OUI X rostomie absence de salive NON OUI Hypersialorrh e NON Coordonn es du dentiste Dr 5 DENTISTE Adresse Date de la derni re consultation dentaire _ _ OUI CH NON Soins quotidiens 6 AUTONOMIE Autonomie D pendance compl te D pendance partielle 84 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Avertisse
74. h ter long dispositif implantable 1999 20 p C CLIN Ouest R duire le risque de transmission des bact ries multir sistantes et des maladies infectieuses en milieu hospitalier C CLIN Ouest 1997 70 p C CLIN Ouest hygi ne de la restauration dans les tablissements de sant C CLIN Ouest 2001 75 p C CLIN Paris Nord Lutte contre les ectoparasites et agents nuisibles en milieu hospitalier Guide de bonne pratiques Mars 2001 126 p C CLIN Sud Ouest Entretien des locaux des tablissements de soins Octobre 1998 29 p CHAUDIER DELAGE V AUROY M FABRY J Objectif Mains Guide technique pour l hygi ne et la protection des mains 1999 162 p Commission Centrale des March s Guide du bio nettoyage Paris 1994 81 p COTEREHOS Hygi ne et architecture dans les tablissements de sant aide la conception et la r novation des unit s de soins Guide du Comit Technique R gional de l Environnement Hospitalier COTEREHOS Avril 1997 59 p COTEREHOS Hygi ne appliqu la fonction linge dans les tablissements de sant COTEREHOS Juillet 2000 71 p DDASS llle et Vilaine Le r f rentiel Qualit des tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes Ille et Vilaine Janvier 2000 86p DELAHAYE F DAILLY M VOTTE A GRUMBACH Y Ablation post mortem d un stimulateur cardiaque La Revue du G riatre Tome 25 n 6 juin 2000 p 419 420 DETRUIT J C SORNIN G BITTON C KADOSH M Besoins denta
75. in s lisses et sans angles Remplacer tous les supports d t rior s ou en bois Zones de rangement adapt es aux types de mat riel et de produits faciles d entretien Tiroirs amovibles boites en mati re plastique Armoires fermant cl s Faciliter la r alisation du lavage de mains et viter le rangement des DM mat riels et produits dans des milieux humides D gager les points d eau de tout espace de rangement tels que les placards au dessus des points d eau le rangement sous les viers Remplacer tous les supports d t rior s ou en bois Elimination des d chets de soins cf annexe 6 p 88 les arr t s relatifs l limination des d chets Supports poubelles adapt s aux sacs pour une production lt 24 heures Contenants adapt s au tri s lectif couleur jaune pour les d chets de soins infectieux Norme d chets de type m nager d chets toxiques piles Emplacement distance des sources de chaleur d humidit Collecteurs d objets piquants tranchants Cf norme p 95 stables adapt s aux mat riels aux flux et l activit changement au minimum tous les mois Planification de l entretien du local et de ses quipements au quotidien et p riodique 41 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 2 MAT RIELS DE SOINS N CESSAIRES Chariot de soins fonctionnel Inox ou r sine surfaces lisses sans angles droits am nagements en b
76. ique Gants de soins non st riles usage unique en vinyl privil gier en latex en l absence de probl me allergique ou en polyur thane Retrait des gants usage unique st riles ou non st riles ATTENTION UNE PAIRE DE GANTS POUR UN SOIN POUR UN R SIDANT Jeter les gants apr s chaque soin Changer de gants entre chaque r sidant Se laver les mains avant et apr s le port de gants Entretien des locaux Lavage des gants apr s utilisation au savon liquide ordinaire Suspendre pour s chage l envers apr s chaque utilisation Lavage int rieur une fois par semaine Eviter autant que possible lesgants usage unique en vinyl Gants de m nage nominatifs ou usage unique AUTRES PROTECTIONS Masques et ou lunettes de protection en cas de risques de projection de produits corrosifs et de liquides biologiques Image extraite de l ouvrage BRUN M F BUIL G DUCREUX S SIMON F Aides soignantes Fiches techniques Editions Maloine 2000 page 129 20 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 5 CONDUITE TENIR EN CAS D ACCIDENT D EXPOSITION AU SANG A E S Se r f rer au protocole de l tablissement affichage obligatoire Nettoyer la plaie imm diatement eau savon liquide ordinaire Appliquer un antiseptique Temps de contact 5 minutes Dakin stabilis Pr f rer les kits pr ts l
77. ires de la personne g e en long et moyen s jour Le Concours m dical 28 11 98 120 40 p 2865 2871 ELOIT M BENET J J BOURDEAU P Animaux de compagnie et risques de zoonose infectieuse ou parasitaire Journal de p diatrie et de pu riculture n 5 1995 p 293 304 GERES Minist re de l Emploi et de la Solidarit Guide des mat riels de s curit Edition 1999 2000 Paris 48 p GRIMOUD A M DEBROCK A ARAMON F PERISSE D CAZARD J C RUMEAU M MARTY N LODTER J Ph Pratiques de l hygi ne bucco dentaire en milieu hospitalier Protocoles Revue de l ADPHO Tome 25 2000 p 23 40 HASENDHAHLS les pieds des personnes g es L infirmi re lib rale magazine n 137 Avril 1999 p 27 28 Hygi neS th matique Hygi ne et pr vention des infections dans les tablissements de soins pour personnes g es Hygi neS 1997 5 311366 Minist re de l Emploi et de la Solidarit Elimination des d chets d activit s de soins risques Paris 2 1999 50 p me dition 94 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Minist re de l Emploi et de la Solidarit Comit Technique des Infections Nosocomiales 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention des infections nosocomiales Paris 1999 121 p e Minist re de l Emploi et de la Solidarit Comit Technique des Infections Nosocomiales Soci t Fran aise d Hygi ne Hospitali re Isolement septique
78. its Certains produits utilis s dans les pr parations pour le nettoyage ou la d sinfection sont irritants ou corrosifs ou inflammables ou toxiques A l tat liquide ces produits agissent directement sur la peau en provoquant une irritation ou une br lure A l tat de vapeurs d a rosols ces substances peuvent p n trer dans les voies respiratoires jusqu aux poumons et ensuite dans la voie sanguine Certains produits basiques sont corrosifs en cas de projections dans les yeux d autant plus que l eau est chaude Produits pouvant provoquer des r actions ind sirables Nettoyant pour sols exemples ammonium quaternaires tensioactifs anioniques et non ioniques glyoxal hypochlorite de sodium irritant ou corrosif pour la peau gt port de gants de m nage esthers de glycol isopropanol tensioactifs anioniques et non ioniques irritants ou volatils si pulv ris s gt port de gants de m nage technique appropri e Nettoyant pour vitres exemples a rosols d esthers de glycol d isopropanol de tensioactifs d ammoniaque gt a rer la pi ce pendant le nettoyage des vitres Nettoyant pour viers douches lavabos exemples carbonate de calcium ou alcool gras ethoxyl ou savon tr s alcalin irritant pour les yeux et la peau gt port de gants de m nage D tartrant sanitaire exemples acide phosphorique ou acide chlorhydrique ou acide ac tique ou acide sulfamique irritant pour la peau et l
79. its d tergents propret microbiologique pour les produits d tergent d sinfectants et d sinfectants Qualit s produit adapt la nature des surfaces traiter et la s curit du personnel avec un bon pouvoir nettoyant r pondant aux normes exig es pour les produits d tergent d sinfectants et d sinfectants bact ricide fongicide virucide Cf liste positive des d sinfectants Pr sentation volume adapt au stockage la manutention aux modes d utilisation mode d emploi lisible monodose flacon muni de bouchon doseur pompe distributrice spray Crit res de choix dilution facile odeur discr te absence de traces sur les surfaces apr s ou sans rin age surfaces propres apr s utilisation D tergents pour sols et surfaces D tergents d sinfectants pour sols et surfaces D tergents d sinfectants pour D tergents pour les sanitaires toutes les surfaces D sinfectants pour les surfaces hors sols D tergent pour sols et surfaces Autres produits Eau de Javel voir fiche en annexe 2 1 p 79 Pour d autres surfaces d tartrant pour WC d sodorisants d poussi rants lustrants pour le mobilier produits vitres Pour les sols d capants bouches pores produits de protection et d entretien de m tallisation PRODUITS CONFORMES ET ADAPT S 28 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 5 S CURIT DES PRODUITS D ENTRETIEN Produ
80. joints la fin des annexes H et TI ANNEXE I INFORMATIONS DEVANT OBLIGATOIREMENT FIGURER DANS LA CONVENTION VIS E L ARTICLE 2 1 Objet de la convention et parties contractantes a Objet de la convention b Coordonn es administratives du producteur et du prestataire de services c Dur e du service assur par le prestataire X Modalit s de conditionnement d entreposage de collecte et de transport a Modalit s de conditionnement Description du syst me d iden fication des conditionnements de chaque producteur initial b Fr quence de collecte c Modalit s de transport d Engagement du prestataire de services respecter des dur es pour la collecte et le transport fix es au pr alable et permettant au producteur de se conformer aux d lais qui lui sont impos s pour l limination des d chets qu il produit 3 Modalit s du pr traitement ou de l incin ration a D nomination et coordonn es de la ou des installations de pr traitement ou d incin ration habituelles b D nomination et coordonn es de l installation de pr traitement ou d incin ration pr vue en cas d arr t momentan des installations habituelles c Engagement du prestataire de services pr traiter ou incin rer les d chets dans des installations conformes la r glementation 4 Modalit s de refus de prise en charge des d chets 5 Assurances a Engagement du prestataire de services sur
81. l gier Une attention particuli re doit tre apport e la d sinfection des quipements sanitaires entre chaque patient lorsqu ils sont communs chariot douche en particulier La toilette doit inclure l hygi ne buccale En dehors de la toilette le lavage des mains du patient est r alis plusieurs fois par jour Recommandation 92 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention du risque infectieux CTIN 1999 TEXTES PROFESSIONNELS D cret 93 345 du 15 mars 1993 relatif aux actes professionnels et l exercice de la profession d infirmier EXTRAITS DU D CRET 93 345 DU 15 MARS 1993 Article 2 dans le cadre du r le propre de l infirmier les soins infirmiers li s aux fonctions d entretien et de continuit de la vie visant compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d autonomie d une personne ou d un groupe de personnes lorsque les soins sont dispens s dans un tablissement ou un service domicile caract re sanitaire social ou m dico social l infirmier peut sous sa responsabilit les assurer avec la collaboration d aides soignants ou d auxiliaires de pu riculture qu il encadre et dans la limite de la comp tence reconnue ces derniers du fait de leur formation Article 3 dans le cadre de son r le propre l infirmier accomplit les actes ou dispense les soins infirmiers suivants visant notamment assurer le confort du patient et comprenant en tant que besoin
82. l s et des pi ces anatomiques Obligation de s parer les d chets de soins des d chets m nagers ind pendamment de la notion de risque infectieux tout petit mat riel de soin fortement vocateur d une activit de soins et pouvant avoir un impact psycho motionnel seringue tubulure sonde canule drain gant sont liminer par la fili re des DASRI Guide technique Elimination des d chets d activit s de soins risques page 6 Responsabilit du producteur de d chets de soins de leur production leur limination D lais d limination production sup rieure 100 kg semaine toutes les 72 heures production entre 5 kg mois et 100kg semaine tous les 7 jours R f rences utiles Norme NFX 30 500 emballages des d chets d activit s de soins boites et minicollecteurs pour d chets perforants Norme AFNOR NFX 30 501 Emballages des d chets d activit s de soins sacs pour d chets mous risques infectieux N B Stimulateur cardiaque des personnes d c d es r cup ration de la proth se avant la mise en bi re et transmise au centre d implantation de l appareil J O n 85 du 9 avril 2000 article R 2213 15 de l annexe au d cret 2000 318 du 7 avril 2000 Article 363 10 du code des communes 68 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 4 ELIMINATION DES D CHETS DE SOINS SUITE D chets de soins risque infectieux DASRI
83. l manquant ou d fectueux Stocker le chariot dans un local propre l abri de la poussi re 36 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 8 EVALUATION DES PROC DURES D ENTRETIEN Audit des organisations Projet d quipements Gestion des stocks de l tablissement et des lieux de travail tableaux de bord Formation du personnel nombre de personnels form s dates des formations dur e de formation contenu formation des nouveaux personnels du personnel de remplacement Enqu te de satisfaction des r sidants et de leurs familles Audit des ressources Responsable des achats commission d utilisateurs ou r f rents Proc dures de remplacement des mat riels d fectueux Evaluation des mat riels et des consommables Ech ancier recommand une fois par an Audit des pratiques Responsable de l organisation et du suivi du nettoyage des locaux Procotoles de nettoyage fiches techniques des produits et des mat riels Planification de l entretien des locaux Fiche de poste et descriptif de t ches du personnel d sign Utilisation conforme des produits dilution produits adpat s observations suivi des consommations Tenue du personnel adapt e observations dotation linge par personne retour de blanchisserie Tra abilit des actions entreprises planification autocontr le check list observations Contr le visuel de la propret des locaux V
84. les personnels et les patients Le taux des personnels vaccin s reste faible en France autour de 8 et les motivations de la vaccination restent personnelles 50 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 8 PRATIQUES D HYGI NE PAR CAT GORIE DE SOINS Les pratiques de soins d velopp es partir de ce point concernent principalement les tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes TEXTES PROFESSIONNELS D cret 93 345 du 15 mars 1993 relatif aux actes professionnels et l exercice de la profession d infirmier Article 4 l infirmier est habilit accomplir sur prescription m dicale qui sauf urgence doit tre crite qualitative et quantitative dat e et sign e les actes ou soins infirmiers suivants mise en place et ablation d un cath ter court administration des m dicaments r alisation et surveillance de pansements sp cifiques pose d une sonde gastrique pose d une sonde v sicale soins et surveillance d un patient intub ou trach otomis administration en a rosols de produits m dicamenteux pr l vements de sang veineux ou capillaire Article 9 selon le secteur d activit o il exerce et en fonction des besoins de sant identifi s l infirmier propose organise ou participe des actions d encadrement des stagiaires en formatio
85. liser une SHA Eviter d tre d rang pendant le soin Utiliser des gants non st riles usage unique vinyl ou latex Utiliser le type d antiseptique retenu par l quipe soignante Utiliser des dispositifs m dicaux de s curit par exemple aiguille r tractable manchon muni de clip Utiliser un manchon par pr l vement D poser les aiguilles dans le conteneur sp cifique plac proximit imm diate Etiquetter les tubes au moment du pr l vement Nettoyer les garrots manchons r utilisables apr s utilisation Transporter les pr l vements dans des conteneurs propres et sp cifiques panier bo te en bois interdits Pose et surveillance d un cath ter court R f rences utiles Les cath ters veineux pr vention de l infection C CLIN Est 1999 20 p Guide des mat riels de s curit GERES Minist re de l Emploi et de la Solidarit Edition 1999 2000 48 p N 85 et n 86 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention des infections nosocomiales Pose Respecter le principe d asepsie suivant lavage au savon antiseptique rin age s chage application de l antiseptique de m me gamme Mettre des gants st riles de pr f rence Noter la date de pose du cath ter sur le pansement et sur le dossier de soins du r sidant Maintenance Respect du syst me clos pendant toute la dur e du cath terisme Manipuler les lignes de perfusions apr s lavage des mains D sinfecter les raccords de
86. lomatiques Source Encyclop die Alpha Hachette Sacs pour d chets DASRI mous Extrait de la Norme AFNOR NFX 30 501 Emballages des d chets d activit s de soins les sacs usage unique en mati re plastique ou en papier sont de volume inf rieur ou gal 110 litres Ils doivent tre de couleur uniform ment jaune C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 INTRODUCTION Le C CLIN Ouest a r uni un groupe de travail pluridisciplinaire compos de m decins de cadres et d infirmi res travaillant dans les Etablissement H bergeant des Personnes Ag es D pendantes EHPAD de m decins et d infirmi res hygi nistes et de repr sentants des Tutelles en relation avec les maisons de retraite L objectif est de proposer des recommandations concernant l hygi ne et la pr vention du risque infectieux dans les structures d h bergement pour personnes g es Le choix de ce th me est motiv par la probl matique suivante la fr quence des infections dans ces structures n est pas parfaitement connue mais peut tre lev e ou apparaitre sous forme d pid mies le co t engendr par cette situation tant du point de vue humain que financier peut tre important la situation des bact ries multi r sistantes BMR aux antibiotiques repr sente un probl me pr occupant le risque infectieux nosocomial est parfois m connu par les professionnels travaillant ou intervenant da
87. ment les soins sont donn s titre d exemples la plupart d entre eux rel vent de la prescription m dicale lls ne peuvent tre utilis s en l tat PROTHESES DENTAI RES Autonomie D pendance partielle D pendance compl te Proth se dentaire Partielle___ Haut___ Bas Compl te Haut L Bas Fr quence Pr cautions G n rales gt Se laver les mains au savon liquide ordinaire avant et apr s le soin GG Porter des gants Usage Unique non st riles r Noter le soin et les observations sur le dossier de soins du patient Pr cautions Particuli res Compl ter par un soin de bouche ou par un brossage des dents adapt s l tat buccodentaire du patient Plateau verre dente 222 ___________________________ Bo tier identifi au nom du patient _ _ ccc O r gt Laver apr s chaque utilisation r Ranger dans un endroit propre et sec Pastilles effervescentes _ _ _ _ Autre produit _ _ Solution lt bain de bouche _ _ _____________________ O Brosse dents en bon tat________________________________ 0 SOINS DE BOUCHE SPECIFIQUES Autonomie D pendance partielle D pendance compl te Indication Dur e du au L Fr quence Pr cautions G n rales gt Se laver les mains au savon liquide ordinaire avant et apr s le soin r Porter des gants Usage Unique non st riles Noter le soin et les observations sur le dossier de soin
88. n il participe des actions de pr vention et d ducation en mati re d hygi ne et de sant individuelle et collective D cret 93 221 du 16 f vrier 1993 relatif aux r gles professionnelles des infirmiers et infirmi res Article 3 l infirmier ou l infirmi re n accomplit que les actes professionnels qui rel vent de sa comp tence en vertu du d cret pris en application des articles L 372 L 473 et L761 11 du code de la sant publique Article 11 l infirmier ou l infimi re respecte et fait respecter les r gles d hygi ne dans l administration des soins dans l utilisation des mat riels et dans la tenue des locaux Il s assure de la bonne limination des d chets solides et liquides qui r sultent de ses actes professionnels D cret n 99 426 du 27 mai 1999 habilitant certaines cat gories de personnes effectuer des aspirations endo trach ales Article 1 les aspirations endo trach ales ne peuvent tre pratiqu es chez des malades trach otomis s depuis plus de trois semaines dont l tat ne justifie pas leur admission dans un tablissement sanitaire et qui ne peuvent en raison d affections invalidantes chroniques assurer eux m mes ce geste d urgence n cessaire leur survie imm diate que sur prescription m dicale pr cisant en particulier les mod les de sonde d aspiration pouvant tre utilis s et en l absence de l infirmier par des personnes ayant valid une formatio
89. n sp cifique d finie par arr t du ministre charg de la sant Arr t du 27 mai 1999 relatif la formation des personnes habilit es effectuer des aspirations endo trach ales 51 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS CUTAN S La r alisation ou la r fection d un pansement m dicamenteux rel vent de la prescription m dicale Ce soin a pour but de changer les l ments du pansement et d appliquer un traitement m dical m dicamenteux La r alisation du pansement vise limiter les risques d infection de mac ration et d irritation li es aux secr tions d aider la cicatrisation de surveiller l efficacit du traitement et de veiller au confort du r sidant Soins de plaies simples chroniques Pr vention d escarres R f rence utile valuation de la pr vention des escarres ANAES 1998 Soins de plaies infect es localis es Soins de plaies infect es tendues Appliquer les pr cautions standard En cas d indication utiliser les antiseptiques d finis par l quipe soignante protocole crit Respecter les r gles d asepsie de base se laver les mains au savon liquide ordinaire ou utiliser une solution hydro alcoolique porter des gants si n cessaire et adapt au geste utiliser du mat riel individualis appliquer le principe du plus propre vers le plus sale Eliminer les d chets pansements mat riel u
90. ne des soins s curit des actes risques infectieux sondage urinaire a rosolth rapie oxyg noth rapie perfusions sous cutan es s curit des produits risques infectieux produits injectables alimentation ent rale eau alimentation Participer tout projet d am nagement de locaux d organisation de circuits d acquisition d quipement ou de mat riel et au choix des produits d sinfectants et de nettoyage Contribuer aux modalit s d organisation du travail du personnel dans la mesure o elles peuvent interf rer avec le respect des r gles d hygi ne de l tablissement Assurer l application et le suivi des recommandations par la r alisation d audits des pratiques Appr cier l volution de la fr quence des infections par le recueil d indicateurs pertinents Former le personnel l hygi ne et la pr vention du risque infectieux formation initiale et continue Participer la politique de formation du personnel et contribuer la pr paration de plans de formation lnciter l valuation des pratiques Inciter avec l aides des instances la mise en uvre de programmes de surveillance L ensemble de ces missions compte tenu de l importance des tablissements et des comp tences des personnels peut faire l objet de concertation regroupement travail en r seau avec l aide du C CLIN et des relais d hygi ne r gionaux 74 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d
91. ns les structures d h bergement pour personnes g es De ce fait les actions n cessaires engager dans ce domaine peuvent se trouver d laiss es La jurisprudence est pourtant l pour rappeler p riodiquement les obligations et responsabilit s des professionnels en ce domaine le statut infectieux de chaque r sidant colonis ou infect est souvent ignor De plus la gravit de cet tat infectieux est li e l tat de sant et au niveau de d pendance les soins techniques li s aux pathologies rencontr es souvent associ es se d veloppent les contraintes de financement et d organisation sp cifiques sont d pendantes des textes r glementaires en vigueur la mise en place de proc dures de pr vention et de formation doit prendre en compte le statut composite des personnels personnel titulaire et professionnels en activit lib rale m decins kin sith rapeutes infirmier e s ergoth rapeutes Ce document s adresse aux responsables et aux quipes soignantes m dicales et param dicales des structures d h bergement pour personnes g es Ses auteurs ont souhait pr senter les recommandations sous une forme la plus op rationnelle possible afin de faciliter la compr hension du lecteur et la mise en omvre des pr cautions d hygi ne dans ces tablissements Les recommandations d velopp es pour les soins risques infectieux chapitre 3 8 s adressent plus particuli rement aux quipes des Etablis
92. ntre chaque r sidant et apr s le d part du r sidant dans le local de nettoyage Appareils de surveillance exemples st thoscope tensiom tre glyc mie capillaire balance Petit mat riel d hygi ne corporelle Mat riels de soins exemples bassins munis de leur couvercle avant de sortir de la chambre bocaux urinaux lavage manuel nettoyage et d sinfection ou en machine type lave bassins thermique privil gier ou chimique Mat riel r serv au r sidant en cas d isolement infectieux tensiom tre st thoscope et mat riel usage unique chaque fois que possible Nettoyage d sinfection Utilisation de produits d tergent d sinfectant adapt s au type de mat riel selon le type de mat riel immersion ou essuyage rin age ou non Stockage Conditions identiques aux DM st riles Mat riel critique dispositifs m dicaux p n trant dans les tissus ou cavit s st riles ou dans le syst me vasculaire exposition un risque infectieux lev Mat riel semi critique dispositifs m dicaux en contact avec les muqueuses ou une peau l s e superficiellement Mat riel non critique dispositifs m dicaux qui ne sont pas en contact direct avec le patient ou sont en contact avec une peau saine 43 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 4 HYGI NE ET M DICAMENTS Choix des conditionnements Pr f rer les petits conditionnements de s
93. ois interdit Composition 1 Plateaux distincts plateau sup rieur pour le plan de travail et de recueil des produits 1 plan interm diaire pour le stockage du mat riel 1 plan inf rieur pour le recueil du mat riel utilis 2 Tiroirs d montables boites de rangement en mati re plastique 3 Chariot quip de supports poubelles pour tri s lectif des d chets et d un collecteur stable d objets piquants tranchants 4 Rangement minimum des mat riels et des produits quantit suffisante pour les soins r alis s pour une infirmi re 5 N cessaire l hygi ne des mains SHA distributeur de savon liquide d essuie mains usage unique gants usage unique st riles ou non Nettoyage du chariot de soins Nettoyage et d sinfection de toutes les surfaces apr s chaque s rie de soins Nettoyage complet avec une solution d tergente d sinfectante 1 fois par semaine Gu ridon de soins recommand pour les soins des r sidants en isolement infectieux Inox ou r sine de pr f rence surfaces lisses sans angles droits 2 plateaux et 1 support poubelle Quantit de mat riels et de produits n cessaires pour les soins du r sidant Nettoyage et d sinfection des surfaces entre chaque r sidant en isolement infectieux par essuyage humide avec une solution de d tergent d sinfectant Malettes de transport faciles d entretien En remplacement du chariot quand il ne peut pas tre utilis dans des secteurs de soin
94. opre vers le plus sale du haut vers le bas Appliquer la m thode de d poussi rage humide mobiliers plans de travail selon l organisation du plan de nettoyage de chaque local Utiliser une lavette imbib e d une solution de d tergent d sinfectant ou d tergent Nettoyage des sanitaires de toutes les zones Commencer par le nettoyage du lavabo nettoyer avec un d tergent rincer appliquer la solution de d tergent d sinfectant Nettoyer l espace douche et ou la baignoire m thode identique au lavabo Terminer par le nettoyage des WC m thode identique au lavabo Utiliser un produit d tartrant au minimum 1 fois par semaine et selon le type d eau calcaire ou non Ne pas utiliser le d tergent ou le d tergent d sinfectant le jour de d tratrage pas de m lange de produits entre eux Nettoyage des sols Proc der au balayage humide avant le lavage du sol gaze humide pr impr gn e de pr f rence usage unique pour le balayage bandeaux pour le lavage des sols avec un produit d tergent de mani re g n rale pour les zones 1 et 2 avec un produit d tergent d sinfectant pour la zone 3 Passage d une chambre l autre Changer de lavette entre chaque chambre Utiliser une solution de lavage restant propre Se laver les gants si n cessaire en cas de gants souill s Nettoyage syst matique du chariot d entretien et de ses accessoires Nettoyer les gants et pratiquer un lavage simple des mains Remplacer le mat rie
95. ou Eau st rile ou RAR superficielle S rum Chlorhexidine S rum PVPI dermique post op ratoires sutur es cicatrices physiol giq aqueuse physiologique Soins de plaies profondes ou Eau st rile ou Eau st rile ou ill PVPI Dermique Savon st rile S rum Chlor s souill es PVPI Scrub S rum j post op ratoires plaies ouvertes physiologique physiologique Dermatoses plaies infect es A Sur prescription m dicale escarres ulc res srs ES RIN AGE ANTISEPSIE RIN AGE Antisepsie des muqueuses LAVAGE LAVAGE ANTISEPSIE SECHAGE SECHAGE Pose de sondes v sicales SCH 7 Savon liquide Savon liquide PVPI Geste sur les muqueuses g nitales ou W Eau du r seau Chlor s E Eau du r seau I ordinaire ordinaire Gyn cologique urinaires ECBU Pr l vements sur site de sonde p SW A P e Chlor s Chlorhexidine alcoolique v sicale Vidange du sac collecteur PVPI Polyvidone iod e B tadine 45 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 6 SOINS D HYGI NE CORPORELLE ET DE PROPRET DU R SIDANT La toilette et les soins cutan s qui l entourent pr vention d escarres changes mobilisations sont autant d occasions de transmission de micro organismes Une grande rigueur en mati re d hygi ne est recommand e Le type de toilette doit tre adapt au degr de d pendance mais dans tous les cas la douche ou la toilette en chariot douche sont privi
96. patient 88 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 ANNEXE 4 Exemples de symboles pour les risques li s aux produits de nettoyage Produit inflammable Produit corrosif k Produit irritant Produit toxique ANNEXE 5 EXEMPLES DE PRODUITS AGREES OU HOMOLOGUES CONTACT ALIMENTAIRE Liste non exhaustive DETERGENT DETERGENT DESINFECTANT DESINFECTANT NA 80 ANIOS T S A ANIOS DC 8 92 RIVASURF ANIOSTERIL DDN ASPHENE SPRAY SOLUDOZ DEGRAISSANT ANIOSTERIL NDM BACILLOL 25 STRADOL D tergent ASPHENE 381 DESINFECTANT CUISINE 51 TOPPIN ELCOSOL A SEPTALIM VAITOL RIVAGERME NETTOYANT STRADOL D tergent d sinfectant Termes d finis dans le glossaire p 7 8 89 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 octobre 1999 JOURNAL OFFICIEL DE LA R PUBLIQUE FRAN AISE ANNEXE 6 TEXTES REGLEMENTAIRES ET ELIMINATION DES DECHETS 14685 TEXTES G N RAUX MINIST RE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARIT Arr t du 7 septembre 1999 relatif aux modalit s d entre posage des d chets d activit s de soins risques infec tieux et assimil s et des pi ces anatomiques NOR MESP9922895A La ministre de l emploi et de la solidarit la ministre de l am nagement du territoire et de l environnement et la secr taire d Etat la sant et l action sociale V
97. patient est infect par un agent infectieux spontan ment non contagieux mais susceptible de diss miner dans l environnement et d tre transmis un autre patient transmission crois e via les mains du personnel ou le mat riel ex infection urinaire bacille Gram n gatif sur sonde infection cutan e Staphylococcus aureus Lorsqu un patient est porteur ou excr teur d un agent infectieux multi r sistant aux antibiotiques et connu pour son risque de diffusion pid mique ex Staphylococcus aureus r sistant la M ticilline klebsielle productrice de b ta lactamases spectre tendu En compl ment des pr cautions standard certaines infections ou suspicions d infection n cessitent la mise en uvre de pr cautions particuli res d finies en fonction de l agent infectieux r servoirs mode de transmission r sistance dans le milieu ext rieur et de l infection localisation et gravit Leur mise en oeuvre fait l objet d une prescription m dicale Les pr cautions particuli res Pr cautions contact pr venir la transmission d agents infectieux par contact interhumain Pr cautions respiratoires type gouttelettes pr venir la transmission d agents infectieux par les s cr tions oro trach o bronchiques Pr cautions respiratoires type Air pr venir la transmission d agents infectieux par voie a riennne Pr cautions contacts C Isolement en chambre individuelle En cas d impossibilit
98. pirateurs autolaveuse monobrosse Mat riels Chariot d entretien balai de lavage trap ze raclette pelle support sac poubelle pulv risateurs pour produits non pr ts l emploi seaux de lavage des sols seaux de lavage des surfaces bacs de stockage des produits et des consommables A supprimer balais et balayettes en fibres naturelles et manche en bois Entretien des sols filtres et sacs pour aspirateurs brosses et disques pour monobrosse adapt s la nature des sols Consommables Chariot d entretien lavettes usage unique ou r utilisables lavables en blanchisserie au minimum 1 2 par local A supprimer ponges serpill res A viter grattoirs tampons abrasifs Entretien des sols gazes de balayage usage unique ou r utilisables et bandeaux usage unique ou r utilisables de lavage des sols lavables en blanchisserie au minimum 1 par local ou plus en fonction de l tat de propret et de la superficie du sol MAT RIEL ADAPT ET FONCTIONNEL 27 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 4 CHOIX DES PRODUITS D ENTRETIEN Service des achats en partenariat avec les utilisateurs et le m decin du travail commission d utilisateurs r f rents R f rences utiles 1 Liste positive des d sinfectants actualis e tous les ans dit e par la SFHH 2 Guide du bionettoyage Objectif propret visuelle pour les produ
99. pliquer une technique d instillation sans contact avec l oeil Noter la date d ouverture sur les flacons d faut sur les emballages Se laver les mains ou utiliser une SHA apr s le soin M thode Allonger le r sidant sur le dos ou au fauteuil t te bascul e en arri re Oter tout coulement et les traces de collyres compresses st riles et s rum physiologique en monodose Commencer par le tour de l oeil puis de la commissure interne de la paupi re vers la commissure externe Utiliser une nouvelle compresse pour chaque passage Demander au r sidant de regarder vers le haut et en dehors Abaisser la paupi re avec la main libre Instiller le collyre dans le sac conjonctival ou d poser la pommade Demander au r sidant de cligner les yeux pour faciliter la r partition du collyre sur le globe oculaire Enlever l exc s de collyre avec une compresse propre Jeter la monodose de collyre Reboucher soigneusement le tube de pommade patient unique 44 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 5 HARMONISATION DE L UTILISATION DES ANTISEPTIQUES Rappel l utilisation des antiseptiques rel ve de la prescription m dicale Choix d une gamme de 1 re intention parmi les produits des 3 principales gammes d antiseptiques existantes iod s chlor s chlorhexidines voir exemples ci dessous 1 re intention signifie que le spectre d activit du produit d sign
100. que de lavage est identique celle utilis e pour le balayage humide Le mat riel adapt a pour but de faciliter le travail du soignant La salle de bain est nettoy e en dernier L utilisation d une frange par chambre vise limiter le risque de transmission des germes d une chambre l autre 33 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 LAVAGE MANUEL DES SOLS 1 Syst me de lavage plat balai trap ze ou balai r servoir Principe l utilisation au minimum d une frange ou d un bandeau par local vise limiter le risque de transmission des germes d un local l autre Technique proc der comme pour le balayage humide Balai trap ze Le syst me du lavage plat avec un balai trap ze permet le d poussi rage des surfaces verticales et des sols le lavage des surfaces verticales et des sols la r cup ration des souillures et des produits m Franges ou bandeau coton ou polyester m Balai avec support articul m Produit d tergent ou d tergent d sinfectant m Chariot 2 seaux de couleurs diff rentes avec presse ou grille d gouttage 1 seau de trempage des franges 1 seau pour le recueil des franges sales Entretien du mat riel apr s chaque utilisation m Envoyer les franges en blanchisserie m Nettoyage d sinfection du balai et du chariot de lavage Remarques Solutions de la
101. r glementaire Arr t du 29 septembre 1997 fixant les conditions d hygi ne applicables dans les tablissements de restauration collective caract re social R f rence utile Hygi ne de la restauration dans les tablissements de sant C CLIN Ouest 2001 Tenue du personnel de service Prot ger la tenue standard par un tablier de protection Se laver les mains avant et apr s les manipulations des denr es alimentaires Reception et stockage si n cessaire des repas Respecter le d lai entre r ception et stockage d finis pour le mode de pr paration par la cuisine Contr ler le r frig rateur propret temp rature absence de produits alimentaires p rim s Contr ler les quantit s livr es Distribution des repas Organiser l installation des r sidants pr alable par un personnel diff rent de pr f rence En liaison froide r aliser la remise en temp rature des plats chauds au moment du repas En liaison chaude maintenir la temp rature sup rieure ou gale 63 C des plats chauds jusqu au moment de servir D barassage des repas Oter les reliefs alimentaires d chets m nagers Noter la prise alimentaire les motifs de refus ventuels Nettoyage des surfaces salles manger Nettoyer et d sinfecter les surfaces tables adaptables utiliser des produits agr s contact alimentaire cf annexe 5 p 87 Ranger le mobilier Proc der un balayage humide du sol Lave
102. r le sol au minimum 1 fois par jour et plus si n cessaire Nettoyage de la vaisselle Privil gier l utilisation d un lave vaisselle plan de nettoyage de l appareil Se laver les mains Contr ler la propret et le s chage de la vaisselle Ranger la vaisselle dans des placards propres et ordonn s Nettoyage de l office alimentaire Organiser le nettoyage de l office au quotidien et approfondi plan de nettoyage 65 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 4 3 CIRCUIT DU LINGE LINGE SALE R f rence utile Hygi ne appliqu e la fonction linge dans les tablissements de sant COTEREHOS Juillet 2000 Au niveau des secteurs de soins ou de r sidences des personnes g es Manipulations et tri Conditionnement La qualit du pr tri conditionne la s curit et la protection des personnes tout au long de la fili re du linge sale Porter des gants en pr sence de sang et de produits biologiques Porter le linge sans toucher la tenue professionnelle Porter un tablier de protection de pr f rence V rifier syst matiquement l absence d objets trangers Identifier un code couleur par type d article D poser chaque article dans le sac de couleur correspondant lainage draps petit linge Ne pas secouer et ne pas d poser le linge sur le sol Utiliser des sacs propres tanches munis de syst me de fermeture en bon tat Remplir les sacs aux 2
103. ril 2000 2 partie Article R 2213 15 D cret n 99 426 du 27 mai 1999 habilitant certaines cat gories de personnes effectuer des aspirations endo trach ales Journal Officiel n 121 du 28 mai 1999 Arr t du 27 mai 1999 relatif la formation des personnes habilit es effectuer des aspirations endo trach ales Journal Officiel n 121 du 28 mai 1999 D cret n 99 363 du 6 mai 1999 fixant la liste des maladies faisant l objet d une transmission obligatoire de donn es individuelles l autorit sanitaire Arr t du 26 novembre 1999 relatif la bonne ex cution des analyses de biologie m dicale Journal Officiel du 11 d cembre 1999 partie D crets en Conseil d Etat Circulaire DGS DH n 98 249 du 20 avril 1998 relative la pr vention de la transmission d agents infectieux v hicul s par le sang ou les liquides biologiques lors des soins dans les tablissements de sant D cret n 98 635 du 20 juillet 1998 modifiant le code des communes partie R glementaire et relatif la cr mation Journal Officiel du 25 juillet 1998 Circulaire DGS VS4 n 98 771 du 31 d cembre 1998 relative la mise en uvre de bonnes pratiques d entretien des r seaux d eau dans les tablissements de sant et aux moyens de pr vention du risque li aux l gionelles dans les installations risque et dans celle des b timents recevant du public Bulletin Officiel D cret n 97 1048 du 6 novembre 1997 relatif l limination des d ch
104. rte dur e inf rieure une semaine latex silicon ou t flon longue dur e silicone pure Mettre des gants st riles pour l introduction de la sonde Adapter la sonde au sac avant la pose Inscrire date et type de sonde sur le dossier de soins Maintenance Fixer la sonde sans tension poche maintenue hors sol R aliser aseptiquement les pr l vements ECBU sur le site de ponction Vidanger les urines en utilisant des gants et des compresses imbib es d antiseptique R aliser quotidiennement une toilette intime et chaque fois que souillures en utilisant un savon liquide ordinaire et en mettant des gants usage unique non st riles Signaler les soins et les incidents d connexion accidentelle par exemple sur le dossier de soins du patient Changer la sonde et le sac dans le m me temps N B le changement de sonde s effectue par l infirmier e sans prescription m dicale Art 2 D cret 93 345 du 15 mars 1993 Veiller aux apports hydriques 57 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS VASCULAIRES Pr l vements sanguins R f rence utile Guide des mat riels de s curit GERES Minist re de l Emploi et de la Solidarit Edition 1999 2000 48 p Cadre r glementaire Arr t du 26 novembre 1999 relatif la bonne ex cution des analyses de biologie m dicale Appliquer les pr cautions standard Se laver les mains avant et apr s le geste ou uti
105. s Si risque de contact avec du sang ou tout autre produit d origine humaine les muqueuses ou la peau l s e du patient notamment l occasion de soins risque de piq re Port des gants j j h moculture pose et d pose de voie veineuse chambres implantables pr l vements sanguins lors de la manipulation de tubes et pr l vements biologiques linge Les gants doivent tre chang s f mat riels souill s entre deux patients deux activit s ET Lors de tout soin lorsque les mains du soignant comportent des l sions Si les soins ou manipulations exposent un risque de projection ou d a rosolisation de sang ou tout autre produit Port de surblouses lunettes d origine humaine aspiration endoscopie actes masques e op ratoires autopsie manipulation de mat riel et linge souill s 13 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 TYPE DE SOINS PRECAUTIONS A PRENDRE Mat riel souill Surfaces souill es Transport de pr l vements biologiques de linge de mat riels souill s Si contact avec du sang ou liquide biologique Mat riel piquant tranchant usage unique ne pas recapuchonner les aiguilles ne pas les d sadapter la main d poser imm diatement apr s usage sans manipulation ce mat riel dans un conteneur adapt situ au plus pr s du soin et dont le niveau maximal de rempliss
106. s L utilisation d une solution de produit d tergent d sinfectant permet une d sinfection de contact un gain de temps et une simplification du travail Ces produits se caract risent g n ralement par un bon pouvoir d sinfectant et une d tergence moindre Le port de gant est indispensable pour la protection du personnel afin de limiter les risques li s au contact des produits des micro organismes du sang et des liquides biologiques Le bionettoyage est d fini comme un proc d destin r duire la contamination biologique des surfaces II est obtenu par la combinaison du nettoyage l vacuation des salissures et des produits utilis s puis de l application d un d sinfectant A NETTOYAGE DES SURFACES ET DU MOBILER Mat riel Lavette usage unique ou r utilisable Pulv risateur ou seau contenant la solution d tergente d sinfectante propre pr par e quotidiennement M thode Essuyer d un seul passage avec la lavette humidifi e pulv risateur ou seau laisser s cher Changer de face de la lavette chaque surface En cas de tache incrust e vaporiser la tache incrust e pour la r hydrater puis proc der un essuyage humide 31 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Le nettoyage au quotidien concerne aussi tous les surfaces d objets tels que poign es de porte t l commandes combin t l phonique Entretien du mat riel
107. s en mati re plastique ou en tissu lavable en machine de pr f rence 42 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 3 GESTION DES DISPOSITIFS M DICAUX R f rences utiles 1 Circulaire n 669 du 14 avril 1996 relative l interdiction de rest riliser le mat riel m dico chirurgical non r utilisable dit usage unique 2 D sinfection des dispositifs m dicaux guide des bonnes pratiques CSHPF CTIN 1998 133 p Contact avec les tissus ou les cavit s st riles Contact avec les muqueuses ou la peau l s e En contact avec la peau saine ou sans contact avec le patient Mat riel critique et semi critique Dispositifs m dicaux st riles usage unique recommand s Petite instrumentation pour pansement Sets pansements compl t s si n cessaire par des mat riels satellites st riles Utilisation d conseill e des proc d s de st rilisation par chaleur s che type Poupinel pour le traitement des DM st riles r utilisables Stockage dans des lieux propres hors sols l abri de la poussi re de l humidit des risques de d t rioration des emballages d chirures agrafes marques de stylo Elimination des d chets Emballages fili re des d chets m nagers D M fili re des d chets d activit s de soins risques infectieux Mat riel non critique Proc dures de d sinfection d finies pour chaque type de mat riel e
108. s de s curit GERES Minist re de l Emploi et de la Solidarit Edition 1999 2000 48 p Conditions rigoureuses d asepsie Toujours utiliser une aiguille de Huber pour toute ponction Organiser la r alisation du soin avec une aide Surfaces de travail propres et d sinfect es avant d entreprendre le soin Masque de type chirurgical pour l op rateur et le patient si besoin Se laver les mains et utiliser une SHA lavage hygi nique Temps de pr paration Organisation du plan de travail et de ses l ments st riles Temps de manipulation proprement dit Gants st riles compresses st riles imbib es d antiseptique Temps du pansement Appliquer les principes de r fection du pansement de plaies savon antiseptique rin age s chage antiseptique pansement Retrait avec du mat riel s curis de l aiguille de Huber attention au risque de rebond 59 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 3 9 ISOLEMENT INFECTIEUX EN E H P A D Les recommandations pour l isolement septique et les pr cautions particuli res mettre en uvre dans les tablissements de sant sont pr sent es en annexe 3 II existe trois types de pr cautions particuli res les pr cautions contact caract ris es par le port de gants lors des soins les pr cautions gouttelettes caract ris es par le port du masque lors des soins et les pr cautions air caract ris es par le
109. s du patient Mat riels et produits Eau Giele _ _ _ _ _ L S rum physiologique _ CT Bicarbonate_ _ _ L Produit antiseptique _ _ _ _ _ _ O B tonnets____________ ____ Pince Kocher__________ Doigts Compresses st riles _ _ _ _ _ _ LI Compresses non st riles _ Kit soins de bouche M thode gt 7 Dilution Pr cautions particuli res 85 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Avertissement les soins sont donn s titre d exemples la plupart d entre eux rel vent de la prescription m dicale lls ne peuvent tre utilis s en l tat Soins sp cifiques PROPOSITIONS SI BOUCHE TRES SALE OU MAL ODORANTE Remplacer le bicarbonate par une boisson cola ou 4 volumes S rum physiologique eau oxyg n e 1 volume 10 r SI ULCERATIONS Badigeonner dans la cavit buccale 1 solution de soins de bouche Ulcar 4 ml Nystatine 100 000 ui ml 2 ml Protovit vitamines A B1 B2 B6 C D E 300 mg bicarbonate de Sodium NaHCO3 125 ml de Nacl 9 SI MYCOSE BUCCALE Badigeonner au doigt bouche comme la pr paration ulc rations 6 fois par jour gel de Daktarin le patient peut avaler 4 fois par jour SI BOUCHE TRES SECHE ET CARTONNEE Humidifier tous les 1 4 d heure Demander la collaboration des familles qui peuvent apporter des bombes d eau a rosolis es ou Appliquer de l eau g lifi e glac
110. s longs pas d ajustement possible sur les mains Gants de nettoyage Caract ristiques distribu s par paire r utilisables ou usage unique avec ou sans rev tement int rieur coloris variables manchettes longues Indication de co t des gants r utilisables de 0 23 sans coton 0 91 avec coton Avantages r sistance aux produits chimiques solidit souplesse protection des avant bras gants nominatifs Limites d utilisation transpiration et mac ration selon les mod les et la dur e d utilisation irritation voire allergie aux composants latex Pour les gants r utilisables contraintes d entretien rin age s chage sur l envers lieu de stockage probl me d hygi ne si non individualis s inscrire les initiales sur le revers de la manchette R f rences utiles voir Normes cit es p 93 19 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 PORT DE GANTS PAR TYPE DE SOINS Exemples Gants m dicaux st riles Pose de sonde urinaire usage unique Pansements de plaies en cas de contact direct avec la plaie propre APPLICATION DES PR CAUTIONS STANDARD Exemples Pr l vements sanguins Aspirations endotrach ales Manipulations de sang et de liquides sanglants Soins du r sidant risque infectieux Peau l s e du soignant Contact avec les muqueuses Toilette g nito anale souillures f cales Pose de suppositoire Pose d ovule gyn colog
111. s produite sur un m me site est inf rieure ou gale 100 kilogrammes par semaine et sup rieure 5 kilogrammes par mois Par site on entend tout lieu non travers par une voie publique o sont install es les activit s relevant d une m me personne juridique et g n ratrices des d chets vis s l article 1 Art 3 Lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s produite en un m me lieu est inf rieure o gale 5 kilogrammes par mois la dur e entre la produc tion effective des d chets et leur enl vement ne doit pas exc der trois mois Art 4 La dur e entre l vacuation des d chets du lieu de pro duction et leur incin ration o pr traitement par d sinfection ne doit pas exc der 72 heures lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s regroup e en un m me lieu est sup rieure 100 kilogrammes par semaine 7 jours lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s regroup e en un m me lieu est inf rieure ou gale 100 kilogrammes par semaine 90 Art 5 Les dur es impos es par les articles 2 4 du pr sent arr t doivent tre respect es quel que soit le mode d entreposage notamment basse temp rature La cong lation des d chets d activi t s de soins risques infectieux et assimil s en vue de leur entrepo sage est interdi
112. sage de l tablissement CHANGEMENT DE LA TENUE STANDARD ET DE LA PROTECTION R UTILISABLE Changement quotidien et chaque fois que n cessaire Collecte des tenues organis e 2 3 fois par semaine avec la blanchisserie NETTOYAGE DES TENUES EN BLANCHISSERIE y compris les tenues des stagiaires des tudiants dans l tablissement ou par une soci t prestataire 16 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 4 HYGI NE DES MAINS Pr alables Avant bras nus ongles courts et sans vernis ni faux ongles Absence de bijoux montre alliance bagues bracelets LAVAGE SIMPLE DES MAINS AU SAVON LIQUIDE ORDINAIRE R f rence utile Objectifs Mains guide technique pour l hygi ne et la protection des mains ll existe 3 types de lavage des mains fie ongles espaces interdigitaux lavage simple R gions riches en lavage hygi nique plis cutan s germes lavage chirurgical Fr anekani ep Seul le lavage simple des mains est ici d velopp OBJECTIF Eliminer les squames les souillures cutan es pr venir le risque de transmission des micro organismes de la flore transitoire pr sents sur les mains du personnel INDICATIONS avant et apr s les soins N s chage avec avant et apr s le port de gants er d s ess ie A S mains usage vi avant et apr s la prise de service unique WW Vi i A non recontamination apr s
113. sage unique d chets infectieux conditionnements emballages d chets m nagers Appliquer les pr cautions standard et contact Protection de la tenue port de gants lavage des mains au savon liquide ordinaire avant et apr s le pansement SHA ou lavage des mains au savon antiseptique limination du linge par la fili re du linge infect limination de tous les d chets par la fili re des d chets d activit de soins risque infectieux DASRI Respecter les principes d asepsie d crits ci dessus Pratiquer les soins des plaies selon la m thode suivante laver la plaie au savon antiseptique rincer l eau st rile ou s rum physiologique s cher appliquer l antiseptique laisser s cher ne pas rincer Couvrir la plaie avec un pansement occlusif chaque fois que la surface la localisation l tat de la plaie le permettent L isolement technique de la plaie ainsi obtenu par le pansement occlusif permet au r sidant de mener ses activit s habituelles repas en salle manger salles de r ducation de d tente Appliquer les pr cautions standard et contact d crites ci dessus Lorsque l tendue des plaies ne permet pas l isolement technique pr cis pour les plaies infect es limit es les activit s du r sidant sont r duites pendant toute la dur e d infectiosit des plaies Les repas les soins de r ducation sont r alis s dans sa chambre 52 C CLIN Ouest Hygi ne des
114. sements H bergeant des Personnes Ag es D pendantes Les autres recommandations concernent tous les tablissements notamment les maisons de retraite caract re h telier qui ne sont pas amen s assurer des soins m dicaux C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 Hygi ne du personnel 11 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 HYGI NE DU PERSONNEL 1 1 Pr cautions standard 1 2 Vestiaires du personnel 1 3 Tenue du personnel 1 4 Hygi ne des mains 1 5 Conduite tenir en cas d A E S C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 1 1 PR CAUTIONS STANDARD Des pr cautions d hygi ne doivent tre appliqu es pour tout patient quel que soit son statut infectieux afin d assurer une protection syst matique de tous les patients et des personnels vis vis des risques infectieux La maitrise du risque de transmission d agents infectieux impose le respect par le personnel de pr cautions standard ou g n rales Recommandation 52 100 recommandations pour la surveillance et la pr vention des infections nosocomiales CTIN 1999 TYPE DE SOINS PRECAUTIONS A PRENDRE Apr s le retrait des gants entre deux patients entre deux Lavage et ou d sinfection tvit s Des fiches techniques doivent d crire la technique des mains utilis e dans chaque ca
115. structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS DIGESTIFS Se laver les mains avant et apr s chaque manipulation sur la sonde Porter des gants usage unique non st riles si n cessaire Utiliser des compresses propres pour le branchement de la poche la sonde S assurer de la position demi assise du r sidant Alimentation par Prot ger le fosset de la sonde dans un boitier propre ferm pendant le temps sonde de passage du produit nutritif Rincer la sonde avant le d branchement utiliser de pr f rence de l eau embouteill e Noter le soin sur le dossier de soins du r sidant Changer la tubulure au minimum une fois par jour et selon le type d appareil Alimentation ent rale R f rence utile Soins et surveillance des abords digestifs ANAES 2000 Soins locaux Se laver les mains avant et apr s le soin Mettre des gants usage unique non st riles Laver la peau autour de la sortie de la sonde avec un savon liquide doux Rincer S cher soigneusement par tamponnements Surveiller l tat de la peau Noter le soin et les observations sur le dossier de soin du r sidant Eliminer les d chets pansements mat riels usage unique poche d chets infectieux conditionnements emballages d chets m nagers Soins de stomies gastrostomies Pour les soins de gastrostomie Appliquer ventuellement un protecteur cutan Couvrir le site d insertion de la sonde l aide de
116. sur le dossier de soins du r sidant 56 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 SOINS URINAIRES SUITE POSE ET MAINTENANCE DES SONDES DEMEURE R f rence utile Qualit de la pose et de la surveillance des sondes urinaires ANAES 1999 Indicateurs de surveillance Bandelette urinaire respect du syst me clos hydratation D FINITION mise en place d une sonde urinaire pour l limination en continu des urines Respecter le principe du syst me clos lors de la pose et L DS GE durant toute la dur e du sondage du syst me clos dT Jonction sonde collecteur Le principe du syst me clos correspond la fermeture compl te du syst me d vacuation urinaire et l interdiction de d connecter sonde sac pendant toute la dur e du sondage Syst me de drainage Le mat riel est le collecteur urines muni d un tube de vidange d une valve antireflux et d une fen tre de pr l vement permettant de limiter au maximum les ouvertures Il persiste une possibilit d ouverture la jonction sonde et sac collecteur Geste invasif sur prescription m dicale Pose avec une aide Organiser le soin apr s la toilette du r sidant et la r fection du lit Poser la sonde aseptiquement toilette g nitale au savon liquide simple rin age s chage application de l antiseptique de m me gamme que le savon Choisir la sonde adapt e au type de sondage cou
117. te Art 6 Lorsque des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s sont m lang s dans un m me contenant d autres d chets l ensemble est limin comme des d chets d activi t s de soins risques infectieux Art 7 Le compactage ou la r duction de volume des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s par toute autre technique est interdit H est galement interdit de compacter les poches ou bocaux contenant des liquides biologiques les r cipients et d bris de verre Art 8 Sur les sites de production et dans les installations de regroupement les d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s sont entrepos s dans des locaux r pondant aux caract ris tiques suivantes l Ils sont r serv s l entreposage des d chets et peuvent servir le cas ch ant l entreposage des produits souill s ou contamin s Une inscription mentionnant leur usage est appos e de mani re apparente sur la porte Leur surface est adapt e la quantit de d chets et produits entreposer 2 Is ne peuvent recevoir que des d chets pr alablement embal l s Les emballages non autoris s pour le transport sur la voie publique au titre de l arr t du 5 d cembre 1996 modifi susvis doivent tre plac s dans des grands r cipients pour vrac tanches et facilement lavables La distinction entre les emballages contenant des d chets d activit s d
118. tieux constitu de tout mat riau quel qu il soit autre que perforant D pendance tat de la personne qui nonobstant les soins qu elle est susceptible de recevoir a besoin d tre aid e pour l accomplissement des actes essentiels de la vie ou requiert une surveillance r guli re Dispositifs m dicaux selon la Directive 93 42 CEE du Conseil du 14 juin 1993 relative aux dispositifs m dicaux on entend par dispositifs m dicaux Tout instrument appareil quipement mati re ou autre article utilis seul ou en association y compris le logiciel n cessaire pour le bon fonctionnement de celui ci destin par le fabricant tre utilis chez l homme des fins de diagnostic de pr vention de contr le de traitement ou d att nuation d une maladie de diagnostic de contr le de traitement d att nuation ou de compensation d une blessure ou d un handicap d tude ou de remplacement ou modification de l anatomie ou d un processus physiologique de ma trise de la conception et dont l action principale voulue dans ou sur le corps humain n est pas obtenue par des moyens pharmacologiques ou immunologiques ni par m tabolisme mais dont la fonction peut tre assist e par de tels moyens On distingue 2 cat gories de dispositifs m dicaux les D M U dispositifs m dicaux usage unique et les D M R dispositifs m dicaux r utilisables Evaluation activit formelle et syst matique destin e iden
119. tifier des dysfonctionnements dans la d livrance des soins concevoir des mesures correctives et r aliser un suivi pour v rifier les r sultats de ces mesures Les champs de l valuation sont les suivants pratiques qualit des soins proc dures conformit un r f rentiel technologies m dicales efficacit innocuit strat gie r sultats indicateurs de sant R le des ajustements sur des indices de gravit L valuation sert d finir le r sultat souhait l aide d indicateurs tels que tat de sant d c s s quelles satisfaction du malade accueil attente C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 Fiche de poste document d finissant la liste des t ches effectu es un poste de travail ainsi que les horaires Cette fiche doit tre compl t e par les modes op ratoires n cessaires pr cisant certaines t ches dans le d tail Homologation approbation emportant force ex cutoire Hygi ne des mains deux m thodes le lavage des mains on distingue le lavage simple r alis avec du savon liquide ordinaire et le lavage hygi nique anciennement antiseptique r alis avec un savon antiseptique B tadine Scrb Hibiscrub Lever Line Sensisept le traitement hygi nique des mains par frictions en remplacement du lavage simple ou du lavage Dans la pratique le terme d sinfection rapide quivalent est fr qu
120. tions des articles 7 8 et 9 dans un d lai maximum de deux ans apr s publication du pr sent arr t au Journal officiel de la R publique fran aise Les sites de production existants la date de publication du pr sent arr t doivent tre conformes aux dispositions des articles 12 et 13 dans un d lai maximum d un an apr s publication du pr sent arr t au Journal officiel de la R publique fran aise Les dispositions du pr sent arr t l exception des articles 7 9 12 et 13 s appliquent dans un d lai de trois mois apr s publication du pr sent arr t au Journal officiel de la R publique fran aise Art 15 Le directeur g n ral de la sant e directeur des h pi taux et le directeur de la pr vention des pollutions et des risques sont charg s Chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait Paris le 7 septembre 1999 La ministre de l emploi et de la solidarit Pour la ministre et par d l gation Par emp chement du directeur g n ral de la sant Le chef de service E MENGUAL La ministre de l am nagement du territoire et de l environnement Pour la ministre et par d l gation Le directeur de la pr vention des pollutions et des risques d l gu aux risques majeurs P VESSERON 91 JOURNAL OFFICIEL DE LA R PUBLIQUE FRAN AISE C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement po
121. tre all aux toilettes s tre di 8 mouch avant la prise du repas SS amp 8 Dur e totale du lavage simple des mains 30 secondes Image extraite de l ouvrage BRUN M F BUIL G DUCREUX S SIMON F Aides soignantes Fiches techniques Editions Maloine 2000 page 133 17 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 TRAITEMENT HYGI NIQUE DES MAINS PAR FRICTIONS Utilisation de solutions hydro alcooliques SHA sous forme liquide ou gel R f rences utiles 1 Liste positive des d sinfectants actualis e tous les ans dit e par la SFHH 2 Objectif Mains Guide technique pour l hygi ne et la protection des mains OBJECTIF R duire les micro organismes de la flore fy transitoire afin de pr venir leur transmission 1 sans tenir compte de la flore r sidente lorsque LL e L les mains non souill es sont contamin es ou susceptible d tre contamin es sin A Paume de la main droite sur le dos de la main gauche et paume b de la main gauche sur le dos de la Paume contre paume pi main droite INDICATIONS En alternative au lavage des mains simple des mains ou au lavage hygi nique En cas d absence de points d eau Lors des soins en s rie Entre les tapes dites septique et aseptique d un soin Paume contre paume doigts Dos des doigts contre la paume A la sortie de la chambre d un entrelac s oppos
122. tre entrepos s sur une aire ext rieure situ e dans l enceinte de l tablissement Ces aires ext rieures d entreposage r serv es exclu 14686 sivement aux d chets respectent les dispositions des 2 3 4 6 Te 8 et 9 de l article 8 Elles r pondent galement aux dispositions suivantes l Elles sont d limit es par un grillage continu et quip d une porte permettant une fermeture efficace 2 Elles sont quip es d un toit Le regroupement et l entreposage de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s sur des aires ext rieures situ es en dehors de l enceinte d un tablissement de sant sont strictement interdits Art 10 Les dispositions des articles 8 et 9 du pr sent arr t ne s appliquent pas aux producteurs de d chets d activit s de soins risqu s infectieux et assimil s dont la production est inf rieure ou gale 5 kilogrammes par mois Art 11 Lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s produite en un m me lieu est inf rieure ou gale 5 kilogrammes par mois ces derniers sont entrepo s s l cart des sources de chaleur dans des emballages tanches munis de dispositifs de fermetur provisoire et d finitive et adapt s la nature des d chets Ces d chets sont vacu s aussi fr quemment que l imposent les contraintes d hygi ne et dans le d lai maximal impos par l article
123. u le code de la sant publique et notamment les articles L l L 48 L 49 R 44 1 R 44 5 R 44 7 R 44 9 Vu l arr t du 5 d cembre 1996 modifi relatif au transport des mati res dangereuses par route dit arr t ADR Vu l avis du Conseil sup rieur d hygi ne publique de France en date du 13 janvier 1998 Arr tent Art 1 Le pr sent arr t s applique l entreposage et au regroupement des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s ou des pi ces anatomiques vis s aux articles R 44 1 et R 4 7 du code de la sant publique Par regroupement on entend immobilisation provisoire dans un m me local de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s provenant de producteurs multiples Les d chets d activit s de soins qui outre un risque infec tieux pr sentent un risque radioactif ne sont pas soumis aux disposi tions du pr sent arr t TITRE I DISPOSITIONS CONCERNANT LES D CHETS D ACTIVIT S DE SOINS RISQUES INFECTIEUX ET ASSIMIL S Art 2 La dur e entre la production effective des d chets et ku incin ration ou pr traitement par d sinfection ne doit pas exc er 72 heures lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s produite sur un m me site est sup rieure 100 kilogrammes par semaine 7 jours lorsque la quantit de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil
124. ur personnes g es 2002 3 octobre 1999 La secr taire d Etat la sant et l action sociale Pour la secr taire d Etat et par d l gation Le directeur des h pitaux E Cour Arr t du 7 septembre 1999 relatif au contr le des fili res d limination des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques NOR MESP9922836A La ministre de l emploi et de la solidarit la ministre de l am nagement du territoire et de l environnement et la secr taire d Etat la sant et l action sociale Vu le code de la sant publique et notamment les articles L 1 L 48 L 49 R 44 2 et R 44 8 Vu la loi n 75 633 du 15 juillet 1975 modifi e relative l limi nation des d chets et la r cup ration des mat riaux notamment l article 8 Vu l arr t du 7 septembre 1999 relatif aux modalit s d entrepo sage des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques Vu l arr t du 5 d cembre 1996 modifi relatif au transport des mati res dangereuses par route dit arr t ADR gt Vu l avis du Conseil sup rieur d hygi ne publique de France en date du 8 septembre 1998 Arr tent TITRE I DISPOSITIONS CONCERNANT LES D CHETS D ACTIVIT S DE SOINS RISQUES INFECTIEUX ET ASSIMIL S Art Te On entend par regroupement de d chets l immobilisa tion provisoire dans un m me local de d
125. vage toujours propres m M thode ergonomique bonne maniabilit m Temps de s chage r duit Balai r servoir technique du flaconnage Le balai est compos d une semelle articul e sur le manche Un r servoir amovible ou non contient la solution nettoyante Une frange coton ou polyester coton se fixe sur la semelle On actionne l humidification de la frange l aide d un bouton situ sur le manche Remarques n y a plus de seau vider r guli rement m Mat riel adapt pour les petites surfaces et peu souill es Quel que soit le type de r servoir toujours le vider le rincer le s cher par gouttage d s la fin de son utilisation pour viter une contamination du r servoir par des germes aimant le milieu humide ex Pseudomonas aeruginosa ou pyocyanique 34 C CLIN Ouest Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 2002 2 Syst me des 2 seaux et balai Faubert Cette technique est abandonner elle ne peut tre appliqu e que dans les zones faibles risques LAVAGE MECANISE DES SOLS AUTOLAVEUSE Mat riel Autolaveuse qui combine l action m canique de la monobrosse et l aspiration des eaux sales en continu Disques verts et bleus ou syst me de brosses rotatives Fonctionne l lectricit ou sur batteries Entretien du mat riel e Nettoyer la carrosserie de la machine les diff rentes pi ces

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