Communication visuelle à l`écran
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1. ma oes Hai DE LE ii kap mamaman i a pori ka rm nn i tn amami em ln om inii ee ee es pau Po fm kuman bee oe wama in d a amam oos os a SR pomi poras qu ta up LLL mb kar P n kalbo im uma om amc d ah em ada maana duku mum num Rm iacu a e wi Ture summan iu mi mam n massa tua s mu asa ssa per oe ree e mas Ern a ce mi bs kami maus Inte kom Fa Li mi Pu ah d u lam D Bn wama siin Em pq LL rn po TL TT ss 1 ini ky rm keen eee de een P u ma 8 rd a um uru pert meum rr amon utama mananam iz n pa en 1 F an r ee n aa bam qa rombo mi ral Fi isa amm am i i un a si ai u 1 nr rn o 8 Fa ma Maa wn pi oe ze d KT br parara ren ana ar enn Summ ma m pang lu pen m geg pa T mama Rei es u ee mE waman a mesma e m on k s Arem o pene wa rm A r FT wm mum u aman eee d nur num a amma um Understanding USA Read Agnew 8 Don Moyer http www understandingusa com Becoming Present L m mt LIS E inam me Bi ee ab ni LIT Be em n amam r m zs uu mx yu an2. mu mi of ks P ARTE TV Karambolage DVD http www arte tv karambolage film michel gondry bachelorette bjork Michel Gondry Bachelorette Bj rk http www michelgondry com Michel Gondry Bachelorette Bj rk http www michelgondry com Michel Gondry Bachelorette Bj rk http www michelgondry com Michel Gondry Bachelorette Bj rk http www michelgondry com film richard fenwick safety procedures Richard Fenwick Safety Procedures http www richardfenwick com Richard Fenwick Safety Procedures http www richardfenwick com film h5 remind me r yksopp H5 R yksopp lt Remind Me gt http www h5 fr RT n HEART T AORTA JUGULAR VEIN m Wow eria TINI ork os PROC EA N n H5 R yksopp lt Remind Me gt http www h5 fr H5 R yksopp lt Remind Me gt http www h5 fr JA d l MIN e ey E 3 gr T ES in terma of seating arrangements 67 of you desire for an Increabed feeling of apece A H5 R yksopp lt Remind Me gt e aL Un E E LL q O O H5 R yksopp lt Remind Me gt http www h5 fr MARKETS amp STOCKS Market data amp world indices H5 R yksopp lt Remind Me gt Film pleix beauty kit Pleix Beauty Kit
3. alt an oak tree michael craig martin 1973 Tandis que nous pensons voir un verre d eau sur une tag re Michael Craig Martin nous d clare qu il s agit en fait d un ch ne Par cette affirma tion il remet en question notre perception de la r alit de l art voire du cr dit que l on peut accorder a un artiste Dans son texte d accompagnement Michael Craig Martin fournit les questions aussi bien que les r ponses permettant l expression simultan e de notre scepticisme et de notre croyance en r elle une puissance transfor matrice de l art Je vous recommande donc de lire attentivement le texte qui suit et de consid rer son aspect logique de mani re a envisager cette piece comme un v ritable programme La r alit est ce que nous voulons bien y voir Ce travail peut tre percu comme une nouvelle exploration du ready made de Marcel Duchamp augment d un commentaire a la Magritte Sur un plan purement communicationnel il est surprenant de con stater le pouvoir assez brutal d une telle incursion po tique Au dela de toute incongruit la d claration p remptoire de cette pi ce peut tre mise en relation avec une technique de propagande politique ou publicitaire http en wikipedia org wiki Michael_Craig Martin Michael Craig Martin An oak tree 1973 Glass water shelf and printed text Tate Modern London Q Pour commencer pourriez vous d crire ce travail R Oui bien s r Ce que j ai fait c
4. ri prem m man Dan a 1 Bg ee bat dico pus sang die ag ma sas mn ds de Lam co dd musoj mms A vain lla aisa i eg Miu si mic nn masasqa LR A ku kiu do baca ma maj mt wa saman uw de rr kms small mm m r ke mom ma ES eee m udn k m mr ADAN E ru keen den rc uma r nr TS dor mi kol m ho pa mi eee l IU ml mil lla lum mi ila km lm X PLANE visualisation de contenus complexes http www xplane com CONS PRL TED DESTROY D Sep bial SL EI BUT A Agence Scholz amp Friends Berlin Creative Director Matthias Schmidt Constantin Kaloff Julia Schmidt Copywriter Birgit Van Den Valentyn Directeur artistique Tim Stuebane Illustrateur Carolina Cwiklinska http adsoftheworld com media print landmine de woman http www landmine de en titel index html TID TO DES TRU b IL E dm nede Agence Scholz amp Friends Berlin Creative Director Matthias Schmidt Constantin Kaloff Julia Schmidt Copywriter Birgit Van Den Valentyn Directeur artistique Tim Stuebane Illustrateur Carolina Cwiklinska http adsoftheworld com media print landmine de child http www landmine de en titel index html MAA TERES E 4 N II4 de 4
5. Pleix Beauty Kit Pleix Beauty Kit outils planches extraites du livre the things de norm Dimitri Bruni amp Manuel Krebs R f rence Norm the things D Bruni amp M Krebs Die Gestalten Verlag Berlin 2002 http www norm to Une version PDF HiRes de ces documents sont t l chargeables ici http www erg be multimedialab cours interfaces icones_metaphores htm ILL oBaz3cra tod ci Oo a G 04 ON a Gaba al a D ca Ca oi li do a epa E cig E et es EJ G Mossad atagoes Boo G cu G GE ai u mua GT ce Ga of O ka Gi m al i T5 Lu ee r outil classification de ralph e wileman R f rence Visual Communicating Ralph E Wileman Educational Technology Publications NYC 1993 Une version PDF HiRes de ces documents sont t l chargeables ici http www erg be multimedialab cours interfaces icones_metaphores htm A durable covering dor Shoe the huma frat Ralph E Wileman une classification en trois cat gories de symboles 1 images en rapport avec la r alit 2 graphiques transposition graphique silhouette profil signe r duit 3 verbal langage description mot concrete abstract Du concret a l abstrait A durable covering for the human foot Shoe St Ta b A durable covering for the human foot verbal description
6. outil chelle d iconicite de abraham moles R f rence L image Communication fonctionnelle Abrahham A Moles Casterman Tournai 1981 http fr wikipedia org wiki Abraham_Moles Une version PDF HiRes de ces documents sont t l chargeables ici http www erg be multimedialab cours interfaces icones_metaphores htm L objet lui m me Mise ventuelle entre paren La vitrine de magasin Iconicit maximale th ses au sens de Husserl l exposition Mod le bi ou tri dimension Couleurs et mat riaux arbi talages factices nel l chelle trairement choisis Sch ma bi ou tri dimension Couleurs et mat riaux Carte 3 dimensions nel r duit ou agrandi choisis selon des crit res globe terrestre carte g o logiques logique La photographie ou projec Projection perspective Catalogues illustr s affi tion r aliste sur un plan rigoureuse demi teintes ches ombres Dessin ou photographie dits Crit res de continuit du Affiches catalogues pros d tour s contour et de fermeture de pectus emploi de l acro Profils en dessin la forme graphie pour d tourer ou r gulariser les surfaces Sch ma anatomique ou de Respect de la topographie Coupe anatomique coupe construction Arbitraire des valeurs quan d un moteur plan de tification des elements et cablage d un r cepteur de simplification radio Carte g ographique Vue clat e Disposition perspective des D
7. soi m me Tout tend faire penser qu il v a peu de relation entre un objet et ce qui le represente Or les contours visibles des objets dans la r alit se touchent comme sils formaient pne mosaique Un objet rencontre son image un objet rencontre son nom arrive que l image et le nom de cet objet se rencontrent Les mots qui servent a d signer deux objets diff rents ne montrent pas ce qui pcut s parer ces objets l un de l autre Les figures vagues ont une signification aussi n cessaire aussi parfaite que les pr cises Parfois le nom d un objet tient lieu d une image Dans un tableau les mots sont de la meme substance que les images Parfvis les noms crits dans un tableau d signent des choses pr cises ct les images des choses vagues Un mot peut prendre la place d un objet dans la r alit On voit autrement les images et les mots dans un tableau ANNEXES art ready made des 1914 L attitude du ready made consiste a choisir un objet manufactur et a le d signer comme ceuvre d art Il a donn naissance a une grande par tie des d marches artistiques actuelles Les ready made sont des ceuvres d art qui n ont pas t r alis es par l artiste ce dernier n intervient en effet que pour les s lectionner et changer leur contexte Par exemple Porte bouteilles 1914 objet indus triel achet par Marcel Duchamp et expos comme une ceuvre d art
8. lat naan F d z me m T Pn Lun Dem Lam Lue Dan Lane Deg a ms le G AM qm m mm m m my Le m 355555 bm Le es 1 32332233737 E yy 3 pm Li y E y E me yy eme F J F y gt Li m m m m m e m y ant F d mo La sl ele Lem m mS We ds o E t 997975 ES Lies D l sb Ee LE fe r M e E d w mp F SF op pom Tm vomer 99 e m m m m 44 0000004 emm my 4 Baus N pyr k r J m NE z P j 7 y j d j ie La N sn 344 lm 5 De Les m m Le sya H M p Ni d e m Lai my m Ai yr Joe da 2222222 e Dm 33 M Sr J eee 55339 p 4 wan Places of 0 rigin Global Village example http www sigweb org conferences ht conferences archive ht01 keynote Paul Kahn html zl CertifiedPDF A 4 la a 8 di 1 EAL AA Print styles POF settings Action Lists PDF Profile Delivery Settings aao Enfocus Certified PDF http www certifiedpdf net Film arte karembolage er E om laj EI l mon GEI ri i zm I za a on
9. que nous l avons regard et l avons appris par coeur et ce n tait pas difficile Notre souris famili re n est pas m taphorique de quoi que ce soit mais est plut t apprise idiomatiquement Cette sc ne dans Star Trek IV o Scotty revient sur terre au XXIe si cle et essaie de parler dans une souris est un des quelques moments de ce film qui ne sont pas de la science fic tion Il n y a rien qui puisse indiquer le but ou l utilisation d une souris ni de comparable toute autre chose dans notre exp rience son apprentissage n est pas intuitif Cependant apprendre pointer quelque chose avec la souris devient incroyablement facile Quelqu un a probablement pass trois secondes vous le montrer la premi re fois et vous l avez maitris en un instant Nous ne savons pas ou ne nous inqui tons pas de comment la sou ris fonctionne mais nous pouvons l actionner parfaitement C est l appren tissage idiomatique L observation cle au sujet des idiomes est que bien qu ils doivent tre appris ils ne doivent l tre qu une seule fois Il est tout a fait facile d ap prendre des idiomes comme grunge ou glander ou ca d chire L es prit humain est capable d assimiler un de ces idiomes en une seule audition De la m me maniere il est facile d apprendre des idiomes comme des cases a cocher des boutons radios des boutons pousser des menus tiroirs des tiquettes des claviers des souris et des stylos Cette
10. Factory Microsoft Office et Suitcase http iconfactory com design icon ideogramme L id ogramme est une forme plus abstraite et simplifi e Le signe id ographique n a pas de sens en lui m me il ne repr sente pas un objet il ne prend son sens que par rapport aux autres signes qui l accompagnent en s associant et se combinant Il n a plus fonction d unit repr sentative mais distinctive au sein d un systeme c est sa place dans l espace la ligne le support qui lui confere sa valeur grammaticale On est devant une criture au sens moderne du terme Du pictogramme l id ogramme L criture gyptienne permet de saisir le passage entre systeme pic tographique et id ographique Le hi roglyphe image sacr e est utilis e du IVe si cle av J C jusqu au IVe si cle Scribes sculpteurs couvrent d un grouillement fabuleux de personnages animaux et objets les murs les sculptures et tous les supports bandelettes de lin papyrus cuir tablettes de bois exercices scolaires clats et tessons de poteries brouillons r cipients mobilier bijoux Production qui t moigne des diff rents tats de l criture o l on voit se m ler peu peu aux pictogrammes anciens l cri ture hi ratique forme sociale de l criture des signes les plus usuels aux formes devenues conventionnelles simplification graphique m lange de signes id ographiques syllabiques 1 Ve dyn XIe dyn XIIIe dyn XX
11. d eau particulier le ch ne est lui aussi un ch ne particulier Concevoir la cat gorie ch ne ou d crire un ch ne particulier n est pas comprendre et prouver ce qui semble tre un verre d eau comme ch ne C est simplement autant imperceptible qu inconcevable Q Est ce que ce ch ne particulier a exist autre part avant de prendre la forme d un verre d eau R Non Ce ch ne particulier n a pas exist pr c demment Je devrais galement pr ciser qu il n a et n aura jamais aucune autre forme que celle d un verre d eau Q Combien de temps continuera t il a tre un ch ne R Jusqu a ce que je le change Q To begin with could you describe this work A Yes of course What I ve done is change a glass of water into a full grown oak tree without altering the accidents of the glass of water Q The accidents A Yes The colour feel weight size Q Do you mean that the glass of water is a symbol of an oak tree A No It s not a symbol I ve changed the physical substance of the glass of water into that of an oak tree Q It looks like a glass of water A Of course it does I didn t change its appearance But it s not a glass of water it s an oak tree Q Can you prove what you ve claimed to have done A Well yes and no I claim to have maintained the physical form of the glass of water and as you can see I have However as one normally looks for evidence of physical change in terms of altered for
12. est un ready made le premier historiquement Dans certains ready made l artiste intervient parfois en modifiant le nom de l objet comme l urinoir de Marcel Duchamp intitul Fontaine 1917 Dans le ready made l uvre originale n est pas forc ment importante l id e prime sur tout le reste et de fait certains ready made sont totalement virtuels Il est d ailleurs noter que la plupart des premiers ready made de Marcel Duchamp ont t perdus par leurs propri taires et que les oeuvres expos es dans les mu s es sont des r pliques certifi es par l artiste Le ready made a remis en question la notion de virtuosit et la no tion de savoir faire et a permis de d montrer que c est souvent l exposi tion et l acte de nommer qui fait l oeuvre autant que le contraire http fr wikipedia org wiki Ready made Marcel Duchamp Fontaine 1917 Roue de bicyclette 1913 Porte bouteilles 1913 http fr wikipedia org wiki Marcel_Duchamp alt la trah son des images Rene Magritte 1929 Ceci n est pas une pipe m me peinte de la maniere la plus r a liste qui soit un tableau qui repr sente une pipe n est pas une pipe Le mot chien ne mord pas William James Le vrai consiste simplement dans ce qui est avantageux pour la pens e William James http fr wikipedia org wiki La trahison des images Ren Magritte La trahison des images 1929 http fr wikipedia org wiki Ren C3 A9 Magritte
13. icm images wm Ties acm rm El eer qms limage el la nium s cul abjsl a rra rral a le dap objet Leer lara diumo Un LES MOTS ET LES IMAGES Teed tend h Tarir Felkin ren rr en dt quil y a prm de rl r qui kr repremrmla GN GK as Derbi gt Do La mali gai ermeni j rogus deux objela d krerais bet pan i ah des tts um de Ti a a UM e a EE E aF Lama gm ka mais uos de minar vbs Qui lek Tags G Ew la n Mrt bere peo dn hin Da veil seiten ba images el Lei my t dari a Libia sZ Dae Warma Tumaga d un SCH vnd erue e e liu abet ne fait purmala le mime aller que um mam sx qus LOM imde De lex censaurs viibima des piprita dass la ge a de e KUN sai PIE Les liga veziri ent par pales Be Febr migili parte e kea ee ki soma FRE dass us des debes ppes ri lek image iu kira le reem n Miam Ren Magritte Les mots et les images Un objet ne tient pas tellement A son nom qu on ne puisse lui en trouver un autre qui lui convienne mieux Une image peut prendre l place d un mot dans une proposition Une forme quelconque peut remplacer l image d un objet Un objet fait supposer qu il v en a d autres derri re lui Un objet ne fait jamais le m me office que son nom ou que son image Un mot ne sert parfois qu se d signer
14. m mes d autre part qui se r g n rent en une incessante m tamorphose http www multimedialab be
15. m thodes maladroites Dans ce cas pourquoi ne pas abandonnez cette d votion a la m taphore qui nous en rend finalement esclave et fournir a l utilisateur des services accessibles sans devoir ressor tir en rue Qu on ne me comprenne pas mal il n y a priori pas de mal utiliser une m taphore pertinente lorsqu elle se r v le adapt e la situation Si je vois trainer un billet de vingt dollars sur le trottoir s r que je le ramasse Je serais bien b te de ne pas le faire Mais je serais encore plus b te d en conclure que l on peut vivre en trouvant des billets de vingt dollars en rue 1 Logiciel aujourd hui disparu concus pour les PDAs Newton Voir captures d cran en fin d article Dans le cas des m taphores c est un peu la m me chose on les utilise lorsqu on en trouve mais pas la peine de forcer les interfaces a s adapter a certaines normes m taphoriques arbitraires Il peut sembler pertinent de representer un service d appel par l image d un t l phone pos sur un bureau mais cette approche vous emprisonne r ellement dans une mauvaise voie Les cr ateurs du t l phone auraient t fous de joie s ils avaient pu en cr er un qui vous aurait permis d appeler vos amis en pointant simplement leur image Cela ne leur a pas t possible parce qu ils ont t limit s par la morne r alit des circuits lectriques et de du moulage du bak lite D autre part alors que nous avons aujourd hui le luxe de
16. rendre pos sible des communications en montrant des images de nos amis pourquoi insister en incarnant ce type de situation par des images de technologies desuetes La tentation d tendre la m taphore au dela de la reconnaissance d une fonction est irr sistible ce petit t l phone de bureau vous permet galement de composer un num ro avec des boutons en tout point iden tiques a ceux de votre propre t l phone de bureau Nous constatons que le logiciel possede des carnets d adresses de numeros de t l phone identi ques a ceux que nous transportons dans nos poches ou sacoches Ne vau drait il pas mieux d passer ces technologies contraignantes et profiter de la vraie puissance de l ordinateur Pourquoi nos dispositifs de communica tions ne permettraient ils pas des connexions multiples tablies par orga nisation ou affiliation pour finalement d abandonner tout a fait ce systeme de num rotation t l phonique Dans le domaine du design d interface utilisateur le futur sera idio matique suite logique de la capacit normale des tres humains a appren dre facilement et rapidement tant que nous ne les forcons pas a compren dre le comment et le pourquoi Il y a un infinit d idiomes a inventer plut t qu un ventail de m taphores a exploiter Les m taphores semblent d abord tre un gain pour les utilisateurs d butants mais elles se montrent lourdes de cons quences lorsque l on progresse dans l utilisation a
17. 001 http www kare com E AA El E Ll s Apple Computer 1983 m application http www kare co systeme et Xerox Star 1981 Apple Lisa 1983 S lt amp M 12 E Macintosh 1984 Sg og EJ El m nem LULL Windows 1 0 1985 r c4 Amiga OS 1985 4 TOS 1985 L Copland Mac OS 8 1994 1997 E i vas ROBE Windows 2000 2000 Mac OS X 2001 Er Windows XP 2001 ere Taille YESSY DODIG A Transparence EO ULLA lt w Style La toolbar de MacPaint 1 5 http www folklore org StoryView py project Macintosh amp story MacPaint Evolution txt Photoshop 87 Photoshop 1 Photoshop 2 Photoshop 2 5 Evolution de la toolbar de Photoshop http photoshopnews com feature stories photoshop tool bars L MINE u EI Photoshop 3 Photoshop 4 Photoshop 5 Photoshop 5 5 Evolution de la toolbar de Photoshop http photoshopnews com feature stories photoshop tool bars EN BE sl Mek e DIS Photoshop 7 Photoshop CS Photoshop CS2 Photoshop 6 Evolution de la toolbar de Photoshop http photoshopnews com feature stories photoshop tool bars Icon Factory Stuffit Deluxe 8 0 Allume Systems http iconfactory com design icon MICROSOFT OFFICE TOOLBAR ICONS g amp x SAGE eG E DN OG G Icon
18. ELI d ours Sas E Gerra am urta fie Har wu ZI mim mi im kami rg ed mi all mami fiam mmn Dari Bugemd ride A tan zi rier akm sg Tablo Ammit aun mabe 7 ak amd Bale rri dear MORE RISK T MEI imm en ss wasa Nigel Holmes New York Times http www nigelholmes com INFORMED SOURCES K THE K NOW WHAT A GAS DONN THE ROAD MANY OF US WILL DRIVE LARS FUELED BY HYDROGEN BY MIGEL HOLMES Car makers are thinking ahead As an alternative to tse infernal combustion engine some ane considering hydrogen powered huti cells General Motors has spent a billion dollars developing this technology and kas bullit a prototype the Hy wire but experts say lihat it could be 15 years before we see large numbers of kpdrogen pomered cars a like mad F y FUEL CELL Wok pee bei cell aree C beni a get R inta apna abad ora ES O Decitre aere pass rauh ita Thay Bo Erqa an ette orcut m Er klun lia fhe torn pestem and mE marin sir tne electo prota rate orthade A stack of 200 Bagi cala Eko sine la PC lower predica us la ert B bantad by d brarztarmar Lo 180 voita and thet converted ba ME carmini be drive Bke electric maior The Hach coated iy a varmat krel sed kata jaan matin i 5 000 ba 10 000 capa d qerin J eziz or ma
19. Ie dyn Epoque romaine 1 Petite fabrique de l image J C Fozza A M Garrat amp F Parfait Magnard Paris 2003 metaphore Cr er une m taphore consiste a pr senter une id e sous le signe d une autre id e plus frappante Hybride par nature le multim dia combine les signes image texte son de mani re parfois complexe Le recours a la m taphore fait partie des moyens utilis s par les concepteurs pour favoriser la navigation l ergonomie et la perception des contenus L interface graphi que d un logiciel ou d un site est a la fois un mode d emploi et une vitrine II s agit donc de l organiser afin d induire une compr hension de la navigation de l arborescence ou des op rations possibles La m taphore du bureau desktop utilis e par les premiers sytemes Macintosh en est un excellent exemple La m taphore dit beaucoup avec peu l arborescence devient un arbre la navigation devient une carte une loupe ou une boussole Les lieux familiers maison bureau les lieux intimes poches tiroirs urbains rue autoroute carrefour les objets porte boite panier sont gale ment sollicit s La m taphore devient une ic ne l ic ne devient un bouton L interactivite n tant pas n e hier le multim dia m taphorise abondam ment nos machines famili res grandes ressources de choix multiples as cenceurs t l phones t l visions claviers etc Face a un contenu complexe une m taphore simple reste un d
20. age comme le c est trop de la balle ou nickel Elles sont facilement comprises mais pas de la m me mani re dont les m taphores le sont Il n y a la ni balle ni metal Nous comprenons l idiome parce que nous l avons appris et parce qu il est distinctif Simple non C est la ou l esprit humain est vraiment exceptionnel ma trisant l apprentissage et se rappelant des idiomes tres facilement sans devoir les comparer a des situations connues ou comprendre comment ils fonctionnent Il en est ainsi car la plupart des idiomes n ont aucune signification m taphorique possible La plupart des commandes sur une interface de GUI sont des idiomes Les pointeurs les r ducteurs de fen tres les touches d un player les boites flottantes et les poign es scrollbars sont des choses que nous apprenons idiomatiquement plut t que m taphoriquement ou intuitivement Nous tendons a penser que tout apprentissage est dur en raison du conditionnement du paradigme technologique Il tait tres difficile d ap prendre ces vieilles interfaces utilisateur parce que vous avez d galement en comprendre le fonctionnement La plupart de ce que nous connaissons nous l apprenons sans compr hension des visages des interactions socia les des attitudes l arrangement des pieces et des meubles dans nos mai sons ou nos bureaux Nous ne comprenons pas pourquoi tel visage est comme il est mais nous connaissons ce visage Nous l identifions parce
21. as dru Erem Mem ma sa sasa lu tas a r mas re E LL ks oz ee u eet m sam mem dn ran re L DI a Eau PETS E mp me taq l mu gi gen aie Rd E zare ss D mama Jun nema om e nt u mas kami maj kam eS om lann s mimm mmo eee me mman ur Terre ex apr Pr ze mu area 1 kama lar m ans drin mm jamssi ls s lt m s r dd mi Maj kaj sik ben pa mb Ee ETK By the murine em W Ti Ape anat gender profiles of the LIS A a amm gt Cam m ms L L eg ege Understanding USA Joel Katz Dynamic Diagrams inc consaians in visvat togte kam an kara B lu kip a Ta aroj Tupuna Dynamic Diagrams Visual Explanation amp Information Architecture http www dynamicdiagrams com Paul Kahn pr sentation du travail de Kahn Associates K A http www kahnplus com definitions fr savoirefaire htm Paul Kahn Samsung example detail http www sigweb org conferences ht conferences archive ht01 keynote html Ka mam Universit Tangente Cartes politiques amp r seaux d influence documents visual narrative explanation design Never Bitten Twice Shy BAYER RXKPRER aun NIGEL HOLMES The Real Dangers of S
22. cation a l re des ordinateurs e Dans le domaine de l art le document Les mots et les images de Ren Magritte extrait du livre du m me nom Exercices Enfin nous aborderons des exercices bas sur le choix de signes et d images leur manipulation et leur classement Les crit res privil gi s seront notamment e la lisibilit compr hension des images produites clart du propos qua lit de la communication e la pertinence ad quation exploitation appropri e d un th me dans le respect de sa logique e la coh rence coh rence conceptuelle et graphique qualit de la m thodologie e la hi rarchie de signes capacit d agencer des signes selon une hi rar chie explicite d accorder des priorit s d tablir des niveaux de lecture e le discernement capacit de diff rencier et d identifier les signes prio ritaires et les signes parasites Introduction Entre pixel signe algorithmique et interactivit la surface d affichage de l cran d ordinateur incarne un outil graphique nouveau dot de fonc tionnalites sp cifiques La notion d interface induit l id e d une communica tion entre l utilisateur et un syst me l image l cran contient une s rie de sollicitations graphiques diverses hypertexte boutons champs de saisie etc autorisant des actions clic drag and drop saisie de texte etc ex cu tant leur tour des processus calculs r sultats Avant l re num rique les si
23. chouera souvent si le processus grandit en taille et en complexit Les ic nes de dossiers taient une bonne id e quand les ordinateurs avaient des disquettes souples ou des disques durs de 10 Mo A l heure ou la capacit des disques durs se compte en Giga octet et o les dossiers se comptent par milliers l usage d ic nes peut parfois ressembler un joli d sastre Nous comprenons les m taphores par intuition Dans les interfaces utilisateur nous saisissons la signification de la commande m taphorique parce que nous la relions mentalement un autre processus ou autre chose que nous avons appris au pr alable La grande force de cette m thode est son efficacit tirant profit de la puissance impressionnante de l esprit humain faire des inf rences choses dont les CPUs Central Process Units ou Unit s Centrales de Calcul sont incapables La faiblesse de cette methode est donc qu elle d pend d un esprit humain qui peut se montrer grincant rev che idiosyncratique ou qui ne poss de parfois pas la connaissance ou la puissance d ductive n cessaire pour tablir la bonne connexion Les m taphores ne sont pas aussi s res que notre compr hension Parfois la magie op re parfois pas L intuition du paradigme de la m taphore a lieu sans n cessit de comprendre les m canismes d un logiciel Il s agit ainsi d un pas en avant par rapport au paradigme technologique mais sa puissance et son utilit ont t gonfl es en pro
24. communication visuelle a l cran Une approche en image introduisant les notions de signe d ic ne de m taphore d id ogramme HEAJ Haute cole Albert Jacquard Namur Communication Visuelle 2e ann e Professeur Marc Wathieu Mise a jour 16 octobre 2007 Ce livret PDF a t congu comme un diaporama destin a tre projet et comment Pour un affichage optimis je vous recommande une r solution 1024 X 768 une visualisation avec Acrobat Reader et le raccourci ctrl 1 Windows ou pomme Mac OSX T l charger ici Acrobat Reader http www multimedialab be structure Le cours est structure en 3 phases Analyse de documents Nous allons d abord examiner une s rie de documents images fixes ou animees destin s a identifier diff rents types de signes d images de contextes d utilisation afin d en d gager le sens et la fonction Outils d valuation Afin de classer et d valuer ces signes ou images selon des crit res explicites nous utiliserons quatre outils exp rimentaux issus de trois do maines diff rents e Dans le domaine du design graphique un syst me de classification d images extrait du livre The Things concu par le duo de graphistes suis ses NORM Dimitri Bruni amp Manuel Krebs e Dans le domaine de la communication une classification de Ralph E Wileman et une chelle d iconicite labor e par Abraham Moles cher cheur dans le domaine de la communi
25. ent la com munaut des concepteurs de logiciels Les m taphores offrent un bien mince avantage pour l apprentissage des utilisateurs novices par rapport a leurs cons quences normes Le plus gros probleme est qu en repr sentant de vieilles technologies les m ta phores r duisent fermement tout d veloppement conceptuel r duisant a tout jamais le potentiel de notre logiciel Elles posent galement une foule d autres probl mes leur nombre n tant pas infini leur pertinence est com promise et la capacit des utilisateurs a les identifier est incertaine Con fondre leur r le est le probleme pos par la plupart de ce que nous consid rons a tort comme des interfaces m taphoriques Les trois paradigmes de l interface Je pense qu il y a trois paradigmes dominants dans les interfaces de logiciel le paradigme technologique le paradigme de la m taphore et le paradigme idiomatique Le paradigme technologique est bas sur la com pr hension du fonctionnement des choses objectif difficile Le paradigme de la m taphore est bas sur le fait de deviner intuitivement comment fonc tionnent les choses m thode probl matique Le paradigme idiomatique est bas sur le fait d apprendre comment accomplir les choses processus normal et humain Globalement nous sommes pass s de la technologie l usage de la m taphore et nous nous rendons pr sent compte de l im portance de la conception idiomatique Bien que chacune de ce
26. es plus puissants leviers pour hi rarchi ser l information A contrario l originalit d une m taphore peut cependant constituer un risque de confusion Suzan Kare icOnes systeme et applications pour Macintosh Apple Computer 1983 http www kare com exercice Commenter cette image Pictogramme Ic nes Ideogramme M taphore Autre 1 Q One laptop per child http laptop org exercice Commenter cette image Pictogramme Ic nes Ideogramme M taphore Autre Conversations Leiden meets L A exercice Commenter les images qui suivent Pictogramme Ic nes Ideogramme M taphore Autre NETSCAPE NAVIGATOR 4 0 Netscape mmm Communicator 4 5 JIEN 3 Loading preferences Copyright 1999 Netscape Communications All rights reserved exercice Commenter les images qui suivent Pictogramme Ic nes Ideogramme M taphore N Netscape 35 renew Release 3 Imm i 2000 ee Communic All Rights Reserved Powered by Netscape Gecko Y Copyright amp 2000 2002 Netscape Communications Corporation documents visual communication Information design Understanding USA Kit Hinrichs Today s American soldier is the most lethal in U S history with a destructive force ower 332 times greater than a Revolutionary War soldier Equipping America s Fighting Man Understandin
27. essins d appareils ou pi ces selon leurs relations d instructions de d mon de voisinage topologique tage pour d panneur Sch ma de principe lectri Remplacement des l Plan sch matis du m tro cit et lectronique ments par des symboles Plan de cabl ge d un r cep normalis s Passages de la teur de TV ou d une partie topographie a la topologie de radar Sch ma unifilaire G om trisation des angles en lectrotechnique Pr dominance de l angle droit Organigramme ou Block Les elements sont des Organigramme d une schema bo tes fonctionnelles reli es entreprise S rie d op ra par des connections logi tions chimiques ques analyse des fonctions logiques Sch ma de formulation Relation logique et topolo Formules chimiques d ve gique dans un espace non lopp es Sociogrammes g om trique entre elements Graphes divers abstraits Les liaisons sont symboliques tous les l ments sont visibles Sch ma en espaces com Combinaison dans un m me Forces et positions g om plexes espace de repr sentation triques sur une structure d l ments sch matiques m tallique sch mas de fleche droite plan objet statique graphique appartenant a des systemes diff rents Sch ma en espace pure Repr sentation graphique Graphiques vectoriels en ment abstrait et sch ma dans un espace m trique lectrotechnique Diagram vectoriel abstrait de relations entre me des objets sono
28. est changer un verre d eau en un ch ne adulte sans pour autant alt rer les caract ristiques du verre d eau Q Les caract ristiques R Oui La couleur la sensation le poids la taille Q Voulez vous dire que le verre d eau est un symbole d un ch ne R Non Ce n est pas un symbole J ai chang la substance physique du verre d eau en celle ch ne Q Il ressemble a un verre d eau R Naturellement Je n ai pas chang son aspect Mais ce n est pas un verre d eau c est un ch ne Q Pouvez vous prouver ce que vous pr tendez avoir fait R Oui et non Je pr tends avoir maintenu la forme physique du verre d eau et comme vous pouvez le voir c est le cas Cependant puisqu on recherche normalement l vidence du changement physique en termes de forme chang e une telle preuve n existe pas Q Avez vous simplement appel ce verre d eau un ch ne R Absolument pas Ce n est plus un verre d eau J ai chang sa substance r elle II ne serait plus opportun de l appeler un verre d eau Chacun pourrait l appeler comme il le souhaite mais cela ne changerait pas le fait qu il s agit d sormais d un ch ne Q N est ce pas juste une manifestation du syndrome des habits neufs de l empereur R Non Dans ce cas la les gens pr tendaient voir quelque chose qui n existait pas parce qu ils ont senti qu il devaient le faire Je serais tres tonn que quelqu un me dise voir ici un ch ne Q A t il t difficile d effectuer ce c
29. eut pas contenir plus d une chose il ne garde en m moire aucun historique des manipulations il ne permet pas d identifier l origine des images aucune visualisation sous forme de vignette n est disponible et il ne sauve aucun contenu d une mani pulation a l autre Toutes ces actions sont non m taphoriques et devraient tre n anmoins apprises Suivre cette m taphore donne aux utilisateurs une impulsion lors de la premiere utilisation du presse papier mais elle masque consid rablement et de mani re durable la faiblesse arbitraire du service Autre exemple vraiment indigne MagicCap la nouvelle interface de communication produit par General Magic Chaque aspect de son interface est exclusivement fond sur des m taphores Vous descendez metapho riquement une rue long e de batiments repr sentant des services pour commencer une t che vous entrez dans un b timent repr sent par un vestibule garni de portes repr sentant des fonctions Par le recours a cette m taphore il est possible de comprendre intuitivement le fonctionnement de base du logiciel mais le mauvais c t de cette approche est que la m taphore limite toute la navigation a un chemin tr s rudimentaire et lin aire Si vous souhaitez effectuer une autre tache vous devez ressortir sur la rue pour trouver un autre service Quoi de plus normal dans un monde physi que mais dans le monde du logiciel il n y a aucune raison de forcer l utili sateur dans a ces vieilles
30. g USA Kit Hinrichs http www understandingusa com INFORMATION TECHNOLOGY isto FETE Of computer elerironbes and teleceomanmaneataons ea pu patient for pressing iul distributing information in digital fori This distribution ranges from worldwide networking of industries to indisidualized services including cable TV and e mail L Tom Stamnes an al m el TNT Ta ma mena mn a e iF m eee eee Understanding USA Nancye Green amp Michael Donovan http www understandingusa com Tim Em Fee e eer Population wer E mate nur Fra Distribution mau a game nid p ag sa m aed rn r s essa o TET Understanding USA Read Agnew 8 Don Moyer http www understandingusa com Dr pa CO PRE nn a wq aa in AA LLL LI map pk uf q mir ga Pom r el ee ee S E per T esp re been En kmi eee mee su pak ns A re eg er rm ms d Le acume s mema i aur nun bm manri ua pas a I EI rl ern mie dme ner ra uma ma 7 Ein ee a aw makana kau GL sumaa a ER lum er Rx aca me a rin i Te a rr End ee Pu i Sun mama rn AAA p kuskaa pum IS T nn i ba be 3 a m ebi im 7 Ben el nio Hy aia kunka d
31. gnes contenus dans les images en fai saient d j de v ritables moteurs de signification Aujourd hui notre vo cabulaire graphique se trouve enrichi de nouveaux signes poss dant de nouvelles caract ristiques et de nouvelles fonctions de telle sorte que les images doivent tre dor navant concues comme faisant parties int grantes de processus et de syst mes pictogramme Les pictogrammes sont des r alisations graphiques fort degr d ico nicit ils figurent les objets du r el par analogie Les pictogrammes ont une fonction de communication notamment dans les lieux publics Ils transmet tent socialement du sens Dans un contexte num rique les ic nes sont de petits pictogrammes A n N NNNNN ICONE Dans un contexte num rique de compr hension rapide voire intui tive les ic nes sont con ues pour tre vues et comprises en m me temps Elles sont inductrices et magn tiques L utilisation des ic nes a pour but d am liorer l ergonomie et le confort de navigation en cr ant des raccourcis visuels imm diatement per us et d chiffr s donc s curisants Telle est du moins leur vocation incontourna ble rien de plus probl matique qu une ic ne incompr hensible Une ic ne n a pas droit l erreur Son efficacit doit tre valu e strictement sans complaisance Il s agit ici de fonction de l image de m canique de signe et forc ment d efficacit Suzan Kare ic nes diverses entre 1983 et 2
32. hangement R Aucun effort du tout Mais cela m a pris des ann es de travail avant que je r alise que je pourrais le faire Q Quand pr cis ment ce verre d eau est il devenu un ch ne R Quand j ai mis l eau dans le verre Q Est ce que ceci se produit chaque fois que vous remplissez un verre avec de l eau R Non videmment Seulement quand j ai l intention de le changer en ch ne Q Alors l intention provoque le changement R Je dirais qu elle pr cipite le changement Q Vous ne savez pas comment vous faites R Cela contredit ce que je crois savoir sur la cause et l effet Q Il me semble que vous pr tendez avoir accompli un miracle Est ce le cas R Je suis flatt que vous le pensiez Q Mais n tes vous pas la seule personne qui peut agir de la sorte R Comment pourrais je le savoir Q Pourriez vous apprendre a d autres comment faire R Non ce n est pas quelque chose que l on peut enseigner Q Consid rez vous que changer un verre d eau en ch ne constitue une oeuvre d art R Oui Q Qu est ce qui pr cis ment est une oeuvre d art Le verre d eau R Il n y a desormais plus de verre de l eau Q Le processus de changement R Il n y a aucun processus impliqu dans le changement Q Le ch ne R Oui Le ch ne Q Mais le ch ne existe seulement dans l esprit R Non Le ch ne est physiquement pr sent mais sous la forme d un verre d eau Comme le verre d eau tait un verre
33. htm Ren Magritte Les deux mysteres 1966 BW a FOTO nis Ren Magritte La clairvoyance Autoportrait 1936 Ren Magritte Autoportrait double 1936 Ren Magritte La condition humaine 1933 Ren Magritte La reproduction interdite Portrait d Edward James 1937 Ren Magritte Le palais des rideaux III 1928 29 Ren Magritte Le masque vide 1928 Ren Magritte Le miroir vivant 1928 29 etc Un signe linguistique est une entit form e par la r union d un signifi un concept et d un signifiant une forme sonore ou image acoustique Par exemple le mot francais arbre est un signe linguistique associant le concept d arbre a la forme sonore arbr http fr wikipedia org wiki Signe_linguistique http tecfa unige ch tognotti staf2x saussure html ES ENES CONVENTIONKELS de l alphahet ne diveni rien d Prafant ef par nale e Areni fout d abord malai event dana sd mimofre Les mammas cet be ae der afra lr en reel met di irura petilo fiber di aw fur ef d meaner des FR qu ifa appremural ana diam les cdract res di ia primorta que deu autres L enfant m danasnf guari que porako des alpu a regards aLlentiprinta les refira dra mirar ef deriler de dirbraira ef da Fe patra de a dure ALPHABET classement ordinaire A B 200 5 n mol pr emi plea quill iz ge T 2 Un objel precast
34. id e de prendre une action simple ou un symbole et de l im pr gner de signification est bien connue des professionnels de la vente Synth siser des idiomes est l essence m me des marques une entreprise choisit un nom de produit ou de soci t et l impregne de la signification sou hait e Tylenol est un mot sans signification un idiome mais la soci t Mc Neil a d pens des millions pour que les gens l associent a un remede s r digne de confiance et efficace contre la douleur Naturellement les idiomes sont visuels aussi Les arches d or de MacDonald s les chevrons de Citro n les cing anneaux des Jeux Olympiques et m me les fen tres volantes de Microsoft sont des idiomes non metaphoriques qui sont imm diatement reconnaissables et impr gn s d une signification commune Ironiquement une grande partie des bagages familiers d une inter face graphique utilisateur GUI est souvent pergue comme metaphorique alors qu elle est r ellement idiomatique Des objets faconn s tels que les boites servant a fermer les fen tres les fen tres redimensionnables les dossiers imbriqu s a l infini ou encore le cliquer d poser sont des op ra tions non metaphoriques qui n ont aucun parall le dans le monde r el Ils tirent leur force uniquement de leur apprentissage idiomatique facile Le grain de sable dans l engrenage Si nous d pendons du fait de trouver des m taphores pour cr er des interfaces utilisateur nous nous e
35. in 1995 publi sur son site http www cooper com articles art_myth_of_metaphor htm Traduction Marc Wathieu Les designers de logiciels parlent souvent de trouver la bonne m taphore sur laquelle baser la conception de leur interface Ils imaginent qu une transposition de leur interface utilisateur en images d objets r els et familiers permet une compr hension automatique par leurs utilisateurs Ainsi ils traduisent leur interface utilisateur en un bureau rempli d armoi res a dossier de t l phones et de carnets d adresses en une pile de papier ou encore en une rue bord es de batiments dans l espoir de cr er un pro gramme id alement compr hensible Si vous recherchez cette m taphore magique vous serez en bonne compagnie certains des plus brillants con cepteurs d interfaces ont fait du choix de la bonne m taphore une priorit absolue Mais en recherchant cette m taphore magique vous commettrez une des plus grandes erreurs en conception d interface La qu te de cette m ta phore sacr e est comme chercher le moteur a vapeur id al pour quiper vo tre avion ou chercher le bon dinosaure a chevaucher pour aller travailler Je pense que baser une conception d interface utilisateur sur une m taphore est non seulement inutile mais peut souvent s av rer nocif L id e qu une bonne conception d interface doit tre bas e sur des m taphores est l un des plus insidieux parmi les nombreux mythes qui impregn
36. industrie mais de quoi s agit il exactement Le GUI Graphic User Interface comme defini par le PARC est compos de beaucoup de choses fen tres boutons souris ic nes m taphores menus tirables Certaines de ces composants sont bons d autres le sont moins Ils ont cependant tous acc d a un statut ind boulonnable au sein de l industrie tant indistinctement associ s a la qualit l ensemble En particulier l id e que les m taphores sont une base solide et indispensable pour la conception d interfaces est une proposition plut t fallacieuse Ce serait un peu comme adorer les disquettes souples sous pr texte qu a l poque elles ont contenu de bons logiciels La premi re r alisation commercialement r ussie d un GUI du PARC tait le Apple Macintosh avec les m taphores du bureau de la poubelle de feuilles de papier superposables de fardes et de dossiers Le succes des Macs n tait pas d ces m taphores mais bien au fait qu il f t le premier a d finir un vocabulaire restreint permettant de communiquer avec l utilisateur sur base d un nombre r duit d actions a la souris Les m taphores taient juste des peintures gentilles sur les murs d une maison bien concue Gilles Deleuze 1925 1995 philosophe francais F lix Guattari 1930 1992 psychanalyste et philosophe francais Les m taphores ne sont pas extensibles Une m taphore qui fonctionne bien pour un processus simple dans un programme simple
37. m no such proof exists Q Haven t you simply called this glass of water an oak tree A Absolutely not It is not a glass of water anymore 1 have changed its actual substance It would no longer be accurate to call it a glass of water One could call it anything one wished but that would not alter the fact that it is an oak tree Q Isn t this just a case of the emperor s new clothes A No With the emperor s new clothes people claimed to see something that wasn t there because they felt they should I would be very surprised if anyone told me they saw an oak tree Was it difficult to effect the change No effort at all But it took me years of work before I realised I could do it When precisely did the glass of water become an oak tree When I put the water in the glass Does this happen every time you fill a glass with water No of course not Only when I intend to change it into an oak tree Then intention causes the change I would say it precipitates the change You don t know how you do it It contradicts what I feel I know about cause and effect It seems to me that you are claiming to have worked a miracle Isn t that the case I m flattered that you think so But aren t you the only person who can do something like this How could I know Could you teach others to do it No it s not something one can teach Do you consider that changing the glass of water i
38. m ne omm bes r a a aa res Bee Pog te ot TT mp mmm ki amon a msi ulila loi ka ma aum cd ka a nama ree rr man E umma umaq za kasana ansa hs an rra mmm TS Een ruz ere ree kapri sham arrin maswa m sam BE ks du rem ward m rin da rai s an mn che Ez et em ee pej eee an m ee il irma eee DI mmi oli ca pn sas sissa laz ez Bez Bomen hola iiis Lan F dus muda md malas u mum m i ami a sa paid vum da promus alkon tm arl era mema pend mas um s n puma br H Get kena s cee Limin mi w w i mim limn a mimo kren pon rE isin e mei mim i man m de Lb dos en ot m limo aps ds ae pd Lage pa is ais c TT mai td imagan i p qp em cs ss sas del ee samo md wass as llu nal didi m mamanpaq Sanel Ex jan Nu mum dom w hamp manus ami silium un der dl wa e amd und clus um an dm ub omi mw s masa smon ga ko k Emma mere cee eee ed net ii Gren d is ups sup
39. ma al posar f fa per wire inch cart ca a ta nur irana mi Nigel Holmes Attach inflight magazine of US Airways hp s e services for today s company Tha kamelio ol kalor global barna accuystem porsin l qinaet cad probable compasi n hol pereza iraj ee vilaj mls kanar chant paimen or other gehen An pe hom hq perspective bi a Bring rg rlir with ca el cdo sed Hareli Packard koa Eka experience iechrologes ord olardan help we Paros rd ee ee reischt Bo mayani bn tha einen globo economy Kapa een dos a berg enmar king lor jyv Kaptu nos Foro perionclaad scompory dicos won plone col 7 VERRE ERP enterprise resource planning A mu border erm mamanoj saman fa karana a pus alemini ar prasaan ps ban lig sl mii el eam aay vee ds mor poca bv r en B2B business to business bua nam hry hema kura mak prem pee amel om ass LII Ju de Ta gz amara ke em kena Pee mlao ra car rech rr da gris misma mul mi grr a mmm ey lua pre probe eters prim is ee Pee ered Beier genen wed kz rs mem Ru rus heel z business to consumer Marka ton e ly besi el e A Di pler Od pls eS oa hm kk mall ey Lege ees ey o dum Pan amal uch d LII pi Com Ei te eg Sarr ri A en sm AN ami mein e fe rey aha hes br pran burem A beg mre he rn d seier ee arma ko dd fe mk amei kema men kum amik pro
40. mima 1 mme arcum B2E business lo employees por oy js pd A cl bum ii du Fom ees cd Ar er iey traders a hama rm os m panta or bee e rap vara Cd rad ari mu idee Ik ka pa pr ve rom a ep kubo wen ed M lu ef X PLANE visualisation de contenus complexes by modiasynorgy X PLANE visualisation de contenus complexes http www xplane com ge eds im mej sim pe pl gr HA mb en kem m sm peku zl e lo ap mg a a um a de platos A Pablos pakkasen d lt Ad Sg ga jms ia auma kay 1 ps mania wamanman pam ee arus p as rum lawa ncn bam Bam TS kula beien ad Boma miu nana aa e enr nmi mrp rt bem wna e i mer ma corde pa k Take e A ee uber pain tees eee H Chu i rako Hieron i Ar a A SU ed NA SN D s bu E s ee m a k r mi ee w k a NN rari A dem pee ere a een s A p im A pole im mtern dde des de ps a e ad dd de ad us os Gg a Pu kiama ar puma Ps kavi Gkr im a ma ss passaa inam Ti baar aa mu Epton muu wen L jami pan memuri m r we q beers mm e mdr arri msn
41. ndes et processus qui font cho avec pr cision aux structures et aux algorithmes de donn es internes 1 Paradigme modele th orique de pens e qui oriente la recherche et la r flexion 2 Idiomatique propre a tel ou tel idiome moyen d expression propre a une communaut Nous pouvons voir comment un programme fait tic tac simplement en apprenant a le parcourir Le probleme est que l inverse est galement vrai nous devons apprendre comment il fait tic tac afin de le parcourir Les ing nieurs veulent conna tre le fonctionnement des choses et le paradigme technologique les satisfait tres bien ce qui explique naturellement pourquoi tant de logiciels l utilise Les ingenieurs preferent voir toutes les pieces leviers et autres valves puisque cela leur permet de comprendre ce qui se passe a l interieur de la machine Que ces elements compliquent inutilement l interface ne semble pas les g ner Bien que les ing nieurs veuillent comprendre ce type de fonctionnements internes ce n est pas le cas de la plupart des utilisateurs qui manquent de temps pour cela Ils preferent que cela fonctionne efficacement plut t que de savoir comment cela fonctionne attitude souvent difficile a comprendre pour des ingenieurs Le paradigme de la m taphore Dans les ann es 70 l interface utilisateur graphique moderne a t invent e au Palo Alto Research Center PARC centre de recherche de la soci t Xerox a Palo Alto Californie Elle a balay l
42. nto an oak tree constitutes an art work Yes What precisely is the art work The glass of water There is no glass of water anymore The process of change There is no process involved in the change The oak tree Yes The oak tree But the oak tree only exists in the mind No The actual oak tree is physically present but in the form of the glass of water As the glass of water was a particular glass of water the oak tree is also a particular oak tree To conceive the category oak tree or to picture a particular oak tree is notto understand and experience what appears to be a glass of water as an oak tree Just as it is imperceivable it also inconceivable Q Did the particular oak tree exist somewhere else before it took the form of a glass of water A No This particular oak tree did not exist previously I should also point out that it does not and will not ever have any other form than that of a glass of water Q How long will it continue to be an oak tree A Until I change it POPOPOPOPOPOPOPOPOPOPOPOPO communication visuelle compteurs Mac OS X v10 4 Tiger 2005 Dashboard et Widgets http www apple com macosx features dashboard http en wikipedia org wiki Mac_OS_X Kadratura Smart http www kadratura be WAR PEACE Martin Lindquist ANTI WAR US http www anti war us le mythe de la m taphore The myth of metaphor un article d Alan Cooper Ju
43. ou qui synth tise une image en trois dimensions l enfant qui joue la Guerre des toiles ou qui dessine avec son photo style l usager qui frappe sur son clavier Minitel sont en contact direct non m diatis avec l image Et cette image ils la touchent ils la manipulent ils y p n trent litt ralement elle leur ob it au doigt et l reil elle r pond dans certains cas la voix L image n est plus un espace clos et imp n trable qu on ne caresse distance que de l oeil m me dans l illusion perspectiviste elle est devenue un univers imm diatement accessible au sein duquel le regardeur a le loisir de p n trer d aller et venir et de laisser sa trace Elle est le produit en quelque sorte vivant de l ordinateur et des programmes des r seaux des terminaux de l cran des doigts de la r tine et de la pens e du regardeur le produit d une tonnante hybridation de chair de symboles et de silicium Les technologies num riques introduisent par cons quent dans le champ de la signification des objets s miotiques inhabituels qui chappent aux grilles d analyse traditionnelles Ils ne prennent sens que sous le contact direct et imm diat du regardeur Le sens ne provient plus essentiellement d un effet de codage et de d codage entre les signifiants visuels et leurs signifi s ou d un effet d usage mais d un effet d interaction imm diate entre le regardeur et les signifiants d une part et entre les signifiants eux
44. out instant diff rente pour chaque regardeur partie int grante et indissociable des circuits et des programmes Le regardeur ne voit pas seulement l image num rique il p n tre dans son r seau local r gional ou plan taire il d borde des limites troites du cadre du p rim tre obligatoire qui cl t toute image conventionnelle La seconde caract ristique et sans doute la plus troublante de l image num rique tient dans son rapport au angage Elle est g n r e par des programmes informatiques Pour synth tiser une image il faut d abord et n cessairement agencer des mots et des nombres bref crire des instructions dans un langage symbolique formalis Le langage programmatique op re comme une sorte de relais entre les intentions de l auteur et l image mais aussi entre l image et l objet a figurer Ce relais ne se limite pas a enregistrer des formes mais oblige le cr ateur a penser visuellement d une mani re diff rente et le place en tant que sujet dans une position inhabituelle en regard de l image et de l objet Toutefois les nouvelles relations de l image et du langage ne soumettent pas in luctablement celle ci a l autorit logocentrique de la seule pens e verbale Elles forcent en revanche l image et le langage la pens e visuelle et la pens e verbale a entretenir de nouveaux rapports a s hybrider et a se f conder mutuellement Avec les techno logies num riques une autre mani re se manifeste de nouer le vi
45. portions peu r alistes Le Larousse d finit l intuition comme une forme de connaissance imm diate qui ne recourt pas au raisonnement Wow Aucune pens e impliqu e Il serait idiot d imaginer que nous puissions baser une bonne conception d interface utilisateur sur un genre de magie mentale qui excluerait la pens e Nous comprenons intuitivement les choses par comparaison mentale imm diate avec ce que nous avons d j appris Vous comprenez intuitivement ce que signifie l ic ne de la poubelle parce que vous avez un jour fait l effort d apprendre la fonction d une vraie poubelle pr parant ainsi votre esprit en comprendre dor navant le fonctionnement Mais en son temps vous n auriez pas pu comprendre intuitivement l usage d une poubelle Il tait juste extr mement facile de l apprendre Ce qui nous am ne au paradigme idiomatique qui est bas sur le fait que l esprit humain est une incroyable et puissante machine a apprendre et que l apprentissage n est pas dur pour nous 1 Inf rence op ration logique par laquelle on admet une proposition en vertu de sa liaison avec d autres propositions tenues pour vraies 2 Idiosybcratique r gissant d une facon personnelle Le paradigme idiomatique Cette troisieme m thode de conception d interface utilisateur r sout les probl mes des deux pr c dents Je l appelle idiomatique parce qu elle est bas e sur la mani re dont nous apprenons et employons des idiomes ou figures de lang
46. pprofondie d un logiciel Il est donc pr f rable de concevoir les choses de mani re idioma tique en utilisant la m taphore de mani re occasionnelle lorsque l une d elles nous tombe sous la main amp File Edit Hardware 11 22 PM S H 9 el sit kick rom E use nmi le aa OP SYSTEM Interface du systeme d exploitation MagicCap aujourd hui disparu congus pour les PDAs Newton Cet exemple obsol te illustre cependant tr s bien une r flexion toujours actuelle dans la conception d interface amp File Edit Hardware 11 20PM S H e6dart sit E use nmi le aa Interface MagicCap amp File Edit Hardware 15 20PM BA 2 E use nmi a vari mi A OP SYSTEM g c64art sit rom CR Interface MagicCap trois caract ristiques de l image num rique Extrait d un article de Edmond Couchot in Art et Communication ouvrage collectif sous la direction de Robert Allezaud ditions Osiris Paris 1986 pages 101 106 Pour l opinion courante les technologies num riques ne seraient que des M dias d un type plus efficace Elles s inscriraient compl tement dans le sch ma de la communication En r alit les technologies num riques introduisent un mode de communication extr mement diff rent Les technologies num riques de l image en offrent un exemple clair L image num rique a trois caract ristiques principales
47. qui en font quelque chose de radicalement diff rent de tout ce que l image l autre image a t jusqu maintenant L image num rique est d abord une simulation du r el et non plus une reproduction optique Elle est la traduction visuelle d une matrice de nombres qui simule le r el l objet dont elle peut restituer une quasi infinit de points de vue C est une image matrice capable de cr er elle m me car elle est intimement solidaire des circuits de l ordinateur et du programme qui la g n re une multiplicit d autres images qui seront visualis es par un dispositif sp cial cran imprimante etc Susceptible de s auto engendrer et de se transformer si elle en recoit l instruction elle peut voluer dans le temps l inverse de la photographie qui ne saisit par projection optique qu un seul aspect de l objet et d une facon tr s diff rente du cin ma dont la chaine des photogrammes est immuable C est une image la puissance image Alors que l image conventionnelle n a lieu que dans un lieu singulier un tableau un mur un livre etc l i mage num rique sous sa forme physique de microimpulsions lectroniques n est pas assign e un lieu r serv L image t l matique par exemple bien qu assez pauvre est g n r e et transmise par des ordinateurs commut s en r seau elle va et vient presque simultan ment entre les terminaux de consultation et les centres serveurs du r seau elle se m tamorphose t
48. res grandeurs vectorielles Triangle des voyelles Description en mots norma Signes purement abstraits Equations et formules lis s ou en formule alg bri sans connexion imaginable Textes que Iconicit nulle avec le signifi 12 L objet lui m me Iconicit maximale 11 Modele bi ou tri dimensionnel a l chelle 10 Sch ma bi ou tri dimensionnel r duit ou agrandi 09 La photographie ou projection r aliste sur un plan abre cames injecteur bougie soupape piston courae cylindre embiellage pompe huile 07 Sch ma anatomique ou de construction ND 202 1 IR IT 29 JOJ 06 Vue clat e 05 Sch ma de principe FETE aeie Bs im 04 Organigramme Cortisol Acetate d Anecortave 03 Sch ma de formulation 11_bin 780 02 Sch ma en espaces complexes 01 Sch ma en espace purement abstrait et sch ma vectoriel 1 0 1 gt al n d 00 Description en mots normalis s ou en formule alg brique Iconicit nulle outils les mots et les images de ren magritte R f rence Les mots et les images Ren Magritte Labor Bruxelles 2000 http fr wikipedia org wiki Magritte Une version PDF HiRes de ces documents sont t l chargeables ici http www erg be multimedialab cours interfaces icones_metaphores
49. s trois pha ses soit vidente dans le domaine du logiciel contemporain le paradigme de la m taphore est le seul avoir t popularis Nous lui payons donc un lourd tribu et trop souvent nous entravons la cr ation d interfaces vrai ment bonnes par un usage erron des m taphores Le paradigme technologique Le paradigme technologique de l interface utilisateur est simple et incroyablement repandu dans l industrie informatique Il signifie simplement que l interface exprime les termes de sa propre construction la mani re dont il a t construit Afin de l employer avec succ s l utilisateur doit comprendre comment le logiciel fonctionne Dans les ann es 60 il y eu un mouvement architectural appel les m tabolistes Son influence se fait encore ressentir Dans l architecture m taboliste les axes d ascenseur les conduits de climatisation les gaines de c ble les montants en acier ou tout autre mat riau de construction sont laiss s d couvert visibles la fois de l int rieur et de l ext rieur Les muscles les os et les tendons d un b timent sont expos s et m me soulign s sans la moindre modestie L id e tant que le b timent est une machine a vivre et que sa forme devrait suivre ses d tails d ex cution Une majorit accablante de logiciels sont aujourd hui m tabolistes du fait qu ils nous montrent sans honte comment ils sont construits un bouton par fonction une fonction par module de code comma
50. sible et le dicible dont les cons quences seront incontestablement d une importance exceptionnelle dans la culture a venir Quand on doit passer par le langage pour cr er une image quelque chose est forc ment en train de changer dans la pens e figurative et symbolique d une soci t et de modifier tout le jeu du sens et de la signification La troisi me caract ristique de l image num rique est la facult qu elle a de se donner voir sur un mode nouveau jusqu pr sent exclusif du lan gage parl le mode conversationnel ou interactif Ce mode qui est r alisa ble gr ce a la vitesse de calcul des ordinateurs permet l image de r agir tr s rapidement aux commandes ou aux instructions du regardeur Quand cette r action qui se traduit par une modification des formes visuelles affi ch e sur l cran connect l ordinateur ou au r seau est instantan e elle dure en r alit un certain temps mais l oeil ne percoit pas son coulement on dit qu elle a lieu en temps r el L interactivit peut tre simple ou tr s complexe mais elle repose toujours sur le m me principe celui d une inte raction plus ou moins rapide d une relation imm diate sans interm diaire entre le regardeur et l image Le chercheur qui consulte une banque de donn es visuelles le m t orologiste qui analyse et traite une photographie transmise par satellite le m decin qui manipule un scanner le graphiste qui travaille avec une palette
51. ummer mgws Fe mii af namuvi gt a iim mk mm Leg track kammat rg os j re Basa Her cud asin wel risunqa anar oen Wien am Corn yes muj ku num ad di sum entim arm re dms malam emer Aime m med ra da lm od ka Va un Deg a Lely favan ma P H er Ha Fe wer ile ma ra m be ee dT DEDIT s ds Frid Dim PAGA pem id deed asa ps pr Sm D kemi Lin Ba Anen rp y Tat Hm Bim Sr om bi alger YF rai Mor rira vir m Lin ili km Lai mi baten ml o gelm anal ea laj a ka beers kan prami e yemi bee iu amma aru Hai kem kani w Jar Tra nam ihr Frisby yad wacrlme r were cor kargas re mv Milkan mi rul di nim diu dorea een awi en IDE has Hild m Luka er sid ie Pr Ui te pu p Kaa gera reese ila Tm remie dame Bal joan 1a abri erd r gt im bah Vir ra Bai rima kanle md eg reum amam rama pom ilan im amem Ikaj puma ara get ra ka anla a Biia kum art mam monda lulan romian komora mi pom Jy mi mut dikan talan al lango Ha ert Lu mama Bali mt Lie i ibr sei dekl e se iii m er linu vip Mar A rur ba har umr bry laj marr ramm hola eon qi ma nam eee a kari aas mmm paiba mq sal 1 ro ma asa De magiei ea propie ban kim um zen Den kami libus Den kami pro ea ir tila egenen imk 1 9 en mt
52. xposons donc aux diff rents problemes mentionn s plus haut Deux d entre aux sont n anmoins plus importants il est difficile de trouver des m taphores et elles restreignent notre pens e II peut tre facile de d couvrir des m taphores visuelles pour les objets physiques comme desimprimantesetdes documents II peut tre difficile voire impossible de trouver des m taphores correctes pour des processus des rapports des services ou des transformations fonctions pourtant fr quentes des logiciels Il peut tre extr mement d licat de trouver une m taphore visuelle utile pour acheter un billet changer de cha ne acheter un article trouver une reference 1 Le terme initialement utilis par Alan Cooper est showstopper mot utilis dans le jargon informatique pour d signer un bug qui g le compl tement le travail de programmation choisir un format ou changer une r solution et pourtant ces op rations sont pr cis ment du type de celles que l on trouve le plus fr quemment dans un environnement de travail Le probleme le plus insidieux avec les m taphores le grain de sable dans l engrenage survient lorsqu on associe nos interfaces a des objets de l ge m canique Il est facile d apprendre intuitivement comment utili ser par exemple un presse papier clipboard parce que c est une m ta phore Mais apres l adh sion effective a cette m taphore le service rendu se r vele incroyablement faible Le presse papier ne p
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