Bulletin Info N° 53 Janvier 2013
Contents
1. Elle peut orienter la prise en charge chirurgicale La manom trie anorectale mesure les performances fonctionnelles du canal anal et la capacit du rectum se distendre elle permet de pr ciser la physiopathologie du trouble incomp tence sphinct rienne microrectie ou encore asynergie anorectale Elle guide la r ducation L imagerie dynamique de l vacuation rectale par d f co IRM plut t que d f cographie standard recherche un trouble de la statique pelvienne qui peut provoquer une incontinence La correction anatomique du prolapsus fait dispara tre l incontinence f cale dans plus de 50 des cas Page 6 Quels traitements et quand Une prophylaxie est possible pr vention des accouchements traumatiques r ducation du post partum lutte contre la constipation et ses efforts de pouss e d l t res et prudence chirurgicale lors des gestes proctologiques risque h morro dectomie et cure de fistule anale Le traitement conservateur m dicamenteux et hygi nodi t tique doit tre syst matiquement propos en premi re intention recherche et correction d une diarrh e ou d une constipation avis d une di t ticienne augmentation de la ration de fibres et bonne hydratation Les antidiarrh iques lop ramide doivent tre utilis s petites doses pour viter une alternance constipation d b cle La pr sentation en sirop avec doses progressivement croissantes est la plus adapt2. tiologique e Ne pas n gliger une tiologie tumorale liminer par une coloscopie e Prise en charge progressive d butant par le traitement conservateur e Si chec chographie endo anale manom trie anorectale et d f co IRM dynamique e Avis sp cialis tr s utile car des solutions existent Traitement des formes s v res En cas d chec du traitement conservateur et au d cours du bilan fonctionnel l option chirurgicale peut tre propos e pour une incontinence de plus de 6 mois survenant de fa on au moins hebdomadaire Le choix th rapeutique ne fait pas encore l objet de recommandations solides La recherche est active dans ce domaine notamment pour des solutions peu invasives Page 7 Incontinence f cale sujet tabou L lectrostimulation des racines sacr es est une des avanc es r centes Elle est r alis e au moyen d une lectrode plac e dans un trou sacr au voisinage de S3 ou S4 reli e un stimulateur implant d livrant un courant continu de faible intensit Elle agit de mani re globale sur les diff rents facteurs de la continence anale Un test pr alable identifiant les patients r pondeurs est un des avantages de cette approche mini invasive et efficace chez 40 50 des patients Elle est cependant co teuse et n cessite un suivi exigeant Pour des formes moins s v res des essais de stimulation du nerf tibial post rieur la cheville pour ses connections ave
3. alimentaires rares des cas cliniques instructifs En pr vention de certaines maladies Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 13 e Ao t 2011 Num ros disponibles suite et para tre Num ros Th mes principaux Mois de parution Le c ur une b te 52 Acides gras polyinsatur s et huiles vierges Mars 2012 Les produits laitiers L efficacit de l huile d onagre dans le SPM et en gyn cologie 53 Troubles du sommeil du sujet g Janvier 2013 Incontinence f cale sujet tabou 54 En cours d tude Avril 2013 55 Octobre 2013 Si vous le souhaitez vous pouvez adh rer l Association E D C A S Coupon couper ou recopier puis retourner avec votre r glement au 21 Rue Paul C zanne 41100 NAVEIL France Nom et Pr nom Fonction Adresse T l phone E Mail Ville Pays Adh sion 2013 Montant minimum 50 ou 00 ou Par ch que En esp ces Mandat Lettre Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 14
4. appr cie le tonus sphinct rien et les contractions volontaires identifie un ventuel f calome cause fr quente d incontinence chez le sujet g invalide une procidence h morro daire un trouble de la statique rectale rectoc le prolapsus ou encore une ventuelle tumeur accessible au doigt Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 e 1 3 Le remplissage par le patient d un calendrier des selles sur une p riode de 30 jours apporte une confirmation chiffr e On y associe le calcul d un score clinique celui de la Cleveland Clinic dit de Wexner sur 20 points de 0 normal 20 incontinence totale tr s utilis combine la fr quence et la nature des pertes l utilisation ou non de protections et le retentissement sur la vie sociale L impact sur la qualit de vie peut tre galement tudi par un questionnaire sp cifique valid en langue fran aise Info Clinique de chirurgie digestive et endocrinienne Institut des maladies de l appareil digestif CHU 44093 Nantes Cedex OI paulantoine lehur chu nantes fr Des examens compl mentaires On s assure dans un premier temps de l absence de cause organique en v rifiant le suivi gyn cologique et en liminant une pathologie tumorale ou inflammatoire par la coloscopie L chographie endo anale recherche une l sion du sphincter anal et notamment une rupture sphinct rienne topographie extension sur la circonf rence anale caract re complet ou non
5. le sommeil se reproduisant plus de 10 fois par heure Le diagnostic est port par enregistrement polysomnographique ou la polygraphie ventilatoire Il peut s accompagner de d saturations art rielles en oxyg ne et est associ une morbi mortalit cardiovasculaire accrue Troubles sommeil paradoxal du comportement en Le REM Sleep Behavior Disorder est une parasomnie caract ris e par une activit motrice au cours du sommeil paradoxal le patient peut parler rire ou d ambuler n est rare chez le sujet g Traitements La priorit est de traiter la ou les causes identifi es plut t que de corriger le trouble de fa on purement symptomatique Dans tous les cas les r gles d hygi ne du sommeil s appliquent encadr 3 Si un traitement symptomatique est pr conis il doit l tre sur un temps limit la posologie et la dur e doivent tre pr cis es et n goci es avec le patient Il est conseill de privil gier les mol cules telles que la zopiclone Imovane le zolpidem Stilnox ou des benzodiaz pines dur e de vie courte ou interm diaire afin de minimiser les effets r siduels dans la journ e Page 3 meil du sujet g ce titre des mol cules telles que la lorm taz pam Noctamide le temaz pam Normison ou l oxaz pam Seresta peuvent tre propos es Les posologies recommand es sont de 3 75 mg pour la zopiclone un comprim au coucher ou 5 mg pour le zo
6. E D C A S Ensemble D fendons le Citoyen et l venir pour la Sant Association R gie par la Loi du 01 Juillet 1901 et par le D cret du 16 Ao t 1901 Date de la fondation 26 Novembre 1996 21 Rue Paul C zanne 41100 NAVEIL T l et Fax 02 54 73 91 91 E mail edcas 41 edcas org Site M dical et Param dical www edcas org Voici une nouvelle ann e Bien des personnes pensent que le monde bouge humainement parlant Tout simplement parce que chacun de nous est en perp tuel mouvement c est la nature m me Oui nous pourrions comme chacun a le plaisir de le faire vous souhait une excellente nouvelle ann e autant sant que travail mais cela reste un peu surfait Nous voulons que vous puissiez r ussir dans tous vos actions et vos projets uvrant positivement dans le domaine humain car seuls ceux ci sont une v rit sociale Vos t moignages peuvent tre diffus s et ou si vous souhaitez voir d velopper des sujets sp cifiques alors merci de vous faire conna tre via notre site ou tout simplement par crit Vous tes membres du corps de sant et personnes int ress es par l entraide m dicale et param dicale et vous aimeriez que l association soit le moyen de pr senter un th me qui vous tient c ur alors nous sommes votre coute Le Pr sident Docteur Pierre BULLE Ma valeur humaine s exprime et se puise dans la valeur d autrui car chacun est la
7. SOMATOTHERAPEUTE Michel CLEMENT oscar37 club internet fr OSTEOPATHE Serge A WHERLE osteopathie nature wanadoo fr ACUPUNCTURE CHINOISE Jean Jacques BOBINEAU bobineau jean jacques wanadoo fr TRESORIERE GENERALE Isabelle LONA contact Pr cisez la personne AUTRES MEMBRES BESNIER Dominique BOULAY Christine BROSSILLON Pierre CHEMINOT Sylvie FAUCHEREAU Jean GRIMAL Francine LAINE V ronique LEMELLE Mireille METAIS Lydie NERON B atrice OURY Bernadette PITAUD Josiane PONTET Annick TOULEMONDE Luce TRICOTET Yves contact Pr cisez la personne Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 11 Num ros disponibles Num ros Th mes principaux Mois de parution 17 A t th rapie et Monitorage Juin 2001 18 Ondoline Hydroxeur Immunoth rapie Octobre 2001 19 Chakras et D pression F vrier 2002 20 Hypnose et Fibromyalgie Mai 2002 21 D pression et Suicide Septembre 2002 22 Mort subite et Tentative de suicide D cembre 2002 23 Nutribioth rapie Cancer Bio et Pollution chimique Enfants Mars 2003 victimes 24 D pression et Suicide Juin 2003 Handicaps Acouph nes Toxoplasmose Coups et Blessures 25 V IL H Eaux min rales Fruits et l gumes Sel Nutrition DEP Harc lement moral La d pression peut constituer un accident de 26 travail Les bienfaits de la coh rence cardiaque Ni Freud ni Janvier 2004 prozac L univers compliqu d
8. bre 2013 Traitements Mme POUDRAI SASSIER Christ lle Le 16 Octobre 2013 Addiction 41 J EREE Docteur BRIEUDE OBESITE 41 eLe 20 Novembre 2013 Le point eLe 18 D cembre 2013 Assembl e G n rale 16 me A G Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 9 e l e Les membres du bureau E D C A S PR SIDENT M decin G n raliste Repr sentant National et International de l association Docteur Pierre BULLE pierre bulle wanadoo fr RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION Expert Psychologue Psychoth rapeute et Psychologue du travail Rodolf Karel CANOY canoy expertpsy41 wanadoo fr CHIRURGIEN DENTISTE Docteur GIUMELLI contact Pr cisez la personne KIN SITH RAPEUTES Association pour le d veloppement de l hypnose Jean Michel de BUSSEROLLES contact Pr cisez la personne KIN SITH RAPEUTE OSTHEOPATHE Fr d ric VANPOULLE frederic vanpoulle wanadoo fr MICROKINESITHERAPEUTE ric DE RYCKE contact Pr cisez la personne CHIROPRACTEUR IMMUNOTHERAPEUTE St phane DEPONGE stephane deponge wanadoo fr REFLEXOLOGIE KINESIOLOGIE David DAGET reflexo37 tiscali fr Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 10 Les membres du bureau E D C A S suite YOGA ENERGETIQUE KINESIOLOGIE Professeurs dipl m s Annie et Jean Fran ois BREUIL contact Pr cisez la personne MAITRE DE REIKI Membre de l A F M R lisabeth D ARCANGUES edarcangues gmail com SOPHROLOGUE
9. c le plexus sacr sont en cours La correction chirurgicale d une anomalie anatomique peut tre de 2 types r paration d une rupture sphinct rienne d origine traumatique obst tricale chirurgicale ou accidentelle par une sphinct roplastie intervention sur un trouble authentifi de la statique pelvienne prolapsus rectal rectoc le Le remplacement sphinct rien est r serv aux formes les plus s v res apr s chec des options pr c dentes La transposition du muscle gracile lectrostimul e n est plus utilis e de nos Jours Diff rents types de sphincter anal artificiel pneumatique ou plus r cent magn tique sont l tude car d utilisation plus simple Il y a cependant un risque d infection d ulc ration cutan e et finalement d explantation Ils restent l apanage de quelques centres experts Des injections de tissu expansif dans le canal anal de cultures de cellules ou encore la mise au point de bandelettes synth tiques imitant la technique TVT urologique sont les voies de recherche les plus r centes 3 3 La colostomie terminale ne doit pas tre oubli e car elle peut tre une bonne solution si elle est accept e pour les patients en chec de tout autre traitement Les conseils d une infirmi re stomath rapeute peuvent aider prendre une d cision Pour en savoir plus National Institute for Health and Clinical Excellence NICE Clinical Guideline 49 Faecal in
10. continence the management of faecal incontinence in adults june2007 http www nice org uk nicemedia pdf CG49NICE Guidance pdf Lehur PA Leroi AM Incontinence anale de l adulte Recommandations pour la pratique clinique Gastroenterol Clin Biol 2000 24 299 314 0 Godeberge P Incontinence anale Hepato Gastro One Dig 2010 17 316 33 Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 8 Les prochaines r unions Les r unions ont lieu le troisi me mercredi du mois sauf en Juillet et Ao t 20h30 Salle Sportive et Culturelle de Naveil Rue du Stade Salle de R unions des Associations derri re la Mairie de Naveil Si vous souhaitez participer l une des r unions veuillez en faire la demande par le biais du menu contact Vous recevrez une confirmation par courrier lectronique Par avance Merci Sous r serve de changements de derni res minutes Impossibilit de vous joindre rapidement au dernier moment Veuillez nous en excuser par avance ANNEE 2013 Le 16 Janvier 2013 Eau Alcaline Kangen nvier e Elisabeth d ARCANGUES ONCO 41 Le 20 F vrier 2013 Interrelations entre les professionnels de Sant Traitements palliatifs Docteur HIRSCH reinan i Cancer du Rein mEn Docteur VARDI Adam Le 17 Avril 2013 Nutrition et Cancer Mme LUCAS PEAN Le 15 Mai 2013 FANS en Neurologie Monsieur Bernard RAGOT Mercredi 26 Juin 2013 20h30 BLOIS 41 En cours d ETUDE France Lymph d me eLe 18 Septem
11. e La prise de cholestyramine combat un exc s de sels biliaires facteur de diarrh e Suppositoires d gagement gazeux et lavements vacuateurs en assurant une bonne vidange du rectum sont utiles dans les incontinences rectum plein en cas notamment de pathologie neurologique ou malformative Des syst mes d irrigation colique modernes sonde rectale usage unique poche d eau et unit de contr le r utilisable permettent de r aliser facilement les lavements domicile raison de 2 3 par semaine Ils peuvent tre ventuellement compl t s par des bouchons anaux expansibles Obtal qui s ils sont tol r s aident les patients incontinents La r ducation p rin ale de r alisation malheureusement tr s h t rog ne type de sonde contr le lectromyographique lectrostimulation techniques comportementales dite de biofeedback accompagne le traitement m dical Elle vise am liorer la sensation de distension rectale et la commande sphinct rienne qui en r sulte Quinze 20 s ances sont faire aupr s d un praticien sp cifiquement form ces m thodes raison de 2 par semaine suivies si succ s 50 80 des cas tout venant par des s ances d entretien tous les 3 6 mois Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 2 3 L essentiel e Pathologie fr quente sous estim e alt rant s v rement la qualit de vie e Interrogatoire et examen clinique donnent une bonne orientation
12. es primaire Alzheimer F s Narcolepsie latrog nes Figure Orientation diagnostique Troubles du sommeil du sujet g Le SJSR peut r pondre des m dicaments vis e dopaminergique le ropinirole Requip ou pramipexole Sifrol Les benzodiaz pines et certains anti pileptiques sont prescrits en seconde intention Une surveillance de la tol rance de ces m dicaments s impose Dans les troubles du rythme circadien le renforcement des synchroniseurs externes lumi re activit est pr conis Il est conseill d adresser le patient un sp cialiste du sommeil s il est constat une avance de phase endormissement t t dans la journ e ou un retard endormissement tardif En effet les traitements rel vent alors d une approche environnementale associ e plus ou moins une luminoth rapie ou la m latonine L viction de l alcool des s datifs et des opiac s est conseill e dans le syndrome d apn es du sommeil L indication ventuelle d une ventilation par pression positive continue est du ressort du sp cialiste Les cas d hypersomnies primaires de narcolepsies sont aussi au mieux g r s dans les consultations du sommeil D FINIR LES TROUBLES L insomnie sympt me fr quent peut tre li e soit un trouble de l endormissement soit des r veils trop pr coces ou des veils nocturnes ou encore une sensation de sommeil non r parateur Elle est qualifi e de primaire
13. llergiques attention aux baisers Les dulcorants ne stimulent pas la prise alimentaire Apprendre go ter apprendre choisir Perte de poids la chirurgie bariatrique Calcium et vitamine D Mars 2007 39 La fibromyalgie en 2007 o en sommes nous Juin 2007 40 Le prix moral des cadeaux au moment de No l Stress amp d pression la musique adoucit les m urs AOE E Couple Au secours il m nerve 41 La fibromyalgie en 2007 acad mie de m decine D cembre 2007 Les th rapies comportementales et cognitives 42 La dyslexie Mars 2008 43 L Arthrose Donn es r centes Juin 2008 44 Fibromyalgie et Stress Novembre 2008 Du stress au travail l puisement psychologique Pas de plais b nignes pour la main 45 Lombalgie chronique Pr venir l invalidit Mars 2009 Les facteurs d observance aux psychotropes Les dermocortico des au secours du phimosis 47 Sp cial Nutrition En cours d tude Novembre 2009 48 L enfant victime d une agression sexuelle F vrier 2010 Les Lombalgies Mal de dos Mal du si cle Professeur Bernard MAZIERES C H U TOULOUSE Arthrose et ob sit pas question de poids 50 Les troubles musculo squelettiques Histoire de la goutte Du jogging au marathon quels b n fices Quels risques 49 Juillet 2010 Janvier 2011 Haltes aux id es re ues sur deux sujets d int r t 51 Les peurs alimentaires justifi es Allergies
14. lpidem soit un demi comprim au coucher Il est important de d buter les benzodiaz pines par des doses faibles diminuer de moiti les posologies pr conis es chez l adulte car les personnes g es sont plus sujettes aux effets secondaires Ces m dicaments peuvent tre administr s pendant une semaine Ces troubles peuvent avoir des origines multiples et le diagnostic tiologique est parfois complexe L ducation th rapeutique du patient comprenant une information sur les modifications du sommeil avec l ge les r gles d hygi ne les risques des prescriptions d hypnotiques la n cessit de renforcer les synchroniseurs externes est une phase importante de la consultation Le recours aux sp cialistes du sommeil SYMPTOMES du sommeil Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 3 4 peut s av rer n cessaire dans certains cas Si le traitement doit tre un peu prolong il est pr f rable d envisager une prise altern e 3 nuits par semaine par exemple Il y a toujours un risque de d pendance m me en cas de traitement court c est pourquoi des interruptions r guli res sont recommand es Le sevrage est progressif pour viter les ph nom nes de rebond Dans tous les cas la surveillance d ventuels effets ind sirables amn sie s dation diurne risque de chute et le respect des contre indications sont n cessaires Somnolence diurne excessive Causes Hypersomnie SJSR D mence m dical
15. minution de son efficacit capacit rester endormi augmentation du nombre et de la dur e des veils nocturnes redistribution sur 24 heures p riodes de sommeil diurne diminution du sommeillent profond et augmentation du sommeillent l ger avance de phase tendance s endormir et se r veiller plus t t avec Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 e 1 4 Diagnostic Lors de la premi re visite l anamn se l examen physique et cognitif valu par le Mini Mental State de Folstein par exemple permettent l identification du trouble insomnie hypersomnie ou parasomnie Lors de la seconde un bref questionnaire compl t domicile par le patient et ou son entourage oriente sur l tiologie Un agenda du sommeil renseigne sur les phases de sommeil et d veil dans la journ e Interrogatoire examen physique et questionnaire compl t permettent le plus souvent un diagnostic tiologique Principales tiologies Causes non sp cifiques Le sujet g est plus vuln rable l environnement Le bruit le froid la chaleur l insuffisance d exposition la lumi re le manque d activit physique l isolement social concourent la survenue de troubles Des comorbidit s peuvent avoir un impact significatif affections psychiatriques insuffisance cardiaque ou respiratoire douleurs troubles gastro intestinaux diab te ou AVC La polym dication est souvent l origine d une iatr
16. og nie b tabloquants bronchodilatateurs cortico des diur tiques certains antid presseurs et c tera Maladies neurod g n ratives Alzheimer syndromes apparent s Le sommeil y est souvent perturb entre 33 et 70 des cas Les alt rations de son architecture sont prononc es et potentiellement aggrav es par d autres pathologies apn es du sommeil syndrome des jambes sans repos SJSR Les troubles de l alternance veille sommeil le sundowning agitation vesp rale sont vraisemblablement li s des l sions neuronales au niveau de l horloge biologique interne Des modifications circadiennes des s cr tions hormonales de cortisol de m latonine ou des changements de temp rature Page 2 Troubles du sommeil du sujet g corporelle en r sulteraient Certaines parasomnies ont t troitement associ es la d mence corps de Lewy SJSR et mouvements p riodiques du sommeil Le SJSR besoin pressant de bouger les membres inf rieurs s accompagne de dysesth sies plus ou moins d sagr ables Il survient essentiellement au repos et a tendance s aggraver la nuit Il est soulag par les mouvements Son origine reste encore mal connue On l associe un trouble de la transmission dopaminergique Notre dur e de vie semble en m me temps longue et courte Il est vrai que cela d pend fortement de nos centre d int r ts mais il est enco re davantage vrai que l change san
17. r m decin L incontinence f cale perte involontaire de selles liquides ou solides a des cons quences terribles sur le confort la fois physique et psychologique des patients concern s le plus souvent des femmes Passive sans perception de la fuite ou active par imp riosit avec impossibilit de diff rer le besoin alors qu il est per u elle est le plus souvent multifactorielle Sa pr valence en France a t r cemment estim e 11 de la population de plus de 45 ans environ 350 000 personnes en souffrent de fa on au moins hebdomadaire Ces chiffres probablement inf rieurs la r alit soulignent l importance du probl me et justifient l laboration de plans d action nationaux l instar de ce qui est fait au Royaume Uni et tr s bien d crit par le NICE Identifier et valuer L valuation pr cise des sympt mes et l identification des m canismes et causes sous jacents sont indispensables Un interrogatoire empathique mais pr cis est essentiel il recherche des facteurs de risque encadr et pr cise les caract res du trouble type et fr quence des pertes transit diarrh ique ou constipation rectorragies ou missions glaireuses ext riorisation de prolapsus h morro daire ou rectal association une incontinence urinaire fr quente manifestations gyn cologiques L examen recherche une descente p rin ale une disparition des plis radi s de l anus une b ance anale On
18. richesse de l autre Rodolf Karel CANOY Bulletin Info N 53 Janvier 2013 Dans ce num ro D Troubles du sommeil du 2 sujet g Incontinence f cale 6 sujet tabou a Les r unions prochaines 9 Les bureau membres du 10 Num ros disponibles et 12 para tre Troubles du sommeil du sujet g Ils entra nent un risque accru et reconnu de morbi mortalit tant cardiovasculaire que traumatique ou cognitive La pr valence des troubles du sommeil augmente avec l ge Elle varie selon les tudes de 18 75 du fait de l h t rog n it des profils tudi s Sous estim s ou sous diagnostiqu s ils peuvent avoir des cons quences d l t res et affectent souvent de fa on significative la qualit de vie du patient ou de son aidant Modifications du sommeil avec l ge Le sommeil est compos de 2 tats physiologiques le REM Rapid Eye Movement ou sommeil paradoxal r ve le NREM Non Rapid Eye Movement qui comporte 4 stades e let 2 sommeil lent l ger e 3et4 lent profond r cup rateur Des cycles de 90 minutes se succ dent avec en premi re partie de nuit une pr dominance de sommeillent profond et en seconde partie une augmentation du REM Le vieillissement alt re l architecture du sommeil le fragilise et le fragmente Avec l ge on constate une diminution du temps total de sommeil di
19. s il n y a pas de cause retrouv e et secondaire si li e des comorbidit s Elle est consid r comme aigu si elle date de moins de 4 semaines et devient chronique si elle persiste plus d un mois 4 4 L hypersomnie fait surtout r f rence une hypersomnolence diurne l endormissement peut saisir le patient tout moment de la journ e L entourage est souvent l origine de la plainte Les parasomnies ou troubles du comportement durant le sommeil peuvent se manifester par une agitation une d ambulation ou des mouvements anormaux Les auteurs d clarent n avoir aucun conflit d int r ts R f rences Wolkove N Elkholy 0 Baltzan M Palayew M Sleep and aging Sleep disorders commonly found in older people CMAJ 2007 176 1299 304 Cochen V Arbus C Soto ME et al Sleep disorders and their impacts on healthy dependant and frail older adults J Nutr Health Aging 2009 13 322 9 Arbus C Cochen V Les modifications du sommeil avec l ge Psychol Neuropsychiatr Vieil 2010 8 7 14 Bombois S Derambure P Pasquier F Monaca C Sleep disorders in aging and dementia J Nutr Health Aging 2010 14 212 7 Rechschaffen A Improving sleep management in the elderly Ann Long Term Care Clin Care and Aging 2007 15 suppl 1 1 16 Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 5 e Incontinence f cale sujet tabou La plupart des patients cachent ce handicap aussi bien leurs proches qu leu
20. s soumission quelconque est bien plus encore Si chacun s octroie pour transmettre simplement autrui juste pour le plaisir et non pas pour s assouvir d une sup riorit basique certes humaine mais non indispensable l mesda mes et messieurs nous pouvons pr tendre l volution sociale positive Permettez tout de m me d en douter Des formes secondaires sont li es des m dicaments antid presseurs neuroleptiques des neuropathies une carence en fer ou encore une insuffisance veineuse ou art rielle Rodolf Karel CANOY Le diagnostic des mouvements p riodiques n cessite un enregistrement polysomnographique EEG lectro oculogramme lectro myogramme fr quence cardiaque saturation art rielle en oxyg ne et mouvements respiratoires Les mouvements involontaires des membres inf rieurs habituellement non per us par le patient sont d crits par le conjoint extension du gros orteil flexion du pied du genou ou de la hanche Bulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 e 2 4 Ils se reproduisent intervalles r guliers la nuit par s quence et principalement pendant le sommeil lent l ger Ils s accompagnent de micro veils et d une sensation de sommeil non r parateur Ils s associent souvent aux SJSR Syndrome d apn es du sommeil Il est d fini par la survenue de pauses respiratoires apn es ou diminution de l amplitude respiratoire hypopn es pendant
21. u light Schizophr nie Episode d pressif majeur Nutrition L environnement influence nos g nes Stress et trouble anxieux 27 Nutrition Mort subite Les acouph nes chroniques DEP 28 La nutrition votre sant passe par elle Juin 2004 29 Stress et D pression Septembre 2004 30 Nos comportements Psychoaffectifs et ses D cembre 2004 inter corr lations Les sentiments La d pression des personnes g es Le stress au travail 31 Le stress chronique puise 1 immunit l Mars 2005 D pister les formes trompeuse de la d pression La famille du d prim de l incompr hension la culpabilit La vuln rabilit des patients d prim s 32 Allergie alimentaire et Fausses allergies Juin 2005 33 Stress Anxi t et Fatigue Septembre 2005 i if 34 Votre enfant est il hyperactif Janvier 2006 Narcissisme Synth se du colloque 2006 la nutrition une v ritable m decine douce 36 Mode d emploi pour tre s r de soi En Troubles obsessionnels compulsifs chez l enfant et l adolescent 37 Amoureux et Narcissiques D cembre 2006 Le p re No l entre r ve et r alit B ulletin Info Num ro 53 Janvier 2013 Page 12 Num ros disponibles suite Num ros Th mes principaux Mois de paru tion Enqu tes Surpoids Mieux pour la t te que le c ur La flore intestinale impliqu e dans l ob sit Besoins en eau Cela ne coule pas de source 38 Les Europ ens et la s curit alimentaire A
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