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Sign@ture n° 53

1. m La deuxi me r partissant la population carroy e sur le b ti indiff renci de la BD TOPO en fonction de leur surface d velopp e m La troisi me r partissant la population carroy e sur les parcelles en fonction de la surface de logement qu elles contiennent information issue des fichiers fonciers 16 Anciennement CETE Nord Picardie Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 La premi re m thode a tendance surestimer la population expos e Cela tend montrer que la densit de population est plus faible dans les surfaces inondables qu en dehors Ceci peut notamment tre expliqu par l absence de constructions et donc de population dans le lit mineur des cours d eau Pour une commune donn e l cart entre les 2 m thodes suivantes peut d passer plusieurs centaines d habitants Mais ramen la population totale de la commune celui ci ne d passe pas les 3 Des tests qualitatifs compl mentaires ont mis en vidence que les estimations de population sont plus sensibles l impr cision du contour des surfaces inondables variation de 10 m soit 0 4 mm sur le papier au 1 25 000 qu au choix de la m thode de calcul Sur la base de ces r sultats c est la m thode 3 utilisant les fichiers fonciers qui a t mise en uvre sur tous les TRI par la Direction territoriale M diterran e du Cerema pour livrer aux services un semis de points de population redress la c
2. 4 Cerema Sien Direction technique Territoires et ville G omatique Nationale amp Syst mes d Information Centre d tudes et d expertise sur les risques l environnement la mobilit et l am nagement www cerema fr Sommaire ditorial Br ves Mesurer la consommation d espace partir des fichiers fonciers Le portail cartographique de la DDTM du Calvados labor partir l API G oportail BD CARTHAGE en open data et perspective d un r f rentiel hydrographique grande chelle Cartographie de la Directive Inondation Des plages du d barquement au Mont Saint Michel la richesse du littoral manchois vu sous Cart lie propos du rapport INSPIRE sur la qualit des donn es L information g ographique au service de l clairage public Le g ostandard Sentier du littoral Dossier technique le programme Copernicus devient op rationnel en 2014 v nements e nouveau num ro permet Sign ture de se parer d une nouvelle robe aux couleurs du Cerema tout nouvellement n Les Directions territoriales et Directions techniques du Cerema mailleront d sormais les br ves et autres actualit s en lieu et place des CETE du Certu du Setra et du Cetmef Mais les nombreux autres contributeurs continueront y tre accueillis large ment et syst matiquement Il est aussi l occasion de revenir sur une tendance lourde celle de la diffusion des donn es publiques Parmi
3. bandes Ku et C permettant une r solution de 300 m en mode SAR le long de la trace Il est accompagn d un radiom tre micro ondes pour les corrections atmosph riques et d un r cepteur DORIS pour le positionnement permettant des mesures absolues tr s pr cises de la topographie o un radiom tre SLSTR pour la temp rature de surface des terres et de la mer mesurant dans 9 bandes spectrales avec une r solution spatiale de 500 m pour le visible et l infra rouge proche et de courte longueur d onde et de 1 km pour l infra rouge thermique et de moyenne longueur d onde selon deux angles de vue permettant une fauch e de 750 km sous le satellite et de 1675 km en vis e arri re o Un instrument pour la couleur de l oc an et des terres OLCI bas sur un spectrom tre comportant 21 bandes dans le visible et le proche infra rouge avec une r solution spatiale de 300 m et une fauch e de 1270 km Avec 2 satellites en orbite le temps de revisite l quateur sera de moins d un jour pour l observation des temp ratures et de moins de deux jours pour l observation de la couleur de l eau et des terres L orbite du satellite permettra une r p tition de l observation de la topographie tous les 27 jours Sentinelle 4 instrument de mesure de la composition de l atmosph re spectrom tre compl tant les instruments d j embarqu s sur les satellites m t orologiques g ostationnaires Meteosat troisi me g n ration MTG programm
4. des donn es dans les infrastructures de donn es spatiales Contrairement aux donn es produites par des instances professionnelles les m thodes utilis es dans les d marches th matiques de production de donn es sont moins rigoureuses en termes de sp cification et de conformit Dans le cas d INSPIRE les infrastructures de donn es spatiales ont deux objectifs m assurer un plus large acc s possible aux donn es existantes m permettre l interop rabilit entre les lots de donn es spatiales quel que soit leur champ th matique et leur origine Alors que le partage des donn es est facilit par le nombre croissant de web services une bonne documentation propre la qualit des donn es et leurs utilisations possibles reste la tra ne Les m tadonn es standardis es demeurent une solution insuffisante pour les professionnels de l information g ographique Pour les autres communaut s d utilisateurs les m tadonn es doivent tre adapt es leurs besoins et leurs habitudes En supposant que la collecte de donn es n est pas le but principal d une IDS le cycle de production des donn es est souvent remplac par un flux de transformations qui repr sente les donn es originales et les m tadonn es d une mani re qui est compatible avec les objectifs d interop rabilit convenus Ce flux de transformations peut tre divis en six tapes m expressions des besoins m sp cification des donn es m s lec
5. es ces sp cifications techniques ne d crivent pas des produits sp cifiques mais la cible de l interop rabilit atteindre lorsque les donn es sont fournies via l IDS La qualit des donn es dans INSPIRE La directive INSPIRE d finit explicitement le champ th matique de l infrastructure dans ses annexes tandis que la port e g n rique est indiqu e dans les tats de haut niveau de divers articles et le pr ambule La formulation verbale Les tats membres devront s appuie sur une attente non seulement en termes de contenu des donn es mais aussi en termes d utilisabilit d interop rabilit de qualit des donn es de conformit et de m tadonn es La principale exigence pour l utilisabilit est l interop rabilit qui conform ment l article 3 de la directive ajoute la valeur de repr sentation coh rente des donn es spatiales Combiner les donn es de diff rents th mes et sources de mani re coh rente est une exigence de qualit qui va au del de l exigence de coh rence au sein d un th me de donn es Appuy es sur l ISO 19157 les sp cifications des donn es contiennent les l ments de qualit devant tre utilis s dans INSPIRE pour le processus d valuation Puisque la r glementation INSPIRE des m tadonn es n cessite un rapport aux niveaux du jeu de donn es ou de la s rie de jeux de donn es par d faut la qualit r pond ces niveaux Cependant justifi par la pratique
6. m Les donn es localis es de population afin de pouvoir estimer la population expos e par chaque sc nario d inondation information requise par l Union Europ enne m Les donn es localis es d emploi permettant d estimer le nombre d emplois expos s La Direction territoriale M diterran e du Cerema a t mandat par la DGPR pour identifier la m thode la plus fiable pour produire ces donn es et la mettre en uvre 15 Anciennement CETE M diterran e Population saisonni re par rapport 5 soit 1530 hab a la population totale de la commune 0 Population permanente en zone inondable 375 1410 Nombre d emplois en zone inondable Forte probabilit Moyenne probabilit Faible probabilit Pr sentation des r sultats de calcul de population et d emplois Calcul de population dans les surfaces inondables Les donn es sources sont m Les donn es carroy es de population fiscale fournies par l INSEE sur une grille compos e de carreaux de 200 m de c t m Les populations l gales la commune INSEE m Les fichiers fonciers dits MAJIC de la DGFIP mis en forme et anonymis s par la Direction territoriale Nord Picardie m Le b ti indiff renci de la BD TOPO Sur un territoire test 3 m thodes ont t compar es pour le croisement de la population avec des surfaces inondables m La premi re utilisant simplement la surface de carreau de population inond e
7. s pour 2017 imageur et 2019 sondeur Le spectrom tre couvre trois bandes dans l Ultra Violet le Visible et le proche infra rouge avec une r solution spectrale 0 05 1 nm Cerema F vrier 2014 23 Sign ture n 53 et une resolution spatiale de 5 50 km selon les bandes Il doit permettre l observation haute fr quence temporelle de O3 NO2 SO2 BrO CHOCHO formaldehyde et a rosols m Sentinelle 5 mission semblable Sentinelle 4 bord des satellites m t orologiques d filant MetOp seconde g n ration SG programm s partir 2020 Outre le spectrom tre UVNS la mission pourra b n ficier des donn es du sondeur infra rouge IRS de l imageur visible et infra rouge VII et de limageur multi angles de vue multi canaux et multi polarisations 3MI de Metop SG m Sentinelle 6 La s rie de satellites Jason CS altim trie oc anique haute r solution mise en oeuvre par Eumetsat et partiellement financ e par Copernicus est souvent pr sent e comme la sixi me mission Sentinelle Les missions Sentinelles 1 2 et 3 comporteront en permanence deux satellites en vol afin d assurer une bonne r currence des mesures Pour la mission Sentinelle 5 destin e assurer le relais d instruments embarqu s sur Envisat satellite qui a cess de fonctionner en 2012 il est pr vu une mission dite pr curseur pour assurer un relais d s 2016 Le premier lancement de ces satellites est celui de Senti
8. solution spatiale de 25 ha en g n ral et de 5 ha lorsqu un changement est d tect entre 2012 et 2006 adapt d une pr sentation de Hans Dufourmont de AEE au Forum national des utilisateurs Copernicus des 30 09 et 01 10 2013 Paris La D fense Oc an ou marin oc anographie physique courants glaces production biologique primaire http ww myocean eu Le service pr op rationnel MyOcean2 produit r guli rement rythme hebdomadaire ou journalier laide d observations satellitaires et in situ et du mod le num rique d oc an NEMO pour l oc an global r solution 1 12 degr et les mers europ ennes r solutions diverses de quelques km 1 9 degr des analyses et des pr visions de l tat physique de l oc an dans les trois dimensions temp rature salinit courants et en surface temp rature hauteur de la mer couverture en glace de m me que des analyses de certaines caract ristiques bio g ochimiques en surface couleur de l eau concentration en chlorophylle par ailleurs des r analyses sont galement effectu es sur la p riode 1993 2011 Cerema F vrier 2014 20 Sign ture n 53 des r analyses sont galement effectu es par ailleurs un volet Epai du Cot Concorde le akarna de Gaghes Gestion des risques de pollution r gional du service exploite de fa on optimum sur le continent europ en les r sultats d un ensemble de mod les de qualit de l ai
9. 2012 sur la chimie atmosph rique 5 projets s lectionn s et un projet collaboratif sur l oc anographie c ti re d nomm AMICO a t initi En conclusion Le programme Copernicus est maintenant le programme europ en de surveillance de la Terre Dot d un budget assurant son financement pour les sept ann es venir il fournira des services pour la surveillance de l environnement et pour la s curit g n rant des produits g o localis s sur une large gamme d chelles spatio temporelles Sa capacit d velopper l emploi et linnovationen Europe partir des services et des donn es spatiales du programme est galement une motivation forte de l Union europ enne Vincent Pircher Charg de mission GMES Copernicus Repr sentant des utilisateurs publics fran ais au Forum des Utilisateurs GMES Copernicus Dominique MARBOUTY Coordinateur interminist riel GMES Copernicus Cerema F vrier 2014 25 Sign ture n 53 v nements IE les 8 9 et 10 avril 2014 D CRYPTAG O Marne la Vall e m 8 laur ats au 4 concours dataconnexions SRENCONTRES Les concours Dataconnexions r compensent les meilleures applications services ou visualisations de donn es qui r utilisent des donn es Calectiit Terrorole de rico ESES WAFIGEO V CORSICA publiques D couvrez les huit projets innovants qui ont t distingu s lors de la 8 mes Rencontres des dynamiques r gionales en
10. chacun L ensemble des donn es a ensuite t communiqu au p le g omatique en charge de l laboration de la carte La complexit pour l laboration de la carte r sulte principalement des l ments suivants D m la carte est compos e la fois de r f rentiels de donn es labor es par la DDTM ou de donn es produites par d autres tablissements DREAL Conservatoire du Littoral SHOM A m des attentes diverses li es des utilisateurs vari s des th matiques diff rentes allant d une autorisation pour une manifestation nautique la gestion du cadastre conchylicole des chelles de travail diff rentes de la parcelle cadastrale l chelle intercommunale m 65 donn es repr senter pour assurer une bonne lisibilit des informations il a fallu les r partir par groupes de mani re coh rente d finir une symbologie ad quate et des seuils de zoom adapt s Les donn es g ographiques ont t ainsi r parties en 11 groupes dont 8 concernent directement les donn es Mer et Littoral m trait de c te et risques littoraux m ouvrages c tiers et domaine public maritime m cultures marines m navigation et r glementation m activit s touristiques m biodiversit espaces naturels m donn es physiques m limites administratives mer et littoral De nombreux ouvrages et occupations sur le domaine public maritime ont fait l objet de rep rages photographiques auxquels sont as
11. de ces espaces cette derni re partie mobilise d autres sources que les fichiers fonciers Chacune des fiches pr sente le contexte d utilisation de l indicateur le mode de calcul les limites et en illustre les usages possibles Exemple analyse des extensions en tissu pavillonnaire titre d exemple la m thode de rep rage des extensions en tissus pavillonnaire montre le potentiel d utilisation des fichiers fonciers La caract risation des b timents locaux de type maison appartement coupl e avec leur localisation et leur date de construction permet de rep rer les ensembles pavillonnaires construits pendant la m me p riode 8 La description de la m thode compl te ainsi que de ses limites se trouve dans la fiche 1 5 Extension en tissu pavillonnaire Le rep rage de ces lotissements comprenant galement des op ra tions d habitat group permet ensuite une analyse du processus d urbani sation de la densit de ces ensembles etc commune bommum rep rage lotssement C 1960 1966 ns FE NI 1964 1971 i DM 1969 1976 D 1974 1981 i E 1579 1986 B iise i991 3 B iioo 1996 B 11504 2001 F de B 11555 2007 E M Cannes ya EA 1 i s LA j Y z Commune de Faches Thumesnil Source DDTM du Nord d apr s DGFIP fichiers fonciers Dans le cas de la commune de Faches Thumesnil la repr sentation carto graphique d
12. de l observation par radar bande C SAR avec les satellites ERS 1 ERS 2 Envisat et Radarsat Il op rera selon deux modes principaux lun interf rom trique large fauch e de 250 km avec une r solution de 5x 20 m l autre pour les vagues Il devrait pouvoir couvrir l Europe le Canada et les principales routes maritimes en 1 3 jours Sentinelle 2 mission d imagerie optique haute r solution au profit des services territoire urgences et s curit Le premier est pr vu fin 2014 d but 2015 Ce satellite s inscrit dans la lign e des satellites de type SPOT et Landsat Son instrument optique observe dans 13 bandes de longueur d onde dans le visible linfra rouge proche et courte longueur d onde Sa r solution spatiale est de 10 m pour 4 bandes 20 m pour 6 bandes et 60 m pour 3 bandes utilis es pour les corrections atmosph riques et les masques nuageux avec une fauch e de 290 km Avec 2 satellites en orbite le temps de revisite sera de 5 jours l quateur et de 2 3 jours aux moyennes latitudes Sentinelle 3 mission d altim trie des surfaces d eau ou de glace temp rature et couleur de surface au profit des services territoire oc an atmosph re et changement climatique Le premier est pr vu en 2015 Ce satellite s appuie sur les acquis des satellites ERS 2 Envisat et Cryosat Il transporte plusieurs instruments innovants o Un altim tre radar synth se d ouverture SRAL double fr quence
13. des supports d clairage en fonction de leur mat riau acier aluminium b ton et du gestionnaire commune ErDF m etc L valuation des performances La base de donn es initiale issue de l inventaire est ensuite compl t e par certaines informations descriptives des performances des installations d clairage Cela peut concerner des informations de dysfonctionnement ou de non conformit normative de v tust plus ou moins avanc e ou de performance en terme de niveau de service exemple carte des niveaux d clairement Exemple de l clairage de la voirie urbaine La performance d un clairage urbain passe par le niveau lumineux offert aux usagers Celui ci est mesur sur la voie clair e en statique ou gr ce un v hicule instrument avec des perspectives de diagnostics a riens puis renseign dans la base de donn es partir de ces mesures d clairement et de la carte quivalente d finissant les niveaux d clairement objectifs atteindre un champ cr identifie le niveau de service rapport de l clairement mesur sur l clairement objectif fix par la collectivit On distingue alors clairement m les secteurs sous clair s m les secteurs correctement clair s m les secteurs sur clair s 17 http www certu fr point de vue sur le diagnostic a687 html Ces valuations permettent d identifier des axes prioritaires de r novation et les niches d conomies
14. et l ensemble des DOM est compl tement libre de droit et gratuite y compris pour usage commercial sous licence ouverte Etalab Elle rejoint ainsi le mouvement d open data au m me titre que l ensemble des r f rentiels du Syst me d Information sur l Eau SIE La BD CARTHAGE est disponible en t l chargement sur le site du Sandre qui diffuse l ensemble des r f rentiels sur l eau www sandre eaufrance fr 9 Office national de l eau et des milieux aquatiques 10 Service d administration nationale des donn es et des r f rentiels sur l eau La BD CARTHAGE est constitu e de onze couches cartographiques cours d eau tron ons et n uds hydrographiques hydrographie de surface points d eau isol s hydrographie de texture laisses r gions hydrographiques secteurs sous secteurs et zones hydrographiques Cette base est le fruit d une collaboration entre les agences de l eau les DEAL dans les d partements d outre mer qui assurent la codification hydrographique et l enrichissement de la toponymie sous le pilotage de l Onema et de l IGN ce dernier assurant sa mise jour et sa production La coop ration entre l IGN et les acteurs du SIE se poursuit dans le cadre de la cr ation d un nouveau r f rentiel hydrographique bas sur la g om trie de la BD TOPO Ce projet inscrit dans les contrats d objectif de l IGN 2010 2013 et de l Onema 2013 2018 vise additionner la richesse m tier de la B
15. et techniques et o le nombre de th me est particuli rement important la notion de qualit des donn es rev t une complexit importante qu il faut extraire des sp cifications et des notions directement li es la qualit comme l interop rabilit la conformit et l utilisabilit La qualit des donn es en production de donn es Au niveau de la production classique des donn es les phases principales sont les suivantes m tude des besoins m R daction des sp cifications m Production m Test de conformit m Publication des m tadonn es Chacune de ces phases doit tre accompagn e d une proc dure de contr le de la qualit qui renseigne chaque tape sous forme de m tadonn es Avant d envisager une nouvelle base de donn es l tude des besoins demeure la phase initiale puisque chaque nouveau jeu de donn es doit combler les lacunes des donn es existantes ou pr voir des cas d utilisation nouveaux Les sp cifications du produit traduisent les besoins en termes de contenu et de caract ristiques techniques des donn es Il inclut le mod le de donn es les identifiants des donn es le syst me de r f rence g od sique et la projection associ e le codage la repr sentation etc La r daction des sp cifications s appuie sur la norme ISO 19131 Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Les cibles initiales de qualit des donn es obtenir sont tr s importantes elles fixe
16. europ enne recouvrant la classification Corine Land Cover environ tous les 6 ans et 5 couches haute r solution 20 m sur toute l Europe environ tous les 3 ans la composante locale environ tous les 3 ans compos e d un Atlas urbain sur plus de 600 zones urbaines et d une surveillance des berges de rivi res la composante globale restituant r guli rement tous les 10 jours des variables bio g ophysiques sur toutes les terres merg es du globe Le portfolio pan Europ en du service Territoire ne Imperm abilit du sol LS el RE q Corine Occupation HT D it Re Type de for t du sol 2012 ee D A l PE Aid CCSN TS Paie d Eia a x 6 N JA 3 4 Re LT N lt EL p a i NC GA t j Zonesjhumides Ea D 4 Mosaique d images i Plansd ea OPeErnAICUS The European Earth Observation Programme Figure 2 Figure 2 illustration des produits 2012 du volet pan Europ en du service Copernicus Territoire couvrant les 32 pays membres de l Agence Europ enne de l Environnement mosa ques d images haute r solution 5 couches haute r solution valid es sur 1 ha partir de produits 20 m d crivant le degr d imperm abilit du sol les plans d eau les prairies les zones humides le type de for t avec la densit de la couverture des cimes occupation des sols Corine 2012 Corine Land Cover en cours de r alisation 44 classes d occupation des sols avec une r
17. http geoinfo metier i2 fichiers fon ciers r549 html Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 L organisation des fiches Le travail d coule du besoin de mesurer la consommation d espace notamment au regard du cadre r glementaire s imposant aux documents d urbanisme Chacune des fiches permet donc de r pondre un ou plusieurs enjeux r glementaires comme m r duire la consommation d espace favoriser la densit urbaine prot ger les espaces naturels agricoles et forestiers limiter la r gression des terres agricoles promouvoir une organisation quilibr e des territoires ou mobiliser le foncier public Pour plus de lisibilit les fiches sont organis es selon quatre axes corres pondant quatre dimensions de la consommation d espace m L occupation du sol artificialis naturel agricole forestier et ses usages logement activit infrastructures II s agit d valuer un Stock un moment donn m La quantification de la consommation d espace c est dire le suivi de l urbanisation dans le temps et l analyse des flux g n r s par ce ph nom ne m L efficacit de l urbanisation tous les hectares artificialis s ne se valant pas il s agit d approcher la notion de consommation conome d espaces travers divers crit res m Les espaces agricoles et naturels en mesurant la perte de fonc tions conomique environnementale sociale et l alt ration du fonctionnement
18. ont pr cis que le processus de sp cification des donn es INSPIRE a souffert des probl mes suivants 1 l absence de terminologie tablie confusion des exigences a priori sur la qualit et les m tadonn es l utilisabilit et la qualit des donn es les l ments de qualit de donn es et leurs mesures le traitement autour de la pr cision de localisation souvent synonyme de la qualit des donn es etc 2 aucune strat gie n avait t tablie sur le r le de la qualit dans INSPIRE 3 le manque de compr hension de la fa on d appliquer les principes de qualit qui sont bien connus dans l environnement de production mais moins familiers dans le cadre des infrastructures de donn es spatiales 4 aucun mod le commun sur la qualit n existait 5 le manque de vision quant la fa on dont la conformit au sens juridique pourrait tre d crite en termes techniques Afin d viter les difficult s de compr hension qui d coulent de l environnement multidisciplinaire des parties prenantes ce rapport explique pr alablement les similitudes et les diff rences entre les notions de qualit qui sont omnipr sentes lors de la production classique de donn es et au sein des infrastructures de donn es spatiales IDS En outre en raison de la configuration sp cifique d INSPIRE o les tats membres de l Union europ enne sont tenus de satisfaire aux exigences li es simultan ment aux aspects juridiques
19. sente dans le programme aussi bien sur sa composante spatiale avec un retour de 25 que dans les services o la part fran aise dans les projets financ s sur les huit derni resann es a repr sent environ 30 Bien entendu les leaders de l industrie spatiale europ enne que sont Thales Alenia Space et Airbus Space Systems ex EADS Astrium jouent un r le important dans la composante spatiale De nombreux tablissements fran ais publics ou priv s sont des participants dans les services on notera en particulier Mercator Oc an qui coordonne le projet MyOcean2 pr figurateur service oc an la pr sence de M t o France de lineris du CEA et du CNRS dans le projet MACC2 pr figurateur du service atmosph re les contributions du SOesS pour la composante pan europ enne du service territoire Corine Land Cover validation des couches haute r solution et de HYGEOS et M t o France pour la composante globale et enfin la pr sence de SIRS dans le consortium responsable du service de gestion des urgences de la phase de mise en uvre initiale 2012 2013 et les contributions significatives du SERTIT et d EADS Astrium dans le projet SAFER pr figurateur du service de gestion des urgences 2009 2012 Participation la gouvernance et accompagnement du programme Copernicus Le MESR et le MEDDE repr sentent la France dans les instances de gouvernance du programme et travaillent en troite collaboration avec le soutien du CNES L
20. syst me big data Le budget du programme Copernicus Le programme Copernicus est financ d une part par l Agence spatiale europ enne qui a pris en charge le d veloppement des satellites et de leurs segments sol et par la Commission europ enne qui couvre le d veloppement et le fonctionnement des services ainsi que les d penses r currentes et op rationnelles de la composante spatiale Depuis sa cr ation 3 4 milliards d euros ont d j t engag s r partis approximativement pour 1 3 et 2 3 entre la Commission europ enne et l ESA La derni re conf rence minist rielle de l ESA de novembre 2012 a par ailleurs approuv un budget de 405 millions d euros Enfin le Parlement europ en a confirm le budget de 3 786 milliards d euros Euros constant conditions conomiques 2011 fix par le Conseil europ en pour la p riode 2014 2020 Ce montant qui est en r duction significative par rapport aux demandes initiales de 5 8 milliards d euros permettra d assurer la mise en uvre des Sentinelles et des services sur la p riode mais pas la pr paration de la g n ration de Sentinelles n cessaires au del de 2025 Plusieurs solutions sont envisageables pour compenser ce manque le d veloppement d un nouveau programme de l ESA ou le financement par d autres programmes europ ens H2020 par exemple Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 La contribution fran aise Copernicus La France est tr s pr
21. 13 en r union des d l gations territoriales puis publi e sur le site intranet en avril Le nombre de visites enregistr par Cart lie depuis sa publication est en moyenne de 120 visites mensuelles r sultat qui mesure bien l int r t que lui portent les utilisateurs Ces derniers la font voluer pour qu elle r ponde au plus pr s leurs pr occupations m tier Sans compter l actualisation des donn es dont certaines peuvent voluer rapidement la prochaine tape est la publication de nouvelles couches concernant la navigation et les p ches en cours de production par la DML Plusieurs cartes interactives th matiques r pondant des besoins m tiers des agents de la DDTM 50 ont d j t labor es en collaboration avec les utilisateurs mises en ligne sur le site intranet et pour certaines sur le site internet des services de l tat par exemple m donn es utiles l instruction ADS documents d urbanisme num ris s m donn es eau environnement agriculture activit s touristiques L ensemble des cartes mises disposition constitue une cartoth que accessible sur le site intranet de la DDTM 50 l adresse http intra ddtm manche i2 cartotheque r1162 html Sig A p cheries N trait de c te Histolitt bases conchylicoles CL vivier flottant crrerrr E ZA parc ostr icole amp mouillages Loran C Balise espar Bou e DGPS 4e Fe
22. D CARTHAGE une codification des objets des toponymes la densit de cours d eau et plans d eau de la BD TOPO tout en dotant cette nouvelle base d une structuration assurant de disposer d un r seau qui coule sur tout le territoire On devrait ainsi disposer d ici 5 ans d un r f rentiel adapt aux besoins des m tiers de l eau et de l environnement compatible et maintenu en coh rence avec le RGE qui s en trouvera enrichi La phase de sp cification de ce nouveau r f rentiel devrait tre finalis e en 2014 et la production devrait d marrer dans la foul e L Onema les agences de l eau et les DEAL seront sollicit s pour contr ler cette donn e dans sa phase de production et pour valider les demandes d volution et de correction une fois ce nouveau r f rentiel diffus Laurent COUDERCY Onema Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 jen Cartographie de la Directive Inondation Mise en application du standard Covadis et m thodes de calcul des populations la parcelle partir des donn es carroy es INSEE Directive europ enne relative l valuation et la gestion des risques d inondation Cette Directive europ enne de 2007 a d j t pr sent e dans le num ro 48 de Sign ture D clin e en France ses phases successives sont m L valuation pr liminaire du risque d inondation EPRI fin 2011 qui a abouti sur la d finition de territoires risque important d ino
23. c r monie du 4 d cembre 2013 http www etalab gouv fr article Information G ographique dataconnexions 4 decouvrez les huit laureats de cette edition les 5 et 6 juin 2014 Ajaccio 121431863 html LE CONCOURS x dataconnexions 4 SIGN TU RE te En Rendez vous venir POUR PLUS D INFORMATION La revue lectronique Sign ture est publi e quadrimestriellement et traite selon son acronyme historique de la Situation de l Information G ographique Num rique dans l Am nagement les Transports l Urba IG N 23 mes Journ es de la Recherche de l IGN nisme les R seaux et l Environnement mais galement d autres irnia nat les 20 et 21 mars 2014 Saint Mand domaines qu il serait trop long d num rer Elle est destin e tous les See acteurs qui y contribuent publics priv s et associations Chaque sise num ro comprend un dossier technique ou un point de vue qui traite soit des techniques g omatiques soit de l usage de la g omatique dans l un Directeur a des domaines d tudes pr cit s ou pas de la publication La Direction de la recherche et de l innovation organise un Bernard LARROUTUROU s minaire sur l avancement du plan satellitaire http www certu fr sign ture r241 html les 24 et 25 mars 2014 Lyon Cerema 2014 Plus d informations prochainement sur http Avww cete sud MD Vous souhaitez participer la r daction du prochain num ro de La reproduction totale oue
24. courante le niveau des types d objets g ographiques est galement d fini Par exemple selon les sp cifications des parcelles cadastrales la pr cision de localisation peut tre rapport e n importe quel niveau de la hi rarchie des types d objets g ographiques l emprise la parcelle ou la section cadastrale Les crit res de qualit les sous crit res et leurs mesures recommand es sont pr cis s dans les annexes propres chaque th me Ils ont t d finis en vue m d valuer et documenter les propri t s de qualit et les contraintes des objets g ographiques o ces contraintes sont d finies dans le cadre du sch ma d application m d valuer et documenter les l ments de m tadonn es de qualit des donn es spatiales pr vues dans le chapitre 8 des sp cifications des donn es m de sp cifier les exigences ou recommandations sur les r sultats cibl es de qualit applicables aux ensembles de donn es li es un th me sp cifique L annexe A du rapport tablit la liste des tats de qualit des donn es de la directive au travers des crit res qualit et sous crit res tels que d finis dans la norme ISO 19157 Le mod le de qualit ainsi pr sent dans les sp cifications des donn es est galement applicable pour l tablissement des r sultats cibl s Mettre en place des l ments de qualit a priori n cessite un quilibre d licat entre la grande disponibilit des donn es ob
25. cs de l tat Les articles r dig s contiennent des informations statistiques illustr es sous forme de tableaux et cartes Le choix pour la cartographie s est port sur l interface de programmation API du G oportail L API G oportail est utilis e sur tous les nouveaux sites internet d partementaux de l tat r alis s sous SPIP outil en licence GNU GPL 3 de publication de contenu et dispose d un plugin le plugin SPIP G oportail qui facilite sa mise en uvre et la cr ation de cartes Le plugin permet la cr ation de table de g opositions pour les objets SPIP de formulaires pour la saisie du g o positionnement des objets SPIP articles auteurs etc l int gration de g oservices WMS web map Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 services WFS web feature services de fichiers KML keyhole markup language De plus l interface simple et compl te de la fen tre carte de consultation avec son gestionnaire de couches et ses outils de recherches rend accessible l ensemble de notre public l information g ographique que nous souhaitons publier L utilisation du plugin SPIP G oportail n cessite l obtention aupr s de l Institut national de l information g ographique et foresti re IGN d une cl geoportail qui permet d afficher dans la fen tre carte de son site les couches du G oportail Au sein des services de l tat une cl partag e a t mise en place pour acc der dans les applicati
26. d nergie TA ada ax Evaluation E Foyer ouvrage a Eiai Laminaire 2 Decutan 2 Eilquate Foyar LE R seau par comma LE R seau abrit SOL e Mesure tous les maa u E i Armoire D x jt Irienshi 0 326 de lobjataif 26 60 de Pobpectit 60 76 de Fobpeelit TS 100 de Mobjeetif BT 100 125 de l objectif Plus de 125 de Tobi E Unifommis Us uss LE Intensit 0325 de l objectif 25 50 de l objectif 50 75 de l objectif a oO eo 5 Efficience cnengotiq HE Fomdlsgne Fr T5 100 de l objectif TS NE 100 125 de l objectif l ak SU Plus de 125 de l obj Illustration de la repr sentation cartographique des niveaux de service identifiant les secteurs mal bien et trop clair s La gestion de la maintenance assist e par ordinateur Utilis diff rents stades de la d marche de gestion durable des parcs d clairage public les SIG sont galement exploit s dans le cadre des op rations de maintenance des installations travers les outils de Gestion de la Maintenance assist e par Ordinateur GMAO Ces outils offrent des fonctionnalit s cartographiques similaires celles d crites pr c demment pour consulter interroger ou visualiser les quipements composant le parc d clairage IIS apportent galement des fonctionnalit s m tiers de la maintenance qui permettent de g rer l ensemble des i
27. e L API G oportail Nouvelle rubrique accessible sur l ABC14 ddtm est con u comme un portail du territoire calvadosien vu sous l angle des champs de comp tences de la Direction d partementale des territoires et de la mer DDTM du Calvados Il propose sous une forme condens e par th matique des articles sp cifiques ou d j existants pour renforcer la visibilit des politiques publiques conduites par la DDTM internet depuis septembre 2013 Originalit du portail une cartographie est labor e partir du G oportail Si les cartes G oportail ne s affichent pas nous vous conseillons de mettre jour votre navigateur L ABC14 ddtm http www calvados gouv fr l abc14 ddtm r1348 html L ABC14 ddtm est le croisement entre une nouvelle offre le portail internet de l Etat IDE renouvel qui utilise l API du G oportail pour localiser sur sa page de garde les locaux des services de l tat dans le Calvados et le souhait de la DDTM de faciliter l acc s pour les citoyens et ses partenaires professionnels aux informations qu elle produit La publication pr sente 14 th mes m tier de la DDTM couvrant les domaines de l habitat et la construction l agriculture la mer l eau et la biodiversit la s curit les risques la planification Les informations diffus es sont produites par les services de la DDTM ou font r f rence aux articles mis en ligne par d autres services d concentr s ou tablissements publi
28. e MEDDE tant un des principaux minist res utilisateurs des services Copernicus particuli rement concern par leurs th matiques anime les relations avec les utilisateurs La DRI du CGDD a organis plusieurs forums d utilisateurs nationaux th matiques ou multi t matiques http www rst developpement durable gouv fr forum national des utilisateurs r281 html et coordonne la pr paration nationale des travaux du Forum des utilisateurs au niveau europ en Elle s appuie galement sur le PCI Applications Satellitaires et T l communications du CETE du Sud Ouest dans le cadre du plan d applications satellitaires du MEDDE pour ce qui concerne les relations avec les acteurs r gionaux et les services d concentr s de m me que pour le soutien au d veloppement d applications aval Par ailleurs un programme de recherche GMES du minist re du d veloppement durable GMES MDD devenu Copernicus MDD a t cr fin 2011 par la DRI http www insu cnrs fr node 3966 Il vise assurer en liaison avec le MESR le maintien la consolidation et le d veloppement des comp tences fran aises au sein des services Copernicus en pr parant l volution de ces services de m me que la promotion des d veloppements d applications de ces services au b n fice des politiques publiques du minist re Dans ce cadre et en s appuyant sur la collaboration de INSU un premier appel propositions de recherche a t lanc en
29. es lotissements permet de voir leur importance dans la tache urbaine Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Un bon compl ment aux autres donn es disponibles Les indicateurs propos s permettent donc de tirer parti de la richesse des fichiers fonciers pour analyser la consommation d espace Ces l ments peuvent intervenir en compl ments d informations existantes par ailleurs comme les modes d occupation des sols le registre parcellaire graphique la BD TOPO etc Acc s la publication L ensemble des fiches est t l chargeable sur le catalogue de la Direction technique Territoires et ville du Cerema http www certu catalogue fr Des liens directs sont propos s dans l article suivant http www certu fr mesure de la consommation d espace a924 html St phane LEV QUE Cerema Direction technique Territoires et Ville Vincent CAUMONT Cerema Direction territoriale Nord Picardie Mesure de la consommation d espace partir des fichiers fonciers cene sr atio ge fiches Apr chapi itre ia si moak qui peisen nte la probl matique les ene eux l Spei tifs et les spa cipales donn es utilis es les vingt cinq fiches ac ater Ales liste com 2 des ha 5 e w rouvent en 4 de sont organis e oh 5 atre chapitres a cinqui me et der a pre sors me les pre r lesquelles s appuient les indicateur Le portail cartographique de la DDTM du Calvados labor partir d
30. es de l environnement et de la s curit qui repose certes sur des observations principalement satellitaires mais aussi in situ sol bou es avions etc et qui inclut le d veloppement de services dans diff rents domaines terre air mer urgences climat et s curit Ainsi Copernicus nest pas plus un programme spatial que ne lest la m t orologie l observation spatiale y joue un r le important voire pr pond rant pour certains services mais elle ne permet pas elle seule la production d une information sur l environnement Le programme Copernicus r sulte d une initiative de l Agence spatiale europ enne ESA prise vers la fin des ann es 1990 pour pr parer la suite op rationnelle de plusieurs programmes d observation de la Terre arriv s maturit qu ils soient europ ens ou nationaux tels que ERS Spot ou Envisat La conduite du programme a ensuite t confi e la Commission europ enne charg e de d velopper les services et de pr parer leur transition vers l op rationnel La principale caract ristique du programme Copernicus est d une part de couvrir un champ tr s large et d autre part de le faire partir des nombreuses infrastructures existantes aussi bien dans le domaine des observations que dans celui des services Les ma tres mots du programme sont mutualisation des infrastructures et de l expertise existante et p rennit indispensable au d veloppement de services Une autre part
31. es exigences li es aux r seaux de transport en conformit avec INSPIRE Ce g ostandard s impose dor navant tous les services de l tat aussi bien pour fiabiliser la localisation et la connaissance du sentier du littoral et de ses servitudes et suivre son tat d avancement mais nul doute que le public saura galement exploiter une information de qualit pour des pr occupations sans doute plus orient es loisirs Richard MITANCHEY Cerema Direction technique Territoires et Ville 18 Commission de validation des donn es pour l information spatialis e Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Le programme Copernicus devient op rationnel en 2014 O TE Copernicus est le nouveau nom du programme europ en jusqu alors connu sous le nom de GMES Global Monitoring for Environment and Security partir de 2014 Copernicus entre dans la phase de d ploiement op rationnel et b n ficie pour la p riode 2014 2020 d un budget de 3 786 milliards d euros Cela signifie que la plus grande partie des l ments du programme consid r s dor navant comme op rationnels seront financ s par ce budget dans le cadre d un r glement et non plus par le programme cadre de recherche Copernicus c est quoi Copernicus est souvent pr sent comme le second programme spatial de la Commission europ enne apr s Galileo ce qui explique le choix de ce nouveau nom En fait cest un programme de surveillance dans les domain
32. icularit affich e est que le programme soit pilot par la demande les observations et les services sont d finis partir des besoins exprim s par les utilisateurs qui sont principalement les autorit s publiques du niveau europ en au niveau local Derni re caract ristique importante les donn es produites seront mises disposition de fa on ouverte libre et gratuite Une des ambitions de Copernicus est de susciter le d veloppement en aval de services valeur ajout e sp cialis s et de permettre ainsi de nombreuses cr ations d emplois les tudes d impact r alis es avancent le chiffre de 50 000 emplois europ ens sur la p riode 2015 2030 Architecture Copernicus RE nou N Infrastructure d observation Services Services Copernicus Applications aval Secteur aval Figure 1 architecture du programme Copernicus Cerema F vrier 2014 19 Sign ture n 53 Les services Copernicus Les services sont con us pour couvrir les diff rentes chelles du global au r gional et pour certains au local Ils sont d velopp s dans six domaines les produits des services pr op rationnels sont accessibles sur des sites d di s indiqu s pour chacun d entre eux m Terre territoire ou surfaces continentales surveillance et occupation des sols ressources naturelles gestion des territoires http land copernicus eu Ce service est constitu de trois composantes la composante pan
33. im gt Urbanisme gt Documents d urbanisme Urbanisme Documents d urbanisme Foncier et occupation du sol Article cr le 1909 2013 Documents d urbanisme tat de la planification au 22 11 2013 i 5 Planification source DOTM14 Couches modifier le certe Outils rechercher une adresse et s d placer dans le certe D coucnes JE Conditions g n rales dLE tion Mis jour Le 26 11 2013 Yannick D PRET Direction d partementale des territoires et de la mer du Calvados Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 BD CARTHAGES en open data et perspective d un r f rentiel hydrographique grande chelle N en 1992 de la volont de la direction de l eau de l poque et de la coop ration de l IGN et des agences de l eau la BD CARTHAGE issue de la BD CARTO est depuis cette date le r f rentiel hydrographique fran ais Cette donn e a fait l objet convention apr s convention d une ouverture de plus en plus grande passant l origine d un produit r serv aux services qui avaient contribu sa production ces derni res ann es un produit accessible tous gratuitement mais sans possibilit de r utilisation commerciale La coop ration entre l IGN et l Onema qui a repris la ma trise d ouvrage de la BD CARTHAGE a fait l objet d un nouveau pas d cisif travers la convention sign e le 9 septembre 2013 d sormais la BD CARTHAGE qui couvre la m tropole
34. inondables classes de hauteur d inondation vitesses d j disponibles les DREAL ou leurs prestataires bureaux d tudes Directions territoriales du Cerema ont d compl ter la connaissance de ces surfaces inondables dans certains TRI ou pour certains sc narios Une importante campagne d acquisition de donn es LIDAR a t financ e par la DGPR aupr s de l IGN afin de disposer de Mod les Num riques de Terrain MNT suffisamment pr cis pour mod liser les inondations dans des d lais restreints Une partie de ces travaux est d crit sur le site wikhydro 11 Direction R gionale de l Environnement de l Am nagement et du Logement 12 Direction D partementale des Territoires et de la Mer 13 Anciennement CETE 14 Direction G n rale de la Pr vention des Risque Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Hasteurs d eau ER ste B irl ELETE COLELEL Potier Crt ns ing de preneur PR ess ds ia Boa mia G ii Dicpupbpr sheet LL mnim Moses iraa a che E a pem a Loir 7 Exemple de carte de surface inondable Enjeux expos s Pour les donn es d enjeux potentiellement expos s aux inondations une grande partie des donn es renseigner provenait de la BD TOPO L IGN a transform les donn es de la BD TOPO afin de les livrer aux services au standard COVADIS Ces donn es ont t enrichies localement si n cessaire Deux enjeux particuliers ont n cessit des traitements sp cifiques
35. ins de pr vision sont destin s aux services hydrologiques nationaux responsables des alertes A ce te pe a CR m T Le aT E i mii th aP Figure 5 suites aux inondations survenues en Bretagne le 02 01 2014 cartes de zones inond es d duites d une image du satellite radar COSMO SkyMed observ e le 04 01 2014 cr dit Copernicus http emergency copernicus eu ma Changement climatique ou surveillance du climat informations en soutien des politiques d adaptation ou d att nuation r analyses m t orologiques et climatiques http www copernicus eu pages principales services climate change Ce service en cours de pr paration devrait d velopper des jeux d indicateurs climatiques bas s sur un suivi du climat et de ses projections possibles de m me qu un syst me d informations sectorielles sur les impacts du changement climatique Plusieurs projets pr paratoires au service sont financ s par le 7 PCRD Ils concernent des r analyses globale du 20 si cle un ensemble de r analyses r gionales le suivi et les exigences de qualit pour des variables climatiques essentielles ECVS multi d cadaires l acc s aux donn es climatiques observ es et pr vues et une boite outils d indicateurs des produits concernant la probl matique de l attribution des changements climatiques tude de leurs causes S curit surveillance maritime pollutions contrebande p ches surveillance des fr
36. ire de rattachement tat du mat riel L int r t de ces cartographies r side dans l aisance d une lecture spatiale du patrimoine et la visualisation des informations issues des relev es et tri es par th matique pour n afficher par exemple que la typologie de lampes ou bien la r partition des quipements par rapport l armoire qui les alimente comme sur l image suivante Couches IE x Foyer ouvrage s Etat Luminaire s Etat support s Occultant s Etiquette Foyer X R seau par commande x f_ R seau a rien souter Mesure tous les 5 m t Type de source x s Armoire D 5 6 6 6 8 s Intensit Uniformit Efficience energetique x FondLigne s Conformit Armoire 6 6 6 A sx Le Exemple de cartographie d un SIG clairage tri par armoires de commande QGIS M Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 D autres tris th matiques pr sentent un int r t majeur pour les analyses des caract ristiques du parc d clairage public tels que m le type de lampe permettant d identifier les sources lumineuses les moins performantes remplacer en priorit m les puissances de ces lampes permettant d identifier les sources les plus nergivores m les mod les de luminaires permettant d identifier les plus anciens et les moins efficients m la r partition des r seaux d alimentation entre r seaux enterr s et a riens m la r partition
37. ittoral manchois vu sous Cart lie L unit G omatique de la Direction D partementale des Territoires et de la Mer et de la Manche met disposition des agents des cartes th matiques via le site intranet de la DDTM 50 En 2013 avec la D l gation la Mer et au Littoral DML a t con ue la carte Mer et Littoral Pour faciliter le portage de la politique de gestion int gr e du territoire par l ensemble des services de la DDTM il s agissait de reporter dans une seule carte l ensemble des donn es g or f renc es traitant des questions maritimes navigation professionnelle protection des milieux marins p che et cultures marines et des questions littorales risques littoraux gestion du domaine public maritime am nagements littoraux Cette carte est tout particuli rement importante dans le d partement de la Manche qui poss de un vaste estran lieu de nombreux usages conchyliculture p ches pied loisirs nautiques et une c te diversifi e dunes falaises digues murs mesurant plus de 600 km de long L architecture de la carte a t d finie par la responsable de la mission de coordination des politiques maritimes et littorales de la DML apr s un travail collaboratif avec les p les de la DML et les correspondants maritimes des trois d l gations territoriales principaux collecteurs de donn es et utilisateurs de la carte avec le double objectif de r pondre aux missions et aux besoins de
38. les d cisions prises l issue du CIMAP du 18 d cembre 2013 il faut retenir la r af firmation de la gratuit pour la r utilisation des donn es publiques et l abrogation de certaines redevances notamment le parcellaire agricole de l Agence de services et de paiement et les donn es cadastrales de l Institut national de lori gine et de la qualit tous deux rattach s au minis t re de l Agriculture de l agroalimentaire et de la for t La volont de diffuser plus largement les donn es brutes issues de missions de services publics se renforce et les tablissements publics P T SE gt TE PR pe ni L T TURE Lettre de l Information G ographique Num ro 53 F vrier 2014 dont la production de donn e est la mission premi re devront laborer de nouveaux mod les conomiques La BD CARTHAGE est donc au sommaire puisque d sormais vers e au patrimoine commun des donn es publiques ouvertes Copernicus le programme europ en d observation de la Terre tout entier s inscrit dans cette volont d ouverture des donn es publiques et fera l objet du dossier technique Mais cette ouverture pose la question de l appr ciation de leur qualit et la Directive Inspire est aujourd hui compl t e d un premier texte sur le sujet de la qualit qui sera d crypt dans ce num ro Enfin comme dans tout num ro de Sign ture qui se respecte une large place est faite aux usages de l information g ogra
39. ligation de partage des donn es et les avantages de l interop rabilit C est pourquoi INSPIRE l exception de la coh rence logique ne fixe pas d obligations a priori sur la qualit mais plut t des recommandations autour des r sultats de qualit Le r le des recommandations a priori de r sultats sur la qualit ne doit pas tre sous estim elles doivent aider guider les d veloppements futurs pour les communaut s des fournisseurs de donn es En ce qui concerne les m tadonn es la section m tadonn es des Sp cifications en plus d inclure les d tails des th mes sp cifiques donne des recommandations sur la fa on d utiliser les l ments de m tadonn es d j d finies dans le r glement de m tadonn es par exemple la g n alogie les mots cl s la conformit Il d finit galement les l ments de m tadonn es pour l valuation et l utilisation qui sont communes chaque th me et facilite l interop rabilit La m tadonn e utilisabilit usability est un nouveau crit re de qualit introduit dans la norme ISO 19157 qui est d finit de la mani re suivante L utilisabilit est le degr d adh sion un ensemble sp cifique d exigences de qualit de donn es L utilisabilit est utilis pour d crire des informations sp cifiques de qualit sur l ad quation d un jeu de donn es une application ou exigence particuli re Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Si le
40. ligation l gale de conformit Ces valeurs sont utilis es diff rentes tapes de la chronologie pour le partage des donn es et l obligation d interop rabilit Ce premier r sum du rapport d montre combien la pris en compte de la qualit dans INSPIRE est complexe et n cessitera un accompagnement s rieux Nous aurons tr s certainement l occasion d y revenir Gilles TROISPOUX Cerema Direction technique Territoires et ville Data Quality in INSPIRE Balancing Legal Obligations with Technical Aspects Cerema F vrier 2014 15 Sign ture n 53 L information g ographique au service de l clairage public Le parc d clairage public l chelon national repr sente pr s de 9 millions de sources lumineuses et une forte diversit d quipements lampes et appareillages luminaires supports d clairage Les enjeux conomiques nerg tiques et environnementaux identifi s depuis quelques ann es par les acteurs de la fili re clairage ext rieur dont notamment les collectivit s locales propri taires et gestionnaires majoritaires de parcs d clairage public en France ont fait voluer fortement les m thodes et pratiques dans ce domaine En outre la mise en place des nouvelles politiques de gestion durable n cessite de r aliser par les collectivit s des diagnostics exhaustifs destin s leur permettre d identifier et de caract riser les parcs d clairage au vue des enjeux
41. lumineux sociaux nerg tiques environnementaux et conomiques La cr ation de cartographies des installations d clairage public apporte de nombreux atouts Elle permet outre la connaissance du mat riel install de sm rendre plus efficaces les phases de diagnostic m d finir des programmes de r novation hi rarchisation et localisation des actions m optimiser les phases d exploitation et de maintenance maintien du niveau de service suivi d indicateurs de r f rence etc Les inventaires de parcs d clairage public Depuis quelques ann es les collectivit s r alisent donc quasi syst matiquement des inventaires cartographi s de leurs installations d clairage pour constituer soit un SIG clairage sp cifique soit ajouter au SIG existant un calque clairage public qui se d compose en 3 entit s sp cifiques au domaine caract ristiques pour lesquelles on d finit les m les points lumineux d crivant l ensemble support luminaire lampe apprareillage coordonn es nature des supports et hauteur nature et puissance des lampes tat de v tust et de fonctionnement conformit lectrique m l armoire de commande d crivant les quipements de cette derni re coordonn es composants identification des d parts relev s des consommations conformit lectrique m le r seau d alimentation lectrique a rien ou enterr nature et section des c bles armo
42. ndation TRI d but 2012 m La cartographie des risques d inondation sur tous les TRI fin 2013 m La d finition de plans de gestion du risque d inondation PGRI l chelle du district hydrographique ex Seine Normandie et de strat gies locales de gestion du risque d inondation SLGRI pour chaque TRI 2015 La phase cartographie termin e ou en cours de finalisation dans les 122 territoires risque important d inondation retenus en France consiste cartographier les surfaces inondables par d bordement de cours d eau et ruissellement sous forme de 3 sc narios crues fr quente moyenne et extr me et par submersion marine 1 sc nario moyen Changement Climatique puis le risque inondation en pr sentant les enjeux expos s dans les surfaces inondables mitre Es TRI Nationaux D 77 District C Fronti re nationale Principaux fleuves Pr fecture de r gion Localisation des TRI Mise en uvre du standard COVADIS La phase cartographie est sous la responsabilit des D R EAL de bassin qui s appuient sur les DREAL voire les DDT M du bassin Afin d harmoniser les productions des services un standard COVADIS a t d fini pour les donn es recueillir II est accompagn de mod les de mise en forme gabarits sous Maplinfo et QGIS et d un mode d emploi pour la r alisation des cartes Surfaces inondables Apr s une phase de recensement des donn es de surfaces
43. nelle 1 A actuellement pr vu fin avril 2014 Les politiques de donn es et de diss mination des informations La politique de donn es du programme constitue une volution majeure par rapport celle habituellement appliqu e en Europe Les donn es et produits financ s par le programme seront mises disposition en mode libre ouvert et gratuit On peut d ailleurs constater que cette politique est d j appliqu e pour tous les produits des services pr op rationnels actuellement en place voir les liens indiqu s au chapitre sur les services En outre les donn es g n r es par le programme et les produits des services Copernicus devront naturellement respecter la directive Inspire Cette politique n cessite des d veloppements particuliers pour assurer l acc s aux donn es et produits tous les utilisateurs potentiels car le volume de donn es g n r s par Copernicus sera consid rable les Sentinelles produiront 4 t raoctets de donn es par jour Le syst me de distribution des donn es Sentinelles aux services est en cours de mise en place par l ESA et celui des services aux utilisateurs par la Commission europ enne Un r flexion est en cours pour assurer par tape un acc s direct aux donn es Sentinelles tout ceux qui le souhaiteront fournisseurs de services utilisateurs l chelle mondiale Les solutions examin es incluent des relais nationaux en Europe des serveurs coop ratifs et le d ploiement d un
44. nformit avec les modalit s d application soient publi e en tant que m tadonn e Le r glement sur les m tadonn es comprend la conformit comme un l ment de m tadonn e obligatoire et d finit son champ d application et d valuation et de r sultats Cependant les questions ouvertes qui d coulent de la mise en relation des aspects techniques et juridiques retarde quelque peu le d veloppement des tests de conformit En cons quence les informations li es ont t d finies durant l laboration des sp cifications des Annexes II et III seulement aboutissant une suite de tests abstraite ATS Les tests sont regroup s en plusieurs unit s qui sont consid r s comme un classes de conformit qui sont les suivantes m Sch ma d application m Syst mes de r f rence m Coh rence des donn es m Conformit de la qualit des donn es m Conformit des m tadonn es d interop rabilit m Information sur l accessibilit m Livraison des donn es m La repr sentation m Directives techniques La classe de conformit du sch ma d application m rite une attention particuli re car elle contient la seule exigence d INSPIRE sur la qualit Les tests inclus dans cette classe v rifient le respect de la coh rence logique Du point de vue de la mise en uvre on peut se demander pourquoi les valeurs pas conforme et pas valu s sont autoris es dans INSPIRE tant donn qu il existe une ob
45. nstallations des interventions qui sont r alis es remplacement de mat riels r parations suppression de pannes mais aussi toute la cha ne de traitement des d fauts depuis leur signalement jusqu l intervention terrain et sa cl ture une fois celle ci valid e Ces outils int gr s assurent ainsi une tra abilit des interventions de maintenance des fonctionnalit s de suivi qualitatif et quantitatif ainsi que d alertes pr ventives comme la gestion du vieillissement de certains quipements Les interventions terrain sont saisies sur sites les informations sont transmises la base de donn es soit en temps r el soit par synchronisation ult rieure ce qui r duit consid rablement les temps de Saisie ainsi que les sources d erreur Cerema F vrier 2014 17 Sign ture n 53 Exemple d optimisation par le syst me d information g ographique La tourn e de nuit 1 l op rateur m morise pr alablement son parcours et le suit guid par son GPS embarqu sa trace est ainsi m moris e et consultable par la collectivit via la GMAO d s transfert des informations 2 toutes les pannes sont saisies et m moris es en direct l aide de la tablette et transmises la base de donn es en direct ou en diff r le lendemain matin supprimant les saisies compl mentaires des bordereaux papier utilis s pr c demment L dition du rapport de tourn e est ainsi quasi imm diate 3 Les interventi
46. nt les exigences en termes d exhaustivit de coh rence d exactitude et d autres aspects d finis par l utilisateur remplir en cours de production des donn es La phase des sp cifications des donn es contribue la collecte des m tadonn es en pr cisant les m tadonn es de d couverte identifiants des donn es producteur validit etc et les m tadonn es propres l valuation et l utilisation contenu des donn es chelle r solution syst me de coordonn es CRS repr sentation spatiale etc Les valeurs des autres l ments de m tadonn es comme ceux sur la qualit des donn es ou la g n alogie peuvent tre d termin es apr s le processus de production Ainsi les m tadonn es renseignent les r sultats de qualit a posteriori qui sont fond s sur m des valuations de facto et les r gles d agr gation sp cifiques appliqu es l ensemble des donn es m d autres renseignements de l auteur producteur exprim s comme des informations non quantitative On mesure quel point la phase de sp cification des donn es est importante car c est partir de ces l ments a priori que sera valu la qualit d finie par la norme ISO 19157 et la conformit d finie dans la norme ISO 19105 comme le respect des exigences sp cifi es Pour les donn es g ographiques le document de sp cification qui a t utilis pour la production est galement la base des tests de conformit La qualit
47. ntenu homog ne sur l ensemble du territoire national avec une maille tr s fine la parcelle Ils permettent ainsi des comparaisons entre terri toires La mise jour annuelle des donn es permet galement d envisager un suivi r gulier Cette source a aussi ses limites Elle est tr s riche mais complexe et son utilisation demande de la rigueur L origine fiscale et d clarative de l in formation n cessite des pr cautions d usage Les donn es ne concernent que les surfaces cadastr es certaines surfaces du domaine public ne sont pas r pertori es ce qui n cessite des m thodes de prise en compte de ces surfaces D autre part la qualit de remplissage des variables de la base n est pas homog ne c est le cas des dates de construction des locaux d activit mal renseign es avant 2002 2003 Pour plus d informations consulter le portail des fichiers fonciers sur le site extranet minist riel G olnformations http extranet geoinformations developpement durable gouv fr fichiers fonciers r549 html L acc s au portail par internet n cessite un identifiant et un mot de passe Ceux ci S obtiennent en contactant les administrateurs de G oln formations via l adresse de messagerie geoinformations developpe ment durable gouv fr Les services ayant acc s l intranet du Minist re de l Ecologie du D ve loppement Durable et de l nergie peuvent acc der directement la rubrique par le lien suivant
48. ommune afin que les totaux communaux de population correspondent la population l gale DL MORE a y Aa aP y C F M thodes de calcul de population dans les surfaces inondables ulati Estimation du nombre d emplois dans les surfaces inondables Pour l estimation du nombre d emplois le choix tait beaucoup plus restreint l chelle infra communale la donn e la plus exhaustive est la base de donn es SIRENE de l INSEE l adresse qui recense le nombre d employ s par tablissement par tranche ex de 50 et 99 salari s Les donn es acquises sur l ensemble des TRI ont t g ocod es par un prestataire Dans un second temps la Direction territoriale M diterran e du Cerema a mis en forme les donn es r sultantes r affectation des emplois d entreprises non g olocalis es mise l cart de certaines cat gories d emplois publics o le nombre d employ s est concentr sur le si ge social afin de les diffuser aux services sous forme d un semis de points d emplois Celui ci permet d estimer une tranche d emplois dans les surfaces inondables le rapport entre le minimum et le maximum allant r guli rement jusqu 2 am nana Fi Exemple de carte de risque d inondation Sylvain CHARAUD Cerema Direction territoriale M diterran e Cerema F vrier 2014 9 Sign ture n 53 Des plages du d barquement au Mont Saint Michel la richesse du l
49. ons r alis es pour rem dier aux pannes constat es sont galement m moris es et consultables par la collectivit de mani re tr s rapide 4 Certaines fonctionnalit s permettent d optimiser et de m moriser le parcours d un op rateur de maintenance partir des pannes recens es pour minimiser son trajet conomie de carburant et de temps Les exploitations futures Face des probl matiques environnementales fortes telles que la pollution lumineuse et la g n ration des halos lumineux au dessus des villes r duisant ainsi fortement la potentialit d observation des toiles la nuit certaines exploitations utilisant des syst mes d information g ographique sont tudi es Ainsi le croisement des inventaires SIG des installations d clairage public avec des photos a riennes nocturnes doivent pouvoir permettre d identifier les quipements d clairage public les plus impactant en terme de diffusion de lumi re z nithale vers le ciel participant au halo lumineux visible de nos jours au dessus des agglom rations Les potentialit s sont encore m connues en raison de la faible disponibilit de ces images nocturnes Elles laissent entrevoir un fort potentiel d exploitation dans le cadre de diagnostics pollution lumineuse Paul VERNY Cerema Direction territoriale M diterran e En Le g ostandard Sentier du littoral Le sentier du littoral qui d signe sur l ensemble de la m tropole et DOM la totalit du t
50. ons web aux principales couches du G oportail Cette cl ouvre les portes des domaines internet suivants developpement durable gouv fr territoires gouv fr equipement agriculture gouv fr Pour la DDTM du Calvados ce sont maintenant 34 cartes G oportail qui sont publi es sur son site Ces cartes ont l avantage par rapport aux cartes fig es jpeg pdf d tre d un faible entretien Utilisant les g oservices du G oportail et les WMS des producteurs des r f rentiels m tiers les cartes se mettent jour simultan ment la publication par leur producteur des nouveaux flux WMS Compl mentaires aux cartes Cart lie Carmen ou PRODIGE dont elles utilisent les flux WMS les cartes G oportail de l IDE dans le Calvados se sont av r es tre un moyen efficace et facile de prise en main par le grand public pour diffuser de l information g ographique Ins r e dans l article l information g ographique participe dor navant directement la richesse du contenu de la publication Chaque carte propose la consultation les couches du G oportail et les couches th matiques issues des serveurs des services producteurs Lorsqu elles sont accessibles en flux ou t l chargeables les donn es g ographiques sont sous licence ouverte Etalab Services de l tat Politiques publiques Actualit s Publications D marches administratives Vous tes Accueil gt Pub cstions gt Documentation Ressources gt L ABC14 d t
51. onti res soutien aux services d action ext rieure crises productions agricoles http 1Wwww copernicus eu pages principales services security Ce service est aussi en cours de conception Des projets pr paratoires correspondant aux diff rents axes sont et seront financ s par l UE au travers le 7 PCRD et Horizon 2020 Les quatre premiers services sont en phase pr op rationnelle Les deux derniers changement climatique et s curit sont encore en phase de conception Tous les services volueront r guli rement avec le d veloppement de nouvelles techniques d observations et de traitement Figure 5 Cerema F vrier 2014 22 Sign ture n 53 La composante spatiale Les services Copernicus s appuient sur de nombreux satellites et instruments existants dont certains sont d j en version op rationnelle ce sont les missions contributives avec par exemple le cas des satellites m t orologiques de l agence Eumetsat Copernicus inclut galement une composante spatiale comportant cinq missions satellitaires sp cifiques appel es Sentinelles qui ont t d velopp es pour le programme Sentinelle 1 mission d imagerie radar SAR bande C tout temps jour et nuit au profit des services territoire oc an urgences et s curit Le lancement du premier exemplaire est pr vu au 2 trimestre 2014 Ce satellite assurera une continuit avec les pr c dents acquis de l ESA et du Canada dans le domaine
52. phique dans les m tiers tr s vari s des collectivit s et des services d concentr s de l tat confirmant au passage que la g omatique est un domaine o le Cerema saura les accompagner Bernard ALLOUCHE Cerema Direction technique Territoires et ville 1 Br ves __ Mesurer la consommation d espace partir des fichiers fonciers La loi Engagement National pour l Environnement et la loi de Modernisation de l Agriculture et de la P che ont r affirm en 2010 l enjeu de r duction de la consommation d espaces naturels et agricoles Dans ce contexte les services de l tat comme les collectivit s territoriales ont besoin de donn es et de m thodes pour suivre l volution de l occupation du sol et d finir les strat gies de ma trise de l talement urbain Les fichiers fonciers ou MAJIC anonymis s sont acquis par les services du MEDDE et du METL depuis 2010 Ils peuvent tre mis la disposition des collectivit s locales et tablissements publics Dans ce contexte les r alisations les plus significatives men es avec ces donn es au sein des services d concentr s ont t capitalis es en 2012 et 2013 la demande de la DGALN Le groupe de travail mis en place a t copilot par le P le de Comp tences et d Innovation PCI Foncier et stra t gies fonci res Directions territoriales Nord Picardie et M diterran e du Cerema et la Direction technique Territoires et ville du Cerema ex Ce
53. r MACC Dolly Fire Products Monday 8 July 2013 Average of Oibiervwed Firs Radiaires Power Argal Density mW m2 ma vahe 2 95 W m WT E E Es ET aT aia ace 1060 ELU no Li pi pui 10 i A Usisction dis pr visions sp ratonneles de MyOcoon Copericu Marire F en M ditermante maibe 5 ken pour ora rush aa DOT Gi C1 O1 01a 027 025 028 el apporter un sapport aue quipes de ko gorde c ti re stobenns Figure 3 illustration de la contribution apport e par le service Copernicus Oc an aux garde c tes italiens pour la simulation du risque de pollution par nappe de p trole lors de l op ration de redressement du navire Concordia Cr dit projet MyOcean2 FP7 Mercator Oc an CMCC www fortunes de mer com m Atmosph re ou air composition de l atmosph re incluant les polluants gazeux les a rosols et les gaz effet de serre pour un suivi de la qualit de l air du transfert et du bilan radiatif de C pi GS D com ME GR l atmosph re http atmosphere copernicus eu MEN ONU CNW PE NU NT WT NT ON Le service pr op rationnel MACC2 produit tous les jours l aide Figure 4 d observations satellitaires et in situ d une estimation des Le service Copernicus Atmosph re fournit quotidiennement missions et de mod les de pr vision m t orologique et de chimie a des informations sur les missions de polluants issus des feux atmosph rique des analyses et des pr visions globales jusqu 5 b de
54. rac ouvert le long de la mer doit permettre aux pi tons d acc der au rivage de la mer et de cheminer le plus possible le long du littoral ce jour les donn es sentier du littoral repr sentent un lin aire de 6 400 km dont un cheminement ouvert aux pi tons de 4 500 km les lin aires de sentier tudier ou accessibles court terme et le lin aire inaccessible Ces donn es sont recueillies tous les deux ans par le Cerema Direction territoriale Normandie Centre pour alimenter une base nationale contribuant ainsi au porter connaissance notamment via l application G oLittoral Le bureau du littoral et du domaine public naturel DGALN DEB a ainsi souhait favoriser aussi bien les changes d informations entre les services gestionnaires DDTM DEAL et le Cerema mais galement harmoniser la production de la donn e notamment en cas de recueil d information aupr s des collectivit s territoriales ou du Conservatoire de l espace littoral et des rivages lacustres La Covadis sollicit e par la DGALN DEB a d sign le 27 mars 2013 Pierre VIGNI du Cerema Direction territoriale Normandie centre comme rapporteur du projet et a valid le 22 janvier 2014 un nouveau format d change de donn es concernant le sentier du littoral Le g ostandard Sentier du littoral ainsi valid permet d identifier la localisation le trac l usage l accessibilit et la difficult de chaque tron on de sentier tout en respectant l
55. rtu Les travaux auxquels ont particip l tat la FNSafer la F d ration Natio nale des Agences d Urbanisme l IAUS d le de France l INRA ont abouti la r daction de fiches th matiques illustrant les possibilit s offertes par les fichiers fonciers Les autres bases de donn es utiles au th me y sont aussi abord es En particulier un chapitre est consacr aux informations permet tant de qualifier les espaces naturels agricoles et forestiers Minist re de l cologie du D veloppement Durable et de l nergie Minist re de l galit des Territoires et du Logement Direction G n rale de l Am nagement du Logement et de la Nature Anciennement CETE Nord Picardie et M diterran e F d ration Nationale des Soci t s d am nagement et d tablissement rural Institut d Am nagement et d Urbanisme Institut National de la Recherche Agronomique NOR NR Les fichiers fonciers int r ts et limites Les fichiers MAJIC sont issus d une application de Mise Jour des Informations Cadastrales de la Direction G n rale des Finances Publiques Ils d crivent en particulier l occupation du sol et la nature des propri t s b ties de chaque parcelle Les donn es sont retrait es par la Direction territoriale Nord Picardie du Cerema dans le cadre du PCI Foncier et strat gies fonci res avant livraison aux services d concentr s Les fichiers fonciers pr sentent l avantage de constituer une donn e au co
56. s autres l ments de la qualit des donn es figurant dans la pr sente Norme internationale ne rendent pas suffisamment compte de la qualit l utilisabilit doit tre privil gi e NOTE Par exemple avec cet l ment un producteur de donn es peut montrer pour un jeu de donn es avec des l ments quantitatifs comment il int gre diff rents usages identifi s Cet l ment peut tre utilis pour d clarer la conformit d un jeu de donn es une sp cification particuli re La m tadonn e conformit d finie dans le r glement de m tadonn es exige la d claration de conformit avec la r gle mise en uvre de l interop rabilit des bases de donn es et des services En outre elle peut galement tre utilis e pour documenter la conformit toutes les autres sp cifications comprenant les sp cifications d interop rabilit d INSPIRE publi es dans les guides techniques les normes les autres sp cifications nationales et internationales et les besoins des utilisateurs Elle comprend deux sous l ments la sp cification une r f rence la sp cification et le degr de conformit Les valeurs de ce dernier crit re peuvent tre conforme si le jeu de donn es est enti rement conforme la sp cification cit e non conforme ou non valu On rappelle que la conformit est le respect des exigences sp cifi es L article 5 paragraphe 2 a de la directive INSPIRE exige que la co
57. s pr visions de transport grande distance des panaches jours de la composition 3D de l atmosph re en constituants Cr dit projet MACC II FP7 gazeux et en a rosols de m me que le calcul de diff rents flux Cerema F vrier 2014 21 Sign ture n 53 Urgences ou aide la gestion des urgences cartographie de d g ts lors de catastrophes pr vision de risques de d sastres par exemple crues http emergency copernicus eu mapping et http www efas eu La premi re priorit du service pr op rationnel actuel GIO EMS est de fournir pendant les crises une cartographie rapide des al as et des d g ts s appuyant sur l imagerie satellitaire lors de catastrophes naturelles inondations temp tes et cyclones tsunamis s ismes ruptions volcaniques incendies de for ts boulements et glissements de terrains ou industrielles la demande d utilisateurs autoris s impliqu s dans la coordination des secours autorit s de s curit civile DG ECHO ONG II peut galement fournir hors crise et la demande d autres produits de cartographie avec des d lais plus long pr vention ou gestion post crise Parall lement un syst me de pr vision de risques d inondations moyenne ch ance EFAS European Flood Awareness System a t int gr au service d aide la gestion des urgences Il est bas sur des pr visions de pr cipitations coupl es avec un mod le hydrologique Ses bullet
58. soci s des informations utiles date de visite tat usage Ces prises de vue et l ensemble des donn es alphanum riques associ es aux objets sont accessibles depuis la carte en utilisant les fonctionnalit s propos es par Cart lie infobulle interrogation des donn es Les couches g ographiques locales sont cr es et mises jour par le g omaticien de la DML partir des donn es terrain fournies par les correspondants territoriaux relev s GPS photos informations utiles La carte est visible uniquement en intranet l adresse suivante http intra ddtm manche i2 mer et littoral a4790 html Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 Le principal facteur de r ussite de ce travail est une collaboration de qualit entre les services La carte mise en ligne par l unit g omatique d pend pour partie des tables labor es par le g omaticien de la DML dont le travail est subordonn aux informations qui lui sont remont es par les usagers de la carte Mer et Littoral Le projet a n cessit plusieurs r unions de travail et de nombreux outils ont t mis en place pour faciliter le recueil et le partage des donn es laboration de tableaux type compl ter et de feuilles de saisie type pour les relev s terrain avec GPS utilisation d un serveur partag pour stocker les donn es recueillies et disposer d un espace de travail commun La carte a t pr sent e une premi re fois en f vrier 20
59. st developpement durable gouv fr applications satellitaires et Sign ture car votre structure m ne une d marche g omatique ou T Ce r196 html avez des v nements promouvoir Contactez nous document doit tre oo o soumise l accord pr alable du Cerema Centre d tudes et d expertise sur les risques l environnement la mobilit et l am nagement www cerema fr s Direction technique Territoires et ville 2 rue Antoine Charial CS 33 927 F 69426 Lyon Cedex 03 T l 33 0 4 72 74 58 00 Si ge social Cit des mobilit s 25 avenue Fran ois Mitterrand CS 92 803 F 69674 Bron Cedex T l 33 0 4 72 14 30 30
60. tion des donn es m transformation des donn es et des m tadonn es m test de conformit m production et mise jour des m tadonn es Comme dans le cycle de production des donn es chaque tape de ce flux de travail contribue l accumulation de m tadonn es qui devraient tre publi es au sein des IDF afin de promouvoir la r utilisation possible des donn es Ici aussi la qualit des donn es peut tre comprise dans un sens large s adressant l utilisabilit au contenu des donn es aux caract ristiques techniques la g n alogie et la conformit Bien que ces termes soient tr s semblables ceux utilis s pour la production des donn es il existe des diff rences quant leur provenance Le d veloppement de l IDS devrait tre guid par les besoins des utilisateurs potentiels Les besoins des utilisateurs sont des rep res externes importants qui aident trouver un quilibre optimal entre l interop rabilit et les co ts associ s Comme les exigences d interop rabilit sont une valeur ajout e pour les utilisateurs elles devraient appara tre dans l l ment de m tadonn es utilisabilit de ses ensembles de donn es qui sont r cup r s partir de l infrastructure Cerema F vrier 2014 Sign ture n 53 A l instar de la production des donn es les besoins utilisateurs sont formalis s dans les sp cifications techniques Contrairement aux sp cifications de production des donn
61. u Phare Tourelle nalisation activit s et cultures marines sur fonds de plan SCAN 25 et SCAN Littoral Tiphaine BRETT Solange CHARPENTIER cartographie Marc BRENDEL Patrick GRESSIEN Direction d partementale des territoires et de la mer de la Manche Cerema F vrier 2014 11 Sign ture n 53 propos du rapport INSPIRE sur la qualit des donn es Le rapport sur la qualit des donn es spatiales dans Inspire a t publi en octobre 2013 et est disponible sur le site Internet de la directive http inspire jrc ec europa eu index cfm newsid 11241 Il porte le judicieux titre de quilibre entre obligations juridiques et aspects techniques qui r sume parfaitement la probl matique de la qualit des donn es g ographiques Ce rapport int gre les r sultats des travaux des quipes de sp cification des donn es INSPIRE l quipe support du JRC Joint Research Centre pour les sp cifications des donn es les groupes de travail th matiques INSPIRE et le groupe d experts sur la qualit des donn es Ce dernier groupe tait compos de sp cialistes d sign s comme points de contact qualit par les tats membres Ils ont t charg s d organiser le d bat sur la qualit des donn es au niveau national avec la participation des autorit s comp tentes On notera cependant que les travaux des groupes de travail th matiques GTT et les discussions du GT qualit

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